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16 mars
2014
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2014
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2014
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2014
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S&P 500
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Source
e : Bloomberg, Rich
hardson GMP Limitée
Craig Bas
singer, CFA
Chef des placcements
416.607.5221
1
Craig.Basinge
er@RichardsonGM
MP.com
Gareth Wa
atson, CFA
Directeur, Gro
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416.969.3161
1
Gareth.Watso
on@RichardsonGM
MP.com
nedet, CMT
Derek Ben
Analyste de re
echerche
Derek.Benede
et@RichardsonGM
MP.com
Chris Kerllow, CFA
Analyste de re
echerche
416.943.6156
6
Chris.Kerlow@
@RichardsonGMP.com
2
REVUE HEBDOMADAIRE DES MARCHÉS
finance (3,1 %) et la technologie (2,3 %) en tête. Le secteur des services aux
collectivités a réussi à terminer la semaine sans gains ni pertes. Malgré les très
fortes pressions de vente subies après l’annonce de la Fed, le secteur a regagné
tout le terrain perdu plus tard durant la semaine.
Pourcentage moyen de ventes à l’extérieur
du Canada par secteur
100%
% de ventes non canadiennes
Il n’existe pas de règle simple qui puisse expliquer dans toutes ses nuances la
façon dont les monnaies et les activités à l’étranger peuvent influencer les
bénéfices. Et comme il n’y a pas deux sociétés identiques en termes de structure
de coûts, de marché, de monnaie de présentation et de programmes de
couverture, il faut analyser chacune individuellement. Il existe cependant des
tendances sectorielles plus générales qui peuvent aider à cerner les occasions ou
les risques supplémentaires liés aux devises (voir le tableau de droite).
Nous avons basé notre analyse sur deux facteurs, l’un facilement quantifiable,
l’autre un peu moins. Pour ce qui est du chiffre d’affaires, il suffit de déterminer
les sociétés ou les secteurs qui réalisent le plus gros de leurs ventes à l’étranger
(graphique du haut). Les coûts sont par contre plus difficiles à quantifier. Tout
bien considéré, une société canadienne dont les ventes et les coûts sont en $ CA
ne sera pas très touchée. Pensons aux fournisseurs de services de
télécommunications. Il est vrai que leurs dépenses d’équipement sont en $ US,
puisque Nortel ne les fournit plus. Cependant, la majorité de leurs coûts sont en
dollars canadiens, si bien qu’ils ne sont pas très touchés.
40%
20%
Télécomm.
Cons. de base
Finance
Énergie
Cons. disc.
Serv. coll.
Matériaux
Industries
0%
Technologie
Nous avons assisté ces derniers mois à quelques fluctuations importantes sur les
marchés des monnaies et, à un mois de la saison des résultats, cela devrait
continuer d’avoir des effets assez marqués sur les bénéfices des sociétés. Le
dollar canadien a perdu 5 % de sa valeur par rapport au dollar américain depuis
le début de l’année, et 12 % depuis le premier trimestre de l’an dernier. Sa
performance par rapport à d’autres monnaies comme l’euro et la livre est pire
encore, et notre dollar s’est même déprécié par rapport au yen. Cela fait des
gagnants et des perdants. En janvier, nous avions abordé cette question d’un
point de vue conceptuel, soulevant le fait que les sociétés dont les coûts sont en
$ US et les ventes en $ CA pourraient être menacées. À l’opposé, celles dont les
coûts sont en $ CA et les ventes en $ US pourraient être avantagées. Dans cette
revue hebdomadaire des marchés, nous analysons la question plus en
profondeur.
Moyenne
60%
Santé
Questions monétaires
80%
Revenus en $ CA,
coûts en devises
Revenus en devises,
coûts en $ CA
Sociétés aériennes
Détaillants en alimentation
Détaillants généralistes
Sociétés ferroviaires (dans
une moindre mesure)
Énergie (production intérieure)
Biens d’équipement
Foresterie
Technologie
Biens de consommation
durables
Prévisions consensuelles de croissance du PIB
3,50
É.-U.
Canada
3,00
2,50
2,00
1,50
Une analyse plus détaillée de l’ensemble des sociétés canadiennes cotées ayant
une capitalisation boursière supérieure à 1 milliard $ a révélé un certain nombre
d’éléments qui peuvent s’avérer utiles dans une perspective de gestion de
portefeuille. Environ la moitié des sociétés du secteur de la consommation
discrétionnaire ont des revenus en $ US. Vêtements de Sport Gildan Inc. figure
en tête de liste à ce chapitre, puisque pratiquement toutes ses ventes sont
réalisées à l’extérieur du Canada, soit 90 % aux États-Unis et 7 % en Europe.
Comme la majorité de ses coûts sont en $ CA et en monnaies des marchés
émergents qui tendent à se déprécier, c’est clairement une situation gagnante.
La majorité des entreprises de biens de consommation de base canadiennes sont
des détaillants en alimentation qui importent un pourcentage important de leurs
stocks des États-Unis. Toutefois, outre les trois grandes chaînes d’alimentation,
qui sont exploitées uniquement au Canada, la plupart des autres acteurs du
secteur comme Saputo et Aliment Couche-Tard sont très présents à l’étranger.
