PV réunion d`information du 21 mars 2016 - e

Transcription

PV réunion d`information du 21 mars 2016 - e
Procès Verbal
de la séance d’information relative au
marché 2016 UN 002
intitulé :
Marché public pluriannuel de fournitures ayant pour
objet l'acquisition, la livraison, l'installation, la
configuration, la mise en service et le support d'un
système de stockage multi-site répliqué et synchrone
d'un minimum de 200 TB
Namur, le 21 mars 2016.
1 PERSONNES PRÉSENTES :
Nom
Entreprise
email
Vincent De Maeyer
Dell NV
[email protected]
Erwan Dewel
IRIS ICT
[email protected]
Marc Roelants
IRIS ICT
[email protected]
Patrick Gobert
NSI
[email protected]
Antoine Nikolis
Lenovo
[email protected]
Bertram le Duc
Aprycus
[email protected]
Ralph Ririhena
TTEC
[email protected]
Alfredo Bonafede
HPE
[email protected]
Laurent Honette
Computacenter
[email protected]
m
Nicolas Duchene
Computacenter
[email protected]
m
Frederic Wautelet
UNamur
[email protected]
David Colignon
ULg
[email protected]
Thomas Keutgen
UCL
[email protected]
Damien François
UCL
[email protected]
Juan Cabrera
CÉCI
[email protected]
2 QUESTIONS POSÉES PAR TTEC
Correspondant :

Ririhena, Ralph ([email protected])
2.1 WE HAVE TO FINISH THE OFFER/DOCUMENT BY THE 14TH APRIL
2016, WHEN IS THE IMPLEMENTATION/DELIVERY OF THE
SOLUTION PLANNED?
Voir point 14.1.3 dans le CSC :
14.1.3 Les délais de livraison seront proposés par le soumissionnaire. Ils seront exprimés
en mois, en semaines ou en jours de calendrier, prenant cours le lendemain de la date de
chaque commande partielle.
Le soumissionnaire doit proposer un délai de livraison “raisonnable” qu’il est sûr de pouvoir
tenir.
2.2 WHEN THE MINIMUM CONFIGURATION REQUIREMENTS DO NOT
DELIVER THE REQUESTED PERFORMANCE, HOW WILL CECI
HANDLE THAT?
Voir point 9.1 dans CSC :
Il est à noter que les douze benchmarks proposés au point 9.3. “Critères des résultats des
benchmarks (39 points)” seront tous à reproduire à 5 % près une fois la solution installée
sur site. Ceci conditionnera la réception provisoire de l’installation. En cas de nonconformité, le soumissionnaire s’engage à mettre en œuvre les moyens techniques
permettant de reproduire les résultats annoncés. Si, malgré les efforts déployés, le
soumissionnaire ne parvient pas à respecter son engagement, une pénalité représentant
15 % du montant global du projet HTVA, soit 46.500,00 €, sera retenue sur la facture
finale.
2.3 ABOUT THE BENCHMARK; SHOULD WE ONLY BENCHMARK THE
GATEWAY AS THIS IS RELEVANT FOR THE SOLUTION?
Non, certains benchmarks doivent tourner sur un des serveurs de stockage principal, voir
point 9.3.1 dans le CSC :
9.3.1.1 Benchmarks « iozone » sur le stockage local d’un des serveurs d’accès (18 points)
9.3.1.2 Benchmark « iozone » sur un des serveurs attaché au stockage (9 points)
Les tests « 9.3.2 Benchmarks « temps de dépaquetage des sources Linux » (12 points) »
sont aussi à réaliser sur un serveur d’accès et un serveur de stockage. Ces benchmarks
devront être reproduits à 5% près sur site en mode production mais en local,
indépendamment du réseau entre le serveur d’accès et le serveur de stockage.
2.4 WHAT IS THE PURPOSE OF THE BENCHMARK?
Les résultats des benchmarks font partie des critères d’attribution du marché. Ils
permettent de vérifier que les performances des serveurs d’accès et des serveurs de
stockage principaux sont celles attendues et que la solution est équilibrée. Leur
reproduction sur site à 5% près constitue aussi un test de réception de la solution.
