echo de novembre 2003 - FISP secteur pompier
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echo de novembre 2003 - FISP secteur pompier
Bureau de dépôt : 7500 Tournai België – Belgique P.B. - P.P. 7500 Tournai 5/118 ECHO Autorisation de fermeture: 5/182 Périodique mensuel du SNPS - ne paraît pas en juillet NOVEMBRE 2003 - Nr. 648 Exp.: Avenue Général Bernheim, 18/20 - 1040 Bruxelles PROBLEMATIQUE DES ILLEGAUX Depuis la guerre des Balkans, les services de police surveillent les abords des autoroutes, notamment la E40 en direction de OSTENDE, et sont confrontés à un flot incessant d’immigrés clandestins qui essaient d’atteindre le Royaume-Uni. Des marchands de chaire humaine profitent de ce phénomène et y répondent en organisant les transports. Historique, problématique et propositions du SNPS – Section Bruxelles Ter. DELEGUES ANVERS / NAMUR Dans cet Echo, nous reprenons la publication des listes de délégués. Cette fois, nous vous proposons les provinces de ANVERS et de NAMUR. EDITO CONSIDERATIONS Jamais auparavant les services de police n’avaient connu une réforme aussi importante que celle de ces dernières années. Jamais auparavant on n’avait autant critiqué la police, son travail et sa structure qu’au cours de ces dernières années. A juste titre ou non, je dois vous dire que la police est généralement soucieuse de son image. Néanmoins, une modernisation de la police amène inévitablement sa part de problèmes. Aux Pays-Bas aussi, cela s’est constaté ces dernières années, alors que la réforme y est en route depuis déjà une dizaine d’années. Aujourd’hui, nos voisins essayent encore et toujours d’améliorer le sys- Philip Van Hamme Président National tème et chez nous aussi, l’organisation, les moyens et la structure seront encore longtemps sujets à modifications. D’ailleurs à juste titre parce que c’est un appareil qui doit constamment être modernisé. A propos ou non, la police est cependant critiquée par des soi-disant « experts » (titre dont ils se gratifient eux-mêmes). Le plus souvent, les critiques ont été émises quand certains avaient manifestement des motifs politiques ou quand il s’avérait qu’ils n’avaient pas pu imposer leurs propres idées lors de l’élaboration de la nouvelle structure policière. Quoi que vous décidiez, il y a toujours des mécontents qui veulent générale- ment vous convaincre qu’ils ont raison. En revanche, malgré les nombreux obstacles, malgré les hauts et les bas, il doit quand même être dit que vous et moi, nous disposons d’un très bon système policier. Pour pouvoir s’en rendre compte, il faut surtout ouvrir les yeux sur ce qui se passe à l’étranger où, en divers endroits, la réforme des structures policières n’en est encore qu’à ses premiers balbutiements. Par ailleurs, que deviendrait une société sans police ? En premier lieu, les criminels connaîtraient de beaux jours. De toute évidence, cette société tâcherait d’apporter ordre et autorité suite à la page 3 1 HUMEUR DU SECRÉTAIRE NATIONAL BUVEZ et VOUS SEREZ CONSIDÉRÉ. Bizarre comme slogan, mais celui-ci est très répandu dans un quartier de LIEGE. Et pourquoi pas ? On fait ce qu’on peut pour se faire remarquer. Venons-en aux faits. Un commissariat de quartier de la région liégeoise est commandé et dirigé par un commissaire. Ce personnage est réputé pour savoir « déguster » la dive bouteille. En soi, pourquoi pas ? Mais quand cela interfère auprès des autres collègues, ce n’est plus la même chose. Un week-end, ce commissaire fait appel aux services de permanence pour qu’ils interviennent à son commissariat. Evidemment, comme il s’agit d’un commissaire, on dépêche de suite un service sur les lieux. Ce service constate que notre commissaire se trouve sous l’influence des « puissances occultes » et rentre au bercail. Peu après, nouvel appel de notre commissaire qui demande à nouveau une intervention à son commissariat. Le service retourne sur place en compagnie d’un service du contrôle interne qui constate que notre homme est bien imprégné. Le service du contrôle interne rédige une petite bafouille afin que notre commissaire soit puni, ce qui est logique. Dans un premier temps, une mesure d’éloignement de son service est prise par le bourgmestre ce qui est, vous en conviendrez avec moi, une bonne chose. Il n’est pas normal de déranger des services de permanence et en plus de les menacer si … !! Et bien, sachez que notre brave commissaire a réintégré son service ! Comment en est-on arrivé à cette situation ? Tout simple. Une pétition a circulé ; elle était signée par tous les membres de son commissariat de quartier qui refusaient de travailler sans le retour de notre homme. Comment faire pour ne pas signer cette pétition puisque tu travailles sous ses ordres !! Evidemment, l’Autorité s’est empressée de remettre cet homme à sa place et dès lors, de « baisser son froc ». Vous me direz que le Commissaire, à part son état d’ivresse, n’a rien fait de grave. Juste, mais je crois qu’il fallait sanctionner cette attitude en service. Encore une fois, le politique fait ce qu’il veut, quand il veut et comme il veut. Le policier est à la merci du bon vouloir de l’Autorité. Mais si le policier avait été un membre du cadre de base, je ne pense pas qu’on aurait agi de la même façon. Vous ne croyez pas ? Moi si. Enfin, la morale de cette histoire : tout le monde est content et je crois que les libations vont continuer à aller bon train. Tout le monde se tient par les « c……. ». On pourra continuer à faire ce qu’on veut quand on veut et avec qui on veut. Mais c’est la nouvelle police, vous ne l’aviez pas compris ? 2 EDITO SUITE DE LA PAGE 1 dans le pays. Dans un premier temps, elle essaierait de le faire elle-même... Mais très vite, on reconstituerait un service de police. En effet, ce n’est qu’avec la police qu’on peut garantir la sécurité et le calme pour la population. Ici, je ne veux certainement pas jouer les prophètes et essayer de défendre l’utilité de la police, mais je tiens à dire que bien trop souvent, la police est le boucémissaire d’une gestion politique très souvent déficiente dans notre pays. Le policier ou la policière en question ne fait rien de plus que son devoir. Et malgré les salaires mirobolants mentionnés dans les médias, il doit cependant être dit clairement qu’au niveau européen, le salaire des policiers belges ne se situe que dans la moyenne. Ce n’est franchement pas une profession mal payée, mais certainement pas non plus une institution aux salaires démesurés comme cela a parfois été prétendu. ECHO SYNDICAL Mais le citoyen réclame aujourd’hui de plus en plus. Les matchs de football sont de préférence suivis le soir et la présence de la police est de plus en plus nécessaire à cause du hooliganisme ; mais il ne faut pas perdre de vue que cela coûte en allocations de nuit et de week-end. Le citoyen paie donc plus pour sa police … mais dans ce cas, c’est lui-même qui le demande. Les matchs de football en soirée coûtent donc cher pour la sécurité. Les festivités sont quant à elles organisées de préférence les dimanches et jours fériés afin d’attirer un maximum de monde. A nouveau, cela demande l’engagement opérationnel de nombreux policiers et, vous vous en doutez, les prestations du dimanche doivent être payées en conséquence. GÉNÉRIQUE La Sécurité a donc un prix ! Malgré les protestations injustifiées des bourgmestres qui veulent faire croire que l’argent du contribuable est englouti par la police, on est pourtant arrivé à la constatation que cela n’est pas vrai. Cela, on le savait depuis longtemps, mais à l’époque, les élections n’avaient pas encore eu lieu … et on avait besoin d’un bouc-émissaire. Aussi, pourquoi ne pas faire porter le chapeau à la police. N’en a-t-elle finalement pas l’habitude ? Quand vous êtes flashé et que vous devez payer une amende, n’avez-vous pas quelques bons mots pour ces flics qui vous prennent votre argent ? Mais avezvous seulement calculé l’argent que vous pourriez épargner en amendes si vous respectiez les règles ? Vous rendez-vous seulement compte du nombre de blessés qui sont dans les hôpitaux suite à un accident de la route, ou du nombre de victimes qui se retrouvent au cimetière après un accident du week-end par exemple ? Les devoirs d’enquête sont souvent longs et coûteux, cependant, la victime d’un vol par exemple, est très contente et reconnaissante quand elle récupère son bien grâce à la police. Soutenez donc votre police, elle est là pour votre sécurité et mérite votre soutien. PRIMES SYNDICALES ETAT DE LA QUESTION A juste titre, nous recevons encore souvent des questions sur la prime syndicale. “Comment se fait-il que je n’ai toujours rien reçu ?