Les grandes multinationales pétrolières et gazières intégrées ont toutes des
entités à l’étranger et elles peuvent déployer leurs ressources dans les régions
2014
2015
2016
Prévisions consensuelles pour le dollar canadien
1,05 $
1,00 $
0,95 $
0,90 $
0,85 $
0,80 $
2014
2015
L'an dernier
2016
2017
Aujourd'hui
Source : Bloomberg, Richardson GMP Limitée
REVUE HEBDOMADAIRE DES MARCHÉS
3
profitables afin de tirer profit des différentiels de prix. De la même façon, toutes les entreprises d’équipement et de services
énergétiques exercent des activités à l’étranger. Du côté des entreprises d’exploration et de production, on trouve un peu de tout :
certaines concentrent toutes leurs activités au Canada alors que pour d’autres c’est le contraire. Évidemment, l’avantage tient au
produit dans la mesure où le prix du pétrole est en $ US, peu importe le pays où il est exploité. Or, des coûts en $ CA et des ventes en
$ US sont une heureuse combinaison.
Les six grandes banques canadiennes et toutes les compagnies d’assurance ont une présence importante à l’étranger, ce qui signifie
des revenus et des coûts à l’extérieur du Canada. La majorité des autres sociétés du secteur financier canadien sont très peu
présentes à l’étranger pour des raisons réglementaires, fiscales et autres.
Les accords de libre-échange canadiens avantagent grandement les secteurs de l’industrie et des technologies de l’information, parce
qu’ils sont axés sur l’exportation. Presque tous les participants de ces secteurs ont d’importantes activités à l’étranger et profitent
considérablement d’un repli du dollar canadien parce que leur coût des produits vendus est majoritairement engagé au pays.
Le secteur des services aux collectivités est relativement peu influencé par les fluctuations des monnaies parce que bien qu’il compte
beaucoup de multinationales, leurs coûts sont engendrés là où l’énergie est produite, de sorte que seul le bénéfice brut est vulnérable
aux mouvements des monnaies.
Il ne faut pas s’arrêter seulement aux monnaies. L’économie canadienne continue d’avancer lentement, mais elle fait face à des vents
contraires. En ce moment, la faiblesse du dollar canadien peut aider, mais les perspectives sont plus robustes pour l’économie
américaine. Si l’on se fie aux prévisions consensuelles, l’économie canadienne devrait croître de 2,25 % en 2014, 2,50 % l’an prochain
e
et 2,8 % en 2016 (2 graphique). L’économie américaine se dirige vers un taux de croissance de 2,7 % cette année et de 3,0 % pour
les deux années suivantes. Une croissance plus forte, même si la différence n’est pas énorme, favorise aussi les sociétés canadiennes
qui exercent des activités aux États-Unis.
Conséquences pour les portefeuilles – Nous continuons de penser que les investisseurs devraient voir d’un bon œil une exposition
au dollar américain. Évidemment, la façon la plus simple consiste à acheter des titres américains, mais il y a aussi d’autres façons
d’augmenter sa participation, même en restant sur le marché canadien. On peut par exemple miser sur les sociétés qui exercent leurs
activités principalement à l’extérieur du Canada ou celles dont les coûts en $ CA et les ventes à l’étranger permettent de tirer profit des
mouvements récents des monnaies. Inversement, éviter les sociétés canadiennes dont les coûts sont engagés à l’étranger ou limiter
ces placements peut être encore la meilleure stratégie pour l’instant.
QUESTION DE LA SEMAINE
Jim Flaherty a démissionné cette semaine, après l’un des plus longs mandats à la tête du ministère des Finances de l’histoire
de notre pays. C’est Joe Oliver qui a été désigné pour lui succéder. Ce changement est-il préoccupant pour les Canadiens et
pour leurs portefeuilles?
Héritage des budgets Flaherty (en milliards $)
20
10
0
-10
-20
Projections
-30
-40
-50
Source: Bloomberg
18-19
17-18
16-17
15-16
14-15
13-14
12-13
11-12
10-11
09-10
08-09
07-08
06-07
05-06
-60
Nul doute que le poste de ministre des Finances a été
fort bien pourvu au Canada ces 20 dernières années.
Quelles que soient vos allégeances politiques, il aurait
été difficile de trouver mieux que Paul Martin ou Jim
Flaherty. Pour ce qui est de M. Flaherty, il a toujours
affirmé qu’il parviendrait à équilibrer le budget avant
même de songer à tirer sa révérence, et c’est
effectivement ce qu’il a fait si l’on tient compte du fonds
de prévoyance de 3 milliards $ inclus dans le budget de
cette année. Les investisseurs devraient-ils être
inquiets? Nous ne le pensons pas, et d’ailleurs les
marchés n’ont pas beaucoup réagi à la nouvelle et il y a
eu peu de mouvement sur les marchés des actions et
des titres à revenu fixe. Tout en reconnaissant que le
dollar canadien a fléchi depuis la démission de
M. Flaherty, nous estimons que cela est davantage
REVUE HEBDOMADAIRE DES MARCHÉS
4
attribuable aux prévisions sur la politique monétaire canadienne et à la fermeté du billet vert à la suite de la réunion de cette semaine
du Federal Reserve Open Markets Committee (FOMC).
