10 AM Rule direct access] ACCIDENT
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DÉFINITIONS DE TRAVAIL DES TERMES ET PHÉNOMÈNES D'INCENDIE COMPILATION PAR HUGUES CHICOINE 1991-2001 -A- 10 A.M. Rule A fire policy advocated in the 1930s which stated that all fires would be extinguished by 10 a.m. on the morning following their ignition. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) ABSORPTION (absorbtion) 1) A mechanical phenomenon wherein one substance penetrates into the inner structure of another, as in absorbent cotton or a sponge. 2) An optical phenomenon wherein atoms or molecules block or attenuate the transmission of a beam of electromagnetic radiation. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ACCELERANT (accélérant) Any material used to initiate or promote the spread of a fire. The most common accelerants are flammable or combustible liquids. Whether a substance is an accelerant depends not on its chemical structure, but on its use. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ACCEPTABLE RISK(risque acceptable, tolérable) A risk judged to be outweighed by corresponding benefits or one that is of such a degree that it is considered to pose minimal potential for adverse effects. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 ACCÈS À L'ISSUE partie d'un moyen d'évacuation comprise dans une étendue de plancher et donnant accès à une issue [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] ACCÈS DIRECT (informatique) [direct access] Opération permettant d'obtenir le contenu de chaque enregistrement indépendamment des autres. Il s'effectue dans n'importe quel ordre, indépendamment de la place qu'occupent, en mémoire, les données recherchées. contraire : accès séquentiel. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) ACCESSIBLE (quand il s'agit de câblage) (voir aussi à découvert) (voir aussi dissimulé) .1 qui n'est pas recouvert en permanence, par la charpente ou la finition du bâtiment; et .2 qui peut être enlevé sans modifier la charpente ou la finition du bâtiment. [CSA 22.10-1992] ACCESS TO EXIT means that part of a means of egress within a floor area that provides access to an exit serving the floor area. (Ontario Fire Code 1996) ACCIDENT An unplanned event, sometimes but not necessarily injurious or damaging, that interrupts an activity. A chance occurrence arising from unknown causes; an unexpected happening due to carelessness, ignorance, and the like. [NFPA 921 - 1992] ACCIDENT Événement fortuit, imprévu, extérieur à la victime et indépendant de sa volonté. Évènement fortuit produisant un dommage corporel identifiable. Tout phénomène qui intervient fortuitement; tout évènement soudain et imprévu. Événement lié à l'utilisation d'un aéronef, qui se produit entre le moment où une personne monte à bord avec l'intention d'effectuer un vol et le moment où toutes les personnes qui sont montées dans cette intention sont descendues, et au cours duquel : a) une personne est mortellement ou grièvement blessée du fait qu'elle se trouve : - dans l'aéronef, ou en contact direct avec une partie quelconque de l'aéronef, y compris les parties qui s'en sont détachées, ou - directement exposées au souffle des réacteurs, sauf s'il s'agit de lésions dues à des causes naturelles, de blessures infligées à la personne par elle-même ou par d'autres ou de blessures subies par un passager clandestin caché hors des zones auxquelles les passagers et l'équipage ont normalement accès; ou b) l'aéronef subit des dommages ou une rupture structurelle : - qui altèrent ses caractéristiques de résistance structurelle, de performances ou de vol, et - qui normalement devraient nécessiter une réparation importante ou le remplacement de l'élément endommagé, sauf s'il s'agit d'une panne de moteur ou d'avaries de moteur, lorsque les dommages sont limités au moteur, à ses capotages ou à ses accessoires, ou encore de dommages limités aux hélices, aux extrémités d'ailes, aux antennes, aux pneus, aux freins, aux carénages, ou à de petites entailles ou perforations du revêtement; ou c) l'aéronef a disparu ou est totalement inaccessible. è seule fin d'uniformiser les statistiques, l'OACI considère comme blessure mortelle toute blessure entraînant la mort dans les 30 jours qui suivent la date de l'accident. Un aéronef est considéré comme disparu lorsque les recherches officiel les ont pris fin sans que l'épave ait été repérée. Toute atteinte corporelle, non intentionnelle, provenant de l'action soudaine d'une cause extérieure. (Source : Termium 1994) ACCRÉDITATION / accreditation Procédure par laquelle un organisme ayant une autorité reconnaît formellement qu'un organisme, entreprise ou individu est compétent. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) ACETONE The simplest ketone. A highly flammable, water soluble solvent. Flash point of 0F. Explosive limits of 2.6% to 12.8%. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ACÉTYLÈNE L'acétylène est un gaz incolore à odeur aliacée caractéristique. Il peut exploser si on le comprime à l'état pur et on le conserve habituellement sous pression en solution dans l'acétone. On l'utilise comme combustible dans le chalumeau oxyacétylénique et dans les lampes à acétylène. [Pauling 1958] ACID A hydrogen-containing corrosive material that reacts with water to produce hydrogen ions; a proton donor. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 ACTION CORRECTIVE / corrective action Action entreprise pour éliminer les causes d'une non-conformité ou d'un défaut afin d'empêcher son renouvellement. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) ACTION PRÉVENTIVE / preventive action Action entreprise pour éliminer les causes d'une non-conformité potentielle. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) ACUTE EFFECT An adverse action on a human or animal, generally after a single significant exposure, which may be mild or severe. (See Chronic Effect.) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMSState of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 ACUTE TOXICITY Any harmful effect produced by a single short-term exposure that may result in severe biological harm or death. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 Adaptation An alteration in structure or function of a plant or animal that helps it change over the course of successive generations in order to be better suited to live in its environment. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) À DÉCOUVERT (quand il s'agit de câblage) Non dissimulé. [CSA 22.10-1992] ADHÉRENCE DUE AU GEL adhérence du sol humide à un élément de fondation par suite du gel [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] ADMINISTERING AGENCY The designated unit of a county or city tasked to administer the local implementation of the State and Federal hazardous material emergency planning and community right-to-know programs. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 ADSORPTION Process of adhering to a surface. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 ADSORPTION The adherence of atoms, ions or molecules of a gas or liquid to the surface of another substance. Finely divided or microporous materials having a large active surface area are strong adsorbents. Examples include activated carbon, activated alumina and silica gel. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) Advanced Life Support Advanced life support (ALS) is medical care provided by paramedics trained to assess a patient's condition, administer drugs, defibrillate and provide advanced airway management prior to transportation to the hospital. [email protected] AÉROSOL On appelle aérosol l'ensemble des très petites particules qui sont en suspension dans l'air. Ces particules peuvent être liquides (brouillard) ou solides (fumées). Ce terme sert aussi couramment pour désigner un contenant sous pression réalisant la dispersion des particules, comme par exemple la bombe aérosol à peinture. L'inhalation est la voie la plus commune d'exposition à des produits chimiques sous forme d'aérosol. Les aérosols peuvent aussi présenter un danger d'incendie. (Canutec) AÉROSOL INFLAMMABLE En vertu du Règlement sur les produits contrôlés, Canada, un produit appartient à la catégorie des aérosols inflammables s'il est emballé dans un contenant aérosol pouvant libérer une matière inflammable. Les aérosols inflammables sont considérés dangereux parce que le produit vaporisé peut prendre feu de façon explosive et transformer le contenant en torche. Il se peut aussi qu'un retour de flamme se produise à partir d'un feu alimenté par l'aérosol inflammable. (Canutec) AEROSOLS Liquid droplets, or solid particles dispersed in air, that are of fine enough particle size (0.01 to 100 microns) to remain dispersed for a period of time. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 AFFECTATIONS À GRAND RISQUE (destination, usage des bâtiments) 1-7.4.2 [...] À grand risque (Groupe 1): comprend les affectations décrites en 1-7.4.1 où il se trouve peu ou pas de liquides inflammables ou combustibles. (NFPA 13 - 1987, p.13) A-1-7.4.1 [...] Les affectations à grand risque (groupe 1) comprennent les affectations telles que: o o o o o o o o o o Fluides hydrauliques combustibles - endroits d'utilisation o Matriçage du métal blanc o Refilage de métal o Contreplaqués et panneaux d'agglomérés, (fabrication de) o Imprimeries (utilisant des encres dont le point d'éclair est inférieur à 100ºF / 38ºC o Caoutchouc - récupération, composition, séchage, laminage, vulcanisation o Scieries o Textile: cueillette, battage, ouverture, mélange, garnettage, cardage, torsion du coton, des tissus synthétiques, de la laine d'effilochage ou de la toile d'emballage o Rembourrage en plastique mousse (NFPA 13 - 1987, p.194) 1-7.4.2 [...] À grand risque (Groupe 2): comprend les affectations décrites en 1-7.4.1 où il se trouve des quantités moyennes à importantes de liquides inflammables ou combustibles ou lorsque des obstructions à l'arrosage des combustibles sont considérables. (NFPA 13 - 1987, p.13-14) Les affectations à grand risque (groupe 2) comprennent les affectations telles que; o o o o o o o o Application par trempage du vernis et de la peinture o Dégraissage au solvant o Peintures par arrosage o Trempe à l'huile à découvert o Maisons mobiles ou unités modulaires de bâtiments (lorsqu'il y a des pièces finies et que les intérieurs sont combustibles) o Pulvérisation de liquides inflammables o Saturation d'asphalte. (NFPA 13 - 1987, p.194) AFTER ACTION REPORT -- A post incident analysis report generated by a responsible party or responding agency after termination of a hazardous material incident describing actions taken, materials involved, impacts, etc. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 AGENCY SPECIFIC PLAN An emergency plan written by and addressing an individual agency's response actions, capabilities and resources. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 AGENT nm (informatique) [agent] Ressource logicielle autonome (soit dans une application, soit dans un système d'exploitation) qui rend un service pour l'utilisateur ou pour le système. Dans le cas des systèmes d'exploitation on parle également de démon. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) AGENT DE TRANSFERT DE MESSAGE (informatique) [message transfert agent-MTA] Entité logicielle dans un réseau qui assure l'acheminement des messages (selon la norme de messagerie X400). voir : X400 (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) AGENTS EXTINCTEURS Ce terme désigne les différentes substances qu'on peut utiliser pour éteindre un feu en présence du produit dont il est question. On trouve parmi les agents extincteurs courants l'eau, le dioxyde de carbone, la poudre chimique, la mousse à l'alcool et les hydrocarbures hp gazeux (Halons). Il est important de savoir quels agents extincteurs on peut utiliser sur les lieux de travail et de les rendre disponibles. Il est aussi important de savoir quels sont les agents qu'il faut éviter d'utiliser, car ceux-ci pourraient augmenter le danger. Si plusieurs substances sont présentes, il faut si possible se procurer un extincteur qui convient à toutes. (Canutec) AGENT MOUILLANT Adjuvant tensio-actif dont la présence dans une préparation améliore l'étalement sur la face traitée. Les mouillants diminuent la tension superficielle des gouttelettes, donc réduisent les forces internes s'opposant à leur finesse de pulvérisation et à leur continuité d'étalement (surface couverte). mouillant :NORME-AFNOR. AGENT UTILISATEUR (informatique) [user agent-UA] Entité logicielle sur la machine de l'utilisateur qui assure les fonctions d'interface utilisateur, de transfert et de stockage des messages destinés ou émanant de l'utilisateur (selon la norme de messagerie X400). voir : X400 (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) AIRBORNE POLLUTANTS Contaminants that are carried/released into the atmosphere or air. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 AIRE DE BÂTIMENT la plus grande superficie horizontale, au-dessus du niveau du sol, mesurée entre les faces extérieures de murs extérieurs, ou de la face extérieure d'un mur extérieur à l'axe d'un mur coupe-feu, ou entre les axes de murs coupe-feu [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] AIR PURIFYING RESPIRATORS (APR) Personal Protective Equipment; a breathing mask with specific chemical cartridges designed to either filter particulates or absorb contaminants before they enter the worker's breathing zone. They are intended to be used only in atmospheres where the chemical hazards and concentrations are known. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 AIR PURIFYING RESPIRATOR (APR) - POWERED An APR with a portable motor to force air through the filtering/purifying cartridges for use only in atmospheres where the chemical hazards and concentrations are known. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 AIR-SUPPORTED STRUCTURE (structure gonflable) means a structure that consists of a pliable membrane that achieves and maintains its shape and support by internal air pressure. (Ontario Fire Code 1996) ALARM Any notification made to the fire department that a situation exists or may exist that requires a response [une intervention]. [NFPA 901 1981] ALARME Signalisation d'incendie commandée par une personne ou par un dispositif automatique. Des avertisseurs d'incendie ou postes téléphoniques, accessibles en permanence au personnel de l'établissement et en particulier aux préposés effectuant les rondes, doivent être disposés de telle façon, qu'un homme apercevant un foyer d'incendie n'ait à parcourir qu'une distance au plus égale à 100 mètres pour pouvoir donner l'alarme et l'alerte. Organisation de l'alarme et de l'alerte (...) L'alarme a pour objet de déclencher, dans le délai le plus court, l'intervention des secours intérieurs et de donner l'alerte. L'alarme est donnée par un des premiers témoins, tandis que l'alerte est déclenchée par le stationnaire. Renseignement ou signal sonore ou lumineux indiquant qu'un incendie réel ou présumé nécessite l'évacuation des locaux et l'intervention du personnel d'extinction. L'alarme-incendie a essentiellement pour objet de prévenir dans les délais les plus courts le personnel du service d'incendie. L'alarme a pour objet de déclencher, dans le délai le plus court, l'intervention des secours intérieurs et de donner l'alerte. L'alerte a pour objet d'appeler immédiatement les secours extérieurs, les sapeurs-pompiers. L'alarme est donnée par un des premiers témoins, tandis que l'alerte est déclenchée par le stationnaire. "Appel" : on désigne par appel les messages dont procèdent l'alarme et l'alerte. Le responsable (personne ou service) qui a reçu l'appel doit : déclencher immédiatement l'alarme en mettant en oeuvre les dispositifs prévus sur place, dans le cadre des consignes d'incendie, et déclencher immédiatement l'alerte (appel aux sapeurs-pompiers). En dehors des liaisons téléphoniques, d'autres moyens matériels donnent l'alarme et l'alerte : les boutons d'alarme répartis dans les locaux et reliés au standard; les avertisseurs d'incendie (avec bris de glace) reliés au standard de l'établissement, et, dans certains cas, au centre de sapeurs-pompiers; les détecteurs automatiques d'incendie, de gaz et de fumées qui déclenchent des signaux sonores et lumineux, transmettent des messages préétablis, provoquent l'arrêt d'apareils ou de machines, déclenchent des appareils automatiques d'extinction. (Source : Termium 1994) ALARM SIGNAL means an audible signal transmitted throughout a zone or zones or throughout a building to advise occupants that a fire emergency exists. (Ontario Fire Code 1996) ALERTE État de préparation caractérisé par les mesures prises pour une action offensive ou défensive. Terme et définition uniformisés par le Comité de terminologie française du Conseil de doctrine et de tactique de l'Armée de terre et normalisés par l'OTAN. Déclenchement d'un dispositif préparatoire de sécurité. L'alarme a pour objet de déclencher, dans le délai le plus court, l'intervention des secours intérieurs et de donner l'alerte. L'alerte a pour objet d'appeler immédiatement les secours extérieurs, les sapeurs pompiers. (Source : Termium 1994) ALERT SIGNAL means an audible signal to advise designated persons of a fire emergency. (Ontario Fire Code 1996) ALCOHOL An organic compound having a hydroxyl (-OH) group attached. The lower molecular weight alcohols, methanol (CH3OH), ethanol (C2H5OH), and propanol (C3H7OH) are water soluble. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ALGORITHME nm (informatique) [algorithm] Séquence logique des opérations appropriées et des cheminements nécessaires à la résolution d'un problème ou à la réalisation d'une tâche globale. Traduit en langage de programmation, l'algorithme devient un programme. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) ALIPHATIC One of the main groups of hydrocarbons characterised by the straight or branched chain arrangement of constituent atoms. Aliphatic hydrocarbons belong to three subgroups: 1. alkanes or paraffins, all of which are saturated and comparatively unreactive, 2. the alkenes or alkadienes which are unsaturated (containing double [C=C] bonds) and more reactive, and 3. alkynes, such as acetylene (which contain a triple [C=C] bond). (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ALKALI A hydroxide containing (-OH) corrosive material which is soluble in water, neutralizes acids, and is irritating or destructive to tissue. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 ALKANE An aliphatic hydrocarbon having the chemical formula CnH2n+2 A normal alkane, or n-alkane is one which does not have a branched carbon backbone. An iso-alkane has a branched, rather than a straight chain, carbon backbone. Alkanes are also known as paraffins. The simplest alkanes are named as follows: CH4 methane C6H14 hexane C2H6 ethane C7H16 heptane C3H8 propane C8H18 octane C4H10 butane C9H20 nonane C5H12 pentane C10H22 decane (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ALKENE A straight chain, unsaturated compound of the olefin series which has the generic formula ..., having at least one double [C=C] bond. (See Aliphatic). (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ALKYL GROUP A functional group having the formula ... which may be attached to certain elements such as lead, silicon, or to other organic chemicals. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ALKYNE An unsaturated aliphatic hydrocarbon characterised by the presence of a triple [C=C] bond. The generic formula for an alkyne is .... The most important member of this group is acetylene, HCCH, the first member of the series. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ALLIAGE DE ZINC alliage résistant à la corrosion, constitué de 0,15% de titane, 0,74% de cuivre, 99,11% de zinc [S3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] ALLOY A solid or liquid mixture of two or more metals, or of one or more metals with certain nonmetallic elements, as in brass, bronze or carbon steel. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ALLUMETTE Au XVIIIe siècle, on utilisait certaines méthodes chimiques pour produire de la flamme. Des éclats de bois étaient enduits de doufre à une extrémité, et ils s'allumaient lorsqu'ils étaient mis en contact avec du phosphore. D'autres innovations chimiques suivirent au début du XIXe siècle. Les premières allumettes modernes firent leur apparition en 1805. Il s'agissait d'éclisses de bois enduites à une extrémité de soufre sur lequel on ajoutait un mélange de chlorate de potassium, de sucre et de gomme arabique, une combinaison qui s'enflammait lorsque plongée dans de l'acide sulfurique. Les éclisses ainsi préparées et la fiole d'acide commencèrent à remplacer le briquet à amadou bien connu. La première allumette à friction pratique apparut en 1827. Ces allumettes modernes mesuraient environ 3 pouces de longueur (1 po. = 25,4 mm) et l'une de leur extrémité était recouverte d'une substance composée de sulfure d'antimoine, de chlorate de potassium, de gomme et d'amidon. Elles s'enflammaient lorsqu'on les passait dans un papier de verre replié. La première allumette moderne à friction apparut en 1833. Elle était enduite à une extrémité d'une substance similaire à celle décrite ci-haut, mais le bout était recouvert de phosphore. En 1855, l'allumette de sûreté apparait sur le marché; elle ne s'enflammait que si elle était frottée sur une surface particulière. Dans cette version de l'allumette à friction, le bouton de l'allumette et la surface de frottement contenaient chacun une partie des composants inflamables pour éviter l'allumage accidentel. [E.I. Woodhead, C. Sullivan, G. Gusset, Appareils d'éclairage, Collection de référence nationale, Parcs Canada, Ottawa, 1984] ALUMINIUM Du latin "alumen", alun (un astringent). Appartient au groupe 13. Les anciens Grecs et les Romains utilisaient l'alun en médecine et comme astringent. L'aluminium pur possède plusieurs propriétés intéressantes. Il est léger, non-magnétique et ne provoque pas d'étincelles. Il est très facilement travaillé. Pur, il manque de dureté mais ses alliages sont à la base des fuselages des avions et des fusées. Bien qu'on le trouve en abondance dans la croûte terrestre, on ne le trouve pas à l'état pur. On le raffine par électrolyse à partir de son minerai, la bauxite. Réduit en poudre, il peut brûler violemment. Toxique pour la plupart des plantes, il a aussi été relié à la maladie d'Alzheimer. Il s'accumule dans l'organisme. (Ivan Noels,[email protected]) AMBIENT Pre-existing or normal environment. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) AMÉLIORATION DE LA QUALITÉ / quality improvement Actions entreprises en vue d'augmenter l'efficacité et le rendement des processus et activités de l'organisation. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) AMERICAN CONFERENCE OF GOVERNMENTAL INDUSTRIAL HYGIENISTS (ACGIH) A professional society of persons responsible for full-time industrial hygiene programs, who are employed by official governmental units. Its primary function is to encourage the interchange of experience among governmental industrial hygienists, and to collect and make available information of value to them. ACGIH promotes standards and techniques in industrial hygiene, and coordinates governmental activities with community agencies. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 AMERICAN INDUSTRIAL HYGIENE ASSOCIATION (AIHA) An organization of professionals trained in the recognition and control of health hazards and the prevention of illness related thereto. It promotes the study and control of environmental factors affecting the health of industrial workers, and provides information and communication services pertaining to industrial hygiene. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 AMERICAN NATIONAL STANDARDS INSTITUTE (ANSI) Serves as a clearing house for nationally coordinated voluntary safety, engineering and industrial standards developed by industrial firms, trade associations, technical societies, consumer organizations and government agencies. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 AMERICAN SOCIETY FOR TESTING AND MATERIALS (ASTM) Establishes voluntary consensus standards for materials, products, systems and services. Sponsors research projects, develops standard test methods, specifications and recommended practices now in use. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 AMPLIFICATEUR nm (électronique, audio-visuel) [amplifier] Dispositif électronique d'accroissement de la puissance d'un signal. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) AMPLITUDE nf (électronique, traitement du signal) [amplitude] Grandeur physique caractérisant un signal ondulatoire et représentant les valeurs extrêmes (crêtes) de ce signal ; par extension, la valeur du signal à un instant donné (Amplitude Instantanée). Un signal vidéo peut être analogique (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) ANALOGIQUE adj (traitement du signal) [analogic] Représente un signal présentant des varitions continues et pouvant prendre des valeurs quelconques entre certaines limites. Les sons, la voix, les couleurs, tels que les perçoivent nos sens, sont des entités analogiques. contraire : numérique. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) ANALYSE Révision indépendante visant à évaluer dans quelle mesure on a satisfait aux exigences, aux prescriptions, aux produits de base, aux normes, aux procédures, aux directives, aux codes et aux conditions contractuelles et d'autorisation. Par extension, décomposition de tout objet assimilable à une tâche ou à un problème, en vue de sa réalisation ou de sa résolution. Investigation méthodique d'un problème et décomposition de ce problème en unités de dimensions réduites qui seront étudiées de façon détaillée et ultérieurement. (Source : Termium 1994) ANALYSE DE LA VALEUR / value analysis Méthode permettant d'améliorer la qualité d'un produit sans en augmenter le coût ou d'en diminuer le coût sans en diminuer la qualité. Il vise donc à obtenir le meilleur rapport possible entre la satisfaction des besoins des clients et le coût de fabrication du produit. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) ANALYSE DES MODES DE DÉFAILLANCE, DE LEURS EFFETS ET DE LEUR CRITICITÉ (AMDEC) / Failure mode effect analysis(FMEA) Étudier et maîtriser les risques de défaillance d'un produit, d'un processus ou d'un service afin d'améliorer leur fiabilité. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) ANHYDROUS Free from water, dry. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 ANSI American National Standards Institute (USA) ANTIDÉFLAGRANT (explosion-proof) Enfermé dans une boite pouvant supporter sans dommage l'explosion d'un gaz ou d'une vapeur spécifique [c-à-d identifiée] et empêcher les étincelles, les flammèches ou l'explosion du gaz ou de la vapeur à l'intérieur de la boite d'allumer le gaz et la vapeurs environnants. [CSA 22.10-1992 / (Code de l'électricité du Québec, 1987, p.30)] APPAREILS D'ÉCLAIRAGE ÉLECTRIQUE Historiquement, il y a trois façons de produire de la lumière à l'aide de l'électricité : .1 par échauffement, jusqu'à incandescence, d'un corps conducteur. C'est le phénomène qui se passe dans une ampoule électrique où le filament est chauffé à blanc lorsqu'il est parcouru par un courant d'une intensité suffisante .2 par échauffement de deux électrodes en graphite et ionisation de l'air compris entre elles. C'est la lampe à arc, si fréquemment utilisée jusqu'au milieu du XXe siècle pour l'éclairage des rues dans les grandes villes. Deux baguettes de graphite sont amenées en contact, sous un potentiel suffisant. Au moment où l'étincelle jaillit, elles sont progressivement éloignées l'une de l'autre de quelques millimètres et un arc lumineux éblouissant continue de jaillir. Lorsque les deux électrodes sont d'abord mises en contact, la forte résistance qui existe entre elles provoque l'incandescence de leur extrémité. Après la séparation, l'air, fortement ionisé (c'est-à-dire dont les atomes deviennent chargés positivement ou négativement) devient lui-même conducteur et permet ainsi aux électrons de continuer de passer en produisant un plasma lumineux .3 par ionisation d'un gaz raréfié ou d'une vapeur contenue dans une ampoule ou un tube transparent. Lorsque le courant traverse le gaz, dans certaines conditions, certains électrons de ses atomes passent d'un niveau d'énergie à un autre en libérant des photons. Ce principe, mis en application à une époque relativement récente, est celui des tubes fluorescents, de l'éclairage publicitaire "au néon" et des lampes à décharges de type "flash" utilisées, par exemple, en photographie et pour la signalisation. [Appareils d'éclairage, 1984] APPLIANCEmeans a device to convert fuel into energy, and includes all components, controls, wiring and piping required to be part of the device by the applicable standard referred to in this Code. (Ontario Fire Code 1996) APPLICATION nf (informatique) Ensemble des fichiers, des programmes et des procédures de traitement conçus et organisés par un utilisateur pour automatiser une de ses tâches. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) APPRENTI nm (formation professionnelle) Jeune ou adulte qui apprend un métier ou une technique sur un lieu de travail (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) APPRENTISSAGE nm 1- (général): Processus qui permet l'évolution de la synthèse des savoirs et des habiletés d'une personne. 2- (formation professionnelle): Le fait d'apprendre un métier manuel ou technique dans une école ou chez un particulier. 3- (sc. de l'éducation/formation): Processus d'acquisition ou de changement, dynamique et interne à une personne, laquelle, mue par le désir et la volonté de développement, construit de nouvelles représentations explicatives cohérentes et durables de son réel à partir de la perception de matériaux, de stimulations de son environnement, de l'interaction entre les données internes et externes au sujet et d'une prise de conscience personnelle. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) APPROUVÉ accepté par l'autorité compétente [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] APPROVED means approved by the Chief Fire Official. (Ontario Fire Code 1996) A.N.S.I. American National Standards Institute. ANSI. American Standards Association (ASA, ancien nom). Organisme établissant des normes nationales sur une base consensuelle aux États-Unis. Apparatus - means a motorized fire department vehicle including, but not restricted to, pumpers, elevating devices, tankers, rescue vehicles and equipment vehicles. (OFM © 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) ARCHITECTmeans a member or licensee of the Ontario Association of Architects under the Architects Act. (Ontario Fire Code 1996) AREA OF ORIGIN (aire d'origine) The room or area where the fire began (see also POINT OF ORIGIN). (NFPA 921 - 1992, Guide for Fire and Explosion Investigations, National Fire Protection Association, Quincy, 1992) AREA PLAN A document established to facilitate emergency response to a release or threatened release of a hazardous material within a city or county. (California Health and Safety Code, Section 25503, Chapter 6.95) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 AREAS OF GREATEST DAMAGE (aire du foyer de l'incendie) The purpose of determining the origin of the fire is to identify the geographical location where the fire began. If the specific location where the heat source ignited the first fuel can be identified, then the point of origin can be determined. The process to determine the origin involves the identification of pertinent fire patterns, the documentation of these patterns, and thre analysis of the patterns. The process always almost involves the plotting of fire movement from the areas of least damage to the AREAS OF GREATEST DAMAGE. ... Such aspects as witness statements, the investigator's past experiences, and fire fighting procedures play important roles in the determination of the fire origin. [NFPA 921-1992, Guide for Fire and Explosion Investigations, art.11-1, pp.86-87] AREA OF ORIGIN (aire d'origine) The use of the room or area within the property where the fire originated. [NFPA 901-1981] ARGENT Du latin "argentum", argent. Appartient au groupe 11. L'argent est relativement rare et coûteux. On a la preuve que l'homme sait séparer le plomb et l'argent depuis au moins 5000 ans. L'argent pur brille d'un éclat blanc métallique. Un peu plus dur que l'or, il est très ductile et malléable. De tous les métaux, c'est lui qui possède la plus grande conductivité thermique et électrique. Il est abondamment utilisé en photographie et en radiographie. L'argent est très toxique pour les organismes inférieurs. L'ingestion de sels d'argent peut provoquer la mort. (Ivan Noels,[email protected]) AROMATIC An organic compound having as part of its structure a benzene ring. (See Benzene). The term 'aromatic' as used in the fragrance industry is used to describe essential oils, which are not necessarily aromatic in the chemical sense. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ARROSEURS AUTOMATIQUES L'équipe qui a pompé dans les raccords-pompiers devrait préparer un rapport détaillé faisant état des ordres reçus, des lignes raccordées aux raccords-pompiers, la source d'approvisionnement sollicitée, la pression maintenue, et la DURÉE PENDANT LAQUELLE ON A ALIMENTÉ LES ARROSEURS. [NFPA 13E-1978] ARROSEURS AUTOMATIQUES Dans les considérations concernant les besoins en eau pour les lances d'incendie, on doit réaliser que si les arroseurs automatiques fonctionnent bien on aura moins besoin de recourir aux lances. Bien que ceci se vérifie généralement, on doit tout de même adopter un point de vue réaliste eu égard à certaines incidences et à la quantité d'eau qui pourrait être requise pour l'opération des lances dans des conditions défavorables (adverse conditions). Des lances d'incendie peuvent en effet s'avérer nécessaires pour finaliser la suppression de l'incendie. Toutefois, on doit retenir que la technologie des systèmes d'arroseurs automatiques est destinée au contrôle de l'incendie et pas nécessairement à sa suppression. Dans l'évaluation des lances d'incendie à mettre en batterie en fonction du débit nécessaire, on doit examiner certaines possibilités, incluant la quantité d'eau requise pour procéder à l'extinction complète et le déblai, et les mesures à mettre en oeuvre au cas où les arroseurs ne feraient que retarder la propagation du feu sans être pleinement efficace pour le contrôler et l'éteindre. [NFPA Handbook 1991, 5-169] ...Dans cette perspective, les pompiers ont raison de ne pas accorder aux systèmes automatiques de protection des vertus que les arroseurs n'auraient pas. Néanmoins, une partie de la sécurité des intervenants repose sur l'alimentation du système automatique par l'extérieur aux raccords-pompiers, pour l'attaque initiale qui doit tout de même avoir lieu. La chaleur d'un incendie est émise sous 3 formes : la radiation, la conduction et la convection. On a déterminé que le transfert par convection est le mode principal de déclenchement des arroseurs. Le transfert par convection propage la chaleur par un médium circulant, c'est-à-dire, dans le cas d'arroseurs, l'air de la pièce protégée. [NFPA Handbook 1991, Theory of Automatic Sprinkler Performance, p.5-153] ...L'effet de l'arrivée de l'eau en gouttelettes dans une atmosphère surchauffée est décuplé justement parce que l'eau arrive directement dans un milieu chaud - au-delà de 212°F / 100°C qui provoque sa vaporisation et, conséquemment, un abaissement quasi immédiat de la température. ARSENIC Du grec "arsenikos", mâle ou masculin. Appartient au groupe 15. L'arsenic élémentaire se présente sous deux espèces, l'arsenic jaune et le gris métallique qui ont des densités respectives de 1.97 et 5.73. C'est un semi-métal (métalloïde) cristallin et très cassant. Il se ternit à l'air et quand on le chauffe, il s'oxyde facilement pour donner des oxydes arsénieux qui ont une odeur d'ail. Il passe de l'état solide à l'état gazeux par sublimation. Les anciennes civilisations grecque, chinoise et égyptienne possédaient des mines d'où étaient extraits des composés d'arsenic. Bien qu'il soit surtout connu du grand public pour son rôle dans des affaires d'empoisonnement, son utilisation dans l'industrie des semi-conducteurs n'est pas négligeable. (Ivan Noels, [email protected]) ARSON (incendiat) The crime of intentionally setting fire to a building or other property. This is a legal definition which may vary depending on the laws of a specific state. ARSON TASK FORCE (ATF) A group of individuals who convene to analyse, investigate, and solve the arson problem in a particular region. Fire Cause Determination, International Fire Service Training Association IFSTA, Oklahoma State University, Stillwater, 1986 ASBESTOS (amiante) A silicate of calcium or magnesium mineral, the friable form occurring in threadlike fibers; noncombustible and a nonconductor of electricity; a known carcinogen. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 ASPHYXIANT A vapor or gas which can cause unconsciousness or death by suffocation (lack of oxygen). HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 ASSEMBLY OCCUPANCY (Group 'A') means the occupancy or the use of a building, or part thereof, by a gathering of persons for civic, political, travel, religious, social, educational, recreational or like purposes or for the consumption of food or drink. (Ontario Fire Code 1996) ASSESSMENT (évaluation) The process of determining the nature and degree of hazard of a hazardous material or hazardous materials incident. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 ASSISTING AGENCIES Any agency that assists the agency having jurisdiction at the scene of a hazardous materials incident by providing a service or support not within the immediate responsibility or capability of the agency having jurisdiction. (Sacramento Fire Department HMRT) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 ASSURANCE DE LA QUALITÉ / quality assurance Ensemble des actions préétablies et systématiques nécessaires pour donner la confiance appropriée en ce qu'un produit ou service satisfasse aux exigences données relatives à la qualité. - NF X 50 - 120 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) ASSUREURS Autre trait distinctif de l'infraction d'incendie, elle est souvent commise afin d'escroquer sans trop de mal les assureurs. (Le crime d'incendie, document de travail 36, Commission de réforme du droit du Canada, Ottawa 1984) ASYNCHRONE adj [asynchronous] 1- (télécommunications) Mode de transmission dans lequel l'instant d'émission de chaque unité d'information est fixé arbitrairement par l'émetteur. 2- (communications) Communication où l'émission et la réception sont différées dans le temps. voir : synchrone, isochrone. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) ATMOSPHERE The envelope of air surrounding the earth; also, the body of gases surrounding or comprising any planet or other celestial body. Atmospheric pressure may be measured as weight per area. On earth, normal air pressure at sea level is 14.7 pounds of weight per square inch, or 1033 grams of weight per square centimeter. Expressed in more formal units of force per area, one atmosphere is equal to 1,013,300 dynes/cm2. One million dynes per square centimeter has been set equal to one bar, therefore one atmosphere is equal to 1.0133 bars. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) ATMOSPHERIC STORAGE TANK means a storage tank that is designed to operate at pressures from atmospheric to 3.5 kPa (gauge). (Ontario Fire Code 1996) ATOM The atom is the smallest unit of a chemical Element having the properties of that element. An atom contains several kinds of particles. Its central core, the nucleus, consists of positively charged particles, called Protons, and uncharged particles, called Neutrons. Surrounding the nucleus and orbiting it are negatively charged particles, called Electrons. Each atom has an equal number of protons and electrons. The nucleus occupies only a tiny fraction of an atom's volume but contains almost all of its mass. Electrons in the outermost orbits determine the atom's chemical and electrical properties. The number of protons in an atom's nucleus is called the Atomic Number. All atoms of an element have the same atomic number and differ in atomic number from atoms of other elements. The total number of protons and neutrons combined is the atom's Mass Number. Atoms containing the same number of protons but different numbers of neutrons are different forms, or Isotopes, of the same element. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) ATOM The smallest unit of an element which still retains the chemical characteristics of that element. An atom is made up of protons and neutrons in a nucleud surrounded by electrons. A molecule of water (H20) consists of two atoms of hydrogen and one atom of oxygen. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ATOME Du grec "a-tomos", "in-divisible". On définit généralement l'atome comme étant la plus petite partie d'un élément possédant les propriétés chimiques de cet élément. L'atome de n'importe quel élément comprend deux parties : le noyau : il se trouve au centre de l'atome et en contient presque toute la masse. Il se compose de : a. particules positives, les protons (symbole "p") b. particules neutres, les neutrons (symbole "n"). Note : Protons et neutrons ont la même masse de 1 unité atomique. La masse d'un proton est égale à environ : -24 1.672 x 10 g. - les électrons (symbole "e "), un système de particules négatives et très légères, qui tournent autour du noyau et sont en nombre égal à celui des protons, ce qui rend l'atome électriquement neutre. Note : La masse d'un électron est environ 1840 fois plus faible que celle d'un proton. Autrement dit, elle est négligeable. Comme on le voit ci-dessus, le diamètre de l'atome est environ 10 000 (mais cela peut aller jusqu'à 100 000`) fois plus grand que celui de son noyau, ce qui implique que la plus grande partie de l'atome est constituée de VIDE ! Ainsi, si on représentait par une orange le noyau d'un atome de zinc, ses électrons périphériques tourneraient à 5 km de son centre. Cette notion est importante pour comprendre l'énorme masse volumique de certaines étoiles. Masse et numéro atomique: La masse atomique correspond à la somme des protons et 12 des neutrons, elle s'inscrit en haut et à gauche du symbole. Ex. : C. Elle varie selon les isotopes de l'élément. Le numéro atomique corespond au nombre des protons (et des électrons de l'atome neutre), il s'inscrit en bas et à gauche du symbole. Ex. : 6C. La différence entre la masse et le numéro atomiques donne donc le nombre des neutrons. Couches électroniques : Les électrons orbitent autour du noyau sur plusieurs couches électroniques. Le nombre de couches est limité à sept et on les désigne par les lettres K, L, M, N, O, P et Q. Elles correspondent aux rangées ou périodes du tableau périodique. Les électrons se placent d'abord sur les couches proches du noyau et en nombre bien déterminé sur chaque couche. Le nombre MAXIMUM d'électrons par couche est de : 2 pour K, 8 pour L, 18 pour M, 32 pour N, 32 pour O, 18 pour P et 8 pour Q. Remarquons que les gaz rares comme le néon ou l'argon, qui ne réagissent pas ou peu avec les autres éléments, ont tous 8 électrons sur leur dernière couche et que les éléments qui suivent chaque gaz rare ont une couche électronique supplémentaire. Cette règle s'applique aussi à l'hélium si l'on considère que son unique couche ne peut contenir plus que deux électrons. Il semble donc qu'avoir 8 électrons sur la dernière couche représente un état de stabilité souhaitable pour les éléments. Ceci nous aidera à comprendre les liaisons ioniques et covalentes entre les atomes ou groupes d'atomes. (professeur Mokeur : Ivan Noels,[email protected]) ATOMIC ABSORPTION An analytical technique, used to determine the elemental composition and concentration of many metals and other inorganic elements. The material being analysed, generally in solution, is atomised, or broken up into individual atoms, usually by the action of extreme heat in a flame or small furnace. The ability of the atomised material to absorb characteristic wavelengths of visible or ultraviolet light is then measured using a spectrophotometer. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ATOMISE 1) To break down into discrete atoms, usually by the application of extreme heat, as in atomic absorption, 2) To break a liquid into tiny droplets, as occurs in fuel injected engines or in the production of aerosol sprays. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ATTENUATION An adjustment of the signal amplifier response which results in the reduction of the electronic signal. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) Attic Ladder A ladder usually 8-10 feet long that usually can be folded so that the two beams touch each other. Also called a scuttle hull or pencile ladder in some parts of the country. [email protected] ATTIC SPACE means the space between the roof and the ceiling of thetop storey or between a dwarf wall and a sloping roof. (Ontario Fire Code 1996) AUDIOCONFÉRENCE nf (télécommunications) [audioconference] Système de réunion téléphonique à plusieurs participants, possible sur des réseaux téléphoniques numériques ou analogiques et permettant éventuellement la transmission d'autres signaux tels que ceux de télécopie ou de téléécriture. Sur le réseau numérique (RNIS), il est possible d'utiliser un mode audio amélioré. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) AUDIT QUALITÉ / quality audit Examen méthodique et indépendant en vue de déterminer si les activités et résultats relatifs à la qualité satisfont aux dispositions préétablies et si ces dispositions sont mises en oeuvre de façon efficace et aptes à atteindre les objectifs. - NF X 50 - 120 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) AUDITEUR QUALITÉ / quality auditor Personne qualifiée pour effectuer des audits qualité. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) AUTOCOMMUTATEUR nm (télécommunications) [Private Automatic Branch Exchange-PABX] Système permettant la sélection automatique et temporaire d'une liaison entre deux points d'un réseau téléphonique. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) AUTODIDAXIE nf (formation) L'autodidaxie est un type d'apprentissage accompli par l'individu sans qu'il soit aidé par une autre personne ou par une institution (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) AUTOFORMATION nf (formation) L'autoformation désigne le processus par lequel l'apprenant détermine son itinéraire d'apprentissage (rythme, contenu, temps de travail) de façon autonome et sans être en relation avec un groupe structuré. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) Automatic aid - response of fire companies from one or more other fire department, under written agreement authorized by by-law, to provide protection, incorporating an interlocking automatic response schedule between the fire departments such that responses are, in effect, those of a single department. (OFM © 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) AUTONOMATION / Jidohka Les équipements sont pourvus d'un mécanisme qui arrête automatiquement la production chaque fois qu'une pièce défectueuse est produite. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) AUTONOMIE nf (formation) La capacité de l'apprenant à choisir et utiliser par lui-même les ressources mises à sa disposition pour définir son projet, tracer son itinéraire de formation, s'approprier savoir et savoirfaire. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) AUTOSCOPIE VIDÉO nf (formation) Analyse à finalité de formation qu'effectue l'individu ou le groupe dont l'activité a été enregistrée au magnétoscope et qui voit se dérouler le film de cette activité. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) AUTORITÉ COMPÉTENTE inspecteur chargé d'assurer l'exécution de la Loi sur la santé et la sécurité du travail (L.Q., 1979, c. 63 [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] après refonte: L.R.Q., c. S-2.1) ou de la Loi sur la sécurité dans les édifices publics (L.R.Q., c. S-3) [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] AUTORITÉ COMPÉTENTE (exemple d'une règlementation municipale, Ville de Sherbrooke) À moins de déclaration contraire, expresse ou résultant du contexte de la disposition, les expressions, termes et mots suivants ont, dans la présente section, le sens et l'application que leur attribue le présent article : L'expression "autorité compétente" désigne tout inspecteur de la Division de la prévention des incendies nommé par le Conseil; Sous-section X - Pouvoirs de l'autorité compétente 307. Pouvoirs de l'autorité compétente Aux fins de l'application du présent règlement, l'autorité compétente peut : 1) visiter et examiner, dans l'exercice de ses fonctions, tant l'intérieur que l'extérieur des bâtiments ou structures, afin d'adopter toute mesure préventive contre le feu ou jugée nécessaire à la sécurité publique; 2) ordonner à tout propriétaire ou locataire de rectifier toute situation constituant une infraction au présent règlement; 3) ordonner à tout propriétaire ou locataire de suspendre des travaux et activités qui contreviennent au présent règlement ou qui sont dangereux; 4) ordonner qu'un essai soit fait sur un matériau, un dispositif, une méthode de construction ou un élément fonctionnel et structural de construction; 5) exiger que le propriétaire ou locataire fournisse à ses frais une preuve suffisante qu'un matériau, un dispositif de construction, une structure ou un bâtiment est conforme au présent règlement; 6) révoquer ou refuser d'émettre un permis lorsque les essais mentionnés au paragraphe 4) ne se révèlent pas satisfaisants ou que la preuve mentionnée au paragraphe 5) est insuffisante; 7) révoquer un permis s'il y a contravention au présent règlement ou aux conditions du permis; 8) exiger qu'une copie des plans et devis approuvés et du permis émis soit gardée sur la propriété pour laquelle le permis a été émis; 9) exiger que le dossier des résultats d'essais commandés en vertu du paragraphe 4) soit gardé sur la propriété pour laquelle le permis a été émis durant l'exécution des travaux ou pour une période de temps qu'elle détermine et; 10) exiger que le placard attestant l'émission du permis soit affiché bien en vue sur la propriété pour laquelle il est émis. (Modifié par art. 6 du règl. 340012) (Modifié par art. 3 du règl. 340013) (Ville de Sherbrooke) AUTORITÉS COMPÉTENTES (Authority having Jurisdiction) Signifie l'organisme, le bureau ou l'individu responsable de l'approbation d'un appareil, d'une installation ou d'un procédé. Remarque: L'expression autorités compétentes est utilisée dans les documents de la NFPA au sens large puisque toutes les autorités compétentes et tous les organismes chargés de l'approbation n'ont pas les mêmes responsabilités. Là où la sécurité publique est d'importance primordiale, les autorités compétentes peuvent être un service fédéral, un service d'État, un service local ou régional, ou un individu tel qu'un chef de service d'incendie, un commissaire des incendies, un directeur de service de prévention-incendie, le ministère du Travail, le ministère de la Santé, un responsable d'édifice, un inspecteur en électricité ou tout autre individu ayant un statut d'autorité. Aux fins d'assurances, un service d'inspection des assurances, un service de tarification ou tout autre représentant d'une compagnie díassurances peuvent être les autorités compétentes. Dans le cas des installations pour le compte du gouvernement, le chef ou le directeur du service peut être reconnu comme les autorités compétentes. (NFPA 13 - 1987, p.10) AUTHORITY HAVING JURISDICTION 1) Provides for the position of Incident Commander/Scene Manager at the scene of a hazardous materials incident occurring within their jurisdictional response boundaries. (Sacramento Fire Department, 1990) 2) The organization, office, or individual responsible for approving the equipment, an installation, or a procedure. (NFPA) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 AUTOIGNITION A temperature is reached at which the rate of reaction is so rapid that deflagration occurs. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) AUTOMATIC As applied to fire protection devices, a device or system providing an emergency function without the necessity of human intervention. [NFPA 901-1981] AVERAGE BURNING RATE The arithmetic mean (statistical average) burning rate of pyrotechnic or propellants at specific pressures and temperatures. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) AVERTISSEUR avertisseur d'incendie : appareil public ou privé à manoeuvre manuelle permettant d'alerter un poste de secours contre l'incendie avec localisation automatique du point d'appel. "avertisseur d'incendie" : Appareil destiné à transmettre un appel au poste de pompier en cas d'incendie et qui indique à ceux-ci l'endroit d'où part le signal. En dehors des liaisons téléphoniques, d'autres moyens matériels donnent l'alarme et l'alerte: les boutons d'alarme répartis dans les locaux et reliés au standard; les avertisseurs d'incendie (avec bris de glace) reliés au standard de l'établissement, et, dans certains cas, au centre de sapeurspompiers; Il ne semble pas exister, en français, de terme spécifique pour désigner l'avertisseur actionné à l'aide d'un levier, par bris de glace ou que l'on ouvre à l'aide d'une clé. On pourrait peut-être proposer, si cette précision était absolument nécessaire, "poste manuel d'alarme-incendie", ou "borne d'alarme-incendie" (à levier, à bris de glace ou fermé à clé). avertisseur automatique d'incendie : Appareil destiné à actionner électriquement un dispositif d'alarme sous l'influence de phénomènes qui se produisent à l'apparition d'un incendie. Appareil à manoeuvre automatique ou manuelle, situé dans une propriété privée et permettant de signaler un incendie dans l'enceinte de cette propriété. Avertisseur se trouvant à l'intérieur d'un bâtiment et dont l'usage est réservé au personnel s'y trouvant. Moyens d'alerte (...) Elle peut être réalisée par: (...) les avertisseurs d'incendie (...) reliés directement au centre de secours, publics, sur la voie publique, privés, c'est-à-dire ceux qui sont placés à l'intérieur de certains établissements publics ou privés; les transmetteurs automatiques d'alarme reliant une installation de détection au centre de secours. (Source : Termium 1994) AZEOTROPE A mixture of two or more compounds which has a constant boiling point. The composition of the vapour above the azeotropic mixture has the same relative concentrations of compounds as does the boiling liquid. Azeotropic mixtures cannot be separated by fractional distillation. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) AZOTE Du grec "alpha", sans et "zôê", vie. Appartient au groupe 15. Son symbole vient du grec "nitron", nitre (nitrate de potassium) et "gennân", engendrer. En volume, l'azote constitue environ 78 % de l'atmosphère. C'est un gaz incolore, inodore et généralement inerte. A l'état liquide, il ressemble à l'eau. Mélangé à l'oxygène et soumis à des étincelles électriques, il forme de l'oxyde nitrique et ensuite du dioxyde. En présence de catalyseur et chauffé sous pression avec de l'hydrogène, il forme de l'ammoniac. L'usage le plus important de l'azote est dans la production d'engrais, d'explosifs et de produits de nettoyage. Composant essentiel des protéines et des acides nucléiques, l'azote de l'atmosphère est "fixé" dans le sol par des bactéries vivant en symbiose dans les racines de certaines plantes comme le trèfle, d'où l'importance de cette plante dans la rotation des cultures. Certains de ses composés, comme les cyanures sont mortels à faible dose. Les engrais à base d'azote sont une cause majeure de la pollution des cours d'eau et les oxydes résultant de la combustion sont responsables en partie de la formation des pluies acides. (Ivan Noels, [email protected]) -BBackdraft A backdraft occurs when oxygen-starved fire suddenly receives oxygen. The sudden rush of oxygen causes all of the super-heated gases to ignite at the same time, which causes an explosion. While the risk of such an occurance is low, a backdraft is almost always fatal to anyone caught in it. [email protected] Backfire Fire set downwind along a fire break. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) BAKELITE For its inventor, Leo Baekeland, a synthetic thermosetting phenol-formaldehyde resin with an unusually wide variety of industrial applications ranging from billiard balls to electrical insulation. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) BARRE OMNIBUS (bus bar ) Conducteur qui sert de connexion commune aux conducteurs correspondants de deux circuits ou plus. [CSA 22.10-1992] BASE (CHEMICAL) A hydroxide containing (-OH) corrosive material that when in a water solution is bitter, more or less irritating, or caustic to the skin. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 BASE (INCIDENT COMMAND SYSTEM) Location at which additional equipment, apparatus, and personnel are assembled for primary support of activities at the incident scene. The Command Post may be located at the "Base". (NIIMS) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 Basic Life Support Basic life support (BLS) is a level of care provided to patients requiring transportation to the hospital. BLS does not include extensive medical supervision or treatment. [email protected] BASEMENTmeans a storey or storeys of a building located below the first storey. (Ontario Fire Code 1996) BASSE TENSION Tension entre 31 et 750 volts. [CSA 22.10-1992] BÂTIMENT Construction qui n'est pas en contact avec d'autres ou qui en est séparée au moyen de murs coupe-feu pleins ou dont les ouvertures sont protégées par des portes coupe-feu approuvées. [CSA 22.10-1992 / Code de l'électricité du Québec, 1987, p.31)] BÂTIMENT édifice public au sens de la Loi sur la sécurité dans les édifices publics ou établissement industriel ou commercial au sens de la Loi sur la santé et la sécurité du travail [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] BENNER, Ludwig Ludwig Benner Jr. is an adjunct faculty member and Field Instructor for the University of Southern California's Institute of Safety and Systems Management. He was with the National Transportation Safety Board, as Chief of its Hazardous Materials Division. He directed numerous accident investigations, studies, evaluations of safeguards and procedures in hazardous materials transportation safety. He received his Chemical Engineering degree from Carnegie Institute of Technology.He is a registered Professional Safety Engineer. He has testified on safety matters before the U.S. Congress, and served on two Virginia Legislative Study Commissions, National Academy of Sciences committees and panels, and on several Federal agency safety projects and advisory groups. He is a Fellow of the System Safety Society. BENZENE Benzene (C6H6), colorless, flammable toxic liquid with a pleasant aromatic odor. A Hydrocarbon, benzene is the parent substance of the Aromatic Compounds. It consists of an unusually stable hexagonal ring of six carbon atoms, each of which is attached to a hydrogen atom. Derivative compounds include toluene, phenol, and aniline. Obtained from coal tar and petroleum, benzene and its derivatives are used in making dyes, drugs, and plastics. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) BENZENE A hexagonal organic molecule having a carbon atom at each point of the hexagon and a hydrogen atom attached to each carbon atom. Molecules which contain a benzene ring are known as aromatic. Benzene boils at 80C and has a flash point of 12F (-11C). The explosive limits are 1.5% to 8% by volume in air. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) BERNOULLI'S THEOREM (Théorème fondamental relatif à l'écoulement des fluides) Beroulli's theorem expresses the physical law of conservation of energy applied to problems of incompressible fluid flow. The theorem can be defined as follows: "In steady flow without friction, the sum of the velocity head, pressure head, and elevation head is constant for any incompressible fluid particle throughout its course." In other words, the total pressure (head) is the same at all locations within the system. [NFPA Handbook 1991] BIOHAZARD Infectious agents presenting a risk or potential risk to living organisms, either directly through infection or indirectly through disruption of the environment. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 Biological Diversity The sum total of all living organisms and the interaction thereof. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) BLEU Composés cuivriques. - L'ion cuivrique hydraté Cu(H2O)4++ est un ion légèrement bleu qui existe dans les solutions aqueuses de sels cuivriques et dans quelques cristaux hydratés. Le sel cuivrique le plus important est le sulfate de cuivre qui se présente sous forme de cristaux bleus CuSO4.5H2O. Le cuivre métallique n'est pas suffisamment réactif pour déplacer l'ion hydrogène des acides dilués et le cuivre ne se dissout pas dans les acides à moins que l'on soit en présence d'un oxydant. Pourtant l'acide sulfurique concentré et chaud est lui-même un oxydant qui peut dissoudre le métal; l'acide sulfurique dilué le dissout lentement aussi en présence d'air. [Pauling 1958] BLEU L'oxyde de carbone (CO) peut s'enflammer à 600°C (1112°F) dans une atmosphère d'oxygène et brûle avec une flamme bleue. Il ne sera pas rare d'entendre des témoins ou des intervenants rapporter leurs perceptions d'une flamme bleue... B.L.E.V.E. Boiling Liquid-Expanding Vapor Explosion. Can occur with a fire external to a railroad tank car, a tank truck, or a drum of flammable liquid. [Friedman 1989] B.L.E.V.E. A BLEVE occurs when the temperature of the liquid and vapor within a confined tank or vessel is raised, often by an external fire, to such a point that the increasing internal pressure of the liquefied gas inside can no longer be contained and the vessel explodes. This rupture of the confining vessel releases the pressurized liquid and allows it to vaporize almost instantaneously. If the liquefied gas is a flammable such as propane, the large vapor cloud produced is almost always ignited. Ignition usually occurs either from the original external fire that caused the BLEVE or from some electrical or friction source created by the blast or schrapnel effect of the container rupture. When the pressure within the cylinder exceeds a determined level, the relief valve is designed to open allowing the gas pressure to be vented,thereby preventing or postponing the rupture of the cylinder. Under extreme heat conditions, such as occur in a fire, the pressure within the cylinder may increase too quickly to be fully vented by the relief valve and the cylinder may explode. This is not always the case. Often, the open relief valve and open or heat-damaged control valve will allow the pressurized gas to be expelled without the explosion of the cylinder itself. (P.M. J. Kennedy, Explosion Investigation and Analysis, Investigations Institute, Chicago, 1990) What is a BLEVE ? A BLEVE is a type of pressure-release explosion that occurs when liquefied gases, which are stored in containers at temperatures above their boiling points, are exposed to the atmosphere, causing rapid vaporization. This happens when a container fails. A BLEVE can occur when flame impinges on the tank shell at a point or points above the liquid level of the tank's contents, or when a tank shell is corroded or gouged. The heat from the fire causes the metal to weaken and fail as the internal pressure increases, and liquid-to-vapor expansion provides the energy that creates cracks in the container, causing the container to fail, and propels pieces of the container outward. The result is the mixing of vapor and air that results in the characteristic fireball that occurs when the fire ignites the vapor. During the process, the container's pressure relief valve operates, creating a large vertical torch and a screaming noise. (BLEVE KILLS TWO, Alisa Wolf, November / December 1998, NFPA Journal) BLOW-OUT DISK (Safety Diaphragm) A thin metal diaphragm used as a safety measure against excess gas pressure. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) Bog A poorly drained wet area containing floating water-soaked masses of plant life such as sedges, heaths and sphagnum (a form of peat moss). (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) BOILER means an appliance intended to supply hot water or steam for space heating, processing or power purposes. (Ontario Fire Code 1996) BOILING LIQUID EXPANDING VAPOR EXPLOSION (BLEVE) A container failure with a release of energy, often rapidly and violently, which is accompanied by a release of gas to the atmosphere and propulsion of the container or container pieces due to an overpressure rupture. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 BOILING POINT Boiling point, the temperature at which a substance boils, or changes from a liquid to a vapor or gas ( States Of Matter), through the formation and rise to the surface of bubbles of vapor within the liquid. In a stricter sense, the boiling point of a liquid is the temperature at which its vapor pressure is equal to the local atmospheric pressure. Decreasing (or increasing) the pressure of the surrounding gases thus lowers (or raises) the boiling point of a liquid. The quantity of heat necessary to change 1 g of any substance from liquid to gas at its boiling point is known as its latent heat of vaporization. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) BOILOVER A phenomenon that can occur during a fire over an open tank containing a blend of flammable liquids, such as crude oil; water must be present at the bottom of the tank for boilover to occur. [Friedman 1989] BOIS IGNIFUGÉ bois ou dérivé du bois imprégné de substances ignifuges [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] BOOM A floating physical barrier serving as a continuous obstruction to the spread of a contaminant. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 Booster Line Booster line is a hose that is usually one inch in diameter and rubber jacketed. They are used on small fires using the water carried in an apparatus' booster tank and are usually stored on reels. Also referred to as a red line. [email protected] Booster Tank The tank on a pumper or quint that supplies booster lines and hand lines at a fire until a connection with a water source can be made. The booster tank on most pumpers is between 5001,000 gallons. The tank on a quint is usually smaller, carrying only a couple of hundred gallons. [email protected] Box Alarm A box alarm is the response to a report of fire or smoke inside or coming from a structure. Usually, multiple companies are dispatched at the same time on a box alarm. Some departments have Haz-Mat and Rescue Boxes for hazardous materials and rescue calls. The term box alarm originates from the original pull boxes located on the street in many communities. A typical structure box alarm would include two or more engine companies, one or more ladder companies, a rescue company and a chief officer. [email protected] BRANCHEMENT DU CONSOMMATEUR Toute la partie de l'installation du consommateur à partir du coffret de branchement ou dispositif équivalent jusqu'au point où le distributeur d'électricité fait le raccordement, y compris ce point. [CSA 22.10-1992] BRANCHEMENT DU DISTRIBUTEUR Ensemble de conducteurs posés par un distributeur d'électricité entre ses fils principaux et le branchement du consommateur. [CSA 22.10-1992] BREAKTHROUGH TIME The elapsed time between initial contact of the hazardous chemical with the outside surface of a barrier, such as protective clothing material, and the time at which the chemical can be detected at the inside surface of the material. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 BRIQUET Du silex au fusil, en passant par le fer à feu, la route fut longue pour arriver juqu'à eux. Les briquets, géniale invention du siècle des lumières, ont marqué d'une pierre grise l'histoire de l'homme et du feu. Au plus fort de l'Occupation, alors que l'essence manquait, on a produit à nouveau des briquets à amadou. « Va chez la voisine, Je crois qu'elle y est, Car dans sa cuisine, On bat le briquet. » Ces quelques vers d'un couplet enfantin font ressurgir une expression aujourd'hui tombée dans l'oubli : "battre le briquet". Elle décrit pourtant la façon dont, autrefois, on utilisait ce fameux briquet qui n'avait rien à voir avec ceux d'aujourd'hui. Le maniement en était plus complexe : on tenait d'une main ferme un morceau de silex que l'on frappait de l'autre main avec le « fer à feu ». L'étincelle jaillissait de ce choc et enflammait la substance combustible maintenue à proximité. De ce geste est née l'expression que le Pierrot d' "Au Clair de la Lune" a immortalisée. Le mot briquet n'apparaît lui-même que vers 1735, dérivé de brique (du néerlandais bricke : brisures, à rapprocher du to break anglais, casser) et associé à l'idée de morceau. Faisant référence à ce morceau de silex frappé sur un fer, il remplace alors le mot fusil, pour désigner un petit instrument susceptible de donner du feu. La technique n'est pas nouvelle. Dès la conquête du feu, nos ancêtres préhistoriques usent de deux solutions pour faire jaillir la flamme. La première consiste à frotter longuement un morceau de bois pointu contre un autre plus dur, le frottement faisant rougeoyer la pointe. L'autre méthode fait appel aux étincelles provoquées par le choc de deux pyrites ou de deux silex l'un contre l'autre. Il suffit alors de présenter un peu de mousse ou d'herbe séchée pour qu'elle s'enflamme. Après l'apparition de l'acier (au XIIe s.), le système s'améliore : on frappe désormais le silex contre une lame d'acier doux. Les plus communs de ces « fers à feu » sont de simples tiges d'acier recourbées. Certains prévoient un espace où glisser les doigts. Aux herbes folles et autres brindilles à enflammer, on préfère désormais l'amadou. C'est une matière sèche et spongieuse, très inflammable, extraite d'un champignon du hêtre. Seul le corps interne de ce champignon fournit la précieuse matière. Pour la garder bien au sec, on la remise dans des cornes à amadou. Les plus belles ont été creusées et sculptées par les marins des XVIIe et XVIIIe siècles. Elles sont en queue de lézards, de tatous, en ivoire ou en noix de coco. Il faut attendre 1830 pour que l'amadou soit présenté en tresses, plus faciles à manier et résistant à l'humidité. À la recherche de l'étincelle automatique Dès le XVIIe siècle on essaie d'améliorer la production du feu en rendant automatique le geste fastidieux de la friction du briquet sur la pierre. Briquets rotatifs et briquets à crémaillère permettent alors la production répétée d'étincelles. Le briquet à percussion rappelle, quant à lui, la mise à feu des armes. Il affecte d'ailleurs le plus souvent la forme d'un pistolet. Utilisé aux XVIIe et XVIIIe siècles, l'étincelle est obtenue grâce à un chien, pièce coudée portant le silex, qui vient frapper une pièce d'acier. L'étincelle produite enflamme l'amadou ou la poudre contenue dans le bassinet. Inspirés de cette forme familière, de nombreux briquets par la suite ont fait référence à ce fameux pistolet. L'un des plus célèbres a été créé par Dunhill dans les années 30 et a été fabriqué jusque dans les années 50. A la fin du XVIIIe siècle commence l'ère de la chimie. Durant tout le siècle suivant, la technologie ayant le vent en poupe, on met au point divers appareils compliqués destinés à produire la fameuse étincelle. C'est le briquet à piston du colonel Grobert (1806), le briquet à hydrogène de Lorentz, le briquet à catalyse de Gay-Lussac (1823) ou le briquet au phosphore de J.-F Derosne et du baron Gagniard de Latour (1816)... Mais tous ces briquets restent assez expérimentaux. En revanche, le briquet électrique connaît une plus grande destinée. Il fonctionne à l'origine avec une pile humide au bichromate de potassium dans laquelle plongent deux électrodes. L'étincelle électrique produite par la pile enflamme une mèche imbibée d'essence stockée dans un petit récipient latéral. En évoluant, ces briquets électriques prennent des nouvelles formes : muraux, branchés sur une batterie extérieure, ils sont proposés aux consommateurs des bistrots qui y allument leurs cigarettes ou aux ménagères qui les installent dans les cuisines. A piles sèches, ils connaissent quelques succès dans les années 30. Naissance d'une pierre précieuse C'est un savant autrichien, Carl Auer von Melbach (1858-1929), qui est le père du briquet moderne. Il observe qu'un alliage de fer et de cérium, métal gris découvert en 1814 par Berzilius, produit des étincelles si on le frotte sur un morceau d'acier. Déposé en 1903 sous le nom de métal Auer, cet alliage est bientôt produit industriellement. La première pierre à briquet est inventée. Elle se généralisera tout au long de ce siècle. Deux types de briquets naissent alors. Les briquets à friction et les briquets à molettes. Nommés à allumette perpétuelle, les briquets à friction ont un fonctionnement très simple. A l'intérieur, on trouve de la bourre de coton imbibée d'essence et un mince tube de cuivre protégeant une mèche à essence. En tirant le tube et en frottant son extrémité d'acier sur la pierre fixée à l'extérieur du briquet, on l'enflamme comme une allumette. Il suffit de remettre le tube dans sa cavité pour que la flamme s'éteigne. Ces briquets en version de table ou de poche furent proposés jusque dans les années 30. Certains modèles de table, d'origine autrichienne, sont tout à fait spectaculaires. En plomb polychromé, ils représentent les sujets les plus divers, chevaux et cavaliers caracolant, dame de cour... Les briquets à molettes sont également constitués d'un réservoir et d'une mèche. Mais c'est le frottement de la molette d'acier sur la pierre qui, provoquant l'étincelle, enflamme la mèche imbibée. Ils ont connu un grand essor dès le début du siècle. Les poilus de la guerre de 14 en fabriquèrent de nombreux exemplaires, à partir des douilles récupérées dans les tranchées. Mais c'est au sortir de la guerre que l'industrie du briquet prend son véritable essor. Devant son succès, les marques de luxe s'en emparent : Dunhill, à Londres, qui s'était déjà penché sur les accessoires de l'automobile, propose au début des années 20 un briquet révolutionnaire. Pour satisfaire les désirs d'un client qui avait perdu une main à la guerre, la célèbre firme met au point un briquet qui s'allume d'un seul geste. D'autres marques s'imposent : Colibri en Angleterre, Ronson aux USA, qui fait breveter le Banjo Ronson en 1928, Zippo en 1932... Flamidor, en France, connaît dans les années 30 un grand développement qui se poursuit dès l'immédiat après-guerre, lorsque la marque Flaminaire lance le briquet à gaz. C'est encore un produit de petit luxe, mais la société de consommation n'a pas dit son dernier mot. Dans les années 60 apparaissent les premiers briquets jetables. La firme Dupont, jusque-là spécialisée dans le briquet de luxe, lance le Cricket. Les briquets deviennent alors des objets éphémères, tout juste bons parfois à servir de support publicitaire. (Corinne Glowacki, Art & Décoration n° 365) BRITISH THERMAL UNIT (BTU) British thermal unit (BTU), unit of energy required to raise the temperature of 1 lb of water by one degree Fahrenheit (from 59.5° to 60.5°F). 1 BTU = 251.996 calories = 778.26 foot-pounds = 1054.8 joules. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) BTU British Thermal Unit. The amount of heat energy required to raise the temperature of one pound of water one degree Fahrenheit. This is the accepted standard for the comparison of heating values of different fuels. One BTU equals 252 calories. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) BROUILLARD Gouttelettes de liquide qui se forment dans l'air lorsqu'un liquide est vaporisé ou giclé. Un brouillard peut aussi se produire lorsque des vapeurs qui se condensent redeviennent liquides et prennent la forme de gouttelettes dans l'air. (Voir aussi AÉROSOL.) (Canutec) BUILDING A structure enclosed with walls and a roof and having a defined height. [NFPA 901-1981] BUILDING means any structure used or intended for supporting or sheltering any use or occupancy. (Ontario Fire Code 1996) BUILDING AREA means the greatest horizontal area of a building above grade within the outside surface of exterior walls or within the outside surface of exterior walls and the centre line of firewalls. (Ontario Fire Code 1996) BUILDING CODE means the Ontario Building Code made under the Building Code Act or a predecessor to that Act. (Ontario Fire Code 1996) BUILDING FIRE Any fire occuring inside or involving a building. A building fire may be a wastebasket fire, a mattress fire, or a roof fire, whether or not structural members were actually involved. [NFPA 9011981] BUILDING HEIGHT (in storeys) means the number of storeys contained between the roof and the floor of the first storey. (Ontario Fire Code 1996) BUREAU OF ALCOHOL, TOBACCO AND FIREARMS (ATF) Enforces and administers firearms and explosive laws, as well as those covering the production, use and distribution of alcohol and tobacco products. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 BURKE (TABLEAU DE processus d’enquête policière) ...sur la marche à suivre et le classement à l'intention des enquêteurs chargés de résoudre les cas d'incendies suspects. - Incendie - Visite et examen des lieux - Surveillance des lieux au besoin - Recherche d'indices d'incendie volontaire Réseaux d'incendiaires 1. Méthodes de travail 2. Surveillance 3. Activité clandestine 4. Dénonciateurs 5. Téléphotographie 6. Enregistrements magnétiques 7. Liste de suspects 8. Réseaux très actifs en période de marasme 9. Organisation déficiente 10. Tête dirigeante 11. Incendiaire à gages (torche) 12. Intermédiaire de l'incendiaire 13. Personne endettée (customer) 14. Réseaux limités à un groupe 15. Nota: il faut la collaboration active du procureur. Moyens d'inflammation 1. Chandelles 2. Electricité 3. Moyens mécaniques 4. Produits chimiques 5. Allumettes, etc. 6. Autres types Amorces de combustion 1. Déchets de coton 2. Chiffons 3. Papier 4. Liquides inflammables 5. Fibre d'emballage 6. Films de rebut 7. Autres types Moyens d'activation 1. Essence 2. Kérosène 3. Térébenthine 4. Alcool 5. Diluant pour peinture 6. Conduites de gaz coupées ou débranchées 7. Autres types - Echantillons pour analyse - Rapport d'analyse - Preuve que la matière est de provenance étran0gère - Objets enlevés - Valeur affective - Diplômes, photos, bijoux de famille, etc - Objets de prix - Argent, bijoux, appareils-photo, polices d'assurance, fourrures, meubles, etc. - Vérification des compartiments d'entrepôt, garages, granges, etc, du voisinage - Vérification des débris d'objets métalliques, etc. déclarés perdus en vue de frauder l'assureur - Incendies distincts sans aucun lien Mesure de la distance entre bâtiments sinistrés; élimination des causes d'incendie volontaire; détermination du facteur humain. Interrogation des témoins Premier témoin de l'incendie 1. Nom et adresse 2. Moment de la découverte 3. Heure exacte 4. Parties de l'immeuble en feu 5. Vitesse de propagation du feu 6. Couleur des flammes 7. Couleur de la fumée 8. Explosion 9. Fait qui a attiré l'attention 10. Suspects... 11. Motif de leur présence 12. Autres questions pertinentes Pompiers 1. Moment de l'alarme 2. Heure d'arrivée des secours 3. Importance du sinistre 4. Couleur des flammes et fumées 5. Odeurs au point d'origine 6. Sécurité du bâtiment à l'arrivée 7. Suspects 8. Disponibilité du propriétaire 9. Hypothèse sur le cause 10. Autres questions pertinentes 11. Nota: Il importe d'interroger les pompiers sans délai Voisins 1. Moment où le feu a été aperçu 2. Couleur des flammes et fumées 3. Présence de suspects avant ou durant l'incendie 4. Renseignements généraux sur le propriétaire et les occupants du bâtiment sinistré 5. Personnes venues récemment sur les lieux 6. Autres questions pertinentes 7. Nota: L'affabilité donne les meilleurs résultats Propriétaire et/ou occupant 1. Façon dont on l'a prévenu 2. Personne qui l'a prévenu 3. Moment où on l'a prévenu 4. Endroit où on l'a prévenu 5. Dernière personne qui a été dans l'immeuble 6. Personnes qui ont les clés, etc 7. Genre d'établissement 8. Polices d'assurance 9. Questions générales 10. Vérification des appels téléphoniques faits ou reçus 11. Nota: Poser les questions préliminaires sur un ton amical Assurances Vérification, auprès de l'évaluateur et de l'agent, des déclarations de l'assuré quant au montants, etc. 1. Etablir le motif et l'occasion (occasion spéciale) 2. Distinguer le ou les principaux suspects 3. Chercher l'identité de celui ou de ceux qui ont mis le feu Consultation d'experts au besoin 1. Photographe 2. Chimiste 3. Technicien des explosifs 4. Inspecteur en électricité 5. Inspecteur d'immeubles 6. Ingénieur en chauffage 7. Spécialiste des empreintes digitales 8. Dessinateur Détermination du point d'origine Rapport provisoire 1. Moment et emplacement du sinistre 2. Classe du bâtiment - Origine et importance de l'incendie - Renseignements sur les assurances - Cause 3. Noms du propriétaire et des occupants Classement de l'incendie - Cause inconnue Rapport - Incendies involontaires Facteur humain 1. Imprudence de fumeur 2. Négligence dans l'enlèvement ou la destruction des rebuts 3. Accumulation d'ordures 4. Flammèches d'incinérateur 5. Etincelles de cheminée 6. Escarbilles de locomotive 7. Fusibles d'un calibre trop élevé 8. Autres causes Défectuosités 1. Installation électrique 2. Appareils électriques 3. Installation de chauffage 4. Cheminées 5. Foyer d'appartement 6. Poêles 7. Conduits de fumée 8. Fuites de gaz 9. Aspirateur de cuisinière 10. Cierges et bougies 11. Chandelles d'anniversaire 12. Lampes à l'huile 13. Décorations de Noël 14. Autres défectuosités Causes naturelles 1. Foudre 2. Rayons solaires 3. Inflammation spontanée: chiffons gras, foin, sciure, etc. 4. Autres causes Animaux 1. Animaux familiers qui renversent des lampes, des radiateurs portatifs, etc. 2. Perroquets, chiens, etc 3. Nota: Cas très rare Si l'incendie a été provoqué par caprice ou insouciance, ou si le coupable a agi sans égard au tort que sa négligence pouvait causer à autrui, la possibilité de poursuites doit être envisagée; en tout cas, il faut demander qu'on remédie à la situation. Incendie volontaire Détermination du corps du délit Adolescents 1. Acte délibéré et mal intentionné 2. Jeu avec des allumettes 1. Prise de contact avec le tribunal pour adolescents 2. Vérification des anciens dossiers 3. Obtention d'une déclaration 4. Reconstitution de la scène 5. Notification des parents 6. Poursuites judiciaires, s'il le faut 7. Rapport Pyromanie 1. Vérification touchant les pyromanes notoires 2. Détermination de leurs méthodes: genre de bâtiment, heure, jour du mois, etc. 3. Surveillance du secteur ou du suspect 4. Attention aux alcooliques, chômeurs, membres de foyers malheureux, délinquants sexuels, héros à la manque 5. Signalement aux pompiers des curieux trop assidus 6. Interrogation du principal suspect 7. Expertise graphologique 8. Déclarations et reconstitution de la scène 9. Poursuites judiciaires 10. Rapport 11. Nota: Le pyromane met habituellement le feu là où il est facile d'entrer et de sortir Vérification des antécédents des suspects Incendie motivé par la haine Malveillance, colère, vengeance, préjugés raciaux et religieux 1. Interrogation de la victime 2. Disputes récentes ou autre désaccord 3. Ancienne inimitié 4. Subversion 5. A l'extérieur du bâtiment ou par effraction 6. Imagination du pyromane 7. Emploi d'explosifs par racisme ou fanatisme religieux 8. Protection du témoin contre les représailles (préjugés raciaux ou religieux) 9. Dépistage des groupes organisés 10. Interrogation du principal suspect 11. Expertise graphologique 12. Reconstitution de la scène 13. Consultation du procureur 14. Rapport à la cour Incendies frauduleux 1. Feu d'établissement commercial 2. Feu de nouvel établissement 3. Incendie provoqué en collusion 4. Incendie provoqué par rivalité 1. Vérification des stocks et de la structure de l'entreprise 2. Besoin d'outillage neuf: locaux insuffisants, bâtiment condamné à la démolition, majoration de la prime d'assurance, assurances excessives, valeur du terrain accrue par la suppression des constructions, entreprise immobilisée par une succession ou incapable de se procurer des matières premières pour reproduire un article démodé. À qui profite le sinistre ? 