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SNUipp Maison des Syndicats 77 rue A. Croizat 73000 CHAMBERY
Tél. : 04-79-68-91-65 Fax : 04-79-68-93-47
Courriel : [email protected] Site web : h!p://73.snuipp.fr
« Gérer les enseignants autrement » ?
T
el est l’intitulé du rapport de la Cour des comptes rendu public
mercredi 22 mai. Dans ce texte obéissant logiquement à un
point de vue comptable de la part d’une telle institution de
la République, un certain nombre de constats
feront échos à ce que vivent les enseignants :
Sarah Hamoudifaible rémunération des PE, inspection injuste
Wilkowsky
et inefficace, affectations conduisant les enseignants débutants vers les zones les plus difficiles, gestion calamiteuse des mutations.
Pour autant, la Cour en tire des conclusions et des préconisations qui sont inacceptables : affecter les enseignants sur
avis des directeurs, augmenter la différenciation des régimes
indemnitaires entre les enseignants, donner aux seuls directeurs la responsabilité de moduler le temps de service des
Déposé le 04/06/2013
enseignants en fonction du poste occupé, annualiser le temps
de travail. Ce rapport reprend les visées les plus libérales des
précédents gouvernements. Un exercice d’argumentation qui
ne se prive de quelques contrevérités…
Dans la droite ligne du gouvernement précédent qui
justifiait les 80 000 suppressions de postes par un « faire
mieux avec moins », la Cour des comptes estime également
que « le ministère de l’Éducation nationale ne souffre pas d’un
manque de moyens budgétaires ou d’un nombre trop faible
d’enseignants, mais d’une utilisation défaillante des moyens
existants ».
En filigrane de ce rapport revient sans cesse sur l’idée
que notre système scolaire croule sous un trop grand nombre d’enseignants par rapport
à celui des élèves. La démonstration s’arrête, comme c’est bizarre, en 2012. Il faut dire
que, selon les évaluations officielles du ministère, quelque 70 000 élèves supplémentaires
(10 % d’une génération) sont attendus à la rentrée 2013 et plus de 41 000 en 2014 ! Mais
ça, la Cour des comptes n’en pipe mot. Tout comme elle « oublie » de citer que la France
possède actuellement l’un des taux d’encadrement les plus mauvais de l’OCDE : seulement
5 enseignants pour 100 élèves en primaire.
Au final, le rapport entretient l’illusion, comme Luc Chatel pendant des années,
qu’une meilleure réussite scolaire n’est qu’affaire de bon management. Et que, finalement, les difficultés des élèves n’ont pas grand-chose à voir avec les moyens donnés aux
dispositifs pédagogiques, la formation des profs ou encore les effectifs par classe. Un postulat qui va à l’encontre des études menées sur le sujet. Pour la FSU, Ce document relève
plus, dans sa démarche et dans ses conclusions, d’une expression d’un club politique que
d’une institution française de République.
1
Juin 2013 - Prix 1,50 € - Trimestriel - n°82
aCTEURS
AC T E U R S
SNUipp-FSU
SAVOIE
En parlant de ges"on des enseignants... La mobilité des enseignants des écoles
est très difficile ce!e année, du fait de la « neutralisa"on » de nombreux postes, qui ont
fortement réduit les possibilités de muta"on intra-départementales. Résultats du mouvement principal après la CAPD du 30 mai en pages intérieures.
EDITO (SUITE)
SOMMAIRE
Page 1 Edito
Au contraire, le SNUipp-FSU revendique l’améliora- Page 2 et 3 CAPD du 30 mai
tion des conditions d’exercice du métier, une gestion respec- Page 4 Ensemble pour les droits - Clause de
tueuse des personnels, des droits et milite pour des enseignants conscience
reconnus et revalorisés.Nous demandons également que le Page 5 Retraite et retraités
paritarisme retrouve tout son sens et sa place dans le fonc- Page 6 Nécrologie
tionnement de notre ministère, des rectorats et des directions Page 7 à 10 Mouvement alphabé•que
départementales. En effet, nous, SNUipp-FSU, avons le souci
Page 10 à 11 Mouvement géographique
constant de porter les préoccupations des personnels : c’est un
Page 12 à 14 Circulaire de rentrée 2013
axe important de notre activité syndicale que de rassembler et
Page 14 Rythmes scolaires
débattre ensemble afin de construire un grand mouvement de
masse pour la transformation du système éducatif. Il en va de Page 15 Condi•ons de travail
Page 16 CHS-CT : les registres obligatoires
la réussite de tous les élèves.
l’avancée de nos revendications pour une école de la
réussite pour tous les élèves.
Ce sera l’objet de nos travaux lors du 9ème congrès national du SNUipp-FSU qui se tiendra à St Malo du 11 au 14
juin prochain, et qui déterminera les orientations de notre syndicat majoritaire pour les 3 ans à venir.
CAPD DU 30
L
2
MAI
2013
a CAPD d’aujourd’hui est, comme chaque année, une CAPD très attendue des enseignants,
puisque le mouvement est un moment important dans la vie de nos collègues.
L’an passé, nous vous disions que revoir les règles
des opérations de mutation des personnels était essentiel. Le travail mené cette année a permis des avancées,
notamment un net rééquilibrage du barème, la nette
diminution des vœux de zone géographique et la mise en
place d’une « fiche-navette » permettant aux enseignants
en phase d’ajustement de réajuster leurs vœux. Le SNUipp
regrette toutefois que l’administration ne soit pas allée au
bout de la logique, et n’organise pas une vraie deuxième
saisie de vœux.
Nous souhaitons par ailleurs connaître les modalités
de mise en œuvre de la « fiche-navette » pour la suite des
opérations.
De manière générale, nous regrettons que la circulaire mobilité 2012 n’ait été qu’une pâle copie de celle de
2008, qui a plutôt instauré une « immobilité ». Les chiffres
sont stables : il y a 713 participants au mouvement. 398
n’obtiennent pas satisfaction, soit 56 % des enseignants. 174
sont maintenus sur leur poste, et 224 attendront la phase
d’ajustement, dont 5 qui n’ont pas retrouvé de poste suite
à une mesure de carte scolaire.
A nouveau, nous tenons à souligner que l’affectation de plus de 200 personnes est loin d’être un simple
« ajustement », mais bel et bien une deuxième phase de
mouvement.
A noter que le nombre d’enseignants qui souhaitaient muter et qui doivent rester sur leur poste augmente
régulièrement depuis 2008. La « sédentarisation » des enseignants répond sans doute aux objectifs de l’administration, mais elle ne permet plus aux enseignants qui le sou-
haitent de « bouger ». Ce n’est pas forcément un mieux.
A ce propos, le mouvement gagnerait en lisibilité et
en efficacité s’il était possible, comme cela se faisait auparavant, de déclarer sa participation au mouvement en
amont. Et ce serait un « plus » pour les enseignants qui
ont besoin, pour diverses raisons, de quitter leur école. Cela
représente-t-il vraiment plus de travail pour les services ?
En outre, il s’avère que le mouvement 2013 est
bloqué du fait du nombre important de postes réservés
(44 à ce jour, 55 prévus). Ne nous méprenons pas : l’augmentation du nombre d’enseignants par l’augmentation
du nombre de places au concours est une bonne chose.
Mais les conséquences sur le mouvement des personnels ne
sont pas anodines. Nous n’en voyons pas encore toute la
portée, puisque les blocages vont perdurer lors des phases
de temps partiels et d’ajustement du mouvement. En effet, il y aura aussi des décharges de direction ciblées pour
accueillir les 28 ETP du concours anticipé 2014. Plusieurs
questions se posent : comment l’administration compte-telle procéder lors des phases à venir ? Avez-vous enfin des
chiffres précis à nous communiquer ? Quelles sont les prévisions pour la rentrée 2013 ? Comptez-vous agir, en quelle
mesure, et quand, sur les inéats/exéats ? Quelles consignes
avez-vous donné aux IEN à propos des temps partiels ?
Avez-vous calculé les besoins en « bouts » de postes pour
les 84 étudiants contractuels ou plus, pour composer les
postes des 68 TRS, et fait le lien avec la phase des temps
partiels ?
Le SNUipp-FSU insiste : les temps partiels doivent
être accordés à tous les enseignants qui en font la demande, pour des raisons aussi diverses que légitimes. On
constate toutefois que c’est la difficulté croissante d’exercice du métier qui conduit de plus en plus nos collègues
à demander un temps partiel, malgré les conséquences
Directeur de la publica•on : Jean-Michel ROCHE - Dépôt légal : Juin 2013
ISSN 11 68 9870 - CPPAP 0415 S 07276 - Impression : SNUipp Savoie
AC T E U R S
CAPD DU 30 MAI 2013
pécuniaires évidentes. On ne renonce pas à une partie non
négligeable du salaire sans raisons valables ! De même,
nous vous demandons d’accorder les demandes d’inéatsexéats.
Concernant le mouvement lui-même, nous avons
d’autres remarques et demandes :
• le manque d’attractivité de la vallée de la Tarentaise reste d’actualité. La majorité des postes restés vacants à l’issue du mouvement se trouve dans
cette circonscription.
• Il reste plusieurs postes de psychologues scolaires
et de maîtres E vacants. Nous vous demandons de
procéder à un appel à candidatures pour pourvoir
ces postes.
• De même, il reste des postes de PEMF vacants.
Pour ces postes également, nous vous demandons de procéder à un appel à candidatures. Cela
d’autant plus que le nombre de PES et étudiants à
suivre l’an prochain sera élevé.
• Nous dénonçons à nouveau le profilage des
postes, et leur fonctionnement opaque. A ce propos,
quand il s’agit de postes spécialisés, le diplôme doit
prévaloir sur l’avis de la commission, et non l’inverse.
• La diffusion des projets d’affectation dans i-prof
avant la CAPD nous dérange toujours. Il n’est pas
normal, et inutile, que les projets soient diffusés
avant la CAPD, alors que le travail des commissaires paritaires n’est pas achevé.
• Le traitement des situations médico-sociales a
encore une fois été mené avec fort peu de sérieux
cette année. Malgré la présence du médecin et de
l'assistante sociale lors du groupe de travail, on
peut s’interroger sur certaines des décisions prise
par l'administration. Ce dispositif a été mis en place
par l’administration afin d'améliorer les conditions
de vie des enseignants, administration qui leur met
AC T E U R S
ensuite des bâtons dans les roues ! Certains de nos
collègues se retrouvent ou risquent de se retrouver
en difficulté. Plusieurs ont dû se résoudre à faire un
recours gracieux auprès de vous, Monsieur le Directeur Académique, recours que vous avez systématiquement rejeté. Quel est le but de tout cela ?!
• Enfin, il reste le problème des postes de TRZIL /
TRB. Vous avez arbitrairement décidé de transformer les postes de ZIL se libérant pendant le
mouvement en poste de TRB, sans consulter les
représentants des personnels en CTsD. Le SNUippFSU s’inscrit en contre cette décision. Peut-on en
connaître aujourd’hui les conséquences ? Qu’entendiez-vous par « tout poste se libérant pendant le
mouvement » ? Un enseignant qui obtient un poste
de ZIL par le jeu du mouvement est-il au bout du
compte nommé ZIl ou TRB ?
La CAPD d’aujourd’hui va également étudier le
tableau d’accès à la Hors-Classe. Le contingent attribué
à la Savoie est de 30. Si ce chiffre est très légèrement plus
élevé que les années précédentes, il ne tient pas compte
des résultats des négociations sur les mesures catégorielles,
qui vont s’ouvrir après le 15 Juin. Pour information, tous les
ans, seuls 5 000 enseignants du primaire soit 2% accèdent
à la hors-classe contre 7% dans le second degré. Résultat,
23% des PE sont à la hors classe contre 70 % des certifiés.
Vingt ans après la création du corps des PE, 60% des PE
partent en retraite sans atteindre le 11e échelon de la classe
normale. Il faut que cela change. Le SNUipp- FSU revendique l’accès de tous les enseignants à l’indice terminal de
la hors classe (indice 783 - 2 990 euros nets) au rythme
d’avancement le plus rapide.
Enfin, le SNUipp a été informé que le principe de
reconduction des 12 000 contrats EVS (missions aide à la
scolarisation des élèves handicapés et aide à la direction
d’école), qui arrivaient à échéance en cette fin d’année
scolaire, est acté par Matignon. D’ores et déjà, la consigne
de reconduction de ces
contrats vient d’être
transmise aux recteurs
et aux directeurs académiques. Que pouveznous dire à ce propos ?
Quelle en sera la concrétisation en Savoie ?
D’une
manière
générale, le SNUipp FSU
attend avec impatience
l’ouverture du chantier
sur la professionnalisation des missions d’aide à
la scolarisation des élèves
handicapés et demande
l’ouverture des négociations sur la direction
d’école et le fonctionnement de l’école.
3
SOCIÉTÉ
Ensemble pour gagner des droits !
L
4
e SNUipp-FSU, avec la FSU, soutient l'action
contre l'ANI et contre une loi qui facilite la
flexibilité et les licenciements.
Plusieurs actions unitaires ont eu lieu depuis le mois
de mars, à l'initiative de la CGT et FO, avec les soutien
de la FSU et Solidaires. La FSU a exprimé son désaccord
avec l’accord national interprofessionnel lors de ces journée d’action. Elle s’est également adressée au Ministre du
travail ainsi qu’aux groupes parlementaires pour leur demander de ne pas retranscrire cet accord dans la loi.
La négociation entre les syndicats et les organisations patronales visant « à une meilleure sécurisation de
l'emploi » ou réforme du marche du travail était présentée comme visant une plus grande flexibilité pour les
employeurs, en échange de nouveaux droits protecteurs
pour les salariés. Dans les faits, le MEDEF a tout au long
de la négociation continué à peser pour pouvoir licencier
sans motif, tout en exigeant toujours plus des salariés. A
un moment où les salarié(e)s ont besoin de garanties, cet
accord, par la remise en cause du Code du Travail, entérine un recul des droits.
Dans une situation économique en quasi récession,
avec un chômage record et une augmentation du chômage très forte dans les premiers mois de l'année 2013,
l’insatisfaction liée à cet accord traduit le fait que l'intransigeance patronale est totalement inadaptée pour répondre à la crise économique et sociale.
La flexibilité et la souplesse réclamées par le MEDEF
existent malheureusement déjà et sont largement mises
en application, avec un résultat sur le taux de chômage
que l'on connait. L'intérim est largement utilisé comme
période d'essai, variable d'ajustement des effectifs, et les
ruptures conventionnelles ont explosé.
L'accord conclu est révoltant. Le droit du travail
dans de nombreux aspects protecteurs était tout simplement en jeu.
Avec plusieurs millions de chômeurs dans le pays,
il faut au contraire encore plus de protection contre les
licenciements « sans cause réelle ou sérieuse » ou/et « abusifs ». Le gouvernement doit tout mettre en œuvre pour
permettre la relance économique, résorber le chômage,
améliorer la situation des salariés et contribuer à résorber l’emploi précaire particulièrement dans la Fonction
publique.
