Table des matières - Performances Group

Semaine 06 – du 07 au 13 février 2011
N° 160
Table des matières
Le patron de Fiat veut délocaliser le siège aux Etats-Unis
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Private airline, Arik, to fly Nigerian flag on Turkey route
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Airlines benefiting from high demand for flights to southern Sudan
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Bollore eyes $150 mln Guinea dry port investment
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Air Madagascar offre « Flysmart » le paiement de billets par mobile
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Renault dévoile un plan stratégique «plus réaliste»
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Senegal Airlines in bid to revive Airbus jet order
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AU Summit Identifies Key Priority Infrastructure Projects
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Le patron de Fiat veut délocaliser le siège aux Etats-Unis
Sergio Marchionne a indiqué que la fusionde Fiat avec Chrysler sera effective dans 2 ou 3 ans. Le
groupe aura selon lui un siège unique basé aux Etats-Unis. Ces déclarations ont suscité l'émoi en
Italie.
Sergio Marchionne, administrateur délégué de Fiat.
lancement du Jeep Grand Cherokee à Détroit.
REUTERS/Rebecca Cook
Le patron de Fiat Sergio Marchionne a estimé vendredi 4 février à San Francisco que Fiat et Chrysler
pourraient fusionner d'ici deux-trois ans dans un seul
groupe qui aurait son siège aux Etats-Unis, ont rapporté samedi les médias italiens. "Fiat et Chrysler?
Dans les deux ou trois prochaines années, nous
pourrons voir une seule entité. Elle pourrait être
basée ici aux Etats-Unis", a déclaré M. Marchionne,
cité par Il Corriere della Sera. "Il faudra cependant
d'abord intégrer les entreprises et ensuite examiner la gouvernance", a-t-il ajouté.
Ces déclarations n'ont pas manqué de faire grand bruit en italie, où Fiat est considéré comme un
symbole national. Le maire de Turin, où se trouve aussi le siège historique du groupe, a exigé une
"clarification immédiate". "Il est évident qu'un groupe international peut avoir plusieurs sièges, mais
ça serait différent si la maison-mère était aux Etats-Unis", s'est inquiété Sergio Chiamparino.
Samedi, plusieurs responsables politiques, notamment de gauche, se sont également
indignés. Face à cette levée de boucliers, une rencontre entre M. Marchionne et le ministre du
Développement économique Paolo Romani devrait avoir lieu la semaine prochaine, selon
l'agence italienne Ansa.
Le groupe automobile italien Fiat a augmenté le mois dernier de 20 à 25% sa part dans son partenaire américain Chrysler au sein duquel il envisage de grimper à 51% du capital cette année.
Fiat détenait 20% de Chrysler depuis sa sortie du dépôt de bilan en juin 2009 et l'accord signé à
l'époque avec l'administration américaine prévoyait une augmentation progressive de sa participation jusqu'à 35% par paliers de 5%. Le groupe italien dispose par ailleurs du contrôle opérationnel de Chrysler, le directeur général de Fiat, Sergio Marchionne, ayant pris les commandes du
groupe américain.
Cette polémique intervient alors que M. Marchionne est déjà accusé par certains syndicats et
responsables politiques de "chantage" après l'adoption d'un accord durcissant les conditions de
travail dans son usine de Mirafiori à Turin. La Fiom, branche métallurgie de la CGIL (gauche), le
plus grand syndicat italien, a été la seule organisation à rejeter cet accord, dont dépendait la
survie de l'usine, mais qui a été approuvé par 54% des salariés lors d'un référendum. Considéré
comme un tournant dans le pays, l'accord de Mirafiori, qui prévoit des rotations de nuit et plus
d'heures supplémentaires, passe par la mise au point d'un contrat spécifique pour l'usine dont les
ouvriers ne dépendront plus de la convention collective de la métallurgie.
Sergio Marchionne veut généraliser les accords approuvés à Mirafiori et auparavant à Pomigliano
en juin dernier aux autres usines italiennes pour y améliorer la productivité. Il en a fait la condition
sine qua non au lancement d'investissements dans le pays, et peut-être aussi désormais au maintien du siège de Fiat en Italie.
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Private airline, Arik, to fly Nigerian flag on Turkey route
Abuja, Nigeria (PANA) - Nigeria has approved one of the country's private airlines, Arik, to fly its
flag on the Abuja-Istanbul route beginning from June this year, Minister of Aviation Fidelia Njeze
said Thursday.