2.5 CAN SUPPLIERS WORK WITH 3RD PARTY FOR INSTALLATION?
Oui, mais il faut fournir une liste détaillé des sous-traitants, voir point 8 dans le CSC :
8.3 Capacité technique ou professionnelle
Aussi, il transmettra un organigramme de l’équipe (liste des personnes et leurs fonctions)
et/ou des sous-traitants susceptibles d’être associés à ces opérations.
8.2.4.7en application de l’article 72, 10 ° de l’arrêté royal du 15 juillet 2011, l’indication
de la part du marché que le prestataire de services a éventuellement l’intention de soustraiter.
8.3.1Conformément à l’article 74 de l’arrêté royal du 15 juillet 2011, un soumissionnaire
peut, dans le cadre de ce marché, faire valoir la capacité économique et financière d'autres
entités, quelle que soit la nature juridique des liens existant entre lui-même et ces entités.
Il prouve, dans ce cas, au pouvoir adjudicateur que, pour l'exécution du marché, il
disposera des moyens nécessaires par la production de l'engagement de ces entités de
mettre de tels moyens à la disposition du soumissionnaire.
2.6 THE DEADLINE OF THE 14TH OF APRIL IS QUIT SOON IF THE
BENCHMARK STILL HAS TO BE DONE. IS IT POSSIBLE TO GIVE THE
SUPPLIERS SOME MORE TIME TO SETUP A GOOD DOCUMENT?
Non, voir point 10 dans le CSC :
10.2.1 Conformément à l’article 90, § 2 de l’arrêté royal du 15 juillet 2011, toute offre,
doit parvenir au Président de séance ou à son délégué AVANT que la séance d’ouverture
des offres prévue au local 283, 2ème étage, rue de Bruxelles 61 5000 NAMUR ne soit
déclarée ouverte.
10.4.1 Conformément aux dispositions de l'article 90, § 2 de l’arrêté royal du 15 juillet
2011, les offres doivent parvenir au Président de la séance d'ouverture avant qu'il ne la
déclare ouverte.
10.4.2 Quelle qu’en soit la cause, les offres parvenues tardivement auprès du Président
seront refusées ou conservées par le pouvoir adjudicateur sans être ouvertes.
Toutes les valeurs des résultats des benchmarks doivent faire partie de l’offre remise le
14 avril.
2.7 IN THE DOCUMENT FOR THE BENCHMARK THERE IS MENTIONED
“TIME NEEDED TO UNWRAP THE LINUX SOURCE CODE”. ARE YOU
JUST TALKING ABOUT THE KERNEL IN THIS CASE? WHAT
VERSION?
Le code fourni dans les annexes du CSC (41 Annexe T/2: scripts des tests) contient les
versions des noyaux à dépaqueter ainsi que toute la procédure pour le test:
targz=( \
'v4.x/linux-4.0.9.tar.gz'
'v4.x/linux-4.1.10.tar.gz'
'v4.x/linux-4.2.3.tar.gz'
'v3.x/linux-3.12.49.tar.gz'
'v3.x/linux-3.19.8.tar.gz'
)
\
\
\
\
\
2.8 IS THERE A CHECKLIST AVAILABLE FOR ALL TECHNICAL
DETAILS/REQUIREMENTS THE SOLUTION SHOULD MEET?
Non, le soumissionnaire doit répondre point par point à toutes les spécifications techniques
énoncées dans le CSC.
2.9 DO WE NEED TO PROVIDE NETWORK SWITCHES AS WELL?
Oui, des switches sont nécessaires pour la connexion au réseau 10Gb de Belnet pour
l’installation de l’UCL et de l’ULg, voir point 35.2.3 dans le CSC :
35.2.3 Équipements réseau
Les switches nécessaires à l’installation des deux infrastructures de stockage principales
seront inclus à l’offre. Ces switches devront en outre permettre la connexion des serveurs
d’accès de l’UCL et ULg. En plus de ce qui a été cité plus haut, un transceiver LR est
nécessaire pour la connexion au réseau Belnet à l’UCL et SR pour l’ULg.
