10 AM Rule direct access] ACCIDENT

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10 AM Rule direct access] ACCIDENT
DÉFINITIONS DE TRAVAIL
DES TERMES ET PHÉNOMÈNES D'INCENDIE
COMPILATION PAR HUGUES CHICOINE 1991-2001
-A-
10 A.M. Rule
A fire policy advocated in the 1930s which stated that all fires would be extinguished by
10 a.m. on the morning following their ignition.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
ABSORPTION (absorbtion)
1) A mechanical phenomenon wherein one substance penetrates into the inner structure of
another, as in absorbent cotton or a sponge.
2) An optical phenomenon wherein atoms or molecules block or attenuate the transmission of a
beam of electromagnetic radiation. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental
Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ACCELERANT (accélérant)
Any material used to initiate or promote the spread of a fire. The most common accelerants are
flammable or combustible liquids. Whether a substance is an accelerant depends not on its
chemical structure, but on its use. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental
Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ACCEPTABLE RISK(risque acceptable, tolérable)
A risk judged to be outweighed by corresponding benefits or one that is of such a degree that it is
considered to pose minimal potential for adverse effects. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
ACCÈS À L'ISSUE
partie d'un moyen d'évacuation comprise dans une étendue de plancher et donnant accès à une
issue [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT,
(L.R.Q., c. S-3)]
ACCÈS DIRECT (informatique) [direct access]
Opération permettant d'obtenir le contenu de chaque enregistrement indépendamment des
autres. Il s'effectue dans n'importe quel ordre, indépendamment de la place qu'occupent, en
mémoire, les données recherchées. contraire : accès séquentiel. (Glossaire Formation et
Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
ACCESSIBLE (quand il s'agit de câblage)
(voir aussi à découvert) (voir aussi dissimulé)
.1 qui n'est pas recouvert en permanence, par la charpente ou la finition du bâtiment; et
.2 qui peut être enlevé sans modifier la charpente ou la finition du bâtiment. [CSA 22.10-1992]
ACCESS TO EXIT means that part of a means of egress within a floor area that provides access
to an exit serving the floor area. (Ontario Fire Code 1996)
ACCIDENT
An unplanned event, sometimes but not necessarily injurious or damaging, that interrupts an
activity. A chance occurrence arising from unknown causes; an unexpected happening due to
carelessness, ignorance, and the like. [NFPA 921 - 1992]
ACCIDENT
Événement fortuit, imprévu, extérieur à la victime et indépendant de sa volonté. Évènement fortuit
produisant un dommage corporel identifiable. Tout phénomène qui intervient fortuitement; tout
évènement soudain et imprévu. Événement lié à l'utilisation d'un aéronef, qui se produit entre le
moment où une personne monte à bord avec l'intention d'effectuer un vol et le moment où toutes
les personnes qui sont montées dans cette intention sont descendues, et au cours duquel : a) une
personne est mortellement ou grièvement blessée du fait qu'elle se trouve : - dans l'aéronef, ou en contact direct avec une partie quelconque de l'aéronef, y compris les parties qui s'en sont
détachées, ou - directement exposées au souffle des réacteurs, sauf s'il s'agit de lésions dues à
des causes naturelles, de blessures infligées à la personne par elle-même ou par d'autres ou de
blessures subies par un passager clandestin caché hors des zones auxquelles les passagers et
l'équipage ont normalement accès; ou b) l'aéronef subit des dommages ou une rupture
structurelle : - qui altèrent ses caractéristiques de résistance structurelle, de performances ou de
vol, et - qui normalement devraient nécessiter une réparation importante ou le remplacement de
l'élément endommagé, sauf s'il s'agit d'une panne de moteur ou d'avaries de moteur, lorsque les
dommages sont limités au moteur, à ses capotages ou à ses accessoires, ou encore de
dommages limités aux hélices, aux extrémités d'ailes, aux antennes, aux pneus, aux freins, aux
carénages, ou à de petites entailles ou perforations du revêtement; ou c) l'aéronef a disparu ou
est totalement inaccessible. è seule fin d'uniformiser les statistiques, l'OACI considère comme
blessure mortelle toute blessure entraînant la mort dans les 30 jours qui suivent la date de
l'accident. Un aéronef est considéré comme disparu lorsque les recherches officiel les ont pris fin
sans que l'épave ait été repérée. Toute atteinte corporelle, non intentionnelle, provenant de
l'action soudaine d'une cause extérieure. (Source : Termium 1994)
ACCRÉDITATION / accreditation
Procédure par laquelle un organisme ayant une autorité reconnaît formellement qu'un organisme,
entreprise ou individu est compétent. (Mouvement québécois de la qualité,
http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
ACETONE
The simplest ketone. A highly flammable, water soluble solvent. Flash point of 0F. Explosive limits
of 2.6% to 12.8%. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire
Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ACÉTYLÈNE
L'acétylène est un gaz incolore à odeur aliacée caractéristique. Il peut exploser si on le comprime
à l'état pur et on le conserve habituellement sous pression en solution dans l'acétone. On l'utilise
comme combustible dans le chalumeau oxyacétylénique et dans les lampes à acétylène. [Pauling
1958]
ACID
A hydrogen-containing corrosive material that reacts with water to produce hydrogen ions; a
proton donor. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
ACTION CORRECTIVE / corrective action
Action entreprise pour éliminer les causes d'une non-conformité ou d'un défaut afin d'empêcher
son renouvellement. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
ACTION PRÉVENTIVE / preventive action
Action entreprise pour éliminer les causes d'une non-conformité potentielle. (Mouvement
québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
ACUTE EFFECT
An adverse action on a human or animal, generally after a single significant exposure, which may
be mild or severe. (See Chronic Effect.) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMSState of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
ACUTE TOXICITY
Any harmful effect produced by a single short-term exposure that may result in severe biological
harm or death. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
Adaptation
An alteration in structure or function of a plant or animal that helps it change over the course of
successive generations in order to be better suited to live in its environment.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
À DÉCOUVERT (quand il s'agit de câblage)
Non dissimulé. [CSA 22.10-1992]
ADHÉRENCE DUE AU GEL
adhérence du sol humide à un élément de fondation par suite du gel [S-3, r.2, LOI SUR LA
SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
ADMINISTERING AGENCY
The designated unit of a county or city tasked to administer the local implementation of the State
and Federal hazardous material emergency planning and community right-to-know
programs. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
ADSORPTION
Process of adhering to a surface. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
ADSORPTION
The adherence of atoms, ions or molecules of a gas or liquid to the surface of another substance.
Finely divided or microporous materials having a large active surface area are strong adsorbents.
Examples include activated carbon, activated alumina and silica gel. (Glossary Of Terms Related
To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
Advanced Life Support
Advanced life support (ALS) is medical care provided by paramedics trained to assess a
patient's condition, administer drugs, defibrillate and provide advanced airway
management prior to transportation to the hospital. [email protected]
AÉROSOL
On appelle aérosol l'ensemble des très petites particules qui sont en suspension dans l'air. Ces
particules peuvent être liquides (brouillard) ou solides (fumées). Ce terme sert aussi couramment
pour désigner un contenant sous pression réalisant la dispersion des particules, comme par
exemple la bombe aérosol à peinture. L'inhalation est la voie la plus commune d'exposition à des
produits chimiques sous forme d'aérosol. Les aérosols peuvent aussi présenter un danger
d'incendie. (Canutec)
AÉROSOL INFLAMMABLE
En vertu du Règlement sur les produits contrôlés, Canada, un produit appartient à la catégorie
des aérosols inflammables s'il est emballé dans un contenant aérosol pouvant libérer une matière
inflammable. Les aérosols inflammables sont considérés dangereux parce que le produit vaporisé
peut prendre feu de façon explosive et transformer le contenant en torche. Il se peut aussi qu'un
retour de flamme se produise à partir d'un feu alimenté par l'aérosol inflammable. (Canutec)
AEROSOLS
Liquid droplets, or solid particles dispersed in air, that are of fine enough particle size (0.01 to 100
microns) to remain dispersed for a period of time. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
AFFECTATIONS À GRAND RISQUE (destination, usage des bâtiments)
1-7.4.2 [...] À grand risque (Groupe 1): comprend les affectations décrites en 1-7.4.1 où il se
trouve peu ou pas de liquides inflammables ou combustibles. (NFPA 13 - 1987, p.13)
A-1-7.4.1 [...] Les affectations à grand risque (groupe 1) comprennent les affectations telles que:
o
o
o
o
o
o
o
o
o
o
Fluides hydrauliques combustibles - endroits d'utilisation
o
Matriçage du métal blanc
o
Refilage de métal
o
Contreplaqués et panneaux d'agglomérés, (fabrication de)
o
Imprimeries (utilisant des encres dont le point d'éclair est inférieur à 100ºF /
38ºC
o
Caoutchouc - récupération, composition, séchage, laminage, vulcanisation
o
Scieries
o
Textile: cueillette, battage, ouverture, mélange, garnettage, cardage,
torsion du coton, des tissus synthétiques, de la laine d'effilochage ou de la toile
d'emballage
o
Rembourrage en plastique mousse (NFPA 13 - 1987, p.194)
1-7.4.2 [...] À grand risque (Groupe 2): comprend les affectations décrites en 1-7.4.1 où il se
trouve des quantités moyennes à importantes de liquides inflammables ou combustibles ou
lorsque des obstructions à l'arrosage des combustibles sont considérables. (NFPA 13 - 1987,
p.13-14)
Les affectations à grand risque (groupe 2) comprennent les affectations telles que;
o
o
o
o
o
o
o
o
Application par trempage du vernis et de la peinture
o
Dégraissage au solvant
o
Peintures par arrosage
o
Trempe à l'huile à découvert
o
Maisons mobiles ou unités modulaires de bâtiments (lorsqu'il y a des
pièces finies et que les intérieurs sont combustibles)
o
Pulvérisation de liquides inflammables
o
Saturation d'asphalte. (NFPA 13 - 1987, p.194)
AFTER ACTION REPORT -- A post incident analysis report generated by a responsible party or
responding agency after termination of a hazardous material incident describing actions taken,
materials involved, impacts, etc. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
AGENCY SPECIFIC PLAN
An emergency plan written by and addressing an individual agency's response actions,
capabilities and resources. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY
OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
AGENT nm (informatique) [agent]
Ressource logicielle autonome (soit dans une application, soit dans un système d'exploitation) qui
rend un service pour l'utilisateur ou pour le système. Dans le cas des systèmes d'exploitation on
parle également de démon. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail
ERFET, France)
AGENT DE TRANSFERT DE MESSAGE (informatique) [message transfert agent-MTA]
Entité logicielle dans un réseau qui assure l'acheminement des messages (selon la norme de
messagerie X400). voir : X400 (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de
travail ERFET, France)
AGENTS EXTINCTEURS
Ce terme désigne les différentes substances qu'on peut utiliser pour éteindre un feu en présence
du produit dont il est question. On trouve parmi les agents extincteurs courants l'eau, le dioxyde
de carbone, la poudre chimique, la mousse à l'alcool et les hydrocarbures hp gazeux (Halons). Il
est important de savoir quels agents extincteurs on peut utiliser sur les lieux de travail et de les
rendre disponibles. Il est aussi important de savoir quels sont les agents qu'il faut éviter d'utiliser,
car ceux-ci pourraient augmenter le danger. Si plusieurs substances sont présentes, il faut si
possible se procurer un extincteur qui convient à toutes. (Canutec)
AGENT MOUILLANT
Adjuvant tensio-actif dont la présence dans une préparation améliore l'étalement sur la face
traitée. Les mouillants diminuent la tension superficielle des gouttelettes, donc réduisent les
forces internes s'opposant à leur finesse de pulvérisation et à leur continuité d'étalement (surface
couverte). mouillant :NORME-AFNOR.
AGENT UTILISATEUR (informatique) [user agent-UA]
Entité logicielle sur la machine de l'utilisateur qui assure les fonctions d'interface utilisateur, de
transfert et de stockage des messages destinés ou émanant de l'utilisateur (selon la norme de
messagerie X400). voir : X400 (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de
travail ERFET, France)
AIRBORNE POLLUTANTS
Contaminants that are carried/released into the atmosphere or air. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
AIRE DE BÂTIMENT
la plus grande superficie horizontale, au-dessus du niveau du sol, mesurée entre les faces
extérieures de murs extérieurs, ou de la face extérieure d'un mur extérieur à l'axe d'un mur
coupe-feu, ou entre les axes de murs coupe-feu [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES
ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
AIR PURIFYING RESPIRATORS (APR)
Personal Protective Equipment; a breathing mask with specific chemical cartridges designed to
either filter particulates or absorb contaminants before they enter the worker's breathing zone.
They are intended to be used only in atmospheres where the chemical hazards and
concentrations are known. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY
OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
AIR PURIFYING RESPIRATOR (APR) - POWERED
An APR with a portable motor to force air through the filtering/purifying cartridges for use only in
atmospheres where the chemical hazards and concentrations are known. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
AIR-SUPPORTED STRUCTURE (structure gonflable) means a structure that consists of a pliable
membrane that achieves and maintains its shape and support by internal air pressure. (Ontario
Fire Code 1996)
ALARM
Any notification made to the fire department that a situation exists or may exist that requires a
response [une intervention]. [NFPA 901 1981]
ALARME
Signalisation d'incendie commandée par une personne ou par un dispositif automatique. Des
avertisseurs d'incendie ou postes téléphoniques, accessibles en permanence au personnel de
l'établissement et en particulier aux préposés effectuant les rondes, doivent être disposés de telle
façon, qu'un homme apercevant un foyer d'incendie n'ait à parcourir qu'une distance au plus
égale à 100 mètres pour pouvoir donner l'alarme et l'alerte. Organisation de l'alarme et de l'alerte
(...) L'alarme a pour objet de déclencher, dans le délai le plus court, l'intervention des secours
intérieurs et de donner l'alerte. L'alarme est donnée par un des premiers témoins, tandis que
l'alerte est déclenchée par le stationnaire. Renseignement ou signal sonore ou lumineux
indiquant qu'un incendie réel ou présumé nécessite l'évacuation des locaux et l'intervention du
personnel d'extinction. L'alarme-incendie a essentiellement pour objet de prévenir dans les délais
les plus courts le personnel du service d'incendie. L'alarme a pour objet de déclencher, dans le
délai le plus court, l'intervention des secours intérieurs et de donner l'alerte. L'alerte a pour objet
d'appeler immédiatement les secours extérieurs, les sapeurs-pompiers. L'alarme est donnée par
un des premiers témoins, tandis que l'alerte est déclenchée par le stationnaire. "Appel" : on
désigne par appel les messages dont procèdent l'alarme et l'alerte. Le responsable (personne ou
service) qui a reçu l'appel doit : déclencher immédiatement l'alarme en mettant en oeuvre les
dispositifs prévus sur place, dans le cadre des consignes d'incendie, et déclencher
immédiatement l'alerte (appel aux sapeurs-pompiers). En dehors des liaisons téléphoniques,
d'autres moyens matériels donnent l'alarme et l'alerte : les boutons d'alarme répartis dans les
locaux et reliés au standard; les avertisseurs d'incendie (avec bris de glace) reliés au standard de
l'établissement, et, dans certains cas, au centre de sapeurs-pompiers; les détecteurs
automatiques d'incendie, de gaz et de fumées qui déclenchent des signaux sonores et lumineux,
transmettent des messages préétablis, provoquent l'arrêt d'apareils ou de machines, déclenchent
des appareils automatiques d'extinction. (Source : Termium 1994)
ALARM SIGNAL means an audible signal transmitted throughout a zone or zones or throughout a
building to advise occupants that a fire emergency exists. (Ontario Fire Code 1996)
ALERTE
État de préparation caractérisé par les mesures prises pour une action offensive ou défensive.
Terme et définition uniformisés par le Comité de terminologie française du Conseil de doctrine et
de tactique de l'Armée de terre et normalisés par l'OTAN. Déclenchement d'un dispositif
préparatoire de sécurité. L'alarme a pour objet de déclencher, dans le délai le plus court,
l'intervention des secours intérieurs et de donner l'alerte. L'alerte a pour objet d'appeler
immédiatement les secours extérieurs, les sapeurs pompiers. (Source : Termium 1994)
ALERT SIGNAL means an audible signal to advise designated persons of a fire
emergency. (Ontario Fire Code 1996)
ALCOHOL
An organic compound having a hydroxyl (-OH) group attached. The lower molecular weight
alcohols, methanol (CH3OH), ethanol (C2H5OH), and propanol (C3H7OH) are water
soluble. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI
Forensic Science Committee)
ALGORITHME nm (informatique) [algorithm]
Séquence logique des opérations appropriées et des cheminements nécessaires à la résolution
d'un problème ou à la réalisation d'une tâche globale. Traduit en langage de programmation,
l'algorithme devient un programme. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de
travail ERFET, France)
ALIPHATIC
One of the main groups of hydrocarbons characterised by the straight or branched chain
arrangement of constituent atoms. Aliphatic hydrocarbons belong to three subgroups:
1. alkanes or paraffins, all of which are saturated and comparatively unreactive,
2. the alkenes or alkadienes which are unsaturated (containing double [C=C] bonds) and more
reactive, and
3. alkynes, such as acetylene (which contain a triple [C=C] bond). (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ALKALI
A hydroxide containing (-OH) corrosive material which is soluble in water, neutralizes acids, and
is irritating or destructive to tissue. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
ALKANE
An aliphatic hydrocarbon having the chemical formula CnH2n+2 A normal alkane, or n-alkane is
one which does not have a branched carbon backbone. An iso-alkane has a branched, rather
than a straight chain, carbon backbone. Alkanes are also known as paraffins. The simplest
alkanes are named as follows:
CH4 methane
C6H14 hexane
C2H6 ethane
C7H16 heptane
C3H8 propane
C8H18 octane
C4H10 butane
C9H20 nonane
C5H12 pentane
C10H22 decane
(Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic
Science Committee)
ALKENE
A straight chain, unsaturated compound of the olefin series which has the generic formula ...,
having at least one double [C=C] bond. (See Aliphatic). (Glossary Of Terms Related To Chemical
And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ALKYL GROUP
A functional group having the formula ... which may be attached to certain elements such as lead,
silicon, or to other organic chemicals. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental
Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ALKYNE
An unsaturated aliphatic hydrocarbon characterised by the presence of a triple [C=C] bond. The
generic formula for an alkyne is .... The most important member of this group is acetylene, HCCH,
the first member of the series. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental
Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ALLIAGE DE ZINC
alliage résistant à la corrosion, constitué de 0,15% de titane, 0,74% de cuivre, 99,11% de zinc [S3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q.,
c. S-3)]
ALLOY
A solid or liquid mixture of two or more metals, or of one or more metals with certain nonmetallic
elements, as in brass, bronze or carbon steel. (Glossary Of Terms Related To Chemical And
Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ALLUMETTE
Au XVIIIe siècle, on utilisait certaines méthodes chimiques pour produire de la flamme. Des
éclats de bois étaient enduits de doufre à une extrémité, et ils s'allumaient lorsqu'ils étaient mis
en contact avec du phosphore. D'autres innovations chimiques suivirent au début du XIXe siècle.
Les premières allumettes modernes firent leur apparition en 1805. Il s'agissait d'éclisses de bois
enduites à une extrémité de soufre sur lequel on ajoutait un mélange de chlorate de potassium,
de sucre et de gomme arabique, une combinaison qui s'enflammait lorsque plongée dans de
l'acide sulfurique. Les éclisses ainsi préparées et la fiole d'acide commencèrent à remplacer le
briquet à amadou bien connu. La première allumette à friction pratique apparut en 1827. Ces
allumettes modernes mesuraient environ 3 pouces de longueur (1 po. = 25,4 mm) et l'une de leur
extrémité était recouverte d'une substance composée de sulfure d'antimoine, de chlorate de
potassium, de gomme et d'amidon. Elles s'enflammaient lorsqu'on les passait dans un papier de
verre replié. La première allumette moderne à friction apparut en 1833. Elle était enduite à une
extrémité d'une substance similaire à celle décrite ci-haut, mais le bout était recouvert de
phosphore. En 1855, l'allumette de sûreté apparait sur le marché; elle ne s'enflammait que si elle
était frottée sur une surface particulière. Dans cette version de l'allumette à friction, le bouton de
l'allumette et la surface de frottement contenaient chacun une partie des composants inflamables
pour éviter l'allumage accidentel. [E.I. Woodhead, C. Sullivan, G. Gusset, Appareils d'éclairage,
Collection de référence nationale, Parcs Canada, Ottawa, 1984]
ALUMINIUM
Du latin "alumen", alun (un astringent). Appartient au groupe 13. Les anciens Grecs et les
Romains utilisaient l'alun en médecine et comme astringent. L'aluminium pur possède plusieurs
propriétés intéressantes. Il est léger, non-magnétique et ne provoque pas d'étincelles. Il est très
facilement travaillé. Pur, il manque de dureté mais ses alliages sont à la base des fuselages des
avions et des fusées. Bien qu'on le trouve en abondance dans la croûte terrestre, on ne le trouve
pas à l'état pur. On le raffine par électrolyse à partir de son minerai, la bauxite. Réduit en poudre,
il peut brûler violemment. Toxique pour la plupart des plantes, il a aussi été relié à la maladie
d'Alzheimer. Il s'accumule dans l'organisme. (Ivan Noels,[email protected])
AMBIENT
Pre-existing or normal environment. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental
Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
AMÉLIORATION DE LA QUALITÉ / quality improvement
Actions entreprises en vue d'augmenter l'efficacité et le rendement des processus et activités de
l'organisation. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
AMERICAN CONFERENCE OF GOVERNMENTAL INDUSTRIAL HYGIENISTS (ACGIH)
A professional society of persons responsible for full-time industrial hygiene programs, who are
employed by official governmental units. Its primary function is to encourage the interchange of
experience among governmental industrial hygienists, and to collect and make available
information of value to them. ACGIH promotes standards and techniques in industrial hygiene,
and coordinates governmental activities with community agencies. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
AMERICAN INDUSTRIAL HYGIENE ASSOCIATION (AIHA)
An organization of professionals trained in the recognition and control of health hazards and the
prevention of illness related thereto. It promotes the study and control of environmental factors
affecting the health of industrial workers, and provides information and communication services
pertaining to industrial hygiene. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
AMERICAN NATIONAL STANDARDS INSTITUTE (ANSI)
Serves as a clearing house for nationally coordinated voluntary safety, engineering and industrial
standards developed by industrial firms, trade associations, technical societies, consumer
organizations and government agencies. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
AMERICAN SOCIETY FOR TESTING AND MATERIALS (ASTM)
Establishes voluntary consensus standards for materials, products, systems and services.
Sponsors research projects, develops standard test methods, specifications and recommended
practices now in use. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
AMPLIFICATEUR nm (électronique, audio-visuel) [amplifier]
Dispositif électronique d'accroissement de la puissance d'un signal. (Glossaire Formation et
Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
AMPLITUDE nf (électronique, traitement du signal) [amplitude]
Grandeur physique caractérisant un signal ondulatoire et représentant les valeurs extrêmes
(crêtes) de ce signal ; par extension, la valeur du signal à un instant donné (Amplitude
Instantanée). Un signal vidéo peut être analogique (Glossaire Formation et Technologies, version
1.1, groupe de travail ERFET, France)
ANALOGIQUE adj (traitement du signal) [analogic]
Représente un signal présentant des varitions continues et pouvant prendre des valeurs
quelconques entre certaines limites. Les sons, la voix, les couleurs, tels que les perçoivent nos
sens, sont des entités analogiques. contraire : numérique. (Glossaire Formation et Technologies,
version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
ANALYSE
Révision indépendante visant à évaluer dans quelle mesure on a satisfait aux exigences, aux
prescriptions, aux produits de base, aux normes, aux procédures, aux directives, aux codes et
aux conditions contractuelles et d'autorisation. Par extension, décomposition de tout objet
assimilable à une tâche ou à un problème, en vue de sa réalisation ou de sa résolution.
Investigation méthodique d'un problème et décomposition de ce problème en unités de
dimensions réduites qui seront étudiées de façon détaillée et ultérieurement. (Source : Termium
1994)
ANALYSE DE LA VALEUR / value analysis
Méthode permettant d'améliorer la qualité d'un produit sans en augmenter le coût ou d'en
diminuer le coût sans en diminuer la qualité. Il vise donc à obtenir le meilleur rapport possible
entre la satisfaction des besoins des clients et le coût de fabrication du produit. (Mouvement
québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
ANALYSE DES MODES DE DÉFAILLANCE, DE LEURS EFFETS ET DE LEUR CRITICITÉ
(AMDEC) / Failure mode effect analysis(FMEA)
Étudier et maîtriser les risques de défaillance d'un produit, d'un processus ou d'un service afin
d'améliorer leur fiabilité. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
ANHYDROUS
Free from water, dry. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
ANSI
American National Standards Institute (USA)
ANTIDÉFLAGRANT (explosion-proof)
Enfermé dans une boite pouvant supporter sans dommage l'explosion d'un gaz ou d'une vapeur
spécifique [c-à-d identifiée] et empêcher les étincelles, les flammèches ou l'explosion du gaz ou
de la vapeur à l'intérieur de la boite d'allumer le gaz et la vapeurs environnants. [CSA 22.10-1992
/ (Code de l'électricité du Québec, 1987, p.30)]
APPAREILS D'ÉCLAIRAGE ÉLECTRIQUE
Historiquement, il y a trois façons de produire de la lumière à l'aide de l'électricité :
.1 par échauffement, jusqu'à incandescence, d'un corps conducteur. C'est le phénomène qui se
passe dans une ampoule électrique où le filament est chauffé à blanc lorsqu'il est parcouru par un
courant d'une intensité suffisante
.2 par échauffement de deux électrodes en graphite et ionisation de l'air compris entre elles. C'est
la lampe à arc, si fréquemment utilisée jusqu'au milieu du XXe siècle pour l'éclairage des rues
dans les grandes villes. Deux baguettes de graphite sont amenées en contact, sous un potentiel
suffisant. Au moment où l'étincelle jaillit, elles sont progressivement éloignées l'une de l'autre de
quelques millimètres et un arc lumineux éblouissant continue de jaillir. Lorsque les deux
électrodes sont d'abord mises en contact, la forte résistance qui existe entre elles provoque
l'incandescence de leur extrémité. Après la séparation, l'air, fortement ionisé (c'est-à-dire dont les
atomes deviennent chargés positivement ou négativement) devient lui-même conducteur et
permet ainsi aux électrons de continuer de passer en produisant un plasma lumineux
.3 par ionisation d'un gaz raréfié ou d'une vapeur contenue dans une ampoule ou un tube
transparent. Lorsque le courant traverse le gaz, dans certaines conditions, certains électrons de
ses atomes passent d'un niveau d'énergie à un autre en libérant des photons. Ce principe, mis en
application à une époque relativement récente, est celui des tubes fluorescents, de l'éclairage
publicitaire "au néon" et des lampes à décharges de type "flash" utilisées, par exemple, en
photographie et pour la signalisation. [Appareils d'éclairage, 1984]
APPLIANCEmeans a device to convert fuel into energy, and includes all components, controls,
wiring and piping required to be part of the device by the applicable standard referred to in this
Code. (Ontario Fire Code 1996)
APPLICATION nf (informatique)
Ensemble des fichiers, des programmes et des procédures de traitement conçus et organisés par
un utilisateur pour automatiser une de ses tâches. (Glossaire Formation et Technologies, version
1.1, groupe de travail ERFET, France)
APPRENTI nm (formation professionnelle)
Jeune ou adulte qui apprend un métier ou une technique sur un lieu de travail (Glossaire
Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
APPRENTISSAGE nm
1- (général): Processus qui permet l'évolution de la synthèse des savoirs et des habiletés d'une
personne.
2- (formation professionnelle): Le fait d'apprendre un métier manuel ou technique dans une école
ou chez un particulier.
3- (sc. de l'éducation/formation): Processus d'acquisition ou de changement, dynamique et
interne à une personne, laquelle, mue par le désir et la volonté de développement, construit de
nouvelles représentations explicatives cohérentes et durables de son réel à partir de la
perception de matériaux, de stimulations de son environnement, de l'interaction entre les
données internes et externes au sujet et d'une prise de conscience personnelle. (Glossaire
Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
APPROUVÉ
accepté par l'autorité compétente [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES
PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
APPROVED means approved by the Chief Fire Official. (Ontario Fire Code 1996)
A.N.S.I.
American National Standards Institute. ANSI. American Standards Association (ASA, ancien
nom). Organisme établissant des normes nationales sur une base consensuelle aux États-Unis.
Apparatus - means a motorized fire department vehicle including, but not restricted to, pumpers,
elevating devices, tankers, rescue vehicles and equipment vehicles. (OFM © 1999 Queen's
Printer for Ontario, 1999)
ARCHITECTmeans a member or licensee of the Ontario Association of Architects under the
Architects Act. (Ontario Fire Code 1996)
AREA OF ORIGIN (aire d'origine)
The room or area where the fire began (see also POINT OF ORIGIN). (NFPA 921 - 1992, Guide
for Fire and Explosion Investigations, National Fire Protection Association, Quincy, 1992)
AREA PLAN
A document established to facilitate emergency response to a release or threatened release of a
hazardous material within a city or county. (California Health and Safety Code, Section 25503,
Chapter 6.95) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
AREAS OF GREATEST DAMAGE (aire du foyer de l'incendie)
The purpose of determining the origin of the fire is to identify the geographical location where the
fire began. If the specific location where the heat source ignited the first fuel can be identified,
then the point of origin can be determined. The process to determine the origin involves the
identification of pertinent fire patterns, the documentation of these patterns, and thre analysis of
the patterns. The process always almost involves the plotting of fire movement from the areas of
least damage to the AREAS OF GREATEST DAMAGE. ... Such aspects as witness statements,
the investigator's past experiences, and fire fighting procedures play important roles in the
determination of the fire origin. [NFPA 921-1992, Guide for Fire and Explosion Investigations,
art.11-1, pp.86-87]
AREA OF ORIGIN (aire d'origine)
The use of the room or area within the property where the fire originated. [NFPA 901-1981]
ARGENT
Du latin "argentum", argent. Appartient au groupe 11. L'argent est relativement rare et coûteux.
On a la preuve que l'homme sait séparer le plomb et l'argent depuis au moins 5000 ans. L'argent
pur brille d'un éclat blanc métallique. Un peu plus dur que l'or, il est très ductile et malléable. De
tous les métaux, c'est lui qui possède la plus grande conductivité thermique et électrique. Il est
abondamment utilisé en photographie et en radiographie. L'argent est très toxique pour les
organismes inférieurs. L'ingestion de sels d'argent peut provoquer la mort. (Ivan
Noels,[email protected])
AROMATIC
An organic compound having as part of its structure a benzene ring. (See Benzene). The term
'aromatic' as used in the fragrance industry is used to describe essential oils, which are not
necessarily aromatic in the chemical sense. (Glossary Of Terms Related To Chemical And
Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ARROSEURS AUTOMATIQUES
L'équipe qui a pompé dans les raccords-pompiers devrait préparer un rapport détaillé faisant état
des ordres reçus, des lignes raccordées aux raccords-pompiers, la source d'approvisionnement
sollicitée, la pression maintenue, et la DURÉE PENDANT LAQUELLE ON A ALIMENTÉ LES
ARROSEURS. [NFPA 13E-1978]
ARROSEURS AUTOMATIQUES
Dans les considérations concernant les besoins en eau pour les lances d'incendie, on doit
réaliser que si les arroseurs automatiques fonctionnent bien on aura moins besoin de recourir aux
lances. Bien que ceci se vérifie généralement, on doit tout de même adopter un point de vue
réaliste eu égard à certaines incidences et à la quantité d'eau qui pourrait être requise pour
l'opération des lances dans des conditions défavorables (adverse conditions). Des lances
d'incendie peuvent en effet s'avérer nécessaires pour finaliser la suppression de l'incendie.
Toutefois, on doit retenir que la technologie des systèmes d'arroseurs automatiques est destinée
au contrôle de l'incendie et pas nécessairement à sa suppression. Dans l'évaluation des lances
d'incendie à mettre en batterie en fonction du débit nécessaire, on doit examiner certaines
possibilités, incluant la quantité d'eau requise pour procéder à l'extinction complète et le déblai, et
les mesures à mettre en oeuvre au cas où les arroseurs ne feraient que retarder la propagation
du feu sans être pleinement efficace pour le contrôler et l'éteindre. [NFPA Handbook 1991, 5-169]
...Dans cette perspective, les pompiers ont raison de ne pas accorder aux systèmes
automatiques de protection des vertus que les arroseurs n'auraient pas. Néanmoins, une partie
de la sécurité des intervenants repose sur l'alimentation du système automatique par l'extérieur
aux raccords-pompiers, pour l'attaque initiale qui doit tout de même avoir lieu.
La chaleur d'un incendie est émise sous 3 formes : la radiation, la conduction et la convection. On
a déterminé que le transfert par convection est le mode principal de déclenchement des
arroseurs. Le transfert par convection propage la chaleur par un médium circulant, c'est-à-dire,
dans le cas d'arroseurs, l'air de la pièce protégée. [NFPA Handbook 1991, Theory of Automatic
Sprinkler Performance, p.5-153]
...L'effet de l'arrivée de l'eau en gouttelettes dans une atmosphère surchauffée est décuplé
justement parce que l'eau arrive directement dans un milieu chaud - au-delà de 212°F / 100°C qui provoque sa vaporisation et, conséquemment, un abaissement quasi immédiat de la
température.
ARSENIC
Du grec "arsenikos", mâle ou masculin. Appartient au groupe 15. L'arsenic élémentaire se
présente sous deux espèces, l'arsenic jaune et le gris métallique qui ont des densités respectives
de 1.97 et 5.73. C'est un semi-métal (métalloïde) cristallin et très cassant. Il se ternit à l'air et
quand on le chauffe, il s'oxyde facilement pour donner des oxydes arsénieux qui ont une odeur
d'ail. Il passe de l'état solide à l'état gazeux par sublimation. Les anciennes civilisations grecque,
chinoise et égyptienne possédaient des mines d'où étaient extraits des composés d'arsenic. Bien
qu'il soit surtout connu du grand public pour son rôle dans des affaires d'empoisonnement, son
utilisation dans l'industrie des semi-conducteurs n'est pas négligeable. (Ivan Noels,
[email protected])
ARSON (incendiat)
The crime of intentionally setting fire to a building or other property. This is a legal definition which
may vary depending on the laws of a specific state.
ARSON TASK FORCE (ATF)
A group of individuals who convene to analyse, investigate, and solve the arson problem in a
particular region. Fire Cause Determination, International Fire Service Training Association IFSTA, Oklahoma State University, Stillwater, 1986
ASBESTOS (amiante)
A silicate of calcium or magnesium mineral, the friable form occurring in threadlike fibers;
noncombustible and a nonconductor of electricity; a known carcinogen. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
ASPHYXIANT
A vapor or gas which can cause unconsciousness or death by suffocation (lack of
oxygen). HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
ASSEMBLY OCCUPANCY (Group 'A') means the occupancy or the use of a building, or part
thereof, by a gathering of persons for civic, political, travel, religious, social, educational,
recreational or like purposes or for the consumption of food or drink. (Ontario Fire Code 1996)
ASSESSMENT (évaluation)
The process of determining the nature and degree of hazard of a hazardous material or
hazardous materials incident. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
ASSISTING AGENCIES
Any agency that assists the agency having jurisdiction at the scene of a hazardous materials
incident by providing a service or support not within the immediate responsibility or capability of
the agency having jurisdiction. (Sacramento Fire Department HMRT) HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
ASSURANCE DE LA QUALITÉ / quality assurance
Ensemble des actions préétablies et systématiques nécessaires pour donner la confiance
appropriée en ce qu'un produit ou service satisfasse aux exigences données relatives à la qualité.
- NF X 50 - 120 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
ASSUREURS
Autre trait distinctif de l'infraction d'incendie, elle est souvent commise afin d'escroquer sans trop
de mal les assureurs. (Le crime d'incendie, document de travail 36, Commission de réforme du
droit du Canada, Ottawa 1984)
ASYNCHRONE adj [asynchronous]
1- (télécommunications) Mode de transmission dans lequel l'instant d'émission de chaque unité
d'information est fixé arbitrairement par l'émetteur.
2- (communications) Communication où l'émission et la réception sont différées dans le temps.
voir : synchrone, isochrone. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail
ERFET, France)
ATMOSPHERE
The envelope of air surrounding the earth; also, the body of gases surrounding or comprising any
planet or other celestial body. Atmospheric pressure may be measured as weight per area. On
earth, normal air pressure at sea level is 14.7 pounds of weight per square inch, or 1033 grams of
weight per square centimeter. Expressed in more formal units of force per area, one atmosphere
is equal to 1,013,300 dynes/cm2. One million dynes per square centimeter has been set equal to
one bar, therefore one atmosphere is equal to 1.0133 bars. (Hydro Cut General Terminology
Resource Information)
ATMOSPHERIC STORAGE TANK means a storage tank that is designed to operate at pressures
from atmospheric to 3.5 kPa (gauge). (Ontario Fire Code 1996)
ATOM
The atom is the smallest unit of a chemical Element having the properties of that element. An
atom contains several kinds of particles. Its central core, the nucleus, consists of positively
charged particles, called Protons, and uncharged particles, called Neutrons. Surrounding the
nucleus and orbiting it are negatively charged particles, called Electrons. Each atom has an equal
number of protons and electrons. The nucleus occupies only a tiny fraction of an atom's volume
but contains almost all of its mass. Electrons in the outermost orbits determine the atom's
chemical and electrical properties. The number of protons in an atom's nucleus is called the
Atomic Number. All atoms of an element have the same atomic number and differ in atomic
number from atoms of other elements. The total number of protons and neutrons combined is the
atom's Mass Number. Atoms containing the same number of protons but different numbers of
neutrons are different forms, or Isotopes, of the same element. (Hydro Cut General Terminology
Resource Information)
ATOM The smallest unit of an element which still retains the chemical characteristics of that
element. An atom is made up of protons and neutrons in a nucleud surrounded by electrons. A
molecule of water (H20) consists of two atoms of hydrogen and one atom of oxygen. (Glossary Of
Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
ATOME
Du grec "a-tomos", "in-divisible". On définit généralement l'atome comme étant la plus petite
partie d'un élément possédant les propriétés chimiques de cet élément.
L'atome de n'importe quel élément comprend deux parties :

le noyau : il se trouve au centre de l'atome et en contient presque toute la masse. Il se
compose de :
a. particules positives, les protons (symbole "p")
b. particules neutres, les neutrons (symbole "n").
Note : Protons et neutrons ont la même masse de 1 unité atomique. La masse d'un proton est
égale à environ :
-24
1.672 x 10 g.

-
les électrons (symbole "e "), un système de particules négatives et
très légères, qui tournent autour du noyau et sont en nombre égal à celui
des protons, ce qui rend l'atome électriquement neutre.
Note : La masse d'un électron est environ 1840 fois plus faible que celle d'un proton.
Autrement dit, elle est négligeable.
Comme on le voit ci-dessus, le diamètre de l'atome est environ 10 000 (mais cela peut
aller jusqu'à 100 000`) fois plus grand que celui de son noyau, ce qui implique que la plus
grande partie de l'atome est constituée de VIDE ! Ainsi, si on représentait par une orange
le noyau d'un atome de zinc, ses électrons périphériques tourneraient à 5 km de son
centre. Cette notion est importante pour comprendre l'énorme masse volumique de
certaines étoiles.
Masse et numéro atomique: La masse atomique correspond à la somme des protons et
12
des neutrons, elle s'inscrit en haut et à gauche du symbole. Ex. : C. Elle varie selon les
isotopes de l'élément. Le numéro atomique corespond au nombre des protons (et des
électrons de l'atome neutre), il s'inscrit en bas et à gauche du symbole. Ex. : 6C. La
différence entre la masse et le numéro atomiques donne donc le nombre des neutrons.
Couches électroniques : Les électrons orbitent autour du noyau sur plusieurs couches
électroniques. Le nombre de couches est limité à sept et on les désigne par les lettres K,
L, M, N, O, P et Q. Elles correspondent aux rangées ou périodes du tableau périodique.
Les électrons se placent d'abord sur les couches proches du noyau et en nombre bien
déterminé sur chaque couche. Le nombre MAXIMUM d'électrons par couche est de : 2
pour K, 8 pour L, 18 pour M, 32 pour N, 32 pour O, 18 pour P et 8 pour Q.
Remarquons que les gaz rares comme le néon ou l'argon, qui ne réagissent pas ou peu avec les
autres éléments, ont tous 8 électrons sur leur dernière couche et que les éléments qui suivent
chaque gaz rare ont une couche électronique supplémentaire. Cette règle s'applique aussi à
l'hélium si l'on considère que son unique couche ne peut contenir plus que deux électrons. Il
semble donc qu'avoir 8 électrons sur la dernière couche représente un état de stabilité
souhaitable pour les éléments. Ceci nous aidera à comprendre les liaisons ioniques et covalentes
entre les atomes ou groupes d'atomes. (professeur Mokeur : Ivan Noels,[email protected])
ATOMIC ABSORPTION
An analytical technique, used to determine the elemental composition and concentration of many
metals and other inorganic elements. The material being analysed, generally in solution, is
atomised, or broken up into individual atoms, usually by the action of extreme heat in a flame or
small furnace. The ability of the atomised material to absorb characteristic wavelengths of visible
or ultraviolet light is then measured using a spectrophotometer. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ATOMISE
1) To break down into discrete atoms, usually by the application of extreme heat, as in atomic
absorption,
2) To break a liquid into tiny droplets, as occurs in fuel injected engines or in the production of
aerosol sprays. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire
Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ATTENUATION
An adjustment of the signal amplifier response which results in the reduction of the electronic
signal. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI
Forensic Science Committee)
Attic Ladder
A ladder usually 8-10 feet long that usually can be folded so that the two beams touch each other.
Also called a scuttle hull or pencile ladder in some parts of the country. [email protected]
ATTIC SPACE means the space between the roof and the ceiling of thetop storey or between a
dwarf wall and a sloping roof. (Ontario Fire Code 1996)
AUDIOCONFÉRENCE nf (télécommunications) [audioconference]
Système de réunion téléphonique à plusieurs participants, possible sur des réseaux
téléphoniques numériques ou analogiques et permettant éventuellement la transmission d'autres
signaux tels que ceux de télécopie ou de téléécriture. Sur le réseau numérique (RNIS), il est
possible d'utiliser un mode audio amélioré. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1,
groupe de travail ERFET, France)
AUDIT QUALITÉ / quality audit
Examen méthodique et indépendant en vue de déterminer si les activités et résultats relatifs à la
qualité satisfont aux dispositions préétablies et si ces dispositions sont mises en oeuvre de façon
efficace et aptes à atteindre les objectifs. - NF X 50 - 120 (Mouvement québécois de la qualité,
http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
AUDITEUR QUALITÉ / quality auditor
Personne qualifiée pour effectuer des audits qualité. (Mouvement québécois de la qualité,
http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
AUTOCOMMUTATEUR nm (télécommunications) [Private Automatic Branch Exchange-PABX]
Système permettant la sélection automatique et temporaire d'une liaison entre deux points d'un
réseau téléphonique. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail
ERFET, France)
AUTODIDAXIE nf (formation)
L'autodidaxie est un type d'apprentissage accompli par l'individu sans qu'il soit aidé par une autre
personne ou par une institution (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de
travail ERFET, France)
AUTOFORMATION nf (formation)
L'autoformation désigne le processus par lequel l'apprenant détermine son itinéraire
d'apprentissage (rythme, contenu, temps de travail) de façon autonome et sans être en relation
avec un groupe structuré. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail
ERFET, France)
Automatic aid - response of fire companies from one or more other fire department, under written
agreement authorized by by-law, to provide protection, incorporating an interlocking automatic
response schedule between the fire departments such that responses are, in effect, those of a
single department. (OFM © 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
AUTONOMATION / Jidohka
Les équipements sont pourvus d'un mécanisme qui arrête automatiquement la production chaque
fois qu'une pièce défectueuse est produite. (Mouvement québécois de la qualité,
http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
AUTONOMIE nf (formation)
La capacité de l'apprenant à choisir et utiliser par lui-même les ressources mises à sa disposition
pour définir son projet, tracer son itinéraire de formation, s'approprier savoir et savoirfaire. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
AUTOSCOPIE VIDÉO nf (formation)
Analyse à finalité de formation qu'effectue l'individu ou le groupe dont l'activité a été enregistrée
au magnétoscope et qui voit se dérouler le film de cette activité. (Glossaire Formation et
Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
AUTORITÉ COMPÉTENTE
inspecteur chargé d'assurer l'exécution de la Loi sur la santé et la sécurité du travail (L.Q., 1979,
c. 63 [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT,
(L.R.Q., c. S-3)] après refonte: L.R.Q., c. S-2.1) ou de la Loi sur la sécurité dans les édifices
publics (L.R.Q., c. S-3) [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS,
CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
AUTORITÉ COMPÉTENTE (exemple d'une règlementation municipale, Ville de Sherbrooke)
À moins de déclaration contraire, expresse ou résultant du contexte de la disposition, les
expressions, termes et mots suivants ont, dans la présente section, le sens et l'application que
leur attribue le présent article :
L'expression "autorité compétente" désigne tout inspecteur de la Division de la prévention des
incendies nommé par le Conseil;
Sous-section X - Pouvoirs de l'autorité compétente
307. Pouvoirs de l'autorité compétente
Aux fins de l'application du présent règlement, l'autorité compétente peut :
1) visiter et examiner, dans l'exercice de ses fonctions, tant l'intérieur que l'extérieur des
bâtiments ou structures, afin d'adopter toute mesure préventive contre le feu ou jugée nécessaire
à la sécurité publique;
2) ordonner à tout propriétaire ou locataire de rectifier toute situation constituant une infraction au
présent règlement;
3) ordonner à tout propriétaire ou locataire de suspendre des travaux et activités qui
contreviennent au présent règlement ou qui sont dangereux;
4) ordonner qu'un essai soit fait sur un matériau, un dispositif, une méthode de construction ou un
élément fonctionnel et structural de construction;
5) exiger que le propriétaire ou locataire fournisse à ses frais une preuve suffisante qu'un
matériau, un dispositif de construction, une structure ou un bâtiment est conforme au présent
règlement;
6) révoquer ou refuser d'émettre un permis lorsque les essais mentionnés au paragraphe 4) ne se
révèlent pas satisfaisants ou que la preuve mentionnée au paragraphe 5) est insuffisante;
7) révoquer un permis s'il y a contravention au présent règlement ou aux conditions du permis;
8) exiger qu'une copie des plans et devis approuvés et du permis émis soit gardée sur la
propriété pour laquelle le permis a été émis;
9) exiger que le dossier des résultats d'essais commandés en vertu du paragraphe 4) soit gardé
sur la propriété pour laquelle le permis a été émis durant l'exécution des travaux ou pour une
période de temps qu'elle détermine et;
10) exiger que le placard attestant l'émission du permis soit affiché bien en vue sur la propriété
pour laquelle il est émis. (Modifié par art. 6 du règl. 340012) (Modifié par art. 3 du règl. 340013) (Ville de Sherbrooke)
AUTORITÉS COMPÉTENTES (Authority having Jurisdiction)
Signifie l'organisme, le bureau ou l'individu responsable de l'approbation d'un appareil, d'une
installation ou d'un procédé.
Remarque: L'expression autorités compétentes est utilisée dans les documents de la NFPA au
sens large puisque toutes les autorités compétentes et tous les organismes chargés de
l'approbation n'ont pas les mêmes responsabilités. Là où la sécurité publique est d'importance
primordiale, les autorités compétentes peuvent être un service fédéral, un service d'État, un
service local ou régional, ou un individu tel qu'un chef de service d'incendie, un commissaire des
incendies, un directeur de service de prévention-incendie, le ministère du Travail, le ministère de
la Santé, un responsable d'édifice, un inspecteur en électricité ou tout autre individu ayant un
statut d'autorité. Aux fins d'assurances, un service d'inspection des assurances, un service de
tarification ou tout autre représentant d'une compagnie díassurances peuvent être les autorités
compétentes. Dans le cas des installations pour le compte du gouvernement, le chef ou le
directeur du service peut être reconnu comme les autorités compétentes. (NFPA 13 - 1987, p.10)
AUTHORITY HAVING JURISDICTION
1) Provides for the position of Incident Commander/Scene Manager at the scene of a hazardous
materials incident occurring within their jurisdictional response boundaries. (Sacramento Fire
Department, 1990)
2) The organization, office, or individual responsible for approving the equipment, an installation,
or a procedure. (NFPA) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
AUTOIGNITION
A temperature is reached at which the rate of reaction is so rapid that deflagration occurs. (Hydro
Cut General Terminology Resource Information)
AUTOMATIC
As applied to fire protection devices, a device or system providing an emergency function without
the necessity of human intervention. [NFPA 901-1981]
AVERAGE BURNING RATE
The arithmetic mean (statistical average) burning rate of pyrotechnic or propellants at specific
pressures and temperatures. (Hydro Cut General Terminology Resource Information)
AVERTISSEUR
avertisseur d'incendie : appareil public ou privé à manoeuvre manuelle permettant d'alerter un
poste de secours contre l'incendie avec localisation automatique du point d'appel.
"avertisseur d'incendie" : Appareil destiné à transmettre un appel au poste de pompier en cas
d'incendie et qui indique à ceux-ci l'endroit d'où part le signal.
En dehors des liaisons téléphoniques, d'autres moyens matériels donnent l'alarme et l'alerte: les
boutons d'alarme répartis dans les locaux et reliés au standard; les avertisseurs d'incendie (avec
bris de glace) reliés au standard de l'établissement, et, dans certains cas, au centre de sapeurspompiers;
Il ne semble pas exister, en français, de terme spécifique pour désigner l'avertisseur actionné à
l'aide d'un levier, par bris de glace ou que l'on ouvre à l'aide d'une clé. On pourrait peut-être
proposer, si cette précision était absolument nécessaire, "poste manuel d'alarme-incendie", ou
"borne d'alarme-incendie" (à levier, à bris de glace ou fermé à clé).
avertisseur automatique d'incendie : Appareil destiné à actionner électriquement un dispositif
d'alarme sous l'influence de phénomènes qui se produisent à l'apparition d'un incendie.
Appareil à manoeuvre automatique ou manuelle, situé dans une propriété privée et permettant de
signaler un incendie dans l'enceinte de cette propriété.
Avertisseur se trouvant à l'intérieur d'un bâtiment et dont l'usage est réservé au personnel s'y
trouvant. Moyens d'alerte (...) Elle peut être réalisée par: (...) les avertisseurs d'incendie (...) reliés
directement au centre de secours, publics, sur la voie publique, privés, c'est-à-dire ceux qui sont
placés à l'intérieur de certains établissements publics ou privés; les transmetteurs automatiques
d'alarme reliant une installation de détection au centre de secours. (Source : Termium 1994)
AZEOTROPE
A mixture of two or more compounds which has a constant boiling point. The composition of the
vapour above the azeotropic mixture has the same relative concentrations of compounds as does
the boiling liquid. Azeotropic mixtures cannot be separated by fractional distillation. (Glossary Of
Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
AZOTE
Du grec "alpha", sans et "zôê", vie. Appartient au groupe 15. Son symbole vient du grec "nitron",
nitre (nitrate de potassium) et "gennân", engendrer. En volume, l'azote constitue environ 78 % de
l'atmosphère. C'est un gaz incolore, inodore et généralement inerte. A l'état liquide, il ressemble à
l'eau. Mélangé à l'oxygène et soumis à des étincelles électriques, il forme de l'oxyde nitrique et
ensuite du dioxyde. En présence de catalyseur et chauffé sous pression avec de l'hydrogène, il
forme de l'ammoniac. L'usage le plus important de l'azote est dans la production d'engrais,
d'explosifs et de produits de nettoyage. Composant essentiel des protéines et des acides
nucléiques, l'azote de l'atmosphère est "fixé" dans le sol par des bactéries vivant en symbiose
dans les racines de certaines plantes comme le trèfle, d'où l'importance de cette plante dans la
rotation des cultures. Certains de ses composés, comme les cyanures sont mortels à faible dose.
Les engrais à base d'azote sont une cause majeure de la pollution des cours d'eau et les oxydes
résultant de la combustion sont responsables en partie de la formation des pluies acides. (Ivan
Noels, [email protected])
-BBackdraft
A backdraft occurs when oxygen-starved fire suddenly receives oxygen. The sudden rush of
oxygen causes all of the super-heated gases to ignite at the same time, which causes an
explosion. While the risk of such an occurance is low, a backdraft is almost always fatal to anyone
caught in it. [email protected]
Backfire
Fire set downwind along a fire break. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
BAKELITE
For its inventor, Leo Baekeland, a synthetic thermosetting phenol-formaldehyde resin with an
unusually wide variety of industrial applications ranging from billiard balls to electrical
insulation. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
BARRE OMNIBUS (bus bar )
Conducteur qui sert de connexion commune aux conducteurs correspondants de deux circuits ou
plus. [CSA 22.10-1992]
BASE (CHEMICAL)
A hydroxide containing (-OH) corrosive material that when in a water solution is bitter, more or
less irritating, or caustic to the skin. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
BASE (INCIDENT COMMAND SYSTEM)
Location at which additional equipment, apparatus, and personnel are assembled for primary
support of activities at the incident scene. The Command Post may be located at the "Base".
(NIIMS) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
Basic Life Support
Basic life support (BLS) is a level of care provided to patients requiring transportation to the
hospital. BLS does not include extensive medical supervision or treatment. [email protected]
BASEMENTmeans a storey or storeys of a building located below the first storey. (Ontario Fire
Code 1996)
BASSE TENSION
Tension entre 31 et 750 volts. [CSA 22.10-1992]
BÂTIMENT
Construction qui n'est pas en contact avec d'autres ou qui en est séparée au moyen de murs
coupe-feu pleins ou dont les ouvertures sont protégées par des portes coupe-feu
approuvées. [CSA 22.10-1992 / Code de l'électricité du Québec, 1987, p.31)]
BÂTIMENT
édifice public au sens de la Loi sur la sécurité dans les édifices publics ou établissement
industriel ou commercial au sens de la Loi sur la santé et la sécurité du travail [S-3, r.2, LOI SUR
LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
BENNER, Ludwig Ludwig Benner Jr. is an adjunct faculty member and Field Instructor for the
University of Southern California's Institute of Safety and Systems Management. He was with the
National Transportation Safety Board, as Chief of its Hazardous Materials Division. He directed
numerous accident investigations, studies, evaluations of safeguards and procedures in
hazardous materials transportation safety. He received his Chemical Engineering degree from
Carnegie Institute of Technology.He is a registered Professional Safety Engineer. He has testified
on safety matters before the U.S. Congress, and served on two Virginia Legislative Study
Commissions, National Academy of Sciences committees and panels, and on several Federal
agency safety projects and advisory groups. He is a Fellow of the System Safety Society.
BENZENE
Benzene (C6H6), colorless, flammable toxic liquid with a pleasant aromatic odor. A Hydrocarbon,
benzene is the parent substance of the Aromatic Compounds. It consists of an unusually stable
hexagonal ring of six carbon atoms, each of which is attached to a hydrogen atom. Derivative
compounds include toluene, phenol, and aniline. Obtained from coal tar and petroleum, benzene
and its derivatives are used in making dyes, drugs, and plastics. (Hydro Cut General Terminology
&Resource Information)
BENZENE
A hexagonal organic molecule having a carbon atom at each point of the hexagon and a
hydrogen atom attached to each carbon atom. Molecules which contain a benzene ring are
known as aromatic. Benzene boils at 80C and has a flash point of 12F (-11C). The explosive
limits are 1.5% to 8% by volume in air. (Glossary Of Terms Related To Chemical And
Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
BERNOULLI'S THEOREM (Théorème fondamental relatif à l'écoulement des fluides)
Beroulli's theorem expresses the physical law of conservation of energy applied to problems of
incompressible fluid flow. The theorem can be defined as follows: "In steady flow without friction,
the sum of the velocity head, pressure head, and elevation head is constant for any
incompressible fluid particle throughout its course." In other words, the total pressure (head) is the
same at all locations within the system. [NFPA Handbook 1991]
BIOHAZARD
Infectious agents presenting a risk or potential risk to living organisms, either directly through
infection or indirectly through disruption of the environment. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
Biological Diversity
The sum total of all living organisms and the interaction thereof.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
BLEU
Composés cuivriques. - L'ion cuivrique hydraté Cu(H2O)4++ est un ion légèrement bleu qui existe
dans les solutions aqueuses de sels cuivriques et dans quelques cristaux hydratés. Le sel
cuivrique le plus important est le sulfate de cuivre qui se présente sous forme de cristaux bleus
CuSO4.5H2O. Le cuivre métallique n'est pas suffisamment réactif pour déplacer l'ion hydrogène
des acides dilués et le cuivre ne se dissout pas dans les acides à moins que l'on soit en présence
d'un oxydant. Pourtant l'acide sulfurique concentré et chaud est lui-même un oxydant qui peut
dissoudre le métal; l'acide sulfurique dilué le dissout lentement aussi en présence d'air. [Pauling
1958]
BLEU
L'oxyde de carbone (CO) peut s'enflammer à 600°C (1112°F) dans une atmosphère d'oxygène et
brûle avec une flamme bleue. Il ne sera pas rare d'entendre des témoins ou des intervenants
rapporter leurs perceptions d'une flamme bleue...
B.L.E.V.E.
Boiling Liquid-Expanding Vapor Explosion. Can occur with a fire external to a railroad tank car, a
tank truck, or a drum of flammable liquid. [Friedman 1989]
B.L.E.V.E.
A BLEVE occurs when the temperature of the liquid and vapor within a confined tank or vessel is
raised, often by an external fire, to such a point that the increasing internal pressure of the
liquefied gas inside can no longer be contained and the vessel explodes. This rupture of the
confining vessel releases the pressurized liquid and allows it to vaporize almost instantaneously.
If the liquefied gas is a flammable such as propane, the large vapor cloud produced is almost
always ignited. Ignition usually occurs either from the original external fire that caused the BLEVE
or from some electrical or friction source created by the blast or schrapnel effect of the container
rupture. When the pressure within the cylinder exceeds a determined level, the relief valve is
designed to open allowing the gas pressure to be vented,thereby preventing or postponing the
rupture of the cylinder. Under extreme heat conditions, such as occur in a fire, the pressure within
the cylinder may increase too quickly to be fully vented by the relief valve and the cylinder may
explode. This is not always the case. Often, the open relief valve and open or heat-damaged
control valve will allow the pressurized gas to be expelled without the explosion of the cylinder
itself. (P.M. J. Kennedy, Explosion Investigation and Analysis, Investigations Institute, Chicago,
1990)
What is a BLEVE ? A BLEVE is a type of pressure-release explosion that occurs when liquefied
gases, which are stored in containers at temperatures above their boiling points, are exposed to
the atmosphere, causing rapid vaporization. This happens when a container fails. A BLEVE can
occur when flame impinges on the tank shell at a point or points above the liquid level of the
tank's contents, or when a tank shell is corroded or gouged. The heat from the fire causes the
metal to weaken and fail as the internal pressure increases, and liquid-to-vapor expansion
provides the energy that creates cracks in the container, causing the container to fail, and propels
pieces of the container outward. The result is the mixing of vapor and air that results in the
characteristic fireball that occurs when the fire ignites the vapor. During the process, the
container's pressure relief valve operates, creating a large vertical torch and a screaming
noise. (BLEVE KILLS TWO, Alisa Wolf, November / December 1998, NFPA Journal)
BLOW-OUT DISK
(Safety Diaphragm) A thin metal diaphragm used as a safety measure against excess gas
pressure. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
Bog
A poorly drained wet area containing floating water-soaked masses of plant life such as sedges,
heaths and sphagnum (a form of peat moss).
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
BOILER means an appliance intended to supply hot water or steam for space heating, processing
or power purposes. (Ontario Fire Code 1996)
BOILING LIQUID EXPANDING VAPOR EXPLOSION (BLEVE)
A container failure with a release of energy, often rapidly and violently, which is accompanied by a
release of gas to the atmosphere and propulsion of the container or container pieces due to an
overpressure rupture. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
BOILING POINT
Boiling point, the temperature at which a substance boils, or changes from a liquid to a vapor or
gas ( States Of Matter), through the formation and rise to the surface of bubbles of vapor within
the liquid. In a stricter sense, the boiling point of a liquid is the temperature at which its vapor
pressure is equal to the local atmospheric pressure. Decreasing (or increasing) the pressure of
the surrounding gases thus lowers (or raises) the boiling point of a liquid. The quantity of heat
necessary to change 1 g of any substance from liquid to gas at its boiling point is known as its
latent heat of vaporization. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
BOILOVER
A phenomenon that can occur during a fire over an open tank containing a blend of flammable
liquids, such as crude oil; water must be present at the bottom of the tank for boilover to
occur. [Friedman 1989]
BOIS IGNIFUGÉ
bois ou dérivé du bois imprégné de substances ignifuges [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ
DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
BOOM
A floating physical barrier serving as a continuous obstruction to the spread of a
contaminant. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
Booster Line
Booster line is a hose that is usually one inch in diameter and rubber jacketed. They are used on
small fires using the water carried in an apparatus' booster tank and are usually stored on reels.
Also referred to as a red line. [email protected]
Booster Tank
The tank on a pumper or quint that supplies booster lines and hand lines at a fire until a
connection with a water source can be made. The booster tank on most pumpers is between 5001,000 gallons. The tank on a quint is usually smaller, carrying only a couple of hundred gallons.
[email protected]
Box Alarm
A box alarm is the response to a report of fire or smoke inside or coming from a structure. Usually,
multiple companies are dispatched at the same time on a box alarm. Some departments have
Haz-Mat and Rescue Boxes for hazardous materials and rescue calls. The term box alarm
originates from the original pull boxes located on the street in many communities. A typical
structure box alarm would include two or more engine companies, one or more ladder companies,
a rescue company and a chief officer. [email protected]
BRANCHEMENT DU CONSOMMATEUR
Toute la partie de l'installation du consommateur à partir du coffret de branchement ou dispositif
équivalent jusqu'au point où le distributeur d'électricité fait le raccordement, y compris ce point.
[CSA 22.10-1992]
BRANCHEMENT DU DISTRIBUTEUR
Ensemble de conducteurs posés par un distributeur d'électricité entre ses fils principaux et le
branchement du consommateur. [CSA 22.10-1992]
BREAKTHROUGH TIME
The elapsed time between initial contact of the hazardous chemical with the outside surface of a
barrier, such as protective clothing material, and the time at which the chemical can be detected
at the inside surface of the material. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
BRIQUET
Du silex au fusil, en passant par le fer à feu, la route fut longue pour arriver juqu'à eux. Les
briquets, géniale invention du siècle des lumières, ont marqué d'une pierre grise l'histoire de
l'homme et du feu. Au plus fort de l'Occupation, alors que l'essence manquait, on a produit à
nouveau des briquets à amadou.
« Va chez la voisine, Je crois qu'elle y est, Car dans sa cuisine, On bat le briquet. » Ces quelques
vers d'un couplet enfantin font ressurgir une expression aujourd'hui tombée dans l'oubli : "battre
le briquet". Elle décrit pourtant la façon dont, autrefois, on utilisait ce fameux briquet qui n'avait
rien à voir avec ceux d'aujourd'hui.
Le maniement en était plus complexe : on tenait d'une main ferme un morceau de silex que l'on
frappait de l'autre main avec le « fer à feu ». L'étincelle jaillissait de ce choc et enflammait la
substance combustible maintenue à proximité. De ce geste est née l'expression que le Pierrot d'
"Au Clair de la Lune" a immortalisée. Le mot briquet n'apparaît lui-même que vers 1735, dérivé de
brique (du néerlandais bricke : brisures, à rapprocher du to break anglais, casser) et associé à
l'idée de morceau. Faisant référence à ce morceau de silex frappé sur un fer, il remplace alors le
mot fusil, pour désigner un petit instrument susceptible de donner du feu. La technique n'est pas
nouvelle. Dès la conquête du feu, nos ancêtres préhistoriques usent de deux solutions pour faire
jaillir la flamme. La première consiste à frotter longuement un morceau de bois pointu contre un
autre plus dur, le frottement faisant rougeoyer la pointe. L'autre méthode fait appel aux étincelles
provoquées par le choc de deux pyrites ou de deux silex l'un contre l'autre. Il suffit alors de
présenter un peu de mousse ou d'herbe séchée pour qu'elle s'enflamme.
Après l'apparition de l'acier (au XIIe s.), le système s'améliore : on frappe désormais le silex
contre une lame d'acier doux. Les plus communs de ces « fers à feu » sont de simples tiges
d'acier recourbées. Certains prévoient un espace où glisser les doigts. Aux herbes folles et autres
brindilles à enflammer, on préfère désormais l'amadou. C'est une matière sèche et spongieuse,
très inflammable, extraite d'un champignon du hêtre. Seul le corps interne de ce champignon
fournit la précieuse matière. Pour la garder bien au sec, on la remise dans des cornes à amadou.
Les plus belles ont été creusées et sculptées par les marins des XVIIe et XVIIIe siècles. Elles
sont en queue de lézards, de tatous, en ivoire ou en noix de coco. Il faut attendre 1830 pour que
l'amadou soit présenté en tresses, plus faciles à manier et résistant à l'humidité.
À la recherche de l'étincelle automatique
Dès le XVIIe siècle on essaie d'améliorer la production du feu en rendant automatique le geste
fastidieux de la friction du briquet sur la pierre. Briquets rotatifs et briquets à crémaillère
permettent alors la production répétée d'étincelles. Le briquet à percussion rappelle, quant à lui,
la mise à feu des armes. Il affecte d'ailleurs le plus souvent la forme d'un pistolet. Utilisé aux
XVIIe et XVIIIe siècles, l'étincelle est obtenue grâce à un chien, pièce coudée portant le silex, qui
vient frapper une pièce d'acier. L'étincelle produite enflamme l'amadou ou la poudre contenue
dans le bassinet. Inspirés de cette forme familière, de nombreux briquets par la suite ont fait
référence à ce fameux pistolet. L'un des plus célèbres a été créé par Dunhill dans les années 30
et a été fabriqué jusque dans les années 50. A la fin du XVIIIe siècle commence l'ère de la
chimie. Durant tout le siècle suivant, la technologie ayant le vent en poupe, on met au point divers
appareils compliqués destinés à produire la fameuse étincelle. C'est le briquet à piston du colonel
Grobert (1806), le briquet à hydrogène de Lorentz, le briquet à catalyse de Gay-Lussac (1823) ou
le briquet au phosphore de J.-F Derosne et du baron Gagniard de Latour (1816)... Mais tous ces
briquets restent assez expérimentaux. En revanche, le briquet électrique connaît une plus grande
destinée. Il fonctionne à l'origine avec une pile humide au bichromate de potassium dans laquelle
plongent deux électrodes. L'étincelle électrique produite par la pile enflamme une mèche imbibée
d'essence stockée dans un petit récipient latéral. En évoluant, ces briquets électriques prennent
des nouvelles formes : muraux, branchés sur une batterie extérieure, ils sont proposés aux
consommateurs des bistrots qui y allument leurs cigarettes ou aux ménagères qui les installent
dans les cuisines. A piles sèches, ils connaissent quelques succès dans les années 30.
Naissance d'une pierre précieuse
C'est un savant autrichien, Carl Auer von Melbach (1858-1929), qui est le père du briquet
moderne. Il observe qu'un alliage de fer et de cérium, métal gris découvert en 1814 par Berzilius,
produit des étincelles si on le frotte sur un morceau d'acier. Déposé en 1903 sous le nom de
métal Auer, cet alliage est bientôt produit industriellement. La première pierre à briquet est
inventée. Elle se généralisera tout au long de ce siècle.
Deux types de briquets naissent alors. Les briquets à friction et les briquets à molettes. Nommés
à allumette perpétuelle, les briquets à friction ont un fonctionnement très simple. A l'intérieur, on
trouve de la bourre de coton imbibée d'essence et un mince tube de cuivre protégeant une mèche
à essence. En tirant le tube et en frottant son extrémité d'acier sur la pierre fixée à l'extérieur du
briquet, on l'enflamme comme une allumette. Il suffit de remettre le tube dans sa cavité pour que
la flamme s'éteigne. Ces briquets en version de table ou de poche furent proposés jusque dans
les années 30. Certains modèles de table, d'origine autrichienne, sont tout à fait spectaculaires.
En plomb polychromé, ils représentent les sujets les plus divers, chevaux et cavaliers caracolant,
dame de cour... Les briquets à molettes sont également constitués d'un réservoir et d'une mèche.
Mais c'est le frottement de la molette d'acier sur la pierre qui, provoquant l'étincelle, enflamme la
mèche imbibée. Ils ont connu un grand essor dès le début du siècle. Les poilus de la guerre de 14
en fabriquèrent de nombreux exemplaires, à partir des douilles récupérées dans les tranchées.
Mais c'est au sortir de la guerre que l'industrie du briquet prend son véritable essor. Devant son
succès, les marques de luxe s'en emparent : Dunhill, à Londres, qui s'était déjà penché sur les
accessoires de l'automobile, propose au début des années 20 un briquet révolutionnaire. Pour
satisfaire les désirs d'un client qui avait perdu une main à la guerre, la célèbre firme met au point
un briquet qui s'allume d'un seul geste. D'autres marques s'imposent : Colibri en Angleterre,
Ronson aux USA, qui fait breveter le Banjo Ronson en 1928, Zippo en 1932... Flamidor, en
France, connaît dans les années 30 un grand développement qui se poursuit dès l'immédiat
après-guerre, lorsque la marque Flaminaire lance le briquet à gaz. C'est encore un produit de
petit luxe, mais la société de consommation n'a pas dit son dernier mot. Dans les années 60
apparaissent les premiers briquets jetables. La firme Dupont, jusque-là spécialisée dans le
briquet de luxe, lance le Cricket. Les briquets deviennent alors des objets éphémères, tout juste
bons parfois à servir de support publicitaire. (Corinne Glowacki, Art & Décoration n° 365)
BRITISH THERMAL UNIT (BTU)
British thermal unit (BTU), unit of energy required to raise the temperature of 1 lb of water by one
degree Fahrenheit (from 59.5° to 60.5°F). 1 BTU = 251.996 calories = 778.26 foot-pounds =
1054.8 joules. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information)
BTU
British Thermal Unit. The amount of heat energy required to raise the temperature of one pound
of water one degree Fahrenheit. This is the accepted standard for the comparison of heating
values of different fuels. One BTU equals 252 calories. (Glossary Of Terms Related To Chemical
And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
BROUILLARD
Gouttelettes de liquide qui se forment dans l'air lorsqu'un liquide est vaporisé ou giclé. Un
brouillard peut aussi se produire lorsque des vapeurs qui se condensent redeviennent liquides et
prennent la forme de gouttelettes dans l'air. (Voir aussi AÉROSOL.) (Canutec)
BUILDING
A structure enclosed with walls and a roof and having a defined height. [NFPA 901-1981]
BUILDING means any structure used or intended for supporting or sheltering any use or
occupancy. (Ontario Fire Code 1996)
BUILDING AREA means the greatest horizontal area of a building above grade within the outside
surface of exterior walls or within the outside surface of exterior walls and the centre line of
firewalls. (Ontario Fire Code 1996)
BUILDING CODE means the Ontario Building Code made under the Building Code Act or a
predecessor to that Act. (Ontario Fire Code 1996)
BUILDING FIRE
Any fire occuring inside or involving a building. A building fire may be a wastebasket fire, a
mattress fire, or a roof fire, whether or not structural members were actually involved. [NFPA 9011981]
BUILDING HEIGHT (in storeys) means the number of storeys contained between the roof and the
floor of the first storey. (Ontario Fire Code 1996)
BUREAU OF ALCOHOL, TOBACCO AND FIREARMS (ATF)
Enforces and administers firearms and explosive laws, as well as those covering the production,
use and distribution of alcohol and tobacco products. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
BURKE (TABLEAU DE processus d’enquête policière)
...sur la marche à suivre et le classement à l'intention des enquêteurs chargés de
résoudre les cas d'incendies suspects.
- Incendie
- Visite et examen des lieux
- Surveillance des lieux au besoin
- Recherche d'indices d'incendie volontaire
Réseaux d'incendiaires
1. Méthodes de travail
2. Surveillance
3. Activité clandestine
4. Dénonciateurs
5. Téléphotographie
6. Enregistrements magnétiques
7. Liste de suspects
8. Réseaux très actifs en période de marasme
9. Organisation déficiente
10. Tête dirigeante
11. Incendiaire à gages (torche)
12. Intermédiaire de l'incendiaire
13. Personne endettée (customer)
14. Réseaux limités à un groupe
15. Nota: il faut la collaboration active du procureur.
Moyens d'inflammation
1. Chandelles
2. Electricité
3. Moyens mécaniques
4. Produits chimiques
5. Allumettes, etc.
6. Autres types
Amorces de combustion
1. Déchets de coton
2. Chiffons
3. Papier
4. Liquides inflammables
5. Fibre d'emballage
6. Films de rebut
7. Autres types
Moyens d'activation
1. Essence
2. Kérosène
3. Térébenthine
4. Alcool
5. Diluant pour peinture
6. Conduites de gaz coupées ou débranchées
7. Autres types
- Echantillons pour analyse
- Rapport d'analyse
- Preuve que la matière est de provenance étran0gère
- Objets enlevés
- Valeur affective
- Diplômes, photos, bijoux de famille, etc
- Objets de prix
- Argent, bijoux, appareils-photo, polices d'assurance, fourrures, meubles, etc.
- Vérification des compartiments d'entrepôt, garages, granges, etc, du voisinage
- Vérification des débris d'objets métalliques, etc. déclarés perdus en vue de frauder
l'assureur
- Incendies distincts sans aucun lien
Mesure de la distance entre bâtiments sinistrés; élimination des causes d'incendie
volontaire; détermination du facteur humain.
Interrogation des témoins
Premier témoin de l'incendie
1. Nom et adresse
2. Moment de la découverte
3. Heure exacte
4. Parties de l'immeuble en feu
5. Vitesse de propagation du feu
6. Couleur des flammes
7. Couleur de la fumée
8. Explosion
9. Fait qui a attiré l'attention
10. Suspects...
11. Motif de leur présence
12. Autres questions pertinentes
Pompiers
1. Moment de l'alarme
2. Heure d'arrivée des secours
3. Importance du sinistre
4. Couleur des flammes et fumées
5. Odeurs au point d'origine
6. Sécurité du bâtiment à l'arrivée
7. Suspects
8. Disponibilité du propriétaire
9. Hypothèse sur le cause
10. Autres questions pertinentes
11. Nota: Il importe d'interroger les pompiers sans délai
Voisins
1. Moment où le feu a été aperçu
2. Couleur des flammes et fumées
3. Présence de suspects avant ou durant l'incendie
4. Renseignements généraux sur le propriétaire et les occupants du bâtiment sinistré
5. Personnes venues récemment sur les lieux
6. Autres questions pertinentes
7. Nota: L'affabilité donne les meilleurs résultats
Propriétaire et/ou occupant
1. Façon dont on l'a prévenu
2. Personne qui l'a prévenu
3. Moment où on l'a prévenu
4. Endroit où on l'a prévenu
5. Dernière personne qui a été dans l'immeuble 6. Personnes qui ont les clés, etc
7. Genre d'établissement
8. Polices d'assurance
9. Questions générales
10. Vérification des appels téléphoniques faits ou reçus
11. Nota: Poser les questions préliminaires sur un ton amical
Assurances
Vérification, auprès de l'évaluateur et de l'agent, des déclarations de l'assuré quant au
montants, etc.
1. Etablir le motif et l'occasion (occasion spéciale)
2. Distinguer le ou les principaux suspects
3. Chercher l'identité de celui ou de ceux qui ont mis le feu
Consultation d'experts au besoin
1. Photographe
2. Chimiste
3. Technicien des explosifs
4. Inspecteur en électricité
5. Inspecteur d'immeubles
6. Ingénieur en chauffage
7. Spécialiste des empreintes digitales
8. Dessinateur
Détermination du point d'origine
Rapport provisoire
1. Moment et emplacement du sinistre
2. Classe du bâtiment - Origine et importance de l'incendie - Renseignements sur les
assurances - Cause
3. Noms du propriétaire et des occupants
Classement de l'incendie
- Cause inconnue
Rapport
- Incendies involontaires
Facteur humain
1. Imprudence de fumeur
2. Négligence dans l'enlèvement ou la destruction des rebuts
3. Accumulation d'ordures
4. Flammèches d'incinérateur
5. Etincelles de cheminée
6. Escarbilles de locomotive
7. Fusibles d'un calibre trop élevé
8. Autres causes
Défectuosités
1. Installation électrique
2. Appareils électriques
3. Installation de chauffage
4. Cheminées
5. Foyer d'appartement
6. Poêles
7. Conduits de fumée
8. Fuites de gaz
9. Aspirateur de cuisinière
10. Cierges et bougies
11. Chandelles d'anniversaire
12. Lampes à l'huile
13. Décorations de Noël
14. Autres défectuosités
Causes naturelles
1. Foudre
2. Rayons solaires
3. Inflammation spontanée: chiffons gras, foin, sciure, etc.
4. Autres causes
Animaux
1. Animaux familiers qui renversent des lampes, des radiateurs portatifs, etc.
2. Perroquets, chiens, etc
3. Nota: Cas très rare
Si l'incendie a été provoqué par caprice ou insouciance, ou si le coupable a agi sans
égard au tort que sa négligence pouvait causer à autrui, la possibilité de poursuites doit
être envisagée; en tout cas, il faut demander qu'on remédie à la situation.