3. Achat d'un bâtiment délabré pour le couvrir par une grosse assurance 4. Vérification des chèques, lettres de créanciers, impôts impayés, etc. 5. Comptes en banque à découvert, hypothèques sur biens meubles ou immeubles, crédit, etc. 6. Durée d'existence de l'entreprise, noms des sociétés précédentes, noms de parents et amis, habitudes du propriétaire (penchant pour l'alcool, le jeu, les femmes, etc.) 7. Faillites 8. Mésentente entre associés 9. Entreprise de construction cherchant peut0être de nouveaux marchés: vérifier si la même société est chargée de la reconstruction après le sinistre, etc. 10. Suppression des concurrents dans la même branche d'industrie 11. Interrogation du principal suspect 12. Expertise graphologique des aveux et con0fessions 13. Les mensonges dits à l'enquêteur peuvent servir en cour 14. Rapport Feu d'habitation 1. Vérification de la situation financière des occupants: dettes immobilières, achat à tempérament, comptes d'épicerie, impôts, etc. 2. Nouveau lieu de travail 3. Autres raisons de déménager 4. Besoin de remplacer le mobilier 5. Nécessité de repeindre le logis 6. Feux de garde-robe parfois allumés par des femmes 7. Renseignements sur les assurances 8. Vérification des alibis 9. Détermination du principal suspect 10. Expertise graphologique 11. Fausses déclarations 12. Rapport à la cour Feu d'automobile 1. Véhicules ayant besoin de réparations 2. Retard dans les mensualités 3. Moment où la voiture est déclarée volée 4. Complices 5. Vérification des alibis 6. Expertise graphologique 7. Assurance-incendie 8. Voiture dépouillée de ses accessoires 9. Rapport à la cour Incendie allumé par le postulant d'un emploi 1. Dossiers du personnel de l'entreprise: demandes récentes en vue d'emplois de gardien, de pompiers, etc. 2. Vérification des antécédents de tous les suspects 3. Détermination du principal suspect 4. Interrogation du principal suspect 5. Déclarations et reconstitution de la scène 6. Rapport à la cour Incendies destinés à égarer les recherches de la justice criminelle Meurtre 1. Obstacle à l'identification du cadavre 2. Destruction des preuves du meurtre 3. Dissimulation du cadavre 1. Autopsie 2. Identification du défunt 3. Interrogation des associés 4. Détermination des mobiles du meurtrier 5. Moment de la mort 6. Oxyde de carbone 7. Position du corps 8. Etat du corps 9. Effets personnels 10. Arme du crime 11. Recherche de témoins 12. Principal suspect 13. Interrogation 14. Expertise graphologique 15. Confession 16. Reconstitution du crime 17. Poursuites judiciaires 18. Rapport 1. Effraction 2. Détournement de fonds 3. Larcins 4. Destruction de dossiers 5. Autres délits Cour Preuves nécessaires Incendie 1. Preuve que le feu a éclaté à tel moment et relève de la juridiction de la cour 2. Dossiers du service d'incendie 3. Premier témoin du sinistre 4. Description du bâtiment; propriétaire et occupant 5. Preuve de carbonisation exigée: le roussisse0ment ne suffit pas Origine criminelle 1. Nécessité d'une preuve directe, matérielle ou circonstancielle, de l'intention criminelle de l'inculpé 2. Elimination des causes accidentelles 3. Preuves touchant le corps du délit 4. Intention implicite 5. Intention explicite Motifs 1. Très importants, mais non indispensables 2. Exemples: vengeance, fraude, mauvaise situation financière, etc. 3. Expertise d'évaluation établissant le montant excessif des assurances 4. Compétence de l'évaluateur Culpabilité 1. L'authenticité du corps du délit démontrée, on peut citer tout fait ou toute circonstance incriminant l'accusé 2. Occasion et exclusivité de l'occasion, etc. 3. Complice également coupable: ami, parent. Signification des couleurs (code couleur des dossiers) 1. Enquête préliminaire bleu 2. Incendie volontaire rouge 3. Incendie de cause inconnue orangé 4. Incendie involontaire vert 5. Procédure judiciaire noir BURNING Normal combustion in which the oxident is molecular oxygen. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) BURNING RATE The rate at which combustion proceeds across a fuel. A specialised use of this term, describes the rate at which the surface of a pool or burning liquid recedes. For gasoline, this rate is reported to be approximately º inch per minute. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) BURNING RATES OF LIQUID POOLS A pool of burning liquid will burn at a more or less steady rate from shortly after ignition until the liquid is consumed. To illustrate the magnitude of this rate, a pool of gasoline or mineral spirits 1 meter (3.3 feet) in diameter and 2.5 centimeter (1 inch) deep will be consumed in about 4 minutes. [Friedman 1989] BURN PATTERN (géométrie de combustion) Apparent and obvious design of burned material and the burning path of travel [voir aussi Vector Géométrie d'incendie] from a point of fire origin. [Fire Cause Determination, IFSTA 1986] BUSINESS AND PERSONAL SERVICES OCCUPANCY (Group 'D') means the occupancy or use of a building or part thereof for the transaction of business or the rendering or receiving of professional or personal services. (Ontario Fire Code 1996) BUSINESS PLAN A written plan and inventory developed by a business for each facility, site, or branch that provides emergency response guidelines for a release of hazardous materials meeting the requirements of Health and Safety Code Section 25504. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 BUTANE A fuel gas having the formula C4H10. A constituent of LP gas. One pound of liquid butane produces 6.4 cubic feet of gas. One gallon of liquid butane weighs 4.87 pounds and produces 31 cubic feet of gas. One cubic foot of butane gas produces 3266 BTUs. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) -CCÂBLE nm [cable] Support filaire de transmission. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) CÂBLE COAXIAL [coaxial cable] Câble de transmission bifiliare à conducteurs concentriques isolés par une gaine ; assure des débits importants. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) CAISSON voir pilier [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] CALCIUM Du latin "calx", chaux. Appartient au groupe 2. Les Romains savaient déjà préparer la chaux vive (CaO) au 1er siècle de notre ère. Des textes datant d'environ mille ans indiquent que le plâtre de Paris (CaSO4) était déjà utilisé pour la remise en place des os brisés. Présent en abondance dans la croûte terrestre sous forme de composés, le calcium, de la famille des métaux alcalinoterreux, est de couleur argentée et relativement dur. Exposé à l'air, il se couvre rapidement d'une couche blanche de nitrure. Il réagit avec l'eau et brûle avec une flamme d'un rouge jaunâtre. On trouve le calcium principalement sous forme de calcaire, de marbre, et de gypse ainsi que dans les stalagmites et les stalactites des grottes. Il est extrait du calcaire pour entrer dans la composition du ciment de Portland. Le calcium est un élément essentiel des parois cellulaires, des feuilles, des os, des dents et des coquilles. Il joue aussi un rôle dans la coagulation du sang. (Ivan Noels,[email protected]) CALORIE A calorie (cal) is a unit of energy required to raise the temperature of one gram of water one degree Centigrade (from 14.5° to 15.5°C); 1 cal = 4.1840 joules. Nutritionists use the kilocalorie (1,000 cal) to state the heat content of food. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) CALORIE The amount of energy required to raise the temperature of one gram of water one degree Centigrade. One calorie equals 0.004 BTUs. One BTU equals 252 calories. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) CANAL nm [channel] Tout médium (câble, ondes,...) capable d'assurer un transfert d'informations entre 2 équipements. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) CANALISATION Tout canal conçu pour contenir des fils, des câbles ou des barres omnibus. À moins d'être qualifié autrement dans les articles de ce Code, ce terme comprend les conduits (rigides et flexibles, métalliques et non-métalliques), tubes électriques métalliques et non-métalliques, canalisations de plancher, planchers cellulaires, moulures, canalisations d'appareils d'éclairage, goulottes guide-fils, chemins de câbles, barres blindées et caniveaux auxiliaires. [CSA 22.10-1992] CANADIAN TRANSPORT EMERGENCY CENTER (CANUTEC) A 24 hour, government sponsored hot line for chemical emergencies. (The Canadian version of CHEMTREC.) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CANUTEC Nom donné au Centre canadien d'urgence transport, Division du transport des marchandises dangereuses, Transports Canada. CANUTEC fournit des renseignements et facilite les communications en cas d'urgence en matière de transport des marchandises dangereuses. Le service téléphonique de CANUTEC est ouvert 24 heures par jour toute l'année au numéro (613) 996-6666 (à frais virés au Canada). (Canutec) CAPACITÉ PORTANTE pression nette admissible sur le sol d'appui [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] CAPACITÉ DE TRANSMISSION (télécommunications) [throughput] Débit maximal d'un canal, exprimé en bps (bits par seconde). (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) CAPILLARITY Capillarity or capillary action, phenomenon in which the surface of a liquid is elevated or depressed when it comes in contact with a solid. The result depends on the outcome of two opposing forces, Adhesion and Cohesion. Adhesion between glass and water causes the water to rise along a glass wall until this force is balanced by the cohesive force acting to minimize the liquid's surface area ( Surface Tension). When adhesion is less than cohesion, as with glass and mercury, the surface is lowered. The upward flow of water in soil and in plants is partially caused by capillarity. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) CAPILLARY A narrow bore glass tube. Capillary column gas chromatography employs glass tubes having an inside diameter of approximately .2 to .5 millimetres and a length of 3 to 300 metres. The walls of a capillary column are coated with an adsorbent medium (a liquid phase in which the sample dissolves). (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) CARACTÉRISTIQUES ADMISSIBLES propriétés du sol qui permettent d'établir sa capacité portante et le type de fondation à utiliser [S3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] CARBON Carbon is a nonmetallic element, known since ancient times. Pure carbon forms are amorphous carbon (found in such sources as Charcoal, Coal, Coke, Lignite, and Peat) and the crystals Graphite, a very soft, dark-gray or black, lustrous material, and Diamond, the hardest substance known. Organic Chemistry is the study of carbon compounds. All living organisms contain carbon. Carbon has seven isotopes; carbon-12 is the basis for Atomic Weights; carbon-14, with a half-life of 5,730 years, is used to trace chemical reactions and to date geologic and archaeological specimens (Dating). (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) CARBON The element upon which all organic molecules are based. Carbon has an atomic weight of 12.00, and occurs elementally in these forms: diamond, graphite and amorphous carbon such as coal or carbon black. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) CARBONACEOUS MATERIAL (matière organique) A material that contains carbon. [Fire Cause Determination, IFSTA 1986] CARBON DIOXIDE (CO2) Carbon dioxide (CO2), chemical compound, occurring as a colorless, odorless, tasteless gas that is about 1 1/2 times as dense as air under ordinary conditions. It does not burn and will not support combustion of ordinary materials. Its weakly acidic aqueous solution is called Carbonic Acid. The gas, easily liquefied by compression and cooling, provides the sparkle in carbonated beverages. Solid carbon dioxide, or dry ice, is a refrigerant. Dough rises because of carbon dioxide formed by the action of yeast and baking powder. Carbon dioxide is a raw material for photosynthesis in green plants, and is a product of animal respiration and of the decay of organic matter. Carbon dioxide occurs both free and combined in nature, and makes up about 1% of the volume of dry air. It can cause death by suffocation if inhaled in large amounts. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) CARBON DIOXIDE A molecule consisting of one atom of carbon and two atoms of oxygen which is a major combustion product of the burning of organic materials. Carbon Dioxide (CO2) is the result of complete combustion of carbon. In the gaseous form, CO2 is used as a fire extinguisher. In the solid form, CO2 is known as dry ice. CO2 is heavier than air, with a vapour density if 1.53 (air = 1.00). (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) CARBON DISULFIDE A highly flammable nonpetroleum solvent used for gas chromatography because of its relatively low signal generated in a flame ionisation detector. Carbon disulfide has the formula CS2. Reagent grade CS2 has an odour similar to rotten broccoli and can be ignited by contact with boiling water. It burns with a blue flame, providing CO2 and SO2 (sulfur dioxide). The explosive limits of CS2 are 1 to 50%. CS2 has a flash point of -22F. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) CARBONE Du latin "carbo", charbon. Appartient au groupe 14. Sous forme de charbon de bois, de suie ou de charbon, le carbone a été utilisé depuis la préhistoire. Sous forme de diamant, il est connu depuis les temps les plus anciens. Alors que le graphite est l'un des matériaux les plus mous, le diamant est le matériau le plus dur. Depuis quelques années, une nouvelle forme de molécule de carbone a été découverte. Elle ressemble un peu à un ballon de football ou à un dôme géodésique et elle intéresse beaucoup les chercheurs car on pense qu'elle pourrait être utilisée pour renfermer des molécules de médicament. Le carbone est très répandu dans l'univers : on le trouve en abondance dans les comètes, les étoiles et l'atmosphère de la plupart des planètes. C'est un élément essentiel à la vie des plantes et des animaux et il est présent dans tous les composés 14 organiques. Un de ses isotopes, C est utilisé pour la datation des trouvailles archéologiques. Les industries chimique et métallurgique utilisent de grandes quantités de carbone. Certains de ses composés comme CO (monoxyde de carbone) et CN (ion cyanure) sont très toxiques, voire mortels pour les mammifères. Les gaz organiques comme CH4 (méthane), C2H4 (éthylène) et C2H2 (acéthylène) forment des mélanges explosifs avec l'air. (Ivan Noels,[email protected]) CARBON MONOXIDE (CO) Carbon monoxide, chemical compound (CO), colorless, odorless, tasteless, extremely poisonous gas that is less dense than air under ordinary conditions. It burns in air with a characteristic blue flame, producing carbon dioxide. It is a component of the artificial fuels producer gas and water gas. As a reducing agent, it removes oxygen from many compounds and is used in the reduction of metals from ores. When air containing as little as 0.1% carbon monoxide by volume is inhaled, the oxygen of hemoglobin is replaced by the carbon monoxide, resulting in fatal oxygen starvation throughout the body. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) CARBON MONOXIDE A gaseous molecule having the formula CO, which is the product of incomplete combustion of organic materials. Carbon monoxide has an affinity for haemoglobin approximately 200 times stronger than oxygens and is highly poisonous. CO is a flammable gas which burns with a blue flame and has explosive limits of 12% to 75%. Carbon monoxide has approximately the same vapour density as air, 0.97 air (air = 100). (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) CARBON TETRACHLORIDE A nonflammable liquid having the formula CC14, formerly used as a fire extinguisher, and still used as a solvent and cleaning agent. Carbon tetrachloride boils at 77C. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) CARBOXYHEMOGLOBIN A chemical compound resulting from the reaction of hemoglobin with carbon monoxide, after which oxygen can no longer be transported by the hemoglobin. [Friedman 1989] CARBOY A container, usually encased in a protective basket or crate, used to ship hazardous materials, particularly corrosives. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CARBURANTS (véhicules automobiles) Carburant diesel essence éthanol (alcool de grain: maïs, canne à sucre) gaz naturel liquéfié méthanol (alcool de bois: toxique, corrosif) Hydrogène liquide gaz naturel comprimé Densité d'énergie (BTU / litre) 35 620 29 025 à 33 245 23 000 19 390 14 900 8 970 7 650 [CAA - Québec, Journal de Québec, mardi 27 décembre 1994, p.99] CARBURANT ET COMBURANT Exposé approximatif mais néanmoins utilisable Les carburants et comburants élémentaires ---------------------------------------Voici la liste des éléments servant parfois ou souvent de carburant : Nom Hydrogène Lithium Bore Carbone Sodium Magnésium Aluminium Phosphore Soufre Potassium Fer Symbole H Li B C Na Mg Al P S K Fe Numéro 1 3 5 6 11 12 13 15 16 19 26 Masse atomique 1 7 11 12 23 24 27 31 32 39 56 Voici la liste des éléments servant parfois ou souvent de comburant : Nom Oxygène Fluor Symbole O F Numéro 8 9 Masse atomique 16 19 La règle du jeu est la suivante : si vous mélangez n'importe quel carburant avec n'importe quel comburant, vous pourrez déclencher dans ce mélange un phénomène dit de "combustion". C'est à dire une réaction chimique engendrant beaucoup de chaleur. Vous pourrez ainsi faire des explosions, fabriquer de la chaleur, mettre des pistons en mouvement... A température ordinaire, les éléments chimiques n'existent jamais à l'état d'atomes isolés. Ils sont toujours attachés ensembles, par paires ou par paquets. [...] Note : rien n'est jamais exactement défini : on utilise parfois du fer ou du zinc comme carburant, et du soufre comme COMBURANT. Dans de petits moteurs fusée, par exemple. Ca ne donne pas beaucoup d'énergie, mais ça marche. (Source : auteur inconnu, Internet) CARNEAU conduit qui amène à la cheminée les produits de combustion d'un appareil à foyer [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] CASCADE SYSTEM Several air cylinders attached in series to fill Self Contained Breathing Apparatus (SCBA) bottles. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CATASTROPHIC INCIDENT An event that significantly exceeds the resources of a jurisdiction. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CATEGORIZATION To put into any of several fundamental and distinct classes to which entities or concepts belong; a division within a system of classification. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) CAUSE D'INCENDIE Celle-ci [la cause] est à rechercher dans un échauffement de la matière combustible qui se décompose alors en donnant naissance à des vapeurs qui s'enflamment à une certaine température. Sous l'effet d'une source auxiliaire de chaleur, d'un point chaud (flamme ou étincelle), ou d'elle-même [la température]. La température à laquelle se produit l'inflammation n'est pas la même dans les deux cas. (Jean GAYET, ABC de police scientifique, Bibliothèque scientifique Payot, Paris, 1973) CAUSE (seule cause possible) Très souvent, lorsque le foyer exact de l'incendie est établi, la cause de l'incendie peut devenir évidente car cette dernière est peut-être la seule possible dans le secteur étudié - C.W. Stickney, Comment déterminer les causes d'incendies, Firemen Magazine, NFPA, Boston, 1960. [voir la notion de "cause probable" dans un communiqué de presse concernant l'explosion de Warwick] CAVITATION cavitation *a *UNCONFIRMED cavitation *a *A VÉRIFIER Dommage causé à un matériau par un liquide en mouvement accompagné de la formation et de l'éclatement de bulles à la surface du métal. désamorçage : De l'air qui pénètre dans la canalisation de retour de l'écumoire prive la pompe d'eau, entraînant la cavitation ou le désamorçage de cette dernière. cavitation erosion / érosion par cavitation / attaque par cavitation / corrosion par cavitation ((La)) cavitation provoque une érosion très active (...) qui a été l'objet de très nombreuses théories. (...) Les phénomènes de fatigue des matériaux sous l'action des chocs qui peuvent se produire jusqu'à des fréquences de 1 000 Hz (hertz) sont de loin les causes principales de l'érosion par cavitation. Cette érosion impose la recherche d'un régime d'emploi des machines hydrauliques évitant la cavitation. On peut conclure avec certitude que seuls des phénomènes d'origine mécanique sont cause de l'érosion par cavitation et qu'en particulier les processus chimiques n'y jouant aucun rôle, il est impropre de parler de corrosion par cavitation. cavitation : Formation de cavités (de gaz) dans un liquide en mouvement. cavitation: Formation de vide partiel dans un liquide dû à une séparation de constituants ou à un départ de gaz, notamment par ultrasons mais plus fréquemment au sein d'un liquide en mouvement, lorsque la pression dans le liquide devient inférieure à la tension de vapeur de celuici. (Source : Termium 1994) CCC Cleveland Closed Cup. Une méthode à vase fermé normalisée qui permet de déterminer les points d'éclair. (Canutec) CCHST Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail. Le CCHST procure un service d'information pour tout le Canada sur l'hygiène et la sécurité au travail. Il répond à des demandes de renseignements particulières, produit des publications et offre un service de documentation informatique accessible en direct (ligneCCINFO) ou au moyen d'un disque CD-ROM (disqueCCINFO). (Canutec) CEASE AND DESIST ORDER Legal direction to stop any and all activities. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CELLAR means a basement that is more than 50 per cent below grade. (Ontario Fire Code 1996) CELLULOSE A natural polymer (C6H10O5)n which is a principal constituent of cotton, wood and paper. [Friedman 1989] CELSIUS (CENTIGRADE) DEGREE C The internationally used scale for measuring temperature, in which 100o is the boiling point of water at sea level (1 atmosphere), and 0o is the freezing point. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CERTIFICATION / certification Procédure par laquelle une tierce partie donne une assurance écrite qu'un produit, un processus, un service ou une entreprise est conforme aux exigences spécifiées. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) CFR 1) Crash, Fire, Rescue personnel; trained in aircraft fire fighting and rescue. 2) Code of Federal Regulations; enforced by Federal and State agencies and contain statutes for the function of Federal government. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CHAMBRE D'AIR vide technique ou partie d'un générateur d'air chaud servant à la circulation de l'air [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] CHANGE TRACKING METHOD The Change Tracking Method uses the traditional method of difference to identify changes during a process. CTM's primary value is in guiding the ' thinking ' required to trace the "change makers" during the progression of the occurrence. (Ludwig Benner, MES Guide 4, TASK GUIDANCE FOR DOCUMENTING CHANGE TRACKING METHOD, 1998) CHAIN REACTION The rapid reaction of a free atom or radical with another species, the products of which include 1 or more free atoms or radicals, which can undergo further rapid reactions. If more than 1 free atom or radical is produced, a branching chain reaction results. [Friedman 1989] CHAIN REACTION A self-propagating chemical reaction in which activation of one molecule leads successfully to activation of many others. Most, perhaps all, combustion reactions are of this kind. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) CHALEUR Mode de transfert d'énergie sous la forme d'énergie cinétique d'agitation moléculaire désordonnée. Elle peut être échangée par un système avec le milieu environnant lors d'un échauffement ou d'un refroidissement, d'un changement de volume ou de pression, d'un changement d'état physique, d'une réaction chimique, etc. On évalue une quantité de chaleur Q en joules ou en calories (1 cal = 4,1855 J) - Dictionnaire de la physique, Masson Eyrolles, 3e édition, Paris, 1991 [DP 1991] . CHALEUR (Propagation de la) Voir : Chaleur rayonnante, Convection, Diffusion de la chaleur. [DP 1991] CHALEURS DE COMBUSTION (Voir Heat of Combustion) Les données thermochimiques des substances organiques sont habituellement obtenues expérimentalement en faisant brûler ces substances dans l'oxygène et en mesurant la quantité de chaleur dégagée. On trouvera ces chaleurs de combustion dans les Tables de Constantes . ... La valeur du combustible, c'est-à-dire son pouvoir calorifique, est mesuré par cette chaleur de combustion et le prix de ce combustible dépendra du résultat d'un tel essai. [Pauling 1958] CHALEUR RAYONANTE Ancien nom impropre du rayonnement infrarouge. Un corps chaud émet de l'énergie rayonnante, qui ne devient chaleur que si elle est absorbée. [DP 1991] CHANDELLE La chandelle a été une forme d'éclairage artificiel pendant de nombreux siècles, et on l'utilise encore de nos jours à l'occasion de cérémonies, à des fins décoratives et comme moyen d'éclairage d'urgence. La chandelle est essentiellement une mèche entourée d'un combustible rigide. Le combustible doit donc être à l'état solide. La cire de paraffine, d'abord extraite du pétrole en 1850, fut utilisée dans la fabrication des chandelles vers 1854. La mèche est une partie importante de la chandelle. Elle doit être incorporée au combustible selon des proportions et une texture appropriées de manière à ne pas fournir trop ou trop peu de combustible à la flamme. Au milieu du XIXe siècle, on apporta des améliorations à la chandelle : la mèche était maintenant nattée ou tressée. L'un des fils qui la composait était plus tendu que les autres, de sorte que la mèche avait tendance à se courber à mesure que la chandelle brûlait; la mèche s'inclinait d'un côté, de sorte qu'elle se consumait dans la partie extérieure de la flamme. [Appareils d'éclairage, 1984] CHAOTIQUE Qualifie un phénomène de désordre apparaissant dans l'évolution de certains systèmes dynamiques de nature très diverse. Exemple : la turbulence. [DP 1991] CHAR (carbonisation) Carbonaceous material formed by incomplete combustion of an organic material, comonly wood; the remains of burned materials. [Fire Cause Determination, IFSTA 1986] CHARCOAL A nonvolatile residue obtained when organic matter, usually wood, is heated in the absence of air. Largely pure Carbon, charcoal yields more heat per volume than wood. Charcoal obtained from bones is called bone black or animal charcoal. Finely divided charcoal, with its porous structure, efficiently filters the absorption of gases and of solids from solution. Charcoal is used in sugar refining and in water and air purification. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) CHARGE DE CALCUL charge qu'une fondation est destinée à transmettre au sol d'appui y compris son propre poids [S3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] CHARGE COMBUSTIBLE poids moyen, exprimé en livres par pieds carrés, des matières combustibles d'un local ou d'une étendue de plancher [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] CHARGE PERMANENTE poids total des éléments fixes et permanents d'un bâtiment [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] CHARGE D'OCCUPANTS nombre de personnes pour lequel un bâtiment ou une partie de bâtiment est conçu [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] CHECK means visual observation to ensure the device or system is in place and is not obviously damaged or obstructed. (Ontario Fire Code 1996) CHEF D'ÉTABLISSEMENT chef d'établissement au sens de la Loi sur la santé et la sécurité du travail [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] CHEMICAL ABSTRACTS SERVICE (C.A.S) NUMBER A numbering system assigned by the American Chemical Society often used by local and state hazardous materials compliance legislation for tracking chemicals in the workplace and in the community. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CHEMICAL CHANGE Rearrangement of the atoms, ions or radicals or one or more substances, resulting in the formation of new substances, often having entirely different properties. Also known as a chemical reaction. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) CHEMICAL MANUFACTURERS ASSOCIATION The parent organization that operates CHEMTREC. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CHEMICAL PROTECTIVE CLOTHING MATERIAL Any material or combination of materials used in an item of clothing for the purpose of isolating parts of the wearer's body from contact with a hazardous chemical. (NFPA 1991,1-3) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CHEMICAL PROTECTIVE SUIT Single or multi-piece garment constructed of chemical protective clothing materials designed and configured to protect the wearer's torso, head, arms, legs, hands, and feet. (NFPA 1991, 1-3) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 Chemical Reaction A change in the nature of a material or materials that can release energy in the form of light or heat. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) CHEMICAL RESISTANCE The ability to resist chemical attack. The attack is dependent on the method of test and its severity is measured by determining the changes in physical properties. Time, temperature, stress, and reagent may all be factors that affect the chemical resistance of a material. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CHEMICAL RESISTANT MATERIALS Materials that are specifically designed to inhibit or resist the passage of chemicals into and through the material by the processes of penetration, permeation or degradation. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CHEMICAL TRANSPORTATION EMERGENCY CENTER (CHEMTREC) The Chemical Transportation Center, operated by the Chemical Manufacturers' Association (CMA), can provide information and technical assistance to emergency responders. (Phone number: 1-800-424-9300) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CHEMISTRY A basic science concerned with 1. the structure and behaviour of atoms (elements); 2. the composition and properties of compounds; 3. the reactions that occur between substances and the resultant energy exchange and 4. the laws that unite these phenomena into a comprehensive system. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) CHEMNET A mutual aid network of chemical shippers and contractors. It is activated when a member shipper cannot respond promptly to an incident involving chemicals. (Contact is made through CHEMTREC.) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CHEMTREC (2) Chemical Transportation Emergency Centre. Centre national établi aux États-Unis par la Chemical Manufacturers Association (CMA) pour fournir de l'information pertinente aux particuliers en cas d'urgence concernant des produits chimiques donnés. CHEMTREC offre aux organismes inscrits un service téléphonique sans frais 24 heures par jour en cas d'urgence relative au transport des produits chimiques. (Canutec) CHIEF FIRE OFFICIAL means the assistant to the Fire Marshal who is the Municipal Fire Chief or a member or members of the fire department appointed by the Municipal Fire Chief under Subsection 1.1.8. or a person appointed by the Fire Marshal under Subsection 1.1.8. (Ontario Fire Code 1996) CHIMIE (NOTIONS DE) La connaissance des notions de chimie, en cela qu'elles se rapportent aux manifestations de la combustion, constitue une clé importante pour la compréhension du feu. C'est le plus souvent la chimie qui explique le mieux les manières dont l'énergie est engendrée dans une réaction en chaine. Les définitions du FEU sont importantes, et on les associe généralement aux représentations graphiques du TRIANGLE DU FEU et du TÉTRAHEDRE DU FEU. On référera de nouveau à ces conventions, mais on les caractérisera dans une perspective propre à l'investigation des incendies, comme suit: - le triangle du feu sert à illustrer le processus de la combustion, eu égard strictement aux éléments qui doivent se combiner pour amorcer un feu; il s'agit d'un combustible dans une forme appropriée, de la chaleur en quantité suffisante, et de l'oxygène dans l'air - (tétrahèdre du feu) l'ajout d'un quatrième côté à la figure fait état de la réaction en chaine du processus, c'est-à-dire des changements d'ordre chimiques en présence d'un catalyseur (la chaleur); au fur et à mesure de la décomposition, le processus se maintient jusqu'à son interruption par: .1 épuisement du combustible .2 tarissement de l'oxygène .3 dissipation et/ou absorbtion de la chaleur .4 d'autres interventions agissant sur la réaction en chaine proprement dite (isoler le combustible de l'air fait cesser la combustion mais n'abaisse pas la température du combustible; briser la géométrie favorable à la distribution de l'air et aux effets de réverbération de la chaleur et de la radiation; introduction d'une atmosphère inerte; ...) Ces méthodes interviennent chacune à sa manière pour caractériser l'état des indices qu'on lira ensuite dans le bâtiment sinistré. Si l'on veut s'en tenir à la notion de combustion en cela qu'elle est effectivement un processus d'oxydation, on peut dire qu'il y a deux types d'oxydation: .1 l'oxydation directe des gaz, des liquides et des solides combustibles qui ne doivent pas subir la décomposition ou la pyrolyse pour s'oxyder ou brûler (carbone, méthane, soufre, métaux) .2 l'oxydation séquentielle des liquide ou solides combustibles qui subissent la pyrolyse (ou la vaporisation) pour s'oxyder ou brûler. La chimie du feu divise les matériaux en 3 groupes: les solides et les liquides, et les gaz. Les notions associées à ces états de la matière sont: POUR LES SOLIDES .1 la pyrolyse (distillation sans oxydation) .2 l'action pyrophorique (par l'action intermittente de la chaleur) .3 la combustibilité des métaux .4 la rapport de masse à surface .5 la sublimation. POUR LES LIQUIDES .1 le poids spécifique .2 la solubilité .3 la miscibilité .4 le point d'éclair .5 la température d'ignition (auto-ignition par l'application de chaleur seulement) .6 le point d'ébullition .7 la plage d'inflammabilité .8 la plage d'explosivité .9 la stoechiométrie .10 l'expansion explosive des vapeurs d'un liquide en ébullition (BLEVE) .11 taux de combustion des liquides (en profondeur dans un contenant). POUR LES GAZ .1 la densité de vapeur .2 les explosions de gaz utilisés comme combustibles. Il vaut de connaitre la nature de l'énergie capable d'amorcer la combustion, mais il importe plus encore, aux fins de l'investigation d'un incendie, d'en connaitre la source, la provenance, et le mode de transfert. Parmi les sources de chaleur, ou phénomènes produisant la chaleur, il faut énumérer: .1 l'électricité .2 la résistance électrique, l'arc, les étincelles de cette source.3 l'électricité statique .4 une réaction chimique .5 la solution, la décomposition .6 la compression, l'échauffement adabiatique .7 la foudre .8 la combustion spontanée .9 les surfaces chaudes .10 la flamme nue .11 le soleil Le rôle et les effets de la chaleur, et ses trois modes de transfert. L'oxygène. Le développement d'un incendie (3 phases, incluant l'explosion de fumée). L'étude de la chimie du feu doit aider l'investigateur à acquérir une meilleure perspective du feu et de l'incendie, dans la mesure où il y intègre également les propriétés des matériaux. (Hughes Chicoine TPI, CFEI CFII) CHIMIE ORGANIQUE La chimie organique est la chimie des composés du carbone. C'est un sujet extrêmement vaste puisqu'environ un demi-million de composés organiques différents ont déjà été décrits dans la littérature chimique. Beaucoup de ces substances furent extraites de la matière vivante, mais beaucoup plus ont été synthétisées (fabriquées) par les chimistes au laboratoire. [Pauling 1958] CHIMNEY means a primarily vertical shaft enclosing at least 1 flue for conducting flue gases to the outdoors. (Ontario Fire Code 1996) CHIMNEY EFFECT The tendency of air or gas in a duct or other vertical passage to rise when heated due to its lower density compared with that of surrounding air or gas. In buildings, the tendency toward displacement caused (by the difference in temperature) of internal heated air by unheated outside air due to the difference in density of outside and inside air. [ASHRAE Guide and Data Book 1963] CHLOREP The chlorine emergency plan, established by the Chlorine Institute, enables the nearest producer of chlorine to respond to an incident involving chlorine. (Contact is made through CHEMTREC.) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CHLORINE KITS Standardized kits commercially manufactured by contract with the Chlorine Institute to provide equipment to control or stop leaks in chlorine cylinders, tanks, and transportation tank cars.HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CHROMATOGRAM A series of peaks and valleys printed or written on a paper chart where each peak represents a component or mixture of two or more unresolved components in a mixture separated by gas or liquid chromatography. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) CHROMATOGRAPHY A chemical separation procedure which separates compounds according to their affinity for an adsorbent or absorbent material. Chromatography includes Thin Layer Chromatography (TLC), Liquid Chromatography (LC), Gas Chromatography (GC), (sometimes called Gas Liquid Chromatography or GLC) and High Performance Liquid Chromatography (HPLC). (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) CHROME ... du grec "chrôma", couleur. Appartient au groupe 6. C'est un métal gris-acier, luisant, dur et capable d'être poli fortement. On le trouve sous forme de minerai, comme le plomb rouge de Sibérie qui donne un pigment de qualité pour les peintures à l'huile. C'est sa présence qui colore en vert les émeraudes et en rouge les rubis. On l'utilise pour durcir l'acier, pour rendre l'acier inoxydable et en placage pour former une surface luisante et dure, empêchant la corrosion. C'est un oligo-élément essentiel qui accroît l'efficacité de l'insuline et joue ainsi un rôle dans le métabolisme du glucose. Tous ses composés sont fortement toxiques. (Yvan Noels) CIRCONSTANCES Au chapitre des éléments à retenir en temps opportun, on doit parfois examiner attentivement les déclarations des témoins qui ne sont pas des intervenants, des bandes vidéo et des photographies durant l'incendie et après l'incendie, afin de reconstituer le plus exactement possible les circonstances de l'événement, en recoupant le tout avec les récits des pompiers (par exemple, au cours d'interviews informelles). Cette approche constitue apparemment le segment analytique du travail (analyse d'incendie), mais en vérité il s'agit du processus global par lequel la recherche entreprise déterminera l'origine, la cause et la responsabilité du sinistre. Ce processus inclura l'analyse de la principale défaillance ayant entraîné ce sinistre. Néanmoins, si l'analyse d'incendie parvient à déterminer avec suffisamment de précision le foyer d'incendie, un bon nombre d'hypothèses s'en trouvent automatiquement exclues. Dans le cas d'un incendie où il s'avère que les témoignages des témoins et des pompiers montrent uniment que la fumée s'échappait d'un bâtiment au sous-sol, au rez-de chaussée et à l'étage entre le moment de la découverte de l'incendie et l'arrivée des pompiers à peine cinq minutes plus tard, on est porté à penser que l'incendie s'est développé très rapidement. Il pourrait toutefois s'agir d'un incendie qui a couvé longuement et qui s'est manifesté intensément. Dans les circonstances toutefois, les gens d'expérience savent d'emblée que cette situation cache des dangers insoupçonnés, mais surtout que le foyer d'incendie se trouve lui aussi caché. Il faut alors user de circonspection et examiner plus attentivement les déclarations des témoins qui ont prétendu connaître la localisation du foyer d'incendie. Il sera utile de noter la perspective de chaque intervenant interviewé et la nature de ses observations pour constituer un portrait d'ensemble de la situation à un moment donné dans le temps que l'on prendra soin de déterminer. (H. Chicoine, 1997) CIRCUIT DE DÉRIVATION (ou DÉRIVATION) Partie du câblage située entre le dernier dispositif de protection contre les surintensités du circuit et la ou les sorties. [CSA 22.10 1992] CIRCUIT NON-INCENDIAIRE (voir aussi Antidéflagrant) Circuit dans lequel les étincelles ou l'échauffement susceptibles d'être produits en fonctionnement normal ou lors du sectionnement, de la mise en court-circuit ou de la mise à la terre du câblage auxiliaire ne peuvent causer l'allumage du gaz ou des vapeurs inflammables donnés. [CSA 22.10-1992] CITERNE / réservoir (tank) "citerne" : Grand conteneur fermé ou compartiment fermé à marchandises conçus pour contenir des liquides, des gaz ou des solides en vrac. (Termium 1994) CITERNE MOBILE / CITERNE PORTABLE / CITERNE AMOVIBLE / RÉSERVOIR PORTATIF (mobile tank ) "citerne portable" : Citerne ne faisant pas partie intégrante d'un moyen de transport, qui est conçue pour être chargée sur ou dans un véhicule ou un navire ou pour y être fixée da façon temporaire, et qui est munie de palettes à patins, de supports ou d'accessoires pour en faciliter la manutention par énergie mécanique. La présente définition exclut les citernes de wagon-citerne à éléments multiples. [Source : Règlement concernant les marchandises dangereuses ainsi que la manutention, la demande de transport et le transport des marchandises dangereuses.] Les dispositions de l'appendice 3 [du Règlement] s'appliquent aux véhicules citernes et aux citernes amovibles qui restent fixées solidement au véhicule routier (...) Citernes mobiles ("portable tanks") et véhicules citernes routiers répondent aux recommandations (...) du code I.M.D.G. (...) Citernes mobiles pour produits liquides. Il s'agit d'une citerne : a) non assujettie de façon permanente à bord d'un navire (...) Le terme "citerne mobile", que l'on retrouve dans le Règlement sur les produits contrôlés de la Loi sur des produits dangereux, nous paraît le meilleur. Voir les définitions de "mobile", "portable" et "amovible" qui suivent. "mobile" : Qui peut être mû, dont on peut changer la place ou la position. [P. ex.:] Pièce mobile d'une machine, d'un dispositif. "amovible" : Qu'on peut enlever ou remettre à volonté. [P. ex.:] Imperméable à doublure amovible. "portable" : Facile à porter (terme vieilli). "citerne amovible" : chemin de fer, route, navigation intérieure (RTMD). (Termium 1994) CLASSIFICATIONS Class A fire : Fire in "ordinary" combustible solids. However, if a plastic readily melts in a fire, it might be Class B rather than Class A. Class B fire : Fire in flammable liquids, gases and greases. Class C fire : Fire in energized electrical equipment. Class D fire : Fire in combustible metals. Class I liquid : A liquid with a flash point below 38°C (100°F). Class II liquid : A liquid with a flash point between 38°C and 60°C (100 and 140°F). Class III liquid : A liquid with a flash point above 60°C (140°F). [Friedman 1989] CLASS A FIRE means a fire involving combustible materials such as wood, cloth and paper. (Ontario Fire Code 1996) CLASS B FIRE means a fire involving a flammable or combustible liquid, fat or grease. (Ontario Fire Code 1996) CLASS C FIRE means a fire involving energized electrical equipment. (Ontario Fire Code 1996) CLASS D FIRE means a fire involving a combustible metal. (Ontario Fire Code 1996) CLEANUP Incident scene activities directed toward removing hazardous materials, contamination, debris, damaged containers, tools, dirt, water, and road surfaces in accordance with proper and legal standards, and returning the site to as near a normal state as existed prior to the incident. (Sacramento Hazardous Materials Team) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CLEANUP COMPANY (HAZARDOUS WASTE) A commercial business entity available for hire to specifically remove, transport, and/or dispose of hazardous wastes; and when appropriate, must meet California Highway Patrol and Department of Toxic Substances Control requirements. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CLEANUP OPERATION An operation where hazardous substances are removed, contained, incinerated, neutralized, stabilized, cleared up, or in any other manner processed or handled with the ultimate goal of making the site safer for people or the environment. (8 CCR 5192(a)(3)) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CLOISON mur intérieur non porteur dont la hauteur est celle de l'étage, ou moins [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] CLOISONNEMENT COUPE-FEU (voir closure) élément de construction capable d'empêcher la propagation du feu[S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] CLOSED CONTAINER means a container so sealed by means of a lid or other device that neither liquid nor vapour will escape from it at ordinary temperatures. (Ontario Fire Code 1996) CLOSURE means a device or assembly for closing an opening through a fire separation such as a door, a shutter, wired glass or glass block and includes all components, such as hardware, closing devices, frames and anchors. (Ontario Fire Code 1996) CO (Coupelle Ouverte) Méthode à coupelle ouverte (ou à vase ouvert) (Canutec) COAL A fuel substance of plant origin, composed largely of Carbon with varying amounts of mineral matter. Coal belongs to a series of carbonaceous fuels that differ in the relative amounts of moisture, volatile matter, and fixed carbon they contain; the most useful contain the largest amounts of carbon and the smallest amounts of moisture and volatile matter. The highest grade of coal is anthracite, or hard coal, which is nearly pure carbon and is used as a domestic fuel. Bituminous coal, or soft coal, with a lower carbon content, is used as an industrial fuel and in making Coke. Lignite and Peat are the lowest in carbon content. Large amounts of coal were formed in the Carboniferous period of geological time (345 to 280 million years ago). It is thought that great quantities of vegetable matter collected and underwent slow decomposition in swamps similar to present-day peat bogs and in lagoons. The peat that formed was converted to lignite and coal by metamorphism. The pressure of accumulated layers of overlying sediment and rock forced out much of the volatile matter, leaving beds or seams of compact coal interstratified with shales, clays, or sandstones. Higher grades of coal were produced where the stress was greatest. Major U.S. coalfields are found in Appalachia, the Midwest, the Rocky Mt. region, and along the Gulf Coast. The chief coal-producing countries of Europe are Germany, Britain, the USSR, Poland, France, and Belgium. Valuable coal deposits also exist in China, India, South Africa, and Australia. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) COBALT ... de l'allemand "kobalt", lutin. Appartient au groupe 9. Les premières civilisations d'Egypte et de Mésopotamie utilisaient ses sels pour colorer les poteries d'un bleu profond. C'est un métal de transition, cassant mais dur, avec des propriétés magnétiques similaires à celles du fer. En petites quantités, ses sels sont essentiels pour de nombreuses espèces. Le cobalt fait partie du noyau de la vitamine B12. Son isotope artificiel 60Co est utilisé en radiothérapie comme source de rayons gamma. Allié avec le fer, le nickel, le cobalt et l'aluminium, il forme un alliage appelé Alnico, d'une puissance magnétique inusitée et utilisé notamment dans les moteurs d'avions à réaction et dans les turbines à gaz. Ses sels sont utilisés pour la coloration en bleu brillant de la porcelaine, du verre, des tuiles et des vernis. (Yvan Noels) CODE CANADIEN DE L'ÉLECTRICITÉ (CCE, norme CSA C22.1-1990) © Association canadienne de normalisation - ACNOR/CSA Par le décret 1674 - 91, le Gouvernement du Québec a adopté le Code canadien de l'électricité, Première partie (seizième édition, soutitrée NORME DE SÉCURITÉ RELATIVE AUX INSTALLATIONS ÉLECTRIQUES). Ce Code, modifié par un arrêté ministériel du ministère du Travail, remplace la quinzième édition en vigueur depuis 1987 et entre en vigueur le 01 avril 1992. ... la seizième édition du Code canadien de l'électricité ... servira de base à l'application de la Loi sur les installations électriques. Cette seizième édition du Code canadien de l'électricité (CCE) a é approuvée par le Comité du Code canadien de l'électricité ... et par le Conseil consultatif de sécurité électricité ... Les travaux préliminaires en vue de l'élaboration du Code canadien de l'électricité ont débuté en 1920 (première publication en 1927)... La documentation du NATIONAL ELECTRICAL CODE [NFPA] a constitué un apport précieux dans l'élaboration du présent Code. Objet : Ce Code a pour objet d'établir des normes de sécurité relatives à l'installation et à l'entretien de l'appareillage électrique. Lors de son élaboration, on a tenu compte de la prévention des risques d'incendie... La conformité à ce Code ainsi qu'un entretien adéquat assureront la sécurité indispensable de l'installation. [Code de l'électricité du Québec 1992, Ministère du Travail, Direction générale de la normalisation] CODE A set of rules and standards that have been adopted as mandatory regulations having the force and effect of law. [NFPA 921 - 1992] CONFIGURATION nf (informatique) On appelle configuration l'ensemble des dispositifs qui sont combinées à un ordinateur : clavier, écran vidéo, instrument de musique, disques magnétiques, etc. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) CONFORMITÉ / conformity Satisfaction aux exigences spécifiées. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) CONTRÔLE / inspection Actions de mesurer, examiner, essayer, passer au calibre une ou plusieurs caractéristiques d'un produit ou service et de les comparer aux exigences spécifiées en vue d'établir leur conformité. NF X 50 - 120 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) CONTRÔLE DE LA QUALITÉ TOTALE / total quality control (TQC) Gestion de la qualité étendue à l'ensemble de l'entreprise dans toutes les activités, et pour l'ensemble des fonctions et personnes. NF X 50 - 120 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) CONTRÔLE STATISTIQUE DES PROCESSUS / statistical process control (SPC) À partir de la vérification des produits, cette démarche sert à vérifier que les procédés de fabrication soient capables de produire conformément aux spécifications du produit, à l'intérieur des limites de tolérance fixées. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) COÛT D'OBTENTION DE LA QUALITÉ / monitoring quality cost C'est l'ensemble des coûts engagés par l'entreprise pour atteindre et assurer les niveaux de qualité requis. NF EN 29004 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) CNPI (adoption par une municipalité) 260.-Code national de prévention des incendies Le Code national de prévention des incendies du Canada 1995 et ses amendements à ce jour forment partie ingérante du présent règlement comme s'ils étaient ici récités au long et chacune de ses dispositions, sauf celles expressément abrogées ou remplacées par la présente section, s'appliquent à tout immeuble situé dans le territoire de la ville. Tout amendement audit Code fait également partie intégrante du présent règlement à compter de la date que le Conseil déterminera par résolution. (Règlement 3400 de la Ville de Sherbrooke) COC Cleveland Open Cup. Méthode normalisée de test à coupelle ouverte ou à vase ouvert permettant de déterminer les points d'éclair. (Canutec) COFFRET Boitier de résistance mécanique appropriée, entièrement fabriqué de matériau incombustible et résistant à l'absorption, destiné à un montage en surface ou en affleurement et muni d'un cadre, d'une monture ou d'une autre garniture pour y suspendre des portes battantes. [CSA 22.10-1992] COFFRET DE BRANCHEMENT Ensemble approuvé constitué d'un coffret ou d'une boite en métal contenant les fusibles et l'interrupteur de branchement ou un disjoncteur, et construit de façon à pouvoir être mis sous clef ou scellé et à permettre la manipulation de l'interrupteur ou du disjoncteur lorsque le coffret de branchement est fermé. [CSA 22.10-1992] COKE A hard, gray, porous fuel with a high Carbon content. It is the residue left when bituminous Coal is heated in the absence of air. Coke is used in extracting metals from ores in the blast furnace. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) COLD ZONE The area outside of the Warm Zone. Equipment and personnel are not expected to become contaminated in this area. This is the area where resources are assembled to support the hazardous materials operation. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 COMBURANT, MATIÈRE COMBURANTE Un comburant est une matière qui dégage facilement de l'oxygène et peut facilement oxyder une autre matière. Des exemples de comburants sont l'oxygène, le chlore et les composés de peroxyde. Ces substances chimiques alimentent le feu et sont très réactives. Le Règlement sur les produits contrôlés, Canada, et la norme HAZCOM de l'OSHA aux États-Unis donnent des critères spécifiques qui permettent de déterminer si une matière appartient à la catégorie des comburants. (Canutec) COMBUSTIBILITY The ability of a substance to undergo rapid chemical combination with oxygen, with the evolution of heat. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 COMBUSTIBLE (matière) On dit qu'une matière est combustible lorsqu'elle peut prendre feu et brûler. Cependant, plusieurs administrations donnent au terme combustible le sens particulier qui lui est accordé par définition dans leurs règlements. Les termes combustible et inflammable décrivent tous deux des matières qui peuvent brûler. En général, les matières combustibles prennent feu moins facilement que les matières inflammables. (Canutec) COMBUSTIBLE (matériau) se dit d'un matériau qui s'enflamme ou qui cause une augmentation de température de plus de 65F (18,3C) dans le four d'essai, lorsqu'il est soumis à l'essai, selon la norme ACNOR B 54.11972 Determination of Noncombustibility in Building Materials [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] COMBUSTIBLE CONSTRUCTION means that type of construction that does not meet the requirements for noncombustible construction. (Ontario Fire Code 1996) COMBUSTIBLE DUST means dust and particles ignitable and liable to explode when mixed with air. (Ontario Fire Code 1996) COMBUSTIBLE FIBRES means finely divided combustible vegetable or animal fibres and thin sheets or flakes of such materials that in a loose, unbaled condition present a flash fire hazard, and includes cotton, wool, hemp, sisal, jute, kapok, paper and cloth. (Ontario Fire Code 1996) COMBUSTIBLE LIQUID means any liquid having a flash point at or above 37.8oC and below 93.3oC. (Ontario Fire Code 1996) COMBUSTIBLE LIQUIDE Les combustibles liquides présentent certains avantages par rapport aux combustibles solides: ils sont moins encombrants, ne donnent pas de cendres, ont un pouvoir calorifique plus élevée et, surtout, ils sont d'un emploi plus pratique, avec mise en marche rapide et facilité d'arrêt de la combustion. Les combustibles liquides les plus importants sont le pétrole et ses fractions (essence, gas-oil, mazout), le benzène, le benzol, les alcools méthylique et éthylique, etc. Les combustibles liquides les plus importants sont ceux qui proviennent du raffinage du pétrole. On distingue essentiellement les "carburants" destinés à la propulsion : gazole, essence auto, supercarburant, carburéacteurs, et les "fuels-oils", ou mazouts, destinés aux moteurs Diesel fixes, à la propulsion des navires et à la production de chaleur (fuel-oil domestique et fuels-oils lourds en France). (Termium 1994) COMBUSTIBLE (chaleur utilisable) Matière capable de brûler au contact de l'air, de l'oxygène ou d'un mélange gazeux contenant de l'oxygène, en produisant une quantité de chaleur utilisable. Il semblerait qu'en France, dans le domaine du chauffage, les "combustibles liquides" généralement tirés du pétrole brut ou naphte sont désignés sous le nom de "mazout" ou "fuel-oil". (Termium 1994) COMBUSTIBLE LIQUID Liquids with a flashpoint above 100o F. (See 49 CFR 173.120 (b)(2).) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 COMBUSTIBLE LIQUID A liquid which is capable of forming a flammable vapour/air mixture. All flammable liquids are combustible. Whether a liquid is flammable or combustible depends on its flash point and on the agency definition relied upon. The Coast Guard classifies all liquid having a flash point over 80F as combustible and liquids with a flash point below 80F as flammable. The NFPA uses 100F. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) COMBUSTION Réaction chimique exoénergétique entre un réducteur et un oxydant, en particulier l'oxygène. [DP 1991] COMBUSTION An exothermic chemical reaction that produces heat, and generally light as well, in a variety of mediums; the burning process, causing loss of weight to a compound. [Fire Cause Determination, IFSTA 1986] COMBUSTION (Friedman 1989) An exothermic chemical reaction that occurs so rapidly that the heat released causes the temperature of the reaction zone to be many hundreds or even several thousands of degrees higher than the surroundings. [Friedman 1989] COMBUSTION 1) An exothermic chemical reaction which liberates heat and usually produces high temperature gases and light. 2) Any oxidation reaction, including those produced by introduction of atmospheric oxygen; many explosives are capable of burning without detonation if unconfined. Moreover, the oxidation reaction taking place in propellants without introduction of oxygen is also designated as combustion: it is preferable to denote this process as burning (Burning Rate; Deflagration). (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) COMBUSTION (IAAI) An exothermic chain reaction between oxidising and reducing agents, or between oxygen and fuel. Combustion may occur with any organic compound, or with certain combustible elements such as hydrogen, sulfur and finely divided metals. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) QU'EST-CE QUE LA COMBUSTION ? Imaginons qu'on mélange du gaz d'hydrogène avec du gaz d'oxygène. On fait en sorte d'avoir deux fois plus d'atomes d'hydrogène que d'atomes d'oxygène (facile : il suffit de prendre deux litres d'hydrogène pour un litre d'oxygène, ce qui donne un volume final de trois litres). A une température normale, ce mélange est stable; il ne se passe rien. Les molécules bougent à une certaine vitesse, et rebondissent l'une sur l'autre quand elles se rencontrent. Imaginons maintenant que l'on porte brusquement ce mélange à une température de 600 °C. Qui dit gaz plus chaud, dit molécules bougeant avec plus de vitesse. Maintenant, quand des molécules d'hydrogène et d'oxygène vont se rencontrer, elles vont se fracasser l'une sur l'autre. Résultat : elles vont réagir ensemble pour former des molécules d'eau H2O. Pourquoi ? Parce-que les molécules d'eau sont plus stables, plus solides, que les molécules d'hydrogène ou que les molécules d'oxygène (ont dit aussi que leur niveau d'énergie est plus bas). Oui mais, cette réaction chimique libère de l'énergie. Ca chauffe. Cette eau se trouve à une température de plus de 2 000 °C. En résumé : la combustion hydrogène - oxygène engendre de l'eau et de la chaleur. On peut réaliser le même phénomène avec de l'hydrogène et du fluor, du carbone et de l'oxygène, du magnésium et de l'oxygène, etc... (Source : auteur inconnu, Internet) COMBUSTION PRODUCT By-products produced or generated during the burning or oxidation of a fuel. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 COMBUSTION REACTION The difference between a slow oxidative reaction and a combustion reaction is that the latter occurs so rapidly that heat is generated faster than it is dissipated, causing a substantial temperature rise (at least hundreds of degrees, and aften several thousands of degrees). Very often, the temperature is so high that visible light is emitted from the combustion reaction zone. [Friedman 1989] COMMAND The act of directing, ordering, and/or controlling resources by virtue of explicit legal, agency, or delegated authority. (NIIMS) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 COMMAND POST The location from which all incident operations are directed and planning functions are performed. The communications center is often incorporated into the command post. (NIIMS) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 COMMUNITY AWARENESS AND EMERGENCY RESPONSE (CAER) A program developed by the Chemical Manufacturers Association (CMA) to provide guidance for chemical plant managers to assist them in taking the initiative in cooperating with local communities developing integrated hazardous materials response plans. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 COMMUNITY RIGHT-TO-KNOW Legislation requiring business establishments to provide chemical inventory information to local agencies or the public. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 COMPANY (FIRE USAGE) Any piece of fire response equipment having a full complement of personnel.. (NIIMS) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 Company - means a complement of personnel operating one or more pieces of apparatus under the control of a supervisor. (OFM © 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) COMPARISON SAMPLE 1) A sample of material collected from a fire scene which is, to the best of the investigators knowledge, identical in every respect to a sample suspected of containing accelerant, but which does not contain accelerant. 2) A sample of suspected accelerant submitted for the purpose of comparing with any accelerant separated from a debris sample. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) COMPARTIMENT ÉTANCHE AU FEU partie d'un bâtiment qui est séparée du reste par des cloisonnements coupe-feu [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] COMPARTIMENTATION D'UNE CHAUFFERIE (exemple) La chaufferie est un compartiment relativement petit (par rapport au bâtiment) dont le plancher et les quatre murs sont en béton. La porte d'accès est de bois dont la surface intérieure est revêtue d'amiante, et cette ouverture est munie d'un seuil d'étanchéité aux liquides pour empêcher les écoulements à l'extérieur du compartiment. Le plafond de la chaufferie est également revêtu d'amiante. Toutes les surfaces exposées de la chaufferie (béton et amiante) de même que la structure* (béton, porte pleine et plancher au-dessus protégé par l'amiante) font office de barrière adéquate contre l'incendie aux termes des codes en vigueur, en cela que ces surfaces ne permettent pas la propagation du feu en surface ** et ont la propriété d'opposer aux flammes un obstacle pendant une (1) heure pour la porte et le plafond, et deux (2) heures pour le béton. Cet aménagement constitue autant de séparations coupe-feu *** et sert à isoler la chaufferie des usages voisins de chaque côté et au dessus, en plus de laisser suffisamment de temps pour prendre les mesures d'urgence en cas de feu. (voir Nouvelles CNB/CNPI, no.122, janvier 1990, CNRC, et Tableau 3.1.3.A, CNB 1985) * Mur coupe-feu : type de séparation coupe-feu de construction incombustible qui divise un bâtiment ou sépare des bâtiments contigüs afin d'empêcher la propagation du feu, et qui offre le degré de résistance au feu exigé par le présent Code tout en maintenant sa stabilité structurale lorsqu'elle est exposée au feu pendant le temps correspondant à sa durée de résistance au feu (CNB 1985, 1.3.2) ** Propagation de la flamme : indice ou classification indiquant la vitesse de propagation de la flamme à la surface d'un matériau ou d'un ensemble de matériaux (CNB 1985, 1.3.2) *** Séparation coupe-feu : ensemble de construction destiné à empêcher la propagation du feu (CNB 1985, 1.3.2) COMPATIBILITY CHARTS Permeation and penetration data supplied by manufacturers of chemical protective clothing to indicate chemical resistance and breakthrough time of various garment materials as tested against a battery of chemicals. This test data should be in accordance with ASTM and NFPA standards. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 COMPONENT 1) One of the elements or compounds present in a system such as a phase, a mixture, a solution or a suspension in which it may or may not be uniformly dispersed. 2) A compound or a group of unresolved compounds represented by a peak on a chromatogram. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) COMPORTEMENT DU FEU (voir Préméditation) Le feu n'a pas de but et c'est une action. Il n'a pas de plan et il est cohérent. Son langage n'est pas l'expression d'une pensée préalable. C'est l'expression d'une force qui, subitement, devient langage (Formule empruntée à Bachelard s'adressant à l'oeuvre d'Isidore Ducasse dit Lautréamont, in Bachelard aujourd'hui, Clancier-Guénaud, Paris, 1986). [À la lecture des indices d'un incendie, on perçoit parfois un plan ou une pensée qui contredit la simple ou ordinaire cohérence du développement d'un incendie; il faut alors réconcilier les incohérences] COMPOSITION DE LA MATIÈRE (éléments) I. Les éléments : Un élément est une substance pure qui ne peut être décomposée en substances plus simples. Le tableau périodique, inspiré par Mendeleïev, en donne la liste complète. Sur la Terre, il existe 90 éléments naturels, le plus léger étant l'hydrogène et le plus lourd l'uranium. Les autres éléments ont été fabriqués par les scientifiques. On divise ces éléments en deux grands groupes : a. les métaux: brillent (éclat), bons conducteurs, malléables, ductiles, ... Ex.: fer, cuivre, mercure, plomb, zinc, aluminium, sodium ... b. les non-métaux: mauvais conducteurs, non malléables, non ductiles, ternes, ... Ex.: oxygène, soufre, phosphore, azote, ... II. Les composés : Un corps pur composé (à ne pas confondre avec mélange ou solution) est constitué d'atomes d'éléments différents, groupés en molécules. Les propriétés d'un composé sont différentes de celles des éléments qui les constituent. Ex. : H2O n'a pas les mêmes propriétés que H2 (gaz inflammable) ou que O2 (entretient la combustion). NaCl a des propriétés très différentes de Na (sodium, métal qui réagit violemment avec l'eau) et de Cl2 (chlore, gaz jaune - vert dangereux à respirer). III. La molécule (Voir liaisons chimiques) : C'est la plus petite partie d'un corps pur qui puisse exister tout en gardant toutes les caractéristiques de ce corps. L'oxygène (O2) et l'ozone (O3) de l'air ont, par exemple, des molécules constituées d'atomes du même élément mais les caractéristiques de ces deux corps purs sont différentes. Les molécules des corps purs élémentaires sont constituées d'atomes identiques (O2); les molécules des corps purs composés sont constituées d'atomes d'éléments différents (H2O). Remarque : Les métaux et les composés électrovalents ne sont pas constitués de molécules mais bien d'ensembles d'atomes juxtaposés. IV. L'atome (voir la structure de): L'atome est la plus petite partie d'un élément qui puisse réagir chimiquement. On utilise les symboles chimiques pour représenter les éléments et leurs atomes. Le symbole commence par l'initiale (en majuscule d'imprimerie) du nom international de l'élément suivie, éventuellement, d'une deuxième lettre (en minuscule) pour éviter la confusion. Ex. : C = carbone; Ca = calcium; Cd = cadmium; Co = cobalt Na = sodium (du latin natrium); K = potassium (du latin kalium). V. Formules : La molécule d'un corps simple (élément) ou d'un corps composé est représentée par une formule. Le nombre d'atomes des éléments présents dans la molécule est indiqué au moyen d'indices placés à droite des symboles. Ex.: H2O = une molécule d'eau se compose de deux atomes d'hydrogène et d'un atome d'oxygène. Cu(NO3)2 = une molécule de nitrate de cuivre se compose d'un atome de cuivre, de deux atomes d'azote et de six atomes d'oxygène. O2 = une molécule d'oxygène composée de deux atomes d'oxygène. VI. Equations chimiques : Dans une équation chimique, on indique à gauche les symboles des réactifs et à droite ceux des produits obtenus. La masse des réactifs doit toujours être égale à la masse des produits. Ainsi, dans HCL + NaOH -- > NaCl + H2O, HCl et NaOH sont les réactifs et NaCl et H2O sont les produits de la réaction. (Yvan Noels) COMPOUND A chemical combination of two or more elements, or two or more different atoms arranged in the same proportions and in the same structure throughout the substance. A compound is different from a mixture in that the components of a mixture are not chemically bonded together. For example, a flask may contain two volumes of hydrogen (H2) gas and one volume of oxygen gas (O2). A different glass might contain only water vapour (H20). In the first case, two gases are mixed. In the second case, only one gas is present. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) COMPRESSED GAS means any contained mixture or material with either an absolute pressure exceeding 275.8 kPa at 21oC or an absolute pressure exceeding 717 kPa at 54oC, or both, or any liquid having an absolute vapour pressure exceeding 275.8 kPa at 37.8oC. (Ontario Fire Code 1996) COMPRESSED GAS Any material or mixture having an absolute pressure exceeding 40 p.s.i. in the container at 70o F. or, regardless of the pressure at 70o F., having an absolute pressure exceeding 104 p.s.i. at 130o F.; or any liquid flammable material having a vapor pressure exceeding 40 p.s.i. absolute at 100o F. as determined by testing. Also includes cryogenic or "refrigerated liquids" (DOT) with boiling points lower than -130 degrees at 1 atmosphere. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 COMPRESSED GAS ASSOCIATION (CGA) Firms producing and distributing compressed, liquefied, and cryogenic gases; also manufacturers of related equipment. Submits recommendations to appropriate government agencies to improve safety standards and methods of handling, transporting, and storing gases; acts as advisor to regulatory authorities and other agencies concerned with safe handling of compressed gases; collaborates with national organizations to develop specifications and standards of safety. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CONCENTRATION The amount of a substance in a stated unit of a mixture or solution. Common methods of stating concentration are per cent by weight, per cent by volume, or weight per unit volume (eg: parts per million, billion, etc.). (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) CONDUCTEUR Fil, câble ou autre pièce en métal, montés dans le but de transporter un courant électrique d'une pièce d'appareillage électrique à une autre ou utilisé pour la mise à la terre. [CSA 22.10-1992] CONDUCTION Conduction is the transfer of Heat or Electricity through a substance, resulting from a difference in temperature between different parts of the substance or from a difference in electric Potential. Heat may be conducted when the motions of energetic (hotter) molecules are passed on to nearby, less energetic (cooler) molecules, but a more effective method is the migration of energetic free electrons. Conduction of electricity consists of the flow of charges. Metals are thus good conductors of both heat and electricity because they have a high free-electron density. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) CONDUCTION Passage of heat from one material to another by direct contact. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) CONDUCTION THERMIQUE (voir DIFFUSION DE LA CHALEUR) CONDUCTIVITY The ability of a material to transfer energy from one place to another. Thermal conductivity describes a substances ability to transmit heat. Electrical conductivity describes a substances ability to transmit electrical current. Conductivity is to the opposite if resistivity. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) CONFINEMENT Confinement may be defined as an inert material of some strength and having a given wall thickness, situated in the immediate vicinity of an explosive. Priming or heating the explosive materials produces different results, according to whether they are located in a stronger or a weaker confinement. If confined by thick steel, almost any explosive will explode or detonate on being heated; on the other hand, they burn on contact with an open flame if unconfined ( Combustion; Mass Explosion Risk), except Initiating Explosives. The destructive (fragmentation) effect of an explosion becomes stronger if the explosive is confined (stemmed) in an enclosure such as a borehole. In the absence of natural confinement, the explosive charge is often embedded in an inert material such as clay. Mud Cap, Stemming. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) CONFINEMENT Procedures taken to keep a material in a defined or localized area. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CONSERVATION LAWS Conservation laws, in physics are the basic laws that maintain that the total value of certain quantities remains unchanged during a physical process. Conserved quantities include Mass (or matter), Energy, linear Momentum, angular momentum, and electric Charge; the theory of Relativity, however, combines the laws of conservation of mass and of energy into a single law. Additional conservation laws have meaning only on the subatomic level. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) CONTAINER Any device in which a hazardous material is stored, transported, disposed of, or otherwise handled. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CONTAINER / INTERMODAL / ISO An article of transport equipment that meets the standards of the International Organization for Standardization (ISO) designed to facilitate and optimize the carriage of goods by one or more modes of transportation without intermediate handling of the contents and equipped with features permitting ready handling and transfer from one mode to another. Containers may be fully enclosed with one or more doors, open top, tank, refrigerated, open rack, gondola, flatrack, and other designs. Included in this definition are modules or arrays that can be coupled to form an intrinsic unit regardless of intention to move single or in multiplex configurations. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CONTAINMENT All activities necessary to bring the incident to a point of stabilization and to establish a degree of safety for emergency personnel greater than existed upon arrival. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CONTAMINATION An uncontained substance or process that poses a threat to life, health, or the environment. (NFPA standard 472, sections 1-3) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CONTAMINATION CONTROL LINE The established line around the Contamination Reduction Zone that separates it from the Support Zone. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CONTINGENCY PLAN A preplanned document presenting an organized and coordinated plan of action to limit potential pollution in case of fire, explosion or discharge of hazardous materials; defines specific responsibilities and tasks. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CONTROL The procedures, techniques, and methods used in the mitigation of a hazardous materials incident, including containment, extinguishment, and confinement. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CONTROL SAMPLE A sample of material which is known to be identical to a sample suspected of containing accelerant in every regard, except that the control sample does not contain accelerant. A known blank sample. In practical terms, control samples do not exist in the setting of a fire scene because : (1) exact conditions during the fire cannot be duplicated from location to location, and (2) exact conditions of the substrate, ie: carpet, etc., are not known. Carpet in Room A may have had various items spilled on it during use. Carpet B (ten feet away) may be brand new. (See Comparison Sample) (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) CONSTRUCTION INCOMBUSTIBLE Construction et assurance (...) Suivant les dispositions du tarif des risques industriels, les bâtiments sont classés comme suit: construction ordinaire; construction incombustible ordinaire; construction incombustible de sécurité. Le vocable "incombustible" est pris au sens de limitation, au minimum des conséquences d'un feu. Les Américains ont trouvé l'expression "fire resistive building", pour désigner un bâtiment construit entièrement en dur, c'est-à-dire en béton, en pierre et béton, ou en pierre, brique et béton. (...) Pour la traduire, on fera bien de dire: bâtiment de construction incombustible, ou encore bâtiment de construction ininflammable. Type de construction dans laquelle un certain degré de sécurité est assuré en cas d'incendie grâce à l'utilisation de matériaux incombustibles pour les éléments structuraux et autres composants. Sont considérés comme incombustibles les matériaux qui; ne se combinent pas avec l'oxygène de l'air en donnant lieu à un dégagement de chaleur; ne se décomposent pas en émettant des gaz combustibles. (Source : Termium 1994) CONSTRUCTOR means a person who contracts with an owner, occupant or their authorized agent to undertake a project, and includes an owner, occupant or authorized agent who contracts with more than one person for the work on a project or undertakes the work on a project or any part thereof. (Ontario Fire Code 1996) CONTAINED USE AREA means a supervised area containing one or more rooms in which occupant movement is restricted to a single room by security measures not under the control of the occupant. (Ontario Fire Code 1996) CONVECTION (ou CONVEXION) Transport d'une grandeur physique d'un point à un autre d'un fluide par mouvement d'ensemble de ses molécules. Dans la convection libre (ou naturelle), le mouvement est dû à la seule action de la pesanteur, lorsque les différences de masse volumique provenant de différences de température rompent l'équilibre hydrostatique. [DP 1991] CONVECTION Heat transfer by circulation within a medium, such as a gas or a liquid. [NFPA 921 - 1992] CONVECTION Transfer of heat by movement of fluid. CONVECTION (Friedman 1989) Convection is the transfer of heat by the flow of a liquid or gas. A fluid expands when heated and thus undergoes a decrease in density. The warmer, less dense regions of a fluid tend to rise, in accordance with Archimedes' Principle, through the surrounding cooler fluid. If the heat continues to be supplied, the cooler fluid that flows in to replace the rising fluid will also become heated and will rise, setting up a convection current. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) FORCED CONVECTION Convection resulting from forced circulation of a fluid, as by a fan, jet or pump. NATURAL CONVECTION Circulation of gas or liquid (usually air or water) due to differences in density resulting from temperature changes. [ASHRAE Guide and Data Book 1963] CONVECTIVE HEAT Energy that is carried by a hot moving fluid. (Energy can be radiated through space, or conducted through a solid, as well as convected by a fluid.) [Friedman 1989] CONVECTION Transfer of heat by the movement of molecules in a gas or liquid with the less dense fluid rising. The majority of heat transfer in a fire is by convection. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) COORDINATION To bring together, in a uniform and controlled manner, the functions of all agencies on scene. (Sacramento Fire Department, HMRT) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CORRIDOR COMMUN corridor permettant l'accès à une issue à partir de locaux loués individuellement, groupe de chambres ou de logements [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] CORROSION Wearing away of a bore by the effect of chemical action on the material. Erosion. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) CORROSION The degradation of metals or alloys due to reaction with their environment. It is accelerated by acids, bases or heats. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) CORROSIVE The ability to cause destruction of living tissue or many solid materials surfaces by chemical action. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 CORROSIVE LIQUID means a liquid that, when contacting living tissue causes damage to the tissue, or when contacting organic matter and chemicals that react with the liquid, causes fire. (Ontario Fire Code 1996) COST RECOVERY A procedure that allows for the agency having jurisdiction to pursue reimbursement for all costs associated with a hazardous materials incident. (Sacramento Fire Department, HMRT) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 COULEURS (Pauling) Chimie de la photographie en couleurs. - Les ondes électromagnétiques des différentes radiations lumineuses ont différentes longueurs d'onde. Dans le spectre visible [à l'oeil], ces longueurs d'onde s'étendent sur un domaine commençant un peu en-dessous de 4000 Å (violet) et finissant vers 8000 Å (rouge). Toutes les couleurs que l'oeil peut reconnaitre peuvent être obtenues par la composition de trois couleurs fondamentales : par exemple, un rouge-vert (que l'oeil voit jaune), complémentaire du bleu-violet; un bleu-rouge ou violet-magenta, couleur complémentaire du vert; un bleu-vert, complémentaire du rouge. Trois couleurs primaires telles que celles-là sont nécessaires pour élaborer n'importe quelle méthode de photographies en couleurs [on dit aujourd'hui jaune, magenta, cyan]. La première réussite dans ce domaine fut le procédé Autochrome mis au point en France aux environs de 1904. Un procédé moderne de photographie en couleurs qui s'est largement développé est le procédé Kodachrome mis au point par les laboratoires de recherches de Kodak. [Pauling 1958] COUPE-FEU barrière étanche au tirage, posée dans les éléments fonctionnels de construction, ou entre ceuxci, pour retarder le passage de la fumée et des flammes [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] COUR COUVERTE chemin couvert pour piétons, servant à relier 2 ou plusieurs bâtiments et dont la plus petite dimension horizontale est de 30 pieds (9,14 m) ou plus [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] CRACKING A refining process involving decomposition and molecular recombination of organic compounds, especially hydrocarbons obtained by distillation of petroleum, by means of heat, to form molecules suitable for various uses such as motor fuels, solvent or plastics. Cracking takes place in the absence of oxygen. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) Crew - a working team assembled at the fire scene. (OFM © 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) CRIMINALISTIQUE L'investigation sur les lieux d'un incendie est conduite de la même façon que sur une scène de tout autre crime. En effet, les policiers doivent faire appel à leurs connaissances en criminalistique lors de l'expertise d'une scène d'incendie. Ils possèdent la formation nécessaire ainsi qu'une large expérience dans la mise en oeuvre des diverses techniques afin d'établir et présenter à la cour la preuve d'un crime et identifier son auteur. (L'enquête d'incendie, Carrefour Incendie, http://pages.infinit.net/incendie/index.html, nov. 1998) Crown Fire A fire that burns primarily in the leaves and needles of trees, spreading from tree to tree above the ground. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) CRYOGENIC Gases, usually liquefied, that induce freezing temperatures of -150o F and below (liquid oxygen, liquid helium, liquid natural gas, and liquid hydrogen, etc.). HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 C.S.A. Association canadienne de normalisation. CSA. Canadian Engineering Standards Association (ANCIEN NOM) L'acronyme ACNOR a cessé d'être utilisé à partir de janvier 1987 car il portait à confusion. Renseignement confirmé par l'organisme. CSCW nm (informatique, sociologie, psychosociologie) sigle de " computer supported collaborative work " Littéralement : " travail collaboratif assisté par ordinateur ". Domaine de recherche ayant trait à l'étude de la collaboration interpersonnelle et de groupe et au développement des technologies qui peuvent faciliter ce type de travail. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) CUIVRE ... du latin "Cuprum", île de Chypre. Appartient au groupe 11. Sa découverte date des temps préhistoriques. On a retrouvé en Irak des objets datant de 9000 ans A.D. et il était déjà utilisé pour les pots en Afrique du Nord il ya 6000 ans. Mille ans plus tard, on compensait son manque de dureté en l'alliant au zinc pour obtenir du laiton et à l'étain pour former du bronze. C'est un métal rougeâtre qui brille d'un vif éclat métallique. Il est malléable, ductile et bon conducteur de la chaleur et de l'électricité. Ses composés les plus importants sont l'oxyde et le sulfate ou vitriol bleu (à ne pas confondre avec le vitriol qui est le nom donné à l'acide sulfurique très concentré). En petites quantités, le cuivre est essentiel pour notre organisme car il est un composant clef de certaines enzymes. Il est aussi un composant de l'hémocyanine, pigment respiratoire des mollusques et des crustacés. Tous ses composés doivent être considérés comme toxiques. (Yvan Noels) CURRENT In electricity, the flow or rate of flow of electric force in a conductor, from a point of higher potential to one of lower potential. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) CURRENT DENSITY The amount of electric current passing through a cross-sectional area of the conductor in a given unit of time; commonly expressed in amperes per square centimeter. (Hydro Cut General Terminology&Resource Information) CURRENT LEAKAGE Portion of the firing current bypassing part of the blasting circuit through unintended paths. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) CURRENT LIMITING DEVICE An electric or electromechanical device that limits: 1) current amplitude; 2) duration of current flow; or 3) total energy of the current delivered to an electric blasting circuit. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) -DDAMAGE ASSESSMENT Gathering information on the type, extent, and costs of damage after an incident. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DAMMING A procedure consisting of constructing a dike or embankment to totally immobilize a flowing waterway contaminated with a liquid or solid hazardous substance. (EPA, 600/2-77- 277) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DANGER, DANGEREUX Décrit les effets nuisibles qui peuvent se produire. Pour évaluer le danger que présente une substance, on tient compte de ses propriétés telles que la toxicité, l'inflammabilité et la réactivité chimique, ainsi que de la façon dont la substance est utilisée. L'utilisation peut en effet varier considérablement selon le lieu de travail et la gravité du danger varie en conséquence. Au Canada et aux États-Unis, le terme dangereux est utilisé par plusieurs organismes de réglementation utilisant diverses définitions. Par exemple, l'OSHA définit un produit chimique dangereux comme étant celui qui présente un risque physique ou un risque d'atteinte à la santé selon les critères de la norme HAZCOM de l'OSHA. (Canutec) DANGEROUS GOODS means those products or substances which are regulated by the Transportation of Dangerous Goods Act (Canada) and its Regulations. (Ontario Fire Code 1996) DANGEROUS WHEN WET A label required for water reactive materials (solid) being shipped under US DOT, ICAO, and IMO regulations. A labeled material that is in contact with water or moisture may produce flammable gases. In some cases, these gases are capable of spontaneous combustion. (Reference: 49 CFR 171.8) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DÉBLAI (accumulation des débris) Il arrive couramment que l'on jette le matériel avarié dans la partie de l'immeuble la plus dévastée par les flammes. La plupart du temps, c'est justement cette partie de l'immeuble que l'enquêteur / l'investigateur désirera examiner soigneusement. [Stickney 1960] DÉBLAIEMENT Dans certains cas, l'emplacement du foyer est déjà par lui-même fort suspect... À défaut, des objets ...ont résisté au feu avec plus ou moins de succès et se retrouvent au foyer, et même en cas de dégâts importants, dans les décombres, si toutefois le déblaiement est effectué avec un très grand soin. [Gayet 1973] Deck Gun A large and fixed water nozzle attached to an engine. Deck guns deliver larger amounts of water than hand-held hose. (See also Master Stream). [email protected] DECLARED EMERGENCY An action taken by a jurisdiction according to the California Emergency Services Act and local ordinances in response to the impact of a real or threatened hazard that exceeds local resources. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DECONTAMINATION The physical and/or chemical process of reducing and preventing the spread of contamination from persons and equipment used at a hazardous materials incident. (Also referred to as "contamination reduction".) (NFPA 472, 1-3) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DECONTAMINATION CORRIDOR A distinct area within the "Warm Zone" that functions as a protective buffer and bridge between the "Hot Zone" and the "Cold Zone", where decontamination stations and personnel are located to conduct decontamination procedures. (Sacramento Fire Department, HMRT) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DECONTAMINATION OFFICER A position within the FIRESCOPE ICS HM-120 which has responsibility for identifying the location of the decontamination corridor, assigning stations, managing all decontamination procedures, and identifying the types of decontamination necessary. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DÉFAILLANCE État effectif d'un élément qui fait que celui-ci n'est pas en mesure de remplir sa fonction spécifiée dans les conditions spécifiées. Terme normalisé par l'ISO. Altération ou cessation de l'aptitude d'un produit à accomplir sa fonction. [une défaillance est le passage d'un état à un autre; une panne est un état] (...) une défaillance peut être considérée comme le passage d'un état de fonctionnement à un état de non fonctionnement. (...) défaillance s'applique autant à un organe complexe qu'à un élément simple lorsque ceux-ci sont détériorés au point où leur fonction est compromise. Défaillance est généralement le terme à employer lorsque le contexte ne permet pas de savoir la nature exacte du défaut de fonctionnement dont il est question. Dans ce sens, défaillance correspond souvent à failure en anglais. (Source : Termium 1994) DEFLAGRATION (Hydro Cut) 1) The chemical decomposition (burning) of a material in which the reaction front advances into the reacted material at less than sonic velocity. 2) Very rapid combustion sometimes accompanied by flame, parks and/or spattering of burning particles. Deflagration, although classed as an explosion, generally implies the burning of a substance with self-contained oxygen so that the reaction zone advances into the unreacted material at less than the velocity of sound in the material. In this case, heat is transferred from the reacted to the unreacted material by conduction and convection. Burning rate usually less than 2,000 meters / second. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) DEFLAGRATION (IAAI) Vigorous burning with subsonic flame propagation. (See Detonation). (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) DEGRADATION The loss in physical properties of an item of protective clothing due to exposure to chemicals, use, or ambient conditions. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DEGRÉ DE PROTECTION CONTRE LE FEU durée, exprimée en heures et fractions d'heure, pendant laquelle une fermeture, un bloc-fenêtre ou un pan de blocs de verre s'oppose au passage des flammes lorsqu'il est soumis à des critères de comportement bien définis, soit selon d'autres prescriptions du présent code [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] DEGRÉ DE RÉSISTANCE AU FEU durée, exprimée en heures et fractions d'heure, pendant laquelle un matériau ou un élément de construction s'oppose au passage des flammes et à la transmission de la chaleur, lorsqu'il est soumis à l'action du feu, soit dans des conditions d'essai et suivant des critères de comportement bien définis, soit d'après une extension ou interprétation des renseignements tirés de cet essai et de ces critères, conformément au présent code [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] DEGREE OF COMBUSTIBILITY The chemistry of a material generally is the key to its degree of combustibility. [Friedman 1989] DEMOLITION means the doing of anything in the removal of a building or any material part thereof. (Ontario Fire Code 1996) DENSITÉ (d'une substance) La densité d'une substance est son poids par unité de volume. On donne ordinairement la densité en grammes par millilitre (g/mL) ou en grammes par centimètre cube (g/cc). La densité a un rapport étroit avec le poids spécifique (densité relative). On peut calculer le volume du produit qui se trouve dans un contenant en se basant sur sa densité et son poids. (Canutec) DENSITÉ DE VAPEUR La densité de vapeur est le poids par unité de volume d'une substance à l'état de gaz pur ou de vapeur. Dans les FTSS, la densité de vapeur est normalement donnée sous forme d'un rapport entre la densité du gaz ou de la vapeur et celle de l'air. On attribue à l'air la valeur arbitraire de 1. Les gaz légers (densité inférieure à 1), notamment l'hélium, montent dans l'air. Les vapeurs et gaz lourds (densité supérieure à 1) se déposent et peuvent s'accumuler dans les endroits surbaissés ou à la surface du sol en l'absence d'une ventilation adéquate. (Canutec) DENSITÉ D'OCCUPATION (voir aussi Charge d'occupants) espace en pieds carrés alloués par personne dans le calcul d'un bâtiment[S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] DENSITÉ RELATIVE Voir Poids spécifique. (Canutec) DESORPTION The process of removing an adsorbed material from the solid on which it is adsorbed. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) DESTINATION PRINCIPALE (usage principal) signifie la destination principale projetée ou réelle d'un bâtiment ou d'une partie de bâtiment. L'expression inclut toute destination auxiliaire qui constitue un élément intégrant de la destination principale [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] DEPARTMENT OF COMMERCE (DOC) A Federal agency whose primary mission is to encourage, serve and promote economic development and technological advancement. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DEPARTMENT OF DEFENSE (DOD) Provides the military forces needed to deter war and protect the security of our country. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DEPARTMENT OF ENERGY (DOE) Provides the framework for a comprehensive and balanced national energy plan through coordination and administration of the energy functions of the federal government; and to be responsible for long term, high risk research, development and demonstration of energy technology, the marketing of federal power, energy conservation, the nuclear weapons program, regulation of energy production and use, and a central energy data collection and analysis program. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DEPARTMENT OF JUSTICE (DOJ) Serves as counsel for the citizens of the Nation; represents them in enforcing the law in the public interest; through its thousands of lawyers, investigators, and agents it plays a key role in protection against criminals and subversion, in insuring healthy competition of business in our free enterprise system, in safeguarding the consumer, and in enforcing drug, immigration, and naturalization laws; plays a significant role in protecting citizens through its efforts for effective law enforcement, crime prevention, crime detection, and prosecution and rehabilitation of offenders; conducts all suits in the Supreme Court in which the United States is concerned; and represents the Government in legal matters. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DEPARTMENT OF LABOR (DOL) The purpose of the Department of Labor is to foster, promote, and develop the welfare of the wage earners of the United States, to improve their working conditions, and to advance their opportunities for profitable employment. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DEPARTMENT OF STATE (DOS) Advises the President in formulation and execution of foreign policy; promotes long-range security and well-being of the United States; determines and analyzes the facts relating to American overseas interest, makes recommendations on policy and future action, and takes the necessary steps to carry out established policy; engages in continuous consultation with the American public, the Congress, other U.S. departments and agencies, and foreign governments. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DEPARTMENT OF TRANSPORTATION (DOT) Assures the coordinated, effective administration of the transportation programs of the Federal government and develops national transportation policies and programs conducive to the provision of fast, safe, efficient and convenient transportation at the lowest possible cost. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DÉPISTAGE DES INCENDIATS Le dépistage des incendies criminels passe d'abord par l'investigation complète de tous les incendies selon les règles de l'art. Dans le cas des incendies, il nous faut d'abord déterminer la cause de l'incendie et ce n'est qu'après, lorsque l'incendie est qualifié d'incendiat, - et cela se produit une (1) fois sur quinze (15) ou vingt (20) sinistres -, que nous pouvons commencer l'enquête criminelle. Or il se produit des centaines et des centaines d'incendies et nous devons nous pencher sur chacun d'eux. [Stickney 1960] DESICCANT A substance, such as silica gel, that removes moisture (water vapor) from the air to maintain a dry atmosphere in containers of food or chemical packaging. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DÉTECTEUR DE FLAMME Dispositif qui délivre un signal en fonction de la présence ou de l'absence d'une flamme. Le système de surveillance de flamme englobe tout l'appareillage de commande et de sécurité, ainsi que les éléments annexes nécessaires au bon fonctionnement et à la sécurité d'emploi du brûleur dans les conditions prévues d'utilisation. Il comprend donc: (...) un appareil de commande (primary control), véritable cerveau du système. Il travaille en liaison avec le détecteur de flamme (flame detector). Les équipements de sécurité comprennent: - les appareils de détection de la flamme par la température des fumées, par l'éclairement de la flamme; - les appareils de commande (...). (Source : Termium 1994) DÉTECTEUR DE FUMÉE Détecteur de fumée (...) Les détecteurs sensibles à l'action des fumées utilisent les variations du courant émis par une cellule photo électrique, provoquée soit par l'obscurcissement de l'ambiance, soit par l'utilisation de l'effet de Tyndall (qui s'observe au passage des rayons lumineux dans les milieux hétérogènes liquides), pour déclencher l'alarme. Ces détecteurs conviennent pour les feux courants. Les détecteurs à variation d'ionisation sont sensibles aux fumées et aux gaz de combustion qui se forment souvent avant l'apparition de flammes et avant qu'il y ait un échauffement important comme dans une fermentation. *détecteur de fumée* : Les détecteurs de fumée fonctionnent généralement au moyen de sels radio-actifs permettant de surveiller l'état d'ionisation de l'atmosphère. Ils contiennent une chambre d'ionisation dont l'air est rendu conducteur par la présence d'une source radio-active. Lorsqu'une fumée ou un gaz de combustion pénètre dans cette chambre, la conductibilité de l'air ionisé diminue, ce qui provoque l'alarme. Les détecteurs optiques sont le plus souvent constitués d'une cellule photorésistante ou émissive éclairée en permanence par une source de lumière, le déclenchement de l'alarme se produisant lorsqu'un écran de gaz ou de fumée s'interpose entre la source de lumière et la cellule. &laqnodétecteur de fumée photo électrique» : Les détecteurs de fumée sont des cellules photo électriques émettant un courant variable suivant le flux lumineux qu'elles reçoivent. Les fumées que précèdent l'incendie font varier ce flux lumineux. (Source : Termium 1994) DÉTECTION DES FEUX NATURELS ET CRIMINELS (Nouvelle approche à la...) Objectifs : Ce cours (intensif, une journée, École Polytechnique de Montréal, 30 mars 1995) permettra aux participants de comprendre l'évolution physique de tous les feux, du point d'ignition à la destruction complète. Il se basera sur les divers patrons des feux naturels et criminels. Ayant pour objet de déterminer les causes de feux avec exactitude, il aidera les investigateurs à découvrir axes et épicentres, suivant une NOUVELLE THÉORIE basée sur les évidences physiques irréfutables. Contenu : - la compréhension du sujet par un rappel des phénomènes physiques de base et des théories admises à ce jour - le développement de données nouvelles - l'approche scientifique pour la recherche de toutes les causes possibles de feux - les généralités, les types de combustion et le transfert de chaleur - la théorie conique des feux, les patrons en * V *; et l'épicentre au point le plus bas - la théorie parabolique des feux, les patrons en parabole et les cercles - l'épicentre au foyer d'un paraboloïde - les preuves de l'exactitude de la théorie parabolique - la théorie parabolique et les feux criminels. Animateur : Camille Detienne B.Eng., B.Ed., ingénieur-électricien. DETECTORS Combustible Gas Indicator (CGI) detector: Measures the presence of a combustible gas or vapor in air. Corrosivity (pH) detector: A meter or paper that indicates the relative acidity or alkalinity of a substance, generally using an international scale of 0 (acid) through 14 (alkali-caustic). (See pH.) Flame Ionization detector (FID): A device used to determine the presence of hydrocarbons in air. Gas Chromatograph/Mass Spectrometer detector: An instrument used for identifying and analyzing organics. Heat detector: An instrument used to detect heat by sensing infra-red waves. Photoionization Detector (PID): A device used to determine the presence of gases/vapors in low concentrations in air. Radiation Beta Survey detector: An instrument used to detect beta radiation. Radiation Dosimeter detector: An instrument which measures the amount of radiation to which a person has been exposed. Radiation Gamma Survey detector: An instrument used for the detection of ionizing radiation, principally gamma radiation, by means of a gas-filled tube. Temperature detector: An instrument, either mechanical or electronic, used to determine the temperature of ambient air, liquids, or surfaces. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DETONATION An exothermic chemical reaction which propagates through reactive material at supersonic speed. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) DEVIATION An event that differs from what was intended or expected. (Benner 1997) DIAGNOSTIC QUALITÉ / quality diagnostic Examen méthodique de tout ou partie de l'entreprise permettant de déterminer les points forts et les insuffisances en matière de qualité. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) DIELECTRIC A material that does not readily conduct electricity, i.e., an insulator ( Insulation). A good dielectric resists breakdown under high voltages, does not draw appreciable power from the circuit, and has reasonable physical stability. Dielectrics are used to separate the plates of a Capacitor. The dielectric strength is a measure of the maximum voltage ( Potential, Electric), that a dielectric can sustain without significant Conduction. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) DIESEL FUEL Diesel Fuel consists mostly of hydrocarbons ranging from C10 to C24. The composition of diesel fuel may vary with changes in latitude or changes in season. this variability is provided by the refinery to control the volatility of the product. In order to be identified as diesel fuel, a sample extract must exhibit a homologous series of five or more consecutive normal alkanes ranging from C12 through C22. Diesel fuel has a flash point of 120 to 160F and explosive limits of 0.7% to 5%. Many states specify a minimum flash point for diesel fuel. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) DIFFUSION DE LA CHALEUR Transport de chaleur des parties plus chaudes vers les parties plus froides d'un même corps ou de deux corps en contact, sans mouvement apparent de matière. [Dictionnaire de la Physique, Eyrolles, 1991] DIFFUSION FLAME A flame in which the fuel vapors and oxygen diffuse into each other as they burn, such as candle flame. [Friedman 1989] DIGESTS DE LA CONSTRUCTION (IRC / CNRC) Tous les textes en français (environ 240 titres) sont accessibles dans leur totalité à l'adresse suivante : http://irc.nrccnrc.gc.ca/pubs/cbd/index_f.html. On présente ici les titres seulement, le numéro de l'ouvrage et le nom de l'auteur. La plupart des textes sont disponibles en ligne. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 Humidité dans les bâtiments canadiens Efflorescence Les sols et la construction Condensation sur les surfaces intérieures des vitres Condensation entre les vitres des doubles-fenêtres Pénétration de la pluie dans les murs de maçonnerie composite La construction d'hiver Coordination modulaire Les coupe-vapeur dans la construction des maisons d'habitation Transmission du bruit dans les bâtiments Protection des bâtiments contre l'incendie Fondations des maisons Sous-sols des maisons d'habitation Intempéries et maisons Le béton Isolation thermique des maisons d'habitation Calcul de la lumière du jour dans les maisons Résistances des petites toitures N.B. Hutcheon T. Ritchie R.F. Legget A.G. Wilson A.G. Wilson T. Ritchie C.R. Crocker S.R. Kent G.O. Handegord 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 T.D. Northwood J.H. McGuire C.B. Crawford C.R. Crocker D.W. Boyd N.B. Hutcheon W.H. Ball M. Galbreath W.R. Schriever, H.J. Thorburn E.V. Gibbons P.J. Sereda T. Ritchie H.B. Dickens A.G. Wilson M.C. Baker J.R. Sasaki, A.G. Wilson E. Penner E.R. Carson W.A. Dalgliesh, D.W. Boyd C.B. Crawford J.K. Latta G.W. Shorter P.J. Sereda 35 Comment venir à bout de la condensations dans les salles de curling 36 Gradients de température dans les parois des bâtiment J.H. McGuire W.A. Dalgliesh,W.R. Schriever G.O. Handegord,C.R. Crocker J.K. Latta,G.K. Garden Composés de colmatage des joints Corrosion des métaux employés dans la construction Murs à cavité Finitions des dalles de béton Fuites d'air dans les bâtiments Toitures en terrasse Fuites d'air autour des fenêtres Congélation du sol et soulèvements dus au gel Sources de documentation sur la construction Le vent sur les bâtiments Etudes de sous-sol L'eau et les matériaux de construction La feu dans les maisons Prévention des incendies et des explosions dans les salles d'opér hôpitaux 33 Le feu et la compartimentation des bâtiments 34 Pressions du vent sur les bâtiments 37 Charges de neige sur les toitures 38 Matériaux bitumineux 39 Gains de chaleur solaire au travers des fenêtres et des parements 40 Pénétration de la pluie et moyens de l'empêcher 41 Le son et les hommes 42 L'Humidification des bâtiments 43 Les essais de sols 44 Ponts thermiques dans les bâtiments 45 La propagation des flammes 46 Fenêtres à doubles-vitres scellées à l'usine 47 Températures extrêmes à la surface extérieure des bâtiments 48 Exigences pour les murs extérieurs 49 Nouvelles méthodes de couverture des toits 50 Méthodes d'isolation des murs de maconnerie 51 L'Insonorisation dans les édifices à bureaux 52 Transmission de la chaleur par les faces des bâtiments 53 Résistance des bâtiments à l'incendie 54 Fléchissements affectant les pièces de charpente horizontales 55 Comment rendre le vitrage durable et hermétique 56 Déformation des matériaux de construction par suite des variations thermiques et hygrométriques 57 Diffusion de la vapeur et condensation 58 Caractéristiques thermiques des fenêtres à contrechâssis 59 Principes d'installation des écrans pare-soleil 60 Caractéristiques du verre à vitres 61 Gonflements dûs au gel du sol des salles de patinage et des entrepôts frigorifiques 62 Arbres et immeubles 63 Sautages d'explosifs et dégâts aux bâtiments 64 65 66 67 68 Les fondations dans le pergélisol Revêtements des toits en agrégats minéraux Le code national de la construction au Canada Notions fondamentales pour la conception des toitures Pressions du vent et phénomènes d'aspiration sur les toits 69 70 71 72 Les couvre-joints pour toitures multicouches Considérations thermiques relatives au dessin des toits Cotes de comportement au feu Importance de la prévention des fuites d'air B.G. Peter, W.R. Schriever P.M. Jones D.G. Stephenson G.K. Garden T.D. Northwood N.B. Hutcheon W.J. Eden W.P. Brown, A.G. Wilson G.W. Shorter K.R. Solvason D.G. Stephenson N.B. Hutcheon M.C. Baker N.B. Hutcheon T.D. Northwood D.G. Stephenson G.W. Shorter W.G. Plewes, G.K. Garden G.K. Garden M.C. Baker J.K. Latta, R.K. Beach A.G. Wilson, W.P. Brown D.G. Stephenson G.K. Garden W.G. Brown R.F. Legget, C.B. Crawford T.D. Northwood, R. Crawford G.H. Johnston D.C. Tibbets, M.C. Baker R.F. Legget G.K. Garden W.A. Dalgliesh, W.R. Schriever M.C. Baker G.K. Garden M. Galbreath G.K. Garden 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 Lutte contre l'humidité et conception des toitures Les propriétés des revêtements lamellaires bitumineux Toits - terrasses Qu'est-ce que la peinture? Les immeubles et les personnes infirmes Les peintures et autres revêtements de finition Les nouveaux revêtements de finition organiques Principes d'établissement des plans de fondations Le choix du type de fondations Les eaux de fond Les piscines intérieures Les sols d'assise expansibles et contractiles Caractéristiques fondamentales du bois de construction G.O. Handegord P.M. Jones, G.K. Garden G.K. Garden H.E. Ashton R.F. Legget H.E. Ashton H.E. Ashton R.F. Legget, C.B. Crawford R.F. Legget, C.B. Crawford R.F. Legget G.K. Garden J.J. Hamilton N.B. Hutcheon, J.H. Jenkins Quelques conséquences des propriétés du bois N.B. Hutcheon, J.H. Jenkins La construction sur remblais R.F. Legget Emploi du bois de construction H.B. Dickens La glace sur les toits M.C. Baker Les revêtements pour parois intérieures H.E. Ashton Revêtements pour les bois exposés aux intempéries H.E. Ashton L'acoustique des salles publiques T.D. Northwood Murs préfabriqués en béton difficultés créées par leur tracé J.K. Latta habituel Murs préfabriqués en béton nouveaux principes de base J.K. Latta pour leur tracé Dessin des toitures multicouches M.C. Baker Emploi des matériaux de calfeutrement G.K. Garden Le comportement des joints G.K. Garden Les revêtements pour éléments métalliques extérieurs des H.E. Ashton bâtiments Application des notions fondamentales pour la conception G.O. Handegord, M.C. des toitures Baker Le système métrique R.F. Legget Les vitres réfléchissantes D.G. Stephenson Température ambiante et bien-être N.B. Hutcheon Les adjuvants du béton de ciment portland E.G. Swenson Effet de cheminée dans les bâtiments A.G. Wilson, G.T. Tamura Chauffage et refroidissement D.G. Stephenson Le problème fondamental du conditionnement de l'air N.B. Hutcheon L'effet de tirage et la conception d'un bâtiment A.G. Wilson, G.T. Tamura Phases du conditionnement de l'air K.R. Solvason 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 Installations de conditionnement d'air La ventilation et la qualité de l'air La pourriture du bois Conception des toitures de bois de manière à prévenir la pourriture Géologie urbaine La sécurité dans les bâtiments Comportement des matériaux de construction Durabilité du béton sous conditions hivernales Altération des matériaux organiques de construction due à l'atmosphère Essais accélérés de durabilité sur matériaux organiques de construction Changement de volume et fluage du béton Conception et durée de vie utile Effets de l'irradiation sur les matériaux organiques Radiation et autres facteurs climatiques Construction de maçonnerie par temps froid Attaque biologique des matériaux organiques Problèmes causés par les parements dus aux mouvements de charpente Influence de l'orientation sur les parements extérieurs Structure des matériaux poreaux de construction Congélation adhérente et sulèvement des fondations dû au gel Possibilités de bris d'origine thermique des vitrages doubles scellés Humidification et séchage des matériaux poreux Revêtements pour surface de maçonnerie Épaisseur du verre destiné aux fenêtres Mouvements de la fumée dans les bâtiments en hauteur K.R. Solvason A.G. Wilson M.C. Baker M.C. Baker R.F. Legget N.B. Hutcheon P.J. Sereda E.G. Swenson H.E. Ashton H.E. Ashton R.F. Feldman G.K. Garden H.E. Ashton H.E. Ashton J.I. Davison H.E. Ashton W.G. Plewes C.R. Crocker P.J. Sereda E. Penner, K.N. Burn J.R. Sasaki P.J. Sereda, R.F. Feldman H.E. Ashton W.G. Brown J.H. McGuire, G.T. Tamura Le contrôle de la fumée dans les bâtiments en hauteur J.H. McGuire, G.T. Tamura Égards pour les personnes handicapées D.N. Henning Le béton en milieux sulfatés E.G. Swenson Les structures gonflables D.A. Lutes Emploi de vieilles briques dans les nouvelles constructions T. Ritchie Insonorisation des bureaux sans cloisons L.W. Hegvold Comportement thermique des murs de maçonnerie en béton T.Z. Harmathy, H.W. Allen sous l'action du feu Inflammabilité des matériaux de revêtement et d'isolants A. Rose Chauffage des locaux et conservation de l'énergie D.G. Stephenson 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 Glissement de terrains argileux Gaz et vapeurs toxiques dûs aux incendies Les ciments portland dans la construction des bâtiments Prévention des congères aux alentours des bâtiments La sécurité et les charpentes Mouvements de fondations Résistance thermique de l'isolant de bâtiment Toits a étanchéite multicouches protégée Evacuation des eaux pluviales des couvertures Expansion des argiles litées pyriteuses W.J. Eden K. Sumi, Y. Tsuchiya E.G. Swenson P.A. Schaerer D.E. Allen C.B. Crawford C.J. Shirtliffe M.C. Baker, C.P. Hedlin M.C. Baker E. Penner, W.J. Eden, P.E. Grattan-Bellew Détachage du béton V.S. Ramachandran, J. Beaudoin Les matières plastiques A. Blaga Le mouvement des joints et le choix du matériau de G.O. Handegord, K.K. calfeutrement Karpati Le drainage autour des bâtiments G.P. Williams Propriétés et comportment des matières plastiques A. Blaga Les thermoplastiques A. Blaga Les plastiques thermodurcissables A. Blaga Exigences calorifiques des systèmes de fonte de la neige G.P. Williams Problèmes d'humidité et de chaleur dans les murs de sous- C.R. Crocker sol Emploi des silicones comme hydrofuges dans la T. Ritchie construction Mortier pour maçonnerie J.I. Davison Les effets acoustiques des écrans de bureaux sans cloisons A.C.C. Warnock Chlorure de calcium dans le béton V.S. Ramachandran Les plastiques alvéolaires (mousses plastiques) A. Blaga Les thermoplastiques alvéolaires (mousses A. Blaga thermoplastiques) rigides Les plastiques alvéolaires (mousses plastiques) A. Blaga thermodurcissables rigides Les briques T. Ritchie Corrosion atmosphérique des métaux P.J. Sereda Les imprécisions dans la construction J.K. Latta Recommandations générales pour le peinturage des H.E. Ashton bâtiments Vibrations des planchers D.E. Allen, J.H. Rainer Les vents au sol aux abords des bâtiments élevés W.R. Schriever Les pare-vapeur: que sont-ils? Sont-ils efficaces? J.K. Latta Ventilation des toitures-terrasses M.C. Baker, C.P. Hedlin Fondations des silos-tours M. Bozozuk 178 Les isolants en mousse plastique et les risques d'incendie 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 Inspection et entretien des toitures-terrasses Les températures du sol Retrecissement des membranes bitumineuses Action du gel sur les fondations Evacuation des eaux et érosion sur les chantiers de construction Fondations dans les sols sujets à des gonflements ou à retraits Defaillance des parements de briques sur les immeubles de grande hauteur Cloisons de bureaux: Exigences de l'acoustique pour la conception et la construction Essais non destructifs du béton Effêts du vent sur les maisons mobiles Combustion spontanée Exigences des usagers des ascenseurs Produits chimiques pour la fonte de la neige et de la glace autour Éclairage intérieur et économie de l'énergie Évaluation des surcharges de neige sur les toits Nettoyage de la maçonnerie en brique Pompes à chaleur pour le chauffage des habitations Publications sur la technologie du bâtiment au Canada Évaluation de la toxicité des incendies Protection des immeubles contre les inondations Les ions de l'air et le confort humain La technologie du bâtiment et son usage Les codes nationaux du bâtiment et de prévention des incendies et les documents connexes Les joints dans les couvertures bitumineuses classiques Superplastifiants et béton Calcul de la résistance au feu Composites de polyester renforcé de fibres de verre Carreaux de carrière et autres carreaux de céramique pour planchers Dangers créés par les produits de combustion et l'épuisement de l'air ambiant dans des locaux habités Les séismes et les bâtiments au Canada 209 L'économie d'énergie dans les écoles existantes 210 Les normes de performance dans le bâtiment G.W. Shorter, J.H. McGuire C.P. Hedlin G.P. Williams,L.W. Gold R.G. Turenne K.N. Burn G.P. Williams J.J. Hamilton W.G. Plewes A.C.C. Warnock R.F. Feldman W.R. Schriever Y. Tsuchiya,K. Sumi B.M. Johnson G.P. Williams A.W. Levy W.R. Schriever T. Ritchie R.L.D. Cane E.R. Carson,G.P. Williams K. Sumi,Y. Tsuchiya G.P. Williams C.Y. Shaw,G.T. Tamura C.B. Crawford H.B. Dickens R.G. Turenne V.S. Ramachandran T.T. Lie A. Blaga T. Ritchie A.D. Kent J.H. Rainer,T.D. Northwood L. Jones R.F. Legget, N.B. Hutcheon 211 Étanchéités multicouches de toitures : considérations R.G. Turenne pratiques 212 Le bâtiment et le coût global A.S. Rakhra 213 Utilisation de plastiques dans le domaine du vitrage et de A. Blaga l'éclairage 214 Automatisation dans les bâtiments : description sommaire A.H. Elmahdy des systèmes centralisés de surveillance et de commande 215 Utilisation des déchets et sous-produits comme granulats du V.S. Ramachandran béton 216 Propagation du feu d'un bâtiment à un autre J.H. McGuire, G. WilliamsLeir 217 Cheminées et conduits d'évacuation domestiques F. Steel 218 Effets de l'isolation sur la sécurité-incendie T.T. Lie 219 Applications des plastiques en tuyauterie A. Blaga 220 Tuyauterie thermoplastique A. Blaga 221 Calcul aux états limites D.E. Allen 222 Étanchéité à l'air des maisons et oxycarbonisme F. Steel 223 Béton renforcé de fibres J.J. Beaudoin 224 Détérioration des garages de stationnement G.G. Litvan 225 Évaluation et réparation des planchers de garage G.G. Litvan endommagés 226 Approche conceptuelle pour limiter les risques d'incendie J.F. Berndt, J.K. Richardson 227 Tuyaux de plastique thermodurcissable renforcé A. Blaga 228 Glissement de la neige sur les toits en pente D.A. Taylor 229 Détermination thermographique des défauts de l'enveloppe G.A. Chown, K.N. Burn des bâtiments 230 Application des codes aux bâtiments existants A.T. Hansen 231 Problèmes d'humidité dans les maisons A.T. Hansen 232 Vibrations dans les bâtiments J.H. Rainer 233 Réseaux détecteurs et avertisseurs d'incendie R.H.L. McEwen 234 Fondations en bois A.T. Hansen 235 Membranes d'étanchéité monocouches H.O. Laaly, O. Dutt 236 Introduction à l'acoustique du bâtiment A.C.C. Warnock 237 Réglementation de la construction des bâtiments A.T. Hansen 238 Fiabilité des réseaux d'extincteurs automatiques à eau J.K. Richardson 239 Facteurs modifiant la perte de transmission du son A.C.C. Warnock 240 Transmission du son par les fenêtres J.D. Quirt 241 Le béton modifié aux résines A. Blaga, J.J. Beaudoin 242 Le béton de résine A. Blaga, J.J. Beaudoin 243 Les meubles et accessoires et la sécurité incendie K. Sumi 244 Effets du retrait du bois dans les bâtiments A.T. Hansen 245 Ventilation mécanique et pression d'air dans les maisons C.Y. Shaw 246 Comment améliorer la visibilité dans les incendies 247 Infiltration du radon dans les maisons 248 Le vitrage dans les murs résistants au feu 249 Comment réduire les risques d'inflammation dans les bâtiments 250 Les ordinateurs et la construction F.R.S. Clark R.S. Dumont, D.A. Figley J.K. Richardson, G.A. Chown F.R.S. Clark D.J. Vanier DIKE An embankment or ridge, natural or man made, used to control the movement of liquids, sludges, solids, or other materials. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DIKE OVERFLOW A dike constructed in a manner that allows uncontaminated water to flow unobstructed over the dike while keeping the contaminant behind the dike. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DIKE UNDERFLOW A dike constructed in a manner that allows uncontaminated water to flow unobstructed under the dike while keeping the contaminant behind the dike. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DISCOVERY 14-12.7 Investigating Static Electric Ignitions. Often the investigation of possible static electric ignitions depends on the discovery and analysis of circumstantial evidence and the elimination of other ignition sources, rather than on direct physical evidence. 9-3.1 Misconceptions about Evidence. Evidence at the fire scene should not be thought of only in a criminal context, such as the discovery of an incendiary device, or containers at a fire scene, but includes everything in the scene. This can include: the physical structure, the contents, the fire patterns, other artifacts (items), and any materials ignited. "Nozzle control" is an important consideration concerning the investigation. The use of excessive water at the fire scene can result in the dilution of any possible or suspected combustible or flammable liquid. The dilution can result in a negative presence of an ignitable liquid in a field test or in laboratory analysis, despite the fact that one may have been present at the time of ignition. Excessive water at the scene can also result in evidence, such as matches, burned paper or wood, floating away from the area where they were located, thus negating their discovery and the evidentiary value. 921- 58 - (2-4.3 ): Reject SUBMITTER: James A. Shinsky, International Association of Arson Investigators COMMENT ON PROPOSAL NO: 921-42 RECOMMENDATION: Delete the proposed additional text, return to the original text in the 1995 edition. SUBSTANTIATION: The proposal takes away from the intent of the entire guide. NFPA 921 stresses the importance of good accurate investigative techniques. It gives guidance on proper methods and acceptable procedures to be used in fire investigations. NFPA 921 overall is a good text to be used and supported. As with any manual or guide once entered into the court arena it is subject to misuse. I feel that this is not a problem for the experienced investigator to overcome. To accept this proposal is the beginning of the process that will diminish the effectiveness of the guide. To accept this proposal is giving investigators the authority to conduct drive by or desk top investigations. Investigators will be able to keep up on hours billed and never have to get out in the cold to look at the actual scene, facts or evidence. Once we begin to allow desk top reviews of other investigators work as acceptable means for investigation of fires we might as well quit the fire investigation business. The issue of the fire investigator often not being able to do a physical exam of the scene appears to be a problem for the plaintiffs side in a civil case and defense side in a criminal case. In either case the open exchange of information between the investigator that did the physical examination of the scene and one who did not, is not going to happen. This adversarial relationship will not allow this during the investigative stage of a fire case. Information exchange is compelled by the discovery process. The individual conducting the desk top review is limited to the best decision on only part of the actual evidence and information from scene. Dispatch time - the time to relay the emergency message to the first due responding company from the communications centre of first receipt. (OFM © 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) DISPERSION To spread, scatter, or diffuse through air, soil, surface or ground water. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DISSUASION (Prévention) Si l'on effectuait une investigation approfondie des incendies, suivie d'une enquête appropriée toutes les fois que cela s'avère indiqué, le travail d'investigation lui-même créerait une certaine appréhension chez les incendiaires jeunes ou adultes. On pourrait ainsi pratiquement éliminer l'incendiat car il est certain qu'un grand nombre de personnes n'allumeraient jamais d'incendies si elles savaient que tous les incendies font l'objet d'une étude approfondie. [Stickney 1960] DISSUASION (voir aussi Incrimination) Il faut donc se demander quelles réformes seraient les plus opportunes, dans ces conditions, au chapitre des dispositions pénales sur l'incendie. Il serait illusoire d'attendre d'une telle réforme une réduction marquée des délits d'incendie en l'absence d'une transformation importante des mentalités à cet égard. ... La suppression des dispositions pénales sur la fraude commise par le moyen de l'incendie n'encouragerait peut-être pas l'accomplissement de tels actes, mais elle ne contribuerait pas non plus à sensibiliser le public à la question et n'aurait aucun effet dissuasif sur la mafia. Par contre, l'assurance, dans sa forme actuelle, constitue en elle-même une occasion de réaliser un profit pour de nombreuses personnes aux prises avec des difficultés financières ou tout simplement attirées par l'appât du gain. Selon certains, le recours au droit civil permettrait de lutter plus efficacement contre cette tentation de profit que le droit pénal. [Réforme du droit canadien, doc.36, 1984] DISTANCE LIMITATIVE distance mesurée perpendiculairement à une façade exposée, de cette façade au milieu d'une ruelle ou d'une rue ou de cette façade jusqu'à une ligne imaginaire tracée entre 2 bâtiments situés dans une même propriété [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] DISTILLATION (Gayet 1973) Sous l'effet d'un échauffement, le combustible se modifie physiquement (et devient liquide puis gazeux), ou bien, chimiquement (donne naissance à des produits de décomposition gazeux). Dans l'un ou l'autre cas, il dégage des gaz inflammables. On peut considérer que le bois est susceptible de s'enflammer aux environs de 280°C [572°F], si les gaz émis parviennent au contact d'une flamme.[Gayet 1973] DISTILLATION (Hydro Cut) Distillation, process used to separate the substances composing a mixture; it involves a change of state, e.g., liquid to gas, and subsequent condensation ( States Of Matter). A simple distillation apparatus consists of three parts: a flask in which the mixture is heated, a condenser in which the vapor is cooled, and a vessel in which the condensed vapor, called distillate, is collected. Upon heating, the substances with a higher boiling point remain in the flask and constitute the residue. When the substance with the lowest boiling point has been removed, the temperature can be raised and the process repeated with the substance having the next lowest boiling point. The process of obtaining portions (or fractions) in this way is called fractional distillation. In destructive distillation various solid substances, such as wood, coal, and oil shale, are heated out of free contact with air, and the portions driven off are collected separately. Distillation is used in refining Petroleum and in preparing alcoholic beverages. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) DISTILLATION (IAAI) A separation process in which a liquid is concerted to a vapour and the vapour is then condensed back to a liquid. The usual purpose of distillation is separation of the compounds of a mixture. Steam distillation separates all water insoluble liquids from solids and water soluble compounds in a mixture. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) DISTILLED BEVERAGE ALCOHOL means a beverage that is produced by fermentation and contains more than 20 per cent by volume of water-miscible alcohol. (Ontario Fire Code 1996) DISTILLERY means a process plant where distilled beverage alcohols are produced, concentrated or otherwise processed, and includes facilities on the same site where the concentrated products may be blended, mixed, stored or packaged. (Ontario Fire Code 1996) DOWNWIND In the direction in which the wind blows. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 Drafting Drafting is the pulling of water from a source other than accepting pressurized water from a hydrant or another fire apparatus. Cisterns, lakes, ponds and swimming pools are often used in drafting operations. Many departments in rural areas without fire hydrants use drafting. [email protected] DRY CHEMICAL Any of several powders used to extinguish fires. [Friedman 1989] DRY ICE Solid carbon dioxide. [Friedman 1989] DRYING OIL An organic liquid which, when applied as a thin film, readily absorbs oxygen from the air and polymerises to form a tough elastic film. Linseed, tung, soybean and castor oils are drying oils. Under certain conditions, usually involving large surface areas and insulation, such as a pile of rags soaked with drying oils, spontaneous heating may occur. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) DUST Solid particles generated by handling, crushing, grinding, rapid impact, detonation, and decrepitation of organic or inorganic materials such as rock, ore, metal, coal, wood, and grain. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 DWELLING UNIT(unité de logement) means a suite operated as a housekeeping unit, used or intended to be used as a domicile by one or more persons and usually containing cooking, eating, living, sleeping and sanitary facilities. (Ontario Fire Code 1996) -EEAD sigle de " Enseignement à distance (EAD) Formation à distance (FAD) (formation). Dans "l'Enseignement à Distance", l'essentiel des activités de transmission des connaissances s'effectue en dehors de la relation directe "face-à-face" pédagogique, entre enseignants et enseignés, répartis sur des lieux différents, ce qui ne s'oppose pas à l'existence, dans le cadre du dispositif de formation, d'activités de type "présentiel". L'EAD est né, il y a plus d'un siècle, avec l'enseignement par correspondance. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) ÉCHANTILLONNAGE CONCURRENTIEL / benchmarking Démarche d'évaluation des produits, services, méthodes par rapport à ceux des entreprises les plus performantes pour en tirer des renseignements permettant de progresser. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) ECONOMIC POISON As defined in the Federal Insecticide, Fungicide, and Rodenticide Act (FIFRA), an economic poison is "any substance or mixture of substances intended for preventing, destroying, repelling, or mitigating any insects, rodents, nematodes, fungi, or weeds, or any other forms of life declared to be pests . . . any substance intended for use as a plant regulator, defoliant, or desiccant." As defined, economic poisons are generally known as pesticides. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 Ecology The science that studies the ways in which plants and animals live together in the natural environment of our planet. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) Ecosystem An area in which energy, nutrients, water, and other biological and geological influences, including all living organisms, work together and influence one another. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) EFFETS DU GEL efforts résultant du gel d'un sol humide [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] EFFONDREMENT (effets de l') (voir aussi Plancher) C'est sur le plancher et sur la partie inférieure des murs que l'on récoltera le plus grand nombre d'indices quant aux causes de l'incendie car c'est la région la plus accessible. La plus grande partie du matériel et des objets contenus se trouvent au niveau du plancher ou près du plancher, région où s'exerce également l'activité des occupants, et, de toute façon, c'est l'endroit où tombera la plus grande partie du matériel pendant l'incendie. [Stickney 1960] ELECTRIC AND MAGNETIC UNITS Units used to express the magnitudes of various quantities in electricity and magnetism. Three systems of such units, all based on the Metric System, are commonly used. One of these, the mksa-practical system, is defined in terms of the units of the mks system and has the Ampere of electric current as its basic unit. The units of this system - the Volt, Ohm, Watt, and farad - are those commonly used by scientists and engineers to make practical measurements. The two other systems, now being gradually abandoned, are both based on the cgs system. Electrostatic units (cgs-esu) are defined in a way that simplifies the description of interactions between static electric charges; there are no corresponding magnetic units in this system. Electromagnetic units (cgs-emu), on the other hand, are defined especially for the description of phenomena associated with moving electric charges, i.e., electric currents and magnetic poles. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) ELECTRIC CIRCUIT An electric circuit can be described as an unbroken path along which an electric current may flow. A simple circuit consists of a voltage source, such as a battery ( Cell, in electricity) or a Generator, whose terminals are connected to those of a circuit element, such as a Resistor, through which current can flow. More complex circuits include additional sources or elements and perhaps Switches, so interconnected that, when appropriate switches are closed, each element is included in a closed path that also contains a source. Series, parallel, and non-series-parallel connections are illustrated in the figure. The effective Resistance of two series-connected resistors is the sum of the individual resistances. The effective conductance (reciprocal of resistance) of two parallelconnected resistors is the sum of the individual conductances. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) ELECTRICAL STORM An atmospheric disturbance characterized by intense electrical activity, producing lightning strikes and strong electric and magnetic fields. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) ELECTRICITY Electricity describes a class of phenomena arising from the existence of charge. According to modern theory, most Elementary Particles of matter possess charge, either positive or negative. Two particles of like charge, both positive or both negative, repel each other; two particles of unlike charge are attracted ( CoulombÆs Law). The electric Force between two charged particles is much greater than the gravitational force between the particles. Many of the bulk properties of matter are ultimately due to the electric forces among the particles of which the substance is composed. Materials differ in their ability to allow charge to flow through them. Those that allow charge to pass easily are conductors ( Conduction), whereas those that allow extremely little charge to pass through are called insulators (Insulation), or Dielectrics. A third class of materials, called Semiconductors, is intermediate. Electrostatics is the study of charges, or charged bodies, at rest. When a positive or negative charge builds up in fixed positions on objects, certain phenomena can be observed that are collectively referred to as static electricity. The charge can be built by rubbing certain objects together, such as silk and glass or rubber and fur; the friction between these objects causes Electrons to transfer from one to another with the result that the object losing electrons acquires a positive charge and the object gaining electrons acquires a negative charge. Electrodynamics is the study of charges in motion. A flow of electric charge constitutes an electric current. In order for a current to exist in a conductor, there must be an Electromotive Force (emf), or potential difference, between the conductor's ends. An electric Cell, a Photovoltaic Cell, and a Generator are all sources of emf. An emf source with an external conductor connected from one of the source's two terminals to the other constitutes an Electric Circuit. Direct current (DC) is a flow of current in one direction at a constant rate. Alternating current (AC) is a current flow that increases in magnitude from zero to a maximum, decreases back to zero, increases to a maximum in the opposite direction, decreases to zero, and then repeats this process periodically. The number of repetitions of the cycle occurring each second is defined as the frequency, which is expressed in Hertz (Hz). The frequency of ordinary household current in the U.S. is 60 cycles per sec (60 Hz), and electric devices must be designed to operate at this frequency. In a solid, the current consists not of a few electrons moving rapidly but of many electrons moving slowly; although this drift of electrons is slow, the impulse that causes it moves through the circuit, when the circuit is completed, at nearly the speed of light. The movement of electrons in a current is not steady; each electron moves in a series of stops and starts. In a direct current, the electrons are spread evenly through the conductor; in an alternating current, the electrons tend to congregate along the conductor surface. In liquids, gases, and semiconductors, current carriers may be positively or negatively charged. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) ÉLECTROLYSE Quand le liquide est de l'alcool, aucun courant ne passe. Quand il s'agit d'eau distillée, que l'on utilise un ampèremètre très sensible et que la différence de potentiel est forte, on peut noter une très faible lecture sur l'ampèremètre. On recommence l'expérience en ajoutant chaque fois à l'eau une substance différente. Quand on ajoute des Acides, des Bases ou des Sels, le courant passe et des réactions chimiques ont lieu aux électrodes. Quand on ajoute à l'eau du sucre, du glucose, de l'alcool, etc., le courant ne passe pas. Si l'on procède à la même expérience en remplaçant l'eau par de l'iodure de potassium fondu, le courant passe et des vapeurs d'iode se dégagent à l'électrode positive. Quand le sel se solidifie, le courant ne passe plus. Les Composés qui conduisent l'électricité quand ils sont dissous dans l'eau ou quand ils sont fondus sont appelés des électrolytes. Les acides, les bases et les sels sont les principaux électrolytes. Les composés qui ne laissent pas passer le courant dans ces circonstances sont dits non-électrolytes. Les plaques de cuivre par lesquelles le courant entre ou sort de la solution de l'électrolyte sont appelées des électrodes. Celle qui est reliée à la borne positive de la pile s'appelle l'anode, l'autre s'appelle la cathode. Explication de l'électrolyse On appelle "électrolyse" l'ensemble des changements chimiques qui se produisent lorsqu'un courant électrique passe dans un Électrolyte. Comme il est indiqué à la page concernant les Liaisons Ioniques et Covalentes, tous les composés électrovalents sont formés d'ions chargés positivement et négativement, présents en nombre tels que la substance soit électriquement neutre au total. Ces ions sont normalement maintenus ensemble par l'attraction électrostatique qui existe entre des particules qui sont positivement et négativement chargées. Mais les ions deviennent libres de leurs mouvements quand le Composé est fondu ou quand les ions deviennent séparés comme dans le cas où le composé est dissous dans l'eau. (Ivan Noels) ELECTROLYSIS (Hydro Cut) The passage of an electric current through a conducting solution or molten salt (either is a type of Electrolyte that is decomposed in the process. When a cathode, or negative electrode, and an anode, or positive electrode, are dipped into a solution, and a direct-current source is connected to the electrodes, the positive ions migrate to the negative electrode and the negative ions migrate to the positive electrode. At the negative electrode each positive ion gains an electron and becomes neutral; at the positive electrode each negative ion gives up an electron and becomes neutral. The migration of ions through the electrolyte constitutes the electric current flowing from one electrode to the other. Electrolysis is used in the commercial preparation of various substances, e.g., chlorine by the electrolysis of a solution of common salt, and hydrogen by the electrolysis of water. The electrolysis of metal salts is used for plating. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) ELECTROLYTE An electrical conductor in which current is carried by Ions rather than free electrons (as in a metal). Electrolytes include water solutions of acids, bases or salts; certain pure liquids; and molten salts. Electrolysis. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) ELECTROMOTIVE FORCE Electromotive force (emf) is the difference in electric Potential, or voltage, between the terminals of a source of electricity. It is usually measured in Volts. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) ELECTRON A negatively charged subatomic particle which circles the nucleus of the atom in a cloud. Most chemical reactions involve the making and breaking of bonds held together by the sharing of electrons. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ELECTRON CAPTURE DETECTOR (ECD) A type of gas chromatographic detector which is sensitive to halogenated hydrocarbons and other molecules capable of easily gaining an electron. Electron capture is not generally used for hydrocarbon detection. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ELEMENT One of 106 presently known kinds of substances that comprise all matter at and above the atomic level. (See Periodic Table) (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ELUTION The process of removing absorbed materials from the surface of an adsorbent such as activated charcoal. The solvent in this process is called the eluant. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) EMBRASEMENT (Gayet 1973) À la première ouverture qui se produit dans un local - un appel d'air provoqué par le bris d'une vitre ou par l'ouverture d'une porte par exemple- le mélange avec l'air permet la combustion avec cette masse de gaz; c'est ce qu'on appelle l'embrasement, qui peut porter le feu dans l'ensemble, enflammant jusqu'aux peintures murales et, d'une manière générale, tout ce qui peut s'oxyder en s'auto-accélérant au-dessus de 800°C. ... À l'embrasement, de larges brèches s'ouvrent dans les toitures et les parties supérieures des locaux. Un tirage important est établi et il n'est plus question d'éteindre l'incendie, on ne peut plus que le circonscrire. [Gayet 1973] **embrasement général / embrasement généralisé / embrasement instantané / embrasement éclair / embrasement total / incendie généralisé / feu généralisé / inflammation générale / inflammation généralisée / inflammation instantanée / flash-over : Passage brusque à l'état de combustion généralisée en surface de l'ensemble des matériaux combustibles dans un local. Phénomène qui se produit lorsqu'on introduit de l'air en masse dans une enceinte close dont l'atmosphère est appauvrie en oxygène par suite de l'émission de gaz combustibles qui sont mélangés à l'air et aux fumées. L'embrasement général se produit lorsque la chaleur rayonnante est si intense (environ 1 400 F (760 C] qu'elle enflamme tout ce qui est sur les lieux de l'origine de l'incendie. [Flash-over] Le terme anglais "flash-over" est généralement utilisé. embrasement éclair: terme normalisé par l'ISO (Source : Termium 1994) EMBRASEMENT ET ACCÉLÉRANTS (Shanley 1994) L'embrasement est un phénomène très important dans la dynamique d'un incendie. Il peut survenir dans la plupart des pièces en présence de suffisamment de matière combustible et d'oxygène. Quand est survenu l'embrasement, des indicateurs de fumée et de feu sont apparus sur plusieurs surfaces non-protégées de la pièce, incluant la partie basse des murs et le plancher [incluant d'autres surfaces horizontales]. Ces indicateurs sont engendrés par la grande quantité d'énergie thermique et la fumée libérées dans la pièce soumise à l'embrasement. [...] L'investigateur doit déterminer, à partir de l'état de la pièce et de ses contenus, si un embrasement est survenu; le cas échéant, il doit faire état des effets de cet embrasement. [...] Plusieurs matériaux synthétiques (incluant du tapis ordinaire) brûlent et peuvent laisser, à l'analyse, des produits de pyrolyse très semblables aux substances retrouvées dans les liquides inflammables comme l'essence et le kérosène. [...] Presque n'importe quel type de matériel combustible peut engendrer l'embrasement et les paramètres d'intensité y associés. Le feu d'un sofa principalement composé de polyuréthane dans un salon ordinaire de 10 pieds sur 12 pieds peut causer l'embrasement dans cete pièce en 5 minutes ou moins. Les témoins et les intervenants peuvent dire de cet incendie qu'il s'est développé très rapidement et que le feu était très intense. La prudence commande à l'investigateur de ne pas associer à l'incendiat pareil développement et pareille intensité. Le recherche en incendie, les investigations, et la modélisation d'incendie ont démontré tour à tour que pareilles manifestations peuvent se produire dans des pièces ne contenant aucun accélérant. [J.H. Shanley, Fire Investigation Change and Evolution, Part 2: Understanding the Science of Fire, FIRE ENGINEERING, May/June 1994] EMERGENCY OPERATIONS CENTER (EOC) The secured site where government officials exercise centralized direction and control in an emergency. The EOC serves as a resource center and coordination point for additional field assistance. It also provides executive directives to and liaison for state and federal government representatives, and considers and mandates protective actions. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 EMERGENCY OPERATIONS PLAN A document that identifies the available personnel, equipment, facilities, supplies, and other resources in the jurisdiction, and states the method or scheme for coordinated actions to be taken by individuals and government services in the event of natural, man-made, and attack related disasters. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 EMERGENCY RESERVE ACCOUNT FOR HAZARDOUS MATERIAL INCIDENTS A fund administered by the California Department of Toxic Substances Control to finance actions only for the purpose of remediation or prevention of threats of fire, explosion or human health hazards resulting from a release or potential release of a hazardous substance. (Health and Safety Code 25354) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 EMERGENCY RESPONSE Response to any occurrence which has or could result in a release of a hazardous substance. (8 CCR 5192) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 EMERGENCY RESPONSE ORGANIZATION An organization that utilizes personnel trained in emergency response. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 EMERGENCY RESPONSE PERSONNEL Personnel assigned to organizations that have the responsibility for responding to different types of emergency situations. (NFPA 1991, 1-3) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 EMISSION SPECTROSCOPY The study of the composition of substances and identification of elements by observation of the wavelengths of radiation emitted by the substance as it returns to a normal state after excitation by an external source. Generally used for elemental analysis. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) EMPLACEMENT DANGEREUX Lieu, bâtiment ou partie de bâtiment présentant des risques d'explosion ou d'incendie: € a) parce qu'on y fabrique, utilise ou emmagasine dans des récipients autres que les récipients d'origine, des gaz très inflammables, des liquides volatils inflammables ou d'autres substances ou mélanges très inflammables; € b) parce qu'on peut y trouver des poussières ou parcelles combustibles en quantité suffisante pour constituer un mélange explosif ou combustible, ou parce qu'on ne peut éviter l'accumulation de ces poussières ou parcelles sur ou dans les moteurs, les lampes à incandescence ou autre appareillage électrique en quantité suffisante pour causer un échauffement accidentel par manque de diffusion de la chaleur; € c) parce qu'on y fabrique manipule ou utilise en vrac des fibres facilement inflammables ou des matériaux produisant des parcelles combustibles; € d) parce qu'on y emmagasine en ballots ou dans des récipients, des fibres facilement inflammables ou des matériaux produisant des parcelles combustibles, mais qui n'y sont pas fabriqués ou manipulés en vrac. (Code de l'électricité du Québec, 1987, p.35) EMPLOYEUR Une personne qui, en vertu d'un contrat de louage de services personnels ou d'un contrat d'apprentissage, même sans rémunération, utilise les services d'un travailleur; un établissement d'enseignement est réputé être l'employeur d'un étudiant, dans les cas où, en vertu d'un règlement, l'étudiant est réputé être un travailleur ou un travailleur de la construction (LSST, S21) EMULSION A stable mixture of two or more immiscible liquids in suspension. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ENDOTHERMAL A reaction that occurs with the absorption of heat. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) ENDOTHERMIC A process or chemical reaction which is accompanied by absorption of heat. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 ENDOTHERMIC REACTION A chemical reaction which absorbs heat. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ENERGETICS OF CHEMICAL CHANGE Every chemical change is accompanied by a change of energy because the chemical energy of the reaction products is different from that of the reactants. This change usually is manifested in the form of heat energy, but also can include electrical energy (for electrochemical processes, as in batteries) or mechanical energy, where expansion or contraction or kinetic energy (motion) is involved (as in explosions). [Friedman 1989] ENERGY TRACE AND BARRIER ANALYSIS The Energy Trace and Barrier Analysis (ETBA) method can be used to develop a more detailed understanding of energy exchanges that occurred during a phenomenon. This technique approaches the development of Event Building Blocks (EBBs) by tracing the flows of energy into, within, and out of a system or component involved in a phenomenon. It is based upon the premises that energy flows introduce changes in a system or component which, if understood, can be predicted and controlled. ETBA documents energy flows by methodically tracing energy movements within systems or components, and across interfaces, to identify behaviors that influenced the course of events being investigated. (Ludwig Benner, MES Guide 5, TASK GUIDANCE FOR DOCUMENTING ENERGY TRACE AND BARRIER ANALYSES, 1998) ENERGY UNITS (Friedman 1989) The basic SI unit of energy is the joule (J). A joule is the quantity of energy expended when a force of 1 newton pushes something a distance of 1 meter. Thermal energy as well as mechanical energy can be expressed in joules. One joule equals 0.239 calorie, or 4.187 joules equal 1 calorie. (A calorie is the energy needed to heat one gram of water 1°C; a dietetician's "calorie" is actually 1000 calories.) Electrical energy can be expressed in joules; one joule is 1 watt-second. One megajoule (1,000,000 joules) is o.278 kilowatt-hour. (for example, if a power of 1 kilowatt is released in an electric iron for 0.278 hour, than 1 megajoule of thermal energy has been released.) In English units, energy is expressed in foot-pounds or BTUs. One foot-pound is equal to 1.355 joule, and 1 BTU is equal to 1055 joules or 252 calories. [Friedman 1989] ENGINE (FIRE USAGE) Any emergency response vehicle providing specified levels of pumping, water, hose capacity, and personnel. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 Engine The engine is also referred to as a pumper because of its ability to pump water. In most cases, an engine carries small ground ladders, supply line to connect it with a hydrant, hand lines to fight the fire with and a tank holding between 500 and 1,000 gallons of water. [email protected] Engine Company An engine company is a combination of a fire engine and the manpower used to staff it. A standard engine company will include an officer, driver/engineer and two firefighters on a pumper truck. [email protected] ENQUÊTES (sur les circonstances) (voir aussi Recherches) 14. Le commissaire-enquêteur doit tenir une enquête sur les circonstances qui ont entouré un incendie ou une explosion qui a détruit ou endommagé un bâtiment, toutes les fois qu'il a des raisons de croire, après ses recherches, que cet incendie ou cette explosion est survenu par suite de la conduite coupable ou de la préméditation de la part d'un tiers. Il doit également tenir une enquête chaque fois que le ministre de la Sécurité publique lui en fait la demande. [L.R.Q., Chapitre E-8, Loi concernant les enquêtes sur les incendies, 01 mars 1993] ENQUÊTEUR (Richer 1989) Personne qui s'enquiert, qui est chargée de faire des enquêtes. Personne qui effectue une recherche des faits concernant une question. En matière d'incendie, l'enquêteur vise à déterminer d'abord la cause du sinistre et, subséquemment, le cas échéant, suite à l'enquête criminelle, à préciser sa classification selon les exigences de la Déclaration uniforme de la criminalité (D.U.C.) [Michel Richer 1989] ÉQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE (EPI) Ce terme désigne les articles et vêtements qui se portent pour empêcher l'exposition directe à une matière ou à une situation dangereuse. Les équipements de protection individuelle recommandés sont souvent listés dans les FTSS; ceux qui servent à protéger contre l'exposition aux produits chimiques peuvent être des vêtements ou des appareils de protection des voies respiratoires et des yeux. Les équipements de protection individuelle doivent n'avoir qu'une importance secondaire par rapport aux mesures d'ingénierie, car ils sont parfois peu fiables et s'ils font défaut, le travailleur risque de se retrouver sans aucune protection. On a parfois recours à des équipements de protection individuelle en plus des mesures d'ingénierie. Par exemple, un système de ventilation (mesure d'ingénierie) réduit le danger des produits chimiques pour les voies respiratoires, alors que les gants et les tabliers (équipements de protection individuelle) réduisent le contact avec la peau. On peut aussi avoir recours aux équipements de protection individuelle lorsque les mesures d'ingénierie ne sont pas pratiques, que ce soit en cas d'urgence ou dans des circonstances temporaires, comme les travaux d'entretien. (Canutec) ENSEIGNEMENT ASSISTÉ PAR ORDINATEUR (EAO) (formation) [Computer Based Training, Computer Aided Learning] Ensemble des techniques et des méthodes d'utilisation de systèmes informatiques comme outils pédagogiques intégrés au contexte éducatif. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) ENSEIGNEMENT OUVERT - FORMATION OUVERTE (formation) [Open Learning] "L'enseignement ouvert" traduit la volonté d'élargir le mode d'apprentissage à distance. L'apprentissage ouvert peut être défini comme la volonté d'offrir à l'apprenant une plus grande liberté de choix, non seulement quant aux lieux, rythme et durée d'apprentissage, mais également quant aux stratégies d'apprentissage mises en jeu, voire quant au contenu des cours étudiés. Cette notion est issue de celle de "Opening learning" des anglosaxons qui ont été les premiers à appliquer de façon formalisée l'enseignement à distance dans un cadre universitaire. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) ENTRAINMENT The process in which a slow-moving or stagnant fluid mixes into an adjacent turbulent flow. For example, a rising fire plume entrains surrounding air. [Friedman 1989] ENTRY TEAM LEADER The entry leader is responsible for the overall entry operations of assigned personnel within the Hot Zone. (FIRESCOPE ICS-HM) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 EROSION 1) In a solid rocket, the wearing away of the propellant due to heat, radiation and gas velocity. 2) Wearing away of a bore due to combined effect of gas washing, scouring and mechanical abrasion. ( Corrosion.) (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) ESSAI / test Opération technique qui consiste à déterminer ou à vérifier une ou plusieurs caractéristiques d'un produit, processus ou service, selon un mode opératoire spécifié. - NF X 50 - 061 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) ESSAI D'INCOMBUSTIBILITÉ Un matériau de construction est considéré comme incombustible s'il respecte les critères de réception contenus dans la norme CAN4-S114M80, Méthode d'essai normalisée pour la détermination de l'incombustibilité des matériaux de construction. La méthode d'essai n'a pour but que d'évaluer la performance des matériaux de construction de base; elle ne s'applique pas aux matériaux recouverts d'un revêtement de protection ou de décoration, ni à ceux qui sont imprégnés ou constitués de plusieu¦es de matériaux différents. L'essai est réalisé dans un petit four chauffé à l'électricité. Les températures dans le four sont déterminées par un thermocouple de contrôle servant à stabiliser la température du four avant l'essai, et par un thermocouple indicateur, utilisé pour mesurer toute augmentation de la température lors de l'essai. Un miroir est utilisé pour faire des observations par l'évent durant l'essai. Les échantillons d'essai ont une base de 38 sur 38 mm et une hauteur de 50 mm. Si l'échantillon risque de se désintégrer ou de fondre durant l'essai, il doit être soutenu par une toile métallique ou un plat de tôle mince. Au moins trois échantillons du matériau doivent être soumis à l'essai. Avant de procéder aux essais, ces échantillons doivent être séchés durant une période de 24 à 48 heures et refroidis à la température de la pièce dans un milieu sec. Juste avant un essai, le four est chauffé jusqu'à ce que le thermocouple de contrôle indique 750 C, puis stabilisé à 1 C près durant 15 minutes. L'échantillon est placé dans le porte-échantillon et inséré dans le four par le dessous. La durée de l'essai est de quinze minutes, sauf si l'on constate dès les premières minutes que l'essai a échoué. Les matériaux soumis à l'essai sont considérés comme incombustibles si: · La moyenne des augmentations maximales de température (mesurée par le thermocouple indicateur) pour les trois échantillons (ou plus) soumis à l'essai n'excède pas 36 C. · Aucun des échantillons n'est la proie des flammes durant les dernières 14 minutes et 30 secondes de l'essai. · La perte maximale de masse de n'importe lequel des échantillons ne dépasse pas 20% durant l'essai. Il importe de noter que le résultat de l'essai est soit une réussite ou un échec, c'est-à-dire que le matériau se révèle combustible ou incombustible. L'essai ne permet pas de mesurer le degré de combustibilité du matériau. (CNRC, Combustibilité des matériaux de construction, J.R. Mehaffey, Ph.D., 1987) ESPACE MÉDIATIQUE (informatique) [media space ] Un environnement pouvant concerner deux ou plusieurs postes de travail, dans lesquels des cotravailleurs sont connectés par de multiples formes de communication médiatique via l'intervention et le contrôle de l'informatique. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) ÉTABLISSEMENT L'ensemble des installations et de l'équipement groupés sur un même site et organisés sous l'autorité d'une même personne ou de personnes liées, en vue de la production ou de la distribution de biens ou de services, à l'exception d'un chantier de construction; ce mot comprend notamment une école, une entreprise de construction ainsi que les locaux mis par l'employeur à la disposition du travailleur à des fins d'hébergement, d'alimentation ou de loisirs, à l'exception cependant des locaux privés à usage d'habitation (LSST, S2-1) ÉTABLISSEMENT COMMERCIAL bâtiment ou partie de bâtiment servant à l'étalage ou à la vente au détail, tel que décrit à la soussection 3.1.2 [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] ÉTABLISSEMENT HOSPITALIER, D'ASSISTANCE OU DE DÉTENTION bâtiment ou partie de bâtiment où des personnes sont retenues pour soins ou traitements médicaux, ou détenues pour des motifs judiciaires, correctionnels ou de sécurité publique, tel que décrit à la sous-section 3.1.2 [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] ÉTABLISSEMENT INDUSTRIEL (S-3) bâtiment ou partie de bâtiment affecté à l'assemblage, la fabrication, la transformation, le traitement, la réparation, l'entreposage ou la vente en gros de matières ou produits, tel que décrit à la sous-section 3.1.2 [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] ÉTABLISSEMENT INDUSTRIEL (CSA C-22) Bâtiment ou partie de bâtiment (autre qu'un bureau ou un local d'exposition) où des personnes sont employées à la fabrication ou à la manutention de matériel. Ce terme est destiné à distinguer ces locaux des logements, des bureaux et autres locaux à usage analogue. (Code de l'électricité du Québec, 1987, p.30) ÉTABLISSEMENT D'AFFAIRES bâtiment ou partie de bâtiment destiné aux affaires ou à des services professionnels ou personnels, tel que décrit à la sous-section 3.1.2 [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] ÉTABLISSEMENT RECEVANT LE PUBLIC bâtiment ou partie de bâtiment où des personnes se réunissent pour des fins civiques, politiques, religieuses, sociales, éducatives, récréatives ou de voyage tel que décrit à la sous-section 3.1.2: ÉTAGE partie d'un bâtiment comprise entre les faces supérieures de deux planchers successifs, ou entre la face supérieure d'un plancher et le plafond, lorsqu'il n'y a pas de plancher au-dessus [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S3)] ÉTAIN L'étain est très employé pour recouvrir l'acier doux d'une couche protectrice. Cet étamage est effectué en plongeant des feuilles nettoyées d'acier doux dans de l'étain fondu ou par dépôt électrolytique. Le cuivre et d'autres métaux sont quelques fois étamés eux aussi. [Pauling 1958] ÉTENDUE DE PLANCHER (aire de plancher -- floor area) superficie totale d'un plancher limitée par les murs extérieurs, ou par les murs coupe-feu lorsque ceux-ci sont prescrits, réduite de la superficie des issues et des vides techniques qui traversent l'étage [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] ETHANE A simple alkane having the formula C2H6. A minor component of natural gas. Its explosive range is 3% to 12.5%. Ethane has approximately the same vapour density as air. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ETHANOL Ethyl alcohol. Grain alcohol. Flammable, water soluble alcohol. Flash point of 55F. Explosive limits of 3.3% to 19%. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ETHANOL (Hydro Cut) Ethanol, or ethyl alcohol (CH3CH2OH), a colorless liquid with characteristic odor and taste, commonly called grain alcohol or, simply, Alcohol. Ordinary ethanol is about 95% pure, the remaining 5% being water, which can only be removed with difficulty to give pure or absolute ethanol. Ethanol is the alcohol in beer, wine, and liquor, and can be made by the fermentation of sugar or starch. Denatured alcohol, for industrial use, is ethanol with toxic additives. Ethanol is used as a solvent in the manufacture of varnishes and perfumes; as a preservative; in medicines; as a disinfectant; and as a fuel. Ethanol is a soporific; if its presence in the blood exceeds about 5%, death usually occurs. Behavioral changes, impairment of vision, or unconsciousness occur at lower concentrations. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) ETHER Ethere or aether, in physics, a hypothetical medium for transmitting Electromagnetic radiation, filling all unoccupied space. The theory of Relativity eliminated the need for such a medium, and the term is used only in a historical context. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) ETHER Diethyl ether, ethyl ether. A highly flammable solvent which can form explosive peroxides when exposed to air. Flash point of -49F. Explosive range of 1.85% to 48%. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ETHYLBENZENE A component of gasoline, but also a major breakdown product or pyrolsis product given off when certain polymers are heated. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ÉTINCELLE Depuis les temps les plus anciens, les étincelles sont produites par la friction. C'est le principe du briquet à silex, qui était probablement la technique la plus connue avant le XIXe siècle. Les étincelles résultant du frottement de l'acier sur la pierre servaient à allumer une substance inflammable sèche, que l'on appelle amadou. L'amadou était composé de quelques morceaux de tissu ou de fils desséchés, de bois entamé par la pourriture, ou de copeaux de bois. L'amadou, comme la pierre et l'acier, était habituellement conservé pour utilisation immédiate dans un "briquet à amadou". Lorsqu'on parle de pierre aux fins de produire des étincelles, il s'agit d'un terme générique. De fait, toute substance minérale dure pouvait être utilisée, mais les pierres de la famille du quartz étaient utilisées de préférence. Le briquet à friction apparut en 1900. Cet appareil était constitué d'un briquet à silex qui allumait une mèche de coton saturée d'essence minérale fossile. La "pierre" était constituée d'un alliage de fer doux et de cérium. Des étincelles se produisaient lorsque ce métal venait en contact avec une surface métallique rude, par exemple une lime ou une râpe, ce qui créait la friction nécessaire. Les briquets modernes d'aujourd'hui fonctionnent selon ce principe et les pierres sont encore composées d'un alliage fercérium. [Appareils d'éclairage, 1984] ÉTUDE DE L'EXISTANT Première étape de toute recherche consistant à faire un bilan sur les travaux déjà réalisés dans le domaine, les points étudiés et les questions et problèmes non encore élucidés. Une autre acception est un type de recherche consistant à partir des réalisations faites pour en analyser les fondements, les usages et les implications et en faire un bilan critique. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) EUTETIC The lowest melting point of an alloy or solution of two or more substances (usually metals) that is obtainable by varying the percentage of the components. Eutetic melting sometimes occurs when molten aluminium or molten zinc comes in contact with solid steel or copper. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) EVACUATION The removal of potentially endangered, but not yet exposed, persons from an area threatened by a hazardous materials incident. (FIRESCOPE ICS-HM) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 EVAPORATION Conversion of a liquid to the vapour state. See also vaporisation. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) EVAPORATION RATE A measure of the quantity of a liquid converted to vapour in a unit of time. Among single component liquids, the rate varies directly with the surface area, the temperature and the vapour pressure, and inversely with the latent heat of vaporisation of the liquid. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) EVENT (en anglais, unité d'événement) One actor + one action; the basic investigative and analytical building block (event unit / item). (See also MES concepts and logic tools) Evolution - a series of supervised activities undertaken by fire suppression staff leading to the completion of a fire or training ground function. (OFM © 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) EXAMEN DES LIEUX (1) (voir Exigence scientifique) Documentation. L'examen détaillé des lieux d'un incendie consiste évidemment à bien documenter l'état du site. En effet, l'investigateur de la scène doit illustrer son travail à l'aide de relevés photographiques, l'établissement de croquis ou de plans, la prise de notes et les prélèvements d'indices. (L'enquête d'incendie, Carrefour Incendie, http://pages.infinit.net/incendie/index.html, nov. 1998) EXFILTRATION Air flow outward through a wall, leak, membrane, etc. [ASHRAE Guide and Data Book 1963] EXHAUST (voir Ventilation) Rapid generation of steam within a confined space causes the original atmosphere (heated smoke and air) to be displaced by an atmosphere of steam. ... The major movement of this displacement is always upward and outward. ... If the volume of steam generated within the space exceeds the net atmospheric volume of the space, the EXCESSIVE steam will be forced out by way of the same channels and OPENINGS through which the original atmosphere was exhausted. [Layman 1955] EXIGENCE SCIENTIFIQUE (1) (voir Examen des lieux) " Si l'hypothèse émise au sujet de l'allumage d'un incendie ou du déclenchement d'une explosion ne repose pas sur une donnée physique et/ou scientifique, elle n'est qu'une spéculation gratuite, sans aucun lien avec la réalité." (1) "Incendie et explosion d'atmosphère" Jean-Claude Martin, chimiste, Institut de police scientifique et de criminologie, Université de Lausanne, Suisse. (L'enquête d'incendie, Carrefour Incendie, http://pages.infinit.net/incendie/index.html, nov. 1998) EXIT means that part of a means of egress, including doorways, that leads from the floor area it serves to a separate building, an open public thoroughfare or an exterior open space protected from fire exposure from the building and having access to an open public thoroughfare. (Ontario Fire Code 1996) EXOÉNERGÉTIQUE (Transformation) Qui correspond à une diminution d'énergie libre (à volume constant) ou d'enthalpie libre (à pression constante). [DP 1991] EXOTHERMAL A process characterized by the evolution of heat. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) EXOTHERMIC A process or chemical reaction which is accompanied by the evolution of heat. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 EXOTHERMIC REACTION A chemical reaction which evolves heat. Combustion reactions are exothermic. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) EXOTHERMIQUE (Transformation) Qui dégage de la chaleur. [DP 1991] EXOTHERMIQUE (réaction) Ainsi, nous savons que lorsqu'on fait brûler dans l'air un combustible, les produits sont très chauds; cette combustion est donc une réaction fortement exothermique. [Pauling 1958] EXPÉRIENCE nf Situation provoquée méthodiquement en vue d'une connaissance à obtenir, en particulier dans le but de contrôler une hypothèse. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) EXPÉRIMENTATION " SUR LE TERRAIN " Essai dans le cadre naturel du phénomène étudié sur un secteur réduit, en changeant un élément de la situation et en observant la résultante. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) EXPERT WITNESS A person who possesses special knowledge in a particular field by virtue of specialized skill, expertise, training, and/or education, and who is adjudged qualified to render expert opinions in that field in court proceedings. [Fire Cause Determination, IFSTA 1986] EXPLODE To be changed in chemical or physical state usually from a solid or liquid to a gas (as by chemical decomposition or sudden vaporization) so as to suddenly transform considerable energy into the kinetic form. To be changed in chemical or physical state, usually from a solid or liquid gas (as by chemical decomposition or sudden vaporization) so as to suddenly transform considerable energy into the kinetic form Explosion. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) EXPLOSION / EXPLOSIVITÉ Ces données décrivent les propriétés qui font qu'une substance est explosive. Les détails quantitatifs touchant l'explosivité sont rarement disponibles et ils se limitent ordinairement à des termes descriptifs (basse, modérée, élevée). Les termes suivants peuvent servir à décrire les dangers que présente une matière explosive: - Sensibilité au choc mécanique. On indique ici la possibilité que la substance brûle ou explose au choc (comme lorsqu'on laisse tomber un contenant) ou à la friction (comme lorsqu'on nettoie un déversement). - Sensibilité à la décharge statique. On indique ici le degré de probabilité qu'une étincelle électrique mette le feu à la substance. On peut obtenir des renseignements détaillés concernant les explosifs qui se vendent sur le marché. Au Canada, l'usage, l'entreposage, le transport et la manutention des explosifs qui servent dans l'industrie sont rigoureusement réglementés en vertu des lois sur les matières explosives et le transport des marchandises dangereuses. Ils échappent au Règlement sur les produits contrôlés. (Canutec) EXPLOSION (Hydro Cut) A chemical reaction or change of state with the generation and extremely rapid expansion of gases, usually associated with the liberation of heat. An explosion produces a shock wave in the surrounding medium. A rapid chemical reaction with the generation of high temperature and usually a large quantity of gas. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) EXPLOSION (ISO) Réaction brusque d'oxydation ou de décomposition entraînant une élévation de température, de pression ou les deux simultanément. Terme et définition normalisés par l'ISO. (Source : Termium 1994) EXPLOSION (IAAI) The sudden conversion of chemical energy into kinetic energy with the release of heat, light and mechanical shock. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) EXPLOSION (Kennedy 1990) There are two general categories of definitions which are in common usage. Both involve the extremely rapid and violent expansion of gases. The first definition, commonly used by the explosives industry and researchers in the theoretical sciences, does not take into account the effects of the explosion. In this definition it is not a consideration whether there is shange caused by this violent pressure wave or not. However, in the real world of fire investigation, the damage itself is the factor which necessitates the investigation. This damage may be to persons, property, or both. So a second, more practical definition of an explosion is required. Under the fire and explosion investigation definition, an explosion is a physical reaction characterized by the presence of four major elements: high pressure gas, confinement or restriction of the pressure, rapid release of that pressure, and change or damage to the confining or restricting structure, container or vessel, caused by the pressure release. Confinement or restriction of the pressure is necessary for there to be a discernable result of the explosion. [...] A phenomenon which lacks any one of these four major elements is not, by definition, an explosion. (Kennedy, Patrick M. &John, Explosion Investigation and Analysis, Investigations Institute, Chicago, 1990, p.15-16) EXPLOSION-PROOF EQUIPMENT (antidéflagrant) Instruments whose enclosure is designed and constructed to prevent the ignition of an explosive atmosphere. Certification for explosion proof performance is subject to compliance with ASTM standards. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 EXPLOSIVE Substance which, when subjected to heat, impact, friction or other suitable initial impulse, undergoes an explosion that is a very rapid chemical transformation, forming other more stable products entirely or largely gaseous, whose combined volume is much greater than that of the original substance. Explosives are classified as high-explosive or low-explosive, according to the rate of transformation. Any chemical compound, mixture, or device, the primary or common purpose of which is to function by explosion. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) EXPLOSIVE Any chemical compound, mixture, or device, of which the primary or common purpose is to function by explosion, i.e., with substantial instantaneous release of gas and heat. (49 CFR 173.50) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 EXPLOSIVE CLASS A Any of nine types of explosives as defined in 49 CFR 173.53. A material which, when it detonates, creates a shock wave which travels faster than the speed of sound. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 EXPLOSIVE CLASS B Those explosives which generally function by rapid combustion rather than by detonation and include some explosive devices such as special fireworks, flash powders, some pyrotechnic signal devices, and liquid or solid propellant explosives including some smokeless powders. (49 CFR 173.88) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 EXPLOSIVE CLASS C Certain types of manufactured articles which contain Class A, or Class B explosives, or both, as components but in restricted quantities, and certain types of fireworks. This includes small arms ammunition. (49 CFR 173.100) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 EXPLOSIVE LIMIT (IAAI) Flammability limit. The highest or lowest concentration of a flammable gas or vapour in air that will explode or burn readily when ignited. The limit is usually expressed as a volume percent of gas or vapour in air. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) EXPLOSIVE RANGE Flammability range. The set of all concentrations between the upper and lower explosive limits of a particular gas or vapour. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) EXPLOSIVE ORDNANCE DISPOSAL (EOD) Military or civilian bomb squads. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 EXPOSURE The subjection of a person to a toxic substance or harmful physical agent through any route of entry. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 Exposures Exposures are buildings or structures that are near the structure on fire and that are placed at risk by the fire. A primary focus of the responding fire department will be to protect the exposures, thus reducing the risk of the fire spreading and causing additional damage to life & property. [email protected] EXTINCTEUR PORTATIF Dispositif portatif contenant de la poudre, du liquide ou des gaz qui peuvent être déchargés sous pression dans le but d'étouffer ou d'éteindre un incendie. [NFPA 10 - 1984] EXTINCTEURS PORTATIFS Les extincteurs portatifs servent comme moyen de première intervention contre les petits feux. Ils sont indispensables même si les locaux sont munis d'extincteurs automatiques à eau [arroseurs], de robinets d'incendie armés [cabinets d'incendie] ou d'autres systèmes fixes de protection contre l'incendie. [NFPA 10 - 1984] EXTINCTION DU FEU (au moyen d'extincteurs portatifs) Plusieurs incendies ont peu d'ampleur initialement et peuvent être éteints à l'aide d'extincteurs d'incendie portatifs adéquats. Il est fortement recommandé d'alerter le service d'incendie aussitôt qu'un incendie est découvert. Cette alarme ne doit pas être retardée en fonction des résultats de l'usage des extincteurs d'incendie portatifs. Les extincteurs d'incendie portatifs peuvent constituer une partie importante de tout programme de protection contre l'incendie. Cependant, l'efficacité de leur fonctionnement dépend des conditions suivantes : .1 l'extincteur est à l'endroit désigné et en bon état de fonctionnement .2 l'extincteur est conçu pour combattre la classe de feux qui pourrait survenir .3 pour que l'usage de l'extincteur soit efficace, il faut que l'incendie soit détecté à ses débuts .4 l'incendie est découvert par une personne qui peut, veut et est capable d'utiliser l'extincteur. Lorsque les employés [les individus] n'ont reçu aucune formation, il se peut que l'utilisation des extincteurs soit fait avec un retard considérable, que l'agent d'extinction soit gaspillé, que des extincteurs additionnels deviennent nécessaires ou que le feu ne puisse être éteint. [NFPA 10 1984] EXTINGUISHMENT (Friedman 1989) Combustion requires a high temperature, and the reactions must proceed fast enough at this high temperature to generate heat as fast as it is dissipated, so that the reaction zone will not cool down. In some cases, only a modest additional loss of heat is needed to tip the balance toward extinguishment. Extinguishment can be accomplished either by cooling the gaseous combustion zone or the solid or liquid combustible. In the latter case, the cooling prevents the production of combustible vapors. (This is probably the primary mode of action when a wood fire is extinguished by applying water.) [Friedman 1989] EXTRACTION (en chimie) A chemical procedure for removing one type of material from another. Extraction is generally carried out by immersing a solid in a liquid, or by shaking two immiscible liquids together, resulting in the transfer of a dissolved substance from one liquid to another. Solvent extraction is one of the primary methods of sample preparation in arson debris analysis. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) EXTREMELY HAZARDOUS SUBSTANCES (EHS) Environmental Protection Agency (EPA) uses this term for chemicals which must be reported to the local administering agency. The list of these substances and the threshold reporting quantity is identified in 40 CFR 355. Releases of extremely hazardous substances as defined by EPA must be reported to the National Response Center. In California, the term Acutely Hazardous Material (AHM) is used. They are identical to the EHS in Title 40. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 EXTREMELY HAZARDOUS WASTE Any hazardous waste or mixture of hazardous wastes which, if human exposure should occur, may likely result in death, disabling injury or serious illness caused by the hazardous waste or mixture of hazardous wastes because of its quantity, concentration or chemical characteristics. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 -FFABRICATION fabrication : Processus de transformation de matières premières en séries d'objets industriels, au moyen de procédés mécaniques. - automatiser la fabrication, exécuter la fabrication sur une cellule, lancer (en) fabrication. - fabrication discrète, robotisée, unitaire. - fabrication hors-chaîne, sur chaîne, à très long cycle, par lots, fabrication (en, de) (grande, moyenne, petite) série. automatisation de la fabrication, contraintes, coût, cycle, délai, document, îlot de fabrication, lancement de fabrication, mise en fabrication, nomenclature de fabrication, optimisation de la fabrication, ordonnancement (fixe) des fabrications, reproductibilité dans la fabrication, schéma d'articulation des fabrications. (Source : Termium 1994) FABRICATION DE CLASSE MONDIALE / world class manufacturing Être de façon soutenue, meilleur que les autres entreprises de son secteur industriel sur au moins un critère de performance qui détermine un avantage concurrentiel. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) FAÇADE EXPOSÉE face extérieure d'un bâtiment comprise entre le niveau du sol et le plafond du dernier étage et orientée dans une direction donnée [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] FAHRENHEIT (DEGREE F) The scale of temperature in which 212o is the boiling point of water at 760 mm Hg and 32o is the freezing point. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 FAILURE (voir défaillance) Distortion, breakage, deterioration, or other fault in a structure, component, or system resulting in unsatisfactory performance of the function for which it was designed. [NFPA 921 - 1992] FAILURE ANALYSIS(voir analyse de défaillance) A logical, systematic examination of an item, component, or assembly, and its place and function in a system, to identify and analyse the probability, causes, and consequences of potential and real failures. [NFPA 921 - 1992] FAMILLE CHIMIQUE Par famille chimique, on entend une description générale de la nature du produit chimique. Il arrive souvent que des substances qui appartiennent à la même famille chimique aient des propriétés physiques et chimiques ainsi que des effets toxiques semblables. Cependant, il peut aussi y avoir des différences importantes. Par exemple, le toluène et le benzène appartiennent tous deux à la famille des hydrocarbures aromatiques, mais le benzène est cancérogène alors que le toluène ne l'est pas. (Canutec) FARM BUILDING means a building or part thereof associated with and located on land devoted to the practice of farming, and used primarily for the housing of equipment or livestock or the production, storage or processing of agricultural and horticultural produce or feeds, but is not used for residential occupancy. (Ontario Fire Code 1996) FAST (Firefighter Assist and Safety Team) Truck A FAST truck is a company of firefighters (usually from a truck or rescue company) whose sole function at a fire is to stand by in case a firefighter becomes injured or trapped and needs assistance. The company assigned to the FAST truck is usually a highly trained group and reports only to the incident commander. In some departments, this group is call a RIT (Rapid Intervention Team)[email protected] Fast Attack Fast attack is when the first arriving engine company attacks the fire using water carried in the booster tank, relying on the second company to secure a water [email protected] FAULT CURRENT(voir aussi Tracking) Electrical Engineering - Électrotechnique EN - FR fault current*a courant de défaut*a / courant de fuite à la terre*a a*CGE-6*1980*** DATE:1981 3 20 (Source : Termium 1994) FDA Food and Drug Administration, États-Unis (Canutec) FEASIBILITY STUDY A much misused and over-used term to denote the determination of the practicability, advisability or adaptability of an item or technique for an intended purpose. (Hydro Cut General Terminology& Resource Information) Feeder A line used for water supply. Usually 4" or 5" LDH. [email protected] Fen An alkaline wetland community usually supplied with water from calcareous (calcium-rich) gravel deposits from glacial periods or from artesian springs. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) FERMETURE dispositif servant à obturer une ouverture et ses accessoires [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] FEU Combustion caractérisée par une émission de chaleur accompagnée de fumée ou de flammes, ou des deux. (feu : Terme et définition normalisés par l'ISO) La combustion vive de matières combustibles existant dans la mine (bois, produits pétroliers, caoutchoucs, etc.) (...). Dans les houillères, l'incendie peut être provoqué par un feu d'inflammation spontanée du charbon. Dans les houillères, le charbon lui-même peut brûler; on parle alors d'un feu (...) feu de cimes : Feu (ou incendie) qui se propage au sommet de la végétation ligneuse, de la cime d'un arbre ou d'un arbrisseau aux cimes voisines. Les feux de cimes sont localisés dans le faîte des arbres où ils brûlent les feuilles, les aiguilles et certaines branches. Ils se développent d'une cime à l'autre ou encore, à partir de la surface du parterre forestier si l'agencement des combustibles le permet. feu de broussailles : Frapper sur les objets en feu pour supprimer l'air brusquement. (...) C'est le procédé antique mais efficace utilisé habituellement pour l'extinction des -- ou d'herbes. feu couvant (ISO) : Combustion d'un matériau sans émission visible de lumière et généralement révélée par de la fumée et par une élévation de la température. (feu couvant : Terme et définition normalisés par l'ISO) feu en cône / feu conique / feu en wigwam : Feu en cône. Cette méthode est excellente pour obtenir rapidement des braises ou pour faire un petit feu de camp. Un feu en cône a l'inconvénient de faire les étincelles. Il demande donc de l'attention dans sa conduite et une surveillance constante. Pour le construire, il suffit de disposer en cône serré, autour d'un petit cône initial de brindilles et d'allume feu, des rondins de diamètre et de longueur progressivement croissants. Ménagez du côté au vent un petit couloir pour pouvoir introduire l'amadou enflammé. Feu en wigmam: C'est la structure classique des feux de camp. On place d'abord le matériau inflammable en maintenant un certain espace entre les brindilles, les aiguilles ou quel que soit le matériau de base. On place ensuite des bâtons légèrement plus gros autour du centre, sans les attacher, en réservant un espace du côté du vent pour permettre à l'air--le vent ou votre souffle-d'entrer. (...) Quant il a brûlé, le "wigwam" de base laisse un bon lit de braises pour le bois restant, qui peut être mis à plat. feu de métaux combustibles : Feux spéciaux intéressant certains métaux: magnésium, potassium, aluminium en poudre, zinc, sodium, titanium, zirconium, etc. Classe D : Ce sont les feux de métaux. (Source : Termium 1994) FEU (Le) Depuis la nuit des temps, le feu a toujours fasciné l'homme. Demandez aux gens qui vous entourent ce que le feu représente pour eux? Les réponses varient d'un individu à l'autre, selon son éducation, son vécu, et son expérience de la vie. Lorsqu'il est contrôlé, il offre à l'homme une source de chaleur indispensable ainsi que diverses valeurs que nous voulons bien lui attribuer. Pour certains, il représente le romantisme, la purification ou même la lumière divine. Pour d'autres, il leur fournit une source énergétique primordiale à l'économie. Lorsqu'il devient horscontrôle, il peut anéantir tout un quartier d'habitations, apportant avec lui des biens qui , parfois, sont irremplaçables. Parfois, il aura occasionné la perte d'innocentes victimes ainsi que de terribles blessures qui laisseront des cicatrices à tout jamais. Cette forme incontrôlée, sous l'aspect d'un incendie ou d'une explosion, est celle qui nous intéresse. (L'enquête d'incendie, Carrefour Incendie, http://pages.infinit.net/incendie/index.html, nov. 1998) FEU (La nature chimique et physique du) (Mehaffey, 1987) Un chimiste considère un feu comme une série complexe de réactions chimiques impliquant l'oxydation du combustible, qui contient habituellement du carbone. Physiquement, un feu est évidemment [ ! ] caractérisé par une flamme visible, la chaleur et la fumée. Le triangle du feu illustre les trois composantes nécessaires à la présence d'un incendie: l'élément combustible, l'oxygène et la chaleur. Le triangle du feu peut être considéré comme le modèle descriptif du feu du physicien. Son utilité devient évidente [ ! ] au niveau de l'extinction. L'extinction peut être réalisée en isolant l'une des trois composantes des deux autres. On peut éteindre un feu en éliminant la chaleur (avec un jet d'eau par exemple), en éliminant l'élément combustible (en coupant l'alimentation en gaz d'un brûleur Bunsen, par exemple), ou en coupant l'oxygène (en étouffant l'incendie à l'aide d'une couverture). La représentation physique du feu est utile, mais on ne peut ignorer les réactions chimiques nécessaires à son développement. Les composantes de base du feu devraient également inclure les réactions en chaîne non refrénées à l'intérieur de la flamme et à la surface de l'élément combustible. Cela ouvre la voie à la possibilité d'une quatrième technique d'extinction: l'inhibition de la réaction en chaîne (suppression de la flamme) avec des produits chimiques ignifuges. Les halogènes comme le brome et le chlore (qu'on retrouve dans les halons) sont des exemples d'éléments chimiques qui agissent de cette façon. Évidemment, un incendie ne se limite pas à la présence ou à l'absence de ces trois ou quatre composantes. Le feu est un phénomène complexe dans lequel s'entremêlent la cinétique des réactions chimiques, la mécanique des fluides, le transfert de chaleur et la thermodynamique. (CNRC, Combustibilité des matériaux de construction, J.R. Mehaffey, Ph.D., 1987) FEU COUVANT (type de combustion) La combustion à flamme vive se différencie facilement d'un autre type de combustion appelé feu couvant. Essentiellement, le feu couvant se caractérise par de faibles températures et une vitesse de combustion très lente. Il se produit lorsque des gaz volatils s'échappant de la surface de l'élément combustible ne sont pas suffisamment chauds ou en quantité suffisante pour s'enflammer, mais la chaleur dégagée est suffisante pour que la pyrolyse de l'élément combustible se poursuive. L'absence de forces d'entraînement signifie qu'une faible quantité d'air est aspirée au-dessus de la surface de l'élément combustible, limitant ainsi la vitesse de combustion. Des produits comme l'isolant cellulosique en vrac, le panneau de fibres et, évidemment, les cigarettes brûlent lentement sans flamme durant une période de temps considérable avec une source d'inflammation faible. (CNRC, Combustibilité des matériaux de construction, J.R. Mehaffey, Ph.D., 1987) FEU D'HYDROCARBURE EN NAPPE (pool fire) Le système utilisé pour coter les extincteurs [portatifs] sur les feux de Classe B (feux d'hydrocarbure en nappe importante) ne peut être utilisé pour cette sorte de risques. Il a été établi qu'une conception spéciale de la lance d'incendie et du débit d'application de l'agent sont nécessaires pour faire face à de tels risques [incendies de liquides inflammables et de gaz sous pression]. Avis : Il est contre-indiqué d'essayer d'éteindre ce genre d'incendie, à moins d'être raisonnablement sûr que la source de combustible peut être rapidement coupée. [NFPA 10 1984] FEU PRÉHISTORIQUEJacques Collina-Girard (1998).-"Le feu avant les allumettes", Expérimentations et mythes techniques. Éditions de la Maison des Sciences de l'Homme, Paris, 150 pages.Dans cet ouvrage l'auteur se penche sur une innovation technique qui a contribué à nous démarquer du monde animal : l'art de faire jaillir le feu. L'expérimentation directe des procédés "d'avant les allumettes" fait toucher du doigt l'astuce et l'esprit, déjà "scientifique", de nos lointains ancêtres qui ont su inventer et maîtriser des procédés qui forcent encore notre admiration d'Homo sapiens contemporain. Le voyage à travers ces techniques oubliées bouscule des idées généralement très ancrées : percuter deux silex n'a jamais allumé un feu et il ne faut pas forcément frotter un bois dur sur un bois tendre pour obtenir une étincelle. L'auteur reconsidère, à la lumière d'une étude expérimentale systématique, le comportement technique de nos ancêtres. Ceux-ci, géologues-prospecteurs avant l'heure, connaissaient parfaitement, depuis dix huit mille ans au moins, les propriétés incendiaires de la marcassite.Depuis dix mille ans, ils appliquaient empiriquement les principes de la physique en transformant; volontairement, l'énergie mécanique en chaleur. L'étude des erreurs d'interprétation de nos contemporains montre, de façon inattendue, la persistance chez nos préhistoriens, ethnologues et autres chercheurs du passé, de structures mentales qui rappellent curieusement celles de la "pensée sauvage" décrite par Claude Lévi-Strauss : la préhistoire serait-elle beaucoup plus près de nous que nous l'imaginons ? Faut-il chercher le préhistorique chez le préhistorien et le "sauvage" chez l'ethnologue c'est en tout cas la conclusion finale de ce petit livre ! FIABILITÉ / reliability Aptitude d'un dispositif à accomplir une fonction requise dans des conditions données pendant une durée donnée. NF X 50 - 120 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) FIBRE OPTIQUE (télécommunications) [optic fiber] Fibre de verre constituée de 2 couches concentriques d'indices différents et de diamètre de 5-10 microns et 100-150 microns respectivement, capables de véhiculer des ondes modulées avec de faibles pertes. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) FILTER CANISTER A container filled with sorbents and catalysts which removes gases and vapors from air drawn through the unit. The canister may also contain an aerosol (particulate) filter to remove solid or liquid particles. (Air purifying canister type breathing apparatus are not approved for use during emergencies by the fire service in California.) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 FIRE (IAAI) The light and heat manifested by the rapid oxidation of combustible materials. A flame may be manifested but is not required. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) Fire A self-sustaining chemical reaction that can release energy in the form of light and heat. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) FIRE ANALYSIS (analyse d'incendie) The process of determining the origin, cause, and responsibility as well as the failure analysis of a fire or explosion. [NFPA 921 - 1992] FIRE ATTACK The standard 250 gpm hose stream normally is applied with a hand line of 2,5 inch fire hose. Normally, three men should be provided to run the hose to the desired point of operation and direct this stream. [Kimball 1969] Fire attack team - one or more companies responding to a fire. (OFM © 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) Fire Behavior The manner in which a fire reacts to fuel, weather and topography; common terms used to describe fire behavior include smoldering, creeping, running, spotting, torching and crowning. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) FIREBRAND A flaming or smoldering airborne object emerging %ire, which can sometimes ignite remote combustibles. [Friedman 1989] Firebreaks Natural or human-made lines or areas where fuels are limited or nonexistent. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) FIRE CAUSE (NFPA 921) The circumstances or agencies that bring a fuel and an ignition source together with proper air or oxygen. [NFPA 921 - 1992] FIRE CAUSE (IFSTA, 1986) Agency or circumstance that started a fire or set the stage for one to start; source of a fire's ignition. [Fire Cause Determination, IFSTA 1986] FIRE CAUSE DETERMINATION, IFSTA 1986 This manual is not intended to address the many complex areas of criminal investigation that are found in other fire investigation books, but to give fire fighting personnel the basic information they need for reports, to help them recognize when the services of an investigator are needed, and to help them to assist the investigator. ...ONLY RARELY WILL THE INVESTIGATOR ALSO BE UNABLE TO FIND THE CAUSE. EVEN COLLAPSED AND "TOTALLY DESTROYED" BUILDINGS HAVE SECRETS TO YIELD. Fire Community A plant or animal community that is adapted to live in a habitat that is frequented by fires. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) FIRE COMPARTMENT means an enclosed space in a building that is separated from all other parts of the building by enclosing construction that provides a fire separation having a required fire-resistance rating. (Ontario Fire Code 1996) FIRE DAMPER means a closure that consists of a damper installed in an air distribution system or in a wall or floor assembly that is normally held in the open position and that is designed to close automatically in the event of a fire in order to maintain the integrity of the fire separation. (Ontario Fire Code 1996) FIRE DEFENSE MANAGEMENT(voir aussi Uniform Coding) In 1938, a fire reporting system prepared by NFPA was published by the International City Manager's Association. This system served as a start toward the uniform reporting of fire incident information. From 1963 to 1969, the Committee strived to develop a uniform language for fire defense management... [NFPA 901-1981] Fire demand - a defined level of fire risk. (OFM © 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) FIRE DEPARTMENT means a group of firefighters authorized to provide fire protection services by a municipality, group of municipalities or by an agreement made under section 3 of the Fire Protection and Prevention Act. (Ontario Fire Code 1996) Fire department - a fire department organized under the Municipal Act and equipped with one or more motorized fire pumpers. (OFM © 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) Fire Dependence Plants or plant communities that rely on fire as one mechanism to create the optimal situation for their survival. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) FIRE DETECTOR means a device which detects a fire condition and automatically initiates an electrical signal to actuate an alert signal or alarm signal and includes heat detectors and smoke detectors. (Ontario Fire Code 1996) FIRE EXTINGUISHMENT The cessation of combustion. [Friedman 1989] FIRE FIGHTING (combat d'incendie) Fire fighting involves the manual control and extinguishment of fires. Les directives pratiques pour déterminer un niveau de service adéquat empruntent des critères qui sont : .1 la dotation du personnel... manning of fire apparatus, .2 the rate at which the fire force may be expected to apply water to fires. THE RATE OF WATER APPLICATION IS TERMED "FIRE FLOW" (débit d'incendie). C'est ainsi que l'on évalue la capacité d'intervention (the resultant "fire attack" capability). (Warren Y. Kimball, Manning for Fire Attack, NFPA, Boston,1969) FIRE FLOW (débit d'incendie) FIRE FLOW AS A MEASURE OF PERFORMANCE. As water is the principal and most universal extinguishing agent employed by fire departments, extinguishing capacity is measured in gallons of water applied per minute. Ordinarily with large flows a substantial part of the water is applied in the form of heavy streams. In addition to pumpers actually employed in applying the fire flow, one or more additional units may be needed ... in the event of mechanical failure of an operating pumper or sudden extension of the fire. Merely having the fire flow available and the necessary pumping capacity ... does not assure effective fire protection. Knowledge and equipment is also needed to effectively apply the water. Rate of water application per man employed may average approximately 80 gpm. Traditional underwriters' recommendations for fire department pumping capacity are extremely conservative. They ask only for available pumping capacity to equal twothirds of the fire flow required in the area. Under fire fighting conditions pumpers on the average deliver not much over half to two-thirds of their rated capacities when employed at fires requiring a high fire flow. Fire deparetments desiring to be able to deliver maximum fire flow per man and per unit employed on the fireground will need to give attention to thorough training in the movement and application of water using pumps, hose and nozzles in an efficent manner. Fire flows by pumpers at significant working fires seldom exceeds an average of between 500 and 600 gpm per pumper employed. For effective fire department operations a number of other tasks must be performed simultaneously with the work of allying the desired fire flow; the effectiveness of the application of hose streams MAY DEPEND in large measure upon their successful completion. [Kimball 1969] FIREGROUND (théâtre des opérations) As long as all of the basic requirements of the fireground are met, it is presumptuous to say that one solution is preferable to the other without knowing the requirements of the area served and the reasons for the particular type of response. In most communities, large fires and emergencies tend to be extremely infrequent. Effective fireground operations involve two fundamentals : .1 carefully engineered equipment components, .2 personnel to deliver specified fire attack capabilities which individual items of equipment are designed to provide. The fire fighting capability depends upon a complete systems approach and not the mere massing of random forces when an emergency occurs (fire companies competing for water). SOLUTIONS WHICH ARE DIFFICULT OR NEEDLESSLY COMPLICATED SHOULD NOT BE SELECTED FOR STANDARD PROCEDURES. [Kimball 1969] Fire ground - the location where fire suppression and rescue are conducted. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) Fire History The chronological record of the occurrence of fire in an ecosystem. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) FIRE INSPECTOR Fire prevention specialist and/or fire or arson investigator. [Fire Cause Determination, IFSTA 1986] FIRE INVESTIGATION The process of determining the origin, cause, and development of a fire or explosion. [NFPA 921 1992] FIRE INVESTIGATION(séquences d'une investigation) The thourough investigation of fires is an integral part of the fire department's commitment to public safety. Fire investigation includes two areas: fire cause determination, and investigation of criminal actions which may have contributed to a fire. [NFPA Handbook 1991] FIRE INVESTIGATION(training - formation) All investigators should be trained in the basics of fire scene investigation, which include adequate documentation of the scene, origin determination, and cause determination. Specific emphasis should be placed on techniques for debris removal and scene reconstruction. Although much of this knowledge can be gained by studying text materials, there is no substitute for field experience. [NFPA Handbook 1991] Fire Line A strip of land cleared of vegetation to stop the spread of a fire. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) FIRE POINT The temperature, generally a few degrees above the flash point, at which burning is selfsustaining after removal of an ignition source. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) Fire Prescription A document written by natural resource managers to indicate when or if a fire will be ignited by trained professionals. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) FIRE PREVENTION(methods - moyens) Fire prevention includes all fire service activity that decreases the incidence of uncontroled fire. Usually, fire prevention methods used by the fire service focus on inspection, which includes engineering and code enforcement, public firesafety, education, and fire investigation. [NFPA Handbook 1991] FIRE-PROTECTION RATING means the time in hours or fraction thereof that a closure, window assembly or glass block assembly will withstand the passage of flame when exposed to fire under specified conditions of test and performance criteria, or as otherwise prescribed in the Building Code. (Ontario Fire Code 1996) Fire protection services - a range of programs and services designed to protect the inhabitants of the fire department response area from the adverse effects of fire, sudden medical emergencies or exposure to dangerous conditions created by man or nature and includes prevention, rescue and suppression services. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) Fire Regime The role fire plays in an ecosystem; a function of the frequency of fire occurrence, fire intensity and the amount of fuel consumed. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) FIRE RESISTANCE means the property of a material or assembly in a building to withstand fire or give protection from it and is characterized by the ability of the material or assembly to confine a fire or to continue to perform a given structural function or both. (Ontario Fire Code 1996) FIRE-RESISTANCE RATING means the time in hours or fraction thereof that a material or assembly of materials will withstand the passage of flame and the transmission of heat when exposed to fire under specified conditions of test and performance criteria, or as determined by extension or interpretation of information derived therefrom as prescribed in the Building Code. (Ontario Fire Code 1996) Fire risk - the features of a property including the occupancy which determines the potential fire severity and accompanying work load to accomplish rescue, control, extinguishment and salvage. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) Fire Scars Scar tissue that develops if a tree or shrub is burned by a fire but is not killed. The fire leaves a record of that particular burn on the plant. Scientists can examine fire scars and determine when and how many fires occurred during the plant's lifetime. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) FIRE SCENE RECONSTRUCTION The process of recreating the physical scene during fire scene analysis through the removal of debris and the replacement of contents or structural elements in the pre-fire positions. [NFPA 921 - 1992] FIRE SEPARATION means a construction assembly that acts as a barrier against the spread of fire and may or may not have a fire-resistance rating or a fire-protection rating. (Ontario Fire Code 1996) FIRE SPREAD The movement of fire from one place to another. [NFPA 921 - 1992] FIRE STOP means a draft-tight barrier within or between construction assemblies that acts to retard the passage of smoke and flame. (Ontario Fire Code 1996) FIRE-STOP FLAP means a device intended for use in horizontal assemblies that are required to have a fire-resistance rating and incorporate protective ceiling membranes and that operates to close off a duct opening through the membrane in the event of a fire. (Ontario Fire Code 1996) Fire Storm Large fires that consume so much oxygen that strong erratic winds are created. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) FIRE SUPPRESSION Either extinguishment of a fire as a result of fire fighting activity, or reduction of the combustion rate to a small enough value so that the fire is under control. (A large fire, after being suppressed, could continue to smolder for days.) [Friedman 1989] FIRE TETRAHEDRON Fuel, heat, oxygen and a chemical chain reaction. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) FIRE TRIANGLE Fuel, heat and oxygen. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) Fire Triangle. An image of the three components that are necessary for a fire to take place and for the fire to keep burning; the ingredients are heat, fuel and oxygen. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) FIREWALL means a fire separation of noncombustible construction that subdivides a building or separates adjoining buildings to resist the spread of fire that has a fire-resistance rating as prescribed in the Building Code and that has structural stability to remain intact under fire conditions for the required fire-rated time. (Ontario Fire Code 1996) Fire Years Years when severe drought, combined with other factors such as high winds, contribute to a large number of wildfires. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) FIRST ALARM RESPONSE First alarm response must be sufficient to meet the basic tactical requirements which may be anticipated in the district in which the fire occurs. In general, a first alarm response of 12 to 15 officers and men with appropriate apparatus is likely to be desirable to quickly apply initial hose streams along with necessary truck work and command supervision. In all cases, not less than two pieces of suitable motorized fire apparatus should respond. The important thing is the total tactical capability provided. For example in a residential suburb, there may be a fire department entirely adequate to handle fires in residences and associated buildings of moderate hazard. This fire department has ample reserve apparatus for emergency situations and is backed up by good mutual aid arrangements TO DEAL WITH ABNORMAL FIRE PROTECTION REQUIREMENTS. IT HAS LONG BEEN RECOGNIZED THAT NO COMMUNITY CAN AFFORD TO MAINTAIN A FIRE DEPARTMENT POWERFUL ENOUGH TO HANDLE ANY FIRE SITUATION THAT MAY OCCASIONALLY ARISE. [Kimball 1969] FIRST-IN (premier intervenant, premier répondant) Firefighters initially attacking a fire - usually the first to arrive at the fire scene. [Fire Cause Determination, IFSTA 1986] FIRST RESPONDER The first trained person(s) to arrive at the scene of a hazardous materials incident. May be from the public or private sector of emergency services. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 FIRST RESPONDER, AWARENESS LEVEL Individuals who are likely to witness or discover a hazardous substance release who have been trained to initiate an emergency response sequence by notifying the proper authorities of the release. They would take no further action beyond notifying the authorities of the release. (8 CCR 5192(q)(6)) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 FIRST RESPONDER, OPERATIONS LEVEL Individuals who respond to releases or potential releases of hazardous substances as part of the initial response to the site for the purpose of protecting nearby persons, property, or the environment from the effects of the release. They are trained to respond in a defensive fashion without actually trying to stop the release. Their function is to contain the release from a safe distance, keep it from spreading, and prevent exposures. (8 CCR 5192(q)(6)) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 FIRST STOREY means the storey with its floor closest to grade and having its ceiling more than 1.8 m above grade. (Ontario Fire Code 1996) FLAME [NFPA 921 - 1992] The luminous portion of burning gases or vapors. [NFPA 921 - 1992] FLAME (profile - Hydro Cut) A chemical reaction or reaction product, partly or entirely gaseous, that yields heat and light. State of blazing combustion. A flame profile is a temperature profile of any particular flame. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) FLAME (characteristics) (Friedman 1989) Flame height is controlled by the rate of diffusional mixing with oxygen rather than by chemical reaction rates. ...the upward flow is driven entirely by buoyancy. The height of a buoyancydominated turbulent diffusion flame, more odten encountered in a fire, is correlated most successfully in terms of the convective heat release rate of the flame, which is expressed in kilowatts. [Friedman 1989] FLAME(flaming combustion - phase gazeuse) (Friedman 1989) A flame is a gaseous oxidation reaction, which occurs in a region of space much hotter than its surroundings and generally emits light. Familiar examples include the yellow flame of a candle and the blue flame on a gas burner. [Freidman 1989] FLAME (IAAI) A rapid gas phase combustion process characterised by self-propagation. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) FLAME IONISATION DETECTOR (FID) A nearly universal gas chromatographic detector. It responds to almost all organic compounds. An FID does not respond to nitrogen, hydrogen, helium, oxygen, carbon monoxide or water. This detector ionises compounds as they reach the end of the chromatographic column by burning them in an air/hydrogen flame. As the compounds pass through the flame, the conductivity of the flame changes, generating a signal. The is the most commonly used detector in arson debris analysis. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) FLAME PROPAGATION (IAAI) Travel of a flame through a combustible gas/air or vapour/air mixture. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) FLAME-SPREAD RATING means an index or classification indicating the extent of spread of flame on the surface of a material or an assembly of materials as determined in the Building Code. (Ontario Fire Code 1996) Flame-Retardant Materials that can break the fire triangle and prevent a fire from burning. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) FLAME TEMPERATURE [Friedman 1989] Most combustibles, when burned with just the stoichiometric amount of air, under conditions where no heat is lost, will produce flames at temperatures from 2100 to 2300 K, and chemical equilibrium would be achieved in such flames. In fires, however, combustion often occurs wuth a yellow luminous flame because of tiny, hot carbon particles that form and radiate heat energy. As much as 30-40% of the heat of combustion can be lost from such a flame because of this radiation. Consequently, the flame temperature often will be below 2000 K, and the combustion gases will become diluted with air and cooled before equilibrium can be reached. THIS PHENOMENON CAN CAUSE DANGEROUS CONCENTRATIONS OF CARBON MONOXIDE, EVEN IF AN EXCESS OF OXYGEN IS PRESENT AROUND THE FLAME. [Friedman 1989] FLAMES (types of GASEOUS) [Friedman 1989] Flames can be categorizes as premixed flames or diffusion flames (fuel gas mixed with oxygen before or during combustion). In addition, they can be categorized as laminar or turbulent flames, as well as stationary or propagating flames. Any combination is possible... ... 9.5% methane (CH4) by volume and 90.5% air, thouroughly mixed is a stoichiometric mixture, according to the equation : CH4 + 2O2 -> CO2 + 2H2O. If an ignition source, say a spark, is provided in the center, then a spherical flame will form around the spark and spread radially outward at about 3 meters per second (10 feet per second). If less than 5% or more than 15% of methane is present the mixture would be too far from stoichiometric, and no ignition would occur. For combustible mixtures with greater than 9.5% methane ("rich mixtures"), there would be insufficient oxygen to completely oxidize the CH4 to CO2 and H2O, and the products would include some CO, some H2, and, for very "rich" mixtures, somr solid carbon (soot). This type of flame, whether stoichiometric or not, is a premixed flame. The contrasting type of flame is a diffusion flame. Assume that there is a cloud of methane, resulting from a sudden release of gas from a tank, surrounded by air, but mixing has not occured yet except in a thin zone at the interface between methane and air. If an ignition source is provided at this interface, then combustion will spread rapidly over the surface of the cloud. Subsequently, the bulk of the methane within the cloud will burn more slowly, as air and methane interdiffuse. Meanwhile, the hot burning ball of gas will rise. The flame will be yellow. In summary, premixed flames burn more rapidly than diffusion flames, and the chemistry is different (blue flames versus yellow flames). Large flames or flames burning with high velocity flows generally are turbulent. On the other hand, small flames (such as candle flames or the flame cones on a domestic gas burner) generally are laminar, i.e. the streamlines are smooth and the fluctuations are absent or negligibly small. The presence of turbulence in a flame enhances heat transfer and mixing, and can even affect the chemistry. Accordlingly, rates of combustion are considerably higher in turbulent than in laminar flames. As a general rule, a diffusion flame taller than 0.3 meter (1 foot) will be turbulent, while a diffusion flame shorter than 0.1 meter (4 inches) will be laminar, unless a high velocity jet is involved. [Friedman 1989] FLAMMABILITY The ease with which an explosive material may be ignited by flames and heat. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) FLAMMABILITY LIMIT (See Explosive Limit) (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) FLAMMABILITY RANGE (See Explosive Range) (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) FLAMMABLE LIQUID (IAAI) A combustible liquid that has a flash point below 80F according to the Coast Guard, 100F according to the NFPA. Liquids having a vapour pressure over 40 pounds per square inch at 100F are classified as flammable gases. Flammable liquids are a special group of combustible liquids. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) FLAMMABLE LIQUID Any liquid having a flash point below 100oF (37.8oC). (49 CFR 173.115(a)) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 FLAMMABLE LIQUID means a liquid having a flash point below 37.8ºC and having a vapour pressure not more than 275.8 kPa (absolute) at 37.8ºC as determined by ASTM D 323, "Vapor Pressure of Petroleum Products (Reid Method)". (Ontario Fire Code 1996) FLAMMABLE RANGE A mixture of flammable gas, as mixed with air, expressed as a percent. Each gas has a range including a lower limit and upper limit and between these limits the mixture is flammable (explosive). HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 FLAMMABLE SOLID Any solid material, other than one classed as an explosive, which under conditions normally incident to transportation is liable to cause fires through friction, retains heat from manufacturing or processing, or which can be ignited readily and when ignited burns so vigorously and persistently as to create a serious transportation hazard. Included in this class are spontaneously combustible and water-reactive materials. (49 CFR 173.150) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 FLAMMABLE VAPOUR A vapour/air mixture of any concentration within the flammability range of that vapour. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) FLAMME Zone de combustion en phase gazeuse avec émission de lumière. (Terme et définition normalisés par l'ISO). Flamme bleue: Brûleurs à flamme bleue. (...) Il y a un apport d'air avant l'arrivée du gaz aux orifices de combustion. Cet apport d'air est appelé "air primaire" et n'exclut pas "l'air secondaire" pris dans l'atmosphère par le mélange enflammé à la sortie des orifices. La flamme se présente sous la forme d'un cône bleu et d'un panache beaucoup plus clair. La flamme aérée obtenue, courte, de couleur bleue (d'où le nom de brûleur à flamme bleue). Phénomène qui accompagne la combustion (...) plus ou moins intense selon le combustible et le comburant. flamme blanche / flamme éclairante / flamme de diffusion : Dans ces (...) brûleurs à flamme de diffusion, le gaz arrive sans air aux orifices de sortie (...) et emprunte à l'atmosphère, (...) la totalité de l'air nécessaire à la combustion. La flamme est très blanche et brillante (d'où le nom de brûleurs à flamme blanche). Cette brillance est due aux particules de carbone incandescent en suspension; ce sont ces mêmes particules qui se déposent sous forme de suie, en cas de contact de la flamme avec un objet froid. [Brûleurs sans mélange préalable gaz-air.] (...) les hydrocarbures sont décomposés à la sortie du brûleur, et les particules de carbone, brûlant ensuite au contact de l'air, donnent une flamme éclairante (flamme blanche). Dans certains appareils (...) seul l'air secondaire intervient à la surface de la flamme, le gaz combustible étant éjecté au nez du brûleur sans être mélangé au préalable avec de l'air; on dit alors qu'il s'agit d'une flamme de diffusion. flamme carburante : Concerne la flamme oxyacétylénique; ce type de flamme est obtenu lorsque le débit d'acétylène alimentant le chalumeau est supérieur au débit d'oxygène. flamme neutre / flamme normale: Concerne la flamme oxyacétylénique; ce type de flamme est obtenu lorsque les débits d'oxygène et d'acétylène alimentant le chalumeau sont sensiblement égaux. La flamme oxyacétylénique présente un autre intérêt (...) en ce sens que l'on peut régler le rapport de consommation [ pour obtenir ] une flamme neutre, oxydante, ou (...) carburante. flamme comburante: S'il y a excès de gaz combustible, le dard disparaît et se confond avec le panache, qui devient lui-même brillant; la flamme devient comburante et fine son carbone libre à l'acier. flamme froide : Les flammes dégagent de la chaleur, surtout par convection, plus que par rayonnement. La plupart se propagent par conduction au sein du milieu gazeux en réaction, mais certaines, dites parfois flammes froides, se propagent surtout par diffusion des produits en réaction. À la température de combustion relativement basse des hydrocarbures paraffiniques, tels que le propane et le butane, et des éthers, on observe une luminosité bleuâtre. Elle est due à l'émission de lumière provenant du formaldéhyde activé qui se forme au cours du processus. Ce type de luminosité se nomme flamme froide. flamme pilote : Petite flamme d'un appareil à gaz ou à mazout que l'on peut laisser brûler en permanence pour permettre l'allumage automatique de l'appareil. (...) flamme auxiliaire à plus faible vitesse d'écoulement qui assure le réallumage permanent. (...) le brûleur à flamme pilote: celle-ci, alimentée par une fine cannelure, se trouve à la base de la flamme principale, qu'elle stabilise. (Source : Termium 1994) FLASH FIRE A fire that spreads with extreme rapidity, such as one that races over dust, over the surface of flammable liquids, or through gases. [NFPA 921 - 1992] FLASH FIRE A fire that spreads with unusual speed, as one that races over flammable liquid of through combustible gases. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) FLASH POINT (IAAI) The temperature at which a pool of liquid will generate sufficient vapours to form an ignitable vapour/air mixture. The temperature at which a liquid will produce its lower explosive limit in air. Flash point describes one of several specific laboratory tests. Frequently materials can be made to burn below their flash point if increased surface area or mechanical activity raise the concentration of vapour in air above the lower explosive limit. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) FLASHPOINT (CAL EMR) The minimum temperature of a liquid at which it gives off vapors sufficiently fast to form an ignitable mixture with air and will flash when subjected to an external ignition source, but will not continue to burn. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 FLASH POINT (point d'éclair) (Hydro Cut) The lowest temperature at which vapors from a volatile combustible substance ignite in air when exposed to flame, as determined in an apparatus specifically designed for such testing. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) FLASH POINTmeans the minimum temperature at which a liquid within a container gives off vapour in sufficient concentration to form an ignitable mixture with air near the surface of the liquid. (Ontario Fire Code 1996) FLASHOVER(embrasement) [NFPA 921 - 1992] A stage in the development of a contained fire in which all exposed surfaces reach ignition temperatures more or less simultaneously and fire spreads rapidly throughout the space. [NFPA 921 - 1992] FLASHOVER [Friedman 1989] For burning in a room, flashover is the often-sudden transition from local burning to widespread burning of all exposed combustibles. After flashover, flames might be projecting out a door or window. [Friedman 1989] Flashover The sudden ignition of all flammable material in a room or structure. As the fire burns and heat is generated and stored in the room on fire, it is possible for the heat to accumulate faster than it can use fuel. Once this reaches critical mass, the heat then turns all the flammables in a room into fuel at one time. The danger is that this causes an inversion of the thermal layers because the new fuel is almost always near the floor. Despite superb protective gear, a firefighter has less than two seconds to evacuate a room that has a [email protected] Flashover - the stage of a fire at which all surfaces and objects are heated to a temperature at which flames break out almost at once over the entire surface within the space. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) FLASHOVER - RURAL FIRE PROTECTION (evaluation and planning of public fire protection) To be even minimally effective in controlling a fire, the initial responding apparatus should reach the emergency scene in time to prevent "flashover" (a very rapid spreading of the fire due to the heating of room contents and other combustibles). Fire Protection Handbook, 17th Edition, NFPA, Quincy, 1991 FLOOR AREA means the space on any storey of a building between exterior walls and required firewalls and includes the space occupied by interior walls and partitions, but does not include exits and vertical service spaces that pierce the storey. (Ontario Fire Code 1996) FLUE means an enclosed passageway for conveying flue gases. (Ontario Fire Code 1996) FLUE PIPE means the pipe connecting the flue collar of an appliance to a chimney. (Ontario Fire Code 1996) FLUOR Du latin "fluere", couler. Appartient au groupe 17. C'est le plus électronégatif et le plus réactif de tous les éléments. C'est un gaz jaune pâle à l'odeur forte et désagréable, réagissant avec pratiquement tous les éléments minéraux ou organiques. Le verre, la céramique le carbone et même l'eau brûlent dans le fluor avec une flamme vive. Comme il a des applications dans la séparation des isotopes d'uranium pour l'énergie nucléaire et pour la production de bombes atomiques, de grandes quantités de fluor sont produites depuis la fin de la deuxième guerre mondiale. L'acide fluorhydrique est employé pour graver le verre. Le fluor est capable de réagir avec les gaz rares et avec l'ozone. Il est un des éléments importants de l'industrie des plastiques. Son ion, F est un oligo-élément essentiel pour notre organisme. On ajoute des fluorures dans l'eau et dans les dentifrices pour prévenir la carie dentaire. Très toxique, le fluor attaque les yeux, les muqueuses et les poumons. (Yvan Noels) Foam Foam is a concentrate mixed with water or air and applied to any material that is on fire or could potentially catch fire. The foam creates a barrier between the material and the heat, preventing ignition of flammable gases. Foam is commonly used on flammable liquid fires (gas or oil), but is also being used in some areas for automobile & structure fire [email protected] FONDATION ensemble des éléments d'assise d'un bâtiment dont la fonction est de transmettre les charges au sol [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] FONTE Le fer fondu de haut-fourneau, qui s'est trouvé au contact du coke à la partie inférieure du four, contient une certaine quantité de carbone dissous (habituellement 3 à 4%) ainsi que du silicium, du manganèse, du phosphore et du soufre en plus faibles quantités. Ces impuretés abaissent le point de fusion du fer de 1535°C [2795°F] à environ 1200°C [2192°F]. Ce fer impur s'appelle la fonte; on la coule en barres appelées gueuses. Lorsque la fonte est refroidie rapidement elle est de couleur blanche, c'est ce qu'on appelle la fonte blanche. Elle renferme surtout le composé appelé cémentite Fe3C qui est dure et cassante. La fonte grise obtenue par refroidissement lent est formée de grains cristallins de fer pur (appelé ferrite) et de paillettes de graphite. La fonte blanche et la fonte grise sont toutes deux cassantes, la prémière en raison de son principal constituant, la cémentite cassante, la seconde parce que la ferrite plus tenace qu'elle contient, a une résistance diminuée par les paillettes tendres de graphite qui lui sont mélangées. [Pauling 1958] Forcible Entry The act of gaining access to a structure through means other than an open window or door. Frequently, firefighters must force open doors that are locked or remove security doors and bars in order to enter a structure to search for victims & extinguish a fire. A variety of hand, power & hydraulic tools can be used for forcible [email protected] FORENSIC SCIENCE Application of scientific procedures to the interpretation of physical events, such as those that occur at fire scenes; the art of reconstructing past events and then explaining that process and findings to investigators and triers of facts; criminalistics. [Fire Cause Determination, IFSTA 1986] Forestry Line A forestry line is a small-diameter, cotton-jacketed handline used to fight brush and forest fires. Its construction reduces the weight a firefighter has to pull and therefore reduces [email protected] FORMATION RÈGLEMENT SUR LA FORMATION DES POMPIERS © Gouvernement du Québec 1998 (voir aussi Préventionniste) Le Règlement sur la formation des membres des services d'incendie, en vigueur le 17 septembre 1998, touche les pompiers à temps plein. Le Règlement, qui découle de la Loi sur la prévention des incendies, (L.R.Q., c. P-23, a. 4, par. a.1; 1997, c. 48, a. 1, par. 2o) a été publié à la Gazette officielle le 2 septembre 1998. Ces nouvelles exigences constituent donc un premier pas vers la &laqno professionnalisation » des services d'incendie. Les associations représentant le milieu de la sécurité incendie réclamaient depuis longtemps que la formation des membres des services d'incendie soit légalement encadrée à l'embauche. Ce règlement fait en sorte que seuls ceux et celles qui ont obtenu le Diplôme d'études professionnelles (DEP) Intervention en sécurité incendie (1 185 heures) de l'Institut de protection contre les incendies du Québec (IPIQ), pourront devenir pompiers permanents. Cette formation, offerte à plein temps et déjà financée par le ministère de l'Éducation, n'augmentera pas les coûts pour les municipalités. Ainsi, les investissements déjà consentis par l'État pour la formation de ces diplômés seront rentabilisés par l'embauche de ces derniers. De plus, les poursuites à l'endroit des municipalités ainsi que les primes d'assurance pourraient, à long terme, diminuer. Par ailleurs, les pompiers inscrits sur une liste d'admissibilité avant le 17 septembre 1998 pour un poste à temps plein dans une municipalité, ne sont pas visés par le présent règlement. Ils pourront aussi remplacer un pompier permanent pour du court terme ou du long terme. Quant aux personnes qui deviendront officiers permanents à partir du 17 septembre 1998, elles auront jusqu'au 17 septembre 2003 pour terminer le profil Gérer l'intervention de l'attestation collégiale Gestionnaire en sécurité incendie. Finalement, les préventionnistes engagés à plein temps à partir du 17 septembre 1998 devront être titulaires du certificat de premier cycle Technologie en prévention des incendies ou de l'attestation d'études collégiales Prévention en sécurité incendie ou du diplôme d'études professionnelles Prévention des incendies avant d'être engagés. Cette première étape étant franchie, le ministère de la Sécurité publique compte maintenant concentrer tous ses efforts sur la formation des pompiers à temps partiel. © Gouvernement du Québec 1998 FORMATION INDIVIDUALISÉE (formation) L'individualisation de la formation essaie de répondre à une double nécessité : celle d'améliorer l'efficacité de la formation en adaptant les moyens utilisés aux objectifs visés par l'individu et son organisation, et celle de concevoir des réponses en termes de formation aux besoins et aux contraintes des demandeurs. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) FORMATION MULTIMÉDIA (formation) Le développement des technologies communément appelées "nouveaux médias" (câble, réseaux large bande, etc.) et la possibilité nouvelle d'associer plusieurs de ces technologies dans un même dispositif, ont donné lieu à la notion de multimédia. La formation multimédia repose sur ce type de support. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) FORMATION PRÉSENTIELLE (formation) L'expression 'formation présentielle' recouvre le processus d'enseignement/apprentissage dans lequel l'essentiel de l'activité s'opère dans un "face-à-face" pédagogique entre un enseignantformateur et des élèves-apprenants réunis dans un même lieu (sans médiation d'un support technique). (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) FORMULE CHIMIQUE / FORMULE MOLÉCULAIRE (Canutec) La formule chimique ou formule moléculaire identifie les éléments (carbone, hydrogène, oxygène, etc.) dont une substance se compose. La formule indique aussi le nombre relatif de chaque élément par unité (molécule) de produit chimique. On peut aussi se servir de la formule chimique pour confirmer l'identité des ingrédients ou pour indiquer la présence d'un élément potentiellement dangereux. Par exemple, la formule moléculaire ZnCrO4 du chromate de zinc indique que ce produit contient non seulement du zinc (Zn) mais aussi du chrome (Cr). (Canutec) FORTE DENSITÉ D'OCCUPATION densité d'occupation égale ou inférieure à 12 pieds carrés (1,1 m_) par personne [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] Forward Lay A forward lay is when fire hose is laid from the hydrant to the fire. (See also reverse lay)[email protected] FOYER D'INCENDIE (caractéristique) [Stickney 1960] Le secteur qui constitue le foyer initial de l'incendie est généralement la partie la plus endommagée par le feu. [Stickney 1960] FOYER D'INCENDIE (localisation du) [Gayet 1973] Le foyer initial se situe à l'endroit où la combustion a duré le plus longtemps: pendant toute la période de formation du foyer d'abord, pendant l'incendie ensuite. C'est donc, en vertu de la loi température-temps, là où la température aura été la plus élevée. Le vent, les courants d'air, les exutoires des pompiers interviennent seulement pour entraîner l'incendie sans une direction ou une autre, mais ils n'affectent pas la loi. DANS CES CONDITIONS, L'EXAMEN DES LIEUX VISERA À ÉTABLIR LE BILAN DES DESTRUCTIONS ET DÉGATS EN VUE D'ESTIMER LA DURÉE DE LA COMBUSTION ET LES TEMPÉRATURES ATTEINTES. [Gayet 1973] FOYERS MULTIPLES (Shanley 1994) Selon le "mythe" des foyers multiples, il suffit d'identifier plus d'une aire d'origine non-reliées entre elles pour prouver l'incendiat. L'investigateur devrait comprendre que les incendies non intentionnels peuvent laisser des indicateurs dont l'existence évoque plusieurs aires d'origine. Un examen sommaire des lieux ou le recours à d'autres "mythes" comme le point bas de l'incendie ou le délitage du béton [on peut ajouter la dispersion des courts-circuits] peut porter l'investigateur à diagnostiquer l'incendiat sur la foi d'origines multiples. Un examen attentif de tous les indicateurs et leur attribution selon la source [vecteur] révèle souvent la présence d'un seul foyer d'incendie. [...] Il n'est pas approprié de diagnostiquer l'incendiat sur le seul indice de l'aire d'origine. Si l'investigateur parvient à éliminer les causes accidentelles pour les indicateurs identifiés, il peut alors considérer la relation FOYERS MULTIPLES / INCENDIAT; l'investigateur n'en doit pas moins déterminer la cause d'incendie à chacun de ces foyers [séquence d'ignition]. (J.H. Shanley, Fire Investigation Change and Evolution, Part 2: Understanding the Science of Fire, FIRE ENGINEERING, May/June 1994) FRACTIONATION The separation of one group of compounds in a mixture from another, generally by distillation. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) FRÉQUENCE DE L'INCENDIAT [Stickney 1960] La fréquence des incendies criminels apparait plus clairement dans les statistiques de certains enquêteurs [investigateurs] les plus qualifiés du pays. ... il y aurait un (1) incendie criminel pour quatre (4) ou cinq (5) sinistres qui entrainent des pertes. [Stickney 1960] FUEL A substance that may react with oxygen to produce combustion. In pyrotechnics, anything combustible such as sulfur, aluminum powder, iron powder, plastic binder; opposite: oxidizer. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) Fuel. All the dead and living material that will burn. This includes grasses, dead branches and pine needles on the ground, as well as standing live and dead trees. Also included are minerals near the surface, such as coal that will burn during a fire, and human-built structures. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) FUEL CONTROLLED FIRE [NFPA 921 - 1992] A fire in which the heat release rate and growth rate are controlled by the characteristics of the fuel, i.e., quantity and geometry. Adequate air for combustion is available. [NFPA 921 - 1992] FUEL DISPENSING STATION means any premises at which flammable or combustible liquids are dispensed from fixed equipment into the fuel tank of a motor vehicle or watercraft. (Ontario Fire Code 1996) Fuel Load The amount of combustible material (living and dead plants and trees) that is found in an area. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) FUEL OIL A heavy petroleum distillate ranging from #1 (kerosene or range oil), #2 (diesel fuel), up through #6 (heavy bunker fuels). To be identified as fuel oil, a sample must exhibit a homologous series of normal alkanes ranging from C9 upward. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) FULL PROTECTIVE CLOTHING Protective clothing worn primarily by fire fighters which includes helmet, coat, pants, boots, gloves, and self-contained breathing apparatus designed for structural fire fighting. It does not provide specialized chemical protection. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 FUME Airborne dispersion consisting of minute solid particles arising from the heating of a solid material such as lead, in distinction to a gas or vapor. This physical change is often accompanied by a chemical reaction, such as oxidation. Fumes flocculate and sometimes coalesce. Odorous gases and vapors should not be called fumes. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 FUMÉES (Canutec) Très petites particules solides en suspension dans l'air qui se forment lorsque de la vapeur chaude se refroidit. Par exemple, il peut se former de la vapeur de zinc chaud lorsqu'on soude de l'acier recouvert de zinc. En entrant en contact avec l'air ambiant plus frais, la vapeur se condense et forme une fine fumée de zinc. Généralement les fumées sont formées de particules plus fines que les poussières et elles pénètrent donc plus facilement dans les poumons. (Canutec) FURNACE means a space-heating appliance that uses warm air as the heating medium and that usually has provision for the attachment of ducts. (Ontario Fire Code 1996) Fusain Fossilized charcoal. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) -GGARAGE DE REMISAGE : bâtiment ou partie de bâtiment affecté au remisage de véhicules automobiles et qui ne comporte aucune installation pour leur réparation ou leur entretien [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S3)] GARAGE DE RÉPARATION bâtiment ou partie de bâtiment comportant des installations pour la réparation ou l'entretien de véhicules automobiles [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] GARDE-CORPS dispositif protecteur capable de prévenir les chutes accidentelles d'un niveau à un autre [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S3)] GARDE DES LIEUX Aussitôt que l'incendie est maitrisé, il est nécessaire de poster des surveillants sur les lieux et d'éloigner du secteur, surtout du foyer initial de l'incendie, toute personne (y compris pompiers et policiers) dont la présence n'est pas requise, jusqu'à ce que les causes du sinistre soient établies ou que l'enquêteur / l'investigateur ait pris la situation en main. [Stickney 1960] GAS (Friedman 1989) A state of matter in which the molecules, which are moving rapidly, are separate from one another except when undergoing collisions. See liquid and solid, the other states of matter. [Friedman 1989] GAS (CAL EMR) A state of matter in which the material has very low density and viscosity; can expand and contract greatly in response to changes in temperature and pressure; easily diffuses into other gases; readily and uniformly distributes itself throughout any container. A gas can be changed to a liquid or solid state by the combined effect of increased pressure and/or decreased temperature. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 GAS CHROMATOGRAPHY (also known as Gas Liquid Chromatography) The separation of organic liquids or gases into discrete components or compounds seen as peaks on a chromatogram. Separation us done in a column which is enclosed in an oven held at a specific temperature, or programmed to change temperature at a reproducible rate. The column separates the compounds according to their affinity for the material inside the column (stationary phase). Columns can be either packed or capillary. Packed columns employ a powdery substance which may be coated with a nonvolatile liquid phase. A capillary column is a glass or quartz tube coated with a nonvolatile liquid. Gas Chromatography (GC) is the accepted method for identification of hydrocarbon mixtures normally used as accelerants, and must be performed in order to have a valid identification of petroleum distillates. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) GAS LAWS (Hydro Cut) Physical laws describing the behavior of a gas (see States Of Matter) under various conditions of volume ( V ), pressure ( P ), and absolute, or Kelvin, Temperature ( T ). Boyle's, or Mariotte's, gas law states that under constant temperature PV = k1. Charles', or Gay-Lussac's, law states that under constant pressure V = k2T. A third law states that under constant volume P = k3T. The constants k1 , k2 , and k3 are dependent on the amount of gas present and, respectively, on the temperature, pressure, and volume of the gas. These three laws can be combined into a single law, or equation of state: PV = kT or Pv = RT. These laws are formulated for so-called ideal or perfect gases. Real gases are described more accurately by the van der Waals equation: (P + a/v2) (v - b) = RT , in which ( a ) and ( b ) are specific constants for each gas. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) GASES (properties of) [Friedman 1989] Gases consist of individual atoms or molecules moving at high velocities (approximately at the speed of sound, which is about 300 meters per second). At atmospheric pressure and room temperature, the atoms or molecules themselves occupy only about 0.1% of the spaceand the remaining 99.9% of the space is empty. Each atom or molecule is colliding with others and changing direction about 109 times per second. If the temperature of a gas is increased, at constant pressure, the average velocity of the atoms or molecules increases and the gas expands. [Friedman 1989] GASOLINE Gasoline is a light, volatile fuel oil; called petrol in Britain. A mixture of Hydrocarbons obtained in the fractional Distillation and ôcrackingö of Petroleum, it is used as a fuel for internal-combustion engines, for cooking, and as a solvent. The quality of gasoline used in engines is rated by Octane Number. To increase octane rating, lead additives were once widely used. Because of the possible health hazard of lead as an environmental pollutant and the harmful effect it has on pollution-control devices, however, a program was begun in the U.S. in the 1970s to change automobile design and gasoline composition, so that lead additives could be gradually eliminated. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) GASOLINE (IAAI) A mixture more than 200 volatile hydrocarbons in the range of C4 to C12 , suitable for use in spark ignited internal combustion engine. Regular automotive gasoline has a flash point of 40F. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) GAZ (Canutec) Un gaz est une substance sans forme qui tend à occuper uniformément tout l'espace disponible, dans des conditions de température et de pression normales. Les termes vapeur et fumée sont quelquefois confondus avec le terme gaz. (Canutec) GAZ COMPRIMÉ Un gaz comprimé est une substance qui est à l'état gazeux à la température et à la pression normales de la pièce, mais qui se vend à l'état de liquide, de gaz sous pression ou de liquide réfrigéré. Le Règlement sur les produits contrôlés au Canada et la norme HAZCOM de l'OSHA aux États-Unis définissent les critères techniques selon lesquels une substance est désignée comme gaz comprimé. Que les gaz comprimés soient vendus en bombes aérosol, en bombonnes sous pression ou en contenants réfrigérés, il faut les entreposer et les manipuler avec beaucoup de prudence, car de tels contenants peuvent exploser s'ils sont percés, endommagés ou chauffés. (Canutec) GAZ (d'éclairage) Au début du XIXe siècle, le gaz était utilisé comme moyen d'éclairage des usines, des rues et des maisons. Le gaz d'éclairage fabriqué artificiellement était disponible dans de nombreuses villes et cités du Canada avant que le kérosène ne soit très répandu. L'éclairage au gaz incandescent, en concurrence avec l'électricité dans les débuts de ce type d'éclairage, était très populaire en Grande-Bretagne et dans les autres pays européens, bien que même en 1895, il était encore une nouvauté en certains endroits du Canada. La production commerciale du gaz naturel et la mise au point de l'éclairage à l'acétylène à la fin du XIXe siècle favorisèrent le changement au gaz et, semble-t-il, menacèrent sérieusement le développement de l'éclairage électrique. [Appareils d'éclairage, 1984] GAZ INFLAMMABLE Un gaz est dit inflammable s'il peut prendre feu facilement et brûler rapidement ou de façon explosive. Le Règlement sur les produits contrôlés au Canada et la norme HAZCOM de l'OSHA aux États-Unis renferment des critères techniques servant à identifier les gaz inflammables aux fins de chaque règlement. Ces gaz peuvent être extrêmement dangereux en milieu de travail. Par exemple: - Si le gaz s'accumule au point d'atteindre la limite inférieure d'explosivité (LIE), une source d'inflammation peut provoquer une explosion. - Si la ventilation est inadéquate, les gaz inflammables peuvent parcourir une distance considérable, atteindre une source d'inflammation et produire un retour de flamme. (Canutec) GAUGE (Wire) A series of standard sizes such as the American Wire Gauge (AWG), used to specify the diameter of wire. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) GELLING A process of adding a specific material that is designed to coagulate a liquid facilitating its isolation and removal. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 GESTION DE LA QUALITÉ / quality management Aspect de la fonction générale de gestion qui détermine la politique qualité et la mise en oeuvre. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) GESTION TOTALE DE LA QUALITÉ / total quality management (TQM) Mode de gestion d'un organisme centré sur la qualité, basé sur la participation de tous ses membres et visant au succès à long terme par la satisfaction du client et à des avantages pour les membres de l'organisme et pour la société. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) GLOWING COMBUSTION (incandescence - combustion en phase solide) Luminous burning of solid material without a visible flame. [NFPA 921 - 1992] GLOWING COMBUSTION A term applied to smoldering combustion when a glow is visible (radiation from a hot surface). [Friedman 1989] GLOSSARY OF TERMS (INTRODUCTION TO) The express purpose of the Hazardous Materials Emergency Response Glossary of Standardized Terms is to provide common and readily understandable definitions to facilitate communications and operations among hazardous materials emergency responders when dealing with hazardous materials incidents. This document is not intended as a legal or scientific reference. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 GRADE means the average level of finished ground adjoining a building at all exterior walls. (Ontario Fire Code 1996) GROUNDING Method whereby activities which may generate static electricity will be prevented from discharging a spark and thereby not produce an ignition point. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 Ground Fire A fire that burns organic materials in the soil layer (e.g., peat) and often the surface litter and lowgrowing vegetation. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) GROUP (groupe opérationnel) That organization level within the incident command system having responsibility for operations within a specific functional area, i.e. salvage, ventilation, haz-mat. (NIIMS) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 GROUPE 4 (chimie) Les éléments du groupe 4, titane, hafnium et zirconium, sont des métaux particulièrement résistants à la corrosion. Aussi sont-ils principalement employés dans des alliages. (Ivan Noels, [email protected]) GROUPE 5 Les éléments du groupe 5, tantale, niobium et vanadium, sont des métaux particulièrement résistants à la corrosion. Aussi sont-ils principalement employés dans des alliages. (Ivan Noels, [email protected]) GROUPE 6 Les éléments du groupe 6, le chrome, le molybdène et le tungstène sont des métaux durs et résistants bien à la corrosion, ce qui explique leur emploi dans de nombreux alliages. (Ivan Noels, [email protected]) GROUPE 7 Les éléments du groupe 7, manganèse, technétium et rhénium, sont des métaux de transition. Le manganèse peut présenter différents degrés de valence, de 2 à 7. Plus le degré de valence augmente, plus il perd son caractère métallique et plus il présente des analogies avec les halogènes. Ces trois éléments sont surtout utilisés dans des alliages. (Ivan Noels, [email protected]) GROUPES 8, 9 et 10 Les éléments de ces groupes sont des métaux de transition. Par ionisation, ils donnent des cations dont l'électrovalence ne dépasse pas 4. Ils sont durs, brillants et ont un point de fusion élevé. (Ivan Noels, [email protected]) GROUPE 11 Les éléments du groupe 11, le cuivre, l'argent et l'or, tout en n'ayant qu'un électron périphérique, se distinguent des métaux alcalins en comptant 18 électrons sur la couche précédente. Ils ne sont pas toujours monovalents. Ils sont tous trois d'excellents conducteurs de l'électricité et sont souvent utilisés en alliages entre eux. (Ivan Noels, [email protected]) GROUPE 12 Les éléments du groupe 12, le zinc, le cadmium et le mercure ont deux électrons sur leur couche périphérique qui suit une couche à 18 électrons. Alors que le zinc est toujours bivalent, le mercure peut être mono- ou bivalent. (Ivan Noels, [email protected]) GROUPE 13 Les éléments du groupe 13, bore, aluminium, gallium, indium et thallium constituent le groupe des métaux terreux. Tous les éléments de ce groupe ont trois électrons de valence. Le premier, le bore, présente très nettement des caractères non métalliques. Les autres éléments du groupe sont électropositifs bien que de façon moins prononcée que les alcalino-terreux. (Ivan Noels, [email protected]) GROUPE 14 Les éléments principaux du groupe 14 sont deux non-métaux, le carbone et le silicium. Les éléments du groupe 14 sont tétravalents et forment des oxydes acides qui se combinent aux oxydes métalliques pour former des carbonates, des silicates, etc. (Ivan Noels, [email protected]) GROUPE 15 Les éléments du groupe 15, azote, phosphore, arsenic, antimoine et bismuth ont des propriétés assez disparates. Le caractère métallique augmente au fur et à mesure que la masse atomique devient plus élevée. (Ivan Noels, [email protected]) GROUPE 16 Les quatre premiers éléments, l'oxygène, le soufre, le sélénium et le tellurium sont parfois connus sous le terme général de chalcogènes (engendreurs de chaux). Ce nom est dû à la propriété que possède l'oxygène de se combiner au calcium pour former la chaux. Le cinquième élément de ce groupe, le polonium, est radioactif. (Ivan Noels, [email protected]) GROUPE 17 Les élément du groupe 17 font partie de la famille des halogènes (littéralement "engendreurs de sels"). Ce sont des éléments non métalliques. Ils ont tous une valence égale à 1 . Plus on monte dans la colonne et plus les atomes gagnent facilement un électron périphérique pour former des ions 1x négatifs et ressembler ainsi au gaz rare le plus proche. Chacune de leurs molécules est formée de 2 atomes, elles sont donc diatomiques. Leur point de fusion augmente au fur et à mesure que les atomes deviennent plus gros. C'est ainsi qu'à 25 °C, le fluor et le chlore sont des gaz, le brome est liquide, l'iode et l'astatine sont solides. ATTENTION : Sous forme de gaz ou de vapeur, ces éléments sont dangereux à respirer car ils forment des acides au contact de l'eau des poumons. (Ivan Noels, [email protected]) GROUPE 18 Les éléments du groupe 18 font partie de la famille des gaz rares. Aucun d'eux n'était connu de Mendeleïev. En effet, leur couche périphérique contient le maximum possible d'électrons (2 pour l'hélium et 8 pour les autres), ce qui les rend très peu réactifs et fait qu'ils ne forment que très peu de composés. C'est la raison pour laquelle on les appelle parfois des gaz inertes. On les trouve principalement dans l'atmosphère et dans le gaz naturel. Leur découverte a donc dû attendre la ème fin du 19 siècle et la réalisation de la liquéfaction de l'air. Le radon a été découvert en 1900. Petite note amusante: L'hélium (du grec "helios", Soleil) a d'abord été observé dans le spectre solaire avant d'être découvert sur la Terre quelques années plus tard. (Ivan Noels, [email protected]) GROWTH OF A FIRE However, it must be said that chemistry is not the whole story. Two other key factors must be considered : heat transfer and fluid mechanics. The radiative, convective, and conductive transfer of heat from the flame and the hot fire products to the burning and the not-yet burning combustibles are vital in governing the growth of a fire. The buoyant rise of hot gases, drawing fresh air into the fire, the mixing of the fire gases with ambient air, and the motion of the fire products through a building, usually with layering, are important aspects of fires. Heat transfer and fluid mechanics are interrelated because the motion of a hot gas affects the rate of heat transfer from a gas to the surroundings, and the temperature of a gas affects its buoyancy, which induces its motion. [Friedman 1989] -H- Habitat An area that supplies the needs of a population of animals or plants living there. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) HABITATION bâtiment ou partie de bâtiment où sont prévus des locaux pour dormir, tel que prévu à la soussection 3.1.2 [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] HALOGEN Any of the elements fluorine, chlorine, bromine, iodine, or astatine. [Friedman 1989] HALOGEN (voir Groupe 7) Any of the five chemical elements in group VIIa of the Periodic Table. Fluorine, Chlorine, Bromine, Iodine, and the radioactive Astatine are nonmetallic, monovalent negative ions and exist in pure form as diatomic molecules. The first four elements exhibit an almost perfect gradation of physical properties. Fluorine is the least dense and chemically the most active, displacing other halogens from their compounds and oxygen from water. Iodine is the least active. The halogens form numerous compounds with each other, and with other elements, such as hydrogen halides, metal halides (Salts), and halocarbons.(Hydro Cut General Terminology Resource Information) HALOGENS A chemical family that includes fluorine, chlorine, bromine, and iodine.HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HALONS Fire suppressing gases that are composed of straight chain carbon atoms with a variety of halogen atoms attached. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HALONS Various synthetic chemicals, the molecules of which consist of combinations of carbon, fluorine, chlorine, and bromine. [Friedman 1989] Handline A handline is a small diameter hose usually used inside a burning structure to directly apply water on to the fire. Handlines are usually 1.5 or 1.75 inches in diameter. Lines as large as 2.5 inches in diameter (also called the "deuce and a half") can be used for heavy fire conditions. [email protected] Hand line Fire line constructed with hand tools by natural resources managers and fire crews. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) HARDWARE Ensemble de l'équipement matériel (hors logiciel) d'un système informatique. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) HAUTEUR DE BÂTIMENT nombre d'étages compris entre le toit d'un bâtiment et le plancher du premier étage [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] HAZARD (risque) Any situation that has the potential for causing damage to life, property, and/or the environment. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HAZARD ASSESSMENT A process used to qualitatively or quantitatively assess risk factors to determine incident operations. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HAZARD CLASS The eight classes of hazardous materials as categorized and defined by the Department of Transportation in 49 CFR. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HAZARDOUS CHEMICAL A term used by the United States Occupational Safety and Health Administration (OSHA) to denote any chemical that would be a risk to employees if exposed in the workplace. The list of hazardous chemicals is found in 29 CFR. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HAZARDOUS LOCATION means a location that is or may become subject to conditions conducive to the rapid development of fire or explosion. (Ontario Fire Code 1996) HAZMAT dangerous goods (STANDARDIZED), dangerous material, hazardous material, dangerous commodities (STANDARDIZED), dangerous articles (STANDARDIZED), hazardous commodities (STANDARDIZED), hazardous goods, hazardous products, hazardous materiel, HAZMAT (CORRECT) Those substances classified as dangerous by the United Nations Committee of experts on the transport of dangerous goods or by the competent authority .... Explosive, toxic, caustic, nuclear, combustible, or flammable, biological, infectious, or poisonous materials that may, directly or indirectly, endanger human life or property, particularly if mishandled, misused or involved in accidents. ... the nine classifications of hazardous material [are:] ... Explosives ... Flammable and Non-Flammable ... Compressed Gas ... Flammable Liquids and Solids ... Oxidizers/Organic Peroxides ... Poison and Infectious Substances ... Radioactive ... Corrosives ... Miscellaneous. The terms "hazardous commodities" and "dangerous articles" are standardized by the Canadian General Standards Board; the term "dangerous goods" is standardized by ISO and is used in the Canadian "Transportation of Dangerous Goods Act", chapter 36. The spelling "materiel" with an "e" is reserved for military equipment. dangerous goods: Term and definition standardized by ICAO. (Source : Termium 1996) HAZARDOUS MATERIAL A substance (solid, liquid, or gas) capable of posing an unreasonable risk to health, safety, environment or property. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HAZARDOUS MATERIALS RESPONSE TEAM (HMRT) An organized group of employees, designated by the employer, who are expected to perform work to handle and control actual or potential leaks or spills of hazardous substances requiring possible close approach to the substance. A Haz-Mat Team may be a separate component of a fire brigade or a fire department or other appropriately trained and equipped units from public or private agencies. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HAZARDOUS MATERIALS RESPONSE TEAM - TECHNICIAN LEVEL Shall consist of an organized group of employees, designated by the employer in compliance with 8 CCR 5192(q)(6), trained to function at the hazardous materials incident at the Technician Level in accordance with NFPA 472, Chapter 3 (1990). Additionally, personnel on the team shall be capable of the following: 1). The ability to carry out the duties of these positions as identified in FIRESCOPE ICS-HM-120. a. Group Supervisor b. Entry Leader c. Hazardous Material Safety Officer d. Site Access Control Officer e. Decontamination Leader f. Technical Specialist-Hazardous Material Reference (Multiple positions can be handled by one person dependent upon the complexity and/or severity of the incident.) 2). Members shall be assigned positions in accordance with 8 CCR 5192 appropriately trained to include but not be limited to entry with splash protective clothing. a. Entry Team: 2 b. Backup Team: 2 HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HAZARDOUS MATERIALS RESPONSE TEAM - SPECIALIST LEVEL Shall consist of an organized group of employees, designated by the employer in compliance with 8 CCR 5192(q)(6), trained to function at the hazardous materials incident at the Specialist Level in accordance with NFPA Standard 472, Chapter 4 (1990). Additionally, personnel on the team shall be capable of the following: 1). The ability to carry out the duties of these positions as identified in FIRESCOPE ICS-HM-120 a. Group Leader b. Entry Team Leader c. Hazardous Material Safety Officer d. Site Access Control Officer e. Decontamination Leader f. Technical Specialist-Hazardous Material Reference (Multiple positions can be handled by one person dependent upon the complexity and/or severity of the incident.) 2). Members shall be assigned positions in accordance with 8 CCR 5192 appropriately trained for entry with vapor protective clothing. a. Entry Team: 2 b. Backup Team: 2 HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HAZARDOUS MATERIALS RESPONSE TEAM - SPECIALTY Shall consist of an organized group of employees, designated by the employer in compliance with 8 CCR 5192(q)(6), who are trained in the hazards of specific hazardous substances, and/or specific techniques or support services, and/or the provision of specialized technical advice and assistance in compliance with 8 CCR 5192(q)(5). The Team shall be capable, either within their own team or in agreement with a Hazardous Materials Response Team on scene, of the following: 1). The ability to carry out the duties of these positions as identified in Firescope ICS-HM-120. a. Group Supervisor b. Entry Team Leader c. Hazardous Material Safety Officer d. Site Access Control Officer e. Decontamination Leader f. Technical Specialist-Hazardous Material Reference (Multiple positions can be handled by one person dependent upon the complexity and/or severity of the incident.) 2). Members shall be assigned positions in accordance with 8 CCR 5192 appropriately trained to include but not be limited to entry with splash protection. a. Entry team: 2 b. Backup team: 2 HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HAZARDOUS SUBSTANCE Hazardous Substance, as used by the California Department of Toxic Substances Control, encompasses every chemical regulated by both the Department of Transportation (hazardous materials) and the Environmental Protection Agency (hazardous waste), including emergency response. (8 CCR 5192) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HAZARDOUS WASTE 1) Waste materials or mixtures of waste which require special handling and disposal because of their potential to damage health and/or the environment. 2) The Environmental Protection Agency uses the term hazardous waste for chemicals that are regulated under the Resource Conservation and Recovery Act and are listed in 40 CFR 261.33 (d). Environmental Protection Agency or California Department of Toxic Substances Control regulated hazardous waste, when in transport, must also meet 49 CFR parts 170 through 179. California's list of hazardous waste is more inclusive than EPA's.HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HAZARDOUS WASTE GENERATION The act or process of producing hazardous waste. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HAZARDOUS WASTE LANDFILL An excavated or engineered area on which hazardous waste is deposited and covered. Proper protection of the environment from the materials to be deposited in such a landfill requires careful site selection, good design, proper operation, leachate collection and treatment, and thorough final closure. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HAZARDOUS WASTE LEACHATE Any liquid that has percolated through or drained from hazardous waste emplaced in or on the ground. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HAZARDOUS WASTE MANIFEST, UNIFORM (EPA USAGE) The shipping document, originated and signed by the waste generator or an authorized representative, that contains the information required by law and must accompany shipments of hazardous waste. (40 CFR 262, Subpart B) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HAZARDOUS WASTE SITE A location where hazardous wastes are located. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HAZCOM Désigne la norme Hazard Communication Standard (29CFR 1910.1200), États-Unis. (Canutec) Headfire A fire front spreading or ignited to spread with the gradient (downwind or upslope). (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) HEADSPACE CONCENTRATION A technique for concentrating all or most of the flammable or combustible liquid vapours in a sample onto a tube of charcoal, a wire coated with charcoal, a charcoal coated polymer, or some other adsorbing material which will later be desorbed in order to analyse the concentrated vapours. This is a primary form of sample preparation in arson debris analysis. This is also known as adsorption/elution, vapour concentration, or total headspace. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) HEAT (chaleur) (Hydro Cut) The internal Energy of a substance, associated with the positions and motions of its component molecules, atoms, and ions. The average kinetic energy of the molecules or atoms, which is due to their motions, is measured by the Temperature of the substance; the potential energy is associated with the state, or phase, of the substance ( States Of Matter). Heat energy is commonly expressed in Calories, British Thermal Units (BTU), or Joules, ( Work). Heat may be transferred from one substance to another by three means: Conduction, Convection, and Radiation. Also Heat Capacity; Specific Heat; Thermodynamics. Originally an abbreviation for "high explosive antitank." A term used to designate high explosive ammunition containing a shaped charge. High-Explosive Antitank Shell. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) HEAT (IAAI) A mode of energy associated with and proportional to molecular motion that may be transferred from one body to another by conduction, convection or radiation.(Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) Heat Necessary ingredient for fire to start; can be supplied by lightning or human sources. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) HEAT CAPACITY Heat capacity or thermal capacity, ratio of the change in Heat energy of a unit mass of a substance to the change in Temperature of the substance. The heat capacity is a characteristic of a substance; it is often expressed in Calories per gram per degree Celsius or British Thermal Units per pound per degree Fahrenheit. Also Specific Heat. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) HEAT DETECTOR means a fire detector designed to operate at a predetermined temperature or rate of temperature rise.(Ontario Fire Code 1996) HEATING OIL (No.2) Fires involving liquids in the form of sprays or thin films are different because the fire point temperature is no longer a relevant measure of flammability. A pool of domestic fuel oil (No.2) at 20°C (68°F) cannot be ignited with a match (unless a wick is present), but the same oil, in the form of a spray, mist, or thin film, can be ignited easily. [Friedman 1989] HEAT OF COMBUSTION Heat evolved in the complete oxidation of a substance under standard conditions of pressure and temperature. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) HEAT OF COMBUSTION It has been determined (Hugget, 1980) that if the heat of combustion of a substance is expressed as kilojoules per gram of the air required by the principles of combining proportions, then the heat of combustion is nearly the same for most combustible substances. The value is 3 kilojoules per gram of air required. [Friedman 1989] HEAT OF EXPLOSION Heat evolved in burning (exploding) a sample in a combustion bomb in an inert atmosphere under standard conditions of pressure and temperature. Products of explosion vary with the oxygen balance of the sample. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) HEAT OF FORMATION Heat evolved, or absorbed, when a compound is formed by combination of its elements. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) HEAT OF FUSION (voir Heat of Vaporization) [Friedman 1989] When a solid melts, an energy change is involved and heat must be added to the solid to convert it to a liquid. For example, 334 joules of heat energy must be added to 1 gram of ice at 0°C to convert it to liquid water at 0°C. This energy is called the heat of fusion. [Friedman 1989] HEAT OF REACTION Heat evolved when a sample is burned in a combustion bomb in an atmosphere of helium or other inert gas. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) HEAT OF VAPORIZATION (voir Heat of Fusion) To convert liquid water at 100°C to water vapor at 100°C, a heat of vaporization must be supplied. For water, this is 2257 joules per gram at 100°C. The heat of vaporization of hexane ("mineral spirits") is only 342 joules per gram, and this explains why hexane evaporates much more readily than water. [Friedman 1989] HEAVY METAL A high density metallic element that may demonstrate health hazards as a result of exposure and may contribute to contamination of the environment. This includes chromium (Cr), beryllium (Be), lead (Pb), mercury (Hg), zinc (Zn), copper (Cu), cadmium (Cd) and others. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HEAVY TIMBER CONSTRUCTION means that type of combustible construction in which a degree of fire safety is attained by placing limitations on the sizes of wood structural members and on thickness and composition of wood floors and roofs, by avoidance of concealed spaces under floors and roofs and by use of approved fastenings, construction details and adhesives for structural members.(Ontario Fire Code 1996) HÉLIUM Du grec "Helios", Soleil. Appartient au groupe 18. Après l'hydrogène, l'hélium est le second élément en abondance dans l'univers. Incolore, inodore et monoatomique, l'hélium fait partie des gaz rares. Contrairement à l'hydrogène, il ne brûle pas ce qui permet de l'utiliser sans danger pour le gonflage des ballons ou des dirigeables. On l'utilise comme gaz protectif pour la production de cristaux de silicium et de germanium. Les plongeurs à grande profondeur utilisent un mélange de 80% d'hélium et de 20% d'oxygène. Après avoir respiré une atmosphère riche en hélium, on parle avec une voix croassante (à ne pas essayer, à cause des impuretés des contenants habituels!). (Ivan Noels,[email protected]) HEMOGLOBIN A molecule in the blood that carries oxygen from the lungs to cells throughout the body. A typical formula is [C738H1166O208N203S2Fe]4.[Friedman 1989] HEPTANE An alkane having the formula C7H16, flash point of 25F and explosive limits of 1.2% to 6.7%. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) HERTZ nm (traitement du signal) Unité de mesure de la fréquence d'un phénomène (Hz), correspondant à 1 cycle par seconde (10.000 hertz = 10 000 fois/seconde). (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) HEXANE An alkane having the formula C6H14. Flash point -9F. Explosive limits of 1.2% to 7.5%. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) HIÉRARCHIE ORGANISATIONNELLE BRIGADE D'EXTINCTION, SERVICE DE PROTECTION CONTRE LES INCENDIES DE LA VILLE DE QUÉBEC (Saillant, caserne Charlesbourg) POMPIER Les pompiers sont les exécutants dans l'ordre hiérarchique. Ils peuvent effectuer diverses tâches qui leur sont assignées. Les postes disponibles pour les pompiers sont en général conducteur de pompe-échelle, de mini-pompe, de chef, fontainier, porte-lance et aide-chauffeur sur la minipompe. Le pompier doit être autonome, avoir de l'initiave et une bonne dose de savoir-faire. LIEUTENANT ÉLIGIBLE Le lieutenant éligible est là pour remplacer les lieutenants réguliers absents. Il a les mêmes responsabilités et pouvoirs que le lieutenant qu'il remplace. Lorsqu'il ne remplace pas, il redevient un pompier comme tous les autres de son rang. Il y a en général 1 lieutenant par caserne. Il est en charge de celle-ci et des pompiers qui la compose. LIEUTENANT C'est le lieutenant qui gère les forces de chacun afin que les efforts donnés soient menés dans le même sens. Il reçoit les ordres directement de son chef de district Il y a 4 équipes (pelotons) de travail qui se séparent les 7 jours de la semaine par caserne. Parmi les quatres officiers qui sont affectés à un de ces pelotons il y en a un qui est le capitaine. CAPITAINE Les tâches du capitaine sont presque les mêmes que ceux du lieutenant. Il doit en plus gérer la logistique de la caserne, ses aménagements et ses véhicules. CHEF DE DISTRICT Il y a 2 chefs de district par peloton. Le territoire de la ville de Québec est divisé en deux parties. Chaque chef a sa partie. Sa tâche est de gérer sur le plan administratif les casernes situées sur son territoire. Il dirrige aussi les premières alarmes et interventions spéciales dans son secteur. Lors d'une deuxième alarme c'est le chef de division qui devient son supérieur immédiat dans la gérance de l'incendie. CHEF DE DIVISION Le chef de division est le grand manitou de l'ensemble du peloton et des 8 casernes. Dès qu'une deuxième alarme est répartie il prend le contrôle du site de l'incendie. généralement il agit aussi comme porte-parole au niveau des médias. HIGH HAZARD INDUSTRIAL OCCUPANCY (Group 'F' Division 1) means an industrial occupancy that contains sufficient quantities of highly combustible and flammable or explosive materials that, because of their inherent characteristics, constitute a special fire hazard. (Ontario Fire Code 1996) HOMOLOGUÉ OU HOMOLOGATION caractéristique d'un dispositif ou équipement répondant aux normes techniques des organismes d'essais suivants : a) Association canadienne de normalisation; b) Underwriters' Laboratories of Canada; c) The Canadian Gas Association. Cependant, lorsque ces organismes ne possèdent pas de normes pour un dispositif ou équipement dont l'homologation est requise par le présent code, celles des organismes suivants peuvent être acceptées: a) Underwriters' Laboratories Inc. b) Factory Mutual [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] HOMOLOGOUS SERIES A series of similar organic compounds, differing only in that the next higher member of the series has an additional CH2 group (one carbon atom and two hydrogen atoms) in its molecular structure. Fuel oils are characterized by the presence of an identifiable homologous series of normal alkanes. Diesel Fuel : Diesel Fuel consists mostly of hydrocarbons ranging from C10 to C24. The composition of diesel fuel may vary with changes in latitude or changes in season. This variability is provided by the refinery to control the volatility of the product. In order to be identified as diesel fuel, a sample extract must exhibit a homologous series of five or more consecutive normal alkanes ranging from C12 through C22. Diesel fuel has a flash point of 120 to 160 F and explosive limits of 0.7% to 5%. Many states specify a minimum flash point for diesel fuel. Fuel Oil : A heavy petroleum distillate ranging from #1 (kerosene or range oil), #2 (diesel fuel), up through #6 (heavy bunker fuels). To be identified as fuel oil, a sample must exhibit a homologous series of normal alkanes ranging from C9 upward. Gasoline : A mixture more than 200 volatile hydrocarbons in the range of C4 to C12 , suitable for use in spark ignited internal combustion engine. Regular automotive gasoline has a flash point of -40 F. Kerosene (#1 Fuel Oil): Flash point generally between 100 and 150 degrees F. Explosive limits of 0.7% to 5.0%. Kerosene consists mostly of C9 through C17 hydrocarbons. In order to be identified as kerosene, a sample extract must exhibit a homologous series five consecutive normal alkanes between C9 and C17. Kerosene is the most common 'incidental' accelerant, as it is used in numerous household products ranging from charcoal lighter fluid to lamp oil to paint thinner to insecticide carriers. It is also used as jet fuel. K-1 kerosene has a low sulfur content required for use in portable space heaters. Source : GLOSSARY OF TERMS RELATED TO CHEMICAL AND INSTRUMENTAL ANALYSIS OF FIRE DEBRIS, Prepared by the IAAI Forensic Science Committee http://www.aurorafire.gov/iaai.htm HOSE (extension - déploiement des boyaux) Where hose must be extended by hand up stairways, over ladders or for some distance across properties, four men other than the pump operator are recommended. [Kimball 1969] Hose Hose is used to deliver water onto a fire and to provide water from hydrants to firefighting apparatus. The types of hose used include handlines, booster lines and large diameter hose. [email protected] Hot and Cold Strokes Two types of lightning bolts. Hot strokes are longer and more likely to start fires; cold strokes are shorter and less likely to start fires. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) HOT TAPPING A sophisticated method of welding on and the cutting of holes through liquid, compressed gas vessels, and piping for the purpose of relieving pressure and/or removing product. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HOT ZONE An area immediately surrounding a hazardous materials incident, which extends far enough to prevent adverse effects from hazardous materials releases to personnel outside the zone. This zone is also referred to as the "exclusion zone", the "red zone", and the "restricted zone" in other documents. (NFPA 472, 1-3) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HUILE À CHAUFFAGE No.2 - incendiat (voir Heating Oil) Si le premier aliment de l'incendie s'avère l'huile à chauffage (ou un autre liquide combustible ou inflammable - hydrocarbure), on pourra dire que le feu n'a pas couvé parce que l 'huile à chauffage s'allume ou ne s'allume pas. Il n'y a pas de phase intermédiaire pour un hydrocarbure et ce sont les toutes premières fumées que les témoins sur place percevront. [H. Chicoine 1992] Humus Layer Decomposed organic matter that is found in the top layer of soil. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) HYDRANT Another too frequent cause of poor performance is the failure to connect pumpers to hydrants with hose capable of carrying the desired volume of water. Pumpers can utilize all the water available at a single hydrant provided that the proper supply connections have been made. Available flows from hydrants are calculated on the basis of 20 psi residual pressure. In most cases, a short length of supply hose of not less than 4-inch diameter should be connected to the large pumper outlet on the hydrant. For efficient pump operation and to avoid the possibility of damage due to cavitation, a residual pressure of at least 10 psi on the suction side of the pump is desirable.[Kimball 1969] Hydrant An upright metal casting connected to a water supply system and equipped with one or more valved outlets to which a pumper or hoseline can be connected. [email protected] HYDROCARBON (Hydro Cut) A hydrocarbon is any organic compound composed solely of Carbon and Hydrogen. Hydrocarbons include aliphatic compounds, in which the carbon atoms form a chain, and Aromatic Compounds, in which the carbon atoms form stable rings. The aliphatic group is divided into alkanes (e.g., Methane and Propane), alkenes, and alkynes (e.g., Acetylene), depending on whether the molecules of the compounds contain, respectively, only single bonds, one or more carbon-carbon double bonds, or one or more carbon-carbon triple bonds. Petroleum distillation yields useful fractions that are hydrocarbon mixtures, e.g. Natural Gas, Gasoline, Kerosene, home heating oil, lubricating oils, Paraffin, and asphalt. Coal Tar is also a source of hydrocarbons. Hydrocarbon derivatives contain additional elements, e.g., oxygen, and include Alcohols, aldehydes, ketones, carboxylic acids, and halocarbons.(Hydro Cut General Terminology Resource Information) HYDROCARBON (IAAI) A organic compound containing only carbon and hydrogen. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) HYDROCARBURES Les hydrocarbures sont des composés qui ne contiennent que des atomes de carbone et des atomes d'hydrogène. L'hydrocarbure le plus simple est le méthaneCH4. Le méthane est un gaz qui se trouve dans le gaz naturel et qu'on utilise comme combustible. (voir Méthane et voir Paraffine) [Pauling 1958] HYDROCARBURES CYCLIQUES Le cyclohexane C6H12 représente un type d'hydrocarbure cyclique. C'est un liquide volatil de propriétés très semblable à l'hexane normal (essence). [Pauling 1958] HYDROCARBURES POUR FINS D'ÉCLAIRAGE Quelque temps avant que l'on ne commence des expériences avec les hydrocarbures pour fins d'éclairage, on avait observé les propriétés éclairantes de la houille. En 1850, James Young obtint un brevet [anglais] pour un procédé de distillation de la houille et des produits de cette distillation, qu'il nomma huile de paraffine. Un brevet américain à l'égard de cette méthode et de l'huile susmentionnée lui fut accordé en 1852. En 1846, Abraham Gesner obtint une huile qu'il nomma kérosène en utilisant un procédé différent de distillation de la houille; cependant, il ne fit breveter son invention qu'en 1854. Des découvertes indiquant que les constituants du pétrole étaient similaires à ceux du charbon distillé et que le pétrole pouvait être extrait du sol par forage comme dans le cas du sel amenèrent l'exploitation pétrolière et le raffinage du pétrole. Vers 1857-1858, la prolifération des puits de pétrole et des raffineries contribua à abaisser le prix du kérosène et à assurer son approvisionnement; de plus, les avantages inhérents de ce combustible pour l'éclairage favorisèrent son utilisation. Dès 1864, le kérosène était le combustible à lampe le plus utilisé en Amérique du Nord. Le kérosène peut être brûlé sans danger [d'explosion] dans un réservoir de presque n'importe quelle forme. [Appareils d'éclairage, 1984] HYDROGEN Hydrogen (H) is a gaseous element, discovered by Henry Cavendish in 1766. The first element on the Periodic Table, hydrogen is colorless, odorless, tasteless, slightly soluble in water, and highly explosive. The hot flame produced by a mixture of oxygen and hydrogen is used in welding, and in melting quartz and glass. Normal hydrogen is diatomic (Allotropy). The most abundant element in the universe, hydrogen is the major fuel in fusion reactions of the Sun and other Stars. Atmospheric hydrogen has three isotopes: protium (nucleus: one proton), the most common; deuterium, or heavy hydrogen (nucleus: one proton and one neutron), used in particle accelerators and as a tracer for studying chemical-reaction mechanisms; and tritium (nucleus: one proton and two neutrons), a radioactive gas used in the hydrogen bomb, in luminous paints, and as a tracer. Hydrogen's principal use is in the synthesis of Ammonia; liquid hydrogen has been greatly used as a rocket fuel, in conjunction with oxygen or fluorine. Deuterium oxide, or heavy water, is used as a moderator in nuclear reactors. Element. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) HYDROGEN (IAAI) The simplest element. Atomic Number 1. Hydrogen gas has a specific gravity of 0.0694 (air = 1), so it is much lighter than air. Hydrogen is highly flammable, forming water upon combustion. Explosive limits are 4% to 75%. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) HYDROGÈNE Du grec "hudôr", eau et "gennân", engendrer. Appartient au groupe 1. C'est l'élément de loin le 2 plus abondant dans l'univers (90% de la masse) et aussi le plus léger. Un de ses isotopes, H (deutérium, composant de l'eau lourde, D2O) est utilisé dans les centrales nucléaires qui 3 produisent aussi du H (tritium), utilisé pour la production de bombes atomiques. Parmi ses nombreux usages, citons aussi la production d'acide chlorhydrique, la réduction des minerais métalliques. Il est aussi très employé en cryogénie et dans les études sur la supraconductivité car son point de fusion est à peine plus élevé que le zéro absolu. Composant de l'eau, il est donc essentiel à toute vie sur la Terre et est présent dans tous les composés organiques. Non toxique, il est cependant dangereux à manipuler à cause des dangers de feu et d'explosion quand il est mélangé à l'air ou à l'oxygène. (Ivan Noels,[email protected]) HYGROSCOPIC A substance that has the property of absorbing moisture from the air, such as silica gel.HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HYPERGOLIC Two chemical substances that spontaneously ignite upon mixing. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 HYPERMÉDIA nm, adj (informatique) [hypermedia ] Système combinant plusieurs technologies capables de produire et diffuser du son, de la parole, du texte, de l'image fixe ou animée, etc... avec un choix du type d'information consultée ou enregistrée fait selon un mode hypertexte. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) HYPERTEXTE nm, adj (informatique) [ hypertext ] Un mode d'écriture ou de lecture non-linéaire, à base d'unités ou de modules et de liens associatifs (référentiels ou hiérarchiques) entre ces modules, habituellement réalisée à l'aide d'un logiciel spécifique. Un ensemble de fragments de textes reliés entre eux par des mots-clés permettant des choix de directions et d'approfondissement. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) HYPOTHÈSES, THÉORIES ET LOIS (Pauling 1958) Lorsqu'on s'est aperçu qu'un certain nombre de faits empiriques pouvaient être reliés ou expliqués par une représentation schématique ou une équation mathématique, on considère ces dernières comme une hypothèse, et on la soumet à des vérifications ultérieures; on contrôle expérimentalement tout ce qu'on peut en déduire. Si elle continue de cadrer avec les résultats de l'expérience, l'hypothèse mérite le nom de théorie ou de loi. ...Signalons que le terme théorie peut être employé sous deux sens différents: le premier est celui que nous avons donné plus haut, c'est-à-dire une hypothèse vérifiée à un certain degré. Mais on emploie aussi le mot théorie pour représenter un corps de doctrine comprenant des faits, des lois, des théories au sens restreint précédent, des déductions, etc. ...L'existence des atomes est maintenant considéré comme une réalité. [Pauling 1958] -IIATA Association du transport aérien international (Canutec) IGNITABLE MATERIAL Any material having, as a liquid, a flash point less than 140o F or, if not a liquid, is capable of causing fire through friction, absorption of moisture or spontaneous chemical changes. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 IGNITION [Friedman 1989] The onset of combustion. [Friedman 1989] IGNITION (IAAI) The means by which burning is started. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) IGNITION TEMPERATURE (IAAI) The minimum temperature to which a fuel must be heated in order to initiate of cause self sustained combustion independent of another heat source. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) IGNITION TEMPERATURE [NFPA 921 - 1992] Minimum surface temperature a substance must attain in order to ignite under specific TEST CONDITIONS. ... The ignition temperature determined in a standard test is normally lower than the ignition temperature in an actual fire scenario. [NFPA 921 - 1992] IGNITION TEMPERATURE (CAL EMR) The minimum temperature at which a material will ignite without a spark or flame being present. This is also the temperature the ignition source must be. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 IMMEDIATELY DANGEROUS TO LIFE OR HEALTH (IDLH) An atmospheric concentration of any toxic, corrosive or asphyxiant substance that poses an immediate threat to life or would cause irreversible or delayed adverse health effects or would interfere with an individual's ability to escape from a dangerous atmosphere. (8 CCR 5192(a)3) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 IMMISCIBLE Describes substances of the same phase or state of matter (usually liquids) that cannot be uniformly mixed or blended.(Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) IMPEDED EGRESS ZONE means a supervised area in which occupants have free movement but require the release, by security personnel, of security doors at the boundary before they are able to leave the area, but does not include a contained use area. (Ontario Fire Code 1996) IMPLOSION The opposite of explosion; an inward burst of particles, fragments, etc., due to reduced pressure.(Hydro Cut General Terminology Resource Information) INCENDIARIES Substances or mixtures of substances consisting of a fuel and an oxidiser used to initiate a fire. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) INCENDIARY FIRES Fire set by human hands. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) INCENDIARY 1) Chemical agent used primarily for igniting combustible substances with which it is in contact by generating sufficient heat to cause ignition. 2) Filling for incendiary munitions such as shells, bombs, grenades and flame throwers. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) INCENDIAT (dispositions sur l') .1 Les dispositions sur l'incendie devraient interdire toute conduite qui provoque un incendie ou une explosion entraînant la détérioration ou la destruction de biens. .2 L'élément moral de l'infraction d'incendie devrait consister dans l'intention ou l'insouciance. .3 Les dispositions sur l'incendie devraient viser la détérioration ou la destruction par le feu ou l'explosion de tout bien corporel, quel qu'il soit. .4 Les dispositions sur l'incendie devraient protéger le bien d'autrui; cette expression se verra donner le même sens que pour le vandalisme, le vol et la fraude. .5 L'infraction d'incendie devrait exposer son auteur à une peine maximale plus sévère que l'infraction générale de vandalisme. [Réforme du droit canadien, doc.36, 1984] INCENDIE incendie accidentel : Feu qui se développe sans contrôle dans le temps et l'espace. La troisième source de difficultés pour l'étude systématique de ce phénomène est liée à l'établissement et à l'analyse des statistiques nationales d'incendie volontaire ou accidentel. Incendie : Un feu destructeur ou non contrôlé, y compris les feux causés par le roussissement et l'explosion de matières combustibles à l'état solide ou de poussière, de liquides inflammables et de gaz. Incendie : Feu accidentel capable d'un grand développement. Incendie : Combustion qui se développe sans contrôle dans le temps et dans l'espace. incendie criminel ou malveillant : Destruction volontaire de biens par le feu. Acte de celui qui allume un incendie par fraude, par malveillance ou pour d'autres motifs délictueux. &laqnoCrime d'incendie» est le terme employé dans le Code criminel. &laqnoincendie volontaire» : Ce crime est connu sous ce nom en droit pénal français. ((Selon ISO)) Il n'existe pas d'équivalent français de terme anglais "arson". incendie électrique : incendie de matériel électrique. Feu sur appareillages électriques sous tension, dont l'extinction exige des produits extincteurs ayant un pouvoir diélectrique en rapport avec les tensions en présence. Les termes "feu de classe C" et "feu électrique" sont uniformisés par Canadien Pacifique Ltée. "incendie de matériel électrique" : glossaire multilingue de l'exploitation du gaz, p. 197. Classe C : Ce sont les feux de gaz. Noter que la classification des feux européenne diffère de la classification nord-américaine au niveau de la classe C quant aux matériaux en cause; la désignation "Classe C" demeure alors que les désignations descriptives portent à confusion. incendie dû à la foudre : (...) on porte de l'intérêt aux trois éléments suivants : causes inconnues, causes accidentelles, imprudences, qui constituent à eux seuls les 4/5 de la totalité des incendies dans une année de type classique (...) Le 1/5 restant pouvant être divisé de la façon suivante : 80% dus à la foudre (causes naturelles) et deux fois 10% pour les reprises et la malveillance (...) (Les Incendies de forêts, Paris : École nationale du génie rural, des eaux et des forêts, 1975) incendie d'origine inconnue : Si on y ajoute la moitié des incendies d'origine inconnue de la même année, on parvient à une estimation supérieure à 502 000 incendies avec des pertes matérielles évaluées à près de 1,3 milliard de dollars. (Gendarmerie royale du Canada,1200, promenade Alta Vista, Ottawa (Ontario), Canada K1A 0R2 (613)993-8499 GRC - Sous-direction de la traduction) INCENDIE (Gayet 1973) L'incendie est une combustion vive qui se propage, principalement, sous l'effet des flammes qu'elle produit, et détruit toutes les matières combustibles sur son passage.[Gayet 1973] INCENDIE (élément matériel de l') C'est pourquoi nous donnerions à l'élément matériel de l'incendie la définition suivante: provoquer un incendie ou une explosion entraînant la détérioration ou la destruction de biens [Réforme du droit canadien, doc.36, 1984] INCENDIE DE BÂTIMENT (Gayet 1973) La plupart des incendies, notamment ceux qui se déclarent à l'intérieur des bâtiments (habitations, magasins, bureaux, ateliers, salles de spectacles), constituent un cas particulier de la combustion des solides, et plus précisément de ceux qui brûlent avec flamme. Ils se développent suivant une réaction en chaîne, qui, une fois amorcée, s'accélère et tend à se généraliser; mais leur combustion s'effectue dans des conditions imparfaites, avec un rendement thermique très médiocre, et une quantité appréciable de gaz de distilation et d'oxyde de carbone reste imbrûlée.[Gayet 1973] INCENDIE DE CAUSE INDÉTERMINÉE [Richer 1989] Tout incendie dont les signes objectifs et subjectifs ne permettent pas d'en déterminer la cause exacte. Il est l'objet d'une enquête criminelle. [Richer 1989] INCIDENT An event involving a hazardous material or a release or potential release of a hazardous material. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 INCIDENT ACTION PLAN A plan which is initially prepared at the first meeting of emergency personnel who have responded to an incident. The Incident Action Plan contains general control objectives reflecting overall incident strategy and specific action plans. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 Incident Command System (ICS) A management system of procedures for controlling personnel, facilities, equipment and communications from different agencies to work together towards a common goal in an effective and efficient manner. Is the chain of leadership and command at the scene of an [email protected] INCIDENTAL ACCELERANTS Flammable or combustible liquids which are usual and incidental to an area where they are detected. Gasoline is incidental to an area where gasoline powered appliances are kept. Kerosene is incidental to an area where a kerosene heater is kept. Flammable liquids may also comprise a part of a product such as insecticide, furniture polish, or paint. Additionally certain ----- containing building materials may yield ------ of fuel oil components. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) INCIDENT COMMAND A disciplined method of management established for the specific purpose of control and direction of resources and personnel.HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 INCIDENT COMMANDER (I.C.)/SCENE MANAGER (S.M.) The person responsible for all decisions relating to the management of the incident.HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 INCIDENT COMMAND SYSTEM (ICS) An organized system of roles, responsibilities, and standard operating procedures used to manage and direct emergency operations.HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 INCOMBUSTIBLE ...se dit d'un matériau qui ne s'enflamme pas, ou qui cause une augmentation de température de moins de 65F / 18,3 C, dans le four d'essai, lorsqu'il est soumis à l'essai selon la norme ACNOR / CSA B 54.1-1972 - Determination of Noncombustibility in Building Materials.(Code du bâtiment du Québec, 1976) [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] INCRIMINATION Il reste à savoir quelle forme devrait prendre les textes d'incrimination en la matière. Trois solutions nous paraissent envisageables. En premier lieu, il pourrait y avoir une infraction spécifique d'incendie, visant tout à la fois les cas de fraude, les atteintes aux personnes et aux biens et à la mise en danger des personnes et des biens. En deuxième lieu, il serait possible d'incriminer distinctement chacune des composantes de l'infraction, à savoir : 1. la fraude 2. l'homicide intentionnel ou par insouciance .3 les voies de fait sausant des lésions corporelles .4 la mise en danger des personnes humaines .5 le vandalisme et .6 la mise en danger des biens. Enfin, une troisième solution consisterait à n'interdire que certaines de ces conduites : est-il vraiment nécessaire, par exemple, d'incriminer la simple mise en danger de biens quand aucun dommage n'en résulte? ... Le fait d'endommager volontairement ou par insouciance un bien par le feu ne soulève aucune difficulté : cet acte peut aisément être classé dans une sous catégorie d'actes de vandalisme appelée &laqnoincendie». La fraude, en revanche, devrait simplement être considérée comme une infraction participant de la malhonnêteté et, de la même façon, les actes entraînant la mort ou des blessures relèveraient logiquement des infractions contre les personnes. Force est de conclure que la plupart des types de conduite habituellement associés à l'infraction d'incendie devraient être visés par les dispositions de la partie spéciale relatives à l'homicide, aux voies de fait, à la mise en danger de vies humaines et enfin à la fraude. C'est pourquoi l'infraction d'incendie doit être réduite à ses éléments essentiels : le fait d'endommager intentionnellement ou par insouciance un bien au moyen du feu. ... Or, si l'on souhaite un Code qui soit le plus clair et logique possible, il convient de ne garder que la forme d'incendie la plus simple, soit le fait de provoquer un incendie ou une explosion entraînant la détérioration ou la destruction du bien d'autrui. Lorsqu'une personne (ou son mandataire) met le feu à son propre bien, elle pourra tout de même, rappelons-le, être accusée d'une infraction même si l'acte n'est pas interdit en soi. Par exemple, si le feu endommage la propriété d'autrui et que le prévenu ait prévu cette conséquence, il pourra être inculpé d'incendie. Si d'autre part des personnes sont mises en danger ou blessées, des poursuites pourront être intentées pour infraction contre les personnes. Si le prévenu avait le dessein de frauder une compagnie d'assurances ou une autre personne, il pourra être accusé de fraude ou de tentative de fraude. Enfin, lorsque l'incendie s'inscrit dans le cadre d'une fraude importante, le prévenu et son mandataire pourront être inculpés de complot en vue de commettre une fraude. [Réforme du droit canadien, doc.36, 1984] INDICATEURS DE PERFORMANCE / performance indicators Les indicateurs constituent des critères, des points de repères qui permettent de constater la progression vers un but défini. Il doit y avoir un lien entre l'indicateur et l'objectif à atteindre, on cherche à mesurer le progrès réalisé. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) INDICE DE PROPAGATION DES FLAMMES ...valeur exprimant le taux de propagation des flammes à la surface d'un matériau ou d'un élément de construction, déterminé conformément à l'article 3.1.10.1 [ASTM E 84-70; ULC S 102197; UL 723 (1971); NFPA 255-1972] (Code du bâtiment du Québec, 1976) [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] INDICES (interprétation des) Où l'on apprend qu'un feu, c'est d'abord un foyer d'incendie qui a été contenu ou non dans un local où il a pris de l'ampleur. Au nombre des éléments fondamentaux inhérents aux incendies de bâtiment, il y a la formation d'un foyer d'incendie à partir duquel le feu rayonne et se propage par convection: les gaz, la fumée et la chaleur sont entraînés vers le haut irrémédiablement, quels que soient les obstacles sur leur chemin. Le feu laisse derrière lui une trace dont on peut identifier la direction (vecteurs) quand le foyer d'incendie lui même a été identifié, documenté et reconstitué. Parfois, au cours d'un incendie dans une structure incombustible, on parvient à suivre plus longuement la course du feu, à tel point que non seulement peut-on identifier la ou les voies de propagation disponibles, mais aussi les vecteurs d'incendie, c'est-à-dire la direction que prendra de toute manière le feu si on ne parvient pas à l'éteindre. Dans les bâtiments de construit combustible, le vecteur initial s'applique généralement au droit du foyer d'incendie, comme s'il s'agissait d'une chandelle. C'est pourquoi l'effondrement ou l'affaissement d'une toiture ou d'une structure présente une configuration géométrique qu'il faut documenter avec soin sous tous les angles accessibles. On obtient à cet examen des indices valables concernant le foyer d'incendie que l'on pourra reconnaitre et faire valoir à la fin du processus de recherche en les incluant au diagnostic. En fait, cette analyse est indispensable même en cas d'évaluation d'un combat d'incendie, et, de plus, ce premier coup d'oeil donne la mesure du chantier dans lequel on s'apprête à pénétrer. L'examen et l'interprétation de la géométrie de l'effondrement ou de l'affaissement doit bien sûr tenir compte de la structure ou charpente du bâtiment, incluant la composition de la toiture et de tous les aménagements du bâtiment. On peut dire que commence alors le travail de reconnaissance du bâtiment. À la recherche du feu et de sa propagation dans le bâtiment, il n'y a pas de doute que le chercheur s'intéressera à la construction de ce dernier et fera les relevés nécessaires pour élaborer des plans adéquats qui serviront à faire état clairement de son diagnostic. Si la connaissance du feu est essentielle au pompier comme au chercheur (combustion, production et transfert de la chaleur, émission et dispersion de la fumée), c'est sur l'objet même du bâtiment que se déroule l'autopsie. Les aires du bâtiment délimitent des *espaces volumétriques* que Layman désigne sous l'expression « atmospheric area ». Ces espaces que l'on considère généralement comme autant de vides, même en présence de meubles et autres objets d'usage courant, sont en fait la substance élastique première, l'air, dont le feu aura besoin. Les matériaux combustibles du bâtiment sont le deuxième élément requis pour l'incendie mais le feu aura encore besoin d'une source auxiliaire d'inflammation. Pour que le feu passe d'un local à l'autre, des ouvertures verticales ou horizontales doivent exister: interstices, portes, fenêtres, corridors, vides techniques, par lesquels la fumée et la chaleur se dissiperont. Toutefois, c'est au droit du foyer que la chaleur la plus intense est appliquée (elle se refroidit tout au long des parcours empruntés, se communiquant aux matériaux sur son passage, pour s'accumuler en général dans les parties hautes du bâtiment), et c'est là, juste au-dessus du foyer, qu'elle trahira le plus souvent la présence de la zone d'origine de l'incendie quand le plafond ou le toit sont dmeurés en place. Dans le cas d'incendies qui ont percé plafonds et planchers successifs d'un bâtiment combustible, on verra en cours de recherche par déblayage soigneux des débris se resserrer le cercle de destruction au fur et à mesure que l'on se rapproche de l'étage ou du niveau initial en cause. Il importe donc, avant même de mettre le pied dans le bâtiment sinistré, de connaître les données les plus fondamentales concernant cette structure: dimensions, orientation cardinale, nombre d'étages, type d'usage selon le *code du bâtiment*, type de structure et nature des matériaux en présence. Les incendies dans les bâtiments non combustibles représentent des cas singuliers, à tel point que l'on a vu des experts par ailleurs compétents y analyser le feu comme s'il s'agissait d'une charpente de bois. On pourrait citer le cas d'un incendie dans un édifice en hauteur où certains ont cru qu'un plancher de béton s'était effondré pour les mêmes raisons qu'un plancher de bois alors que les contours des cassures n'avaient retenu aucune trace de fumée ni subi aucune altération par la chaleur. Attention, les matériaux réagissent différemment au feu. Aux fins de diagnostiquer un incendie, on doit aborder différemment les bâtiments non combustibles et ceux qui sont ventilés artificiellement, c'est-à-dire que l'on doit tenir compte de ces caractéristiques d'une façon prioritaire, incluant le fait que le feu peut s'y développer plus longtemps avant d'être décelé ou avant de se manifester à l'extérieur ; le feu peut s'éteindre faute d'air. Il en va ainsi pour tout bâtiment étanche, qu’il soit combustible ou non combustible. Le plus souvent, les bâtiments sont caractérisés par les fuites d'air, c'est-à-dire les échanges naturels des espaces volumétriques intérieurs avec l'air libre dehors. Lorsqu'un feu se déclare dans un espace volumétrique ou un local proprement dit, toute l'atmosphère intérieure se trouve impliquée par l'action de la chaleur créée et l'augmentation subséquente de la pression. Et si la chaleur et les gaz de combustion trouvent un ou des exutoires naturels par les fissures et ouvertures dans les fenêtres, les portes, les murs et la toiture, les autres interstices situés plus bas et non sollicités à cet effet serviront à satisfaire l'appel d'air également créé par les besoins du foyer d'incendie. Dans le cas d'un bâtiment étanche, l'air n'arrivera plus au foyer: « L'oxygène est un ingrédient essentiel dans la réaction chimique du feu de telle sorte que le développement d'un feu est limité par les approvisionnements en oxygène. Lorsque ces approvisionnements sont resptrients comme dans le cas extrême d'un feu se déclarant dans une pièce hermétiquement fermée, l'oxygène *disponible* [dans cet espace volumétrique] ne suffit qu'à la combustion d'une très petite quantité de combustible. La chaleur produite ne suffira probablement pas à provoquer des ouvertures qui laisseraient entrer davantage d'air et l'incendie s'éteindra par suite d'une absence d'oxygène.» Depuis plus de trente maintenant au Canada, les architectes, ingénieurs, constructeurs et les municipalités appliquent des normes de construction de plus en plus sécuritaires édictées par les autorités fédérales, provinciales et municipales, et les plans et devis sont élaborés de manière à minimiser les risques de propagation de l'incendie, en contrôlant l'inflammabilité des matériaux servant à la construction, l'inflamabilité des matériaux de recouvrement, et l'installation de barrières au feu. En tout état de cause, « les revêtements [intérieurs] les plus inflammables, toutes autres conditions étant égales, permettent au feu de se propager plus rapidement que les revêtements moins inflammables ». On considère plus particulièrement les revêtements posés sur les surfaces verticales, et on se souvient toujours qu'il faut distinguer entre vecteur ou voie de propagation et les autres manifestations inhérentes qui sont imputables aux appels d'air. Si les revêtements des surfaces verticales et des plafonds d'un bâtiment doivent réduire ou ne pas favoriser la progression des flammes en les alimentant indûment, il en va différemment au foyer de l'incendie, là où se développent des températures élevées qui se maintiendront dans le temps et auxquelles rien ne résistera tant qu'il y aura du combustible et de l'air (les meilleurs assemblages que nous ayons vus ont tout de même résisté plus de deux heures, dans des conditions extrêmes, mais les raccords et joints les mieux faits, correctement protégés par un enduit approprié, et une double paroi de verre épais dans un cadre d'aluminium massif, ont fini par céder). C'est pourquoi on a naturellement pensé à compartimenter les bâtiments en zones distinctes, séparées les unes des autres par des barrières très endurantes et faites de matériaux incombustibles, à tel point que ces secteurs séparés peuvent être considérés comme des bâtiments distincts à l'intérieur d'une même structure. Cette forme d'aménagement vise à interdire la propagation du feu d'un compartiment à l'autre. C'est ainsi, en fonction de la compartimentation ou de l'aménagement des locaux, de la combustibilité des matériaux et de leur degré d'inflammabilité, que le foyer d'incendie se sera développé dans un bâtiment sous examen. Cette approche, lorsqu'elle inclura les systèmes des bâtiments, mettra au premier plan d'analyse l'acquisition des particularités de construction; il est alors plus facile de reconnaître comment le feu y a progressé. Plus précisément, seule une recherche méthodique, comme s'il s'agissait de procéder à une déconstruction systématique du bâtiment, permettra d'en reconstituer l'essentiel. (H. Chicoine, 1997) INDIVIDUAL STORAGE AREA means the area occupied by piles, bin boxes, racks or shelves, including subsidiary aisles providing access to the stored products, which is separated from the adjacent storage by aisles not less than 2.4 m in width. (Ontario Fire Code 1996) INDUSTRIAL OCCUPANCY (Group 'F') means the occupancy or use of a building or part thereof for assembling, fabricating, manufacturing, processing, repairing or storing of goods and materials. (Ontario Fire Code 1996) INDUSTRIES CHIMIQUES (les principales) I. industries chimiques minérales industries du soufre industries des engrais industries électrochimiques et soudières industrie des gaz comprimés autres industries minérales (pigments, silicates) II. industries chimiques organiques industrie des matières plastiques industrie des élastomères et du noir de carbone industrie des produits tensio-actifs industrie des explosifs industrie des matières colorantes industrie pharmaceutique industrie des goudrons et benzols industrie des produits intermédiaires de synthèse III. industries parachimiques industrie des surfaces sensibles industries des détergents, produits d'entretien, phytosanitaires industrie des peintures industrie des huiles essentielles, parfumerie autres (abrasifs, charbons artificiels, charbons actifs, terres activées) (Source : Michel Lagache, L'Économie des industries chimiques, PUF, Paris, 1972) INERT Descriptive of condition of a device that contains no explosive, pyrotechnic or chemical agent. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) INERT GAS Inert gas or noble gas, any of the elements in group 0 of the Periodic Table. In order of increasing atomic number, they are Helium, Neon, Argon, Krypton, Xenon, and Radon . Sometimes called the rare gases (although argon makes up 1% of the atmosphere), they are colorless, odorless, and tasteless. Inert gases have very low chemical activity because their outermost, or valence, electron is complete, containing two electrons in the case of helium and eight in the remaining cases. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) INERTIA Inertia, in physics, the resistance of a body to any alteration in its state of Motion, i.e., the resistance of a body at rest to being set in motion or of a body in motion to any change of speed or direction of motion. Mass. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) INFIRME personne gardée dans un établissement hospitalier ou d'assistance, et qui requiert des soins en raison de son âge ou de son état de santé [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] INFLAMMABLE / INFLAMMABILITÉ On dit qu'une substance est inflammable si elle prend feu facilement et entretient la flamme. Inflammabilité est le mot qui définit la capacité de la substance à prendre feu. (Voir aussi Combustible.) Aux fins du Règlement sur les produits contrôlés, Canada, et de la norme HAZCOM de l'OSHA, États-Unis, les substances inflammables sont divisées selon des critères spécifiques. (Voir Aérosol inflammable, Gaz inflammable, Liquide inflammable, Solide inflammable et Matières inflammables réactives.) Le Règlement sur le transport des marchandises dangereuses (TMD), Canada, et les règlements du Department of Transportation, États-Unis, renferment des critères très semblables quant à la classification des matières inflammables. Au Canada, les codes d'incendie régionaux, provinciaux et nationaux établissent aussi des catégories et des contrôles quant à l'usage des matières inflammables en milieu de travail. (Voir aussi Combustible.) (Canutec) INFRARED RADIATION Infrared radiation is Electromagnetic Radiation having a wavelength in the range of 750 to 1,000,000 nanometers, thus occupying that part of the electromagnetic spectrum with a frequency less than that of red visible Light and greater than that of Microwaves. Infrared radiation is thermal, or heat, radiation, and is produced by any body having a temperature above absolute zero. It has many of the same properties as visible light, such as being reflected or refracted. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) INFRARED SPECTROPHOTOMETRY (IR) An analytical technique which utilises an instrument which passes infrared radiation through a sample or which bounces infrared radiation off the surface of a sample. A very sensitive heat detecting device measures the amount of infrared radiation absorbed as the wavelength of the radiation reaching the detector is changed. IR can give useful information about the type of compounds present in a sample, but it is not capable of precisely identifying a complex mixture. Infrared is very useful in identifying single solvent accelerants. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) INHALATION Absorption par les poumons d'une substance qui a été respirée. (Canutec) INITIAL FIRE ATTACK Except in the largest fire departments, it is not expected that the on-duty force will be adequate to apply the maximum fire flow that may be needed. Normally, beyond a certain capability for initial attack, use of off-duty personnel and response from neighboring fire departments will be required to apply peak fire flows. The ability to hold fires in check until adequate forces can be mobilized often is a critical factor in the extent of the loss. In practically all instances, the prudent minimum initial attack capability on initial response should be sufficient men and equipment to promptly apply a hose stream capacity of 400 to 500 gpm as outlined in NFPA Standard No. 197 "Training for Initial Fire Attack". For operations from more than one position, at least twice as great initial response may be desirable to quickly apply hand lines with a total capacity of 1000 gpm. [Kimball 1969] Initial fire attack team - the minimum complement assembled at the fire scene capable of commencing interior rescue or fire fighting operations. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) INITIAL INCIDENT REPORT(rapport d'intervention) The initial incident report is not intended to be the complete fire record nor to serve as a guide for developing the ignition sequence or the various details pointing to those factors causing or contributing to the ignition or extension of the fire. in addition, it is not intended to provide all of the known fire incident information supportive to a continuing or in-depth investigation. It should also be noted that since the initial report is not intended as a final or complete report, the ignition sequence information reported should only be considered as most probable based on information available to the reporting officer at the time. Any information which later investigation shows to be inaccurate should be corrected on the appropriate reports. [NFPA 901-1981] INSPECT means physical examination to determine that the device or system will apparently perform in accordance with its intended function. (Ontario Fire Code 1996) INSPECTIONS (fire prevention) Fire prevention inspections are conducted by state or local fire department personnel in compliance with laws and ordinances which usually require specific fire inspections. Occupancies normally inspected include places of public assembly, educational, institutional, residential (except the interior of dwellings), mercantile, business, industrial, manufacturing, storage, and special-hazards structures. In addition to such mandatory inspections, the fire department may also conduct voluntary fire inspections, such as home firesafety surveys. [NFPA Handbook 1991] INSTITUTIONAL OCCUPANCY (Group 'B') means the occupancy or use of a building or part thereof by persons who require supervisory care, medical care or medical treatment or by persons who are under restraint for correctional purposes and are incapable of self preservation because of security measures not under their control. (Ontario Fire Code 1996) INTERACTIF adj 1- (informatique) [interactive] : Qualifie les matériels, les programmes ou les conditions d'exploitation qui permettent des actions réciproques en mode dialogué avec des utilisateurs ou en temps réel avec des appareils. synonyme : conversationnel. 2- (sciences humaines) : Qualifie les échanges interhumains où deux ou plusieurs intervenants s'influencent mutuellement par leur apport, par le dialogue, par l'approbation ou la contradiction, etc. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) INTERACTION nf [interaction] 1- (général) Action mutuelle de phénomènes, de choses, d'individus, de groupes entre eux ainsi que les effets qui en résultent. 2- (informatique) Dialogue, état de dépendance étroite (action/réaction) entre l'ordinateur et l'utilisateur. 3- (sciences humaines) Ensemble d'actions sociales orientées vers la réalisation par les partenaires de buts interdépendants, et qui constitue un épisode social et dont la possibilité repose sur la triple réciprocité des perspectives, des motivations et des images. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) INTERACTIVITÉ nf (informatique) [interactivity] Relatif au système d'exploitation et à tout dispositif matériel et logiciel qui autorisent l'instauration d'une communication quasi-dialoguée entre l'utilisateur et son matériel, en vertu du mode de gestion des temps de réponse en amont et aval des traitements et des modifications que l'utilisateur lui apporte. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) INTERFACE nf [interface] 1- (télécommunications) Désigne tout dispositif assurant l'adaptation entre deux équipements et le contrôle des liaisons entre ces équipements, par l'adoption de règles communes, physiques ou logiques. 2- (informatique) Désigne la partie d'un logiciel qui permet à l'utilisateur de contrôler le logiciel et de visualiser les résultats. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) INTERNATIONAL AIR TRANSPORT ASSOCIATION (IATA) An association of air carriers which develop guidelines for transportation of cargo. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 INTERNATIONAL CIVIL AVIATION ORGANIZATION (ICAO) Develops the principles and techniques of international air navigation and fosters the planning and development of international air transport so as to insure safe and orderly growth. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 INTERNET nm (réseaux) - sigle de " Interconnection of networks " 1- (nom commun) Désigne le fait de constituer un réseau étendu par l'interconnexion de réseaux locaux. 2- (nom propre) Désigne l'ensemble des réseaux universitaires, de recherches et commerciaux fonctionnant avec le protocole IP et interconnectés à l'échelle mondiale fournissant un ensemble de services télématiques. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) LesINTERVENANTS (1) (voir Exigence scientifique) Le rôle des services de police - La sécurité. La police est chargée d'assurer la sécurité publique. L'importance de leur engagement est décidée par l'officier de service. Un sinistre attire les curieux qui peuvent être les lésés, des badaux ou des représentants de médias. Les forces de sécurité ont pour mission: de préserver, pour les pompiers et leur équipement, la liberté d'accès au lieu de l'incendie ainsi qu'aux points de ravitaillement en eau; + d'organiser, conjointement avec les services sanitaires, l'évacuation des blessés; + de maintenir la foule à distance suffisante, par barrage ou cordon de sécurité, pour éviter toute entrave à l'action des pompiers, toute blessure due au sinistre lui-même; et afin + d'assurer, dans la mesure du possible, la sauvegarde des moyens de preuve, en isolant le site de l'état. (L'enquête d'incendie, Carrefour Incendie, http://pages.infinit.net/incendie/index.html, nov. 1998) INTERVENTIONS D'URGENCE (maîtrise d'un incendie) Extinction d'un incendie. Demandez immédiatement à quelqu'un d'appeler les pompiers. Si des flammes et de la fumée s'échappent de la cheminée, des murs ou du plafond, quittez la maison en utilisant les voies d'évacuation prévues et allez chercher du secours chez un voisin. Pour étouffer un petit feu d'origine éectrique, chimique ou autre, utilisez un extincteur de classe ABC. Placez-vous à 2 ou 3 mètres du feu, votre dos contre la sortie la plus proche. Tenez l'extincteur bien droit. Tirez sur la tige de blocage de la poignée et dirigez la lance vers la base des flammes. Pressez la poignée et vaporisez dans un mouvement de va-et-vient repide (à gauche) jusqu'à ce que le feu soit éteint. Prenez garde que le feu ne se ravive et soyez prêt à vaporiser de nouveau. Si le feu se propage, quittez la maison.[Guide d'intervention, SÉCURITÉ À DOMICILE, Time-Life Books pour Shell Canada Limitée] Intervention time - the time from fire ignition to the point where the first arriving pumper, or other apparatus providing comparable functions, arrives at the fire scene and directs an extinguishing agent on the fire. For the purposes of this study intervention time is comprised of preburn time, notification time, dispatch time, travel time, set-up time and first application of extinguishing agent. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) INTUMESCENT CHAR In plastics, the swelling and charring which results in a higher ignition point. Used in the preparation of flame retardant materials. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) INTUMESCENT COATING(revêtement intumescent - voir peinture ignifuge) A protective chemical coating, which, when heated, internally generates gases and expands, resulting in a thermally insulating crust that contains cavities. [Friedman 1989] Type of coating which swells and forms bubbles when exposed to intense heat, used to make the coated body self-extinguishing. Fire retardant coatings. ... Water resistant, oil-based, intumescing fire retardant coatings have been developed. (Source : Termium 1994) INVESTIGATE (CAL EMR) To systematically search or inquire into the particulars of an incident, and collect the necessary evidence to seek criminal and/or civil prosecution. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 INVESTIGATION {Droit d'entrer et} 6. Le ministre peut, sous réserve des pouvoirs conférés par la Loi concernant les enquêtes sur les incendies (chapitre E-8) à tout commissaire-enquêteur sur les incendies ayant compétence, entrer, à toute heure raisonnable du jour, dans tout immeuble, privé ou public, pour assurer l'exécution de la présente loi et des règlements qui sont adoptés sous son autorité et faire une investigation sur tout incendie et toute explosion qui a détruit ou endommagé un bâtiment, en vue d'examiner les moyens pris pour prévenir et combattre cet incendie ou cette explosion. Il peut aussi déléguer ce pouvoir, par écrit, à toute personne qu'il désigne pour le territoire qu'il indique. .{Agent de la paix d'office.}. Aux fins de toute investigation, le ministre ou toute personne à qui il a délégué ses pouvoirs, sont d'office agents de la paix. (Chapitre P-23, LOI SUR LA PRÉVENTION DES INCENDIES) INVESTIGATION (voir Fire Investigation) En français, s'emploie surtout dans le langage philosophique et scientifique pour désigner la recherche suivie et ordonnée d'un certain objet. Recherche suivie, systématique, sur quelque objet (...). (Source: Termium 1994) Tous les incendies feront l'objet d'une investigation aux termes du Guide pour l'investigation des incendies et explosions (NFPA 921) afin d'en déterminer l'origine et la séquence d'ignition. Si l'incendie s'avère accidentel, le rapport d'investigation fera état des méthodes pour éliminer ou réduire ce type d'incendie. Si l'incendie présente un profil d'incendiat présumé, une enquête doit être instituée. (H. Chicoine 1998) INVESTIGATION (Accès) Section II - Pouvoirs sur les lieux d'intervention 255.-Interdiction d'accès Le directeur ou son représentant, s'il le juge nécessaire pour la continuation d'une enquête sur les causes et circonstances et/ou lorsque les lieux présentent des dangers pour ceux qui s'y aventureraient, peut demander que le Service de police interdise l'accès des lieux. (Règlement 3400 de la Ville de Sherbrooke) INVESTIGATION (L') Le but est de présenter des éléments nécessaires à l''investigation en matière d'incendie et d'explosion. Des connaissances particulières sont nécessaires aux intervenants appelés à effectuer une analyse détaillée des lieux d'un sinistre et à interpréter les indices recueillis. Les personnes exerçant une activité dans le processus d'une investigation et d'une enquête d'incendie y trouveront une méthode destinée à localiser l'origine sur le site du sinistre, ainsi qu'une démarche scientifique qui permette de déterminer la cause la plus probable de l'incendie ou de l'explosion. (L'enquête d'incendie, Carrefour Incendie, http://pages.infinit.net/incendie/index.html, nov. 1998) INVESTIGATION QUALITY CONTROLS Traditional investigations lack objective quality control procedures for either the investigation work products or the investigation process itself. Quality of work products is controlled primarily by one of several variations of the peer review procedures, and validity is decided by power of persuasion in what is essentially an adversarial process. A second general approach is the "flyfix-fly" approach, where conclusions are tested by repeating the experiment or occurrence or simulating it, and determining from the outcome if the investigation findings "reproduced" the occurrence. Quality control of the investigation process is similarly determined. In the absence of objective quality control criteria, and procedures to apply those criteria, consistent investigation performance and outputs should not be expected. The multilinear events sequence-based (MESbased) investigation process provides new opportunities for controlling the quality of the INVESTIGATION and its WORK PRODUCTS, including the description and explanation of what happened, recommendations flowing from the investigation, investigation reports, and effectiveness of the control actions implemented. The primary quality control vehicles are the MES-based Worksheet and work products developed from that worksheet. These Investigation Quality Control (IQC) procedures constitute an essential element of the MES-based investigation process, and provide a way to check reports resulting from other methods. (Ludwig Benner, MES Guide 10, GUIDANCE FOR PERFORMING INVESTIGATION QUALITY CONTROL TASKS, 1998) ION An atom, molecule or radical that has lost or gained one or more electrons, thus acquiring an electric charge. Positively charged ions are cations; negatively charged ions are anions. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) IP (réseaux) - sigle de " internet protocol " Protocole de la couche 3 de l'ISO. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) ISDN (télécommunications, réseaux) sigle de " integrated services digital network " voir : RNIS. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) ISO 1- (réseaux, télécommunications) sigle de " interconnexion des systèmes ouverts ". Modèle de référence de l'OSI destiné à fournir un cadre conceptuel et normatif aux échanges entre systèmes hétérogènes. Le modèle comporte 7 couches allant du niveau physique (couche 1) au niveau applicatif (couche 7). 2- sigle de " International Standard Organisation " voir : OS'. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) ISO Organisation internationale de normalisation. (Canutec) ISO Préfixe d'origine grecque &laqnoisos» qui signifie &laqnoégal» (normes communes à tous les pays). Nous utilisons à tort cette signification : International Organization for Standardization / Organisation internationale de normalisation. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) ISOMER One of two or more forms a chemical compound which have the same number and type of each atom but a different arrangement of atoms. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ISOPARAFFINS A mixture of branched alkanes usually available as a narrow 'cut' of a distillation. Exxon manufactures a group of products known as 'Isopars' ranging from Isopar A through Isopar J. These solvent mixtures have a variety of uses. Gulf Oil manufactures a similar series of solvents, the most commonly available of which is Gulf Life Charcoal Starter Fluid which is roughly equivalent to Exxon's Isopar G. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ISOCHRONE adj (télécommunications) [isochronous] Nature d'un service de télécommunications dans lequel les informations nécessitent des paquets de données de même taille transportés dans des intervalles de temps réguliers. Par exemple, la voix, la vidéo nécessitent un service isochrone. voir : asynchrone, synchrone. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) ISOTHERMAL A type of gas chromatographic analysis wherein the column is maintained at a uniform temperature throughout the analysis. (See Programming). (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ISSUE ...partie d'un moyen d'évacuation qui permet de quitter l'étendue de plancher qu'elle dessert et qui conduit directement à une autre étendue de plancher ou à un espace extérieur approuvé.(Code du bâtiment du Québec, 1976) [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] ISSUE HORIZONTALE ...issue qui relie deux étendues de plancher à peu près au même niveau, entièrement séparées l'une de l'autre par un mur coupe-feu (Code du bâtiment du Québec, 1976) [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] -JJake A term used to refer to a good firefighter. One story has the term originating from the corruption of the phrase, "J-key." Years ago, the bed was the most expensive piece of furniture in a dwelling. Since firefighters weren't as good at stopping fire as they are today, they would attempt to remove as many belongings as possible. The bed was too large to carry out in one piece and had to be disassembled using a bed key. The key was shaped like the letter J and called a [email protected] Jaws A generic term applied to a type of rescue tool that can cut, push or pull material (most often pieces of an automobile). Jaws of Life is a synonym, but is the copyrighted product name of Hurst. Holmatro and Amkus are also major manufacturers of [email protected] JOIST Wooden, steel, or reinforced concrete beam placed to support a floor or ceiling in a structure. [Fire Cause Determination, IFSTA 1986] Jump Line A jump line is a handline stored in an extended bumper (also called a jump bumper) and preconnected to the engine to allow for a quicker [email protected] JUSTE À TEMPS / just in time Méthode qui permet d'optimiser les flux de matières à partir d'une commande au fournisseur jusqu'à la livraison du produit chez le client de façon à minimiser les stocks et à diminuer le gaspillage. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) -KKAÏZEN / kaïzen Signifie amélioration continue, c'est une démarche qui vise à accomplir chacune des petites choses le mieux possible en fixant des normes sans cesse plus élevées et en les atteignant. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) KAMBAN / kamban Terme japonais qui signifie étiquette, fiche ou carte. Les cartes sont attachées à des pièces sur la ligne d'assemblage afin de transmettre les ordres de travail ou d'acheminer les commandes. Lorsque les pièces sont terminées, les cartes sont retournées d'où elles viennent et deviennent des commandes pour de nouvelles quantités. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) KBPS Sigle de Kilo bits par seconde (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) KELVIN kelvin, K : Unité SI de température équivalant à la fraction 1/273,16 de la température thermodynamique du point triple de l'eau. Auparavant, cette unité avait reçu le nom "degré Kelvin" parce qu'il était naturel de parler de degrés pour désigner un point dans une "échelle" de température. (...) le kelvin sert aussi bien pour exprimer une température (un degré de l'échelle) que pour exprimer une différence ou un intervalle de température. On dira ainsi que (...) la température du point d'ébullition de l'eau est 373,15 Kelvins (...). Dans l'usage courant, on utilise l'échelle Celsius, qui s'obtient en retranchant 273,15 des températures exprimées en kelvins, et dont l'unité est le degré Celsius. (Source : Termium 1994) KEROSENE(#1 Fuel Oil) Flash point generally between 100 and 150 degrees F. Explosive limits of 0.7% to 5.0%. Kerosene consists mostly of C9 through C17 hydrocarbons. In order to be identified as kerosene, a sample extract must exhibit a homologous series five consecutive normal alkanes between C9 and C17. Kerosene is the most common 'incidental' accelerant, as it is used in numerous household products ranging from charcoal lighter fluid to lamp oil to paint thinner to insecticide carriers. It is also used as jet fuel. K-1 kerosene has a low sulfur content required for use in portable space heaters. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) KEROSINE Kerosene or kerosine, a colorless, thin oil that is less dense than water. It is a mixture of Hydrocarbons commonly obtained in the fractional Distillation of Petroleum, but also from coal, oil shale, and wood. Once the most important refinery product because of its use in lamps, kerosene is now used chiefly as a carrier in insecticide sprays and as a fuel in jet engines. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) KETONE A type of organic compound having a carbonyl functional group (C=O) attached to two alkyl groups. Acetone is the simplest example of a ketone. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) -LLABORATOIRE DE SCIENCES JUDICIAIRES ET DE MÉDECINE LÉGALE Le Laboratoire de sciences judiciaires et de médecine légale constitue un élément indispensable des rouages de l'administration de la justice et ce, depuis plusieurs années déjà. En effet, ce Laboratoire, a été créé en 1914 et a constitué dans les faits le premier laboratoire de médecine légale en Amérique du Nord. Au cours de ses 84 ans d'existence, le Laboratoire a acquis une grande notoriété dans le milieu des sciences judiciaires et c'est la raison pour laquelle il est fréquent qu'au-delà des services qu'il produit en matière d'administration de la justice pour le compte des policiers-enquêteurs, du Coroner ou des procureurs, on ait de plus en plus recours de par le monde à certaines des expertises qui sont développées ici. [...] Il existe également, au sein du Laboratoire, un service de chimie-physique dont les principales activités ont trait à la balistique, les incendies-explosions et la chimie judiciaire. [...] Entre la mise en place du Laboratoire de médecine légale au début du siècle et l'actuel Laboratoire de sciences judiciaires et de médecine légale, le mandat de l'organisation s'est considérablement accru. La criminalité à laquelle sont confrontés aussi bien les corps policiers que la communauté dans son ensemble est de plus en plus sophistiquée. Qu'il s'agisse de blanchiment d'argent, de crimes informatiques ou encore de crimes économiques, les groupes de criminels sont de plus en plus outillés et organisés en réseau. L'apport d'une organisation comme le Laboratoire de sciences judiciaires et de médecine légale est, dans les circonstances, indispensable au déroulement efficace des enquêtes criminelles et aux poursuites judiciaires qui s'en suivent. Dans le même ordre d'idées, l'environnement juridique complexe dans lequel évoluent aujourd'hui les policiers, notamment en raison de l'existence des Chartes des droits et libertés, fait en sorte qu'il faut désormais de plus en plus pouvoir compter sur des preuves à caractère scientifique. Il en va de l'efficacité du système judiciaire à faire ressortir la culpabilité de personnes qui ont commis des crimes dont parfois seule la science peut percer le mystère.