3 QUESTIONS POSÉES PAR COMPUTACENTER
Correspondants :


[email protected]
[email protected]
3.1 SÉLECTION QUALITATIVE, CAPACITÉ ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE
– CAUTIONNEMENT : QUE VAUT 10% DE LA VALEUR TOTALE DE
1ÈRE ANNÉE DU MARCHÉ (10% DE 310.000/5 =
6.200EUR) ?
LA
Non. Le cautionnement est de 10% de la totalité car il se rapporte à la partie fournitures
+ services dont la somme doit donner 310.000 € HTVA. Voir point 12.2. du CSC:
12.2.1 Pour la partie « Fournitures »
12.2.1.1 Par dérogation à l’article 25, § 2, alinéa 1 de l’arrêté royal du 14 janvier 2013, le
cautionnement est fixé à 10 % du montant repris sur le bon de commande (hors TVA).
12.2.2 Pour la partie « Services »
12.2.2.1 Par dérogation à l’article 25, § 2, alinéa 1 de l’arrêté royal du 14 janvier 2013, le
cautionnement est fixé à 10 % du montant repris sur le bon de commande (hors TVA).
12.3 Libération du cautionnement
Par dérogation aux articles 133 et 158 de l’arrêté royal du 14 janvier 2013, le
cautionnement sera remboursé en une fois :
en ce qui concerne les fournitures, après la réception provisoire de celles-ci ;
en ce qui concerne les prestations de services, après la réception définitive de celles-ci.
La répartition des montants entre la partie “fourniture” et la partie “service” sera indiquée
par le soumissionnaire au point “53 Annexe A/1 : Inventaire” du CSC.
3.2 QUEL TYPE DE DÉCLARATION FAUT-IL ? UNE SIMPLE LETTRE
ATTESTANT DE L’APTITUDE À CE CAUTIONNEMENT ?
Oui, une simple lettre attestant de l’aptitude à ce cautionnement est suffisante. En cas de
doute, contacter l’administration de l’UNamur.
3.3 CONFIRMEZ-VOUS QUE LES DÉLAIS DE LIVRAISON NE FONT PAS
PARTIE DES CRITÈRES D’ATTRIBUTION ?
Oui. Nous demandons au soumissionnaire d’indiquer dans son offre un délai “raisonnable”
qu’il sera en mesure de respecter.
3.4 LA SOLUTION HPC TOURNE T’ELLE SUR LUSTRE ? OU GPFS ?
OU AUTRE ?
Chaque cluster possède déjà son propre système de stockage “scratch” : Lemaitre 
Lustre, Hmem  BeeGFS, Vega GPFS, NIC4 => BeeGFS
Un protocole plus rapide que NFS serait-il accepté pour faire de l’off-load/Tiering des
différentes fermes HPC vers la solution de stockage distribué ?
En interne et entre les serveurs de stockage principaux et les serveurs d’accès, la solution
de stockage peut utiliser un protocole plus rapide que NFS, mais les serveurs d’accès
doivent obligatoirement exporter l’espace de stockage vers les clusters en NFS.
3.5 UN UTILITAIRE NATIF LUSTRE BEAUCOUP PLUS RAPIDE
UTILISANT DE L’HTTP REST EST COMPATIBLE AVEC NOTRE
SOLUTION. NOUS EST-IL POSSIBLE DE LE PROPOSER À LA PLACE
DE NFS ?
Non, même réponse que ci-dessus, la solution proposée doit obligatoirement permettre
d’exporter en NFS l’espace de stockage via les serveurs d’accès. La solution ne doit pas
être intrusive. Nous ne voulons pas installer de clients dédiés sur les nœuds de calcul ni
sur les front-ends. La solution sera universelle et indépendante du type de nœuds de
calcul.
3.6 DANS L’OPTIQUE OU LES FERMES HPCC PEUVENT DIRECTEMENT
ACCÉDER À LA SOLUTION DE STOCKAGE VIA UN LIEN 10GB/S
AVEC, UNE SOLUTION BASÉE SANS LA BRIQUE DE CACHE SERA
T’ELLE ÉVALUÉE OU EXCLUE ?