Incendie volontaire
Détermination du corps du délit
Adolescents
1. Acte délibéré et mal intentionné
2. Jeu avec des allumettes
1. Prise de contact avec le tribunal pour adolescents
2. Vérification des anciens dossiers
3. Obtention d'une déclaration
4. Reconstitution de la scène
5. Notification des parents
6. Poursuites judiciaires, s'il le faut
7. Rapport
Pyromanie
1. Vérification touchant les pyromanes notoires
2. Détermination de leurs méthodes: genre de bâtiment, heure, jour du mois, etc.
3. Surveillance du secteur ou du suspect
4. Attention aux alcooliques, chômeurs, membres de foyers malheureux, délinquants
sexuels, héros à la manque
5. Signalement aux pompiers des curieux trop assidus
6. Interrogation du principal suspect
7. Expertise graphologique
8. Déclarations et reconstitution de la scène
9. Poursuites judiciaires
10. Rapport
11. Nota: Le pyromane met habituellement le feu là où il est facile d'entrer et de sortir
Vérification des antécédents des suspects
Incendie motivé par la haine
Malveillance, colère, vengeance, préjugés raciaux et religieux
1. Interrogation de la victime
2. Disputes récentes ou autre désaccord
3. Ancienne inimitié
4. Subversion
5. A l'extérieur du bâtiment ou par effraction
6. Imagination du pyromane
7. Emploi d'explosifs par racisme ou fanatisme religieux
8. Protection du témoin contre les représailles (préjugés raciaux ou religieux)
9. Dépistage des groupes organisés
10. Interrogation du principal suspect
11. Expertise graphologique
12. Reconstitution de la scène
13. Consultation du procureur
14. Rapport à la cour
Incendies frauduleux
1. Feu d'établissement commercial
2. Feu de nouvel établissement
3. Incendie provoqué en collusion
4. Incendie provoqué par rivalité
1. Vérification des stocks et de la structure de l'entreprise
2. Besoin d'outillage neuf: locaux insuffisants, bâtiment condamné à la démolition,
majoration de la prime d'assurance, assurances excessives, valeur du terrain accrue par
la suppression des constructions, entreprise immobilisée par une succession ou
incapable de se procurer des matières premières pour reproduire un article démodé.
À qui profite le sinistre ?
3. Achat d'un bâtiment délabré pour le couvrir par une grosse assurance
4. Vérification des chèques, lettres de créanciers, impôts impayés, etc.
5. Comptes en banque à découvert, hypothèques sur biens meubles ou
immeubles, crédit, etc.
6. Durée d'existence de l'entreprise, noms des sociétés précédentes, noms de parents et
amis, habitudes du propriétaire (penchant pour l'alcool, le jeu, les femmes, etc.)
7. Faillites
8. Mésentente entre associés
9. Entreprise de construction cherchant peut0être de nouveaux marchés: vérifier si la
même société est chargée de la reconstruction après le sinistre, etc.
10. Suppression des concurrents dans la même branche d'industrie
11. Interrogation du principal suspect
12. Expertise graphologique des aveux et con0fessions
13. Les mensonges dits à l'enquêteur peuvent servir en cour
14. Rapport
Feu d'habitation
1. Vérification de la situation financière des occupants: dettes immobilières, achat à
tempérament, comptes d'épicerie, impôts, etc.
2. Nouveau lieu de travail
3. Autres raisons de déménager
4. Besoin de remplacer le mobilier
5. Nécessité de repeindre le logis
6. Feux de garde-robe parfois allumés par des femmes
7. Renseignements sur les assurances
8. Vérification des alibis
9. Détermination du principal suspect
10. Expertise graphologique
11. Fausses déclarations
12. Rapport à la cour
Feu d'automobile
1. Véhicules ayant besoin de réparations
2. Retard dans les mensualités
3. Moment où la voiture est déclarée volée 4. Complices
5. Vérification des alibis
6. Expertise graphologique
7. Assurance-incendie
8. Voiture dépouillée de ses accessoires
9. Rapport à la cour
Incendie allumé par le postulant d'un emploi
1. Dossiers du personnel de l'entreprise: demandes récentes en vue d'emplois de
gardien, de pompiers, etc.
2. Vérification des antécédents de tous les suspects
3. Détermination du principal suspect
4. Interrogation du principal suspect
5. Déclarations et reconstitution de la scène
6. Rapport à la cour
Incendies destinés à égarer les recherches de la justice criminelle
Meurtre
1. Obstacle à l'identification du cadavre
2. Destruction des preuves du meurtre
3. Dissimulation du cadavre
1. Autopsie
2. Identification du défunt
3. Interrogation des associés
4. Détermination des mobiles du meurtrier
5. Moment de la mort
6. Oxyde de carbone
7. Position du corps
8. Etat du corps
9. Effets personnels
10. Arme du crime
11. Recherche de témoins
12. Principal suspect
13. Interrogation
14. Expertise graphologique
15. Confession
16. Reconstitution du crime
17. Poursuites judiciaires
18. Rapport
1. Effraction
2. Détournement de fonds
3. Larcins
4. Destruction de dossiers
5. Autres délits
Cour
Preuves nécessaires
Incendie
1. Preuve que le feu a éclaté à tel moment et relève de la juridiction de la cour
2. Dossiers du service d'incendie
3. Premier témoin du sinistre
4. Description du bâtiment; propriétaire et occupant
5. Preuve de carbonisation exigée: le roussisse0ment ne suffit pas
Origine criminelle
1. Nécessité d'une preuve directe, matérielle ou circonstancielle, de l'intention criminelle
de l'inculpé
2. Elimination des causes accidentelles
3. Preuves touchant le corps du délit
4. Intention implicite
5. Intention explicite
Motifs
1. Très importants, mais non indispensables
2. Exemples: vengeance, fraude, mauvaise situation financière, etc.
3. Expertise d'évaluation établissant le montant excessif des assurances
4. Compétence de l'évaluateur
Culpabilité
1. L'authenticité du corps du délit démontrée, on peut citer tout fait ou toute circonstance
incriminant l'accusé
2. Occasion et exclusivité de l'occasion, etc.
3. Complice également coupable: ami, parent.
Signification des couleurs (code couleur des dossiers)
1. Enquête préliminaire bleu
2. Incendie volontaire rouge
3. Incendie de cause inconnue orangé
4. Incendie involontaire vert
5. Procédure judiciaire noir
BURNING
Normal combustion in which the oxident is molecular oxygen. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
BURNING RATE
The rate at which combustion proceeds across a fuel. A specialised use of this term, describes
the rate at which the surface of a pool or burning liquid recedes. For gasoline, this rate is reported
to be approximately º inch per minute. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental
Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
BURNING RATES OF LIQUID POOLS
A pool of burning liquid will burn at a more or less steady rate from shortly after ignition until the
liquid is consumed. To illustrate the magnitude of this rate, a pool of gasoline or mineral spirits 1
meter (3.3 feet) in diameter and 2.5 centimeter (1 inch) deep will be consumed in about 4
minutes. [Friedman 1989]
BURN PATTERN (géométrie de combustion)
Apparent and obvious design of burned material and the burning path of travel [voir aussi Vector Géométrie d'incendie] from a point of fire origin. [Fire Cause Determination, IFSTA 1986]
BUSINESS AND PERSONAL SERVICES OCCUPANCY (Group 'D') means the occupancy or
use of a building or part thereof for the transaction of business or the rendering or receiving of
professional or personal services. (Ontario Fire Code 1996)
BUSINESS PLAN
A written plan and inventory developed by a business for each facility, site, or branch that
provides emergency response guidelines for a release of hazardous materials meeting the
requirements of Health and Safety Code Section 25504. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
BUTANE
A fuel gas having the formula C4H10. A constituent of LP gas. One pound of liquid butane
produces 6.4 cubic feet of gas. One gallon of liquid butane weighs 4.87 pounds and produces 31
cubic feet of gas. One cubic foot of butane gas produces 3266 BTUs. (Glossary Of Terms Related
To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
-CCÂBLE nm [cable]
Support filaire de transmission. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de
travail ERFET, France)
CÂBLE COAXIAL [coaxial cable]
Câble de transmission bifiliare à conducteurs concentriques isolés par une gaine ; assure des
débits importants. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET,
France)
CAISSON
voir pilier [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU
BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
CALCIUM
Du latin "calx", chaux. Appartient au groupe 2. Les Romains savaient déjà préparer la chaux vive
(CaO) au 1er siècle de notre ère. Des textes datant d'environ mille ans indiquent que le plâtre de
Paris (CaSO4) était déjà utilisé pour la remise en place des os brisés. Présent en abondance
dans la croûte terrestre sous forme de composés, le calcium, de la famille des métaux alcalinoterreux, est de couleur argentée et relativement dur. Exposé à l'air, il se couvre rapidement d'une
couche blanche de nitrure. Il réagit avec l'eau et brûle avec une flamme d'un rouge jaunâtre. On
trouve le calcium principalement sous forme de calcaire, de marbre, et de gypse ainsi que dans
les stalagmites et les stalactites des grottes. Il est extrait du calcaire pour entrer dans la
composition du ciment de Portland. Le calcium est un élément essentiel des parois cellulaires,
des feuilles, des os, des dents et des coquilles. Il joue aussi un rôle dans la coagulation du
sang. (Ivan Noels,[email protected])
CALORIE
A calorie (cal) is a unit of energy required to raise the temperature of one gram of water one
degree Centigrade (from 14.5° to 15.5°C); 1 cal = 4.1840 joules. Nutritionists use the kilocalorie
(1,000 cal) to state the heat content of food. (Hydro Cut General Terminology &Resource
Information)
CALORIE
The amount of energy required to raise the temperature of one gram of water one degree
Centigrade. One calorie equals 0.004 BTUs. One BTU equals 252 calories. (Glossary Of Terms
Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
CANAL nm [channel]
Tout médium (câble, ondes,...) capable d'assurer un transfert d'informations entre 2 équipements.
(Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
CANALISATION
Tout canal conçu pour contenir des fils, des câbles ou des barres omnibus. À moins d'être qualifié
autrement dans les articles de ce Code, ce terme comprend les conduits (rigides et flexibles,
métalliques et non-métalliques), tubes électriques métalliques et non-métalliques, canalisations
de plancher, planchers cellulaires, moulures, canalisations d'appareils d'éclairage, goulottes
guide-fils, chemins de câbles, barres blindées et caniveaux auxiliaires. [CSA 22.10-1992]
CANADIAN TRANSPORT EMERGENCY CENTER (CANUTEC)
A 24 hour, government sponsored hot line for chemical emergencies. (The Canadian version of
CHEMTREC.) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
CANUTEC
Nom donné au Centre canadien d'urgence transport, Division du transport des marchandises
dangereuses, Transports Canada. CANUTEC fournit des renseignements et facilite les
communications en cas d'urgence en matière de transport des marchandises dangereuses. Le
service téléphonique de CANUTEC est ouvert 24 heures par jour toute l'année au numéro (613)
996-6666 (à frais virés au Canada). (Canutec)
CAPACITÉ PORTANTE
pression nette admissible sur le sol d'appui [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES
ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
CAPACITÉ DE TRANSMISSION (télécommunications) [throughput]
Débit maximal d'un canal, exprimé en bps (bits par seconde). (Glossaire Formation et
Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
CAPILLARITY
Capillarity or capillary action, phenomenon in which the surface of a liquid is elevated or
depressed when it comes in contact with a solid. The result depends on the outcome of two
opposing forces, Adhesion and Cohesion. Adhesion between glass and water causes the water to
rise along a glass wall until this force is balanced by the cohesive force acting to minimize the
liquid's surface area ( Surface Tension). When adhesion is less than cohesion, as with glass and
mercury, the surface is lowered. The upward flow of water in soil and in plants is partially caused
by capillarity. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information)
CAPILLARY
A narrow bore glass tube. Capillary column gas chromatography employs glass tubes having an
inside diameter of approximately .2 to .5 millimetres and a length of 3 to 300 metres. The walls of
a capillary column are coated with an adsorbent medium (a liquid phase in which the sample
dissolves). (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris,
IAAI Forensic Science Committee)
CARACTÉRISTIQUES ADMISSIBLES
propriétés du sol qui permettent d'établir sa capacité portante et le type de fondation à utiliser [S3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q.,
c. S-3)]
CARBON
Carbon is a nonmetallic element, known since ancient times. Pure carbon forms are amorphous
carbon (found in such sources as Charcoal, Coal, Coke, Lignite, and Peat) and the crystals
Graphite, a very soft, dark-gray or black, lustrous material, and Diamond, the hardest substance
known. Organic Chemistry is the study of carbon compounds. All living organisms contain carbon.
Carbon has seven isotopes; carbon-12 is the basis for Atomic Weights; carbon-14, with a half-life
of 5,730 years, is used to trace chemical reactions and to date geologic and archaeological
specimens (Dating). (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
CARBON
The element upon which all organic molecules are based. Carbon has an atomic weight of 12.00,
and occurs elementally in these forms: diamond, graphite and amorphous carbon such as coal or
carbon black. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris,
IAAI Forensic Science Committee)
CARBONACEOUS MATERIAL (matière organique)
A material that contains carbon. [Fire Cause Determination, IFSTA 1986]
CARBON DIOXIDE (CO2)
Carbon dioxide (CO2), chemical compound, occurring as a colorless, odorless, tasteless gas that
is about 1 1/2 times as dense as air under ordinary conditions. It does not burn and will not
support combustion of ordinary materials. Its weakly acidic aqueous solution is called Carbonic
Acid. The gas, easily liquefied by compression and cooling, provides the sparkle in carbonated
beverages. Solid carbon dioxide, or dry ice, is a refrigerant. Dough rises because of carbon
dioxide formed by the action of yeast and baking powder. Carbon dioxide is a raw material for
photosynthesis in green plants, and is a product of animal respiration and of the decay of organic
matter. Carbon dioxide occurs both free and combined in nature, and makes up about 1% of the
volume of dry air. It can cause death by suffocation if inhaled in large amounts. (Hydro Cut
General Terminology &Resource Information)
CARBON DIOXIDE
A molecule consisting of one atom of carbon and two atoms of oxygen which is a major
combustion product of the burning of organic materials. Carbon Dioxide (CO2) is the result of
complete combustion of carbon. In the gaseous form, CO2 is used as a fire extinguisher. In the
solid form, CO2 is known as dry ice. CO2 is heavier than air, with a vapour density if 1.53 (air =
1.00). (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI
Forensic Science Committee)
CARBON DISULFIDE
A highly flammable nonpetroleum solvent used for gas chromatography because of its relatively
low signal generated in a flame ionisation detector. Carbon disulfide has the formula CS2.
Reagent grade CS2 has an odour similar to rotten broccoli and can be ignited by contact with
boiling water. It burns with a blue flame, providing CO2 and SO2 (sulfur dioxide). The explosive
limits of CS2 are 1 to 50%. CS2 has a flash point of -22F. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
CARBONE
Du latin "carbo", charbon. Appartient au groupe 14. Sous forme de charbon de bois, de suie ou de
charbon, le carbone a été utilisé depuis la préhistoire. Sous forme de diamant, il est connu depuis
les temps les plus anciens. Alors que le graphite est l'un des matériaux les plus mous, le diamant
est le matériau le plus dur. Depuis quelques années, une nouvelle forme de molécule de carbone
a été découverte. Elle ressemble un peu à un ballon de football ou à un dôme géodésique et elle
intéresse beaucoup les chercheurs car on pense qu'elle pourrait être utilisée pour renfermer des
molécules de médicament. Le carbone est très répandu dans l'univers : on le trouve en
abondance dans les comètes, les étoiles et l'atmosphère de la plupart des planètes. C'est un
élément essentiel à la vie des plantes et des animaux et il est présent dans tous les composés
14
organiques. Un de ses isotopes, C est utilisé pour la datation des trouvailles archéologiques.
Les industries chimique et métallurgique utilisent de grandes quantités de carbone. Certains de
ses composés comme CO (monoxyde de carbone) et CN (ion cyanure) sont très toxiques, voire
mortels pour les mammifères. Les gaz organiques comme CH4 (méthane), C2H4 (éthylène) et
C2H2 (acéthylène) forment des mélanges explosifs avec l'air. (Ivan Noels,[email protected])
CARBON MONOXIDE (CO)
Carbon monoxide, chemical compound (CO), colorless, odorless, tasteless, extremely poisonous
gas that is less dense than air under ordinary conditions. It burns in air with a characteristic blue
flame, producing carbon dioxide. It is a component of the artificial fuels producer gas and water
gas. As a reducing agent, it removes oxygen from many compounds and is used in the reduction
of metals from ores. When air containing as little as 0.1% carbon monoxide by volume is inhaled,
the oxygen of hemoglobin is replaced by the carbon monoxide, resulting in fatal oxygen starvation
throughout the body. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
CARBON MONOXIDE
A gaseous molecule having the formula CO, which is the product of incomplete combustion of
organic materials. Carbon monoxide has an affinity for haemoglobin approximately 200 times
stronger than oxygens and is highly poisonous. CO is a flammable gas which burns with a blue
flame and has explosive limits of 12% to 75%. Carbon monoxide has approximately the same
vapour density as air, 0.97 air (air = 100). (Glossary Of Terms Related To Chemical And
Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
CARBON TETRACHLORIDE
A nonflammable liquid having the formula CC14, formerly used as a fire extinguisher, and still
used as a solvent and cleaning agent. Carbon tetrachloride boils at 77C. (Glossary Of Terms
Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
CARBOXYHEMOGLOBIN
A chemical compound resulting from the reaction of hemoglobin with carbon monoxide, after
which oxygen can no longer be transported by the hemoglobin. [Friedman 1989]
CARBOY
A container, usually encased in a protective basket or crate, used to ship hazardous materials,
particularly corrosives. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
CARBURANTS (véhicules automobiles)
Carburant
diesel
essence
éthanol (alcool de grain: maïs, canne à sucre)
gaz naturel liquéfié
méthanol (alcool de bois: toxique, corrosif)
Hydrogène liquide
gaz naturel comprimé
Densité d'énergie (BTU / litre)
35 620
29 025 à 33 245
23 000
19 390
14 900
8 970
7 650
[CAA - Québec, Journal de Québec, mardi 27 décembre 1994, p.99]
CARBURANT ET COMBURANT
Exposé approximatif mais néanmoins utilisable Les carburants et comburants élémentaires ---------------------------------------Voici la liste des éléments servant parfois ou souvent de carburant :
Nom
Hydrogène
Lithium
Bore
Carbone
Sodium
Magnésium
Aluminium
Phosphore
Soufre
Potassium
Fer
Symbole
H
Li
B
C
Na
Mg
Al
P
S
K
Fe
Numéro
1
3
5
6
11
12
13
15
16
19
26
Masse atomique
1
7
11
12
23
24
27
31
32
39
56
Voici la liste des éléments servant parfois ou souvent de comburant :
Nom
Oxygène
Fluor
Symbole
O
F
Numéro
8
9
Masse atomique
16
19
La règle du jeu est la suivante : si vous mélangez n'importe quel carburant avec n'importe quel
comburant, vous pourrez déclencher dans ce mélange un phénomène dit de "combustion". C'est
à dire une réaction chimique engendrant beaucoup de chaleur. Vous pourrez ainsi faire des
explosions, fabriquer de la chaleur, mettre des pistons en mouvement... A température ordinaire,
les éléments chimiques n'existent jamais à l'état d'atomes isolés. Ils sont toujours attachés
ensembles, par paires ou par paquets. [...] Note : rien n'est jamais exactement défini : on utilise
parfois du fer ou du zinc comme carburant, et du soufre comme COMBURANT. Dans de petits
moteurs fusée, par exemple. Ca ne donne pas beaucoup d'énergie, mais ça marche. (Source :
auteur inconnu, Internet)
CARNEAU
conduit qui amène à la cheminée les produits de combustion d'un appareil à foyer [S-3, r.2, LOI
SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
CASCADE SYSTEM
Several air cylinders attached in series to fill Self Contained Breathing Apparatus (SCBA)
bottles. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
CATASTROPHIC INCIDENT
An event that significantly exceeds the resources of a jurisdiction. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
CATEGORIZATION
To put into any of several fundamental and distinct classes to which entities or concepts belong; a
division within a system of classification. (Hydro Cut General Terminology & Resource
Information)
CAUSE D'INCENDIE
Celle-ci [la cause] est à rechercher dans un échauffement de la matière combustible qui se
décompose alors en donnant naissance à des vapeurs qui s'enflamment à une certaine
température. Sous l'effet d'une source auxiliaire de chaleur, d'un point chaud (flamme ou
étincelle), ou d'elle-même [la température]. La température à laquelle se produit l'inflammation
n'est pas la même dans les deux cas. (Jean GAYET, ABC de police scientifique, Bibliothèque
scientifique Payot, Paris, 1973)
CAUSE (seule cause possible)
Très souvent, lorsque le foyer exact de l'incendie est établi, la cause de l'incendie peut devenir
évidente car cette dernière est peut-être la seule possible dans le secteur étudié - C.W. Stickney,
Comment déterminer les causes d'incendies, Firemen Magazine, NFPA, Boston, 1960. [voir la
notion de "cause probable" dans un communiqué de presse concernant l'explosion de Warwick]
CAVITATION
cavitation *a *UNCONFIRMED cavitation *a *A VÉRIFIER
Dommage causé à un matériau par un liquide en mouvement accompagné de la formation et de
l'éclatement de bulles à la surface du métal. désamorçage : De l'air qui pénètre dans la
canalisation de retour de l'écumoire prive la pompe d'eau, entraînant la cavitation ou le
désamorçage de cette dernière.
cavitation erosion / érosion par cavitation / attaque par cavitation / corrosion par cavitation ((La))
cavitation provoque une érosion très active (...) qui a été l'objet de très nombreuses théories. (...)
Les phénomènes de fatigue des matériaux sous l'action des chocs qui peuvent se produire
jusqu'à des fréquences de 1 000 Hz (hertz) sont de loin les causes principales de l'érosion par
cavitation. Cette érosion impose la recherche d'un régime d'emploi des machines hydrauliques
évitant la cavitation. On peut conclure avec certitude que seuls des phénomènes d'origine
mécanique sont cause de l'érosion par cavitation et qu'en particulier les processus chimiques n'y
jouant aucun rôle, il est impropre de parler de corrosion par cavitation.
cavitation : Formation de cavités (de gaz) dans un liquide en mouvement.
cavitation: Formation de vide partiel dans un liquide dû à une séparation de constituants ou à un
départ de gaz, notamment par ultrasons mais plus fréquemment au sein d'un liquide en
mouvement, lorsque la pression dans le liquide devient inférieure à la tension de vapeur de celuici. (Source : Termium 1994)
CCC
Cleveland Closed Cup. Une méthode à vase fermé normalisée qui permet de déterminer les
points d'éclair. (Canutec)
CCHST
Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail. Le CCHST procure un service d'information
pour tout le Canada sur l'hygiène et la sécurité au travail. Il répond à des demandes de
renseignements particulières, produit des publications et offre un service de documentation
informatique accessible en direct (ligneCCINFO) ou au moyen d'un disque CD-ROM
(disqueCCINFO). (Canutec)
CEASE AND DESIST ORDER
Legal direction to stop any and all activities. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
CELLAR means a basement that is more than 50 per cent below grade. (Ontario Fire Code 1996)
CELLULOSE
A natural polymer (C6H10O5)n which is a principal constituent of cotton, wood and
paper. [Friedman 1989]
CELSIUS (CENTIGRADE) DEGREE C
The internationally used scale for measuring temperature, in which 100o is the boiling point of
water at sea level (1 atmosphere), and 0o is the freezing point. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
CERTIFICATION / certification
Procédure par laquelle une tierce partie donne une assurance écrite qu'un produit, un processus,
un service ou une entreprise est conforme aux exigences spécifiées. (Mouvement québécois de
la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
CFR
1) Crash, Fire, Rescue personnel; trained in aircraft fire fighting and rescue.
2) Code of Federal Regulations; enforced by Federal and State agencies and contain statutes for
the function of Federal government. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
CHAMBRE D'AIR
vide technique ou partie d'un générateur d'air chaud servant à la circulation de l'air [S-3, r.2, LOI
SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
CHANGE TRACKING METHOD
The Change Tracking Method uses the traditional method of difference to identify changes during
a process. CTM's primary value is in guiding the ' thinking ' required to trace the "change makers"
during the progression of the occurrence. (Ludwig Benner, MES Guide 4, TASK GUIDANCE FOR
DOCUMENTING CHANGE TRACKING METHOD, 1998)
CHAIN REACTION
The rapid reaction of a free atom or radical with another species, the products of which include 1
or more free atoms or radicals, which can undergo further rapid reactions. If more than 1 free
atom or radical is produced, a branching chain reaction results. [Friedman 1989]
CHAIN REACTION
A self-propagating chemical reaction in which activation of one molecule leads successfully to
activation of many others. Most, perhaps all, combustion reactions are of this kind. (Glossary Of
Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
CHALEUR
Mode de transfert d'énergie sous la forme d'énergie cinétique d'agitation moléculaire
désordonnée. Elle peut être échangée par un système avec le milieu environnant lors d'un
échauffement ou d'un refroidissement, d'un changement de volume ou de pression, d'un
changement d'état physique, d'une réaction chimique, etc. On évalue une quantité de chaleur Q
en joules ou en calories (1 cal = 4,1855 J) - Dictionnaire de la physique, Masson Eyrolles, 3e
édition, Paris, 1991 [DP 1991] .
CHALEUR
(Propagation de la) Voir : Chaleur rayonnante, Convection, Diffusion de la chaleur. [DP 1991]
CHALEURS DE COMBUSTION (Voir Heat of Combustion)
Les données thermochimiques des substances organiques sont habituellement obtenues
expérimentalement en faisant brûler ces substances dans l'oxygène et en mesurant la quantité de
chaleur dégagée. On trouvera ces chaleurs de combustion dans les Tables de Constantes . ... La
valeur du combustible, c'est-à-dire son pouvoir calorifique, est mesuré par cette chaleur de
combustion et le prix de ce combustible dépendra du résultat d'un tel essai. [Pauling 1958]
CHALEUR RAYONANTE
Ancien nom impropre du rayonnement infrarouge. Un corps chaud émet de l'énergie rayonnante,
qui ne devient chaleur que si elle est absorbée. [DP 1991]
CHANDELLE
La chandelle a été une forme d'éclairage artificiel pendant de nombreux siècles, et on l'utilise
encore de nos jours à l'occasion de cérémonies, à des fins décoratives et comme moyen
d'éclairage d'urgence. La chandelle est essentiellement une mèche entourée d'un combustible
rigide. Le combustible doit donc être à l'état solide. La cire de paraffine, d'abord extraite du
pétrole en 1850, fut utilisée dans la fabrication des chandelles vers 1854. La mèche est une partie
importante de la chandelle. Elle doit être incorporée au combustible selon des proportions et une
texture appropriées de manière à ne pas fournir trop ou trop peu de combustible à la flamme. Au
milieu du XIXe siècle, on apporta des améliorations à la chandelle : la mèche était maintenant
nattée ou tressée. L'un des fils qui la composait était plus tendu que les autres, de sorte que la
mèche avait tendance à se courber à mesure que la chandelle brûlait; la mèche s'inclinait d'un
côté, de sorte qu'elle se consumait dans la partie extérieure de la flamme. [Appareils d'éclairage,
1984]
CHAOTIQUE
Qualifie un phénomène de désordre apparaissant dans l'évolution de certains systèmes
dynamiques de nature très diverse. Exemple : la turbulence. [DP 1991]
CHAR (carbonisation)
Carbonaceous material formed by incomplete combustion of an organic material, comonly wood;
the remains of burned materials. [Fire Cause Determination, IFSTA 1986]
CHARCOAL
A nonvolatile residue obtained when organic matter, usually wood, is heated in the absence of air.
Largely pure Carbon, charcoal yields more heat per volume than wood. Charcoal obtained from
bones is called bone black or animal charcoal. Finely divided charcoal, with its porous structure,
efficiently filters the absorption of gases and of solids from solution. Charcoal is used in sugar
refining and in water and air purification. (Hydro Cut General Terminology &Resource
Information)
CHARGE DE CALCUL
charge qu'une fondation est destinée à transmettre au sol d'appui y compris son propre poids [S3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q.,
c. S-3)]
CHARGE COMBUSTIBLE
poids moyen, exprimé en livres par pieds carrés, des matières combustibles d'un local ou d'une
étendue de plancher [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE
DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
CHARGE PERMANENTE
poids total des éléments fixes et permanents d'un bâtiment [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ
DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
CHARGE D'OCCUPANTS
nombre de personnes pour lequel un bâtiment ou une partie de bâtiment est conçu [S-3, r.2, LOI
SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
CHECK means visual observation to ensure the device or system is in place and is not obviously
damaged or obstructed. (Ontario Fire Code 1996)
CHEF D'ÉTABLISSEMENT
chef d'établissement au sens de la Loi sur la santé et la sécurité du travail [S-3, r.2, LOI SUR LA
SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
CHEMICAL ABSTRACTS SERVICE (C.A.S) NUMBER
A numbering system assigned by the American Chemical Society often used by local and state
hazardous materials compliance legislation for tracking chemicals in the workplace and in the
community. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
CHEMICAL CHANGE
Rearrangement of the atoms, ions or radicals or one or more substances, resulting in the
formation of new substances, often having entirely different properties. Also known as a chemical
reaction. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI
Forensic Science Committee)
CHEMICAL MANUFACTURERS ASSOCIATION
The parent organization that operates CHEMTREC. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
CHEMICAL PROTECTIVE CLOTHING MATERIAL
Any material or combination of materials used in an item of clothing for the purpose of isolating
parts of the wearer's body from contact with a hazardous chemical. (NFPA 1991,1-3)
HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED
TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
CHEMICAL PROTECTIVE SUIT
Single or multi-piece garment constructed of chemical protective clothing materials designed and
configured to protect the wearer's torso, head, arms, legs, hands, and feet. (NFPA 1991, 1-3)
HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED
TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
Chemical Reaction
A change in the nature of a material or materials that can release energy in the form of light or
heat. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
CHEMICAL RESISTANCE
The ability to resist chemical attack. The attack is dependent on the method of test and its
severity is measured by determining the changes in physical properties. Time, temperature,
stress, and reagent may all be factors that affect the chemical resistance of a
material. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
CHEMICAL RESISTANT MATERIALS
Materials that are specifically designed to inhibit or resist the passage of chemicals into and
through the material by the processes of penetration, permeation or degradation. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
CHEMICAL TRANSPORTATION EMERGENCY CENTER (CHEMTREC)
The Chemical Transportation Center, operated by the Chemical Manufacturers' Association
(CMA), can provide information and technical assistance to emergency responders. (Phone
number: 1-800-424-9300) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY
OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
CHEMISTRY
A basic science concerned with
1. the structure and behaviour of atoms (elements);
2. the composition and properties of compounds;
3. the reactions that occur between substances and the resultant energy exchange and
4. the laws that unite these phenomena into a comprehensive system.
(Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic
Science Committee)
CHEMNET
A mutual aid network of chemical shippers and contractors. It is activated when a member shipper
cannot respond promptly to an incident involving chemicals. (Contact is made through
CHEMTREC.) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
CHEMTREC (2)
Chemical Transportation Emergency Centre. Centre national établi aux États-Unis par la
Chemical Manufacturers Association (CMA) pour fournir de l'information pertinente aux
particuliers en cas d'urgence concernant des produits chimiques donnés. CHEMTREC offre aux
organismes inscrits un service téléphonique sans frais 24 heures par jour en cas d'urgence
relative au transport des produits chimiques. (Canutec)
CHIEF FIRE OFFICIAL means the assistant to the Fire Marshal who is the Municipal Fire Chief or
a member or members of the fire department appointed by the Municipal Fire Chief under
Subsection 1.1.8. or a person appointed by the Fire Marshal under Subsection 1.1.8. (Ontario Fire
Code 1996)
CHIMIE (NOTIONS DE)
La connaissance des notions de chimie, en cela qu'elles se rapportent aux manifestations de la
combustion, constitue une clé importante pour la compréhension du feu. C'est le plus souvent la
chimie qui explique le mieux les manières dont l'énergie est engendrée dans une réaction en
chaine. Les définitions du FEU sont importantes, et on les associe généralement aux
représentations graphiques du TRIANGLE DU FEU et du TÉTRAHEDRE DU FEU. On référera
de nouveau à ces conventions, mais on les caractérisera dans une perspective propre à
l'investigation des incendies, comme suit:
- le triangle du feu sert à illustrer le processus de la combustion, eu égard strictement aux
éléments qui doivent se combiner pour amorcer un feu; il s'agit d'un combustible dans une forme
appropriée, de la chaleur en quantité suffisante, et de l'oxygène dans l'air
- (tétrahèdre du feu) l'ajout d'un quatrième côté à la figure fait état de la réaction en chaine du
processus, c'est-à-dire des changements d'ordre chimiques en présence d'un catalyseur (la
chaleur); au fur et à mesure de la décomposition, le processus se maintient jusqu'à son
interruption par:
.1 épuisement du combustible
.2 tarissement de l'oxygène
.3 dissipation et/ou absorbtion de la chaleur
.4 d'autres interventions agissant sur la réaction en chaine proprement dite (isoler le combustible
de l'air fait cesser la combustion mais n'abaisse pas la température du combustible; briser la
géométrie favorable à la distribution de l'air et aux effets de réverbération de la chaleur et de la
radiation; introduction d'une atmosphère inerte; ...)
Ces méthodes interviennent chacune à sa manière pour caractériser l'état des indices qu'on lira
ensuite dans le bâtiment sinistré.
Si l'on veut s'en tenir à la notion de combustion en cela qu'elle est effectivement un processus
d'oxydation, on peut dire qu'il y a deux types d'oxydation:
.1 l'oxydation directe des gaz, des liquides et des solides combustibles qui ne doivent pas subir la
décomposition ou la pyrolyse pour s'oxyder ou brûler (carbone, méthane, soufre, métaux)
.2 l'oxydation séquentielle des liquide ou solides combustibles qui subissent la pyrolyse (ou la
vaporisation) pour s'oxyder ou brûler.
La chimie du feu divise les matériaux en 3 groupes: les solides et les liquides, et les gaz.
Les notions associées à ces états de la matière sont:
POUR LES SOLIDES
.1 la pyrolyse (distillation sans oxydation)
.2 l'action pyrophorique (par l'action intermittente de la chaleur)
.3 la combustibilité des métaux
.4 la rapport de masse à surface
.5 la sublimation.
POUR LES LIQUIDES
.1 le poids spécifique
.2 la solubilité
.3 la miscibilité
.4 le point d'éclair
.5 la température d'ignition (auto-ignition par l'application de chaleur seulement)
.6 le point d'ébullition
.7 la plage d'inflammabilité
.8 la plage d'explosivité
.9 la stoechiométrie
.10 l'expansion explosive des vapeurs d'un liquide en ébullition (BLEVE)
.11 taux de combustion des liquides (en profondeur dans un contenant).
POUR LES GAZ
.1 la densité de vapeur
.2 les explosions de gaz utilisés comme combustibles.
Il vaut de connaitre la nature de l'énergie capable d'amorcer la combustion, mais il importe plus
encore, aux fins de l'investigation d'un incendie, d'en connaitre la source, la provenance, et le
mode de transfert. Parmi les sources de chaleur, ou phénomènes produisant la chaleur, il faut
énumérer:
.1 l'électricité
.2 la résistance électrique, l'arc, les étincelles de cette source.3 l'électricité statique
.4 une réaction chimique
.5 la solution, la décomposition
.6 la compression, l'échauffement adabiatique
.7 la foudre
.8 la combustion spontanée
.9 les surfaces chaudes
.10 la flamme nue
.11 le soleil
Le rôle et les effets de la chaleur, et ses trois modes de transfert.
L'oxygène.
Le développement d'un incendie (3 phases, incluant l'explosion de fumée).
L'étude de la chimie du feu doit aider l'investigateur à acquérir une meilleure perspective du feu et
de l'incendie, dans la mesure où il y intègre également les propriétés des matériaux. (Hughes
Chicoine TPI, CFEI CFII)
CHIMIE ORGANIQUE
La chimie organique est la chimie des composés du carbone. C'est un sujet extrêmement vaste
puisqu'environ un demi-million de composés organiques différents ont déjà été décrits dans la
littérature chimique. Beaucoup de ces substances furent extraites de la matière vivante, mais
beaucoup plus ont été synthétisées (fabriquées) par les chimistes au laboratoire. [Pauling 1958]
CHIMNEY means a primarily vertical shaft enclosing at least 1 flue for conducting flue gases to
the outdoors. (Ontario Fire Code 1996)
CHIMNEY EFFECT
The tendency of air or gas in a duct or other vertical passage to rise when heated due to its lower
density compared with that of surrounding air or gas. In buildings, the tendency toward
displacement caused (by the difference in temperature) of internal heated air by unheated outside
air due to the difference in density of outside and inside air. [ASHRAE Guide and Data Book
1963]
CHLOREP
The chlorine emergency plan, established by the Chlorine Institute, enables the nearest producer
of chlorine to respond to an incident involving chlorine. (Contact is made through
CHEMTREC.) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
CHLORINE KITS
Standardized kits commercially manufactured by contract with the Chlorine Institute to provide
equipment to control or stop leaks in chlorine cylinders, tanks, and transportation tank
cars.HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED
TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
CHROMATOGRAM
A series of peaks and valleys printed or written on a paper chart where each peak represents a
component or mixture of two or more unresolved components in a mixture separated by gas or
liquid chromatography. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of
Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
CHROMATOGRAPHY
A chemical separation procedure which separates compounds according to their affinity for an
adsorbent or absorbent material. Chromatography includes Thin Layer Chromatography (TLC),
Liquid Chromatography (LC), Gas Chromatography (GC), (sometimes called Gas Liquid
Chromatography or GLC) and High Performance Liquid Chromatography (HPLC). (Glossary Of
Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
CHROME
... du grec "chrôma", couleur. Appartient au groupe 6. C'est un métal gris-acier, luisant, dur et
capable d'être poli fortement. On le trouve sous forme de minerai, comme le plomb rouge de
Sibérie qui donne un pigment de qualité pour les peintures à l'huile. C'est sa présence qui colore
en vert les émeraudes et en rouge les rubis. On l'utilise pour durcir l'acier, pour rendre l'acier
inoxydable et en placage pour former une surface luisante et dure, empêchant la corrosion. C'est
un oligo-élément essentiel qui accroît l'efficacité de l'insuline et joue ainsi un rôle dans le
métabolisme du glucose. Tous ses composés sont fortement toxiques. (Yvan Noels)
CIRCONSTANCES
Au chapitre des éléments à retenir en temps opportun, on doit parfois examiner attentivement les
déclarations des témoins qui ne sont pas des intervenants, des bandes vidéo et des
photographies durant l'incendie et après l'incendie, afin de reconstituer le plus exactement
possible les circonstances de l'événement, en recoupant le tout avec les récits des pompiers (par
exemple, au cours d'interviews informelles). Cette approche constitue apparemment le segment
analytique du travail (analyse d'incendie), mais en vérité il s'agit du processus global par lequel la
recherche entreprise déterminera l'origine, la cause et la responsabilité du sinistre. Ce processus
inclura l'analyse de la principale défaillance ayant entraîné ce sinistre. Néanmoins, si l'analyse
d'incendie parvient à déterminer avec suffisamment de précision le foyer d'incendie, un bon
nombre d'hypothèses s'en trouvent automatiquement exclues. Dans le cas d'un incendie où il
s'avère que les témoignages des témoins et des pompiers montrent uniment que la fumée
s'échappait d'un bâtiment au sous-sol, au rez-de chaussée et à l'étage entre le moment de la
découverte de l'incendie et l'arrivée des pompiers à peine cinq minutes plus tard, on est porté à
penser que l'incendie s'est développé très rapidement. Il pourrait toutefois s'agir d'un incendie qui
a couvé longuement et qui s'est manifesté intensément. Dans les circonstances toutefois, les
gens d'expérience savent d'emblée que cette situation cache des dangers insoupçonnés, mais
surtout que le foyer d'incendie se trouve lui aussi caché. Il faut alors user de circonspection et
examiner plus attentivement les déclarations des témoins qui ont prétendu connaître la
localisation du foyer d'incendie. Il sera utile de noter la perspective de chaque intervenant
interviewé et la nature de ses observations pour constituer un portrait d'ensemble de la situation à
un moment donné dans le temps que l'on prendra soin de déterminer. (H. Chicoine, 1997)
CIRCUIT DE DÉRIVATION (ou DÉRIVATION)
Partie du câblage située entre le dernier dispositif de protection contre les surintensités du circuit
et la ou les sorties. [CSA 22.10 1992]
CIRCUIT NON-INCENDIAIRE (voir aussi Antidéflagrant)
Circuit dans lequel les étincelles ou l'échauffement susceptibles d'être produits en fonctionnement
normal ou lors du sectionnement, de la mise en court-circuit ou de la mise à la terre du câblage
auxiliaire ne peuvent causer l'allumage du gaz ou des vapeurs inflammables donnés. [CSA
22.10-1992]
CITERNE / réservoir (tank)
"citerne" : Grand conteneur fermé ou compartiment fermé à marchandises conçus pour contenir
des liquides, des gaz ou des solides en vrac. (Termium 1994)
CITERNE MOBILE / CITERNE PORTABLE / CITERNE AMOVIBLE / RÉSERVOIR PORTATIF
(mobile tank )
"citerne portable" : Citerne ne faisant pas partie intégrante d'un moyen de transport, qui est
conçue pour être chargée sur ou dans un véhicule ou un navire ou pour y être fixée da façon
temporaire, et qui est munie de palettes à patins, de supports ou d'accessoires pour en faciliter la
manutention par énergie mécanique. La présente définition exclut les citernes de wagon-citerne à
éléments multiples. [Source : Règlement concernant les marchandises dangereuses ainsi que la
manutention, la demande de transport et le transport des marchandises dangereuses.] Les
dispositions de l'appendice 3 [du Règlement] s'appliquent aux véhicules citernes et aux citernes
amovibles qui restent fixées solidement au véhicule routier (...) Citernes mobiles ("portable
tanks") et véhicules citernes routiers répondent aux recommandations (...) du code I.M.D.G. (...)
Citernes mobiles pour produits liquides. Il s'agit d'une citerne : a) non assujettie de façon
permanente à bord d'un navire (...) Le terme "citerne mobile", que l'on retrouve dans le
Règlement sur les produits contrôlés de la Loi sur des produits dangereux, nous paraît le meilleur.
Voir les définitions de "mobile", "portable" et "amovible" qui suivent. "mobile" : Qui peut être mû,
dont on peut changer la place ou la position. [P. ex.:] Pièce mobile d'une machine, d'un dispositif.
"amovible" : Qu'on peut enlever ou remettre à volonté. [P. ex.:] Imperméable à doublure amovible.
"portable" : Facile à porter (terme vieilli). "citerne amovible" : chemin de fer, route, navigation
intérieure (RTMD). (Termium 1994)
CLASSIFICATIONS
Class A fire : Fire in "ordinary" combustible solids. However, if a plastic readily melts in a fire, it
might be Class B rather than Class A.
Class B fire : Fire in flammable liquids, gases and greases.
Class C fire : Fire in energized electrical equipment.
Class D fire : Fire in combustible metals.
Class I liquid : A liquid with a flash point below 38°C (100°F).
Class II liquid : A liquid with a flash point between 38°C and 60°C (100 and 140°F).
Class III liquid : A liquid with a flash point above 60°C (140°F). [Friedman 1989]
CLASS A FIRE means a fire involving combustible materials such as wood, cloth and paper.
(Ontario Fire Code 1996)
CLASS B FIRE means a fire involving a flammable or combustible liquid, fat or grease. (Ontario
Fire Code 1996)
CLASS C FIRE means a fire involving energized electrical equipment. (Ontario Fire Code 1996)
CLASS D FIRE means a fire involving a combustible metal. (Ontario Fire Code 1996)
CLEANUP
Incident scene activities directed toward removing hazardous materials, contamination, debris,
damaged containers, tools, dirt, water, and road surfaces in accordance with proper and legal
standards, and returning the site to as near a normal state as existed prior to the incident.
(Sacramento Hazardous Materials Team) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
CLEANUP COMPANY (HAZARDOUS WASTE)
A commercial business entity available for hire to specifically remove, transport, and/or dispose of
hazardous wastes; and when appropriate, must meet California Highway Patrol and Department
of Toxic Substances Control requirements. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
CLEANUP OPERATION
An operation where hazardous substances are removed, contained, incinerated, neutralized,
stabilized, cleared up, or in any other manner processed or handled with the ultimate goal of
making the site safer for people or the environment. (8 CCR 5192(a)(3)) HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
CLOISON
mur intérieur non porteur dont la hauteur est celle de l'étage, ou moins [S-3, r.2, LOI SUR LA
SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
CLOISONNEMENT COUPE-FEU (voir closure)
élément de construction capable d'empêcher la propagation du feu[S-3, r.2, LOI SUR LA
SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
CLOSED CONTAINER means a container so sealed by means of a lid or other device that
neither liquid nor vapour will escape from it at ordinary temperatures. (Ontario Fire Code 1996)
CLOSURE means a device or assembly for closing an opening through a fire separation such as
a door, a shutter, wired glass or glass block and includes all components, such as hardware,
closing devices, frames and anchors. (Ontario Fire Code 1996)
CO (Coupelle Ouverte)
Méthode à coupelle ouverte (ou à vase ouvert) (Canutec)
COAL
A fuel substance of plant origin, composed largely of Carbon with varying amounts of mineral
matter. Coal belongs to a series of carbonaceous fuels that differ in the relative amounts of
moisture, volatile matter, and fixed carbon they contain; the most useful contain the largest
amounts of carbon and the smallest amounts of moisture and volatile matter. The highest grade
of coal is anthracite, or hard coal, which is nearly pure carbon and is used as a domestic fuel.
Bituminous coal, or soft coal, with a lower carbon content, is used as an industrial fuel and in
making Coke. Lignite and Peat are the lowest in carbon content. Large amounts of coal were
formed in the Carboniferous period of geological time (345 to 280 million years ago). It is thought
that great quantities of vegetable matter collected and underwent slow decomposition in swamps
similar to present-day peat bogs and in lagoons. The peat that formed was converted to lignite
and coal by metamorphism. The pressure of accumulated layers of overlying sediment and rock
forced out much of the volatile matter, leaving beds or seams of compact coal interstratified with
shales, clays, or sandstones. Higher grades of coal were produced where the stress was
greatest. Major U.S. coalfields are found in Appalachia, the Midwest, the Rocky Mt. region, and
along the Gulf Coast. The chief coal-producing countries of Europe are Germany, Britain, the
USSR, Poland, France, and Belgium. Valuable coal deposits also exist in China, India, South
Africa, and Australia. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
COBALT
... de l'allemand "kobalt", lutin. Appartient au groupe 9.
Les premières civilisations d'Egypte et de Mésopotamie utilisaient ses sels pour colorer les
poteries d'un bleu profond. C'est un métal de transition, cassant mais dur, avec des propriétés
magnétiques similaires à celles du fer. En petites quantités, ses sels sont essentiels pour de
nombreuses espèces. Le cobalt fait partie du noyau de la vitamine B12. Son isotope artificiel
60Co est utilisé en radiothérapie comme source de rayons gamma. Allié avec le fer, le nickel, le
cobalt et l'aluminium, il forme un alliage appelé Alnico, d'une puissance magnétique inusitée et
utilisé notamment dans les moteurs d'avions à réaction et dans les turbines à gaz. Ses sels sont
utilisés pour la coloration en bleu brillant de la porcelaine, du verre, des tuiles et des vernis. (Yvan
Noels)
CODE CANADIEN DE L'ÉLECTRICITÉ (CCE, norme CSA C22.1-1990)
© Association canadienne de normalisation - ACNOR/CSA
Par le décret 1674 - 91, le Gouvernement du Québec a adopté le Code canadien de l'électricité,
Première partie (seizième édition, soutitrée NORME DE SÉCURITÉ RELATIVE AUX
INSTALLATIONS ÉLECTRIQUES). Ce Code, modifié par un arrêté ministériel du ministère du
Travail, remplace la quinzième édition en vigueur depuis 1987 et entre en vigueur le 01 avril
1992. ... la seizième édition du Code canadien de l'électricité ... servira de base à l'application de
la Loi sur les installations électriques. Cette seizième édition du Code canadien de l'électricité
(CCE) a é approuvée par le Comité du Code canadien de l'électricité ... et par le Conseil
consultatif de sécurité électricité ... Les travaux préliminaires en vue de l'élaboration du Code
canadien de l'électricité ont débuté en 1920 (première publication en 1927)... La documentation
du NATIONAL ELECTRICAL CODE [NFPA] a constitué un apport précieux dans l'élaboration du
présent Code.
Objet : Ce Code a pour objet d'établir des normes de sécurité relatives à l'installation et à
l'entretien de l'appareillage électrique. Lors de son élaboration, on a tenu compte de la prévention
des risques d'incendie... La conformité à ce Code ainsi qu'un entretien adéquat assureront la
sécurité indispensable de l'installation. [Code de l'électricité du Québec 1992, Ministère du
Travail, Direction générale de la normalisation]
CODE
A set of rules and standards that have been adopted as mandatory regulations having the force
and effect of law. [NFPA 921 - 1992]
CONFIGURATION nf (informatique)
On appelle configuration l'ensemble des dispositifs qui sont combinées à un ordinateur : clavier,
écran vidéo, instrument de musique, disques magnétiques, etc. (Glossaire Formation et
Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
CONFORMITÉ / conformity
Satisfaction aux exigences spécifiées. (Mouvement québécois de la qualité,
http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
CONTRÔLE / inspection
Actions de mesurer, examiner, essayer, passer au calibre une ou plusieurs caractéristiques d'un
produit ou service et de les comparer aux exigences spécifiées en vue d'établir leur conformité. NF X 50 - 120 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
CONTRÔLE DE LA QUALITÉ TOTALE / total quality control (TQC)
Gestion de la qualité étendue à l'ensemble de l'entreprise dans toutes les activités, et pour
l'ensemble des fonctions et personnes. NF X 50 - 120 (Mouvement québécois de la qualité,
http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
CONTRÔLE STATISTIQUE DES PROCESSUS / statistical process control (SPC)
À partir de la vérification des produits, cette démarche sert à vérifier que les procédés de
fabrication soient capables de produire conformément aux spécifications du produit, à l'intérieur
des limites de tolérance fixées. (Mouvement québécois de la qualité,
http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
COÛT D'OBTENTION DE LA QUALITÉ / monitoring quality cost
C'est l'ensemble des coûts engagés par l'entreprise pour atteindre et assurer les niveaux de
qualité requis. NF EN 29004 (Mouvement québécois de la qualité,
http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
CNPI (adoption par une municipalité)
260.-Code national de prévention des incendies
Le Code national de prévention des incendies du Canada 1995 et ses amendements à ce jour
forment partie ingérante du présent règlement comme s'ils étaient ici récités au long et chacune
de ses dispositions, sauf celles expressément abrogées ou remplacées par la présente section,
s'appliquent à tout immeuble situé dans le territoire de la ville. Tout amendement audit Code fait
également partie intégrante du présent règlement à compter de la date que le Conseil
déterminera par résolution. (Règlement 3400 de la Ville de Sherbrooke)
COC
Cleveland Open Cup. Méthode normalisée de test à coupelle ouverte ou à vase ouvert
permettant de déterminer les points d'éclair. (Canutec)
COFFRET
Boitier de résistance mécanique appropriée, entièrement fabriqué de matériau incombustible et
résistant à l'absorption, destiné à un montage en surface ou en affleurement et muni d'un cadre,
d'une monture ou d'une autre garniture pour y suspendre des portes battantes. [CSA 22.10-1992]
COFFRET DE BRANCHEMENT
Ensemble approuvé constitué d'un coffret ou d'une boite en métal contenant les fusibles et
l'interrupteur de branchement ou un disjoncteur, et construit de façon à pouvoir être mis sous clef
ou scellé et à permettre la manipulation de l'interrupteur ou du disjoncteur lorsque le coffret de
branchement est fermé. [CSA 22.10-1992]
COKE
A hard, gray, porous fuel with a high Carbon content. It is the residue left when bituminous Coal is
heated in the absence of air. Coke is used in extracting metals from ores in the blast
furnace. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
COLD ZONE
The area outside of the Warm Zone. Equipment and personnel are not expected to become
contaminated in this area. This is the area where resources are assembled to support the
hazardous materials operation. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
COMBURANT, MATIÈRE COMBURANTE
Un comburant est une matière qui dégage facilement de l'oxygène et peut facilement oxyder une
autre matière. Des exemples de comburants sont l'oxygène, le chlore et les composés de
peroxyde. Ces substances chimiques alimentent le feu et sont très réactives. Le Règlement sur
les produits contrôlés, Canada, et la norme HAZCOM de l'OSHA aux États-Unis donnent des
critères spécifiques qui permettent de déterminer si une matière appartient à la catégorie des
comburants. (Canutec)
COMBUSTIBILITY
The ability of a substance to undergo rapid chemical combination with oxygen, with the evolution
of heat. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
COMBUSTIBLE (matière)
On dit qu'une matière est combustible lorsqu'elle peut prendre feu et brûler. Cependant, plusieurs
administrations donnent au terme combustible le sens particulier qui lui est accordé par définition
dans leurs règlements. Les termes combustible et inflammable décrivent tous deux des matières
qui peuvent brûler. En général, les matières combustibles prennent feu moins facilement que les
matières inflammables. (Canutec)
COMBUSTIBLE (matériau)
se dit d'un matériau qui s'enflamme ou qui cause une augmentation de température de plus de
65F (18,3C) dans le four d'essai, lorsqu'il est soumis à l'essai, selon la norme ACNOR B 54.11972 Determination of Noncombustibility in Building Materials [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ
DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
COMBUSTIBLE CONSTRUCTION means that type of construction that does not meet the
requirements for noncombustible construction. (Ontario Fire Code 1996)
COMBUSTIBLE DUST means dust and particles ignitable and liable to explode when mixed with
air. (Ontario Fire Code 1996)
COMBUSTIBLE FIBRES means finely divided combustible vegetable or animal fibres and thin
sheets or flakes of such materials that in a loose, unbaled condition present a flash fire hazard,
and includes cotton, wool, hemp, sisal, jute, kapok, paper and cloth. (Ontario Fire Code 1996)
COMBUSTIBLE LIQUID means any liquid having a flash point at or above 37.8oC and below
93.3oC. (Ontario Fire Code 1996)
COMBUSTIBLE LIQUIDE
Les combustibles liquides présentent certains avantages par rapport aux combustibles solides: ils
sont moins encombrants, ne donnent pas de cendres, ont un pouvoir calorifique plus élevée et,
surtout, ils sont d'un emploi plus pratique, avec mise en marche rapide et facilité d'arrêt de la
combustion. Les combustibles liquides les plus importants sont le pétrole et ses fractions
(essence, gas-oil, mazout), le benzène, le benzol, les alcools méthylique et éthylique, etc. Les
combustibles liquides les plus importants sont ceux qui proviennent du raffinage du pétrole. On
distingue essentiellement les "carburants" destinés à la propulsion : gazole, essence auto,
supercarburant, carburéacteurs, et les "fuels-oils", ou mazouts, destinés aux moteurs Diesel fixes,
à la propulsion des navires et à la production de chaleur (fuel-oil domestique et fuels-oils lourds
en France). (Termium 1994)
COMBUSTIBLE (chaleur utilisable)
Matière capable de brûler au contact de l'air, de l'oxygène ou d'un mélange gazeux contenant de
l'oxygène, en produisant une quantité de chaleur utilisable. Il semblerait qu'en France, dans le
domaine du chauffage, les "combustibles liquides" généralement tirés du pétrole brut ou naphte
sont désignés sous le nom de "mazout" ou "fuel-oil". (Termium 1994)
COMBUSTIBLE LIQUID
Liquids with a flashpoint above 100o F. (See 49 CFR 173.120 (b)(2).) HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
COMBUSTIBLE LIQUID
A liquid which is capable of forming a flammable vapour/air mixture. All flammable liquids are
combustible. Whether a liquid is flammable or combustible depends on its flash point and on the
agency definition relied upon. The Coast Guard classifies all liquid having a flash point over 80F
as combustible and liquids with a flash point below 80F as flammable. The NFPA uses
100F. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI
Forensic Science Committee)
COMBUSTION
Réaction chimique exoénergétique entre un réducteur et un oxydant, en particulier l'oxygène. [DP
1991]
COMBUSTION
An exothermic chemical reaction that produces heat, and generally light as well, in a variety of
mediums; the burning process, causing loss of weight to a compound. [Fire Cause Determination,
IFSTA 1986]
COMBUSTION (Friedman 1989)
An exothermic chemical reaction that occurs so rapidly that the heat released causes the
temperature of the reaction zone to be many hundreds or even several thousands of degrees
higher than the surroundings. [Friedman 1989]
COMBUSTION
1) An exothermic chemical reaction which liberates heat and usually produces high temperature
gases and light.
2) Any oxidation reaction, including those produced by introduction of atmospheric oxygen; many
explosives are capable of burning without detonation if unconfined. Moreover, the oxidation
reaction taking place in propellants without introduction of oxygen is also designated as
combustion: it is preferable to denote this process as burning (Burning Rate; Deflagration). (Hydro
Cut General Terminology &Resource Information)
COMBUSTION (IAAI)
An exothermic chain reaction between oxidising and reducing agents, or between oxygen and
fuel. Combustion may occur with any organic compound, or with certain combustible elements
such as hydrogen, sulfur and finely divided metals. (Glossary Of Terms Related To Chemical And
Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
QU'EST-CE QUE LA COMBUSTION ?
Imaginons qu'on mélange du gaz d'hydrogène avec du gaz d'oxygène. On fait en sorte d'avoir
deux fois plus d'atomes d'hydrogène que d'atomes d'oxygène (facile : il suffit de prendre deux
litres d'hydrogène pour un litre d'oxygène, ce qui donne un volume final de trois litres). A une
température normale, ce mélange est stable; il ne se passe rien. Les molécules bougent à une
certaine vitesse, et rebondissent l'une sur l'autre quand elles se rencontrent. Imaginons
maintenant que l'on porte brusquement ce mélange à une température de 600 °C. Qui dit gaz
plus chaud, dit molécules bougeant avec plus de vitesse. Maintenant, quand des molécules
d'hydrogène et d'oxygène vont se rencontrer, elles vont se fracasser l'une sur l'autre. Résultat :
elles vont réagir ensemble pour former des molécules d'eau H2O. Pourquoi ? Parce-que les
molécules d'eau sont plus stables, plus solides, que les molécules d'hydrogène ou que les
molécules d'oxygène (ont dit aussi que leur niveau d'énergie est plus bas). Oui mais, cette
réaction chimique libère de l'énergie. Ca chauffe. Cette eau se trouve à une température de plus
de 2 000 °C. En résumé : la combustion hydrogène - oxygène engendre de l'eau et de la chaleur.
On peut réaliser le même phénomène avec de l'hydrogène et du fluor, du carbone et de
l'oxygène, du magnésium et de l'oxygène, etc... (Source : auteur inconnu, Internet)
COMBUSTION PRODUCT
By-products produced or generated during the burning or oxidation of a fuel. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
COMBUSTION REACTION
The difference between a slow oxidative reaction and a combustion reaction is that the latter
occurs so rapidly that heat is generated faster than it is dissipated, causing a substantial
temperature rise (at least hundreds of degrees, and aften several thousands of degrees). Very
often, the temperature is so high that visible light is emitted from the combustion reaction
zone. [Friedman 1989]
COMMAND
The act of directing, ordering, and/or controlling resources by virtue of explicit legal, agency, or
delegated authority. (NIIMS) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
COMMAND POST
The location from which all incident operations are directed and planning functions are performed.
The communications center is often incorporated into the command post. (NIIMS) HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
COMMUNITY AWARENESS AND EMERGENCY RESPONSE (CAER)
A program developed by the Chemical Manufacturers Association (CMA) to provide guidance for
chemical plant managers to assist them in taking the initiative in cooperating with local
communities developing integrated hazardous materials response plans. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
COMMUNITY RIGHT-TO-KNOW
Legislation requiring business establishments to provide chemical inventory information to local
agencies or the public. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
COMPANY (FIRE USAGE)
Any piece of fire response equipment having a full complement of personnel..
(NIIMS) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
Company - means a complement of personnel operating one or more pieces of apparatus under
the control of a supervisor. (OFM © 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
COMPARISON SAMPLE
1) A sample of material collected from a fire scene which is, to the best of the investigators
knowledge, identical in every respect to a sample suspected of containing accelerant, but which
does not contain accelerant.
2) A sample of suspected accelerant submitted for the purpose of comparing with any accelerant
separated from a debris sample. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental
Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
COMPARTIMENT ÉTANCHE AU FEU
partie d'un bâtiment qui est séparée du reste par des cloisonnements coupe-feu [S-3, r.2, LOI
SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
COMPARTIMENTATION D'UNE CHAUFFERIE (exemple)
La chaufferie est un compartiment relativement petit (par rapport au bâtiment) dont le plancher et
les quatre murs sont en béton. La porte d'accès est de bois dont la surface intérieure est revêtue
d'amiante, et cette ouverture est munie d'un seuil d'étanchéité aux liquides pour empêcher les
écoulements à l'extérieur du compartiment. Le plafond de la chaufferie est également revêtu
d'amiante. Toutes les surfaces exposées de la chaufferie (béton et amiante) de même que la
structure* (béton, porte pleine et plancher au-dessus protégé par l'amiante) font office de barrière
adéquate contre l'incendie aux termes des codes en vigueur, en cela que ces surfaces ne
permettent pas la propagation du feu en surface ** et ont la propriété d'opposer aux flammes un
obstacle pendant une (1) heure pour la porte et le plafond, et deux (2) heures pour le béton. Cet
aménagement constitue autant de séparations coupe-feu *** et sert à isoler la chaufferie des
usages voisins de chaque côté et au dessus, en plus de laisser suffisamment de temps pour
prendre les mesures d'urgence en cas de feu. (voir Nouvelles CNB/CNPI, no.122, janvier 1990,
CNRC, et Tableau 3.1.3.A, CNB 1985)
* Mur coupe-feu : type de séparation coupe-feu de construction incombustible qui divise un
bâtiment ou sépare des bâtiments contigüs afin d'empêcher la propagation du feu, et qui offre le
degré de résistance au feu exigé par le présent Code tout en maintenant sa stabilité structurale
lorsqu'elle est exposée au feu pendant le temps correspondant à sa durée de résistance au
feu (CNB 1985, 1.3.2)
** Propagation de la flamme : indice ou classification indiquant la vitesse de propagation de la
flamme à la surface d'un matériau ou d'un ensemble de matériaux (CNB 1985, 1.3.2)
*** Séparation coupe-feu : ensemble de construction destiné à empêcher la propagation du
feu (CNB 1985, 1.3.2)
COMPATIBILITY CHARTS
Permeation and penetration data supplied by manufacturers of chemical protective clothing to
indicate chemical resistance and breakthrough time of various garment materials as tested
against a battery of chemicals. This test data should be in accordance with ASTM and NFPA
standards. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
COMPONENT
1) One of the elements or compounds present in a system such as a phase, a mixture, a solution
or a suspension in which it may or may not be uniformly dispersed.
2) A compound or a group of unresolved compounds represented by a peak on a
chromatogram. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire
Debris, IAAI Forensic Science Committee)
COMPORTEMENT DU FEU (voir Préméditation)
Le feu n'a pas de but et c'est une action. Il n'a pas de plan et il est cohérent. Son langage n'est
pas l'expression d'une pensée préalable. C'est l'expression d'une force qui, subitement, devient
langage (Formule empruntée à Bachelard s'adressant à l'oeuvre d'Isidore Ducasse dit
Lautréamont, in Bachelard aujourd'hui, Clancier-Guénaud, Paris, 1986). [À la lecture des indices
d'un incendie, on perçoit parfois un plan ou une pensée qui contredit la simple ou ordinaire
cohérence du développement d'un incendie; il faut alors réconcilier les incohérences]
COMPOSITION DE LA MATIÈRE (éléments)
I. Les éléments :
Un élément est une substance pure qui ne peut être décomposée en substances plus simples.
Le tableau périodique, inspiré par Mendeleïev, en donne la liste complète.
Sur la Terre, il existe 90 éléments naturels, le plus léger étant l'hydrogène et le plus lourd
l'uranium. Les autres éléments ont été fabriqués par les scientifiques.
On divise ces éléments en deux grands groupes :
a. les métaux: brillent (éclat), bons conducteurs, malléables, ductiles, ...
Ex.: fer, cuivre, mercure, plomb, zinc, aluminium, sodium ...
b. les non-métaux: mauvais conducteurs, non malléables, non ductiles, ternes, ...
Ex.: oxygène, soufre, phosphore, azote, ...
II. Les composés :
Un corps pur composé (à ne pas confondre avec mélange ou solution) est constitué d'atomes
d'éléments différents, groupés en molécules.
Les propriétés d'un composé sont différentes de celles des éléments qui les constituent.
Ex. : H2O n'a pas les mêmes propriétés que H2 (gaz inflammable) ou que O2 (entretient la
combustion).
NaCl a des propriétés très différentes de Na (sodium, métal qui réagit violemment avec l'eau) et
de Cl2 (chlore, gaz jaune - vert dangereux à respirer).
III. La molécule (Voir liaisons chimiques) :
C'est la plus petite partie d'un corps pur qui puisse exister tout en gardant toutes les
caractéristiques de ce corps.
L'oxygène (O2) et l'ozone (O3) de l'air ont, par exemple, des molécules constituées d'atomes du
même élément mais les caractéristiques de ces deux corps purs sont différentes.
Les molécules des corps purs élémentaires sont constituées d'atomes identiques (O2); les
molécules des corps purs composés sont constituées d'atomes d'éléments différents (H2O).
Remarque : Les métaux et les composés électrovalents ne sont pas constitués de molécules
mais bien d'ensembles d'atomes juxtaposés.
IV. L'atome (voir la structure de):
L'atome est la plus petite partie d'un élément qui puisse réagir chimiquement.
On utilise les symboles chimiques pour représenter les éléments et leurs atomes.
Le symbole commence par l'initiale (en majuscule d'imprimerie) du nom international de l'élément
suivie, éventuellement, d'une deuxième lettre (en minuscule) pour éviter la confusion.
Ex. : C = carbone; Ca = calcium; Cd = cadmium; Co = cobalt
Na = sodium (du latin natrium); K = potassium (du latin kalium).
V. Formules :
La molécule d'un corps simple (élément) ou d'un corps composé est représentée par une
formule.
Le nombre d'atomes des éléments présents dans la molécule est indiqué au moyen d'indices
placés à droite des symboles.
Ex.: H2O = une molécule d'eau se compose de deux atomes d'hydrogène et d'un atome
d'oxygène.
Cu(NO3)2 = une molécule de nitrate de cuivre se compose d'un atome de cuivre, de deux atomes
d'azote et de six atomes d'oxygène.
O2 = une molécule d'oxygène composée de deux atomes d'oxygène.
VI. Equations chimiques : Dans une équation chimique, on indique à gauche les symboles des
réactifs et à droite ceux des produits obtenus.
La masse des réactifs doit toujours être égale à la masse des produits.
Ainsi, dans HCL + NaOH -- > NaCl + H2O, HCl et NaOH sont les réactifs et NaCl et H2O sont les
produits de la réaction. (Yvan Noels)
COMPOUND
A chemical combination of two or more elements, or two or more different atoms arranged in the
same proportions and in the same structure throughout the substance. A compound is different
from a mixture in that the components of a mixture are not chemically bonded together. For
example, a flask may contain two volumes of hydrogen (H2) gas and one volume of oxygen gas
(O2). A different glass might contain only water vapour (H20). In the first case, two gases are
mixed. In the second case, only one gas is present. (Glossary Of Terms Related To Chemical
And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
COMPRESSED GAS means any contained mixture or material with either an absolute pressure
exceeding 275.8 kPa at 21oC or an absolute pressure exceeding 717 kPa at 54oC, or both, or
any liquid having an absolute vapour pressure exceeding 275.8 kPa at 37.8oC. (Ontario Fire
Code 1996)
COMPRESSED GAS
Any material or mixture having an absolute pressure exceeding 40 p.s.i. in the container at 70o F.
or, regardless of the pressure at 70o F., having an absolute pressure exceeding 104 p.s.i. at 130o
F.; or any liquid flammable material having a vapor pressure exceeding 40 p.s.i. absolute at 100o
F. as determined by testing. Also includes cryogenic or "refrigerated liquids" (DOT) with boiling
points lower than -130 degrees at 1 atmosphere. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
COMPRESSED GAS ASSOCIATION (CGA)
Firms producing and distributing compressed, liquefied, and cryogenic gases; also manufacturers
of related equipment. Submits recommendations to appropriate government agencies to improve
safety standards and methods of handling, transporting, and storing gases; acts as advisor to
regulatory authorities and other agencies concerned with safe handling of compressed gases;
collaborates with national organizations to develop specifications and standards of
safety. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
CONCENTRATION
The amount of a substance in a stated unit of a mixture or solution. Common methods of stating
concentration are per cent by weight, per cent by volume, or weight per unit volume (eg: parts per
million, billion, etc.). (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire
Debris, IAAI Forensic Science Committee)
CONDUCTEUR
Fil, câble ou autre pièce en métal, montés dans le but de transporter un courant électrique d'une
pièce d'appareillage électrique à une autre ou utilisé pour la mise à la terre. [CSA 22.10-1992]
CONDUCTION
Conduction is the transfer of Heat or Electricity through a substance, resulting from a difference in
temperature between different parts of the substance or from a difference in electric Potential.
Heat may be conducted when the motions of energetic (hotter) molecules are passed on to
nearby, less energetic (cooler) molecules, but a more effective method is the migration of
energetic free electrons. Conduction of electricity consists of the flow of charges. Metals are thus
good conductors of both heat and electricity because they have a high free-electron
density. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
CONDUCTION
Passage of heat from one material to another by direct contact. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
CONDUCTION THERMIQUE (voir DIFFUSION DE LA CHALEUR)
CONDUCTIVITY
The ability of a material to transfer energy from one place to another. Thermal conductivity
describes a substances ability to transmit heat. Electrical conductivity describes a substances
ability to transmit electrical current. Conductivity is to the opposite if resistivity. (Glossary Of
Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
CONFINEMENT
Confinement may be defined as an inert material of some strength and having a given wall
thickness, situated in the immediate vicinity of an explosive. Priming or heating the explosive
materials produces different results, according to whether they are located in a stronger or a
weaker confinement. If confined by thick steel, almost any explosive will explode or detonate on
being heated; on the other hand, they burn on contact with an open flame if unconfined (
Combustion; Mass Explosion Risk), except Initiating Explosives. The destructive (fragmentation)
effect of an explosion becomes stronger if the explosive is confined (stemmed) in an enclosure
such as a borehole. In the absence of natural confinement, the explosive charge is often
embedded in an inert material such as clay. Mud Cap, Stemming. (Hydro Cut General
Terminology &Resource Information)
CONFINEMENT
Procedures taken to keep a material in a defined or localized area. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
CONSERVATION LAWS
Conservation laws, in physics are the basic laws that maintain that the total value of certain
quantities remains unchanged during a physical process. Conserved quantities include Mass (or
matter), Energy, linear Momentum, angular momentum, and electric Charge; the theory of
Relativity, however, combines the laws of conservation of mass and of energy into a single law.
Additional conservation laws have meaning only on the subatomic level. (Hydro Cut General
Terminology &Resource Information)
CONTAINER
Any device in which a hazardous material is stored, transported, disposed of, or otherwise
handled. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
CONTAINER / INTERMODAL / ISO
An article of transport equipment that meets the standards of the International Organization for
Standardization (ISO) designed to facilitate and optimize the carriage of goods by one or more
modes of transportation without intermediate handling of the contents and equipped with features
permitting ready handling and transfer from one mode to another. Containers may be fully
enclosed with one or more doors, open top, tank, refrigerated, open rack, gondola, flatrack, and
other designs. Included in this definition are modules or arrays that can be coupled to form an
intrinsic unit regardless of intention to move single or in multiplex configurations. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
CONTAINMENT
All activities necessary to bring the incident to a point of stabilization and to establish a degree of
safety for emergency personnel greater than existed upon arrival. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
CONTAMINATION
An uncontained substance or process that poses a threat to life, health, or the environment.
(NFPA standard 472, sections 1-3) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
CONTAMINATION CONTROL LINE
The established line around the Contamination Reduction Zone that separates it from the Support
Zone. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED
TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
CONTINGENCY PLAN
A preplanned document presenting an organized and coordinated plan of action to limit potential
pollution in case of fire, explosion or discharge of hazardous materials; defines specific
responsibilities and tasks. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY
OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
CONTROL
The procedures, techniques, and methods used in the mitigation of a hazardous materials
incident, including containment, extinguishment, and confinement. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
CONTROL SAMPLE
A sample of material which is known to be identical to a sample suspected of containing
accelerant in every regard, except that the control sample does not contain accelerant. A known
blank sample. In practical terms, control samples do not exist in the setting of a fire scene
because :
(1) exact conditions during the fire cannot be duplicated from location to location, and
(2) exact conditions of the substrate, ie: carpet, etc., are not known. Carpet in Room A may have
had various items spilled on it during use. Carpet B (ten feet away) may be brand new. (See
Comparison Sample) (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire
Debris, IAAI Forensic Science Committee)
CONSTRUCTION INCOMBUSTIBLE
Construction et assurance (...) Suivant les dispositions du tarif des risques industriels, les
bâtiments sont classés comme suit: construction ordinaire; construction incombustible ordinaire;
construction incombustible de sécurité. Le vocable "incombustible" est pris au sens de limitation,
au minimum des conséquences d'un feu. Les Américains ont trouvé l'expression "fire resistive
building", pour désigner un bâtiment construit entièrement en dur, c'est-à-dire en béton, en pierre
et béton, ou en pierre, brique et béton. (...) Pour la traduire, on fera bien de dire: bâtiment de
construction incombustible, ou encore bâtiment de construction ininflammable. Type de
construction dans laquelle un certain degré de sécurité est assuré en cas d'incendie grâce à
l'utilisation de matériaux incombustibles pour les éléments structuraux et autres composants.
Sont considérés comme incombustibles les matériaux qui; ne se combinent pas avec l'oxygène
de l'air en donnant lieu à un dégagement de chaleur; ne se décomposent pas en émettant des
gaz combustibles. (Source : Termium 1994)
CONSTRUCTOR means a person who contracts with an owner, occupant or their authorized
agent to undertake a project, and includes an owner, occupant or authorized agent who contracts
with more than one person for the work on a project or undertakes the work on a project or any
part thereof. (Ontario Fire Code 1996)
CONTAINED USE AREA means a supervised area containing one or more rooms in which
occupant movement is restricted to a single room by security measures not under the control of
the occupant. (Ontario Fire Code 1996)
CONVECTION
(ou CONVEXION) Transport d'une grandeur physique d'un point à un autre d'un fluide par
mouvement d'ensemble de ses molécules. Dans la convection libre (ou naturelle), le mouvement
est dû à la seule action de la pesanteur, lorsque les différences de masse volumique provenant
de différences de température rompent l'équilibre hydrostatique. [DP 1991]
CONVECTION
Heat transfer by circulation within a medium, such as a gas or a liquid. [NFPA 921 - 1992]
CONVECTION
Transfer of heat by movement of fluid.
CONVECTION (Friedman 1989)
Convection is the transfer of heat by the flow of a liquid or gas. A fluid expands when heated and
thus undergoes a decrease in density. The warmer, less dense regions of a fluid tend to rise, in
accordance with Archimedes' Principle, through the surrounding cooler fluid. If the heat continues
to be supplied, the cooler fluid that flows in to replace the rising fluid will also become heated and
will rise, setting up a convection current. (Hydro Cut General Terminology &Resource
Information)
FORCED CONVECTION
Convection resulting from forced circulation of a fluid, as by a fan, jet or pump.
NATURAL CONVECTION
Circulation of gas or liquid (usually air or water) due to differences in density resulting from
temperature changes. [ASHRAE Guide and Data Book 1963]
CONVECTIVE HEAT
Energy that is carried by a hot moving fluid. (Energy can be radiated through space, or conducted
through a solid, as well as convected by a fluid.) [Friedman 1989]
CONVECTION
Transfer of heat by the movement of molecules in a gas or liquid with the less dense fluid rising.
The majority of heat transfer in a fire is by convection. (Glossary Of Terms Related To Chemical
And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
COORDINATION
To bring together, in a uniform and controlled manner, the functions of all agencies on scene.
(Sacramento Fire Department, HMRT) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
CORRIDOR COMMUN
corridor permettant l'accès à une issue à partir de locaux loués individuellement, groupe de
chambres ou de logements [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS,
CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
CORROSION
Wearing away of a bore by the effect of chemical action on the material. Erosion. (Hydro Cut
General Terminology &Resource Information)
CORROSION
The degradation of metals or alloys due to reaction with their environment. It is accelerated by
acids, bases or heats. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of
Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
CORROSIVE
The ability to cause destruction of living tissue or many solid materials surfaces by chemical
action. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
CORROSIVE LIQUID means a liquid that, when contacting living tissue causes damage to the
tissue, or when contacting organic matter and chemicals that react with the liquid, causes
fire. (Ontario Fire Code 1996)
COST RECOVERY
A procedure that allows for the agency having jurisdiction to pursue reimbursement for all costs
associated with a hazardous materials incident. (Sacramento Fire Department,
HMRT) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
COULEURS (Pauling)
Chimie de la photographie en couleurs. - Les ondes électromagnétiques des différentes
radiations lumineuses ont différentes longueurs d'onde. Dans le spectre visible [à l'oeil], ces
longueurs d'onde s'étendent sur un domaine commençant un peu en-dessous de 4000 Å (violet)
et finissant vers 8000 Å (rouge). Toutes les couleurs que l'oeil peut reconnaitre peuvent être
obtenues par la composition de trois couleurs fondamentales : par exemple, un rouge-vert (que
l'oeil voit jaune), complémentaire du bleu-violet; un bleu-rouge ou violet-magenta, couleur
complémentaire du vert; un bleu-vert, complémentaire du rouge. Trois couleurs primaires telles
que celles-là sont nécessaires pour élaborer n'importe quelle méthode de photographies en
couleurs [on dit aujourd'hui jaune, magenta, cyan]. La première réussite dans ce domaine fut le
procédé Autochrome mis au point en France aux environs de 1904. Un procédé moderne de
photographie en couleurs qui s'est largement développé est le procédé Kodachrome mis au point
par les laboratoires de recherches de Kodak. [Pauling 1958]
COUPE-FEU
barrière étanche au tirage, posée dans les éléments fonctionnels de construction, ou entre ceuxci, pour retarder le passage de la fumée et des flammes [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS
LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
COUR COUVERTE
chemin couvert pour piétons, servant à relier 2 ou plusieurs bâtiments et dont la plus petite
dimension horizontale est de 30 pieds (9,14 m) ou plus [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS
LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
CRACKING
A refining process involving decomposition and molecular recombination of organic compounds,
especially hydrocarbons obtained by distillation of petroleum, by means of heat, to form
molecules suitable for various uses such as motor fuels, solvent or plastics. Cracking takes place
in the absence of oxygen. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of
Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
Crew - a working team assembled at the fire scene. (OFM © 1999 Queen's Printer for Ontario,
1999)
CRIMINALISTIQUE
L'investigation sur les lieux d'un incendie est conduite de la même façon que sur une scène de
tout autre crime. En effet, les policiers doivent faire appel à leurs connaissances en
criminalistique lors de l'expertise d'une scène d'incendie. Ils possèdent la formation nécessaire
ainsi qu'une large expérience dans la mise en oeuvre des diverses techniques afin d'établir et
présenter à la cour la preuve d'un crime et identifier son auteur. (L'enquête d'incendie, Carrefour
Incendie, http://pages.infinit.net/incendie/index.html, nov. 1998)
Crown Fire
A fire that burns primarily in the leaves and needles of trees, spreading from tree to tree above the
ground. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
CRYOGENIC
Gases, usually liquefied, that induce freezing temperatures of -150o F and below (liquid oxygen,
liquid helium, liquid natural gas, and liquid hydrogen, etc.). HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
C.S.A.
