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RE EVUE HEBDOM H MADAIR RE DES MARCHÉ M ÉS 21 MARS 201 14 INFORMATIO ON LA PLUS R RÉCENTE SUR R LES MARCHÉS PAR L’ÉQUIP PE DE RICHAR RDSON GMP Qu uestions moné étaires TSX COMPOSÉ E En page 2 : Ana alyse approfondie des société és et des secte eurs menacés o ou su usceptibles de profiter p de la fa aiblesse du hua ard. 14 500 Nos le ecteurs sont ce ertainement he eureux de céléb brer la première e journée comp plète du priintemps après un hiver long et e froid. Les ma archés sont mû ûrs eux aussi p pour une ccertaine forme de d renouveau. Cette semaine e, Janet Yellen a présidé sa premiière réunion de e la Fed. L’accu ueil initial peu enthousiaste e à son message assez vague e sur l’horizon des prochaines s hausses des taux a causé un u peu d’incerttitude mercrredi; les march hés ont été brad dés en milieu de d semaine, ma ais ils ont ensu uite rebon ndi pour terminer plus haut. La a réunion fut assurément le moment m fort de la sema aine. Les action ns du S&P 500 ont touché un sommet intrajo ournalier inéditt vendrredi pour clore la semaine en hausse de 1,3 3 %. Le TSX a aussi terminé e en force avec un gain de d 0,8 % et son n plus haut nive eau de clôture depuis juillet 2 2008. 14 300 Tous les actifs ont connu c leur part de volatilité du urant la semain ne, alors que le es actifs réels, en particulier l’or, ont expérimenté e de e la turbulence. Le métal jaun ne a é de 3,6 %. Les s marchés des monnaies ont aussi fluctué de manière chuté inhab bituelle, le dolla ar canadien sub bissant les pires assauts, com mme le montre le graph hique ci-dessou us illustrant la force f relative des principales monnaies intern nationales par rapport r au huard depuis le dé ébut de l’année e. Le dollar amé éricain a gag gné presque un n point mercred di après-midi, mais m retraité de epuis, alors que e les taux o obligataires se sont repliés. Sur le e plan sectoriel, les titres de consommation c de base canad diens (3,6 %) o ont été très p prisés et 80 % des d sociétés de e ce secteur on nt avancé dura ant la semaine, cette vigue eur étant surtou ut attribuable au ux solides béné éfices d’Alimen ntation Couche e-Tard et à l’annonce du dé épart de son fo ondateur Alain Bouchard. B Les titres de ommunications s ont poursuivi leur remontée, prenant globa alement 1,8 % ccette téléco sema aine, malgré leu ur sensibilité au ux taux d’intérê êt. Comme prév vu, le secteur d des matérriaux a été le plus p faible avec c un recul de 3,4 %. L’indice aurifère a TSX a été particulièremen p nt malmené, Fermeté des prrincipales monna aies régressant r de 7,8 7 % au courss des par rapport au $ CA cinq c dernières séances de USD GBP JPY E EUR AUD 110 négociation. n 108 106 104 102 100 16 mars 2014 01 mars 2014 14 févr. 2014 30 janv. 2014 15 janv. 2014 31 déc. 2013 98 La L vigueur du marché m américcain a été é généralisée e cette semain e. Les titres t des grand des sociétés on nt toutefois t eu le dessus et l’ind ice Russell R 2000 a avancé de seulement s 1,0 %. Tous les secteurs s ont inscrit des gainss, les télécommunica t ations (3,3 %), la 14 400 14 200 14 100 L u n M a r M e r J e u V e n S&P 500 1 890 1 880 1 870 1 860 1 850 1 840 1 830 l u n m a r m e c J e u V e n Source e : Bloomberg, Rich hardson GMP Limitée Craig Bas singer, CFA Chef des placcements 416.607.5221 1 Craig.Basinge er@RichardsonGM MP.com Gareth Wa atson, CFA Directeur, Gro oupe de gestion de e placements 416.969.3161 1 Gareth.Watso on@RichardsonGM MP.com nedet, CMT Derek Ben Analyste de re echerche