Il est désormais nécessaire de travailler à la construction de propositions convergentes, unitaires, répondant à
la situation du travail dramatique que nous vivons ; nécessaire de travailler à une construction interprofessionnelle
car les salariés du privé et du public doivent s’unir pour
gagner ensemble leurs droits : nécessaire de ne pas se résigner non plus à la division syndicale. Dans un contexte difficile pour les salariés et les chômeurs, alors que se profilent
de nouveaux risques de régressions sociales (comme par
exemple sur les retraites), Le SNUipp et la FSU appellent
au rassemblement afin de peser sur les choix d’avenir, et
sont prêts à apporter leur contribution.
Clause de conscience
Le « débat » qui a animé la société ces derniers temps portait sur le droit au mariage pour tous. Peut-on encore
parler de débat quand on a assisté aux débordements verbaux et aux actes délictueux perpétrés par les défenseurs de
la bienséance ?
Ces manifesta•ons auront au moins permis à diverses fac•ons de se retrouver sans hypocrisie aucune : le FN
aux côtés de l’UMP, aux côtés des intégristes religieux les plus flippants... Ces derniers, poussés par un Dieu courroucé,
répètent à l’envi que le mariage c’est un monsieur et une dame, c’est marqué dans le code ! Oui mais, le code civil a été
écrit en un temps ou l’église avait son mot à dire. D’ailleurs, la sodomie et l’homosexualité étaient à l’origine illégaux.
Ce code à donc évolué depuis 1905 (où les églises ont été priées de se mêler de leurs oignons) et désormais l’homosexualité n’est plus un crime.
Et le mariage civil étant un simple contrat, pourquoi ce contrat ne pourrait-il être passé entre deux personnes de
même sexe ? Au fronton des mairies où se présenteront ces couples d’amoureux, figurent toujours les délicieux mots :
« liberté » et surtout « égalité »...
Les plus mesurés (rares) n’osant tout de même pas casser de l’homo en direct (il ne sont pas homophobes, leur
meilleur ami est péd... gay, alors !), ils ont trouvé un autre biais : la loi va perme•re à ces gens-là d’adopter des enfants !
Et là, on aura tout entendu, de l’union incesteuse ou polygame au terme de génocide, lancé par un élu de la Na•on.
Justement, les élus, parlons-en. Quelques maires ont décidé de faire jouer une clause de conscience et de refuser de marier les homosexuels dans leur mairie.
Nous sommes donc en présence d’élus du peuple, représentants de l’État, officiers d’état civil et de police judiciaire qui, en conscience, refusent d’appliquer pour eux-mêmes la loi dudit État ! « Je palpe les indemnités, je coupe
deux ou trois rubans, je pose pour le journal mais je ne fais que ce que ma conscience me dicte ! »
Le maire étant tout de même un homme comme un autre, leurs administrés peuvent donc écouter leur
conscience et ne pas payer des taxes d’habita•on qu’ils trouvent mal employée ? Ne plus me•re de sous dans le parcmètre parce que leur conscience leur dicte de sta•onner autant qu’ils le veulent ?
Comment ces élus peuvent-ils encore être crédibles ? S’ils étaient moins gonflés, ou plus honnêtes, la première
chose que leur conscience leur aurait dictée, c’est la démission.
Espérons qu’en 2014, les électeurs de ces communes écouteront leur conscience avant de me•re un bulle•n
dans l’urne et éconduiront sans ménagement ces tartufes !
AC T E U R S
LES RETRAITES ET LES RETRAITÉS
I
l faut rétablir la retraite à 60 ans ! Ce serait
juste pour ceux qui ont commencé à travailler
jeunes, 16 ou 18 ans et qui pour la plupart ont eu
des métiers pénibles. Beaucoup sont usés et vivent difficilement leur fin de carrière quand ils ne sont pas licenciés
et au chômage.
Ce sera de plus en plus une nécessité car la situation
de l’emploi ne peut pas s’améliorer tant qu’une politique
monétaire restrictive qui limite le social fait exploser le chômage. En effet pour maintenir un euro fort qui fait le bonheur des seuls rentiers, la demande intérieure est contenue,
voire est en récession. Ainsi dans le champ clos économique
européen la productivité du travail continue à augmenter
au rythme de 1,5 % par an, la demande stagne voire régresse et la récession atteint 2 à 3% par an. Pour fabriquer
2% de marchandise en moins avec une productivité en
hausse de 1,5 % il faut 3,5 % de chômeurs en plus chaque
année et on le vérifie avec la courbe du chômage pour
l’ensemble de l’Europe. Les situations nationales sont en
outre différentes : dans un pays comme l’Allemagne qui se
dépeuple la nécessité de créer des emplois est moins impérieuse que dans la France qui met chaque année 800000
jeunes sur le marché du travail pour retirer 500000
retraités. L’Europe est alors le théâtre d’une guerre économique et le chômage frappe les économies les moins
productivistes, celles qui accentuent le moins la crise en
fait. Le gouvernement parle donc de réduire le chômage
mais il reste imbriqué dans une politique européenne qui
ne peut que l’accentuer et de prévisions optimistes à des
constats catastrophiques la même logique s’impose. On ne
peut compter sur une embellie de l’emploi des plus de 50
ans qui sont en cessation d’activité à 61% tant que cette
politique nous est imposée avec l'assentiment de Hollande
. Pour reculer l’âge de départ en retraite il faudrait donc
commencer par changer de politique et favoriser l’emploi.
La « réforme » de 1986 a aggravé la situation des retraités.
En 1986 les retraites ont été désindexées par rapport au salaire moyen des ouvriers pour être indexées sur
l’indice INSEE des prix. Les économistes estiment à 20 % la
perte de pouvoir d'achat pour l'année 2010. C’est un recul
important sur le plan quantitatif mais aussi qualitatif. La
retraite n’est plus une continuation du salaire par un droit
acquis par le citoyen travailleur mais une indemnité, une
« charge » pour le budget comme disent certains que l'on
accorde à des « assistés » pour survivre.
Les réformes de 1993 à 2010 ont accentué
cette tendance.
Le « salaire de référence » qui sert de base pour le
calcul du montant de la retraite est resté sur les 6 derniers
mois pour les fonctionnaires. Dans le privé, le calcul était
différent car les carrières ne sont pas toujours ascendantes.
Ce calcul du « salaire de référence » qui était basé sur les
10 meilleures années est devenu les 25 meilleures années.
C'est une baisse conséquente et, bien sur, le gouvernement
en profite pour accréditer une situation de privilège pour
les fonctionnaires et une remise en question des 6 derniers
AC T E U R S
mois.
Le nombre d'annuités pour faire valoir une retraite
complète, à 75% était de 37,5 auquel venaient s'ajouter
certains avantages familiaux à concurrence d'une retraite
à 80%. les réformes les feraient passer à 42 annuités et le
MEDEF parle de 44. C'est très grave. La situation a changé. Les jeunes ne peuvent postuler à un poste qui ouvre
des droits à la retraite qu'après une solide formation et des
stages qui durent bien souvent jusqu'à 25 ans voire plus. Si
en plus ils restent menacés de chômage à partir de 50 ans
vous voyez ce que cela donne comme annuités. Ainsi pour
une carrière de 35 ans ils auraient droit à 35X75/42= 62,5
% du « salaire de référence » auquel il faudrait soustraire
une « décote » de 25% de 62,5%. Cela fait une retraite de
46,5% du « salaire de référence ». Si le « salaire de référence » atteint le salaire médian de 1600 euros, cela fait
une retraite de moins de 800 euros !
Que signifie défendre le système par répartition si
on accepte d'augmenter le nombre d'annuités et maintient la décote ? Un retraité avec 46,5% de son salaire de
référence ne peut pas vivre, se soigner...
D'autes choix sont possibles. Depuis 1981 la part
de la masse salariale a diminuée dans le PIB de plus de
10%. Les salaires directs ont perdu mais les sommes attribuées aux retraites et à la protection sociale ont encore
plus diminué notamment en faisant passer sur la fiscalité
une part importante de ces financements. La « marge »
des entreprises s'est accentuée. A l'heure actuelle elle sert
à la recherche et au développement (qui est de plus en
plus financé par subventions), aux investissements et aux
dividendes. C'est cette dernière part qui a explosé. Nos
« capitaines d'industrie » ont fait passé cette part de 3%
de la valeur ajoutée des entreprises en 1981, à 5,7 % en 1999
et à 9 % en 2010 malgré la crise. Ils sacrifient au profit immédiat l'avenir de notre économie et nous devrions rester
sans rien faire ! Pourquoi ne pas imposer une « cotisation
investissement » gerée par le collectif de travail de l'entreprise et se passer de la « propriété lucrative ».
Il en est de même pour la protecton sociale.
La « Sécurité Sociale » a fait la preuve de son efficacité
grace à son caractère obligatoire et universel que la commision européenne remet périodiquement en cause. Ainsi
la solidarité peut être organisée entre tous les patients. Les
malades et les bien portants cotisent tous et la répartition peut se faire. Le principe « à chacun selon ses besoins,
de chacun selon ses moyens » donne un financement solidaire. Chacun peut passer d'une périodede bonne santé à
une période plus difficile sans craindre d'être jeté dehors.
Quand on sait en plus que les frais de gestion de la Sécurité
Sociale se montent à environ 5 à 7% du montant des prestations, on est très loin de ceux des assurances privées dont
les frais excèdent le plus souvent les 50%. Il est donc mauvais de s'attaquer à la couverture de la Sécurité Sociale
par la multiplication des « restes à charges » et d'augmenter la part des complémentaires de santé qui fonctionnent
d'une façon différente. Les complémentaires de santé sont
restées dans le domaine de la concurrence. Cette concur-
5
LES RETRAITES ET LES RETRAITÉS
rence entraine la course aux clients qui coûte le moins. Les
jeunes auquels on fait des tarifs préférentiels au dépens
des plus âgés censés plus exposés aux maladies. Cette
concurrence était encore modérée mais, Claude Evin, sur
injonction d'une directive de la commission européenne a
instauré la concurrence avec les complémentaires privées
et leur logique de sélection du client enouvrant ce marché
jusque là reservé aux mutuelles à toutes les complémentaires de santé. C'est un danger pour l'esprit de soldarité
que les mutuelles cherchaient à préserver mais aussi pour
la Sécurité Sociale puisque les complémentaires de santé
privée souhaitent etendre leur domaine par le « reste à
charge » et réduire le champ de la Sécurité Sociale ainsi.
L'ANI en donnant la possibilité de mutuelle pour les salariés de l'entreprise rentre dans cette logique. Le patronat
favorisera les complémentaires privées pour une clientèle
« employable » donc en général en bonne santé. Elle offre
le tri des salariés pour des complémentaires qui pourront
faire des prix mais elle rejette de fait les retraités ou chômeurs permet de capter les actifs avec des tarifs et laisse de
coté les clientèles qui coûtent, retraités, chômeurs... Ceuxci devront recourir à des complémpentaires dont les tarifs
seront aggravés. En fait ceux qui ont le plus besoin de la
solidarité devront en plus grand nombre renoncer à une
complémentaire et les abandons de soins se renforceront
Pour l'autonomie. Le premier problème est celui
du niveau de pension. Il est sur qu'avec ce que les goiuvernements successifs nous ont préparé le retraité se trouve
à charge de ses enfants. Un autre problème est celui des
soins à domicile et des maisons de retraites. Il est nécessaire de trouver un financement solidaire qui englobe tous
les revenus et d'utiliser ce financement le plus rationnellement possible. Des maisons de retraites avec des prestations ordinaires, légèrement améliorée à 220 euros la
journée. Cela ne doit pas exister. L'autonomie relève de
la solidarité entre les générations et le Service Public à
construire doit échapper aux chasseurs de « l'or gris ». Il est
donc nécessaire de confier ce secteur à un Service public
qui doit être préservé des lois du marché et les gouvernements doivent le bâtir selon les principes qui ont fait leur
preuve avec la Sécurité Sociale. Chasseurs « d'or gris » bas
les pattes !
Nécrologie...
6
Marie-Thérèse Combet nous a
qui•és, à 68 ans … Elle avait exercé dans
de pe•tes écoles de la Combe de Savoie,
puis à St Jean de Maurienne, à l’école
Aris•de Briand.
Collègues, anciens élèves, amis…
nous sommes nombreux à rendre hommage à ce•e femme de droiture et de
courage, militante engagée avec clarté et
détermina•on dans sa vie d’enseignante,
de syndicaliste, de citoyenne.
Dans sa carrière professionnelle,
dans sa présence, ensuite, aux conseils
d’école de Ste Marie de Cuines puis de
St Colomban des Villards, dans l’exercice
de sa fonc•on d’élue municipale à Ste
Marie, jusqu’à l’extrême limite de ses
forces, Marie-Thé a fait preuve du même
a•achement au service public, à la laïcité,
du même respect de chacun, de la même
force calme, souriante, mais combien
précieuse. C’est peu dire qu’elle va manquer…
Que Maurice, son époux, notre
collègue et ami, que ses filles et ses pe•ts-enfants veuillent bien trouver ici l’expression de notre sympathie et de notre
tristesse.
AC T E U R S
MOUVEMENT ALPHABÉTIQUE 2013
Petit lexique du mouvement
Vous trouverez ci-dessous les proposi•ons d’affecta•on étudiées lors de la CAPD du 30 mai. Elles sont à
•tre défini•f, sauf précision TP. La phase d’ajustement
aura lieu le 25 juin.