Association canadienne de normalisation. CSA. Canadian Engineering Standards Association
(ANCIEN NOM) L'acronyme ACNOR a cessé d'être utilisé à partir de janvier 1987 car il portait à
confusion. Renseignement confirmé par l'organisme.
CSCW nm (informatique, sociologie, psychosociologie) sigle de " computer supported
collaborative work "
Littéralement : " travail collaboratif assisté par ordinateur ". Domaine de recherche ayant trait à
l'étude de la collaboration interpersonnelle et de groupe et au développement des technologies
qui peuvent faciliter ce type de travail. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe
de travail ERFET, France)
CUIVRE
... du latin "Cuprum", île de Chypre. Appartient au groupe 11.
Sa découverte date des temps préhistoriques. On a retrouvé en Irak des objets datant de 9000
ans A.D. et il était déjà utilisé pour les pots en Afrique du Nord il ya 6000 ans. Mille ans plus tard,
on compensait son manque de dureté en l'alliant au zinc pour obtenir du laiton et à l'étain pour
former du bronze. C'est un métal rougeâtre qui brille d'un vif éclat métallique.
Il est malléable, ductile et bon conducteur de la chaleur et de l'électricité. Ses composés les plus
importants sont l'oxyde et le sulfate ou vitriol bleu (à ne pas confondre avec le vitriol qui est le
nom donné à l'acide sulfurique très concentré).
En petites quantités, le cuivre est essentiel pour notre organisme car il est un composant clef de
certaines enzymes. Il est aussi un composant de l'hémocyanine, pigment respiratoire des
mollusques et des crustacés. Tous ses composés doivent être considérés comme
toxiques. (Yvan Noels)
CURRENT
In electricity, the flow or rate of flow of electric force in a conductor, from a point of higher potential
to one of lower potential. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
CURRENT DENSITY
The amount of electric current passing through a cross-sectional area of the conductor in a given
unit of time; commonly expressed in amperes per square centimeter. (Hydro Cut General
Terminology&Resource Information)
CURRENT LEAKAGE
Portion of the firing current bypassing part of the blasting circuit through unintended paths. (Hydro
Cut General Terminology &Resource Information)
CURRENT LIMITING DEVICE
An electric or electromechanical device that limits: 1) current amplitude; 2) duration of current
flow; or 3) total energy of the current delivered to an electric blasting circuit. (Hydro Cut General
Terminology &Resource Information)
-DDAMAGE ASSESSMENT
Gathering information on the type, extent, and costs of damage after an incident. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
DAMMING
A procedure consisting of constructing a dike or embankment to totally immobilize a flowing
waterway contaminated with a liquid or solid hazardous substance. (EPA, 600/2-77-
277) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED
TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
DANGER, DANGEREUX
Décrit les effets nuisibles qui peuvent se produire. Pour évaluer le danger que présente une
substance, on tient compte de ses propriétés telles que la toxicité, l'inflammabilité et la réactivité
chimique, ainsi que de la façon dont la substance est utilisée. L'utilisation peut en effet varier
considérablement selon le lieu de travail et la gravité du danger varie en conséquence. Au
Canada et aux États-Unis, le terme dangereux est utilisé par plusieurs organismes de
réglementation utilisant diverses définitions. Par exemple, l'OSHA définit un produit chimique
dangereux comme étant celui qui présente un risque physique ou un risque d'atteinte à la santé
selon les critères de la norme HAZCOM de l'OSHA. (Canutec)
DANGEROUS GOODS means those products or substances which are regulated by the
Transportation of Dangerous Goods Act (Canada) and its Regulations. (Ontario Fire Code 1996)
DANGEROUS WHEN WET
A label required for water reactive materials (solid) being shipped under US DOT, ICAO, and IMO
regulations. A labeled material that is in contact with water or moisture may produce flammable
gases. In some cases, these gases are capable of spontaneous combustion. (Reference: 49 CFR
171.8) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
DÉBLAI (accumulation des débris)
Il arrive couramment que l'on jette le matériel avarié dans la partie de l'immeuble la plus dévastée
par les flammes. La plupart du temps, c'est justement cette partie de l'immeuble que l'enquêteur /
l'investigateur désirera examiner soigneusement. [Stickney 1960]
DÉBLAIEMENT
Dans certains cas, l'emplacement du foyer est déjà par lui-même fort suspect... À défaut, des
objets ...ont résisté au feu avec plus ou moins de succès et se retrouvent au foyer, et même en
cas de dégâts importants, dans les décombres, si toutefois le déblaiement est effectué avec un
très grand soin. [Gayet 1973]
Deck Gun
A large and fixed water nozzle attached to an engine. Deck guns deliver larger amounts of water
than hand-held hose. (See also Master Stream). [email protected]
DECLARED EMERGENCY
An action taken by a jurisdiction according to the California Emergency Services Act and local
ordinances in response to the impact of a real or threatened hazard that exceeds local resources.
HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED
TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
DECONTAMINATION
The physical and/or chemical process of reducing and preventing the spread of contamination
from persons and equipment used at a hazardous materials incident. (Also referred to as
"contamination reduction".) (NFPA 472, 1-3) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
DECONTAMINATION CORRIDOR
A distinct area within the "Warm Zone" that functions as a protective buffer and bridge between
the "Hot Zone" and the "Cold Zone", where decontamination stations and personnel are located to
conduct decontamination procedures. (Sacramento Fire Department, HMRT) HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
DECONTAMINATION OFFICER
A position within the FIRESCOPE ICS HM-120 which has responsibility for identifying the location
of the decontamination corridor, assigning stations, managing all decontamination procedures,
and identifying the types of decontamination necessary. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
DÉFAILLANCE
État effectif d'un élément qui fait que celui-ci n'est pas en mesure de remplir sa fonction spécifiée
dans les conditions spécifiées. Terme normalisé par l'ISO. Altération ou cessation de l'aptitude
d'un produit à accomplir sa fonction. [une défaillance est le passage d'un état à un autre; une
panne est un état] (...) une défaillance peut être considérée comme le passage d'un état de
fonctionnement à un état de non fonctionnement. (...) défaillance s'applique autant à un organe
complexe qu'à un élément simple lorsque ceux-ci sont détériorés au point où leur fonction est
compromise. Défaillance est généralement le terme à employer lorsque le contexte ne permet
pas de savoir la nature exacte du défaut de fonctionnement dont il est question. Dans ce sens,
défaillance correspond souvent à failure en anglais. (Source : Termium 1994)
DEFLAGRATION (Hydro Cut)
1) The chemical decomposition (burning) of a material in which the reaction front advances into
the reacted material at less than sonic velocity. 2) Very rapid combustion sometimes
accompanied by flame, parks and/or spattering of burning particles. Deflagration, although
classed as an explosion, generally implies the burning of a substance with self-contained oxygen
so that the reaction zone advances into the unreacted material at less than the velocity of sound
in the material. In this case, heat is transferred from the reacted to the unreacted material by
conduction and convection. Burning rate usually less than 2,000 meters / second. (Hydro Cut
General Terminology & Resource Information)
DEFLAGRATION (IAAI)
Vigorous burning with subsonic flame propagation. (See Detonation). (Glossary Of Terms Related
To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
DEGRADATION
The loss in physical properties of an item of protective clothing due to exposure to chemicals, use,
or ambient conditions. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
DEGRÉ DE PROTECTION CONTRE LE FEU
durée, exprimée en heures et fractions d'heure, pendant laquelle une fermeture, un bloc-fenêtre
ou un pan de blocs de verre s'oppose au passage des flammes lorsqu'il est soumis à des critères
de comportement bien définis, soit selon d'autres prescriptions du présent code [S-3, r.2, LOI
SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
DEGRÉ DE RÉSISTANCE AU FEU
durée, exprimée en heures et fractions d'heure, pendant laquelle un matériau ou un élément de
construction s'oppose au passage des flammes et à la transmission de la chaleur, lorsqu'il est
soumis à l'action du feu, soit dans des conditions d'essai et suivant des critères de comportement
bien définis, soit d'après une extension ou interprétation des renseignements tirés de cet essai et
de ces critères, conformément au présent code [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES
ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
DEGREE OF COMBUSTIBILITY
The chemistry of a material generally is the key to its degree of combustibility. [Friedman 1989]
DEMOLITION means the doing of anything in the removal of a building or any material part
thereof. (Ontario Fire Code 1996)
DENSITÉ (d'une substance)
La densité d'une substance est son poids par unité de volume. On donne ordinairement la densité
en grammes par millilitre (g/mL) ou en grammes par centimètre cube (g/cc). La densité a un
rapport étroit avec le poids spécifique (densité relative). On peut calculer le volume du produit qui
se trouve dans un contenant en se basant sur sa densité et son poids. (Canutec)
DENSITÉ DE VAPEUR
La densité de vapeur est le poids par unité de volume d'une substance à l'état de gaz pur ou de
vapeur. Dans les FTSS, la densité de vapeur est normalement donnée sous forme d'un rapport
entre la densité du gaz ou de la vapeur et celle de l'air. On attribue à l'air la valeur arbitraire de 1.
Les gaz légers (densité inférieure à 1), notamment l'hélium, montent dans l'air. Les vapeurs et
gaz lourds (densité supérieure à 1) se déposent et peuvent s'accumuler dans les endroits
surbaissés ou à la surface du sol en l'absence d'une ventilation adéquate. (Canutec)
DENSITÉ D'OCCUPATION (voir aussi Charge d'occupants)
espace en pieds carrés alloués par personne dans le calcul d'un bâtiment[S-3, r.2, LOI SUR LA
SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
DENSITÉ RELATIVE
Voir Poids spécifique. (Canutec)
DESORPTION
The process of removing an adsorbed material from the solid on which it is adsorbed. (Glossary
Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
DESTINATION PRINCIPALE (usage principal)
signifie la destination principale projetée ou réelle d'un bâtiment ou d'une partie de bâtiment.
L'expression inclut toute destination auxiliaire qui constitue un élément intégrant de la destination
principale [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU
BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
DEPARTMENT OF COMMERCE (DOC)
A Federal agency whose primary mission is to encourage, serve and promote economic
development and technological advancement. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
DEPARTMENT OF DEFENSE (DOD)
Provides the military forces needed to deter war and protect the security of our
country. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
DEPARTMENT OF ENERGY (DOE)
Provides the framework for a comprehensive and balanced national energy plan through
coordination and administration of the energy functions of the federal government; and to be
responsible for long term, high risk research, development and demonstration of energy
technology, the marketing of federal power, energy conservation, the nuclear weapons program,
regulation of energy production and use, and a central energy data collection and analysis
program. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
DEPARTMENT OF JUSTICE (DOJ)
Serves as counsel for the citizens of the Nation; represents them in enforcing the law in the public
interest; through its thousands of lawyers, investigators, and agents it plays a key role in
protection against criminals and subversion, in insuring healthy competition of business in our
free enterprise system, in safeguarding the consumer, and in enforcing drug, immigration, and
naturalization laws; plays a significant role in protecting citizens through its efforts for effective law
enforcement, crime prevention, crime detection, and prosecution and rehabilitation of offenders;
conducts all suits in the Supreme Court in which the United States is concerned; and represents
the Government in legal matters. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
DEPARTMENT OF LABOR (DOL)
The purpose of the Department of Labor is to foster, promote, and develop the welfare of the
wage earners of the United States, to improve their working conditions, and to advance their
opportunities for profitable employment. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
DEPARTMENT OF STATE (DOS)
Advises the President in formulation and execution of foreign policy; promotes long-range security
and well-being of the United States; determines and analyzes the facts relating to American
overseas interest, makes recommendations on policy and future action, and takes the necessary
steps to carry out established policy; engages in continuous consultation with the American
public, the Congress, other U.S. departments and agencies, and foreign
governments. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
DEPARTMENT OF TRANSPORTATION (DOT)
Assures the coordinated, effective administration of the transportation programs of the Federal
government and develops national transportation policies and programs conducive to the
provision of fast, safe, efficient and convenient transportation at the lowest possible
cost. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED
TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
DÉPISTAGE DES INCENDIATS
Le dépistage des incendies criminels passe d'abord par l'investigation complète de tous les
incendies selon les règles de l'art. Dans le cas des incendies, il nous faut d'abord déterminer la
cause de l'incendie et ce n'est qu'après, lorsque l'incendie est qualifié d'incendiat, - et cela se
produit une (1) fois sur quinze (15) ou vingt (20) sinistres -, que nous pouvons commencer
l'enquête criminelle. Or il se produit des centaines et des centaines d'incendies et nous devons
nous pencher sur chacun d'eux. [Stickney 1960]
DESICCANT
A substance, such as silica gel, that removes moisture (water vapor) from the air to maintain a dry
atmosphere in containers of food or chemical packaging. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
DÉTECTEUR DE FLAMME
Dispositif qui délivre un signal en fonction de la présence ou de l'absence d'une flamme. Le
système de surveillance de flamme englobe tout l'appareillage de commande et de sécurité, ainsi
que les éléments annexes nécessaires au bon fonctionnement et à la sécurité d'emploi du brûleur
dans les conditions prévues d'utilisation. Il comprend donc: (...) un appareil de commande
(primary control), véritable cerveau du système. Il travaille en liaison avec le détecteur de flamme
(flame detector). Les équipements de sécurité comprennent: - les appareils de détection de la
flamme par la température des fumées, par l'éclairement de la flamme; - les appareils de
commande (...). (Source : Termium 1994)
DÉTECTEUR DE FUMÉE
Détecteur de fumée (...) Les détecteurs sensibles à l'action des fumées utilisent les variations du
courant émis par une cellule photo électrique, provoquée soit par l'obscurcissement de
l'ambiance, soit par l'utilisation de l'effet de Tyndall (qui s'observe au passage des rayons
lumineux dans les milieux hétérogènes liquides), pour déclencher l'alarme. Ces détecteurs
conviennent pour les feux courants. Les détecteurs à variation d'ionisation sont sensibles aux
fumées et aux gaz de combustion qui se forment souvent avant l'apparition de flammes et avant
qu'il y ait un échauffement important comme dans une fermentation. *détecteur de fumée* : Les
détecteurs de fumée fonctionnent généralement au moyen de sels radio-actifs permettant de
surveiller l'état d'ionisation de l'atmosphère. Ils contiennent une chambre d'ionisation dont l'air est
rendu conducteur par la présence d'une source radio-active. Lorsqu'une fumée ou un gaz de
combustion pénètre dans cette chambre, la conductibilité de l'air ionisé diminue, ce qui provoque
l'alarme. Les détecteurs optiques sont le plus souvent constitués d'une cellule photorésistante ou
émissive éclairée en permanence par une source de lumière, le déclenchement de l'alarme se
produisant lorsqu'un écran de gaz ou de fumée s'interpose entre la source de lumière et la
cellule. &laqnodétecteur de fumée photo électrique» : Les détecteurs de fumée sont des cellules
photo électriques émettant un courant variable suivant le flux lumineux qu'elles reçoivent. Les
fumées que précèdent l'incendie font varier ce flux lumineux. (Source : Termium 1994)
DÉTECTION DES FEUX NATURELS ET CRIMINELS (Nouvelle approche à la...)
Objectifs : Ce cours (intensif, une journée, École Polytechnique de Montréal, 30 mars 1995)
permettra aux participants de comprendre l'évolution physique de tous les feux, du point d'ignition
à la destruction complète. Il se basera sur les divers patrons des feux naturels et criminels. Ayant
pour objet de déterminer les causes de feux avec exactitude, il aidera les investigateurs à
découvrir axes et épicentres, suivant une NOUVELLE THÉORIE basée sur les évidences
physiques irréfutables. Contenu :
- la compréhension du sujet par un rappel des phénomènes physiques de base et des théories
admises à ce jour
- le développement de données nouvelles
- l'approche scientifique pour la recherche de toutes les causes possibles de feux
- les généralités, les types de combustion et le transfert de chaleur
- la théorie conique des feux, les patrons en * V *; et l'épicentre au point le plus bas
- la théorie parabolique des feux, les patrons en parabole et les cercles
- l'épicentre au foyer d'un paraboloïde
- les preuves de l'exactitude de la théorie parabolique
- la théorie parabolique et les feux criminels.
Animateur : Camille Detienne B.Eng., B.Ed., ingénieur-électricien.
DETECTORS
Combustible Gas Indicator (CGI) detector: Measures the presence of a combustible gas or vapor
in air. Corrosivity (pH) detector: A meter or paper that indicates the relative acidity or alkalinity of a
substance, generally using an international scale of 0 (acid) through 14 (alkali-caustic). (See pH.)
Flame Ionization detector (FID): A device used to determine the presence of hydrocarbons in air.
Gas Chromatograph/Mass Spectrometer detector: An instrument used for identifying and
analyzing organics.
Heat detector: An instrument used to detect heat by sensing infra-red waves.
Photoionization Detector (PID): A device used to determine the presence of gases/vapors in low
concentrations in air.
Radiation Beta Survey detector: An instrument used to detect beta radiation.
Radiation Dosimeter detector: An instrument which measures the amount of radiation to which a
person has been exposed.
Radiation Gamma Survey detector: An instrument used for the detection of ionizing radiation,
principally gamma radiation, by means of a gas-filled tube.
Temperature detector: An instrument, either mechanical or electronic, used to determine the
temperature of ambient air, liquids, or surfaces. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
DETONATION
An exothermic chemical reaction which propagates through reactive material at supersonic
speed. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI
Forensic Science Committee)
DEVIATION
An event that differs from what was intended or expected. (Benner 1997)
DIAGNOSTIC QUALITÉ / quality diagnostic
Examen méthodique de tout ou partie de l'entreprise permettant de déterminer les points forts et
les insuffisances en matière de qualité. (Mouvement québécois de la qualité,
http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
DIELECTRIC
A material that does not readily conduct electricity, i.e., an insulator ( Insulation). A good dielectric
resists breakdown under high voltages, does not draw appreciable power from the circuit, and has
reasonable physical stability. Dielectrics are used to separate the plates of a Capacitor. The
dielectric strength is a measure of the maximum voltage ( Potential, Electric), that a dielectric can
sustain without significant Conduction. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information)
DIESEL FUEL
Diesel Fuel consists mostly of hydrocarbons ranging from C10 to C24. The composition of diesel
fuel may vary with changes in latitude or changes in season. this variability is provided by the
refinery to control the volatility of the product. In order to be identified as diesel fuel, a sample
extract must exhibit a homologous series of five or more consecutive normal alkanes ranging from
C12 through C22. Diesel fuel has a flash point of 120 to 160F and explosive limits of 0.7% to 5%.
Many states specify a minimum flash point for diesel fuel. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
DIFFUSION DE LA CHALEUR
Transport de chaleur des parties plus chaudes vers les parties plus froides d'un même corps ou
de deux corps en contact, sans mouvement apparent de matière. [Dictionnaire de la Physique,
Eyrolles, 1991]
DIFFUSION FLAME
A flame in which the fuel vapors and oxygen diffuse into each other as they burn, such as candle
flame. [Friedman 1989]
DIGESTS DE LA CONSTRUCTION (IRC / CNRC) Tous les textes en français (environ 240 titres)
sont accessibles dans leur totalité à l'adresse suivante : http://irc.nrccnrc.gc.ca/pubs/cbd/index_f.html. On présente ici les titres seulement, le numéro de l'ouvrage et
le nom de l'auteur. La plupart des textes sont disponibles en ligne.
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Humidité dans les bâtiments canadiens
Efflorescence
Les sols et la construction
Condensation sur les surfaces intérieures des vitres
Condensation entre les vitres des doubles-fenêtres
Pénétration de la pluie dans les murs de maçonnerie
composite
La construction d'hiver
Coordination modulaire
Les coupe-vapeur dans la construction des maisons
d'habitation
Transmission du bruit dans les bâtiments
Protection des bâtiments contre l'incendie
Fondations des maisons
Sous-sols des maisons d'habitation
Intempéries et maisons
Le béton
Isolation thermique des maisons d'habitation
Calcul de la lumière du jour dans les maisons
Résistances des petites toitures
N.B. Hutcheon
T. Ritchie
R.F. Legget
A.G. Wilson
A.G. Wilson
T. Ritchie
C.R. Crocker
S.R. Kent
G.O. Handegord
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30
31
32
T.D. Northwood
J.H. McGuire
C.B. Crawford
C.R. Crocker
D.W. Boyd
N.B. Hutcheon
W.H. Ball
M. Galbreath
W.R. Schriever, H.J.
Thorburn
E.V. Gibbons
P.J. Sereda
T. Ritchie
H.B. Dickens
A.G. Wilson
M.C. Baker
J.R. Sasaki, A.G. Wilson
E. Penner
E.R. Carson
W.A. Dalgliesh, D.W. Boyd
C.B. Crawford
J.K. Latta
G.W. Shorter
P.J. Sereda
35 Comment venir à bout de la condensations dans les salles
de curling
36 Gradients de température dans les parois des bâtiment
J.H. McGuire
W.A. Dalgliesh,W.R.
Schriever
G.O. Handegord,C.R.
Crocker
J.K. Latta,G.K. Garden
Composés de colmatage des joints
Corrosion des métaux employés dans la construction
Murs à cavité
Finitions des dalles de béton
Fuites d'air dans les bâtiments
Toitures en terrasse
Fuites d'air autour des fenêtres
Congélation du sol et soulèvements dus au gel
Sources de documentation sur la construction
Le vent sur les bâtiments
Etudes de sous-sol
L'eau et les matériaux de construction
La feu dans les maisons
Prévention des incendies et des explosions dans les salles
d'opér hôpitaux
33 Le feu et la compartimentation des bâtiments
34 Pressions du vent sur les bâtiments
37 Charges de neige sur les toitures
38 Matériaux bitumineux
39 Gains de chaleur solaire au travers des fenêtres et des
parements
40 Pénétration de la pluie et moyens de l'empêcher
41 Le son et les hommes
42 L'Humidification des bâtiments
43 Les essais de sols
44 Ponts thermiques dans les bâtiments
45 La propagation des flammes
46 Fenêtres à doubles-vitres scellées à l'usine
47 Températures extrêmes à la surface extérieure des
bâtiments
48 Exigences pour les murs extérieurs
49 Nouvelles méthodes de couverture des toits
50 Méthodes d'isolation des murs de maconnerie
51 L'Insonorisation dans les édifices à bureaux
52 Transmission de la chaleur par les faces des bâtiments
53 Résistance des bâtiments à l'incendie
54 Fléchissements affectant les pièces de charpente
horizontales
55 Comment rendre le vitrage durable et hermétique
56 Déformation des matériaux de construction par suite des
variations thermiques et hygrométriques
57 Diffusion de la vapeur et condensation
58 Caractéristiques thermiques des fenêtres à contrechâssis
59 Principes d'installation des écrans pare-soleil
60 Caractéristiques du verre à vitres
61 Gonflements dûs au gel du sol des salles de patinage et des
entrepôts frigorifiques
62 Arbres et immeubles
63 Sautages d'explosifs et dégâts aux bâtiments
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68
Les fondations dans le pergélisol
Revêtements des toits en agrégats minéraux
Le code national de la construction au Canada
Notions fondamentales pour la conception des toitures
Pressions du vent et phénomènes d'aspiration sur les toits
69
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71
72
Les couvre-joints pour toitures multicouches
Considérations thermiques relatives au dessin des toits
Cotes de comportement au feu
Importance de la prévention des fuites d'air
B.G. Peter, W.R. Schriever
P.M. Jones
D.G. Stephenson
G.K. Garden
T.D. Northwood
N.B. Hutcheon
W.J. Eden
W.P. Brown, A.G. Wilson
G.W. Shorter
K.R. Solvason
D.G. Stephenson
N.B. Hutcheon
M.C. Baker
N.B. Hutcheon
T.D. Northwood
D.G. Stephenson
G.W. Shorter
W.G. Plewes, G.K. Garden
G.K. Garden
M.C. Baker
J.K. Latta, R.K. Beach
A.G. Wilson, W.P. Brown
D.G. Stephenson
G.K. Garden
W.G. Brown
R.F. Legget, C.B. Crawford
T.D. Northwood, R.
Crawford
G.H. Johnston
D.C. Tibbets, M.C. Baker
R.F. Legget
G.K. Garden
W.A. Dalgliesh, W.R.
Schriever
M.C. Baker
G.K. Garden
M. Galbreath
G.K. Garden
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Lutte contre l'humidité et conception des toitures
Les propriétés des revêtements lamellaires bitumineux
Toits - terrasses
Qu'est-ce que la peinture?
Les immeubles et les personnes infirmes
Les peintures et autres revêtements de finition
Les nouveaux revêtements de finition organiques
Principes d'établissement des plans de fondations
Le choix du type de fondations
Les eaux de fond
Les piscines intérieures
Les sols d'assise expansibles et contractiles
Caractéristiques fondamentales du bois de construction
G.O. Handegord
P.M. Jones, G.K. Garden
G.K. Garden
H.E. Ashton
R.F. Legget
H.E. Ashton
H.E. Ashton
R.F. Legget, C.B. Crawford
R.F. Legget, C.B. Crawford
R.F. Legget
G.K. Garden
J.J. Hamilton
N.B. Hutcheon, J.H.
Jenkins
Quelques conséquences des propriétés du bois
N.B. Hutcheon, J.H.
Jenkins
La construction sur remblais
R.F. Legget
Emploi du bois de construction
H.B. Dickens
La glace sur les toits
M.C. Baker
Les revêtements pour parois intérieures
H.E. Ashton
Revêtements pour les bois exposés aux intempéries
H.E. Ashton
L'acoustique des salles publiques
T.D. Northwood
Murs préfabriqués en béton difficultés créées par leur tracé J.K. Latta
habituel
Murs préfabriqués en béton nouveaux principes de base
J.K. Latta
pour leur tracé
Dessin des toitures multicouches
M.C. Baker
Emploi des matériaux de calfeutrement
G.K. Garden
Le comportement des joints
G.K. Garden
Les revêtements pour éléments métalliques extérieurs des H.E. Ashton
bâtiments
Application des notions fondamentales pour la conception G.O. Handegord, M.C.
des toitures
Baker
Le système métrique
R.F. Legget
Les vitres réfléchissantes
D.G. Stephenson
Température ambiante et bien-être
N.B. Hutcheon
Les adjuvants du béton de ciment portland
E.G. Swenson
Effet de cheminée dans les bâtiments
A.G. Wilson, G.T. Tamura
Chauffage et refroidissement
D.G. Stephenson
Le problème fondamental du conditionnement de l'air
N.B. Hutcheon
L'effet de tirage et la conception d'un bâtiment
A.G. Wilson, G.T. Tamura
Phases du conditionnement de l'air
K.R. Solvason
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Installations de conditionnement d'air
La ventilation et la qualité de l'air
La pourriture du bois
Conception des toitures de bois de manière à prévenir la
pourriture
Géologie urbaine
La sécurité dans les bâtiments
Comportement des matériaux de construction
Durabilité du béton sous conditions hivernales
Altération des matériaux organiques de construction due à
l'atmosphère
Essais accélérés de durabilité sur matériaux organiques de
construction
Changement de volume et fluage du béton
Conception et durée de vie utile
Effets de l'irradiation sur les matériaux organiques
Radiation et autres facteurs climatiques
Construction de maçonnerie par temps froid
Attaque biologique des matériaux organiques
Problèmes causés par les parements dus aux mouvements
de charpente
Influence de l'orientation sur les parements extérieurs
Structure des matériaux poreaux de construction
Congélation adhérente et sulèvement des fondations dû au
gel
Possibilités de bris d'origine thermique des vitrages doubles
scellés
Humidification et séchage des matériaux poreux
Revêtements pour surface de maçonnerie
Épaisseur du verre destiné aux fenêtres
Mouvements de la fumée dans les bâtiments en hauteur
K.R. Solvason
A.G. Wilson
M.C. Baker
M.C. Baker
R.F. Legget
N.B. Hutcheon
P.J. Sereda
E.G. Swenson
H.E. Ashton
H.E. Ashton
R.F. Feldman
G.K. Garden
H.E. Ashton
H.E. Ashton
J.I. Davison
H.E. Ashton
W.G. Plewes
C.R. Crocker
P.J. Sereda
E. Penner, K.N. Burn
J.R. Sasaki
P.J. Sereda, R.F. Feldman
H.E. Ashton
W.G. Brown
J.H. McGuire, G.T.
Tamura
Le contrôle de la fumée dans les bâtiments en hauteur
J.H. McGuire, G.T.
Tamura
Égards pour les personnes handicapées
D.N. Henning
Le béton en milieux sulfatés
E.G. Swenson
Les structures gonflables
D.A. Lutes
Emploi de vieilles briques dans les nouvelles constructions T. Ritchie
Insonorisation des bureaux sans cloisons
L.W. Hegvold
Comportement thermique des murs de maçonnerie en béton T.Z. Harmathy, H.W. Allen
sous l'action du feu
Inflammabilité des matériaux de revêtement et d'isolants
A. Rose
Chauffage des locaux et conservation de l'énergie
D.G. Stephenson
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Glissement de terrains argileux
Gaz et vapeurs toxiques dûs aux incendies
Les ciments portland dans la construction des bâtiments
Prévention des congères aux alentours des bâtiments
La sécurité et les charpentes
Mouvements de fondations
Résistance thermique de l'isolant de bâtiment
Toits a étanchéite multicouches protégée
Evacuation des eaux pluviales des couvertures
Expansion des argiles litées pyriteuses
W.J. Eden
K. Sumi, Y. Tsuchiya
E.G. Swenson
P.A. Schaerer
D.E. Allen
C.B. Crawford
C.J. Shirtliffe
M.C. Baker, C.P. Hedlin
M.C. Baker
E. Penner, W.J. Eden, P.E.
Grattan-Bellew
Détachage du béton
V.S. Ramachandran, J.
Beaudoin
Les matières plastiques
A. Blaga
Le mouvement des joints et le choix du matériau de
G.O. Handegord, K.K.
calfeutrement
Karpati
Le drainage autour des bâtiments
G.P. Williams
Propriétés et comportment des matières plastiques
A. Blaga
Les thermoplastiques
A. Blaga
Les plastiques thermodurcissables
A. Blaga
Exigences calorifiques des systèmes de fonte de la neige
G.P. Williams
Problèmes d'humidité et de chaleur dans les murs de sous- C.R. Crocker
sol
Emploi des silicones comme hydrofuges dans la
T. Ritchie
construction
Mortier pour maçonnerie
J.I. Davison
Les effets acoustiques des écrans de bureaux sans cloisons A.C.C. Warnock
Chlorure de calcium dans le béton
V.S. Ramachandran
Les plastiques alvéolaires (mousses plastiques)
A. Blaga
Les thermoplastiques alvéolaires (mousses
A. Blaga
thermoplastiques) rigides
Les plastiques alvéolaires (mousses plastiques)
A. Blaga
thermodurcissables rigides
Les briques
T. Ritchie
Corrosion atmosphérique des métaux
P.J. Sereda
Les imprécisions dans la construction
J.K. Latta
Recommandations générales pour le peinturage des
H.E. Ashton
bâtiments
Vibrations des planchers
D.E. Allen, J.H. Rainer
Les vents au sol aux abords des bâtiments élevés
W.R. Schriever
Les pare-vapeur: que sont-ils? Sont-ils efficaces?
J.K. Latta
Ventilation des toitures-terrasses
M.C. Baker, C.P. Hedlin
Fondations des silos-tours
M. Bozozuk
178 Les isolants en mousse plastique et les risques d'incendie
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Inspection et entretien des toitures-terrasses
Les températures du sol
Retrecissement des membranes bitumineuses
Action du gel sur les fondations
Evacuation des eaux et érosion sur les chantiers de
construction
Fondations dans les sols sujets à des gonflements ou à
retraits
Defaillance des parements de briques sur les immeubles de
grande hauteur
Cloisons de bureaux: Exigences de l'acoustique pour la
conception et la construction
Essais non destructifs du béton
Effêts du vent sur les maisons mobiles
Combustion spontanée
Exigences des usagers des ascenseurs
Produits chimiques pour la fonte de la neige et de la glace
autour
Éclairage intérieur et économie de l'énergie
Évaluation des surcharges de neige sur les toits
Nettoyage de la maçonnerie en brique
Pompes à chaleur pour le chauffage des habitations
Publications sur la technologie du bâtiment au Canada
Évaluation de la toxicité des incendies
Protection des immeubles contre les inondations
Les ions de l'air et le confort humain
La technologie du bâtiment et son usage
Les codes nationaux du bâtiment et de prévention des
incendies et les documents connexes
Les joints dans les couvertures bitumineuses classiques
Superplastifiants et béton
Calcul de la résistance au feu
Composites de polyester renforcé de fibres de verre
Carreaux de carrière et autres carreaux de céramique pour
planchers
Dangers créés par les produits de combustion et
l'épuisement de l'air ambiant dans des locaux habités
Les séismes et les bâtiments au Canada
209 L'économie d'énergie dans les écoles existantes
210 Les normes de performance dans le bâtiment
G.W. Shorter, J.H.
McGuire
C.P. Hedlin
G.P. Williams,L.W. Gold
R.G. Turenne
K.N. Burn
G.P. Williams
J.J. Hamilton
W.G. Plewes
A.C.C. Warnock
R.F. Feldman
W.R. Schriever
Y. Tsuchiya,K. Sumi
B.M. Johnson
G.P. Williams
A.W. Levy
W.R. Schriever
T. Ritchie
R.L.D. Cane
E.R. Carson,G.P. Williams
K. Sumi,Y. Tsuchiya
G.P. Williams
C.Y. Shaw,G.T. Tamura
C.B. Crawford
H.B. Dickens
R.G. Turenne
V.S. Ramachandran
T.T. Lie
A. Blaga
T. Ritchie
A.D. Kent
J.H. Rainer,T.D.
Northwood
L. Jones
R.F. Legget, N.B. Hutcheon
211 Étanchéités multicouches de toitures : considérations
R.G. Turenne
pratiques
212 Le bâtiment et le coût global
A.S. Rakhra
213 Utilisation de plastiques dans le domaine du vitrage et de A. Blaga
l'éclairage
214 Automatisation dans les bâtiments : description sommaire A.H. Elmahdy
des systèmes centralisés de surveillance et de commande
215 Utilisation des déchets et sous-produits comme granulats du V.S. Ramachandran
béton
216 Propagation du feu d'un bâtiment à un autre
J.H. McGuire, G. WilliamsLeir
217 Cheminées et conduits d'évacuation domestiques
F. Steel
218 Effets de l'isolation sur la sécurité-incendie
T.T. Lie
219 Applications des plastiques en tuyauterie
A. Blaga
220 Tuyauterie thermoplastique
A. Blaga
221 Calcul aux états limites
D.E. Allen
222 Étanchéité à l'air des maisons et oxycarbonisme
F. Steel
223 Béton renforcé de fibres
J.J. Beaudoin
224 Détérioration des garages de stationnement
G.G. Litvan
225 Évaluation et réparation des planchers de garage
G.G. Litvan
endommagés
226 Approche conceptuelle pour limiter les risques d'incendie J.F. Berndt, J.K.
Richardson
227 Tuyaux de plastique thermodurcissable renforcé
A. Blaga
228 Glissement de la neige sur les toits en pente
D.A. Taylor
229 Détermination thermographique des défauts de l'enveloppe G.A. Chown, K.N. Burn
des bâtiments
230 Application des codes aux bâtiments existants
A.T. Hansen
231 Problèmes d'humidité dans les maisons
A.T. Hansen
232 Vibrations dans les bâtiments
J.H. Rainer
233 Réseaux détecteurs et avertisseurs d'incendie
R.H.L. McEwen
234 Fondations en bois
A.T. Hansen
235 Membranes d'étanchéité monocouches
H.O. Laaly, O. Dutt
236 Introduction à l'acoustique du bâtiment
A.C.C. Warnock
237 Réglementation de la construction des bâtiments
A.T. Hansen
238 Fiabilité des réseaux d'extincteurs automatiques à eau
J.K. Richardson
239 Facteurs modifiant la perte de transmission du son
A.C.C. Warnock
240 Transmission du son par les fenêtres
J.D. Quirt
241 Le béton modifié aux résines
A. Blaga, J.J. Beaudoin
242 Le béton de résine
A. Blaga, J.J. Beaudoin
243 Les meubles et accessoires et la sécurité incendie
K. Sumi
244 Effets du retrait du bois dans les bâtiments
A.T. Hansen
245 Ventilation mécanique et pression d'air dans les maisons
C.Y. Shaw
246 Comment améliorer la visibilité dans les incendies
247 Infiltration du radon dans les maisons
248 Le vitrage dans les murs résistants au feu
249 Comment réduire les risques d'inflammation dans les
bâtiments
250 Les ordinateurs et la construction
F.R.S. Clark
R.S. Dumont, D.A. Figley
J.K. Richardson, G.A.
Chown
F.R.S. Clark
D.J. Vanier
DIKE
An embankment or ridge, natural or man made, used to control the movement of liquids, sludges,
solids, or other materials. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY
OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
DIKE OVERFLOW
A dike constructed in a manner that allows uncontaminated water to flow unobstructed over the
dike while keeping the contaminant behind the dike. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
DIKE UNDERFLOW
A dike constructed in a manner that allows uncontaminated water to flow unobstructed under the
dike while keeping the contaminant behind the dike. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
DISCOVERY
14-12.7 Investigating Static Electric Ignitions. Often the investigation of possible static electric
ignitions depends on the discovery and analysis of circumstantial evidence and the elimination of
other ignition sources, rather than on direct physical evidence.
9-3.1 Misconceptions about Evidence. Evidence at the fire scene should not be thought of only in
a criminal context, such as the discovery of an incendiary device, or containers at a fire scene, but
includes everything in the scene. This can include: the physical structure, the contents, the fire
patterns, other artifacts (items), and any materials ignited.
"Nozzle control" is an important consideration concerning the investigation. The use of excessive
water at the fire scene can result in the dilution of any possible or suspected combustible or
flammable liquid. The dilution can result in a negative presence of an ignitable liquid in a field test
or in laboratory analysis, despite the fact that one may have been
present at the time of ignition. Excessive water at the scene can also result in evidence, such as
matches, burned paper or wood, floating away from the area where they were located, thus
negating their discovery and the evidentiary value.
921- 58 - (2-4.3 ): Reject
SUBMITTER: James A. Shinsky, International Association of Arson Investigators
COMMENT ON PROPOSAL NO: 921-42
RECOMMENDATION: Delete the proposed additional text, return to the original text in the 1995
edition.
SUBSTANTIATION: The proposal takes away from the intent of the entire guide. NFPA 921
stresses the importance of good accurate investigative techniques. It gives guidance on proper
methods and acceptable procedures to be used in fire investigations. NFPA 921 overall is a good
text to be used and supported. As with any manual or guide once entered into the court arena it is
subject to misuse. I feel that this is not a problem for the experienced investigator to overcome.
To accept this proposal is the beginning of the process that will diminish the effectiveness of the
guide.
To accept this proposal is giving investigators the authority to conduct drive by or desk top
investigations. Investigators will be able to keep up on hours billed and never have to get out in
the cold to look at the actual scene, facts or evidence. Once we begin to allow desk top reviews of
other investigators work as acceptable means for investigation of fires we might as well quit the
fire investigation business.
The issue of the fire investigator often not being able to do a physical exam of the scene appears
to be a problem for the plaintiffs side in a civil case and defense side in a criminal case. In either
case the open exchange of information between the investigator that did the physical examination
of the scene and one who did not, is not going to happen. This adversarial relationship will not
allow this during the investigative stage of a fire case.
Information exchange is compelled by the discovery process. The individual conducting the desk
top review is limited to the best decision on only part of the actual evidence and information from
scene.
Dispatch time - the time to relay the emergency message to the first due responding company
from the communications centre of first receipt. (OFM © 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
DISPERSION
To spread, scatter, or diffuse through air, soil, surface or ground water. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
DISSUASION (Prévention)
Si l'on effectuait une investigation approfondie des incendies, suivie d'une enquête appropriée
toutes les fois que cela s'avère indiqué, le travail d'investigation lui-même créerait une certaine
appréhension chez les incendiaires jeunes ou adultes. On pourrait ainsi pratiquement éliminer
l'incendiat car il est certain qu'un grand nombre de personnes n'allumeraient jamais d'incendies si
elles savaient que tous les incendies font l'objet d'une étude approfondie. [Stickney 1960]
DISSUASION (voir aussi Incrimination)
Il faut donc se demander quelles réformes seraient les plus opportunes, dans ces conditions, au
chapitre des dispositions pénales sur l'incendie. Il serait illusoire d'attendre d'une telle réforme
une réduction marquée des délits d'incendie en l'absence d'une transformation importante des
mentalités à cet égard. ... La suppression des dispositions pénales sur la fraude commise par le
moyen de l'incendie n'encouragerait peut-être pas l'accomplissement de tels actes, mais elle ne
contribuerait pas non plus à sensibiliser le public à la question et n'aurait aucun effet dissuasif sur
la mafia. Par contre, l'assurance, dans sa forme actuelle, constitue en elle-même une occasion
de réaliser un profit pour de nombreuses personnes aux prises avec des difficultés financières ou
tout simplement attirées par l'appât du gain. Selon certains, le recours au droit civil permettrait de
lutter plus efficacement contre cette tentation de profit que le droit pénal. [Réforme du droit
canadien, doc.36, 1984]
DISTANCE LIMITATIVE
distance mesurée perpendiculairement à une façade exposée, de cette façade au milieu d'une
ruelle ou d'une rue ou de cette façade jusqu'à une ligne imaginaire tracée entre 2 bâtiments
situés dans une même propriété [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES
PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
DISTILLATION (Gayet 1973)
Sous l'effet d'un échauffement, le combustible se modifie physiquement (et devient liquide puis
gazeux), ou bien, chimiquement (donne naissance à des produits de décomposition gazeux).
Dans l'un ou l'autre cas, il dégage des gaz inflammables. On peut considérer que le bois est
susceptible de s'enflammer aux environs de 280°C [572°F], si les gaz émis parviennent au
contact d'une flamme.[Gayet 1973]
DISTILLATION (Hydro Cut)
Distillation, process used to separate the substances composing a mixture; it involves a change of
state, e.g., liquid to gas, and subsequent condensation ( States Of Matter). A simple distillation
apparatus consists of three parts: a flask in which the mixture is heated, a condenser in which the
vapor is cooled, and a vessel in which the condensed vapor, called distillate, is collected. Upon
heating, the substances with a higher boiling point remain in the flask and constitute the residue.
When the substance with the lowest boiling point has been removed, the temperature can be
raised and the process repeated with the substance having the next lowest boiling point. The
process of obtaining portions (or fractions) in this way is called fractional distillation. In destructive
distillation various solid substances, such as wood, coal, and oil shale, are heated out of free
contact with air, and the portions driven off are collected separately. Distillation is used in refining
Petroleum and in preparing alcoholic beverages. (Hydro Cut General Terminology & Resource
Information)
DISTILLATION (IAAI)
A separation process in which a liquid is concerted to a vapour and the vapour is then condensed
back to a liquid. The usual purpose of distillation is separation of the compounds of a mixture.
Steam distillation separates all water insoluble liquids from solids and water soluble compounds
in a mixture. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris,
IAAI Forensic Science Committee)
DISTILLED BEVERAGE ALCOHOL means a beverage that is produced by fermentation and
contains more than 20 per cent by volume of water-miscible alcohol. (Ontario Fire Code 1996)
DISTILLERY means a process plant where distilled beverage alcohols are produced,
concentrated or otherwise processed, and includes facilities on the same site where the
concentrated products may be blended, mixed, stored or packaged. (Ontario Fire Code 1996)
DOWNWIND
In the direction in which the wind blows. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
Drafting
Drafting is the pulling of water from a source other than accepting pressurized water from a
hydrant or another fire apparatus. Cisterns, lakes, ponds and swimming pools are often used in
drafting operations. Many departments in rural areas without fire hydrants use drafting.
[email protected]
DRY CHEMICAL
Any of several powders used to extinguish fires. [Friedman 1989]
DRY ICE
Solid carbon dioxide. [Friedman 1989]
DRYING OIL
An organic liquid which, when applied as a thin film, readily absorbs oxygen from the air and
polymerises to form a tough elastic film. Linseed, tung, soybean and castor oils are drying oils.
Under certain conditions, usually involving large surface areas and insulation, such as a pile of
rags soaked with drying oils, spontaneous heating may occur. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
DUST
Solid particles generated by handling, crushing, grinding, rapid impact, detonation, and
decrepitation of organic or inorganic materials such as rock, ore, metal, coal, wood, and
grain. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED
TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
DWELLING UNIT(unité de logement) means a suite operated as a housekeeping unit, used or
intended to be used as a domicile by one or more persons and usually containing cooking, eating,
living, sleeping and sanitary facilities. (Ontario Fire Code 1996)
-EEAD sigle de " Enseignement à distance (EAD) Formation à distance (FAD) (formation). Dans
"l'Enseignement à Distance", l'essentiel des activités de transmission des connaissances
s'effectue en dehors de la relation directe "face-à-face" pédagogique, entre enseignants et
enseignés, répartis sur des lieux différents, ce qui ne s'oppose pas à l'existence, dans le cadre du
dispositif de formation, d'activités de type "présentiel". L'EAD est né, il y a plus d'un siècle, avec
l'enseignement par correspondance. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe
de travail ERFET, France)
ÉCHANTILLONNAGE CONCURRENTIEL / benchmarking
Démarche d'évaluation des produits, services, méthodes par rapport à ceux des entreprises les
plus performantes pour en tirer des renseignements permettant de progresser. (Mouvement
québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
ECONOMIC POISON
As defined in the Federal Insecticide, Fungicide, and Rodenticide Act (FIFRA), an economic
poison is "any substance or mixture of substances intended for preventing, destroying, repelling,
or mitigating any insects, rodents, nematodes, fungi, or weeds, or any other forms of life declared
to be pests . . . any substance intended for use as a plant regulator, defoliant, or desiccant." As
defined, economic poisons are generally known as pesticides. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
Ecology
The science that studies the ways in which plants and animals live together in the natural
environment of our planet. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
Ecosystem
An area in which energy, nutrients, water, and other biological and geological influences,
including all living organisms, work together and influence one another.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
EFFETS DU GEL
efforts résultant du gel d'un sol humide [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES
PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
EFFONDREMENT (effets de l') (voir aussi Plancher)
C'est sur le plancher et sur la partie inférieure des murs que l'on récoltera le plus grand nombre
d'indices quant aux causes de l'incendie car c'est la région la plus accessible. La plus grande
partie du matériel et des objets contenus se trouvent au niveau du plancher ou près du plancher,
région où s'exerce également l'activité des occupants, et, de toute façon, c'est l'endroit où
tombera la plus grande partie du matériel pendant l'incendie.
[Stickney 1960]
ELECTRIC AND MAGNETIC UNITS
Units used to express the magnitudes of various quantities in electricity and magnetism. Three
systems of such units, all based on the Metric System, are commonly used. One of these, the
mksa-practical system, is defined in terms of the units of the mks system and has the Ampere of
electric current as its basic unit. The units of this system - the Volt, Ohm, Watt, and farad - are
those commonly used by scientists and engineers to make practical measurements. The two
other systems, now being gradually abandoned, are both based on the cgs system. Electrostatic
units (cgs-esu) are defined in a way that simplifies the description of interactions between static
electric charges; there are no corresponding magnetic units in this system. Electromagnetic units
(cgs-emu), on the other hand, are defined especially for the description of phenomena associated
with moving electric charges, i.e., electric currents and magnetic poles. (Hydro Cut General
Terminology &Resource Information)
ELECTRIC CIRCUIT
An electric circuit can be described as an unbroken path along which an electric current may flow.
A simple circuit consists of a voltage source, such as a battery ( Cell, in electricity) or a Generator,
whose terminals are connected to those of a circuit element, such as a Resistor, through which
current can flow. More complex circuits include additional sources or elements and perhaps
Switches, so interconnected that, when appropriate switches are closed, each element is included
in a closed path that also contains a source. Series, parallel, and non-series-parallel connections
are illustrated in the figure. The effective Resistance of two series-connected resistors is the sum
of the individual resistances. The effective conductance (reciprocal of resistance) of two parallelconnected resistors is the sum of the individual conductances. (Hydro Cut General Terminology
&Resource Information)
ELECTRICAL STORM
An atmospheric disturbance characterized by intense electrical activity, producing lightning strikes
and strong electric and magnetic fields. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
ELECTRICITY
Electricity describes a class of phenomena arising from the existence of charge. According to
modern theory, most Elementary Particles of matter possess charge, either positive or negative.
Two particles of like charge, both positive or both negative, repel each other; two particles of
unlike charge are attracted ( CoulombÆs Law). The electric Force between two charged particles
is much greater than the gravitational force between the particles. Many of the bulk properties of
matter are ultimately due to the electric forces among the particles of which the substance is
composed. Materials differ in their ability to allow charge to flow through them. Those that allow
charge to pass easily are conductors ( Conduction), whereas those that allow extremely little
charge to pass through are called insulators (Insulation), or Dielectrics. A third class of materials,
called Semiconductors, is intermediate. Electrostatics is the study of charges, or charged bodies,
at rest. When a positive or negative charge builds up in fixed positions on objects, certain
phenomena can be observed that are collectively referred to as static electricity. The charge can
be built by rubbing certain objects together, such as silk and glass or rubber and fur; the friction
between these objects causes Electrons to transfer from one to another with the result that the
object losing electrons acquires a positive charge and the object gaining electrons acquires a
negative charge. Electrodynamics is the study of charges in motion. A flow of electric charge
constitutes an electric current. In order for a current to exist in a conductor, there must be an
Electromotive Force (emf), or potential difference, between the conductor's ends. An electric Cell,
a Photovoltaic Cell, and a Generator are all sources of emf. An emf source with an external
conductor connected from one of the source's two terminals to the other constitutes an Electric
Circuit. Direct current (DC) is a flow of current in one direction at a constant rate. Alternating
current (AC) is a current flow that increases in magnitude from zero to a maximum, decreases
back to zero, increases to a maximum in the opposite direction, decreases to zero, and then
repeats this process periodically. The number of repetitions of the cycle occurring each second is
defined as the frequency, which is expressed in Hertz (Hz). The frequency of ordinary household
current in the U.S. is 60 cycles per sec (60 Hz), and electric devices must be designed to operate
at this frequency. In a solid, the current consists not of a few electrons moving rapidly but of many
electrons moving slowly; although this drift of electrons is slow, the impulse that causes it moves
through the circuit, when the circuit is completed, at nearly the speed of light. The movement of
electrons in a current is not steady; each electron moves in a series of stops and starts. In a direct
current, the electrons are spread evenly through the conductor; in an alternating current, the
electrons tend to congregate along the conductor surface. In liquids, gases, and semiconductors,
current carriers may be positively or negatively charged. (Hydro Cut General Terminology
&Resource Information)
ÉLECTROLYSE

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Quand le liquide est de l'alcool, aucun courant ne passe.
Quand il s'agit d'eau distillée, que l'on utilise un ampèremètre très sensible et que
la différence de potentiel est forte, on peut noter une très faible lecture sur
l'ampèremètre.
On recommence l'expérience en ajoutant chaque fois à l'eau une substance
différente.
Quand on ajoute des Acides, des Bases ou des Sels, le courant passe et des
réactions chimiques ont lieu aux électrodes.
Quand on ajoute à l'eau du sucre, du glucose, de l'alcool, etc., le courant ne passe
pas.
Si l'on procède à la même expérience en remplaçant l'eau par de l'iodure de
potassium fondu, le courant passe et des vapeurs d'iode se dégagent à l'électrode
positive.
Quand le sel se solidifie, le courant ne passe plus.
Les Composés qui conduisent l'électricité quand ils sont dissous dans l'eau ou
quand ils sont fondus sont appelés des électrolytes. Les acides, les bases et les sels sont
les principaux électrolytes.
Les composés qui ne laissent pas passer le courant dans ces circonstances sont
dits non-électrolytes.
Les plaques de cuivre par lesquelles le courant entre ou sort de la solution de
l'électrolyte sont appelées des électrodes.
Celle qui est reliée à la borne positive de la pile s'appelle l'anode, l'autre s'appelle
la cathode.
Explication de l'électrolyse
On appelle "électrolyse" l'ensemble des changements chimiques qui se produisent lorsqu'un
courant électrique passe dans un Électrolyte.
Comme il est indiqué à la page concernant les Liaisons Ioniques et Covalentes, tous les
composés électrovalents sont formés d'ions chargés positivement et négativement, présents en
nombre tels que la substance soit électriquement neutre au total.
Ces ions sont normalement maintenus ensemble par l'attraction électrostatique qui existe entre
des particules qui sont positivement et négativement chargées.
Mais les ions deviennent libres de leurs mouvements quand le Composé est fondu ou quand les
ions deviennent séparés comme dans le cas où le composé est dissous dans l'eau. (Ivan Noels)
ELECTROLYSIS (Hydro Cut)
The passage of an electric current through a conducting solution or molten salt (either is a type of
Electrolyte that is decomposed in the process. When a cathode, or negative electrode, and an
anode, or positive electrode, are dipped into a solution, and a direct-current source is connected
to the electrodes, the positive ions migrate to the negative electrode and the negative ions
migrate to the positive electrode. At the negative electrode each positive ion gains an electron
and becomes neutral; at the positive electrode each negative ion gives up an electron and
becomes neutral. The migration of ions through the electrolyte constitutes the electric current
flowing from one electrode to the other. Electrolysis is used in the commercial preparation of
various substances, e.g., chlorine by the electrolysis of a solution of common salt, and hydrogen
by the electrolysis of water. The electrolysis of metal salts is used for plating. (Hydro Cut General
Terminology &Resource Information)
ELECTROLYTE
An electrical conductor in which current is carried by Ions rather than free electrons (as in a
metal). Electrolytes include water solutions of acids, bases or salts; certain pure liquids; and
molten salts. Electrolysis. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
ELECTROMOTIVE FORCE
Electromotive force (emf) is the difference in electric Potential, or voltage, between the terminals
of a source of electricity. It is usually measured in Volts. (Hydro Cut General Terminology
&Resource Information)
ELECTRON
A negatively charged subatomic particle which circles the nucleus of the atom in a cloud. Most
chemical reactions involve the making and breaking of bonds held together by the sharing of
electrons. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris,
IAAI Forensic Science Committee)
ELECTRON CAPTURE DETECTOR (ECD)
A type of gas chromatographic detector which is sensitive to halogenated hydrocarbons and other
molecules capable of easily gaining an electron. Electron capture is not generally used for
hydrocarbon detection. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of
Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ELEMENT
One of 106 presently known kinds of substances that comprise all matter at and above the atomic
level. (See Periodic Table) (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis
Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ELUTION
The process of removing absorbed materials from the surface of an adsorbent such as activated
charcoal. The solvent in this process is called the eluant. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
EMBRASEMENT (Gayet 1973)
À la première ouverture qui se produit dans un local - un appel d'air provoqué par le bris d'une
vitre ou par l'ouverture d'une porte par exemple- le mélange avec l'air permet la combustion avec
cette masse de gaz; c'est ce qu'on appelle l'embrasement, qui peut porter le feu dans l'ensemble,
enflammant jusqu'aux peintures murales et, d'une manière générale, tout ce qui peut s'oxyder en
s'auto-accélérant au-dessus de 800°C. ... À l'embrasement, de larges brèches s'ouvrent dans les
toitures et les parties supérieures des locaux. Un tirage important est établi et il n'est plus
question d'éteindre l'incendie, on ne peut plus que le circonscrire. [Gayet 1973]
**embrasement général / embrasement généralisé / embrasement instantané / embrasement
éclair / embrasement total / incendie généralisé / feu généralisé / inflammation générale /
inflammation généralisée / inflammation instantanée / flash-over : Passage brusque à l'état de
combustion généralisée en surface de l'ensemble des matériaux combustibles dans un local.
Phénomène qui se produit lorsqu'on introduit de l'air en masse dans une enceinte close dont
l'atmosphère est appauvrie en oxygène par suite de l'émission de gaz combustibles qui sont
mélangés à l'air et aux fumées. L'embrasement général se produit lorsque la chaleur rayonnante
est si intense (environ 1 400 F (760 C] qu'elle enflamme tout ce qui est sur les lieux de l'origine de
l'incendie. [Flash-over] Le terme anglais "flash-over" est généralement utilisé. embrasement
éclair: terme normalisé par l'ISO (Source : Termium 1994)
EMBRASEMENT ET ACCÉLÉRANTS (Shanley 1994)
L'embrasement est un phénomène très important dans la dynamique d'un incendie. Il peut
survenir dans la plupart des pièces en présence de suffisamment de matière combustible et
d'oxygène. Quand est survenu l'embrasement, des indicateurs de fumée et de feu sont apparus
sur plusieurs surfaces non-protégées de la pièce, incluant la partie basse des murs et le plancher
[incluant d'autres surfaces horizontales]. Ces indicateurs sont engendrés par la grande quantité
d'énergie thermique et la fumée libérées dans la pièce soumise à l'embrasement. [...]
L'investigateur doit déterminer, à partir de l'état de la pièce et de ses contenus, si un
embrasement est survenu; le cas échéant, il doit faire état des effets de cet embrasement. [...]
Plusieurs matériaux synthétiques (incluant du tapis ordinaire) brûlent et peuvent laisser, à
l'analyse, des produits de pyrolyse très semblables aux substances retrouvées dans les liquides
inflammables comme l'essence et le kérosène. [...] Presque n'importe quel type de matériel
combustible peut engendrer l'embrasement et les paramètres d'intensité y associés. Le feu d'un
sofa principalement composé de polyuréthane dans un salon ordinaire de 10 pieds sur 12 pieds
peut causer l'embrasement dans cete pièce en 5 minutes ou moins. Les témoins et les
intervenants peuvent dire de cet incendie qu'il s'est développé très rapidement et que le feu était
très intense. La prudence commande à l'investigateur de ne pas associer à l'incendiat pareil
développement et pareille intensité. Le recherche en incendie, les investigations, et la
modélisation d'incendie ont démontré tour à tour que pareilles manifestations peuvent se produire
dans des pièces ne contenant aucun accélérant. [J.H. Shanley, Fire Investigation Change and
Evolution, Part 2: Understanding the Science of Fire, FIRE ENGINEERING, May/June 1994]
EMERGENCY OPERATIONS CENTER (EOC)
The secured site where government officials exercise centralized direction and control in an
emergency. The EOC serves as a resource center and coordination point for additional field
assistance. It also provides executive directives to and liaison for state and federal government
representatives, and considers and mandates protective actions. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
EMERGENCY OPERATIONS PLAN
A document that identifies the available personnel, equipment, facilities, supplies, and other
resources in the jurisdiction, and states the method or scheme for coordinated actions to be taken
by individuals and government services in the event of natural, man-made, and attack related
disasters. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
EMERGENCY RESERVE ACCOUNT FOR HAZARDOUS MATERIAL INCIDENTS
A fund administered by the California Department of Toxic Substances Control to finance actions
only for the purpose of remediation or prevention of threats of fire, explosion or human health
hazards resulting from a release or potential release of a hazardous substance. (Health and
Safety Code 25354) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
EMERGENCY RESPONSE
Response to any occurrence which has or could result in a release of a hazardous substance. (8
CCR 5192) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
EMERGENCY RESPONSE ORGANIZATION
An organization that utilizes personnel trained in emergency response. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
EMERGENCY RESPONSE PERSONNEL
Personnel assigned to organizations that have the responsibility for responding to different types
of emergency situations. (NFPA 1991, 1-3) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
EMISSION SPECTROSCOPY
The study of the composition of substances and identification of elements by observation of the
wavelengths of radiation emitted by the substance as it returns to a normal state after excitation
by an external source. Generally used for elemental analysis. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
EMPLACEMENT DANGEREUX
Lieu, bâtiment ou partie de bâtiment présentant des risques d'explosion ou d'incendie:
€ a) parce qu'on y fabrique, utilise ou emmagasine dans des récipients autres que les récipients
d'origine, des gaz très inflammables, des liquides volatils inflammables ou d'autres substances ou
mélanges très inflammables;
€ b) parce qu'on peut y trouver des poussières ou parcelles combustibles en quantité suffisante
pour constituer un mélange explosif ou combustible, ou parce qu'on ne peut éviter l'accumulation
de ces poussières ou parcelles sur ou dans les moteurs, les lampes à incandescence ou autre
appareillage électrique en quantité suffisante pour causer un échauffement accidentel par
manque de diffusion de la chaleur;
€ c) parce qu'on y fabrique manipule ou utilise en vrac des fibres facilement inflammables ou des
matériaux produisant des parcelles combustibles;
€ d) parce qu'on y emmagasine en ballots ou dans des récipients, des fibres facilement
inflammables ou des matériaux produisant des parcelles combustibles, mais qui n'y sont pas
fabriqués ou manipulés en vrac. (Code de l'électricité du Québec, 1987, p.35)
EMPLOYEUR
Une personne qui, en vertu d'un contrat de louage de services personnels ou d'un contrat
d'apprentissage, même sans rémunération, utilise les services d'un travailleur; un établissement
d'enseignement est réputé être l'employeur d'un étudiant, dans les cas où, en vertu d'un
règlement, l'étudiant est réputé être un travailleur ou un travailleur de la construction (LSST, S21)
EMULSION
A stable mixture of two or more immiscible liquids in suspension. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ENDOTHERMAL
A reaction that occurs with the absorption of heat. (Hydro Cut General Terminology &Resource
Information)
ENDOTHERMIC
A process or chemical reaction which is accompanied by absorption of heat. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
ENDOTHERMIC REACTION
A chemical reaction which absorbs heat. (Glossary Of Terms Related To Chemical And
Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ENERGETICS OF CHEMICAL CHANGE
Every chemical change is accompanied by a change of energy because the chemical energy of
the reaction products is different from that of the reactants. This change usually is manifested in
the form of heat energy, but also can include electrical energy (for electrochemical processes, as
in batteries) or mechanical energy, where expansion or contraction or kinetic energy (motion) is
involved (as in explosions). [Friedman 1989]
ENERGY TRACE AND BARRIER ANALYSIS
The Energy Trace and Barrier Analysis (ETBA) method can be used to develop a more detailed
understanding of energy exchanges that occurred during a phenomenon. This technique
approaches the development of Event Building Blocks (EBBs) by tracing the flows of energy into,
within, and out of a system or component involved in a phenomenon. It is based upon the
premises that energy flows introduce changes in a system or component which, if understood,
can be predicted and controlled. ETBA documents energy flows by methodically tracing energy
movements within systems or components, and across interfaces, to identify behaviors that
influenced the course of events being investigated. (Ludwig Benner, MES Guide 5, TASK
GUIDANCE FOR DOCUMENTING ENERGY TRACE AND BARRIER ANALYSES, 1998)
ENERGY UNITS (Friedman 1989)
The basic SI unit of energy is the joule (J). A joule is the quantity of energy expended when a
force of 1 newton pushes something a distance of 1 meter. Thermal energy as well as mechanical
energy can be expressed in joules. One joule equals 0.239 calorie, or 4.187 joules equal 1
calorie. (A calorie is the energy needed to heat one gram of water 1°C; a dietetician's "calorie" is
actually 1000 calories.) Electrical energy can be expressed in joules; one joule is 1 watt-second.
One megajoule (1,000,000 joules) is o.278 kilowatt-hour. (for example, if a power of 1 kilowatt is
released in an electric iron for 0.278 hour, than 1 megajoule of thermal energy has been
released.) In English units, energy is expressed in foot-pounds or BTUs. One foot-pound is equal
to 1.355 joule, and 1 BTU is equal to 1055 joules or 252 calories. [Friedman 1989]
ENGINE (FIRE USAGE)
Any emergency response vehicle providing specified levels of pumping, water, hose capacity, and
personnel. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
Engine
The engine is also referred to as a pumper because of its ability to pump water. In most cases, an
engine carries small ground ladders, supply line to connect it with a hydrant, hand lines to fight
the fire with and a tank holding between 500 and 1,000 gallons of water. [email protected]
Engine Company
An engine company is a combination of a fire engine and the manpower used to staff it. A
standard engine company will include an officer, driver/engineer and two firefighters on a pumper
truck. [email protected]
ENQUÊTES (sur les circonstances) (voir aussi Recherches)
14. Le commissaire-enquêteur doit tenir une enquête sur les circonstances qui ont entouré un
incendie ou une explosion qui a détruit ou endommagé un bâtiment, toutes les fois qu'il a des
raisons de croire, après ses recherches, que cet incendie ou cette explosion est survenu par suite
de la conduite coupable ou de la préméditation de la part d'un tiers. Il doit également tenir une
enquête chaque fois que le ministre de la Sécurité publique lui en fait la demande. [L.R.Q.,
Chapitre E-8, Loi concernant les enquêtes sur les incendies, 01 mars 1993]
ENQUÊTEUR (Richer 1989)
Personne qui s'enquiert, qui est chargée de faire des enquêtes. Personne qui effectue une
recherche des faits concernant une question. En matière d'incendie, l'enquêteur vise à déterminer
d'abord la cause du sinistre et, subséquemment, le cas échéant, suite à l'enquête criminelle, à
préciser sa classification selon les exigences de la Déclaration uniforme de la criminalité (D.U.C.)
[Michel Richer 1989]
ÉQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE (EPI)
Ce terme désigne les articles et vêtements qui se portent pour empêcher l'exposition directe à
une matière ou à une situation dangereuse. Les équipements de protection individuelle
recommandés sont souvent listés dans les FTSS; ceux qui servent à protéger contre l'exposition
aux produits chimiques peuvent être des vêtements ou des appareils de protection des voies
respiratoires et des yeux. Les équipements de protection individuelle doivent n'avoir qu'une
importance secondaire par rapport aux mesures d'ingénierie, car ils sont parfois peu fiables et
s'ils font défaut, le travailleur risque de se retrouver sans aucune protection. On a parfois recours
à des équipements de protection individuelle en plus
des mesures d'ingénierie. Par exemple, un système de ventilation (mesure d'ingénierie) réduit le
danger des produits chimiques pour les voies respiratoires, alors que les gants et les tabliers
(équipements de protection individuelle) réduisent le contact avec la peau. On peut aussi avoir
recours aux équipements de protection individuelle lorsque les mesures
d'ingénierie ne sont pas pratiques, que ce soit en cas d'urgence ou dans des circonstances
temporaires, comme les travaux d'entretien. (Canutec)
ENSEIGNEMENT ASSISTÉ PAR ORDINATEUR (EAO) (formation) [Computer Based Training,
Computer Aided Learning]
Ensemble des techniques et des méthodes d'utilisation de systèmes informatiques comme outils
pédagogiques intégrés au contexte éducatif. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1,
groupe de travail ERFET, France)
ENSEIGNEMENT OUVERT - FORMATION OUVERTE (formation) [Open Learning]
"L'enseignement ouvert" traduit la volonté d'élargir le mode d'apprentissage à distance.
L'apprentissage ouvert peut être défini comme la volonté d'offrir à l'apprenant une plus grande
liberté de choix, non seulement quant aux lieux, rythme et durée d'apprentissage, mais
également quant aux stratégies d'apprentissage mises en jeu, voire quant au contenu des cours
étudiés. Cette notion est issue de celle de "Opening learning" des anglosaxons qui ont été les
premiers à appliquer de façon formalisée l'enseignement à distance dans un cadre
universitaire. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET,
France)
ENTRAINMENT
The process in which a slow-moving or stagnant fluid mixes into an adjacent turbulent flow. For
example, a rising fire plume entrains surrounding air. [Friedman 1989]
ENTRY TEAM LEADER
The entry leader is responsible for the overall entry operations of assigned personnel within the
Hot Zone. (FIRESCOPE ICS-HM) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
EROSION
1) In a solid rocket, the wearing away of the propellant due to heat, radiation and gas velocity. 2)
Wearing away of a bore due to combined effect of gas washing, scouring and mechanical
abrasion. ( Corrosion.) (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
ESSAI / test
Opération technique qui consiste à déterminer ou à vérifier une ou plusieurs caractéristiques d'un
produit, processus ou service, selon un mode opératoire spécifié. - NF X 50 - 061 (Mouvement
québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
ESSAI D'INCOMBUSTIBILITÉ
Un matériau de construction est considéré comme incombustible s'il respecte les critères de
réception contenus dans la norme CAN4-S114M80, Méthode d'essai normalisée pour la
détermination de l'incombustibilité des matériaux de construction. La méthode d'essai n'a pour
but que d'évaluer la performance des matériaux de construction de base; elle ne s'applique pas
aux matériaux recouverts d'un revêtement de protection ou de décoration, ni à ceux qui sont
imprégnés ou constitués de plusieu¦es de matériaux différents.
L'essai est réalisé dans un petit four chauffé à l'électricité. Les températures dans le four sont
déterminées par un thermocouple de contrôle servant à stabiliser la température du four avant
l'essai, et par un thermocouple indicateur, utilisé pour mesurer toute augmentation de la
température lors de l'essai. Un miroir est utilisé pour faire des observations par l'évent durant
l'essai.
Les échantillons d'essai ont une base de 38 sur 38 mm et une hauteur de 50 mm. Si l'échantillon
risque de se désintégrer ou de fondre durant l'essai, il doit être soutenu par une toile métallique
ou un plat de tôle mince. Au moins trois échantillons du matériau doivent être soumis à l'essai.
Avant de procéder aux essais, ces échantillons doivent être séchés durant une période de 24 à
48 heures et refroidis à la température de la pièce dans un milieu sec.
Juste avant un essai, le four est chauffé jusqu'à ce que le thermocouple de contrôle indique 750
C, puis stabilisé à 1 C près durant 15 minutes. L'échantillon est placé dans le porte-échantillon et
inséré dans le four par le dessous. La durée de l'essai est de quinze minutes, sauf si l'on constate
dès les premières minutes que l'essai a échoué.
Les matériaux soumis à l'essai sont considérés comme incombustibles si:
· La moyenne des augmentations maximales de température (mesurée par le thermocouple
indicateur) pour les trois échantillons (ou plus) soumis à l'essai n'excède pas 36 C.
· Aucun des échantillons n'est la proie des flammes durant les dernières 14 minutes et 30
secondes de l'essai.
· La perte maximale de masse de n'importe lequel des échantillons ne dépasse pas 20% durant
l'essai.
Il importe de noter que le résultat de l'essai est soit une réussite ou un échec, c'est-à-dire que le
matériau se révèle combustible ou incombustible. L'essai ne permet pas de mesurer le degré de
combustibilité du matériau. (CNRC, Combustibilité des matériaux de construction, J.R. Mehaffey,
Ph.D., 1987)
ESPACE MÉDIATIQUE (informatique) [media space ]
Un environnement pouvant concerner deux ou plusieurs postes de travail, dans lesquels des cotravailleurs sont connectés par de multiples formes de communication médiatique via
l'intervention et le contrôle de l'informatique. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1,
groupe de travail ERFET, France)
ÉTABLISSEMENT
L'ensemble des installations et de l'équipement groupés sur un même site et organisés sous
l'autorité d'une même personne ou de personnes liées, en vue de la production ou de la
distribution de biens ou de services, à l'exception d'un chantier de construction; ce mot comprend
notamment une école, une entreprise de construction ainsi que les locaux mis par l'employeur à
la disposition du travailleur à des fins d'hébergement, d'alimentation ou de loisirs, à l'exception
cependant des locaux privés à usage d'habitation (LSST, S2-1)
ÉTABLISSEMENT COMMERCIAL
bâtiment ou partie de bâtiment servant à l'étalage ou à la vente au détail, tel que décrit à la soussection 3.1.2 [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU
BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
ÉTABLISSEMENT HOSPITALIER, D'ASSISTANCE OU DE DÉTENTION
bâtiment ou partie de bâtiment où des personnes sont retenues pour soins ou traitements
médicaux, ou détenues pour des motifs judiciaires, correctionnels ou de sécurité publique, tel que
décrit à la sous-section 3.1.2 [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS,
CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
ÉTABLISSEMENT INDUSTRIEL (S-3)
bâtiment ou partie de bâtiment affecté à l'assemblage, la fabrication, la transformation, le
traitement, la réparation, l'entreposage ou la vente en gros de matières ou produits, tel que décrit
à la sous-section 3.1.2 [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE
DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
ÉTABLISSEMENT INDUSTRIEL (CSA C-22)
Bâtiment ou partie de bâtiment (autre qu'un bureau ou un local d'exposition) où des personnes
sont employées à la fabrication ou à la manutention de matériel. Ce terme est destiné à distinguer
ces locaux des logements, des bureaux et autres locaux à usage analogue. (Code de l'électricité
du Québec, 1987, p.30)
ÉTABLISSEMENT D'AFFAIRES
bâtiment ou partie de bâtiment destiné aux affaires ou à des services professionnels ou
personnels, tel que décrit à la sous-section 3.1.2 [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES
ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
ÉTABLISSEMENT RECEVANT LE PUBLIC
bâtiment ou partie de bâtiment où des personnes se réunissent pour des fins civiques, politiques,
religieuses, sociales, éducatives, récréatives ou de voyage tel que décrit à la sous-section 3.1.2:
ÉTAGE
partie d'un bâtiment comprise entre les faces supérieures de deux planchers successifs, ou entre
la face supérieure d'un plancher et le plafond, lorsqu'il n'y a pas de plancher au-dessus [S-3, r.2,
LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S3)]
ÉTAIN
L'étain est très employé pour recouvrir l'acier doux d'une couche protectrice. Cet étamage est
effectué en plongeant des feuilles nettoyées d'acier doux dans de l'étain fondu ou par dépôt
électrolytique. Le cuivre et d'autres métaux sont quelques fois étamés eux aussi. [Pauling 1958]
ÉTENDUE DE PLANCHER (aire de plancher -- floor area)
superficie totale d'un plancher limitée par les murs extérieurs, ou par les murs coupe-feu lorsque
ceux-ci sont prescrits, réduite de la superficie des issues et des vides techniques qui traversent
l'étage [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU
BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
ETHANE
A simple alkane having the formula C2H6. A minor component of natural gas. Its explosive range
is 3% to 12.5%. Ethane has approximately the same vapour density as air. (Glossary Of Terms
Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
ETHANOL
Ethyl alcohol. Grain alcohol. Flammable, water soluble alcohol. Flash point of 55F. Explosive
limits of 3.3% to 19%. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of
Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ETHANOL (Hydro Cut)
Ethanol, or ethyl alcohol (CH3CH2OH), a colorless liquid with characteristic odor and taste,
commonly called grain alcohol or, simply, Alcohol. Ordinary ethanol is about 95% pure, the
remaining 5% being water, which can only be removed with difficulty to give pure or absolute
ethanol. Ethanol is the alcohol in beer, wine, and liquor, and can be made by the fermentation of
sugar or starch. Denatured alcohol, for industrial use, is ethanol with toxic additives. Ethanol is
used as a solvent in the manufacture of varnishes and perfumes; as a preservative; in medicines;
as a disinfectant; and as a fuel. Ethanol is a soporific; if its presence in the blood exceeds about
5%, death usually occurs. Behavioral changes, impairment of vision, or unconsciousness occur at
lower concentrations. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
ETHER
Ethere or aether, in physics, a hypothetical medium for transmitting Electromagnetic radiation,
filling all unoccupied space. The theory of Relativity eliminated the need for such a medium, and
the term is used only in a historical context. (Hydro Cut General Terminology &Resource
Information)
ETHER
Diethyl ether, ethyl ether. A highly flammable solvent which can form explosive peroxides when
exposed to air. Flash point of -49F. Explosive range of 1.85% to 48%. (Glossary Of Terms
Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
ETHYLBENZENE
A component of gasoline, but also a major breakdown product or pyrolsis product given off when
certain polymers are heated. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis
Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ÉTINCELLE
Depuis les temps les plus anciens, les étincelles sont produites par la friction. C'est le principe du
briquet à silex, qui était probablement la technique la plus connue avant le XIXe siècle. Les
étincelles résultant du frottement de l'acier sur la pierre servaient à allumer une substance
inflammable sèche, que l'on appelle amadou. L'amadou était composé de quelques morceaux de
tissu ou de fils desséchés, de bois entamé par la pourriture, ou de copeaux de bois. L'amadou,
comme la pierre et l'acier, était habituellement conservé pour utilisation immédiate dans un
"briquet à amadou". Lorsqu'on parle de pierre aux fins de produire des étincelles, il s'agit d'un
terme générique. De fait, toute substance minérale dure pouvait être utilisée, mais les pierres de
la famille du quartz étaient utilisées de préférence. Le briquet à friction apparut en 1900. Cet
appareil était constitué d'un briquet à silex qui allumait une mèche de coton saturée d'essence
minérale fossile. La "pierre" était constituée d'un alliage de fer doux et de cérium. Des étincelles
se produisaient lorsque ce métal venait en contact avec une surface métallique rude, par exemple
une lime ou une râpe, ce qui créait la friction nécessaire. Les briquets modernes d'aujourd'hui
fonctionnent selon ce principe et les pierres sont encore composées d'un alliage fercérium. [Appareils d'éclairage, 1984]
ÉTUDE DE L'EXISTANT
Première étape de toute recherche consistant à faire un bilan sur les travaux déjà réalisés dans le
domaine, les points étudiés et les questions et problèmes non encore élucidés. Une autre
acception est un type de recherche consistant à partir des réalisations faites pour en analyser les
fondements, les usages et les implications et en faire un bilan critique. (Glossaire Formation et
Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
EUTETIC
The lowest melting point of an alloy or solution of two or more substances (usually metals) that is
obtainable by varying the percentage of the components. Eutetic melting sometimes occurs when
molten aluminium or molten zinc comes in contact with solid steel or copper. (Glossary Of Terms
Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
EVACUATION
The removal of potentially endangered, but not yet exposed, persons from an area threatened by
a hazardous materials incident. (FIRESCOPE ICS-HM) HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
EVAPORATION
Conversion of a liquid to the vapour state. See also vaporisation. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
EVAPORATION RATE
A measure of the quantity of a liquid converted to vapour in a unit of time. Among single
component liquids, the rate varies directly with the surface area, the temperature and the vapour
pressure, and inversely with the latent heat of vaporisation of the liquid. (Glossary Of Terms
Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
EVENT (en anglais, unité d'événement)
One actor + one action; the basic investigative and analytical building block (event unit / item).