“, “Je n’ai reçu qu’une seule prime.”, ou encore “Que faites-vous avec notre argent ?” «Echo» est le mensuel du Syndicat National du personnel de Police et de Sécurité. Cet Echo est envoyé à tous le membres. Les non-membres peuvent souscrire un abonnement annuel en versant 75 € au numéro de compte 068-2101000-07 du SNPS. Les données personnelles sont traitées conformément aux dispositions de la loi du 8 décembre 1992 sur le respect de la vie privée. Editeur responsable : Philip Van Hamme Rédaction définitive : Eddy De Blaere Dessins : Dirk Van Der Auwera La rédaction est ouverte aux questions et suggestions de lecteurs. Vous pouvez les transmettre à : Rédaction «Echo» Avenue Général Bernheim 18/20 1040 Bruxelles tél. : 02.644.65.00 fax : 02.644.67.93 e-mail : [email protected] Pour consulter notre site http://www.snps.be Nous comprenons votre impatience. Nous préciserons que l’argent vient de la Chancellerie du Premier Ministre, Commission des Primes Syndicales et que le budget prévu initialement était insuffisant pour honorer le paiement de toutes les primes syndicales. Précisons que nous ne sommes qu’un intermédiaire et que l’argent ne nous appartenant pas, nous ne pouvons pas encaisser d’intérêts sur cet argent. Le budget reçu est épuisé et nous attendons un versement complémentaire pour pouvoir payer toutes les primes encore en attente. Nous ne pouvons vous donner une date pour l’exécution des derniers paiements. Nous ne pouvons que vous garantir que les paiements seront exécutés dès que nous aurons reçu l’argent. Nous avons demandé un rendez-vous avec les Services du Premier Ministre pour trouver une solution à ce problème. Rue de l’Égalité 61 7700 Mouscron Tél.: 056.85.75.15 Fax : 056.85.75.17 3 PROBLEMATIQUE DES ILLEGAUX HISTORIQUE Depuis la guerre des Balkans, les services de police surveillent les abords des autoroutes, notamment la E40 en direction de OSTENDE, et sont confrontés à un flot incessant d’immigrés clandestins qui essaient d’atteindre le Royaume-Uni. Des marchands de chaire humaine profitent de ce phénomène et y répondent en organisant les transports. Depuis environ 1996, on découvre régulièrement d’importants groupes d’immigrés clandestins sur les parkings situés le long de la E40. Suivant les régions du monde qui sont touchées par des conflits, on trouvera plutôt des Albanais, des Kosovars, des Afghans, des Irakiens, des Pakistanais, des Indiens, des Chinois, etc. Tout aussi régulièrement, on trouve des familles entières, avec des petits enfants. Le plus souvent, ces personnes sont accompagnées et amenées de nuit par petits groupes sur les parkings où ils sont aidés pour entrer dans le semi-remorque d’un camionneur qui le plus souvent ne se doute de rien. Les personnes trouvées se retrouvent généralement dans des conditions d’hygiène tout à fait déplorables. En outre, les services policiers ne sont pas à même de juger de l’état de santé de ces gens. Dans le passé, les membres du personnel de nos services ont déjà été confrontés à la tuberculose, aux poux, etc. A côté de cela, d’autres maladies comme le SRAS, l’hépatite,… ne sont pas impensables. PROBLÉMATIQUE Au début, surtout de par l’intérêt des médias, on accordait beaucoup d’attention à cette problématique. Nos services bénéficiaient donc de la collaboration des administrations communales qui mettaient leurs infrastructures à leur disposition en vue de l’accueil de ces personnes. Aujourd’hui, on n’utilise plus ces possibilités, surtout pour des raisons pratiques. 4 En tant que service policier, nous avons donc dû nous débrouiller nous-mêmes avec toutes les conséquences que cela engendrait. C’est ainsi que les immigrés clandestins ont été accueillis dans les bureaux de notre unité, nuisant au bon fonctionnement de notre unité, avec tous les risques liés pour notre santé. De plus, nous ne pouvions garantir un accueil digne pour ces personnes vu l’absence de douches, de nourriture, de boissons, etc. Après une intervention du conseiller en prévention, il a été mis fin à cela, pour des raisons évidentes. Actuellement, les gens sont accueillis dans le garage de notre unité. Sur le parking de notre unité, pour qu’une infrastructure minimale soit garantie, un camion sanitaire a été installé. Les efforts fournis par le commandement de l’UPC Brabant et le responsable du poste d’Anderlecht ont certainement contribué à un meilleur accueil de ces gens d’une part, et à une situation plus confortable pour les membres du personnel d’autre part. La police fédérale a lancé un projet pour aménager un centre d’accueil de première ligne au centre Berkendael à STGILLES. Son aménagement et son opérationnalité pourraient encore se faire attendre un certain temps. Ici aussi, un certain nombre de problèmes pratiques pourraient se poser. Ainsi, l’école de criminologie est actuellement établie dans le complexe de Berkendael. La présence d’immigrés clandestins attirerait probablement la presse ce qui pourrait nuire à l’anonymat de certains chercheurs. En outre, l’aménagement des structures d’accueil demanderait la suppression de certains équipements sportifs qui sont actuellement à la disposition des membres du personnel qui souhaitent entretenir leur condition physique en dehors des heures de prestation. La suppression de ces équipements hypothèque naturellement l’exigence du gouvernement concernant l’obligation pour le fonctionnaire de police d’entretenir une bonne condition physique. QUESTION PARLEMENTAIRE En marge, j’ajouterai cette remarque : A l’origine, le complexe Berkendael était prévu pour l’Ecole Européenne ; ensuite, sa destination a été modifiée et il a été transformé en école de police et maintenant, les policiers devraient partir pour qu’une troisième destination lui soit attribuée. PROPOSITIONS Vu la spécificité de la matière, vu les risques pour la santé du personnel, vu les possibilités d’accueil restreintes pour les illégaux, et notamment pour les familles avec les enfants, etc, nous proposons la création d’un centre d’accueil collectif de première ligne où tous les services de police pourraient amener les illégaux. Ainsi, le service de police en question, outre son PV de premières constatations, pourrait reprendre ses tâches habituelles et des personnes spécialisées dans cette matière pourraient reprendre les devoirs consécutifs. Un tel projet est actuellement mis en route dans la province de Flandre Occidentale. On met en place un bureau administratif régional de traitement. Ce bureau fonctionnera en partie avec du personnel de la police fédérale et en partie avec du personnel de l’Office des Etrangers. Nous trouvons que cette initiative est très