Exclue: les serveurs d’accès avec cache disque local sont obligatoires sur les 5 sites.
3.7 AFIN DE PROPOSER UNE SOLUTION AVEC BEAUCOUP PLUS DE
VOLUMÉTRIE SERAIT-IL POSSIBLE DE DISTRIBUER LE STOCKAGE
SUR 3 SITES AU LIEU DE 2 ?
Non. Le CSC précise que le système de stockage sera mis en place à l’ULg et à l’UCL. Les
5 sites auront des serveurs d’accès avec cache disque. Les ressources techniques
(espace libre dans les racks, équipement ou personnel) ne sont pas disponibles en
nombre suffisant sur les 3 autres sites.
3.8 POSSÉDEZ-VOUS DES LIENS DÉDIÉS 10GB/S AVEC UNE LATENCE
INFÉRIEURE À 10 MS ENTRE 3 SITES ?
Voir point 33.2 dans le CSC et les résultats des tests iperf and qperf dans l’annexe
technique du CSC: 40. Annexe T/1 : Résultats des tests du réseau 10Gbps de Belnet.
33.2 Réseau inter-sites
Pour le moment, chaque cluster est connecté au réseau public de Belnet (routed, layer 3,
1 Gbps). Afin de permettre l’installation de la solution de stockage, un réseau 10 Gbps
dédié à ce projet sera installé par Belnet qui garantit que la latence maximale de ce
nouveau réseau 10 Gbps (virtual switching, layer-2) ne dépassera pas les 5 ms en
charge, et 2 à 3 ms en utilisation normale. Les résultats des tests déjà réalisés
entre UCL et ULg avec iperf et qperf sont détaillés au point Annexe T/1 : Résultats des
tests du réseau 10Gbps de Belnet. Il est à noter qu’un seul port 10 Gbps sera installé sur
chacun des cinq sites. Ce nouveau réseau sera opérationnel avant la livraison et
l’installation de la solution de stockage faisant l’objet de ce CSC.
En principe cette latence qui a été mesurée entre Liège et Louvain sera égale ou très
proche pour toutes les autres paires de sites envisageables.
3.9 LE RAID-6 OU ÉQUIVALENT EST LE STANDARD DEMANDÉ.
SACHANT QUE LES TEMPS DE RECONSTRUCTION DES DISQUES EN
RAID SONT EN MOYENNE DE 5 HEURES / TB, L’UNIVERSITÉ
DONNERA-T-ELLE UN AVANTAGE POUR LES TECHNOLOGIES
D’ERASURE CODING OFFRANT DES TEMPS DE RECONSTRUCTION
15 FOIS PLUS RAPIDE ? (20 MINUTES / TB)
Non, car cela ne fait pas partie des critères d’attribution et de pondération du marché, voir
point 9 du CSC.
Ce qui est demandé au minimum se trouve au point 35.2.1 du CSC:
35.2.1 Infrastructures de stockage
…configuré de manière à permettre la perte simultanée de deux disques sur la même baie
et leur remplacement à chaud sans perte de donnée ni interruption de service ;
4 QUESTIONS POSÉES PAR IRIS
Correspondant :

[email protected]
4.1 EST-CE QUE UN FAIL OVER AUTOMATIQUE EST REQUIS POUR LA
REDONDANCE LOCALE. NOUS PROPOSONS UNE SOLUTION HOT
STANDBY BASÉE SUR UNE REDONDANCE SERVEUR LOCALE
NÉCESSITANT UNE INTERVENTION MANUELLE DOUBLÉE D’UN FAIL
OVER AUTOMATIQUE SUR LE SITE DISTANT (EN MODE DÉGRADÉ)
Au niveau des 2 infrastructures de stockage principales, la procédure doit être
automatique, voir point 34 du CSC :
34 Bénéfices recherchés et solution demandée
…La solution doit pouvoir supporter de manière automatique et transparente pour les
utilisateurs la perte complète d’une des deux infrastructures de stockage.