• (P) : priorité sur le poste
• ADJ SEGPA : adjoint SEGPA
• ADJ SPE : adjoint spécialisé
• Ajust : Phase d’ajustement de juin
• AM : adjoint élémentaire
• AM CLIS : adjoint CLIS
• AM IMF : adjoint d’applic. élémentaire
• AM IT : Poste fléché Italien
• AM MAT : adjoint maternelle en primaire
• AMAT : adjoint maternelle
• AMAT IMF : adjoint d’applic. maternelle
• CHAR MIS : chargé de mission
• CPC : Conseiller péda. EPS
• DEM : direc•on élémentaire
ABOUR SAMI ST BERON JEAN
FERRAT AM 23,167
ACQUAVIVA CAROLE
CHAMBERY PASTEUR-BANQUE
AM (P) 9,983
AILLAUD GERALD LA BIOLLE
AM 17,369
ALGIVE DAVID LA ROCHETTE
IMPRO ADJ SPE TP 8,333
ALLAIRAT NICOLAS ALBERTVILLE
IEN ALBERTVILLE TRB 6,925
ALLARD BLANDINE ST JEAN
DE MNE A. BRIAND TRS ELEM
45,333
ALLIBERT COLINE Ajust 4,508
ALLIOT LUGAZ JOCELYNE SC
25,850
ANDRE BARBARA Ajust 9,333
ANDUGAR SANDRINE VIMINES
A MAT 18,333
ANGELIN DIDIER Ajust
11,333
ANSELME MICHEL CHAMBERY
IEN CHY1 TRB 12,333
ANSELME ADELINE NOVALAISE
TRS ELEM 13,319
ANSELME MARTIN CAROLINE
ALBERTVILLE COMBE DE SAVOIE
ADJ SEGPA TP (P) 11,333
ANXIONNAZ PIERRE MOUTIERS
IEN MOUTIERS CPC 38,133
ARDISSON SANDRINE SC
20,969
ARNAUD BERTRAND MOUTIERS
IEN MOUTIERS TRB 4,333
ARTAUX DELOCHE ALEXANDRA
Ajust 6,333
ASCHETTINO ALEXANDRA Ajust
5,564
ASIN PUEYO PATRICIA SC
33,242
ASTIGARRAGA ADELINE MACOT
LA PLAGNE ALBERT PERRIERE
AM 31,331
ATALAPHE KARINE SC 22,692
AUTISSIER CELINE Ajust
4,333
AVOGADRO ANTONY LA
ROCHETTE IMPRO ADJ SPE TP
4,781
AZAM ANDREA SC 15,333
BACHER DENIS CHAMBERY LE
BIOLLAY AM 29,258
BADETS VERONIQUE BOURG ST
MAURICE LE CENTRE AM CLIS
29,183
BADIN CECILE Ajust 4,333
BAFFERT CECILE LA MOTTE
AC T E U R S
SERVOLEX L. PERGAUD AM
20,408
BAIWIR ANNE SC 17,000
BALLAZ JEAN MARC CHAMBERY
IEN CHY3 CHAR MIS (P) 30,264
BALLINI JACKY MOUTIERS IEN
MOUTIERS TRB 6,333
BALMAT CARINE Ajust 4,461
BALSSA EMILIE ALBERTVILLE IEN
ALBERTVILLE TRB 11,694
BALZAC ELISE ST MARTIN DE
BELLEVILLE VAL THORENS AM
8,581
BARBOT MATHIEU ALBERTVILLE
IEN ALBERTVILLE TRB 7,333
BARDON DELPHINE Ajust
7,333
BARTHE GERALDINE Ajust
8,333
BARTHELEMY CORINNE SC
17,822
BASTRENTA DELPHINE Ajust
6,292
BATON HERVE Ajust 5,333
BATTARD VALERIE BOURGET EN
HUILE AM 10,961
BAU SYLVIE AIX LES BAINS
CHOUDY DEM 30,878
BAUBRY BEATRICE SC 19,892
BAUDART CONSTANTIN
SANDRA GILLY SUR ISERE AM
CLIS TP 9,333
BECHEROT LUCILLE Ajust
0,333
BECK BARBARA ALBERTVILLE
IEN ALBERTVILLE TRB 18,333
BELDICOT AURELIE Ajust
4,333
BELKHIR IAN SC 15,333
BENEDUCI ISABELLE
MONTHION CAPITAINE A
DEGLISE-FAVRE AM 13,500
BENISTANT SOPHIE
MONTMELIAN IEN
MONTMELIAN TRB 18,967
BENOIT VERONIQUE SC
26,406
BERALDIN JOCELYNE SC
22,167
BERARD ISABELLE BELMONT
TRAMONET LE COUP DE
CRAYON AM 19,750
BERARD BERGERY ALEXANDRA
SC 18,794
BERENGER LUDOVIC
ALBERTVILLE LE MIRANTIN ADJ
SEGPA TP (P) 12,333
BERNE MELINA Ajust 1,333
• DEMAT : direc•on maternelle
• EDUC : éducateur EREA
• IMF IEN : conseiller péda. généraliste
• IMM LV : poste immersion anglais
• M : classe unique
• MAT : classe unique maternelle
• PRAS E : Poste E d’adapta•on de réseau
• PRAS G : rééducateur op•on G
• PSY : psychologue scolaire de réseau
• SC : sans changement
• TP : à •tre provisoire
• TRB : Titulaire remplaçant
• TRS : Titulaire de secteur
• ZIL M : TR ZIL
705 enseignants ont par•cipé au mouvement 2013
172 restent sur leur poste, 212 devront a"endre la phase
d’ajustement, 321 collègues ob•ennent «sa•sfac•on».
On peut noter que la propor•on de non sa•sfaits augmente régulièrement depuis 4 ans.
BERNERD STEPHANIE Ajust
3,333
BERTAULD CHRISTEL SC
19,486
BERTHET SANDRA CHAMBERY
VERT BOIS DEMAT 5,969
BERTHIER MARLENE CHAMOUX
SUR GELON AM 12,833
BERTHOLLET AURELIE GAELLE
ST JEAN DE MNE IEN ST JEAN
TRB 2,000
BERTON LINE LA LECHERE
DOUCY DEM (P) 5,333
BESSOLAZ ISABELLE Ajust
5,250
BETRANCOURT CHARLOTTE
SEEZ CHEF-LIEU AM 6,333
BIESUZ LAETITIA SC 11,153
BISILLIAT DONNET VALERIE SC
15,958
BISILLIAT DONNET CAROLE
BONVILLARD DEM 1,333
BLANC CHRISTEL SC 29,217
BLANC GUYLAINE Ajust
0,333
BLANC ANGELIQUE Ajust
5,097
BLANC CYRILLA SC 23,850
BLANC TAILLEUR FABIENNE
MOUTIERS JEAN ROSTAND ADJ
SEGPA TP 9,819
BLANCHON CHRISTINE ST
BERON JEAN FERRAT AM
12,075
BOCHET CELINE Ajust 6,333
BOIRARD FRANCIS ALBERTVILLE
LE MIRANTIN ADJ SPE TP (P)
30,144
BOISSIERE SANDRINE SC
10,128
BOISSY BRUGEVIN ISABELLE
BOURG ST MAURICE PETITE
PLANETE DEM 17,333
BONI EMILIE Ajust 5,333
BONNABAUD FRANCETTE
MONTMELIAN J. MOULIN AM
CLIS TP 24,500
BONNEFOY MAGALI AIX LES
BAINS F. ROOSEVELT AM CLIS TP
(P) 4,333
BONNEL ALINE CHAMBERY IEN
CHY1 TRB 10,631
BONNIN GEORGES
MONTMELIAN IEN
MONTMELIAN TRB 17,333
BONORA MATHILDE Ajust
8,333
BONTRON LAETITIA CHAMBERY
IEN CHY 4 TRB 8,969
BORIES EMILIE Ajust 7,333
BORLET EMILIE MOUTIERS IEN
MOUTIERS TRB FLE 11,331
BOTTALA GAMBETTA CLAUDINE
SC 27,308
BOTTE GERALDINE SC 16,333
BOUCHARD CAMILLE Ajust
2,333
BOUCHER MARIE CLAUDE
MONTMELIAN IEN
MONTMELIAN TRB 13,333
BOUILLER KARINE ST JEAN DE
MNE IEN ST JEAN TRB 7,944
BOUILLER ARMELLE SO
CHAMBERY LA POMMERAIE AM
CLIS TP 4,333
BOUILLOL CECILE Ajust 2,333
BOULIVAN SYLVIE SC 27,353
BOURGEOIS PERRINE
ALBERTVILLE LE MIRANTIN
EDUC TP 4,417
BOURIANNE COULOMME
MARIE CHRISTINE SC 15,333
BOUTIN LAURENCE SC
26,200
BOUTTAZ AURELIA SC 11,333
BOUVIER SOPHIE ST OFFENGE
DESSUS A MAT 25,733
BOUZIANI FLORENCE
ALBERTVILLE VAL DES ROSES A
MAT 20,333
BRIARD CARINE Ajust 7,333
BROCARD REMI SC 31,081
BRONGNIART EMILIE SC
31,319
BROSSELIN CHRISTINE SC
14,833
BROSSET CHATANAY AUDREY
Ajust 4,333
BRUET HOTTELAZ SYLVAIN ST
VITAL DEM (P) 15,333
BRUN RABE BEATRICE
PONTAMAFREY MONTPASCAL
AM 43,333
BRUNET CHLOE Ajust 2,333
BRUNET TIPHAINE Ajust
0,333
BRUNET DUNAND LOIC AIX LES
BAINS LE SIERROZ AM CLIS TP
(P) 1,333
BRYKAJLO MARIE CLAUDE SC
16,467
BUET EMMANUELLE
ALBERTVILLE A. BAR ST
SIGISMOND DEM 23,333
BUISSON LAETITIA SC 12,833
BURLET LAETICIA SC 5,333
BURTIN LAURE ALBERTVILLE
CHAMP DE MARS A MAT
35,053
BUTTIN CATHERINE SC
19,675
CADENEL CATHERINE LA BATHIE
DEMAT 34,208
CADET CAROLINE ALBERTVILLE
IEN ALBERTVILLE TRB 11,078
CAILLAT CHARLOTTE Ajust
4,333
CANET PENELOPE Ajust
5,333
CANTELE BENEDICTE Ajust
10,333
CAPECCHI EMMANUELLE SC
27,725
CAPRINI DELPHINE ALBERTVILLE
IEN ALBERTVILLE TRB 11,161
CARAZ AURELIE Ajust 4,494
CARCELES CECILE CHAMBERY LA
POMMERAIE TRS ELEM 9,331
CARDONA PAULINE Ajust
7,833
CARLIER DELANNOY MAGALI
Ajust 15,961
CARLIOZ NICOLAS ST ALBAN
DES HURTIERES AM 15,333
CARRE YVES ALBERTVILLE LE
MIRANTIN ADJ SPE TP (P) 26,244
CASSET SEVERINE SC 13,333
CASTETS JULIETTE ALBERTVILLE
IEN ALBERTVILLE TRB 13,333
CATTELIN TELLIER DIDIER SC
19,333
CATTELIN TELLIER STEPHANIE
ALBERTVILLE IEN ALBERTVILLE
TRB 6,325
CAUCAL AURELIE SC 11,372
CAUGANT EMILIE SC 7,333
CAUVET DELPHINE SC 9,475
CAVALLO DI PIETRO SANDRA
Ajust 4,333
CERE CAROLINE SC 14,981
CHALLANDE NELLY Ajust
12,333
CHAMPIER ISABELLE ST ALBAN
LEYSSE RENE CASSIN TRS ELEM
(P) 17,819
CHANET EMILIE Ajust 8,917
CHAPON CLAIRE Ajust 4,950
CHARDON FREDERIC Ajust
0,333
CHARNAY PIERRE BRUNO SC
30,381
CHARPENTIER ELISE SC
12,333
CHARVIN MALLORIE Ajust
7
MOUVEMENT ALPHABÉTIQUE 2013
8
9,833
CHASSIGNEUX CATHERINE
LA ROCHETTE LA NEUVE AM
31,097
CHATON LUCILE LA MOTTE
SERVOLEX LE TREMBLAY MAT
18,333
CHAUDURIE LAETITIA
MONTMELIAN IEN
MONTMELIAN TRB 12,333
CHENEVAS PAULE KAREN ST
JEAN DE MNE IEN ST JEAN TRB
4,333
CHENU MARIE LINE SC
27,989
CHEVRIER CLEMENT MACOT LA
PLAGNE ALBERT PERRIERE ZIL
M 3,333
CHINAL PERRINE Ajust 4,333
CHIUMMIENTO MARIE THERESE
MODANE JULES FERRY PRAS
E 32,914
CHOPINEAUX LAURENT SC
30,328
CHOQUET LUCIE Ajust 9,333
CHRIST MARIELLE Ajust
7,500
CITTADINI EVELYNE ST ALBAN
LEYSSE J ET X DE MAISTRE ULIS
A (P) 16,333
CLEMENT ALINE Ajust 5,333
CLERC LISIANE Ajust 0,333
COHEN STEPHANIE Ajust
7,097
COLA DAMIEN AIX LES BAINS
IEN AIX TRB 9,372
COLLEE MAGALY Ajust 6,333
COLLIARD CHRISTINE LA
LECHERE ND DE BRIANCON DEM
17,833
COLLIN MATTHIEU SC 12,333
COLLIN GUENAEL
MONTMELIAN IEN
MONTMELIAN TRB 9,333
COLLOMB PATTON LISE UGINE
PRINGOLLIET ZIL M 7,333
COLLOMBIER JOCELYNE SC
31,825
COMAS CELINE APREMONT
AM 44,211
COMESTAZ CAROLINE Ajust
6,333
COMINOTTO CHRISTELLE Ajust
9,217
CONQUET CLEMENTINE BOURG
ST MAURICE LE CENTRE TRS
ELEM (P) 10,119
CONTAT KARINE SC 10,833
CONTESSE DAMIEN Ajust
2,333
CORDIER DUVIVIER CELINE
Ajust 6,097
CORNU FANNY ST BON LE PRAZ
AM 4,333
COSTE CHRISTINE Ajust
7,917
COTTIN AUDREY SC 10,333
COURTILLE JOSEPHA ST JEAN DE
BELLEVILLE DEM 7,331
COURTY FLORENCE Ajust
7,086
COUTAZ CHARLINE Ajust
4,989
COUX MARYLENE SC 28,333
CRETIN DOMINIQUE SC
12,578
CREUX JULIE BRAMANS AM
12,333
CROISOT CELINE CHAMBERY LE
BIOLLAY AM 31,333
CURTILLET SEBASTIEN SC
18,358
CUVILLIER CECILE Ajust
15,331
DA SILVA FRANCOISE SC
3,333
DAL PALU CHRYSTELLE Ajust
9,333
DAL TOE JULIEN CHAMBERY
JOPPET DEM 18,756
DALAIRY SANDRINE MODANE
JULES FERRY AM 19,333
DALAIRY RICHARD MODANE
JULES FERRY TRS ELEM 16,333
DALL ERTA AMANDINE SC
12,333
DALLIES LABOURDETTE
CORINNE SC 17,333
DAMINATO ROSELYNE Ajust
31,333
DARD FOSSO CHRISTINE AIX LES
BAINS IEN AIX TRB 8,294
DAYNAC CLAIRE CHAMBERY LA
POMMERAIE AM IMF 7,792
DAYOT FRANCK SC 30,328
DAZIANO BERRUTTO CAROLINE
SC 15,333
DE ROSSI AGNES SC 25,456
DE ROSSI LUC SC 22,986
DEGLI CHRISTELLE SC 18,333
DEGRAND SYLVAIN LES
CHAVANNES EN MNE M
12,167
DEKNUYDT VALERIE Ajust
11,256
DELACOSTE VERONIQUE
CHAMBERY IEN CHY 4 TRB
12,333
DELAHAYE ANNE SOPHIE Ajust
8,331
DELAIRON FLORENCE AIX LES
BAINS IEN AIX TRB 19,333
DELAVACHERIE DELPHINE Ajust
5,708
DELHOMME BEATRICE Ajust
7,819
DELPHIN SANDRINE Ajust
4,333
DEMANGE GAUVRIT MARIE
SC 13,783
DENISAN CATHERINE LA
CHAMBRE PSY 7,250
DERRIER CHARLOTTE ST JEAN
DE MNE IEN ST JEAN TRB
1,333
DESGEORGES NELLY Ajust
6,694
DESMARIS HELENE AVRESSIEUX
DEM 17,333
DESRUES EMMANUELLE BOURG
ST MAURICE LE CENTRE AM
34,300
DEVILLERS MAGALIE Ajust
3,333
DEVYNCK JEROME ALBERTVILLE
MARTIN SIBILLE ZIL M 19,306
DEZEMPTE MUSI GERALDINE
Ajust 5,417
DI LEO EMILIE Ajust 5,847
DIDELOT MARIE CLAIRE
CHAMBERY HAUT MACHE A
MAT 15,964
DOMENGE KARINE ALBERTVILLE
IEN ALBERTVILLE TRB 8,333
DOMITILE ANNE LA RAVOIRE E.