positive et qu’elle doit être encouragée vu les nombreux avantages de ce système. Tous les services policiers de la province pourront s’y rendre pour l’accueil des immigrés clandestins interpellés. En y centralisant le matériel nécessaire, un traitement rapide sera possible. Actuellement, nous devons constater que tous les services de police doivent se débrouiller avec les moyens du bord, avec toutes les conséquences que cela a. Un bureau administratif régional pour les services de police du Brabant Flamand et de Bruxelles constituerait un allègement important des tâches qui découlent de la mise en place d’un premier accueil. D’une part, les unités de circulation provinciales pourraient à nouveau se concentrer sur leurs tâches initiales comme la surveillance de la circulation ; d’autre part, un premier accueil approprié pourrait être organisé pour les gens qui souvent sont à la recherche d’une certaine dignité. Question de Mme Josée Lejeune au vice-premier ministre et ministre de l’Intérieur sur “les tâches administratives de la police”. Josée Lejeune (MR) : L’article 25 de la loi sur la fonction de police (*) précise que celle-ci ne peut être chargée de tâches administratives autres que celles attribuées par ou en vertu de la loi. La délimitation de ces tâches fait l’objet de la circulaire du 16 février 1999 qui abrogeait et remplaçait celle du 7 avril 1995. L’application de cette circulaire pose problème et certains services de police sont toujours chargés de tâches incompatibles avec son prescrit La réforme des polices me paraît imposer une nouvelle révision de la circulaire en question, ne serait-ce qu’en raison de la personnalité juridique octroyée aux zones de police pluricommunales qui crée des entités distinctes des communes et modifie dès lors les rapports avec celles-ci. Votre prédécesseur avait chargé un groupe de travail de préparer une nouvelle circulaire relative aux tâches administratives de la police. Allez-vous reprendre ou finaliser une nouvelle circulaire ? Si oui, dans quel délai pourrait-on voir de nouvelles dispositions entrer en vigueur ? 09.02 Patrick Dewael, ministre (en français) : L’accord gouvernemental prévoit d’augmenter la capacité d’engagement de la police. Mon prédécesseur a chargé un groupe de travail de la réactualisation de la circulaire du 16 février 1999. Nous continuons cette action et chaque tâche sera analysée. Le futur texte tiendra compte du nouveau paysage policier afin que son application soit uniforme en tout lieu. Le chef de corps devra être plus conscient de ses responsabilités et disposera d’un texte lui permettant de refuser certaines tâches. Quant au délai, le groupe de travail pourrait finaliser le texte pour la fin de l’année 2003. 09.03 Josée Lejeune (MR) : Je ne peux que vous encourager dans cette voie. L’incident est clos. (*)Art 25 LFP : Les fonctionnaires de police (...) ne peuvent être chargés de tâches administratives autres que celles qui leur sont attribuées expressément par ou en vertu de la loi. <L 1998-12-07/31, art. 179, 005; En vigueur : 01-01-2001> Par dérogation de l’alinéa 1er, peuvent (leur être (confiées)) des tâches administratives qui exigent, pour leur réalisation, l’exercice de compétences de police, et dont le Ministre de l’Intérieur et le Ministre de la Justice arrêtent la liste de commun accord. <L 1998-12-07/31, art. 179, 005; En vigueur : 01-01-2001> <L 1999-04-19/50, art. 25, 006; En vigueur : 555555-55> (Les autorités judiciaires peuvent confier aux fonctionnaires de police des enquêtes en matière disciplinaire.) <L 1998-12-07/31, art. 179, 005; En vigueur : 01-01-2001> Lors de cérémonies publiques, (les services de police) peuvent être chargés d’assurer une présence protocolaire ainsi que l’escorte des autorités et des corps constitués. <L 1998-12-07/31, art. 179, 005; ED : 01-01-2001> Rien qu’au niveau de notre unité, sur base annuelle, nous devons organiser l’accueil pour environ 300 à 400 immigrés clandestins. SNPS - Section Bxl Ter 5 PROVINCE ANVERS PRESIDENT PROVINCIAL Michel GOYVAERTS Tél : 03/666.59.59 - Fax 03/666.29.98 GSM : 0486/86.18.57 Mail : [email protected] A.I.K. ANTWERPEN Tél : 03/670.72.44 - Fax : 03/670.72.89 SECRETAIRE PROVINCIAL RPSP - (Responsable Provincial Secteur Pensionnés) Freddy HOLEMANS Tél : 0475/93.28.11 Mail : [email protected] Jos GYS Tél/Fax : 014/81.19.08 Mail : [email protected] Zone MECHELEN - Tel : 015/28.66.66 PRESIDENTS DE SECTION ANVERS Luc GOOS Tél : 03/289.08.35 – fax : 081/52.54.26 GSM : 0476/80.60.05 Mail : [email protected] Zone HEKLA TURNHOUT Giuseppe REALE Tél : 014/31.60.40 GSM : 0486/86.86.96 Mail : [email protected] Zone MOL MALINES Harry VERTONGEN GSM : 0495/81.81.40 Mail : [email protected] Zone MECHELEN DELEGUES Nom Zone / Service Tél zone MAIL Eddy VAN OPSTAL ANTWERPEN 03/544.41.11 [email protected] Edouard METS ANTWERPEN 03/202.55.27 [email protected] Alex POSSEMIERS ANTWERPEN 03/206.80.11 [email protected] Jean VAN KEMSEKE ANTWERPEN 03/201.49.61 [email protected] Roger VAN KAERT ANTWERPEN 03/820.92.03 [email protected] Reinhilde BEHAEGEL ANTWERPEN 03/544.41.33 [email protected] Jean Pierre COP ANTWERPEN 03/201.49.11 [email protected] Dirk DEBORCHGRAEVE ANTWERPEN 03/206.80.11 [email protected] Wim DE LEENHEIR ANTWERPEN 03/201.49.11 [email protected] Marc DE PESTER ANTWERPEN 03/270.19.11 [email protected] Ivo GIRARDIN ANTWERPEN 03/270.19.83 [email protected] Nancy GRANDJEAN ANTWERPEN 03/206.80.51 [email protected] Eduard HENDRIECKX ANTWERPEN 03/820.92.03 [email protected] Eric HULSTAERT ANTWERPEN Luc MENHEER ANTWERPEN Ludovicus MEYVIS ANTWERPEN John RAES ANTWERPEN Johan TEMMERMAN ANTWERPEN Marc TRAPPENIERS ANTWERPEN Marc VAN DEN BOGAERT ANTWERPEN 6 [email protected] 03/270.69.42 [email protected] [email protected] 03/360.30.11 [email protected] [email protected] [email protected] 03/641.74.74 [email protected] Eddy VAN LOOVEREN ANTWERPEN 03/202.58.75 [email protected] Erik VERMEULEN ANTWERPEN 03/546.48.27 [email protected] Robby VERSCHORREN ANTWERPEN ARB Marie Louise VERRETH ANTWERPEN CALOG Tony VAN HERENTALS ANTWERPEN GDA [email protected] 03/360.30.11 [email protected] [email protected] Frank VAN ERCK ANTWERPEN KW VALAAR 03/830.84.84 Herman VAN DENDER ANTWERPEN LUH DEURNE 03/229.22.05 Frans BRUYNINCKX ANTWERPEN OPRUSTGESTELDE 03/664.67.96 Luc CHRISTIAENSEN ANTWERPEN OPRUSTGESTELDE 03.828.31.07 [email protected] Marc LEERMAN ANTWERPEN PVE 03/259.07.00 [email protected] Eric VAN ECHELPOEL ANTWERPEN SPC 03/204.24.02 [email protected] Jean VAN RINTEL ANTWERPEN SPN 03/541.22.85 [email protected] Nico VERCAMMEN BERLAAR 03/482.10.33 [email protected] Geert VAN DEN EEDE BORNEM 03/889.00.02 [email protected] Theo PEETERS GEEL GDA 014/57.02.26 [email protected] Willy STAPELS GRENS 03/620.29.29 Leo VERMEULEN GRENS 03/620.29.29 Guido SELS HEIST O/D BERG 015 22 86 00 Paul VAN STEENBERGEN HEKLA 03 289 23 00 [email protected] Guy MAES KASTERLEE SCHIETSTAND 014/85.39.17 Eric CLAESSENS LIER 03/491.13.73 [email protected] Chris LEBOY LIER 03/491.13.73 [email protected] Herbert DE GREVE MECHELEN 03/830.85.62 [email protected] Danny CAERSTIAENSSEN MECHELEN 015/28.66.66 [email protected] [email protected] Karl DOX MECHELEN 015/28.66.66 Guido MARIEN MECHELEN 015/28.66.66 Gunter SMETS MECHELEN 015/28.66.66 Dirk VAN ROY MECHELEN 047/880.19.65 Paul OP DE BEECK MECHELEN AIK. 015/29.22.11 Philip DE BEULE MINOS [email protected] [email protected] 03/491.98.98 [email protected] Dirk ARRAZOLA DE ONATE MOL 014/33.07.00 [email protected] Luc DRIESEN NETELAND HERENTALS 014/51.18.00 [email protected] Jason HOWARD NOORD 03/660.09.35 [email protected] Wim VAN LAER NOORD 03/605.35.34 Herbert VAN