(See also MES concepts and logic tools)
Evolution - a series of supervised activities undertaken by fire suppression staff leading to the
completion of a fire or training ground function. (OFM © 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
EXAMEN DES LIEUX (1) (voir Exigence scientifique)
Documentation. L'examen détaillé des lieux d'un incendie consiste évidemment à bien
documenter l'état du site. En effet, l'investigateur de la scène doit illustrer son travail à l'aide de
relevés photographiques, l'établissement de croquis ou de plans, la prise de notes et les
prélèvements d'indices. (L'enquête d'incendie, Carrefour Incendie,
http://pages.infinit.net/incendie/index.html, nov. 1998)
EXFILTRATION
Air flow outward through a wall, leak, membrane, etc. [ASHRAE Guide and Data Book 1963]
EXHAUST (voir Ventilation)
Rapid generation of steam within a confined space causes the original atmosphere (heated
smoke and air) to be displaced by an atmosphere of steam. ... The major movement of this
displacement is always upward and outward. ... If the volume of steam generated within the space
exceeds the net atmospheric volume of the space, the EXCESSIVE steam will be forced out by
way of the same channels and OPENINGS through which the original atmosphere was
exhausted. [Layman 1955]
EXIGENCE SCIENTIFIQUE (1) (voir Examen des lieux)
" Si l'hypothèse émise au sujet de l'allumage d'un incendie ou du déclenchement d'une explosion
ne repose pas sur une donnée physique et/ou scientifique, elle n'est qu'une spéculation gratuite,
sans aucun lien avec la réalité." (1) "Incendie et explosion d'atmosphère" Jean-Claude Martin,
chimiste, Institut de police scientifique et de criminologie, Université de Lausanne,
Suisse. (L'enquête d'incendie, Carrefour Incendie, http://pages.infinit.net/incendie/index.html, nov.
1998)
EXIT means that part of a means of egress, including doorways, that leads from the floor
area it serves to a separate building, an open public thoroughfare or an exterior open
space protected from fire exposure from the building and having access to an open public
thoroughfare. (Ontario Fire Code 1996)
EXOÉNERGÉTIQUE
(Transformation) Qui correspond à une diminution d'énergie libre (à volume constant) ou
d'enthalpie libre (à pression constante). [DP 1991]
EXOTHERMAL
A process characterized by the evolution of heat. (Hydro Cut General Terminology &Resource
Information)
EXOTHERMIC
A process or chemical reaction which is accompanied by the evolution of heat. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
EXOTHERMIC REACTION
A chemical reaction which evolves heat. Combustion reactions are exothermic. (Glossary Of
Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
EXOTHERMIQUE
(Transformation) Qui dégage de la chaleur. [DP 1991]
EXOTHERMIQUE (réaction)
Ainsi, nous savons que lorsqu'on fait brûler dans l'air un combustible, les produits sont très
chauds; cette combustion est donc une réaction fortement exothermique. [Pauling 1958]
EXPÉRIENCE nf
Situation provoquée méthodiquement en vue d'une connaissance à obtenir, en particulier dans le
but de contrôler une hypothèse. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de
travail ERFET, France)
EXPÉRIMENTATION " SUR LE TERRAIN "
Essai dans le cadre naturel du phénomène étudié sur un secteur réduit, en changeant un élément
de la situation et en observant la résultante. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1,
groupe de travail ERFET, France)
EXPERT WITNESS
A person who possesses special knowledge in a particular field by virtue of specialized skill,
expertise, training, and/or education, and who is adjudged qualified to render expert opinions in
that field in court proceedings. [Fire Cause Determination, IFSTA 1986]
EXPLODE
To be changed in chemical or physical state usually from a solid or liquid to a gas (as by chemical
decomposition or sudden vaporization) so as to suddenly transform considerable energy into the
kinetic form. To be changed in chemical or physical state, usually from a solid or liquid gas (as by
chemical decomposition or sudden vaporization) so as to suddenly transform considerable energy
into the kinetic form Explosion. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
EXPLOSION / EXPLOSIVITÉ
Ces données décrivent les propriétés qui font qu'une substance est explosive. Les détails
quantitatifs touchant l'explosivité sont rarement disponibles et ils se limitent ordinairement à des
termes descriptifs (basse, modérée, élevée). Les termes suivants peuvent servir à décrire les
dangers que présente une matière explosive:
- Sensibilité au choc mécanique. On indique ici la possibilité que la substance brûle ou explose
au choc (comme lorsqu'on laisse tomber un contenant) ou à la friction (comme lorsqu'on nettoie
un déversement).
- Sensibilité à la décharge statique. On indique ici le degré de probabilité qu'une étincelle
électrique mette le feu à la substance. On peut obtenir des renseignements détaillés concernant
les explosifs qui se vendent sur le marché. Au Canada, l'usage, l'entreposage, le transport et la
manutention des explosifs qui servent dans l'industrie sont rigoureusement réglementés en vertu
des lois sur les matières explosives et le transport des marchandises dangereuses. Ils échappent
au Règlement sur les produits contrôlés. (Canutec)
EXPLOSION (Hydro Cut)
A chemical reaction or change of state with the generation and extremely rapid expansion of
gases, usually associated with the liberation of heat. An explosion produces a shock wave in the
surrounding medium. A rapid chemical reaction with the generation of high temperature and
usually a large quantity of gas. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
EXPLOSION (ISO)
Réaction brusque d'oxydation ou de décomposition entraînant une élévation de température, de
pression ou les deux simultanément. Terme et définition normalisés par l'ISO. (Source : Termium
1994)
EXPLOSION (IAAI)
The sudden conversion of chemical energy into kinetic energy with the release of heat, light and
mechanical shock. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire
Debris, IAAI Forensic Science Committee)
EXPLOSION (Kennedy 1990)
There are two general categories of definitions which are in common usage. Both involve the
extremely rapid and violent expansion of gases. The first definition, commonly used by the
explosives industry and researchers in the theoretical sciences, does not take into account the
effects of the explosion. In this definition it is not a consideration whether there is shange caused
by this violent pressure wave or not. However, in the real world of fire investigation, the damage
itself is the factor which necessitates the investigation. This damage may be to persons, property,
or both. So a second, more practical definition of an explosion is required. Under the fire and
explosion investigation definition, an explosion is a physical reaction characterized by the
presence of four major elements: high pressure gas, confinement or restriction of the pressure,
rapid release of that pressure, and change or damage to the confining or restricting structure,
container or vessel, caused by the pressure release. Confinement or restriction of the pressure is
necessary for there to be a discernable result of the explosion. [...] A phenomenon which lacks
any one of these four major elements is not, by definition, an explosion. (Kennedy, Patrick M.
&John, Explosion Investigation and Analysis, Investigations Institute, Chicago, 1990, p.15-16)
EXPLOSION-PROOF EQUIPMENT (antidéflagrant)
Instruments whose enclosure is designed and constructed to prevent the ignition of an explosive
atmosphere. Certification for explosion proof performance is subject to compliance with ASTM
standards. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
EXPLOSIVE
Substance which, when subjected to heat, impact, friction or other suitable initial impulse,
undergoes an explosion that is a very rapid chemical transformation, forming other more stable
products entirely or largely gaseous, whose combined volume is much greater than that of the
original substance. Explosives are classified as high-explosive or low-explosive, according to the
rate of transformation. Any chemical compound, mixture, or device, the primary or common
purpose of which is to function by explosion. (Hydro Cut General Terminology &Resource
Information)
EXPLOSIVE
Any chemical compound, mixture, or device, of which the primary or common purpose is to
function by explosion, i.e., with substantial instantaneous release of gas and heat. (49 CFR
173.50) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
EXPLOSIVE CLASS A
Any of nine types of explosives as defined in 49 CFR 173.53. A material which, when it detonates,
creates a shock wave which travels faster than the speed of sound. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
EXPLOSIVE CLASS B
Those explosives which generally function by rapid combustion rather than by detonation and
include some explosive devices such as special fireworks, flash powders, some pyrotechnic
signal devices, and liquid or solid propellant explosives including some smokeless powders. (49
CFR 173.88) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
EXPLOSIVE CLASS C
Certain types of manufactured articles which contain Class A, or Class B explosives, or both, as
components but in restricted quantities, and certain types of fireworks. This includes small arms
ammunition. (49 CFR 173.100) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
EXPLOSIVE LIMIT (IAAI)
Flammability limit. The highest or lowest concentration of a flammable gas or vapour in air that
will explode or burn readily when ignited. The limit is usually expressed as a volume percent of
gas or vapour in air. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire
Debris, IAAI Forensic Science Committee)
EXPLOSIVE RANGE
Flammability range. The set of all concentrations between the upper and lower explosive limits of
a particular gas or vapour. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis
Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
EXPLOSIVE ORDNANCE DISPOSAL (EOD)
Military or civilian bomb squads. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
EXPOSURE
The subjection of a person to a toxic substance or harmful physical agent through any route of
entry. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED
TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
Exposures
Exposures are buildings or structures that are near the structure on fire and that are placed at risk
by the fire. A primary focus of the responding fire department will be to protect the exposures,
thus reducing the risk of the fire spreading and causing additional damage to life & property.
[email protected]
EXTINCTEUR PORTATIF
Dispositif portatif contenant de la poudre, du liquide ou des gaz qui peuvent être déchargés sous
pression dans le but d'étouffer ou d'éteindre un incendie. [NFPA 10 - 1984]
EXTINCTEURS PORTATIFS
Les extincteurs portatifs servent comme moyen de première intervention contre les petits feux. Ils
sont indispensables même si les locaux sont munis d'extincteurs automatiques à eau [arroseurs],
de robinets d'incendie armés [cabinets d'incendie] ou d'autres systèmes fixes de protection contre
l'incendie. [NFPA 10 - 1984]
EXTINCTION DU FEU (au moyen d'extincteurs portatifs)
Plusieurs incendies ont peu d'ampleur initialement et peuvent être éteints à l'aide d'extincteurs
d'incendie portatifs adéquats. Il est fortement recommandé d'alerter le service d'incendie aussitôt
qu'un incendie est découvert. Cette alarme ne doit pas être retardée en fonction des résultats de
l'usage des extincteurs d'incendie portatifs. Les extincteurs d'incendie portatifs peuvent constituer
une partie importante de tout programme de protection contre l'incendie. Cependant, l'efficacité
de leur fonctionnement dépend des conditions suivantes :
.1 l'extincteur est à l'endroit désigné et en bon état de fonctionnement
.2 l'extincteur est conçu pour combattre la classe de feux qui pourrait survenir
.3 pour que l'usage de l'extincteur soit efficace, il faut que l'incendie soit détecté à ses débuts
.4 l'incendie est découvert par une personne qui peut, veut et est capable d'utiliser l'extincteur.
Lorsque les employés [les individus] n'ont reçu aucune formation, il se peut que l'utilisation des
extincteurs soit fait avec un retard considérable, que l'agent d'extinction soit gaspillé, que des
extincteurs additionnels deviennent nécessaires ou que le feu ne puisse être éteint. [NFPA 10 1984]
EXTINGUISHMENT (Friedman 1989)
Combustion requires a high temperature, and the reactions must proceed fast enough at this high
temperature to generate heat as fast as it is dissipated, so that the reaction zone will not cool
down. In some cases, only a modest additional loss of heat is needed to tip the balance toward
extinguishment. Extinguishment can be accomplished either by cooling the gaseous combustion
zone or the solid or liquid combustible. In the latter case, the cooling prevents the production of
combustible vapors. (This is probably the primary mode of action when a wood fire is
extinguished by applying water.) [Friedman 1989]
EXTRACTION (en chimie)
A chemical procedure for removing one type of material from another. Extraction is generally
carried out by immersing a solid in a liquid, or by shaking two immiscible liquids together,
resulting in the transfer of a dissolved substance from one liquid to another. Solvent extraction is
one of the primary methods of sample preparation in arson debris analysis. (Glossary Of Terms
Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
EXTREMELY HAZARDOUS SUBSTANCES (EHS)
Environmental Protection Agency (EPA) uses this term for chemicals which must be reported to
the local administering agency. The list of these substances and the threshold reporting quantity
is identified in 40 CFR 355. Releases of extremely hazardous substances as defined by EPA
must be reported to the National Response Center. In California, the term Acutely Hazardous
Material (AHM) is used. They are identical to the EHS in Title 40. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
EXTREMELY HAZARDOUS WASTE
Any hazardous waste or mixture of hazardous wastes which, if human exposure should occur,
may likely result in death, disabling injury or serious illness caused by the hazardous waste or
mixture of hazardous wastes because of its quantity, concentration or chemical
characteristics. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
-FFABRICATION
fabrication : Processus de transformation de matières premières en séries d'objets industriels, au
moyen de procédés mécaniques. - automatiser la fabrication, exécuter la fabrication sur une
cellule, lancer (en) fabrication. - fabrication discrète, robotisée, unitaire. - fabrication hors-chaîne,
sur chaîne, à très long cycle, par lots, fabrication (en, de) (grande, moyenne, petite) série. automatisation de la fabrication, contraintes, coût, cycle, délai, document, îlot de fabrication,
lancement de fabrication, mise en fabrication, nomenclature de fabrication, optimisation de la
fabrication, ordonnancement (fixe) des fabrications, reproductibilité dans la fabrication, schéma
d'articulation des fabrications. (Source : Termium 1994)
FABRICATION DE CLASSE MONDIALE / world class manufacturing
Être de façon soutenue, meilleur que les autres entreprises de son secteur industriel sur au moins
un critère de performance qui détermine un avantage concurrentiel. (Mouvement québécois de la
qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
FAÇADE EXPOSÉE
face extérieure d'un bâtiment comprise entre le niveau du sol et le plafond du dernier étage et
orientée dans une direction donnée [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES
PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
FAHRENHEIT (DEGREE F)
The scale of temperature in which 212o is the boiling point of water at 760 mm Hg and 32o is the
freezing point. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
FAILURE (voir défaillance)
Distortion, breakage, deterioration, or other fault in a structure, component, or system resulting in
unsatisfactory performance of the function for which it was designed. [NFPA 921 - 1992]
FAILURE ANALYSIS(voir analyse de défaillance)
A logical, systematic examination of an item, component, or assembly, and its place and function
in a system, to identify and analyse the probability, causes, and consequences of potential and
real failures. [NFPA 921 - 1992]
FAMILLE CHIMIQUE
Par famille chimique, on entend une description générale de la nature du produit chimique. Il
arrive souvent que des substances qui appartiennent à la même famille chimique aient des
propriétés physiques et chimiques ainsi que des effets toxiques semblables. Cependant, il peut
aussi y avoir des différences importantes. Par exemple, le toluène et le benzène appartiennent
tous deux à la famille des hydrocarbures aromatiques, mais le benzène est cancérogène alors
que le toluène ne l'est pas. (Canutec)
FARM BUILDING means a building or part thereof associated with and located on land devoted to
the practice of farming, and used primarily for the housing of equipment or livestock or the
production, storage or processing of agricultural and horticultural produce or feeds, but is not
used for residential occupancy. (Ontario Fire Code 1996)
FAST (Firefighter Assist and Safety Team) Truck
A FAST truck is a company of firefighters (usually from a truck or rescue company) whose sole
function at a fire is to stand by in case a firefighter becomes injured or trapped and needs
assistance. The company assigned to the FAST truck is usually a highly trained group and reports
only to the incident commander. In some departments, this group is call a RIT (Rapid Intervention
Team)[email protected]
Fast Attack
Fast attack is when the first arriving engine company attacks the fire using water carried in the
booster tank, relying on the second company to secure a water [email protected]
FAULT CURRENT(voir aussi Tracking)
Electrical Engineering - Électrotechnique
EN - FR
fault current*a courant de défaut*a / courant de fuite à la terre*a
a*CGE-6*1980*** DATE:1981 3 20 (Source : Termium 1994)
FDA
Food and Drug Administration, États-Unis (Canutec)
FEASIBILITY STUDY
A much misused and over-used term to denote the determination of the practicability, advisability
or adaptability of an item or technique for an intended purpose. (Hydro Cut General Terminology&
Resource Information)
Feeder
A line used for water supply. Usually 4" or 5" LDH. [email protected]
Fen
An alkaline wetland community usually supplied with water from calcareous (calcium-rich) gravel
deposits from glacial periods or from artesian springs.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
FERMETURE
dispositif servant à obturer une ouverture et ses accessoires [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ
DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
FEU
Combustion caractérisée par une émission de chaleur accompagnée de fumée ou de flammes,
ou des deux. (feu : Terme et définition normalisés par l'ISO)
La combustion vive de matières combustibles existant dans la mine (bois, produits pétroliers,
caoutchoucs, etc.) (...). Dans les houillères, l'incendie peut être provoqué par un feu
d'inflammation spontanée du charbon. Dans les houillères, le charbon lui-même peut brûler; on
parle alors d'un feu (...)
feu de cimes : Feu (ou incendie) qui se propage au sommet de la végétation ligneuse, de la cime
d'un arbre ou d'un arbrisseau aux cimes voisines. Les feux de cimes sont localisés dans le faîte
des arbres où ils brûlent les feuilles, les aiguilles et certaines branches. Ils se développent d'une
cime à l'autre ou encore, à partir de la surface du parterre forestier si l'agencement des
combustibles le permet.
feu de broussailles : Frapper sur les objets en feu pour supprimer l'air brusquement. (...) C'est le
procédé antique mais efficace utilisé habituellement pour l'extinction des -- ou d'herbes.
feu couvant (ISO) : Combustion d'un matériau sans émission visible de lumière et généralement
révélée par de la fumée et par une élévation de la température. (feu couvant : Terme et définition
normalisés par l'ISO)
feu en cône / feu conique / feu en wigwam : Feu en cône. Cette méthode est excellente pour
obtenir rapidement des braises ou pour faire un petit feu de camp. Un feu en cône a
l'inconvénient de faire les étincelles. Il demande donc de l'attention dans sa conduite et une
surveillance constante. Pour le construire, il suffit de disposer en cône serré, autour d'un petit
cône initial de brindilles et d'allume feu, des rondins de diamètre et de longueur progressivement
croissants. Ménagez du côté au vent un petit couloir pour pouvoir introduire l'amadou enflammé.
Feu en wigmam: C'est la structure classique des feux de camp. On place d'abord le matériau
inflammable en maintenant un certain espace entre les brindilles, les aiguilles ou quel que soit le
matériau de base. On place ensuite des bâtons légèrement plus gros autour du centre, sans les
attacher, en réservant un espace du côté du vent pour permettre à l'air--le vent ou votre souffle-d'entrer. (...) Quant il a brûlé, le "wigwam" de base laisse un bon lit de braises pour le bois
restant, qui peut être mis à plat.
feu de métaux combustibles : Feux spéciaux intéressant certains métaux: magnésium,
potassium, aluminium en poudre, zinc, sodium, titanium, zirconium, etc. Classe D : Ce sont les
feux de métaux. (Source : Termium 1994)
FEU (Le)
Depuis la nuit des temps, le feu a toujours fasciné l'homme. Demandez aux gens qui vous
entourent ce que le feu représente pour eux? Les réponses varient d'un individu à l'autre, selon
son éducation, son vécu, et son expérience de la vie. Lorsqu'il est contrôlé, il offre à l'homme une
source de chaleur indispensable ainsi que diverses valeurs que nous voulons bien lui attribuer.
Pour certains, il représente le romantisme, la purification ou même la lumière divine. Pour
d'autres, il leur fournit une source énergétique primordiale à l'économie. Lorsqu'il devient horscontrôle, il peut anéantir tout un quartier d'habitations, apportant avec lui des biens qui , parfois,
sont irremplaçables. Parfois, il aura occasionné la perte d'innocentes victimes ainsi que de
terribles blessures qui laisseront des cicatrices à tout jamais. Cette forme incontrôlée, sous
l'aspect d'un incendie ou d'une explosion, est celle qui nous intéresse. (L'enquête d'incendie,
Carrefour Incendie, http://pages.infinit.net/incendie/index.html, nov. 1998)
FEU (La nature chimique et physique du) (Mehaffey, 1987)
Un chimiste considère un feu comme une série complexe de réactions chimiques impliquant
l'oxydation du combustible, qui contient habituellement du carbone. Physiquement, un feu est
évidemment [ ! ] caractérisé par une flamme visible, la chaleur et la fumée.
Le triangle du feu illustre les trois composantes nécessaires à la présence d'un incendie:
l'élément combustible, l'oxygène et la chaleur. Le triangle du feu peut être considéré comme le
modèle descriptif du feu du physicien. Son utilité devient évidente [ ! ] au niveau de l'extinction.
L'extinction peut être réalisée en isolant l'une des trois composantes des deux autres. On peut
éteindre un feu en éliminant la chaleur (avec un jet d'eau par exemple), en éliminant l'élément
combustible (en coupant l'alimentation en gaz d'un brûleur Bunsen, par exemple), ou en coupant
l'oxygène (en étouffant l'incendie à l'aide d'une couverture).
La représentation physique du feu est utile, mais on ne peut ignorer les réactions chimiques
nécessaires à son développement. Les composantes de base du feu devraient également inclure
les réactions en chaîne non refrénées à l'intérieur de la flamme et à la surface de l'élément
combustible. Cela ouvre la voie à la possibilité d'une quatrième technique d'extinction: l'inhibition
de la réaction en chaîne (suppression de la flamme) avec des produits chimiques ignifuges. Les
halogènes comme le brome et le chlore (qu'on retrouve dans les halons) sont des exemples
d'éléments chimiques qui agissent de cette façon.
Évidemment, un incendie ne se limite pas à la présence ou à l'absence de ces trois ou quatre
composantes. Le feu est un phénomène complexe dans lequel s'entremêlent la cinétique des
réactions chimiques, la mécanique des fluides, le transfert de chaleur et la
thermodynamique. (CNRC, Combustibilité des matériaux de construction, J.R. Mehaffey, Ph.D.,
1987)
FEU COUVANT (type de combustion)
La combustion à flamme vive se différencie facilement d'un autre type de combustion appelé feu
couvant. Essentiellement, le feu couvant se caractérise par de faibles températures et une vitesse
de combustion très lente. Il se produit lorsque des gaz volatils s'échappant de la surface de
l'élément combustible ne sont pas suffisamment chauds ou en quantité suffisante pour
s'enflammer, mais la chaleur dégagée est suffisante pour que la pyrolyse de l'élément
combustible se poursuive. L'absence de forces d'entraînement signifie qu'une faible quantité d'air
est aspirée au-dessus de la surface de l'élément combustible, limitant ainsi la vitesse de
combustion. Des produits comme l'isolant cellulosique en vrac, le panneau de fibres et,
évidemment, les cigarettes brûlent lentement sans flamme durant une période de temps
considérable avec une source d'inflammation faible. (CNRC, Combustibilité des matériaux de
construction, J.R. Mehaffey, Ph.D., 1987)
FEU D'HYDROCARBURE EN NAPPE (pool fire)
Le système utilisé pour coter les extincteurs [portatifs] sur les feux de Classe B (feux
d'hydrocarbure en nappe importante) ne peut être utilisé pour cette sorte de risques. Il a été établi
qu'une conception spéciale de la lance d'incendie et du débit d'application de l'agent sont
nécessaires pour faire face à de tels risques [incendies de liquides inflammables et de gaz sous
pression]. Avis : Il est contre-indiqué d'essayer d'éteindre ce genre d'incendie, à moins d'être
raisonnablement sûr que la source de combustible peut être rapidement coupée. [NFPA 10 1984]
FEU PRÉHISTORIQUEJacques Collina-Girard (1998).-"Le feu avant les allumettes",
Expérimentations et mythes techniques. Éditions de la Maison des Sciences de l'Homme, Paris,
150 pages.Dans cet ouvrage l'auteur se penche sur une innovation technique qui a contribué à
nous démarquer du monde animal : l'art de faire jaillir le feu. L'expérimentation directe des
procédés "d'avant les allumettes" fait toucher du doigt l'astuce et l'esprit, déjà "scientifique", de
nos lointains ancêtres qui ont su inventer et maîtriser des procédés qui forcent encore notre
admiration d'Homo sapiens contemporain. Le voyage à travers ces techniques oubliées bouscule
des idées généralement très ancrées : percuter deux silex n'a jamais allumé un feu et il ne faut
pas forcément frotter un bois dur sur un bois tendre pour obtenir une étincelle.
L'auteur reconsidère, à la lumière d'une étude expérimentale
systématique, le comportement technique de nos ancêtres. Ceux-ci, géologues-prospecteurs
avant l'heure, connaissaient parfaitement, depuis dix huit mille ans au moins, les propriétés
incendiaires de la marcassite.Depuis dix mille ans, ils appliquaient empiriquement les principes
de la physique en transformant; volontairement, l'énergie mécanique en chaleur. L'étude des
erreurs d'interprétation de nos contemporains montre, de façon inattendue, la persistance chez
nos préhistoriens, ethnologues et autres chercheurs du passé, de structures mentales qui
rappellent curieusement celles de la "pensée sauvage" décrite par Claude Lévi-Strauss : la
préhistoire serait-elle beaucoup plus près de nous que nous l'imaginons ? Faut-il chercher le
préhistorique chez le préhistorien et le "sauvage" chez l'ethnologue c'est en tout cas la conclusion
finale de ce petit livre !
FIABILITÉ / reliability
Aptitude d'un dispositif à accomplir une fonction requise dans des conditions données pendant
une durée donnée. NF X 50 - 120 (Mouvement québécois de la qualité,
http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
FIBRE OPTIQUE (télécommunications) [optic fiber]
Fibre de verre constituée de 2 couches concentriques d'indices différents et de diamètre de 5-10
microns et 100-150 microns respectivement, capables de véhiculer des ondes modulées avec de
faibles pertes. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET,
France)
FILTER CANISTER
A container filled with sorbents and catalysts which removes gases and vapors from air drawn
through the unit. The canister may also contain an aerosol (particulate) filter to remove solid or
liquid particles. (Air purifying canister type breathing apparatus are not approved for use during
emergencies by the fire service in California.) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
FIRE (IAAI)
The light and heat manifested by the rapid oxidation of combustible materials. A flame may be
manifested but is not required. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental
Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
Fire
A self-sustaining chemical reaction that can release energy in the form of light and heat.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
FIRE ANALYSIS (analyse d'incendie)
The process of determining the origin, cause, and responsibility as well as the failure analysis of a
fire or explosion. [NFPA 921 - 1992]
FIRE ATTACK
The standard 250 gpm hose stream normally is applied with a hand line of 2,5 inch fire hose.
Normally, three men should be provided to run the hose to the desired point of operation and
direct this stream. [Kimball 1969]
Fire attack team - one or more companies responding to a fire. (OFM © 1999 Queen's Printer for
Ontario, 1999)
Fire Behavior
The manner in which a fire reacts to fuel, weather and topography; common terms used to
describe fire behavior include smoldering, creeping, running, spotting, torching and crowning.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
FIREBRAND
A flaming or smoldering airborne object emerging %ire, which can sometimes ignite remote
combustibles. [Friedman 1989]
Firebreaks
Natural or human-made lines or areas where fuels are limited or nonexistent.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
FIRE CAUSE (NFPA 921)
The circumstances or agencies that bring a fuel and an ignition source together with proper air or
oxygen. [NFPA 921 - 1992]
FIRE CAUSE (IFSTA, 1986)
Agency or circumstance that started a fire or set the stage for one to start; source of a fire's
ignition. [Fire Cause Determination, IFSTA 1986]
FIRE CAUSE DETERMINATION, IFSTA 1986
This manual is not intended to address the many complex areas of criminal investigation that are
found in other fire investigation books, but to give fire fighting personnel the basic information they
need for reports, to help them recognize when the services of an investigator are needed, and to
help them to assist the investigator. ...ONLY RARELY WILL THE INVESTIGATOR ALSO BE
UNABLE TO FIND THE CAUSE. EVEN COLLAPSED AND "TOTALLY DESTROYED"
BUILDINGS HAVE SECRETS TO YIELD.
Fire Community
A plant or animal community that is adapted to live in a habitat that is frequented by fires.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
FIRE COMPARTMENT means an enclosed space in a building that is separated from all other
parts of the building by enclosing construction that provides a fire separation having a required
fire-resistance rating. (Ontario Fire Code 1996)
FIRE DAMPER means a closure that consists of a damper installed in an air distribution system
or in a wall or floor assembly that is normally held in the open position and that is designed to
close automatically in the event of a fire in order to maintain the integrity of the fire
separation. (Ontario Fire Code 1996)
FIRE DEFENSE MANAGEMENT(voir aussi Uniform Coding)
In 1938, a fire reporting system prepared by NFPA was published by the International City
Manager's Association. This system served as a start toward the uniform reporting of fire incident
information. From 1963 to 1969, the Committee strived to develop a uniform language for fire
defense management... [NFPA 901-1981]
Fire demand - a defined level of fire risk. (OFM © 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
FIRE DEPARTMENT means a group of firefighters authorized to provide fire protection services
by a municipality, group of municipalities or by an agreement made under section 3 of the Fire
Protection and Prevention Act. (Ontario Fire Code 1996)
Fire department - a fire department organized under the Municipal Act and equipped with one or
more motorized fire pumpers. (OFM © 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
Fire Dependence
Plants or plant communities that rely on fire as one mechanism to create the optimal situation for
their survival. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
FIRE DETECTOR means a device which detects a fire condition and automatically initiates an
electrical signal to actuate an alert signal or alarm signal and includes heat detectors and smoke
detectors. (Ontario Fire Code 1996)
FIRE EXTINGUISHMENT
The cessation of combustion. [Friedman 1989]
FIRE FIGHTING (combat d'incendie)
Fire fighting involves the manual control and extinguishment of fires. Les directives pratiques pour
déterminer un niveau de service adéquat empruntent des critères qui sont : .1 la dotation du
personnel... manning of fire apparatus, .2 the rate at which the fire force may be expected to apply
water to fires. THE RATE OF WATER APPLICATION IS TERMED "FIRE FLOW" (débit
d'incendie). C'est ainsi que l'on évalue la capacité d'intervention (the resultant "fire attack"
capability). (Warren Y. Kimball, Manning for Fire Attack, NFPA, Boston,1969)
FIRE FLOW (débit d'incendie)
FIRE FLOW AS A MEASURE OF PERFORMANCE. As water is the principal and most universal
extinguishing agent employed by fire departments, extinguishing capacity is measured in gallons
of water applied per minute. Ordinarily with large flows a substantial part of the water is applied in
the form of heavy streams. In addition to pumpers actually employed in applying the fire flow, one
or more additional units may be needed ... in the event of mechanical failure of an operating
pumper or sudden extension of the fire. Merely having the fire flow available and the necessary
pumping capacity ... does not assure effective fire protection. Knowledge and equipment is also
needed to effectively apply the water. Rate of water application per man employed may average
approximately 80 gpm. Traditional underwriters' recommendations for fire department pumping
capacity are extremely conservative. They ask only for available pumping capacity to equal twothirds of the fire flow required in the area. Under fire fighting conditions pumpers on the average
deliver not much over half to two-thirds of their rated capacities when employed at fires requiring
a high fire flow. Fire deparetments desiring to be able to deliver maximum fire flow per man and
per unit employed on the fireground will need to give attention to thorough training in the
movement and application of water using pumps, hose and nozzles in an efficent manner. Fire
flows by pumpers at significant working fires seldom exceeds an average of between 500 and 600
gpm per pumper employed. For effective fire department operations a number of other tasks must
be performed simultaneously with the work of allying the desired fire flow; the effectiveness of the
application of hose streams MAY DEPEND in large measure upon their successful
completion. [Kimball 1969]
FIREGROUND (théâtre des opérations)
As long as all of the basic requirements of the fireground are met, it is presumptuous to say that
one solution is preferable to the other without knowing the requirements of the area served and
the reasons for the particular type of response. In most communities, large fires and emergencies
tend to be extremely infrequent. Effective fireground operations involve two fundamentals : .1
carefully engineered equipment components, .2 personnel to deliver specified fire attack
capabilities which individual items of equipment are designed to provide. The fire fighting
capability depends upon a complete systems approach and not the mere massing of random
forces when an emergency occurs (fire companies competing for water). SOLUTIONS WHICH
ARE DIFFICULT OR NEEDLESSLY COMPLICATED SHOULD NOT BE SELECTED FOR
STANDARD PROCEDURES. [Kimball 1969]
Fire ground - the location where fire suppression and rescue are conducted. (© 1999 Queen's
Printer for Ontario, 1999)
Fire History
The chronological record of the occurrence of fire in an ecosystem.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
FIRE INSPECTOR
Fire prevention specialist and/or fire or arson investigator. [Fire Cause Determination, IFSTA
1986]
FIRE INVESTIGATION
The process of determining the origin, cause, and development of a fire or explosion. [NFPA 921 1992]
FIRE INVESTIGATION(séquences d'une investigation)
The thourough investigation of fires is an integral part of the fire department's commitment to
public safety. Fire investigation includes two areas: fire cause determination, and investigation of
criminal actions which may have contributed to a fire. [NFPA Handbook 1991]
FIRE INVESTIGATION(training - formation)
All investigators should be trained in the basics of fire scene investigation, which include
adequate documentation of the scene, origin determination, and cause determination. Specific
emphasis should be placed on techniques for debris removal and scene reconstruction. Although
much of this knowledge can be gained by studying text materials, there is no substitute for field
experience. [NFPA Handbook 1991]
Fire Line
A strip of land cleared of vegetation to stop the spread of a fire.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
FIRE POINT
The temperature, generally a few degrees above the flash point, at which burning is selfsustaining after removal of an ignition source. (Glossary Of Terms Related To Chemical And
Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
Fire Prescription
A document written by natural resource managers to indicate when or if a fire will be ignited by
trained professionals. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
FIRE PREVENTION(methods - moyens)
Fire prevention includes all fire service activity that decreases the incidence of uncontroled fire.
Usually, fire prevention methods used by the fire service focus on inspection, which includes
engineering and code enforcement, public firesafety, education, and fire investigation. [NFPA
Handbook 1991]
FIRE-PROTECTION RATING means the time in hours or fraction thereof that a closure, window
assembly or glass block assembly will withstand the passage of flame when exposed to fire under
specified conditions of test and performance criteria, or as otherwise prescribed in the Building
Code. (Ontario Fire Code 1996)
Fire protection services - a range of programs and services designed to protect the inhabitants of
the fire department response area from the adverse effects of fire, sudden medical emergencies
or exposure to dangerous conditions created by man or nature and includes prevention, rescue
and suppression services. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
Fire Regime
The role fire plays in an ecosystem; a function of the frequency of fire occurrence, fire intensity
and the amount of fuel consumed. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
FIRE RESISTANCE means the property of a material or assembly in a building to withstand fire
or give protection from it and is characterized by the ability of the material or assembly to confine
a fire or to continue to perform a given structural function or both. (Ontario Fire Code 1996)
FIRE-RESISTANCE RATING means the time in hours or fraction thereof that a material or
assembly of materials will withstand the passage of flame and the transmission of heat when
exposed to fire under specified conditions of test and performance criteria, or as determined by
extension or interpretation of information derived therefrom as prescribed in the Building
Code. (Ontario Fire Code 1996)
Fire risk - the features of a property including the occupancy which determines the potential fire
severity and accompanying work load to accomplish rescue, control, extinguishment and salvage.
(© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
Fire Scars
Scar tissue that develops if a tree or shrub is burned by a fire but is not killed. The fire leaves a
record of that particular burn on the plant. Scientists can examine fire scars and determine when
and how many fires occurred during the plant's lifetime.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
FIRE SCENE RECONSTRUCTION
The process of recreating the physical scene during fire scene analysis through the removal of
debris and the replacement of contents or structural elements in the pre-fire positions. [NFPA 921
- 1992]
FIRE SEPARATION means a construction assembly that acts as a barrier against the spread of
fire and may or may not have a fire-resistance rating or a fire-protection rating. (Ontario Fire Code
1996)
FIRE SPREAD
The movement of fire from one place to another. [NFPA 921 - 1992]
FIRE STOP means a draft-tight barrier within or between construction assemblies that acts to
retard the passage of smoke and flame. (Ontario Fire Code 1996)
FIRE-STOP FLAP means a device intended for use in horizontal assemblies that are required to
have a fire-resistance rating and incorporate protective ceiling membranes and that operates to
close off a duct opening through the membrane in the event of a fire. (Ontario Fire Code 1996)
Fire Storm
Large fires that consume so much oxygen that strong erratic winds are created.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
FIRE SUPPRESSION
Either extinguishment of a fire as a result of fire fighting activity, or reduction of the combustion
rate to a small enough value so that the fire is under control. (A large fire, after being suppressed,
could continue to smolder for days.) [Friedman 1989]
FIRE TETRAHEDRON
Fuel, heat, oxygen and a chemical chain reaction. (Glossary Of Terms Related To Chemical And
Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
FIRE TRIANGLE
Fuel, heat and oxygen. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of
Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
Fire Triangle. An image of the three components that are necessary for a fire to take place and for
the fire to keep burning; the ingredients are heat, fuel and oxygen.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
FIREWALL means a fire separation of noncombustible construction that subdivides a building or
separates adjoining buildings to resist the spread of fire that has a fire-resistance rating as
prescribed in the Building Code and that has structural stability to remain intact under fire
conditions for the required fire-rated time. (Ontario Fire Code 1996)
Fire Years
Years when severe drought, combined with other factors such as high winds, contribute to a large
number of wildfires. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
FIRST ALARM RESPONSE
First alarm response must be sufficient to meet the basic tactical requirements which may be
anticipated in the district in which the fire occurs. In general, a first alarm response of 12 to 15
officers and men with appropriate apparatus is likely to be desirable to quickly apply initial hose
streams along with necessary truck work and command supervision. In all cases, not less than
two pieces of suitable motorized fire apparatus should respond. The important thing is the total
tactical capability provided. For example in a residential suburb, there may be a fire department
entirely adequate to handle fires in residences and associated buildings of moderate hazard. This
fire department has ample reserve apparatus for emergency situations and is backed up by good
mutual aid arrangements TO DEAL WITH ABNORMAL FIRE PROTECTION REQUIREMENTS.
IT HAS LONG BEEN RECOGNIZED THAT NO COMMUNITY CAN AFFORD TO MAINTAIN A
FIRE DEPARTMENT POWERFUL ENOUGH TO HANDLE ANY FIRE SITUATION THAT MAY
OCCASIONALLY ARISE. [Kimball 1969]
FIRST-IN (premier intervenant, premier répondant)
Firefighters initially attacking a fire - usually the first to arrive at the fire scene. [Fire Cause
Determination, IFSTA 1986]
FIRST RESPONDER
The first trained person(s) to arrive at the scene of a hazardous materials incident. May be from
the public or private sector of emergency services. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
FIRST RESPONDER, AWARENESS LEVEL
Individuals who are likely to witness or discover a hazardous substance release who have been
trained to initiate an emergency response sequence by notifying the proper authorities of the
release. They would take no further action beyond notifying the authorities of the release. (8 CCR
5192(q)(6)) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
FIRST RESPONDER, OPERATIONS LEVEL
Individuals who respond to releases or potential releases of hazardous substances as part of the
initial response to the site for the purpose of protecting nearby persons, property, or the
environment from the effects of the release. They are trained to respond in a defensive fashion
without actually trying to stop the release. Their function is to contain the release from a safe
distance, keep it from spreading, and prevent exposures. (8 CCR 5192(q)(6)) HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
FIRST STOREY means the storey with its floor closest to grade and having its ceiling more than
1.8 m above grade. (Ontario Fire Code 1996)
FLAME [NFPA 921 - 1992]
The luminous portion of burning gases or vapors. [NFPA 921 - 1992]
FLAME (profile - Hydro Cut)
A chemical reaction or reaction product, partly or entirely gaseous, that yields heat and light. State
of blazing combustion. A flame profile is a temperature profile of any particular flame. (Hydro Cut
General Terminology & Resource Information)
FLAME (characteristics) (Friedman 1989)
Flame height is controlled by the rate of diffusional mixing with oxygen rather than by chemical
reaction rates. ...the upward flow is driven entirely by buoyancy. The height of a buoyancydominated turbulent diffusion flame, more odten encountered in a fire, is correlated most
successfully in terms of the convective heat release rate of the flame, which is expressed in
kilowatts. [Friedman 1989]
FLAME(flaming combustion - phase gazeuse) (Friedman 1989)
A flame is a gaseous oxidation reaction, which occurs in a region of space much hotter than its
surroundings and generally emits light. Familiar examples include the yellow flame of a candle
and the blue flame on a gas burner. [Freidman 1989]
FLAME (IAAI)
A rapid gas phase combustion process characterised by self-propagation. (Glossary Of Terms
Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
FLAME IONISATION DETECTOR (FID)
A nearly universal gas chromatographic detector. It responds to almost all organic compounds.
An FID does not respond to nitrogen, hydrogen, helium, oxygen, carbon monoxide or water. This
detector ionises compounds as they reach the end of the chromatographic column by burning
them in an air/hydrogen flame. As the compounds pass through the flame, the conductivity of the
flame changes, generating a signal. The is the most commonly used detector in arson debris
analysis. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI
Forensic Science Committee)
FLAME PROPAGATION (IAAI)
Travel of a flame through a combustible gas/air or vapour/air mixture. (Glossary Of Terms Related
To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
FLAME-SPREAD RATING means an index or classification indicating the extent of spread of
flame on the surface of a material or an assembly of materials as determined in the Building
Code. (Ontario Fire Code 1996)
Flame-Retardant
Materials that can break the fire triangle and prevent a fire from burning.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
FLAME TEMPERATURE [Friedman 1989]
Most combustibles, when burned with just the stoichiometric amount of air, under conditions
where no heat is lost, will produce flames at temperatures from 2100 to 2300 K, and chemical
equilibrium would be achieved in such flames. In fires, however, combustion often occurs wuth a
yellow luminous flame because of tiny, hot carbon particles that form and radiate heat energy. As
much as 30-40% of the heat of combustion can be lost from such a flame because of this
radiation. Consequently, the flame temperature often will be below 2000 K, and the combustion
gases will become diluted with air and cooled before equilibrium can be reached. THIS
PHENOMENON CAN CAUSE DANGEROUS CONCENTRATIONS OF CARBON MONOXIDE,
EVEN IF AN EXCESS OF OXYGEN IS PRESENT AROUND THE FLAME. [Friedman 1989]
FLAMES (types of GASEOUS) [Friedman 1989]
Flames can be categorizes as premixed flames or diffusion flames (fuel gas mixed with oxygen
before or during combustion). In addition, they can be categorized as laminar or turbulent flames,
as well as stationary or propagating flames. Any combination is possible...
... 9.5% methane (CH4) by volume and 90.5% air, thouroughly mixed is a stoichiometric mixture,
according to the equation : CH4 + 2O2 -> CO2 + 2H2O.
If an ignition source, say a spark, is provided in the center, then a spherical flame will form around
the spark and spread radially outward at about 3 meters per second (10 feet per second). If less
than 5% or more than 15% of methane is present the mixture would be too far from stoichiometric,
and no ignition would occur. For combustible mixtures with greater than 9.5% methane ("rich
mixtures"), there would be insufficient oxygen to completely oxidize the CH4 to CO2 and H2O,
and the products would include some CO, some H2, and, for very "rich" mixtures, somr solid
carbon (soot). This type of flame, whether stoichiometric or not, is a premixed flame.
The contrasting type of flame is a diffusion flame. Assume that there is a cloud of methane,
resulting from a sudden release of gas from a tank, surrounded by air, but mixing has not occured
yet except in a thin zone at the interface between methane and air. If an ignition source is
provided at this interface, then combustion will spread rapidly over the surface of the cloud.
Subsequently, the bulk of the methane within the cloud will burn more slowly, as air and methane
interdiffuse. Meanwhile, the hot burning ball of gas will rise. The flame will be yellow.
In summary, premixed flames burn more rapidly than diffusion flames, and the chemistry is
different (blue flames versus yellow flames).
Large flames or flames burning with high velocity flows generally are turbulent. On the other hand,
small flames (such as candle flames or the flame cones on a domestic gas burner) generally are
laminar, i.e. the streamlines are smooth and the fluctuations are absent or negligibly small. The
presence of turbulence in a flame enhances heat transfer and mixing, and can even affect the
chemistry. Accordlingly, rates of combustion are considerably higher in turbulent than in laminar
flames. As a general rule, a diffusion flame taller than 0.3 meter (1 foot) will be turbulent, while a
diffusion flame shorter than 0.1 meter (4 inches) will be laminar, unless a high velocity jet is
involved. [Friedman 1989]
FLAMMABILITY
The ease with which an explosive material may be ignited by flames and heat. (Hydro Cut
General Terminology & Resource Information)
FLAMMABILITY LIMIT
(See Explosive Limit) (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire
Debris, IAAI Forensic Science Committee)
FLAMMABILITY RANGE
(See Explosive Range) (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of
Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
FLAMMABLE LIQUID (IAAI)
A combustible liquid that has a flash point below 80F according to the Coast Guard, 100F
according to the NFPA. Liquids having a vapour pressure over 40 pounds per square inch at 100F
are classified as flammable gases. Flammable liquids are a special group of combustible liquids.
(Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic
Science Committee)
FLAMMABLE LIQUID
Any liquid having a flash point below 100oF (37.8oC). (49 CFR 173.115(a)) HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
FLAMMABLE LIQUID means a liquid having a flash point below 37.8ºC and having a vapour
pressure not more than 275.8 kPa (absolute) at 37.8ºC as determined by ASTM D 323, "Vapor
Pressure of Petroleum Products (Reid Method)". (Ontario Fire Code 1996)
FLAMMABLE RANGE
A mixture of flammable gas, as mixed with air, expressed as a percent. Each gas has a range
including a lower limit and upper limit and between these limits the mixture is flammable
(explosive). HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
FLAMMABLE SOLID
Any solid material, other than one classed as an explosive, which under conditions normally
incident to transportation is liable to cause fires through friction, retains heat from manufacturing
or processing, or which can be ignited readily and when ignited burns so vigorously and
persistently as to create a serious transportation hazard. Included in this class are spontaneously
combustible and water-reactive materials. (49 CFR 173.150) HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
FLAMMABLE VAPOUR
A vapour/air mixture of any concentration within the flammability range of that vapour. (Glossary
Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
FLAMME
Zone de combustion en phase gazeuse avec émission de lumière. (Terme et définition
normalisés par l'ISO). Flamme bleue: Brûleurs à flamme bleue. (...) Il y a un apport d'air avant
l'arrivée du gaz aux orifices de combustion. Cet apport d'air est appelé "air primaire" et n'exclut
pas "l'air secondaire" pris dans l'atmosphère par le mélange enflammé à la sortie des orifices. La
flamme se présente sous la forme d'un cône bleu et d'un panache beaucoup plus clair. La flamme
aérée obtenue, courte, de couleur bleue (d'où le nom de brûleur à flamme bleue). Phénomène qui
accompagne la combustion (...) plus ou moins intense selon le combustible et le
comburant. flamme blanche / flamme éclairante / flamme de diffusion : Dans ces (...) brûleurs à
flamme de diffusion, le gaz arrive sans air aux orifices de sortie (...) et emprunte à l'atmosphère,
(...) la totalité de l'air nécessaire à la combustion. La flamme est très blanche et brillante (d'où le
nom de brûleurs à flamme blanche). Cette brillance est due aux particules de carbone
incandescent en suspension; ce sont ces mêmes particules qui se déposent sous forme de suie,
en cas de contact de la flamme avec un objet froid. [Brûleurs sans mélange préalable gaz-air.]
(...) les hydrocarbures sont décomposés à la sortie du brûleur, et les particules de carbone,
brûlant ensuite au contact de l'air, donnent une flamme éclairante (flamme blanche). Dans
certains appareils (...) seul l'air secondaire intervient à la surface de la flamme, le gaz
combustible étant éjecté au nez du brûleur sans être mélangé au préalable avec de l'air; on dit
alors qu'il s'agit d'une flamme de diffusion.
flamme carburante : Concerne la flamme oxyacétylénique; ce type de flamme est obtenu lorsque
le débit d'acétylène alimentant le chalumeau est supérieur au débit d'oxygène.
flamme neutre / flamme normale: Concerne la flamme oxyacétylénique; ce type de flamme est
obtenu lorsque les débits d'oxygène et d'acétylène alimentant le chalumeau sont sensiblement
égaux. La flamme oxyacétylénique présente un autre intérêt (...) en ce sens que l'on peut régler le
rapport de consommation [ pour obtenir ] une flamme neutre, oxydante, ou (...) carburante.
flamme comburante: S'il y a excès de gaz combustible, le dard disparaît et se confond avec le
panache, qui devient lui-même brillant; la flamme devient comburante et fine son carbone libre à
l'acier.
flamme froide : Les flammes dégagent de la chaleur, surtout par convection, plus que par
rayonnement. La plupart se propagent par conduction au sein du milieu gazeux en réaction, mais
certaines, dites parfois flammes froides, se propagent surtout par diffusion des produits en
réaction. À la température de combustion relativement basse des hydrocarbures paraffiniques,
tels que le propane et le butane, et des éthers, on observe une luminosité bleuâtre. Elle est due à
l'émission de lumière provenant du formaldéhyde activé qui se forme au cours du processus. Ce
type de luminosité se nomme flamme froide.
flamme pilote : Petite flamme d'un appareil à gaz ou à mazout que l'on peut laisser brûler en
permanence pour permettre l'allumage automatique de l'appareil. (...) flamme auxiliaire à plus
faible vitesse d'écoulement qui assure le réallumage permanent. (...) le brûleur à flamme pilote:
celle-ci, alimentée par une fine cannelure, se trouve à la base de la flamme principale, qu'elle
stabilise. (Source : Termium 1994)
FLASH FIRE
A fire that spreads with extreme rapidity, such as one that races over dust, over the surface of
flammable liquids, or through gases. [NFPA 921 - 1992]
FLASH FIRE
A fire that spreads with unusual speed, as one that races over flammable liquid of through
combustible gases. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire
Debris, IAAI Forensic Science Committee)
FLASH POINT (IAAI)
The temperature at which a pool of liquid will generate sufficient vapours to form an ignitable
vapour/air mixture. The temperature at which a liquid will produce its lower explosive limit in air.
Flash point describes one of several specific laboratory tests. Frequently materials can be made
to burn below their flash point if increased surface area or mechanical activity raise the
concentration of vapour in air above the lower explosive limit. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
FLASHPOINT (CAL EMR)
The minimum temperature of a liquid at which it gives off vapors sufficiently fast to form an
ignitable mixture with air and will flash when subjected to an external ignition source, but will not
continue to burn. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
FLASH POINT (point d'éclair) (Hydro Cut)
The lowest temperature at which vapors from a volatile combustible substance ignite in air when
exposed to flame, as determined in an apparatus specifically designed for such testing. (Hydro
Cut General Terminology & Resource Information)
FLASH POINTmeans the minimum temperature at which a liquid within a container gives off
vapour in sufficient concentration to form an ignitable mixture with air near the surface of the
liquid. (Ontario Fire Code 1996)
FLASHOVER(embrasement) [NFPA 921 - 1992]
A stage in the development of a contained fire in which all exposed surfaces reach ignition
temperatures more or less simultaneously and fire spreads rapidly throughout the space. [NFPA
921 - 1992]
FLASHOVER [Friedman 1989]
For burning in a room, flashover is the often-sudden transition from local burning to widespread
burning of all exposed combustibles. After flashover, flames might be projecting out a door or
window. [Friedman 1989]
Flashover
The sudden ignition of all flammable material in a room or structure. As the fire burns and heat is
generated and stored in the room on fire, it is possible for the heat to accumulate faster than it can
use fuel. Once this reaches critical mass, the heat then turns all the flammables in a room into
fuel at one time. The danger is that this causes an inversion of the thermal layers because the
new fuel is almost always near the floor. Despite superb protective gear, a firefighter has less
than two seconds to evacuate a room that has a [email protected]
Flashover - the stage of a fire at which all surfaces and objects are heated to a temperature at
which flames break out almost at once over the entire surface within the space. (© 1999 Queen's
Printer for Ontario, 1999)
FLASHOVER - RURAL FIRE PROTECTION (evaluation and planning of public fire protection)
To be even minimally effective in controlling a fire, the initial responding apparatus should reach
the emergency scene in time to prevent "flashover" (a very rapid spreading of the fire due to the
heating of room contents and other combustibles). Fire Protection Handbook, 17th Edition, NFPA,
Quincy, 1991
FLOOR AREA means the space on any storey of a building between exterior walls and required
firewalls and includes the space occupied by interior walls and partitions, but does not include
exits and vertical service spaces that pierce the storey. (Ontario Fire Code 1996)
FLUE means an enclosed passageway for conveying flue gases. (Ontario Fire Code 1996)
FLUE PIPE means the pipe connecting the flue collar of an appliance to a chimney. (Ontario Fire
Code 1996)
FLUOR
Du latin "fluere", couler. Appartient au groupe 17. C'est le plus électronégatif et le plus réactif de
tous les éléments. C'est un gaz jaune pâle à l'odeur forte et désagréable, réagissant avec
pratiquement tous les éléments minéraux ou organiques. Le verre, la céramique le carbone et
même l'eau brûlent dans le fluor avec une flamme vive. Comme il a des applications dans la
séparation des isotopes d'uranium pour l'énergie nucléaire et pour la production de bombes
atomiques, de grandes quantités de fluor sont produites depuis la fin de la deuxième guerre
mondiale. L'acide fluorhydrique est employé pour graver le verre. Le fluor est capable de réagir
avec les gaz rares et avec l'ozone. Il est un des éléments importants de l'industrie des plastiques.
Son ion, F est un oligo-élément essentiel pour notre organisme. On ajoute des fluorures dans
l'eau et dans les dentifrices pour prévenir la carie dentaire. Très toxique, le fluor attaque les yeux,
les muqueuses et les poumons. (Yvan Noels)
Foam
Foam is a concentrate mixed with water or air and applied to any material that is on fire or could
potentially catch fire. The foam creates a barrier between the material and the heat, preventing
ignition of flammable gases. Foam is commonly used on flammable liquid fires (gas or oil), but is
also being used in some areas for automobile & structure fire [email protected]
FONDATION
ensemble des éléments d'assise d'un bâtiment dont la fonction est de transmettre les charges au
sol [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT,
(L.R.Q., c. S-3)]
FONTE
Le fer fondu de haut-fourneau, qui s'est trouvé au contact du coke à la partie inférieure du four,
contient une certaine quantité de carbone dissous (habituellement 3 à 4%) ainsi que du silicium,
du manganèse, du phosphore et du soufre en plus faibles quantités. Ces impuretés abaissent le
point de fusion du fer de 1535°C [2795°F] à environ 1200°C [2192°F]. Ce fer impur s'appelle la
fonte; on la coule en barres appelées gueuses. Lorsque la fonte est refroidie rapidement elle est
de couleur blanche, c'est ce qu'on appelle la fonte blanche. Elle renferme surtout le composé
appelé cémentite Fe3C qui est dure et cassante. La fonte grise obtenue par refroidissement lent
est formée de grains cristallins de fer pur (appelé ferrite) et de paillettes de graphite. La fonte
blanche et la fonte grise sont toutes deux cassantes, la prémière en raison de son principal
constituant, la cémentite cassante, la seconde parce que la ferrite plus tenace qu'elle contient, a
une résistance diminuée par les paillettes tendres de graphite qui lui sont mélangées. [Pauling
1958]
Forcible Entry
The act of gaining access to a structure through means other than an open window or door.
Frequently, firefighters must force open doors that are locked or remove security doors and bars
in order to enter a structure to search for victims & extinguish a fire. A variety of hand, power &
hydraulic tools can be used for forcible [email protected]
FORENSIC SCIENCE
Application of scientific procedures to the interpretation of physical events, such as those that
occur at fire scenes; the art of reconstructing past events and then explaining that process and
findings to investigators and triers of facts; criminalistics. [Fire Cause Determination, IFSTA 1986]
Forestry Line
A forestry line is a small-diameter, cotton-jacketed handline used to fight brush and forest fires. Its
construction reduces the weight a firefighter has to pull and therefore reduces
[email protected]
FORMATION RÈGLEMENT SUR LA FORMATION DES POMPIERS © Gouvernement du
Québec 1998
(voir aussi Préventionniste)
Le Règlement sur la formation des membres des services d'incendie, en vigueur le 17 septembre
1998, touche les pompiers à temps plein. Le Règlement, qui découle de la Loi sur la prévention
des incendies, (L.R.Q., c. P-23, a. 4, par. a.1; 1997, c. 48, a. 1, par. 2o) a été publié à la Gazette
officielle le 2 septembre 1998.
Ces nouvelles exigences constituent donc un premier pas vers la &laqno professionnalisation »
des services d'incendie. Les associations représentant le milieu de la sécurité incendie
réclamaient depuis longtemps que la formation des membres des services d'incendie soit
légalement encadrée à l'embauche.
Ce règlement fait en sorte que seuls ceux et celles qui ont obtenu le Diplôme d'études
professionnelles (DEP) Intervention en sécurité incendie (1 185 heures) de l'Institut de protection
contre les incendies du Québec (IPIQ), pourront devenir pompiers permanents.
Cette formation, offerte à plein temps et déjà financée par le ministère de l'Éducation,
n'augmentera pas les coûts pour les municipalités. Ainsi, les investissements déjà consentis par
l'État pour la formation de ces diplômés seront rentabilisés par l'embauche de ces derniers. De
plus, les poursuites à l'endroit des municipalités ainsi que les primes d'assurance pourraient, à
long terme, diminuer.
Par ailleurs, les pompiers inscrits sur une liste d'admissibilité avant le 17 septembre 1998 pour un
poste à temps plein dans une municipalité, ne sont pas visés par le présent règlement. Ils
pourront aussi remplacer un pompier permanent pour du court terme ou du long terme.
Quant aux personnes qui deviendront officiers permanents à partir du 17 septembre 1998, elles
auront jusqu'au 17 septembre 2003 pour terminer le profil Gérer l'intervention de l'attestation
collégiale Gestionnaire en sécurité incendie.
Finalement, les préventionnistes engagés à plein temps à partir du 17 septembre 1998 devront
être titulaires du certificat de premier cycle Technologie en prévention des incendies ou de
l'attestation d'études collégiales Prévention en sécurité incendie ou du diplôme d'études
professionnelles Prévention des incendies avant d'être engagés.
Cette première étape étant franchie, le ministère de la Sécurité publique compte maintenant
concentrer tous ses efforts sur la formation des pompiers à temps partiel. © Gouvernement du
Québec 1998
FORMATION INDIVIDUALISÉE (formation)
L'individualisation de la formation essaie de répondre à une double nécessité : celle d'améliorer
l'efficacité de la formation en adaptant les moyens utilisés aux objectifs visés par l'individu et son
organisation, et celle de concevoir des réponses en termes de formation aux besoins et aux
contraintes des demandeurs. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de
travail ERFET, France)
FORMATION MULTIMÉDIA (formation)
Le développement des technologies communément appelées "nouveaux médias" (câble, réseaux
large bande, etc.) et la possibilité nouvelle d'associer plusieurs de ces technologies dans un
même dispositif, ont donné lieu à la notion de multimédia. La formation multimédia repose sur ce
type de support. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET,
France)
FORMATION PRÉSENTIELLE (formation)
L'expression 'formation présentielle' recouvre le processus d'enseignement/apprentissage dans
lequel l'essentiel de l'activité s'opère dans un "face-à-face" pédagogique entre un enseignantformateur et des élèves-apprenants réunis dans un même lieu (sans médiation d'un support
technique). (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
FORMULE CHIMIQUE / FORMULE MOLÉCULAIRE (Canutec)
La formule chimique ou formule moléculaire identifie les éléments (carbone, hydrogène, oxygène,
etc.) dont une substance se compose. La formule indique aussi le nombre relatif de chaque
élément par unité (molécule) de produit chimique. On peut aussi se servir de la formule chimique
pour confirmer l'identité des ingrédients ou pour indiquer la présence d'un élément
potentiellement dangereux. Par exemple, la formule moléculaire ZnCrO4 du chromate de zinc
indique que ce produit contient non seulement du zinc (Zn) mais aussi du chrome (Cr). (Canutec)
FORTE DENSITÉ D'OCCUPATION
densité d'occupation égale ou inférieure à 12 pieds carrés (1,1 m_) par personne [S-3, r.2, LOI
SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
Forward Lay
A forward lay is when fire hose is laid from the hydrant to the fire. (See also reverse
lay)[email protected]
FOYER D'INCENDIE (caractéristique) [Stickney 1960]
Le secteur qui constitue le foyer initial de l'incendie est généralement la partie la plus
endommagée par le feu. [Stickney 1960]
FOYER D'INCENDIE (localisation du) [Gayet 1973]
Le foyer initial se situe à l'endroit où la combustion a duré le plus longtemps: pendant toute la
période de formation du foyer d'abord, pendant l'incendie ensuite. C'est donc, en vertu de la loi
température-temps, là où la température aura été la plus élevée. Le vent, les courants d'air, les
exutoires des pompiers interviennent seulement pour entraîner l'incendie sans une direction ou
une autre, mais ils n'affectent pas la loi. DANS CES CONDITIONS, L'EXAMEN DES LIEUX
VISERA À ÉTABLIR LE BILAN DES DESTRUCTIONS ET DÉGATS EN VUE D'ESTIMER LA
DURÉE DE LA COMBUSTION ET LES TEMPÉRATURES ATTEINTES. [Gayet 1973]
FOYERS MULTIPLES (Shanley 1994)
Selon le "mythe" des foyers multiples, il suffit d'identifier plus d'une aire d'origine non-reliées entre
elles pour prouver l'incendiat. L'investigateur devrait comprendre que les incendies non
intentionnels peuvent laisser des indicateurs dont l'existence évoque plusieurs aires d'origine. Un
examen sommaire des lieux ou le recours à d'autres "mythes" comme le point bas de l'incendie
ou le délitage du béton [on peut ajouter la dispersion des courts-circuits] peut porter
l'investigateur à diagnostiquer l'incendiat sur la foi d'origines multiples. Un examen attentif de tous
les indicateurs et leur attribution selon la source [vecteur] révèle souvent la présence d'un seul
foyer d'incendie. [...] Il n'est pas approprié de diagnostiquer l'incendiat sur le seul indice de l'aire
d'origine. Si l'investigateur parvient à éliminer les causes accidentelles pour les indicateurs
identifiés, il peut alors considérer la relation FOYERS MULTIPLES / INCENDIAT; l'investigateur
n'en doit pas moins déterminer la cause d'incendie à chacun de ces foyers [séquence
d'ignition]. (J.H. Shanley, Fire Investigation Change and Evolution, Part 2: Understanding the
Science of Fire, FIRE ENGINEERING, May/June 1994)
FRACTIONATION
The separation of one group of compounds in a mixture from another, generally by
distillation. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris,
IAAI Forensic Science Committee)
FRÉQUENCE DE L'INCENDIAT [Stickney 1960]
La fréquence des incendies criminels apparait plus clairement dans les statistiques de certains
enquêteurs [investigateurs] les plus qualifiés du pays. ... il y aurait un (1) incendie criminel pour
quatre (4) ou cinq (5) sinistres qui entrainent des pertes. [Stickney 1960]
FUEL
A substance that may react with oxygen to produce combustion. In pyrotechnics, anything
combustible such as sulfur, aluminum powder, iron powder, plastic binder; opposite:
oxidizer. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information)
Fuel. All the dead and living material that will burn. This includes grasses, dead branches and
pine needles on the ground, as well as standing live and dead trees. Also included are minerals
near the surface, such as coal that will burn during a fire, and human-built structures.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
FUEL CONTROLLED FIRE [NFPA 921 - 1992]
A fire in which the heat release rate and growth rate are controlled by the characteristics of the
fuel, i.e., quantity and geometry. Adequate air for combustion is available. [NFPA 921 - 1992]
FUEL DISPENSING STATION means any premises at which flammable or combustible liquids
are dispensed from fixed equipment into the fuel tank of a motor vehicle or watercraft. (Ontario
Fire Code 1996)
Fuel Load
The amount of combustible material (living and dead plants and trees) that is found in an area.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
FUEL OIL
A heavy petroleum distillate ranging from #1 (kerosene or range oil), #2 (diesel fuel), up through
#6 (heavy bunker fuels). To be identified as fuel oil, a sample must exhibit a homologous series of
normal alkanes ranging from C9 upward. (Glossary Of Terms Related To Chemical And
Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
FULL PROTECTIVE CLOTHING
Protective clothing worn primarily by fire fighters which includes helmet, coat, pants, boots,
gloves, and self-contained breathing apparatus designed for structural fire fighting. It does not
provide specialized chemical protection. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
FUME
Airborne dispersion consisting of minute solid particles arising from the heating of a solid material
such as lead, in distinction to a gas or vapor. This physical change is often accompanied by a
chemical reaction, such as oxidation. Fumes flocculate and sometimes coalesce. Odorous gases
and vapors should not be called fumes. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
FUMÉES (Canutec)
Très petites particules solides en suspension dans l'air qui se forment lorsque de la vapeur
chaude se refroidit. Par exemple, il peut se former de la vapeur de zinc chaud lorsqu'on soude de
l'acier recouvert de zinc. En entrant en contact avec l'air ambiant plus frais, la vapeur se
condense et forme une fine fumée de zinc. Généralement les fumées sont formées de particules
plus fines que les poussières et elles pénètrent donc plus facilement dans les
poumons. (Canutec)
FURNACE means a space-heating appliance that uses warm air as the heating medium and that
usually has provision for the attachment of ducts. (Ontario Fire Code 1996)
Fusain
Fossilized charcoal. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
-GGARAGE DE REMISAGE : bâtiment ou partie de bâtiment affecté au remisage de véhicules
automobiles et qui ne comporte aucune installation pour leur réparation ou leur entretien [S-3, r.2,
LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S3)]
GARAGE DE RÉPARATION
bâtiment ou partie de bâtiment comportant des installations pour la réparation ou l'entretien de
véhicules automobiles [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE
DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
GARDE-CORPS
dispositif protecteur capable de prévenir les chutes accidentelles d'un niveau à un autre [S-3, r.2,
LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S3)]
GARDE DES LIEUX
Aussitôt que l'incendie est maitrisé, il est nécessaire de poster des surveillants sur les lieux et
d'éloigner du secteur, surtout du foyer initial de l'incendie, toute personne (y compris pompiers et
policiers) dont la présence n'est pas requise, jusqu'à ce que les causes du sinistre soient établies
ou que l'enquêteur / l'investigateur ait pris la situation en main. [Stickney 1960]
GAS (Friedman 1989)
A state of matter in which the molecules, which are moving rapidly, are separate from one another
except when undergoing collisions. See liquid and solid, the other states of matter. [Friedman
1989]
GAS (CAL EMR)
A state of matter in which the material has very low density and viscosity; can expand and
contract greatly in response to changes in temperature and pressure; easily diffuses into other
gases; readily and uniformly distributes itself throughout any container. A gas can be changed to
a liquid or solid state by the combined effect of increased pressure and/or decreased
temperature. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
GAS CHROMATOGRAPHY (also known as Gas Liquid Chromatography)
The separation of organic liquids or gases into discrete components or compounds seen as peaks
on a chromatogram. Separation us done in a column which is enclosed in an oven held at a
specific temperature, or programmed to change temperature at a reproducible rate. The column
separates the compounds according to their affinity for the material inside the column (stationary
phase). Columns can be either packed or capillary. Packed columns employ a powdery
substance which may be coated with a nonvolatile liquid phase. A capillary column is a glass or
quartz tube coated with a nonvolatile liquid. Gas Chromatography (GC) is the accepted method
for identification of hydrocarbon mixtures normally used as accelerants, and must be performed in
order to have a valid identification of petroleum distillates. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
GAS LAWS (Hydro Cut)
Physical laws describing the behavior of a gas (see States Of Matter) under various conditions of
volume ( V ), pressure ( P ), and absolute, or Kelvin, Temperature ( T ). Boyle's, or Mariotte's, gas
law states that under constant temperature PV = k1. Charles', or Gay-Lussac's, law states that
under constant pressure V = k2T. A third law states that under constant volume P = k3T. The
constants k1 , k2 , and k3 are dependent on the amount of gas present and, respectively, on the
temperature, pressure, and volume of the gas. These three laws can be combined into a single
law, or equation of state: PV = kT or Pv = RT. These laws are formulated for so-called ideal or
perfect gases. Real gases are described more accurately by the van der Waals equation: (P +
a/v2) (v - b) = RT , in which ( a ) and ( b ) are specific constants for each gas. (Hydro Cut General
Terminology Resource Information)
GASES (properties of) [Friedman 1989]
Gases consist of individual atoms or molecules moving at high velocities (approximately at the
speed of sound, which is about 300 meters per second). At atmospheric pressure and room
temperature, the atoms or molecules themselves occupy only about 0.1% of the spaceand the
remaining 99.9% of the space is empty. Each atom or molecule is colliding with others and
changing direction about 109 times per second. If the temperature of a gas is increased, at
constant pressure, the average velocity of the atoms or molecules increases and the gas
expands. [Friedman 1989]
GASOLINE
Gasoline is a light, volatile fuel oil; called petrol in Britain. A mixture of Hydrocarbons obtained in
the fractional Distillation and ôcrackingö of Petroleum, it is used as a fuel for internal-combustion
engines, for cooking, and as a solvent. The quality of gasoline used in engines is rated by Octane
Number. To increase octane rating, lead additives were once widely used. Because of the
possible health hazard of lead as an environmental pollutant and the harmful effect it has on
pollution-control devices, however, a program was begun in the U.S. in the 1970s to change
automobile design and gasoline composition, so that lead additives could be gradually eliminated.
(Hydro Cut General Terminology Resource Information)
GASOLINE (IAAI)
A mixture more than 200 volatile hydrocarbons in the range of C4 to C12 , suitable for use in
spark ignited internal combustion engine. Regular automotive gasoline has a flash point of 40F. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI
Forensic Science Committee)
GAZ (Canutec)
Un gaz est une substance sans forme qui tend à occuper uniformément tout l'espace disponible,
dans des conditions de température et de pression normales. Les termes vapeur et fumée sont
quelquefois confondus avec le terme gaz. (Canutec)
GAZ COMPRIMÉ
Un gaz comprimé est une substance qui est à l'état gazeux à la température et à la pression
normales de la pièce, mais qui se vend à l'état de liquide, de gaz sous pression ou de liquide
réfrigéré. Le Règlement sur les produits contrôlés au Canada et la norme HAZCOM de l'OSHA
aux États-Unis définissent les critères techniques selon lesquels une substance est désignée
comme gaz comprimé. Que les gaz comprimés soient vendus en bombes aérosol, en bombonnes
sous pression ou en contenants réfrigérés, il faut les entreposer et les manipuler avec beaucoup
de prudence, car de tels contenants peuvent exploser s'ils sont percés, endommagés ou
chauffés. (Canutec)
GAZ (d'éclairage)
Au début du XIXe siècle, le gaz était utilisé comme moyen d'éclairage des usines, des rues et des
maisons. Le gaz d'éclairage fabriqué artificiellement était disponible dans de nombreuses villes et
cités du Canada avant que le kérosène ne soit très répandu. L'éclairage au gaz incandescent, en
concurrence avec l'électricité dans les débuts de ce type d'éclairage, était très populaire en
Grande-Bretagne et dans les autres pays européens, bien que même en 1895, il était encore une
nouvauté en certains endroits du Canada. La production commerciale du gaz naturel et la mise
au point de l'éclairage à l'acétylène à la fin du XIXe siècle favorisèrent le changement au gaz et,
semble-t-il, menacèrent sérieusement le développement de l'éclairage électrique. [Appareils
d'éclairage, 1984]
GAZ INFLAMMABLE
Un gaz est dit inflammable s'il peut prendre feu facilement et brûler rapidement ou de façon
explosive. Le Règlement sur les produits contrôlés au Canada et la norme HAZCOM de l'OSHA
aux États-Unis renferment des critères techniques servant à identifier les gaz inflammables aux
fins de chaque règlement. Ces gaz peuvent être extrêmement dangereux en milieu de travail. Par
exemple:
- Si le gaz s'accumule au point d'atteindre la limite inférieure d'explosivité (LIE), une source
d'inflammation peut provoquer une explosion.
- Si la ventilation est inadéquate, les gaz inflammables peuvent parcourir une distance
considérable, atteindre une source d'inflammation et produire un retour de flamme. (Canutec)
GAUGE (Wire)
A series of standard sizes such as the American Wire Gauge (AWG), used to specify the diameter
of wire. (Hydro Cut General Terminology Resource Information)
GELLING
A process of adding a specific material that is designed to coagulate a liquid facilitating its
isolation and removal. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
GESTION DE LA QUALITÉ / quality management
Aspect de la fonction générale de gestion qui détermine la politique qualité et la mise en
oeuvre. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
GESTION TOTALE DE LA QUALITÉ / total quality management (TQM)
Mode de gestion d'un organisme centré sur la qualité, basé sur la participation de tous ses
membres et visant au succès à long terme par la satisfaction du client et à des avantages pour
les membres de l'organisme et pour la société. (Mouvement québécois de la qualité,
http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
GLOWING COMBUSTION (incandescence - combustion en phase solide)
Luminous burning of solid material without a visible flame. [NFPA 921 - 1992]
GLOWING COMBUSTION
A term applied to smoldering combustion when a glow is visible (radiation from a hot surface).
[Friedman 1989]
GLOSSARY OF TERMS (INTRODUCTION TO)
The express purpose of the Hazardous Materials Emergency Response Glossary of Standardized
Terms is to provide common and readily understandable definitions to facilitate communications
and operations among hazardous materials emergency responders when dealing with hazardous
materials incidents. This document is not intended as a legal or scientific
reference. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
GRADE means the average level of finished ground adjoining a building at all exterior
walls. (Ontario Fire Code 1996)
GROUNDING
Method whereby activities which may generate static electricity will be prevented from discharging
a spark and thereby not produce an ignition point. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
Ground Fire
A fire that burns organic materials in the soil layer (e.g., peat) and often the surface litter and lowgrowing vegetation. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
GROUP (groupe opérationnel)
That organization level within the incident command system having responsibility for operations
within a specific functional area, i.e. salvage, ventilation, haz-mat. (NIIMS) HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
GROUPE 4 (chimie)
Les éléments du groupe 4, titane, hafnium et zirconium, sont des métaux particulièrement
résistants à la corrosion. Aussi sont-ils principalement employés dans des alliages. (Ivan Noels,
[email protected])
GROUPE 5
Les éléments du groupe 5, tantale, niobium et vanadium, sont des métaux particulièrement
résistants à la corrosion. Aussi sont-ils principalement employés dans des alliages. (Ivan Noels,
[email protected])
GROUPE 6
Les éléments du groupe 6, le chrome, le molybdène et le tungstène sont des métaux durs et
résistants bien à la corrosion, ce qui explique leur emploi dans de nombreux alliages. (Ivan Noels,
[email protected])
GROUPE 7
Les éléments du groupe 7, manganèse, technétium et rhénium, sont des métaux de transition. Le
manganèse peut présenter différents degrés de valence, de 2 à 7. Plus le degré de valence
augmente, plus il perd son caractère métallique et plus il présente des analogies avec les
halogènes. Ces trois éléments sont surtout utilisés dans des alliages. (Ivan Noels,
[email protected])
GROUPES 8, 9 et 10
Les éléments de ces groupes sont des métaux de transition. Par ionisation, ils donnent des
cations dont l'électrovalence ne dépasse pas 4. Ils sont durs, brillants et ont un point de fusion
élevé. (Ivan Noels, [email protected])
GROUPE 11
Les éléments du groupe 11, le cuivre, l'argent et l'or, tout en n'ayant qu'un électron périphérique,
se distinguent des métaux alcalins en comptant 18 électrons sur la couche précédente. Ils ne
sont pas toujours monovalents. Ils sont tous trois d'excellents conducteurs de l'électricité et sont
souvent utilisés en alliages entre eux. (Ivan Noels, [email protected])
GROUPE 12
Les éléments du groupe 12, le zinc, le cadmium et le mercure ont deux électrons sur leur couche
périphérique qui suit une couche à 18 électrons. Alors que le zinc est toujours bivalent, le
mercure peut être mono- ou bivalent. (Ivan Noels, [email protected])
GROUPE 13
Les éléments du groupe 13, bore, aluminium, gallium, indium et thallium constituent le groupe
des métaux terreux. Tous les éléments de ce groupe ont trois électrons de valence. Le premier, le
bore, présente très nettement des caractères non métalliques. Les autres éléments du groupe
sont électropositifs bien que de façon moins prononcée que les alcalino-terreux. (Ivan Noels,
[email protected])
GROUPE 14
Les éléments principaux du groupe 14 sont deux non-métaux, le carbone et le silicium. Les
éléments du groupe 14 sont tétravalents et forment des oxydes acides qui se combinent aux
oxydes métalliques pour former des carbonates, des silicates, etc. (Ivan Noels,
[email protected])
GROUPE 15
Les éléments du groupe 15, azote, phosphore, arsenic, antimoine et bismuth ont des propriétés
assez disparates. Le caractère métallique augmente au fur et à mesure que la masse atomique
devient plus élevée. (Ivan Noels, [email protected])
GROUPE 16
Les quatre premiers éléments, l'oxygène, le soufre, le sélénium et le tellurium sont parfois connus
sous le terme général de chalcogènes (engendreurs de chaux). Ce nom est dû à la propriété que
possède l'oxygène de se combiner au calcium pour former la chaux. Le cinquième élément de ce
groupe, le polonium, est radioactif. (Ivan Noels, [email protected])
GROUPE 17
Les élément du groupe 17 font partie de la famille des halogènes (littéralement "engendreurs de
sels"). Ce sont des éléments non métalliques. Ils ont tous une valence égale à 1 . Plus on monte
dans la colonne et plus les atomes gagnent facilement un électron périphérique pour former des
ions 1x négatifs et ressembler ainsi au gaz rare le plus proche. Chacune de leurs molécules est
formée de 2 atomes, elles sont donc diatomiques. Leur point de fusion augmente au fur et à
mesure que les atomes deviennent plus gros. C'est ainsi qu'à 25 °C, le fluor et le chlore sont des
gaz, le brome est liquide, l'iode et l'astatine sont solides. ATTENTION : Sous forme de gaz ou de
vapeur, ces éléments sont dangereux à respirer car ils forment des acides au contact de l'eau des
poumons. (Ivan Noels, [email protected])
GROUPE 18
Les éléments du groupe 18 font partie de la famille des gaz rares. Aucun d'eux n'était connu de
Mendeleïev. En effet, leur couche périphérique contient le maximum possible d'électrons (2 pour
l'hélium et 8 pour les autres), ce qui les rend très peu réactifs et fait qu'ils ne forment que très peu
de composés. C'est la raison pour laquelle on les appelle parfois des gaz inertes. On les trouve
principalement dans l'atmosphère et dans le gaz naturel. Leur découverte a donc dû attendre la
ème
fin du 19
siècle et la réalisation de la liquéfaction de l'air. Le radon a été découvert en 1900.
