Communiqué - SIX media marketing inc.

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Communiqué - SIX media marketing inc.
Communiqué
Pour diffusion immédiate
Le nouvel album disponible le 10 sept.
Montréal, août 2013 – Comme quelqu’un l’a si bien dit un jour :
« Herbert Grönemeyer, c’est cet artiste incroyablement populaire qui
vend des tonnes d’albums, mais dont vous n’avez jamais entendu
parler ». Pas qu’Herbert Grönemeyer soit un homme invisible, non.
Avant d’entamer sa carrière musicale, il a crevé l’écran dans le classique
allemand des années 1980, Das Boot, de Wolfgang Petersen. Plus
récemment, il a joué dans Control, l’acclamé biopic d’Anton Corbijn sur
Joy Division. Il a également composé la trame sonore du film The
American, du même Corbijn, mettant en vedette George Clooney. Mais
ces petites apparitions dans le paysage culturel américain ne constituent
qu’une minuscule partie de ce que représente sa carrière dans son
pays natal. Car en Allemagne, Grönemeyer est un des artistes les plus
populaires des trois dernières décennies. Du reste, les chiffres parlent
pour eux-mêmes : il a vendu plus de 18 millions d’albums.
Herbert Grönemeyer sera de passage à Montréal le 19 septembre
prochain au National et le lendemain à l’Opera House de Toronto dans
le cadre de sa tournée nord-américaine. Il s’agira du premier passage
de Grönemeyer au Canada depuis 1989 alors qu’il avait joué en
première partie de Tom Cochrane.
HERBERT GRÖNEMEYER
I WALK
EN SPECTACLE au Canada
Jeudi 19 septembre Le National (Montréal)
Vendredi 20 septembre The Opera House
(Toronto)
Le DVD I Walk Live !
également disponible le 10 sept.
Siteweb
Clip I Walk (Album Trailer)
Source :
Grönland Records
Informations : Simon Fauteux
SIX media marketing inc.
514 544-7013
[email protected]
70, rue Molière suite 201, Montréal
(Québec) H2R 1N8
514.544.7013
www.sixmedia.ca
Pour le public hors Allemagne, peu familier avec l’œuvre de Herbert
Grönemeyer, son nouvel album – un premier en anglais – I Walk,
disponible le 10 septembre (tout comme le DVD I Walk Live), sera
l’occasion idéale de découvrir la musique fervente, personnelle et
passionnelle d’un auteur-compositeur-interprète au talent hors du
commun. Le disque, qui permet à l’auditeur de survoler l’incroyable
carrière du musicien, regroupe des chansons plus anciennes, comme
Airplanes in My Head, qui date de 1985. Mais on y trouve également
plusieurs de ses plus récents succès, traduits en anglais, ainsi que de
nouvelles compositions.
Les chansons de Grönemeyer, véritables hymnes pop remplis de
sincérité, viennent directement du cœur, et ne sont teintées d’aucune
once de cynisme. Même si vous ne connaissez pas la genèse de la
pièce Mensch (homme), écrite un an après que l’artiste eut perdu son
frère et sa femme, décédés à trois jours d’intervalle, vous sentirez
que les émotions qui se cachent derrière des paroles telles que We
lose and still try (Nous échouons, mais nous essayons quand même)
ou le simple I miss you (Tu me manques) final, sont des plus viscérales.
Avec 14 albums studio à son actif, Grönemeyer a depuis longtemps
assis sa réputation d’auteur-compositeur. Sa musique est teintée de
l’influence des plus grands, tels Elton John et Randy Newman. Sur
scène, toutefois, sa prestance théâtrale rappelle celle d’un David
Bowie. Eh oui, la seule chose qui a toujours empêché l’artiste d’obtenir
un succès planétaire, c’était la barrière de la langue, puisqu’il chantait
en allemand, un idiome parlé par seulement 3 % de la population
mondiale. Mais désormais, avec I Walk, ce petit obstacle n’est plus
qu’un lointain souvenir. Preuve de son statut de star, sur cet album il
partage le micro avec des invités de marque. Ainsi, sur Mensch, c’est
nul autre que Bono qui fait office d’artiste invité alors que, sur Will I
Ever Learn, c’est Antony Hegarty, du réputé groupe Antony and the
Johnsons, qui prête sa voix aux mélodies plus graves.
Pour Grönemeyer, cette grande incursion en territoire nord-américain
ne doit pas être perçue comme une réponse à une possible insa­
tisfaction face au manque de reconnaissance à l’étranger. Au contraire.
Pour lui, il s’agit d’un défi. Et s’il y a une chose que Grönemeyer aime,
c’est bien ça, les défis. « J’adore les challenges, dit-il. Et ça, c’en était
un ! C’était un de ces moments où je me suis dit : ‘’ OK, lançons-nous !
Essayons quelque chose de nouveau !’ ’ C’est ce qui me rend heureux,
c’est ce qui me comble. C’est ce que je fais. »