LOOVEREN NOORD 03/660.09.30 [email protected] Gustaaf STRUYVEN NOORDERKEMPEN 03/340.88.00 [email protected] Rudi PEETERS NOORDERKEMPEN 03/340.88.21 [email protected] Dany HIEL PUURS 03/890.76.00 [email protected] Kris MONDEN RUPEL 03 880 19 99 [email protected] Hugo NIEUWEJAERS SCHOTEN 03/680.12.70 [email protected] Werner VAN LEEMPUTTEN SCHOTEN 03/680.12.98 [email protected] Paul VAN DE WYNGAERD ST KAT WAVER 015/30.73.52 Ives LAUWERS TURNHOUT 014/44.33.68 [email protected] Staf MARIEN VOORKEMPEN 03/313.02.02 [email protected] Richard VAN DER FLAES VOORKEMPEN Guy VAN AEL ZARA [email protected] 03 485 65 11 CONGES 2004 Les deux jours fériés réglementaires octroyés par l’autorité compétente : A la police fédérale : ils sont ajoutés, dès le début de l’année 2004, à la fiche des congés et peuvent être pris aux mêmes conditions que les jours de congé annuel de vacances. A la police locale : le chef de corps a la possibilité de décider, après concertation au sein du comité de concertation de base concerné, que ces deux jours de congé seront ajoutés à la fiche des congés en début d’année ou bien de les fixer à deux dates déterminées ou encore qu’un de ces jours sera ajouté à la fiche des congés et l’autre fixé à une date déterminée. Jours de congé de substitution pour les jours fériés légaux et réglementaires qui coïncident avec un samedi ou un dimanche : En 2004, trois jours fériés légaux (1er mai, 15 août et 25 décembre) et un jour férié réglementaire (26 décembre) coïncident avec un samedi ou un dimanche. Les membres du personnel ont par conséquent droit à quatre jours de congé de substitution. Pour l’ensemble du personnel des services de police : trois jours sont fixés aux 2 janvier, 21 mai et 12 novembre. Ces jours permettent chaque fois de faire le pont. Le quatrième jour de congé de substitution est à ajouter à la fiche des congés. Au cas où ils auraient déjà été fixés à une des dates (voire les deux) à déterminer par eux, les chefs de corps de la police locale peuvent déroger à cette règle. 7 PROVINCE DE NAMUR PRESIDENT PROVINCIAL Alain LEDOUX GSM : 0475/81.85.18 Mail : [email protected] Service : Pol Fed – Service Multa Erpent Tél : 081/323.370 SECRETAIRE PROVINCIAL Thierry THOMAS GSM : 0475/28.98.75 Mail : [email protected] RPSP - (Responsable Provincial Secteur Pensionné) Roger ROLIN Tél : 061/58.93.21 Service : CG/CGL (détaché PZ La Louvière) PRESIDENTS DE SECTION NAMUR Thierry BELIN GSM : 0496/64.13.36 Mail : [email protected] DINANT Jean GALOUX GSM : 0477/95.05.52 Mail : [email protected] Zone : NAMUR Tél : 081/24.66.67 Zone : DES TROIS VALLEES Tél : 060/31.03.00 Fax : 060/31.03.08 DELEGUES 8 Nom Zone / Service Tél zone Jean-Daniel CORBISIER CONDROZ-FAMENNE 0477/24.32.38 Didier DEWINNE CONDROZ-FAMENNE 083/68.73.00 MAIL Christelle JORDAN DES ARCHES 081/83.34.01 Alain MATON DES TROIS VALLEES 060/31.02.02 Alain ROMAN ENTRE SAMBRE ET MEUSE 071/71.02.30 Joseph WAUTERS ENTRE SAMBRE ET MEUSE 071/72.70.10 [email protected] Philippe HOUYOUX FLOWAL 071/61.10.14 [email protected] [email protected] Christophe LEFEVRE HAUTE-MEUSE 082/67.68.16 Yvan ADAM HAUTE-MEUSE 082/67.68.16 Jean-Claude PINOY HERMETON ET HEURE 071/66.02.21 [email protected] Pascal MAIRE HOUILLE-SEMOIS 061/58.70.26 [email protected] Pierre LADOUCE JEMEPPE-S/SAMBRE 071/75.04.37 Jean-Pascal DEBRY LESSE ET LHOMME 084/37.42.50 Vincent GOTFROI NAMUR 081/24.66.68 Anne-Catherine DESCY NAMUR 081/24.66.14 Dominique DEMARET ORNEAU-MEHAIGNE 081/61.17.08 Marianne JACOBS Pol Fed – CIA NAMUR 081/25.62.08 François THIRY Pol Fed – UPC DAUSSOULX 081/20.77.30 Guy WARRINNIER Pol Fed – UPC DAUSSOULX 081/20.77.43 Eddy BOUTET SAMSON 071/88.80.02 [email protected] [email protected] LES DIX COMMANDEMENTS DU DISCIPLINAIRE GSM – REACTIONS Nous avons reçu quelques réactions de membres qui ont voulu attirer notre attention sur le fait que noter et communiquer le numéro EMEI à l’opérateur est le moyen par excellence pour signaler et bloquer un GSM suite à son vol. Cependant, ces membres nous signalent que le blocage de l’appareil ne devrait se faire que dans un second temps (après une ou deux semaines voire un mois), pour qu’il soit possible de faire des devoirs d’enquête. En effet, grâce à l’EMEI-track ( = vérifier auprès des différents opérateurs si une nouvelle carte SIM a été placée dans le GSM + identification éventuelle du nouvel utilisateur ), on peut arriver, lors de l’enquête, à identifier l’auteur et à engager des poursuites judiciaires à sa charge. L’EMEI-track est demandée par le service de police au procureur du roi via le procès-verbal de déclaration ou de plainte. Souvent, ces dossiers sont liés à d’autres dossiers et permettent d’élucider d’autres délits. Un blocage du numéro EMEI (et donc automatiquement du GSM lui-même) rend donc l’appareil inutilisable aussi bien pour celui qui l’a volé que pour le propriétaire légitime (préjudicié)... Attention, il est plus que conseillé de faire bloquer IMMÉDIATEMENT via l’opérateur concerné ( Proximus, Base, Mobistar,....) la carte SIM qui se trouve dans le GSM volé. Ainsi, on évite que l’auteur puisse téléphoner sur le compte du préjudicié (si l’appareil était encore allumé au moment de son vol). MERCI A NOS LECTEURS ATTENTIFS. Comportement à adopter dans le cadre d’une enquête disciplinaire préalable : 1. l’enquêteur préalable doit être au moins du même grade ; 2. vérifier que l’enquêteur est mandaté par l’autorité ; 3. prendre connaissance de l’article 25 de la loi disciplinaire(*) ; 4. demander si un défenseur peut être présent ; en cas de refus, le faire acter ; 5. toujours témoigner loyalement ; 6. si vous faites l’objet de l’enquête, taisez-vous et restez calme (droit de la défense) ; 7. ne vous laissez pas intimider, se taire ne signifie pas avouer ; 8. l’audition doit être faite par questions/réponses ; 9. ne jamais avouer des fautes, la preuve de la faute incombe à l’autorité ; 10. n’acceptez pas de répondre par écrit. (*) art 25 de la loi disciplinaire (loi du 13 mars 1999) : Tout membre du personnel est tenu de collaborer loyalement aux enquêtes disciplinaires dont il ne fait pas ou ne pourrait pas faire lui-même l’objet. En vue de la constatation des éventuelles transgressions disciplinaires, le membre du personnel fournit sa collaboration aux actes d’enquête disciplinaire dont il ne fait pas ou ne pourrait pas faire lui-même l’objet, répond précisément aux questions qui lui sont posées et remet à la demande de l’autorité les pièces ou effets utiles à l’établissement de la vérité, même s’ils se trouvent dans l’armoire ou le bureau dont il dispose sur le lieu de travail. Tout membre du personnel en service qui présente des signes manifestes d’intoxication alcoolique se soumet, le cas échéant, à un test d’haleine. Le Roi fixe les modalités de l’exécution du test d’haleine. A PROPOS DU TEST HALEINE Art. 14. L’autorité disciplinaire procède au test d’haleine et mentionne les signes manifestes d’intoxication alcoolique qui le justifient. Le cas échéant, elle peut désigner à cet effet un fonctionnaire de police visé à l’article 117, alinéa 2, de la loi du 7 décembre 1998 organisant un service de police intégré, structuré à deux niveaux, pour procéder au test d’haleine. Art. 16. Le membre du personnel invité à subir un test d’haleine a droit à un temps d’attente de 15 minutes. Art. 17. Sauf s’il est manifestement dans l’impossibilité physique de le subir ou s’il avance un motif médical d’exonération, le membre du personnel ne peut légitimement refuser de subir le test d’haleine. Dans ces cas, un médecin sera immédiatement requis afin d’attester de cette impossibilité ou de cette exonération. Les frais de cette réquisition sont à charge, selon le cas, de la police fédérale, de la zone de police ou de la commune à laquelle ressortit le membre du personnel. Art. 18. § 1er. A la demande du membre du personnel intéressé, le test d’haleine peut être suivi par une analyse de l’haleine consistant à souffler dans un appareil qui mesure la concentration d’alcool dans l’air alvéolaire expiré. L’analyse de l’haleine est aux frais de l’intéressé si celle-ci mesure une concentration d’alcool, par litre d’air alvéolaire expiré, d’au moins 0,22 milligramme. … § 3. Le membre du personnel ne pourra être poursuivi disciplinairement pour consommation excessive d’alcool si le test ou l’analyse de l’haleine mesure une concentration d’alcool, par litre d’air alvéolaire expiré, de moins de 0,22 milligramme. Références : AR du 26 novembre 2001 portant exécution de la Loi du 13 mai 1999 portant le statut disciplinaire des membres du personnel des services de police. 