ROSTAND ULIS D 12,333
DORIER FAUSTINE Ajust
5,328
DOUSSOT GUILLEMETTE
MONTMELIAN IEN
MONTMELIAN TRB 11,833
DUARTE DA SILVA CELINE
CHAMBERY IEN CHY 4 TRB
8,847
DUARTE PAIS FREDERIC
BARBERAZ LA CONCORDE
DEMAT (P) 7,972
DUBOIS AGNES SC 12,333
DUBOIS DELPHINE AVRESSIEUX
AM 13,333
DUBONNET AURELIE Ajust
7,056
DUCOLOMB MARIE Ajust
5,333
DUCRET MARJORIE ST JEAN DE
MNE IEN ST JEAN TRB 6,203
DUCRETTET PAULINE
CHAMBERY WALDECK
ROUSSEAU AM IMF 21,981
DUFOUR BONNET SARA ST
JEAN DE MNE IEN ST JEAN TRB
0,333
DUFOURMENTEL MARIE
ALBERTVILLE VAL DES ROSES
AM 17,375
DUJARDIN FREDERIC SC
31,150
DUMAS STEPHANIE CHAMBERY
JEAN ROSTAND A MAT 21,833
DUPRAZ SYLVIE CHAMBERY
JEAN ROSTAND DEMAT 37,753
DURAND PATRICIA Ajust
8,333
DURAND CHRISTOPHE EPIERRE
DEM 15,167
DURET ESTELLE Ajust 7,958
DURIF EMMANUELLE SC
24,983
DUTRIEVOZ FLORENCE
CHAMBERY IEN CHY1 TRB
17,333
EFFRANCEY ANGELIQUE
CHAMBERY IEN CHY1 TRB
7,689
ELIET CATHERINE ST JEAN DE
BELLEVILLE AM 28,247
EPALLE GAELLE Ajust 7,686
EPP NICOLINO ISABELLE
MOUTIERS IEN MOUTIERS IMF
IEN 30,264
ESPOSITO VALERIE CHAMBERY
IEN CHY 4 TRB 11,250
EVRARD CECILE Ajust 4,153
EYNARD MARIE FRANCOISE
SC 28,717
FALCO DELPHINE Ajust 6,333
FANJAS ELODIE Ajust 10,333
FATIO LAETITIA ST PIERRE D
ENTREMONT A MAT 10,972
FATMI CORINNE Ajust 4,333
FAUQUET VALERIE SC 9,342
FAURE JEAN MICHEL CHANAZ
AM 34,261
FELCI EMMANUELLE AIX LES
BAINS IEN AIX TRB 9,333
FENEROL EMELINE Ajust
5,333
FERRAND LUNEAU PASCALE
MONTMELIAN P. WILL AM
14,333
FERRARIS HOFFMANN KARIN
SC 18,097
FERREIRA CHRISTELE SC
10,694
FERRER JULIE SC 12,333
FERRIE MARIANNICK Ajust
2,333
FERRIER TARIN STEPHANIE
CHATEAUNEUF TRS ELEM
35,983
FERRISE LAETITIA Ajust
10,986
FEUGUEUR ARTEMIS SC
21,806
FIGLIOLINI SANDRINE
CHAMBERY IEN CHY1 TRB
10,333
FIGUERES FRANCOISE
CHAMBERY HAUT MACHE DEM
22,608
FIORINA LAURENT SC 19,333
FLACHER OLIVIER SC 24,083
FLACHON NATHALIE Ajust
5,333
FLAN ISABELLE CHAMBERY IEN
CHY1 TRB 10,333
FONTAINE SEVERINE BOURG
ST MAURICE LE CENTRE PSY
20,333
FONTAINE JEAN ST JEAN DE
MNE A. BRIAND DEM (P)
32,989
FORNERO STEPHANIE Ajust
4,333
FORTUNATO CAMILLE
CHAMBERY LA POMMERAIE A
MAT 26,750
FOURNIER MARJORIE Ajust
5,333
FOYARD KARINE VILLARD
SALLET A MAT 24,333
FRANCILLON ANNE CHIGNIN A
MAT 18,481
FRISON AMANDINE SC 9,333
GABOTTO MORGANE SC
18,333
GACHET CARINE SC 13,333
GACHET JULIE ST JEAN DE MNE
IEN ST JEAN TRB 3,333
GACON SABINE CHAMOUX SUR
GELON DEM 20,333
GAGNAIRE BEATRICE SC
19,333
GAILLARD SEVERINE AIX LES
BAINS IEN AIX TRB 10,833
GALLICE FLAVIE Ajust 5,847
GALLOIS VIRGINIE Ajust
4,333
GAMON MATHILDE TIGNES
MICHEL BARRAULT AM 3,333
GANCEL SANDRINE SC
19,219
GANDET NATHALIE SC
25,333
GANINO MELINA ALBERTVILLE
VAL DES ROSES TRS ELEM
7,608
GARAIX DELPHINE SC 13,333
GAUCHE MATTHIEU SC
14,125
GAUDRON CECILE Ajust
10,833
GAUTHIER PASCAL FRONTENEX
AM 42,733
GAUTHIER FABIENNE PRESLE
DEM 2,333
GAY LAURENCE SC 36,950
GAY MURIEL CHAMBERY 05
ST LOUIS DU MONT ADJ SPE
22,300
GAY STEPHANIE CHAMPAGNY
EN VANOISE AM 2,333
GAY LANCERMIN SANDRINE
SC 10,333
GELLON CAMILLE CHAMBERY
IEN CHY1 TRB 8,333
GENIN MAGALI MOUTIERS IEN
MOUTIERS TRB 3,333
GENOUX ANDRE SC 28,567
GEOFFROY CHLOE MOUTIERS
IEN MOUTIERS TRB 2,333
GERLIER GERALDINE
FRONTENEX AM (P) 14,333
GIACOMETTI SYLVIE LES ALLUES
DEM 40,922
GIBERGUES JEROME
ALBERTVILLE LE MIRANTIN ADJ
SPE TP (P) 11,381
GIBRALTA VIRGINIE ST MARTIN
DE BELLEVILLE CHEF LIEU TRS
ELEM 6,319
GILBERT EMILIE ST JEAN DE
MNE IEN ST JEAN TRB 5,092
GIRARD MARION VILLARLURIN
DEM 5,847
GIRARD OPHELIE MEYRIEUX
TROUET M 6,333
GIRAUD KARINE SC 21,333
GIROUD ALINE Ajust 7,250
GLEIZES ISABELLE CHAMBERY
IEN CHY2 REF CDA (P) 33,200
GONIN MARIANNE Ajust
7,333
GORGES SYLVAIN SERRIERES EN
CHAUTAGNE A MAT 15,333
GRAFFIN JENNIFER SC 5,097
GRAND ELODIE SC 20,333
GRANJON CECILE Ajust
30,333
GRANSARD NATHALIE ST JEAN
DE MNE IEN ST JEAN TRB
20,333
GROS ALEXANDRA BERNA
AILLON LE JEUNE LA COMBE A
MAT 13,667
GROSSEMY CHRISTEL
CHAMBERY LE PRE DE L’ANE
AM 59,006
GROSSO AURELIE SC 6,333
GUARALDO PASCAL ST PIERRE
D ALBIGNY LES FRONTAILLES
DEM 11,914
GUERBY SYLVAIN CHAMBERY
IEN CHY1 TRB 19,333
GUERREIRO LESLIE MERCURY
JOSEPH TROLLIET A MAT
18,333
GUESMIA ALMERINDA
CHAMBERY IEN CHY 4 TRB
25,842
GUIGUET VANESSA Ajust
8,989
GUIGUET BOLOGNE LAURIANNE
Ajust 0,333
GUILLAUD MURIEL Ajust
8,333
GUILLAUME CLAIRE SC 9,978
GUILLE CELINE Ajust 9,083
GUILLERMAND CHRISTELLE LA
ROCHETTE LA NEUVE TRS ELEM
22,333
GUILLET DAUPHINE ANNICK
Ajust 5,333
GUILLOT GERALDINE Ajust
5,714
GUILLOU SABINE Ajust 6,356
GUITTON BLANDINE AUSSOIS
DEM 5,250
HALLET JULIETTE Ajust 5,144
HAMOUDI WILKOWSKY SARAH
Ajust 37,333
HANNECART GENOUD MARION
SC 7,333
HARDY CAROLINE CHAMBERY
IEN CHY 4 TRB 10,428
HAUCHECORNE REGIS Ajust
5,333
HAUCHECORNE CORINNE
CHAMOUX SUR GELON ZIL
M 10,333
HAUSER CATHY Ajust 9,489
HENRIOT EMILIE MONTMELIAN
IEN MONTMELIAN TRB 10,333
HERVO MARIE PIERRE SC
10,333
HING MARIE AGNES Ajust
8,333
HISLER JULIEN Ajust 5,678
HOGREL CUQ SYLVIE Ajust
10,328
HORNUS MARIE Ajust 6,333
HORVAIS NATHALIE ST GIROD
AM 16,833
HOTE ELSA Ajust 6,333
HOUDBINE EMILIE Ajust
8,600
HUDRY VERONIQUE JOSIA SC
26,719
ISAMBERT WATTRON MARIE
SC 11,333
JACQUART STEPHANIE BOZEL
DEMAT (P) 16,794
JACQUELIN CECILIA CHAMBERY
LE PRE DE L’ANE AM CLIS TP
2,333
JACQUET BERNARD SC
51,386
JAEGLE STEPHANIE SC
10,333
JAMBUT NATHALIE Ajust
7,333
JANEX JOEL ST JEAN D ARVES
AM 33,544
JAQUIER VALERIE Ajust
14,333
JAY DUVILLARD AUDREY
ALBERTVILLE IEN ALBERTVILLE
TRB 8,333
JEANDEL GWENAELLE SC
15,333
AC T E U R S
MOUVEMENT ALPHABÉTIQUE 2013
JOBERT JENNIE Ajust 7,333
JOBERT ALEXANDRE Ajust
4,333
JOLY KARINE Ajust 7,333
JOLY CELINE Ajust 7,333
JOLY BENDER KARINE SC
10,839
JORQUERA ALCARAZ TANIA
Ajust 6,289
JOUANNOT DOMINIQUE ST
JEAN DE MNE IEN ST JEAN TRB
26,750
JOUBERT ARIELLE
MONTMELIAN A. GEX A MAT
46,992
JUGAND STEPHANIE Ajust
9,333
JUGENS MARJOLAINE AIX LES
BAINS IEN AIX TRB 7,658
JULLIEN JEAN CYRIL SC
19,167
JUQUELIER FREDERIC BOURG
ST MAURICE LE CENTRE DEM
25,333
KABA SARAH CHAMBERY IEN
CHY 4 TRB 8,333
KAMBER EMILIE Ajust 8,661
KAMBOURIAN DELPHINE ST
JEAN DE MNE MNE ADJ SEGPA
TP 11,333
KAYSER BRIL LUCIE SEEZ CHEFLIEU AM 6,333
KIELB MARIE EVE ALBERTVILLE
RAYMOND NOEL TRS ELEM
16,469
KLEIN AUDREY MONTMELIAN
IEN MONTMELIAN TRB 13,333
LABARRE JEAN FRANCOIS
CHAMBERY PASTEUR-BANQUE
DEMAT 36,256
LABORET VALERIE
MONTMELIAN IEN
MONTMELIAN TRB 20,333
LACAMBRE CATHERINE
CHAMBERY VERT BOIS PRAS
E 36,728
LADET PASCALE MONTMELIAN
P. WILL AM 28,675
LAGARDETTE AURELIE
CHAMBERY IEN CHY1 TRB
8,333
LAMBERT MARIE ANN SC
19,142
LAMBERT ISABELLE MONTCEL
AM 19,333
LAMBOLEY KATHLEEN SC
15,833
LAMIRAND LAETITIA LA
GIETTAZ DEM 7,333
LAMY NATHALIE Ajust 7,333
LAMY CAMILLE ST ANDRE MAT
13,333
LAPERRIERE FABIEN CHAMBERY
IEN CHY2 IMF IEN (P) 13,167
LARDEUX CHRISTELLE SC
14,058
LASSUS STEPHANIE CHAMBERY
WALDECK ROUSSEAU AMAT
IMF 23,333
LATHUS SYLVIE SC 37,158
LAURENT SYLVIE ARVILLARD A
MAT 16,328
LAZZARONI AUDREY Ajust
6,333
LE GAL OPHELIE LA MOTTE
SERVOLEX GEORGES SAND ULIS
C (P) 13,133
LEBAS NATHALIE Ajust
10,733
LEBEL DELPHINE Ajust 7,333
LEBLANC MYRIAM Ajust
9,333
LEDOUIT LAURENT CHAMBERY
IEN CHY 4 CPC \N \N
LEFEBVRE DELPHINE SC
19,331
LEFORESTIER ELSA Ajust
7,250
AC T E U R S
LEGOUPIL QUIRINE SC
11,333
LEMAITRE MATHILDE LES
ALLUES A MAT 10,333
LENOBLE DELPHINE AIGUEBELLE
AM CLIS 12,333
LEONESIO ANNE MARIE SC
24,981
LEPELLEY STEPHANIE Ajust
8,333
LEPREUX CATHERINE SC
30,614
LETELLIER ISABELLE CHAMBERY
IEN CHY 4 TRB 11,983
LETOURNEAU PATRICK
CHAMBERY IEN CHY 4 TRB
32,219
LEVASSEUR CLAIRE UGINE
CREST CHEREL A MAT 12,833
LEWIS GERARD CHRISTELLE
VERTHEMEX M 10,333
LHERMEY STEPHANE BARBY
AM CLIS TP 35,311
LHOTEL MARIANNE AIX LES
BAINS IEN AIX TRB 8,564
LIEVRE CEDRIC SC 3,989
LODIEU CELINE Ajust 6,333
LOOSEN HELENE QUEIGE DEM
15,333
LORENTZ ANNE CLAIRE
MONTMELIAN IEN
MONTMELIAN TRB 10,333
LORRAIN CELINE SC 22,242
LOUAAR WACILA Ajust 7,333
LUCAS VALERIE ALBERTVILLE
PLAINE DE CONFLANS AM
12,961
LUPO VERONIQUE Ajust
5,333
MACHERET JENNIFER CLERY
DEM 15,333
MAGNENOT FLORIANE Ajust
TP 4,333
MAGNIN CELINE Ajust 9,989
MAGNIN MICHEL ST JEAN DE
MNE MNE ULIS D TP 6,319
MAILLAN MELODIE SC 9,989
MALFROID VALLET EVELYNE AIX
LES BAINS MARLIOZ ADJ SEGPA
35,472
MALLEVILLE AMANDINE
MONTMELIAN IEN
MONTMELIAN TRB 10,333
MANCUSO LASSIAZ NATACHA
SC 12,333
MANSA CARINE VOGLANS
DEMAT 20,333
MARCHAND CELINE Ajust
7,333
MARCUCCI GAELLE Ajust
8,333
MARIN CAROLINE SC 8,333
MARIN LAMELLET STEPHANIE
SC 8,564
MARINHO CAROLINE SC
15,231
MARIOTTI VIRGINIE BRISON ST
INNOCENT A MAT 39,333
MARMIER LOUISE ALBERTVILLE
MARTIN SIBILLE AM CLIS TP
1,333
MARQUET ANNE SC 20,333
MARSALLE ALEXIS Ajust
5,289
MARTIN MAGALIE SC 15,333
MARTIN MELISSA Ajust
7,822
MARTIN ELISE Ajust 0,333
MARTY ANNICK SC 16,333
MARZARI YVAN SC 23,303
MASSART SANDRINE SC
9,833
MASSING VIRGINIE SC
11,833
MASSIP MARIE Ajust 4,333
MASSOT PELLET ELODIE Ajust
6,833
MATEO THIBAULT NATACHA
Ajust 4,333
MAUCCI LAURIANNE Ajust
3,333
MAUREL SABINE MONTMELIAN
IEN MONTMELIAN CHAR MIS
(P) 33,250
MAZIERE BERTRAND SC
12,981
MEINIER MAGALI Ajust
8,333
MEJEAN GUILLAUME Ajust
0,333
MELIN SYLVIE CHAMBERY IEN
CHY 4 TRS ELEM (P) 9,333
MELLUL MARIE Ajust 10,333
MENACHEMOFF LARA SC
13,119
MENDOLA MARIE ST PIERRE DE
CURTILLE DEM (P) 6,333
MENJOZ JACQUES SC 45,747
MERCIER FRANCINE
ALBERTVILLE LE MIRANTIN ADJ
SEGPA 21,311
MERCIER BALAZ VALERIE LA
BATHIE L’OISEAU LYRE AM
23,297
MERLE MELANIE Ajust TP
5,153
MERMOZ AURELIE SC 15,333
MESERE ANNE SC 8,333
MESSIRE PRISCILLE
ALBERTVILLE VAL DES ROSES
AM 11,333
MEUNIER PAULINE Ajust
0,333
MEUNIER VENISSE VERONIQUE
SC 21,333
MICHALINOFF PIERRE
ALEXANDR Ajust 6,250
MICHAULT ISABELLE MOUTIERS
DARANTASIA PSY 24,239
MICHEL CHARLOTTE Ajust
7,333
MICHELLAND BENJAMIN