Derek.Benede et@RichardsonGM MP.com Chris Kerllow, CFA Analyste de re echerche 416.943.6156 6 Chris.Kerlow@ @RichardsonGMP.com 2 REVUE HEBDOMADAIRE DES MARCHÉS finance (3,1 %) et la technologie (2,3 %) en tête. Le secteur des services aux collectivités a réussi à terminer la semaine sans gains ni pertes. Malgré les très fortes pressions de vente subies après l’annonce de la Fed, le secteur a regagné tout le terrain perdu plus tard durant la semaine. Pourcentage moyen de ventes à l’extérieur du Canada par secteur 100% % de ventes non canadiennes Il n’existe pas de règle simple qui puisse expliquer dans toutes ses nuances la façon dont les monnaies et les activités à l’étranger peuvent influencer les bénéfices. Et comme il n’y a pas deux sociétés identiques en termes de structure de coûts, de marché, de monnaie de présentation et de programmes de couverture, il faut analyser chacune individuellement. Il existe cependant des tendances sectorielles plus générales qui peuvent aider à cerner les occasions ou les risques supplémentaires liés aux devises (voir le tableau de droite). Nous avons basé notre analyse sur deux facteurs, l’un facilement quantifiable, l’autre un peu moins. Pour ce qui est du chiffre d’affaires, il suffit de déterminer les sociétés ou les secteurs qui réalisent le plus gros de leurs ventes à l’étranger (graphique du haut). Les coûts sont par contre plus difficiles à quantifier. Tout bien considéré, une société canadienne dont les ventes et les coûts sont en $ CA ne sera pas très touchée. Pensons aux fournisseurs de services de télécommunications. Il est vrai que leurs dépenses d’équipement sont en $ US, puisque Nortel ne les fournit plus. Cependant, la majorité de leurs coûts sont en dollars canadiens, si bien qu’ils ne sont pas très touchés. 40% 20% Télécomm. Cons. de base Finance Énergie Cons. disc. Serv. coll. Matériaux Industries 0% Technologie Nous avons assisté ces derniers mois à quelques fluctuations importantes sur les marchés des monnaies et, à un mois de la saison des résultats, cela devrait continuer d’avoir des effets assez marqués sur les bénéfices des sociétés. Le dollar canadien a perdu 5 % de sa valeur par rapport au dollar américain depuis le début de l’année, et 12 % depuis le premier trimestre de l’an dernier. Sa performance par rapport à d’autres monnaies comme l’euro et la livre est pire encore, et notre dollar s’est même déprécié par rapport au yen. Cela fait des gagnants et des perdants. En janvier, nous avions abordé cette question d’un point de vue conceptuel, soulevant le fait que les sociétés dont les coûts sont en $ US et les ventes en $ CA pourraient être menacées. À l’opposé, celles dont les coûts sont en $ CA et les ventes en $ US pourraient être avantagées. Dans cette revue hebdomadaire des marchés, nous analysons la question plus en profondeur. Moyenne 60% Santé Questions monétaires 80% Revenus en $ CA, coûts en devises Revenus en devises, coûts en $ CA Sociétés aériennes Détaillants en alimentation Détaillants généralistes Sociétés ferroviaires (dans une moindre mesure) Énergie (production intérieure) Biens d’équipement Foresterie Technologie Biens de consommation durables Prévisions consensuelles de croissance du PIB 3,50 É.