9 CHACUN SON POINT DE VUE... UN MEMBRE NOUS ECRIT LA REFORME DANS LE NAMUROIS Voici maintenant plus ou moins deux ans que les zones polices fonctionnent et que pouvons-nous constater ? Malgré les mensonges et les allégations des autorités de haut niveau, le constat actuel est que nous sommes devant un raté d’ampleur nationale. DES VERTUS DE LA COMMUNICATION Au sein des polices, la grogne et le mécontentement sont bien présents. La population se voit ou se sent abandonnée. Les services sont fantomatiques, sporadiques, laconiques, enfin bref, bien souvent insuffisants et certainement pas à la hauteur de ce qu’ils devraient être. Lors d’un dernier Comité de Concertation dans la zone ORNEAUMEHAIGNE, nos représentants, mais aussi ceux des autres organisations syndicales représentatives, ont eu la désagréable surprise de faire l’objet d’une attaque en règle de l’un des bourgmestres présents. Après quelques échanges verbaux houleux, nous avons compris l’origine du courroux de l’autorité. Une fois de plus, des prétendus représentants syndicaux (à qui nous ne ferons pas l’honneur de citer leurs noms) avaient sévi dans un courrier insultant adressé aux mandataires communaux. Notre organisation s’est immédiatement désolidarisée d’un pareil torchon et un dialogue constructif a alors pu s’installer entre l’autorité et les représentants du personnel, débouchant sur des avancées significatives. A Namur, où je vous parlais récemment d’un certain malaise au sein du personnel, le dialogue a permis de débloquer la situation. Le Chef de Zone a manifestement pris ses responsabilités et les choses tendent à une certaine normalisation. Pas de tempête donc, mais un dialogue ouvert et constructif. Que déduire de tout cela ? La faute à qui, la faute à quoi ? Certainement pas au cadre de base qui continue à accomplir les tâches qui lui sont dévolues et cela dans des conditions déplorables. Mais alors pourquoi tout ce marasme me direz-vous ? Il y a tout d’abord le fait que les politiciens (les seuls responsables de cette réforme) ont voulu modifier le concept même de la police belge. Pour cela, ils ont d’abord créé un régime disciplinaire dictatorial pour être tout à fait certains de contrôler totalement cette police et pouvoir sanctionner sans réelle possibilité d’appel pour le personnel. Dès lors, voilà nos policiers muselés, pieds et poings liés face aux politiciens. Tout cela dans un grand souci de démocratie probablement. Pour faciliter le tout, il a été donné pleins pouvoirs aux dirigeants politiques locaux sur cette police. Et cerise sur le gâteau, les nominations, attribution des moyens et décisions des actions à mener au local, dépendent des bourgmestres ou du collège et conseil de police. Qui retrouve-t-on dans les conseils de police ? Les personnes choisies par les bourgmestres. Certains chefs de zone ont joué la carte politique et se sont rangés délibérément derrière les bourgmestres. Le renouvellement du mandat oblige. Ceux qui ne l’ont pas fait et se sont rangés derrière leur personnel, doivent en faire les frais et subissent les foudres des politiques locaux. Mais qui donc dirige la police ? Qui dirige les bourgmestres ? Nos politiciens ont décidé que la police ne fonctionnait pas correctement, qu’il y avait de graves manquements dans sa direction. Donc pour y remédier, ils ont augmenté substantiellement les salaires, renforcé les pouvoirs et nommé tous azimuts les chefs en place et leur ont demandé de créer la nouvelle police. Je trouve que c’était une idée des plus intelligentes que de demander à ceux qui ont raté pendant des années et des années, d’être les maîtres d’œuvre d’un tel projet. Que représenter le personnel et défendre ses droits et acquis ne signifie nullement s’enliser dans un anti-patronat primaire, ni critiquer à tous vents. Il ne faut dès lors plus s’étonner que nous nous retrouvons à la case départ. Que comprendre les difficultés financières ou autres d’une autorité de tutelle et, ensemble, tenter d’y apporter des solutions par un dialogue constructif ne constitue en rien une défaite mais bien une avancée pour nos membres. Ce n’est peut-être pas le cas partout, mais je ne dois pas me tromper de beaucoup. Qu’enfin, si nous n’avons jamais été et ne serons jamais disposés à jouer les bénis-oui-oui face à l’autorité, nous conservons plus que jamais notre ligne de conduite, à savoir une attitude ferme lorsque les circonstances l’exigent, mais toujours empreinte de constructivité et en restant conscients de nos responsabilités. Thierry Belin Président Section Namur Les SJA sont devenus l’ancienne PJ, les SER locaux calquent les anciennes BSR, les services d’intervention restent les brigades locales et les agents de proximité redeviennent les policiers communaux. Lorsque j’entends parler de baronnies, je pencherais plus vite pour potentats locaux. Et comment les éviter puisqu’il n’y a pas de réel contrôle supérieur ? Comment empêcher les abus de tous genres ? A qui rendent compte tous les démagogues et chefs à l’égo démesuré ? Je pense même pouvoir dire dictateurs locaux (mon chef de zone s’est déclaré devant témoins, au-dessus des lois). Je pense que les exemples de dérapages doivent être maintenant nombreux. Je fais confiance aux abuseurs de tous crins pour faire porter la responsabilité à leurs subalternes et se faire passer pour des victimes. Combien de temps encore va durer cette situation où l’on tient pour responsable le cadre subalterne et où la population est prise en otage ? Je reste persuadé que les vrais responsables connaissent la vérité, mais qui aura le courage d’avouer l’échec cuisant des politiciens et mettre un terme à ce gâchis ? Les sommes dilapidées, certains salaires faramineux, certaines augmentations prodigieuses, les avantages substantiels ainsi que les promotions inespérées dont certains privilégiés ont pu ou espèrent pouvoir bénéficier, seraient-ils le seul frein ? Dans les enquêtes il est bon de se poser la question « A qui profite le crime ? » Peut-être devrait-on se la poser ici aussi ? 