CHAMBERY LA CROIX ROUGE M
(P) 4,333
MICHIARDI CHRISTEL
ALBERTVILLE RAYMOND NOEL
DEM 21,333
MILESI ERIC AIX LES BAINS IEN
AIX TRB 9,167
MILIN ANNE CHAMBERY 9 EREA
A. GEX ADJ SPE 35,986
MILLERET DELPHINE ST
OFFENGE DESSUS DEM (P)
13,333
MIRAGLIO HUGUES SC
11,167
MISCHIERI CEDRIC Ajust
0,333
MISCHIERI EMELINE Ajust
0,333
MITTEAU CAROLINE UGINE
CREST CHEREL AM 10,325
MOLIN SYLVIA ALBERTVILLE LA
PLAINE DEMAT 11,978
MOLITOR OLIVIER
MONTMELIAN IEN
MONTMELIAN TRB 16,689
MOMETTI AGNES SC 10,428
MONGELLAZ ANNE CATHERINE
MOUTIERS DARANTASIA AM
CLIS TP 8,333
MONGRUEL STEPHANE
CHAMBERY 9 EREA A. GEX EDUC
26,825
MONIN JEAN FRANCOIS
ALBERTVILLE RAYMOND NOEL
AM 19,333
MONNET SANDY Ajust 9,122
MONNET AMELIE ENTREMONT
LE VIEUX A MAT 13,833
MONOD ANNE LISE SC 8,128
MONTABONE SARAH
ALBERTVILLE IEN ALBERTVILLE
TRB 6,333
MONTFORT MARCEL
CHAMBERY IEN CHY1 TRB
37,347
MOREL CHRISTELLE SC
13,286
MORIN CECILE Ajust 6,333
MORIS JENNA SC 3,333
MOSIO ISIS AIX LES BAINS IEN
AIX TRB 9,333
MOTTE STEPHANIE Ajust
9,939
NEPVEUX REBECCA Ajust
36,222
NICOROSI VERONIQUE
CHAMBERY IEN CHY 4 TRB
9,000
NOEL SOFIA SC 24,311
NOTO MARYLISE Ajust 6,983
NUNES CAROLINE VILLARODIN
BOURGET LE BOURGET M
11,333
OLIVA BERENGERE Ajust
4,600
ONESTI CARINE NOTRE DAME
DES MILLIERES A MAT 23,333
ORSATI ALICE LA ROCHETTE LA
NEUVE DEM (P) 14,317
PACCARD KARINE SC 17,333
PALAYER HEIDI MONTGIROD
CENTRON AM 3,333
PALUMBO EMMANUELLE GRESY
SUR AIX A MAT (P) 10,333
PARIS SANDRINE CHAMBERY
IEN CHY 4 TRB 20,331
PASCAL YOLAINE MACOT LA
PLAGNE STATION AM 5,844
PASSON SOPHIE VALLOIRE
DEM (P) 15,833
PATACINI NELLY Ajust 8,333
PATY SOPHIE Ajust 8,767
PAUCHON EMILIE VILLARD
SALLET DEM 1,333
PAULIN MAUD GRESIN A MAT
15,333
PAVIET MARINE CHAMBERY LA
POMMERAIE TRS ELEM 13,333
PAVY DOMINIQUE SC 13,892
PELLET MARGUERITE ST JEAN
DE MNE IEN ST JEAN TRB
1,333
PEREZ GUILLAUME Ajust
9,333
PERICOT HELENE CHAMBERY
CHAMBERY LE VIEUX DEMAT
36,297
PERIER LAURENT LA ROCHETTE
IMPRO ADJ SPE 20,167
PERMEZEL CELINE SC 17,333
PERNET SABINE Ajust 9,833
PERNOUD ANNE AIX LES BAINS
IEN AIX TRB 11,531
PERRAD THOMAS ALBERTVILLE
VAL DES ROSES DEM (P) 16,333
PERRIER LAETITIA SC 9,333
PERRIN ANNE LAURE
CHAMBERY IEN CHY1 TRB
10,392
PERRUCCHIETTI NATHALIE
ALBERTVILLE IEN ALBERTVILLE
TRB 8,128
PERRUISSET MARTINE Ajust
9,264
PERSICO LEA Ajust 4,153
PERTIN FREDERIC TOURNON
AM 39,528
PESTY NICOLE AIX LES BAINS
IEN AIX TRB 33,189
PETIT CATHERINE SC 34,147
PETIT ANNE ST JEAN DE MNE
LES CLAPEYS PRAS G 22,489
PICAUD JENNY SC 14,333
PICHOL THIEVEND INGRID SC
16,956
PICQ ELISE CESARCHES DEM
4,469
PICTON AURELIE SC 8,333
PILLARD FLORES FRANCOISE
VERRENS ARVEY AM 28,186
PINNEAU BEATRICE BELLENTRE
DEM 5,333
PIOT MAIGE PATRICIA Ajust
16,106
PLOTON MURIEL Ajust
10,039
POBEL EMELINE Ajust 4,300
POHU AUDREY Ajust 6,250
POINAS SANDRINE BOURGET
EN HUILE DEM (P) 4,333
POIRET MICHAEL Ajust 7,483
POIRIER JULIEN ALBERTVILLE
IEN ALBERTVILLE TRB 6,167
POITEVIN NATHALIE SC
21,267
PORADOWSKI CATHERINE SC
28,494
PORTOLLEAU CELINA Ajust
11,333
POYER SOPHIE VILLAROGER LA
GURRAZ M 32,408
PREVOSTO ANNE SC 12,767
PRIEUR MARIE LAURE
CHAMBERY IEN CHY1 TRB
8,333
QUARD SANDRINE Ajust
7,778
QUERCIOLI SEBASTIEN ALBIEZ
MONTROND ALBIEZ LE VIEUX A
MAT 13,333
QUIBAT CAMILLE SC 8,106
RASTELLO PERRINE SC
12,833
REFFO ISABELLE SC 26,339
REFFO WILLIAM SC 31,281
REGAIRAZ SANDRINE Ajust
8,333
REGUEIRO SANDRA SC
13,308
REKIK INES CHAMBERY VERT
BOIS AM 38,333
REMISE SEVERINE SC 8,978
REMY ELODIE Ajust 7,822
RENAUX NADEGE Ajust
4,333
REVERDY MATTHIEU SC
13,156
REY FREDERIQUE Ajust 7,333
REYMOND HERVE BELLENTRE
BONCONSEIL MAT 21,325
REYNAUD FEMY FLORENCE
VAL D ISERE SAMIVEL A MAT
15,572
RICAUD AURELIE MELANIE
Ajust 7,264
RICHARD EMILIE MONTMELIAN
IEN MONTMELIAN TRB 10,583
RIEUTORD AUDE SC 10,333
RIGLER LYDIA Ajust 3,333
RIGO GAELLE AIX LES BAINS IEN
AIX TRB 8,058
RINGAUD CHARLOTTE Ajust
7,250
RIONDE HELEN ALBENS AM
CLIS TP 10,333
ROBERT CHRISTELLE Ajust
25,247
ROBLET XAVIER SC 8,333
ROCA GUICHARD ANNE SC
23,186
ROCHE SONIA Ajust 36,147
ROCHE CARINE CHAMBERY
HAUT MACHE DEMAT 18,331
RODENBURG LIONEL
ALBERTVILLE IEN ALBERTVILLE
TRB 5,250
RODI LAETITIA ALBERTVILLE LA
PLAINE DEM 20,333
RODRIGUES ISABEL Ajust
5,425
RODRIGUES MARJORIE Ajust
10,333
RODRIGUES MARIE PALLUD A
MAT 14,333
RODRIGUES JOAO PEDRO
MODANE JULES FERRY AM CLIS
22,244
RODRIGUEZ SOPHIE
MONTMELIAN IEN
MONTMELIAN TRB 18,833
9
MOUVEMENT ALPHABÉTIQUE 2013
ROJAS CACHAIRO AURELIE
QUEIGE AM 31,833
ROLLET CECILE Ajust 0,333
ROMAND CAROLINE Ajust
2,333
RONCERAY JESSY CHINDRIEUX
DEM 9,333
ROSIN CHRISTELLE SC 10,161
ROSSET VALERIE SC 26,625
ROUBAUD VALERIE ST ETIENNE
DE CUINES MOISE ANDRE
COLLOMB AM 40,739
ROUSSEAU MARIE LAURE
ALBERTVILLE JEAN MOULIN
ULIS A (P) 20,961
ROUX NADIA ALBERTVILLE
PLAINE DE CONFLANS AM CLIS
TP (P) 6,972
ROUX CRACOWSKI STEPHANIE
Ajust 9,289
RUAZ PERRINE ST BON
COURCHEVEL(P)850 A MAT
8,358
RUFIN VERONIQUE Ajust
10,017
SAGHINI DOMINIQUE SC
16,333
SAHAROFF ROMAIN SC
5,333
SAJE AURELIE SC 10,686
SANCHEZ SYLVIE SC 11,253
SANFILIPPO ALEXANDRE Ajust
33,844
SAOULA AURELIE AIME
LONGEFOY DEM 2,333
SARAZIN CAROLE CHAMBERY
IEN CHY 4 TRB 15,325
SARRON DELPHINE CHAMBERY
IEN CHY1 TRB 8,081
SARROUY NATHALIE Ajust
7,333
SARTI KARINE SC 5,989
SBAIZ CATHERINE Ajust
10,292
SCHERA PASCALE SC 17,297
SCHRAM NADINE LA MOTTE
SERVOLEX LA VILLETTE A MAT
31,272
SCOLARI FABIOLA LA LECHERE
DOUCY AM 7,333
SEIGNORET MATHILDE Ajust
5,333
SEREDIAK FABIEN SC 18,333
SESTIER MIRJANA Ajust
9,333
SEYMAT ISABELLE Ajust
0,333
SILVESTRE CHRISTOPHE
CHAMBERY IEN CHY2 REF CDA
(P) 22,278
SIMON ARMELLE CHAMBERY
IEN CHY1 TRB 11,833
SINELLE HELENE Ajust 8,175
SKOROCHOD FANNY STE FOY
AM 6,333
SOMMERHALTER LAURE LA
LECHERE ND DE BRIANCON A
MAT 9,806
SOURD FANNY Ajust 2,333
SPINEDI AUDREY Ajust 0,333
SUEUR HELENE Ajust 6,583
SUURKULA ANNE Ajust
11,517
TALBOT ELISABETH SC
14,333
TARDIVEL LAURA LA BIOLLE A
MAT 25,250
TARDY AMANDINE Ajust
3,333
TERRENOIR ELISE ALBERTVILLE
MARTIN SIBILLE AM 9,981
THELLIER SYLVIE LA MOTTE
SERVOLEX LAMARTINE A MAT
48,311
THIBAUD LAURENCE GRESIN
DEM 11,331
THIELLET MARILOU Ajust
7,333
THOMAS ANNE Ajust 14,333
THOMAS CORINNE NADIA
MYANS A MAT 34,967
TISON GILLES SC 34,939
TISSOT LAURA Ajust 2,333
TIVOLLIER CLELIA Ajust 7,250
TONA FANNY Ajust 2,333
TORROELLA ANNE ST JEAN DE
MNE IEN ST JEAN TRB 20,219
TOURRET MURIEL MOUTIERS
IEN MOUTIERS TRB 3,333
TOURY ELOI Ajust 1,333
TRABUT MARINE Ajust 5,833
TRANKLE OLIVIA CHAMBERY
VERT BOIS ZIL M 7,208
TRAVERSIER NATHALIE AIX LES
BAINS IEN AIX TRB 8,833
TRINQUIER HELENE CHAMBERY
IEN CHY 4 TRB 11,833
TRIPOLI SONIA SC 12,969
TRONCY JEAN CHRISTOPHE
ALBERTVILLE LE MIRANTIN ADJ
SPE TP (P) 19,333
TROUSSE CECILE LA RAVOIRE
PRE HIBOU AM CLIS 13,333
TRZEPALKOWSKI AUDREY SC
12,333
TUDELL GUILLAUME Ajust
24,333
TURCHET NADINE Ajust
6,333
VACHUS CATHERINE CESSENS
DEM 28,239
VADANT MARIE Ajust 12,333
VALLET RAPHAELLE CHAMBERY
LA POMMERAIE AM IMF
10,986
VALLIN NORAZ LUCIE Ajust
10,833
VALOIS CAROLINE
MONTMELIAN IEN
MONTMELIAN TRB 15,333
VANDENBOSSCHE
EMMANUELLE Ajust 13,833
VARENNES CHRISTELLE SC
16,333
VARRIALE VIRGINIE SC
15,333
VASSEUR CLEMENTINE SC
8,308
VAUDOLON CORINNE ST BERON
JEAN FERRAT DEM 10,331
VENEZIAN MORGANE Ajust
3,303
VERNOCHET CELINE SC
13,333
VEYRAT DUREBEX SANDRINE
SC 7,333
VIALLET SOUAZIC Ajust 7,942
VIANEY MURIELLE FEISSONS
SUR ISERE A MAT 11,333
VIARD CRETAT LISE Ajust
2,333
VIBERT ISABELLE SC 23,333
VIGNE ODILE SC 18,331
VIGUET CARRIN MARTINE
ALBERTVILLE LE MIRANTIN ADJ
SPE TP (P) 25,239
VILLEGAS CELINE SERRIERES EN
CHAUTAGNE A MAT 16,333
VILLENAVE SANDRINE
MOUTIERS IEN MOUTIERS TRB
0,333
VINET ISABELLE CHAMBERY
MADELEINE REBERIOUX TRS
ELEM 10,333
VOLPI FABIENNE SC 15,225
VUACHET CELINE Ajust
10,833
WERNER JENNIFER Ajust
5,333
WHITEAD PAULINE Ajust
4,333
WUJCZAK MARIE CECILE SC
14,333
YUSTES SYLVAIN Ajust 0,333
YVROUD BERENGERE Ajust
4,333
ZAMBONI CAROLINE Ajust
8,833
ZANELLATO SYLVIA SC 17,333
ZIANI ANNISSA AIX LES BAINS
IEN AIX TRB 8,528
LA CONCORDE
DUARTE PAIS FREDERIC DEMAT
(P) 7,972
BARBY
LHERMEY STEPHANE AM CLIS
TP 35,311
BELLENTRE
PINNEAU BEATRICE DEM 5,333
BONCONSEIL
REYMOND HERVE MAT 21,325
BELMONT TRAMONET
LE COUP DE CRAYON BERARD
ISABELLE AM 19,75
BONVILLARD
BISILLIAT DONNET CAROLE
DEM 1,333
BOURG ST MAURICE
LE CENTRE
DESRUES EMMANUELLE AM
34,3
BADETS VERONIQUE AM CLIS
29,183
JUQUELIER FREDERIC DEM
25,333
FONTAINE SEVERINE PSY
20,333
CONQUET CLEMENTINE TRS
ELEM (P) 10,119
PETITE PLANETE
BOISSY BRUGEVIN ISABELLE
DEM 17,333
BOURGET EN HUILE
BATTARD VALERIE AM 10,961
POINAS SANDRINE DEM (P)
4,333
BOZEL
JACQUART STEPHANIE DEMAT
(P) 16,794
BRAMANS
CREUX JULIE AM 12,333
BRISON ST INNOCENT
MARIOTTI VIRGINIE A MAT
39,333
CESARCHES
PICQ ELISE DEM 4,469
CESSENS
VACHUS CATHERINE DEM
28,239
CHAMBERY
CHAMBERY LE VIEUX
PERICOT HELENE DEMAT
36,297
HAUT MACHE
DIDELOT MARIE CLAIRE A MAT
15,964
FIGUERES FRANCOISE DEM
22,608
ROCHE CARINE DEMAT 18,331
JEAN ROSTAND
DUMAS STEPHANIE A MAT
21,833
DUPRAZ SYLVIE DEMAT 37,753
JOPPET
DAL TOE JULIEN DEM 18,756
LA CROIX ROUGE
MICHELLAND BENJAMIN M
(P) 4,333
LA POMMERAIE
FORTUNATO CAMILLE A MAT
26,75
BOUILLER ARMELLE SO AM CLIS
TP 4,333
DAYNAC CLAIRE AM IMF 7,792
VALLET RAPHAELLE AM IMF
10,986
CARCELES CECILE TRS ELEM
9,331
PAVIET MARINE TRS ELEM
13,333
LE BIOLLAY
BACHER DENIS AM 29,258
CROISOT CELINE AM 31,333
LE PRE DE L'ANE
GROSSEMY CHRISTEL AM
59,006
JACQUELIN CECILIA AM CLIS
TP 2,333
MADELEINE REBERIOUX
VINET ISABELLE TRS ELEM
10,333
PASTEUR
ACQUAVIVA CAROLE AM (P)
MOUVEMENT GÉOGRAPHIQUE 2013
10
AIGUEBELLE
LENOBLE DELPHINE AM CLIS
12,333
AILLON LE JEUNE
LA COMBE
GROS ALEXANDRA
BERNADETTE A MAT 13,667
AIME
LONGEFOY
SAOULA AURELIE DEM 2,333
AIX LES BAINS
CHOUDY
BAU SYLVIE DEM 30,878
F. ROOSEVELT