Cela dit, nous estimons également que M. Flaherty a bien choisi son moment pour trois raisons : (1) comme Mark Carney a quitté le
Canada au moment où la perception à l’égard de la politique monétaire canadienne était en train de changer, M. Flaherty tire sa
révérence au moment où le sentiment à l’égard de l’économie canadienne devient plus négatif (2) sur la question du fractionnement du
revenu, M. Flaherty se préparait à une confrontation avec son caucus et le premier ministre qu’il aurait vraisemblablement perdue et (3)
à seulement un peu plus d’un an de la prochaine élection, l’influence de M. Flaherty sur le budget de l’an prochain s’annonçait assez
limitée dans la mesure où le Cabinet du premier ministre et la campagne conservatrice vont vraisemblablement commander la stratégie
budgétaire.
Joe Oliver comme remplaçant est un bon choix, puisque le premier ministre ne prend pas un engagement à long terme étant donné
que M. Oliver est âgé de 73 ans et qu’il n’aspire pas à devenir chef un jour. Par contre, les compétences et l’expérience passée de
M. Oliver à Bay Street donneront une impression de continuité et de stabilité, soit exactement ce dont le premier ministre a besoin en
prévision de la prochaine élection.
Par conséquent, même si nous devons à Jim Flaherty le plus gros déficit de l’histoire canadienne lors de la dernière récession – une
étape nécessaire pour relancer l’économie – c’est aussi lui qui, de manière responsable, a ramené l’équilibre dans les comptes du
pays. Ne reste plus qu’à espérer que cet accomplissement ne soit pas gâché l’an prochain par des promesses électorales au-dessus
de nos moyens.
RÉSULTATS ÉCONOMIQUES CETTE SEMAINE
Canada
Aucune donnée économique importante publiée la semaine prochaine au Canada.
É.-U.
Résultat
Résultat
préc.
Indicateurs avancés
56,5 %
57,1 %
Consommation personnelle
0,5 %
0,8 %
Date
24 mars
Jour
Heure
Donnée
Lun.
9 h 45
25 mars
Mar.
9h
25 mars
Mar.
10 h
Confiance des consommateurs
78,5
78,1
25 mars
Mar.
10 h
Ventes de maisons neuves
445 k
468 k
26 mars
Mer.
8 h 30
Commandes de biens durables
0,8 %
-1 %
27 mars
Jeu.
8 h 30
PIB sur 3 mois (annualisé)
2,7 %
2,4 %
27 mars
Jeu.
8 h 30
Consommation personnelle
2,6 %
2,6 %
27 mars
Jeu.
8 h 30
Nouvelles demandes d’assurance-chômage
2 882,5 k
2 889 k
27 mars
Jeu.
10 h
Promesses de vente de logements existants
0,1 %
0,1 %
28 mars
Ven.
8 h 30
Revenu personnel
0,3 %
0,3 %
28 mars
Ven.
8 h 30
Dépenses personnelles
0,3 %
0,4 %
28 mars
Ven.
9 h 55
Indice de confiance de l’Université du Michigan
80,5
79,9
RÉSULTATS DE BÉNÉFICES CETTE SEMAINE
Canada
Société
LEGACY OIL + GAS
GESTION AGF-B
Symbole Secteur
LEG
AGF/B
CHINA GOLD INTER
CGG
ADVANTAGE OIL &
AAV
BLACKBERRY LTD
BB
Cours
Date du rapport
Énergie
6,95 $
25 mars 2014
Finance
12,10 $
26 mars 2014
Matériaux
3,09 $
26 mars 2014
Heure
Estimation
0,02 $
8 h 00
0,12 $
0,16 $
Énergie
4,82 $
27 mars 2014
0,03 $
Technologies de l’information
10,66 $
28 mars 2014
-0,57 $
REVUE HEBDOMADAIRE DES MARCHÉS
5
É.-U.
Société
Symbole Secteur
Cours
Date du rapport
CARNIVAL CORP
CCL
Consommation discrétionnaire
40,17 $
25 mars 2014
MCCORMICK-N/V
MKC
Consommation de base
68,17 $
25 mars 2014
PVH CORP
PVH
Consommation discrétionnaire
119,35 $
25 mars 2014
WALGREEN CO
WAG
Consommation de base
66,02 $
PAYCHEX INC
PAYX
Technologies de l’information
42,88 $
Heure
Estimation
-0,08 $
0,58 $
Apr. clôture
1,42 $
25 mars 2014
7 h 30
0,93 $
26 mars 2014
Apr. clôture
0,42 $
Av. ouverture
1,04 $
ACCENTURE PLC-A
ACN
Technologies de l’information
83,13 $
27 mars 2014
GAMESTOP CORP-A
GME
Consommation discrétionnaire
38,83 $
27 mars 2014
RED HAT INC
RHT
Technologies de l’information
58,27 $
27 mars 2014
1,93 $
Apr. clôture
0,37 $
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