10 Carte SIS, Carte SAM, Banque-Carrefour de la Sécurité Sociale (BCSS) et ce que vous devez en savoir. mé ci-après “ Banque-carrefour “. <L 2002-12-24/31, art. 195, 019; En vigueur : 10-01-2003> Section 2. - Des définitions. Art. 2. Pour l’exécution et l’application de la présente loi et de ses mesures d’exécution, on entend par : 1° “ sécurité sociale “ : Quel rapport y a-t-il entre une carte SIS et la Banque-Carrefour ? Ou encore, qu’est-ce que la carte SAM ? Devons-nous faire des démarches ? Peut-être avons-nous déjà lu quelque chose, mais toutes ces notions restent quand même obscures. a) l’ensemble des branches reprises à l’article 21 de la loi du 29 juin 1981 établissant les principes généraux de la sécurité sociale des travailleurs salariés, y compris celles de la sécurité sociale des marins de la marine Celui qui a l’habitude de remplir les marchande et des ouvriers formalités suite au décès d’un collèmineurs; gue a vu une grande différence : C’est devenu beaucoup plus simple. b) l’ensemble des branches visées sous le a), dont l’application est La carte SIS est l’élément le plus tangiétendue aux personnes occuble de la Banque-Carrefour de la pées dans le secteur public, et Sécurité Sociale. On la reçoit (gratuiles branches du secteur public tement) de sa mutualité et on doit qui remplissent une fonction toujours l’avoir sur soi. Lors d’une équivalente aux branches visite chez le médecin, elle peut très visées sous le a);) <L 1997-06bien être demandée. De même chez 25/41, art. 28, 010; En vigueur : le pharmacien. Bref, c’est une deuxiè01-01-1997> me carte d’identité; on ne peut plus vivre sans. c)… Cela ne concerne pas que les pensionnés mais bien tout qui est amené à bénéficier de l’une ou l’autre prestation sociale (soins médicaux, prime de naissance, pension, accident, décès, etc.). Dans ce cas, le ou les services concernés doivent être informés des éventuelles modifications de notre Création d’une Banque-carrefour de la sécurité sociale situation. Une pension ne peut être payée qu’après avoir introduit les démarches nécessaires auprès des services des pensions. De même, l’obtention d’allocations familiales demande des formalités auprès du fonds des allocations familiales, tout comme une pension de survie ne peut être attribuée que quand l’Administration des Pensions est informée de la situation de la personne. Les exemples sont nombreux. Il y a treize ans, on a découvert l’intérêt de l’échange automatisé des données au service du citoyen, pour simplifier ainsi les formalités administratives. Ceci dit, ce n’est pas comme si un ordinateur central stockait toutes les données. Chaque instance gère sa banque de données. Il y a juste les données nécessaires qui sont échangées via la BCSS. La création a été fixée par la Loi. Avant, pour recevoir ce à quoi on avait droit, on devait remplir beaucoup de paperasses. Le plus souvent, on devait remplir et communiquer à maintes reprises, les mêmes données, à différents services, pour obtenir une seule allocation déterminée. Face à cela, un changement positif s’est opéré avec la création de la Banque-Carrefour de la Sécurité Sociale. Ainsi, maintenant, il suffit parfois de présenter sa carte SIS pour régler une affaire. Champ d’application et tâches : Pour cela, nous nous référons à la Loi du 29 juin 1981 établissant les principes généraux de la sécurité sociale des travailleurs salariés. : CHAPITRE III. - Régimes et moyens financiers. Art. 21. <AR 1997-08-08/42, art. 5, 037; En vigueur : 01-07-1997> § 1er. La sécurité sociale des travailleurs comprend les (branches suivantes) : <L 2002-12-24/31, art. 216, 058; En vigueur : 01-01-2005> 1° les indemnités dues en exécuLoi du 15 janvier 1990 relative à tion de l’assurance obligatoire l’institution et à l’organisation soins de santé et indemnités; 2° d’une Banque-carrefour de la les allocations de chômage; sécurité sociale. 3° les pensions de retraite et de Section 1. - De l’institution de la survie; Banque-carrefour. 4° les allocations du chef d’acciArticle 1. Sous la dénomination de dents de travail et de maladie pro“ Banque-carrefour de la sécurité fessionnelles; sociale “, il est créé auprès (du Service public fédéral Sécurité 5° les prestations de santé dues en sociale) un organisme public doté exécution de l’assurance obligade la personnalité civile, dénom- toire soins de santé et indemnités; 11 l’Office National des Pensions (Tour du Midi), l’INAMI, les différentes mutuali7° les allocations de vacances tés et fonds de maladie, l’ONSS, etc. annuelles. 6° les prestations familiales; § 2. La Gestion globale concerne Carte SIS et carte SAM les régimes et les branches suivants : Comme déjà dit, la carte SIS est la par1° l’assurance obligatoire soins de tie la plus visible du système de la BCSS. Nous l’utilisons régulièrement. santé et indemnités : - secteur des soins de santé; - - secteur des indemnités; - 2° les indemnités de chômage, en ce compris les prépensions et les interruptions de carrière; - 3° les pensions de retraite et de survie, à l’exclusion des régimes de capitalisation; - 4° les indemnités du chef d’accidents du travail, gérées par le Fonds des accidents du travail, à l’exclusion du système de capitalisation; n’a rien à voir avec la validité des données stockées dans la puce de la carte). • En cas de perte ou de vol, vous devez faire une déclaration dans les plus brefs délais à votre mutuelle. Dans ce cas, votre mutualité vous procurera une autre carte. Pour cela, vous devrez payer une redevance de € 2,5. En attendant la réception de votre nouvelle carte, votre mutualité vous délivrera une attestation que vous pourrez utiliser comme la carte. Dans des périodiques, on mentionne aussi parfois la carte SAM.(Security Acces Module). Cette carte est en fait une carte professionnelle à l’usage des prestataires de soins (par exemple les hôpitaux). Sa fonction essentielle • La carte est personnelle. Une certaiest de contrôler la carte SIS et donc ne tolérance vous permet généralel’authenticité de la carte SIS, l’authenment de prendre la carte de votre ticité des données figurant sur la carte conjoint(e) pour aller chercher chez (l’identification de la sécurité sociale – le pharmacien les médicaments qui nom –prénom – date de naissance – lui sont destinés. sexe …). • La carte SIS ne peut pas (encore) être utilisée à l’étranger. - 5° les indemnités du chef de maladies professionnelles, hormis pour le personnel des administrations provinciales et locales; - 6° les allocations familiales, hormis pour le personnel des administrations provinciales et locales; - 7° les pensions d’invalidité au CARTE SIS (Système Information profit des ouvriers mineurs et assi- Sociale) milés. - 8° le secteur des soins de santé et • Cette carte n’est pas seulement un moyen pour identifier l’assuré social le secteur des indemnités du régide façon électronique, mais permet me des marins de la marine marégalement aux dispensateurs de chande; soins de disposer, sous forme - 9° le secteur du chômage du régiélectronique, des données relatives me des marins de la marine marà la situation d’assurabilité dans l’aschande.) <L 1999-01-25/32, art. 50, surance soins de santé et si possible, 043; En vigueur : 16-02-1999> d’appliquer le tiers payant (grâce à la Banque-Carrefour de la Sécurité Qui est relié à la BanqueSociale). carrefour de la Sécurité Sociale ? • La carte que vous avez reçue est Quasi tous les services qui ont un rapvalable pour cinq ans. Avant la date port avec la prestation de services de fin de période de validité de votre sociaux sont reliés. Pour nous, seuls actuelle carte SIS, votre mutualité quelques-uns sont importants : le doit vous en envoyer une nouvelle. Registre national (naturellement), La date de validité est mentionnée l’Administration des Pensions dans le coin inférieur droit de la (Boulevard du Jardin Botanique), carte (la date de validité de la carte • A partir du 1er juillet 2004, une carte d’identité européenne (distincte de la carte SIS) devrait voir le jour dans tous les Etats-Membres de l’Union Européenne. Cette carte est uniquement appelée à remplacer les formulaires E 111. • Dans le cadre de la sécurité pour la vie privée, il n’est pas possible de demander des données sur un malade via la Banque-Carrefour de la Sécurité Sociale. Il n’y