Petite note amusante: L'hélium (du grec "helios", Soleil) a d'abord été observé dans le spectre
solaire avant d'être découvert sur la Terre quelques années plus tard. (Ivan Noels,
[email protected])
GROWTH OF A FIRE
However, it must be said that chemistry is not the whole story. Two other key factors must be
considered : heat transfer and fluid mechanics. The radiative, convective, and conductive transfer
of heat from the flame and the hot fire products to the burning and the not-yet burning
combustibles are vital in governing the growth of a fire. The buoyant rise of hot gases, drawing
fresh air into the fire, the mixing of the fire gases with ambient air, and the motion of the fire
products through a building, usually with layering, are important aspects of fires. Heat transfer and
fluid mechanics are interrelated because the motion of a hot gas affects the rate of heat transfer
from a gas to the surroundings, and the temperature of a gas affects its buoyancy, which induces
its motion. [Friedman 1989]
-H-
Habitat
An area that supplies the needs of a population of animals or plants living there.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
HABITATION
bâtiment ou partie de bâtiment où sont prévus des locaux pour dormir, tel que prévu à la soussection 3.1.2 [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU
BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
HALOGEN
Any of the elements fluorine, chlorine, bromine, iodine, or astatine. [Friedman 1989]
HALOGEN (voir Groupe 7)
Any of the five chemical elements in group VIIa of the Periodic Table. Fluorine, Chlorine, Bromine,
Iodine, and the radioactive Astatine are nonmetallic, monovalent negative ions and exist in pure
form as diatomic molecules. The first four elements exhibit an almost perfect gradation of physical
properties. Fluorine is the least dense and chemically the most active, displacing other halogens
from their compounds and oxygen from water. Iodine is the least active. The halogens form
numerous compounds with each other, and with other elements, such as hydrogen halides, metal
halides (Salts), and halocarbons.(Hydro Cut General Terminology Resource Information)
HALOGENS
A chemical family that includes fluorine, chlorine, bromine, and iodine.HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
HALONS
Fire suppressing gases that are composed of straight chain carbon atoms with a variety of
halogen atoms attached. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY
OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
HALONS
Various synthetic chemicals, the molecules of which consist of combinations of carbon, fluorine,
chlorine, and bromine. [Friedman 1989]
Handline
A handline is a small diameter hose usually used inside a burning structure to directly apply water
on to the fire. Handlines are usually 1.5 or 1.75 inches in diameter. Lines as large as 2.5 inches in
diameter (also called the "deuce and a half") can be used for heavy fire conditions.
[email protected]
Hand line
Fire line constructed with hand tools by natural resources managers and fire crews.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
HARDWARE
Ensemble de l'équipement matériel (hors logiciel) d'un système informatique. (Glossaire
Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
HAUTEUR DE BÂTIMENT
nombre d'étages compris entre le toit d'un bâtiment et le plancher du premier étage [S-3, r.2, LOI
SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
HAZARD (risque)
Any situation that has the potential for causing damage to life, property, and/or the
environment. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
HAZARD ASSESSMENT
A process used to qualitatively or quantitatively assess risk factors to determine incident
operations. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
HAZARD CLASS
The eight classes of hazardous materials as categorized and defined by the Department of
Transportation in 49 CFR. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY
OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
HAZARDOUS CHEMICAL
A term used by the United States Occupational Safety and Health Administration (OSHA) to
denote any chemical that would be a risk to employees if exposed in the workplace. The list of
hazardous chemicals is found in 29 CFR. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
HAZARDOUS LOCATION means a location that is or may become subject to conditions
conducive to the rapid development of fire or explosion. (Ontario Fire Code 1996)
HAZMAT
dangerous goods (STANDARDIZED), dangerous material, hazardous material, dangerous
commodities (STANDARDIZED), dangerous articles (STANDARDIZED), hazardous commodities
(STANDARDIZED), hazardous goods, hazardous products, hazardous materiel, HAZMAT
(CORRECT)
Those substances classified as dangerous by the United Nations Committee of experts on the
transport of dangerous goods or by the competent authority .... Explosive, toxic, caustic, nuclear,
combustible, or flammable, biological, infectious, or poisonous materials that may, directly or
indirectly, endanger human life or property, particularly if mishandled, misused or involved in
accidents. ... the nine classifications of hazardous material [are:] ... Explosives ... Flammable and
Non-Flammable ... Compressed Gas ... Flammable Liquids and Solids ... Oxidizers/Organic
Peroxides ... Poison and Infectious Substances ... Radioactive ... Corrosives ... Miscellaneous.
The terms "hazardous commodities" and "dangerous articles" are standardized by the Canadian
General Standards Board; the term "dangerous goods" is standardized by ISO and is used in the
Canadian "Transportation of Dangerous Goods Act", chapter 36. The spelling "materiel" with an
"e" is reserved for military equipment. dangerous goods: Term and definition standardized by
ICAO. (Source : Termium 1996)
HAZARDOUS MATERIAL
A substance (solid, liquid, or gas) capable of posing an unreasonable risk to health, safety,
environment or property. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY
OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
HAZARDOUS MATERIALS RESPONSE TEAM (HMRT)
An organized group of employees, designated by the employer, who are expected to perform
work to handle and control actual or potential leaks or spills of hazardous substances requiring
possible close approach to the substance. A Haz-Mat Team may be a separate component of a
fire brigade or a fire department or other appropriately trained and equipped units from public or
private agencies. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
HAZARDOUS MATERIALS RESPONSE TEAM - TECHNICIAN LEVEL
Shall consist of an organized group of employees, designated by the employer in compliance with
8 CCR 5192(q)(6), trained to function at the hazardous materials incident at the Technician Level
in accordance with NFPA 472, Chapter 3 (1990). Additionally, personnel on the team shall be
capable of the following:
1). The ability to carry out the duties of these positions as identified in FIRESCOPE ICS-HM-120.
a. Group Supervisor
b. Entry Leader
c. Hazardous Material Safety Officer
d. Site Access Control Officer
e. Decontamination Leader
f. Technical Specialist-Hazardous Material
Reference
(Multiple positions can be handled by one person dependent upon the complexity and/or severity
of the incident.)
2). Members shall be assigned positions in accordance with 8 CCR 5192 appropriately trained to
include but not be limited to entry with splash protective clothing.
a. Entry Team: 2
b. Backup Team: 2 HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
HAZARDOUS MATERIALS RESPONSE TEAM - SPECIALIST LEVEL
Shall consist of an organized group of employees, designated by the employer in compliance with
8 CCR 5192(q)(6), trained to function at the hazardous materials incident at the Specialist Level in
accordance with NFPA Standard 472, Chapter 4 (1990). Additionally, personnel on the team shall
be capable of the following:
1). The ability to carry out the duties of these positions as identified in FIRESCOPE ICS-HM-120
a. Group Leader
b. Entry Team Leader
c. Hazardous Material Safety Officer
d. Site Access Control Officer
e. Decontamination Leader
f. Technical Specialist-Hazardous Material
Reference
(Multiple positions can be handled by one person dependent upon the complexity and/or severity
of the incident.)
2). Members shall be assigned positions in accordance with 8 CCR 5192 appropriately trained for
entry with vapor protective clothing.
a. Entry Team: 2
b. Backup Team: 2 HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
HAZARDOUS MATERIALS RESPONSE TEAM - SPECIALTY
Shall consist of an organized group of employees, designated by the employer in compliance with
8 CCR 5192(q)(6), who are trained in the hazards of specific hazardous substances, and/or
specific techniques or support services, and/or the provision of specialized technical advice and
assistance in compliance with 8 CCR 5192(q)(5). The Team shall be capable, either within their
own team or in agreement with a Hazardous Materials Response Team on scene, of the
following:
1). The ability to carry out the duties of these positions as identified in Firescope ICS-HM-120.
a. Group Supervisor
b. Entry Team Leader
c. Hazardous Material Safety Officer
d. Site Access Control Officer
e. Decontamination Leader
f. Technical Specialist-Hazardous Material
Reference
(Multiple positions can be handled by one person dependent upon the complexity and/or severity
of the incident.)
2). Members shall be assigned positions in accordance with 8 CCR 5192 appropriately trained to
include but not be limited to entry with splash protection.
a. Entry team: 2
b. Backup team: 2 HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
HAZARDOUS SUBSTANCE
Hazardous Substance, as used by the California Department of Toxic Substances Control,
encompasses every chemical regulated by both the Department of Transportation (hazardous
materials) and the Environmental Protection Agency (hazardous waste), including emergency
response. (8 CCR 5192) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY
OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
HAZARDOUS WASTE
1) Waste materials or mixtures of waste which require special handling and disposal because of
their potential to damage health and/or the environment.
2) The Environmental Protection Agency uses the term hazardous waste for chemicals that are
regulated under the Resource Conservation and Recovery Act and are listed in 40 CFR 261.33
(d). Environmental Protection Agency or California Department of Toxic Substances Control
regulated hazardous waste, when in transport, must also meet 49 CFR parts 170 through 179.
California's list of hazardous waste is more inclusive than EPA's.HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
HAZARDOUS WASTE GENERATION
The act or process of producing hazardous waste. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
HAZARDOUS WASTE LANDFILL
An excavated or engineered area on which hazardous waste is deposited and covered. Proper
protection of the environment from the materials to be deposited in such a landfill requires careful
site selection, good design, proper operation, leachate collection and treatment, and thorough
final closure. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
HAZARDOUS WASTE LEACHATE
Any liquid that has percolated through or drained from hazardous waste emplaced in or on the
ground. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
HAZARDOUS WASTE MANIFEST, UNIFORM (EPA USAGE)
The shipping document, originated and signed by the waste generator or an authorized
representative, that contains the information required by law and must accompany shipments of
hazardous waste. (40 CFR 262, Subpart B) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
HAZARDOUS WASTE SITE
A location where hazardous wastes are located. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
HAZCOM
Désigne la norme Hazard Communication Standard (29CFR 1910.1200), États-Unis. (Canutec)
Headfire
A fire front spreading or ignited to spread with the gradient (downwind or upslope).
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
HEADSPACE CONCENTRATION
A technique for concentrating all or most of the flammable or combustible liquid vapours in a
sample onto a tube of charcoal, a wire coated with charcoal, a charcoal coated polymer, or some
other adsorbing material which will later be desorbed in order to analyse the concentrated
vapours. This is a primary form of sample preparation in arson debris analysis. This is also known
as adsorption/elution, vapour concentration, or total headspace. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
HEAT (chaleur) (Hydro Cut)
The internal Energy of a substance, associated with the positions and motions of its component
molecules, atoms, and ions. The average kinetic energy of the molecules or atoms, which is due
to their motions, is measured by the Temperature of the substance; the potential energy is
associated with the state, or phase, of the substance ( States Of Matter). Heat energy is
commonly expressed in Calories, British Thermal Units (BTU), or Joules, ( Work). Heat may be
transferred from one substance to another by three means: Conduction, Convection, and
Radiation. Also Heat Capacity; Specific Heat; Thermodynamics. Originally an abbreviation for
"high explosive antitank." A term used to designate high explosive ammunition containing a
shaped charge. High-Explosive Antitank Shell. (Hydro Cut General Terminology Resource
Information)
HEAT (IAAI)
A mode of energy associated with and proportional to molecular motion that may be transferred
from one body to another by conduction, convection or radiation.(Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
Heat
Necessary ingredient for fire to start; can be supplied by lightning or human sources.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
HEAT CAPACITY
Heat capacity or thermal capacity, ratio of the change in Heat energy of a unit mass of a
substance to the change in Temperature of the substance. The heat capacity is a characteristic of
a substance; it is often expressed in Calories per gram per degree Celsius or British Thermal
Units per pound per degree Fahrenheit. Also Specific Heat. (Hydro Cut General Terminology
Resource Information)
HEAT DETECTOR means a fire detector designed to operate at a predetermined temperature or
rate of temperature rise.(Ontario Fire Code 1996)
HEATING OIL (No.2)
Fires involving liquids in the form of sprays or thin films are different because the fire point
temperature is no longer a relevant measure of flammability. A pool of domestic fuel oil (No.2) at
20°C (68°F) cannot be ignited with a match (unless a wick is present), but the same oil, in the
form of a spray, mist, or thin film, can be ignited easily. [Friedman 1989]
HEAT OF COMBUSTION
Heat evolved in the complete oxidation of a substance under standard conditions of pressure and
temperature. (Hydro Cut General Terminology Resource Information)
HEAT OF COMBUSTION
It has been determined (Hugget, 1980) that if the heat of combustion of a substance is expressed
as kilojoules per gram of the air required by the principles of combining proportions, then the heat
of combustion is nearly the same for most combustible substances. The value is 3 kilojoules per
gram of air required. [Friedman 1989]
HEAT OF EXPLOSION
Heat evolved in burning (exploding) a sample in a combustion bomb in an inert atmosphere under
standard conditions of pressure and temperature. Products of explosion vary with the oxygen
balance of the sample. (Hydro Cut General Terminology Resource Information)
HEAT OF FORMATION
Heat evolved, or absorbed, when a compound is formed by combination of its elements. (Hydro
Cut General Terminology Resource Information)
HEAT OF FUSION (voir Heat of Vaporization) [Friedman 1989]
When a solid melts, an energy change is involved and heat must be added to the solid to convert
it to a liquid. For example, 334 joules of heat energy must be added to 1 gram of ice at 0°C to
convert it to liquid water at 0°C. This energy is called the heat of fusion. [Friedman 1989]
HEAT OF REACTION
Heat evolved when a sample is burned in a combustion bomb in an atmosphere of helium or other
inert gas. (Hydro Cut General Terminology Resource Information)
HEAT OF VAPORIZATION (voir Heat of Fusion)
To convert liquid water at 100°C to water vapor at 100°C, a heat of vaporization must be supplied.
For water, this is 2257 joules per gram at 100°C. The heat of vaporization of hexane ("mineral
spirits") is only 342 joules per gram, and this explains why hexane evaporates much more readily
than water. [Friedman 1989]
HEAVY METAL
A high density metallic element that may demonstrate health hazards as a result of exposure and
may contribute to contamination of the environment. This includes chromium (Cr), beryllium (Be),
lead (Pb), mercury (Hg), zinc (Zn), copper (Cu), cadmium (Cd) and others. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
HEAVY TIMBER CONSTRUCTION means that type of combustible construction in which a
degree of fire safety is attained by placing limitations on the sizes of wood structural members
and on thickness and composition of wood floors and roofs, by avoidance of concealed spaces
under floors and roofs and by use of approved fastenings, construction details and adhesives for
structural members.(Ontario Fire Code 1996)
HÉLIUM
Du grec "Helios", Soleil. Appartient au groupe 18. Après l'hydrogène, l'hélium est le second
élément en abondance dans l'univers. Incolore, inodore et monoatomique, l'hélium fait partie des
gaz rares. Contrairement à l'hydrogène, il ne brûle pas ce qui permet de l'utiliser sans danger
pour le gonflage des ballons ou des dirigeables. On l'utilise comme gaz protectif pour la
production de cristaux de silicium et de germanium. Les plongeurs à grande profondeur utilisent
un mélange de 80% d'hélium et de 20% d'oxygène. Après avoir respiré une atmosphère riche en
hélium, on parle avec une voix croassante (à ne pas essayer, à cause des impuretés des
contenants habituels!). (Ivan Noels,[email protected])
HEMOGLOBIN
A molecule in the blood that carries oxygen from the lungs to cells throughout the body. A typical
formula is [C738H1166O208N203S2Fe]4.[Friedman 1989]
HEPTANE
An alkane having the formula C7H16, flash point of 25F and explosive limits of 1.2% to
6.7%. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI
Forensic Science Committee)
HERTZ nm (traitement du signal)
Unité de mesure de la fréquence d'un phénomène (Hz), correspondant à 1 cycle par seconde
(10.000 hertz = 10 000 fois/seconde). (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe
de travail ERFET, France)
HEXANE
An alkane having the formula C6H14. Flash point -9F. Explosive limits of 1.2% to 7.5%. (Glossary
Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
HIÉRARCHIE ORGANISATIONNELLE
BRIGADE D'EXTINCTION, SERVICE DE PROTECTION CONTRE LES INCENDIES DE LA
VILLE DE QUÉBEC (Saillant, caserne Charlesbourg)
POMPIER
Les pompiers sont les exécutants dans l'ordre hiérarchique. Ils peuvent effectuer diverses tâches
qui leur sont assignées. Les postes disponibles pour les pompiers sont en général conducteur de
pompe-échelle, de mini-pompe, de chef, fontainier, porte-lance et aide-chauffeur sur la minipompe. Le pompier doit être autonome, avoir de l'initiave et une bonne dose de savoir-faire.
LIEUTENANT ÉLIGIBLE
Le lieutenant éligible est là pour remplacer les lieutenants réguliers absents. Il a les mêmes
responsabilités et pouvoirs que le lieutenant qu'il remplace. Lorsqu'il ne remplace pas, il redevient
un pompier comme tous les autres de son rang. Il y a en général 1 lieutenant par caserne. Il est
en charge de celle-ci et des pompiers qui la compose.
LIEUTENANT
C'est le lieutenant qui gère les forces de chacun afin que les efforts donnés soient menés dans le
même sens. Il reçoit les ordres directement de son chef de district Il y a 4 équipes (pelotons) de
travail qui se séparent les 7 jours de la semaine par caserne. Parmi les quatres officiers qui sont
affectés à un de ces pelotons il y en a un qui est le capitaine.
CAPITAINE
Les tâches du capitaine sont presque les mêmes que ceux du lieutenant. Il doit en plus gérer la
logistique de la caserne, ses aménagements et ses véhicules.
CHEF DE DISTRICT
Il y a 2 chefs de district par peloton. Le territoire de la ville de Québec est divisé en deux parties.
Chaque chef a sa partie. Sa tâche est de gérer sur le plan administratif les casernes situées sur
son territoire. Il dirrige aussi les premières alarmes et interventions spéciales dans son secteur.
Lors d'une deuxième alarme c'est le chef de division qui devient son supérieur immédiat dans la
gérance de l'incendie.
CHEF DE DIVISION
Le chef de division est le grand manitou de l'ensemble du peloton et des 8 casernes. Dès qu'une
deuxième alarme est répartie il prend le contrôle du site de l'incendie. généralement il agit aussi
comme porte-parole au niveau des médias.
HIGH HAZARD INDUSTRIAL OCCUPANCY (Group 'F' Division 1) means an industrial
occupancy that contains sufficient quantities of highly combustible and flammable or explosive
materials that, because of their inherent characteristics, constitute a special fire hazard. (Ontario
Fire Code 1996)
HOMOLOGUÉ OU HOMOLOGATION
caractéristique d'un dispositif ou équipement répondant aux normes techniques des organismes
d'essais suivants :
a) Association canadienne de normalisation;
b) Underwriters' Laboratories of Canada;
c) The Canadian Gas Association.
Cependant, lorsque ces organismes ne possèdent pas de normes pour un dispositif ou
équipement dont l'homologation est requise par le présent code, celles des organismes suivants
peuvent être acceptées:
a) Underwriters' Laboratories Inc.
b) Factory Mutual [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU
BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
HOMOLOGOUS SERIES
A series of similar organic compounds, differing only in that the next higher member of the series
has an additional CH2 group (one carbon atom and two hydrogen atoms) in its molecular
structure. Fuel oils are characterized by the presence of an identifiable homologous series of
normal alkanes.
Diesel Fuel :
Diesel Fuel consists mostly of hydrocarbons ranging from C10 to C24. The composition of diesel
fuel may vary with changes in latitude or changes in season. This variability is provided by the
refinery to control the volatility of the product. In order to be identified as diesel fuel, a sample
extract must exhibit a homologous series of five or more consecutive normal alkanes ranging from
C12 through C22. Diesel fuel has a flash point of 120 to 160 F and explosive limits of 0.7% to 5%.
Many states specify a minimum flash point for diesel fuel.
Fuel Oil :
A heavy petroleum distillate ranging from #1 (kerosene or range oil), #2 (diesel fuel), up through
#6 (heavy bunker fuels). To be identified as fuel oil, a sample must exhibit a homologous series of
normal alkanes ranging from C9 upward.
Gasoline :
A mixture more than 200 volatile hydrocarbons in the range of C4 to C12 , suitable for use in
spark ignited internal combustion engine. Regular automotive gasoline has a flash point of -40 F.
Kerosene (#1 Fuel Oil):
Flash point generally between 100 and 150 degrees F. Explosive limits of 0.7% to 5.0%.
Kerosene consists mostly of C9 through C17 hydrocarbons. In order to be identified as kerosene,
a sample extract must exhibit a homologous series five consecutive normal alkanes between C9
and C17. Kerosene is the most common 'incidental' accelerant, as it is used in numerous
household products ranging from charcoal lighter fluid to lamp oil to paint thinner to insecticide
carriers. It is also used as jet fuel. K-1 kerosene has a low sulfur content required for use in
portable space heaters.
Source : GLOSSARY OF TERMS RELATED TO CHEMICAL AND INSTRUMENTAL ANALYSIS
OF FIRE DEBRIS, Prepared by the IAAI Forensic Science Committee
http://www.aurorafire.gov/iaai.htm
HOSE (extension - déploiement des boyaux)
Where hose must be extended by hand up stairways, over ladders or for some distance across
properties, four men other than the pump operator are recommended. [Kimball 1969]
Hose
Hose is used to deliver water onto a fire and to provide water from hydrants to firefighting
apparatus. The types of hose used include handlines, booster lines and large diameter hose.
[email protected]
Hot and Cold Strokes
Two types of lightning bolts. Hot strokes are longer and more likely to start fires; cold strokes are
shorter and less likely to start fires. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
HOT TAPPING
A sophisticated method of welding on and the cutting of holes through liquid, compressed gas
vessels, and piping for the purpose of relieving pressure and/or removing product. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
HOT ZONE
An area immediately surrounding a hazardous materials incident, which extends far enough to
prevent adverse effects from hazardous materials releases to personnel outside the zone. This
zone is also referred to as the "exclusion zone", the "red zone", and the "restricted zone" in other
documents. (NFPA 472, 1-3) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
HUILE À CHAUFFAGE No.2 - incendiat (voir Heating Oil)
Si le premier aliment de l'incendie s'avère l'huile à chauffage (ou un autre liquide combustible ou
inflammable - hydrocarbure), on pourra dire que le feu n'a pas couvé parce que l 'huile à
chauffage s'allume ou ne s'allume pas. Il n'y a pas de phase intermédiaire pour un hydrocarbure
et ce sont les toutes premières fumées que les témoins sur place percevront. [H. Chicoine 1992]
Humus Layer
Decomposed organic matter that is found in the top layer of soil.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
HYDRANT
Another too frequent cause of poor performance is the failure to connect pumpers to hydrants with
hose capable of carrying the desired volume of water. Pumpers can utilize all the water available
at a single hydrant provided that the proper supply connections have been made. Available flows
from hydrants are calculated on the basis of 20 psi residual pressure. In most cases, a short
length of supply hose of not less than 4-inch diameter should be connected to the large pumper
outlet on the hydrant. For efficient pump operation and to avoid the possibility of damage due to
cavitation, a residual pressure of at least 10 psi on the suction side of the pump is
desirable.[Kimball 1969]
Hydrant
An upright metal casting connected to a water supply system and equipped with one or more
valved outlets to which a pumper or hoseline can be connected. [email protected]
HYDROCARBON (Hydro Cut)
A hydrocarbon is any organic compound composed solely of Carbon and Hydrogen.
Hydrocarbons include aliphatic compounds, in which the carbon atoms form a chain, and
Aromatic Compounds, in which the carbon atoms form stable rings. The aliphatic group is divided
into alkanes (e.g., Methane and Propane), alkenes, and alkynes (e.g., Acetylene), depending on
whether the molecules of the compounds contain, respectively, only single bonds, one or more
carbon-carbon double bonds, or one or more carbon-carbon triple bonds. Petroleum distillation
yields useful fractions that are hydrocarbon mixtures, e.g. Natural Gas, Gasoline, Kerosene,
home heating oil, lubricating oils, Paraffin, and asphalt. Coal Tar is also a source of hydrocarbons.
Hydrocarbon derivatives contain additional elements, e.g., oxygen, and include Alcohols,
aldehydes, ketones, carboxylic acids, and halocarbons.(Hydro Cut General Terminology
Resource Information)
HYDROCARBON (IAAI)
A organic compound containing only carbon and hydrogen. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
HYDROCARBURES
Les hydrocarbures sont des composés qui ne contiennent que des atomes de carbone et des
atomes d'hydrogène. L'hydrocarbure le plus simple est le méthaneCH4. Le méthane est un gaz
qui se trouve dans le gaz naturel et qu'on utilise comme combustible. (voir Méthane et voir
Paraffine) [Pauling 1958]
HYDROCARBURES CYCLIQUES
Le cyclohexane C6H12 représente un type d'hydrocarbure cyclique. C'est un liquide volatil de
propriétés très semblable à l'hexane normal (essence). [Pauling 1958]
HYDROCARBURES POUR FINS D'ÉCLAIRAGE
Quelque temps avant que l'on ne commence des expériences avec les hydrocarbures pour fins
d'éclairage, on avait observé les propriétés éclairantes de la houille. En 1850, James Young
obtint un brevet [anglais] pour un procédé de distillation de la houille et des produits de cette
distillation, qu'il nomma huile de paraffine. Un brevet américain à l'égard de cette méthode et de
l'huile susmentionnée lui fut accordé en 1852. En 1846, Abraham Gesner obtint une huile qu'il
nomma kérosène en utilisant un procédé différent de distillation de la houille; cependant, il ne fit
breveter son invention qu'en 1854. Des découvertes indiquant que les constituants du pétrole
étaient similaires à ceux du charbon distillé et que le pétrole pouvait être extrait du sol par forage
comme dans le cas du sel amenèrent l'exploitation pétrolière et le raffinage du pétrole. Vers
1857-1858, la prolifération des puits de pétrole et des raffineries contribua à abaisser le prix du
kérosène et à assurer son approvisionnement; de plus, les avantages inhérents de ce
combustible pour l'éclairage favorisèrent son utilisation. Dès 1864, le kérosène était le
combustible à lampe le plus utilisé en Amérique du Nord. Le kérosène peut être brûlé sans
danger [d'explosion] dans un réservoir de presque n'importe quelle forme. [Appareils d'éclairage,
1984]
HYDROGEN
Hydrogen (H) is a gaseous element, discovered by Henry Cavendish in 1766. The first element
on the Periodic Table, hydrogen is colorless, odorless, tasteless, slightly soluble in water, and
highly explosive. The hot flame produced by a mixture of oxygen and hydrogen is used in
welding, and in melting quartz and glass. Normal hydrogen is diatomic (Allotropy). The most
abundant element in the universe, hydrogen is the major fuel in fusion reactions of the Sun and
other Stars. Atmospheric hydrogen has three isotopes: protium (nucleus: one proton), the most
common; deuterium, or heavy hydrogen (nucleus: one proton and one neutron), used in particle
accelerators and as a tracer for studying chemical-reaction mechanisms; and tritium (nucleus:
one proton and two neutrons), a radioactive gas used in the hydrogen bomb, in luminous paints,
and as a tracer. Hydrogen's principal use is in the synthesis of Ammonia; liquid hydrogen has
been greatly used as a rocket fuel, in conjunction with oxygen or fluorine. Deuterium oxide, or
heavy water, is used as a moderator in nuclear reactors. Element. (Hydro Cut General
Terminology Resource Information)
HYDROGEN (IAAI)
The simplest element. Atomic Number 1. Hydrogen gas has a specific gravity of 0.0694 (air = 1),
so it is much lighter than air. Hydrogen is highly flammable, forming water upon combustion.
Explosive limits are 4% to 75%. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental
Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
HYDROGÈNE
Du grec "hudôr", eau et "gennân", engendrer. Appartient au groupe 1. C'est l'élément de loin le
2
plus abondant dans l'univers (90% de la masse) et aussi le plus léger. Un de ses isotopes, H
(deutérium, composant de l'eau lourde, D2O) est utilisé dans les centrales nucléaires qui
3
produisent aussi du H (tritium), utilisé pour la production de bombes atomiques. Parmi ses
nombreux usages, citons aussi la production d'acide chlorhydrique, la réduction des minerais
métalliques. Il est aussi très employé en cryogénie et dans les études sur la supraconductivité car
son point de fusion est à peine plus élevé que le zéro absolu. Composant de l'eau, il est donc
essentiel à toute vie sur la Terre et est présent dans tous les composés organiques. Non toxique,
il est cependant dangereux à manipuler à cause des dangers de feu et d'explosion quand il est
mélangé à l'air ou à l'oxygène. (Ivan Noels,[email protected])
HYGROSCOPIC
A substance that has the property of absorbing moisture from the air, such as silica
gel.HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED
TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
HYPERGOLIC
Two chemical substances that spontaneously ignite upon mixing. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
HYPERMÉDIA nm, adj (informatique) [hypermedia ]
Système combinant plusieurs technologies capables de produire et diffuser du son, de la parole,
du texte, de l'image fixe ou animée, etc... avec un choix du type d'information consultée ou
enregistrée fait selon un mode hypertexte. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1,
groupe de travail ERFET, France)
HYPERTEXTE nm, adj (informatique) [ hypertext ]
Un mode d'écriture ou de lecture non-linéaire, à base d'unités ou de modules et de liens
associatifs (référentiels ou hiérarchiques) entre ces modules, habituellement réalisée à l'aide d'un
logiciel spécifique. Un ensemble de fragments de textes reliés entre eux par des mots-clés
permettant des choix de directions et d'approfondissement. (Glossaire Formation et
Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
HYPOTHÈSES, THÉORIES ET LOIS (Pauling 1958)
Lorsqu'on s'est aperçu qu'un certain nombre de faits empiriques pouvaient être reliés ou
expliqués par une représentation schématique ou une équation mathématique, on considère ces
dernières comme une hypothèse, et on la soumet à des vérifications ultérieures; on contrôle
expérimentalement tout ce qu'on peut en déduire. Si elle continue de cadrer avec les résultats de
l'expérience, l'hypothèse mérite le nom de théorie ou de loi. ...Signalons que le terme théorie peut
être employé sous deux sens différents: le premier est celui que nous avons donné plus haut,
c'est-à-dire une hypothèse vérifiée à un certain degré. Mais on emploie aussi le mot théorie pour
représenter un corps de doctrine comprenant des faits, des lois, des théories au sens restreint
précédent, des déductions, etc. ...L'existence des atomes est maintenant considéré comme une
réalité. [Pauling 1958]
-IIATA
Association du transport aérien international (Canutec)
IGNITABLE MATERIAL
Any material having, as a liquid, a flash point less than 140o F or, if not a liquid, is capable of
causing fire through friction, absorption of moisture or spontaneous chemical
changes. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
IGNITION [Friedman 1989]
The onset of combustion. [Friedman 1989]
IGNITION (IAAI)
The means by which burning is started. (Glossary Of Terms Related To Chemical And
Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
IGNITION TEMPERATURE (IAAI)
The minimum temperature to which a fuel must be heated in order to initiate of cause self
sustained combustion independent of another heat source. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
IGNITION TEMPERATURE [NFPA 921 - 1992]
Minimum surface temperature a substance must attain in order to ignite under specific TEST
CONDITIONS. ... The ignition temperature determined in a standard test is normally lower than
the ignition temperature in an actual fire scenario. [NFPA 921 - 1992]
IGNITION TEMPERATURE (CAL EMR)
The minimum temperature at which a material will ignite without a spark or flame being present.
This is also the temperature the ignition source must be. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
IMMEDIATELY DANGEROUS TO LIFE OR HEALTH (IDLH)
An atmospheric concentration of any toxic, corrosive or asphyxiant substance that poses an
immediate threat to life or would cause irreversible or delayed adverse health effects or would
interfere with an individual's ability to escape from a dangerous atmosphere. (8 CCR
5192(a)3) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
IMMISCIBLE
Describes substances of the same phase or state of matter (usually liquids) that cannot be
uniformly mixed or blended.(Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis
Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
IMPEDED EGRESS ZONE means a supervised area in which occupants have free movement
but require the release, by security personnel, of security doors at the boundary before they are
able to leave the area, but does not include a contained use area. (Ontario Fire Code 1996)
IMPLOSION
The opposite of explosion; an inward burst of particles, fragments, etc., due to reduced
pressure.(Hydro Cut General Terminology Resource Information)
INCENDIARIES
Substances or mixtures of substances consisting of a fuel and an oxidiser used to initiate a
fire. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI
Forensic Science Committee)
INCENDIARY FIRES
Fire set by human hands. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of
Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
INCENDIARY
1) Chemical agent used primarily for igniting combustible substances with which it is in contact by
generating sufficient heat to cause ignition.
2) Filling for incendiary munitions such as shells, bombs, grenades and flame throwers. (Hydro
Cut General Terminology Resource Information)
INCENDIAT (dispositions sur l')
.1 Les dispositions sur l'incendie devraient interdire toute conduite qui provoque un incendie ou
une explosion entraînant la détérioration ou la destruction de biens.
.2 L'élément moral de l'infraction d'incendie devrait consister dans l'intention ou l'insouciance.
.3 Les dispositions sur l'incendie devraient viser la détérioration ou la destruction par le feu ou
l'explosion de tout bien corporel, quel qu'il soit.
.4 Les dispositions sur l'incendie devraient protéger le bien d'autrui; cette expression se verra
donner le même sens que pour le vandalisme, le vol et la fraude.
.5 L'infraction d'incendie devrait exposer son auteur à une peine maximale plus sévère que
l'infraction générale de vandalisme. [Réforme du droit canadien, doc.36, 1984]
INCENDIE
incendie accidentel : Feu qui se développe sans contrôle dans le temps et l'espace. La troisième
source de difficultés pour l'étude systématique de ce phénomène est liée à l'établissement et à
l'analyse des statistiques nationales d'incendie volontaire ou accidentel.
Incendie : Un feu destructeur ou non contrôlé, y compris les feux causés par le roussissement et
l'explosion de matières combustibles à l'état solide ou de poussière, de liquides inflammables et
de gaz.
Incendie : Feu accidentel capable d'un grand développement.
Incendie : Combustion qui se développe sans contrôle dans le temps et dans l'espace.
incendie criminel ou malveillant : Destruction volontaire de biens par le feu. Acte de celui qui
allume un incendie par fraude, par malveillance ou pour d'autres motifs délictueux. &laqnoCrime
d'incendie» est le terme employé dans le Code criminel. &laqnoincendie volontaire» : Ce crime
est connu sous ce nom en droit pénal français. ((Selon ISO)) Il n'existe pas d'équivalent français
de terme anglais "arson".
incendie électrique : incendie de matériel électrique. Feu sur appareillages électriques sous
tension, dont l'extinction exige des produits extincteurs ayant un pouvoir diélectrique en rapport
avec les tensions en présence. Les termes "feu de classe C" et "feu électrique" sont uniformisés
par Canadien Pacifique Ltée. "incendie de matériel électrique" : glossaire multilingue de
l'exploitation du gaz, p. 197. Classe C : Ce sont les feux de gaz. Noter que la classification des
feux européenne diffère de la classification nord-américaine au niveau de la classe C quant aux
matériaux en cause; la désignation "Classe C" demeure alors que les désignations descriptives
portent à confusion.
incendie dû à la foudre : (...) on porte de l'intérêt aux trois éléments suivants : causes inconnues,
causes accidentelles, imprudences, qui constituent à eux seuls les 4/5 de la totalité des incendies
dans une année de type classique (...) Le 1/5 restant pouvant être divisé de la façon suivante :
80% dus à la foudre (causes naturelles) et deux fois 10% pour les reprises et la malveillance (...)
(Les Incendies de forêts, Paris : École nationale du génie rural, des eaux et des forêts, 1975)
incendie d'origine inconnue : Si on y ajoute la moitié des incendies d'origine inconnue de la même
année, on parvient à une estimation supérieure à 502 000 incendies avec des pertes matérielles
évaluées à près de 1,3 milliard de dollars. (Gendarmerie royale du Canada,1200, promenade Alta
Vista, Ottawa (Ontario), Canada K1A 0R2 (613)993-8499 GRC - Sous-direction de la traduction)
INCENDIE (Gayet 1973)
L'incendie est une combustion vive qui se propage, principalement, sous l'effet des flammes
qu'elle produit, et détruit toutes les matières combustibles sur son passage.[Gayet 1973]
INCENDIE (élément matériel de l')
C'est pourquoi nous donnerions à l'élément matériel de l'incendie la définition suivante: provoquer
un incendie ou une explosion entraînant la détérioration ou la destruction de biens [Réforme du
droit canadien, doc.36, 1984]
INCENDIE DE BÂTIMENT (Gayet 1973)
La plupart des incendies, notamment ceux qui se déclarent à l'intérieur des bâtiments
(habitations, magasins, bureaux, ateliers, salles de spectacles), constituent un cas particulier de
la combustion des solides, et plus précisément de ceux qui brûlent avec flamme. Ils se
développent suivant une réaction en chaîne, qui, une fois amorcée, s'accélère et tend à se
généraliser; mais leur combustion s'effectue dans des conditions imparfaites, avec un rendement
thermique très médiocre, et une quantité appréciable de gaz de distilation et d'oxyde de carbone
reste imbrûlée.[Gayet 1973]
INCENDIE DE CAUSE INDÉTERMINÉE [Richer 1989]
Tout incendie dont les signes objectifs et subjectifs ne permettent pas d'en déterminer la cause
exacte. Il est l'objet d'une enquête criminelle. [Richer 1989]
INCIDENT
An event involving a hazardous material or a release or potential release of a hazardous
material. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
INCIDENT ACTION PLAN
A plan which is initially prepared at the first meeting of emergency personnel who have responded
to an incident. The Incident Action Plan contains general control objectives reflecting overall
incident strategy and specific action plans. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
Incident Command System (ICS)
A management system of procedures for controlling personnel, facilities, equipment and
communications from different agencies to work together towards a common goal in an effective
and efficient manner. Is the chain of leadership and command at the scene of an
[email protected]
INCIDENTAL ACCELERANTS
Flammable or combustible liquids which are usual and incidental to an area where they are
detected. Gasoline is incidental to an area where gasoline powered appliances are kept.
Kerosene is incidental to an area where a kerosene heater is kept. Flammable liquids may also
comprise a part of a product such as insecticide, furniture polish, or paint. Additionally certain ----- containing building materials may yield ------ of fuel oil components. (Glossary Of Terms Related
To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
INCIDENT COMMAND
A disciplined method of management established for the specific purpose of control and direction
of resources and personnel.HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY
OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
INCIDENT COMMANDER (I.C.)/SCENE MANAGER (S.M.)
The person responsible for all decisions relating to the management of the incident.HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
INCIDENT COMMAND SYSTEM (ICS)
An organized system of roles, responsibilities, and standard operating procedures used to
manage and direct emergency operations.HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
INCOMBUSTIBLE
...se dit d'un matériau qui ne s'enflamme pas, ou qui cause une augmentation de température de
moins de 65F / 18,3 C, dans le four d'essai, lorsqu'il est soumis à l'essai selon la norme ACNOR /
CSA B 54.1-1972 - Determination of Noncombustibility in Building Materials.(Code du bâtiment du
Québec, 1976) [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU
BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
INCRIMINATION
Il reste à savoir quelle forme devrait prendre les textes d'incrimination en la matière. Trois
solutions nous paraissent envisageables. En premier lieu, il pourrait y avoir une infraction
spécifique d'incendie, visant tout à la fois les cas de fraude, les atteintes aux personnes et aux
biens et à la mise en danger des personnes et des biens. En deuxième lieu, il serait possible
d'incriminer distinctement chacune des composantes de l'infraction, à savoir :
1. la fraude
2. l'homicide intentionnel ou par insouciance
.3 les voies de fait sausant des lésions corporelles
.4 la mise en danger des personnes humaines
.5 le vandalisme et
.6 la mise en danger des biens.
Enfin, une troisième solution consisterait à n'interdire que certaines de ces conduites : est-il
vraiment nécessaire, par exemple, d'incriminer la simple mise en danger de biens quand aucun
dommage n'en résulte? ... Le fait d'endommager volontairement ou par insouciance un bien par le
feu ne soulève aucune difficulté : cet acte peut aisément être classé dans une sous catégorie
d'actes de vandalisme appelée &laqnoincendie». La fraude, en revanche, devrait simplement être
considérée comme une infraction participant de la malhonnêteté et, de la même façon, les actes
entraînant la mort ou des blessures relèveraient logiquement des infractions contre les
personnes. Force est de conclure que la plupart des types de conduite habituellement associés à
l'infraction d'incendie devraient être visés par les dispositions de la partie spéciale relatives à
l'homicide, aux voies de fait, à la mise en danger de vies humaines et enfin à la fraude. C'est
pourquoi l'infraction d'incendie doit être réduite à ses éléments essentiels : le fait d'endommager
intentionnellement ou par insouciance un bien au moyen du feu. ... Or, si l'on souhaite un Code
qui soit le plus clair et logique possible, il convient de ne garder que la forme d'incendie la plus
simple, soit le fait de provoquer un incendie ou une explosion entraînant la détérioration ou la
destruction du bien d'autrui. Lorsqu'une personne (ou son mandataire) met le feu à son propre
bien, elle pourra tout de même, rappelons-le, être accusée d'une infraction même si l'acte n'est
pas interdit en soi. Par exemple, si le feu endommage la propriété d'autrui et que le prévenu ait
prévu cette conséquence, il pourra être inculpé d'incendie. Si d'autre part des personnes sont
mises en danger ou blessées, des poursuites pourront être intentées pour infraction contre les
personnes. Si le prévenu avait le dessein de frauder une compagnie d'assurances ou une autre
personne, il pourra être accusé de fraude ou de tentative de fraude. Enfin, lorsque l'incendie
s'inscrit dans le cadre d'une fraude importante, le prévenu et son mandataire pourront être
inculpés de complot en vue de commettre une fraude. [Réforme du droit canadien, doc.36, 1984]
INDICATEURS DE PERFORMANCE / performance indicators
Les indicateurs constituent des critères, des points de repères qui permettent de constater la
progression vers un but défini. Il doit y avoir un lien entre l'indicateur et l'objectif à atteindre, on
cherche à mesurer le progrès réalisé. (Mouvement québécois de la qualité,
http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
INDICE DE PROPAGATION DES FLAMMES
...valeur exprimant le taux de propagation des flammes à la surface d'un matériau ou d'un
élément de construction, déterminé conformément à l'article 3.1.10.1 [ASTM E 84-70; ULC S 102197; UL 723 (1971); NFPA 255-1972] (Code du bâtiment du Québec, 1976) [S-3, r.2, LOI SUR LA
SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
INDICES (interprétation des)
Où l'on apprend qu'un feu, c'est d'abord un foyer d'incendie qui a été contenu ou non dans un
local où il a pris de l'ampleur.
Au nombre des éléments fondamentaux inhérents aux incendies de bâtiment, il y a la formation
d'un foyer d'incendie à partir duquel le feu rayonne et se propage par convection: les gaz, la
fumée et la chaleur sont entraînés vers le haut irrémédiablement, quels que soient les obstacles
sur leur chemin. Le feu laisse derrière lui une trace dont on peut identifier la direction (vecteurs)
quand le foyer d'incendie lui même a été identifié, documenté et reconstitué.
Parfois, au cours d'un incendie dans une structure incombustible, on parvient à suivre plus
longuement la course du feu, à tel point que non seulement peut-on identifier la ou les voies de
propagation disponibles, mais aussi les vecteurs d'incendie, c'est-à-dire la direction que prendra
de toute manière le feu si on ne parvient pas à l'éteindre. Dans les bâtiments de construit
combustible, le vecteur initial s'applique généralement au droit du foyer d'incendie, comme s'il
s'agissait d'une chandelle. C'est pourquoi l'effondrement ou l'affaissement d'une toiture ou d'une
structure présente une configuration géométrique qu'il faut documenter avec soin sous tous les
angles accessibles. On obtient à cet examen des indices valables concernant le foyer d'incendie
que l'on pourra reconnaitre et faire valoir à la fin du processus de recherche en les incluant au
diagnostic. En fait, cette analyse est indispensable même en cas d'évaluation d'un combat
d'incendie, et, de plus, ce premier coup d'oeil donne la mesure du chantier dans lequel on
s'apprête à pénétrer.
L'examen et l'interprétation de la géométrie de l'effondrement ou de l'affaissement doit bien sûr
tenir compte de la structure ou charpente du bâtiment, incluant la composition de la toiture et de
tous les aménagements du bâtiment. On peut dire que commence alors le travail de
reconnaissance du bâtiment. À la recherche du feu et de sa propagation dans le bâtiment, il n'y a
pas de doute que le chercheur s'intéressera à la construction de ce dernier et fera les relevés
nécessaires pour élaborer des plans adéquats qui serviront à faire état clairement de son
diagnostic.
Si la connaissance du feu est essentielle au pompier comme au chercheur (combustion,
production et transfert de la chaleur, émission et dispersion de la fumée), c'est sur l'objet même
du bâtiment que se déroule l'autopsie.
Les aires du bâtiment délimitent des *espaces volumétriques* que Layman désigne sous
l'expression « atmospheric area ». Ces espaces que l'on considère généralement comme autant
de vides, même en présence de meubles et autres objets d'usage courant, sont en fait la
substance élastique première, l'air, dont le feu aura besoin. Les matériaux combustibles du
bâtiment sont le deuxième élément requis pour l'incendie mais le feu aura encore besoin d'une
source auxiliaire d'inflammation.
Pour que le feu passe d'un local à l'autre, des ouvertures verticales ou horizontales doivent
exister: interstices, portes, fenêtres, corridors, vides techniques, par lesquels la fumée et la
chaleur se dissiperont. Toutefois, c'est au droit du foyer que la chaleur la plus intense est
appliquée (elle se refroidit tout au long des parcours empruntés, se communiquant aux matériaux
sur son passage, pour s'accumuler en général dans les parties hautes du bâtiment), et c'est là,
juste au-dessus du foyer, qu'elle trahira le plus souvent la présence de la zone d'origine de
l'incendie quand le plafond ou le toit sont dmeurés en place.
Dans le cas d'incendies qui ont percé plafonds et planchers successifs d'un bâtiment
combustible, on verra en cours de recherche par déblayage soigneux des débris se resserrer le
cercle de destruction au fur et à mesure que l'on se rapproche de l'étage ou du niveau initial en
cause.
Il importe donc, avant même de mettre le pied dans le bâtiment sinistré, de connaître les données
les plus fondamentales concernant cette structure: dimensions, orientation cardinale, nombre
d'étages, type d'usage selon le *code du bâtiment*, type de structure et nature des matériaux en
présence.
Les incendies dans les bâtiments non combustibles représentent des cas singuliers, à tel point
que l'on a vu des experts par ailleurs compétents y analyser le feu comme s'il s'agissait d'une
charpente de bois. On pourrait citer le cas d'un incendie dans un édifice en hauteur où certains
ont cru qu'un plancher de béton s'était effondré pour les mêmes raisons qu'un plancher de bois
alors que les contours des cassures n'avaient retenu aucune trace de fumée ni subi aucune
altération par la chaleur. Attention, les matériaux réagissent différemment au feu.
Aux fins de diagnostiquer un incendie, on doit aborder différemment les bâtiments non
combustibles et ceux qui sont ventilés artificiellement, c'est-à-dire que l'on doit tenir compte de
ces caractéristiques d'une façon prioritaire, incluant le fait que le feu peut s'y développer plus
longtemps avant d'être décelé ou avant de se manifester à l'extérieur ; le feu peut s'éteindre faute
d'air. Il en va ainsi pour tout bâtiment étanche, qu’il soit combustible ou non combustible. Le plus
souvent, les bâtiments sont caractérisés par les fuites d'air, c'est-à-dire les échanges naturels des
espaces volumétriques intérieurs avec l'air libre dehors.
Lorsqu'un feu se déclare dans un espace volumétrique ou un local proprement dit, toute
l'atmosphère intérieure se trouve impliquée par l'action de la chaleur créée et l'augmentation
subséquente de la pression. Et si la chaleur et les gaz de combustion trouvent un ou des
exutoires naturels par les fissures et ouvertures dans les fenêtres, les portes, les murs et la
toiture, les autres interstices situés plus bas et non sollicités à cet effet serviront à satisfaire
l'appel d'air également créé par les besoins du foyer d'incendie. Dans le cas d'un bâtiment
étanche, l'air n'arrivera plus au foyer:
« L'oxygène est un ingrédient essentiel dans la réaction chimique du feu de telle sorte que le
développement d'un feu est limité par les approvisionnements en oxygène. Lorsque ces
approvisionnements sont resptrients comme dans le cas extrême d'un feu se déclarant dans une
pièce hermétiquement fermée, l'oxygène *disponible* [dans cet espace volumétrique] ne suffit
qu'à la combustion d'une très petite quantité de combustible. La chaleur produite ne suffira
probablement pas à provoquer des ouvertures qui laisseraient entrer davantage d'air et l'incendie
s'éteindra par suite d'une absence d'oxygène.»
Depuis plus de trente maintenant au Canada, les architectes, ingénieurs, constructeurs et les
municipalités appliquent des normes de construction de plus en plus sécuritaires édictées par les
autorités fédérales, provinciales et municipales, et les plans et devis sont élaborés de manière à
minimiser les risques de propagation de l'incendie, en contrôlant l'inflammabilité des matériaux
servant à la construction, l'inflamabilité des matériaux de recouvrement, et l'installation de
barrières au feu. En tout état de cause, « les revêtements [intérieurs] les plus inflammables,
toutes autres conditions étant égales, permettent au feu de se propager plus rapidement que les
revêtements moins inflammables ». On considère plus particulièrement les revêtements posés
sur les surfaces verticales, et on se souvient toujours qu'il faut distinguer entre vecteur ou voie de
propagation et les autres manifestations inhérentes qui sont imputables aux appels d'air.
Si les revêtements des surfaces verticales et des plafonds d'un bâtiment doivent réduire ou ne
pas favoriser la progression des flammes en les alimentant indûment, il en va différemment au
foyer de l'incendie, là où se développent des températures élevées qui se maintiendront dans le
temps et auxquelles rien ne résistera tant qu'il y aura du combustible et de l'air (les meilleurs
assemblages que nous ayons vus ont tout de même résisté plus de deux heures, dans des
conditions extrêmes, mais les raccords et joints les mieux faits, correctement protégés par un
enduit approprié, et une double paroi de verre épais dans un cadre d'aluminium massif, ont fini
par céder). C'est pourquoi on a naturellement pensé à compartimenter les bâtiments en zones
distinctes, séparées les unes des autres par des barrières très endurantes et faites de matériaux
incombustibles, à tel point que ces secteurs séparés peuvent être considérés comme des
bâtiments distincts à l'intérieur d'une même structure. Cette forme d'aménagement vise à interdire
la propagation du feu d'un compartiment à l'autre.
C'est ainsi, en fonction de la compartimentation ou de l'aménagement des locaux, de la
combustibilité des matériaux et de leur degré d'inflammabilité, que le foyer d'incendie se sera
développé dans un bâtiment sous examen. Cette approche, lorsqu'elle inclura les systèmes des
bâtiments, mettra au premier plan d'analyse l'acquisition des particularités de construction; il est
alors plus facile de reconnaître comment le feu y a progressé. Plus précisément, seule une
recherche méthodique, comme s'il s'agissait de procéder à une déconstruction systématique du
bâtiment, permettra d'en reconstituer l'essentiel. (H. Chicoine, 1997)
INDIVIDUAL STORAGE AREA means the area occupied by piles, bin boxes, racks or shelves,
including subsidiary aisles providing access to the stored products, which is separated from the
adjacent storage by aisles not less than 2.4 m in width. (Ontario Fire Code 1996)
INDUSTRIAL OCCUPANCY (Group 'F') means the occupancy or use of a building or part thereof
for assembling, fabricating, manufacturing, processing, repairing or storing of goods and
materials. (Ontario Fire Code 1996)
INDUSTRIES CHIMIQUES (les principales)
I. industries chimiques minérales
industries du soufre
industries des engrais
industries électrochimiques et soudières
industrie des gaz comprimés
autres industries minérales (pigments, silicates)
II. industries chimiques organiques
industrie des matières plastiques
industrie des élastomères et du noir de carbone
industrie des produits tensio-actifs
industrie des explosifs
industrie des matières colorantes
industrie pharmaceutique
industrie des goudrons et benzols
industrie des produits intermédiaires de synthèse
III. industries parachimiques
industrie des surfaces sensibles
industries des détergents, produits d'entretien, phytosanitaires
industrie des peintures
industrie des huiles essentielles, parfumerie
autres (abrasifs, charbons artificiels, charbons actifs, terres activées)
(Source : Michel Lagache, L'Économie des industries chimiques, PUF, Paris, 1972)
INERT
Descriptive of condition of a device that contains no explosive, pyrotechnic or chemical agent.
(Hydro Cut General Terminology Resource Information)
INERT GAS
Inert gas or noble gas, any of the elements in group 0 of the Periodic Table. In order of increasing
atomic number, they are Helium, Neon, Argon, Krypton, Xenon, and Radon . Sometimes called
the rare gases (although argon makes up 1% of the atmosphere), they are colorless, odorless,
and tasteless. Inert gases have very low chemical activity because their outermost, or valence,
electron is complete, containing two electrons in the case of helium and eight in the remaining
cases. (Hydro Cut General Terminology Resource Information)
INERTIA
Inertia, in physics, the resistance of a body to any alteration in its state of Motion, i.e., the
resistance of a body at rest to being set in motion or of a body in motion to any change of speed
or direction of motion. Mass. (Hydro Cut General Terminology Resource Information)
INFIRME
personne gardée dans un établissement hospitalier ou d'assistance, et qui requiert des soins en
raison de son âge ou de son état de santé [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES
ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
INFLAMMABLE / INFLAMMABILITÉ
On dit qu'une substance est inflammable si elle prend feu facilement et entretient la flamme.
Inflammabilité est le mot qui définit la capacité de la substance à prendre feu. (Voir aussi
Combustible.) Aux fins du Règlement sur les produits contrôlés, Canada, et de la norme
HAZCOM de l'OSHA, États-Unis, les substances inflammables sont divisées selon des critères
spécifiques. (Voir Aérosol inflammable, Gaz inflammable, Liquide inflammable, Solide
inflammable et Matières inflammables réactives.) Le Règlement sur le transport des
marchandises dangereuses (TMD), Canada, et les règlements du Department of Transportation,
États-Unis, renferment des critères très semblables quant à la classification des matières
inflammables. Au Canada, les codes d'incendie régionaux, provinciaux et nationaux établissent
aussi des catégories et des contrôles quant à l'usage des matières inflammables en milieu de
travail. (Voir aussi Combustible.) (Canutec)
INFRARED RADIATION
Infrared radiation is Electromagnetic Radiation having a wavelength in the range of 750 to
1,000,000 nanometers, thus occupying that part of the electromagnetic spectrum with a frequency
less than that of red visible Light and greater than that of Microwaves. Infrared radiation is
thermal, or heat, radiation, and is produced by any body having a temperature above absolute
zero. It has many of the same properties as visible light, such as being reflected or refracted.
(Hydro Cut General Terminology Resource Information)
INFRARED SPECTROPHOTOMETRY (IR)
An analytical technique which utilises an instrument which passes infrared radiation through a
sample or which bounces infrared radiation off the surface of a sample. A very sensitive heat
detecting device measures the amount of infrared radiation absorbed as the wavelength of the
radiation reaching the detector is changed. IR can give useful information about the type of
compounds present in a sample, but it is not capable of precisely identifying a complex mixture.
Infrared is very useful in identifying single solvent accelerants. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
INHALATION
Absorption par les poumons d'une substance qui a été respirée. (Canutec)
INITIAL FIRE ATTACK
Except in the largest fire departments, it is not expected that the on-duty force will be adequate to
apply the maximum fire flow that may be needed. Normally, beyond a certain capability for initial
attack, use of off-duty personnel and response from neighboring fire departments will be required
to apply peak fire flows. The ability to hold fires in check until adequate forces can be mobilized
often is a critical factor in the extent of the loss. In practically all instances, the prudent minimum
initial attack capability on initial response should be sufficient men and equipment to promptly
apply a hose stream capacity of 400 to 500 gpm as outlined in NFPA Standard No. 197 "Training
for Initial Fire Attack". For operations from more than one position, at least twice as great initial
response may be desirable to quickly apply hand lines with a total capacity of 1000 gpm. [Kimball
1969]
Initial fire attack team - the minimum complement assembled at the fire scene capable of
commencing interior rescue or fire fighting operations. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
INITIAL INCIDENT REPORT(rapport d'intervention)
The initial incident report is not intended to be the complete fire record nor to serve as a guide for
developing the ignition sequence or the various details pointing to those factors causing or
contributing to the ignition or extension of the fire. in addition, it is not intended to provide all of the
known fire incident information supportive to a continuing or in-depth investigation. It should also
be noted that since the initial report is not intended as a final or complete report, the ignition
sequence information reported should only be considered as most probable based on information
available to the reporting officer at the time. Any information which later investigation shows to be
inaccurate should be corrected on the appropriate reports. [NFPA 901-1981]
INSPECT means physical examination to determine that the device or system will apparently
perform in accordance with its intended function. (Ontario Fire Code 1996)
INSPECTIONS (fire prevention)
Fire prevention inspections are conducted by state or local fire department personnel in
compliance with laws and ordinances which usually require specific fire inspections. Occupancies
normally inspected include places of public assembly, educational, institutional, residential
(except the interior of dwellings), mercantile, business, industrial, manufacturing, storage, and
special-hazards structures. In addition to such mandatory inspections, the fire department may
also conduct voluntary fire inspections, such as home firesafety surveys. [NFPA Handbook 1991]
INSTITUTIONAL OCCUPANCY (Group 'B') means the occupancy or use of a building or part
thereof by persons who require supervisory care, medical care or medical treatment or by
persons who are under restraint for correctional purposes and are incapable of self preservation
because of security measures not under their control. (Ontario Fire Code 1996)
INTERACTIF adj
1- (informatique) [interactive] : Qualifie les matériels, les programmes ou les conditions
d'exploitation qui permettent des actions réciproques en mode dialogué avec des utilisateurs ou
en temps réel avec des appareils. synonyme : conversationnel.
2- (sciences humaines) : Qualifie les échanges interhumains où deux ou plusieurs intervenants
s'influencent mutuellement par leur apport, par le dialogue, par l'approbation ou la contradiction,
etc. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
INTERACTION nf [interaction]
1- (général) Action mutuelle de phénomènes, de choses, d'individus, de groupes entre eux ainsi
que les effets qui en résultent.
2- (informatique) Dialogue, état de dépendance étroite (action/réaction) entre l'ordinateur et
l'utilisateur.
3- (sciences humaines) Ensemble d'actions sociales orientées vers la réalisation par les
partenaires de buts interdépendants, et qui constitue un épisode social et dont la possibilité
repose sur la triple réciprocité des perspectives, des motivations et des images. (Glossaire
Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
INTERACTIVITÉ nf (informatique) [interactivity]
Relatif au système d'exploitation et à tout dispositif matériel et logiciel qui autorisent l'instauration
d'une communication quasi-dialoguée entre l'utilisateur et son matériel, en vertu du mode de
gestion des temps de réponse en amont et aval des traitements et des modifications que
l'utilisateur lui apporte. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail
ERFET, France)
INTERFACE nf [interface]
1- (télécommunications) Désigne tout dispositif assurant l'adaptation entre deux équipements et
le contrôle des liaisons entre ces équipements, par l'adoption de règles communes, physiques ou
logiques.
2- (informatique) Désigne la partie d'un logiciel qui permet à l'utilisateur de contrôler le logiciel et
de visualiser les résultats. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail
ERFET, France)
INTERNATIONAL AIR TRANSPORT ASSOCIATION (IATA)
An association of air carriers which develop guidelines for transportation of cargo. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
INTERNATIONAL CIVIL AVIATION ORGANIZATION (ICAO)
Develops the principles and techniques of international air navigation and fosters the planning
and development of international air transport so as to insure safe and orderly
growth. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
INTERNET nm (réseaux) - sigle de " Interconnection of networks "
1- (nom commun) Désigne le fait de constituer un réseau étendu par l'interconnexion de réseaux
locaux.
2- (nom propre) Désigne l'ensemble des réseaux universitaires, de recherches et commerciaux
fonctionnant avec le protocole IP et interconnectés à l'échelle mondiale fournissant un ensemble
de services télématiques. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail
ERFET, France)
LesINTERVENANTS (1) (voir Exigence scientifique)
Le rôle des services de police - La sécurité. La police est chargée d'assurer la sécurité publique.
L'importance de leur engagement est décidée par l'officier de service. Un sinistre attire les curieux
qui peuvent être les lésés, des badaux ou des représentants de médias. Les forces de sécurité
ont pour mission:
de préserver, pour les pompiers et leur équipement, la liberté d'accès au lieu de l'incendie ainsi
qu'aux points de ravitaillement en eau;
+ d'organiser, conjointement avec les services sanitaires, l'évacuation des blessés;
+ de maintenir la foule à distance suffisante, par barrage ou cordon de sécurité, pour éviter toute
entrave à l'action des pompiers, toute blessure due au sinistre lui-même; et afin
+ d'assurer, dans la mesure du possible, la sauvegarde des moyens de preuve, en isolant le site
de l'état. (L'enquête d'incendie, Carrefour Incendie, http://pages.infinit.net/incendie/index.html,
nov. 1998)
INTERVENTIONS D'URGENCE (maîtrise d'un incendie)
Extinction d'un incendie. Demandez immédiatement à quelqu'un d'appeler les pompiers. Si des
flammes et de la fumée s'échappent de la cheminée, des murs ou du plafond, quittez la maison
en utilisant les voies d'évacuation prévues et allez chercher du secours chez un voisin. Pour
étouffer un petit feu d'origine éectrique, chimique ou autre, utilisez un extincteur de classe ABC.
Placez-vous à 2 ou 3 mètres du feu, votre dos contre la sortie la plus proche. Tenez l'extincteur
bien droit. Tirez sur la tige de blocage de la poignée et dirigez la lance vers la base des flammes.
Pressez la poignée et vaporisez dans un mouvement de va-et-vient repide (à gauche) jusqu'à ce
que le feu soit éteint. Prenez garde que le feu ne se ravive et soyez prêt à vaporiser de nouveau.
Si le feu se propage, quittez la maison.[Guide d'intervention, SÉCURITÉ À DOMICILE, Time-Life
Books pour Shell Canada Limitée]
Intervention time - the time from fire ignition to the point where the first arriving pumper, or other
apparatus providing comparable functions, arrives at the fire scene and directs an extinguishing
agent on the fire. For the purposes of this study intervention time is comprised of preburn time,
notification time, dispatch time, travel time, set-up time and first application of extinguishing agent.
(© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
INTUMESCENT CHAR
In plastics, the swelling and charring which results in a higher ignition point. Used in the
preparation of flame retardant materials. (Glossary Of Terms Related To Chemical And
Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
INTUMESCENT COATING(revêtement intumescent - voir peinture ignifuge)
A protective chemical coating, which, when heated, internally generates gases and expands,
resulting in a thermally insulating crust that contains cavities. [Friedman 1989]
Type of coating which swells and forms bubbles when exposed to intense heat, used to make the
coated body self-extinguishing. Fire retardant coatings. ... Water resistant, oil-based, intumescing
fire retardant coatings have been developed. (Source : Termium 1994)
INVESTIGATE (CAL EMR)
To systematically search or inquire into the particulars of an incident, and collect the necessary
evidence to seek criminal and/or civil prosecution. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
INVESTIGATION {Droit d'entrer et}
6. Le ministre peut, sous réserve des pouvoirs conférés par la Loi concernant les enquêtes sur
les incendies (chapitre E-8) à tout commissaire-enquêteur sur les incendies ayant compétence,
entrer, à toute heure raisonnable du jour, dans tout immeuble, privé ou public, pour assurer
l'exécution de la présente loi et des règlements qui sont adoptés sous son autorité et faire une
investigation sur tout incendie et toute explosion qui a détruit ou endommagé un bâtiment, en vue
d'examiner les moyens pris pour prévenir et combattre cet incendie ou cette explosion. Il peut
aussi déléguer ce pouvoir, par écrit, à toute personne qu'il désigne pour le territoire qu'il indique.
.{Agent de la paix d'office.}. Aux fins de toute investigation, le ministre ou toute personne à qui il a
délégué ses pouvoirs, sont d'office agents de la paix. (Chapitre P-23, LOI SUR LA PRÉVENTION
DES INCENDIES)
INVESTIGATION (voir Fire Investigation)
En français, s'emploie surtout dans le langage philosophique et scientifique pour désigner la
recherche suivie et ordonnée d'un certain objet. Recherche suivie, systématique, sur quelque
objet (...). (Source: Termium 1994)
Tous les incendies feront l'objet d'une investigation aux termes du Guide pour l'investigation des
incendies et explosions (NFPA 921) afin d'en déterminer l'origine et la séquence d'ignition. Si
l'incendie s'avère accidentel, le rapport d'investigation fera état des méthodes pour éliminer ou
réduire ce type d'incendie. Si l'incendie présente un profil d'incendiat présumé, une enquête doit
être instituée. (H. Chicoine 1998)
INVESTIGATION (Accès)
Section II - Pouvoirs sur les lieux d'intervention
255.-Interdiction d'accès
Le directeur ou son représentant, s'il le juge nécessaire pour la continuation d'une enquête sur les
causes et circonstances et/ou lorsque les lieux présentent des dangers pour ceux qui s'y
aventureraient, peut demander que le Service de police interdise l'accès des lieux. (Règlement
3400 de la Ville de Sherbrooke)
INVESTIGATION (L')
Le but est de présenter des éléments nécessaires à l''investigation en matière d'incendie et
d'explosion. Des connaissances particulières sont nécessaires aux intervenants appelés à
effectuer une analyse détaillée des lieux d'un sinistre et à interpréter les indices recueillis. Les
personnes exerçant une activité dans le processus d'une investigation et d'une enquête
d'incendie y trouveront une méthode destinée à localiser l'origine sur le site du sinistre, ainsi
qu'une démarche scientifique qui permette de déterminer la cause la plus probable de l'incendie
ou de l'explosion. (L'enquête d'incendie, Carrefour Incendie,
http://pages.infinit.net/incendie/index.html, nov. 1998)
INVESTIGATION QUALITY CONTROLS
Traditional investigations lack objective quality control procedures for either the investigation work
products or the investigation process itself. Quality of work products is controlled primarily by one
of several variations of the peer review procedures, and validity is decided by power of
persuasion in what is essentially an adversarial process. A second general approach is the "flyfix-fly" approach, where conclusions are tested by repeating the experiment or occurrence or
simulating it, and determining from the outcome if the investigation findings "reproduced" the
occurrence. Quality control of the investigation process is similarly determined. In the absence of
objective quality control criteria, and procedures to apply those criteria, consistent investigation
performance and outputs should not be expected. The multilinear events sequence-based (MESbased) investigation process provides new opportunities for controlling the quality of the
INVESTIGATION and its WORK PRODUCTS, including the description and explanation of what
happened, recommendations flowing from the investigation, investigation reports, and
effectiveness of the control actions implemented. The primary quality control vehicles are the
MES-based Worksheet and work products developed from that worksheet. These Investigation
Quality Control (IQC) procedures constitute an essential element of the MES-based investigation
process, and provide a way to check reports resulting from other methods. (Ludwig Benner, MES
Guide 10, GUIDANCE FOR PERFORMING INVESTIGATION QUALITY CONTROL TASKS,
1998)
ION
An atom, molecule or radical that has lost or gained one or more electrons, thus acquiring an
electric charge. Positively charged ions are cations; negatively charged ions are
anions. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI
Forensic Science Committee)
IP (réseaux) - sigle de " internet protocol "
Protocole de la couche 3 de l'ISO. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de
travail ERFET, France)
ISDN (télécommunications, réseaux) sigle de " integrated services digital network "
voir : RNIS. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
ISO
1- (réseaux, télécommunications) sigle de " interconnexion des systèmes ouverts ". Modèle de
référence de l'OSI destiné à fournir un cadre conceptuel et normatif aux échanges entre systèmes
hétérogènes. Le modèle comporte 7 couches allant du niveau physique (couche 1) au niveau
applicatif (couche 7).
2- sigle de " International Standard Organisation "
voir : OS'. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
ISO
Organisation internationale de normalisation. (Canutec)
ISO
Préfixe d'origine grecque &laqnoisos» qui signifie &laqnoégal» (normes communes à tous les
pays). Nous utilisons à tort cette signification : International Organization for Standardization /
Organisation internationale de normalisation. (Mouvement québécois de la qualité,
http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
ISOMER
One of two or more forms a chemical compound which have the same number and type of each
atom but a different arrangement of atoms. (Glossary Of Terms Related To Chemical And
Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ISOPARAFFINS
A mixture of branched alkanes usually available as a narrow 'cut' of a distillation. Exxon
manufactures a group of products known as 'Isopars' ranging from Isopar A through Isopar J.
These solvent mixtures have a variety of uses. Gulf Oil manufactures a similar series of solvents,
the most commonly available of which is Gulf Life Charcoal Starter Fluid which is roughly
equivalent to Exxon's Isopar G. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental
Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ISOCHRONE adj (télécommunications) [isochronous]
Nature d'un service de télécommunications dans lequel les informations nécessitent des paquets
de données de même taille transportés dans des intervalles de temps réguliers. Par exemple, la
voix, la vidéo nécessitent un service isochrone.
voir : asynchrone, synchrone. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de
travail ERFET, France)
ISOTHERMAL
A type of gas chromatographic analysis wherein the column is maintained at a uniform
temperature throughout the analysis. (See Programming). (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ISSUE
...partie d'un moyen d'évacuation qui permet de quitter l'étendue de plancher qu'elle dessert et qui
conduit directement à une autre étendue de plancher ou à un espace extérieur approuvé.(Code
du bâtiment du Québec, 1976) [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES
PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
ISSUE HORIZONTALE
...issue qui relie deux étendues de plancher à peu près au même niveau, entièrement séparées
l'une de l'autre par un mur coupe-feu (Code du bâtiment du Québec, 1976) [S-3, r.2, LOI SUR LA
SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
-JJake
A term used to refer to a good firefighter. One story has the term originating from the corruption of
the phrase, "J-key." Years ago, the bed was the most expensive piece of furniture in a dwelling.
Since firefighters weren't as good at stopping fire as they are today, they would attempt to remove
as many belongings as possible. The bed was too large to carry out in one piece and had to be
disassembled using a bed key. The key was shaped like the letter J and called a [email protected]
Jaws
A generic term applied to a type of rescue tool that can cut, push or pull material (most often
pieces of an automobile). Jaws of Life is a synonym, but is the copyrighted product name of Hurst.
Holmatro and Amkus are also major manufacturers of [email protected]
JOIST
Wooden, steel, or reinforced concrete beam placed to support a floor or ceiling in a structure.
[Fire Cause Determination, IFSTA 1986]
Jump Line
A jump line is a handline stored in an extended bumper (also called a jump bumper) and
preconnected to the engine to allow for a quicker [email protected]
JUSTE À TEMPS / just in time
Méthode qui permet d'optimiser les flux de matières à partir d'une commande au fournisseur
jusqu'à la livraison du produit chez le client de façon à minimiser les stocks et à diminuer le
gaspillage. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
-KKAÏZEN / kaïzen
Signifie amélioration continue, c'est une démarche qui vise à accomplir chacune des petites
choses le mieux possible en fixant des normes sans cesse plus élevées et en les atteignant.
(Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
KAMBAN / kamban
Terme japonais qui signifie étiquette, fiche ou carte. Les cartes sont attachées à des pièces sur la
ligne d'assemblage afin de transmettre les ordres de travail ou d'acheminer les commandes.
Lorsque les pièces sont terminées, les cartes sont retournées d'où elles viennent et deviennent
des commandes pour de nouvelles quantités. (Mouvement québécois de la qualité,
http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
KBPS
Sigle de Kilo bits par seconde (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de
travail ERFET, France)
KELVIN
kelvin, K : Unité SI de température équivalant à la fraction 1/273,16 de la température
thermodynamique du point triple de l'eau. Auparavant, cette unité avait reçu le nom "degré
Kelvin" parce qu'il était naturel de parler de degrés pour désigner un point dans une "échelle" de
température. (...) le kelvin sert aussi bien pour exprimer une température (un degré de l'échelle)
que pour exprimer une différence ou un intervalle de température. On dira ainsi que (...) la
température du point d'ébullition de l'eau est 373,15 Kelvins (...). Dans l'usage courant, on utilise
l'échelle Celsius, qui s'obtient en retranchant 273,15 des températures exprimées en kelvins, et
dont l'unité est le degré Celsius. (Source : Termium 1994)
KEROSENE(#1 Fuel Oil)
Flash point generally between 100 and 150 degrees F. Explosive limits of 0.7% to 5.0%.
Kerosene consists mostly of C9 through C17 hydrocarbons. In order to be identified as kerosene,
a sample extract must exhibit a homologous series five consecutive normal alkanes between C9
and C17. Kerosene is the most common 'incidental' accelerant, as it is used in numerous
household products ranging from charcoal lighter fluid to lamp oil to paint thinner to insecticide
carriers. It is also used as jet fuel. K-1 kerosene has a low sulfur content required for use in
portable space heaters. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of
Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
KEROSINE
Kerosene or kerosine, a colorless, thin oil that is less dense than water. It is a mixture of
Hydrocarbons commonly obtained in the fractional Distillation of Petroleum, but also from coal, oil
shale, and wood. Once the most important refinery product because of its use in lamps, kerosene
is now used chiefly as a carrier in insecticide sprays and as a fuel in jet engines. (Hydro Cut
General Terminology Resource Information)
KETONE
A type of organic compound having a carbonyl functional group (C=O) attached to two alkyl
groups. Acetone is the simplest example of a ketone. (Glossary Of Terms Related To Chemical
And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
-LLABORATOIRE DE SCIENCES JUDICIAIRES ET DE MÉDECINE LÉGALE
Le Laboratoire de sciences judiciaires et de médecine légale constitue un élément indispensable
des rouages de l'administration de la justice et ce, depuis plusieurs années déjà. En effet, ce
Laboratoire, a été créé en 1914 et a constitué dans les faits le premier laboratoire de médecine
légale en Amérique du Nord. Au cours de ses 84 ans d'existence, le Laboratoire a acquis une
grande notoriété dans le milieu des sciences judiciaires et c'est la raison pour laquelle il est
fréquent qu'au-delà des services qu'il produit en matière d'administration de la justice pour le
compte des policiers-enquêteurs, du Coroner ou des procureurs, on ait de plus en plus recours
de par le monde à certaines des expertises qui sont développées ici. [...] Il existe également, au
sein du Laboratoire, un service de chimie-physique dont les principales activités ont trait à la
balistique, les incendies-explosions et la chimie judiciaire. [...] Entre la mise en place du
Laboratoire de médecine légale au début du siècle et l'actuel Laboratoire de sciences judiciaires
et de médecine légale, le mandat de l'organisation s'est considérablement accru. La criminalité à
laquelle sont confrontés aussi bien les corps policiers que la communauté dans son ensemble est
de plus en plus sophistiquée. Qu'il s'agisse de blanchiment d'argent, de crimes informatiques ou
encore de crimes économiques, les groupes de criminels sont de plus en plus outillés et
organisés en réseau. L'apport d'une organisation comme le Laboratoire de sciences judiciaires et
de médecine légale est, dans les circonstances, indispensable au déroulement efficace des
enquêtes criminelles et aux poursuites judiciaires qui s'en suivent. Dans le même ordre d'idées,
l'environnement juridique complexe dans lequel évoluent aujourd'hui les policiers, notamment en
raison de l'existence des Chartes des droits et libertés, fait en sorte qu'il faut désormais de plus
en plus pouvoir compter sur des preuves à caractère scientifique. Il en va de l'efficacité du
système judiciaire à faire ressortir la culpabilité de personnes qui ont commis des crimes dont
parfois seule la science peut percer le mystère.[...] Concrètement, le statut d'unité autonome de
service conféré au Laboratoire lui permet une grande flexibilité d'action, d'où une amélioration
tangible de la qualité des services à la clientèle. Au surplus, cette transformation a également
donné l'opportunité au Laboratoire de pouvoir élargir le bassin de sa clientèle et dans certains
cas, de facturer quelques-uns des services offerts dans la mesure où ils sont rendus dans un
contexte externe au processus judiciaire. Enfin, dans l'objectif de maintenir ces hauts standards
de connaissance et d'expertise, le Laboratoire peut désormais accentuer ses investissements
dans la formation de ses spécialistes, notamment par la participation accrue à des séminaires et
à des conférences ici ou à l'étranger. [...] Je désire vous rappeler que l'injection d'importantes
ressources budgétaires dans l'amélioration de ces locaux du Laboratoire témoigne non
seulement de l'importance qu'accorde le gouvernement du Québec à ce secteur d'activités qui est
directement au service de l'administration de la justice. [...] Toutefois, si le Laboratoire est devenu
un organisme dont la crédibilité et le rayonnement sont synonymes de fierté, c'est en partie dû à
la détermination et aux efforts de ses employés. Je profite donc de l'occasion pour les remercier
et les féliciter de leur professionnalisme. ALLOCUTION DU MINISTRE DE LA SÉCURITÉ
PUBLIQUE, MONSIEUR PIERRE BÉLANGER, PRONONCÉE DANS LE CADRE DE
L'INAUGURATION OFFICIELLE DES NOUVEAUX LOCAUX DU LABORATOIRE DE SCIENCES
JUDICIAIRES ET DE MÉDECINE LÉGALE (Montréal, le 4 septembre 1998) © Gouvernement du
Québec 1998
Ladder Company
A ladder company is a combination of a fire truck with an aerial ladder, an assortment of ground
ladders and forced entry tools and the manpower used to staff it. Ladder trucks can have straight
aerial ladders as short as 65 feet or longer ladders with platforms (buckets) on the end. In many
department's ladder companies are responsible for ventilation and forcible entry duties. A
standard ladder company will include an officer, driver/operator and two firefighters on a ladder
[email protected]
LAMINAR FLOW
Fluid flow in the absence of turbulence. Also called streamline flow. [Friedman 1989]
LAMPE À HUILE
La lampe à huile ou bec-de-corbeau a été utilisée universellement depuis les temps les plus
anciens. L'une des formes les plus simples d'éclairage, elle ne requiert qu'un récipient ou godet
ouvert et peu profond, une mèche et un combustible semi-solide ou liquide. Les lampes à flotte
étaient semblables aux lampes à huile en ce sens qu'un récipient peu profond servait de réservoir
à combustible. Cependant, au lieu d'être rempli de combustible, il était rempli d'eau et
uniquement une petite quantité de combustible liquide y flottait. Une mèche était déposée à la
surface par une flotte en bois ou en liège. La lampe s'éteignait elle-même car la mèche se trouvait
plongée dans l'eau lorsqu'il ne restait plus de combustible. [Appareils d'éclairage, 1984]
LAMPE À MÈCHE VERTICALE
Les lampes à mèche verticale comportent un réservoir à combustible fermé et une ouverture
dans la partie supérieure pour un brûleur. La principale différence entre les lampes à bec et les
lampes à mèche verticale réside dans le fait que le combustible utilisé dans le dernier type de
lampe doit être à l'état liquide pour faciliter l'alimentation de la mèche par capillarité. [Appareils
d'éclairage, 1984]
Large Diameter Hose
The biggest hose used by firefighters, large diameter hose (LDH) is sometimes referred to as a
water main above ground. LDH is usually 4-5 inches in diameter and is used to supply water from
the hydrant to pumper trucks. See also supply [email protected]
Leader Line
A leader line is a line usually having a gated wye on the end. Leader lines are usually 3 or 2.5
inches in diameter and the wye usually feeds two or three 1.5 or 1.75 inch attack lines.