[...] Concrètement, le statut d'unité autonome de service conféré au Laboratoire lui permet une grande flexibilité d'action, d'où une amélioration tangible de la qualité des services à la clientèle. Au surplus, cette transformation a également donné l'opportunité au Laboratoire de pouvoir élargir le bassin de sa clientèle et dans certains cas, de facturer quelques-uns des services offerts dans la mesure où ils sont rendus dans un contexte externe au processus judiciaire. Enfin, dans l'objectif de maintenir ces hauts standards de connaissance et d'expertise, le Laboratoire peut désormais accentuer ses investissements dans la formation de ses spécialistes, notamment par la participation accrue à des séminaires et à des conférences ici ou à l'étranger. [...] Je désire vous rappeler que l'injection d'importantes ressources budgétaires dans l'amélioration de ces locaux du Laboratoire témoigne non seulement de l'importance qu'accorde le gouvernement du Québec à ce secteur d'activités qui est directement au service de l'administration de la justice. [...] Toutefois, si le Laboratoire est devenu un organisme dont la crédibilité et le rayonnement sont synonymes de fierté, c'est en partie dû à la détermination et aux efforts de ses employés. Je profite donc de l'occasion pour les remercier et les féliciter de leur professionnalisme. ALLOCUTION DU MINISTRE DE LA SÉCURITÉ PUBLIQUE, MONSIEUR PIERRE BÉLANGER, PRONONCÉE DANS LE CADRE DE L'INAUGURATION OFFICIELLE DES NOUVEAUX LOCAUX DU LABORATOIRE DE SCIENCES JUDICIAIRES ET DE MÉDECINE LÉGALE (Montréal, le 4 septembre 1998) © Gouvernement du Québec 1998 Ladder Company A ladder company is a combination of a fire truck with an aerial ladder, an assortment of ground ladders and forced entry tools and the manpower used to staff it. Ladder trucks can have straight aerial ladders as short as 65 feet or longer ladders with platforms (buckets) on the end. In many department's ladder companies are responsible for ventilation and forcible entry duties. A standard ladder company will include an officer, driver/operator and two firefighters on a ladder [email protected] LAMINAR FLOW Fluid flow in the absence of turbulence. Also called streamline flow. [Friedman 1989] LAMPE À HUILE La lampe à huile ou bec-de-corbeau a été utilisée universellement depuis les temps les plus anciens. L'une des formes les plus simples d'éclairage, elle ne requiert qu'un récipient ou godet ouvert et peu profond, une mèche et un combustible semi-solide ou liquide. Les lampes à flotte étaient semblables aux lampes à huile en ce sens qu'un récipient peu profond servait de réservoir à combustible. Cependant, au lieu d'être rempli de combustible, il était rempli d'eau et uniquement une petite quantité de combustible liquide y flottait. Une mèche était déposée à la surface par une flotte en bois ou en liège. La lampe s'éteignait elle-même car la mèche se trouvait plongée dans l'eau lorsqu'il ne restait plus de combustible. [Appareils d'éclairage, 1984] LAMPE À MÈCHE VERTICALE Les lampes à mèche verticale comportent un réservoir à combustible fermé et une ouverture dans la partie supérieure pour un brûleur. La principale différence entre les lampes à bec et les lampes à mèche verticale réside dans le fait que le combustible utilisé dans le dernier type de lampe doit être à l'état liquide pour faciliter l'alimentation de la mèche par capillarité. [Appareils d'éclairage, 1984] Large Diameter Hose The biggest hose used by firefighters, large diameter hose (LDH) is sometimes referred to as a water main above ground. LDH is usually 4-5 inches in diameter and is used to supply water from the hydrant to pumper trucks. See also supply [email protected] Leader Line A leader line is a line usually having a gated wye on the end. Leader lines are usually 3 or 2.5 inches in diameter and the wye usually feeds two or three 1.5 or 1.75 inch attack lines. [email protected] LEAN MIXTURE A fuel-air mixture containing more air than required to fully oxidize the fuel molecules (as contrasted with a rich mixture or a stoichiometric mixture). [Friedman 1989] LENS (lentille optique) A device for forming an image of an object by the refraction, or bending, of light. In its simplest form it is a disk of transparent substance, commonly glass, with its two surfaces curved or with one surface plane and the other curved. Generally each curved surfaceùcalled convex if curved outward and concave if curved inwardùof a lens is made as a portion of a spherical surface; the center of the sphere is called the center of curvature (C) of the surface. All rays of light passing through a lens are refracted except those that pass directly through a point called the optical center. A divergent lens (thicker at the edges than at the center) bends parallel light rays passing through it away from each other. The image formed by a diverging lens is always erect (upright), smaller than the object, and virtual (located on the same side of the lens as the object). A convergent lens (thicker at the center than at the edges) bends parallel light rays toward one another; if they are parallel to the principal axis of the lens, they converge to a common point, or focus (F), behind the lens. The image formed by a converging lens depends on the position of the object relative to the lens's focal length (distance between the focus and the optical center) and its center of curvature. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) LEVEL OF PROTECTION In addition to appropriate respiratory protection, designations of types of personal protective equipment to be worn based on NFPA standards. Level A: Vapor protective suit for hazardous chemical emergencies. Level B: Liquid splash protective suit for hazardous chemical emergencies. Level C: Limited use protective suit for hazardous chemical emergencies. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 LEVEL ONE INCIDENT Hazardous materials incidents which can be correctly contained, extinguished, and/or abated utilizing equipment, supplies, and resources immediately available to first responders having jurisdiction, and whose qualifications are limited to and do not exceed the scope of training as explained in 8 CCR 5192, or California Government Code (CGC), Chapter 1503, with reference to "First Responder, Operational Level". HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 LEVEL TWO INCIDENT Hazardous materials incidents which can only be identified, tested, sampled, contained, extinguished, and/or abated utilizing the resources of a Hazardous Materials Response Team, which requires the use of specialized chemical protective clothing, and whose qualifications are explained in 8 CCR 5192, or California Government Code (CGC), Chapter 1503, with reference to "Hazardous Materials Technician Level". HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 LEVEL THREE INCIDENT A hazardous materials incident which is beyond the controlling capabilities of a Hazardous Materials Response Team (Technician or Specialist Level) whose qualifications are explained in 8 CCR 5192, or California Government Code, Chapter 1503; and/or requires the use of two or more Hazardous Materials Response Teams; and/or must be additionally assisted by qualified specialty teams or individuals. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 LIGHT (lumière) Light, that part of Electromagnetic Radiation to which the human eye is sensitive. The wavelengths of visible light range from c.400 to c.750 nanometers. If white light, which contains all wavelengths, is separated into a Spectrum, each wavelength is seen to correspond to a different Color. The scientific study of the behavior of light is called Optics; it covers Reflection of light by a Mirror or other object, Refraction of light by a Lens or Prism, and Diffraction of light as it passes by an opaque object. Christiaan Huygens proposed (1690) a theory that explained light as a Wave phenomenon. Isaac Newton, however, held (1704) that light is composed of tiny particles, or corpuscles, emitted by luminous bodies. By combining his corpuscular theory with his laws of mechanics, he was able to explain many optical phenomena. Newton's corpuscular theory of light was favored over the wave theory until important experiments, which could be interpreted only in terms of the wave theory, were done on the diffraction and Interference of light by Thomas Young (1801) and A.J. Fresnel (1814û15). In the 19th century the wave theory became the dominant theory of the nature of light. The electromagnetic theory of James Clerk Maxwell (1864) supported the view that visible light is a form of Electromagnetic Radiation. With the acceptance of the electromagnetic theory of light, only two general problems remained. It was assumed that a massless medium, the Ether, was the carrier of light waves, just as air or water carries sound waves. The famous experiments (1881û87) by A.A. Michelson and E.W. Morley, in which they tried unsuccessfully to measure the velocity of the earth with respect to this medium, failed to support the ether hypothesis. With his special theory of Relativity, Albert Einstein showed (1905) that the ether was unnecessary to the electromagnetic theory. Also in 1905, Einstein, in order to explain the Photoelectric Effect, suggested that light, as well as other forms of electromagnetic radiation, travel as tiny bundles of energy, called light quanta, or Photons, that behave as particles (Quatum Theory). Light thus behaves as a wave, as in diffraction and interference phenomena, or as a stream of particles, as in the photoelectric effect. The theory of relativity predicts that the speed of light in a vacuum (186,282 mi/sec = 299,792.458 km/sec) is the limiting velocity for material particles. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) Light Force Term used by Los Angeles Fire Department when a tillered fire truck and a fire engine used to pump water for the truck respond together. The engine in a light force will be assigned a number 200 higher than the station number and is staffed by an engineer only. Example: There are four rigs stationed at LAFD Station 20 (Engine 20, Truck 20, Engine 220 & Rescue 20). When Truck 20 and Engine 220 respond together, it's referred to as Light Force 20. If Engine 20 responded with the light force, all three rigs would be referred to as Task Force 20. [email protected] LIGHTNING (foudre) Lightning, electrical discharge accompanied by Thunder, commonly occurring during a Thunderstorm. The discharge may take place between two parts of the same cloud, between two clouds, or between a cloud and the earth. Lightning may appear as a jagged streak (forked lightning), as a vast flash in the sky (sheet lightning), or, rarely, as a brilliant ball (ball lightning). The electrical nature of lightning was proved by Benjamin Franklin in his famous kite experiment of 1752. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) L.I.E. Limite inférieure d'explosivité (voir Limites d'explosivité) (Canutec) L.I.I. Limite inférieure d'inflammabilité (voir Limites d'explosivité) (Canutec) LIMITES D'EXPLOSIVITÉ / LIMITES D'INFLAMMABILITÉ Ces limites précisent la gamme des concentrations auxquelles la substance qui se trouve dans l'air peut prendre feu en présence d'une étincelle ou d'une flamme. On les appelle aussi limites d'inflammabilité. La limite inférieure d'explosivité (LIE) ou limite inférieure d'inflammabilité (LII) est la plus faible concentration de gaz ou de vapeur à laquelle la substance peut prendre feu ou exploser en présence d'une étincelle ou d'une flamme. La limite supérieure d'explosivité (LSE) ou limite supérieure d'inflammabilité (LSI) est la plus forte concentration de gaz ou de vapeur à laquelle la substance peut prendre feu ou exploser en présence d'une étincelle ou d'une flamme. Lorsque la concentration se situe entre la LIE et la LSE, on dit que le mélange est explosif. Lorsque la concentration est inférieure à la LIE, le mélange est trop "faible" pour brûler. Lorsque la concentration est supérieure à la LSE, le mélange est trop "riche" pour brûler; cependant la concentration est malgré tout dangereuse, car elle peut être réduite de manière à entrer dans la gamme des concentrations dangereuses (par exemple si de l'air frais est introduit). En réalité, les limites d'explosivité varient car elles dépendent de divers facteurs, notamment la température ambiante. Par conséquent, les valeurs indiquées dans les FTSS sont approximatives. Les limites d'explosivité sont ordinairement exprimées comme pourcentage de la substance dans l'air. Un pour cent par volume égale 10 000 ppm. Par exemple, l'essence a une LIE de 1,4% et une LSE de 7,6%, ce qui veut dire que les vapeurs d'essence dont la concentration se situe entre 1,4% et 7,6% (14 000 à 76 000 ppm) sont inflammables ou explosives. (Canutec) LIMITES D'INFLAMMABILITÉ Voir Limites d'explosivité. (Canutec) LIQUID A state of matter in which the molecules are in contact with one another but can move freely among one another. [Friedman 1989] LIQUIDE COMBUSTIBLE Le Règlement sur les produits contrôlés, Canada, définit comme combustibles les liquides dont le point d'éclair se situe entre 37,8 et 93,3 degrés C (100 et 200 degrés F) dans des tests en coupelle fermée. Aux États-Unis, la norme HAZCOM de l'OSHA utilise une définition semblable. Ces températures sont nettement supérieures à la température normale d'une pièce. Les liquides combustibles sont donc un peu moins dangereux que les liquides inflammables. Si un tel liquide risque d'être porté à une température approchant son point d'éclair, il faut prendre les précautions nécessaires pour prévenir l'incendie et l'explosion. (Canutec) LIQUIDE INFLAMMABLE Un liquide inflammable est un liquide qui dégage des vapeurs susceptibles de prendre feu facilement à des températures courantes en milieu de travail. Aux termes du Règlement sur les produits contrôlés, Canada, un liquide inflammable est un liquide dont le point d'éclair est inférieur à 37,8 degrés C (100 degrés F) (coupelle fermée). La norme HAZCOM de l'OSHA aux États-Unis utilise une définition semblable, bien qu'elle ne soit pas identique. Les liquides inflammables peuvent être extrêmement dangereux en milieu de travail. Par exemple: - Si la ventilation est inadéquate, leurs vapeurs peuvent parcourir une distance considérable pour parvenir à une étincelle ou à une flamme et produire un retour de flamme. - L'eau ne se prête pas toujours à l'extinction d'un feu alimenté par un liquide inflammable, car il peut être impossible de faire ainsi baisser la température du liquide plus bas que son point d'éclair. (Canutec) LIQUID FUELS Fuels in a liquid state. They may be used with oxidizers to form explosive materials.(Hydro Cut General Terminology Resource Information) LISTEDmeans equipment or materials included in a list published by a certification organization accredited by the Standards Council of Canada. (Ontario Fire Code 1996) LITHIUM Du grec "lithos", pierre. Appartient au groupe 1. De la famille des métaux alcalins, le lithium est un solide de densité égale à environ la moitié de celle de l'eau. Fraîchement coupé, il est argenté mais il se ternit dans la minute qui suit son exposition à l'air. Il est utilisé avec l'aluminium et le magnésium pour la production d'alliages légers. On l'emploie aussi dans les piles, dans certaines graisses ainsi que comme lubrifiant. Certains de ses composés, comme le carbonate de lithium, sont utilisés en médecine pour traiter les désordres maniaco-dépressifs. (merci professeur Mokeur pour cette belle Fleur de Lithium; (Ivan Noels, [email protected]) Litter The dead debris, including pine cones, pine needles, branches and other material, that covers the ground under a forest or shrub area. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) L.N.G. Liquified natural gas (primarily methane). [Friedman 1989] LOCAL DISASTER PLAN A plan developed and used by local government for extraordinary events. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 LOCAL GOVERNMENT A political subdivision within a state. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 LOCAL TECHNIQUE local ou espace prévu dans un bâtiment pour recevoir de l'équipement technique [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] LOGEMENT local ou ensemble de locaux utilisés par une personne, ou plusieurs personnes vivant en commun, et comportant des installations sanitaires et de cuisson [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] LOGIC The systematic study of valid inference. Classical, or Aristotelian, logic is concerned with the formal properties of an argument, not its factual accuracy. Aristotle, in his Organon, held that any logical argument could be reduced to a sequence of 3 propositions (2 premises and a conclusion), known as a Syllogism, and posited 3 laws as basic to all logical thought: the law of identity (A is A); the law of contradiction (A cannot be both A and not A); and the law of the excluded middle (A must be either A or not A). (Hydro Cut General Terminology Resource Information) SEQUENTIAL LOGIC is the reasoning process applied to data to the organize it into the proper sequence in which actions by people or objects occurred. For example, the investigator must reason whether A happened before B, or B before A by determining the relative timing and spatial logic of the the events. CAUSE-EFFECT LOGIC is the reasoning process required to determine if one event led to another event or condition. Investigators do this to establish relationships among events they identify, and to determine the relevance of new data. For example, when an event A occurred during a process, it led to B. Sometimes several events (A1, A2 and A3) all led to B. Sometimes A led to several events. If so, show this by drawing a causal link" from A to B1, B2, B3 etc. If you think there may be a causal relationship but need more data, add an arrow with a ? on it between these events. Cause-effect relationships are represented by linking arrows, to show the flow of events. DEDUCTIVE LOGIC is the reasoning process applied to fill gaps in an investigator's understanding of what happened with hypothetical candidate scenarios. By applying natural laws and scientific principles to infer possible specific actions of people or objections to bridge what happened between known events, an investigator can pinpoint data which should be sought to verify each candidate scenario. Deductive logic can utilize reasoning tools such as BackSTEP and logic trees. NECESSARY-AND-SUFFICIENT LOGIC is the reasoning process applied to pairs of events or events sets with identified cause-effect relationships to determine the completeness of the description of the incident. Is A always necessary for B to occur? If so, it remains part of the set. Next, determine sufficiency by asking if B will occur if A and only if A occurs? If so, the investigator has a complete causal relationship. If not, what other events must occur to produce B with reasonable certainty? Necessary-and-sufficient logic helps investigators find and define unknowns that may not be apparent - unknown unknowns. (Ludwig Benner, 10 MES INVESTIGATION TASK GUIDES, 3rd Edition, 1998) LOGISTICS CHIEF That organizational position within the Incident Command System having responsibility for summoning and managing support, apparatus, equipment and personnel. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 LOI Pouvoir législatif (Droit constitutionnel)Vocabulaire parlementaire. législation / ensemble de lois. Ensemble des lois (y compris les règlements) d'un État ou d'une région (législation française ou allemande, nationale ou locale) ou des lois relatives à une branche du droit (législation civile ou commerciale; plus généralement Droit positif d'un pays.*b OBS*Recommandation du Comité des règles de civile.*b OBS*loi : Rarement approprié.*e ensemble de lois, loi: Ces termes ne sont pas toujours interchangeables.*e(sOURCE: Termium 1996) LOI SUR LA PRÉVENTION DES INCENDIES (voir Loi sur la Sécurité dans les édifices publics) La Province de Québec ne règlemente pas la sécurité incendie et la prévention incendie dans le cadre de sa loi sur la prévention des incendies. Certaines autorités provinciales utilisent le CNPI comme document de référence pour la règlementation de certains aspects de la prévention, tandis que les municipalités plus importantes ont adopté le CNPI uniquement comme règlement municipal. [Par exemple] La Ville de Montréal utilise le CNPI uniquement comme source d'information pour mettre à jour sa règlementation municipale. [Nouvelles CNB/CNPI, no.128, CNRC, 1991] LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS (L.R.Q., c. S-3) Au Québec, le CNB et le CNPI sont adoptés par décret en vertu du Règlement sur l'application d'un code du bâtiment, dans le cadre de la LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS (L.R.Q., c. S-3) LOI TEMPÉRATURE-TEMPS (courbe normalisée) Quelle que soit la nature de l'incendie, les températures développées sont semblables et peuvent être représentées par une courbe expérimentale. T - To = 345 log 10 (8 t + 1) où T désigne la température au voisinage de l'échantillon To la température exprimée en degrés Celsius t désigne le temps compté en minutes La courbe représentative de cette fonction est dite courbe de température-temps normalisée. En voici les points caractéristiques retenus: au bout de 10 minutes 659°C / 1218°F au bout de 15 minutes 718°C / 1324°F au bout de 30 minutes 827°C / 1520°F au bout de 1 heure 925°C / 1697°F au bout de 1,5 heure 986°C / 1806°F au bout de2 heures 1030°C / 1886°F au bout de3 heures 1090°C / 1994°F au bout de 4 heures 1133°C / 2071°F au bout de 6 heures 1194°C / 2182°F Bien entendu ces températures sont indiquées en supposant que l'incendie ait toujours été alimenté et qu'on n'ait rein tenté pour le combattre. Il ne peut y avoir d'exception à cette règle que dans les lieux où auraient pré-existé des substances éminemment combustibles, qui, en outre, fournissent elles-mêmes l'oxygène nécessaire à leur combustion (péroxydes, thermite, poudre de chasse, explosifs). Si la température théorique de combustion voisine les 2000°C, dans la pratique elle plafonne beaucoup plus bas. On en possède déjà une preuve très simple dans les fils électriques dont l'âme subsiste généralement, alors que le cuivre rouge fond à 1083°C. [Gayet 1973] LOWER EXPLOSIVE LIMIT (LEL) The lowest concentration of the material in air that can be detonated by spark, shock, or fire, etc. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 LOWER EXPLOSIVE LIMIT means the minimum concentration of vapour in air at which the propagation of flame occurs on contact with a source of ignition. (Ontario Fire Code 1996) LOW PRESSURE STORAGE TANK means a storage tank designed to operate at pressures greater than 3.5 kPa (gauge) to 100 kPa (gauge). (Ontario Fire Code 1996) L.P.G. Liquefied petroleum gas (primarily propane and butane). [Friedman 1989] L.S.E. Limite supérieure d'explosivité (voir Limites d'explosivité) (Canutec) L.S.I. Limite supérieure d'inflammabilité (voir Limites d'explosivité) (Canutec) LUMINAIRES ÉLECTRIQUES L'ampoule électrique à incandescence, par exemple, qui constitue la plus grande portion des artefacts reliés à l'éclairage électrique, est un appareil qui s'est perfectionné sur une période d'environ cent ans (1840 - 1940). L'éclairage électrique a été longtemps une commodité réservée à l'industrie, puis aux habitants des plus grands centres urbains. L'éclairage électrique suit l'installation du réseau électrique, qui, lui-même, dépend de la modernisation des industries manufacturières qui y ont le plus à gagner. De plus, il ne représente qu'un aspect de l'électrification des industries et des centres urbains et il doit être étudié parallèlement au développement des transports, à l'utilisation de la force motrice fixe et à l'amélioration des communications. Cette nouvelle forme d'énergie s'est répandue relativement très rapidement parce qu'on recherchait très vite les avantages qu'elle représentait sur la vapeur comme source de force motrice dans les industries lourdes, telles que les mines et les textiles. De plus, l'électricité permetait de nouveaux modes d'éclairage, plus souples, moins dangereux et plus appropriés aux usages ainsi que la possibilité d'améliorer sans cesse les moyens de télécommunication. L'électricité doit toutefois coexister longtemps avec les formes plus traditionnelles d'énergie de la révolution industrielle, qui, par certains aspects, demeurent encore avantageuses dans le contexte canadien. Au début de ce siècle, l'industrie préfère toujours l'énergie hydraulique pour l'obtention de la force motrice alors que l'électricité apparait comme l'alternative idéale. [Appareils d'éclairage, 1984] -M- MAGNÉSIUM - Ivan Noels Du grec "Magnesia", une région de Thessalie. Appartient au groupe 2. D'un éclat argenté, le magnésium exposé à l'air se recouvre d'une couche grisâtre d'oxyde qui le protège de l'oxygène et de l'eau. Il brûle avec une flamme blanche aveuglante et fait partie des métaux alcalinoterreux. Un tiers plus léger que l'aluminium, ses alliages sont essentiels dans la construction des avions et des missiles. On l'utilise aussi pour les lampes flash, les feux d'artifice et les bombes incendiaires. Son hydroxyde (lait de magnésie), son chlorure et son sulfate (sels d'Epson) sont employés en médecine. Le magnésium est un oligo-élément important pour les plantes et pour les animaux. C'est un des constituant de la chlorophylle et il est nécessaire à l'activation de certaines enzymes. Le magnésium pose de sérieux risques d'incendie. (Ivan Noels, [email protected]) MAGNESIUM (Hydro Cut) Magnesium (Mg) is a metallic element, discovered as an oxide by Sir Humphrey Davy in 1808. A ductile, silver-white, chemically active Alkaline-Earth Metal, it is the eighth most abundant element in the earth's crust. Its commercial uses include lightweight alloys in aircraft fuselages, jet-engine parts, rockets and missiles, cameras, and optical instruments. The metal is used in pyrotechnics. Magnesium is found in plant chlorophyll and is necessary in the diet of animals and humans. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) MAGNESIUM (IAAI) A silvery metal used in some metal incendiaries. The dust is highly explosive. Ignition point of 650F. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) MAINTENANCE / maintenance Ensemble des actions destinées à maintenir ou rétablir une entité dans un état spécifié ou en mesure d'assurer un service déterminé. - NF X 60 - 010 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) MAINTENANCE PRODUCTIVE TOTALE / total productive maintenance (TPM) Démarche orientée vers le &laqno hardware » qui vise à obtenir une meilleure disponibilité des équipements. Elle met l'accent sur le fonctionnement des machines et sur la manière d'en assurer la maintenance de façon à maximiser son efficacité pendant la vie entière des équipements. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) MAÎTRE D'OEUVRE Le propriétaire ou la personne qui, sur un chantier de construction, a la responsabilité de l'exécution de l'ensemble des travaux (LSST, S2-1) MAÎTRISE DE LA QUALITÉ / quality control Techniques et activités à caractère opérationnel utilisées en vue de répondre aux exigences relatives de la qualité. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) MAJOR OCCUPANCY means the principal occupancy for which a building or part thereof is used or intended to be used, and includes the subsidiary occupancies that are an integral part of the principal occupancy. (Ontario Fire Code 1996) Management-Ignited Prescribed Fire The planned application of fire to natural fuels, including logging debris, grasslands and/or understory vegetation, such as palmettos, with the intent to confine the fire to a predetermined area. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) MANHATTAN PROJECT The Manhattan Project was the wartime effort to design and build the first nuclear weapons (Atomic Bomb). A $2-billion effort, centered at Oak Ridge, Tenn., and Hanford, Wash., was required to obtain sufficient amounts of the two necessary isotopes, uranium-235 and plutonium239. The design and building of the bombs took place at Los Alamos, N.Mex., where J. Robert Oppenheimer directed a large group of American and European-refugee scientists. Following the test explosion of a plutonium device on July 16, 1945, near Alamogordo, N.Mex., a uranium bomb and a plutonium bomb were dropped on, respectively, Hiroshima (Aug. 6) and Nagasaki (Aug. 9). (Hydro Cut General Terminology Resource Information) MANIFEST, UNIFORM HAZARDOUS WASTE A document required by 40 CFR 262 to accompany any shipment of hazardous waste from the point of generation to the point of final disposal/destruction. (See Shipping Papers, and Hazardous Waste Manifest, Uniform (EPA). HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 MANUEL QUALITÉ / quality assurance manuel Document énonçant la politique qualité de l'entreprise et décrivant les dispositions générales prises par un organisme en matière d'assurance de la qualité. - NF X 50 - 120 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) MARKING The required descriptive name, instructions, cautions, weight, or specifications or combination thereof on containers of hazardous materials/hazardous waste.HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 MASS [Friedman 1989] The inertial property of an object, which is proportional to force needed to accelerate the object in the absence of resistance. [Friedman 1989] MASS Confusion often exists between mass and weight. Weight refers to the force acting on an object because of gravitational attraction, and is a convenient way to measure mass on Earth at sea level. However, if an object were on the moon, its weight would be only about 1/6th of its weight on Earth, or if the object were in an orbiting space station it would be weightless; however, its mass would be the same in each case. [Friedman 1989] MASS (Hydro Cut) Mass in physics is the quantity of matter in a body regardless of its volume or of any forces acting on it. There are two ways of referring to mass, depending on the laws of physics defining it. The gravitational mass of a body may be determined by comparing the body on a beam balance with a set of standard masses; in this way the gravitational factor is eliminated ( Gravitation; Weight). The inertial mass of a body is a measure of the body's resistance to acceleration by some external force. All evidence seems to indicate that the gravitational and inertial masses are equal. According to the special theory of Relativity, mass increases with speed according to the formula m = m0/_1-v2/c2, where m0 is the rest mass (mass at zero velocity) of the body, v its speed, and c the speed of light in vacuum. The theory also leads to the Einstein mass-energy relation E = mc2, where E is the energy and m the relativistic mass. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) MASS NUMBER Mass number is represented by the symbol A, the total number of nucleons ( Neutons and Protons) in the nucleus of an Atom. All atoms of a chemical Element have the same Atomic Number but may have different mass numbers (from having different numbers of neutrons in the nucleus). Atoms of an element with the same mass number make up an Isotope of the element. Isotopes of different elements may have the same mass number but different numbers of protons. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) MASS RATIO The ratio of the initial mass of the propellant to the mass of the complete rocket motor. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) MASS SPECTROMETRY A method of chemical analysis which vaporises, then ionises the substance to be analysed and then accelerates the ions through a magnetic field to separate the ions by molecular weight. Mass spectrometry can result in the exact identification of an unknown compound, and is a very powerful analytical technique, especially when combined with chromatography. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) Master Stream A master stream is a large and fixed stream of water. Master streams are used on the end of aerial ladders on ladder trucks and on top of pumper trucks. Master streams can deliver larger amounts of water than hand-held hose. [email protected] MATERIAL FIRST IGNITED (premier aliment de l'incendie) The fuel that is first set on fire by the heat of ignition. To be meaningful, both a type of material and a form of material should be identified. [NFPA 921 - 1992] MATERIAL SAFETY DATA SHEET (MSDS) A document which contains information regarding the specific identity of hazardous chemicals, including information on health effects, first aid, chemical and physical properties, and emergency phone numbers. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 MATÉRIAUX Le terme matériau sera employé pour désigner toute espèce de matière, homogène ou hétérogène. [Pauling 1958] MATIÈRE DANGEREUSE Substance qui, en raison de sa nature physique ou chimique ou de son état, peut exploser ou facilement s'enflammer et provoquer des feux intenses [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] MATIÈRES DANGEREUSES (HAZMAT) matières dangereuses (NORMALISÉ), marchandises dangereuses (NORMALISÉ, UNIFORMISÉ), articles dangereux, produits dangereux, HAZMAT (CORRECT, UNIFORMISÉ). Matières explosives, toxiques, caustiques, nucléaires, combustibles ou inflammables, biologiques, infectieuses ou empoisonnées qui peuvent, directement ou indirectement, constituer un danger pour la vie humaine ou les biens matériels, surtout si elles sont manutentionnées ou utilisées d'une façon non appropriée ou si elles sont mises en cause lors d'un accident. Le terme "matières dangereuses" est normalisé par l'ISO et est utilisé dans le Règlement intérieur français (sur le transport). "Marchandises dangereuses" est le terme utilisé dans la "Loi sur le transport des marchandises dangereuses (du Canada, chapitre 36); en outre, il est uniformisé par le CUTA opérations aériennes et par le Canadien National. L'abréviation "HAZMAT" est uniformisée par le CUTA opérations aériennes. Il y a beaucoup de confusion dans l'emploi de ces termes; il faut privilégier les expressions "matières dangereuses" et "marchandises dangereuses"; ce sont les plus attestées et elles correspondent à tous les modes de transport (en anglais, "dangerous goods" est le terme à retenir); il faut choisir "articles dangereux" si on a le terme anglais "dangerous articles" (transport ferroviaire ou aérien) et produits dangereux si on a les termes anglais "hazardous commodities" ou "hazardous products". marchandises dangereuses : Terme et définition normalisés par l'OACI. (Source : Termium 1994) MATIÈRE ET ÉNERGIE (Pauling 1958) Jusqu'au siècle actuel les savants utilisaient la loi de la conservation de la matière et la loi de la conservation de l'énergie. Ces deux lois peuvent être maintenant fondues en une seule: la loi de la conservation de la masse, dans laquelle la masse désigne aussi bien celle de la matière que celle de l'énergie du système. Pour des réactions chimiques habituelles cependant, nous pouvons toujours utiliser la &laqnoloi» de la conservation de la matière, la matière ne pouvant être ni créée ni détruite mais seulement transformée, à condition de remarquer que la validité de cette loi subit une limitation: elle n'est plus applicable s'il se produit dans le système considéré un phénomène comportant une conversion d'énergie radiante en matière ou l'inverse. [Pauling 1958] MATIÈRES CORROSIVES Une substance est dite corrosive si elle attaque (corrode) les métaux et les tissus du corps humain, comme ceux de la peau ou des yeux. Les substances corrosives peuvent détériorer les contenants en métal et entraîner une fuite, ou affaiblir les matériaux de charpente et entraîner un effondrement. Les substances corrosives peuvent brûler les tissus du corps humain et causer des cicatrices permanentes ou rendre une personne aveugle. Le Règlement sur les produits contrôlés au Canada et la norme HAZCOM de l'OSHA aux États-Unis donnent les critères techniques servant à identifier les substances qui appartiennent à la catégorie des matières corrosives. (Voir aussi pH.) (Canutec) MATIÈRES DANGEREUSEMENT RÉACTIVES Le Règlement sur les produits contrôlés, Canada, donne les critères techniques servant à identifier les substances qui appartiennent à la catégorie des matières dangereusement réactives. Une matière dangereusement réactive peut réagir violemment : - avec de l'eau pour produire un gaz très toxique; - par elle-même par polymérisation ou par décomposition; ou - sous l'effet d'un choc ou d'une hausse de pression ou de température. Selon la définition de l'ANSI, une matière est dangereusement réactive lorsqu'elle peut subir une réaction chimique auto-accélérée exothermique violente au contact de substances courantes ou spontanément. Une matière dangereusement réactive peut déclencher un incendie ou une explosion, ou donner lieu à d'autres conditions dangereuses. Il est très important de connaître les conditions susceptibles d'occasionner une réaction dangereuse (choc, chaleur, humidité) pour pouvoir prendre les mesures de prévention appropriées. (Canutec) MATIÈRES INFLAMMABLES ET COMBUSTIBLES Aux termes du Règlement sur les produits contrôlés, Canada, une substance appartient à la catégorie des matières inflammables et combustibles si elle répond aux critères définissant les gaz inflammables, liquides inflammables, liquides combustibles, solides inflammables, aérosols inflammables ou matières réactives inflammables. (Canutec) MATIÈRES INFLAMMABLES RÉACTIVES Aux termes du Règlement sur les produits contrôlés, Canada, une matière est réactive et inflammable si elle présente un risque d'incendie parce qu'elle réagit facilement avec l'air ou l'eau. Font partie de cette catégorie les matières qui : - sont spontanément combustibles, c'est-à-dire susceptibles de s'échauffer au contact de l'air au point de prendre feu; - peuvent réagir violemment avec l'air dans des conditions normales sans prendre feu; - dégagent une quantité dangereuse de gaz inflammable en réagissant avec de l'eau; ou - deviennent spontanément combustibles au contact de l'eau ou de la vapeur d'eau. Il faut tenir les matières réactives inflammables au sec et à l'écart de l'oxygène (dans l'air) et des comburants. C'est pourquoi il arrive souvent qu'on les entrepose ou qu'on les utilise en présence d'un gaz comme l'azote ou l'argon. (Canutec) MATRIX Substrate. the material from which a substance of interest is removed for analysis. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) MATTER Matter is anything that has mass. Because of its mass, all matter has Weight, if it is in a gravitational field, and Inertia. The three common States Of Matter are solid, liquid, and gas; scientists also recognize a fourth, Plasma. Ordinary matter consists of Atoms and Molecules. See also Element; Elementary Particles.(Hydro Cut General Terminology Resource Information) MEAN OR AVERAGE MEAN Unless otherwise specified, this is the arithmetic mean of the observations. A measure of the variability or dispersion of a number of observations. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) Mean The arithmetic average of a set of numbers. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) MEANS OF EGRESSmeans a continuous path of travel provided for the escape of persons from any point in a building or contained open space to a separate building, an open public thoroughfare or an exterior open space protected from fire exposure from the building and having access to an open public thoroughfare. Means of egress includes both exits and access to exits. (Ontario Fire Code 1996) MECHANICS Mechanics is a branch of physics concerned with Motion and the Forces causing it. The field includes the study of the mechanical properties of matter, such as Density, Elasticity ( Strength Of Materials), and Viscosity. Mechanics is divided into Statics, which deals with bodies at rest or in equilibrium, and Dynamics, which deals with bodies in motion. Isaac Newton, who derived three laws of motion and the law of universal Gravitation, was the founder of modern mechanics. For bodies moving at speeds close to that of light, Newtonian mechanics is superseded by the theory of Relativity, and for the study of very small objects, such as Elementary Particles, Quantum Theory is used. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) MÈCHE Bande, tresse, cordon de fils de coton, de chanvre destiné à être mis en contact avec un combustible dont il s'imprègne, et qu'on fait brûler par son bout libre, pour obtenir une flamme de longue durée. (Source: Termium 1994) Le liquide combustible monte dans la mèche par un phénomène appelé capillarité. MEDIAN The halfway point in the measurements when they have been arranged in order of size. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) MÉDIAS nmpl (informatique, télécommunications) [media ] C'est un ensemble de moyens qui a pour fonction de produire et de transmettre de l'information. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) MELTING POINT Melting point, temperature at which a substance changes its state from solid to liquid (see States Of Matter). Under standard atmospheric pressure, different pure crystalline solids will each melt at a different specific temperature; thus melting point is a characteristic of a substance and can be used to identify it. The quantity of heat necessary to change 1 gram of any substance from solid to liquid at its melting point is known as its latent heat of fusion. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) The temperature at which a material changes from a solid to a liquid. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 MELTING POINTS OF AIRCRAFT MATERIALS (voir Point de fusion) IRON melts NICKEL melts Porcelain glazes BRONZE melts ALUMINIUM ALLOYS melt PURE MAGNESIUM melts PURE ALUMINIUM melts ZINC melts SILICON RUBBER blisters LEAD melts TIN melts SELENIUM melts PHENOLIC delaminates POLYSTYRENE distorts Plastic PCV distorts 6170 F 4760 F 3430 F 3150 F 3100 F 2820 - 3000 F 2800 F 2700 F 2650 F 2600 F 2270 F 2250 F 2000 F 1940 F 1760 F 1675 F 1600 - 2000 F 1400 - 1600 F 1250 F 1220 - 1250 F 1200 F 1175 F 1165 - 1450 F 890 F 850 F 780 F 700 F 630 F 625 F 610 F 480 F 450 F 430 F 275 F 250 - 300 F 250 F 210 F 185 F 130 F TUNGSTEN melts MOLYBDENUM melts CHROMIUM melts VANADIUM melts PURE TITANIUM melts TITANIUM ALLOYS melt STAINLESS STEEL melts SILICON melts MANGANESE melts COPPER melts GOLD melts SILVER melts BRASS BEARINGS melt Glass softens Magnesium alloys melt Aluminium bearings melt Glass cloth fuses Aluminium panelling melts SILVER SOLDER melts ALUMINIUM EUTECTIC melting Aluminium becomes plastic, sags TEFLON INSULATION melts CADMIUM melts NYLON melts Wool decomposes Nylon spaghetti melts Methyl methacrylate distorts Wax melts Source : R. H. WOOD, R.W. SWEGINNIS; AIRCRAFT ACCIDENT INVESTIGATION, Endeavor Books, Casper WY, 1995, p.59 MENDELLEIEV Dimitri Ivanovich Mendeleiev est né en Sibérie en 1834. C'était le plus jeune d'une famille de 17 enfants. En 1869, il publia son fameux tableau périodique des éléments. Il arrangea selon leur masse atomique les 63 éléments connus à cette époque en groupes possédant des propriétés similaires. Là où existait un trou dans le tableau, il prédit les propriétés d'un nouvel élément qui serait trouvé plus tard. Trois de ces éléments, le gallium, le scandium et le germanium furent découverts de son vivant et leurs propriétés correspondaient à ce qu'l avait prévu, ce qui assura sa réputation. On sait depuis qu'il faut classer les éléments selon leur numéro atomique et que la loi périodique s'énonce comme suit : "Les propriétés physiques et chimiques des éléments sont des fonctions périodiques de leur numéro atomique." (Ivan Noels, [email protected]) MERCANTILE OCCUPANCY (Group 'E') means the occupancy or use of a building or part thereof for the displaying or selling of retail goods, wares or merchandise. (Ontario Fire Code 1996) META-ETHYLITOLUENE (M-ETHYLTOLUENE) A component of gasoline. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) METAL A chemical Element displaying certain properties, notably metallic luster, the capacity to lose electrons and form a positive Ion, and the ability to conduct heat and electricity ( Conduction), by which it is normally distinguished from a nonmetal. The metals comprise about two thirds of the known elements. Some elements, e.g., arsenic and antimony, exhibit both metallic and nonmetallic properties, and are called metalloids. Metals fall into groups in the Periodic Table determined by similar arrangements of the orbital electrons and a consequent similarity in chemical properties. Such groups include the Alkali Metals (Group la in the periodic table), the Alkaline - Earth Metals (Group IIa), and the Rare - Earth Metals ( Lanthanide and Actinide series). Most metals other than the alkali metals and the alkaline-earth metals are called transition metals ( Transition Elements). The oxidation states, or Valence, of the metal ions vary from +1 for the alkali metals to +7 for some transition metals. Chemically, the metals differ from the nonmetals in that they form positive ions and basic oxides and hydroxides. Upon exposure to moist air, a great many metals undergo corrosion, i.e., enter into a chemical reaction, the oxygen of the atmosphere uniting with the metal to form the oxide of the metal, e.g., rust on exposed iron. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) METALS Metals are a special kind of solid. Metals generally consist of positively charged atomic ions in a geometrically defined crystal lattice, with electrons free to move through the lattice. The fact that metals conduct heat and electricity far better than other solids is due to the high mobility of the electrons through the crystal lattice. A metal can consist of a single pure element (such as copper, aluminum, iron, or 24-carat gold), or it can be an alloy of two or more elements. For example, brass is an alloy of copper and zinc, steel is an alloy of iron and carbon, and 18-carat gold is an alloy of gold and silver. [Friedman 1989] MÉTALLURGIE (obtention et raffinage des métaux) Les métaux s'obtiennent à partir de minerais. Un minerai est un minéral ou un matériau naturel qu'on peut traiter pour en extraire un ou plusieurs métaux. Après son extraction du minerai, le métal est soumis à un raffinage, c'est-à-dire à une purification. La métallurgie est l'art et la science de l'obtention et du raffinage des métaux, de leur façonnage en vue de leurs emplois. [Pauling 1958] MÉTAUX ET NON-MÉTAUX Propriéts générales des métaux : On reconnaît les métaux à leur éclat, que ne possèdent ni les éléments non métalliques comme le soufre, ni les sels comme le chlorure de sodium. o o Les métaux sont en général de très bons conducteurs de l'électricité et de la chaleur. o o La plupart des métaux peuvent être étirés en fils et laminés en feuilles. On dit qu`ils sont ductiles et malléables. o o Ils ont d'habitude des points de fusion et d'ébullition élevés ainsi qu'une grande densité. o o Plus un élément est à gauche et en bas dans le tableau périodique et plus il est métallique. Propriéts générales des non-métaux : o o Les non-métaux, par contre, n'ont généralement pas d'éclat. o o Ils sont de mauvais conducteurs de la chaleur et de l'électricité. o o Ils ne sont ni malléables ni ductiles. o o Plusieurs sont des gaz et les autres ont des points de fusion et d'ébullition peu élevés. o o On les appelle parfois des métalloides. o o Plus un élément est situé à droite et en haut dans le tableau périodique et plus c'est un non-métal. Différences chimiques entre métaux et non-métaux : o o Quand ils sont solubles, les oxydes de métaux forment des solutions basiques. Les oxydes de non-métaux donnent des acides, quelques-uns étant neutres. o o Une propriété chimique importante est commune à tous les chlorures des atomes métalliques : tous sont des sels. Leurs solutions conduisent l'électricité. Les chlorures des non-métaux ne sont pas des sels mais des gaz ou des liquides covalents réagissant habituellement avec l'eau. o o Un métal est capable, directement ou indirectement, de remplacer l'hydrogène d'un acide, ce que ne peut faire un non-métal. o o Dans les réactions chimiques, les métaux perdent des électrons pour former des ions chargés positivement. + ++ Ex. : Na - 1 e --> Na , Cu - 2e --> Cu . Les métaux sont donc des agents réducteurs. o o D'un autre côté, les non-métaux se combinent avec les métaux en gagnant des électrons pour former des ions chargés négativement. - -- Ex. : Cl2 + 2 e --> 2Cl , S + 2 e --> S . Les non-métaux sont des agents oxydants. Quand ils se combinent entre eux, ils partagent généralement des électrons pour former des composés covalents. Remarque : Là où les deux groupes se rencontrent, certains éléments ne peuvent pas vraiment être classés dans les métaux ou les non-métaux. C'est le cas, notamment, du germanium, de l'arsenic, du sélénium et de l'iode. (Ivan Noels, [email protected]) MÉTHANE (voir Paraffine) Le méthane est le premeir terme d'une série d'hydrocarbures de formule générale CnH2n+2, qu'on appelle série méthanique ou série paraffinique. Les premiers termes sont les suivants: méthane CH4 éthane C2H6 propane C3H8 butane C4H10 pentane C5H12 hexane C6H14 heptane C7H16 octane C8H18, etc. [Pauling 1958] METHANE Methane (CH4) is a colorless, odorless, gaseous Hydrocarbon formed by the decay of plant and animal matter. It occurs naturally as the chief component of Natural Gas, as the firedamp of coal mines, and as the marsh gas released in swamps and marshes. Methane can also be made synthetically by various means. It is combustible and can form explosive mixtures with air. Used for fuel in the form of natural gas, methane is also an important starting material for making solvents and certain Freons. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) METHANE If there is a stoichiometric mixture of methane and air (9.5% CH4, 19% O2, and 71.5% N2), it would burn and the flame temperature would be 1940°C. [Friedman 1989] METHANE The simplest hydrocarbon and the first member of the paraffin (alkane) series, having a formula CH4. Methane is the major constituent of natural gas. Methane has a heating value of 1009 BTU/cubic foot. Its explosive limits are 5% to 15%. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) METHANOL Methyl alcohol. Wood alcohol. The simplest alcohol. Methanol is water soluble and has a flash point of 54F and explosive limits of 6% to 36.5%. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) METHANOL Methanol, or methyl alcohol or wood alcohol (CH3OH), a colorless, flammable liquid and the simplest Alcohol. Methanol is a fatal poison. Small internal doses, prolonged exposure of the skin to the liquid, or continued inhalation of the vapor may cause blindness. It can be obtained from wood, but now is made synthetically from the direct combination of hydrogen and carbon monoxide gases. Methanol is used to make Formaldehyde, as a solvent, and as an Antifreeze. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) MÉTHODE SCIENTIFIQUE (Pauling)(voir Loi Température-Temps) La première étape de la méthode scientifique consiste à trouver quelques faits grâce à l'observation et à l'expérience. Dans notre domaine, ces faits sont ceux de la chimie descriptive. L'étape suivante consiste à classer et à relier beaucoup de faits dans une seule expression générale qu'on appelle alors une loi, quelquefois une loi naturelle. [Pauling 1958] METHYL SILICONE A nonvolatile oily liquid used in gas chromatography to separate nonpolar compounds. Methyl silicone columns typically separate compounds according to their boiling point. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) METHYLSTYRENE A common polymer pyrolysis product. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) MEZZANINE plancher partiel intermédiaire entre le plancher et le plafond d'un local ou d'un étage [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] Microbial Activity The activity of microscopic organisms that are responsible for the decay of dead material. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) MICROMETER An instrument used for measuring extremely small distances. In the micrometer caliper, the object to be measured is held between the two jaws of the instrument; the distance between the jaws is measured on a scale calibrated to the rotation of the finely threaded screw that moves one of the jaws. In astronomical and microscopic micrometers, the distance that a filament moves from one end to the other of the image of an object is read on a calibrated scale. (Hydro Cut General TerminologyResource Information) MICRON One micron equals 10-4 cm or may also be expressed as 10-6 meters. . A unit of length, the thousandth part of one millimeter. A particle of diameter between 0.01 and 0 0001 millimeter. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) MICRO-ORDINATEUR nm (informatique) [microcomputer, personal computer ] Ordinateur dont l'unité arithmétique et logique est réalisée à l'aide de microprocesseurs. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) MICROPHONE A device (invented c.1877) used in radio broadcasting, recording, and sound-amplifying systems to convert sound into electrical energy. Its basic component is a flexible diaphragm that responds to the pressure or particle velocity of sound waves. In a Capacitor, or condenser, microphone, used in high-quality sound systems, two parallel metal plates are given opposite electrical charges. One of the plates is attached to the diaphragm and moves in response to its vibrations, generating a varying voltage. Also Telephone. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) MICROSECOND One millionth of a second, 10-6 second, expressed as msec.(Hydro Cut General Terminology Resource Information) MIDNIGHT DUMPING Illegal disposal of hazardous materials. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 MILLISECOND One thousandth of a second, 10-3 second, expressed as msec. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) MIN Peut vouloir dire minute ou minimum.(Canutec) MINERAL SPIRITS A medium petroleum distillate ranging from C8 to C12. The flash point of mineral spirits is generally around 100F. Mineral spirits, sometimes known as mineral turps, is commonly known as a solvent in insecticides and certain other household products. Many charcoal lighter fluids are composed almost entirely of mineral spirits. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) MINIMUM IGNITION ENERGY The energy, in milijoules, of the weakest spark that is just capable of igniting a gas mixture. The minimum energy depends on the composition, temperature, and pressure of the mixture. [Friedman 1989] MISCIBLE Qui peut être mêlé. Ce mot indique que deux liquides peuvent se dissoudre l'un dans l'autre, complètement ou en partie. Ordinairement, miscible veut dire que deux liquides sont complètement solubles l'un dans l'autre. (Voir aussi Solubilité.) (Canutec) MISHAP That process by which a normal, stable activity is transformed and produces an undesired and usually unplanned outcome. (Synonym for accident) [Benner 1997] MISSILE Any object thrown, dropped, fired, launched or otherwise projected with the purpose of striking a target. Short for "ballistic missile", "guided missile." (Missile is loosely used as a synonym for "rocket" or spacecraft by some careless writers.) (Hydro Cut General Terminology Resource Information) MIST Suspended liquid droplets generated by condensation from the gaseous to the liquid state or by breaking up a liquid into a dispersed state, such as by splashing, foaming, or atomizing. A mist is formed when a finely divided liquid is suspended in air.HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 mm Hg L'abréviation mm Hg signifie millimètres (mm) de mercure (Hg). C'est ainsi qu'on mesure communément la pression exercée par des gaz comme l'air. La pression exprimée en mm Hg désigne la hauteur qu'une colonne de mercure doit avoir pour exercer la pression mentionnée. La pression atmosphérique normale est 760 mm Hg.(Canutec) MOCKUP A model (often crude) for study or training.(Hydro Cut General Terminology Resource Information) MODEM nm (télécommunications) - acronyme de " modulateur-démodulateur " Équipement transformant le signal de sortie numérique d'un ordinateur en un signal analogique pour la transmission sur le réseau téléphonique ou des liaisons spécialisées. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) MOLE A mole in chemistry is a quantity of particles of any type equal to Avogadro's number. One gramatomic weight (or one gram-molecular weight) the amount of an atomic (or molecular) substance whose weight in grams is numerically equal to the Atomic Weight (or Molecular Weight) of that substance contains exactly one mole of atoms (or molecules). (Hydro Cut General Terminology Resource Information) MOLE A quantity of a chemical substance equal to its molecular weight in grams. [Friedman 1989] MOLECULAR WEIGHT Molecular weight is the weight of a Molecule of a substance expressed in atomic mass units (Atomic Weight). The molecular weight is the sum of the atomic weights of the atoms making up the molecule. (Hydro Cut General Terminology Resource Information) MOLECULAR WEIGHT The sum of the atomic weight of all of the atoms within a molecule. Generally, molecules of the same type have higher boiling points if the molecular weight is higher. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) MOLECULE The smallest particle into which a substance can be divided without changing its chemical properties. A molecule of an element consists of one atom, or two or more atoms that are alike. A molecule of a compound consists of two of more different atoms. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) MOLECULE A molecule is the smallest particle of a Compound that has all the chemical properties of that compound. Molecules are made up of two or more Atoms, either of the same Element or of two or more different elements. Ionic compounds, such as common salt, are made up not of molecules but of ions arranged in a crystalline structure ( Crystal). Unlike Ions, molecules carry no electrical charge. Molecules differ in size and Molecular Weight as well as in structure (Isomer). (Hydro Cut General Terminology Resource Information) Monitor A type of master stream similar to a deck gun, but removable from the apparatus. Hose can be laid into it, making it [email protected] MONOMER The simplest unit of a polymer. Ethylene is the smallest unit of polyethylene. Styrene is the smallest unit of polystyrene. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) MOT nm (informatique) [word ] Séquence de bits traités comme entité indivisible définissant l'unité d'information ; le nombre de bits constituant un mot est déterminé de façon à optimiser les opérations machines : 8, 16, 32 bits... Les mots de 8 bits sont aussi appelés octets. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) MOTION Motion, in Mechanics, the change in position of one body with respect to another. The study of the motion of bodies is called Dynamics. The time rate of linear motion in a given direction by a body is its velocity; this rate is called the speed if the direction is unspecified. If during a time t a body travels over a distance s, then the average speed of that body is s/t. The change in velocity (in magnitude and/or direction) of a body with respect to time is its acceleration. The relationship between Force and motion was expressed by Isaac Newton in his three laws of motion: (1) a body at rest tends to remain at rest, or a body in motion tends to remain in motion at a constant speed in a straight line, unless acted on by an outside force; (2) the acceleration a of a mass m by a force F is directly proportional to the force and inversely proportional to the mass, or a = F/m; (3) for every action there is an equal and opposite reaction. The third law implies that the total Momentum of a system of bodies not acted on by an external force remains constant ( Conservation Laws). Motion at speeds approaching that of light must be described by the theory of Relativity, and the motions of extremely small objects (atoms and elementary particles) are described by quantum mechanics (Quantum Theory). (Hydro Cut General Terminology Resource Information) MOYEN D'ÉVACUATION Chemin de circulation continu, permettant d'évacuer les personnes sur une rue ou un autre espace extérieur approuvé, à partir de n'importe quel point d'un bâtiment, d'une étendue de plancher, d'un local ou d'une cour intérieure. Les moyens d'évacuation comprennent les issues et les accès aux issues [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] MULTI-HAZARD FUNCTIONAL PLANNING The California format used for developing disaster and emergency plans. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 MULTIMÉDIA nm, adj (informatique) [multimedia ] Combinaison de deux ou plusieurs médias de communication pilotée par un système informatique et comportant un enregistrement numérique des données. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) MUR COMMUN mur vertical qui sépare entièrement une partie de bâtiment du reste de celui-ci et forme ainsi un volume qui, de son toit jusqu'à son niveau le plus bas, est distinct et complet par lui-même selon sa destination [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] MUR COUPE-FEU cloisonnement coupe-feu de construction incombustible, qui divise un bâtiment ou sépare des bâtiments adjacents [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] MUR MITOYEN mur commun appartenant en copropriété à 2 voisins [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] -N- NAPALM A gasoline thickener. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) NAPHTHA An ambiguous term which may mean high flash naphtha (mineral spirits), or low flash naphtha (petroleum, ether, low boiling ligroin) or something altogether different. Flash point and explosive limits vary. The term naphtha is so ambiguous that it should not be used. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) NARCOTIC EFFECT (effet narcotique, narcose) The effect of producing drowsiness and ultimately unconsciousness. Chemical substances in smoke, when inhaled, can enter the bloodstream and interfere with the oxygen supply to the brain, causing narcosis and possibly death. [Friedman 1989] NATIONAL FIRE PROTECTION ASSOCIATION Standards for explosive materials and ammonium nitrate issued by the National Fire Protection Association. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) NATIONAL FIRE PROTECTION ASSOCIATION (NFPA) An international voluntary membership organization to promote improved fire protection and prevention, establish safeguards against loss of life and property by fire, and writes and publishes the American National Standards.HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 NATIONAL INTERAGENCY INCIDENT MANAGEMENT SYSTEM (NIIMS) A standardized systems approach to incident management that consists of five major sub- divisions collectively providing a total systems approach to all-risk incident management. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 NATIONAL INSTITUTE FOR OCCUPATIONAL SAFETY AND HEALTH (NIOSH) A Federal agency which, among other activities, tests and certifies respiratory protective devices, air sampling detector tubes, and recommends occupational exposure limits for various substances. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 NATIONAL RESPONSE CENTER (NRC) A communications center operated by the United States Coast Guard headquarters located in Washington, DC. They provide information on suggested technical emergency actions, and must be notified by the spiller within 24 hours of any spill of a reportable quantity of a hazardous substance. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 NATIONAL SAFETY COUNCIL (NSC) A nonprofit organization chartered by Congress to provide a regular information service on the causes of accidents and ways to prevent them. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) NATURAL GAS Natural gas, natural mixture of flammable gases found issuing from the ground or obtained from specially driven wells. Largely a mixture of Hydrocarbons, natural gas is usually 80 to 95% Methane. The composition varies in different localities, and minor components may include carbon dioxide, nitrogen, hydrogen, carbon monoxide, and helium. Often found with Petroleum, natural gas also occurs apart from it in sand, sandstone, and limestone deposits. Natural gas began to be used as an illuminant and a fuel on a large scale in the late 19th century, when pipelines were built to provide it to large industrial cities. Liquified natural gas (LNG) is natural gas that has been cooled and pressurized to liquify it for convenience in shipping and storage. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) NATURAL GAS A mixture of low-molecular weight hydrocarbons obtained in petroleum bearing regions throughout the world. Natural gas consists of approximately 85% methane, 10% ethane and the balance propanes, butanes and nitrogen. since it is nearly odourless, an odorising agent is added to most natural gas prior to final sale. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) NEBULIZE To form a mist of fine droplets from a liquid. To atomise. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) NÉCESSITÉ DE L'INVESTIGATION On ne peut mesurer la sécurité qu'en fonction de la probabilité qu'un événement indésirable surviendra. Pour employer le langage des statistiques, cette probabilité constitue l'extrême valeur de réalisation d'un événement; ce dernier dépend généralement de l'existence simultanée de plusieurs conditions; assurer la sécurité consiste donc à prendre des mesures de nature à empêcher leur action simultanée. Il est souvent malaisé, à partir des connaissances disponibles, d'énoncer des prédictions relatives à la sécurité; il arrive souvent qu'on ne puisse l'évaluer autrement que d'après la fréquence à laquelle se produisent ces événements. L'expérience d'événements de ce genre se retrouve toujours dans le passé; aussi donne-t-elle inévitablement lieu à certaines difficultés lorsqu'on la prend pour base de prédiction. Au cas, par exemple, où les événements se produisent en moyenne tous les dix ans, il faut un laps de temps considérable, peut-être 50 ans, pour en établir, aux fins d'analyse, un historique qui soit statistiquement significatif. Au cours de cette période, d'autre part, les facteurs qui ont engendré les événements du passé ont pu changer totalement, tandis que d'autres, nouveaux et n'entrant pas dans le cadre des expériences passées faisant l'objet d'un historique, ont pu intervenir. L'expérience accumulée peut donc présenter une valeur nulle ou insuffisante pour pouvoir servir de base à l'énoncé des probabilités d'événements à venir. [...] Si l'on compare la sécurité en matière d'incendie avec la sécurité en matière de charpente, et qu'on examine les vastes acquisitions de la recherche passée, d'où est né un vaste ensemble de connaissances codifiées, ainsi que le corps d'expertsconseils hautement qualifiés travaillant régulièrement en très grand nombre dans tout le pays, on se livre à une vaine recherche. On doit conclure que la situation relative aux incendies en est encore à un stade de développement relativement élémentaire. La seule solution réellement acceptable pour la prochaine décennie consistera à accepter des codes de construction affichant une attitude fortement réglementée relativement aux dangers d'incendie. Si l'on désire remédier à cette situation, on devra notablement intensifier la recherche sur les incendies et développer le génie de la prévention des incendies de manière qu'il prenne forme de spécialité professionnelle. C'est seulement lorsqu'on pourra utiliser en confiance le jugement de spécialistes compétents pour assurer la sécurité en matière d'incendie au stade de la conception des édifices, que la rigidité des réglementations des codes de construction pourra être assouplie. (http://www.nrc.ca/irc/cbd/cbdsubj-f.html, mise à jour 98-7-8, Publié à l'origine en novembre 1973, Institut de Recherche en Construction, CNRC, Ottawa: CBD-114-F La sécurité dans les bâtiments, N.B. Hutcheon) NEON (Ne), gaseous element, discovered in 1898 by William Ramsay and M.W. Travers. A colorless, odorless, and tasteless inert gas, it emits a bright-red glow when conducting electricity in a tube. Neon is used in advertising signs, Lasers, Geiger counters, Particle Detectors, and high-intensity beacons. Liquid neon is a cryogenic refrigerant. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) NEUTRALIZATION The process by which acid or alkaline properties of a solution are altered by addition of certain reagents to bring the hydrogen and hydroxide concentrations to equal value (pH 7 is neutral). HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 NEWTON, SIR ISAAC Sir Isaac Newton, 1642 - 1727, English mathematician and natural philosopher (physicist); considered by many the greatest scientist of all time. He was Lucasian professor of mathematics (1669û1701) at Cambridge University. Between 1664 and 1666 he discovered the law of universal Gravitation, began to develop the Calculus, and discovered that white light is composed of every color in the Spectrum. In his monumental Philosophiae naturalis principia mathematica {Mathematical Principles of Natural Philosophy} (1687), he showed how his principle of universal gravitation explained both the motions of heavenly bodies and the falling of bodies on earth. The Principle covers Dynamics (including Newton's three laws of Motion), Fluid mechanics, the motions of the planets and their satellites, the motions of the comets, and the phenomena of tides. Newton's theory that Light is composed of particles ù elaborated in his Opticks (1704) ù dominated optics until the 19th cent., when it was replaced by the wave theory of light; the two theories were combined in the modern Quantum theory. Newton also built (1668) the first reflecting telescopeE, anticipated the calculus of variations, and devoted much energy towards alchemy, theology, and history. He was president of the Royal Society from 1703 until his death. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) N.F.P.A. National Fire Protection Association - NFPA - Organisation internationale à participation volontaire vouée à la promotion et à l'amélioration de la protection et de la prévention incendie et à l'établissement de normes de sécurité visant à diminuer les pertes de vie et les dommages à la propriété causés par les incendies. La NFPA est bien connue pour ses National Fire Codes, seize volumes de normes, de pratiques recommandées et de manuels mis au point (et périodiquement mis à jour) par ses divers comités. NFPA 704M est le code qui établit les dangers des substances à l'aide de l'étiquette familière en forme de losange qui porte les numéros ou les symboles appropriés (classification des dangers de la NFPA). National Fire Protection Association (N.F.P.A.) - a U.S. based scientific and educational organization that looks at the causes, prevention and control of fire; and develops and publishes standards. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) NFPA 907M - 1983 MANUAL ON THE INVESTIGATION OF FIRES OF ELECTRICAL ORIGIN 1-1 Scope. To establish guidelines and techniques for use in investigating fires to determine whether or not a fire is of electrical origin with a view TO IMPROVING THE CREDIBILITY OF SUCH INVESTIGATIONS and developing information that can be useful in improving the firesafety of electrical equipment. 1-2 Purpose. This manual is intended to establish guidelines [directives] and techniques for use in investigating and reporting fires so that it can be determined if the fire was or may have been of electrical origin. The fire officer at the scene is potentially the best source of accurate information as to the location and origin of a fire. This manual is intended to provide the fire officer with additional background so that an accurate determination can be made to establish whether the ignition of the fire was a direct or indirect result of electricity. [...] The primary emphasis is on buildings with 120/240 volt electrical systems which include most one- or two-family dwellings and some small commercial establishments. [NFPA 907M-1983] NFPA 921 - 1992 GUIDE FOR FIRE AND EXPLOSION INVESTIGATIONS This is the first edition of NFPA 921, Guide for Fire and Explosion Investigations. It was developed by the Committee on Fire Investigations to assist in IMPROVING THE FIRE INVESTIGATION PROCESS and the quality of information on fires resulting from the investigative process. The guide is intended for use by both public sector empolees who have statutory responsibility for fire investigation and private sector persons conducting investigations for insurance companies or civil litigation. Throughout the development of this document, it has been the goal of the Committee to provide guidance that is BASED ON ACCEPTED SCIENTIFIC PRINCIPLES OR SCIENTIFIC RESEARCH. [NFPA 921-1992] NINE - ONE – ONE (9-1-1) Enhanced 911, or E911, is an emergency phone system that provides the caller's address, response district, and other important information. When the caller dials 911 to report an emergency, this information automatically appears on the dispatcher's computer screen, along with dispatch information for fire, police, EMS, or other emergency responder. This system is invaluable, especially in those cases where the caller is in an agitated state and may be unable to give information fully or clearly. Such a system, thereby, can have a dramatic effect on reducing response time. [NFPA Handbook 1991] NIOSH National Institute for Occupational Safety and Health. Cet organisme qui relève du gouvernement des Etats-Unis effectue des recherches et formule des normes d'hygiène et de sécurité au travail. (Canutec) NITROGEN (azote) A gaseous element which makes up approximately 80% of the earth's atmosphere. Nitrogen is relatively inert and does not support either combustion or life. Nitrogen is usually found in the molecular N2 form. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) NIVEAU DU SOL en ce qui concerne la détermination de la hauteur d'un bâtiment, niveau moyen du sol fini sur le périmètre d'un bâtiment [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] NOM CHIMIQUE Le nom chimique est le nom scientifique approprié qui désigne un ingrédient du produit; par exemple, le nom chimique de l'herbicide 2,4-D est l´acide dichloro-2,4 phénoxyacétique. On peut utiliser le nom chimique pour obtenir des renseignements supplémentaires. (Canutec) NOM DE MARQUE Le nom de marque est le nom sous lequel un produit chimique se vend sur le marché. Certaines substances chimiques pures se vendent sous un nom d'usage courant (par exemple solvant Stoddard ou dégraissant) ou sous le nom de marque qu'on emploie pour le désigner à l'échelle mondiale (par exemple Varsol). Certains noms de marques de produits sont identifiés par des symboles comme (R) ou (TM). (Canutec) NONCOMBUSTIBLE CONSTRUCTION means that type of construction in which a degree of fire safety is attained by the use of noncombustible materials for structural members and other building assemblies. (Ontario Fire Code 1996) NON-CONFORMITÉ / non conformity Non satisfaction aux exigences spécifiées.- NF X 50 - 120 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) NON-FLAMMABLE GAS Any material or mixture, in a cylinder or tank, other than poison or flammable gas, having an absolute pressure in the container exceeding 40 psi at 70oF, or having an absolute pressure exceeding 104 psi at 130oF. (49 CFR) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 NONFLAMING COMBUSTION There is another mode of combustion not involving any flame. It is called smoldering, glowing, or nonflaming combustion. The rate of burning during flaming combustion is many times as great as during smoldering combustion. [Friedman 1989] NON-QUALITÉ / non quality Écart global entre la qualité visée et la qualité effectivement obtenue. NF X 50 - 120 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) NORME / standard Document établi par consensus et approuvé par un organisme reconnu qui fournit, pour des usages communs et répétés, des règles, des lignes directrices ou des caractéristiques pour des activités ou leurs résultats, garantissant un niveau d'ordre optimal dans le contexte donné. - NF X 50 - 080 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) Notification time - the time to register the emergency with the communications centre of first receipt from the point at which a person or device first takes steps to announce the incident. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) NUMÉRIQUE adj (électronique, traitement du signal) [digital ] Qualificatif d'un signal ne pouvant prendre qu'un nombre limité de valeurs discontinues (deux si le signal est binaire). contraire : analogique. voir : MIC. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) NUMÉRO D'IDENTIFICATION DU PRODUIT (NIP) (En anglais PIN, Product Identification Number. Parfois appelé numéro UN, United Nations, ou NA, North America). Numéro à quatre chiffres affecté à une substance dangereuse (par exemple l'essence, UN 1203) ou à une catégorie de substances (par exemple les liquides corrosifs, UN 1760) pour permettre de les identifier aux fins du transport. Les gens qui sont appelés à combattre l'incendie ou à effectuer d'autres opérations d'urgence emploient ce numéro pour identifier la substance en cas de situation dangereuse. Les numéros UN sont reconnus partout au monde, alors que les numéros NA ne servent que pour le transport au Canada et aux Etats-Unis. Les NIP sont utilisés au Canada seulement. Les numéros UN, NA et NIP servent tous aux mêmes fins. (Canutec) -OOBJECTIVE The desired accomplishment for which a process is undertaken. (Benner 1997) OBSERVATION A noting and recording of an event or condition / state. (Benner 1997)O Observed variable - a variable whose value is not changed however its effects are observed. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) OCCUPATIONAL SAFETY AND HEALTH ADMINISTRATION (OSHA) Component of the United States Department of Labor; an agency with safety and health regulatory and enforcement authorities for most United States industries, businesses and states. OCCUPANCYmeans the use or intended use of a building or part thereof for the shelter or support of persons, animals or property. (Ontario Fire Code 1996) -- usage du bâtiment OCCUPANT LOAD means the number of persons for which a building or part thereof is designed. (Ontario Fire Code 1996) OCR (informatique) - sigle de " Optical Character Recognition " Reconnaissance optique de caractères. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) OCTANE (1) An alkane having the formula C8H18. Flash point 56F. Explosive limits of 1% to 3.2%. (2) A measure of the resistance of a sample of gasoline to premature ignition (knocking). 100 octane fuel has the knocking resistance of 100% iso-octane (2, 2, 4-trimethyl pentane). Zero octane fuel has the knocking resistance of a mixture of 89% iso-octane and 11% nheptane. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) OCTANE NUMBER Octane number, a quality rating for Gasoline indicating the ability of the fuel to resist premature detonation and to burn evenly when exposed to heat and pressure in an Internal Combustion Engine. Premature detonation, indicated by knocking and pinging noises, wastes fuel and may cause engine damage. The octane number can be increased by varying the relative amounts of the different Hydrocarbons that make up the gasoline or by additives, e.g., tetraethyl lead. Federal regulations in the U.S. require commercial gasoline pumps to indicate the octane number, which is usually 87 or 89 for regular grade gasoline and 93 for premium grade. Since the early 1970s most Automobiles have been built to operate on low octane gasoline with little or no lead added. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) OCTET nm (informatique) [byte, octet ] Unité d'information constituée d'un groupe de 8 bits contigus. voir : mot. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) ODOR THRESHOLD (seuil olfactif) The lowest concentration in the atmosphere which can be detected by the human sense of smell. Often a poor indicator of toxicity risk. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 OFFICER IN CHARGE(officier-commandant) The officer is not only in charge of his assigned unit at fires but is the administrative officer in charge of the men, equipment, and station of his command. Moreover, the establishment of a company officer rank provides the opportunity for specifying higher qualifications and skills than those normally expected of experienced apparatus operators. These skills include both greater understanding of fire protection as well as administrative and management skills. Normally, officer selection is made on the basis of competitive examination with due credit for experience. Unless a chief arrives in time to direct the placement of companies at a fire, much of his value as a fireground coordinator and supervisor is lost. The success with which the work of various fire fighting units are COORDINATED in large measure determines the OVERALL EFFICIENCY obtained with the men and equipment employed. [Kimball 1969] OHM Ohm, symbol O, unit of electrical Resistance, defined as the resistance to the flow of a steady electric current offered by a column of mercury 14.4521 grams in mass with a length of 1.06300 m and with an invariant cross-sectional area, when at a temperature of 0°C. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) OIL Any of numerous mineral, vegetable, and synthetic substances and vegetable and animal fats that are generally slippery, combustible, viscous, liquid or liquefiable at room temperature. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 OLEFIN An alkene. An organic compound similar to an alkane, but containing at least one double bond. Olefins have the formula CnH2n. The simplest olefin is ethylene, C2H4. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) OLFACTORY Pertaining to the sense of smell. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 OPERATIONS That organizational level within the Incident Command System (ICS) immediately subordinate to the Incident Commander. When established, this position is responsible for the direct management of all incident tactical activities. (NIIMS) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 OPINION A belief held confidently, but reached without positive proof. (Benner 1997) OPTICS Scientific study of light. Physical optics is concerned with the genesis, nature, and properties of light; physiological optics with the part light plays in vision; and geometrical optics with the geometry involved in the reflection and refraction of light as encountered in the study of the mirror and the lens.(Hydro Cut General Terminology & Resource Information) Optimum level of protection - the combination of fire fighting staff and apparatus that delivers a suppression effort commensurate with the fire demand faced, yet representing the most efficient use of resources in a safe and effective manner. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) ORDER means an order made under subsection 21(1) of the Fire Protection and Prevention Act. (Ontario Fire Code 1996) ORGANIC CHEMISTRY Organic chemistry, branch of Chemistry dealing with Carbon compounds. Of all the elements, carbon forms the greatest number of different compounds; moreover, compounds that contain carbon are about 100 times more numerous than those that do not. Compounds containing only carbon and Hydrogen are called Hydrocarbons. Organic compounds containing Nitrogen are of great importance to Biochemistry. Organic chemistry is of importance to the petrochemical, pharmaceutical, and textile industries; in textiles a prime concern is the synthesis of new organic molecules and Polymers. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) ORGANIC CHEMISTRY The study of the carbon atom and the compounds it forms, mainly with the 20 lightest elements, especially hydrogen, oxygen and nitrogen. Some 3 million organic compounds have been identified and named. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ORGANIC PEROXIDE Strong oxidizers which are often chemically unstable, containing the -o-o structure. They react readily with solvents or fuels resulting in an explosion or fire. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 ORIGINE et cause Son activité [l'investigateur, l'enquêteur] consiste à localiser l'origine du sinistre et à en déterminer la cause la plus probable. Il doit reconstituer le montage ou le mécanisme d'allumage de l'incendie ou de l'explosion, situer le foyer initial, expliquer la propagation et le développement du feu et recueillir les indices qui corroborent sa conclusion. Au cours de l'examen des lieux, il est nécessaire de localiser de façon absolue, l'origine du sinistre. C'est suite à cette localisation que la cause pourra être établie. Situer le foyer initial est essentiellement une activité de terrain qui s'exerce lors de l'examen détaillé des éléments susceptibles d'avoir causé l'incendie ou l'explosion. Egalement il est nécessaire, pour l'enquêteur, d'obtenir les versions détaillées et écrites des différents occupants, témoins, voisins, intervenants et autres personnes impliquées afin de connaître la chronologie de l'évènement. Cette démarche doit s'effectuer le plus tôt possible afin de permettre à l'enquêteur de vérifier des faits et informations sur le site même du sinistre et part la suite orienter ses actions. (L'enquête d'incendie, Carrefour Incendie, http://pages.infinit.net/incendie/index.html, nov. 1998) OSHA Occupational Safety and Health Administration. An agency of the Department of Labour in the United States, active in eliminating occupational hazards and promoting employee health and safety. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) OSHA Occupational Safety and Health Administration. Une division du gouvernement des Etats-Unis chargée de l'établissement et de la mise en pratique des règlements relatifs à l'hygiène et à la sécurité au travail. C'est cet organisme qui fixe les limites d'exposition légales, appelées Permissible Exposure Limits (PEL) aux Etats-Unis. L'OSHA spécifie quels renseignements doivent apparaître sur les étiquettes et les FTSS des produits classifiés comme dangereux d'après les critères qu'elle a établis. (Canutec) OSI 1- sigle de " Organisation de Standardisation Internationale ". Organisme de normalisation dans le domaine de l'informatique et des réseaux de télécommunications. 2- (réseaux, télécommunications) sigle de " Open Systems Interconnect ". voir: ISO. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) OUVERTURE NON PROTÉGÉE en ce qui concerne une façade exposée, ouverture qui est constituée soit d'une porte, d'une fenêtre ou d'une autre ouverture non munie d'une fermeture ayant le degré prescrit de protection contre le feu, soit d'une partie d'un mur qui est compris dans la façade exposée et qui a une résistance au feu inférieure à celle qui est prescrite pour cette façade [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] OVERHAUL Teamwork necessary. Overhaul is closely related to fire extinguishment and salvage operations. It is not a separate or individual FUNCTION to which certain men may be detailed as in salvage operations. (Fire Chief's Handbook, 4e, 1978) OVERHAUL (déblai - remaniement des débris) Fire department procedure of inspecting premises after extinguishment to insure that the fire is completely extinguished and will not rekindle later on, and rendering the fire-damaged premises in a safe condition before returning control over to the owner and/or occupants. [Fire Cause Determination, IFSTA 1986] Overhaul Commonly viewed as "cleaning up" after a fire, overhaul is the process of putting a structure in the safest condition following a fire. Additionally, it is during the overhaul phase of an incident that firefighters verify that the fire has not extended into unknown areas and that hidden "hot spots" are extinguished. [email protected] OWNER means any person, firm or corporation having control over any portion of the building or property under consideration and includes the persons in the building or property. (Ontario Fire Code 1996) OXIDATION Originally, oxidation meant a chemical reaction in which oxygen combines with another substance. The usage of the word has been broadened to include any reaction in which electrons are transferred. The substance which gains electrons is the oxidising agent. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) OXIDIZER A chemical, other than a blasting agent or explosive, that initiates or promotes combustion in other materials thereby causing fire either of itself or through the release of oxygen or other gases. (49 CFR 173.151) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 OXIDIZING AGENT A chemical substance that can react with hydrogen or with metals. Examples are oxygen, ozone, nitrate salts, perchlorate salts, and halogens. [Friedman 1989] OXIDIZING MATERIAL means a material, other than ordinary atmospheres, that by itself is not necessarily combustible, but that may, generally by yielding oxygen, cause or contribute to the combustion of another material. (Ontario Fire Code 1996) OXYGEN A gaseous element which makes up approximately 20% of the earths atmosphere. [...] Oxygen is the most abundant element on earth. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) OXYGEN DEFICIENCY A concentration of oxygen insufficient to support life. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 OXYGEN DEFICIENT ATMOSPHERE An atmosphere which contains an oxygen content less than 19.5 % by volume at sea level. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 OXYGÈNE Du grec "oxus", acide et "gennân", engendrer. Appartient au groupe 16. L'oxygène est le troisième plus important élément du Soleil. A l'état excité, c'est lui qui donne leurs couleurs aux aurores boréales. C'est un gaz incolore, inodore et insipide. A l'état solide et liquide, il est d'un bleu pâle. L'ozone ( O3 ) résulte de décharges électriques ou de rayons ultraviolets agissant sur l'oxygène. Il forme dans la haute atmosphère une couche épaisse de 3 mm qui protège la surface terrestre des rayons ultraviolets du Soleil. Paradoxalement, au niveau du sol, l'ozone est toxique ! Très réactif et capable de se combiner avec presque tous les éléments, l'oxygène est utilisé dans presque toutes les combustions. L'oxygène sous forme d'eau, dont il constitue 90 % de la masse, est essentiel à la vie. Presque toutes les espèces en ont aussi besoin pour leur respiration. Il est présent dans pratiquement tous les composés organiques et constitue environ les deux tiers de la masse du corps humain.(Ivan Noels, [email protected]) -P- PABX nm (télécommunications) - sigle de " Private Automatic Branch Exchange " voir : autocommutateur. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) PAIRES TORSADÉES nf (réseaux) [twisted pair ] Paire de fils téléphoniques entrelacés pour minimiser les diaphonies. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) PALLETS A low portable platform constructed of wood, metal, plastic, or fiberboard, built to specified dimensions, on which supplies are loaded, transported, or stored in units. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 PAQUET nm (réseaux) [packet ] Ensemble d'informations de taille fixe ou variable véhiculé comme une entité minimale dans un réseau. Le paquet comporte les informations à transmettre encadrées par des messages de service (adresses de l'expéditeur, du destinataire, etc). (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) PARAFFIN Paraffin, white, semitranslucent, odorless, tasteless, water insoluble, waxy solid. Though relatively inert, it burns readily in air. A mixture of Hydrocarbons obtained from Petroleum during refining, paraffin is used in candles and for coating paper. (Hydro Cut) PARAFFINE (voir aussi Méthane et Hydrocarbures) L'huile lourde [no.6] est un mélange de paraffines contenant 20 atomes de carbone ou plus par molécule. Les huiles lubrifiantes, la vaseline et la paraffine solide sont des mélanges de molécules plus grosses encore. [Pauling 1958] PARTITIONmeans an interior wall 1 storey or part of a storey in height that is not loadbearing. (Ontario Fire Code 1996) PASSAGE chemin couvert pour piétons, servant à relier 2 bâtiments ou plus et dont la plus petite dimension horizontale est inférieure à 30 pieds (9,14 m) [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] PASSAGE FERMÉ passage dont 50% ou moins du périmètre est ouvert à l'air libre [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] PASSAGE OUVERT passage dont plus de 50% du périmètre est ouvert à l'air libre [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] PEINTURE IGNIFUGE peinture intumescente: Les peintures ignifuges modifient les propriétés de surface des matériaux en leur permettant d'améliorer leur comportement au feu. Pour aller plus loin dans le domaine de la protection contre l'incendie, il fallait obtenir pour la peinture des propriétés d'isolation thermique. Or, l'épaisseur de 1 mm en peinture est d'une part un maximum techniquement acceptable et d'autre part insuffisante pour assurer l'isolation thermique efficace. (...) Les peintures intumescentes s'expansent sous l'action de la chaleur en formant une mousse carbonisée isolante de plusieurs centimètres d'épaisseur. Cette meringue multicellulaire, agissant par isolation thermique, limite l'extension d'un feu en empêchant l'inflammation des matériaux combustibles tout en retardant la destruction de son support. (Source : Termium 1994) PENETRATION The movement of liquid molecules through a chemical protective clothing, suit, garment or material. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 PENTANE An alkane having the formula C5H12, flash point of -40F, and explosive limits of 1.4% to 8%. Pentane is frequently used to extract flammable or combustible liquid residues from debris samples. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) PERIODIC TABLE Periodic table, chart that reflects the periodic recurrence of chemical and physical properties of the Elements when the elements are arranged in order of increasing Atomic Number. The periodic table was devised by Dmitri Mendeleev and revised by Henry Moseley It is divided into vertical columns, or groups, numbered from I to VIII, with a final column numbered 0. Each group is divided into two categories, or families, one called the a series (the representative, or main group, elements) the other the b series (the Transition Elements, or subgroup elements). All the elements in a group have the same number of Valence electrons and have similar chemical properties. The horizontal rows of the table are called periods. The elements of a particular period have the same number of electron shells; the number of electrons in these shells, which equals the element's atomic number, increases from left to right within each period. In each period the lighter Metals appear on the left, the heavier metals in the center, and the nonmetals on the right. Elements on the borderline between metals and nonmetals are called metalloids. Elements in group Ia are called the Alkali Metals; in group IIa, the Alkaline-Earth Metals; in group VIIa, the Halogens; and in group 0, the Inert Gases. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) PÉRIPHÉRIQUE nm (informatique) Dispositif externe qui peut être connecté et contrôlé par un ordinateur (lecteurs de disques, imprimantes, ...). (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) PERMEATION The movement of vapor or gas molecules through a chemical protective garment material. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 PERMIS Permission officielle écrite du Service d'inspection, sur une formule destinée à cette fin, autorisant le début des travaux sur une installation électrique. (Code de l'électricité du Québec, 1987, p.38) PERSONAL PROTECTIVE EQUIPMENT (PPE) Equipment provided to shield or isolate a person from the chemical, physical, and thermal hazards that may be encountered at a hazardous materials incident. Adequate personal protective equipment should protect the respiratory system, skin, eyes, face, hands, feet, head, body, and hearing. Personal protective equipment includes: personal protective clothing, self contained positive pressure breathing apparatus, and air purifying respirators. (NFPA 472, 13) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 PETROLEUM Petroleum or crude oil, oily, flammable liquid that occurs naturally in deposits, usually beneath the surface of the earth. The exact composition varies according to locality, but it is chiefly a mixture of Hydrocarbons. Petroleum is a fossil fuel thought to have been formed over millions of years from incompletely decayed plant and animal remains buried under thick layers of rock. Drilling for oil is a complex, often risky process. Scientific methods are used to locate promising sites for wells, some of which must be dug several miles deep to reach the deposit. Many wells are now drilled offshore from platforms standing on the ocean bed. Usually the crude oil in a new well comes to the surface under its own pressure. Later it has to be pumped or forced up with injected water, gas, or air. Pipelines or tankers transport it to refineries, where it is separated into fractions, i.e., the portions of the crude oil that vaporize between certain defined limits of temperature. Fractions are obtained by a refining process called fractional Distillation in which crude oil is heated and sent into a tower. The vapors of the different fractions condense on collectors at different heights in the tower. The separated fractions are then drawn from the collectors and further processed into various petroleum products. Generally the fractions are vaporized in the following order: dissolved Natural Gas, Gasoline, naphtha, Kerosene, diesel fuel, heating oils, and finally tars. Lighter fractions, especially gasoline, are in greatest demand and their yield can be increased by breaking down heavier hydrocarbons in a process called cracking. The leading producers of petroleum in 1980 were the USSR, Saudi Arabia, the U.S., Iraq, Venezuela, China, Nigeria, Mexico, Libya, and the United Arab Emirates. The largest reserves are in the Middle East. Modern industrial civilization depends heavily on petroleum for motive power, fuel, lubrication, and a variety of synthetic products, e.g., dyes, drugs, and Plastics. The widespread burning of petroleum as fuel has resulted in serious problems of air pollution, and oil spilled from tankers and offshore wells has damaged oceans and coastlines. Unless the need for oil is reduced, conservationists may be unable to prevent the development of oil deposits whose exploitation poses threats to the environment. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) PETROLEUM DISTILLATES By-products of the refining of crude oil. Low boiling or light petroleum distillates (LPD) are highly volatile mixtures of hydrocarbons. These mixtures are sometimes called ligroin, petroleum ether, or naphtha. LPDs are used as cigarette lighter fluid, as copier fluid, and as solvents. Medium boiling petroleum distillates (MPD) are sometimes known as mineral spirits, and are used as charcoal starters, as paint thinners, as solvents for insecticides and other products, and as lamp oils. High Boiling or Heavy petroleum distillates (HPD) are combustible liquids such as kerosene and diesel fuel. pH A number used to represent the acidity or alkalinity of an aqueous solution. pH 7 is neutral. Acids have a pH below 7, the lower the pH, the more acidic the solution. Bases have a pH above 7. The higher the pH, the more basic of alkaline the solution. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) pH pH, range of numbers expressing the relative acidity or alkalinity of a solution. The pH value is the negative common Logarithm of the hydrogen-ion Concentration in a solution expressed in Moles per liter of solution. A neutral solution is one that is neither acidic nor alkaline such as pure water has a concentration of 10-7 moles per liter; its pH is thus 7. Acidic solutions have pH values ranging with decreasing acidity from 0 to nearly 7; alkaline or basic solutions have a pH ranging with increasing alkalinity from just beyond 7 to 14. Also Acids and Bases. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) pH A numerical designation of the negative logarithm of hydrogen ion concentration. A pH of 7.0 is neutrality; higher values indicate alkalinity and lower values indicate acidity. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 PHASE A physical state of matter : gas, liquid, or solid. [Friedman 1989] PHASES Un système matériel (c'est-à-dire une portion limitée du monde physique) peut être considéré comme un ensemble de phases. Une phase est une partie homogène d'un système, séparée des autres par une délimitation physique. Par exemple, si un ballon est partiellement rempli d'eau dans laquelle flotte de la glace, le système contenu dans le ballon comprend trois phases: la phase solide GLACE, la phase liquide EAU, et la phase gazeuse AIR. [Pauling 1958] PHOSPHORE Du grec "phôs", lumière et "phoros", qui porte. C'est aussi le nom donné à la planète Vénus, lorsqu'elle est vue comme étoile du matin. Appartient au groupe 15. Le phosphore existe sous plusieurs formes allotropiques (jaune, rouge et violet). Exposé à l'air, il s'enflamme spontanément. Il est employé dans la manufacture des allumettes, des feux d'artifice, des bombes incendiaires, des balles traçantes, des engrais et de nombreux autres produits. Le phosphore est un composant clef de l'ADN, de l'ARN, des os et des dents. Son emploi dans les engrais et les détergents contribue à la pollutions des cours d'eau. (Ivan Noels, [email protected]) PHOTOIONISATION DETECTOR (PID) A type of detector used in chromatography which employs ultraviolet radiation rather than a flame to ionise compounds as they pass through a detector. Photoionisation detectors are particularly sensitive to aromatic compounds. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) PHOTON Photon or light quantum, the particle composing light and other forms of electromagnetic radiation. The Photovoltaic Effect and blackbody radiation can be explained only by assuming that light energy is transferred in discrete packets, or photons, and that the energy of each photon is equal to the frequency of the light multiplied by Planck's constant h. Light imparts energy to a charged particle when one of its photons collides with the particle. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) PHOTOVOLTAIC CELL A Semiconductor diode that converts light to electric current. When light strikes the exposed active surface, it knocks electrons loose from their sites in the crystal. Some of the electrons have sufficient energy to cross the ÿE_ Diode junction and pass through an external circuit. Because the current and voltage obtained from these devices are small, they are usually connected in large series-parallel arrays. Practical photovoltaic cells are currently about 10 to 15% efficient. Although cells constructed from indium phosphide and gallium arsenide are, in principle, more efficient, silicon-based cells are generally less costly. Solar photovoltaic cells have long been used to provide electric power for spacecraft. Recent developments, still in progress, have driven costs down to the point where they are being used more and more as terrestrial energy sources. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) PIEU élément de fondation enfoncé dans le sol et qui transmet les charges aux couches inférieures [S3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] PIEU COMPOSITE pieu constitué de tronçons superposés en matériaux différents [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] PILIER OU CAISSON fût en béton ou en un autre matériau réalisé par excavation et remblayage, et destiné à supporter une charge [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] PIXEL nm (informatique, télévision) - abréviation de " picture element " Plus petit élément d'affichage écran. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) PLANCHER (de l'importance du) Il est essentiel de se rappeler qu'il faut nettoyer soigneusement le plancher du foyer d'incendie, examiner tous les articles et les mettre de côté. Après quoi, il faut balayer le plancher ou nettoyer le tapis aussi complètement que possible pour examiner la façon dont s'est faite la carbonisation. [Stickney 1960] PLANNING OPERATIONS (planification opérationnelle) Fire departments are expected to plan operations to deliver the needed fire flows promptly and efficiently under circumstances which can be foreseen. [Kimball 1969] PLASTIC A synthetic solid consisting primarily of a polymer or blend of polymers of high molecular weight. Generally, the plastic will also contain other materials, such as plasticizers (for flexibility), fillers (to modify mechanical properties or reduce costs), coloring agents, additives to impart resistance to fungi or ultraviolet light, fire retardants, and so on. [Friedman 1989] PLASTIC Plastic, any synthetic organic material that can be molded under heat and pressure into a shape that is retained after the heat and pressures are removed. There are two basic types of plastic: thermosetting, which cannot be resoftened after being subjected to heat and pressures; and thermoplastic, which can be repeatedly softened and reshaped by heat and pressure. Plastics are made up chiefly of a binder consisting of long chainlike molecules called Polymers. Binders can be natural materials, e.g., Cellulose, or (more commonly) synthetic Resins, e.g., Bakelite. The permanence of thermosetting plastics is due to the heat- and pressure-induced cross-linking reactions the polymers undergo. Thermoplastics can be reshaped because their linear or branched polymers can slide past one another when heat and pressure are applied. Adding plasticizers and fillers to the binder improves a wide range of properties, e.g., hardness, elasticity, and resistance to heat, cold, or acid. Adding Pigments imparts color. Plastic products are commonly made from plastic powders. In compression molding, heat and pressure are applied directly to the powder in the mold cavity. Alternatively, the powder can be plasticized by outside heating and then poured into molds to harden (transfer molding); be dissolved in a heating chamber and then forced by a plunger into cold molds to set (injection molding); or be extruded through a die in continuous form to be cut into lengths or coiled (extrusion molding). The first important plastic, celluloid, has been largely replaced by a wide variety of plastics known by such trade names as Plexiglas, Lucite, Polaroid, and cellophane. New uses continue to be found and include contact lenses, machine gears, and artificial body parts. The widespread use of plastics has led to environmental problems. Because plastic products do not decay, large amounts accumulate as waste. Disposal is difficult because they melt when burned, clogging incinerators and often emitting harmful fumes, e.g., the hydrogen chloride gas given off by Polyvinyl Chloride. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) PLOMB (et eau potable) Le plomb se recouvre à l'air d'une mince pellicule d'oxyde qui se transforme en carbonate basique. L'eau dure forme une couche analogue sur le plomb, ce qui empêche sa contamination par les composés solubles du plomb. L'eau douce dissout des quantités appréciables de plomb qui la rendent toxique et pour cette raison il y a lieu de proscrire les tuyaux de plomb pour l'alimentation en eau potable. [Pauling 1958] PLOMB Du latin "plumbum", plomb. Appartient au groupe 14. Connu depuis les temps les plus anciens, c'est un métal mou, très malléable, ductile et relativement mauvais conducteur de l'électricité. Très résistant à la corrosion, il a été longtemps employé pour la manufacture des conduites d'eau et comme additif à l'essence et aux peintures avant qu'on se rende compte de sa toxicité à long terme. Il est aussi utilisé dans les soudures, la manufacture des verres de cristal et en radiologie grâce à sa grande capacité d'aborption des rayons X. Les isotopes du plomb sont les produits finaux de chaque élément radioactif naturel. Les alchimiste croyaient que le plomb était le plus ancien métal. Ils l'avaient associé à la planète Saturne et ils ont dépensé beaucoup d'énergie en essayant de le transmuter en or, ce que l'on a réussi dernièrement dans des réacteurs nucléaires. Le plomb est toxique par ingestion et par inhalation. C'est un poison qui s'accumule dans l'organisme et provoque le saturnisme, maladie affectant le système nerveux. (Ivan Noels, [email protected]) PLUME (prononcer ploume en anglais) (panache de fumée) The column of hot gases, flames, and smoke rising above a fire. Also called CONVECTION column, thermal updraft, or thermal column. [NFPA 921 - 1992] PLUME A vapor, liquid, dust or gaseous cloud formation which has shape and buoyancy. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 PMCC Pensky-Martens Closed Cup. Méthode spécifique servant à déterminer les points d'éclair. POIDS pesanteur : Force dirigée selon la verticale, résultante de la gravité (attraction) et de la force centrifuge. Appliquée à un corps, elle constitue son poids. (Source : Termium 1994) POIDS MOLÉCULAIRE Le poids moléculaire d'une substance chimique est exprimé par un nombre qui indique combien une molécule (ou unité) de cette substance pèse par rapport à l'hydrogène, qui est l'élément le plus léger et dont le poids est égal à 1. On se sert du poids moléculaire à diverses fins techniques, dont le calcul des conversions de ppm (parties par million) en mg/m3 (milligrammes par mètre cube) de la substance dans l'air. (Canutec) POIDS SPÉCIFIQUE Le poids spécifique est le rapport entre la densité d'une substance et la densité de l'eau. La densité de l'eau est environ 1 gramme par centimètre cube (g/cc). Les substances qui sont plus légères que l'eau flottent. La plupart des substances, ayant un poids spécifique supérieur à 1,0, se déposent dans l'eau. Il est important de connaître le poids spécifique d'une substance pour prévoir les méthodes de nettoyage et de lutte contre les incendies. Par exemple, un liquide inflammable léger, notamment l'essence, peut se répandre et brûler à la surface de l'eau. (Canutec) POINT À POINT (télécommunications)[point to point ] Désigne une liaison ne connectant que deux équipements. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) POINT BAS Sachant que le feu se propage partout où il lui est possible, on doit, en règle générale, rechercher le point le plus bas où la carbonisation est la plus profonde, comme foyer de l'incendie, tout en n'oubliant pas les nombreuses exceptions [ in Kirk 1969] à cette règle. [Stickney 1960] POINT D'ÉBULLITION Le point d'ébullition est la température à laquelle unproduit passe de l'état liquide à l'état gazeux. En dessous du point d'ébullition, le liquide peuts'évaporer et former de la vapeur. En approchant du point d'ébullition, l'évaporation est rapide et la concentration de vapeur dans l'air peut être extrêmement élevée. Les vapeurs présentes dans l'air peuvent constituer un danger d'incendie, d'explosion ou d'atteinte à la santé. Dans le cas des mélanges, on exprime le point d'ébullition sous forme d'une gamme de températures; en effet, les divers ingrédients peuvent bouillir à différentes températures. Dans le cas des substances qui se décomposent sans bouillir, on donne la température de décomposition suivie de l'indication "déc.". Certains produits de décomposition peuvent être dangereux. (Voir aussi Produits de décomposition thermique.) (Canutec) POINT D'ÉCLAIR On appelle point d'éclair la température la plus basse à laquelle un liquide ou un solide dégage assez de vapeurs pour que se produise à sa surface un mélange air-vapeur inflammable. Plus le point d'éclair est bas, plus le risque d'incendie est élevé. Le point d'éclair est une valeur approximative et ne devrait pas servir à déterminer strictement si la situation est dangereuse ou non. Diverses méthodes servant à déterminer le point d'éclair donnent des résultats différents. Deux de ces méthodes sont communément connues sous le nom de CO (coupelle ouverte) et CF (coupelle fermée). (Canutec) POINT DE FUSION Le point de fusion est la température à laquelle un solide devient liquide. Le point de congélation est la température à laquelle un liquide devient solide. L'une ou l'autre de ces valeurs est ordinairement donnée sur les FTSS. Il est important de connaître le point de fusion et le point de congélation d'une substance, car ces changements d'état physique peuvent faire éclater un contenant ou influer sur les propriétés dangereuses du produit. (Canutec) POINT OF ORIGIN The exact physical location where a heat source and a fuel come in contact of each other and a fire begins. [NFPA 921 - 1992] POLARITY The measure of an electrical charge on a molecule. Most flammable or combustible liquids are nonpolar. Many water soluble compounds, including alcohols and acetone, are polar. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) POLITIQUE QUALITÉ / quality policy Les orientations et les objectifs généraux d'une entreprise en ce qui concerne la qualité, tels qu'ils sont exprimés formellement par la direction générale. - NF X 50 - 120 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) POLYMER A large molecule consisting of repeating units of a monomer. Polymers may be natural, such as cellulose or synthetic such as most plastics. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) POLYMER A chemical compound with high molecular weight consisting of a number of structural units linked together by covalent bonds. The simple molecules that may become structural units are themselves called monomers. A structural unit is a group having two or more bonding sites. In a linear polymer, the monomers are connected in a chain arrangement and thus need only have two bonding sites. When the monomers have three bonding sites, a nonlinear, or branched, polymer results. Naturally occurring polymers include cellulose, proteins, natural rubber, and silk; those synthesized in the laboratory have led to such commercially important products as Plastics, synthetic fibers, and synthetic rubber. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) POLYMÈRE Une substance naturelle ou artificielle dans laquelle des unités appelées monomères sont liées en une longue chaîne. Le mot polymère veut dire ayant plusieurs parties. Des exemples de polymères sont l'amidon (molécules multiples de sucre), le polyéthylène (molécules multiples d'éthylène) et le polystyrène (molécules multiples de styrène). La plupart des polymères artificiels sont peu toxiques, peu inflammables et peu réactifs. Par conséquent, les polymères tendent à être moins dangereux que les substances simples (monomères) dont ils sont formés.(Canutec) POLYMÉRISATION / POLYMÉRISER Procédé selon lequel un polymère se forme par l'enchaînement de plusieurs monomères d'une substance chimique. On a recours à la polymérisation pour produire des substances extrêmement utiles. Cependant, la polymérisation peut être très dangereuse si elle n'est pas contrôlée, car il arrive que ce procédé dégage beaucoup de chaleur ou occasionne une réaction violente ou explosive. Certaines substances se polymérisent spontanément et de façon inattendue; d'autres peuvent se polymériser au contact de l'eau, de l'air ou d'un produit chimique courant. On ajoute normalement des agents inhibiteurs à ces produits pour éliminer ou réduire le risque de polymérisation spontanée. La plupart des FTSS ont une section appelée Polymérisation dangereuse où l'on indique si une telle possibilité existe. (Canutec) POLYMERIZATION A chemical reaction, usually carried out with a catalyst, heat, or light, and often under high pressure, which generates high temperature and when uncontrolled may be violent. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 POLYPROPYLENE Lightweight Plastic, a Polymer or propylene. It is less dense than water and resists moisture, oils, and solvents. It is used to make packaging material, textiles, luggage, ropes that float, and, because of its high melting point (250°F/121°C), objects that must be sterilized. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) POLYVINYL CHLORIDE (PVC), thermoplastic that is a Polymer of vinyl chloride. By adding plasticizers, hard PVC resins can be made into a flexible, elastic Plastic, used as an electrical insulator and as a coating for paper and cloth in making fabric for upholstery and raincoats. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) POLYURETHANES Large group of Plastics that occur in a wide variety of forms. As a flexible foam, it is used for cushions and carpet backings. As a rigid foam, it can be molded into furniture or used as insulation. Some polyurethanes are highly elastic, e.g., Lycra, a fiber used in stretch clothing; others form hard protective coatings. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) PORTÉE D'UNE INVESTIGATION COMPLÈTE Une investigation approfondie nécessite plus d'heures-homme qu'on ne le pense généralement. Si l'on peut éteindre un incendie important en l'espace de quelques heures, l'investigation qui suivra peut demander plusieurs centaines d'heures homme. Cela consiste à examiner les lieux pour déterminer le point d'origine de l'incendie, à reconstituer et à analyser les matériaux qui se trouvent sur les lieux du sinistre (verre, bois, tapis, plastiques, substances chimiques, etc.); on examinera également les installations électriques et mécaniques comme le filage électrique, les appareils ménagers, les horloges et le système de réglage de la température; on rencontrera et on interrogera [interview] la personnne qui a donné l'alarme, les occupants, le ou les propriétaires, les experts en sinistres et de nombreux autres témoins éventuels. On prendra en outre des photographies, on fera des croquis [des plans], on rassemblera des preuves, sans compter la rédaction d'un rapport [compte-rendu] et les comparutions en Cour. [Stickney 1960] PORTEUR se dit d'un élément de construction qui supporte des charges verticales autres que son propre poids [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] PORTEUSE nf (électronique, télécommunications) [carrier ] Signal continu, de fréquence déterminée, destiné à être modulé pour la transmission d'informations sur des faisceaux hertziens ou des câbles. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) POST EMERGENCY RESPONSE That portion of an emergency response performed after the immediate threat of a release has been stabilized or eliminated and cleanup of the site has begun. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 POST INCIDENT ANALYSIS The termination phase of an incident that includes completion of the required forms and documentation for conducting a critique. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 POTASSIUM De l'anglais "potash", potasse. Son symbole "K" vient du latin "kalium", issu lui-même de l'arabe "qali" et signifiant alcalin. Appartient au groupe 1. Un des plus légers, réactifs et électropositifs de tous les métaux, il ne se trouve jamais à l'état libre même s'il est le septième élément en abondance dans la croûte terrestre. C'est un métal mou, argenté, aisément coupé au couteau et s'oxydant très rapidement à l'air. On le conserve dans des huiles minérales. Il prend feu spontanément au contact de l'eau avec laquelle il réagit de façon explosive. Lui et ses composés donnent aux flammes une couleur lilas. Il est utilisé dans les engrais et dans les régimes faibles en sodium. Eléments essentiels à la croissance des plantes, ses sels, en petites quantités, le + sont aussi pour la vie animale. Le cation K est le cation le plus important dans les fluides intracellulaires et il est essentiel aux fonctions nerveuse et cardiaque. (Ivan Noels, [email protected]) POTENTIAL / ELECTRIC Potential, electric, work per unit electric charge expended in moving a charged body from a reference point to any given point in an electric field. The potential at the reference point is considered to be zero, while the reference point itself is usually chosen to be at infinity. The change in potential associated with moving a charged body is independent of the actual path taken and depends only on the initial and final points. Potential is measured in Volts and is sometimes called voltage. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) POTENTIEL CALORIFIQUE valeur en BTU/pied carré de la charge combustible d'un local ou d'une étendue de plancher obtenue en faisant le produit de: a) la charge combustible x une chaleur spécifique de chacune des matières combustibles; ou b) la charge combustible x une valeur moyenne reconnue [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] POTS (télécommunications) - sigle de " Plain Old Telephone Service " voir : RTC. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) POUVOIR DU DIRECTEUR DU SMI ET POUVOIR DE POLICE Le directeur du bureau de prévention-incendie peut exercer son pouvoir en termes de droit d'entrée pour inspection et enquête sur les incendies; il peut réclamer et obtenir tout document, ou poursuivre toute personne susceptible de lui fournir des indications sur la cause des incendies. ... Des pouvoirs aussi étendus ne peuvent être exercés lors d'enquêtes criminelles; comme l'incendie provoqué est de nature criminelle, ces pouvoirs ne peuvent servir pour l'investigation dès le moment que l'incendie est déclaré criminel. Ces droits [ou pouvoirs] ont aussi tendance à perdre de leur force lorsqu'un service de police reconnu mène une enquête sur un incendie d'origine indéterminée ou suspecte. [Stickney 1960] POWER Power, in physics, the time rate of doing Work or of producing or expending Energy. The unit of power in the Metric System is the watt, which equals 1 joule per second. It is also the amount of power that is delivered to a component of an electric circuit when a current of 1 ampere flows through the component and a voltage of 1 volt exists across it. The English Unit Of Measurement is the horsepower, which equals 550 foot-pounds per second or 746 watts. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) POWER Power, electric, is the rate per unit of time at which Energy is consumed or produced. Electric Power is usually measured in watts or kilowatts (1,000 watts). The energy supplied by a current to an appliance enables it to work or to provide other forms of energy such as light or heat. The amount of electric energy an appliance uses is found by multiplying its power rating by the operating time. Units of electric energy are usually watt-seconds (joules), watt-hours, or kilowatthours (the choice for commercial applications). Generally, practical electric-power-generating systems convert mechanical energy into electric energy (Generator). Whereas some electric plants obtain mechanical energy from moving water (water power or hydroelectric power), the vast majority derive it from heat engines in which the working substance is steam generated by heat from combustion of fossil fuels or nuclear reactions (Nuclear Energy; Nuclear Reactor). Although the conversion of mechanical energy to electric energy may approach 100% efficiency, the conversion of heat to mechanical energy is about 41% efficient for a fossil-fuel plant and about 30% for a nuclear plant. It is thought that a magnetohydrodynamic generator, which operates by using directly the kinetic energy of gases produced by combustion, would have an efficiency of about 50%. Although Fuel Cells develop electricity by direct conversion of hydrogen, hydrocarbons, alcohol, or other fuels, with an efficiency of 50 to 60%, their high cost has restricted their use to space programs. Solar Energy has been recognized as a feasible power source. It can be exploited through wind turbines, Photovoltaic Cells, and heat engines, as well as through both conventional and low-head hydroelectric power plants. Research and development is bringing down the costs. An important problem in utilizing solar energy is related to the variable nature of sunlight and wind. To minimize energy losses from heating of conductors and to economize on the material needed for conductors, electricity is usually transmitted at the highest voltages possible. As modern Transformers are virtually loss free, the necessary steps upward or downward in voltage are easily accomplished. Electric utilities producing power are tied together by transmission lines into large systems called power grids. They are thus able to exchange power, so that a utility with low power demand can assist another with a high demand. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information) POWER UNITS(voir aussi Energy Units) Power is the rate at which energy is expended. In SI units, power is expressed in watts. One watt is 1 joule per second. The kilowatt (1000 watts) and the magawatt (1 000 000 watts) are used frequently. In English units, horsepower is still used. One horsepower equals 745 watts. Also note that 1 BTU per second is equal to 1.055 kilowatt. (Roughly, 1 kilowatt = 1 BTU per second). [Friedman 1989] Pre-burn time - the time from commencement of unwanted burning to the point when notification of fire is initiated. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) Predators Animals that prey on other animals as a food source. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) PRE-INCIDENT PLANNING(planification d'interventions) Pre-incident planning (for industrial emergencies) can provide valuable information about a structure that can improve the ability of the emergency services personnel to respond effectively to a fire in that structure. Pre-incident planning addresses vital fire protection concerns, such as structure layout, including access systems; contents; construction details; and types and locations of built-in fire protection systems. It includes all data that can have an impact on decisions or actions taken during an emergency. Pre-incident planning is a joint venture between the emergency services and the property management team. [NFPA Handbook 1991] PRE-INCIDENT PLANNING The process associated with preparing for the response to a hazard by developing plans, identifying resources, conducting exercises, and other techniques to improve an agency's or organization's response capabilities.HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 PREDICTIVE METHODS : the incompatibility between predictive safety analysis methods and the methods needed to investigate and analyze accidents. Fault tree methods dominate the former activity, while other events sequencing methods dominate the latter. Fault tree has been found to have narrow applications in accident investigations, and advanced investigative analysis methods have not been widely tried for predictive analyses. (SYSTEM SAFETY'S OPEN LOOPS, Hazard Prevention, 19:6, November/December 1983, Ludwig Benner, Jr. and Robert Sweginnis) PRÉMÉDITATION Prouver qu'il y a eu préméditation, dans les incendies criminels, est généralement une responsabilité qui incombe entièrement au service d'incendie, et ce dernier ne peur s'acquitter de cette responsabilité sans mener une enquête / investigation approfondie sur els causes de tous les incendies. [Stickney 1960] PREMIER ÉTAGE étage dont le plancher est le plus rapproché du niveau du sol et dont le plafond est à plus de 6 pieds (1,8 m) au-dessus du niveau du sol [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] Preparation time - the time for a company to assemble for an emergency response after the alarm dispatch and before commencing travel time. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) Prescribed Natural Fire A commonly-used term to indicate a policy of allowing naturally ignited fires, such as those started by lightning, to burn under specific management prescriptions without initial fire suppression. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) PRESCRIT prescrit au présent code [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] PRÉSOMPTION D'INTENTION FRAUDULEUSE Une seule autre modification d'importance a été effectuée par le législateur avant 1955. Il s'agit d'une disposition adoptée en 1938, suivant laquelle était instituée une présomption d'intention frauduleuse s'appliquant lorsque la personne accusée d'avoir provoqué un incendie (autrement que par la négligence) avait souscrit une assurance-incendie à l'égard de la propriété détruite ou était la bénéficiaire désignée d'une telle police. Cette disposition a été insérée dans le Code &laqnopar suite des fortes pressions exercées par les directeurs de services d'incendie : dans certains procès, en effet, le juge avait déclaré aux jurés que l'intention frauduleuse devait être écartée lorsque l'assuré n'avait pas demandé le paiement des sommes prévues dans la police». Par exemple, si le propriétaire d'une maison grevée d'hypothèque y met le feu dans le dessein de frauder une compagnie d'assurances, aucune présomption ne pèsera contre lui puisque le créancier hypothécaire a un intérêt partiel dans le bien. [Réforme du droit canadien, doc.36, 1984] PRESSION DE VAPEUR La pression de vapeur désigne la tendance d'une substance à former une vapeur. Plus la pression de vapeur est élevée, plus la concentration de vapeur peut être élevée. En général, une substance ayant une pression de vapeur élevée est plus susceptible de présenter un danger pour les voies respiratoires ou de causer des incendies qu'une substance ayant une pression de vapeur peu élevée. (Canutec) PRESSURE The pressure is employed to move the water through the hose from the supply source (hydrant or suction location) to the nozzle and also to provide the correct pressure for the type of stream desired. [Kimball 1969] PRESSURE When a force acts perpendicular to a surface, the pressure (p) exerted is the ratio between the magnitude of the force and the area of the surface: pressure = force / area pressures are properly expressed in pascals, Pa (=N/m2), and may well be expressed using other terms such as bars, atmospheres or dynes. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) PRESSURE VESSELmeans a storage tank that is designed to operate at pressures greater than 100 kPa (gauge). (Ontario Fire Code 1996) PREVENTION (fire) The term fire prevention is used here, as it is generally used, to include both education and equipment meant to reduce the occurence of fire and to mitigate the effects of that fire prior to the arrival of the mobile suppression force. [NFPA Handbook 1991] PREVENTION PLAN (See Risk Management Prevention Program.) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 PRÉVENTIONNISTE Règlement sur la formation des membres des services d'incendie Loi sur la prévention des incendies (LRQ, c. P-23, a.4, par.a.1; 1997, c.48, a.1, par.2°) 4. Toute personne qui devient préventionniste permanent, c'est-à-dire engagée à temps plein par une municipalité locale pour accomplir principalement des tâches relatives à l'application d'un processus d'analyse de risques d'incendie et de vérification de la conformité de plans et de devis avec la règlementation sur la sécurité incendie à compter de la date d'entrée en vigueur du présent règlement, doit être titulaire du certificat de premier cycle Technologie en prévention des incendiesou de l'attestation d'études collégiales Prévention en sécurité incendie ou du diplôme d'études professionnelles Prévention des incendies décerné par le Ministère de l'Éducation ou son équivalent reconnu par le ministre de l'Éducation. 5. Pour les fins du présent règlement, on entend par municipalité locale, en plus de son sens ordinaire, toute municipalité régionale de comté, régie intermunicipale ou communauté urbaine qui établit ou maintient un service d'incendie. PROCÉDURE / procedure Ensemble de règles qui doivent être observées pour obtenir un résultat déterminé. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) PROCESS PLANT means an industrial occupancy where materials, including flammable liquids, combustible liquids or Class 2 gases, are produced or used in a process. (Ontario Fire Code 1996) PROCESSUS / process Ensemble de moyens et d'activités liés qui transforment des éléments entrants en éléments sortants. Ces moyens peuvent inclure le personnel, les installations, les équipements, les techniques et les méthodes. - ISO 8402 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) PROCESSUS D'ÉLIMINATION Après avoir trouvé la partie la plus détruite par l'incendie dans un bâtiment ou une pièce, la carbonisation la plus basse, la présence du "V" du feu, les indices de direction de l'incendie et la concenttration de la chaleur la plus intense, il ne vous restera qu'à déterminer la cause de l'incendie. Une fois le point d'origine défini, vous trouverez une ou plusieurs sources d'incendie. Après un examen détaillé de chacune d'elles et en procédant par élimination, vous arriverez probablement à la cause exacte de l'incendie. [Michel Richer 1989] PRODUITS CONTRÔLÉS Le Règlement sur les produits contrôlés, Canada, s'applique à toute matière, tout produit ou toute substance qui répond aux critères de l'une ou de certaines des catégories suivantes : Catégorie A - Gaz comprimés Catégorie B - Matières inflammables et combustibles: Division 1 - Gaz inflammables Division 2 - Liquides inflammables Division 3 - Liquides combustibles Division 4 - Solides inflammables Division 5 - Aérosols inflammables Division 6 - Matières réactives inflammables Catégorie C - Matières comburantes Catégorie D - Matières toxiques et infectieuses: Division 1 - Matières ayant des effets toxiques immédiats et graves: Subdivision A - Matières très toxiques Subdivision B - Matières toxiques Division 2 - Matières ayant d'autres effets toxiques: Subdivision A - Matières très toxiques Subdivision B - Matières toxiques Division 3 - Matières infectieuses Catégorie E - Matières corrosives Catégorie F - Matières dangereusement réactives (Canutec) PRODUITS DANGEREUX RÉSULTANT DE LA COMBUSTION Des produits dangereux peuvent se former lorsque certaines substances brûlent. De tels produits de combustion peuvent être toxiques, inflammables ou autrement dangereux. Leur nature et leur quantité dépendent largement de la température et de l'apport d'air (oxygène). L'incendie pourrait par exemple produire des substances très différentes de celles qui se dégagent lorsque le produit est traité à des températures élevées (produits de décomposition thermique). Il est important de tenir compte de ces renseignements lorsqu'on prévoit les mesures de lutte contre l'incendie.(Canutec) PRODUITS DE DÉCOMPOSITION DANGEREUX Des produits de décomposition dangereux peuvent se former lorsqu'une substance se décompose parce qu'elle est instable ou qu'elle réagit avec des substances courantes, notamment l'oxygène, présentes dans l'air ou dans l'eau. Il faut tenir compte de la nature des substances qui se dégagent à la combustion pour prévoir des mesures appropriées d'entreposage et de manutention. (Canutec) PRODUITS DE DÉCOMPOSITION THERMIQUE Les produits de décomposition thermique sont des substances chimiques qui se forment lorsqu'une matière est chauffée, sans atteindre le point où elle brûle. Ces substances peuvent être toxiques, inflammables ou autrement dangereuses. Le genre et la quantité de substance qui se dégage dépendent de diverses conditions, dont la température. Les produits de décomposition thermique sont parfois très différents des substances qui se dégagent lorsqu'on brûle une matière donnée (produits dangereux résultant de la combustion). Il est important de savoir quels sont les produits de décomposition thermique d'une matière lorsqu'on désire prévoir la ventilation appropriée dans un lieu où cette matière est traitée sous l'effet de la chaleur.(Canutec) PROFESSIONAL ENGINEERmeans a member or licensee of the Association of Professional Engineers of the Province of Ontario under the Professional Engineers Act. (Ontario Fire Code 1996) Professional standards setting body (PSSB) - Ontario based committee established in 1989 under the auspices of the Ontario Association of Fire Chiefs (OAFC) and Office of the Fire Marshal (OFM) whose mandate is to set minimum performance standards for the Ontario fire service. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) PROGRAMME nm (informatique) [program] Ensemble des instructions données à un ordinateur et visant à l'exécution d'un ensemble précis d'opérations en vue d'une application donnée. Traduction d'un algorithme dans un langage spécifique. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) PROGRAMMING A method of gas chromatographic analysis which reproducibly raises the temperature of the column so as to allow better resolution of the components over a wide range of boiling points. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) PROPAGATION The detonation of explosive charges by an impulse received from adjacent or nearby explosive charges. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) PROPANE (CH3CH2CH3) colorless gaseous Hydrocarbons that occurs in Natural Gas and Petroleum. Propane is sold compressed in cylinders, often mixed with other hydrocarbons, and is used as fuel in lamps, gas grills, certain home and portable stoves, and certain cigarette lighters. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) (voir aussi la fiche technique du propane) PROPANE An alkane having the formula C3H8. Propane is the major constituent of LP gas. Explosive limits of 2.4% to 9%. One cubic foot of propane has a heating value of 2500 BTUs. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) PROPRIÉTAIRE propriétaire d'un édifice public au sens de la Loi sur la sécurité dans les édifices publics [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S3)] PROTOCOLE nm (informatique) [ protocol ] Ensemble de règles, procédures, conventions, utilisées pour formuler des standards de transfert d'informations ; règles de dialogue entre des entités informatiques de même niveau. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) PROTOCOLE DE TRANSPORT (informatique) [Transport protocol ] Sur un réseau, ou un ensemble de réseaux, ensemble de règles et procédures qui assurent l'acheminement de bout en bout des paquets entre deux machines. Les protocoles de transport garantissent (en général) la cohérence et l'intégrité des données transmises: pas de perte et pas de duplication des paquets, transmission des paquets dans l'ordre, contenu des paquets transmis sans erreurs. Les stations sont identifiées de manière unique sur le réseau par une adresse. Lorsque les deux stations ne sont pas sur le même réseau physique, une machine spéciale, appelée routeur, assure la transmission des paquets d'un réseau vers l'autre. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) PROTON Elementary Particle having a single positive electrical charge and constituting the nucleus of the ordinary hydrogen Atom. Every atomic nucleus contains one or more protons. The mass of the proton is about 1,840 times the mass of the Electron and slightly less than the mass of the neutron. In 1919 Ernest Rutherford discovered the proton as a product of the disintegration of the atomic nucleus. The proton and the neutron are regarded as two aspects, or states, of a single entity, the nucleon. The antiproton, the proton's antiparticle (Antimatter), was discovered in 1955. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) PSEUDOCUMENE (1, 2, 4 - trimethyl benzene) A component of gasoline. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) PUBLIC CORRIDOR means a corridor that provides access to exit from more than 1 suite. (Ontario Fire Code 1996) PUMPING ENGINES The two sizes currently most popular for use other than in rural districts are the 1000 gpm and 1250 gpm ratings. Unless additional hose or larger diameter hose is provided, the output per pumper may be seriously restricted except for those pumpers located at hydrants very close to a fire. All pumping apparatus should be arranged so that at least two 2,5 inch lines can be laid SIMULTANEOUSLY as occasion demands. Standard streams should be employed and shut off when not needed. [Kimball 1969] PUMP OPERATOR (opérateur de pompe) The pump operator not only cares for the apparatus and drives it to fires but is responsible for providing the correct volume of water and pressure for the various sizes of hose and nozzles which are to be served by his apparatus. Quite commonly off-shift apparatus operators are expected to respond and serve as firefighters. A minimum of three men responding per pumper is needed to apply standard 2,5 inch pumper streams (250 USgpm). [Kimball 1969] Pumper In most cases, a pumper carries small ground ladders, supply line to connect it with a hydrant, hand lines to fight the fire with and a tank holding between 500 and 1,000 gallons of water. Same as an [email protected] PUMPER COMPANIES Where special truck units are not provided this necessary work [truck duties] will have to be performed by members of pumper companies which have a primary responsibility for applying water on fires. [Kimball 1969] PYROLYSIS The transformation of a compound into one or more substances by heat alone. Pyrolysis often precedes combustion. [NFPA 921 -1992] PYROLYSIS The flame has been refered to as gaseous. When a solid such as a match or a candle burns, a portion of the heat of the gaseous flame is transferred to the solid, causing the solid to vaporize. This vaporization can occur with or without chemical decomposition of the molecules. If chemical decomposition occurs, it is called pyrolysis. [Friedman 1989] PYROLYSIS (distillation et pyrolyse) Organic solids (carbon compounds) must gasify before they can burn. This general principle, however, is not true of carbon itself, which burns by a surface reaction with oxygen (although the carbon monoxide that forms in this reaction might burn with oxygen in the gas phase). With the exception of carbon, the burning process of ordinary solids is preceded by a gasification process [Gayet y réfère sous distillation ], generally induced by heat and requiring the breaking of chemical bonds. The subsequent fuel-oxygen combustion reaction occurs in the gas phase. The term pyrolysis is used to describe heat-induced chemical decomposition resulting in gasification. Pyrolysis is usually endothermic; that is, a given quantity of heat must be supplied from somewhere for the reaction to occur. This quantity of heat is the heat of gasification of a material, which is expressed in kilojoules per gram. It is an important measure of the flammability of a solid, once ignited. [Friedman 1989] PYROLYSIS The transformation of a substance into one or more other substances by heat alone without oxidation. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) PYROLYSE (to) To decompose into other molecules when heated. The pyrolysis products often include gases. (Pyrolysis is the process of pyrolysing.) [Friedman 1989] PYROPHORIC A substance that ignites spontaneously in dry or moist air at or below 130oF. (49 CFR 173.115(c)) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 PYROPHORIC DISTILLATION The slow drying and passive pyrolysis of wood materials. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) PYROTECHNIC A mixture of chemicals designed to produce heat, light, smoke, gas or noise. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) PYROTECHNICS Any combustible or explosive compositions or manufactured articles designed and prepared for the purpose of producing audible or visible effects. Pyrotechnics are commonly referred to as fireworks. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) -Q- QUALIFICATION TESTS A series of tests conducted on an item or system to determine if it meets the requirements established for the specified use. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) QUALIMÈTRE Système progressif et continu d'auto-évaluation, d'évaluation et d'attestation d'une démarche d'amélioration de la qualité. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) QUALITÉ / quality Ensemble de propriétés et caractéristiquesd'un produit ou service qui lui confèrent l'aptitude à satisfaire des besoins exprimés et implicites. - NF X 50 - 120 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) QUALITÉ TOTALE / total quality Ensemble des dispositions prises par tous les acteurs de l'entreprise pour satisfaire les besoins de son marché (clients, personnel, actionnaires...). - NF X 20 - 120 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) QUALITY ASSURANCE System of assuring that material accepted is in accordance with requirements, including inspection and test procedures, acceptance criteria, etc. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information) QUATRIÈME PHASE (d'un incendie) Récemment, on a ajouté une phase additionnelle aux trois déjà existantes [voir Layman et Gayet] à savoir la quatrième phase. Les conditions existantes sont à peu près les mêmes que durant la troisième phase à l'exception de la teneur en oxygène qui est inférieure à 13%, ce qui augmente donc encore le risque d'une explosion de gaz de combustion. Les produits de la combustion sont à peu près seulement du CO. La température atteinte est au-dessus de 1000F. [Michel Richer 1989] Questionnaire A written instrument used for gathering information on a specific set of questions. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) -R- RACK means any combination of vertical, horizontal or diagonal members that support stored materials on solid or open shelves, including both fixed and portable units. (Ontario Fire Code 1996) RADIANT HEAT(voir Énergie et Matière) Heat energy carried by electromagnetic waves longer than light waves and shorter than radio waves. Radiant heat (electromagnetic radiation) increases the sensible temperature of any substance capable of absorbing the radiation, especially solid ans opaque objects. [NFPA 921 1992] RADIATION Heat transfer by way of electromagnetic energy. [NFPA 921 - 1992] RADIATION (1) Transfer of heat through electromagnetic waves from hot to cold. (2) Electromagnetic waves of energy having frequency and wavelength. The shorter wavelengths (higher frequencies) are more energetic. The electromagnetic spectrum is comprised of a) cosmic rays, b) gamma rays, c) x-rays, d) ultraviolet rays, e) visible light rays, f) infrared, g) microwaves and h) radio waves. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) RADIATION (from flames) The radiation emitted from flames is important for at least three reasons. First, the energy feedback from the flame to the burning material is often primarily by radiation, rather than convection (flow of hot gases) or conduction (as through a wall). Accordingly, the flame radiation strongly influences the rate of burning. Second, the spread of a fire to nearby combustibles is often by radiative transfer. For example, a radiative flux of 35 kilowatts per square meter impinging on vertical particle board (wood) will cause ignition in about 50 seconds. The more intense the radiation, the more rapid the fire spread. Third, the radiation from a sizable fire can be so intense that firefighters might not be able to approach the fire without protection. The treshold of pain for incident radiation on human skin is about 5 kilowatts per square meter for 10 seconds. If there is cooler smoke or fog droplets intervening between the flame and the target, this interference will scatter the radiation and reduce the intensity on the target. [Friedman 1989] RADIATION (from the flames, infrared) Detailed studies have shown that the energy transfer from a flame to a liquid surface is primarily by infrared radiation from the flame, at least for hydrocarbon pool fires larger than about 20 centimeters (8 inches in diameter) ... the condition depends on how sooty the flame is. The radiation of optically thick flames of xylene, n-Butane, n-Hexane, liquefied natural gas, and methanol, imposes a heat flux of about 30 kilowatts per square meter on the liquid surface, regardless of the chemical nature of the combustible. [Friedman 1989] RADIATION (sources of) The radiation flux from the existing fire is very important in determining how much a given material in a compartment can contribute to a fire that is already consuming other materials in that compartment. There are three radiation sources : (1) the flames themselves, (2) the hot smoke, and (3) the hot ceiling and upper walls. A diffusion flame will radiate more than a nonsooty premixed flame, causing the diffusion flame to burn at a lower temperature because some of the combustion heat is lost. [Friedman 1989] RAISON (voir aussi système qualité) Qu'est-ce que la raison? La raison n'est pas un donné naturel; c'est un ensemble de procédures, de règles et de contraintes, c'est un ensemble construit. ... Il n'est pas question bien sûr de s'arracher à l'imaginaire, mais de faire bon usage de cet imaginaire, c'est-à-dire de prendre par rapport à la fascination qu'exerce sur nous les images une salutaire distance critique. [Bachelard aujourd'hui 1986] RAPID TRANSIT STATION means a building or part thereof used for the purpose of loading and unloading passengers of a rapid transit system but does not include open-air shelters at street level. (Ontario Fire Code 1996) RAPPORT D'INTERVENTION Les rapports d'intervention au Québec sont remplis par les services municipaux d'incendie sur une formule prescrite par le gouvernement du Québec. « Le présent guide d'utilisation a pour but de faciliter la rédaction du rapport d'intervention. Son contenu devrait permettre d'identifier les secteurs vers lesquels les programmes doivent être orientés pour obtenir une plus grande sécurité. ... Le fait de rédiger un rapport d'incendie à la suite d'un sinistre est par conséquent une obligation du service d'incendie, de l'expert en sinistre ou de la compagnie d'assurance ». [Guide d'utilisation du rapport d'intervention, 1982] RÉACTIVITÉ CHIMIQUE On dit qu'une matière est réactive lorsque sa composition chimique est susceptible de changement sous l'effet de la chaleur, de la lumière, du feu ou du contact avec d'autres produits chimiques. Il peut alors se produire des effets indésirables, notamment l'accumulation de la pression, l'augmentation de la température ou la formation de substances chimiques dangereuses. (Canutec) RECHERCHES (des circonstances) 11. Le commissaire-enquêteur sur les incendies est tenu de rechercher les circonstances qui ont entouré tout incendie ou toute explosion qui a détruit ou endommagé un bâtiment chaque fois que l'incendie ou l'explosion ne lui parait pas avoir résulté d'une simple négligence ou de causes purement accidentelles, mais peut être survenu à la suite de la conduite coupable ou de la préméditation d'un tiers. Il est également tenu de procéder à de telles recherches chaque fois que le ministre de la Sécurité publique lui en fait la demande.[L.R.Q., Chapitre E-8, Loi concernant les enquêtes sur les incendies, 01 mars 1993] RECHERCHE DES CAUSES D'INCENDIE Cette recherche des causes, généralement effectuée par les services d'incendie, déterminera une présomption à l'effet que l'incendie est de cause accidentelle, volontaire ou indéterminée. Par la suite, une enquête criminelle peut être entreprise. Cependant, elle le sera nécessairement dans les cas où il s'avère que la cause du sinistre est volontaire ou indéterminée. [Michel Richer 1989] RECONSTITUTION Il est plus facile de déterminer les foyers d'incendie en reconstruisant les cloisons et les meubles et en rajustant les panneaux et les portes.[Stickney 1960] Red Line Red line is a hose that is usually one inch in diameter and rubber jacketed. This type of hose is used on small fires using the water carried in an apparatus' booster tank and are usually stored on reels. Same as booster [email protected] REFINERY means any process plant in which flammable or combustible liquids are produced from crude petroleum, including areas on the same site where the resulting products are blended, packaged or stored on a commercial scale. (Ontario Fire Code 1996) RÈGLEMENTATION MUNICIPALE et TEXTES NORMATIFS Il ne s'agit pas d'accorder l'impunité à la personne qui omet de se conformer aux lois sur l'aménagement de sorties de secours ou l'installation de dispositifs propres à prévenir les incendies; on peut simplement se demander si une telle abstention devrait être considérée comme une infraction pénale. Il est manifestement préférable d'éviter, dans le Code, toute référence aux violations des dispositions impératives d'autres textes de loi : dans toute la mesure du possible, en effet, le Code devrait pouvoir se suffire à lui-même. Au surplus, est-il équitable de traduire devant la justice pénale la personne qui omet de se conformer à des textes sur la prévention des incendies, alors que le feu a peut-être été allumé par quelqu'un d'autre? Cela équivaut dans une certaine mesure à utiliser le propriétaire comme bouc émissaire dans les cas où l'on n'est pas parvenu à découvrir l'identité du véritable incendiaire, d'autant plus qu'en matière d'incendie, le public est souvent impatient de blâmer un coupable. L'inobservation de lois relatives à la prévention des incendies ne constitue pas une infraction d'incendie au sens premier du terme : le contrevenant n'a pas mis le feu ou provoqué un incendie, il n'a fait qu'aggraver les conséquences possibles de l'incendie. Du fait de son omission, en d'autres termes, les risques pour les personnes et les biens ont été accrus. ... Une telle conduite pourrait être considérée soit comme une infraction à caractère règlementaire ne tombant pas sous le coup du Code criminel, soit comme un délit de mise en danger. Dans les deux cas, l'infraction devra être définie par un critère de prudence, d'application uniforme dans tout le Canada, et non par une référence générale aux textes de loi sur la prévention des incendies, textes qui peuvent différer d'une ville à l'autre et d'une province à l'autre. [Réforme du droit canadien, doc.36, 1984] RÈGLEMENT SUR LES PRODUITS CONTROLÉS (RPC) Le Règlement sur les produits contrôlés a été formulé en vertu de la loi fédérale canadienne sur les produits dangereux et il fait partie du Système d'information sur les matières dangereuses utilisées au travail (SIMDUT). Ce règlement s'applique à quiconque fournit, importe ou vend au Canada des produits contrôlés devant être utilisés en milieu de travail canadien. Ce règlement précise les critères d'identification des produits contrôlés ainsi que l'information qui doit apparaître sur les étiquettes et les fiches techniques.(Canutec) RE-ENGINEERING(Réingénierie) Corporate Structure / Structures de l'entreprise Public Administration / Administration publique Productivity and Profitability / Productivité et rentabilité re-engineering*e,j*CORRECT reconception*d*CORRECT business process / re- refonte*b,c*CORRECT, FÉM engineering*e*CORRECT BPR*e*CORRECT remaniement*b*CORRECT business process redesign*f, / remodelage*b*CORRECT, MASC g*CORRECT business re-engineering*f*CORRECT reengineering*a,h*CORRECT work re-engineering*g work systems redesign*g process innovation*e new industrial engineering*h rearchitecting*h*SEE RECORD, LESS DEF*The radical design of business processes to achieve major gains in cost, service, or time.*f OBS*Le néologisme "reconception" est proposé par Claude Lainé: le concept implique une réorientation majeure des prémisses et des finalités d'un organisme; l'abandon de l'axe tâches en faveur de l'axe effets - résultats.*a OBS*... re-engineering is a process in which companies and their critical processes and tasks are taken apart and put back together again.*e OBS*The preferred Canadian spelling is the hyphenated form "reengineering."*i OBS*rearchitecting: Term proposed by Don Tapscott and Art Caston since they feel that the term "re-engineering" could be misleading when applied to creating a new type of organization, since "re-engineering" may imply that a product has a higher degree of structure and rigidity than is desirable. (Based on TAPIT, 1993, p. 39).*i (SOURCE : Termium 1994) RÉINGÉNIERIE / reengineering Redessiner l'entreprise afin de rationaliser et d'optimiser ses processus.(Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) RELEASE / THREATENED RELEASE The actual or potential spilling, leaking, pumping, pouring, emitting, emptying, discharging, injecting, escaping, leaching, dumping, or disposing into the environment, including the abandonment or discarding of barrels, containers, and other closed receptacles of any hazardous material. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 REMEDIAL ACTION Actions taken to abate the effects of a release or threatened release of a hazardous material to protect health or the environment. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 RESCUE The removal of victims from an area determined to be contaminated or otherwise hazardous by appropriately trained and equipped personnel. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 Rescue Company A rescue company is a term used to describe a rescue truck and the firefighters used to staff it. A rescue company is equipped and trained to handle a variety of duties including search and rescue, medical treatment of victims, suppression at the scene of a fire and the extrication of victims in motor vehicle accidents. The actual duties of a rescue company can vary in different parts of the country as does the term to describe one. A Rescue Company is called a Squad in some areas while other areas use the term when referring to their [email protected] RÉSEAU nm (réseaux) [network] Ensemble d'éléments interconnectés (infrastructures techniques de supports et d'équipements matériels) qui permettent de relier des ordinateurs ou des périphériques les uns aux autres, de transmettre les communications et de les acheminer vers des destinataires. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) RÉSEAU LOCAL (réseaux) [local network] Système permettant de relier localement (un bâtiment, une entreprise, un campus) par des câbles, des micro-ordinateurs, des terminaux, des ordinateurs centraux, des imprimantes. voir : Ethernet, Token Ring, LAN. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) RÉSEAUTAGE / networking Un réseau est un groupe d'organisations qui coopèrent ou partagent des ressources et des activités afin d'améliorer leur rentabilité et leur compétitivité dans le cadre d'un ou de plusieurs projets. Il est basé avant tout sur la confiance entre les partenaires. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) RESIDENTIAL OCCUPANCY (Group 'C') means the occupancy or use of a building or part thereof by persons for whom sleeping accommodation is provided but who are not harboured or detained to receive medical care or treatment or are not involuntarily detained. (Ontario Fire Code 1996) RESIDUE A material remaining in a package after its contents have been emptied and before the packaging is refilled, or cleaned and purged of vapor to remove any potential hazard. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 RÉSISTANCE AU FEU aptitude d'un matériau ou d'un élément de construction à supporter le feu et à protéger contre ses effets[S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] RÉSISTANT AU FEU se dit d'un élément de construction capable de circonscrire un foyer éventuel ou de continuer à remplir le rôle qui lui est dévolu dans un bâtiment soumis à l'action d'un incendie [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] RESOLUTION 1) In chromatography, a measure of the separation of components, 2) in spectroscopy, a measure of the ability of the instrument to detect individual absorbance peaks. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) Response time - the elapsed time between fire ignition and the arrival of the first unit and its crew at the occurrence location. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) RESTAURANT bâtiment ou partie de bâtiment où l'on peut manger moyennant paiement. Cette définition exclut toutefois les établissements qui servent des boissons ou des aliments précuisinés n'exigeant aucune préparation [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] RESPONSABILITÉ L'investigation contribue certainement à prévenir les incendies, en attribuant la responsabilité financière et juridique des incendies à ceux qui, par leur négligence, les ont causés. [Stickney 1960] RESPONSE That portion of incident management where personnel are involved in controlling a hazardous material incident. (NFPA 472, 1-3) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 RESPONSIBLE PARTY (RP) A legally recognized entity (person, corporation, business, or partnership, etc.) that has a legally recognized status of financial accountability and liability for action necessary to abate and mitigate adverse environmental and human health and safety impacts resulting from a nonpermitted release or discharge of hazardous material; the person or agency found legally accountable for the cleanup of the incident. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 RETENTION TIME The length of time required for a compound of component of a mixture to pass through a chromatographic column. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) RETOUR DE FLAMME Un retour de flamme se produit lorsqu'un gaz, une vapeur ou un aérosol inflammable, ayant parcouru une certaine distance, rejoint une source d'inflammation (étincelle ou flamme) et prend feu. La flamme fait alors le trajet à rebours jusqu'à la source de gaz, de vapeur ou d'aérosol et risque de causer une explosion ou un incendie grave. (Canutec) RETROFIT means the minimum performance requirements for life safety for existing buildings. (Ontario Fire Code 1996) Reverse Lay When supply hose is laid from the fire to the water source, placing the pump at the source of water. (See also forward lay)[email protected] RFC 822 (télécommunications, réseaux) sigle de "Request For Comment" Standard pour la messagerie électronique sur Internet, basé sur la famille des protocoles TCP/IP. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) RICH MIXTURE A fuel-air mixture containing insufficient oxygen to fully oxidize all fuel molecules present to carbon dioxide and water vapor. [Friedman 1989] RISK (tolerable) A certain level of fire loss must be accepted as tolerable because of limited ressources of a community. Conditions that endanger the safety of citizens and fire fighters beyond the acceptable risk must be identified as targets for mitigation. [NFPA Handbook 1991] RISK ANALYSIS A process to analyze the probability that harm may occur to life, property, and the environment and to note the risks to be taken to identify the incident objectives. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 RISK MANAGEMENT Decision-making process which involves such considerations as risk assessment, technological feasibility, economic information about costs and benefits, statutory requirements, public concerns, and other factors. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 RISK MANAGEMENT PREVENTION PLAN (RMPP) Statutory requirements in California Health and Safety Code, Section 25534, subsection (1). A plan which encompasses, among other appropriate elements: 1). A structured assessment of hazards. 2). A formal personnel training program for the preven tion of, and response to, emergencies. 3). Procedures for periodic safety reviews of operating equipment and procedures. 4). Schedules for regular testing of the program. 5). Procedures for the purpose of reducing the probability of accidents. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 RIT (Rapid Intervention Team) Same as FAST [email protected] RNIS (télécommunications) - sigle de " Réseau Numérique à Intégration de Services " [ISDN] Réseau mettant à profit les techniques de numérisation pour transporter sur la même infrastructure plusieurs services concernant la voix, les données ou les images. voir : Numéris. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) ROUTAGE nm (télécommunications, réseaux) [routing] Détermination des chemins de données à travers les noeuds d'un réseau. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) RTC (télécommunications) - sigle de " Réseau Téléphonique Commuté " Réseau téléphonique analogique classique. S'utilise parfois aussi pour le réseau téléphonique numérique. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) RUE voie de communication, ou place, d'au moins 30 pieds (9,14 m) de largeur, ouverte à la circulation générale et accessible aux véhicules et autres matériels de pompiers [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] RUPTURE The physical failure of a container or mechanical device, releasing or threatening to release a hazardous material. (Sacramento Fire Department, HMRT) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 -SLES 5 S / 5 S SEIRI, SEITON, SEISO, SEIKETSU, SHITSUKE qui signifient débarras, rangement, nettoyage, ordre et rigueur traduit la volonté de débarrasser du poste de travail les choses inutiles qui l'encombrent, de garder l'endroit en ordre afin d'y instaurer la rigueur essentielle pour y faire du bon travail. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) Safety Zone An area of low fuel density created around structures in the wildland/urban interface for protection against fire. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) Salvage The process of protecting the contents of a building from fire, smoke and water damage. Tools used include salvage covers that are placed over furniture, preventing damage from water and [email protected] SAMPLE To take a representative portion of the material for evidence or analytical purposes. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 SATELLITE nm [satellite] 1- Objet spatial décrivant une orbite fermée autour d'une planète ou d'un autre satellite. 2- (télécommunications) Engin spatial construit par l'homme et tournant autour de la terre pour retransmettre des télécommunications (entre deux points terrestres ou entre la terre et un autre satellite). Les satellites géostationnaires ou géosynchrones ont une période de rotation de 24 h et une trajectoire au-dessus de l'équateur qui les font paraître immobiles par rapport au sol. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) SATURATION The state in which all available bonds of an atom are attached to other atoms. Alkanes are saturated. Olefins are unsaturated. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) Scavengers Animals that feed on dead or dying animals or discarded materials from human societies. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) SCENARIO An outline of a natural or expected course of events. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 SCENE The location impacted or potentially impacted by a hazard. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 SCÈNE emplacement destiné principalement aux représentations théâtrales, où sont prévus le changement rapide des décors et l'éclairage par projecteurs aériens, ainsi que la modification de l'ambiance en vue de produire une gamme étendue d'effets lumineux et sonores. Cet emplacement est souvent séparé de la salle par un mur d'avant-scène [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] SCIENTIFIC METHOD (voir Hypothèses, Théories et Lois) (voir aussi Méthode Scientifique) The systematic pursuit of knowledge involving a) the recognition and formulation of a problem b) the collection of data through observation and experiment, and c) the formulation and testing of a hypothesis. [NFPA 921 - 1992] SELF CONTAINED BREATHING APPARATUS (SCBA) [APRA] A positive pressure, self-contained breathing apparatus (SCBA) or combination SCBA/supplied air breathing apparatus certified by the National Institute for Occupational Safety and Health (NIOSH) and the Mine Safety and Health Administration (MSHA), or the appropriate approval agency for use in atmospheres that are immediately dangerous to life or health (IDLH). (NFPA 1991, 1-3) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 SELF-SERVICE OUTLET means a fuel dispensing station, other than a marine fuel dispensing station, where the public handles the dispenser. (Ontario Fire Code 1996) Self-Sustaining Reaction A chemical reaction that perpetuates (sustains) itself by providing the conditions that were required to initially start the reaction. A fire, for instance, provides enough heat to create still more fire. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) Sensationalize The process used in oral or written communication to heighten the listeners or readers excitement about the message being given; the term connotes overstatement. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) SERVEUR nm (informatique) [server ] Système informatique permettant la diffusion d'information ou de ressources sur des réseaux locaux ou externes d'entreprises. Organisme assurant la gestion du système. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) SERVICE ROOMmeans a room in a building used to contain equipment associated with building services. (Ontario Fire Code 1996) SERVICE SPACE means space in a building used to facilitate or conceal the installation of building service facilities such as chutes, ducts, pipes, shafts or wires. (Ontario Fire Code 1996) Serotinous A pine cone or other seed case that requires heat from a fire to open and release the seed. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) Set up time - the time from arrival at the fire scene until just prior to commencement of applying extinguishing agent on the fire. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) SHELTERING IN PLACE / IN PLACE PROTECTION To direct people to quickly go inside a building and remain inside until the danger passes. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 SIMDUT Système d'information sur les matières dangereuses utilisées au travail. Il s'agit du système mis en place au Canada pour protéger les travailleurs en leur fournissant, ainsi qu'à leurs employeurs, des renseignements de toute première importance sur les substances dangereuses. Voici les points saillants du SIMDUT: - Critères permettant d'identifier les produits contrôlés et de renseigner les travailleurs à leur sujet. - Système d'étiquetage pour les contenants de produits contrôlés. - Règlements relatifs à la divulgation d'information à l'aide des FTSS. - Programmes d'éducation des travailleurs. - Mécanisme assurant la protection des secrets de fabrication.Des lois et des règlements émanant des gouvernements fédéral, provincial et territorial appuient la mise en pratique du SIMDUT. (Canutec) SIMDUT Le SIMDUT est un Système national visant à divulguer de l'Information sur les Matières Dangereuses Utilisées au Travail qui reconnaît les intérêts des travailleurs, des employeurs, des fournisseurs et des agences de réglementation et qui respecte un équilibre entre le droit de savoir des travailleurs et le droit de protéger les renseignements commerciaux confidentiels. Le SIMDUT a pour objectif d'assurer la protection des travailleurs canadiens contre les effets nocifs des matières dangereuses, grâce à la communication des renseignements pertinents, tout en réduisant au minimum les conséquences financières qui pourraient en résulter pour les entreprises et en évitant la perturbation des opérations commerciales. (Source: Termium 1994) SIMULATEUR nm (informatique) [simulator] Équipement ou ensemble d'équipements, qui remplace tout ou partie d'un système pour permettre la simulation d'un phénomène, de façon analogique ou numérique. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) Size-Up A mental process of evaluating all of the invfluencing factors at a fire scene before committing personnel and equipment to a course of action. This usually includes hazards, life safety, fire involvement and plan of [email protected] SMOKE Small particles of carbon, tarry particles, and condensed water vapor suspended in the atmosphere, resulting from the incomplete combustion of carbonaceous materials. [Fire Cause Determination, IFSTA 1986] SMOKE An air suspension (aerosol) of particles, often originating from combustion or sublimation. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 SMOKE ALARMmeans a combined smoke detector and audible alarm device that is designed to sound an alarm within the room or suite in which it is located when there is smoke within the room or suite. (Ontario Fire Code 1996) SMOKE DETECTORmeans a device that senses the presence of visible or invisible particles produced by combustion and that automatically initiates a signal indicating this condition. (Ontario Fire Code 1996) SMOKE (from fire) The mixture of tiny particles and gases produced by a fire. The particles consist mainly of soot and / or aerosol mist. [Friedman 1989] SMOLDERING COMBUSTION Combustion of a solid in the absence of flame. Generally, smoke is produced. [Friedman 1989] Snags Standing dead trees. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) SODIUM De l'anglais "soda", soude. Son symbole,"Na", vient du latin "natrium", carbonate de sodium. Appartient au groupe 1, celui des métaux alcalins. Son importance dans la nutrition, sous forme du sel commun ou chlorure de sodium, est reconnue depuis les temps préhistoriques. + Sa chimie est dominée par son ion 1 . Il ne se trouve pas à l'état libre dans la nature et réagit fortement avec l'eau et l'oxygène. Le savon est généralement un sel de sodium d'acides gras. De nombreuses industries utilisent des composés du sodium comme le sel de table ( NaCl ), le bicarbonate de soude ( NaHCO3 ), la soude caustique ( NaOH ), etc. Comme le sodium est important pour la vie animale, notamment pour la fonction nerveuse, le régime alimentaire doit en comprendre une quantité sensible. Cependant, les personnes souffrant de maladies cardiaques doivent veiller à ne pas en absorber trop. Le sodium constitue un risque d'incendie. (Ivan Noels, [email protected]) SOLID A state of matter in which the molecules are mostly or completely locked into position relative to one another, as contrasted with a liquid. A solid can either be crysralline and hard like slat, or amorphous and soft like butter. [Friedman 1989] A substance that does not flow perceptibly under moderate stress, has a definite capacity for resisting forces (as compression, tension, strain) which tend to deform it. SOLIDE Se dit d'un corps dont les déformations restent finies lorsque la norme du déviateur des contraintes est inférieure à une certaine valeur positive. (Source : Termium 1994) SOLIDE INFLAMMABLE Un solide est dit inflammable s'il s'enflamme facilement et brûle de façon violente et persistante. Le Règlement sur les produits contrôlés, Canada, et la norme HAZCOM de l'OSHA aux États- Unis renferment certains critères techniques permettant d'identifier les solides inflammables aux fins des règlements, en fonction de la facilité avec laquelle ils s'enflamment et de la rapidité avec laquelle ils brûlent. Les solides inflammables sont dangereux parce qu'ils peuvent prendre feu en présence de la chaleur qui se produit par la friction entre deux surfaces ou par les procédés de transformation. Lorsqu'un solide inflammable est réduit en poussière ou en poudre, il y a danger d'explosion en présence d'une source d'inflammation. (Canutec) SOLIDE INFLAMMABLE (...) solide (...) [qui] s'enflamme facilement et brûle de façon violente et persistante. Le Règlement sur les produits contrôlés [français] renferme certains critères techniques permettant d'identifier les solides inflammables en fonction de la facilité avec laquelle ils s'enflamment et de la rapidité avec laquelle ils brûlent. Les solides inflammables sont dangereux parce qu'ils peuvent prendre feu en présence de la chaleur qui se produit par la friction entre deux surfaces ou par les procédés de transformation. Lorsqu'un solide inflammable est réduit en poussière ou en poudre, il y a danger d'explosion en présence d'une source d'ignition. Solide inflammable: Terme uniformisé par CP Rail. Toute substance solide, non classée comme explosif, qui dans certaines conditions pouvant se présenter au cours du transport, risque de causer des incendies, par friction, absorption d'humidité, modifications chimiques spontanées, chaleur accumulée au cours de la fabrication ou transformation, ou qui peut être enflammée facilement et brûle alors si violemment et longtemps qu'un sérieux risque est créé durant le transport. Selon la source LAMY, "solide inflammable" et "matière solide inflammable", sont des désignations de l'IATA et "marchandise solide inflammable" est l'appellation du Règlement français pour le transport par mer des marchandises dangereuses de 1954. (Source : Termium 1994) SOLUBILITÉ La solubilité est la capacité que possède une substance de se dissoudre dans l'eau ou dans un autre liquide. Elle peut s'exprimer par un pourcentage ou par un terme qualitatif comme insoluble, très soluble ou miscible. La section Solubilité d'une FTSS décrit souvent la solubilité dans l'eau, car l'eau est le solvant industriel le plus répandu. Les renseignements relatifs à la solubilité servent à prévoir les mesures de nettoyage appropriées en cas de déversement ou d'incendie. (Canutec) SOLUBILITY The ability or tendency of one substance to blend uniformly with another.HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 SOLUTIONS ET CLASSIFICATION DES SUBSTANCES Rappelons que la matière est constituée de tout ce qui a une masse et qui occupe un espace. Les scientifiques classent la matière en 2 catégories: les substances pures et les mélanges. Substance pure : composée d'un seul type ou groupe de particules. Ex. : H2O, O2, Fe, NaCl (sel de table), ... Mélange : composé de 2 ou plusieurs substances qui ont des propriétés spécifiques différentes. Ex. : eau et huile, eau et sable, eau salée, air, ... Types de mélanges : Mélange hétérogène ou mécanique : C'est un mélange où l'on peut voir divers constituants. Ex.: sel et soufre, eau et graisse, lait, ... Mélange homogène ou solution : C'est un mélange où l'on ne peut distinguer au microscope les divers constituants. Ex.: eau sucrée, alcool, ... Les solutions sont faites d'une ou de plusieurs substances, appelées solutés, dissoutes dans une autre, appelée solvant. La substance en plus grande quantité est le solvant. Les substances en plus petites quantités sont les solutés. sel soluté + + eau solvant = = eau salée solution Classification des solutions : Etat physique de la solution gazeux liquide solide Etat du soluté gaz liquide solide gaz liquide solide gaz liquide solide Etat du solvant gaz gaz gaz liquide liquide liquide solide solide solide Exemples air vapeur d'eau dans l'air neige carbonique dans l'air oxygène dans l'eau alcool dans l'eau sel dans l'eau hydrogène dans palladium mercure dans or cuivre dans or Remarque : Les alliages sont des solutions solides de deux ou plusieurs éléments, généralement des métaux. Le mot amalgame désigne plus spécialement les alliages contenant du mercure et d'autres métaux. o o o o o Concentration des solutions : Solution diluée : contient peu de soluté. Solution concentrée : contient beaucoup de soluté. Solution non saturée : peut encore dissoudre du soluté. Solution saturée : ne peut plus dissoudre de soluté à cette température et à cette pression. Concentration : c'est le rapport entre la masse du soluté (en g) et le volume du solvant (en L). Ex.: 160 g/L. Solubilité : C'est la quantité maximum de soluté qu'un solvant peut dissoudre à une température donnée. Plus la température est élevée et plus un liquide peut dissoudre un solide. Plus la température est élevée et moins un liquide peut dissoudre un gaz. Autres qualités des solutions : En général, les solutions sont transparentes. On ne peut pas en séparer les constituants par filtration. Elles ne diffusent pas la lumière (effet "Tyndall") comme le feraient des particules en suspension dans un liquide. (Ivan Noels, [email protected]) SOLVANT Un solvant est une substance, ordinairement liquide, qui a le pouvoir de dissoudre une autre substance. Les substances appelées communément solvants peuvent dissoudre de nombreux produits. Des exemples de solvants communs sont l'eau, l'alcool éthylique, l'acétone, l'hexane et le toluène. (Canutec) SOLVANTS Les dérivés halogénés des hydrocarbures ont quelques emplois importants. Quatre dérivés chlorés du méthane peuvent être obtenus par remplacements successifs des atomes d'hydrogène par l'halogène. Le chloroforme (trichlorométhane) et le tétrachlorure de carbone (tétrachlorométhane) sont employés comme solvants; le tétrachlorue est aussi un important agent de nettoyage à sec. Le chloroforme sert également comme anesthésique général. Il faut faire attention dans l'emploi du tétrachlorure de carbone de ne pas respirer sa vapeur en quantité importante car il agit sur le foie. Le composé appelé iodoforme CHI3 est un solide jaune employé comme désinfectant et antiseptique, en particulier dans le traitement des brûlures. [Pauling 1958] SOLVENTS A liquid substance capable of dissolving or dispersing one or more other substances to form a uniformly dispersed mixture. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 SOOT(particules de suie) Tiny particles consisting mostly of carbon, often formed in diffusion flames and in very rich premixed flames. Soot is important in fires because (1) it affects the radiative heat transfer rate from flames and therefore the combustion rate, and (2) it is a principle source of the visionobscuring smoke produced in the fires. Soot contains polycyclic aromatic hydrocarbons. Finally, because soot has a cyclic structure, it would be expected that if the original fuel had a cyclic structure, like benzene (C6H6) or toluene (C6H5CH3), that this would cause an extremely sooty flame, and it does.[Friedman 1989] SOUFRE Du latin "sulphur", soufre, venant lui-même du sanscrit "sulvere". Appartient au groupe 16. Connu depuis les temps les plus anciens, le soufre est un solide cassant, inodore , jaune pâle, insoluble dans l'eau mais soluble dans le disulfure de carbone. Le soufre est utilisé dans la vulcanisation du caoutchouc naturel, dans la confection de fongicides, d'engrais, de poudre à canon et surtout dans la production d'acide sulfurique, le plus abondant produit chimique manufacturé. Le soufre est essentiel à la vie. C'est un constituant mineur des graisses, des fluides internes et des minéraux du squelette. Au-delà d'une certaine concentration, le sulfure d'hydrogène ou acide sulfhydrique, à l'odeur typique d'oeuf pourri, peut provoquer la mort par paralysie respiratoire. Le dioxyde de soufre est un des polluants atmosphériques responsables des pluies acides. (Ivan Noels, [email protected]) SOURCES D'INFORMATION EN TECHNIQUES DE PROTECTION INCENDIE (Service d'information de l'IRC, Institut de recherche en construction, Conseil national de recherches Canada, Ottawa, Canada K1A 0R6. Table des matières: Ouvrages d'initiation, Guides et manuels, Publications de l'IRC, Autres publications, Codes et normes, Sur Internet (World Wide Web) OUVRAGES D'INITIATION Bugbee, Percy. Principles of Fire Protection : An Introductory Fire Science Course of Basic Information for Comprehending and Evaluating Good Fire Protection Practice, Boston, National Fire Protection Association, 1978, 339 p., et manuel du maître. Burklin, Ralph W. Fire Terms : A Guide to Their Meaning and Use, Boston, National Fire Protection Association, 1980, 212 p. Drysdale, Dougal. An Introduction to Fire Dynamics, Toronto, Wiley, 1985, 424 p. Stollard, P., et Lawrence Johnston. Design Against Fire : An Introduction to Fire Safety Engineering Design, 1re éd., Londres; New York, ESpon, 1994, 172 p. GUIDES ET MANUELS Cote, Arthur E. , et Jim L. Linville. Fire Protection Handbook, Quincy (Mass.), National Fire Protection Association, 1991 (différents passages). Cote, Arthur E., et Jim L. Linville. Industrial Fire Hazards Handbook, 3e éd., Quincy (Mass.), National Fire Protection Association, 1990, 1304 p. Merritt, Frederick S., et Jonathan T. Ricketts, dir. de publ. Building Design and Construction Handbook, 5e éd., New York, McGraw-Hill, 1994, 1 v. (différents passages). National Fire Protection Association. Fire Protection Guide on Hazardous Materials, Quincy (Mass.), National Fire Protection Association, 1991, 1 v. (différents passages). Schultz, Neil. Fire and Flammability Handbook, New York, Van Nostrand Reinhold, 1985, 486 p. , Society of Fire Protection Engineers. SFPE Handbook of Fire Protection Engineering, 2e éd., Quincy (Mass.), National Fire Protection Association, 1995, 1 v. (différents passages). PUBLICATIONS DE l'IRC Ouvrages Tamura, George T. Smoke Movement and Control in High-rise Buildings, Quincy (Mass.), National Fire Protection Association, 1994, 280 p. Lie, T.T. Fire and Buildings, Londres, Applied Science Publishers Ltd., 1972, 276 p. Lie, T.T., dir. de publ. Structural Fire Protection, New York, American Society of Civil Engineers, 1992, 241 p. Harmathy, T. Z. Fire Safety Design Concrete, Harlow, Essex, Angleterre, Longman Scientific &Technical; New York, Wiley, 1993, 412 p. Documents Les publications du Laboratoire national de l'incendie de l'IRC sont indexées dans la base de données IRCPUBS (coordonnées sous Bases de données plus bas). AUTRES PUBLICATIONS Association of Structural Fire Protection Contractors and Manufacturers Limited et Constructional Steel Research and Development Organisation. Fire Protection for Structural Steel in Buildings, Londres, ASFPCM et Constrado, 1983, 112 p. The Aqua GrouP. Fire and Building: A Guide for the Design Team, Londres, Granada Publishing, 1984, 194 p. Barnett, Cliff, Duiliu Sfintesco, Charles Scawthorn et Joseph B. Zicherman. Fire Safety in Tall Buildings, New York, McGraw-Hill, 1992, 348 p. Butcher, E.G., et A.C. Parnell. Designing for Fire Safety, New York, John Wiley and Sons, 1983, 372 p. Conseil Canadien des Codes de Béton et de Maçonnerie. Firewalls: A Design Guide, Ottawa, Conseil canadien des codes de béton et de maçonnerie, 1992, 25 p. Conseil canadien du bois. Wood and Fire Safety: The complete reference on fire safety requirements for building construction, Ottawa (Ontario), Conseil canadien du bois, 1991, 266 p. Concrete Reinforcing Steel Institute. Reinforced Concrete Fire Resistance, Chicago (Illinois), Concrete Reinforcing Steel Institute, 1980, 234 p. d'Hoop, Jean-Michel, et Éric Ranjard. Construction et incendie : La sécurité incendie dans les projets de construction, Paris, France, Le Centre National de Prévention et de Protection, 1981, 377 p. Institution of Engineers, Australia. National Committee on Structural Engineering. Working Party on Fire Engineering. Fire Engineering for Building Structures and Safety, Barton, A.C.T., Institution of Engineers, Australie, 1989, 205 p. Jason, Nora H. Building and Fire Research Laboratory Publications, Gaithersburg (Maryland), U.S. Dept. of Commerce, National Institute of Standards and Technology. Annuelle. Klote, John H., et James A. Milke. Design of Smoke Management Systems, Atlanta (Géorgie), American Society of Heating, Refrigerating and Air-Conditioning Engineers, Inc., 1992, 223 p. Malhotra, H.L. Fire Safety in Buildings, Borehamwood, Herts, R.-U., Building Research Establishment, 1987, 290 p. Nowak, Andrzej S., et Ted V. Galambos, dir. de publ. Making Buildings Safer for People, New York, Van Nostrand Reinhold, 1990, 194 p. Read, R.E.H., et W.A. Morris. Aspects of Fire Precautions in Buildings., Londres, Her Majesty's Stationery Office, 1983, 106 p. Shields, T.J., et G.W.H. Silcock. Buildings and Fire, Harlow (Essex), Angleterre, Longman Group UK Limited, 1987, 452 p. Stollard, P., et John Abrahams. Fire From First Principles: A Design Guide to Building Fire Safety, New York, Chapman &Hall, 1991, 153 p. Tuhtar, Dinko. Fire and Explosion Protection: A Systems Approach, Chichester (West Sussex), Angleterre, Ellis Horwood Limited, 1989, 150 p. CODES ET NORMES Codes Commission canadienne des codes du bâtiment et de prévention des incendies, Conseil national de recherches Canada. Code national de prévention des incendies du Canada, Ottawa (Ontario), Conseil national de recherches Canada. [Coordonnées : Service à la clientèle, Institut de recherche en construction, Conseil national de recherches Canada, Ottawa (Ontario) K1A 0R6. Tél. (613) 993-2463; téléc. (613) 9527673] Building Officials and Code Administrators International, Inc. The BOCA National Fire Prevention Code (9e éd.). Country Club Hills, Illinois, Building Officials and Code Administrators International, Inc., 1993 (publié tous les trois ans). National Fire Protection Association. National Fire Codes. Quincy (MA), National Fire Protection Association. Organismes rédacteurs de normes Association canadienne de normalisation (CSA), Centre d'information, 178, boul. Rexdale, Rexdale (Ontario), M9W 1R3, Tél. 416-747-4058, Téléc. 416-747-4149 Bureau de normalisation du Québec (BNQ), 70 est, rue Dalhousie, bureau 220, Québec (Québec), G1K 4B2, Tél. 418-643-5114, Téléc. 418-646-3315 Laboratoires des assureurs du Canada (ULC), 7, chemin Crouse, Scarborough (Ontario), M1R 3A9, Tél. 416-757-3611, Téléc. 416-757-8915 American Society for Testing and Materials (ASTM), 1916 Race Street, Philadelphia, PA, Tél. 215-299-5400, Téléc. 215-977-9679 Organisation internationale de normalisation (ISO), Secrétariat central, 1, rue de Varembé, Case postale 56, CH-1211 Genève 20, Suisse, Tél. + 41 22 749 01 11, Téléc. + 41 22 733 34 30 Standards Division, Factory Mutual Research Corporation, 1151 Boston-Providence Turnpike, Norwood, MA 02062, Tél. 617-762-4300, Téléc. 617-762-9375 SUR INTERNET (WORLD WIDE WEB) Institut de recherche en construction, Conseil national de recherches Canada http://www.nrc.ca/irc The Building and Fire Research Laboratory (NIST) http://www.bfrl.nist.gov/ The University of New Brunswick Fire Science Centre http://www.fsc.unb.ca/ Networked Resources for Fire Protection (NAFED) http://www.halcyon.com/NAFED/HTML/Welcome.HTML National Fire Protection Association (NFPA) http://www.nfpa.org Worcester Polytechnic Institute: Center for Fire Safety Studies http://www.wpi.edu/Academics/Depts/Fire Society of Fire Protection Engineers http://www.sfpe.org Pour obtenir de plus amples renseignements, s'adresser au : Service d'information de l'IRC, Institut de recherche en construction, Conseil national de recherches Canada, Ottawa, Canada K1A 0R6, Tél. (613) 993-2466, Téléc. (613) 952-7671, Courrier électronique : [email protected] SPACE HEATER means a space-heating appliance that heats the room or space within which it is located without the use of ducts. (Ontario Fire Code 1996) SPACE-HEATING APPLIANCE means an appliance that supplies heat to a room or space directly or indirectly or to rooms or spaces of a building through a heating system.(Ontario Fire Code 1996) SPALLING Destruction of a surface by frost, heat, corrosion, or mechanical causes. Concrete exposed to intense heat may spall explosively. Expansion and contraction of the concrete as well as vaporising moisture contained in the concrete contribute to this effect. It does not necessarily mean an accelerant was used.(Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) SPARK TRACKING (voir aussi Tracking) Plastics Matières plastiques EN FR spark tracking*a cheminement par étincelles*a SOURCES a*ISO-194*1981*** (Source : Termium 1994) SPÉCIFICATION / requirement [voir aussi Prescription] Document qui prescrit les exigences auxquelles le produit ou le service doit se conformer. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) SPECIFIC GRAVITY The ratio of the density of a substance to the density of water at a specified temperature. (For gases, the reference substance is sometimes taken to be dry air at a specified temparature and pressure. [Friedman 1989] SPECTRE Les atomes peuvent émettre ou absorber de la lumière ou d'autres formes d'énergie quand leurs électrons se portent sur des orbites plus hautes ou plus basses. Comme on le constate lors d'un arc-en-ciel ou grâce à un prisme, la lumière est en fait un ensemble de radiations visibles ou invisibles, de longueurs d'onde différentes. De même, la lumière émise ou absorbée par un élément est unique à cet élément et peut être décomposée par un spectroscope sous forme de raies de couleur qui constituent la signature de chaque type d'atome. C'est en analysant la lumière en provenance du Soleil, par ex., que l'on a découvert qu'il contenait de l'hélium avant même de découvrir cet élément sur la Terre. (Ivan Noels, [email protected]) SPECTROPHOTOMETER A light measuring device which incorporates a monchrometer to isolate and project particular wavelengths of electromagnetic radiation through a sample, and a detector to measure the amount of radiation which has passed through the sample. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) SPECTROSCOPY An analytical technique devoted to the identification of the elements and the elucidation of atomic and molecular structure by measurement of the radiant energy absorbed or emitted by a substance in any of the wavelengths of the electromagnetic spectrum in response to excitation by an external energy source. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) SPILL The release of a liquid, powder, or solid hazardous material in a manner that poses a threat to air, water, ground, and to the environment. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 SPONTANEOUS HEATING Also known as Spontaneous combustion. Initially, a slow, exothermic reaction at ambient temperatures. Liberated heat, if undissipated (insulated), accumulates at an increasing rate and may lead to spontaneous ignition of any combustibles present. Spontaneous ignition occurs sometimes in haystacks, coal piles, warm moist cotton waste, and in stacks of rags coated with drying oils such as cottonseed or linseed oil. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) SPONTANEOUSLY COMBUSTIBLE (See Pyrophoric.) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 SPRAYING AREA means the area that is within 6 m of a spray booth or spraying operation and that is not separated therefrom by a vapour-tight separation. (Ontario Fire Code 1996) SPRAY BOOTHmeans a power-ventilated structure that encloses or accommodates a spraying operation so that spray vapour and residue can be controlled and exhausted. (Ontario Fire Code 1996) SPRAY ROOMmeans a spraying area on a floor area or part thereof in which an open spraying operation is confined and that is separated from the remainder of the building in which it is located by a noncombustible vapour-tight separation. (Ontario Fire Code 1996) SPRINKLERED (as applying to a building or part thereof) means that the building or part thereof is equipped with a system of automatic sprinklers. (Ontario Fire Code 1996) SPRINKLERS (système de) Il consiste en une tubulure emplie d'eau qui court sous les plafonds et comporte, à intervalles réguliers, des champignons en saillie, sortes de pommes d'arrosoirs obturées soit par de fines lamelles métalliques qui fondent à la chaleur, soit par de petites ampoules de verre pleines d'un liquide très dilatable qui éclatent à une certaine hausse de température. L'eau contenue dans la tubulure est alors libérée, une pluie fine et dense se met à ARROSER LE COMMENCEMENT D'INCENDIE, en même temps les gaz dégagés sont refroidis et l'alarme est donnée automatiquement par sirènes spéciales. (Pierre Grapin, Les incendies, P.U.F., Paris, 1979) Les arroseurs appliquent l'eau sur le feu plus vite et avec plus d'effet que les lances de pompiers opérées manuellement; ils constituent par conséquent le meilleur moyen d'acheminer de l'eau sur l'incendie. Du point de vue du service d'incendie, c'est comme si l'on disposait de lignes et d'ajutages installés à l'avance et toujours prêts en cas d'incendie. (NFPA 13E - 1978, art. 1-3.1) S'il n'y a pas de fumée, il est probable que l'incendie est mineur et qu'un ou deux arroseurs ont éteint l'incendie, ou encore que les arroseurs n'ont pas encore déclenché; si la cloche d'alarme extérieure résone ou si le signal reçu identifiait un écoulement d'eau, il est évident que l'eau s'écoule ou s'est écoulée d'un arroseur (ou, dans le cas d'un système sans eau résidente, que l'eau s'est introduite dans le système pour déclencher l'alarme prématurément ou accidentellement). Si l'on voit de la vapeur d'eau, il est évident que les arroseurs ont fonctionné et ils tiennent probablement l'incendie en échec. On se dépêche alors à parfaire l'extinction pour limietr les dégâts. SI LA FUMÉE NOIRE ET LES FLAMMES SONT VISIBLES, IL SE PEUT QUE LES ARROSEURS NE FONCTIONNENT PAS OU QUE LA VANNE D'ADMISSION SOIT FERMÉE. (NFPA 13E - 1978, art.1-4.4) Dès son arrivée sur les lieux, l'officier-commandant doit procéder à une évaluation de la situation come pré-requis opérationnel. On doit immédiatement ordoner à un pompier d'aller vérifier que la/les vanne/s d'admission sont complètement ouvertes. DES BOYAUX DE L'AUTOPOMPE DEVRAIENT TOUJOURS ETRE RACCORDÉES AUX RACCORDS-POMPIERS AUSSI RAPIDEMENT QUE POSSIBLE POUR APPROVISIONNER LES SYSTÈMES D'ARROSEURS DANS LE SECTEUR EN PROIE AUX FLAMMES AVEC SUFFISAMMENT DE PRESSION (150 psi) ET DE DÉBIT. Des lignes additionnelles devraient également être déployées en direction de l'aire d'origine.(NFPA 13E - 1978, art. 1-4.3) Les raccords-pompiers desservant un seul système d'arroseurs automatiques alimentent généralement le système au-delà de la vanne d'admission d'eau. En pareil cas, l'autopompe du service municipal d'incendie peut immédiatement fournir de la pression au système, que le robinet principal soit ouvert ou fermé. [NFPA 13E - 1978, art. 1-4.5(c)] SPRINKLERS (automatic extinguishing systems) Automatic sprinkler systems should be installed in all large buildings. They are the most effective means of controlling fires in such buildings, especially in a small community with a limited water supply and fire department.(Heinke et al., Fire Protection for Northern Communities, Canadian Journal of Civil Engineering, Vol.12, No.3, Sept.1985) STABILITÉ La stabilité d'un produit est sa capacité de résister à la chaleur et à l'humidité ou à l'oxygène qui se trouve dans l'air. Un produit instable peut se décomposer, se polymériser, brûler ou exploser spontanément dans des conditions normales. Lorsqu'il est indiqué qu'un produit est instable, on doit observer les précautions d'entreposage et de manutention appropriées. (Canutec) STATIONARY SOURCE A fixed facility from which a release of hazardous materials may originate.HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 Stick The aerial of a ladder truck. Aerials vary in length depending on the needs and finances of a department. Some are as short as 65 feet, while others reach lengths greater than 100 [email protected] Still Alarm A still alarm is a call requiring only one company. Examples of a still alarm include a small fire or a medical [email protected] STOICHIOMETIRIC REACTION Chemical A is said to undergo a stoichiometric reaction with chemical B when the proportions of A and B are such that there is no excess of either A or B remaining after the reaction. [Friedman 1989] STOICHIOMETRY The procedure for calculating the combining proportions (by mass or volume) of reactants and products of a chemical reaction, on the basis of chemical formulas and atomic weights. The underlying principles are the conservation of atomic species and the conservation of mass. [Friedman 1989] STORAGE TANK means a vessel for flammable or combustible liquids having a capacity of more than 230 L and designed to be installed in a fixed location. (Ontario Fire Code 1996) STOREY means that portion of a building that is situated between the top of any floor and the top of the floor next above it, and where there is no floor above it, that portion between the top of the floor and the ceiling above it. (Ontario Fire Code 1996) STRAY CURRENT (Courant vagabond - voir Tracking). stray currents*a,b courants vagabonds*a,b*MASC DEF*Parties des courants de retour qui, sur une partie au moins de leur parcours, empruntent des itinéraires autres que le circuit de retour.*a (SOURCE : Termium 1994) STREET means any highway, road, boulevard, square or other improved thoroughfare 9 m or more in width, that has been dedicated or deeded for public use, and is accessible to fire department vehicles and equipment. (Ontario Fire Code 1996) STRICT LIABILITY The responsible party is liable even though they have exercised reasonable care. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 Strike the Box To transmit or strike an alarm over the radio for a full first alarm [email protected] STRONTIUM D'après "Strontian", village d'Ecosse. Appartient au Groupe 2. De la famille des Métaux AlcalinoTerreux, plus mou que le calcium, il réagit plus vigoureusement avec l'eau et s'oxyde rapidement. On ne le trouve pas à l'état libre dans la nature. Réduit en poudre, il s'enflamme spontanément à l'air avec une flamme rouge. Ses Sels sont utilisés dans les feux d'artifice et son titanate est un matériau intéressant en optique à cause de son haut indice de réfraction. Son Isotope 90 Sr se trouve dans les retombées nucléaires, il a une Demi-Vie de 28 ans et est absorbé par le squelette à la place du calcium. (Ivan Noels) STRUCTURE GONFLABLE structure consistant en une membrane souple et dont la forme et l'appui sont assurés par une pression d'air interne et retenue au sol sur tout le périmètre [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] STUDIO logement pour 1 ou 2 adultes, avec ou sans chambre [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] STYRENE Vinylbenzene. An aromatic compound having the formula C6H5C2H3. The monomer of polystyrene plastic. A common product of polymer pyrolysis. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) SUBSTANCES Une substance est un échantillon homogène de matière de composition chimique pratiquement définie.[Pauling 1958] SUBSTRATE Matrix. The material from which a substance to be analysed is removed. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) Succession The gradual replacement of one plant and animal community by another, as in the change from an open field to a mature forest. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) SUITE means a single room or series of rooms of complementary use, operated under a single tenancy, and includes dwelling units, individual guest rooms in motels, hotels, boarding houses, rooming houses and dormitories as well as individual stores and individual or complementary rooms for business and personal services occupancies. (Ontario Fire Code 1996) SULFUR A nonmetallic yellow element. A constituent of black powder, sulfur burns readily when in powdered form. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) SUPERVISORY STAFF means those occupants of a building who have some delegated responsibility for the fire safety of other occupants under the fire safety plan and may include the fire department where the fire department agrees to accept these responsibilities. (Ontario Fire Code 1996) Supply Hose Hose line used to supply water from a hydrant to fire apparatus. Many departments use large diameter hose (see above) for this purpose. LDH is sometimes referred to as a water main above ground and is usually 4-5 inches in diameter. However, some departments use smaller 3-inch hose to supply water at a fire. [email protected] SUPPORT nm (communications, informatique) L'information ne prend un sens que si elle est saisie sur un support pour être traitée. Le support est l'élément qui sert à inscrire cette information : le texte et/ou l'image quand nous cherchons une information dans un journal papier, l'image et le son quand nous regardons la télévision. Les trois supports utilisés le plus fréquemment sont le texte, l'image et le son. Ceux-ci ne sont accessibles qu'à travers un support physique (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) SUPPORT DE TRANSMISSION (télécommunications) Voie de communication véhiculant le signal (filaire ou hertzienne). (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) SURCHARGE somme des charges, autres que la charge permanente, applicables dans le calcul des éléments constituants d'un bâtiment [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] SURFACE D'APPUI surface de contact entre un élément de fondation et le sol d'assise [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] SURFACE TENSION The elastic-like force in the substance of a liquid, tending to minimize the surface area, causing drops to form. Expressed as newtons per meter or dynes per centimeter. (There are 100,000 dynes per newton.) [Friedman 1989] SURFACE TRACKING (voir aussi Tracking, et Spark Tracking) surface tracking*a - cheminement*a OBS*cheminement (superficiel)*a a*CGE-5*1979*** (Source : Termium 1994) Supervisor - a person designated by department policies and guidelines to assume command of a crew or company. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) SUPPRESSION D'UN INCENDIE Tout le travail qui consiste à éteindre un incendie après sa détection. Supprimer l'incendie. Il est évident que la suppression doit jouer un rôle de premier plan dans la protection contre l'incendie. Cette suppression peut s'accomplir manuellement ou automatiquement. (Source: Termium 1994) Surface Fire. A fire that burns leaf litter, fallen branches and other fuels located on the forest floor. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) SYNCHRONE adj (télécommunications) [synchronous] 1- (télécommunications) Mode de transmission dans lequel l'émetteur et le récepteur fonctionnent au même rythme, en général calés par une horloge. 2- (communications) Communication où l'émission et la réception sont simultanées. voir: synchrone, isochrone. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) SYNONYMES Une substance est parfois connue sous divers noms. Par exemple, le méthanol s'appelle aussi alcool méthylique ou hydrate de méthyle. Il est parfois utile d'avoir recours à un synonyme pour trouver des renseignements supplémentaires sur un produit chimique. (Canutec) SYSTEMATIC A set of orderly, structurally inter-related steps based on a network of concepts, principles and rules. (Benner 1997) SYSTÈME nm (informatique) [system] Nom générique utilisé pour désigner un ensemble d'équipements ou de programmes destiné à remplir plusieurs fonctions. C'est la combinaison de tous les moyens de saisie, de traitement et de transmission de l'information d'une application utilisant un ou plusieurs calculateurs. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) SYSTÈME QUALITÉ / quality system Ensemble de la structure organisationnelle, des responsabilités, des procédures, des procédés et des ressources pour mettre en oeuvre la gestion de la qualité. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) -TTABLEAU DE BORD / dashboard C'est une façon de sélectionner, d'agencer et de présenter l'information (indicateurs de performance - voir ce terme) de façon sommaire et ciblée. Généralement, il est présenté sous forme de flash accompagné de reportage synoptique. Il met en évidence les résultats significatifs, les exceptions, les écarts et les tendances. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) Tallgrass prairie An ecosystem made up of grasses, forbs, shrubs and trees and is further characterized by relatively moist soils. Prairies depend on fire to maintain the ecosystem stability and diversity. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) TANK VEHICLESmeans any vehicle, other than railroad tank cars and boats, with a cargo tank having a capacity of more than 450 L, mounted or built as an integral part of the vehicle, and used for the transportation of flammable or combustible liquids and includes tank trucks, trailers and semi-trailers. (Ontario Fire Code 1996) TAUX D'ÉVAPORATION Le taux d'évaporation est une valeur qui indique en combien de temps le produit s'évapore à une température ambiante normale. On donne ordinairement le taux d'évaporation du produit par rapport à celui d'un solvant qui s'évapore plutôt rapidement, par exemple: 0,5 (acétate de butyle = 1). Cela veut dire que dans des conditions spécifiques, 0,5 gramme du produit s'évapore dans le même temps que 1 gramme d'acétate de butyle. Il arrive souvent qu'on dise simplement que le taux d'évaporation est supérieur à 1 ou inférieur à 1, c'est-à-dire qu'il s'évapore plus rapidement ou moins rapidement que le produit auquel on le compare. En général, le danger que présente une substance toxique augmente avec le taux d'évaporation. (Canutec) TCC Tagliabue Closed Cup. En français, Tagliabue coupelle fermée (TCF). Méthode normalisée permettant d'établir les points d'éclair. (Canutec) TCP/IP (réseaux) - sigle de " Transmission Control Protocol/Internet Protocol " Protocole de communication permettant l'interconnexion de réseaux hétérogènes. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) TECHNICAL SPECIALIST - HAZARDOUS MATERIALS REFERENCE Person assigned to document activities of the Hazardous Material Team and gather information relevant to the chemicals involved and their hazards. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 TÉLÉCHARGEMENT nm (informatique, réseaux) [remote loading, down-loading][upload, download] Chargement d'informations ou de programmes sur un système informatique via un réseau. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) TÉLÉ-CLASSE nf (sc. de l'éducation/ formation) Enseignement à distance à un ou plusieurs groupes d'apprenants dispersés avec une interactivité permanente possible entre l'enseignant et les apprenants, chacun des sites "récepteurs" pouvant intervenir à tout moment par le son, l'informatique ou la video selon le support technique utilisé. Autres appellations utilisées: télé-cours, classe virtuelle, amphi virtuel, campus virtuel. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) TÉLÉCOMMUNICATIONS nmpl [telecommunications] Ensemble des techniques de transmission à distance quel qu'en soit le support. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) TÉLÉCONFÉRENCE nf (télécommunications) [teleconferencing] Réunion ou conférence à distance grâce à système de téléphonie (audioconférence) ou de télévison (vidéoconférence). (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) TÉLÉ-CRÉATION nf Conception et/ou réalisation d'outils, didacticiels, produits ou actions de formation par plusieurs usagers distants (principalement avec des auteurs-concepteurs et des valideurs). (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) TÉLÉDISTRIBUTION nf (audio-visuel) Télécommunication utilisant un réseau de câbles à conducteurs métalliques ou de câbles à fibres optiques pour la distribution vers un très grand nombre d'usagers de programmes sonores ou visuels, et éventuellement d'autres signaux. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) TÉLÉENSEIGNEMENT nm (formation) Au début des années soixante, l'utilisation des médias dans le processus de formation apparaît comme une réponse au renforcement des systèmes d'enseignement à distance. La radio et la télévision font l'objet de plusieurs tentatives de cours. Le téléenseignement est né. Par extension, on entend par téléenseignement tout processus d'enseignement faisant appel à des moyens de communication à distance : télévision, radio, téléphone, télématique. voir: formation à distance. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) TÉLÉINFORMATIQUE nf (réseaux) [teleinformatics] Désigne l'ensemble des techniques dans lesquelles des équipements informatiques interconnectés fonctionnent dans des sites différents éloignés les uns des autres. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) TÉLÉ-MULTIMÉDIA nm (réseaux) Système de communication permettant à des intervenants, travaillant sur réseau, de partager et de traiter en temps réel des informations multimédia comprenant du texte, des graphiques, des images, du son, de la vidéo, ... (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) TÉLÉPRÉSENCE nf (réseaux) [telepresence] Système de collaboration à distance avec des environnements de travail informatisés multimédia en réseau intégrant des technologies favorisant une plus grande présence humaine (voix, image). (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) TÉLÉRESSOURCES nfpl (formation, réseaux) En formation d'adultes, distribution à distance par réseau informatique des fonctionnalités d'un centre de ressources, tels le télé-tutorat (assistance pédagogique), le télé-monitorat (assistance technique, de mise en oeuvre). (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) TÉLÉRESSOURCES nf (télécommunications) Service téléphonique de communication à distance entre plusieurs abonnés. voir: audioconférence. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) TÉLÉTRAITEMENT nm (réseaux) [teleprocessing] Ensemble des techniques informatiques où les travaux à effectuer (traitements) sont commandés à distance à partir de terminaux ou de petits systèmes. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) TEMPÉRATURE D'AUTO-INFLAMMATION La température la plus basse à laquelle une substance exposée à l'air commence à brûler spontanément sans entrer en contact avec une étincelle ou une flamme s'appelle la température d'auto-inflammation. De nombreux produits chimiques se décomposent lorsqu'ils sont chauffés. La température d'auto-inflammation est la température à laquelle les substances formées par la décomposition commencent à brûler. La température nécessaire pour produire cet effet varie de 100 degrés C ou plus d'une substance à l'autre, selon la méthode d'expérimentation. Les valeurs données dans la fiche sont donc approximatives. Pour éviter le risque d'incendie ou d'explosion, les produits doivent être entreposés et utilisés à une température nettement inférieure à la température d'auto-inflammation. On trouve aussi quelquefois l'expression température d'inflammation spontanée. (Canutec) TEMPÉRATURES ÉLEVÉES ... on atteindra ainsi des températures de l'ordre de 2800 C [5072 F] avec le chalumeau hydrogène-oxygène, de l'ordre de 3500 C [6332 F] avec le chalumeau oxy-acétylénique. Des températures encore plus élevées pourront être obtenues en apportant de l'énergie électrique au système: entre 5000 et 6000 C [9032 et 10832 F] avec l'arc électrique. La température la plus TEMPÉRATURES ÉLEVÉES et CHANGEMENTS D'ÉTAT Températures en degrés C Phénomènes physiques 444,6 630,5 960,5 1063 1415 1535 1773 2200 2600 3000 3370 4300 5900 ébullition du soufre fusion de l'antimoine fusion de l'argent fusion de l'or fusion du silicium fusion du fer fusion du platine ébullition de l'étain ébullition de l'or ébullition du fer fusion du tungstène ébullition du platine ébullition du tungstène élevée que l'on ait réalisée en dehors de celle que produit l'explosion d'une bombe atomique est d'environ 20000 C [36032 F]; on l'a obtenue en faisant passer l'électricité d'un gros condensateur dans un fil très fin; la grande quantité d'énergie qui arrive ainsi brusquement dans le fil le fait exploser et porte la vapeur métallique autour de 20000C. Quant à la température du centre d'une bombe atomique au moment de l'explosion, elle serait encore plus considérable, de l'ordre de 50 000 000 C [90 000 032 F]. [Pauling 1958] Source : Jacques Lachnitt, Les Hautes Températures, PUF, Paris, 1961, p.11 TEMPS D'ACCÈS (informatique) [ access time] Intervalle de temps séparant le moment ou un processeur, dans un ordinateur, demande une information et le moment où la mémoire lui fournit cette information. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) TENT means a shelter or structure with a covering that is made of pliable material. (Ontario Fire Code 1996) TERMINAL PORTABLE (informatique) Terminal de petite taille transportable dans une valise que l'on peut connecter à un ordinateur au moyen d'une ligne téléphonique ordinaire par l'intermédiaire d'un coupleur acoustique. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) TERMINATION That portion of incident management where personnel are involved in documenting safety procedures, site operations, hazards faced, and lessons learned from the incident. Termination is divided into three phases: Debriefing, Post-incident analysis, and Critique. (NFPA 472, 1-3) (See Post Incident Analysis.) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 TERPENES Volatile hydrocarbons which are normal constituents of wood. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) TEST means the operation of a device or system to ensure that it will perform in accordance with its intended operation or function. (Ontario Fire Code 1996) TEST (NON-DESTRUCTIVE, EXAMPLES) 1. Visual inspection for residues, deviations from blueprints, deformations, etc. 2. Radiographic inspection techniques, including x-ray, fluoroscopy, and other radiographic scanning techniques 3. Reconstruction of surviving parts in mock-ups 4. Microphotography of parts, residues, etc. 5. Electron microscopic examination of parts, residues, surfaces, etc. 6. Char pattern inspections for burned parts 7. Scratch mark inspections for material displacement or removal 8. Weighing techniques for deposition or removal of material 9. X-ray diffraction examination of crystalline structures 10. Thermal gradient inspection techniques for examination of evidence of temperature gradients experienced by materials 11. Stress pattern inspection techniques for evidence of directions of stressors, deformation of stressees 12. Ultra-violet or infra-red photographic examination for evidence of changes of state, blood, tissue 13. Electrical conductivity/resistance tests (if arcing not involved) 14. Flow tests for viscosity, angle of repose, air-entrainment data 15. Dimensional analysis documentation to identify changes from as-new condition 16. Dye-penetrant or magnetic inspection for cracks, defects 17. Lubricity tests to identify lubricant service performance data 18. Operating test of subsystem to identify operating parameter data, performance data 19. High-speed photography of operating subsystem to observe timing, nature of process 20. Forensic fingerprinting analyses 21. (Add your own here) (Ludwig Benner, MES Guide 6, TASK GUIDANCE FOR PREPARING INVESTIGATION TEST PLANS, 1998) THÉÂTRE OU CINÉMA lieu de réunion muni de sièges fixes, destiné à la présentation de spectacles ou de films [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S3)] THERMAL CONDUCTIVITY DETECTOR A type of gas chromatographic detector which is sensitive to the change in the ability of the gases emerging from the column to conduct heat. A thermal conductivity (TC) detector is not as sensitive as a flame ionisation detector, but it is capable of detecting some molecules, such as water, which give no signal in FID. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) THERMAL IGNITION Spontaneous ignition that occurs as the result of progressive heating by an external heat source. [Friedman 1989] THERMITE REACTION A highly exothermic reaction between a metal and the oxide of another metal; for example, the reaction of molten or powdered magnesium with iron oxide to form magnesium oxide and molten iron. [Friedman 1989] THERMODYNAMIQUE La partie de la chimie qui traite des chaleurs de réaction et de tout ce qui s'y rapporte s'appelle la thermochimie. L'étude plus générale des relations entre l'énergie et les transformations chimiques, y compris celle du potentiel des piles électrolytiques et du travail qu'on peut effectuer par voie chimique, porte le nom de thermodynamique chimique. La thermochimie comme la thermodynamique chimique font partie de la chimie physique. [Pauling 1958] THIN LAYER CHROMATOGRAPHY (TLC) A procedure for separating compounds by spotting them on a glass plate coated with a thin (about 0.01 inch) layer of silica or alumina, and 'developing' the plate by allowing a solvent to move upward by capillary action. TLC is especially used for identifying and comparing materials which are highly coloured or which fluoresce under ultraviolet light. TLC is used extensively in explosive analysis and in the comparison of gasoline dyes. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) TITANE ...de "Titans", divinités grecques qui gouvernaient l'univers avant les dieux de l'Olympe. Appartient au Groupe 4. Présent dans les rubis, les saphirs, certains météorites et de nombreuses étoiles, le titane est un métal argenté de faible densité, résistant bien à la corrosion et facile à travailler. Il brûle dans l'air et est le seul Élément brûlant dans l'azote. Il est aussi fort que l'acier mais 45% plus léger et 60% plus lourd que l'aluminium mais deux fois plus fort. Le titane est physiologiquement Inerte. Il est employé dans de nombreux Alliages utilisés notamment par l'industrie aérospatiale. C'est l'industrie de la peinture qui en utilise le plus car ses oxydes sont très résistants et ont un grand pouvoir couvrant. Le titane joue un rôle important dans les prothèses artificielles et les implants comme les articulations des hanches et du fémur ainsi que les implants dentaires. (Ivan Noels) TMD Transport des marchandises dangereuses. Au Canada, le transport des marchandises pouvant présenter des dangers est régi par la Loi et le Règlement sur le transport des marchandises dangereuses relevant de Transports Canada. La Loi et le Règlement sur le TMD fixent les critères de danger et stipulent la façon dont les matières désignées dangereuses doivent être emballées et expédiées. (Canutec) TMD / CLASSIFICATION D'INFLAMMABILITÉ Aux termes de la Loi et du Règlement sur le TMD du Canada, une matière est classifiée dangereuse si elle possède certaines propriétés. Consulter le Règlement pour obtenir des précisions. (Canutec) TOC Tagliabue Open Cup. Méthode Tagliabue coupelle ouverte permettant de déterminer les points d'éclair. (Canutec) TOKEN-RING (informatique) Réseau physique préconisé par IBM; Sa topologie est en anneau avec méthode d'accès déterministe (par jeton). Il existe en deux versions: à 4 et à 16 Mbits/s. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) TOLUENE Methylbenzene. An aromatic compound having the formula C6H5CH3. A major component of gasoline. Toluene has a flash point of 40F and explosive limits of 1.2% to 7%. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) Total fire attack team - the total number of fire fighters assembled on the fire ground capable of rescue, fire containment, fire extinguishment and minimization of injury life, property and environment losses. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) TOXICITÉ / TOXIQUE Capacité que possède une substance de produire des effets biologiques nuisibles. La division en toxicité faible, modérée ou grave est fondée sur la quantité nécessaire pour produire un effet et sur la gravité de l'effet produit. Le Règlement sur les produits contrôlés, Canada, et la norme HAZCOM de l'OSHA aux États-Unis donnent les critères techniques permettant d'identifier une matière toxique aux fins de chaque règlement. Des critères spécifiques permettent de déterminer la létalité à court terme, la toxicité à long terme, ainsi que la possibilité d'irritation de la peau ou des yeux, de sensibilisation de la peau et de mutagénicité. (Canutec) TOXICITY A relative property of a chemical agent that refers to its harmful effect on some biological mechanism and the conditions under which this effect occurs. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 TRAÇABILITÉ / traceability Aptitude à retrouver l'historique, l'utilisation ou la localisation d'un produit, d'un appareil, d'une machine ou d'une installation, au moyen d'indications enregistrées [ou autres indicateurs]. - NF X 50 - 120 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm) TRACKING TRACKING (voir aussi Spark Tracking) tracking*a,b,c / cheminement*a,b,c The formation of a conducting / OBS*Formation d'une trace conductrice path across the surface of an / à la surface d'une matière isolante, insulating material by current / par décharge électrique ou faible discharge or leakage.*a / courant de fuite. SOURCES: a*ISO-472*1979***, b*ISO-194*1981***, c*DORUB*1965***591 (Termium 1994) TRADUCTION et RESPECT DE LA NORME (norme linguistique) Dans le contexte nord-américain, un certain nombre de concepts sont généralement connus des anglophones comme des francophones uniquement par le mot anglais qui les désigne et donnent lieu en français à des anglicismes. [Legoux Valentine 1989] [Les gouvernements du Québec et du Canada ont mis sur pied respectivement la Banque de terminologie du Québec (BTQ) et TERMIUM (une base de données linguistique). On peut s'abonner à ces services rendus accessibles par l'informatique.] Trash Line Same as jump line, although not necessarily carried on the front bumper. TRANSLATION (traduction) Translation is a craft consisting in the attempt to replace a written message and / or statement in one language by the same message and / or statement in another language . [ Il est important de retenir que le traducteur ou la traductrice est tenu de livrer un texte conforme à la version de départ; mais les auteurs recherchent généralement plus que la simple conformité du "message", ils recherchent en fait l'intégrité des idées.] TRANSFORMATION tout changement à la structure, aux installations fixes ou permanentes, ou à l'affectation d'un bâtiment [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)] TRAVAIL COLLABORATIF [collaborative work] Travail à deux ou plusieurs à distance avec des outils logiciels en réseau permettant une interaction entre des personnes généralement à distance pour co-produire un même objet ou résultat : par exemple, écriture, dessin, agenda, planning, gestion de présence, colloque, affiches. Ces outils permettent d'écrire à deux ou plusieurs un même document, de dessiner sur le même document de départ, etc. et cela en mode synchrone ou asynchrone. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) TRAVAILLEUR Une personne qui exécute, en vertu d'un contrat de louage de services personnels ou d'un contrat d'apprentissage, même sans rémunération, un travail pour un employeur, y compris un étudiant dans les cas déterminés par règlement, à l'exception: 1° d'une personne qui est employée à titre de gérant, surintendant, contremaître ou représentant de l'employeur dans ses relations avec les travailleurs; 2° d'un administrateur ou officier d'une corporation, sauf si une personne agit à ce titre à l'égard de son employeur après avoir été désignée par les travailleurs ou une association accréditée; (LSST, S2-1) TRAVEL DISTANCEmeans the distance from any point in a floor area to an exit measured along the path of exit travel, except that when floor areas are subdivided into rooms used singly or into suites of rooms and served by public corridors or exterior passageways, the distance shall be measured from the door of the rooms or suites to the nearest exit. (Ontario Fire Code 1996) Travel time - the time period between leaving the station and arriving at the fire scene. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) TRÈS TOXIQUE Le Règlement sur les produits contrôlés, Canada, donne les critères techniques permettant d'identifier une matière très toxique. Des critères spécifiques permettent de déterminer la létalité à court terme, la toxicité à long terme, la tératogénicité, l'embryotoxicité, la toxicité pour la reproduction, la cancérogénicité, la sensibilisation des voies respiratoires et la mutagénicité. Aux termes de la norme HAZCOM de l'OSHA aux États-Unis, l'expression correspondante, Highly Toxic, est définie spécifiquement. (Canutec) Triple combination pumper (pumper) - a motorized vehicle designed to transport fire fighters to the scene of a fire and provide the necessary fire suppression equipment for extinguishment and equipped with a major pump, water tank, ground ladders and hose body. For the purposes of the study, a triple combination pumper equipped with elevated fire fighting capability may be substituted. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999) Truck Company See Ladder [email protected] TUNGSTÈNE ...du suédois "tung sten", pierre lourde. Son symbole "W" vient aussi du suédois "wolfram", un minerai de tungstène. Appartient au Groupe 5. Métal gris-blanc, il a le point de fusion le plus élevé de tous les métaux. Résistant très bien à la corrosion et aux Acides minéraux, le métal doit être protégé de l'oxydation à des températures élevées. Le tungstène et ses Alliages sont abondamment utilisés dans les ampoules électriques, les tubes de télévision et les contacts des distributeurs de voitures. (Ivan Noels) TURPENTINE 1) Gum. The pitch obtained from living pine trees. A sticky viscous liquid. 2) Oil. A volatile liquid obtained by steam distillation of gum turpentine, consisting mainly of pinene and diterpene. Turpentine is frequently identified in debris samples containing burned wood. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) TUTORAT nm (formation) Le tutorat apparaît dans la formation avec l'alternance formation/travail en situation d'entreprise (ex : chantier-école). Dans ces situations, le tuteur est l'homme chargé de suivre l'individu en formation, de l'assister dans son parcours. Avec l'enseignement à distance se développe une nouvelle notion de tutorat. Le formateur devient un guide dans les processus d'enseignement et d'apprentissage personnalisés. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) -U- UNDERSTANDING FIRE Fire is basically a chemical reaction between combustibles and oxygen. The fire products (smoke) consist of a complex mixture of chemicals that interact with humans trying to fight a fire or escape from a fire. Extinguishing agents and fire retardants are also chemicals. Clearly, an understanding of chemistry is a prerequisite to a thourough understanding of fire. [Friedman 1989] UNIFORM CODING FOR FIRE PROTECTION (voir aussi Fire Defense Management) (voir aussi Initial Incident Report) As the objectives of fire defense management have narrowed from the control of conflagrations early in this century toward the control of fires in rooms, the need for uniform information about fire incidents as well as for an effective method of collecting and using that information has become recognized. To this end, there must be a common international language for the description of fire incident information, and systematic methods must be available for the routine collection, processing, and use of significant local information. Those keeping their data using definitions and codes compatible with this standard will be able to share and compare information. THE ORIGINAL REPORT FROM THE OFFICER IN CHARGE SHOULD BE IN HIS OWN WORDS, ACCURATELY DESCRIBING THE SITUATION HE ACTUALLY FOUND. This standard may be used as an aid to word choice. NUMERIC CODES MAY BE ADDED BY THE OFFICER HIMSELF OR BY A CENTRAL CODING OFFICE. [NFPA 901-1981] UNIFORMISATION (de la règlementation normative) Les brûleurs à kérosène [pour l'éclairage] sont un bon exemple du système américain de fabrication comportant des concepts de normalisation et d'interchangeabilité des pièces [circa 1858]. [Appareils d'éclairage, 1984] Up and Over A standard ventilation operation conducted by a team of firefighters wherein ladders are raised at a working fire involving a rowhouse-type dwelling to gain access to the roof to allow the firefighters to ventilate the involved dwelling. The intent is to get the upper floor opened up as quickly as possible. This is accomplished by opening skylights and/or scuttles and ensuring windows in the rear and front are taken out at the same time. The advantage of this operation is that many times, it is difficult to bring portable ladders to the rear of a row-type dwelling in some areas due to trash-strewn, overgrown, narrow, winding alley-ways. A 6-foot hook allows the one firefighter venting the rear to reach down (carefully where wires are involved) and take out (break) the windows. Any blinds, curtains, or drapes can be snagged with the hook to remove them and thereby facilitate the speedy evacuation of super-heated smoke and [email protected] -VVECTEUR À partir du foyer d'incendie reconstitué, la direction des flammes [le vecteur de propagation] peut être plus facilement repéré en partant du point où la carbonisation est la plus intense. [Stickney 1960] VENT (TO) (ventiler) Release enclosed smoke and heat from a structure by creating openings in it, as by hacking a hole in the roof, to allow for freer passage of air [le passage des produits de la combustion]. [Fire Cause Determination, IFSTA 1986] VENTILATION et phases d'incendie (Layman) Dans des conditions normales, un bâtiment est constitué de matières combustibles (habituellement des solides), de l'oxygène (21% dans l'air) et de la chaleur (à la température ambiante normale). Quand on augmente d'une manière excessive la température d'une portion combustible de la matière (un volume suffisant de matière soumis à une température suffisamment intense pour amorcer une combustion soutenue), le combustible se combine à l'oxygène dans l'air et il s'ensuit un incendie destructeur. Une chaleur excessive est produite et transmise aux matériaux combustibles voisins par contact de la flamme, par conduction, radiation ou convection. Il est souhaitable ici de revoir brièvement ce qui se produit véritablement dans un bâtiment confiné au cours du développement d'un incendie destructeur. Un incendie d'intérieur peut se diviser en 3 phases: PREMIERE PHASE - Phase initiale ou incandescente (le pourcentage d'oxygène dans l'air à peu près normal - 21%). Si l'ignition est obtenue au moyen d'une flamme, ou si le combustible est constitué de gaz ou de vapeurs inflammables, cette phase de développement ne s'applique pas. Elle s'applique aux incendies intéressant les combustibles solides dont l'ignition est amorcée au moyen d'une petite source de chaleur. Cette phase de développement est caractérisée par les incidences suivantes: (a) l'incandescence peut se maintenir pendant quelques secondes ou plusieurs heures avant que ne soient produites des flammes (b) une fumée chaude sera libérée par la matière en incandescence et s'élèvera dans la partie haute de l'aire volumétrique en perdant toutefois sa chaleur par transfert à l'atmosphère plus froide et aux matériaux solides (c) il n'y aura à peu près aucune diminution de la proportion d'oxygène dans l'air (d) et à peu près aucune augmentation de la température dans l'aire volumétrique (e) les dommages sont surtout imputables à la fumée DEUXIEME PHASE - Période de production de flammes (l'oxygène dans l'air peut varier entre 21 et 15%) Cette phase de développement présente les caractéristiques suivantes: (a) la quantité de matière consumée augmente rapidement, de même que production de chaleur (b) période de croissance rapide et de destruction majeure (c) la température de l'atmosphère intérieure augmente rapidement, causant son expansion volumique; si le taux d'expansion dépasse le taux de fuite, la pression de l'atmosphère intérieure sera supérieure à la pression de l'atmosphère extérieure (d) cette augmentation de pression n'atteint qu'une fraction de psi mais elle peut exercer une force suffisante pour causer vers l'extérieur la rupture des vitres affaiblies par la chaleur excessive (e) la chaleur sera principalement concentrée au niveau supérieur de l'atmosphère dans l'aire du foyer d'incendie (f) si le feu ne parvient pas à se frayer un ou des exutoires vers l'atmosphère extérieure, la proportion d'oxygène dans l'air décroît rapidement (g) le volume des flammes diminue en proportion de la diminution du pourcentage d'oxygène dans l'atmosphère intérieure; la production de fumées augmente (h) quand l'oxygène n'est plus qu'à 15% environ dans l'atmosphère intérieure, la production de flammes cesse. TROISIEME PHASE - Incandescence (le pourcentage d'oxygène dans l'air se situe à moins de 15%) Il y a peu d'incendies qui parviennent à cette phase, et ils se produisent habituellement dans les sous-sol ou dans les bâtiments résistants au feu. La plupart des incendies dans les bâtiments confinés parviennent à se créer des exutoires vers l'extérieur durant la période de production des flammes. La phase trois est caractérisée comme suit: (a) la quantité de matière consumée n'augmente plus et la production de chaleur diminue (b) des pertes de chaleur ont lieux par absorbtion dans les solides plus froids, par convection et par radiation à l'extérieur (c) les pertes de chaleur peuvent s'avérer suffisantes pour causer une contraction volumique de l'atmosphère intérieure, entraînant une chute de la pression à un niveau inférieur à la pression de l'atmosphère extérieure; ce différentiel de pression peut s'avérer suffisant pour causer une rupture vers l'intérieur des vitres affaiblies par la chaleur excessive (d) si les vitres restent intactes, les pressions s'équilibreront par l'effet des infiltrations d'air de l'extérieur (e) l'atmosphère se stratifie selon les températures ambiantes; la principale accumulation de chaleur excessive est localisée dans la partie haute de l'aire du foyer d'incendie (f) la combustion incandescente se poursuit et l'atmosphère intérieure se remplit de fumées contenant un pourcentage élevé de monoxyde de carbone (g) l'atmosphère intérieure peut contenir suffisamment de combustible pour former avec l'air un mélange inflammable; la phase trois semble engendrer les conditions de base pour une explosion de fumée. (h) un bâtiment n'est pas étanche et il se produit par conséquent des échanges entre les atmosphères (intérieure et extérieure) après que le feu se soit engagé en phase trois; il semble se produire continuellement des fluctuations entre la pression positive et négative à cause de la contraction et de l'expansion de l'atmosphère intérieure de sorte que la fumée s'échappe par l'augmentation de la pression et l'air s'infiltre par la contraction de l'atmosphère intérieure; il y aura apparition intermittente de flammes dehors à proximité des points où l'oxygène est disponible; ceci permet une circulation suffisante entre les atmosphères (intérieure et extérieure) pour éventuellement permettre au feu de revenir à la seconde phase (émission active de flammes). Après que les flammes se soient manifestées dans une atmosphère confinée (phases 2 et 3), les conditions suivantes peuvent s'avérer: (a) une chaleur excessive sera accumulée dans la partie haute de l'atmosphère à la grandeur de l'aire du foyer d'incendie; cette strate d'atmosphère surchauffée sera remplie de fumée et elle peut s'échelonner vers le bas à partir du plafond sur quelques pieds; la strate supérieure peut varier entre quelques centaines de degrés et 1500°F selon les circonstances et différents facteurs; dans un incendie particulier, la température de cette stratification peut s'étendre de 300°F au point le plus bas jusqu'à plus de 1500°F au plafond; dans l'espace confiné de hauteur de plafond normale, la température de l'atmosphère et des matériaux en hauteur peut dépasser 1500°F alors que la température au plancher ou près du plancher serait de moins de 212°F, la température de l'eau en ébullition (b) dans l'aire du foyer d'incendie, la fumée sera d'une densité suffissante pour nuire à la visibilité (c) dans l'aire du foyer d'incendie, l'atmosphère contient un pourcentage d'oxygène inférieur à la normale et possède des propriétés toxiques et irritantes. Avant que le personnel d'intervention investisse les lieux et travaillent dans l'aire du foyer d'incendie, il est nécessaire de prendre des mesures pour atteindre les objectifs suivants: (a) éliminer ou réduire la probabilité d'une explosion de fumée (b) augmenter la visibilité de manière à permettre aux pompiers d'opérer à l'intérieur du bâtiment (c) abaisser la température intérieure pour permettre aux intervenants de pénétrer dans le bâtiment et y travailler [s'y déployer] (d) fournir à l'intérieur une atmosphère contenant un pourcentage normal d'oxygène dans l'air (e) réduire les propriétés toxiques et irritantes de l'atmosphère intérieure de manière à permettre aux intervenants d'opérer sans appareil respiratoire autonome ou avec un masque à filtre. À ce jour il était de pratique courante de recourir à la ventilation directe pour atteindre ces objectifs. On parvient à ventiler directement en pratiquant des ouvertures (un exutoire et une prise d'air) commodément localisées et de dimensions adéquates, afin de provoquer des courants de ventilation entre les atmosphères intérieure et extérieure. La fumée et l'air chauds s'échappent par le ou les exutoires alors que l'air frais de l'atmosphère extérieure pénètre par les prises d'air, entraînant le remplacement de l'atmosphère intérieure par de l'air normal. Certains services d'incendie ont utilisé des appareils mécaniques comme des ventilateurs d'extraction ou des extracteurs de fumée pour accélérer le déplacement direct. Dans le présent ouvrage, on appellera "méthode conventionnelle de ventilation" le déplacement direct d'une atmosphère intérieure par de l'air extérieur. Après que l'incendie soit parvenu en phase deux et que les flammes se soient développées en volumes suffisants pour causer une accumulation de chaleur excessive dans l'aire du foyer d'incendie, il y a des risques certains à vouloir procéder au déplacement direct de l'atmosphère intérieure. La circulation d'air extérieur dans l'aire du foyer d'incendie procure suffisamment d'oxygène pour soutenir la production active de flammes [la combustion en phase gazeuse]. Les flammes gagneront rapidement tous les combustibles qui sont chauffés jusqu'à leur point d'ignition ou au-delà. Le feu peut alors se propager hors de contrôle avant que des mesures adéquates de suppression soient prises. Si l'incendie a atteint la phase trois, l'admission d'air normal peut causer une explosion de fumée. On doit noter que la chaleur excessive constitue le facteur qui crée des conditions anormales dans le bâtiment concerné. Un excès de chaleur est responsable de l'origine de l'incendie, de sa propagation et son maintien. La chaleur excessive constitue le noyau dur du problème pour le contrôle et l'extinction d'un incendie majeur à l'intérieur. Si adroitement que soient appliquées les méthodes conventionnelles de ventilation, elles ne procurent pas une solution logique ou pratique pour le déplacement d'une atmosphère contaminée et surchauffée. Il existe une méthode scientifique et pratique de transfert de la chaleur excessive de l'intérieur d'un bâtiment vers l'atmosphère extérieure. LE PROCESSUS DE TRANSFERT DE LA CHALEUR EXCESSIVE VERS L'ATMOSPHÈRE EXTÉRIEURE CONSISTE À DÉPLACER L'ATMOSPHERE SURCHAUFFÉE ET CONTAMINÉE AU MOYEN D'UNE ATMOSPHÈRE INERTE DE VAPEUR. ON MAINTIENT UNE ATMOSPHÈRE INERTE DANS L'AIRE DU FOYER D'INCENDIE JUSQU'À CE QUE LE TRANSFERT DE CHALEUR EXCESSIVE SOIT COMPLÉTÉ, DE SORTE QUE LA VAPEUR SE CONDENSE ET L'ATMOSPHÈRE SOIT REMPLACÉE PAR DE L'AIR EXTÉRIEUR. Employée correctement, cette méthode entraîne une chaîne de réactions dans l'aire du foyer d'incendie, causant l'extinction de la combustion en surface, procurant une atmosphère d'air normal, ramenant la température intérieure à un niveau qui permet aux intervenants de pénétrer dans le bâtiment pour éteindre les petits foyers et l'incandescence. Cette méthode de déplacement d'une atmosphère chauffée et contaminée paraît fournir une solution pratique pour prévenir les explosions de fumée. ON OBTIENT CES RÉSULTATS EN INJECTANT DE L'EAU SOUS FORME DE FINES PARTICULES DANS LA STRATE SUPÉRIEURE DE L'ATMOSPHÈRE DANS L'AIRE DU FOYER D'INCENDIE. [...] Principes et suggestions: .1 S'il est nécessaire de rétablir la visibilité, les méthodes conventionnelles de ventilation (déplacement direct) peuvent être employées alors que l'incendie est en première phase .2 les méthodes conventionnelles de ventilation peuvent être employées après que le feu soit passé en seconde phase si les flammes ne se sont pas développées suffisamment pour causer une acumulation de chaleur excessive dans l'aire du foyer d'incendie .3 s'il y a accumulation de chaleur excessive dans la partie haute de l'aire du foyer d'incendie, on devrait recourir à la méthode d'attaque indirecte .4 après avoir procédé à une attaque indirecte (LA CHALEUR EXCESSIVE FUT TRANSFÉRÉE VERS L'ATMOSPHÈRE EXTÉRIEURE), on peut employer les méthode conventionnelles de ventilation pour hâter le processus de condensation, pour diminuer le taux d'humidité et pour abaisser plus avant la température intérieure. (Lloyd LAYMAN, Fire Fighting Tactics, NFPA, Boston, 1953, pp.55-60) VENTILATION (notions de) En matière d'incendie, on peut évoquer trois notions distinctes du terme "ventilation" qui ont une incidence sur l'investigation. A. les systèmes de chauffage-climatisation des bâtiments ventilés artificiellement distribuent l'air chauffé ou rafaraîchi dans des CONDUITS DE VENTILATION et récupèrent l'air vicié dans des RETOURS B. les chaufferies - locaux techniques - surtout ceux équipés d'appareils de combustion au gaz ou à huile, sont souvent tout à fait indépendants des autres compartiments du bâtiment; l'AIR REQUIS pour la combustion y arrive directement par un conduit d'air ouvrant sur l'extérieur. Cette ouverture permet au local d'admettre de l'air sur demande des appareils de combustion (en quantité suffisante pour permettre sans contrainte l'émission des fumées par la cheminée) C. Les opérations de ventilation aux fins d'extinction sont conçues pour permettre l'échappement de la fumée et des gaz de combustion d'un incendie de bâtiment ; on tente, par ce moyen, d'opérer l'expulsion de l'atmosphère viciée et l'extinction de l'incendie [H. Chicoine, 1992] Ventilation Ventilation is the systematic removal of smoke from a building. Ventilation is usually accomplished with one of two methods: positive and negative pressure ventilation. Positive pressure ventilation increases the atmospheric pressure in the building until it is grater than the pressure outside the building. With negative pressure ventilation, the pressure inside the building is reduced until its less than the pressure outside the [email protected] VERRE Substance isotrope possédant les caractères macroscopiques d'un solide (forme, dureté ...), mais non la régularité de structure caractéristique du cristal. Les verres sont thermodynamiquement métastables, mais la transformation en cristal (dévitrification) est toujours très lente. Ils passent à l'état liquide sans point de fusion net, mais dans une intervalle de température de transformations (fusion pâteuse). Les verres les plus importants sont à base de SiO2. [DP 1991] VOLATIL Qualifie un liquide ou un solide ayant une forte tension de vapeur saturante. Exemples : éther, camphre. [DP 1991] VOLUME Portion de l'espace occupée par un corps. [DP 1991] -W- WARM ZONE The area where personnel and equipment decontamination and hot zone support takes place. It includes control points for the access corridor and thus assists in reducing the spread of contamination. This is also referred to as the "decontamination", "contamination reduction", "yellow zone", "support zone", or "limited access zone" in other documents. (NFPA 472, 13) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 WATER REACTIVE Having properties of, when contacted by water, reacting violently, generating extreme heat, burning, exploding, or rapidly reacting to produce an ignitable, toxic, or corrosive mist, vapor, or gas. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991 WATT [W] Unité de puissance du système SI. 1 watt = 1 joule par seconde = 107 ergs par seconde = 0,102 kilogrammètre par seconde. [DP 1991] WEIGHT(voir Poids) The force acting on an object due to gravitational field. [Friedman 1989] WETTING AGENT(agent mouillant) A chemical that, when added to water, reduces its surface tension and improves its ability to penetrate crevices. [Friedman 1989] WICK (voir Mèche) Suppose a high-flash-point bulk liquid has a wick projecting from it. The wick can be any nonmelting porous material that the liquid is capable of wetting. The wick can consist of a bit of cloth, paper, cardboard, etc., that is in contact with the pool of liquid. (A discarded cigarette might simultaneously serve as a wick and an ignition source.) The liquid is drawn up the wick by surface tension (capillarity), and the wick becomes covered with a thin film of the liquid. (For example, immerse onr corner of a handkerchief in a glass of water and observe what happens.) If an ignition source is applied to the wick (such as a match to a candle wick), the thin film of liquid is heated rapidly to above its fire point and it ignites. As it burns, additional liquid is drawn up the wick and feeds the fire. Of course, such a fire is trivial in size. However, if this small fire is in contact with a large pool of high-flash-point liquid, its heat could eventually warm the liquid immediatly adjacent to it so that the fire would spread from the wick to a portion of the liquid, and ultimately grow to a large fire. [Friedman 1989] Wildfire. Any fire occurring on wildlands that is not meeting management objectives and thus requires a suppression response. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) Wildland Fire All fires that burn in wildlands, including wildfires and all prescribed fires. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) Wildland / Urban Interface. Areas where human communities are built in close proximity to flammable fuels found in wildlands. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) Wind Throw Trees blown over by high winds. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html) WORDS Investigators document their work with words. An investigator's choice of words is vital to the success of an investigation. Investigators must deal with concrete words that permit readers of their words to visualize what happened, rather than abstract words that hinder such visualization. For example, Hayakawa, in his book Language in Thought and Action points out that an object can be described at various levels of abstraction. His "ladder of abstraction" shows how a specific object, Bessie the Cow, can be described with increasing levels of abstraction, from Bessie - an object we can see and touch - to the word "cow" which is valid but not specific to Bessie, to increasingly generalized words, on up the ladder, such as hoofed species to mammal to animal to living creature. Each higher level further impedes the ability to visualize Bessie, the investigator's object of interest. Recognition that investigators must work at the bottom of the ladder of abstraction to develop their descriptions of occurrences is essential to all that follows. To work at the lowest, most concrete level of abstraction, investigators must describe what happened with specificity, so the description can be visualized. (Ludwig Benner, MES Guide 1, TASK GUIDANCE FOR DOCUMENTING EVENT BLOCKS, 1998) WWW (réseaux) - sigle de " World Wide Web " "Toile de la taille de l'univers" Nouveau protocole de serveurs spécifiques sur Internet permettant une unification des services pour en faire un système plus large (Cf gopher, FTP, archie, anonymous FTP). Ce service permet de diffuser de l'information sous forme de documents hypermédias placés sur des serveurs. Chaque document peut contenir du texte formaté (titres, caractères gras et italiques, etc...) et des images. Il peut également contenir des boutons et mots-sensibles qui donnent l'accès à des sons, des images et à d'autres documents hypermédias sur le même serveur ou sur un autre serveur dans l'Internet. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France) - XYZ XÉNON ...du grec "xenos", étranger. Appartient au groupe 18, celui des Gaz Rares. C'est un gaz inodore, incolore et généralement Inerte. Il est utilisé dans les lampes stroboscopiques, les tubes électroniques et les lampes destinées à exciter les lasers à rubis. (Ivan Noels) X-RAY DIFFRACTION An analytical technique used to identify crystalline solids by measuring the characteristic spaces between layers of atoms or molecules in a crystal. X-ray diffraction can be very useful in the identification of explosive residues. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) X-RAY FLUORESCENCE A spectromphotometric analytical technique used to identify crystalline solids by measuring the characteristic spaces between layers of atoms or molecules in a crystal. X-ray diffraction can be very useful in the identification of explosive residues. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) XYLENE Dimethylbenzene. An aromatic compound having the formula C6H4(CH3)2. Xylene is a major component of gasoline. A mixture of toluene and xylene is frequently used as an automotive paint thinner. Xylene is actually a mixture of three isomers, ortho, meta and para xylene, which have the methyl groups in different positions relative to each other on the benzene ring. The flash points of these isomers range from 81 to 115F, is used to calibrate flash point testers. The explosive limits of xylene are 1.0% to 7.0%. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee) ZINC ...de l'allemand "Zink", zinc. Appartient au Groupe 12. Ses minerais étaient déjà connus aux temps préhistoriques. Cassant à des températures ordinaires, le zinc devient malléable entre 100 et 150 °C. Assez bon conducteur de l'électricité, il brûle dans l'air quand il est chauffé au rouge et émet alors des nuages blancs de son oxyde. Il est utilisé abondamment dans des Alliages avec de nombreux autres métaux et aussi pour protéger par galvanisation le fer ou l'acier de la corrosion. Il est employé également par l'industrie pharmaceutique, celle des cosmétiques, l'industrie des plastiques, l'industrie textile et la production de pièces de monnaie. Le zinc est un élément essentiel de la croissance et de la maturation sexuelle des humains et des animaux. (Ivan Noels) ZINC Le zinc est un métal blanc bleuté de dureté moyenne. Il est cassant à la température ordinaire mais devient malléable et ductile entre 100 et 150°C [212 et 302°F] puis redevient cassant audessus de 150°. Le zinc s'oxyde à l'air humide et se recouvre d'un film rigide de carbonate basique de zinc Zn2CO3(OH)2 qui protège le métal de la corrosion ultérieure. Cette propriété est la base de l'emploi principal du zinc : la protection du fer contre la rouille. Le fil ou les feuilles de fer sont galvanisés en les plongeant dans du zinc fondu après les avoir décapés à l'acide sulfurique ou au jet de sable; dans ces conditions, il se dépose une mince couche adhérante de zinc sur le fer. Le fer galvanisé est quelquefois aussi obtenu par dépôt électrolytique de zinc sur les pièces de fer. Le sulfate de zinc ZnSO4.7H2O est employé comme désinfectant... [Pauling 1958] ZIRCONIUM ...de l'arabe "zargun", couleur d'or. Appartient au Groupe 4. Métal gris, le zirconium se trouve en abondance dans de nombreuses étoiles et météorites. Certaines formes de zirconium ont d'excellentes qualités en tant que pierres précieuses. Finement divisé, le métal peut s'enflammer à l'air, particulièrement à des températures élevées. Il résiste exceptionnement bien à la corrosion des Acides et des Bases communs, de l'eau de mer et d'autres Réactifs. Le zirconium est utilisé de façon extensive par l'industrie chimique, là où des agents corrosifs sont employés. Il est aussi utilisé en Alliage avec l'acier, pour la confection d'instruments chirurgicaux, dans les filaments de lampes, les aimants supraconducteurs et dans l'industrie des verres et des céramiques. (Ivan Noels)