BONNEFOY MAGALI AM CLIS TP
(P) 4,333
LE SIERROZ
BRUNET DUNAND LOIC AM CLIS
TP (P) 1,333
COLLEGE MARLIOZ
MALFROID VALLET EVELYNE ADJ
SEGPA 35,472
IEN
COLA DAMIEN TRB 9,372
DARD FOSSO CHRISTINE TRB
8,294
DELAIRON FLORENCE TRB
19,333
FELCI EMMANUELLE TRB 9,333
GAILLARD SEVERINE TRB
10,833
JUGENS MARJOLAINE TRB
7,658
LHOTEL MARIANNE TRB 8,564
MILESI ERIC TRB 9,167
MOSIO ISIS TRB 9,333
PERNOUD ANNE TRB 11,531
PESTY NICOLE TRB 33,189
RIGO GAELLE TRB 8,058
TRAVERSIER NATHALIE TRB
8,833
ZIANI ANNISSA TRB 8,528
ALBENS
RIONDE HELEN AM CLIS TP
10,333
ALBERTVILLE
A. BAR ST SIGISMOND
BUET EMMANUELLE DEM
23,333
CHAMP DE MARS
BURTIN LAURE A MAT 35,053
COMBE DE SAVOIE
ANSELME MARTIN CAROLINE
ADJ SEGPA TP (P) 11,333
LA PLAINE
RODI LAETITIA DEM 20,333
LA PLAINE
MOLIN SYLVIA DEMAT 11,978
MARTIN SIBILLE
TERRENOIR ELISE AM 9,981
MARMIER LOUISE AM CLIS TP
1,333
DEVYNCK JEROME ZIL M
19,306
PLAINE DE CONFLANS
LUCAS VALERIE AM 12,961
ROUX NADIA AM CLIS TP (P)
6,972
RAYMOND NOEL
MONIN JEAN FRANCOIS AM
19,333
MICHIARDI CHRISTEL DEM
21,333
KIELB MARIE EVE TRS ELEM
16,469
VAL DES ROSES
BOUZIANI FLORENCE A MAT
20,333
DUFOURMENTEL MARIE AM
17,375
MESSIRE PRISCILLE AM 11,333
PERRAD THOMAS DEM (P)
16,333
GANINO MELINA TRS ELEM
7,608
EREA LE MIRANTIN
BERENGER LUDOVIC ADJ SEGPA
TP (P) 12,333
MERCIER FRANCINE ADJ SEGPA
21,311
BOIRARD FRANCIS ADJ SPE TP
(P) 30,144
CARRE YVES ADJ SPE TP (P)
26,244
GIBERGUES JEROME ADJ SPE TP
(P) 11,381
TRONCY JEAN CHRISTOPHE ADJ
SPE TP (P) 19,333
VIGUET CARRIN MARTINE ADJ
SPE TP (P) 25,239
BOURGEOIS PERRINE EDUC
TP 4,417
COLLEGE JEAN MOULIN
ROUSSEAU MARIE LAURE ULIS
A (P) 20,961
IEN
ALLAIRAT NICOLAS TRB 6,925
BALSSA EMILIE TRB 11,694
BARBOT MATHIEU TRB 7,333
BECK BARBARA TRB 18,333
CADET CAROLINE TRB 11,078
CAPRINI DELPHINE TRB 11,161
CASTETS JULIETTE TRB 13,333
CATTELIN TELLIER STEPHANIE
TRB 6,325
DOMENGE KARINE TRB 8,333
JAY DUVILLARD AUDREY TRB
8,333
MONTABONE SARAH TRB
6,333
PERRUCCHIETTI NATHALIE TRB
8,128
POIRIER JULIEN TRB 6,167
RODENBURG LIONEL TRB 5,25
ALBIEZ MONTROND
QUERCIOLI SEBASTIEN A MAT
13,333
APREMONT
COMAS CELINE AM 44,211
ARVILLARD
LAURENT SYLVIE A MAT 16,328
AUSSOIS
GUITTON BLANDINE DEM 5,25
AVRESSIEUX
DUBOIS DELPHINE AM 13,333
DESMARIS HELENE DEM
17,333
BARBERAZ
AC T E U R S
MOUVEMENT GÉOGRAPHIQUE 2013
9,983
LABARRE JEAN FRANCOIS
DEMAT 36,256
VERT BOIS
REKIK INES AM 38,333
BERTHET SANDRA DEMAT
5,969
LACAMBRE CATHERINE PRAS
E 36,728
TRANKLE OLIVIA ZIL M 7,208
WALDECK ROUSSEAU
DUCRETTET PAULINE AM IMF
21,981
LASSUS STEPHANIE AMAT IMF
23,333
ST LOUIS DU MONT
GAY MURIEL ADJ SPE 22,3
EREA A. GEX
MILIN ANNE ADJ SPE 35,986
MONGRUEL STEPHANE EDUC
26,825
IEN CHY1
ANSELME MICHEL TRB 12,333
BONNEL ALINE TRB 10,631
DUTRIEVOZ FLORENCE TRB
17,333
EFFRANCEY ANGELIQUE TRB
7,689
FIGLIOLINI SANDRINE TRB
10,333
FLAN ISABELLE TRB 10,333
GELLON CAMILLE TRB 8,333
GUERBY SYLVAIN TRB 19,333
LAGARDETTE AURELIE TRB
8,333
MONTFORT MARCEL TRB
37,347
PERRIN ANNE LAURE TRB
10,392
PRIEUR MARIE LAURE TRB
8,333
SARRON DELPHINE TRB 8,081
SIMON ARMELLE TRB 11,833
IEN CHY2
LAPERRIERE FABIEN IMF IEN
(P) 13,167
GLEIZES ISABELLE REF CDA (P)
33,2
SILVESTRE CHRISTOPHE REF
CDA (P) 22,278
IEN CHY3
BALLAZ JEAN MARC CHAR MIS
(P) 30,264
IEN CHY 4
LEDOUIT LAURENT CPC \N \N
BONTRON LAETITIA TRB 8,969
DELACOSTE VERONIQUE TRB
12,333
DUARTE DA SILVA CELINE TRB
8,847
ESPOSITO VALERIE TRB 11,25
GUESMIA ALMERINDA TRB
25,842
HARDY CAROLINE TRB 10,428
KABA SARAH TRB 8,333
LETELLIER ISABELLE TRB 11,983
LETOURNEAU PATRICK TRB
32,219
NICOROSI VERONIQUE TRB 9
PARIS SANDRINE TRB 20,331
SARAZIN CAROLE TRB 15,325
TRINQUIER HELENE TRB 11,833
MELIN SYLVIE TRS ELEM (P)
9,333
CHAMOUX SUR GELON
BERTHIER MARLENE AM
12,833
GACON SABINE DEM 20,333
HAUCHECORNE CORINNE ZIL
M 10,333
CHAMPAGNY EN VANOISE
GAY STEPHANIE AM 2,333
CHANAZ
FAURE JEAN MICHEL AM
34,261
CHATEAUNEUF
FERRIER TARIN STEPHANIE TRS
AC T E U R S
ELEM 35,983
CHIGNIN
FRANCILLON ANNE A MAT
18,481
CHINDRIEUX
RONCERAY JESSY DEM 9,333
CLERY
MACHERET JENNIFER DEM
15,333
ENTREMONT LE VIEUX
MONNET AMELIE A MAT
13,833
EPIERRE
DURAND CHRISTOPHE DEM
15,167
FEISSONS SUR ISERE
VIANEY MURIELLE A MAT
11,333
FRONTENEX
GAUTHIER PASCAL AM 42,733
GERLIER GERALDINE AM (P)
14,333
GILLY SUR ISERE
BAUDART CONSTANTIN
SANDRA AM CLIS TP 9,333
GRESIN
PAULIN MAUD A MAT 15,333
THIBAUD LAURENCE DEM
11,331
GRESY SUR AIX
PALUMBO EMMANUELLE A
MAT (P) 10,333
LA BATHIE
CADENEL CATHERINE DEMAT
34,208
L'OISEAU LYRE
MERCIER BALAZ VALERIE AM
23,297
LA BIOLLE
TARDIVEL LAURA A MAT 25,25
AILLAUD GERALD AM 17,369
LA CHAMBRE
DENISAN CATHERINE PSY 7,25
LA GIETTAZ
LAMIRAND LAETITIA DEM
7,333
LA LECHERE
DOUCY
SCOLARI FABIOLA AM 7,333
BERTON LINE DEM (P) 5,333
ND DE BRIANCON
SOMMERHALTER LAURE A MAT
9,806
COLLIARD CHRISTINE DEM
17,833
LA MOTTE SERVOLEX
L. PERGAUD
BAFFERT CECILE AM 20,408
LA VILLETTE
SCHRAM NADINE A MAT
31,272
LAMARTINE
THELLIER SYLVIE A MAT 48,311
LE TREMBLAY
CHATON LUCILE MAT 18,333
COLLEGE GEORGES SAND
LE GAL OPHELIE ULIS C (P)
13,133
LA RAVOIRE
PRE HIBOU
TROUSSE CECILE AM CLIS
13,333
COLLEGE E. ROSTAND
DOMITILE ANNE ULIS D 12,333
LA ROCHETTE
LA NEUVE
CHASSIGNEUX CATHERINE AM
31,097
ORSATI ALICE DEM (P) 14,317
GUILLERMAND CHRISTELLE TRS
ELEM 22,333
IMPRO
ALGIVE DAVID ADJ SPE TP 8,333
AVOGADRO ANTONY ADJ SPE
TP 4,781
PERIER LAURENT ADJ SPE
20,167
LES ALLUES
LEMAITRE MATHILDE A MAT
10,333
GIACOMETTI SYLVIE DEM
40,922
LES CHAVANNES EN MNE
DEGRAND SYLVAIN M 12,167
MACOT LA PLAGNE
ALBERT PERRIERE
ASTIGARRAGA ADELINE AM
31,331
CHEVRIER CLEMENT ZIL M
3,333
STATION
PASCAL YOLAINE AM 5,844
MERCURY
JOSEPH TROLLIET
GUERREIRO LESLIE A MAT
18,333
MEYRIEUX TROUET
GIRARD OPHELIE M 6,333
MODANE
JULES FERRY
DALAIRY SANDRINE AM 19,333
RODRIGUES JOAO PEDRO AM
CLIS 22,244
CHIUMMIENTO MARIE THERESE
PRAS E 32,914
DALAIRY RICHARD TRS ELEM
16,333
MONTCEL
LAMBERT ISABELLE AM 19,333
MONTGIROD
CENTRON
PALAYER HEIDI AM 3,333
MONTHION
CAPITAINE A DEGLISE-FAVRE
BENEDUCI ISABELLE AM 13,5
MONTMELIAN
A. GEX
JOUBERT ARIELLE A MAT
46,992
J. MOULIN
BONNABAUD FRANCETTE AM
CLIS TP 24,5
P. WILL
FERRAND LUNEAU PASCALE
AM 14,333
LADET PASCALE AM 28,675
IEN
MAUREL SABINE CHAR MIS (P)
33,25
BENISTANT SOPHIE TRB 18,967
BONNIN GEORGES TRB 17,333
BOUCHER MARIE CLAUDE TRB
13,333
CHAUDURIE LAETITIA TRB
12,333
COLLIN GUENAEL TRB 9,333
DOUSSOT GUILLEMETTE TRB
11,833
HENRIOT EMILIE TRB 10,333
KLEIN AUDREY TRB 13,333
LABORET VALERIE TRB 20,333
LORENTZ ANNE CLAIRE TRB
10,333
MALLEVILLE AMANDINE TRB
10,333
MOLITOR OLIVIER TRB 16,689
RICHARD EMILIE TRB 10,583
RODRIGUEZ SOPHIE TRB
18,833
VALOIS CAROLINE TRB 15,333
MOUTIERS
DARANTASIA
MONGELLAZ ANNE CATHERINE
AM CLIS TP 8,333
MICHAULT ISABELLE PSY
24,239
COLLEGE JEAN ROSTAND
BLANC TAILLEUR FABIENNE ADJ
SEGPA TP 9,819
IEN
ANXIONNAZ PIERRE CPC
38,133
EPP NICOLINO ISABELLE IMF
IEN 30,264
ARNAUD BERTRAND TRB 4,333
BALLINI JACKY TRB 6,333
GENIN MAGALI TRB 3,333
GEOFFROY CHLOE TRB 2,333
TOURRET MURIEL TRB 3,333
VILLENAVE SANDRINE TRB
0,333
BORLET EMILIE TRB FLE 11,331
MYANS
THOMAS CORINNE NADIA A
MAT 34,967
NOTRE DAME DES MILLIERES
ONESTI CARINE A MAT 23,333
NOVALAISE
ANSELME ADELINE TRS ELEM
13,319
PALLUD
RODRIGUES MARIE A MAT
14,333
PONTAMAFREY MONTPASCAL
BRUN RABE BEATRICE AM
43,333
PRESLE
GAUTHIER FABIENNE DEM
2,333
QUEIGE
ROJAS CACHAIRO AURELIE AM
31,833
LOOSEN HELENE DEM 15,333
SEEZ
CHEF-LIEU
BETRANCOURT CHARLOTTE
AM 6,333
KAYSER BRIL LUCIE AM 6,333
SERRIERES EN CHAUTAGNE
GORGES SYLVAIN A MAT 15,333
VILLEGAS CELINE A MAT 16,333
ST ALBAN DES HURTIERES
CARLIOZ NICOLAS AM 15,333
ST ALBAN LEYSSE
RENE CASSIN
CHAMPIER ISABELLE TRS ELEM
(P) 17,819
COLLEGE J ET X DE MAISTRE
CITTADINI EVELYNE ULIS A (P)
16,333
ST ANDRE
LAMY CAMILLE MAT 13,333
ST BERON
JEAN FERRAT
ABOUR SAMI AM 23,167
BLANCHON CHRISTINE AM
12,075
VAUDOLON CORINNE DEM
10,331
ST BON
COURCHEVEL(P)850
RUAZ PERRINE A MAT 8,358
LE PRAZ
CORNU FANNY AM 4,333
ST ETIENNE DE CUINES
MOISE ANDRE COLLOMB
ROUBAUD VALERIE AM 40,739
ST GIROD
HORVAIS NATHALIE AM 16,833
ST JEAN D ARVES
JANEX JOEL AM 33,544
ST JEAN DE BELLEVILLE
ELIET CATHERINE AM 28,247
COURTILLE JOSEPHA DEM
7,331
ST JEAN DE MNE
A. BRIAND
FONTAINE JEAN DEM (P)
32,989
ALLARD BLANDINE TRS ELEM
45,333
LES CLAPEYS
PETIT ANNE PRAS G 22,489
COLLEGE MNE
KAMBOURIAN DELPHINE ADJ
SEGPA TP 11,333
MAGNIN MICHEL ULIS D TP
6,319
IEN
BERTHOLLET AURELIE GAELLE
TRB 2
BOUILLER KARINE TRB 7,944
CHENEVAS PAULE KAREN TRB
4,333
DERRIER CHARLOTTE TRB 1,333
DUCRET MARJORIE TRB 6,203
DUFOUR BONNET SARA TRB
0,333
GACHET JULIE TRB 3,333
GILBERT EMILIE TRB 5,092
GRANSARD NATHALIE TRB
20,333
JOUANNOT DOMINIQUE TRB
26,75
PELLET MARGUERITE TRB
1,333
TORROELLA ANNE TRB 20,219
ST MARTIN DE BELLEVILLE
CHEF LIEU
GIBRALTA VIRGINIE TRS ELEM
6,319
VAL THORENS
BALZAC ELISE AM 8,581
ST OFFENGE DESSUS
BOUVIER SOPHIE A MAT
25,733
MILLERET DELPHINE DEM (P)
13,333
ST PIERRE D ALBIGNY
LES FRONTAILLES
GUARALDO PASCAL DEM
11,914
ST PIERRE D ENTREMONT
FATIO LAETITIA A MAT 10,972
ST PIERRE DE CURTILLE
MENDOLA MARIE DEM (P)
6,333
ST VITAL
BRUET HOTTELAZ SYLVAIN DEM
(P) 15,333
STE FOY
SKOROCHOD FANNY AM 6,333
TIGNES
MICHEL BARRAULT
GAMON MATHILDE AM 3,333
TOURNON
PERTIN FREDERIC AM 39,528
UGINE
CREST CHEREL
LEVASSEUR CLAIRE A MAT
12,833
CREST CHEREL
MITTEAU CAROLINE AM 10,325
PRINGOLLIET
COLLOMB PATTON LISE ZIL M
7,333
VAL D’ISERE
SAMIVEL
REYNAUD FEMY FLORENCE A
MAT 15,572
VALLOIRE
PASSON SOPHIE DEM (P)
15,833
VERRENS ARVEY
PILLARD FLORES FRANCOISE
AM 28,186
VERTHEMEX
LEWIS GERARD CHRISTELLE M
10,333
VILLARD SALLET
FOYARD KARINE A MAT 24,333
PAUCHON EMILIE DEM 1,333
VILLARLURIN
GIRARD MARION DEM 5,847
VILLARODIN BOURGET
LE BOURGET
NUNES CAROLINE M 11,333
VILLAROGER
LA GURRAZ
POYER SOPHIE M 32,408
VIMINES
ANDUGAR SANDRINE A MAT