The development follows new negotiations in Istanbul on the existing Bilateral Air Services Agreement (BASA) signed between Nigeria and Turkey, where President Goodluck Jonathan is current
on a three-day official visit.
“By June this year, to be precise, the Nigeria side of the BASA would come into play. Good
enough, Arik is now collaborating with Turkish Airline in that aspect. And by June, Arik will start flying from Nigeria to Turkey and that would now fulfil the Nigerian aspect of the BASA,” she told
journalists in Istanbul, according a statement from the Nigerian presidency.
Before now, Turkey was the only beneficiary of the BASA arrangement, with Turkish Airline operating flights into the main gateway Murtala Mohhammed International Airport (MMIA) in Lagos
thrice weekly.
Arik Chair John Arumemi-Johson later said he was elated that his airline was selected to fly the Istanbul route and assured Nigerians of the airlines competence to deliver on its objectives.
Airlines benefiting from high demand for flights to
southern Sudan
Yesterday reported that Kenya’s airlines are benefiting from more traffic to southern Sudan as the
country’s week-long referendum drives demand.
According to the newspaper, data from airlines show that the passenger traffic between Nairobi
and Juba, the capital of southern Sudan, increased to just over 8,000 from a monthly average of
5,800 passengers.
Airline executives at Fly540, Kenya Airways, Jetlink and Astral Aviation told Business Daily that they
expect the higher demand to carry over into next month when the results of the referendum will
be made known.
Increased traffic is being driven by Sudanese nationals travelling to vote, non-governmental organisations, regional business people as well as journalists and referendum observers from across
the globe.
Kenya’s national carrier, Kenya Airways, last year started servicing the Nairobi-Juba route.
“Juba has become one of the important economic hubs [of] southern Sudan and Africa. Kenya
Airways is synonymous with contributing to sustainable development across Africa. We envisage
providing a seamless connection service to all passengers travelling in and out of Juba for business and development opportunities,” said Kenya Airways group managing director and chief
executive officer, Dr Titus Naikuni, during a ceremony to mark the inaugural flight.
Southern Sudan on Sunday began voting in a referendum to determine whether to remain part of
a united Sudan or become a separate state. The referendum was a core component of the 2005
Comprehensive Peace Agreement (CPA) that ended decades of conflict between the Southern
Sudan People’s Liberation Movement (SPLM) and the Khartoum government.
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Bollore eyes $150 mln Guinea dry port investment
CONAKRY (Reuters) - French group Bollore is looking to invest $150 million in a dry port in Guinea to
ease shipment of goods through the country, the billionaire head of the conglomerate said.
The west African nation, the world's top exporter of aluminium ore bauxite, has just completed a
transition to civilian rule that should restore foreign aid and investment after two turbulent years
under military control.
"We anticipate an investment programme of $150 million to develop a dry port 15 km from Conakry to facilitate transport towards neighbouring countries," Vincent Bollore said on Guinea state
television late on Wednesday.
The port in Conakry handles nearly all goods shipped into Guinea, and to some land-locked
neighbours like Mali. A project to extend the port has been caught up in a row between GETMA,
which was awarded the contract, and rival Maersk.
The Bollore group has worked in Africa for decades and is involved in the management of a
number of ports long the west and central African coast.
Air Madagascar offre « Flysmart » le paiement de billets
par mobile
Air Madagascar, la grande compagnie de l'Océan Indien, et Airtel, le plus grand réseau de téléphonie mobile, ont signé hier un partenariat qui lance « Flysmart » le premier mode de paiement
de billets d'avion par téléphone mobile ou m.paiement qui, associé avec le e-ticket, service déjà
disponible chez Air Madagascar permet, aux voyageurs de payer leur billet d'avion sans se déplacer.
Le système est simple, mais efficace. Le voyageur effectue en premier lieu sa réservation à travers le call center d'Air Madagascar. La compagnie lui renvoie par la suite, par courrier électronique son dossier de réservation avec les tarifs et une facture pro-forma.
Dès la possession de ces données, le client peut payer le billet à travers Airtel Money, le système
de paiement par mobile d'Airtel. Une fois le paiement reçu par Air Madagascar, à travers son TPE,
cette dernière envoie au voyageur, son billet électronique par e-mail.
Bref, « Flysmart » permet un énorme gain de temps et d'argent pour les voyageurs. « Les voyageurs n'ont plus besoin de se déplacer auprès des agences à faire une longue queue pour acheter leur billet », a expliqué hier Fidy Rakotonirina Administrateur Délégué d'Air Madagascar.