[email protected]
LEAN MIXTURE
A fuel-air mixture containing more air than required to fully oxidize the fuel molecules (as
contrasted with a rich mixture or a stoichiometric mixture). [Friedman 1989]
LENS (lentille optique)
A device for forming an image of an object by the refraction, or bending, of light. In its simplest
form it is a disk of transparent substance, commonly glass, with its two surfaces curved or with
one surface plane and the other curved. Generally each curved surfaceùcalled convex if curved
outward and concave if curved inwardùof a lens is made as a portion of a spherical surface; the
center of the sphere is called the center of curvature (C) of the surface. All rays of light passing
through a lens are refracted except those that pass directly through a point called the optical
center. A divergent lens (thicker at the edges than at the center) bends parallel light rays passing
through it away from each other. The image formed by a diverging lens is always erect (upright),
smaller than the object, and virtual (located on the same side of the lens as the object). A
convergent lens (thicker at the center than at the edges) bends parallel light rays toward one
another; if they are parallel to the principal axis of the lens, they converge to a common point, or
focus (F), behind the lens. The image formed by a converging lens depends on the position of the
object relative to the lens's focal length (distance between the focus and the optical center) and its
center of curvature. (Hydro Cut General Terminology Resource Information)
LEVEL OF PROTECTION
In addition to appropriate respiratory protection, designations of types of personal protective
equipment to be worn based on NFPA standards.
Level A: Vapor protective suit for hazardous chemical emergencies.
Level B: Liquid splash protective suit for hazardous chemical emergencies.
Level C: Limited use protective suit for hazardous chemical emergencies. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
LEVEL ONE INCIDENT
Hazardous materials incidents which can be correctly contained, extinguished, and/or abated
utilizing equipment, supplies, and resources immediately available to first responders having
jurisdiction, and whose qualifications are limited to and do not exceed the scope of training as
explained in 8 CCR 5192, or California Government Code (CGC), Chapter 1503, with reference to
"First Responder, Operational Level". HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
LEVEL TWO INCIDENT
Hazardous materials incidents which can only be identified, tested, sampled, contained,
extinguished, and/or abated utilizing the resources of a Hazardous Materials Response Team,
which requires the use of specialized chemical protective clothing, and whose qualifications are
explained in 8 CCR 5192, or California Government Code (CGC), Chapter 1503, with reference to
"Hazardous Materials Technician Level". HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
LEVEL THREE INCIDENT
A hazardous materials incident which is beyond the controlling capabilities of a Hazardous
Materials Response Team (Technician or Specialist Level) whose qualifications are explained in 8
CCR 5192, or California Government Code, Chapter 1503; and/or requires the use of two or more
Hazardous Materials Response Teams; and/or must be additionally assisted by qualified specialty
teams or individuals. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
LIGHT (lumière)
Light, that part of Electromagnetic Radiation to which the human eye is sensitive. The
wavelengths of visible light range from c.400 to c.750 nanometers. If white light, which contains all
wavelengths, is separated into a Spectrum, each wavelength is seen to correspond to a different
Color. The scientific study of the behavior of light is called Optics; it covers Reflection of light by a
Mirror or other object, Refraction of light by a Lens or Prism, and Diffraction of light as it passes by
an opaque object. Christiaan Huygens proposed (1690) a theory that explained light as a Wave
phenomenon. Isaac Newton, however, held (1704) that light is composed of tiny particles, or
corpuscles, emitted by luminous bodies. By combining his corpuscular theory with his laws of
mechanics, he was able to explain many optical phenomena. Newton's corpuscular theory of light
was favored over the wave theory until important experiments, which could be interpreted only in
terms of the wave theory, were done on the diffraction and Interference of light by Thomas Young
(1801) and A.J. Fresnel (1814û15). In the 19th century the wave theory became the dominant
theory of the nature of light. The electromagnetic theory of James Clerk Maxwell (1864) supported
the view that visible light is a form of Electromagnetic Radiation. With the acceptance of the
electromagnetic theory of light, only two general problems remained. It was assumed that a
massless medium, the Ether, was the carrier of light waves, just as air or water carries sound
waves. The famous experiments (1881û87) by A.A. Michelson and E.W. Morley, in which they
tried unsuccessfully to measure the velocity of the earth with respect to this medium, failed to
support the ether hypothesis. With his special theory of Relativity, Albert Einstein showed (1905)
that the ether was unnecessary to the electromagnetic theory. Also in 1905, Einstein, in order to
explain the Photoelectric Effect, suggested that light, as well as other forms of electromagnetic
radiation, travel as tiny bundles of energy, called light quanta, or Photons, that behave as
particles (Quatum Theory). Light thus behaves as a wave, as in diffraction and interference
phenomena, or as a stream of particles, as in the photoelectric effect. The theory of relativity
predicts that the speed of light in a vacuum (186,282 mi/sec = 299,792.458 km/sec) is the limiting
velocity for material particles. (Hydro Cut General Terminology Resource Information)
Light Force
Term used by Los Angeles Fire Department when a tillered fire truck and a fire engine used to
pump water for the truck respond together. The engine in a light force will be assigned a number
200 higher than the station number and is staffed by an engineer only. Example: There are four
rigs stationed at LAFD Station 20 (Engine 20, Truck 20, Engine 220 & Rescue 20). When Truck
20 and Engine 220 respond together, it's referred to as Light Force 20. If Engine 20 responded
with the light force, all three rigs would be referred to as Task Force 20. [email protected]
LIGHTNING (foudre)
Lightning, electrical discharge accompanied by Thunder, commonly occurring during a
Thunderstorm. The discharge may take place between two parts of the same cloud, between two
clouds, or between a cloud and the earth. Lightning may appear as a jagged streak (forked
lightning), as a vast flash in the sky (sheet lightning), or, rarely, as a brilliant ball (ball lightning).
The electrical nature of lightning was proved by Benjamin Franklin in his famous kite experiment
of 1752. (Hydro Cut General Terminology Resource Information)
L.I.E.
Limite inférieure d'explosivité (voir Limites d'explosivité) (Canutec)
L.I.I.
Limite inférieure d'inflammabilité (voir Limites d'explosivité) (Canutec)
LIMITES D'EXPLOSIVITÉ / LIMITES D'INFLAMMABILITÉ
Ces limites précisent la gamme des concentrations auxquelles la substance qui se trouve dans
l'air peut prendre feu en présence d'une étincelle ou d'une flamme. On les appelle aussi limites
d'inflammabilité. La limite inférieure d'explosivité (LIE) ou limite inférieure d'inflammabilité (LII) est
la plus faible concentration de gaz ou de vapeur à laquelle la substance peut prendre feu ou
exploser en présence d'une étincelle ou d'une flamme. La limite supérieure d'explosivité (LSE) ou
limite supérieure d'inflammabilité (LSI) est la plus forte concentration de gaz ou de vapeur à
laquelle la substance peut prendre feu ou exploser en présence d'une étincelle ou d'une flamme.
Lorsque la concentration se situe entre la LIE et la LSE, on dit que le mélange est explosif.
Lorsque la concentration est inférieure à la LIE, le mélange est trop "faible" pour brûler. Lorsque
la concentration est supérieure à la LSE, le mélange est trop "riche" pour brûler; cependant la
concentration est malgré tout dangereuse, car elle peut être réduite de manière à entrer dans la
gamme des concentrations dangereuses (par exemple si de l'air frais est introduit). En réalité, les
limites d'explosivité varient car elles dépendent de divers facteurs, notamment la température
ambiante. Par conséquent, les valeurs indiquées dans les FTSS sont approximatives. Les limites
d'explosivité sont ordinairement exprimées comme pourcentage de la substance dans l'air. Un
pour cent par volume égale 10 000 ppm. Par exemple, l'essence a une LIE de 1,4% et une LSE
de 7,6%, ce qui veut dire que les vapeurs d'essence dont la concentration se situe entre 1,4% et
7,6% (14 000 à 76 000 ppm) sont inflammables ou explosives. (Canutec)
LIMITES D'INFLAMMABILITÉ
Voir Limites d'explosivité. (Canutec)
LIQUID
A state of matter in which the molecules are in contact with one another but can move freely
among one another. [Friedman 1989]
LIQUIDE COMBUSTIBLE
Le Règlement sur les produits contrôlés, Canada, définit comme combustibles les liquides dont le
point d'éclair se situe entre 37,8 et 93,3 degrés C (100 et 200 degrés F) dans des tests en
coupelle fermée. Aux États-Unis, la norme HAZCOM de l'OSHA utilise une définition semblable.
Ces températures sont nettement supérieures à la température normale d'une pièce. Les liquides
combustibles sont donc un peu moins dangereux que les liquides inflammables. Si un tel liquide
risque d'être porté à une température approchant son point d'éclair, il faut prendre les précautions
nécessaires pour prévenir l'incendie et l'explosion. (Canutec)
LIQUIDE INFLAMMABLE
Un liquide inflammable est un liquide qui dégage des vapeurs susceptibles de prendre feu
facilement à des températures courantes en milieu de travail. Aux termes du Règlement sur les
produits contrôlés, Canada, un liquide inflammable est un liquide dont le point d'éclair est
inférieur à 37,8 degrés C (100 degrés F) (coupelle fermée). La norme HAZCOM de l'OSHA aux
États-Unis utilise une définition semblable, bien qu'elle ne soit pas identique. Les liquides
inflammables peuvent être extrêmement dangereux en milieu de travail. Par exemple: - Si la
ventilation est inadéquate, leurs vapeurs peuvent parcourir une distance considérable pour
parvenir à une étincelle ou à une flamme et produire un retour de flamme. - L'eau ne se prête pas
toujours à l'extinction d'un feu alimenté par un liquide inflammable, car il peut être impossible de
faire ainsi baisser la température du liquide plus bas que son point d'éclair. (Canutec)
LIQUID FUELS
Fuels in a liquid state. They may be used with oxidizers to form explosive materials.(Hydro Cut
General Terminology Resource Information)
LISTEDmeans equipment or materials included in a list published by a certification organization
accredited by the Standards Council of Canada. (Ontario Fire Code 1996)
LITHIUM
Du grec "lithos", pierre. Appartient au groupe 1.
De la famille des métaux alcalins, le lithium est un solide de densité égale à environ la moitié de
celle de l'eau. Fraîchement coupé, il est argenté mais il se ternit dans la minute qui suit son
exposition à l'air.
Il est utilisé avec l'aluminium et le magnésium pour la production d'alliages légers.
On l'emploie aussi dans les piles, dans certaines graisses ainsi que comme lubrifiant.
Certains de ses composés, comme le carbonate de lithium, sont utilisés en médecine pour traiter
les désordres maniaco-dépressifs. (merci professeur Mokeur pour cette belle Fleur de Lithium;
(Ivan Noels, [email protected])
Litter
The dead debris, including pine cones, pine needles, branches and other material, that covers the
ground under a forest or shrub area. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
L.N.G.
Liquified natural gas (primarily methane). [Friedman 1989]
LOCAL DISASTER PLAN
A plan developed and used by local government for extraordinary events. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
LOCAL GOVERNMENT
A political subdivision within a state. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
LOCAL TECHNIQUE
local ou espace prévu dans un bâtiment pour recevoir de l'équipement technique [S-3, r.2, LOI
SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
LOGEMENT
local ou ensemble de locaux utilisés par une personne, ou plusieurs personnes vivant en
commun, et comportant des installations sanitaires et de cuisson [S-3, r.2, LOI SUR LA
SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
LOGIC
The systematic study of valid inference. Classical, or Aristotelian, logic is concerned with the
formal properties of an argument, not its factual accuracy. Aristotle, in his Organon, held that any
logical argument could be reduced to a sequence of 3 propositions (2 premises and a
conclusion), known as a Syllogism, and posited 3 laws as basic to all logical thought: the law of
identity (A is A); the law of contradiction (A cannot be both A and not A); and the law of the
excluded middle (A must be either A or not A). (Hydro Cut General Terminology Resource
Information)
SEQUENTIAL LOGIC is the reasoning process applied to data to the organize it into the proper
sequence in which actions by people or objects occurred. For example, the investigator must
reason whether A happened before B, or B before A by determining the relative timing and spatial
logic of the the events.
CAUSE-EFFECT LOGIC is the reasoning process required to determine if one event led to
another event or condition. Investigators do this to establish relationships among events they
identify, and to determine the relevance of new data. For example, when an event A occurred
during a process, it led to B. Sometimes several events (A1, A2 and A3) all led to B. Sometimes A
led to several events. If so, show this by drawing a causal link" from A to B1, B2, B3 etc. If you
think there may be a causal relationship but need more data, add an arrow with a ? on it between
these events. Cause-effect relationships are represented by linking arrows, to show the flow of
events.
DEDUCTIVE LOGIC is the reasoning process applied to fill gaps in an investigator's
understanding of what happened with hypothetical candidate scenarios. By applying natural laws
and scientific principles to infer possible specific actions of people or objections to bridge what
happened between known events, an investigator can pinpoint data which should be sought to
verify each candidate scenario. Deductive logic can utilize reasoning tools such as BackSTEP
and logic trees.
NECESSARY-AND-SUFFICIENT LOGIC is the reasoning process applied to pairs of events or
events sets with identified cause-effect relationships to determine the completeness of the
description of the incident. Is A always necessary for B to occur? If so, it remains part of the set.
Next, determine sufficiency by asking if B will occur if A and only if A occurs? If so, the
investigator has a complete causal relationship. If not, what other events must occur to produce B
with reasonable certainty? Necessary-and-sufficient logic helps investigators find and define
unknowns that may not be apparent - unknown unknowns. (Ludwig Benner, 10 MES
INVESTIGATION TASK GUIDES, 3rd Edition, 1998)
LOGISTICS CHIEF
That organizational position within the Incident Command System having responsibility for
summoning and managing support, apparatus, equipment and personnel. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
LOI
Pouvoir législatif (Droit constitutionnel)Vocabulaire parlementaire. législation / ensemble de lois.
Ensemble des lois (y compris les règlements) d'un État ou d'une région (législation française ou
allemande, nationale ou locale) ou des lois relatives à une branche du droit (législation civile ou
commerciale; plus généralement Droit positif d'un pays.*b OBS*Recommandation du Comité des
règles de civile.*b
OBS*loi : Rarement approprié.*e ensemble de lois, loi: Ces termes ne sont pas toujours
interchangeables.*e(sOURCE: Termium 1996)
LOI SUR LA PRÉVENTION DES INCENDIES (voir Loi sur la Sécurité dans les édifices publics)
La Province de Québec ne règlemente pas la sécurité incendie et la prévention incendie dans le
cadre de sa loi sur la prévention des incendies. Certaines autorités provinciales utilisent le CNPI
comme document de référence pour la règlementation de certains aspects de la prévention,
tandis que les municipalités plus importantes ont adopté le CNPI uniquement comme règlement
municipal. [Par exemple] La Ville de Montréal utilise le CNPI uniquement comme source
d'information pour mettre à jour sa règlementation municipale. [Nouvelles CNB/CNPI, no.128,
CNRC, 1991]
LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS (L.R.Q., c. S-3)
Au Québec, le CNB et le CNPI sont adoptés par décret en vertu du Règlement sur l'application
d'un code du bâtiment, dans le cadre de la LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES
PUBLICS (L.R.Q., c. S-3)
LOI TEMPÉRATURE-TEMPS (courbe normalisée)
Quelle que soit la nature de l'incendie, les températures développées sont semblables et peuvent
être représentées par une courbe expérimentale.
T - To = 345 log 10 (8 t + 1)
où T désigne la température au voisinage de l'échantillon
To la température exprimée en degrés Celsius
t désigne le temps compté en minutes
La courbe représentative de cette fonction est dite courbe de température-temps normalisée. En
voici les points caractéristiques retenus:
au bout de 10 minutes 659°C / 1218°F
au bout de 15 minutes 718°C / 1324°F
au bout de 30 minutes 827°C / 1520°F
au bout de 1 heure 925°C / 1697°F
au bout de 1,5 heure 986°C / 1806°F
au bout de2 heures 1030°C / 1886°F
au bout de3 heures 1090°C / 1994°F
au bout de 4 heures 1133°C / 2071°F
au bout de 6 heures 1194°C / 2182°F
Bien entendu ces températures sont indiquées en supposant que l'incendie ait toujours été
alimenté et qu'on n'ait rein tenté pour le combattre. Il ne peut y avoir d'exception à cette règle que
dans les lieux où auraient pré-existé des substances éminemment combustibles, qui, en outre,
fournissent elles-mêmes l'oxygène nécessaire à leur combustion (péroxydes, thermite, poudre de
chasse, explosifs). Si la température théorique de combustion voisine les 2000°C, dans la
pratique elle plafonne beaucoup plus bas. On en possède déjà une preuve très simple dans les
fils électriques dont l'âme subsiste généralement, alors que le cuivre rouge fond à 1083°C. [Gayet
1973]
LOWER EXPLOSIVE LIMIT (LEL)
The lowest concentration of the material in air that can be detonated by spark, shock, or fire, etc.
HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED
TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
LOWER EXPLOSIVE LIMIT means the minimum concentration of vapour in air at which the
propagation of flame occurs on contact with a source of ignition. (Ontario Fire Code 1996)
LOW PRESSURE STORAGE TANK means a storage tank designed to operate at pressures
greater than 3.5 kPa (gauge) to 100 kPa (gauge). (Ontario Fire Code 1996)
L.P.G.
Liquefied petroleum gas (primarily propane and butane). [Friedman 1989]
L.S.E.
Limite supérieure d'explosivité (voir Limites d'explosivité) (Canutec)
L.S.I.
Limite supérieure d'inflammabilité (voir Limites d'explosivité) (Canutec)
LUMINAIRES ÉLECTRIQUES
L'ampoule électrique à incandescence, par exemple, qui constitue la plus grande portion des
artefacts reliés à l'éclairage électrique, est un appareil qui s'est perfectionné sur une période
d'environ cent ans (1840 - 1940). L'éclairage électrique a été longtemps une commodité réservée
à l'industrie, puis aux habitants des plus grands centres urbains. L'éclairage électrique suit
l'installation du réseau électrique, qui, lui-même, dépend de la modernisation des industries
manufacturières qui y ont le plus à gagner. De plus, il ne représente qu'un aspect de
l'électrification des industries et des centres urbains et il doit être étudié parallèlement au
développement des transports, à l'utilisation de la force motrice fixe et à l'amélioration des
communications. Cette nouvelle forme d'énergie s'est répandue relativement très rapidement
parce qu'on recherchait très vite les avantages qu'elle représentait sur la vapeur comme source
de force motrice dans les industries lourdes, telles que les mines et les textiles. De plus,
l'électricité permetait de nouveaux modes d'éclairage, plus souples, moins dangereux et plus
appropriés aux usages ainsi que la possibilité d'améliorer sans cesse les moyens de
télécommunication. L'électricité doit toutefois coexister longtemps avec les formes plus
traditionnelles d'énergie de la révolution industrielle, qui, par certains aspects, demeurent encore
avantageuses dans le contexte canadien. Au début de ce siècle, l'industrie préfère toujours
l'énergie hydraulique pour l'obtention de la force motrice alors que l'électricité apparait comme
l'alternative idéale. [Appareils d'éclairage, 1984]
-M-
MAGNÉSIUM - Ivan Noels
Du grec "Magnesia", une région de Thessalie. Appartient au groupe 2. D'un éclat argenté, le
magnésium exposé à l'air se recouvre d'une couche grisâtre d'oxyde qui le protège de l'oxygène
et de l'eau. Il brûle avec une flamme blanche aveuglante et fait partie des métaux alcalinoterreux. Un tiers plus léger que l'aluminium, ses alliages sont essentiels dans la construction des
avions et des missiles. On l'utilise aussi pour les lampes flash, les feux d'artifice et les bombes
incendiaires. Son hydroxyde (lait de magnésie), son chlorure et son sulfate (sels d'Epson) sont
employés en médecine. Le magnésium est un oligo-élément important pour les plantes et pour
les animaux. C'est un des constituant de la chlorophylle et il est nécessaire à l'activation de
certaines enzymes. Le magnésium pose de sérieux risques d'incendie. (Ivan Noels,
[email protected])
MAGNESIUM (Hydro Cut)
Magnesium (Mg) is a metallic element, discovered as an oxide by Sir Humphrey Davy in 1808. A
ductile, silver-white, chemically active Alkaline-Earth Metal, it is the eighth most abundant element
in the earth's crust. Its commercial uses include lightweight alloys in aircraft fuselages, jet-engine
parts, rockets and missiles, cameras, and optical instruments. The metal is used in pyrotechnics.
Magnesium is found in plant chlorophyll and is necessary in the diet of animals and humans.
(Hydro Cut General Terminology Resource Information)
MAGNESIUM (IAAI)
A silvery metal used in some metal incendiaries. The dust is highly explosive. Ignition point of
650F. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI
Forensic Science Committee)
MAINTENANCE / maintenance
Ensemble des actions destinées à maintenir ou rétablir une entité dans un état spécifié ou en
mesure d'assurer un service déterminé. - NF X 60 - 010 (Mouvement québécois de la qualité,
http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
MAINTENANCE PRODUCTIVE TOTALE / total productive maintenance (TPM)
Démarche orientée vers le &laqno hardware » qui vise à obtenir une meilleure disponibilité des
équipements. Elle met l'accent sur le fonctionnement des machines et sur la manière d'en assurer
la maintenance de façon à maximiser son efficacité pendant la vie entière des
équipements. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
MAÎTRE D'OEUVRE
Le propriétaire ou la personne qui, sur un chantier de construction, a la responsabilité de
l'exécution de l'ensemble des travaux (LSST, S2-1)
MAÎTRISE DE LA QUALITÉ / quality control
Techniques et activités à caractère opérationnel utilisées en vue de répondre aux exigences
relatives de la qualité. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
MAJOR OCCUPANCY means the principal occupancy for which a building or part thereof is used
or intended to be used, and includes the subsidiary occupancies that are an integral part of the
principal occupancy. (Ontario Fire Code 1996)
Management-Ignited Prescribed Fire
The planned application of fire to natural fuels, including logging debris, grasslands and/or
understory vegetation, such as palmettos, with the intent to confine the fire to a predetermined
area. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
MANHATTAN PROJECT
The Manhattan Project was the wartime effort to design and build the first nuclear weapons
(Atomic Bomb). A $2-billion effort, centered at Oak Ridge, Tenn., and Hanford, Wash., was
required to obtain sufficient amounts of the two necessary isotopes, uranium-235 and plutonium239. The design and building of the bombs took place at Los Alamos, N.Mex., where J. Robert
Oppenheimer directed a large group of American and European-refugee scientists. Following the
test explosion of a plutonium device on July 16, 1945, near Alamogordo, N.Mex., a uranium bomb
and a plutonium bomb were dropped on, respectively, Hiroshima (Aug. 6) and Nagasaki (Aug. 9).
(Hydro Cut General Terminology Resource Information)
MANIFEST, UNIFORM HAZARDOUS WASTE
A document required by 40 CFR 262 to accompany any shipment of hazardous waste from the
point of generation to the point of final disposal/destruction. (See Shipping Papers, and
Hazardous Waste Manifest, Uniform (EPA). HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
MANUEL QUALITÉ / quality assurance manuel
Document énonçant la politique qualité de l'entreprise et décrivant les dispositions générales
prises par un organisme en matière d'assurance de la qualité. - NF X 50 - 120 (Mouvement
québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
MARKING
The required descriptive name, instructions, cautions, weight, or specifications or combination
thereof on containers of hazardous materials/hazardous waste.HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
MASS [Friedman 1989]
The inertial property of an object, which is proportional to force needed to accelerate the object in
the absence of resistance. [Friedman 1989]
MASS
Confusion often exists between mass and weight. Weight refers to the force acting on an object
because of gravitational attraction, and is a convenient way to measure mass on Earth at sea
level. However, if an object were on the moon, its weight would be only about 1/6th of its weight
on Earth, or if the object were in an orbiting space station it would be weightless; however, its
mass would be the same in each case. [Friedman 1989]
MASS (Hydro Cut)
Mass in physics is the quantity of matter in a body regardless of its volume or of any forces acting
on it. There are two ways of referring to mass, depending on the laws of physics defining it. The
gravitational mass of a body may be determined by comparing the body on a beam balance with a
set of standard masses; in this way the gravitational factor is eliminated ( Gravitation; Weight).
The inertial mass of a body is a measure of the body's resistance to acceleration by some
external force. All evidence seems to indicate that the gravitational and inertial masses are equal.
According to the special theory of Relativity, mass increases with speed according to the formula
m = m0/_1-v2/c2, where m0 is the rest mass (mass at zero velocity) of the body, v its speed, and
c the speed of light in vacuum. The theory also leads to the Einstein mass-energy relation E =
mc2, where E is the energy and m the relativistic mass. (Hydro Cut General Terminology
Resource Information)
MASS NUMBER
Mass number is represented by the symbol A, the total number of nucleons ( Neutons and
Protons) in the nucleus of an Atom. All atoms of a chemical Element have the same Atomic
Number but may have different mass numbers (from having different numbers of neutrons in the
nucleus). Atoms of an element with the same mass number make up an Isotope of the element.
Isotopes of different elements may have the same mass number but different numbers of protons.
(Hydro Cut General Terminology Resource Information)
MASS RATIO
The ratio of the initial mass of the propellant to the mass of the complete rocket motor. (Hydro Cut
General Terminology Resource Information)
MASS SPECTROMETRY
A method of chemical analysis which vaporises, then ionises the substance to be analysed and
then accelerates the ions through a magnetic field to separate the ions by molecular weight. Mass
spectrometry can result in the exact identification of an unknown compound, and is a very
powerful analytical technique, especially when combined with chromatography. (Glossary Of
Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
Master Stream
A master stream is a large and fixed stream of water. Master streams are used on the end of
aerial ladders on ladder trucks and on top of pumper trucks. Master streams can deliver larger
amounts of water than hand-held hose. [email protected]
MATERIAL FIRST IGNITED (premier aliment de l'incendie)
The fuel that is first set on fire by the heat of ignition. To be meaningful, both a type of material
and a form of material should be identified. [NFPA 921 - 1992]
MATERIAL SAFETY DATA SHEET (MSDS)
A document which contains information regarding the specific identity of hazardous chemicals,
including information on health effects, first aid, chemical and physical properties, and emergency
phone numbers. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
MATÉRIAUX
Le terme matériau sera employé pour désigner toute espèce de matière, homogène ou
hétérogène. [Pauling 1958]
MATIÈRE DANGEREUSE
Substance qui, en raison de sa nature physique ou chimique ou de son état, peut exploser ou
facilement s'enflammer et provoquer des feux intenses [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS
LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
MATIÈRES DANGEREUSES (HAZMAT)
matières dangereuses (NORMALISÉ), marchandises dangereuses (NORMALISÉ,
UNIFORMISÉ), articles dangereux, produits dangereux, HAZMAT (CORRECT, UNIFORMISÉ).
Matières explosives, toxiques, caustiques, nucléaires, combustibles ou inflammables,
biologiques, infectieuses ou empoisonnées qui peuvent, directement ou indirectement, constituer
un danger pour la vie humaine ou les biens matériels, surtout si elles sont manutentionnées ou
utilisées d'une façon non appropriée ou si elles sont mises en cause lors d'un accident. Le terme
"matières dangereuses" est normalisé par l'ISO et est utilisé dans le Règlement intérieur français
(sur le transport). "Marchandises dangereuses" est le terme utilisé dans la "Loi sur le transport
des marchandises dangereuses (du Canada, chapitre 36); en outre, il est uniformisé par le CUTA
opérations aériennes et par le Canadien National. L'abréviation "HAZMAT" est uniformisée par le
CUTA opérations aériennes. Il y a beaucoup de confusion dans l'emploi de ces termes; il faut
privilégier les expressions "matières dangereuses" et "marchandises dangereuses"; ce sont les
plus attestées et elles correspondent à tous les modes de transport (en anglais, "dangerous
goods" est le terme à retenir); il faut choisir "articles dangereux" si on a le terme anglais
"dangerous articles" (transport ferroviaire ou aérien) et produits dangereux si on a les termes
anglais "hazardous commodities" ou "hazardous products". marchandises dangereuses : Terme
et définition normalisés par l'OACI. (Source : Termium 1994)
MATIÈRE ET ÉNERGIE (Pauling 1958)
Jusqu'au siècle actuel les savants utilisaient la loi de la conservation de la matière et la loi de la
conservation de l'énergie. Ces deux lois peuvent être maintenant fondues en une seule: la loi de
la conservation de la masse, dans laquelle la masse désigne aussi bien celle de la matière que
celle de l'énergie du système. Pour des réactions chimiques habituelles cependant, nous
pouvons toujours utiliser la &laqnoloi» de la conservation de la matière, la matière ne pouvant
être ni créée ni détruite mais seulement transformée, à condition de remarquer que la validité de
cette loi subit une limitation: elle n'est plus applicable s'il se produit dans le système considéré un
phénomène comportant une conversion d'énergie radiante en matière ou l'inverse. [Pauling 1958]
MATIÈRES CORROSIVES
Une substance est dite corrosive si elle attaque (corrode) les métaux et les tissus du corps
humain, comme ceux de la peau ou des yeux. Les substances corrosives peuvent détériorer les
contenants en métal et entraîner une fuite, ou affaiblir les matériaux de charpente et entraîner un
effondrement. Les substances corrosives peuvent brûler les tissus du corps humain et causer des
cicatrices permanentes ou rendre une personne aveugle. Le Règlement sur les produits contrôlés
au Canada et la norme HAZCOM de l'OSHA aux États-Unis donnent les critères techniques
servant à identifier les substances qui appartiennent à la catégorie des matières corrosives. (Voir
aussi pH.) (Canutec)
MATIÈRES DANGEREUSEMENT RÉACTIVES
Le Règlement sur les produits contrôlés, Canada, donne les critères techniques servant à
identifier les substances qui appartiennent à la catégorie des matières dangereusement
réactives. Une matière dangereusement réactive peut réagir violemment :
- avec de l'eau pour produire un gaz très toxique;
- par elle-même par polymérisation ou par décomposition; ou
- sous l'effet d'un choc ou d'une hausse de pression ou de température.
Selon la définition de l'ANSI, une matière est dangereusement réactive lorsqu'elle peut subir une
réaction chimique auto-accélérée exothermique violente au contact de substances courantes ou
spontanément. Une matière dangereusement réactive peut déclencher un incendie ou une
explosion, ou donner lieu à d'autres conditions dangereuses. Il est très important de connaître les
conditions susceptibles d'occasionner une réaction dangereuse (choc, chaleur, humidité) pour
pouvoir prendre les mesures de prévention appropriées. (Canutec)
MATIÈRES INFLAMMABLES ET COMBUSTIBLES
Aux termes du Règlement sur les produits contrôlés, Canada, une substance appartient à la
catégorie des matières inflammables et combustibles si elle répond aux critères définissant les
gaz inflammables, liquides inflammables, liquides combustibles, solides inflammables, aérosols
inflammables ou matières réactives inflammables. (Canutec)
MATIÈRES INFLAMMABLES RÉACTIVES
Aux termes du Règlement sur les produits contrôlés, Canada, une matière est réactive et
inflammable si elle présente un risque d'incendie parce qu'elle réagit facilement avec l'air ou
l'eau. Font partie de cette catégorie les matières qui :
- sont spontanément combustibles, c'est-à-dire susceptibles de s'échauffer au contact de l'air au
point de prendre feu;
- peuvent réagir violemment avec l'air dans des conditions normales sans prendre feu;
- dégagent une quantité dangereuse de gaz inflammable en réagissant avec de l'eau; ou
- deviennent spontanément combustibles au contact de l'eau ou de la vapeur d'eau.
Il faut tenir les matières réactives inflammables au sec et à l'écart de l'oxygène (dans l'air) et des
comburants. C'est pourquoi il arrive souvent qu'on les entrepose ou qu'on les utilise en présence
d'un gaz comme l'azote ou l'argon. (Canutec)
MATRIX
Substrate. the material from which a substance of interest is removed for analysis. (Glossary Of
Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
MATTER
Matter is anything that has mass. Because of its mass, all matter has Weight, if it is in a
gravitational field, and Inertia. The three common States Of Matter are solid, liquid, and gas;
scientists also recognize a fourth, Plasma. Ordinary matter consists of Atoms and Molecules. See
also Element; Elementary Particles.(Hydro Cut General Terminology Resource Information)
MEAN OR AVERAGE MEAN
Unless otherwise specified, this is the arithmetic mean of the observations. A measure of the
variability or dispersion of a number of observations. (Hydro Cut General Terminology Resource
Information)
Mean
The arithmetic average of a set of numbers.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
MEANS OF EGRESSmeans a continuous path of travel provided for the escape of persons from
any point in a building or contained open space to a separate building, an open public
thoroughfare or an exterior open space protected from fire exposure from the building and having
access to an open public thoroughfare. Means of egress includes both exits and access to exits.
(Ontario Fire Code 1996)
MECHANICS
Mechanics is a branch of physics concerned with Motion and the Forces causing it. The field
includes the study of the mechanical properties of matter, such as Density, Elasticity ( Strength Of
Materials), and Viscosity. Mechanics is divided into Statics, which deals with bodies at rest or in
equilibrium, and Dynamics, which deals with bodies in motion. Isaac Newton, who derived three
laws of motion and the law of universal Gravitation, was the founder of modern mechanics. For
bodies moving at speeds close to that of light, Newtonian mechanics is superseded by the theory
of Relativity, and for the study of very small objects, such as Elementary Particles, Quantum
Theory is used. (Hydro Cut General Terminology Resource Information)
MÈCHE
Bande, tresse, cordon de fils de coton, de chanvre destiné à être mis en contact avec un
combustible dont il s'imprègne, et qu'on fait brûler par son bout libre, pour obtenir une flamme de
longue durée. (Source: Termium 1994) Le liquide combustible monte dans la mèche par un
phénomène appelé capillarité.
MEDIAN
The halfway point in the measurements when they have been arranged in order of size. (Hydro
Cut General Terminology Resource Information)
MÉDIAS nmpl (informatique, télécommunications) [media ]
C'est un ensemble de moyens qui a pour fonction de produire et de transmettre de
l'information. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET,
France)
MELTING POINT
Melting point, temperature at which a substance changes its state from solid to liquid (see States
Of Matter). Under standard atmospheric pressure, different pure crystalline solids will each melt at
a different specific temperature; thus melting point is a characteristic of a substance and can be
used to identify it. The quantity of heat necessary to change 1 gram of any substance from solid to
liquid at its melting point is known as its latent heat of fusion. (Hydro Cut General Terminology
Resource Information)
The temperature at which a material changes from a solid to a liquid. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
MELTING POINTS OF AIRCRAFT MATERIALS (voir Point de fusion)
IRON melts
NICKEL melts
Porcelain glazes
BRONZE melts
ALUMINIUM ALLOYS melt
PURE MAGNESIUM melts
PURE ALUMINIUM melts
ZINC melts
SILICON RUBBER blisters
LEAD melts
TIN melts
SELENIUM melts
PHENOLIC delaminates
POLYSTYRENE distorts
Plastic PCV distorts
6170 F
4760 F
3430 F
3150 F
3100 F
2820 - 3000 F
2800 F
2700 F
2650 F
2600 F
2270 F
2250 F
2000 F
1940 F
1760 F
1675 F
1600 - 2000 F
1400 - 1600 F
1250 F
1220 - 1250 F
1200 F
1175 F
1165 - 1450 F
890 F
850 F
780 F
700 F
630 F
625 F
610 F
480 F
450 F
430 F
275 F
250 - 300 F
250 F
210 F
185 F
130 F
TUNGSTEN melts
MOLYBDENUM melts
CHROMIUM melts
VANADIUM melts
PURE TITANIUM melts
TITANIUM ALLOYS melt
STAINLESS STEEL melts
SILICON melts
MANGANESE melts
COPPER melts
GOLD melts
SILVER melts
BRASS BEARINGS melt
Glass softens
Magnesium alloys melt
Aluminium bearings melt
Glass cloth fuses
Aluminium panelling melts
SILVER SOLDER melts
ALUMINIUM EUTECTIC melting
Aluminium becomes plastic, sags
TEFLON INSULATION melts
CADMIUM melts
NYLON melts
Wool decomposes
Nylon spaghetti melts
Methyl methacrylate distorts
Wax melts
Source : R. H. WOOD, R.W. SWEGINNIS; AIRCRAFT ACCIDENT INVESTIGATION, Endeavor
Books, Casper WY, 1995, p.59
MENDELLEIEV
Dimitri Ivanovich Mendeleiev est né en Sibérie en 1834. C'était le plus jeune d'une famille de 17
enfants. En 1869, il publia son fameux tableau périodique des éléments. Il arrangea selon leur
masse atomique les 63 éléments connus à cette époque en groupes possédant des propriétés
similaires. Là où existait un trou dans le tableau, il prédit les propriétés d'un nouvel élément qui
serait trouvé plus tard. Trois de ces éléments, le gallium, le scandium et le germanium furent
découverts de son vivant et leurs propriétés correspondaient à ce qu'l avait prévu, ce qui assura
sa réputation. On sait depuis qu'il faut classer les éléments selon leur numéro atomique et que la
loi périodique s'énonce comme suit : "Les propriétés physiques et chimiques des éléments sont
des fonctions périodiques de leur numéro atomique." (Ivan Noels, [email protected])
MERCANTILE OCCUPANCY (Group 'E') means the occupancy or use of a building or part
thereof for the displaying or selling of retail goods, wares or merchandise. (Ontario Fire Code
1996)
META-ETHYLITOLUENE (M-ETHYLTOLUENE)
A component of gasoline. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of
Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
METAL
A chemical Element displaying certain properties, notably metallic luster, the capacity to lose
electrons and form a positive Ion, and the ability to conduct heat and electricity ( Conduction), by
which it is normally distinguished from a nonmetal. The metals comprise about two thirds of the
known elements. Some elements, e.g., arsenic and antimony, exhibit both metallic and
nonmetallic properties, and are called metalloids. Metals fall into groups in the Periodic Table
determined by similar arrangements of the orbital electrons and a consequent similarity in
chemical properties. Such groups include the Alkali Metals (Group la in the periodic table), the
Alkaline - Earth Metals (Group IIa), and the Rare - Earth Metals ( Lanthanide and Actinide series).
Most metals other than the alkali metals and the alkaline-earth metals are called transition metals
( Transition Elements). The oxidation states, or Valence, of the metal ions vary from +1 for the
alkali metals to +7 for some transition metals. Chemically, the metals differ from the nonmetals in
that they form positive ions and basic oxides and hydroxides. Upon exposure to moist air, a great
many metals undergo corrosion, i.e., enter into a chemical reaction, the oxygen of the atmosphere
uniting with the metal to form the oxide of the metal, e.g., rust on exposed iron. (Hydro Cut
General Terminology Resource Information)
METALS
Metals are a special kind of solid. Metals generally consist of positively charged atomic ions in a
geometrically defined crystal lattice, with electrons free to move through the lattice. The fact that
metals conduct heat and electricity far better than other solids is due to the high mobility of the
electrons through the crystal lattice. A metal can consist of a single pure element (such as copper,
aluminum, iron, or 24-carat gold), or it can be an alloy of two or more elements. For example,
brass is an alloy of copper and zinc, steel is an alloy of iron and carbon, and 18-carat gold is an
alloy of gold and silver. [Friedman 1989]
MÉTALLURGIE (obtention et raffinage des métaux)
Les métaux s'obtiennent à partir de minerais. Un minerai est un minéral ou un matériau naturel
qu'on peut traiter pour en extraire un ou plusieurs métaux. Après son extraction du minerai, le
métal est soumis à un raffinage, c'est-à-dire à une purification. La métallurgie est l'art et la
science de l'obtention et du raffinage des métaux, de leur façonnage en vue de leurs emplois.
[Pauling 1958]
MÉTAUX ET NON-MÉTAUX

Propriéts générales des métaux :



On reconnaît les métaux à leur éclat, que ne possèdent ni les éléments non métalliques
comme le soufre, ni les sels comme le chlorure de sodium.
o o
Les métaux sont en général de très bons conducteurs de l'électricité et de la
chaleur.
o o
La plupart des métaux peuvent être étirés en fils et laminés en feuilles. On dit qu`ils
sont ductiles et malléables.
o o
Ils ont d'habitude des points de fusion et d'ébullition élevés ainsi qu'une grande
densité.
o o
Plus un élément est à gauche et en bas dans le tableau périodique et plus il est
métallique.
Propriéts générales des non-métaux :
o o
Les non-métaux, par contre, n'ont généralement pas d'éclat.
o o
Ils sont de mauvais conducteurs de la chaleur et de l'électricité.
o o
Ils ne sont ni malléables ni ductiles.
o o
Plusieurs sont des gaz et les autres ont des points de fusion et d'ébullition peu
élevés.
o o
On les appelle parfois des métalloides.
o o
Plus un élément est situé à droite et en haut dans le tableau périodique et plus
c'est un non-métal.
Différences chimiques entre métaux et non-métaux :
o o
Quand ils sont solubles, les oxydes de métaux forment des solutions basiques. Les
oxydes de non-métaux donnent des acides, quelques-uns étant neutres.
o o
Une propriété chimique importante est commune à tous les chlorures des atomes
métalliques : tous sont des sels. Leurs solutions conduisent l'électricité. Les chlorures
des non-métaux ne sont pas des sels mais des gaz ou des liquides covalents réagissant
habituellement avec l'eau.
o o
Un métal est capable, directement ou indirectement, de remplacer l'hydrogène d'un
acide, ce que ne peut faire un non-métal.
o o
Dans les réactions chimiques, les métaux perdent des électrons pour former des
ions chargés positivement.
+
++
Ex. : Na - 1 e --> Na , Cu - 2e --> Cu .
Les métaux sont donc des agents réducteurs.
o
o
D'un autre côté, les non-métaux se combinent avec les métaux en gagnant des
électrons pour former des ions chargés négativement.
-
--
Ex. : Cl2 + 2 e --> 2Cl , S + 2 e --> S .
Les non-métaux sont des agents oxydants. Quand ils se combinent entre eux, ils partagent
généralement des électrons pour former des composés covalents.

Remarque : Là où les deux groupes se rencontrent, certains éléments ne peuvent pas
vraiment être classés dans les métaux ou les non-métaux. C'est le cas, notamment, du
germanium, de l'arsenic, du sélénium et de l'iode. (Ivan Noels, [email protected])
MÉTHANE (voir Paraffine)
Le méthane est le premeir terme d'une série d'hydrocarbures de formule générale CnH2n+2,
qu'on appelle série méthanique ou série paraffinique. Les premiers termes sont les suivants:
méthane CH4
éthane C2H6
propane C3H8
butane C4H10
pentane C5H12
hexane C6H14
heptane C7H16
octane C8H18,
etc. [Pauling 1958]
METHANE
Methane (CH4) is a colorless, odorless, gaseous Hydrocarbon formed by the decay of plant and
animal matter. It occurs naturally as the chief component of Natural Gas, as the firedamp of coal
mines, and as the marsh gas released in swamps and marshes. Methane can also be made
synthetically by various means. It is combustible and can form explosive mixtures with air. Used
for fuel in the form of natural gas, methane is also an important starting material for making
solvents and certain Freons. (Hydro Cut General Terminology Resource Information)
METHANE
If there is a stoichiometric mixture of methane and air (9.5% CH4, 19% O2, and 71.5% N2), it
would burn and the flame temperature would be 1940°C. [Friedman 1989]
METHANE
The simplest hydrocarbon and the first member of the paraffin (alkane) series, having a formula
CH4. Methane is the major constituent of natural gas. Methane has a heating value of 1009
BTU/cubic foot. Its explosive limits are 5% to 15%. (Glossary Of Terms Related To Chemical And
Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
METHANOL
Methyl alcohol. Wood alcohol. The simplest alcohol. Methanol is water soluble and has a flash
point of 54F and explosive limits of 6% to 36.5%. (Glossary Of Terms Related To Chemical And
Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
METHANOL
Methanol, or methyl alcohol or wood alcohol (CH3OH), a colorless, flammable liquid and the
simplest Alcohol. Methanol is a fatal poison. Small internal doses, prolonged exposure of the skin
to the liquid, or continued inhalation of the vapor may cause blindness. It can be obtained from
wood, but now is made synthetically from the direct combination of hydrogen and carbon
monoxide gases. Methanol is used to make Formaldehyde, as a solvent, and as an Antifreeze.
(Hydro Cut General Terminology Resource Information)
MÉTHODE SCIENTIFIQUE (Pauling)(voir Loi Température-Temps)
La première étape de la méthode scientifique consiste à trouver quelques faits grâce à
l'observation et à l'expérience. Dans notre domaine, ces faits sont ceux de la chimie descriptive.
L'étape suivante consiste à classer et à relier beaucoup de faits dans une seule expression
générale qu'on appelle alors une loi, quelquefois une loi naturelle. [Pauling 1958]
METHYL SILICONE
A nonvolatile oily liquid used in gas chromatography to separate nonpolar compounds. Methyl
silicone columns typically separate compounds according to their boiling point. (Glossary Of
Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
METHYLSTYRENE
A common polymer pyrolysis product. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental
Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
MEZZANINE
plancher partiel intermédiaire entre le plancher et le plafond d'un local ou d'un étage [S-3, r.2, LOI
SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
Microbial Activity
The activity of microscopic organisms that are responsible for the decay of dead material.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
MICROMETER
An instrument used for measuring extremely small distances. In the micrometer caliper, the object
to be measured is held between the two jaws of the instrument; the distance between the jaws is
measured on a scale calibrated to the rotation of the finely threaded screw that moves one of the
jaws. In astronomical and microscopic micrometers, the distance that a filament moves from one
end to the other of the image of an object is read on a calibrated scale. (Hydro Cut General
TerminologyResource Information)
MICRON
One micron equals 10-4 cm or may also be expressed as 10-6 meters. . A unit of length, the
thousandth part of one millimeter. A particle of diameter between 0.01 and 0 0001
millimeter. (Hydro Cut General Terminology Resource Information)
MICRO-ORDINATEUR nm (informatique) [microcomputer, personal computer ]
Ordinateur dont l'unité arithmétique et logique est réalisée à l'aide de microprocesseurs.
(Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
MICROPHONE
A device (invented c.1877) used in radio broadcasting, recording, and sound-amplifying systems
to convert sound into electrical energy. Its basic component is a flexible diaphragm that responds
to the pressure or particle velocity of sound waves. In a Capacitor, or condenser, microphone,
used in high-quality sound systems, two parallel metal plates are given opposite electrical
charges. One of the plates is attached to the diaphragm and moves in response to its vibrations,
generating a varying voltage. Also Telephone. (Hydro Cut General Terminology Resource
Information)
MICROSECOND
One millionth of a second, 10-6 second, expressed as msec.(Hydro Cut General Terminology
Resource Information)
MIDNIGHT DUMPING
Illegal disposal of hazardous materials. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
MILLISECOND
One thousandth of a second, 10-3 second, expressed as msec. (Hydro Cut General Terminology
Resource Information)
MIN
Peut vouloir dire minute ou minimum.(Canutec)
MINERAL SPIRITS
A medium petroleum distillate ranging from C8 to C12. The flash point of mineral spirits is
generally around 100F. Mineral spirits, sometimes known as mineral turps, is commonly known
as a solvent in insecticides and certain other household products. Many charcoal lighter fluids are
composed almost entirely of mineral spirits. (Glossary Of Terms Related To Chemical And
Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
MINIMUM IGNITION ENERGY
The energy, in milijoules, of the weakest spark that is just capable of igniting a gas mixture. The
minimum energy depends on the composition, temperature, and pressure of the mixture.
[Friedman 1989]
MISCIBLE
Qui peut être mêlé. Ce mot indique que deux liquides peuvent se dissoudre l'un dans l'autre,
complètement ou en partie. Ordinairement, miscible veut dire que deux liquides sont
complètement solubles l'un dans l'autre. (Voir aussi Solubilité.) (Canutec)
MISHAP
That process by which a normal, stable activity is transformed and produces an undesired and
usually unplanned outcome. (Synonym for accident) [Benner 1997]
MISSILE
Any object thrown, dropped, fired, launched or otherwise projected with the purpose of striking a
target. Short for "ballistic missile", "guided missile." (Missile is loosely used as a synonym for
"rocket" or spacecraft by some careless writers.) (Hydro Cut General Terminology Resource
Information)
MIST
Suspended liquid droplets generated by condensation from the gaseous to the liquid state or by
breaking up a liquid into a dispersed state, such as by splashing, foaming, or atomizing. A mist is
formed when a finely divided liquid is suspended in air.HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
mm Hg
L'abréviation mm Hg signifie millimètres (mm) de mercure (Hg). C'est ainsi qu'on mesure
communément la pression exercée par des gaz comme l'air. La pression exprimée en mm Hg
désigne la hauteur qu'une colonne de mercure doit avoir pour exercer la pression mentionnée. La
pression atmosphérique normale est 760 mm Hg.(Canutec)
MOCKUP
A model (often crude) for study or training.(Hydro Cut General Terminology Resource
Information)
MODEM nm (télécommunications) - acronyme de " modulateur-démodulateur "
Équipement transformant le signal de sortie numérique d'un ordinateur en un signal analogique
pour la transmission sur le réseau téléphonique ou des liaisons spécialisées. (Glossaire
Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
MOLE
A mole in chemistry is a quantity of particles of any type equal to Avogadro's number. One gramatomic weight (or one gram-molecular weight) the amount of an atomic (or molecular) substance
whose weight in grams is numerically equal to the Atomic Weight (or Molecular Weight) of that
substance contains exactly one mole of atoms (or molecules). (Hydro Cut General Terminology
Resource Information)
MOLE
A quantity of a chemical substance equal to its molecular weight in grams. [Friedman 1989]
MOLECULAR WEIGHT
Molecular weight is the weight of a Molecule of a substance expressed in atomic mass units
(Atomic Weight). The molecular weight is the sum of the atomic weights of the atoms making up
the molecule. (Hydro Cut General Terminology Resource Information)
MOLECULAR WEIGHT
The sum of the atomic weight of all of the atoms within a molecule. Generally, molecules of the
same type have higher boiling points if the molecular weight is higher. (Glossary Of Terms
Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
MOLECULE
The smallest particle into which a substance can be divided without changing its chemical
properties. A molecule of an element consists of one atom, or two or more atoms that are alike. A
molecule of a compound consists of two of more different atoms. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
MOLECULE
A molecule is the smallest particle of a Compound that has all the chemical properties of that
compound. Molecules are made up of two or more Atoms, either of the same Element or of two or
more different elements. Ionic compounds, such as common salt, are made up not of molecules
but of ions arranged in a crystalline structure ( Crystal). Unlike Ions, molecules carry no electrical
charge. Molecules differ in size and Molecular Weight as well as in structure (Isomer). (Hydro Cut
General Terminology Resource Information)
Monitor
A type of master stream similar to a deck gun, but removable from the apparatus. Hose can be
laid into it, making it [email protected]
MONOMER
The simplest unit of a polymer. Ethylene is the smallest unit of polyethylene. Styrene is the
smallest unit of polystyrene. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis
Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
MOT nm (informatique) [word ]
Séquence de bits traités comme entité indivisible définissant l'unité d'information ; le nombre de
bits constituant un mot est déterminé de façon à optimiser les opérations machines : 8, 16, 32
bits... Les mots de 8 bits sont aussi appelés octets. (Glossaire Formation et Technologies, version
1.1, groupe de travail ERFET, France)
MOTION
Motion, in Mechanics, the change in position of one body with respect to another. The study of the
motion of bodies is called Dynamics. The time rate of linear motion in a given direction by a body
is its velocity; this rate is called the speed if the direction is unspecified. If during a time t a body
travels over a distance s, then the average speed of that body is s/t. The change in velocity (in
magnitude and/or direction) of a body with respect to time is its acceleration. The relationship
between Force and motion was expressed by Isaac Newton in his three laws of motion: (1) a body
at rest tends to remain at rest, or a body in motion tends to remain in motion at a constant speed
in a straight line, unless acted on by an outside force; (2) the acceleration a of a mass m by a
force F is directly proportional to the force and inversely proportional to the mass, or a = F/m; (3)
for every action there is an equal and opposite reaction. The third law implies that the total
Momentum of a system of bodies not acted on by an external force remains constant (
Conservation Laws). Motion at speeds approaching that of light must be described by the theory
of Relativity, and the motions of extremely small objects (atoms and elementary particles) are
described by quantum mechanics (Quantum Theory). (Hydro Cut General Terminology Resource
Information)
MOYEN D'ÉVACUATION
Chemin de circulation continu, permettant d'évacuer les personnes sur une rue ou un autre
espace extérieur approuvé, à partir de n'importe quel point d'un bâtiment, d'une étendue de
plancher, d'un local ou d'une cour intérieure. Les moyens d'évacuation comprennent les issues et
les accès aux issues [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE
DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
MULTI-HAZARD FUNCTIONAL PLANNING
The California format used for developing disaster and emergency plans. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
MULTIMÉDIA nm, adj (informatique) [multimedia ]
Combinaison de deux ou plusieurs médias de communication pilotée par un système
informatique et comportant un enregistrement numérique des données. (Glossaire Formation et
Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
MUR COMMUN
mur vertical qui sépare entièrement une partie de bâtiment du reste de celui-ci et forme ainsi un
volume qui, de son toit jusqu'à son niveau le plus bas, est distinct et complet par lui-même selon
sa destination [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU
BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
MUR COUPE-FEU
cloisonnement coupe-feu de construction incombustible, qui divise un bâtiment ou sépare des
bâtiments adjacents [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE
DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
MUR MITOYEN
mur commun appartenant en copropriété à 2 voisins [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS
LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
-N-
NAPALM
A gasoline thickener. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information)
NAPHTHA
An ambiguous term which may mean high flash naphtha (mineral spirits), or low flash naphtha
(petroleum, ether, low boiling ligroin) or something altogether different. Flash point and explosive
limits vary. The term naphtha is so ambiguous that it should not be used. (Glossary Of Terms
Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
NARCOTIC EFFECT (effet narcotique, narcose)
The effect of producing drowsiness and ultimately unconsciousness. Chemical substances in
smoke, when inhaled, can enter the bloodstream and interfere with the oxygen supply to the
brain, causing narcosis and possibly death. [Friedman 1989]
NATIONAL FIRE PROTECTION ASSOCIATION
Standards for explosive materials and ammonium nitrate issued by the National Fire Protection
Association. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information)
NATIONAL FIRE PROTECTION ASSOCIATION (NFPA)
An international voluntary membership organization to promote improved fire protection and
prevention, establish safeguards against loss of life and property by fire, and writes and publishes
the American National Standards.HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
NATIONAL INTERAGENCY INCIDENT MANAGEMENT SYSTEM (NIIMS)
A standardized systems approach to incident management that consists of five major sub-
divisions collectively providing a total systems approach to all-risk incident
management. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
NATIONAL INSTITUTE FOR OCCUPATIONAL SAFETY AND HEALTH (NIOSH)
A Federal agency which, among other activities, tests and certifies respiratory protective devices,
air sampling detector tubes, and recommends occupational exposure limits for various
substances. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
NATIONAL RESPONSE CENTER (NRC)
A communications center operated by the United States Coast Guard headquarters located in
Washington, DC. They provide information on suggested technical emergency actions, and must
be notified by the spiller within 24 hours of any spill of a reportable quantity of a hazardous
substance. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
NATIONAL SAFETY COUNCIL (NSC)
A nonprofit organization chartered by Congress to provide a regular information service on the
causes of accidents and ways to prevent them. (Hydro Cut General Terminology & Resource
Information)
NATURAL GAS
Natural gas, natural mixture of flammable gases found issuing from the ground or obtained from
specially driven wells. Largely a mixture of Hydrocarbons, natural gas is usually 80 to 95%
Methane. The composition varies in different localities, and minor components may include
carbon dioxide, nitrogen, hydrogen, carbon monoxide, and helium. Often found with Petroleum,
natural gas also occurs apart from it in sand, sandstone, and limestone deposits. Natural gas
began to be used as an illuminant and a fuel on a large scale in the late 19th century, when
pipelines were built to provide it to large industrial cities. Liquified natural gas (LNG) is natural gas
that has been cooled and pressurized to liquify it for convenience in shipping and storage. (Hydro
Cut General Terminology & Resource Information)
NATURAL GAS
A mixture of low-molecular weight hydrocarbons obtained in petroleum bearing regions
throughout the world. Natural gas consists of approximately 85% methane, 10% ethane and the
balance propanes, butanes and nitrogen. since it is nearly odourless, an odorising agent is added
to most natural gas prior to final sale. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental
Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
NEBULIZE
To form a mist of fine droplets from a liquid. To atomise. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
NÉCESSITÉ DE L'INVESTIGATION
On ne peut mesurer la sécurité qu'en fonction de la probabilité qu'un événement indésirable
surviendra. Pour employer le langage des statistiques, cette probabilité constitue l'extrême valeur
de réalisation d'un événement; ce dernier dépend généralement de l'existence simultanée de
plusieurs conditions; assurer la sécurité consiste donc à prendre des mesures de nature à
empêcher leur action simultanée. Il est souvent malaisé, à partir des connaissances disponibles,
d'énoncer des prédictions relatives à la sécurité; il arrive souvent qu'on ne puisse l'évaluer
autrement que d'après la fréquence à laquelle se produisent ces événements. L'expérience
d'événements de ce genre se retrouve toujours dans le passé; aussi donne-t-elle inévitablement
lieu à certaines difficultés lorsqu'on la prend pour base de prédiction. Au cas, par exemple, où les
événements se produisent en moyenne tous les dix ans, il faut un laps de temps considérable,
peut-être 50 ans, pour en établir, aux fins d'analyse, un historique qui soit statistiquement
significatif. Au cours de cette période, d'autre part, les facteurs qui ont engendré les événements
du passé ont pu changer totalement, tandis que d'autres, nouveaux et n'entrant pas dans le cadre
des expériences passées faisant l'objet d'un historique, ont pu intervenir. L'expérience accumulée
peut donc présenter une valeur nulle ou insuffisante pour pouvoir servir de base à l'énoncé des
probabilités d'événements à venir. [...] Si l'on compare la sécurité en matière d'incendie avec la
sécurité en matière de charpente, et qu'on examine les vastes acquisitions de la recherche
passée, d'où est né un vaste ensemble de connaissances codifiées, ainsi que le corps d'expertsconseils hautement qualifiés travaillant régulièrement en très grand nombre dans tout le pays, on
se livre à une vaine recherche. On doit conclure que la situation relative aux incendies en est
encore à un stade de développement relativement élémentaire. La seule solution réellement
acceptable pour la prochaine décennie consistera à accepter des codes de construction affichant
une attitude fortement réglementée relativement aux dangers d'incendie. Si l'on désire remédier à
cette situation, on devra notablement intensifier la recherche sur les incendies et développer le
génie de la prévention des incendies de manière qu'il prenne forme de spécialité professionnelle.
C'est seulement lorsqu'on pourra utiliser en confiance le jugement de spécialistes compétents
pour assurer la sécurité en matière d'incendie au stade de la conception des édifices, que la
rigidité des réglementations des codes de construction pourra être
assouplie. (http://www.nrc.ca/irc/cbd/cbdsubj-f.html, mise à jour 98-7-8, Publié à l'origine en
novembre 1973, Institut de Recherche en Construction, CNRC, Ottawa: CBD-114-F La sécurité
dans les bâtiments, N.B. Hutcheon)
NEON
(Ne), gaseous element, discovered in 1898 by William Ramsay and M.W. Travers. A colorless,
odorless, and tasteless inert gas, it emits a bright-red glow when conducting electricity in a tube.
Neon is used in advertising signs, Lasers, Geiger counters, Particle Detectors, and high-intensity
beacons. Liquid neon is a cryogenic refrigerant. (Hydro Cut General Terminology & Resource
Information)
NEUTRALIZATION
The process by which acid or alkaline properties of a solution are altered by addition of certain
reagents to bring the hydrogen and hydroxide concentrations to equal value (pH 7 is
neutral). HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
NEWTON, SIR ISAAC
Sir Isaac Newton, 1642 - 1727, English mathematician and natural philosopher (physicist);
considered by many the greatest scientist of all time. He was Lucasian professor of mathematics
(1669û1701) at Cambridge University. Between 1664 and 1666 he discovered the law of
universal Gravitation, began to develop the Calculus, and discovered that white light is composed
of every color in the Spectrum. In his monumental Philosophiae naturalis principia mathematica
{Mathematical Principles of Natural Philosophy} (1687), he showed how his principle of universal
gravitation explained both the motions of heavenly bodies and the falling of bodies on earth. The
Principle covers Dynamics (including Newton's three laws of Motion), Fluid mechanics, the
motions of the planets and their satellites, the motions of the comets, and the phenomena of
tides. Newton's theory that Light is composed of particles ù elaborated in his Opticks (1704) ù
dominated optics until the 19th cent., when it was replaced by the wave theory of light; the two
theories were combined in the modern Quantum theory. Newton also built (1668) the first
reflecting telescopeE, anticipated the calculus of variations, and devoted much energy towards
alchemy, theology, and history. He was president of the Royal Society from 1703 until his death.
(Hydro Cut General Terminology & Resource Information)
N.F.P.A.
National Fire Protection Association - NFPA - Organisation internationale à participation
volontaire vouée à la promotion et à l'amélioration de la protection et de la prévention incendie et
à l'établissement de normes de sécurité visant à diminuer les pertes de vie et les dommages à la
propriété causés par les incendies. La NFPA est bien connue pour ses National Fire Codes, seize
volumes de normes, de pratiques recommandées et de manuels mis au point (et périodiquement
mis à jour) par ses divers comités. NFPA 704M est le code qui établit les dangers des substances
à l'aide de l'étiquette familière en forme de losange qui porte les numéros ou les symboles
appropriés (classification des dangers de la NFPA).
National Fire Protection Association (N.F.P.A.) - a U.S. based scientific and educational
organization that looks at the causes, prevention and control of fire; and develops and publishes
standards. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
NFPA 907M - 1983 MANUAL ON THE INVESTIGATION OF FIRES OF ELECTRICAL ORIGIN
1-1 Scope. To establish guidelines and techniques for use in investigating fires to determine
whether or not a fire is of electrical origin with a view TO IMPROVING THE CREDIBILITY OF
SUCH INVESTIGATIONS and developing information that can be useful in improving the
firesafety of electrical equipment.
1-2 Purpose. This manual is intended to establish guidelines [directives] and techniques for use in
investigating and reporting fires so that it can be determined if the fire was or may have been of
electrical origin. The fire officer at the scene is potentially the best source of accurate information
as to the location and origin of a fire. This manual is intended to provide the fire officer with
additional background so that an accurate determination can be made to establish whether the
ignition of the fire was a direct or indirect result of electricity. [...] The primary emphasis is on
buildings with 120/240 volt electrical systems which include most one- or two-family dwellings and
some small commercial establishments. [NFPA 907M-1983]
NFPA 921 - 1992 GUIDE FOR FIRE AND EXPLOSION INVESTIGATIONS
This is the first edition of NFPA 921, Guide for Fire and Explosion Investigations. It was
developed by the Committee on Fire Investigations to assist in IMPROVING THE FIRE
INVESTIGATION PROCESS and the quality of information on fires resulting from the
investigative process. The guide is intended for use by both public sector empolees who have
statutory responsibility for fire investigation and private sector persons conducting investigations
for insurance companies or civil litigation. Throughout the development of this document, it has
been the goal of the Committee to provide guidance that is BASED ON ACCEPTED SCIENTIFIC
PRINCIPLES OR SCIENTIFIC RESEARCH. [NFPA 921-1992]
NINE - ONE – ONE (9-1-1)
Enhanced 911, or E911, is an emergency phone system that provides the caller's address,
response district, and other important information. When the caller dials 911 to report an
emergency, this information automatically appears on the dispatcher's computer screen, along
with dispatch information for fire, police, EMS, or other emergency responder. This system is
invaluable, especially in those cases where the caller is in an agitated state and may be unable to
give information fully or clearly. Such a system, thereby, can have a dramatic effect on reducing
response time. [NFPA Handbook 1991]
NIOSH
National Institute for Occupational Safety and Health. Cet organisme qui relève du gouvernement
des Etats-Unis effectue des recherches et formule des normes d'hygiène et de sécurité au travail.
(Canutec)
NITROGEN (azote)
A gaseous element which makes up approximately 80% of the earth's atmosphere. Nitrogen is
relatively inert and does not support either combustion or life. Nitrogen is usually found in the
molecular N2 form. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire
Debris, IAAI Forensic Science Committee)
NIVEAU DU SOL
en ce qui concerne la détermination de la hauteur d'un bâtiment, niveau moyen du sol fini sur le
périmètre d'un bâtiment [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS,
CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
NOM CHIMIQUE
Le nom chimique est le nom scientifique approprié qui désigne un ingrédient du produit; par
exemple, le nom chimique de l'herbicide 2,4-D est l´acide dichloro-2,4 phénoxyacétique. On peut
utiliser le nom chimique pour obtenir des renseignements supplémentaires. (Canutec)
NOM DE MARQUE
Le nom de marque est le nom sous lequel un produit chimique se vend sur le marché. Certaines
substances chimiques pures se vendent sous un nom d'usage courant (par exemple solvant
Stoddard ou dégraissant) ou sous le nom de marque qu'on emploie pour le désigner à l'échelle
mondiale (par exemple Varsol). Certains noms de marques de produits sont identifiés par des
symboles comme (R) ou (TM). (Canutec)
NONCOMBUSTIBLE CONSTRUCTION means that type of construction in which a degree of fire
safety is attained by the use of noncombustible materials for structural members and other
building assemblies. (Ontario Fire Code 1996)
NON-CONFORMITÉ / non conformity
Non satisfaction aux exigences spécifiées.- NF X 50 - 120 (Mouvement québécois de la qualité,
http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
NON-FLAMMABLE GAS
Any material or mixture, in a cylinder or tank, other than poison or flammable gas, having an
absolute pressure in the container exceeding 40 psi at 70oF, or having an absolute pressure
exceeding 104 psi at 130oF. (49 CFR) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
NONFLAMING COMBUSTION
There is another mode of combustion not involving any flame. It is called smoldering, glowing, or
nonflaming combustion. The rate of burning during flaming combustion is many times as great as
during smoldering combustion. [Friedman 1989]
NON-QUALITÉ / non quality
Écart global entre la qualité visée et la qualité effectivement obtenue. NF X 50 - 120 (Mouvement
québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
NORME / standard
Document établi par consensus et approuvé par un organisme reconnu qui fournit, pour des
usages communs et répétés, des règles, des lignes directrices ou des caractéristiques pour des
activités ou leurs résultats, garantissant un niveau d'ordre optimal dans le contexte donné. - NF X
50 - 080 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
Notification time - the time to register the emergency with the communications centre of first
receipt from the point at which a person or device first takes steps to announce the incident. (©
1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
NUMÉRIQUE adj (électronique, traitement du signal) [digital ]
Qualificatif d'un signal ne pouvant prendre qu'un nombre limité de valeurs discontinues (deux si le
signal est binaire). contraire : analogique. voir : MIC. (Glossaire Formation et Technologies,
version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
NUMÉRO D'IDENTIFICATION DU PRODUIT (NIP)
(En anglais PIN, Product Identification Number. Parfois appelé numéro UN, United Nations, ou
NA, North America). Numéro à quatre chiffres affecté à une substance dangereuse (par exemple
l'essence, UN 1203) ou à une catégorie de substances (par exemple les liquides corrosifs, UN
1760) pour permettre de les identifier aux fins du transport. Les gens qui sont appelés à
combattre l'incendie ou à effectuer d'autres opérations d'urgence emploient ce numéro pour
identifier la substance en cas de situation dangereuse. Les numéros UN sont reconnus partout au
monde, alors que les numéros NA ne servent que pour le transport au Canada et aux Etats-Unis.
Les NIP sont utilisés au Canada seulement. Les numéros UN, NA et NIP servent tous aux mêmes
fins. (Canutec)
-OOBJECTIVE
The desired accomplishment for which a process is undertaken. (Benner 1997)
OBSERVATION
A noting and recording of an event or condition / state. (Benner 1997)O
Observed variable - a variable whose value is not changed however its effects are observed. (©
1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
OCCUPATIONAL SAFETY AND HEALTH ADMINISTRATION (OSHA)
Component of the United States Department of Labor; an agency with safety and health
regulatory and enforcement authorities for most United States industries, businesses and states.
OCCUPANCYmeans the use or intended use of a building or part thereof for the shelter or
support of persons, animals or property. (Ontario Fire Code 1996) -- usage du bâtiment
OCCUPANT LOAD means the number of persons for which a building or part thereof is
designed. (Ontario Fire Code 1996)
OCR (informatique) - sigle de " Optical Character Recognition "
Reconnaissance optique de caractères. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1,
groupe de travail ERFET, France)
OCTANE
(1) An alkane having the formula C8H18. Flash point 56F. Explosive limits of 1% to 3.2%.
(2) A measure of the resistance of a sample of gasoline to premature ignition (knocking). 100
octane fuel has the knocking resistance of 100% iso-octane (2, 2, 4-trimethyl pentane). Zero
octane fuel has the knocking resistance of a mixture of 89% iso-octane and 11% nheptane. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI
Forensic Science Committee)
OCTANE NUMBER
Octane number, a quality rating for Gasoline indicating the ability of the fuel to resist premature
detonation and to burn evenly when exposed to heat and pressure in an Internal Combustion
Engine. Premature detonation, indicated by knocking and pinging noises, wastes fuel and may
cause engine damage. The octane number can be increased by varying the relative amounts of
the different Hydrocarbons that make up the gasoline or by additives, e.g., tetraethyl lead. Federal
regulations in the U.S. require commercial gasoline pumps to indicate the octane number, which
is usually 87 or 89 for regular grade gasoline and 93 for premium grade. Since the early 1970s
most Automobiles have been built to operate on low octane gasoline with little or no lead
added. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information)
OCTET nm (informatique) [byte, octet ]
Unité d'information constituée d'un groupe de 8 bits contigus. voir : mot. (Glossaire Formation et
Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
ODOR THRESHOLD (seuil olfactif)
The lowest concentration in the atmosphere which can be detected by the human sense of smell.
Often a poor indicator of toxicity risk. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
OFFICER IN CHARGE(officier-commandant)
The officer is not only in charge of his assigned unit at fires but is the administrative officer in
charge of the men, equipment, and station of his command. Moreover, the establishment of a
company officer rank provides the opportunity for specifying higher qualifications and skills than
those normally expected of experienced apparatus operators. These skills include both greater
understanding of fire protection as well as administrative and management skills. Normally, officer
selection is made on the basis of competitive examination with due credit for experience. Unless a
chief arrives in time to direct the placement of companies at a fire, much of his value as a
fireground coordinator and supervisor is lost. The success with which the work of various fire
fighting units are COORDINATED in large measure determines the OVERALL EFFICIENCY
obtained with the men and equipment employed. [Kimball 1969]
OHM
Ohm, symbol O, unit of electrical Resistance, defined as the resistance to the flow of a steady
electric current offered by a column of mercury 14.4521 grams in mass with a length of 1.06300 m
and with an invariant cross-sectional area, when at a temperature of 0°C. (Hydro Cut General
Terminology & Resource Information)
OIL
Any of numerous mineral, vegetable, and synthetic substances and vegetable and animal fats
that are generally slippery, combustible, viscous, liquid or liquefiable at room
temperature. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
OLEFIN
An alkene. An organic compound similar to an alkane, but containing at least one double bond.
Olefins have the formula CnH2n. The simplest olefin is ethylene, C2H4. (Glossary Of Terms
Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
OLFACTORY
Pertaining to the sense of smell. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
OPERATIONS
That organizational level within the Incident Command System (ICS) immediately subordinate to
the Incident Commander. When established, this position is responsible for the direct
management of all incident tactical activities. (NIIMS) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
OPINION
A belief held confidently, but reached without positive proof. (Benner 1997)
OPTICS
Scientific study of light. Physical optics is concerned with the genesis, nature, and properties of
light; physiological optics with the part light plays in vision; and geometrical optics with the
geometry involved in the reflection and refraction of light as encountered in the study of the mirror
and the lens.(Hydro Cut General Terminology & Resource Information)
Optimum level of protection - the combination of fire fighting staff and apparatus that delivers a
suppression effort commensurate with the fire demand faced, yet representing the most efficient
use of resources in a safe and effective manner. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
ORDER means an order made under subsection 21(1) of the Fire Protection and Prevention
Act. (Ontario Fire Code 1996)
ORGANIC CHEMISTRY
Organic chemistry, branch of Chemistry dealing with Carbon compounds. Of all the elements,
carbon forms the greatest number of different compounds; moreover, compounds that contain
carbon are about 100 times more numerous than those that do not. Compounds containing only
carbon and Hydrogen are called Hydrocarbons. Organic compounds containing Nitrogen are of
great importance to Biochemistry. Organic chemistry is of importance to the petrochemical,
pharmaceutical, and textile industries; in textiles a prime concern is the synthesis of new organic
molecules and Polymers. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information)
ORGANIC CHEMISTRY
The study of the carbon atom and the compounds it forms, mainly with the 20 lightest elements,
especially hydrogen, oxygen and nitrogen. Some 3 million organic compounds have been
identified and named. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of
Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ORGANIC PEROXIDE
Strong oxidizers which are often chemically unstable, containing the -o-o structure. They react
readily with solvents or fuels resulting in an explosion or fire. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
ORIGINE et cause
Son activité [l'investigateur, l'enquêteur] consiste à localiser l'origine du sinistre et à en déterminer
la cause la plus probable. Il doit reconstituer le montage ou le mécanisme d'allumage de
l'incendie ou de l'explosion, situer le foyer initial, expliquer la propagation et le développement du
feu et recueillir les indices qui corroborent sa conclusion. Au cours de l'examen des lieux, il est
nécessaire de localiser de façon absolue, l'origine du sinistre. C'est suite à cette localisation que
la cause pourra être établie. Situer le foyer initial est essentiellement une activité de terrain qui
s'exerce lors de l'examen détaillé des éléments susceptibles d'avoir causé l'incendie ou
l'explosion. Egalement il est nécessaire, pour l'enquêteur, d'obtenir les versions détaillées et
écrites des différents occupants, témoins, voisins, intervenants et autres personnes impliquées
afin de connaître la chronologie de l'évènement. Cette démarche doit s'effectuer le plus tôt
possible afin de permettre à l'enquêteur de vérifier des faits et informations sur le site même du
sinistre et part la suite orienter ses actions. (L'enquête d'incendie, Carrefour Incendie,
http://pages.infinit.net/incendie/index.html, nov. 1998)
OSHA
Occupational Safety and Health Administration. An agency of the Department of Labour in the
United States, active in eliminating occupational hazards and promoting employee health and
safety. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information)
OSHA
Occupational Safety and Health Administration. Une division du gouvernement des Etats-Unis
chargée de l'établissement et de la mise en pratique des règlements relatifs à l'hygiène et à la
sécurité au travail. C'est cet organisme qui fixe les limites d'exposition légales, appelées
Permissible Exposure Limits (PEL) aux Etats-Unis. L'OSHA spécifie quels renseignements
doivent apparaître sur les étiquettes et les FTSS des produits classifiés comme dangereux
d'après les critères qu'elle a établis. (Canutec)
OSI
1- sigle de " Organisation de Standardisation Internationale ". Organisme de normalisation dans
le domaine de l'informatique et des réseaux de télécommunications.
