Communiqué - SIX media marketing inc.

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Communiqué - SIX media marketing inc.
Communiqué
Pour diffusion immédiate
Le nouvel album disponible le 27 mai
Montréal, mai 2014 — Dès qu’on entend l’extrait Tu me suivras, on
acquiesce. Oui, on suivra : cette mélodie est un sortilège, une
ritournelle qui prend par la main et fait se clore les yeux pour mieux
rêver. Le talentueux chanteur et auteur-compositeur Gael Faure
lancera, le 27 mai prochain, son deuxième album, De silences en
bascules. Il viendra en présenter l’essentiel aux Francofolies avec
un spectacle extérieur le 16 juin, en plus d’assurer la première partie
du spectacle de Salomé Leclerc le lendemain au Gesù.
Ira t’on jusqu’à prédire le début d’une histoire d’amour entre le
public québécois et Gael Faure ? Orfèvre de la chanson, Gael avec
deux accords, fabrique des airs qui soudain emplissent les oreilles,
le coeur et l’âme et résistent aux efforts de toutes les chansons qui
s’invitent derrière pour les détrôner. Les chansons de Gael Faure se
maquillent de simplicité : elles semblent d’abord des mélodies
légères puis il se révèle qu’elles creusent loin, profond, fort. Elles
savent toucher juste avec leur clarté, leur propos direct, leur manière
si franche de dévoiler le sentiment.
Au commencement, il y a dix-huit ans en Ardèche. Chez lui, la
musique n’existe pas beaucoup, éclipsée par d’autres soucis : la
nature, le soin d’autrui, les dérèglements de la société. Car il est le
fils du fermier et de l’infirmière.
GAEL FAURE
DE SILENCES EN BASCULES
EN SPECTACLE
16 juin Montréal – Francofolies
Scène Sirius XM à 19h
17 juin Montréal – Gesù
(première partie de Salomé Leclerc)
www.gaelfaure.com
www.facebook.com/GaelFaureOfficiel?fref=ts
twitter.com/search?q=gael%20faure&src=typd
CLIP: On dirait l’Islande: http://www.youtube.
com/watch?v=9OR_GuYo2AM
Source :
Zamora productions / Sony Music
Informations : Audrée Loiselle
SIX media marketing inc.
514 544-7013
[email protected]
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www.sixmedia.ca
Il a quatorze ans quand il va voir Louise Attaque qui passe près de
chez lui. C’est son premier concert. Un choc : les instruments,
l’énergie, l’émotion. Il achète une guitare. Il progresse lentement,
en complet autodidacte. « J’aimais le bois, le nylon des cordes, se
souvient-il. J’ai galéré, trouvé les accords un à un. Découvert aussi
qu’il n’y a pas de codes, que l’on peut tout faire. Je ne connaissais
pas bien la chanson française, j’étais un peu perdu. Eh bien ça, ça
m’a plu. »
En pleines études d’architecte paysager, il se fait embarquer par
son amie de l’époque vers la quatrième saison de l’émission La
Nouvelle star. Sans regret ni remord. Il a surtout compris que la
célébrité télévisée n’est rien à côté de ce qui lui reste à parcourir. Il
choisit la voie patiente… Gael Faure ne cessera de travailler. Des
centaines de concerts et la construction d’un répertoire, pour
laquelle il a besoin d’auteurs. Le premier choisi est Fabien Boeuf,
qui avait été le chanteur des groupes Idolem et POC avant de
mener une carrière en solo, mais dont la maison était voisine de
celle de Gael, jadis en Ardèche. Fabien écrira la moitié de l’album.
A Tété, Gael donne une mélodie qui lui évoque un ailleurs nordique
et qui deviendra On dirait l’Islande. Avec Ben Ricour, il se trouve
une sorte de grand frère généreux, il goûte à l’écriture farfelue de
Barcella, aux inventions de Chet… « Des rencontres qui nourrissent
le parcours », résume-t-il.
Ces auteurs contribuent à un album aussi rêveur qu’enraciné dans
le monde réel, aussi sophistiqué qu’il est simple à aborder. Car, peu
à peu, les chansons se polissent dans les premières parties d’Alexis
HK, Tété, Michel Jonasz, Daran, Rover, Barcella… Puis le doux
orfèvre Jean-Louis Piérot vient produire l’album, après avoir oeuvré
pour Alain Bashung, Étienne Daho, Miossec, Renan Luce, Brigitte
Fontaine. Les chansons trouvent là leurs couleurs folk, limpides et
vastes comme un ciel d’hiver. Partout, des sonorités singulières
viennent semer des mystères sensibles et séduisants – la voute
irréelle de glassharmonica dans On dirait l’Islande, la mandoline
mutine et le sourire mélancolique de l’accordéon dans Pour qu’un
jour, le dépaysement rêveur de l’harmonium indien dans À la
tienne, le mur liquide du vibraphone et les harmonies vocales
lointaines dans Un peu…