-U. Canada 3,00 2,50 2,00 1,50 Une analyse plus détaillée de l’ensemble des sociétés canadiennes cotées ayant une capitalisation boursière supérieure à 1 milliard $ a révélé un certain nombre d’éléments qui peuvent s’avérer utiles dans une perspective de gestion de portefeuille. Environ la moitié des sociétés du secteur de la consommation discrétionnaire ont des revenus en $ US. Vêtements de Sport Gildan Inc. figure en tête de liste à ce chapitre, puisque pratiquement toutes ses ventes sont réalisées à l’extérieur du Canada, soit 90 % aux États-Unis et 7 % en Europe. Comme la majorité de ses coûts sont en $ CA et en monnaies des marchés émergents qui tendent à se déprécier, c’est clairement une situation gagnante. La majorité des entreprises de biens de consommation de base canadiennes sont des détaillants en alimentation qui importent un pourcentage important de leurs stocks des États-Unis. Toutefois, outre les trois grandes chaînes d’alimentation, qui sont exploitées uniquement au Canada, la plupart des autres acteurs du secteur comme Saputo et Aliment Couche-Tard sont très présents à l’étranger. Les grandes multinationales pétrolières et gazières intégrées ont toutes des entités à l’étranger et elles peuvent déployer leurs ressources dans les régions 2014 2015 2016 Prévisions consensuelles pour le dollar canadien 1,05 $ 1,00 $ 0,95 $ 0,90 $ 0,85 $ 0,80 $ 2014 2015 L'an dernier 2016 2017 Aujourd'hui Source : Bloomberg, Richardson GMP Limitée REVUE HEBDOMADAIRE DES MARCHÉS 3 profitables afin de tirer profit des différentiels de prix. De la même façon, toutes les entreprises d’équipement et de services énergétiques exercent des activités à l’étranger. Du côté des entreprises d’exploration et de production, on trouve un peu de tout : certaines concentrent toutes leurs activités au Canada alors que pour d’autres c’est le contraire. Évidemment, l’avantage tient au produit dans la mesure où le prix du pétrole est en $ US, peu importe le pays où il est exploité. Or, des coûts en $ CA et des ventes en $ US sont une heureuse combinaison. Les six grandes banques canadiennes et toutes les compagnies d’assurance ont une présence importante à l’étranger, ce qui signifie des revenus et des coûts à l’extérieur du Canada. La majorité des autres sociétés du secteur financier canadien sont très peu présentes à l’étranger pour des raisons réglementaires, fiscales et autres. Les accords de libre-échange canadiens avantagent grandement les secteurs de l’industrie et des technologies de l’information, parce qu’ils sont axés sur l’exportation. Presque tous les participants de ces secteurs ont d’importantes activités à l’étranger et profitent considérablement d’un repli du dollar canadien parce que leur coût des produits vendus est majoritairement engagé au pays. Le secteur des services aux collectivités est relativement peu influencé par les fluctuations des monnaies parce que bien qu’il compte beaucoup de multinationales, leurs coûts sont engendrés là où l’énergie est produite, de sorte que seul le bénéfice brut est vulnérable aux mouvements des monnaies. Il ne faut pas s’arrêter seulement aux monnaies. L’économie canadienne continue d’avancer lentement, mais elle fait face à des vents contraires. En ce moment, la faiblesse du dollar canadien peut aider, mais les perspectives sont plus robustes pour l’économie américaine. Si l’on se fie aux prévisions consensuelles, l’économie canadienne devrait croître de 2,25 % en 2014, 2,50 % l’an prochain e et 2,8 % en 2016 (2 graphique). L’économie américaine se dirige vers un taux de croissance de 2,7 % cette année et de 3,0 % pour les deux années suivantes. Une croissance plus forte, même si la différence n’est pas énorme, favorise aussi les sociétés canadiennes qui exercent des activités aux États-Unis. Conséquences pour les portefeuilles – Nous continuons de penser que les investisseurs devraient