35.2.1 Infrastructures de stockage
…La solution doit inclure une redondance des serveurs auxquels les baies de
stockages sont attachées. Néanmoins, il n’est pas utile de prévoir une réplication locale
complète des données qui permettrait de se prémunir de la perte de l’entièreté d’une baie
de disques.
Au niveau des serveurs d’accès un fail-over automatique n’est pas imposé, voir le point
35.2.2 du CSC :
Les serveurs d’accès ne doivent pas être redondants et offrir de la haute disponibilité (HA
- « High Availability »). En effet, en cas d’indisponibilité temporaire d’un serveur d’accès
sur un site, les utilisateurs auront toujours accès en lecture à leurs données en se
connectant sur un cluster sur un autre site.
5 QUESTIONS POSÉES PAR NSI
Correspondant :

[email protected]
5.1 § 35.1.2 ET AU § 37 LE CSC MENTIONNE DES DURÉES DE
GARANTIE DE 4 ANS. AU § 35.1.3 LA GARANTIE DEMANDÉE EST
DE 5 ANS. LA DURÉE DU MARCHÉ ÉTANT DE 5 ANS, POUVEZ-VOUS
PRÉCISER LA DURÉE DE GARANTIE ATTENDUE.
35.1.3 Disques durs
Tous les disques « données » (à l’exclusion des disques systèmes) devront être
certifiés de qualité « enterprise » (24h x 7j) avec une garantie de 5 ans.
37. Garantie, support et service
L'offre inclura une garantie de 4 ans avec service sur site (next business day, working
hours) pour l'infrastructure matérielle et logicielle (le support logiciel, les mises à jour et
les corrections des bugs doivent donc être disponibles pendant cette période). La période
de garantie débutant à la date de la réception provisoire.
…
Le soumissionnaire indiquera en option le coût d’une extension de la garantie matérielle
(service NBD) pour une année supplémentaire, qui fera partie des critères d’attribution
(cf. point 9.4). Le CÉCI se réserve le droit d’’utiliser cette option ou non à la fin de la
quatrième année de garantie.
Donc garantie de base de 4 ans pour tout le matériel, avec reconduction possible pour
un an, SAUF pour les disques data (à l’exclusion des disques système) qui
doivent être garantis 5 ans.
5.2 EN CAS D’ACCORD AVEC UN SOUS-CONTRACTANT, EST-IL ACCEPTÉ
D’UTILISER LES RÉFÉRENCES DU SOUS-CONTRACTANT POUR
RÉPONDRE À L’EXIGENCE 8.2.4.3 ?
Non, le soumissionnaire doit utiliser ses références propres :
8.2.4.3 en application de l’article 71, 3° de l’arrêté royal du 15 juillet 2011, le
soumissionnaire démontrera son expérience en soumettant une liste des principaux
marchés de fournitures avec un système de fichier similaire à celui décrit dans la partie
II du présent document qu’il a réalisés au cours des trois dernières années d'une valeur
minimale de 200.000 € dans un pays européen.
5.3 EN CAS D’ACCORD AVEC UN SOUS-CONTRACTANTS, EST-IL
ACCEPTÉ D’UTILISER LES CV DE CONSULTANTS DU SOUSCONTRACTANT POUR RÉPONDRE À L’EXIGENCE 8.2.3 ?
Oui, mais le soumissionnaire doit lui aussi démontrer ses capacités professionnelles et
techniques propres.
5.4 EST-IL ABSOLUMENT NÉCESSAIRE DE PROPOSER UNE
COMPRESSION À LA VOLÉE OU POUVONS-NOUS POUR DES
RAISONS DE PERFORMANCES ET DE COÛT PROPOSER UNE
COMPRESSION BASÉE SUR DES POLICIES EN POST-PROCESSING
?
Oui, il est obligatoire d’utiliser la compression à la volée des données écrites, voir point
36.2.1 du CSC :
36.2.1 Gestion des données
…..
la compression à la volée des données écrites
la création journalière de « snapshots » pour la restitution des fichiers effacés
accidentellement et jusqu’à 90 snapshots consécutifs …