a donc pas non plus de données médicales insérées dans la puce de la carte de la puce et il n’y a aucun projet en ce sens. Jusqu’à présent, le gouvernement fédéral n’a pas encore opté pour une nouvelle carte d’identité électronique qui remplacerait la carte SIS et la carte d’identité. Mais peut-être verronsnous un jour une carte qui remplacera notre carte d’identité, carte de banque, Carte SIS, Carte VISA, carte de réduction SNCB, etc. Peut-être qu’un jour suffira-t-il de présenter une carte éviterons-nous ainsi beaucoup de paperasseries. Qu’en pensez-vous ? Marcel De Loof AVIS IMPORTANT AUX MEMBRES MODIFICATION DE LA COMPOSITION DE FAMILLE Afin de pouvoir bénéficier des avantages offerts aux membres, nous vous rappelons qu’il est indispensable de nous signaler, le plus rapidement possible, toute modification dans la composition de famille. Dorénavant, les primes de mariage, les interventions en cas de décès et l’ouverture des carnets d’épargne (naissance) ne seront uniquement d’application que si l’événement nous est signalé dans les 3 mois. A bon entendeur … 12 PENSIONS FUTURES Dois-je prendre ma pension à 56 ans ou attendre ? Voilà une question qui nous est fréquemment posée. Il est clair qu’il n’y a pas de réponse type. Un cas n’est pas l’autre. A ce sujet, nous vous proposons ci-après le témoignage de Marcel De Loof et un bref résumé sur l’impact que pourrait avoir sur votre pension une carrière plus longue. TEMOIGNAGE Marcel : “Je devais arrêter à 56 ans » « A la gendarmerie, nous savions que nous prendrions notre pension à 56 ans et nous nous réjouissions à cette idée, raconte Marcel, 58 ans. Comme j’ai eu 56 ans en mars 2001, je devais arrêter le 1er avril de cette même année. Je totalisais à ce moment 34 ans et demi de service, je devais donc bénéficier d’une pension quasi complète des services publics. Le hasard a voulu que la nouvelle politique en matière de police unique entre en vigueur au 1er avril 2001. Quelques jours avant cette date, j’ai reçu une note du staff général qui m’offrait la possibilité de continuer à travailler jusqu’à 58 ans. J’ai refusé parce que je m’étais fait à l’idée de prendre ma pension à 56 ans. Certes, j’aimais mon travail mais il devenait de plus en plus lourd. Surtout quand, après une patrouille de nuit, je devais encore rédiger des rapports pour le procureur jusqu’à 9 h du matin. » Marcel estime qu’il a de la chance. « C’est un soulagement : je n’ai plus à me poser la question de travailler plus longtemps. N’oubliez pas que notre pension est en fait un salaire postposé. Pendant longtemps, les gendarmes n’ont pas touché de rémunération supplémentaire pour les services de week-end et ont travaillé 45 h/semaine alors que la Belgique était déjà passée au régime des 40 h. » Les seules réactions d’envie dans l’entourage de Marcel proviennent de quadragénaires. « Je ne me sens pas du tout coupable. A part mon beau-frère, je ne connais personne qui ait travaillé jusqu’à 65 ans ! Tout le monde essaie d’arrêter plus tôt. Il faudra déplacer des montagnes pour faire travailler les Belges plus longtemps, ça, j’en suis sûr. On ne se débarrasse pas ainsi de traditions remontant à plusieurs dizaines d’années. J’ai participé en tant que militant du syndicat neutre de la gendarmerie aux premières négociations sur le nouveau statut unique de la police. Il y avait beaucoup de syndicats autour de la table mais tous étaient d’accord sur un point : il ne fallait pas toucher à la pension à 56 ans à la gendarmerie. » Quels sont les facteurs qui influencent le montant de ma pension ? En bref, on peut dire que les éléments suivants influencent le montant brut de votre pension : • Le traitement de référence : le traitement de référence correspond au traitement annuel moyen des cinq dernières années. • Le maximum relatif : Le montant annuel brut de la pension ne peut dépasser 75 % du traitement de référence. • Le tantième : est la fraction qui est appliquée pour le calcul de la pension. Pour les policiers, le tantième est 1/50e. (Rmq : pour les périodes de mise en disponibilité, les services dans le CALOG, le service militaire : tantième 1/60e). • La durée de la carrière : Le montant de la pension varie en fonction de la durée de la carrière. A côté de ces éléments, notons encore l’influence de l’index, de la situation de famille (isolé ou avec personne(s) à charge), les éventuelles modifications en matière de précompte professionnel ou autres éléments de retenue. Calcul Pension = nombre d’années de service X traitement de référence X tantième Exemples Seules quelques situations spécifiques ont été prises en compte. Aussi, les montants ne doivent être considérés que comme des indications. De plus, ces renseignements se fondent sur la législation, les barèmes fiscaux et l’index applicables actuellement. CARRIERE COMPLETE (37 ans et 6 mois) Echelle de traitement* Isolé fiscalement** Epoux(se) à charge B5 1 485,95 € 1 730,77 € M1.1 1 517,51 € 1 759,93 € M4.1 1 589,19 € 1 909,94 € M6 1 677,61 € 1 919,95 € M7 1 738,91 € 1 989,26 € CARRIERE INCOMPLETE (35 ans) Echelle de traitement* Isolé fiscalement** Epoux(se) à charge B5 1 431,25 € 1 660,41 € M1.1 1 458,46 € 1 690,83 € M4.1 1 596,80 € 1 836,79 € M6 1 605,02 € 1 845,01 € M7 1 662,53 € 1 904,07 € * Minimum les 5 dernières années au maximum de l’échelle indiquée et donc au plus tôt au 1er avril 2006. ** Personne vivant seule ou ayant une épouse qui a des revenus. 13 FISP – SECTEUR POMPIERS Cher membre, Cher ami, FORMATION BAREMIQUE ET DEVOIR DE RESERVE Dans notre candeur, nous avons cru qu’une fois atteint le nombre de membres requis, nous aurions pu bénéficier de la prime syndicale … Grosse erreur !!! En effet, la fameuse loi syndicale de 1974 (qui a été votée par les soi-disant syndicats représentatifs), nous ferme pour le moment le paiement de cette prime, attention, prime que les syndicats ne paient pas de leurs deniers. En effet, c’est bien le fédéral qui rembourse celle-ci. Or, pour être représentatif, vous devez défendre toutes les catégories du personnel communal… Demandez donc aux autres syndicats représentatifs présents à la caserne de défendre la propreté publique, la police ou tout autre travailleur. Ne soyez pas étonnés de leur réponse, car à leurs yeux, ils ne font pas de corporatisme !!! Allons donc. En l’état actuel, nous ne pouvons donc vous rétrocéder cette prime, mais patience, nous y arriverons. Je comprends que certains de vous en soient déçus, mais malheureusement, nous n’y pouvons rien. Certains parmi vous pourraient céder à la facilité de s’affilier à un syndicat représentatif, je suis désolé pour ceux qui penseraient qu’ils seront mieux défendus ailleurs… Nous n’obligeons personne à rester chez nous, mais comprenez que malgré le fait que nous ne pouvons siéger aux négociations et concertations, nous prenons à cœur de vous défendre ; avocats et juristes sont à votre disposition, comme ailleurs… Ne prenez pas votre défense à la légère, nous sommes toujours là en cas de besoin. Trouvez-vous normal que nous ne pouvons siéger aux différentes commissions alors que nous rassemblons plus de 10 % des pompiers de Belgique et rien que pour Bruxelles, plus de 200 membres aux services ? Trouvez-vous normal que certains syndicats peuvent, de par leur représentativité NATIONALE, participer à ces commissions alors qu’ils ont beaucoup moins de membres que nous ? Où est la démocratie dans tout cela ? Parce que vous n’appartenez pas à une couleur POLITIQUE, vous devriez vous taire ? Je dis NON et croyez-moi, dans certains Corps, les Collèges et Chefs de Corps préfèrent dialoguer avec nous, car nous sommes toujours objectifs et nous ne