Filles de Marie-de-l`Assomption (f.m.a.)

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Filles de Marie-de-l`Assomption (f.m.a.)
FILLES DE MARIE DE L'ASSOMPTION
(f.m.a.)
Mgr L.-J.A. Melanson
fondateur
S. Jeannette Leclerc,
Supérieure générale
Supérieure générale : S. Jeannette Leclerc
Maison Marie-Reine, 502, rue Vanier
C.P. 37, Campbellton, NB E3N 3GI
Tél. : (506) 753-2508 (bureau)
Tél. : (506) 753-6054 (résidence)
Téléc. : (506) 753-7602
Courriel : [email protected]
Maison-mère : 2, rue Arran
Campbellton, NB E3N 1K4
Tél. : (506) 753-5046
Téléc. : (506) 753-6367
Edmundston
25-22e rue,
Saint-Quentin:
Edmundston, NB E3V 2N8
11, rue Roussel,
Tél. : (506) 735-3110; (506) 735-8229
St-Quentin, NB E8A 1Z7
Téléc. : (506) 735-3716
Tél.: (506) 235-2284
Oeuvres : Pastorale paroissiale et diocésaine
Téléc. : (506) 235-3444
Parrainage Tiers-Monde, éducation de la foi
Courriel: [email protected]
catéchèse et service aux personnes âgées
Oeuvre : Centre Foi et Intériorité
Parrainage Tiers-Monde : (506) 739-8490; téléc: (506) 735Nombre de religieuses : 1
3716
Animatrice : S. Viola Côté
Courriel: [email protected]
Nombre de religieuses : 14
Animatrice : S. Jacqueline Poirier
Saint-Jean-Baptiste:
9873, Route 17
St-Jean-Baptiste, NB E8B 1Y7
Tél. : (506) 284-2137
Téléc. : (506) 284-2562
Oeuvres : Pastorale et catéchèse en zone et au diocèse
Sessions Mess'AJE
Nombre de religieuses : 2
Animatrice : S. Viola Côté
Courriel: [email protected]
Animatrice diocésaine de Mess'AJE : S. Paulette Turcotte (506) 284-2137
Présenter l'oeuvre des Filles-de-Marie-de-l'Assomption dans le Cahier du 50e du diocèse et le faire en une page, c'est
demander presque l'impossible car les Filles-de-Marie-de-l'Assomption oeuvrent au diocèse d'Edmundston depuis 1924.
C'est dire que depuis leurs débuts, elles sont sur ce territoire, qui, au départ, appartenait au diocèse de Chatham,
puis de Bathurst.
En 1924, Mgr Arthur Melanson est heureux d'envoyer ses premières missionnaires à Saint-Quentin parce qu'il en est le
prêtre-colonisateur. À la demande du curé, Père Eudore Martin, trois religieuses arrivent à Saint-Quentin pour
enseigner dans une école de deux cents enfants. Les soeurs enseignent à l'Académie Saint-Joseph et, par la suite, à la
Polyvalente Alexandre-J.-Savoie. La dernière enseignante quitte Saint-Quentin pour être missionnaire au Honduras, en
1992. Les religieuses, au nombre de 2, sont toujours dans cette paroisse où elles animent le Centre Foi et Intériorité
depuis 1993.
La deuxième maison ouverte en dehors de Campbellton est celle de Saint-Jacques, en septembre 1925, en réponse à
la demande du Père Maxime Babineau, curé. Elles sont 3 à venir enseigner à l'école du village. Elles demeurent dans
cette paroisse jusqu'en 1971 et continuent d'enseigner à Saint-Jacques tout en demeurant à Edmundston jusqu'en
1987.
À la demande du curé de Kedgwick, Père Jean-Baptiste Thibault, le 7 septembre 1927, quatre religieuses quittent
Campbellton pour Kedgwick. Elles viennent enseigner dans une école de 145 élèves. Elles doivent se retirer de cette
paroisse en 1933.
Quatre religieuses arrivent à Saint-André le 1er septembre 1939. Elles y viennent à la demande du Père Félix Verret
pour enseigner aux enfants de la paroisse. Elles le font aussi longtemps qu'elles le peuvent. Les dernières années une
soeur de cette maison enseigne à la Polyvalente et une autre travaille au Manoir de Grand-Sault. Une autre assure une
présence au Mont Assomption quelque temps. Le manque de personnel oblige les autorités de la Congrégation à
fermer ce lieu d'apostolat en 1980.