18,333
VOGLANS
MANSA CARINE DEMAT 20,333
11
RENTRÉE 2013
Circulaire de rentrée 2013
L
12
e début d'un commencement de changement...
En apparence rien de plus traditionnel
qu'une circulaire de rentrée. Et d'ailleurs, la circulaire de
rentrée qui a été publiée au Bulletin officiel du 11 avril
ressemble aux précédentes. Pourtant c'est la première
circulaire de rentrée de Vincent Peillon. Et elle amorce la
refondation, mais au rythme du quinquennat. Les changements sont donc modestes : l'arrivée du plus de maîtres
que de classes, des conseils école collège et d'un nouveau
LPC. Pour le reste il faudra attendre 2014, et surtout 2015...
Le changement n'est pas tout à fait pour maintenant dans
l'éducation nationale, pour reprendre le slogan de campagne du candidat Hollande en 2012.
2013 s’annonce encore comme une année de
transition
Le texte affiche parmi ses priorités, celle de « rénover en profondeur l’enseignement du 1er degré ». Sur les 7
000 postes annoncés pour la rentrée, “3 000 équivalents
temps plein” iront au primaire pour tenir compte de l’évolution des effectifs d’élèves, de la scolarisation des moins
de trois ans et de la mise en place du « plus de maîtres
que de classes » dans des écoles situées dans un environnement social défavorisé. Une part de ces moyens sera également affectée au remplacement. Dans le bilan partiel
de la préparation de la rentrée, le SNUipp-FSU note que
les DASEN ont, pour l’instant, gardé près de 800 postes en
réserve. De fait, pour l’heure, le nombre de classes supplémentaires reste à ce jour limité (moins de 100), le nombre
de remplaçants aussi (environ + 200), plus de maîtres que
de classes (+ 700), scolarisation des moins de trois ans (environ + 300). En Savoie, pas de classes supplémentaires (17
ouvertures pour 17 fermetures!), nombre de remplaçants
La formation des PE
Principale mesure
de la rentrée 2013, la
reconstruc•on d’une forma•on
professionnelle
ini•ale des enseignants,
mise à mal, en 2011, par
la réforme dite de la mastérisa•on, avec la créa•on
des ESPE annoncée pour
la rentrée prochaine, la
forma•on ini•ale des enseignants absorbant d’ailleurs une par•e des postes
créés. Pour le SNUippFSU, la place et les interven•ons des formateurs
de terrain (MF) restent
posées. Il demande qu’ils
par•cipent ac•vement sur
leur 216 H annuelles à des
ac•ons de forma•ons au
sein des ESPE.
Pour le SNUippFSU, les ESPE doivent être
de véritables écoles supérieures garan•e par une
unité de lieu et d’organisa•on humaine et pédagogique. Elles doivent bénéficier de moyens pour
proposer une véritable
forma•on
professionnelle. Les masters MEEF
doivent offrir une forma•on prenant en compte
la spécificité du mé•er
de professeurs des écoles
(polyvalence, maternelle,
travail en équipe, connaissance du développement
de l’enfant, rela•ons aux
familles,…), tout au long
du cursus et y compris
dans la prépara•on du
concours pendant le M1.
inchangé ou presque (+ 1 poste!), 7 postes pour le dispositif « plus de maîtres que de classes » avec un manque
aberrant de concertation avec les écoles potentiellement
concernées, et enfin zéro, rien, nada, pour la scolarisation
des moins de 3 ans...
A ce train-là, l'engagement du chef de l’État de
créer 60 000 postes sur le quinquennat risque de ne guère
être perceptible sur le terrain...
9 heures pour la formation continue
Après des années où elle n’a cessé de diminuer, la
formation continue des enseignants est appelée à être
« relancée ». Les intentions sont affichées avec 9 heures annuelles de formation professionnelle continue, des heures
effectuées « pour tout ou partie, sous la forme de sessions
de formation à distance sur des supports numériques ».
Pour le SNUipp-FSU, s’il peut être intéressant de fournir
grâce à des supports numériques des outils aux enseignants, une réelle formation continue inclue des échanges
et ne peut donc se faire uniquement à distance. De plus,
rien n’est dit sur le retour d’une formation continue robuste sous forme de stages dans les futures ESPE. C’est
pourtant un aspect essentiel pour aider les enseignants
et les équipes à reprendre la main sur le métier, mieux
travailler à la réussite des élèves et mettre en œuvre les
nouveaux dispositifs.
La maternelle en un seul cycle
Les missions de l’école maternelle seront bien redéfinies autour d’un cycle unique. Mais la manière dont on
passe de l’intention à l’acte reste à définir. Le texte prévoit
aussi que « les enseignants de grande section et de cours
préparatoire auront des échanges sur les acquis des élèves
à l’issue de l’école maternelle et sur les besoins spécifiques
des élèves bénéficiant d’aménagements particuliers de
scolarité » sans que les modalités de ces échanges ne soient
précisées. La mise en place de formations spécifiques dans
les plans académiques de formation sera déterminante.
Nouveaux programmes, évaluations, inclusion et SEGPA
Parmi les mesures puisées dans le projet de loi, figure l’installation d’un nouveau Conseil supérieur des programmes qui s’attachera à la réécriture des programmes
de l’enseignement élémentaire « en cohérence avec le
nouveau socle de connaissances, de compétences et de
culture ». Ceux-ci sont programmés pour la rentrée 2015.
Le SNUipp-FSU a demandé au ministère que du temps
soit banalisé lors du premier trimestre de l’année scolaire
prochaine pour que les collègues soient associés à cette refonte des programmes et cela passe d’abord par un bilan
des programmes de 2008.
L’éducation prioritaire
L’éducation prioritaire faisait partie des grandes
oubliées dans les dernières circulaires de rentrée. Un paragraphe lui est consacré dans celle-ci. Une relance ambitieuse accompagnée d’une évaluation nationale débouchant sur des assises en automne 2013 est annoncée. Mais
AC T E U R S
RENTRÉE 2013
là aussi, à part ces annonces, pas de propositions concrètes
pour changer le quotidien des enseignants et des élèves
pour relever le défi de la démocratisation scolaire.
Une année de transition
Le mot revient à plusieurs reprises tout au long du
texte : il s’agit bien d’une circulaire de « transition » mais
on peine à déceler les mesures concrètes et opérationnelles
qui amélioreraient sensiblement le quotidien des écoles
et des enseignants dès la rentrée prochaine. Nous savons
aussi que le changement de ton dans la conduite et le pilotage des écoles par les DASEN et les IEN a du mal à se
mettre en place dans les départements et les circonscriptions. Les enseignants ont besoin de modifications significatives s’écartant d’un pilotage de type managérial qui a
démontré son inefficacité. Rien ne se fera sans accompagner, outiller et aider les enseignants dans l’exercice quotidien de leur métier. Ils doivent retrouver concrètement la
confiance de l’institution.
L’éducation prioritaire : discussions
avec le ministère
Le ministère (la
DGESCO) a prévu 5 réunions avec les organisa•ons syndicales (FSU,
UNSA, SGEN, CGT, FO,
SNALC, SUD) avant les
vacances es•vales sur
le thème de l’éduca•on
prioritaire. Ces réunions
ont débuté le 22 février,
et la FSU y a pris une part
ac•ve.
Vincent Peillon annonce pour la fin juin 2013
«un diagnos•c détaillé des
moyens de l’éduca•on
prioritaire». L’évalua•on
du disposi•f fait par•e
du premier cycle du programme
(interministériel) de modernisa•on de
l’ac•on publique (MAP).
«Ce sera l’occasion d’une
réflexion générale sur le
zonage, sur l’alloca•on de
moyens humains et pédagogiques
suscep•bles
AC T E U R S
de rendre notre système
éduca•f plus juste, plus
efficace, au service des
jeunes qui connaissent
les plus grandes difficultés «, précise le ministre.
Ces discussions se font
en parallèle de la réforme
de la poli•que de la ville.
Dans le cadre de la poursuite de la rénova•on
urbaine, le but annoncé
par le gouvernement est
de concentrer les crédits
de la poli•que de la ville
sur un nombre resserré de
territoires.
Définis au nom de
l’intercommunalité
(et
non plus des communes),
les contrats de ville
uniques doivent remplacer les différents contrats
locaux liés à la cohésion
sociale, la rénova•on urbaine, la sécurité... La liste
des 1 000 territoires retenus sera publiée fin juindébut juillet (contre 2500
actuellement).
Le retour des
RASED ?
Alors que ces dernières années leur nombre
a été considérablement réduit, les RASED sont pour
le coup explicitement évoqués par la circulaire. Leur
exper•se est jugée « par•culièrement précieuse »,
elle « doit être mieux
valorisée » et le rôle des
RASED qui « retrouveront
toute leur place auprès
des équipes pédagogiques
des écoles », sera amené
« à évoluer ». Quand, comment, de quelle manière ?
Le SNUipp-FSU avec le collec•f RASED a interpellé le
ministère pour l’ouverture
urgente d’un groupe de
travail sur ce!e ques•on.
Les créa•ons de postes
RASED pour la rentrée
2013 restent à la marge.
La circulaire de rentrée
ne men•onne pas les psychologues des écoles alors
que les textes officiels
précédents font référence
aux « enseignants spécialisés et psychologues scolaires ». Le SNUipp-FSU a
interpellé le ministre sur
ce!e ques•on. Une déléga•on du collec•f na•onal
RASED, dont le SNUippFSU, a donc été reçue, par
un conseiller du cabinet du
ministre le 2 mai dernier. Il
a apporté quelques clarifica•ons et s’est engagé à
transme!re les demandes
du collec•f. Ainsi le groupe
de travail annoncé à l’automne présentera ses proposi•ons en juin en même
temps que l’IGEN (inspec•on générale) rendra son
rapport sur la grande difficulté scolaire. C’est après
que débutera la concerta•on avec les associa•ons
professionnelles, parents
et syndicats, plus probablement après la rentrée.