devons pas obéir à une ligne politique. Nous sommes là pour répondre à toutes les questions que vous pourriez avoir par rapport à ce courrier. Vos dévoués délégués Philippon Willy, Slosse Johnny, Leroy Léopold 14 « Syndicat Van Keer » !!! Et vlan, prends ça en pleine face! Depuis des années, les attaques viennent de toutes parts. On a l’habitude, on en rit même souvent. Mais que l’attaque frontale vienne d’un commissaire juriste de DPS, présent en tant que tel lors d’une formation barémique, c’est fort. En effet, alors que ce monsieur citait les syndicats représentatifs, c’est le seul qualificatif qu’il a trouvé pour le SNPS. Je n’imagine pas un instant que ce juriste ait été en panne d’inspiration ou de vocabulaire (faut quand même pas avoir fait de hautes études pour trouver une expression comme syndicat neutre, apolitique ou encore professionnel !). Non, et à moins qu’il n’ait voulu faire preuve d’humour (ce dont je doute), il a choisi délibérément d’attaquer notre organisation syndicale, tout comme il a attaqué à deux reprises en deux semaines, deux délégués permanents en tentant de discréditer leurs propos pourtant justifiés sous prétexte qu’ils étaient délégués syndicaux. Ce n’était pas tant les mots que le ton ironique et le rictus qui étaient gênants. Je terminerai ce point en disant que nous sommes délégués au même titre que de nombreux collègues et que ce n’est d’ailleurs pas moins respectable que commissaire juriste à DPS ; aussi, que ce monsieur garde donc son cynisme pour la pause café, en dehors de ses fonctions … devoir de réserve oblige. Je terminerai par quelques considérations par rapport à la formation elle-même : Faire le tour du statut en quelques heures est forcément impossible cependant, les matières abordées par les juristes le sont clairement. Par contre, j’invite chacun à la plus grande prudence par rapport aux ateliers et aux exposés présentés par les participants. Chaque groupe est quasi livré à lui-même et les erreurs véhiculées sont très nombreuses et ne sont pas systématiquement corrigées par les juristes. D’autre part, si on doit en croire notre juriste, on pourrait très bien déroger aux règles en matière d’organisation du temps de travail. Sachez que ce n’est le cas que pour les week-ends quoi qu’il en dise. Aussi, si vous avez des questions, NOUS sommes disponibles. NECROLOGIE • Mad. Claudine MATTENS, épouse de SLONGO Alain, née à Anderlecht le 4 mars 1940 et décédée à Flémalle le 22 septembre 2003. Condoléances : Rue des Awirs 217 à 4400 FLEMALLE LOUVAIN • Mad. COLIN Rina, épouse de VAN WELDE Louis, née à Scherpenheuvel le 03 mars 1922 et décédée à Lubbeek le 19 juillet 2003. Condoléances : Peter Benoitlaan 8 à 3010 KESSEL-LO CHARLEROI OUDENAARDE • Mr. Christian JEANMOTTE, époux de PAUWELS Martine, né à Waremme le 8 février 1952 et décédé à Erquelinnes le 31 octobre 2003. Condoléances : Route de Mons 226 à 6560 ERQUELINNES ANVERS COURTRAI • Mr. René WILLEMS, époux de NAUDTS Yvonne, né à Zelzate le 24 juillet 1923 et décédé à Wirlijk le 01 novembre 2003. Condoléances : Bosheidelaan 34 à 2610 WILRIJK • Mad. Maria HALSBERGHE, épouse de DERIJYCKE Albert, née le 26 avril 1930 et décédée à Courtrai le 06 octobre 2003. Condoléances : Brouwerijstraat 25 à 8790 WAREGEM • Mr. Gustaaf ROGGEMAN, époux de VAN DER SYPT Elza, né à Overmeire le 6 mai 1923 et décédé à Wilrijk le 25 septembre 2003. Condoléances : Letterkundestraat 140 à 2610 WILRIJK ARLON • Mr. Robert DANSART, époux de BODSON Yolande, né à Latour le 11 juillet 1928 et décédé à Meix-devant-Virton le 27 octobre 2003. Condoléances : Route de Virton 94 à 6769 MEIX-DEVANT-VIRTON ASSE • Mr. PLACLET Albert né le 19 janvier 1919 et décédé à Vilvoorde le 01 novembre 2003. Condoléances : Vlaanderenstrat 4 bus 9 à 1800 VILVOORDE • Mr. Julien DE METSENAERE, veuf de Maria POTUMS, né à Schaerbeek le 14 mai 1920 et décédé à Zaventem le 11 octobre 2003. Condoléances : Platanenlaan 28 à 1930 ZAVENTEMo • Mad. Leona MOERMAN, épouse de COMMEYNE Germain, née à Asper le 21 novembre 1922 et décédée à Courtrai le 12 août 2003. Condoléances : Elfde Juliaanlaan 80 à 8500 KORTRIJK • Mad. Madeleine BRUNEEL, épouse de VAN DYCKE Pierre, née à Rijsel le 22 avril 1922 et décédée à Courtrai le 23 octobre 2003. Condoléances : P. De Conincklaan 10/051 à 8500 KORTIJK DENDERMONDE • Mad. DEVOLDER Blondia, veuve de VAN GEEL Julien, née à Veurne le 9 mai 1911 et décédée à Bruxelles le 24 septembre 2003. Condoléances : Grote Ringlaan 17 à 1070 BRUSSEL EUPEN • Mr. Joseph JOLIET, époux de NUSSBAUM Maria, né à Lüttich le 10 mai 1917 et décédé à Lontzen le 27 septembre 2003. Condoléances : Feldstrasse 1 à 4710 LONTZEN BRUXELLES • Mr. Léon FUYTIER, époux de Angelique DE MEYER, né à Moerbeke-Waas le 3 novembre 1919 et décédé à Duinbergen le 11 novembre 2003. Condoléances : Patriottenstraat 34/22 à 8301 KNOKKE-HEIST GAND • Mr. VERLINDEN Albertus, né à GAND le 29 janvier 1916 et y décédé le 10 octobre 2003. Condoléances : Lazarusbron 10 à 9990 MALDEGEM • Mr.Willy VAN NIEUWENHUYSE, époux de Diane VANDIERENDONCK, né à Bruges le 20 mai 1934 et décédé à Waregem le 7 novembre 2003. Condoléances : Warandestraat 28 à 9770 KRUISHOUTEM • Mhr. Paul DESCHEPPER, compagnon de Charlotte LOUAGIE, né à Moerbeke-Waas le 21 janvier 1932 et décédé à Gand le 29 septembre 2003. Condoléances : Dreefstraat 6 à 9570 DEFTINGE TOURNAI • Mad. PROVOST Rachel, veuve de CLAISSE André, née à Ath le 9 mars 1916 et y décédée le 20 octobre 2003. Condoléances : Rue Jean Jaurés 40 à 7800 ATH TURNHOUT • Mr; WILS Richard, époux de Ann LOOMANS, né à Vorselaar le 07 février 1949 et décédé à TURNHOUT le 14 octobre 2003. Condoléances : Tilburgseweg 198 à 2382 POPPEL Nous présentons nos très sincères condoléances aux familles pour la perte douloureuse qui les a touchées. JUBILE Entourés de leur famille et amis, Roger LAMBERT et Edith Gérard de BOHAN ont fêté leurs noces d’or ce 18 octobre. Ils s’étaient unis le 17 octobre 1953. La rédaction vous adresse ses plus chaleureuses félicitations. 15 Partenaire de tous vos séminaires, congrès, réunions et banquets ! Lieu de vacances idéal pour vous et votre famille ! “Duinenzicht” est situé le long de la Bassevillestraat, dans l’ancien domaine “Ons Rustoord”, à quelques pas de la mer et du centre de Westende-village. Centre International de Vacances, de Congrès et de Formation Vakantiestraat 3 8434 WESTENDE Tel 058/2222 100 Fax 058/222 101 URL http://www.duinenzicht.be Mail [email protected] Nos vacanciers disposent d’un appartement bien équipé ou d’une chambre d’hôtel confortable. Les écoles, mouvements de jeunesse et clubs sportifs peuvent disposer de nos logements spécialement conçus pour les groupes. Les salles de réunion et l’auditoire disposent de tous les équipements modernes nécessaires à l’organisation de vos séminaires, congrès ou réunions. “Duinenzicht” est un centre accessible aux vacanciers individuels, familles, groupes ou entreprises mais est également un centre de rencontres pour la population locale. Vous voulez y organiser une réunion ou un banquet pour une association ? Duinenzicht is “The place to be !” Dans notre restaurant, un plat du jour délicieux est servi chaque jour mais vous pouvez également demander la carte. La cafétéria et la terrasse sont ouvertes tous les jours. Les possibilités de détente ne manquent pas. A côté du mini-golf, vous trouverez également 5 terrains de pétanque, un jardin d’enfants, un espace-dunes entièrement délimité. Dans les environs immédiats, il y a également une piscine couverte, une salle de sports sans oublier les nombreux sites historiques ainsi que les nombreux parcours pour promenades pédestres ou à vélo.