Le Père Numa Pichette, curé-fondateur de la paroisse Notre-Dame-des-Sept-Douleurs, demande des soeurs pour son
école en construction, en 1939. Six religieuses répondent à cet appel et depuis, elles enseignent à l'école Notre-Dame,
Sainte-Marie, Sacré-Coeur, et quelques religieuses se succèdent au Jardin d'Enfants des Richelieu de 1972 à 1989.
Elles servent à l'évêché de 1947 à 1970 et à la Maison de Retraites de 1951 à 1961.
Elles sont responsables de l'Office de catéchèse seule ou en collaboration de 1972 à 1990; responsables de l'Office
missionnaire de 1970 à1986 et responsables du Centre de spiritualité depuis 1990.
D'Edmundston, l'une est directrice de l'école de Saint-Hilaire; une autre travaille en pastorale paroissiale à RivièreVerte et une autre en pastorale au Foyer de Rivière-Verte.
Actuellement une seule religieuse demeure dans l'enseignement, directrice de l'école Saint-Paul, alors qu'à l'éducation
de la foi des adultes, une autre enseigne à l'École de la foi du diocèse. Les autres sont agentes de pastorales à la Villa
Des Jardins et à la paroisse Notre-Dame-des-Sept-Douleurs. Comme leur Fondateur (Mgr Louis-Joseph-Arthur
Melanson) les veut soeurs paroissiales, elles collaborent dans les comités, les partages d'Évangile, la lecture de la
Parole de Dieu, l'homélie parfois, la distribution de la communion à l'église et à domicile.
Elles participent à l'oeuvre d'éducation par le soutien du Parrainage Tiers-Monde permettant à des enfants de plusieurs
pays différents de recevoir une éducation convenable.
C'est en 1949 que la Congrégation accepte d'envoyer des soeurs enseigner au Lac-Baker. Elles doivent quitter le Lac en
1970.
Pendant neuf années, les Filles-de-Marie-de-l'Assomption assurent une présence au Foyer Beth Shalom auprès des
handicapés tandis que trois religieuses demeurent au presbytère de Plaster Rock et y oeuvrent en pastorale paroissiale
de 1972 à 1982.
En 1977, la Congrégation accepte, à la demande de Mgr Fernand Lacroix, de prendre la responsabilité de la paroisse
de Saint-Martin. C'est un premier signe de la rareté de prêtres dans le diocèse. Appartenant à une communauté
enseignante, les soeurs perçoivent les paroisses comme lieux propices à l'éducation de la foi, donc dans la ligne de la
mission. Aujourd'hui encore, deux religieuses exercent leurs talents d'éducatrices dans ce milieu.
Au départ du Père Raymond Melanson, c.j.m. Mgr Gérard Dionne demande des Filles-de-Marie-de-l'Assomption pour
assumer la responsabilité de la paroisse à l'extrémité du diocèse. Là encore, depuis 1987, deux soeurs travaillent avec
les gens de Saint-Jean-Baptiste sûres d'y accomplir l'oeuvre de Dieu.
Plus récemment, en 1992, une autre demande de Mgr Gérard Dionne, pour la paroisse Notre-Dame-de-Lourdes, est
adressée à la supérieure générale des Filles-de-Marie-de-l'Assomption. Encore une fois, essayant d'être attentives aux
signes de l'Esprit, deux soeurs assument la responsabilité de cette paroisse.
Toutes ces soeurs agentes de pastorale agissent en communion avec l'évêque qui les mandate et avec le prêtre
nommé pour assurer les sacrements.
Voilà la contribution des Filles-de-Marie-de-l'Assomption à l'Église d'Edmundston. Aussi s'unissent-elles à tous les
diocésains pour rendre grâce de la vitalité de l'Église, ici, en cette année de son 50e comme Église diocésaine.
Référence: Livre-souvenir à l'occasion du 50e anniversaire de la fondation du diocèse d'Edmundston
publié par la Revue de la Société Historique du Madawaska (vol. XXIII, numéros 1, 2, 3 et 4), 1995.
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