Présentation Résumé Mon avis Azéline Serre

Transcription

Présentation Résumé Mon avis Azéline Serre
RECITS DE LA GRANDE GUERRE
A L’OUEST RIEN DE NOUVEAU
Présentation
« A l’ouest rien de nouveau », a été écrit par Erich Marie REMARQUE
(né à Osnabrück en 1898 et mort en 1970 à Locarno). Il a été
publié en 1929 et a connu un énorme succès.
Le narrateur (intérieur) est Paul Baumer, il s’adresse aux lecteurs.
Il raconte cette histoire au front, pendant la Première Guerre
Mondiale. Son but est de raconter comment s’est réellement passée
la guerre et de dénoncer son atrocité.
Le titre est expliqué à la fin « Il tomba en octobre mil neuf cent dixhuit, par une journée qui fut si tranquille sur tout le front que le
communiqué se borna à signaler qu’à l’ouest il n’y avait rien de
nouveau »
Résumé
Ce livre raconte l’histoire de Paul Baumer, un soldat allemand de vingt ans. Il s’est senti « obligé » de
s’engager lui et ses camarades de classe Kropp, Müller et Leer dans l’armée allemande à cause de leur
professeur Kantoreck. Au front, il a rencontré Tjaden, Westhus et Katczinsky (Kat). Il se fait aussi
martyriser par son supérieur Himmelstoss.
Les différents thèmes sont :
o
L’ignorance des civils : Quand Baumer part en permission, il se rend compte que les civils
ne voient pas la guerre comme une mauvaise chose. A cause des censures instaurées par
l’Etat, ils ne sont pas au courant de ce qui se passe réellement à la guerre et posent des
questions déplacées à Baumer. Ce qui fait qu’il est obligé de mentir à tout le monde et sa
propre famille pour ne pas les inquiéter, il ne peut pas non plus se confier à quelqu’un et
raconter ce qu’il endure au front pour ne choquer personne.
o
La camaraderie : On se rend compte au fil du récit que Baumer est très attaché à ses amis.
Ils s’entraident même s’ils ne se connaissent pas beaucoup, ils rigolent ensemble et quand
l’un d’eux meurt ils sont aussi tristes que s'ils perdaient quelqu’un de leur famille ( Page
76 : « Nous sommes comme des frères » ).
Mon avis
J’ai bien aimé ce livre à cause du « côté humain » du récit : Même si Baumer est là pour se battre, il se fait
des amis. Et même s'il devrait détester les ennemis de l’Allemagne, il essaye de sauver un soldat russe et
un soldat français.
Ce livre m’a aussi un peu étonnée parce qu’en voyant les soldats de l’armée allemande comme des
ennemis, on ne s’imagine pas forcément qu’ils pourraient ressentir quelque chose comme ce qui est
expliqué dans le récit. Cela est dû au fait que, quand on est petits, il n'y a que des méchants et des gentils,
et même en grandissant on garde souvent la même opinion, jusqu'à ce qu'on nous explique ce qui s'est
vraiment passé, ce qui a été mon cas. Ce livre m'a permis de me rendre compte que les Allemands ont
aussi mal vécu la guerre que les Français. Cela fait évoluer la façon de voir les choses.
Azéline Serre