voir d’un bon œil une exposition au dollar américain. Évidemment, la façon la plus simple consiste à acheter des titres américains, mais il y a aussi d’autres façons d’augmenter sa participation, même en restant sur le marché canadien. On peut par exemple miser sur les sociétés qui exercent leurs activités principalement à l’extérieur du Canada ou celles dont les coûts en $ CA et les ventes à l’étranger permettent de tirer profit des mouvements récents des monnaies. Inversement, éviter les sociétés canadiennes dont les coûts sont engagés à l’étranger ou limiter ces placements peut être encore la meilleure stratégie pour l’instant. QUESTION DE LA SEMAINE Jim Flaherty a démissionné cette semaine, après l’un des plus longs mandats à la tête du ministère des Finances de l’histoire de notre pays. C’est Joe Oliver qui a été désigné pour lui succéder. Ce changement est-il préoccupant pour les Canadiens et pour leurs portefeuilles? Héritage des budgets Flaherty (en milliards $) 20 10 0 -10 -20 Projections -30 -40 -50 Source: Bloomberg 18-19 17-18 16-17 15-16 14-15 13-14 12-13 11-12 10-11 09-10 08-09 07-08 06-07 05-06 -60 Nul doute que le poste de ministre des Finances a été fort bien pourvu au Canada ces 20 dernières années. Quelles que soient vos allégeances politiques, il aurait été difficile de trouver mieux que Paul Martin ou Jim Flaherty. Pour ce qui est de M. Flaherty, il a toujours affirmé qu’il parviendrait à équilibrer le budget avant même de songer à tirer sa révérence, et c’est effectivement ce qu’il a fait si l’on tient compte du fonds de prévoyance de 3 milliards $ inclus dans le budget de cette année. Les investisseurs devraient-ils être inquiets? Nous ne le pensons pas, et d’ailleurs les marchés n’ont pas beaucoup réagi à la nouvelle et il y a eu peu de mouvement sur les marchés des actions et des titres à revenu fixe. Tout en reconnaissant que le dollar canadien a fléchi depuis la démission de M. Flaherty, nous estimons que cela est davantage REVUE HEBDOMADAIRE DES MARCHÉS 4 attribuable aux prévisions sur la politique monétaire canadienne et à la fermeté du billet vert à la suite de la réunion de cette semaine du Federal Reserve Open Markets Committee (FOMC). Cela dit, nous estimons également que M. Flaherty a bien choisi son moment pour trois raisons : (1) comme Mark Carney a quitté le Canada au moment où la perception à l’égard de la politique monétaire canadienne était en train de changer, M. Flaherty tire sa révérence au moment où le sentiment à l’égard de l’économie canadienne devient plus négatif (2) sur la question du fractionnement du revenu, M. Flaherty se préparait à une confrontation avec son caucus et le premier ministre qu’il aurait vraisemblablement perdue et (3) à seulement un peu plus d’un an de la prochaine élection, l’influence de M. Flaherty sur le budget de l’an prochain s’annonçait assez limitée dans la mesure où le Cabinet du premier ministre et la campagne conservatrice vont vraisemblablement commander la stratégie budgétaire. Joe Oliver comme remplaçant est un bon choix, puisque le premier ministre ne prend pas un engagement à long terme étant donné que M. Oliver est âgé de 73 ans et qu’il n’aspire pas à devenir chef un jour. Par contre, les compétences et l’expérience passée de M. Oliver à Bay Street donneront une impression de continuité et de stabilité, soit exactement ce dont le premier ministre a besoin en prévision de la prochaine élection. Par conséquent, même si nous devons à Jim Flaherty le plus gros déficit de l’histoire canadienne lors de la dernière récession – une étape nécessaire pour relancer l’économie – c’est aussi lui qui, de manière responsable, a ramené l’équilibre dans les comptes du pays. Ne reste plus qu’à espérer que cet accomplissement ne soit pas gâché l’an prochain par des promesses électorales au-dessus de nos moyens. RÉSULTATS ÉCONOMIQUES CETTE SEMAINE Canada Aucune donnée économique importante publiée la semaine prochaine au Canada. É.