2- (réseaux, télécommunications) sigle de " Open Systems Interconnect ".
voir: ISO. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
OUVERTURE NON PROTÉGÉE
en ce qui concerne une façade exposée, ouverture qui est constituée soit d'une porte, d'une
fenêtre ou d'une autre ouverture non munie d'une fermeture ayant le degré prescrit de protection
contre le feu, soit d'une partie d'un mur qui est compris dans la façade exposée et qui a une
résistance au feu inférieure à celle qui est prescrite pour cette façade [S-3, r.2, LOI SUR LA
SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
OVERHAUL
Teamwork necessary. Overhaul is closely related to fire extinguishment and salvage operations.
It is not a separate or individual FUNCTION to which certain men may be detailed as in salvage
operations. (Fire Chief's Handbook, 4e, 1978)
OVERHAUL (déblai - remaniement des débris)
Fire department procedure of inspecting premises after extinguishment to insure that the fire is
completely extinguished and will not rekindle later on, and rendering the fire-damaged premises
in a safe condition before returning control over to the owner and/or occupants. [Fire Cause
Determination, IFSTA 1986]
Overhaul
Commonly viewed as "cleaning up" after a fire, overhaul is the process of putting a structure in the
safest condition following a fire. Additionally, it is during the overhaul phase of an incident that
firefighters verify that the fire has not extended into unknown areas and that hidden "hot spots"
are extinguished. [email protected]
OWNER means any person, firm or corporation having control over any portion of the building or
property under consideration and includes the persons in the building or property. (Ontario Fire
Code 1996)
OXIDATION
Originally, oxidation meant a chemical reaction in which oxygen combines with another
substance. The usage of the word has been broadened to include any reaction in which electrons
are transferred. The substance which gains electrons is the oxidising agent. (Glossary Of Terms
Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
OXIDIZER
A chemical, other than a blasting agent or explosive, that initiates or promotes combustion in
other materials thereby causing fire either of itself or through the release of oxygen or other
gases. (49 CFR 173.151) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY
OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
OXIDIZING AGENT
A chemical substance that can react with hydrogen or with metals. Examples are oxygen, ozone,
nitrate salts, perchlorate salts, and halogens. [Friedman 1989]
OXIDIZING MATERIAL means a material, other than ordinary atmospheres, that by itself is not
necessarily combustible, but that may, generally by yielding oxygen, cause or contribute to the
combustion of another material. (Ontario Fire Code 1996)
OXYGEN
A gaseous element which makes up approximately 20% of the earths atmosphere. [...] Oxygen is
the most abundant element on earth. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental
Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
OXYGEN DEFICIENCY
A concentration of oxygen insufficient to support life. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
OXYGEN DEFICIENT ATMOSPHERE
An atmosphere which contains an oxygen content less than 19.5 % by volume at sea
level. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED
TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
OXYGÈNE
Du grec "oxus", acide et "gennân", engendrer. Appartient au groupe 16. L'oxygène est le
troisième plus important élément du Soleil. A l'état excité, c'est lui qui donne leurs couleurs aux
aurores boréales. C'est un gaz incolore, inodore et insipide. A l'état solide et liquide, il est d'un
bleu pâle. L'ozone ( O3 ) résulte de décharges électriques ou de rayons ultraviolets agissant sur
l'oxygène. Il forme dans la haute atmosphère une couche épaisse de 3 mm qui protège la surface
terrestre des rayons ultraviolets du Soleil. Paradoxalement, au niveau du sol, l'ozone est toxique !
Très réactif et capable de se combiner avec presque tous les éléments, l'oxygène est utilisé dans
presque toutes les combustions. L'oxygène sous forme d'eau, dont il constitue 90 % de la masse,
est essentiel à la vie. Presque toutes les espèces en ont aussi besoin pour leur respiration. Il est
présent dans pratiquement tous les composés organiques et constitue environ les deux tiers de la
masse du corps humain.(Ivan Noels, [email protected])
-P-
PABX nm (télécommunications) - sigle de " Private Automatic Branch Exchange "
voir : autocommutateur. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail
ERFET, France)
PAIRES TORSADÉES nf (réseaux) [twisted pair ]
Paire de fils téléphoniques entrelacés pour minimiser les diaphonies. (Glossaire Formation et
Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
PALLETS
A low portable platform constructed of wood, metal, plastic, or fiberboard, built to specified
dimensions, on which supplies are loaded, transported, or stored in units. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
PAQUET nm (réseaux) [packet ]
Ensemble d'informations de taille fixe ou variable véhiculé comme une entité minimale dans un
réseau. Le paquet comporte les informations à transmettre encadrées par des messages de
service (adresses de l'expéditeur, du destinataire, etc). (Glossaire Formation et Technologies,
version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
PARAFFIN
Paraffin, white, semitranslucent, odorless, tasteless, water insoluble, waxy solid. Though
relatively inert, it burns readily in air. A mixture of Hydrocarbons obtained from Petroleum during
refining, paraffin is used in candles and for coating paper. (Hydro Cut)
PARAFFINE (voir aussi Méthane et Hydrocarbures)
L'huile lourde [no.6] est un mélange de paraffines contenant 20 atomes de carbone ou plus par
molécule. Les huiles lubrifiantes, la vaseline et la paraffine solide sont des mélanges de
molécules plus grosses encore. [Pauling 1958]
PARTITIONmeans an interior wall 1 storey or part of a storey in height that is not loadbearing. (Ontario Fire Code 1996)
PASSAGE
chemin couvert pour piétons, servant à relier 2 bâtiments ou plus et dont la plus petite dimension
horizontale est inférieure à 30 pieds (9,14 m) [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES
ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
PASSAGE FERMÉ
passage dont 50% ou moins du périmètre est ouvert à l'air libre [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ
DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
PASSAGE OUVERT
passage dont plus de 50% du périmètre est ouvert à l'air libre [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ
DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
PEINTURE IGNIFUGE
peinture intumescente: Les peintures ignifuges modifient les propriétés de surface des matériaux
en leur permettant d'améliorer leur comportement au feu. Pour aller plus loin dans le domaine de
la protection contre l'incendie, il fallait obtenir pour la peinture des propriétés d'isolation
thermique. Or, l'épaisseur de 1 mm en peinture est d'une part un maximum techniquement
acceptable et d'autre part insuffisante pour assurer l'isolation thermique efficace. (...) Les
peintures intumescentes s'expansent sous l'action de la chaleur en formant une mousse
carbonisée isolante de plusieurs centimètres d'épaisseur. Cette meringue multicellulaire, agissant
par isolation thermique, limite l'extension d'un feu en empêchant l'inflammation des matériaux
combustibles tout en retardant la destruction de son support. (Source : Termium 1994)
PENETRATION
The movement of liquid molecules through a chemical protective clothing, suit, garment or
material. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
PENTANE
An alkane having the formula C5H12, flash point of -40F, and explosive limits of 1.4% to 8%.
Pentane is frequently used to extract flammable or combustible liquid residues from debris
samples. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris,
IAAI Forensic Science Committee)
PERIODIC TABLE
Periodic table, chart that reflects the periodic recurrence of chemical and physical properties of
the Elements when the elements are arranged in order of increasing Atomic Number. The
periodic table was devised by Dmitri Mendeleev and revised by Henry Moseley It is divided into
vertical columns, or groups, numbered from I to VIII, with a final column numbered 0. Each group
is divided into two categories, or families, one called the a series (the representative, or main
group, elements) the other the b series (the Transition Elements, or subgroup elements). All the
elements in a group have the same number of Valence electrons and have similar chemical
properties. The horizontal rows of the table are called periods. The elements of a particular period
have the same number of electron shells; the number of electrons in these shells, which equals
the element's atomic number, increases from left to right within each period. In each period the
lighter Metals appear on the left, the heavier metals in the center, and the nonmetals on the right.
Elements on the borderline between metals and nonmetals are called metalloids. Elements in
group Ia are called the Alkali Metals; in group IIa, the Alkaline-Earth Metals; in group VIIa, the
Halogens; and in group 0, the Inert Gases. (Hydro Cut General Terminology & Resource
Information)
PÉRIPHÉRIQUE nm (informatique)
Dispositif externe qui peut être connecté et contrôlé par un ordinateur (lecteurs de disques,
imprimantes, ...). (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET,
France)
PERMEATION
The movement of vapor or gas molecules through a chemical protective garment
material. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
PERMIS
Permission officielle écrite du Service d'inspection, sur une formule destinée à cette fin, autorisant
le début des travaux sur une installation électrique. (Code de l'électricité du Québec, 1987, p.38)
PERSONAL PROTECTIVE EQUIPMENT (PPE)
Equipment provided to shield or isolate a person from the chemical, physical, and thermal
hazards that may be encountered at a hazardous materials incident. Adequate personal
protective equipment should protect the respiratory system, skin, eyes, face, hands, feet, head,
body, and hearing. Personal protective equipment includes: personal protective clothing, self
contained positive pressure breathing apparatus, and air purifying respirators. (NFPA 472, 13) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED
TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
PETROLEUM
Petroleum or crude oil, oily, flammable liquid that occurs naturally in deposits, usually beneath the
surface of the earth. The exact composition varies according to locality, but it is chiefly a mixture
of Hydrocarbons. Petroleum is a fossil fuel thought to have been formed over millions of years
from incompletely decayed plant and animal remains buried under thick layers of rock. Drilling for
oil is a complex, often risky process. Scientific methods are used to locate promising sites for
wells, some of which must be dug several miles deep to reach the deposit. Many wells are now
drilled offshore from platforms standing on the ocean bed. Usually the crude oil in a new well
comes to the surface under its own pressure. Later it has to be pumped or forced up with injected
water, gas, or air. Pipelines or tankers transport it to refineries, where it is separated into fractions,
i.e., the portions of the crude oil that vaporize between certain defined limits of temperature.
Fractions are obtained by a refining process called fractional Distillation in which crude oil is
heated and sent into a tower. The vapors of the different fractions condense on collectors at
different heights in the tower. The separated fractions are then drawn from the collectors and
further processed into various petroleum products. Generally the fractions are vaporized in the
following order: dissolved Natural Gas, Gasoline, naphtha, Kerosene, diesel fuel, heating oils, and
finally tars. Lighter fractions, especially gasoline, are in greatest demand and their yield can be
increased by breaking down heavier hydrocarbons in a process called cracking. The leading
producers of petroleum in 1980 were the USSR, Saudi Arabia, the U.S., Iraq, Venezuela, China,
Nigeria, Mexico, Libya, and the United Arab Emirates. The largest reserves are in the Middle
East. Modern industrial civilization depends heavily on petroleum for motive power, fuel,
lubrication, and a variety of synthetic products, e.g., dyes, drugs, and Plastics. The widespread
burning of petroleum as fuel has resulted in serious problems of air pollution, and oil spilled from
tankers and offshore wells has damaged oceans and coastlines. Unless the need for oil is
reduced, conservationists may be unable to prevent the development of oil deposits whose
exploitation poses threats to the environment. (Hydro Cut General Terminology &Resource
Information)
PETROLEUM DISTILLATES
By-products of the refining of crude oil. Low boiling or light petroleum distillates (LPD) are highly
volatile mixtures of hydrocarbons. These mixtures are sometimes called ligroin, petroleum ether,
or naphtha. LPDs are used as cigarette lighter fluid, as copier fluid, and as solvents. Medium
boiling petroleum distillates (MPD) are sometimes known as mineral spirits, and are used as
charcoal starters, as paint thinners, as solvents for insecticides and other products, and as lamp
oils. High Boiling or Heavy petroleum distillates (HPD) are combustible liquids such as kerosene
and diesel fuel.
pH
A number used to represent the acidity or alkalinity of an aqueous solution. pH 7 is neutral. Acids
have a pH below 7, the lower the pH, the more acidic the solution. Bases have a pH above 7. The
higher the pH, the more basic of alkaline the solution. (Glossary Of Terms Related To Chemical
And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
pH
pH, range of numbers expressing the relative acidity or alkalinity of a solution. The pH value is the
negative common Logarithm of the hydrogen-ion Concentration in a solution expressed in Moles
per liter of solution. A neutral solution is one that is neither acidic nor alkaline such as pure water
has a concentration of 10-7 moles per liter; its pH is thus 7. Acidic solutions have pH values
ranging with decreasing acidity from 0 to nearly 7; alkaline or basic solutions have a pH ranging
with increasing alkalinity from just beyond 7 to 14. Also Acids and Bases. (Hydro Cut General
Terminology &Resource Information)
pH
A numerical designation of the negative logarithm of hydrogen ion concentration. A pH of 7.0 is
neutrality; higher values indicate alkalinity and lower values indicate acidity. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
PHASE
A physical state of matter : gas, liquid, or solid. [Friedman 1989]
PHASES
Un système matériel (c'est-à-dire une portion limitée du monde physique) peut être considéré
comme un ensemble de phases. Une phase est une partie homogène d'un système, séparée des
autres par une délimitation physique. Par exemple, si un ballon est partiellement rempli d'eau
dans laquelle flotte de la glace, le système contenu dans le ballon comprend trois phases: la
phase solide GLACE, la phase liquide EAU, et la phase gazeuse AIR. [Pauling 1958]
PHOSPHORE
Du grec "phôs", lumière et "phoros", qui porte. C'est aussi le nom donné à la planète Vénus,
lorsqu'elle est vue comme étoile du matin. Appartient au groupe 15. Le phosphore existe sous
plusieurs formes allotropiques (jaune, rouge et violet). Exposé à l'air, il s'enflamme
spontanément. Il est employé dans la manufacture des allumettes, des feux d'artifice, des
bombes incendiaires, des balles traçantes, des engrais et de nombreux autres produits. Le
phosphore est un composant clef de l'ADN, de l'ARN, des os et des dents. Son emploi dans les
engrais et les détergents contribue à la pollutions des cours d'eau. (Ivan Noels,
[email protected])
PHOTOIONISATION DETECTOR (PID)
A type of detector used in chromatography which employs ultraviolet radiation rather than a flame
to ionise compounds as they pass through a detector. Photoionisation detectors are particularly
sensitive to aromatic compounds. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental
Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
PHOTON
Photon or light quantum, the particle composing light and other forms of electromagnetic
radiation. The Photovoltaic Effect and blackbody radiation can be explained only by assuming
that light energy is transferred in discrete packets, or photons, and that the energy of each photon
is equal to the frequency of the light multiplied by Planck's constant h. Light imparts energy to a
charged particle when one of its photons collides with the particle. (Hydro Cut General
Terminology &Resource Information)
PHOTOVOLTAIC CELL
A Semiconductor diode that converts light to electric current. When light strikes the exposed
active surface, it knocks electrons loose from their sites in the crystal. Some of the electrons have
sufficient energy to cross the ÿE_ Diode junction and pass through an external circuit. Because
the current and voltage obtained from these devices are small, they are usually connected in
large series-parallel arrays. Practical photovoltaic cells are currently about 10 to 15% efficient.
Although cells constructed from indium phosphide and gallium arsenide are, in principle, more
efficient, silicon-based cells are generally less costly. Solar photovoltaic cells have long been
used to provide electric power for spacecraft. Recent developments, still in progress, have driven
costs down to the point where they are being used more and more as terrestrial energy
sources. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
PIEU
élément de fondation enfoncé dans le sol et qui transmet les charges aux couches inférieures [S3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q.,
c. S-3)]
PIEU COMPOSITE
pieu constitué de tronçons superposés en matériaux différents [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ
DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
PILIER OU CAISSON
fût en béton ou en un autre matériau réalisé par excavation et remblayage, et destiné à supporter
une charge [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU
BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
PIXEL nm (informatique, télévision) - abréviation de " picture element "
Plus petit élément d'affichage écran. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe
de travail ERFET, France)
PLANCHER (de l'importance du)
Il est essentiel de se rappeler qu'il faut nettoyer soigneusement le plancher du foyer d'incendie,
examiner tous les articles et les mettre de côté. Après quoi, il faut balayer le plancher ou nettoyer
le tapis aussi complètement que possible pour examiner la façon dont s'est faite la carbonisation.
[Stickney 1960]
PLANNING OPERATIONS (planification opérationnelle)
Fire departments are expected to plan operations to deliver the needed fire flows promptly and
efficiently under circumstances which can be foreseen. [Kimball 1969]
PLASTIC
A synthetic solid consisting primarily of a polymer or blend of polymers of high molecular weight.
Generally, the plastic will also contain other materials, such as plasticizers (for flexibility), fillers (to
modify mechanical properties or reduce costs), coloring agents, additives to impart resistance to
fungi or ultraviolet light, fire retardants, and so on. [Friedman 1989]
PLASTIC
Plastic, any synthetic organic material that can be molded under heat and pressure into a shape
that is retained after the heat and pressures are removed. There are two basic types of plastic:
thermosetting, which cannot be resoftened after being subjected to heat and pressures; and
thermoplastic, which can be repeatedly softened and reshaped by heat and pressure. Plastics are
made up chiefly of a binder consisting of long chainlike molecules called Polymers. Binders can
be natural materials, e.g., Cellulose, or (more commonly) synthetic Resins, e.g., Bakelite. The
permanence of thermosetting plastics is due to the heat- and pressure-induced cross-linking
reactions the polymers undergo. Thermoplastics can be reshaped because their linear or
branched polymers can slide past one another when heat and pressure are applied. Adding
plasticizers and fillers to the binder improves a wide range of properties, e.g., hardness, elasticity,
and resistance to heat, cold, or acid. Adding Pigments imparts color. Plastic products are
commonly made from plastic powders. In compression molding, heat and pressure are applied
directly to the powder in the mold cavity. Alternatively, the powder can be plasticized by outside
heating and then poured into molds to harden (transfer molding); be dissolved in a heating
chamber and then forced by a plunger into cold molds to set (injection molding); or be extruded
through a die in continuous form to be cut into lengths or coiled (extrusion molding). The first
important plastic, celluloid, has been largely replaced by a wide variety of plastics known by such
trade names as Plexiglas, Lucite, Polaroid, and cellophane. New uses continue to be found and
include contact lenses, machine gears, and artificial body parts. The widespread use of plastics
has led to environmental problems. Because plastic products do not decay, large amounts
accumulate as waste. Disposal is difficult because they melt when burned, clogging incinerators
and often emitting harmful fumes, e.g., the hydrogen chloride gas given off by Polyvinyl Chloride.
(Hydro Cut General Terminology & Resource Information)
PLOMB (et eau potable)
Le plomb se recouvre à l'air d'une mince pellicule d'oxyde qui se transforme en carbonate
basique. L'eau dure forme une couche analogue sur le plomb, ce qui empêche sa contamination
par les composés solubles du plomb. L'eau douce dissout des quantités appréciables de plomb
qui la rendent toxique et pour cette raison il y a lieu de proscrire les tuyaux de plomb pour
l'alimentation en eau potable. [Pauling 1958]
PLOMB
Du latin "plumbum", plomb. Appartient au groupe 14. Connu depuis les temps les plus anciens,
c'est un métal mou, très malléable, ductile et relativement mauvais conducteur de l'électricité.
Très résistant à la corrosion, il a été longtemps employé pour la manufacture des conduites d'eau
et comme additif à l'essence et aux peintures avant qu'on se rende compte de sa toxicité à long
terme. Il est aussi utilisé dans les soudures, la manufacture des verres de cristal et en radiologie
grâce à sa grande capacité d'aborption des rayons X. Les isotopes du plomb sont les produits
finaux de chaque élément radioactif naturel. Les alchimiste croyaient que le plomb était le plus
ancien métal. Ils l'avaient associé à la planète Saturne et ils ont dépensé beaucoup d'énergie en
essayant de le transmuter en or, ce que l'on a réussi dernièrement dans des réacteurs nucléaires.
Le plomb est toxique par ingestion et par inhalation. C'est un poison qui s'accumule dans
l'organisme et provoque le saturnisme, maladie affectant le système nerveux. (Ivan Noels,
[email protected])
PLUME (prononcer ploume en anglais) (panache de fumée)
The column of hot gases, flames, and smoke rising above a fire. Also called CONVECTION
column, thermal updraft, or thermal column. [NFPA 921 - 1992]
PLUME
A vapor, liquid, dust or gaseous cloud formation which has shape and buoyancy. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
PMCC
Pensky-Martens Closed Cup. Méthode spécifique servant à déterminer les points d'éclair.
POIDS
pesanteur : Force dirigée selon la verticale, résultante de la gravité (attraction) et de la force
centrifuge. Appliquée à un corps, elle constitue son poids. (Source : Termium 1994)
POIDS MOLÉCULAIRE
Le poids moléculaire d'une substance chimique est exprimé par un nombre qui indique combien
une molécule (ou unité) de cette substance pèse par rapport à l'hydrogène, qui est l'élément le
plus léger et dont le poids est égal à 1. On se sert du poids moléculaire à diverses fins
techniques, dont le calcul des conversions de ppm (parties par million) en mg/m3 (milligrammes
par mètre cube) de la substance dans l'air. (Canutec)
POIDS SPÉCIFIQUE
Le poids spécifique est le rapport entre la densité d'une substance et la densité de l'eau. La
densité de l'eau est environ 1 gramme par centimètre cube (g/cc). Les substances qui sont plus
légères que l'eau flottent. La plupart des substances, ayant un poids spécifique supérieur à 1,0,
se déposent dans l'eau. Il est important de connaître le poids spécifique d'une substance pour
prévoir les méthodes de nettoyage et de lutte contre les incendies. Par exemple, un liquide
inflammable léger, notamment l'essence, peut se répandre et brûler à la surface de
l'eau. (Canutec)
POINT À POINT (télécommunications)[point to point ]
Désigne une liaison ne connectant que deux équipements. (Glossaire Formation et Technologies,
version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
POINT BAS
Sachant que le feu se propage partout où il lui est possible, on doit, en règle générale, rechercher
le point le plus bas où la carbonisation est la plus profonde, comme foyer de l'incendie, tout en
n'oubliant pas les nombreuses exceptions [ in Kirk 1969] à cette règle. [Stickney 1960]
POINT D'ÉBULLITION
Le point d'ébullition est la température à laquelle unproduit passe de l'état liquide à l'état gazeux.
En dessous du point d'ébullition, le liquide peuts'évaporer et former de la vapeur. En approchant
du point d'ébullition, l'évaporation est rapide et la concentration de vapeur dans l'air peut être
extrêmement élevée. Les vapeurs présentes dans l'air peuvent constituer un danger d'incendie,
d'explosion ou d'atteinte à la santé. Dans le cas des mélanges, on exprime le point d'ébullition
sous forme d'une gamme de températures; en effet, les divers ingrédients peuvent bouillir à
différentes températures. Dans le cas des substances qui se décomposent sans bouillir, on
donne la température de décomposition suivie de l'indication "déc.". Certains produits de
décomposition peuvent être dangereux. (Voir aussi Produits de décomposition thermique.)
(Canutec)
POINT D'ÉCLAIR
On appelle point d'éclair la température la plus basse à laquelle un liquide ou un solide dégage
assez de vapeurs pour que se produise à sa surface un mélange air-vapeur inflammable. Plus le
point d'éclair est bas, plus le risque d'incendie est élevé. Le point d'éclair est une valeur
approximative et ne devrait pas servir à déterminer strictement si la situation est dangereuse ou
non. Diverses méthodes servant à déterminer le point d'éclair donnent des résultats différents.
Deux de ces méthodes sont communément connues sous le nom de CO (coupelle ouverte) et CF
(coupelle fermée). (Canutec)
POINT DE FUSION
Le point de fusion est la température à laquelle un solide devient liquide. Le point de congélation
est la température à laquelle un liquide devient solide. L'une ou l'autre de ces valeurs est
ordinairement donnée sur les FTSS. Il est important de connaître le point de fusion et le point de
congélation d'une substance, car ces changements d'état physique peuvent faire éclater un
contenant ou influer sur les propriétés dangereuses du produit. (Canutec)
POINT OF ORIGIN
The exact physical location where a heat source and a fuel come in contact of each other and a
fire begins. [NFPA 921 - 1992]
POLARITY
The measure of an electrical charge on a molecule. Most flammable or combustible liquids are
nonpolar. Many water soluble compounds, including alcohols and acetone, are polar. (Glossary
Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
POLITIQUE QUALITÉ / quality policy
Les orientations et les objectifs généraux d'une entreprise en ce qui concerne la qualité, tels qu'ils
sont exprimés formellement par la direction générale. - NF X 50 - 120 (Mouvement québécois de
la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
POLYMER
A large molecule consisting of repeating units of a monomer. Polymers may be natural, such as
cellulose or synthetic such as most plastics. (Glossary Of Terms Related To Chemical And
Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
POLYMER
A chemical compound with high molecular weight consisting of a number of structural units linked
together by covalent bonds. The simple molecules that may become structural units are
themselves called monomers. A structural unit is a group having two or more bonding sites. In a
linear polymer, the monomers are connected in a chain arrangement and thus need only have
two bonding sites. When the monomers have three bonding sites, a nonlinear, or branched,
polymer results. Naturally occurring polymers include cellulose, proteins, natural rubber, and silk;
those synthesized in the laboratory have led to such commercially important products as Plastics,
synthetic fibers, and synthetic rubber. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
POLYMÈRE
Une substance naturelle ou artificielle dans laquelle des unités appelées monomères sont liées
en une longue chaîne. Le mot polymère veut dire ayant plusieurs parties. Des exemples de
polymères sont l'amidon (molécules multiples de sucre), le polyéthylène (molécules multiples
d'éthylène) et le polystyrène (molécules multiples de styrène). La plupart des polymères artificiels
sont peu toxiques, peu inflammables et peu réactifs. Par conséquent, les polymères tendent à
être moins dangereux que les substances simples (monomères) dont ils sont formés.(Canutec)
POLYMÉRISATION / POLYMÉRISER
Procédé selon lequel un polymère se forme par l'enchaînement de plusieurs monomères d'une
substance chimique. On a recours à la polymérisation pour produire des substances
extrêmement utiles. Cependant, la polymérisation peut être très dangereuse si elle n'est pas
contrôlée, car il arrive que ce procédé dégage beaucoup de chaleur ou occasionne une réaction
violente ou explosive. Certaines substances se polymérisent spontanément et de façon
inattendue; d'autres peuvent se polymériser au contact de l'eau, de l'air ou d'un produit chimique
courant. On ajoute normalement des agents inhibiteurs à ces produits pour éliminer ou réduire le
risque de polymérisation spontanée. La plupart des FTSS ont une section appelée Polymérisation
dangereuse où l'on indique si une telle possibilité existe. (Canutec)
POLYMERIZATION
A chemical reaction, usually carried out with a catalyst, heat, or light, and often under high
pressure, which generates high temperature and when uncontrolled may be violent.
HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED
TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
POLYPROPYLENE
Lightweight Plastic, a Polymer or propylene. It is less dense than water and resists moisture, oils,
and solvents. It is used to make packaging material, textiles, luggage, ropes that float, and,
because of its high melting point (250°F/121°C), objects that must be sterilized. (Hydro Cut
General Terminology &Resource Information)
POLYVINYL CHLORIDE
(PVC), thermoplastic that is a Polymer of vinyl chloride. By adding plasticizers, hard PVC resins
can be made into a flexible, elastic Plastic, used as an electrical insulator and as a coating for
paper and cloth in making fabric for upholstery and raincoats. (Hydro Cut General Terminology
&Resource Information)
POLYURETHANES
Large group of Plastics that occur in a wide variety of forms. As a flexible foam, it is used for
cushions and carpet backings. As a rigid foam, it can be molded into furniture or used as
insulation. Some polyurethanes are highly elastic, e.g., Lycra, a fiber used in stretch clothing;
others form hard protective coatings. (Hydro Cut General Terminology & Resource Information)
PORTÉE D'UNE INVESTIGATION COMPLÈTE
Une investigation approfondie nécessite plus d'heures-homme qu'on ne le pense généralement.
Si l'on peut éteindre un incendie important en l'espace de quelques heures, l'investigation qui
suivra peut demander plusieurs centaines d'heures homme. Cela consiste à examiner les lieux
pour déterminer le point d'origine de l'incendie, à reconstituer et à analyser les matériaux qui se
trouvent sur les lieux du sinistre (verre, bois, tapis, plastiques, substances chimiques, etc.); on
examinera également les installations électriques et mécaniques comme le filage électrique, les
appareils ménagers, les horloges et le système de réglage de la température; on rencontrera et
on interrogera [interview] la personnne qui a donné l'alarme, les occupants, le ou les
propriétaires, les experts en sinistres et de nombreux autres témoins éventuels. On prendra en
outre des photographies, on fera des croquis [des plans], on rassemblera des preuves, sans
compter la rédaction d'un rapport [compte-rendu] et les comparutions en Cour. [Stickney 1960]
PORTEUR
se dit d'un élément de construction qui supporte des charges verticales autres que son propre
poids [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT,
(L.R.Q., c. S-3)]
PORTEUSE nf (électronique, télécommunications) [carrier ]
Signal continu, de fréquence déterminée, destiné à être modulé pour la transmission
d'informations sur des faisceaux hertziens ou des câbles. (Glossaire Formation et Technologies,
version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
POST EMERGENCY RESPONSE
That portion of an emergency response performed after the immediate threat of a release has
been stabilized or eliminated and cleanup of the site has begun. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
POST INCIDENT ANALYSIS
The termination phase of an incident that includes completion of the required forms and
documentation for conducting a critique. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
POTASSIUM
De l'anglais "potash", potasse. Son symbole "K" vient du latin "kalium", issu lui-même de l'arabe
"qali" et signifiant alcalin. Appartient au groupe 1. Un des plus légers, réactifs et électropositifs de
tous les métaux, il ne se trouve jamais à l'état libre même s'il est le septième élément en
abondance dans la croûte terrestre. C'est un métal mou, argenté, aisément coupé au couteau et
s'oxydant très rapidement à l'air. On le conserve dans des huiles minérales. Il prend feu
spontanément au contact de l'eau avec laquelle il réagit de façon explosive. Lui et ses composés
donnent aux flammes une couleur lilas. Il est utilisé dans les engrais et dans les régimes faibles
en sodium. Eléments essentiels à la croissance des plantes, ses sels, en petites quantités, le
+
sont aussi pour la vie animale. Le cation K est le cation le plus important dans les fluides
intracellulaires et il est essentiel aux fonctions nerveuse et cardiaque. (Ivan Noels,
[email protected])
POTENTIAL / ELECTRIC
Potential, electric, work per unit electric charge expended in moving a charged body from a
reference point to any given point in an electric field. The potential at the reference point is
considered to be zero, while the reference point itself is usually chosen to be at infinity. The
change in potential associated with moving a charged body is independent of the actual path
taken and depends only on the initial and final points. Potential is measured in Volts and is
sometimes called voltage. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
POTENTIEL CALORIFIQUE
valeur en BTU/pied carré de la charge combustible d'un local ou d'une étendue de plancher
obtenue en faisant le produit de:
a) la charge combustible x une chaleur spécifique de chacune des matières combustibles; ou
b) la charge combustible x une valeur moyenne reconnue [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ
DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
POTS (télécommunications) - sigle de " Plain Old Telephone Service "
voir : RTC. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
POUVOIR DU DIRECTEUR DU SMI ET POUVOIR DE POLICE
Le directeur du bureau de prévention-incendie peut exercer son pouvoir en termes de droit
d'entrée pour inspection et enquête sur les incendies; il peut réclamer et obtenir tout document,
ou poursuivre toute personne susceptible de lui fournir des indications sur la cause des
incendies. ... Des pouvoirs aussi étendus ne peuvent être exercés lors d'enquêtes criminelles;
comme l'incendie provoqué est de nature criminelle, ces pouvoirs ne peuvent servir pour
l'investigation dès le moment que l'incendie est déclaré criminel. Ces droits [ou pouvoirs] ont
aussi tendance à perdre de leur force lorsqu'un service de police reconnu mène une enquête sur
un incendie d'origine indéterminée ou suspecte. [Stickney 1960]
POWER
Power, in physics, the time rate of doing Work or of producing or expending Energy. The unit of
power in the Metric System is the watt, which equals 1 joule per second. It is also the amount of
power that is delivered to a component of an electric circuit when a current of 1 ampere flows
through the component and a voltage of 1 volt exists across it. The English Unit Of Measurement
is the horsepower, which equals 550 foot-pounds per second or 746 watts. (Hydro Cut General
Terminology &Resource Information)
POWER
Power, electric, is the rate per unit of time at which Energy is consumed or produced. Electric
Power is usually measured in watts or kilowatts (1,000 watts). The energy supplied by a current to
an appliance enables it to work or to provide other forms of energy such as light or heat. The
amount of electric energy an appliance uses is found by multiplying its power rating by the
operating time. Units of electric energy are usually watt-seconds (joules), watt-hours, or kilowatthours (the choice for commercial applications). Generally, practical electric-power-generating
systems convert mechanical energy into electric energy (Generator). Whereas some electric
plants obtain mechanical energy from moving water (water power or hydroelectric power), the
vast majority derive it from heat engines in which the working substance is steam generated by
heat from combustion of fossil fuels or nuclear reactions (Nuclear Energy; Nuclear Reactor).
Although the conversion of mechanical energy to electric energy may approach 100% efficiency,
the conversion of heat to mechanical energy is about 41% efficient for a fossil-fuel plant and
about 30% for a nuclear plant. It is thought that a magnetohydrodynamic generator, which
operates by using directly the kinetic energy of gases produced by combustion, would have an
efficiency of about 50%. Although Fuel Cells develop electricity by direct conversion of hydrogen,
hydrocarbons, alcohol, or other fuels, with an efficiency of 50 to 60%, their high cost has restricted
their use to space programs. Solar Energy has been recognized as a feasible power source. It
can be exploited through wind turbines, Photovoltaic Cells, and heat engines, as well as through
both conventional and low-head hydroelectric power plants. Research and development is
bringing down the costs. An important problem in utilizing solar energy is related to the variable
nature of sunlight and wind. To minimize energy losses from heating of conductors and to
economize on the material needed for conductors, electricity is usually transmitted at the highest
voltages possible. As modern Transformers are virtually loss free, the necessary steps upward or
downward in voltage are easily accomplished. Electric utilities producing power are tied together
by transmission lines into large systems called power grids. They are thus able to exchange
power, so that a utility with low power demand can assist another with a high demand. (Hydro Cut
General Terminology & Resource Information)
POWER UNITS(voir aussi Energy Units)
Power is the rate at which energy is expended. In SI units, power is expressed in watts. One watt
is 1 joule per second. The kilowatt (1000 watts) and the magawatt (1 000 000 watts) are used
frequently. In English units, horsepower is still used. One horsepower equals 745 watts. Also note
that 1 BTU per second is equal to 1.055 kilowatt. (Roughly, 1 kilowatt = 1 BTU per second).
[Friedman 1989]
Pre-burn time - the time from commencement of unwanted burning to the point when notification
of fire is initiated. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
Predators
Animals that prey on other animals as a food source.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
PRE-INCIDENT PLANNING(planification d'interventions)
Pre-incident planning (for industrial emergencies) can provide valuable information about a
structure that can improve the ability of the emergency services personnel to respond effectively
to a fire in that structure. Pre-incident planning addresses vital fire protection concerns, such as
structure layout, including access systems; contents; construction details; and types and locations
of built-in fire protection systems. It includes all data that can have an impact on decisions or
actions taken during an emergency. Pre-incident planning is a joint venture between the
emergency services and the property management team. [NFPA Handbook 1991]
PRE-INCIDENT PLANNING
The process associated with preparing for the response to a hazard by developing plans,
identifying resources, conducting exercises, and other techniques to improve an agency's or
organization's response capabilities.HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
PREDICTIVE METHODS : the incompatibility between predictive safety analysis methods and the
methods needed to investigate and analyze accidents. Fault tree methods dominate the former
activity, while other events sequencing methods dominate the latter. Fault tree has been found to
have narrow applications in accident investigations, and advanced investigative analysis methods
have not been widely tried for predictive analyses. (SYSTEM SAFETY'S OPEN LOOPS, Hazard
Prevention, 19:6, November/December 1983, Ludwig Benner, Jr. and Robert Sweginnis)
PRÉMÉDITATION
Prouver qu'il y a eu préméditation, dans les incendies criminels, est généralement une
responsabilité qui incombe entièrement au service d'incendie, et ce dernier ne peur s'acquitter de
cette responsabilité sans mener une enquête / investigation approfondie sur els causes de tous
les incendies. [Stickney 1960]
PREMIER ÉTAGE
étage dont le plancher est le plus rapproché du niveau du sol et dont le plafond est à plus de 6
pieds (1,8 m) au-dessus du niveau du sol [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES
ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
Preparation time - the time for a company to assemble for an emergency response after the alarm
dispatch and before commencing travel time. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
Prescribed Natural Fire
A commonly-used term to indicate a policy of allowing naturally ignited fires, such as those started
by lightning, to burn under specific management prescriptions without initial fire suppression.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
PRESCRIT
prescrit au présent code [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS,
CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
PRÉSOMPTION D'INTENTION FRAUDULEUSE
Une seule autre modification d'importance a été effectuée par le législateur avant 1955. Il s'agit
d'une disposition adoptée en 1938, suivant laquelle était instituée une présomption d'intention
frauduleuse s'appliquant lorsque la personne accusée d'avoir provoqué un incendie (autrement
que par la négligence) avait souscrit une assurance-incendie à l'égard de la propriété détruite ou
était la bénéficiaire désignée d'une telle police. Cette disposition a été insérée dans le Code
&laqnopar suite des fortes pressions exercées par les directeurs de services d'incendie : dans
certains procès, en effet, le juge avait déclaré aux jurés que l'intention frauduleuse devait être
écartée lorsque l'assuré n'avait pas demandé le paiement des sommes prévues dans la police».
Par exemple, si le propriétaire d'une maison grevée d'hypothèque y met le feu dans le dessein de
frauder une compagnie d'assurances, aucune présomption ne pèsera contre lui puisque le
créancier hypothécaire a un intérêt partiel dans le bien. [Réforme du droit canadien, doc.36, 1984]
PRESSION DE VAPEUR
La pression de vapeur désigne la tendance d'une substance à former une vapeur. Plus la
pression de vapeur est élevée, plus la concentration de vapeur peut être élevée. En général, une
substance ayant une pression de vapeur élevée est plus susceptible de présenter un danger pour
les voies respiratoires ou de causer des incendies qu'une substance ayant une pression de
vapeur peu élevée. (Canutec)
PRESSURE
The pressure is employed to move the water through the hose from the supply source (hydrant or
suction location) to the nozzle and also to provide the correct pressure for the type of stream
desired. [Kimball 1969]
PRESSURE
When a force acts perpendicular to a surface, the pressure (p) exerted is the ratio between the
magnitude of the force and the area of the surface: pressure = force / area pressures are properly
expressed in pascals, Pa (=N/m2), and may well be expressed using other terms such as bars,
atmospheres or dynes. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
PRESSURE VESSELmeans a storage tank that is designed to operate at pressures greater than
100 kPa (gauge). (Ontario Fire Code 1996)
PREVENTION (fire)
The term fire prevention is used here, as it is generally used, to include both education and
equipment meant to reduce the occurence of fire and to mitigate the effects of that fire prior to the
arrival of the mobile suppression force. [NFPA Handbook 1991]
PREVENTION PLAN
(See Risk Management Prevention Program.) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
PRÉVENTIONNISTE
Règlement sur la formation des membres des services d'incendie
Loi sur la prévention des incendies (LRQ, c. P-23, a.4, par.a.1; 1997, c.48, a.1, par.2°)
4. Toute personne qui devient préventionniste permanent, c'est-à-dire engagée à temps plein par
une municipalité locale pour accomplir principalement des tâches relatives à l'application d'un
processus d'analyse de risques d'incendie et de vérification de la conformité de plans et de devis
avec la règlementation sur la sécurité incendie à compter de la date d'entrée en vigueur du
présent règlement, doit être titulaire du certificat de premier cycle Technologie en prévention des
incendiesou de l'attestation d'études collégiales Prévention en sécurité incendie ou du diplôme
d'études professionnelles Prévention des incendies décerné par le Ministère de l'Éducation ou
son équivalent reconnu par le ministre de l'Éducation.
5. Pour les fins du présent règlement, on entend par municipalité locale, en plus de son sens
ordinaire, toute municipalité régionale de comté, régie intermunicipale ou communauté urbaine
qui établit ou maintient un service d'incendie.
PROCÉDURE / procedure
Ensemble de règles qui doivent être observées pour obtenir un résultat déterminé. (Mouvement
québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
PROCESS PLANT means an industrial occupancy where materials, including flammable liquids,
combustible liquids or Class 2 gases, are produced or used in a process. (Ontario Fire Code
1996)
PROCESSUS / process
Ensemble de moyens et d'activités liés qui transforment des éléments entrants en éléments
sortants. Ces moyens peuvent inclure le personnel, les installations, les équipements, les
techniques et les méthodes. - ISO 8402 (Mouvement québécois de la qualité,
http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
PROCESSUS D'ÉLIMINATION
Après avoir trouvé la partie la plus détruite par l'incendie dans un bâtiment ou une pièce, la
carbonisation la plus basse, la présence du "V" du feu, les indices de direction de l'incendie et la
concenttration de la chaleur la plus intense, il ne vous restera qu'à déterminer la cause de
l'incendie. Une fois le point d'origine défini, vous trouverez une ou plusieurs sources d'incendie.
Après un examen détaillé de chacune d'elles et en procédant par élimination, vous arriverez
probablement à la cause exacte de l'incendie. [Michel Richer 1989]
PRODUITS CONTRÔLÉS
Le Règlement sur les produits contrôlés, Canada, s'applique à toute matière, tout produit ou toute
substance qui répond aux critères de l'une ou de certaines des catégories suivantes :
Catégorie A - Gaz comprimés
Catégorie B - Matières inflammables et combustibles:
Division 1 - Gaz inflammables
Division 2 - Liquides inflammables
Division 3 - Liquides combustibles
Division 4 - Solides inflammables
Division 5 - Aérosols inflammables
Division 6 - Matières réactives inflammables
Catégorie C - Matières comburantes
Catégorie D - Matières toxiques et infectieuses:
Division 1 - Matières ayant des effets toxiques immédiats et graves:
Subdivision A - Matières très toxiques
Subdivision B - Matières toxiques
Division 2 - Matières ayant d'autres effets toxiques:
Subdivision A - Matières très toxiques
Subdivision B - Matières toxiques
Division 3 - Matières infectieuses
Catégorie E - Matières corrosives
Catégorie F - Matières dangereusement réactives (Canutec)
PRODUITS DANGEREUX RÉSULTANT DE LA COMBUSTION
Des produits dangereux peuvent se former lorsque certaines substances brûlent. De tels produits
de combustion peuvent être toxiques, inflammables ou autrement dangereux. Leur nature et leur
quantité dépendent largement de la température et de l'apport d'air (oxygène). L'incendie pourrait
par exemple produire des substances très différentes de celles qui se dégagent lorsque le produit
est traité à des températures élevées (produits de décomposition thermique). Il est important de
tenir compte de ces renseignements lorsqu'on prévoit les mesures de lutte contre
l'incendie.(Canutec)
PRODUITS DE DÉCOMPOSITION DANGEREUX
Des produits de décomposition dangereux peuvent se former lorsqu'une substance se
décompose parce qu'elle est instable ou qu'elle réagit avec des substances courantes,
notamment l'oxygène, présentes dans l'air ou dans l'eau. Il faut tenir compte de la nature des
substances qui se dégagent à la combustion pour prévoir des mesures appropriées
d'entreposage et de manutention. (Canutec)
PRODUITS DE DÉCOMPOSITION THERMIQUE
Les produits de décomposition thermique sont des substances chimiques qui se forment
lorsqu'une matière est chauffée, sans atteindre le point où elle brûle. Ces substances peuvent
être toxiques, inflammables ou autrement dangereuses. Le genre et la quantité de substance qui
se dégage dépendent de diverses conditions, dont la température. Les produits de décomposition
thermique sont parfois très différents des substances qui se dégagent lorsqu'on brûle une matière
donnée (produits dangereux résultant de la combustion). Il est important de savoir quels sont les
produits de décomposition thermique d'une matière lorsqu'on désire prévoir la ventilation
appropriée dans un lieu où cette matière est traitée sous l'effet de la chaleur.(Canutec)
PROFESSIONAL ENGINEERmeans a member or licensee of the Association of Professional
Engineers of the Province of Ontario under the Professional Engineers Act. (Ontario Fire Code
1996)
Professional standards setting body (PSSB) - Ontario based committee established in 1989 under
the auspices of the Ontario Association of Fire Chiefs (OAFC) and Office of the Fire Marshal
(OFM) whose mandate is to set minimum performance standards for the Ontario fire service. (©
1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
PROGRAMME nm (informatique) [program]
Ensemble des instructions données à un ordinateur et visant à l'exécution d'un ensemble précis
d'opérations en vue d'une application donnée. Traduction d'un algorithme dans un langage
spécifique. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
PROGRAMMING
A method of gas chromatographic analysis which reproducibly raises the temperature of the
column so as to allow better resolution of the components over a wide range of boiling
points. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI
Forensic Science Committee)
PROPAGATION
The detonation of explosive charges by an impulse received from adjacent or nearby explosive
charges. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
PROPANE
(CH3CH2CH3) colorless gaseous Hydrocarbons that occurs in Natural Gas and Petroleum.
Propane is sold compressed in cylinders, often mixed with other hydrocarbons, and is used as
fuel in lamps, gas grills, certain home and portable stoves, and certain cigarette lighters. (Hydro
Cut General Terminology &Resource Information) (voir aussi la fiche technique du propane)
PROPANE
An alkane having the formula C3H8. Propane is the major constituent of LP gas. Explosive limits
of 2.4% to 9%. One cubic foot of propane has a heating value of 2500 BTUs. (Glossary Of Terms
Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
PROPRIÉTAIRE
propriétaire d'un édifice public au sens de la Loi sur la sécurité dans les édifices publics [S-3, r.2,
LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S3)]
PROTOCOLE nm (informatique) [ protocol ]
Ensemble de règles, procédures, conventions, utilisées pour formuler des standards de transfert
d'informations ; règles de dialogue entre des entités informatiques de même niveau. (Glossaire
Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
PROTOCOLE DE TRANSPORT (informatique) [Transport protocol ]
Sur un réseau, ou un ensemble de réseaux, ensemble de règles et procédures qui assurent
l'acheminement de bout en bout des paquets entre deux machines. Les protocoles de transport
garantissent (en général) la cohérence et l'intégrité des données transmises: pas de perte et pas
de duplication des paquets, transmission des paquets dans l'ordre, contenu des paquets transmis
sans erreurs. Les stations sont identifiées de manière unique sur le réseau par une adresse.
Lorsque les deux stations ne sont pas sur le même réseau physique, une machine spéciale,
appelée routeur, assure la transmission des paquets d'un réseau vers l'autre. (Glossaire
Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
PROTON
Elementary Particle having a single positive electrical charge and constituting the nucleus of the
ordinary hydrogen Atom. Every atomic nucleus contains one or more protons. The mass of the
proton is about 1,840 times the mass of the Electron and slightly less than the mass of the
neutron. In 1919 Ernest Rutherford discovered the proton as a product of the disintegration of the
atomic nucleus. The proton and the neutron are regarded as two aspects, or states, of a single
entity, the nucleon. The antiproton, the proton's antiparticle (Antimatter), was discovered in 1955.
(Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
PSEUDOCUMENE
(1, 2, 4 - trimethyl benzene) A component of gasoline. (Glossary Of Terms Related To Chemical
And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
PUBLIC CORRIDOR means a corridor that provides access to exit from more than 1 suite.
(Ontario Fire Code 1996)
PUMPING ENGINES
The two sizes currently most popular for use other than in rural districts are the 1000 gpm and
1250 gpm ratings. Unless additional hose or larger diameter hose is provided, the output per
pumper may be seriously restricted except for those pumpers located at hydrants very close to a
fire. All pumping apparatus should be arranged so that at least two 2,5 inch lines can be laid
SIMULTANEOUSLY as occasion demands. Standard streams should be employed and shut off
when not needed. [Kimball 1969]
PUMP OPERATOR (opérateur de pompe)
The pump operator not only cares for the apparatus and drives it to fires but is responsible for
providing the correct volume of water and pressure for the various sizes of hose and nozzles
which are to be served by his apparatus. Quite commonly off-shift apparatus operators are
expected to respond and serve as firefighters. A minimum of three men responding per pumper is
needed to apply standard 2,5 inch pumper streams (250 USgpm). [Kimball 1969]
Pumper
In most cases, a pumper carries small ground ladders, supply line to connect it with a hydrant,
hand lines to fight the fire with and a tank holding between 500 and 1,000 gallons of water. Same
as an [email protected]
PUMPER COMPANIES
Where special truck units are not provided this necessary work [truck duties] will have to be
performed by members of pumper companies which have a primary responsibility for applying
water on fires. [Kimball 1969]
PYROLYSIS
The transformation of a compound into one or more substances by heat alone. Pyrolysis often
precedes combustion. [NFPA 921 -1992]
PYROLYSIS
The flame has been refered to as gaseous. When a solid such as a match or a candle burns, a
portion of the heat of the gaseous flame is transferred to the solid, causing the solid to vaporize.
This vaporization can occur with or without chemical decomposition of the molecules. If chemical
decomposition occurs, it is called pyrolysis. [Friedman 1989]
PYROLYSIS (distillation et pyrolyse)
Organic solids (carbon compounds) must gasify before they can burn. This general principle,
however, is not true of carbon itself, which burns by a surface reaction with oxygen (although the
carbon monoxide that forms in this reaction might burn with oxygen in the gas phase). With the
exception of carbon, the burning process of ordinary solids is preceded by a gasification process
[Gayet y réfère sous distillation ], generally induced by heat and requiring the breaking of
chemical bonds. The subsequent fuel-oxygen combustion reaction occurs in the gas phase. The
term pyrolysis is used to describe heat-induced chemical decomposition resulting in gasification.
Pyrolysis is usually endothermic; that is, a given quantity of heat must be supplied from
somewhere for the reaction to occur. This quantity of heat is the heat of gasification of a material,
which is expressed in kilojoules per gram. It is an important measure of the flammability of a solid,
once ignited. [Friedman 1989]
PYROLYSIS
The transformation of a substance into one or more other substances by heat alone without
oxidation. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris,
IAAI Forensic Science Committee)
PYROLYSE (to)
To decompose into other molecules when heated. The pyrolysis products often include gases.
(Pyrolysis is the process of pyrolysing.) [Friedman 1989]
PYROPHORIC
A substance that ignites spontaneously in dry or moist air at or below 130oF. (49 CFR
173.115(c)) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
PYROPHORIC DISTILLATION
The slow drying and passive pyrolysis of wood materials. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
PYROTECHNIC
A mixture of chemicals designed to produce heat, light, smoke, gas or noise. (Hydro Cut General
Terminology &Resource Information)
PYROTECHNICS
Any combustible or explosive compositions or manufactured articles designed and prepared for
the purpose of producing audible or visible effects. Pyrotechnics are commonly referred to as
fireworks. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
-Q-
QUALIFICATION TESTS
A series of tests conducted on an item or system to determine if it meets the requirements
established for the specified use. (Hydro Cut General Terminology &Resource Information)
QUALIMÈTRE
Système progressif et continu d'auto-évaluation, d'évaluation et d'attestation d'une démarche
d'amélioration de la qualité. (Mouvement québécois de la qualité,
http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
QUALITÉ / quality
Ensemble de propriétés et caractéristiquesd'un produit ou service qui lui confèrent l'aptitude à
satisfaire des besoins exprimés et implicites. - NF X 50 - 120 (Mouvement québécois de la
qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
QUALITÉ TOTALE / total quality
Ensemble des dispositions prises par tous les acteurs de l'entreprise pour satisfaire les besoins
de son marché (clients, personnel, actionnaires...). - NF X 20 - 120 (Mouvement québécois de la
qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
QUALITY ASSURANCE
System of assuring that material accepted is in accordance with requirements, including
inspection and test procedures, acceptance criteria, etc. (Hydro Cut General Terminology
&Resource Information)
QUATRIÈME PHASE (d'un incendie)
Récemment, on a ajouté une phase additionnelle aux trois déjà existantes [voir Layman et Gayet]
à savoir la quatrième phase. Les conditions existantes sont à peu près les mêmes que durant la
troisième phase à l'exception de la teneur en oxygène qui est inférieure à 13%, ce qui augmente
donc encore le risque d'une explosion de gaz de combustion. Les produits de la combustion sont
à peu près seulement du CO. La température atteinte est au-dessus de 1000F. [Michel Richer
1989]
Questionnaire
A written instrument used for gathering information on a specific set of questions.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
-R-
RACK means any combination of vertical, horizontal or diagonal members that support stored
materials on solid or open shelves, including both fixed and portable units. (Ontario Fire Code
1996)
RADIANT HEAT(voir Énergie et Matière)
Heat energy carried by electromagnetic waves longer than light waves and shorter than radio
waves. Radiant heat (electromagnetic radiation) increases the sensible temperature of any
substance capable of absorbing the radiation, especially solid ans opaque objects. [NFPA 921 1992]
RADIATION
Heat transfer by way of electromagnetic energy. [NFPA 921 - 1992]
RADIATION
(1) Transfer of heat through electromagnetic waves from hot to cold.
(2) Electromagnetic waves of energy having frequency and wavelength. The shorter wavelengths
(higher frequencies) are more energetic. The electromagnetic spectrum is comprised of a) cosmic
rays, b) gamma rays, c) x-rays, d) ultraviolet rays, e) visible light rays, f) infrared, g) microwaves
and h) radio waves. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire
Debris, IAAI Forensic Science Committee)
RADIATION (from flames)
The radiation emitted from flames is important for at least three reasons. First, the energy
feedback from the flame to the burning material is often primarily by radiation, rather than
convection (flow of hot gases) or conduction (as through a wall). Accordingly, the flame radiation
strongly influences the rate of burning. Second, the spread of a fire to nearby combustibles is
often by radiative transfer. For example, a radiative flux of 35 kilowatts per square meter
impinging on vertical particle board (wood) will cause ignition in about 50 seconds. The more
intense the radiation, the more rapid the fire spread. Third, the radiation from a sizable fire can be
so intense that firefighters might not be able to approach the fire without protection. The treshold
of pain for incident radiation on human skin is about 5 kilowatts per square meter for 10 seconds.
If there is cooler smoke or fog droplets intervening between the flame and the target, this
interference will scatter the radiation and reduce the intensity on the target. [Friedman 1989]
RADIATION (from the flames, infrared)
Detailed studies have shown that the energy transfer from a flame to a liquid surface is primarily
by infrared radiation from the flame, at least for hydrocarbon pool fires larger than about 20
centimeters (8 inches in diameter) ... the condition depends on how sooty the flame is. The
radiation of optically thick flames of xylene, n-Butane, n-Hexane, liquefied natural gas, and
methanol, imposes a heat flux of about 30 kilowatts per square meter on the liquid surface,
regardless of the chemical nature of the combustible. [Friedman 1989]
RADIATION (sources of)
The radiation flux from the existing fire is very important in determining how much a given material
in a compartment can contribute to a fire that is already consuming other materials in that
compartment. There are three radiation sources : (1) the flames themselves, (2) the hot smoke,
and (3) the hot ceiling and upper walls. A diffusion flame will radiate more than a nonsooty
premixed flame, causing the diffusion flame to burn at a lower temperature because some of the
combustion heat is lost. [Friedman 1989]
RAISON (voir aussi système qualité)
Qu'est-ce que la raison? La raison n'est pas un donné naturel; c'est un ensemble de procédures,
de règles et de contraintes, c'est un ensemble construit. ... Il n'est pas question bien sûr de
s'arracher à l'imaginaire, mais de faire bon usage de cet imaginaire, c'est-à-dire de prendre par
rapport à la fascination qu'exerce sur nous les images une salutaire distance critique. [Bachelard
aujourd'hui 1986]
RAPID TRANSIT STATION means a building or part thereof used for the purpose of loading and
unloading passengers of a rapid transit system but does not include open-air shelters at street
level. (Ontario Fire Code 1996)
RAPPORT D'INTERVENTION Les rapports d'intervention au Québec sont remplis par les
services municipaux d'incendie sur une formule prescrite par le gouvernement du Québec. « Le
présent guide d'utilisation a pour but de faciliter la rédaction du rapport d'intervention. Son
contenu devrait permettre d'identifier les secteurs vers lesquels les programmes doivent être
orientés pour obtenir une plus grande sécurité. ... Le fait de rédiger un rapport d'incendie à la
suite d'un sinistre est par conséquent une obligation du service d'incendie, de l'expert en sinistre
ou de la compagnie d'assurance ». [Guide d'utilisation du rapport d'intervention, 1982]
RÉACTIVITÉ CHIMIQUE
On dit qu'une matière est réactive lorsque sa composition chimique est susceptible de
changement sous l'effet de la chaleur, de la lumière, du feu ou du contact avec d'autres produits
chimiques. Il peut alors se produire des effets indésirables, notamment l'accumulation de la
pression, l'augmentation de la température ou la formation de substances chimiques
dangereuses. (Canutec)
RECHERCHES (des circonstances)
11. Le commissaire-enquêteur sur les incendies est tenu de rechercher les circonstances qui ont
entouré tout incendie ou toute explosion qui a détruit ou endommagé un bâtiment chaque fois que
l'incendie ou l'explosion ne lui parait pas avoir résulté d'une simple négligence ou de causes
purement accidentelles, mais peut être survenu à la suite de la conduite coupable ou de la
préméditation d'un tiers. Il est également tenu de procéder à de telles recherches chaque fois que
le ministre de la Sécurité publique lui en fait la demande.[L.R.Q., Chapitre E-8, Loi concernant les
enquêtes sur les incendies, 01 mars 1993]
RECHERCHE DES CAUSES D'INCENDIE
Cette recherche des causes, généralement effectuée par les services d'incendie, déterminera
une présomption à l'effet que l'incendie est de cause accidentelle, volontaire ou indéterminée. Par
la suite, une enquête criminelle peut être entreprise. Cependant, elle le sera nécessairement
dans les cas où il s'avère que la cause du sinistre est volontaire ou indéterminée. [Michel Richer
1989]
RECONSTITUTION
Il est plus facile de déterminer les foyers d'incendie en reconstruisant les cloisons et les meubles
et en rajustant les panneaux et les portes.[Stickney 1960]
Red Line
Red line is a hose that is usually one inch in diameter and rubber jacketed. This type of hose is
used on small fires using the water carried in an apparatus' booster tank and are usually stored
on reels. Same as booster [email protected]
REFINERY means any process plant in which flammable or combustible liquids are produced
from crude petroleum, including areas on the same site where the resulting products are blended,
packaged or stored on a commercial scale. (Ontario Fire Code 1996)
RÈGLEMENTATION MUNICIPALE et TEXTES NORMATIFS
Il ne s'agit pas d'accorder l'impunité à la personne qui omet de se conformer aux lois sur
l'aménagement de sorties de secours ou l'installation de dispositifs propres à prévenir les
incendies; on peut simplement se demander si une telle abstention devrait être considérée
comme une infraction pénale. Il est manifestement préférable d'éviter, dans le Code, toute
référence aux violations des dispositions impératives d'autres textes de loi : dans toute la mesure
du possible, en effet, le Code devrait pouvoir se suffire à lui-même. Au surplus, est-il équitable de
traduire devant la justice pénale la personne qui omet de se conformer à des textes sur la
prévention des incendies, alors que le feu a peut-être été allumé par quelqu'un d'autre? Cela
équivaut dans une certaine mesure à utiliser le propriétaire comme bouc émissaire dans les cas
où l'on n'est pas parvenu à découvrir l'identité du véritable incendiaire, d'autant plus qu'en matière
d'incendie, le public est souvent impatient de blâmer un coupable. L'inobservation de lois
relatives à la prévention des incendies ne constitue pas une infraction d'incendie au sens premier
du terme : le contrevenant n'a pas mis le feu ou provoqué un incendie, il n'a fait qu'aggraver les
conséquences possibles de l'incendie. Du fait de son omission, en d'autres termes, les risques
pour les personnes et les biens ont été accrus. ... Une telle conduite pourrait être considérée soit
comme une infraction à caractère règlementaire ne tombant pas sous le coup du Code criminel,
soit comme un délit de mise en danger. Dans les deux cas, l'infraction devra être définie par un
critère de prudence, d'application uniforme dans tout le Canada, et non par une référence
générale aux textes de loi sur la prévention des incendies, textes qui peuvent différer d'une ville à
l'autre et d'une province à l'autre. [Réforme du droit canadien, doc.36, 1984]
RÈGLEMENT SUR LES PRODUITS CONTROLÉS (RPC)
Le Règlement sur les produits contrôlés a été formulé en vertu de la loi fédérale canadienne sur
les produits dangereux et il fait partie du Système d'information sur les matières dangereuses
utilisées au travail (SIMDUT). Ce règlement s'applique à quiconque fournit, importe ou vend au
Canada des produits contrôlés devant être utilisés en milieu de travail canadien. Ce règlement
précise les critères d'identification des produits contrôlés ainsi que l'information qui doit apparaître
sur les étiquettes et les fiches techniques.(Canutec)
RE-ENGINEERING(Réingénierie)
Corporate Structure / Structures de l'entreprise
Public Administration / Administration publique
Productivity and Profitability / Productivité et rentabilité
re-engineering*e,j*CORRECT reconception*d*CORRECT
business process / re- refonte*b,c*CORRECT, FÉM
engineering*e*CORRECT
BPR*e*CORRECT remaniement*b*CORRECT
business process redesign*f, / remodelage*b*CORRECT, MASC
g*CORRECT
business re-engineering*f*CORRECT
reengineering*a,h*CORRECT
work re-engineering*g
work systems redesign*g
process innovation*e
new industrial engineering*h
rearchitecting*h*SEE RECORD, LESS
DEF*The radical design of business processes to achieve major gains in cost, service, or time.*f
OBS*Le néologisme "reconception" est proposé par Claude Lainé: le concept implique une
réorientation majeure des prémisses et des finalités d'un organisme; l'abandon de l'axe tâches en faveur de l'axe effets - résultats.*a
OBS*... re-engineering is a process in which companies and their critical
processes and tasks are taken apart and put back together again.*e
OBS*The preferred Canadian spelling is the hyphenated form "reengineering."*i
OBS*rearchitecting: Term proposed by Don Tapscott and Art Caston since
they feel that the term "re-engineering" could be misleading when
applied to creating a new type of organization, since "re-engineering"
may imply that a product has a higher degree of structure and rigidity than
is desirable. (Based on TAPIT, 1993, p. 39).*i (SOURCE : Termium 1994)
RÉINGÉNIERIE / reengineering
Redessiner l'entreprise afin de rationaliser et d'optimiser ses processus.(Mouvement québécois
de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
RELEASE / THREATENED RELEASE
The actual or potential spilling, leaking, pumping, pouring, emitting, emptying, discharging,
injecting, escaping, leaching, dumping, or disposing into the environment, including the
abandonment or discarding of barrels, containers, and other closed receptacles of any hazardous
material. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
REMEDIAL ACTION
Actions taken to abate the effects of a release or threatened release of a hazardous material to
protect health or the environment. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
RESCUE
The removal of victims from an area determined to be contaminated or otherwise hazardous by
appropriately trained and equipped personnel. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
Rescue Company
A rescue company is a term used to describe a rescue truck and the firefighters used to staff it. A
rescue company is equipped and trained to handle a variety of duties including search and
rescue, medical treatment of victims, suppression at the scene of a fire and the extrication of
victims in motor vehicle accidents. The actual duties of a rescue company can vary in different
parts of the country as does the term to describe one. A Rescue Company is called a Squad in
some areas while other areas use the term when referring to their [email protected]
RÉSEAU nm (réseaux) [network]
Ensemble d'éléments interconnectés (infrastructures techniques de supports et d'équipements
matériels) qui permettent de relier des ordinateurs ou des périphériques les uns aux autres, de
transmettre les communications et de les acheminer vers des destinataires. (Glossaire Formation
et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
RÉSEAU LOCAL (réseaux) [local network]
Système permettant de relier localement (un bâtiment, une entreprise, un campus) par des
câbles, des micro-ordinateurs, des terminaux, des ordinateurs centraux, des imprimantes.
voir : Ethernet, Token Ring, LAN. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de
travail ERFET, France)
RÉSEAUTAGE / networking
Un réseau est un groupe d'organisations qui coopèrent ou partagent des ressources et des
activités afin d'améliorer leur rentabilité et leur compétitivité dans le cadre d'un ou de plusieurs
projets. Il est basé avant tout sur la confiance entre les partenaires. (Mouvement québécois de la
qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
RESIDENTIAL OCCUPANCY (Group 'C') means the occupancy or use of a building or part
thereof by persons for whom sleeping accommodation is provided but who are not harboured or
detained to receive medical care or treatment or are not involuntarily detained. (Ontario Fire Code
1996)
RESIDUE
A material remaining in a package after its contents have been emptied and before the packaging
is refilled, or cleaned and purged of vapor to remove any potential hazard. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
RÉSISTANCE AU FEU
aptitude d'un matériau ou d'un élément de construction à supporter le feu et à protéger contre ses
effets[S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT,
(L.R.Q., c. S-3)]
RÉSISTANT AU FEU
se dit d'un élément de construction capable de circonscrire un foyer éventuel ou de continuer à
remplir le rôle qui lui est dévolu dans un bâtiment soumis à l'action d'un incendie [S-3, r.2, LOI
SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
RESOLUTION
1) In chromatography, a measure of the separation of components,
2) in spectroscopy, a measure of the ability of the instrument to detect individual absorbance
peaks. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI
Forensic Science Committee)
Response time - the elapsed time between fire ignition and the arrival of the first unit and its crew
at the occurrence location. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
RESTAURANT
bâtiment ou partie de bâtiment où l'on peut manger moyennant paiement. Cette définition exclut
toutefois les établissements qui servent des boissons ou des aliments précuisinés n'exigeant
aucune préparation [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE
DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
RESPONSABILITÉ
L'investigation contribue certainement à prévenir les incendies, en attribuant la responsabilité
financière et juridique des incendies à ceux qui, par leur négligence, les ont causés. [Stickney
1960]
RESPONSE
That portion of incident management where personnel are involved in controlling a hazardous
material incident. (NFPA 472, 1-3) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
RESPONSIBLE PARTY (RP)
A legally recognized entity (person, corporation, business, or partnership, etc.) that has a legally
recognized status of financial accountability and liability for action necessary to abate and
mitigate adverse environmental and human health and safety impacts resulting from a nonpermitted release or discharge of hazardous material; the person or agency found legally
accountable for the cleanup of the incident. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
RETENTION TIME
The length of time required for a compound of component of a mixture to pass through a
chromatographic column. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of
Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
RETOUR DE FLAMME
Un retour de flamme se produit lorsqu'un gaz, une vapeur ou un aérosol inflammable, ayant
parcouru une certaine distance, rejoint une source d'inflammation (étincelle ou flamme) et prend
feu. La flamme fait alors le trajet à rebours jusqu'à la source de gaz, de vapeur ou d'aérosol et
risque de causer une explosion ou un incendie grave. (Canutec)
RETROFIT means the minimum performance requirements for life safety for existing
buildings. (Ontario Fire Code 1996)
Reverse Lay
When supply hose is laid from the fire to the water source, placing the pump at the source of
water. (See also forward lay)[email protected]
RFC 822 (télécommunications, réseaux) sigle de "Request For Comment"
Standard pour la messagerie électronique sur Internet, basé sur la famille des protocoles TCP/IP.
(Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
RICH MIXTURE
A fuel-air mixture containing insufficient oxygen to fully oxidize all fuel molecules present to
carbon dioxide and water vapor. [Friedman 1989]
RISK (tolerable)
A certain level of fire loss must be accepted as tolerable because of limited ressources of a
community. Conditions that endanger the safety of citizens and fire fighters beyond the
acceptable risk must be identified as targets for mitigation. [NFPA Handbook 1991]
RISK ANALYSIS
A process to analyze the probability that harm may occur to life, property, and the environment
and to note the risks to be taken to identify the incident objectives. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
RISK MANAGEMENT
Decision-making process which involves such considerations as risk assessment, technological
feasibility, economic information about costs and benefits, statutory requirements, public
concerns, and other factors. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY
OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
RISK MANAGEMENT PREVENTION PLAN (RMPP)
Statutory requirements in California Health and Safety Code, Section 25534, subsection (1). A
plan which encompasses, among other appropriate elements:
1). A structured assessment of hazards.
2). A formal personnel training program for the preven tion of, and response to, emergencies.
3). Procedures for periodic safety reviews of operating equipment and procedures.
4). Schedules for regular testing of the program.
5). Procedures for the purpose of reducing the probability of accidents. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
RIT (Rapid Intervention Team)
Same as FAST [email protected]
RNIS (télécommunications) - sigle de " Réseau Numérique à Intégration de Services " [ISDN]
Réseau mettant à profit les techniques de numérisation pour transporter sur la même
infrastructure plusieurs services concernant la voix, les données ou les images.
voir : Numéris. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET,
France)
ROUTAGE nm (télécommunications, réseaux) [routing]
Détermination des chemins de données à travers les noeuds d'un réseau. (Glossaire Formation
et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
RTC (télécommunications) - sigle de " Réseau Téléphonique Commuté "
Réseau téléphonique analogique classique. S'utilise parfois aussi pour le réseau téléphonique
numérique. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
RUE
voie de communication, ou place, d'au moins 30 pieds (9,14 m) de largeur, ouverte à la circulation
générale et accessible aux véhicules et autres matériels de pompiers [S-3, r.2, LOI SUR LA
SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
RUPTURE
The physical failure of a container or mechanical device, releasing or threatening to release a
hazardous material. (Sacramento Fire Department, HMRT) HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
-SLES 5 S / 5 S
SEIRI, SEITON, SEISO, SEIKETSU, SHITSUKE
qui signifient débarras, rangement, nettoyage, ordre et rigueur traduit la volonté de débarrasser
du poste de travail les choses inutiles qui l'encombrent, de garder l'endroit en ordre afin d'y
instaurer la rigueur essentielle pour y faire du bon travail. (Mouvement québécois de la qualité,
http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
Safety Zone
An area of low fuel density created around structures in the wildland/urban interface for protection
against fire. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
Salvage
The process of protecting the contents of a building from fire, smoke and water damage. Tools
used include salvage covers that are placed over furniture, preventing damage from water and
[email protected]
SAMPLE
To take a representative portion of the material for evidence or analytical purposes. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
SATELLITE nm [satellite]
1- Objet spatial décrivant une orbite fermée autour d'une planète ou d'un autre satellite.
2- (télécommunications) Engin spatial construit par l'homme et tournant autour de la terre pour
retransmettre des télécommunications (entre deux points terrestres ou entre la terre et un autre
satellite). Les satellites géostationnaires ou géosynchrones ont une période de rotation de 24 h et
une trajectoire au-dessus de l'équateur qui les font paraître immobiles par rapport au
sol. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
SATURATION
The state in which all available bonds of an atom are attached to other atoms. Alkanes are
saturated. Olefins are unsaturated. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental
Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
Scavengers
Animals that feed on dead or dying animals or discarded materials from human societies.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
SCENARIO
An outline of a natural or expected course of events. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
SCENE
The location impacted or potentially impacted by a hazard. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
SCÈNE
emplacement destiné principalement aux représentations théâtrales, où sont prévus le
changement rapide des décors et l'éclairage par projecteurs aériens, ainsi que la modification de
l'ambiance en vue de produire une gamme étendue d'effets lumineux et sonores. Cet
emplacement est souvent séparé de la salle par un mur d'avant-scène [S-3, r.2, LOI SUR LA
SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
SCIENTIFIC METHOD (voir Hypothèses, Théories et Lois) (voir aussi Méthode Scientifique)
The systematic pursuit of knowledge involving
a) the recognition and formulation of a problem
b) the collection of data through observation and experiment, and
c) the formulation and testing of a hypothesis. [NFPA 921 - 1992]
SELF CONTAINED BREATHING APPARATUS (SCBA) [APRA]
A positive pressure, self-contained breathing apparatus (SCBA) or combination SCBA/supplied
air breathing apparatus certified by the National Institute for Occupational Safety and Health
(NIOSH) and the Mine Safety and Health Administration (MSHA), or the appropriate approval
agency for use in atmospheres that are immediately dangerous to life or health (IDLH). (NFPA
1991, 1-3) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
SELF-SERVICE OUTLET means a fuel dispensing station, other than a marine fuel dispensing
station, where the public handles the dispenser. (Ontario Fire Code 1996)
Self-Sustaining Reaction
A chemical reaction that perpetuates (sustains) itself by providing the conditions that were
required to initially start the reaction. A fire, for instance, provides enough heat to create still more
fire. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
Sensationalize
The process used in oral or written communication to heighten the listeners or readers excitement
about the message being given; the term connotes overstatement.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
SERVEUR nm (informatique) [server ]
Système informatique permettant la diffusion d'information ou de ressources sur des réseaux
locaux ou externes d'entreprises. Organisme assurant la gestion du système. (Glossaire
Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
SERVICE ROOMmeans a room in a building used to contain equipment associated with building
services. (Ontario Fire Code 1996)
SERVICE SPACE means space in a building used to facilitate or conceal the installation of
building service facilities such as chutes, ducts, pipes, shafts or wires. (Ontario Fire Code 1996)
Serotinous
A pine cone or other seed case that requires heat from a fire to open and release the seed.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
Set up time - the time from arrival at the fire scene until just prior to commencement of applying
extinguishing agent on the fire. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
SHELTERING IN PLACE / IN PLACE PROTECTION
To direct people to quickly go inside a building and remain inside until the danger
passes. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
SIMDUT
Système d'information sur les matières dangereuses utilisées au travail. Il s'agit du système mis
en place au Canada pour protéger les travailleurs en leur fournissant, ainsi qu'à leurs
employeurs, des renseignements de toute première importance sur les substances dangereuses.
Voici les points saillants du SIMDUT:
- Critères permettant d'identifier les produits contrôlés et de renseigner les travailleurs à leur
sujet.
- Système d'étiquetage pour les contenants de produits contrôlés.
- Règlements relatifs à la divulgation d'information à l'aide des FTSS.
- Programmes d'éducation des travailleurs.
- Mécanisme assurant la protection des secrets de fabrication.Des lois et des règlements
émanant des gouvernements fédéral, provincial et territorial appuient la mise en
pratique du SIMDUT. (Canutec)
SIMDUT
Le SIMDUT est un Système national visant à divulguer de l'Information sur les Matières
Dangereuses Utilisées au Travail qui reconnaît les intérêts des travailleurs, des employeurs, des
fournisseurs et des agences de réglementation et qui respecte un équilibre entre le droit de savoir
des travailleurs et le droit de protéger les renseignements commerciaux confidentiels. Le
SIMDUT a pour objectif d'assurer la protection des travailleurs canadiens contre les effets nocifs
des matières dangereuses, grâce à la communication des renseignements pertinents, tout en
réduisant au minimum les conséquences financières qui pourraient en résulter pour les
entreprises et en évitant la perturbation des opérations commerciales. (Source: Termium 1994)
SIMULATEUR nm (informatique) [simulator]
Équipement ou ensemble d'équipements, qui remplace tout ou partie d'un système pour
permettre la simulation d'un phénomène, de façon analogique ou numérique. (Glossaire
Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
Size-Up
A mental process of evaluating all of the invfluencing factors at a fire scene before committing
personnel and equipment to a course of action. This usually includes hazards, life safety, fire
involvement and plan of [email protected]
SMOKE
Small particles of carbon, tarry particles, and condensed water vapor suspended in the
atmosphere, resulting from the incomplete combustion of carbonaceous materials. [Fire Cause
Determination, IFSTA 1986]
SMOKE
An air suspension (aerosol) of particles, often originating from combustion or
sublimation. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
SMOKE ALARMmeans a combined smoke detector and audible alarm device that is designed to
sound an alarm within the room or suite in which it is located when there is smoke within the room
or suite. (Ontario Fire Code 1996)
SMOKE DETECTORmeans a device that senses the presence of visible or invisible particles
produced by combustion and that automatically initiates a signal indicating this condition. (Ontario
Fire Code 1996)
SMOKE (from fire)
The mixture of tiny particles and gases produced by a fire. The particles consist mainly of soot
and / or aerosol mist. [Friedman 1989]
SMOLDERING COMBUSTION
Combustion of a solid in the absence of flame. Generally, smoke is produced. [Friedman 1989]
Snags
Standing dead trees. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
SODIUM
De l'anglais "soda", soude. Son symbole,"Na", vient du latin "natrium", carbonate de sodium.
Appartient au groupe 1, celui des métaux alcalins.
Son importance dans la nutrition, sous forme du sel commun ou chlorure de sodium, est
reconnue depuis les temps préhistoriques.
+
Sa chimie est dominée par son ion 1 . Il ne se trouve pas à l'état libre dans la nature et réagit
fortement avec l'eau et l'oxygène.
Le savon est généralement un sel de sodium d'acides gras. De nombreuses industries utilisent
des composés du sodium comme le sel de table ( NaCl ), le bicarbonate de soude ( NaHCO3 ), la
soude caustique ( NaOH ), etc.
Comme le sodium est important pour la vie animale, notamment pour la fonction nerveuse, le
régime alimentaire doit en comprendre une quantité sensible. Cependant, les personnes souffrant
de maladies cardiaques doivent veiller à ne pas en absorber trop.
Le sodium constitue un risque d'incendie. (Ivan Noels, [email protected])
SOLID
A state of matter in which the molecules are mostly or completely locked into position relative to
one another, as contrasted with a liquid. A solid can either be crysralline and hard like slat, or
amorphous and soft like butter. [Friedman 1989] A substance that does not flow perceptibly under
moderate stress, has a definite capacity for resisting forces (as compression, tension, strain)
which tend to deform it.
SOLIDE
Se dit d'un corps dont les déformations restent finies lorsque la norme du déviateur des
contraintes est inférieure à une certaine valeur positive. (Source : Termium 1994)
SOLIDE INFLAMMABLE
Un solide est dit inflammable s'il s'enflamme facilement et brûle de façon violente et persistante.
