Embargo chinois sur la viande de porc belge Problèmes liés

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Embargo chinois sur
la viande de porc belge
Instauré à la suite de la crise de la dioxine
en 1999, l’embargo chinois sur la viande de
porc belge n’a toujours pas été levé.
Problèmes liés
à l’installation de porcheries
de risque pour la santé publique, étant donné la portée
limitée de l’incident et la très
faible teneur en graisse du
produit.
Malgré l’insistance répétée des Ambassades
d’Allemagne, des Pays-Bas
et de Belgique, ainsi que
de la Représentation de la
Commission européenne à
Pékin, l’embargo n’a toujours
pas été levé.
Nouvelles insistances
Pas de porcs belges en Chine
Le ministre de la santé publique, Rudy Demotte, s’est
expliqué là-dessus – et sur les
démarches qu’il a accomplies
– après la visite dans notre
pays du ministre chinois de
l’alimentation.
Demande officielle
La possibilité d’exporter de
la viande de porc belge vers
la République populaire de
Chine dépend en premier lieu
de l’autorité chinoise compétente.
A` cet effet, comme première étape dans la procédure chinoise, l’Agence fédérale
pour la Sécurité de la Chaıˆne
alimentaire (AFSCA) a introduit, en juillet 2005, une demande officielle.
Ensuite l’autorité chinoise
compétente doit fournir à
l’AFSCA un questionnaire en
vue de son «Analyse de risque
sur les importations ». Cette
deuxième étape n’a cependant pas encore été franchie,
et ce, souligne M. Demotte,
malgré l’insistance répétée de
l’Ambassade belge à Pékin.
Etant donné que du côté
chinois, la procédure d’évaluation pour permettre l’im-
('
portation de viande de porc
belge n’est pour le moment
pas poursuivie, les exportations vers la République populaire de Chine ne sont pas
encore possibles.
Pays-Bas et
Allemagne aussi
L’AFSCA a informé en détail l’autorité chinoise compétente, ainsi que les autorités compétentes de tous
les autres pays, de l’incident
dioxine de janvier 2006, à savoir tout d’abord le 31 janvier
2006, ensuite le 13 février
2006 et pour conclure le 24
avril 2006.
L’autorité chinoise compétente a cependant décrété, le
7 février 2006, un embargo
envers l’Allemagne, les PaysBas et la Belgique pour tous
les produits à base de porc.
Vu que la Belgique ne pouvait jusqu’à présent exporter
que des boyaux de porc vers
la République populaire de
Chine, l’AFSCA a adressé un
courrier complémentaire à
l’autorité chinoise compétente le 20 février 2006, dans
lequel il était démontré qu’un
tel produit ne comportait pas
(,dXij)''.
M. Demotte est revenu
plusieurs fois à la charge à
l’occasion de la visite de son
homologue chinois. Il a d’une
part insisté formellement sur
le fait que, sur la base des
informations que nous avons
fournies et de leur évaluation
du risque, l’embargo décrété
à la suite de l’incident dioxine
de janvier 2006 devrait être
levé le plus rapidement possible.
D’autre part, il a insisté sur
le fait que l’autorité compétente chinoise devrait accomplir avec la rapidité requise sa
procédure pour l’« Analyse de
risque sur les importations»
relative aux demandes introduites par l’AFSCA, notamment pour la viande de porc.
A` ce sujet, il a remis à la fin
de l’entretien un document
écrit, dans lequel sont formalisées nos positions et nos doléances dans les deux volets
de ce dossier.
Son collègue chinois a répondu qu’il chargerait son
administration compétente
de traiter les dossiers belges
avec la rapidité requise, à quoi
il a ajouté que les consommateurs chinois étaient également de plus en plus attentifs
à tout ce qui concernait la
sécurité alimentaire, et que
l’administration compétente
se devait toujours de justifier ses décisions sur la base
d’une analyse de risque approfondie.
Moralité: nous ne sommes
pas plus avancés qu’avant…
Les députés wallons M Bayenet et JP
Dardenne ont chacun interrogé le Ministre
wallon de l’agriculture, Benoît Lutgen, sur
les contentieux qui opposent les citoyensconsommateurs aux producteurs désireux
d’investir dans une porcherie.
Ces contentieux se terminent trop souvent
au détriment des producteurs, alors même
que la consommation de viande porcine est
en pleine croissance en Wallonie.
Hausse constante de
la consommation
Pour B Lutgen, une réalité
qu’on ne peut pas contester,
à savoir que la consommation de porcs est en hausse
constante en Région wallonne alors que notre production
ne sait y répondre.
Au-delà de cela, nous devons nous accorder par rapport au pôle de compétitivité
défini par rapport à l’agroalimentaire dans le secteur de la
transformation. Cependant,
nous ne devons évidemment
pas le faire à n’importe quelles conditions.
Il nous faut donc travailler
au niveau de la commune
sur la participation du public,
d’une part, et sur l’impact environnemental, d’autre part.