-U. Résultat Résultat préc. Indicateurs avancés 56,5 % 57,1 % Consommation personnelle 0,5 % 0,8 % Date 24 mars Jour Heure Donnée Lun. 9 h 45 25 mars Mar. 9h 25 mars Mar. 10 h Confiance des consommateurs 78,5 78,1 25 mars Mar. 10 h Ventes de maisons neuves 445 k 468 k 26 mars Mer. 8 h 30 Commandes de biens durables 0,8 % -1 % 27 mars Jeu. 8 h 30 PIB sur 3 mois (annualisé) 2,7 % 2,4 % 27 mars Jeu. 8 h 30 Consommation personnelle 2,6 % 2,6 % 27 mars Jeu. 8 h 30 Nouvelles demandes d’assurance-chômage 2 882,5 k 2 889 k 27 mars Jeu. 10 h Promesses de vente de logements existants 0,1 % 0,1 % 28 mars Ven. 8 h 30 Revenu personnel 0,3 % 0,3 % 28 mars Ven. 8 h 30 Dépenses personnelles 0,3 % 0,4 % 28 mars Ven. 9 h 55 Indice de confiance de l’Université du Michigan 80,5 79,9 RÉSULTATS DE BÉNÉFICES CETTE SEMAINE Canada Société LEGACY OIL + GAS GESTION AGF-B Symbole Secteur LEG AGF/B CHINA GOLD INTER CGG ADVANTAGE OIL & AAV BLACKBERRY LTD BB Cours Date du rapport Énergie 6,95 $ 25 mars 2014 Finance 12,10 $ 26 mars 2014 Matériaux 3,09 $ 26 mars 2014 Heure Estimation 0,02 $ 8 h 00 0,12 $ 0,16 $ Énergie 4,82 $ 27 mars 2014 0,03 $ Technologies de l’information 10,66 $ 28 mars 2014 -0,57 $ REVUE HEBDOMADAIRE DES MARCHÉS 5 É.-U. Société Symbole Secteur Cours Date du rapport CARNIVAL CORP CCL Consommation discrétionnaire 40,17 $ 25 mars 2014 MCCORMICK-N/V MKC Consommation de base 68,17 $ 25 mars 2014 PVH CORP PVH Consommation discrétionnaire 119,35 $ 25 mars 2014 WALGREEN CO WAG Consommation de base 66,02 $ PAYCHEX INC PAYX Technologies de l’information 42,88 $ Heure Estimation -0,08 $ 0,58 $ Apr. clôture 1,42 $ 25 mars 2014 7 h 30 0,93 $ 26 mars 2014 Apr. clôture 0,42 $ Av. ouverture 1,04 $ ACCENTURE PLC-A ACN Technologies de l’information 83,13 $ 27 mars 2014 GAMESTOP CORP-A GME Consommation discrétionnaire 38,83 $ 27 mars 2014 RED HAT INC RHT Technologies de l’information 58,27 $ 27 mars 2014 1,93 $ Apr. clôture 0,37 $ Cette publication est fournie à titre d’information générale et ne constitue pas une offre ou une sollicitation pour la vente ou l’achat des titres mentionnés aux présentes. Le rendement passé pourrait ne pas se répéter. Malgré tous les efforts pour produire ce rapport à partir d’information obtenue auprès de sources jugées dignes de foi, nous ne pouvons pas garantir que cette information est exacte ou complète. Avant de prendre une décision sur la base de cette information, veuillez obtenir des conseils financiers individuels qui tiennent compte de votre situation personnelle. Ni l’auteur ni Richardson GMP Limitée (RGMP) ne font aucune représentation ou ne fournissent aucune garantie, expresse ou implicite, relativement à cette information et n’assument aucune responsabilité pour les erreurs ou les omissions qu’elle pourrait contenir ou pour toute perte que l’utilisation de ce rapport ou de son contenu pourrait entraîner. Richardson GMP Limitée est membre du Fonds canadien de protection des épargnants. Richardson est une marque de commerce de James Richardson & Fils, Limitée. GMP est une marque de commerce déposée de GMP Valeurs Mobilières S.E.C. 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