Le Règlement sur les produits contrôlés, Canada, et la norme HAZCOM de l'OSHA aux États-
Unis renferment certains critères techniques permettant d'identifier les solides inflammables aux
fins des règlements, en fonction de la facilité avec laquelle ils s'enflamment et de la rapidité avec
laquelle ils brûlent. Les solides inflammables sont dangereux parce qu'ils peuvent prendre feu en
présence de la chaleur qui se produit par la friction entre deux surfaces ou par les procédés de
transformation. Lorsqu'un solide inflammable est réduit en poussière ou en poudre, il y a danger
d'explosion en présence d'une source d'inflammation. (Canutec)
SOLIDE INFLAMMABLE
(...) solide (...) [qui] s'enflamme facilement et brûle de façon violente et persistante. Le Règlement
sur les produits contrôlés [français] renferme certains critères techniques permettant d'identifier
les solides inflammables en fonction de la facilité avec laquelle ils s'enflamment et de la rapidité
avec laquelle ils brûlent. Les solides inflammables sont dangereux parce qu'ils peuvent prendre
feu en présence de la chaleur qui se produit par la friction entre deux surfaces ou par les
procédés de transformation. Lorsqu'un solide inflammable est réduit en poussière ou en poudre, il
y a danger d'explosion en présence d'une source d'ignition. Solide inflammable: Terme uniformisé
par CP Rail. Toute substance solide, non classée comme explosif, qui dans certaines conditions
pouvant se présenter au cours du transport, risque de causer des incendies, par friction,
absorption d'humidité, modifications chimiques spontanées, chaleur accumulée au cours de la
fabrication ou transformation, ou qui peut être enflammée facilement et brûle alors si violemment
et longtemps qu'un sérieux risque est créé durant le transport. Selon la source LAMY, "solide
inflammable" et "matière solide inflammable", sont des désignations de l'IATA et "marchandise
solide inflammable" est l'appellation du Règlement français pour le transport par mer des
marchandises dangereuses de 1954. (Source : Termium 1994)
SOLUBILITÉ
La solubilité est la capacité que possède une substance de se dissoudre dans l'eau ou dans un
autre liquide. Elle peut s'exprimer par un pourcentage ou par un terme qualitatif comme insoluble,
très soluble ou miscible. La section Solubilité d'une FTSS décrit souvent la solubilité dans l'eau,
car l'eau est le solvant industriel le plus répandu. Les renseignements relatifs à la solubilité
servent à prévoir les mesures de nettoyage appropriées en cas de déversement ou d'incendie.
(Canutec)
SOLUBILITY
The ability or tendency of one substance to blend uniformly with another.HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
SOLUTIONS ET CLASSIFICATION DES SUBSTANCES
Rappelons que la matière est constituée de tout ce qui a une masse et qui occupe un espace.
Les scientifiques classent la matière en 2 catégories: les substances pures et les mélanges.
Substance pure : composée d'un seul type ou groupe de particules.
Ex. : H2O, O2, Fe, NaCl (sel de table), ...
Mélange : composé de 2 ou plusieurs substances qui ont des propriétés spécifiques différentes.
Ex. : eau et huile, eau et sable, eau salée, air, ...
Types de mélanges :


Mélange hétérogène ou mécanique : C'est un mélange où l'on peut voir divers constituants.
Ex.: sel et soufre, eau et graisse, lait, ...
Mélange homogène ou solution : C'est un mélange où l'on ne peut distinguer au
microscope les divers constituants. Ex.: eau sucrée, alcool, ...
Les solutions sont faites d'une ou de plusieurs substances, appelées solutés, dissoutes dans une
autre, appelée solvant.
La substance en plus grande quantité est le solvant. Les substances en plus petites quantités
sont les solutés.
sel
soluté

+
+
eau
solvant
=
=
eau salée
solution
Classification des solutions :
Etat physique de la solution
gazeux
liquide
solide
Etat du soluté
gaz
liquide
solide
gaz
liquide
solide
gaz
liquide
solide
Etat du solvant
gaz
gaz
gaz
liquide
liquide
liquide
solide
solide
solide
Exemples
air
vapeur d'eau dans l'air
neige carbonique dans l'air
oxygène dans l'eau
alcool dans l'eau
sel dans l'eau
hydrogène dans palladium
mercure dans or
cuivre dans or
Remarque : Les alliages sont des solutions solides de deux ou plusieurs éléments, généralement
des métaux.
Le mot amalgame désigne plus spécialement les alliages contenant du mercure et d'autres
métaux.

o
o
o
o
o


Concentration des solutions :
Solution diluée : contient peu de soluté.
Solution concentrée : contient beaucoup de soluté.
Solution non saturée : peut encore dissoudre du soluté.
Solution saturée : ne peut plus dissoudre de soluté à cette température et à cette pression.
Concentration : c'est le rapport entre la masse du soluté (en g) et le volume du solvant (en L).
Ex.: 160 g/L.
Solubilité : C'est la quantité maximum de soluté qu'un solvant peut dissoudre à une température
donnée. Plus la température est élevée et plus un liquide peut dissoudre un solide. Plus la
température est élevée et moins un liquide peut dissoudre un gaz.
Autres qualités des solutions : En général, les solutions sont transparentes. On ne peut pas en
séparer les constituants par filtration. Elles ne diffusent pas la lumière (effet "Tyndall") comme le
feraient des particules en suspension dans un liquide. (Ivan Noels, [email protected])
SOLVANT
Un solvant est une substance, ordinairement liquide, qui a le pouvoir de dissoudre une autre
substance. Les substances appelées communément solvants peuvent dissoudre de nombreux
produits. Des exemples de solvants communs sont l'eau, l'alcool éthylique, l'acétone, l'hexane et
le toluène. (Canutec)
SOLVANTS
Les dérivés halogénés des hydrocarbures ont quelques emplois importants. Quatre dérivés
chlorés du méthane peuvent être obtenus par remplacements successifs des atomes
d'hydrogène par l'halogène. Le chloroforme (trichlorométhane) et le tétrachlorure de carbone
(tétrachlorométhane) sont employés comme solvants; le tétrachlorue est aussi un important agent
de nettoyage à sec. Le chloroforme sert également comme anesthésique général. Il faut faire
attention dans l'emploi du tétrachlorure de carbone de ne pas respirer sa vapeur en quantité
importante car il agit sur le foie. Le composé appelé iodoforme CHI3 est un solide jaune employé
comme désinfectant et antiseptique, en particulier dans le traitement des brûlures. [Pauling 1958]
SOLVENTS
A liquid substance capable of dissolving or dispersing one or more other substances to form a
uniformly dispersed mixture. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
SOOT(particules de suie)
Tiny particles consisting mostly of carbon, often formed in diffusion flames and in very rich
premixed flames. Soot is important in fires because (1) it affects the radiative heat transfer rate
from flames and therefore the combustion rate, and (2) it is a principle source of the visionobscuring smoke produced in the fires. Soot contains polycyclic aromatic hydrocarbons. Finally,
because soot has a cyclic structure, it would be expected that if the original fuel had a cyclic
structure, like benzene (C6H6) or toluene (C6H5CH3), that this would cause an extremely sooty
flame, and it does.[Friedman 1989]
SOUFRE
Du latin "sulphur", soufre, venant lui-même du sanscrit "sulvere". Appartient au groupe 16. Connu
depuis les temps les plus anciens, le soufre est un solide cassant, inodore , jaune pâle, insoluble
dans l'eau mais soluble dans le disulfure de carbone. Le soufre est utilisé dans la vulcanisation
du caoutchouc naturel, dans la confection de fongicides, d'engrais, de poudre à canon et surtout
dans la production d'acide sulfurique, le plus abondant produit chimique manufacturé. Le soufre
est essentiel à la vie. C'est un constituant mineur des graisses, des fluides internes et des
minéraux du squelette. Au-delà d'une certaine concentration, le sulfure d'hydrogène ou acide
sulfhydrique, à l'odeur typique d'oeuf pourri, peut provoquer la mort par paralysie respiratoire. Le
dioxyde de soufre est un des polluants atmosphériques responsables des pluies acides. (Ivan
Noels, [email protected])
SOURCES D'INFORMATION EN TECHNIQUES DE PROTECTION INCENDIE (Service
d'information de l'IRC, Institut de recherche en construction, Conseil national de recherches
Canada, Ottawa, Canada K1A 0R6. Table des matières: Ouvrages d'initiation, Guides et
manuels, Publications de l'IRC, Autres publications, Codes et normes, Sur Internet (World Wide
Web)
OUVRAGES D'INITIATION
Bugbee, Percy. Principles of Fire Protection : An Introductory Fire Science Course of Basic Information for
Comprehending and Evaluating Good Fire Protection Practice, Boston, National Fire Protection Association,
1978, 339 p., et manuel du maître.
Burklin, Ralph W. Fire Terms : A Guide to Their Meaning and Use, Boston, National Fire Protection
Association, 1980, 212 p.
Drysdale, Dougal. An Introduction to Fire Dynamics, Toronto, Wiley, 1985, 424 p.
Stollard, P., et Lawrence Johnston. Design Against Fire : An Introduction to Fire Safety Engineering Design,
1re éd., Londres; New York, ESpon, 1994, 172 p.
GUIDES ET MANUELS
Cote, Arthur E. , et Jim L. Linville. Fire Protection Handbook, Quincy (Mass.), National Fire Protection
Association, 1991 (différents passages).
Cote, Arthur E., et Jim L. Linville. Industrial Fire Hazards Handbook, 3e éd., Quincy (Mass.), National Fire
Protection Association, 1990, 1304 p.
Merritt, Frederick S., et Jonathan T. Ricketts, dir. de publ. Building Design and Construction Handbook, 5e
éd., New York, McGraw-Hill, 1994, 1 v. (différents passages).
National Fire Protection Association. Fire Protection Guide on Hazardous Materials, Quincy (Mass.),
National Fire Protection Association, 1991, 1 v. (différents passages).
Schultz, Neil. Fire and Flammability Handbook, New York, Van Nostrand Reinhold, 1985, 486 p. , Society of
Fire Protection Engineers. SFPE Handbook of Fire Protection Engineering, 2e éd., Quincy (Mass.), National
Fire Protection Association, 1995, 1 v. (différents passages).
PUBLICATIONS DE l'IRC
Ouvrages
Tamura, George T. Smoke Movement and Control in High-rise Buildings, Quincy (Mass.), National Fire
Protection Association, 1994, 280 p.
Lie, T.T. Fire and Buildings, Londres, Applied Science Publishers Ltd., 1972, 276 p.
Lie, T.T., dir. de publ. Structural Fire Protection, New York, American Society of Civil Engineers, 1992, 241
p.
Harmathy, T. Z. Fire Safety Design Concrete, Harlow, Essex, Angleterre, Longman Scientific &Technical;
New York, Wiley, 1993, 412 p.
Documents
Les publications du Laboratoire national de l'incendie de l'IRC sont indexées dans la base de données
IRCPUBS (coordonnées sous Bases de données plus bas).
AUTRES PUBLICATIONS
Association of Structural Fire Protection Contractors and Manufacturers Limited et Constructional Steel
Research and Development Organisation. Fire Protection for Structural Steel in Buildings, Londres,
ASFPCM et Constrado, 1983, 112 p.
The Aqua GrouP. Fire and Building: A Guide for the Design Team, Londres, Granada Publishing, 1984, 194
p.
Barnett, Cliff, Duiliu Sfintesco, Charles Scawthorn et Joseph B. Zicherman. Fire Safety in Tall Buildings, New
York, McGraw-Hill, 1992, 348 p.
Butcher, E.G., et A.C. Parnell. Designing for Fire Safety, New York, John Wiley and Sons, 1983, 372 p.
Conseil Canadien des Codes de Béton et de Maçonnerie. Firewalls: A Design Guide, Ottawa, Conseil
canadien des codes de béton et de maçonnerie, 1992, 25 p.
Conseil canadien du bois. Wood and Fire Safety: The complete reference on fire safety requirements for
building construction, Ottawa (Ontario), Conseil canadien du bois, 1991, 266 p.
Concrete Reinforcing Steel Institute. Reinforced Concrete Fire Resistance, Chicago (Illinois), Concrete
Reinforcing Steel Institute, 1980, 234 p.
d'Hoop, Jean-Michel, et Éric Ranjard. Construction et incendie : La sécurité incendie dans les projets de
construction, Paris, France, Le Centre National de Prévention et de Protection, 1981, 377 p.
Institution of Engineers, Australia. National Committee on Structural Engineering. Working Party on Fire
Engineering. Fire Engineering for Building Structures and Safety, Barton, A.C.T., Institution of Engineers,
Australie, 1989, 205 p.
Jason, Nora H. Building and Fire Research Laboratory Publications, Gaithersburg (Maryland), U.S. Dept. of
Commerce, National Institute of Standards and Technology. Annuelle.
Klote, John H., et James A. Milke. Design of Smoke Management Systems, Atlanta (Géorgie), American
Society of Heating, Refrigerating and Air-Conditioning Engineers, Inc., 1992, 223 p.
Malhotra, H.L. Fire Safety in Buildings, Borehamwood, Herts, R.-U., Building Research Establishment, 1987,
290 p.
Nowak, Andrzej S., et Ted V. Galambos, dir. de publ. Making Buildings Safer for People, New York, Van
Nostrand Reinhold, 1990, 194 p.
Read, R.E.H., et W.A. Morris. Aspects of Fire Precautions in Buildings., Londres, Her Majesty's Stationery
Office, 1983, 106 p.
Shields, T.J., et G.W.H. Silcock. Buildings and Fire, Harlow (Essex), Angleterre, Longman Group UK
Limited, 1987, 452 p.
Stollard, P., et John Abrahams. Fire From First Principles: A Design Guide to Building Fire Safety, New York,
Chapman &Hall, 1991, 153 p.
Tuhtar, Dinko. Fire and Explosion Protection: A Systems Approach, Chichester (West Sussex), Angleterre,
Ellis Horwood Limited, 1989, 150 p.
CODES ET NORMES
Codes
Commission canadienne des codes du bâtiment et de prévention des incendies, Conseil national de
recherches Canada. Code national de prévention des incendies du Canada, Ottawa (Ontario), Conseil
national de recherches Canada. [Coordonnées : Service à la clientèle, Institut de recherche en construction,
Conseil national de recherches Canada, Ottawa (Ontario) K1A 0R6. Tél. (613) 993-2463; téléc. (613) 9527673]
Building Officials and Code Administrators International, Inc. The BOCA National Fire Prevention Code (9e
éd.). Country Club Hills, Illinois, Building Officials and Code Administrators International, Inc., 1993 (publié
tous les trois ans).
National Fire Protection Association. National Fire Codes. Quincy (MA), National Fire Protection
Association.
Organismes rédacteurs de normes
Association canadienne de normalisation (CSA), Centre d'information, 178, boul. Rexdale, Rexdale
(Ontario), M9W 1R3, Tél. 416-747-4058, Téléc. 416-747-4149
Bureau de normalisation du Québec (BNQ), 70 est, rue Dalhousie, bureau 220, Québec (Québec), G1K
4B2, Tél. 418-643-5114, Téléc. 418-646-3315
Laboratoires des assureurs du Canada (ULC), 7, chemin Crouse, Scarborough (Ontario), M1R 3A9, Tél.
416-757-3611, Téléc. 416-757-8915
American Society for Testing and Materials (ASTM), 1916 Race Street, Philadelphia, PA, Tél. 215-299-5400,
Téléc. 215-977-9679
Organisation internationale de normalisation (ISO), Secrétariat central, 1, rue de Varembé, Case postale 56,
CH-1211 Genève 20, Suisse, Tél. + 41 22 749 01 11, Téléc. + 41 22 733 34 30
Standards Division, Factory Mutual Research Corporation, 1151 Boston-Providence Turnpike, Norwood, MA
02062, Tél. 617-762-4300, Téléc. 617-762-9375
SUR INTERNET (WORLD WIDE WEB)
Institut de recherche en construction, Conseil national de recherches Canada
http://www.nrc.ca/irc
The Building and Fire Research Laboratory (NIST)
http://www.bfrl.nist.gov/
The University of New Brunswick Fire Science Centre
http://www.fsc.unb.ca/
Networked Resources for Fire Protection (NAFED)
http://www.halcyon.com/NAFED/HTML/Welcome.HTML
National Fire Protection Association (NFPA)
http://www.nfpa.org
Worcester Polytechnic Institute: Center for Fire Safety Studies
http://www.wpi.edu/Academics/Depts/Fire
Society of Fire Protection Engineers
http://www.sfpe.org
Pour obtenir de plus amples renseignements, s'adresser au : Service d'information de l'IRC, Institut de
recherche en construction, Conseil national de recherches Canada, Ottawa, Canada K1A 0R6, Tél. (613)
993-2466, Téléc. (613) 952-7671, Courrier électronique : [email protected]
SPACE HEATER means a space-heating appliance that heats the room or space within which it
is located without the use of ducts. (Ontario Fire Code 1996)
SPACE-HEATING APPLIANCE means an appliance that supplies heat to a room or space
directly or indirectly or to rooms or spaces of a building through a heating system.(Ontario Fire
Code 1996)
SPALLING
Destruction of a surface by frost, heat, corrosion, or mechanical causes. Concrete exposed to
intense heat may spall explosively. Expansion and contraction of the concrete as well as
vaporising moisture contained in the concrete contribute to this effect. It does not necessarily
mean an accelerant was used.(Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental
Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
SPARK TRACKING (voir aussi Tracking)
Plastics Matières plastiques
EN FR
spark tracking*a cheminement par étincelles*a
SOURCES a*ISO-194*1981*** (Source : Termium 1994)
SPÉCIFICATION / requirement [voir aussi Prescription]
Document qui prescrit les exigences auxquelles le produit ou le service doit se
conformer. (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
SPECIFIC GRAVITY
The ratio of the density of a substance to the density of water at a specified temperature. (For
gases, the reference substance is sometimes taken to be dry air at a specified temparature and
pressure. [Friedman 1989]
SPECTRE
Les atomes peuvent émettre ou absorber de la lumière ou d'autres formes d'énergie quand leurs
électrons se portent sur des orbites plus hautes ou plus basses. Comme on le constate lors d'un
arc-en-ciel ou grâce à un prisme, la lumière est en fait un ensemble de radiations visibles ou
invisibles, de longueurs d'onde différentes. De même, la lumière émise ou absorbée par un
élément est unique à cet élément et peut être décomposée par un spectroscope sous forme de
raies de couleur qui constituent la signature de chaque type d'atome. C'est en analysant la
lumière en provenance du Soleil, par ex., que l'on a découvert qu'il contenait de l'hélium avant
même de découvrir cet élément sur la Terre. (Ivan Noels, [email protected])
SPECTROPHOTOMETER
A light measuring device which incorporates a monchrometer to isolate and project particular
wavelengths of electromagnetic radiation through a sample, and a detector to measure the
amount of radiation which has passed through the sample. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
SPECTROSCOPY
An analytical technique devoted to the identification of the elements and the elucidation of atomic
and molecular structure by measurement of the radiant energy absorbed or emitted by a
substance in any of the wavelengths of the electromagnetic spectrum in response to excitation by
an external energy source. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis
Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
SPILL
The release of a liquid, powder, or solid hazardous material in a manner that poses a threat to air,
water, ground, and to the environment. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE
GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning
and Response Commission, 1991
SPONTANEOUS HEATING
Also known as Spontaneous combustion. Initially, a slow, exothermic reaction at ambient
temperatures. Liberated heat, if undissipated (insulated), accumulates at an increasing rate and
may lead to spontaneous ignition of any combustibles present. Spontaneous ignition occurs
sometimes in haystacks, coal piles, warm moist cotton waste, and in stacks of rags coated with
drying oils such as cottonseed or linseed oil. (Glossary Of Terms Related To Chemical And
Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
SPONTANEOUSLY COMBUSTIBLE
(See Pyrophoric.) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
SPRAYING AREA means the area that is within 6 m of a spray booth or spraying operation and
that is not separated therefrom by a vapour-tight separation. (Ontario Fire Code 1996)
SPRAY BOOTHmeans a power-ventilated structure that encloses or accommodates a spraying
operation so that spray vapour and residue can be controlled and exhausted. (Ontario Fire Code
1996)
SPRAY ROOMmeans a spraying area on a floor area or part thereof in which an open spraying
operation is confined and that is separated from the remainder of the building in which it is located
by a noncombustible vapour-tight separation. (Ontario Fire Code 1996)
SPRINKLERED (as applying to a building or part thereof) means that the building or part thereof
is equipped with a system of automatic sprinklers. (Ontario Fire Code 1996)
SPRINKLERS (système de)
Il consiste en une tubulure emplie d'eau qui court sous les plafonds et comporte, à intervalles
réguliers, des champignons en saillie, sortes de pommes d'arrosoirs obturées soit par de fines
lamelles métalliques qui fondent à la chaleur, soit par de petites ampoules de verre pleines d'un
liquide très dilatable qui éclatent à une certaine hausse de température. L'eau contenue dans la
tubulure est alors libérée, une pluie fine et dense se met à ARROSER LE COMMENCEMENT
D'INCENDIE, en même temps les gaz dégagés sont refroidis et l'alarme est donnée
automatiquement par sirènes spéciales. (Pierre Grapin, Les incendies, P.U.F., Paris, 1979)
Les arroseurs appliquent l'eau sur le feu plus vite et avec plus d'effet que les lances de pompiers
opérées manuellement; ils constituent par conséquent le meilleur moyen d'acheminer de l'eau sur
l'incendie. Du point de vue du service d'incendie, c'est comme si l'on disposait de lignes et
d'ajutages installés à l'avance et toujours prêts en cas d'incendie. (NFPA 13E - 1978, art. 1-3.1)
S'il n'y a pas de fumée, il est probable que l'incendie est mineur et qu'un ou deux arroseurs ont
éteint l'incendie, ou encore que les arroseurs n'ont pas encore déclenché; si la cloche d'alarme
extérieure résone ou si le signal reçu identifiait un écoulement d'eau, il est évident que l'eau
s'écoule ou s'est écoulée d'un arroseur (ou, dans le cas d'un système sans eau résidente, que
l'eau s'est introduite dans le système pour déclencher l'alarme prématurément ou
accidentellement). Si l'on voit de la vapeur d'eau, il est évident que les arroseurs ont fonctionné et
ils tiennent probablement l'incendie en échec. On se dépêche alors à parfaire l'extinction pour
limietr les dégâts. SI LA FUMÉE NOIRE ET LES FLAMMES SONT VISIBLES, IL SE PEUT QUE
LES ARROSEURS NE FONCTIONNENT PAS OU QUE LA VANNE D'ADMISSION SOIT
FERMÉE. (NFPA 13E - 1978, art.1-4.4)
Dès son arrivée sur les lieux, l'officier-commandant doit procéder à une évaluation de la situation
come pré-requis opérationnel. On doit immédiatement ordoner à un pompier d'aller vérifier que
la/les vanne/s d'admission sont complètement ouvertes. DES BOYAUX DE L'AUTOPOMPE
DEVRAIENT TOUJOURS ETRE RACCORDÉES AUX RACCORDS-POMPIERS AUSSI
RAPIDEMENT QUE POSSIBLE POUR APPROVISIONNER LES SYSTÈMES D'ARROSEURS
DANS LE SECTEUR EN PROIE AUX FLAMMES AVEC SUFFISAMMENT DE PRESSION (150
psi) ET DE DÉBIT. Des lignes additionnelles devraient également être déployées en direction de
l'aire d'origine.(NFPA 13E - 1978, art. 1-4.3)
Les raccords-pompiers desservant un seul système d'arroseurs automatiques alimentent
généralement le système au-delà de la vanne d'admission d'eau. En pareil cas, l'autopompe du
service municipal d'incendie peut immédiatement fournir de la pression au système, que le
robinet principal soit ouvert ou fermé. [NFPA 13E - 1978, art. 1-4.5(c)]
SPRINKLERS (automatic extinguishing systems)
Automatic sprinkler systems should be installed in all large buildings. They are the most effective
means of controlling fires in such buildings, especially in a small community with a limited water
supply and fire department.(Heinke et al., Fire Protection for Northern Communities, Canadian
Journal of Civil Engineering, Vol.12, No.3, Sept.1985)
STABILITÉ
La stabilité d'un produit est sa capacité de résister à la chaleur et à l'humidité ou à l'oxygène qui
se trouve dans l'air. Un produit instable peut se décomposer, se polymériser, brûler ou exploser
spontanément dans des conditions normales. Lorsqu'il est indiqué qu'un produit est instable, on
doit observer les précautions d'entreposage et de manutention appropriées. (Canutec)
STATIONARY SOURCE
A fixed facility from which a release of hazardous materials may originate.HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
Stick
The aerial of a ladder truck. Aerials vary in length depending on the needs and finances of a
department. Some are as short as 65 feet, while others reach lengths greater than 100
[email protected]
Still Alarm
A still alarm is a call requiring only one company. Examples of a still alarm include a small fire or a
medical [email protected]
STOICHIOMETIRIC REACTION
Chemical A is said to undergo a stoichiometric reaction with chemical B when the proportions of A
and B are such that there is no excess of either A or B remaining after the reaction. [Friedman
1989]
STOICHIOMETRY
The procedure for calculating the combining proportions (by mass or volume) of reactants and
products of a chemical reaction, on the basis of chemical formulas and atomic weights. The
underlying principles are the conservation of atomic species and the conservation of mass.
[Friedman 1989]
STORAGE TANK means a vessel for flammable or combustible liquids having a capacity of more
than 230 L and designed to be installed in a fixed location. (Ontario Fire Code 1996)
STOREY means that portion of a building that is situated between the top of any floor and the top
of the floor next above it, and where there is no floor above it, that portion between the top of the
floor and the ceiling above it. (Ontario Fire Code 1996)
STRAY CURRENT (Courant vagabond - voir Tracking).
stray currents*a,b courants vagabonds*a,b*MASC
DEF*Parties des courants de retour qui, sur une partie au moins de leur parcours, empruntent
des itinéraires autres que le circuit de retour.*a (SOURCE : Termium 1994)
STREET means any highway, road, boulevard, square or other improved thoroughfare 9 m or
more in width, that has been dedicated or deeded for public use, and is accessible to fire
department vehicles and equipment. (Ontario Fire Code 1996)
STRICT LIABILITY
The responsible party is liable even though they have exercised reasonable care. HAZARDOUS
MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of
California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
Strike the Box
To transmit or strike an alarm over the radio for a full first alarm [email protected]
STRONTIUM
D'après "Strontian", village d'Ecosse. Appartient au Groupe 2. De la famille des Métaux AlcalinoTerreux, plus mou que le calcium, il réagit plus vigoureusement avec l'eau et s'oxyde rapidement.
On ne le trouve pas à l'état libre dans la nature. Réduit en poudre, il s'enflamme spontanément à
l'air avec une flamme rouge. Ses Sels sont utilisés dans les feux d'artifice et son titanate est un
matériau intéressant en optique à cause de son haut indice de réfraction. Son Isotope 90 Sr se
trouve dans les retombées nucléaires, il a une Demi-Vie de 28 ans et est absorbé par le squelette
à la place du calcium. (Ivan Noels)
STRUCTURE GONFLABLE
structure consistant en une membrane souple et dont la forme et l'appui sont assurés par une
pression d'air interne et retenue au sol sur tout le périmètre [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ
DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
STUDIO
logement pour 1 ou 2 adultes, avec ou sans chambre [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS
LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
STYRENE
Vinylbenzene. An aromatic compound having the formula C6H5C2H3. The monomer of
polystyrene plastic. A common product of polymer pyrolysis. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
SUBSTANCES
Une substance est un échantillon homogène de matière de composition chimique pratiquement
définie.[Pauling 1958]
SUBSTRATE
Matrix. The material from which a substance to be analysed is removed. (Glossary Of Terms
Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
Succession
The gradual replacement of one plant and animal community by another, as in the change from
an open field to a mature forest. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
SUITE means a single room or series of rooms of complementary use, operated under a single
tenancy, and includes dwelling units, individual guest rooms in motels, hotels, boarding houses,
rooming houses and dormitories as well as individual stores and individual or complementary
rooms for business and personal services occupancies. (Ontario Fire Code 1996)
SULFUR
A nonmetallic yellow element. A constituent of black powder, sulfur burns readily when in
powdered form. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire
Debris, IAAI Forensic Science Committee)
SUPERVISORY STAFF means those occupants of a building who have some delegated
responsibility for the fire safety of other occupants under the fire safety plan and may include the
fire department where the fire department agrees to accept these responsibilities. (Ontario Fire
Code 1996)
Supply Hose
Hose line used to supply water from a hydrant to fire apparatus. Many departments use large
diameter hose (see above) for this purpose. LDH is sometimes referred to as a water main above
ground and is usually 4-5 inches in diameter. However, some departments use smaller 3-inch
hose to supply water at a fire. [email protected]
SUPPORT nm (communications, informatique)
L'information ne prend un sens que si elle est saisie sur un support pour être traitée. Le support
est l'élément qui sert à inscrire cette information : le texte et/ou l'image quand nous cherchons
une information dans un journal papier, l'image et le son quand nous regardons la télévision. Les
trois supports utilisés le plus fréquemment sont le texte, l'image et le son. Ceux-ci ne sont
accessibles qu'à travers un support physique (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1,
groupe de travail ERFET, France)
SUPPORT DE TRANSMISSION (télécommunications)
Voie de communication véhiculant le signal (filaire ou hertzienne). (Glossaire Formation et
Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
SURCHARGE
somme des charges, autres que la charge permanente, applicables dans le calcul des éléments
constituants d'un bâtiment [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS,
CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
SURFACE D'APPUI
surface de contact entre un élément de fondation et le sol d'assise [S-3, r.2, LOI SUR LA
SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
SURFACE TENSION
The elastic-like force in the substance of a liquid, tending to minimize the surface area, causing
drops to form. Expressed as newtons per meter or dynes per centimeter. (There are 100,000
dynes per newton.) [Friedman 1989]
SURFACE TRACKING (voir aussi Tracking, et Spark Tracking)
surface tracking*a - cheminement*a
OBS*cheminement (superficiel)*a
a*CGE-5*1979*** (Source : Termium 1994)
Supervisor - a person designated by department policies and guidelines to assume command of a
crew or company. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
SUPPRESSION D'UN INCENDIE
Tout le travail qui consiste à éteindre un incendie après sa détection. Supprimer l'incendie. Il est
évident que la suppression doit jouer un rôle de premier plan dans la protection contre l'incendie.
Cette suppression peut s'accomplir manuellement ou automatiquement. (Source: Termium 1994)
Surface Fire. A fire that burns leaf litter, fallen branches and other fuels located on the forest floor.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
SYNCHRONE adj (télécommunications) [synchronous]
1- (télécommunications) Mode de transmission dans lequel l'émetteur et le récepteur fonctionnent
au même rythme, en général calés par une horloge.
2- (communications) Communication où l'émission et la réception sont simultanées.
voir: synchrone, isochrone. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail
ERFET, France)
SYNONYMES
Une substance est parfois connue sous divers noms. Par exemple, le méthanol s'appelle aussi
alcool méthylique ou hydrate de méthyle. Il est parfois utile d'avoir recours à un synonyme pour
trouver des renseignements supplémentaires sur un produit chimique. (Canutec)
SYSTEMATIC
A set of orderly, structurally inter-related steps based on a network of concepts, principles and
rules. (Benner 1997)
SYSTÈME nm (informatique) [system]
Nom générique utilisé pour désigner un ensemble d'équipements ou de programmes destiné à
remplir plusieurs fonctions. C'est la combinaison de tous les moyens de saisie, de traitement et
de transmission de l'information d'une application utilisant un ou plusieurs
calculateurs. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET,
France)
SYSTÈME QUALITÉ / quality system
Ensemble de la structure organisationnelle, des responsabilités, des procédures, des procédés et
des ressources pour mettre en oeuvre la gestion de la qualité. (Mouvement québécois de la
qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
-TTABLEAU DE BORD / dashboard
C'est une façon de sélectionner, d'agencer et de présenter l'information (indicateurs de
performance - voir ce terme) de façon sommaire et ciblée. Généralement, il est présenté sous
forme de flash accompagné de reportage synoptique. Il met en évidence les résultats significatifs,
les exceptions, les écarts et les tendances. (Mouvement québécois de la qualité,
http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
Tallgrass prairie
An ecosystem made up of grasses, forbs, shrubs and trees and is further characterized by
relatively moist soils. Prairies depend on fire to maintain the ecosystem stability and diversity.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
TANK VEHICLESmeans any vehicle, other than railroad tank cars and boats, with a cargo tank
having a capacity of more than 450 L, mounted or built as an integral part of the vehicle, and used
for the transportation of flammable or combustible liquids and includes tank trucks, trailers and
semi-trailers. (Ontario Fire Code 1996)
TAUX D'ÉVAPORATION
Le taux d'évaporation est une valeur qui indique en combien de temps le produit s'évapore à une
température ambiante normale. On donne ordinairement le taux d'évaporation du produit par
rapport à celui d'un solvant qui s'évapore plutôt rapidement, par exemple: 0,5 (acétate de butyle =
1). Cela veut dire que dans des conditions spécifiques, 0,5 gramme du produit s'évapore dans le
même temps que 1 gramme d'acétate de butyle. Il arrive souvent qu'on dise simplement que le
taux d'évaporation est supérieur à 1 ou inférieur à 1, c'est-à-dire qu'il s'évapore plus rapidement
ou moins rapidement que le produit auquel on le compare. En général, le danger que présente
une substance toxique augmente avec le taux d'évaporation. (Canutec)
TCC
Tagliabue Closed Cup. En français, Tagliabue coupelle fermée (TCF). Méthode normalisée
permettant d'établir les points d'éclair. (Canutec)
TCP/IP (réseaux) - sigle de " Transmission Control Protocol/Internet Protocol "
Protocole de communication permettant l'interconnexion de réseaux hétérogènes. (Glossaire
Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
TECHNICAL SPECIALIST - HAZARDOUS MATERIALS REFERENCE
Person assigned to document activities of the Hazardous Material Team and gather information
relevant to the chemicals involved and their hazards. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY
RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical
Emergency Planning and Response Commission, 1991
TÉLÉCHARGEMENT nm (informatique, réseaux) [remote loading, down-loading][upload,
download]
Chargement d'informations ou de programmes sur un système informatique via un réseau.
(Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
TÉLÉ-CLASSE nf (sc. de l'éducation/ formation)
Enseignement à distance à un ou plusieurs groupes d'apprenants dispersés avec une interactivité
permanente possible entre l'enseignant et les apprenants, chacun des sites "récepteurs" pouvant
intervenir à tout moment par le son, l'informatique ou la video selon le support technique utilisé.
Autres appellations utilisées: télé-cours, classe virtuelle, amphi virtuel, campus virtuel. (Glossaire
Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
TÉLÉCOMMUNICATIONS nmpl [telecommunications]
Ensemble des techniques de transmission à distance quel qu'en soit le support. (Glossaire
Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
TÉLÉCONFÉRENCE nf (télécommunications) [teleconferencing]
Réunion ou conférence à distance grâce à système de téléphonie (audioconférence) ou de
télévison (vidéoconférence). (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail
ERFET, France)
TÉLÉ-CRÉATION nf
Conception et/ou réalisation d'outils, didacticiels, produits ou actions de formation par plusieurs
usagers distants (principalement avec des auteurs-concepteurs et des valideurs). (Glossaire
Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
TÉLÉDISTRIBUTION nf (audio-visuel)
Télécommunication utilisant un réseau de câbles à conducteurs métalliques ou de câbles à fibres
optiques pour la distribution vers un très grand nombre d'usagers de programmes sonores ou
visuels, et éventuellement d'autres signaux. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1,
groupe de travail ERFET, France)
TÉLÉENSEIGNEMENT nm (formation)
Au début des années soixante, l'utilisation des médias dans le processus de formation apparaît
comme une réponse au renforcement des systèmes d'enseignement à distance. La radio et la
télévision font l'objet de plusieurs tentatives de cours. Le téléenseignement est né. Par extension,
on entend par téléenseignement tout processus d'enseignement faisant appel à des moyens de
communication à distance : télévision, radio, téléphone, télématique.
voir: formation à distance. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail
ERFET, France)
TÉLÉINFORMATIQUE nf (réseaux) [teleinformatics]
Désigne l'ensemble des techniques dans lesquelles des équipements informatiques
interconnectés fonctionnent dans des sites différents éloignés les uns des autres. (Glossaire
Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
TÉLÉ-MULTIMÉDIA nm (réseaux)
Système de communication permettant à des intervenants, travaillant sur réseau, de partager et
de traiter en temps réel des informations multimédia comprenant du texte, des graphiques, des
images, du son, de la vidéo, ... (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de
travail ERFET, France)
TÉLÉPRÉSENCE nf (réseaux) [telepresence]
Système de collaboration à distance avec des environnements de travail informatisés multimédia
en réseau intégrant des technologies favorisant une plus grande présence humaine (voix,
image). (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
TÉLÉRESSOURCES nfpl (formation, réseaux)
En formation d'adultes, distribution à distance par réseau informatique des fonctionnalités d'un
centre de ressources, tels le télé-tutorat (assistance pédagogique), le télé-monitorat (assistance
technique, de mise en oeuvre). (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de
travail ERFET, France)
TÉLÉRESSOURCES nf (télécommunications)
Service téléphonique de communication à distance entre plusieurs abonnés.
voir: audioconférence. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail
ERFET, France)
TÉLÉTRAITEMENT nm (réseaux) [teleprocessing]
Ensemble des techniques informatiques où les travaux à effectuer (traitements) sont commandés
à distance à partir de terminaux ou de petits systèmes. (Glossaire Formation et Technologies,
version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
TEMPÉRATURE D'AUTO-INFLAMMATION
La température la plus basse à laquelle une substance exposée à l'air commence à brûler
spontanément sans entrer en contact avec une étincelle ou une flamme s'appelle la température
d'auto-inflammation. De nombreux produits chimiques se décomposent lorsqu'ils sont chauffés.
La température d'auto-inflammation est la température à laquelle les substances formées par la
décomposition commencent à brûler. La température nécessaire pour produire cet effet varie de
100 degrés C ou plus d'une substance à l'autre, selon la méthode d'expérimentation. Les valeurs
données dans la fiche sont donc approximatives. Pour éviter le risque d'incendie ou d'explosion,
les produits doivent être entreposés et utilisés à une température nettement inférieure à la
température d'auto-inflammation. On trouve aussi quelquefois l'expression température
d'inflammation spontanée. (Canutec)
TEMPÉRATURES ÉLEVÉES
... on atteindra ainsi des températures de l'ordre de 2800 C [5072 F] avec le chalumeau
hydrogène-oxygène, de l'ordre de 3500 C [6332 F] avec le chalumeau oxy-acétylénique. Des
températures encore plus élevées pourront être obtenues en apportant de l'énergie électrique au
système: entre 5000 et 6000 C [9032 et 10832 F] avec l'arc électrique. La température la plus
TEMPÉRATURES ÉLEVÉES et CHANGEMENTS D'ÉTAT
Températures en degrés C
Phénomènes physiques
444,6
630,5
960,5
1063
1415
1535
1773
2200
2600
3000
3370
4300
5900
ébullition du soufre
fusion de l'antimoine
fusion de l'argent
fusion de l'or
fusion du silicium
fusion du fer
fusion du platine
ébullition de l'étain
ébullition de l'or
ébullition du fer
fusion du tungstène
ébullition du platine
ébullition du tungstène
élevée que l'on ait réalisée en dehors de celle que produit l'explosion d'une bombe atomique est
d'environ 20000 C [36032 F]; on l'a obtenue en faisant passer l'électricité d'un gros condensateur
dans un fil très fin; la grande quantité d'énergie qui arrive ainsi brusquement dans le fil le fait
exploser et porte la vapeur métallique autour de 20000C. Quant à la température du centre d'une
bombe atomique au moment de l'explosion, elle serait encore plus considérable, de l'ordre de 50
000 000 C [90 000 032 F]. [Pauling 1958]
Source : Jacques Lachnitt, Les Hautes Températures, PUF, Paris, 1961, p.11
TEMPS D'ACCÈS (informatique) [ access time]
Intervalle de temps séparant le moment ou un processeur, dans un ordinateur, demande une
information et le moment où la mémoire lui fournit cette information. (Glossaire Formation et
Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
TENT means a shelter or structure with a covering that is made of pliable material. (Ontario Fire
Code 1996)
TERMINAL PORTABLE (informatique)
Terminal de petite taille transportable dans une valise que l'on peut connecter à un ordinateur au
moyen d'une ligne téléphonique ordinaire par l'intermédiaire d'un coupleur acoustique. (Glossaire
Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
TERMINATION
That portion of incident management where personnel are involved in documenting safety
procedures, site operations, hazards faced, and lessons learned from the incident. Termination is
divided into three phases: Debriefing, Post-incident analysis, and Critique. (NFPA 472, 1-3) (See
Post Incident Analysis.) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF
STANDARDIZED TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response
Commission, 1991
TERPENES
Volatile hydrocarbons which are normal constituents of wood. (Glossary Of Terms Related To
Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
TEST means the operation of a device or system to ensure that it will perform in accordance with
its intended operation or function. (Ontario Fire Code 1996)
TEST (NON-DESTRUCTIVE, EXAMPLES)
1. Visual inspection for residues, deviations from blueprints, deformations, etc.
2. Radiographic inspection techniques, including x-ray, fluoroscopy, and other radiographic
scanning techniques
3. Reconstruction of surviving parts in mock-ups
4. Microphotography of parts, residues, etc.
5. Electron microscopic examination of parts, residues, surfaces, etc.
6. Char pattern inspections for burned parts
7. Scratch mark inspections for material displacement or removal
8. Weighing techniques for deposition or removal of material
9. X-ray diffraction examination of crystalline structures
10. Thermal gradient inspection techniques for examination of evidence of temperature gradients
experienced by materials
11. Stress pattern inspection techniques for evidence of directions of stressors, deformation of
stressees
12. Ultra-violet or infra-red photographic examination for evidence of changes of state, blood,
tissue
13. Electrical conductivity/resistance tests (if arcing not involved)
14. Flow tests for viscosity, angle of repose, air-entrainment data
15. Dimensional analysis documentation to identify changes from as-new condition
16. Dye-penetrant or magnetic inspection for cracks, defects
17. Lubricity tests to identify lubricant service performance data
18. Operating test of subsystem to identify operating parameter data, performance data
19. High-speed photography of operating subsystem to observe timing, nature of process
20. Forensic fingerprinting analyses
21. (Add your own here)
(Ludwig Benner, MES Guide 6, TASK GUIDANCE FOR PREPARING INVESTIGATION TEST
PLANS, 1998)
THÉÂTRE OU CINÉMA
lieu de réunion muni de sièges fixes, destiné à la présentation de spectacles ou de films [S-3, r.2,
LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S3)]
THERMAL CONDUCTIVITY DETECTOR
A type of gas chromatographic detector which is sensitive to the change in the ability of the gases
emerging from the column to conduct heat. A thermal conductivity (TC) detector is not as
sensitive as a flame ionisation detector, but it is capable of detecting some molecules, such as
water, which give no signal in FID. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental
Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
THERMAL IGNITION
Spontaneous ignition that occurs as the result of progressive heating by an external heat
source. [Friedman 1989]
THERMITE REACTION
A highly exothermic reaction between a metal and the oxide of another metal; for example, the
reaction of molten or powdered magnesium with iron oxide to form magnesium oxide and molten
iron. [Friedman 1989]
THERMODYNAMIQUE
La partie de la chimie qui traite des chaleurs de réaction et de tout ce qui s'y rapporte s'appelle la
thermochimie. L'étude plus générale des relations entre l'énergie et les transformations
chimiques, y compris celle du potentiel des piles électrolytiques et du travail qu'on peut effectuer
par voie chimique, porte le nom de thermodynamique chimique. La thermochimie comme la
thermodynamique chimique font partie de la chimie physique. [Pauling 1958]
THIN LAYER CHROMATOGRAPHY (TLC)
A procedure for separating compounds by spotting them on a glass plate coated with a thin (about
0.01 inch) layer of silica or alumina, and 'developing' the plate by allowing a solvent to move
upward by capillary action. TLC is especially used for identifying and comparing materials which
are highly coloured or which fluoresce under ultraviolet light. TLC is used extensively in explosive
analysis and in the comparison of gasoline dyes. (Glossary Of Terms Related To Chemical And
Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
TITANE
...de "Titans", divinités grecques qui gouvernaient l'univers avant les dieux de l'Olympe.
Appartient au Groupe 4. Présent dans les rubis, les saphirs, certains météorites et de
nombreuses étoiles, le titane est un métal argenté de faible densité, résistant bien à la corrosion
et facile à travailler. Il brûle dans l'air et est le seul Élément brûlant dans l'azote. Il est aussi fort
que l'acier mais 45% plus léger et 60% plus lourd que l'aluminium mais deux fois plus fort. Le
titane est physiologiquement Inerte. Il est employé dans de nombreux Alliages utilisés notamment
par l'industrie aérospatiale. C'est l'industrie de la peinture qui en utilise le plus car ses oxydes
sont très résistants et ont un grand pouvoir couvrant. Le titane joue un rôle important dans les
prothèses artificielles et les implants comme les articulations des hanches et du fémur ainsi que
les implants dentaires. (Ivan Noels)
TMD
Transport des marchandises dangereuses. Au Canada, le transport des marchandises pouvant
présenter des dangers est régi par la Loi et le Règlement sur le transport des marchandises
dangereuses relevant de Transports Canada. La Loi et le Règlement sur le TMD fixent les
critères de danger et stipulent la façon dont les matières désignées dangereuses doivent être
emballées et expédiées. (Canutec)
TMD / CLASSIFICATION D'INFLAMMABILITÉ
Aux termes de la Loi et du Règlement sur le TMD du Canada, une matière est classifiée
dangereuse si elle possède certaines propriétés. Consulter le Règlement pour obtenir des
précisions. (Canutec)
TOC
Tagliabue Open Cup. Méthode Tagliabue coupelle ouverte permettant de déterminer les points
d'éclair. (Canutec)
TOKEN-RING (informatique)
Réseau physique préconisé par IBM; Sa topologie est en anneau avec méthode d'accès
déterministe (par jeton). Il existe en deux versions: à 4 et à 16 Mbits/s. (Glossaire Formation et
Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
TOLUENE
Methylbenzene. An aromatic compound having the formula C6H5CH3. A major component of
gasoline. Toluene has a flash point of 40F and explosive limits of 1.2% to 7%. (Glossary Of Terms
Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science
Committee)
Total fire attack team - the total number of fire fighters assembled on the fire ground capable of
rescue, fire containment, fire extinguishment and minimization of injury life, property and
environment losses. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
TOXICITÉ / TOXIQUE
Capacité que possède une substance de produire des effets biologiques nuisibles. La division en
toxicité faible, modérée ou grave est fondée sur la quantité nécessaire pour produire un effet et
sur la gravité de l'effet produit. Le Règlement sur les produits contrôlés, Canada, et la norme
HAZCOM de l'OSHA aux États-Unis donnent les critères techniques permettant d'identifier une
matière toxique aux fins de chaque règlement. Des critères spécifiques permettent de déterminer
la létalité à court terme, la toxicité à long terme, ainsi que la possibilité d'irritation de la peau ou
des yeux, de sensibilisation de la peau et de mutagénicité. (Canutec)
TOXICITY
A relative property of a chemical agent that refers to its harmful effect on some biological
mechanism and the conditions under which this effect occurs. HAZARDOUS MATERIALS
EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED TERMS, State of California's
Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
TRAÇABILITÉ / traceability
Aptitude à retrouver l'historique, l'utilisation ou la localisation d'un produit, d'un appareil, d'une
machine ou d'une installation, au moyen d'indications enregistrées [ou autres indicateurs]. - NF X
50 - 120 (Mouvement québécois de la qualité, http://www.qualite.qc.ca/lexglo.htm)
TRACKING
TRACKING (voir aussi Spark Tracking)
tracking*a,b,c / cheminement*a,b,c
The formation of a conducting / OBS*Formation d'une trace conductrice
path across the surface of an / à la surface d'une matière isolante,
insulating material by current / par décharge électrique ou faible
discharge or leakage.*a / courant de fuite. SOURCES: a*ISO-472*1979***, b*ISO-194*1981***,
c*DORUB*1965***591 (Termium 1994)
TRADUCTION et RESPECT DE LA NORME (norme linguistique)
Dans le contexte nord-américain, un certain nombre de concepts sont généralement connus des
anglophones comme des francophones uniquement par le mot anglais qui les désigne et donnent
lieu en français à des anglicismes. [Legoux Valentine 1989]
[Les gouvernements du Québec et du Canada ont mis sur pied respectivement la Banque de
terminologie du Québec (BTQ) et TERMIUM (une base de données linguistique). On peut
s'abonner à ces services rendus accessibles par l'informatique.]
Trash Line
Same as jump line, although not necessarily carried on the front bumper.
TRANSLATION (traduction)
Translation is a craft consisting in the attempt to replace a written message and / or statement in
one language by the same message and / or statement in another language . [ Il est important de
retenir que le traducteur ou la traductrice est tenu de livrer un texte conforme à la version de
départ; mais les auteurs recherchent généralement plus que la simple conformité du "message",
ils recherchent en fait l'intégrité des idées.]
TRANSFORMATION
tout changement à la structure, aux installations fixes ou permanentes, ou à l'affectation d'un
bâtiment [S-3, r.2, LOI SUR LA SÉCURITÉ DANS LES ÉDIFICES PUBLICS, CODE DU
BÂTIMENT, (L.R.Q., c. S-3)]
TRAVAIL COLLABORATIF [collaborative work]
Travail à deux ou plusieurs à distance avec des outils logiciels en réseau permettant une
interaction entre des personnes généralement à distance pour co-produire un même objet ou
résultat : par exemple, écriture, dessin, agenda, planning, gestion de présence, colloque,
affiches. Ces outils permettent d'écrire à deux ou plusieurs un même document, de dessiner sur
le même document de départ, etc. et cela en mode synchrone ou asynchrone. (Glossaire
Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET, France)
TRAVAILLEUR
Une personne qui exécute, en vertu d'un contrat de louage de services personnels ou d'un contrat
d'apprentissage, même sans rémunération, un travail pour un employeur, y compris un étudiant
dans les cas déterminés par règlement, à l'exception:
1° d'une personne qui est employée à titre de gérant, surintendant, contremaître ou représentant
de l'employeur dans ses relations avec les travailleurs;
2° d'un administrateur ou officier d'une corporation, sauf si une personne agit à ce titre à l'égard
de son employeur après avoir été désignée par les travailleurs ou une association accréditée;
(LSST, S2-1)
TRAVEL DISTANCEmeans the distance from any point in a floor area to an exit measured along
the path of exit travel, except that when floor areas are subdivided into rooms used singly or into
suites of rooms and served by public corridors or exterior passageways, the distance shall be
measured from the door of the rooms or suites to the nearest exit. (Ontario Fire Code 1996)
Travel time - the time period between leaving the station and arriving at the fire scene. (© 1999
Queen's Printer for Ontario, 1999)
TRÈS TOXIQUE
Le Règlement sur les produits contrôlés, Canada, donne les critères techniques permettant
d'identifier une matière très toxique. Des critères spécifiques permettent de déterminer la létalité à
court terme, la toxicité à long terme, la tératogénicité, l'embryotoxicité, la toxicité pour la
reproduction, la cancérogénicité, la sensibilisation des voies respiratoires et la mutagénicité. Aux
termes de la norme HAZCOM de l'OSHA aux États-Unis, l'expression correspondante, Highly
Toxic, est définie spécifiquement. (Canutec)
Triple combination pumper (pumper) - a motorized vehicle designed to transport fire fighters to
the scene of a fire and provide the necessary fire suppression equipment for extinguishment and
equipped with a major pump, water tank, ground ladders and hose body. For the purposes of the
study, a triple combination pumper equipped with elevated fire fighting capability may be
substituted. (© 1999 Queen's Printer for Ontario, 1999)
Truck Company
See Ladder [email protected]
TUNGSTÈNE
...du suédois "tung sten", pierre lourde. Son symbole "W" vient aussi du suédois "wolfram", un
minerai de tungstène. Appartient au Groupe 5. Métal gris-blanc, il a le point de fusion le plus
élevé de tous les métaux. Résistant très bien à la corrosion et aux Acides minéraux, le métal doit
être protégé de l'oxydation à des températures élevées. Le tungstène et ses Alliages sont
abondamment utilisés dans les ampoules électriques, les tubes de télévision et les contacts des
distributeurs de voitures. (Ivan Noels)
TURPENTINE
1) Gum. The pitch obtained from living pine trees. A sticky viscous liquid.
2) Oil. A volatile liquid obtained by steam distillation of gum turpentine, consisting mainly of
pinene and diterpene. Turpentine is frequently identified in debris samples containing burned
wood. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI
Forensic Science Committee)
TUTORAT nm (formation)
Le tutorat apparaît dans la formation avec l'alternance formation/travail en situation d'entreprise
(ex : chantier-école). Dans ces situations, le tuteur est l'homme chargé de suivre l'individu en
formation, de l'assister dans son parcours. Avec l'enseignement à distance se développe une
nouvelle notion de tutorat. Le formateur devient un guide dans les processus d'enseignement et
d'apprentissage personnalisés. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de
travail ERFET, France)
-U-
UNDERSTANDING FIRE
Fire is basically a chemical reaction between combustibles and oxygen. The fire products
(smoke) consist of a complex mixture of chemicals that interact with humans trying to fight a fire
or escape from a fire. Extinguishing agents and fire retardants are also chemicals. Clearly, an
understanding of chemistry is a prerequisite to a thourough understanding of fire. [Friedman 1989]
UNIFORM CODING FOR FIRE PROTECTION (voir aussi Fire Defense Management) (voir aussi
Initial Incident Report)
As the objectives of fire defense management have narrowed from the control of conflagrations
early in this century toward the control of fires in rooms, the need for uniform information about
fire incidents as well as for an effective method of collecting and using that information has
become recognized. To this end, there must be a common international language for the
description of fire incident information, and systematic methods must be available for the routine
collection, processing, and use of significant local information. Those keeping their data using
definitions and codes compatible with this standard will be able to share and compare
information. THE ORIGINAL REPORT FROM THE OFFICER IN CHARGE SHOULD BE IN HIS
OWN WORDS, ACCURATELY DESCRIBING THE SITUATION HE ACTUALLY FOUND. This
standard may be used as an aid to word choice. NUMERIC CODES MAY BE ADDED BY THE
OFFICER HIMSELF OR BY A CENTRAL CODING OFFICE. [NFPA 901-1981]
UNIFORMISATION (de la règlementation normative)
Les brûleurs à kérosène [pour l'éclairage] sont un bon exemple du système américain de
fabrication comportant des concepts de normalisation et d'interchangeabilité des pièces [circa
1858]. [Appareils d'éclairage, 1984]
Up and Over
A standard ventilation operation conducted by a team of firefighters wherein ladders are raised at
a working fire involving a rowhouse-type dwelling to gain access to the roof to allow the
firefighters to ventilate the involved dwelling. The intent is to get the upper floor opened up as
quickly as possible. This is accomplished by opening skylights and/or scuttles and ensuring
windows in the rear and front are taken out at the same time. The advantage of this operation is
that many times, it is difficult to bring portable ladders to the rear of a row-type dwelling in some
areas due to trash-strewn, overgrown, narrow, winding alley-ways. A 6-foot hook allows the one
firefighter venting the rear to reach down (carefully where wires are involved) and take out (break)
the windows. Any blinds, curtains, or drapes can be snagged with the hook to remove them and
thereby facilitate the speedy evacuation of super-heated smoke and [email protected]
-VVECTEUR
À partir du foyer d'incendie reconstitué, la direction des flammes [le vecteur de propagation] peut
être plus facilement repéré en partant du point où la carbonisation est la plus intense. [Stickney
1960]
VENT (TO) (ventiler)
Release enclosed smoke and heat from a structure by creating openings in it, as by hacking a
hole in the roof, to allow for freer passage of air [le passage des produits de la combustion]. [Fire
Cause Determination, IFSTA 1986]
VENTILATION et phases d'incendie (Layman)
Dans des conditions normales, un bâtiment est constitué de matières combustibles
(habituellement des solides), de l'oxygène (21% dans l'air) et de la chaleur (à la température
ambiante normale). Quand on augmente d'une manière excessive la température d'une portion
combustible de la matière (un volume suffisant de matière soumis à une température
suffisamment intense pour amorcer une combustion soutenue), le combustible se combine à
l'oxygène dans l'air et il s'ensuit un incendie destructeur. Une chaleur excessive est produite et
transmise aux matériaux combustibles voisins par contact de la flamme, par conduction, radiation
ou convection. Il est souhaitable ici de revoir brièvement ce qui se produit véritablement dans un
bâtiment confiné au cours du développement d'un incendie destructeur. Un incendie d'intérieur
peut se diviser en 3 phases:
PREMIERE PHASE - Phase initiale ou incandescente (le pourcentage d'oxygène dans l'air à
peu près normal - 21%). Si l'ignition est obtenue au moyen d'une flamme, ou si le combustible est
constitué de gaz ou de vapeurs inflammables, cette phase de développement ne s'applique pas.
Elle s'applique aux incendies intéressant les combustibles solides dont l'ignition est amorcée au
moyen d'une petite source de chaleur. Cette phase de développement est caractérisée par les
incidences suivantes:
(a) l'incandescence peut se maintenir pendant quelques secondes ou plusieurs heures avant
que ne soient produites des flammes
(b) une fumée chaude sera libérée par la matière en incandescence et s'élèvera dans la partie
haute de l'aire volumétrique en perdant toutefois sa chaleur par transfert à l'atmosphère plus
froide et aux matériaux solides
(c) il n'y aura à peu près aucune diminution de la proportion d'oxygène dans l'air
(d) et à peu près aucune augmentation de la température dans l'aire volumétrique
(e) les dommages sont surtout imputables à la fumée
DEUXIEME PHASE - Période de production de flammes (l'oxygène dans l'air peut varier entre
21 et 15%)
Cette phase de développement présente les caractéristiques suivantes:
(a) la quantité de matière consumée augmente rapidement, de même que production de
chaleur
(b) période de croissance rapide et de destruction majeure
(c) la température de l'atmosphère intérieure augmente rapidement, causant son expansion
volumique; si le taux d'expansion dépasse le taux de fuite, la pression de l'atmosphère intérieure
sera supérieure à la pression de l'atmosphère extérieure
(d) cette augmentation de pression n'atteint qu'une fraction de psi mais elle peut exercer une
force suffisante pour causer vers l'extérieur la rupture des vitres affaiblies par la chaleur
excessive
(e) la chaleur sera principalement concentrée au niveau supérieur de l'atmosphère dans l'aire
du foyer d'incendie
(f) si le feu ne parvient pas à se frayer un ou des exutoires vers l'atmosphère extérieure, la
proportion d'oxygène dans l'air décroît rapidement
(g) le volume des flammes diminue en proportion de la diminution du pourcentage d'oxygène
dans l'atmosphère intérieure; la production de fumées augmente
(h) quand l'oxygène n'est plus qu'à 15% environ dans l'atmosphère intérieure, la production de
flammes cesse.
TROISIEME PHASE - Incandescence (le pourcentage d'oxygène dans l'air se situe à moins
de 15%)
Il y a peu d'incendies qui parviennent à cette phase, et ils se produisent habituellement dans
les sous-sol ou dans les bâtiments résistants au feu. La plupart des incendies dans les bâtiments
confinés parviennent à se créer des exutoires vers l'extérieur durant la période de production des
flammes. La phase trois est caractérisée comme suit:
(a) la quantité de matière consumée n'augmente plus et la production de chaleur diminue
(b) des pertes de chaleur ont lieux par absorbtion dans les solides plus froids, par convection
et par radiation à l'extérieur
(c) les pertes de chaleur peuvent s'avérer suffisantes pour causer une contraction volumique
de l'atmosphère intérieure, entraînant une chute de la pression à un niveau inférieur à la pression
de l'atmosphère extérieure; ce différentiel de pression peut s'avérer suffisant pour causer une
rupture vers l'intérieur des vitres affaiblies par la chaleur excessive
(d) si les vitres restent intactes, les pressions s'équilibreront par l'effet des infiltrations d'air de
l'extérieur
(e) l'atmosphère se stratifie selon les températures ambiantes; la principale accumulation de
chaleur excessive est localisée dans la partie haute de l'aire du foyer d'incendie
(f) la combustion incandescente se poursuit et l'atmosphère intérieure se remplit de fumées
contenant un pourcentage élevé de monoxyde de carbone
(g) l'atmosphère intérieure peut contenir suffisamment de combustible pour former avec l'air
un mélange inflammable; la phase trois semble engendrer les conditions de base pour une
explosion de fumée.
(h) un bâtiment n'est pas étanche et il se produit par conséquent des échanges entre les
atmosphères (intérieure et extérieure) après que le feu se soit engagé en phase trois; il semble
se produire continuellement des fluctuations entre la pression positive et négative à cause de la
contraction et de l'expansion de l'atmosphère intérieure de sorte que la fumée s'échappe par
l'augmentation de la pression et l'air s'infiltre par la contraction de l'atmosphère intérieure; il y
aura apparition intermittente de flammes dehors à proximité des points où l'oxygène est
disponible; ceci permet une circulation suffisante entre les atmosphères (intérieure et extérieure)
pour éventuellement permettre au feu de revenir à la seconde phase (émission active de
flammes).
Après que les flammes se soient manifestées dans une atmosphère confinée (phases 2 et 3),
les conditions suivantes peuvent s'avérer:
(a) une chaleur excessive sera accumulée dans la partie haute de l'atmosphère à la grandeur
de l'aire du foyer d'incendie; cette strate d'atmosphère surchauffée sera remplie de fumée et elle
peut s'échelonner vers le bas à partir du plafond sur quelques pieds; la strate supérieure peut
varier entre quelques centaines de degrés et 1500°F selon les circonstances et différents
facteurs; dans un incendie particulier, la température de cette stratification peut s'étendre de
300°F au point le plus bas jusqu'à plus de 1500°F au plafond; dans l'espace confiné de hauteur
de plafond normale, la température de l'atmosphère et des matériaux en hauteur peut dépasser
1500°F alors que la température au plancher ou près du plancher serait de moins de 212°F, la
température de l'eau en ébullition
(b) dans l'aire du foyer d'incendie, la fumée sera d'une densité suffissante pour nuire à la
visibilité
(c) dans l'aire du foyer d'incendie, l'atmosphère contient un pourcentage d'oxygène inférieur à
la normale et possède des propriétés toxiques et irritantes.
Avant que le personnel d'intervention investisse les lieux et travaillent dans l'aire du foyer
d'incendie, il est nécessaire de prendre des mesures pour atteindre les objectifs suivants:
(a) éliminer ou réduire la probabilité d'une explosion de fumée
(b) augmenter la visibilité de manière à permettre aux pompiers d'opérer à l'intérieur du
bâtiment
(c) abaisser la température intérieure pour permettre aux intervenants de pénétrer dans le
bâtiment et y travailler [s'y déployer]
(d) fournir à l'intérieur une atmosphère contenant un pourcentage normal d'oxygène dans l'air
(e) réduire les propriétés toxiques et irritantes de l'atmosphère intérieure de manière à
permettre aux intervenants d'opérer sans appareil respiratoire autonome ou avec un masque à
filtre.
À ce jour il était de pratique courante de recourir à la ventilation directe pour atteindre ces
objectifs. On parvient à ventiler directement en pratiquant des ouvertures (un exutoire et une
prise d'air) commodément localisées et de dimensions adéquates, afin de provoquer des
courants de ventilation entre les atmosphères intérieure et extérieure. La fumée et l'air chauds
s'échappent par le ou les exutoires alors que l'air frais de l'atmosphère extérieure pénètre par les
prises d'air, entraînant le remplacement de l'atmosphère intérieure par de l'air normal. Certains
services d'incendie ont utilisé des appareils mécaniques comme des ventilateurs d'extraction ou
des extracteurs de fumée pour accélérer le déplacement direct. Dans le présent ouvrage, on
appellera "méthode conventionnelle de ventilation" le déplacement direct d'une atmosphère
intérieure par de l'air extérieur.
Après que l'incendie soit parvenu en phase deux et que les flammes se soient développées en
volumes suffisants pour causer une accumulation de chaleur excessive dans l'aire du foyer
d'incendie, il y a des risques certains à vouloir procéder au déplacement direct de l'atmosphère
intérieure. La circulation d'air extérieur dans l'aire du foyer d'incendie procure suffisamment
d'oxygène pour soutenir la production active de flammes [la combustion en phase gazeuse]. Les
flammes gagneront rapidement tous les combustibles qui sont chauffés jusqu'à leur point
d'ignition ou au-delà. Le feu peut alors se propager hors de contrôle avant que des mesures
adéquates de suppression soient prises. Si l'incendie a atteint la phase trois, l'admission d'air
normal peut causer une explosion de fumée.
On doit noter que la chaleur excessive constitue le facteur qui crée des conditions anormales
dans le bâtiment concerné. Un excès de chaleur est responsable de l'origine de l'incendie, de sa
propagation et son maintien. La chaleur excessive constitue le noyau dur du problème pour le
contrôle et l'extinction d'un incendie majeur à l'intérieur. Si adroitement que soient appliquées les
méthodes conventionnelles de ventilation, elles ne procurent pas une solution logique ou pratique
pour le déplacement d'une atmosphère contaminée et surchauffée. Il existe une méthode
scientifique et pratique de transfert de la chaleur excessive de l'intérieur d'un bâtiment vers
l'atmosphère extérieure. LE PROCESSUS DE TRANSFERT DE LA CHALEUR EXCESSIVE
VERS L'ATMOSPHÈRE EXTÉRIEURE CONSISTE À DÉPLACER L'ATMOSPHERE
SURCHAUFFÉE ET CONTAMINÉE AU MOYEN D'UNE ATMOSPHÈRE INERTE DE VAPEUR.
ON MAINTIENT UNE ATMOSPHÈRE INERTE DANS L'AIRE DU FOYER D'INCENDIE JUSQU'À
CE QUE LE TRANSFERT DE CHALEUR EXCESSIVE SOIT COMPLÉTÉ, DE SORTE QUE LA
VAPEUR SE CONDENSE ET L'ATMOSPHÈRE SOIT REMPLACÉE PAR DE L'AIR
EXTÉRIEUR. Employée correctement, cette méthode entraîne une chaîne de réactions dans
l'aire du foyer d'incendie, causant l'extinction de la combustion en surface, procurant une
atmosphère d'air normal, ramenant la température intérieure à un niveau qui permet aux
intervenants de pénétrer dans le bâtiment pour éteindre les petits foyers et l'incandescence.
Cette méthode de déplacement d'une atmosphère chauffée et contaminée paraît fournir une
solution pratique pour prévenir les explosions de fumée.
ON OBTIENT CES RÉSULTATS EN INJECTANT DE L'EAU SOUS FORME DE FINES
PARTICULES DANS LA STRATE SUPÉRIEURE DE L'ATMOSPHÈRE DANS L'AIRE DU
FOYER D'INCENDIE. [...]
Principes et suggestions:
.1 S'il est nécessaire de rétablir la visibilité, les méthodes conventionnelles de ventilation
(déplacement direct) peuvent être employées alors que l'incendie est en première phase
.2 les méthodes conventionnelles de ventilation peuvent être employées après que le feu soit
passé en seconde phase si les flammes ne se sont pas développées suffisamment pour causer
une acumulation de chaleur excessive dans l'aire du foyer d'incendie
.3 s'il y a accumulation de chaleur excessive dans la partie haute de l'aire du foyer d'incendie,
on devrait recourir à la méthode d'attaque indirecte
.4 après avoir procédé à une attaque indirecte (LA CHALEUR EXCESSIVE FUT
TRANSFÉRÉE VERS L'ATMOSPHÈRE EXTÉRIEURE), on peut employer les méthode
conventionnelles de ventilation pour hâter le processus de condensation, pour diminuer le taux
d'humidité et pour abaisser plus avant la température intérieure. (Lloyd LAYMAN, Fire Fighting
Tactics, NFPA, Boston, 1953, pp.55-60)
VENTILATION (notions de)
En matière d'incendie, on peut évoquer trois notions distinctes du terme "ventilation" qui ont une
incidence sur l'investigation.
A. les systèmes de chauffage-climatisation des bâtiments ventilés artificiellement distribuent
l'air chauffé ou rafaraîchi dans des CONDUITS DE VENTILATION et récupèrent l'air vicié dans
des RETOURS
B. les chaufferies - locaux techniques - surtout ceux équipés d'appareils de combustion au gaz
ou à huile, sont souvent tout à fait indépendants des autres compartiments du bâtiment; l'AIR
REQUIS pour la combustion y arrive directement par un conduit d'air ouvrant sur l'extérieur. Cette
ouverture permet au local d'admettre de l'air sur demande des appareils de combustion (en
quantité suffisante pour permettre sans contrainte l'émission des fumées par la cheminée)
C. Les opérations de ventilation aux fins d'extinction sont conçues pour permettre
l'échappement de la fumée et des gaz de combustion d'un incendie de bâtiment ; on tente, par ce
moyen, d'opérer l'expulsion de l'atmosphère viciée et l'extinction de l'incendie [H. Chicoine, 1992]
Ventilation
Ventilation is the systematic removal of smoke from a building. Ventilation is usually
accomplished with one of two methods: positive and negative pressure ventilation. Positive
pressure ventilation increases the atmospheric pressure in the building until it is grater than the
pressure outside the building. With negative pressure ventilation, the pressure inside the building
is reduced until its less than the pressure outside the [email protected]
VERRE
Substance isotrope possédant les caractères macroscopiques d'un solide (forme, dureté ...), mais
non la régularité de structure caractéristique du cristal. Les verres sont thermodynamiquement
métastables, mais la transformation en cristal (dévitrification) est toujours très lente. Ils passent à
l'état liquide sans point de fusion net, mais dans une intervalle de température de transformations
(fusion pâteuse). Les verres les plus importants sont à base de SiO2. [DP 1991]
VOLATIL
Qualifie un liquide ou un solide ayant une forte tension de vapeur saturante. Exemples : éther,
camphre. [DP 1991]
VOLUME
Portion de l'espace occupée par un corps. [DP 1991]
-W-
WARM ZONE
The area where personnel and equipment decontamination and hot zone support takes place. It
includes control points for the access corridor and thus assists in reducing the spread of
contamination. This is also referred to as the "decontamination", "contamination reduction",
"yellow zone", "support zone", or "limited access zone" in other documents. (NFPA 472, 13) HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED
TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
WATER REACTIVE
Having properties of, when contacted by water, reacting violently, generating extreme heat,
burning, exploding, or rapidly reacting to produce an ignitable, toxic, or corrosive mist, vapor, or
gas. HAZARDOUS MATERIALS EMERGENCY RESPONSE GLOSSARY OF STANDARDIZED
TERMS, State of California's Chemical Emergency Planning and Response Commission, 1991
WATT [W]
Unité de puissance du système SI. 1 watt = 1 joule par seconde = 107 ergs par seconde = 0,102
kilogrammètre par seconde. [DP 1991]
WEIGHT(voir Poids)
The force acting on an object due to gravitational field. [Friedman 1989]
WETTING AGENT(agent mouillant)
A chemical that, when added to water, reduces its surface tension and improves its ability to
penetrate crevices. [Friedman 1989]
WICK (voir Mèche)
Suppose a high-flash-point bulk liquid has a wick projecting from it. The wick can be any
nonmelting porous material that the liquid is capable of wetting. The wick can consist of a bit of
cloth, paper, cardboard, etc., that is in contact with the pool of liquid. (A discarded cigarette might
simultaneously serve as a wick and an ignition source.) The liquid is drawn up the wick by surface
tension (capillarity), and the wick becomes covered with a thin film of the liquid. (For example,
immerse onr corner of a handkerchief in a glass of water and observe what happens.) If an
ignition source is applied to the wick (such as a match to a candle wick), the thin film of liquid is
heated rapidly to above its fire point and it ignites. As it burns, additional liquid is drawn up the
wick and feeds the fire. Of course, such a fire is trivial in size. However, if this small fire is in
contact with a large pool of high-flash-point liquid, its heat could eventually warm the liquid
immediatly adjacent to it so that the fire would spread from the wick to a portion of the liquid, and
ultimately grow to a large fire. [Friedman 1989]
Wildfire. Any fire occurring on wildlands that is not meeting management objectives and thus
requires a suppression response. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
Wildland Fire
All fires that burn in wildlands, including wildfires and all prescribed fires.
(http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
Wildland / Urban Interface. Areas where human communities are built in close proximity to
flammable fuels found in wildlands. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
Wind Throw
Trees blown over by high winds. (http://fire.nifc.nps.gov/fire/ecology/docs/glossary.html)
WORDS
Investigators document their work with words. An investigator's choice of words is vital to the
success of an investigation. Investigators must deal with concrete words that permit readers of
their words to visualize what happened, rather than abstract words that hinder such visualization.
For example, Hayakawa, in his book Language in Thought and Action points out that an object
can be described at various levels of abstraction. His "ladder of abstraction" shows how a specific
object, Bessie the Cow, can be described with increasing levels of abstraction, from Bessie - an
object we can see and touch - to the word "cow" which is valid but not specific to Bessie, to
increasingly generalized words, on up the ladder, such as hoofed species to mammal to animal to
living creature. Each higher level further impedes the ability to visualize Bessie, the investigator's
object of interest. Recognition that investigators must work at the bottom of the ladder of
abstraction to develop their descriptions of occurrences is essential to all that follows. To work at
the lowest, most concrete level of abstraction, investigators must describe what happened with
specificity, so the description can be visualized. (Ludwig Benner, MES Guide 1, TASK
GUIDANCE FOR DOCUMENTING EVENT BLOCKS, 1998)
WWW (réseaux) - sigle de " World Wide Web " "Toile de la taille de l'univers"
Nouveau protocole de serveurs spécifiques sur Internet permettant une unification des services
pour en faire un système plus large (Cf gopher, FTP, archie, anonymous FTP). Ce service permet
de diffuser de l'information sous forme de documents hypermédias placés sur des serveurs.
Chaque document peut contenir du texte formaté (titres, caractères gras et italiques, etc...) et des
images. Il peut également contenir des boutons et mots-sensibles qui donnent l'accès à des sons,
des images et à d'autres documents hypermédias sur le même serveur ou sur un autre serveur
dans l'Internet. (Glossaire Formation et Technologies, version 1.1, groupe de travail ERFET,
France)
- XYZ XÉNON
...du grec "xenos", étranger. Appartient au groupe 18, celui des Gaz Rares. C'est un gaz inodore,
incolore et généralement Inerte. Il est utilisé dans les lampes stroboscopiques, les tubes
électroniques et les lampes destinées à exciter les lasers à rubis. (Ivan Noels)
X-RAY DIFFRACTION
An analytical technique used to identify crystalline solids by measuring the characteristic spaces
between layers of atoms or molecules in a crystal. X-ray diffraction can be very useful in the
identification of explosive residues. (Glossary Of Terms Related To Chemical And Instrumental
Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
X-RAY FLUORESCENCE
A spectromphotometric analytical technique used to identify crystalline solids by measuring the
characteristic spaces between layers of atoms or molecules in a crystal. X-ray diffraction can be
very useful in the identification of explosive residues. (Glossary Of Terms Related To Chemical
And Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
XYLENE
Dimethylbenzene. An aromatic compound having the formula C6H4(CH3)2. Xylene is a major
component of gasoline. A mixture of toluene and xylene is frequently used as an automotive paint
thinner. Xylene is actually a mixture of three isomers, ortho, meta and para xylene, which have
the methyl groups in different positions relative to each other on the benzene ring. The flash
points of these isomers range from 81 to 115F, is used to calibrate flash point testers. The
explosive limits of xylene are 1.0% to 7.0%. (Glossary Of Terms Related To Chemical And
Instrumental Analysis Of Fire Debris, IAAI Forensic Science Committee)
ZINC
...de l'allemand "Zink", zinc. Appartient au Groupe 12. Ses minerais étaient déjà connus aux
temps préhistoriques. Cassant à des températures ordinaires, le zinc devient malléable entre 100
et 150 &degC. Assez bon conducteur de l'électricité, il brûle dans l'air quand il est chauffé au
rouge et émet alors des nuages blancs de son oxyde. Il est utilisé abondamment dans des
Alliages avec de nombreux autres métaux et aussi pour protéger par galvanisation le fer ou l'acier
de la corrosion. Il est employé également par l'industrie pharmaceutique, celle des cosmétiques,
l'industrie des plastiques, l'industrie textile et la production de pièces de monnaie. Le zinc est un
élément essentiel de la croissance et de la maturation sexuelle des humains et des animaux.
(Ivan Noels)
ZINC
Le zinc est un métal blanc bleuté de dureté moyenne. Il est cassant à la température ordinaire
mais devient malléable et ductile entre 100 et 150°C [212 et 302°F] puis redevient cassant audessus de 150°. Le zinc s'oxyde à l'air humide et se recouvre d'un film rigide de carbonate
basique de zinc Zn2CO3(OH)2 qui protège le métal de la corrosion ultérieure. Cette propriété est
la base de l'emploi principal du zinc : la protection du fer contre la rouille. Le fil ou les feuilles de
fer sont galvanisés en les plongeant dans du zinc fondu après les avoir décapés à l'acide
sulfurique ou au jet de sable; dans ces conditions, il se dépose une mince couche adhérante de
zinc sur le fer. Le fer galvanisé est quelquefois aussi obtenu par dépôt électrolytique de zinc sur
les pièces de fer. Le sulfate de zinc ZnSO4.7H2O est employé comme désinfectant... [Pauling
1958]
ZIRCONIUM
...de l'arabe "zargun", couleur d'or. Appartient au Groupe 4. Métal gris, le zirconium se trouve en
abondance dans de nombreuses étoiles et météorites. Certaines formes de zirconium ont
d'excellentes qualités en tant que pierres précieuses. Finement divisé, le métal peut s'enflammer
à l'air, particulièrement à des températures élevées. Il résiste exceptionnement bien à la corrosion
des Acides et des Bases communs, de l'eau de mer et d'autres Réactifs. Le zirconium est utilisé
de façon extensive par l'industrie chimique, là où des agents corrosifs sont employés. Il est aussi
utilisé en Alliage avec l'acier, pour la confection d'instruments chirurgicaux, dans les filaments de
lampes, les aimants supraconducteurs et dans l'industrie des verres et des céramiques. (Ivan
Noels)