Le jambon doit devenir l’un
de nos produits emblématiques. Il s’agit de le faire passer à l’Appellation d’Origine
Contrôlée pour parvenir à une
production de porcs de qualité, en nombre suffisant.
Dans ce travail, il faut que
les éléments olfactifs soient
pris en considération. Nous
avons d’ailleurs un contact
avec une société afin d’objectiver ces données.
Conserver la valorisation
Le souci du Ministre est de
voir se développer cette filière
en respect avec nos autres
objectifs et les autres productions de porcs.
L’objectif réel est de voir
croître la zone de qualité
jambon d’Ardenne. Pour ce
faire, il faut intégrer la filière
et, au niveau régional, il faut
intégrer le taux de liaison au
sol. Au niveau du PGDA, il n’y
aura plus de permis si ce taux
est supérieur à 1.
B Lutgen insiste sur le fait
que la filière doit être complète chez nous. Il ne faut pas
que la valorisation de la filière
du porc nous échappe.
Restera cependant le
problème de l’implantation.
Celui-ci est lié au type d’exploitation et au système de
qualité mis en place.
Aujourd’hui, nous progressons au niveau de la qualité,
mais pas assez en termes de
filière intégrée. Il vaut donc
mieux avoir une réflexion
plus globale au niveau de la
Région wallonne.
Le Ministre admet que ses
propos peuvent paraître vagues, mais il dit travailler pour
une plus-value économique
sans conséquences environnementales.
Restera cependant le problème de l’implantation. Celui-ci est lié
au type d’exploitation et au système de qualité mis en place.
8 D @ : 8 C < ; < J I < K I 8 @ K y J ; < C 8 = N8
Pays de Herve
Activités 2007
22 mars: à 13h30 au
Charlemagne, conférence
donnée par Damien Pauquet,
diététicien nutritionniste sportif
et licencié en sciences bio-médicales sur le sujet suivant: «Les
seniors à la recherche d’une
alimentation saine et équilibrée
comme facteur de longévité».
Un goûter clôturera cette
importante conférence. Paf: 5
euros + 2 euros = 7 euros
12 avril: à 13h30 au
Charlemagne 12ème anniversaire de l’Amicale. Invitation
à tous et amis. Programme
exceptionnel: après-midi récréative. Chants et sketches par
Léon Bomboir. Jeu «Questions
pour un champion» avec de
nombreux prix. Ensuite goûter
gratuit avec 2 boissons par personne. Inscriptions souhaitées
pour le 2 avril auprès de Victor
Taeter 087/301.326.
24 mai: excursion à Anvers.
A 7h30, départ de la Scar à
Herve (1 seul chargement).
Itinéraire: Herve-Tessenderlo,
arrêt petit déjeuner libre,Anvers.
Visite audioguidée du Musée
du diamant. Repas de midi libre
(formule self). Visite guidée du
port 3h. Retour avec arrêt repas libre Coût par personne 20
euros. Réservation auprès de
Victor Taeter 087/301.326.
Inscriptions impérativement
par tél suivies du versement
faisant foi au 103-0158635-11
«Victor Taeter – Anvers».
19 au 24 septembre:
voyage de 6 jours en Allemagne
(Thüringe et Berlin). Départs
(voyages Léonard) 6h – Herve
(Scar) 6h30.
Jour 1: Trajet autoroutier.
Arrivée à Erfurt, visite guidée
de 3h. Arrivée à Jena en fin
d’après-midi. Jour 2: Tour de
Jena, poursuite vers Weimar.
Après-midi départ pour
Buchenwald. Retour à Jena en
fin d’après-midi.
Jour 3: départ pour Dresden,
visite guidée, déjeuner. Vers
15h30, départ pour Berlin.
Installation en hôtel ****
Jour 4: journée découverte
de la capitale. Logement à
Berlin.
Jour 5: visite guidée sur le
thème de l’ex RDA et du Mur.
Début d’après-midi, départ
pour Postdam. Visite guidée
du château Sans-Souci. Retour
pour Berlin.
Jour 6: départ par voies rapides avec repas midi et soir
libres. Rentrée Herve en soirée.
Prix par personne avec 40
participants minimum: 600
euros comprenant transport
autocar de luxe, séjour 5 nuits
hôtels ***/****, pension complète du 1er jour soir au 6ème
jour petit-déjeuner buffet, visites guidées au programme, entrées indiquées au programme
uniquement lorsque cela est
clairement indiqué, assurance
voyage Léo sélection, taxes
et TVA. Rémunération légale
chauffeur incluse, gratification
à discrétion.
Supplément chambre individuelle 135 euros.
Acompte de 150 euros par
personne pour le 15 mai 2007,
solde pour le 1er août 2007 au
compte 103-0158635-11
Suite des prévisions sans dates certaines:
Juillet: excursion au Grand
Duché
Août: Blégny-Mine
18 octobre: assemblée générale.