Une nouvelle circulaire,
voire un nouvel arrêté sur
les forma•ons spécialisées, devraient entrer en
vigueur à la rentrée 2014.
CONGRÈS NATIONAL DU SNUIPP
Trois savoyards représenteront la section Savoie
du SNUipp au congrès de St Malo du 10 au 14 juin 2013
13
RENTRÉE 2013
Nouveaux programmes : mise en place du
CSP
14
Le Conseil supérieur des programmes (CSP) créé
par la loi d’orienta•on devrait être installé au cours
de l’année 2013. Le CSP devrait être composé de seize
membres (dix personnalités qualifiées nommées par le
ministre ainsi que deux députés, deux sénateurs et deux
membres du CESE). Pour le SNUipp-FSU, Il faut qu’il intègre des personnes disposant de connaissances solides
sur le primaire. Les grands domaines d’enseignement (
li•érature, sciences, mathéma•ques, histoire...) doivent
aussi être représentés. Le SNUipp demande aussi à :
Créer un groupe d’experts en appui au CSP :
une forme de Conseil scien•fique d’une vingtaine de
membres, composé d’enseignants, de conseillers pédagogiques, d’IEN, d’IPR, de membres de l’Inspec•on Générale, de chercheurs, d’experts engagés dans des projets
tels que « La main à la pâte », « Pollen »…
• Prévoir des documents d’accompagnement et
de la forma•on
• Associer et consulter les enseignants à chaque
étape
• Établir une démarche transparente
Toutes les proposi•ons du SNUipp-FSU au CSP : à
consulter sur h•p://www.snuipp.fr/IMG/pdf/csp_proposi•ons_du_snuipp.pdf
Au niveau des évalua•ons na•onales, la circulaire
rappelle que celles-ci, ce•e année, ne donneront pas lieu
à remontée na•onale comme le SNUipp-FSU l’avait demandé. Pour l’année scolaire 2013-2014, « de nouvelles
modalités seront fixées une fois que la structure des
RYTHMES SCOLAIRES :
cycles aura été décidée, sur la base des proposi•ons du
Conseil supérieur des programmes et du Conseil na•onal
d’évalua•on ».
Quant à la scolarisa•on des élèves « à besoins éduca•fs par•culiers », elle doit faire désormais l’objet d’une
« approche plus qualita•ve » perme•ant de « construire
une École inclusive ». On ne peut que souscrire à l’inten•on. Pour sa mise en œuvre, 350 emplois d’AVS supplémentaires sont programmés pour la rentrée, ainsi que
l’u•lisa•on d’un nouvel ou•l le GEVA-SCO pour l’évalua•on des besoins des élèves en situa•on de handicap.
Chaque projet d’école devra consacrer un volet à leur
inclusion.
Une nouveauté : « Le troisième plan au•sme devra
favoriser, le plus tôt possible, la scolarisa•on des élèves
présentant des troubles envahissants du développement,
souhaitant ainsi mieux adapter leur parcours scolaire à
leurs besoins. » Il s’agit de solliciter les établissements et
services spécialisés pour déployer des unités d’enseignement implantés au sein de certaines écoles maternelles,
avec un encadrement renforcé (un adulte pour un enfant).
« Trente de ces unités d’enseignement pilotes seront installées pour la rentrée 2014. » Ce disposi•f sera donc mis
en place dans un an.
La circulaire rappelle que pour les SEGPA : « Les disposi•ons du projet de loi en cours d’examen au Parlement
ne modifient en rien la situa•on des sec•ons d’enseignement général et professionnel adapté (SEGPA) comme
des établissements régionaux d’enseignement adapté
(EREA), dont les fondements juridiques, l’organisa•on et
les missions sont maintenus. »
UN POINT AVANT LA FIN DE L’ANNÉE
Comité de Suivi de la réforme
En Savoie, le Comité de Suivi se mettra en place le
11 juin prochain et étudiera la situation en Savoie, fera le
point sur les PEDT et mènera une réflexion sur les modes
de coopération les plus efficaces. Il sera composé de 3 IEN,
De 2 maires, d'un représentant du Conseil Général, de réprésentants de la Ligue de l'enseignement, de la FCPE, de
la PEEP, d'une DDEN, de la Direction Départementale de
la Cohésion Sociale et de la protection des Populations, et
enfin de 4 représentants des personnels (SNUipp-FSU, SEUnsa, FO, SNUDI-FO).
Le SNUipp-FSU entend s’appuyer sur l’expertise des
enseignants des écoles pour faire remonter au sein de ce
comité de suivi les points d’appui mais aussi les difficultés,
voire les blocages constatés.
Le SNUipp-FSU lance un espace de mutualisation
Près de 20 % des écoles vont mettre en place de
nouvelles organisations scolaires à la rentrée prochaine. Le
SNUipp-FSU, qui n'a eu de cesse de mettre en lumière les
exigences des enseignants et d'engager les mobilisations
nécessaires, doit continuer de demander la réécriture du
décret et poursuivre ses interventions pour que les équipes
d'écoles soient entendues. Le SNUipp-FSU continue d’exiger la réécriture du décret. Des dérogations à la règle des
4,5 jours doivent pouvoir être possibles comme cela était
le cas avant 2008. Améliorer les rythmes d’apprentissage
suppose aussi des améliorations dans le fonctionnement
de l’école avec de meilleures conditions d’apprentissage
et de vie des élèves (effectifs, travail en petits groupes…)
et de meilleures conditions de travail des enseignants (généralisation du dispositif "plus de maîtres que de classes",
déconnexion du temps élève et enseignant par la modification du temps de travail des enseignants pour aller vers
18h + 3h….).
Le SNUipp-FSU envoie dès la fin mai une lettre aux
écoles pour qu'elles renseignent l'emploi du temps retenu
pour la rentrée 2013, précise la forme et la nature des
activités complémentaires et périscolaires et fasse part de
ses commentaires. D'ici début juin, l'espace sera public et
visualisable département par département.
AC T E U R S
CONDITIONS DE TRAVAIL
Regard des enseignants savoyards sur leurs
conditions de travail
Résultats de l’enquête menée par le SNUipp-FSU
73, du 29 septembre 2011 au 31 décembre 2012
’école est au centre de toutes les pressions : fortes attentes sociales, accroissement des demandes institutionnelles,
ambition de la réussite de tous, évolution des connaissances, renouvellement des enseignants... Les suppressions massives de postes ces dernières années ont eu
des conséquences très négatives sur les conditions de
travail des enseignants et sur le climat dans les écoles.
Le changement initié en 2012 était porteur d’espoir mais
les améliorations concrètes pour les enseignants tardent à
se faire sentir un an après. Réforme des rythmes scolaires,
nouveaux programmes scolaires, création des ESPE, revalorisation du métier, plus de maîtres que de classes… Tous ces
sujets auront des conséquences sur le travail des professeurs.
Tout bouge.
Mais qu’en est-il du travail enseignant ? Comment
se transforme-t-il ? Avons-nous les moyens de faire du
travail de qualité ?
Aujourd’hui, quelles sont les sources de satisfaction,
les difficultés, les obstacles ?
Le SNUipp-FSU s'intéresse à la question du travail
enseignant depuis plusieurs années, et a ouvert un "chantier travail" il y a 3 ans.
Depuis 18 mois, le SNUipp-FSU de la Savoie a donné la parole aux enseignants des écoles, et mené un travail
d'analyse des résultats.
Plusieurs idées fortes ressortent de cette enquête :
• Ce métier est devenu chronophage.
• La relation avec la hiérarchie s’est également fortement dégradée.
• Un métier « usant ».
Le mal-être des enseignants savoyards est bien réel
et par conséquent c’est tout notre système éducatif qui
en pâtit. Il serait temps de s’en rendre compte afin que
la situation s’améliore vraiment. La priorité à l’école primaire ne doit pas se compter uniquement en nombre de
postes mais doit aussi être ressentie par les enseignants au
quotidien dans leur classe. Il faut agir maintenant.
Le mal-être des enseignants savoyards est bien réel
et par conséquent c’est tout notre système éducatif qui
en pâtit. Il serait temps de s’en rendre compte afin que
la situation s’améliore vraiment. La priorité à l’école primaire ne doit pas se compter uniquement en nombre de
postes mais doit aussi être ressentie par les enseignants au
quotidien dans leur classe. Il faut agir maintenant.
Ces constats sont corroborés par différentes études
ou rapports :
• rapport n°2012-070 de l‘IGENR de juillet 2012 sur
"Les composantes de l’activité professionnelle des
L
AC T E U R S
enseignants outre l’enseignement dans les classes"
Carrefour Santé Social 2011
• rapport du sociologue Éric Debarbieux "L’école
entre bonheur et ras le bol"
• rapport d’information N° 601 du Sénat daté du 19
juin 2012 sur le métier d’enseignant
Agir : le CHS-CT doit se pencher sur les conditions
de travail dans le premier degré
Le CHS-CT départemental s'est réuni ce mardi 28
mai.
Le SNUipp-FSU avait demandé d'inscrire à l'ordre
du jour la présentation de son enquête "Regard des enseignants savoyards sur leurs conditions de travail". Le DASEN a refusé. Par la voix de la Secrétaire Générale qui a
présidé le CHS-CT ce matin, l'explication est des plus embrouillées : c'est qu'ils ne savent pas trop de quoi il s'agit...
De quoi s'agit-il ? Les membres du SNUippFSU en CHS-CT l'ont expliqué : il s'agit de s'intéresser aux
conditions de travail dans le premier degré !
Pourquoi ? Parce que les enseignants des écoles
sont parmi les plus exposés aux risques psycho-sociaux et
à la tension au travail, comme l'a démontré le Carrefour
Santé Social ; parce qu'un rapport d'information au Sénat
sur le métier d'enseignant de juin dernier fait le constat
également de la "souffrance ordinaire des enseignants",
alors que ce sujet est "encore trop rarement questionné,
notamment par les services académiques qui sont en première ligne."
Jusqu’alors, dans les CHS, peu de sujets à l’ordre du
jour abordaient des problèmes spécifiques au 1er degré.
A présent que se sont mis en place des CHS-CT (CT pour
les Conditions de Travail), il nous semble primordial de se
pencher sur cette problématique. D'ailleurs, d'autres organisations syndicales commencent à s'emparer de la question, et ont travaillé sur des questionnaires à destination
des enseignants des écoles de leur côté.
Bref, le CHS-CT doit s'emparer de la question !
Il a donc été acté la mise en place d'un groupe
de travail spécifique 1er degré, deuxième quinzaine
de septembre, afin d'élaborer un questionnaire destiné
aux enseignants des écoles. Ce questionnaire émanera du
CHS-CT 73, qui s'en servira pour analyser les conditions de
travail dans le 1er degré et proposer des pistes de prévention.
Le chantier est donc ouvert pour l'année scolaire à
venir !
Tous les résultats de cette consultation sur
h•p://73.snuipp.fr
15
CHS-CT : LES REGISTRES OBLIGATOIRES (SUITE DU N° 81)
16
Registre de danger grave et imminent
Registre santé et sécurité au travail
Si un agent a un mo•f raisonnable de penser
qu’une situa•on de travail présente un danger grave
et imminent pour sa vie ou sa santé, il le signale
immédiatement à l’autorité administra•ve ou à son
représentant, qui le consigne sur ce document.. Ceci
s’applique également à toute défectuosité dans les
systèmes de protec•on.
On aura avantage à aver•r sans délai le secrétaire du CHS-CT départemental qui suivra alors toute
la procédure.
C’est le droit d’alerte. L’agent peut alors faire
valoir son droit de retrait, sous condi•on de ne pas
me•re la sécurité des autres en danger (cf Acteurs n°
Il peut y avoir droit d’alerte, sans droit de retrait.
Il ne peut y avoir droit de retrait, sans droit d’alerte.
Le danger en cause doit être grave et suscep•ble de
produire un accident ou une maladie entraînant la mort
ou paraissant devoir entraîner un dommage important
(incapacité permanente ou temporaire prolongée).
Le caractère imminent du danger implique la survenance d’un événement dans un avenir très proche,
voire immédiat.
A la suite du signalement d’un danger grave
et imminent, soit directement par l’agent, soit par
un membre du CHSCT, l’autorité administra•ve ou
son représentant doit sur le champ procéder à une
enquête.
Ce document des•né aux agents et éventuellement
aux usagers doit être placé dans un lieu accessible et connu
de tous. Il permet à l’ensemble de la communauté éduca•ve d’opérer des signalements sur des situa•ons ou des
faits, en contradic•on avec les exigences de santé et de sécurité. Il peut contenir les observa•ons et sugges•ons des
agents rela•ves à la préven•on des risques professionnels
et à l’améliora•on des condi•ons de travail. Conçu comme
un ou•l de liaison, les solu•ons provisoires ou défini•ves
arrêtées, et celles demandées auprès de l’autorité compétente doivent y être no•fiées. Un suivi doit en être assuré.
On peut consigner sur ce registre les problèmes liés à
(liste non exhaus•ve):
La sécurité des installa•ons (électricité, gaz, …) : vétusté, disjonc•ons fréquentes, absence de prise de terre, ....
• Aux risques d’accidents corporels ou de maladies : produits ou matériels dangereux, risques
de chutes,
• L’état des locaux : difficultés d’accès, de circula•on, état général des bâ•ments (sols, murs,
plafonds), accessibilité des personnes à mobilité
réduite, encombrements des locaux
• L’hygiène des locaux : ne•oyage général, état
des sanitaires, aéra•on
• L’environnement extérieur : pollu•on, bruits,
signalisa•on, éclairage
• L’ambiance de travail : éclairage, espace de travail, port de charge, bruit, travail sur écran, cadre
de vie, température
• Les condi•ons de travail : stress, mal être, harcèlemen•.
Afin d’organiser l’informa•on et de pouvoir l’exploiter il sera nécessaire que le registre soit accessible et organisée avec rigueur. On pourra par exemple, faire le choix
d’un classeur dans lequel on placera un bordereau d’enregistrement des feuilles d’observa•on qui seront déposées
qui peuvent être distribuées et commentées en début
d’année scolaire. Chacun doit avoir connaissance du lieu où
le registre sera accessible. Il vaut mieux éviter de le me•re
dans le bureau d’un membre de la direc•on afin que chacun
se sente libre d’y accéder.
- L’original de la fiche, datée et numérotée, est consigné dans le registre qui reste à l’école. Le directeur par sa
signature a•este des solu•ons provisoires ou défini•ves
mises en place.
- Un double est conservé par l’auteur du signalement.
- Une copie est transmise à la circonscrip•on pour
informa•on et/ou suivi.
- Le registre est régulièrement consulté lors du
conseil d’école et il est possible de recourir au CHS-CT départemental si cela s’avère nécessaire.
Un système informa•que pourra être développé, à
condi•on de pouvoir réaliser les différentes condi•ons cidessus. Geeks, à vos claviers !
AC T E U R S