Pour Heiko Schlittke, D.G d'Airtel Madagascar, ce partenariat avec Air Madagascar va encore
augmenter le nombre des personnes qui vont bénéficier des bienfaits d'Airtel Money.
Prouvant la volonté des dirigeants d'Air Madagascar d'offrir des services innovants aux voyageurs,
le système de paiement Flysmart a, par ailleurs, l'avantage de ne pas engendrer des coûts
supplémentaires, pour le client. Flysmart, un service de qualité que très peu de compagnies dans
le monde offrent actuellement, est déjà opérationnel au sein d'Air Madagascar.
Source: Midi Madagasikara
Renault dévoile un plan stratégique «plus réaliste»
Par Cyrille Pluyette
Carlos Ghosn, le PDG de Renault, veut se monter à présent plus «réaliste» dans ses objectifs stratégiques.
Le groupe automobile présente ce jeudi son plan stratégique. Il vise 3 millions de voitures et 5% de
marge opérationnelle à horizon 2013.
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Après l'échec de son précédent plan stratégique, Carlos Ghosn, le PDG de Renault, n'a pas le
droit à l'erreur. Lancé début 2006, Renault «Contrat 2009» visait notamment 3,3 millions de voitures
et une marge opérationnelle de 6% en 2009. La crise a contraint le groupe à abandonner ce
plan, mais son patron a reconnu par la suite que, indépendamment de la tempête qui s'est abattue sur le secteur, les volumes visés étaient trop élevés. D'où sa volonté de se monter à présent
plus «réaliste» dans ses objectifs stratégiques.
Le plan qui doit être dévoilé ce jeudi comportera une première partie «très chiffrée» sur la période
2011-2013 et une seconde plus qualitative sur 2013-2016, pour donner le cap. Le groupe vise 3 millions de voitures d'ici à trois ans, ainsi qu'une marge opérationnelle de 5%, selon des sources internes. Des objectifs inférieurs à ceux du plan 2006-2009.
Côté commercial, l'effort à accomplir est moins important que les 800.000 exemplaires
supplémentaires recherchés par le plan 2006-2009, puisque Renault a vendu plus de 2,6 millions
de voitures en 2010, un record. Certes, la baisse du marché français cette année avec l'arrêt de
la prime à la casse le constructeur prévoit un recul d'environ 10% cette année lui compliquera la
tâche. Mais le groupe peut compter sur les performances spectaculaires de sa gamme «low
cost», qui va s'enrichir de deux nouveaux modèles en 2012. Cette gamme à bas prix devrait
représenter 30% des ventes du groupe cette année, selon ses prévisions.
Priorité à la Russie, et accélérer au Brésil
A l'international, Renault mise avant tout sur la Russie. Le groupe, qui détient 25% du constructeur
russe Avtovaz, souhaite, avec l'aide de son allié Nissan, en prendre le contrôle. Il souhaite aussi
accélérer au Brésil.
L'amélioration de la marge opérationnelle posera un défi plus important, puisqu'elle s'est établie à
environ 2,8% du chiffre d'affaires en 2010. L'un des principaux enjeux consistera à améliorer le taux
d'utilisation des usines. Pour y parvenir, Renault va comme le groupe l'a déjà révélé investir 5,7 milliards d'euros dans ses sites industriels sur 2010-2013, dont 40% en France.
Autre volet du plan, l'accent mis sur les véhicules propres. Le groupe va lancer quatre véhicules
électriques sur la période 2011-2012.
Senegal Airlines in bid to revive Airbus jet order
PARIS (Reuters) - Senegal Airlines, the West African country's relaunched airline, is in talks with Airbus to buy around half a dozen aircaft including two A330 long-haul jets, its chief executive told
Reuters.
Such a deal would pick up the pieces of a tentative plan -- announced in 2009 but never implemented -- to order six aircraft worth $750 million.
Senegal Airlines began operations last month using two leased Airbus A320-family aircraft after
the previous national carrier collapsed last year.
The airline now wants to try to win a better deal for planes it had originally planned to buy directly
from Airbus. At the Dubai air show in 2009, it announced a provisional order for four medium-haul
A320 aircraft and two A330 wide-body planes.
"We went initially with leased planes and at the same time we are still in negotiations with Airbus
to improve the terms and we are hopeful a good conclusion can be reached in the coming
weeks and months," Chief Executive Edgardo Badiali said in a telephone interview.
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Any aircraft bought directly from Airbus would not arrive before 2013, he said. Senegal Airlines
meanwhile expects to take a third leased plane in the third quarter this year.
AU Summit Identifies Key Priority Infrastructure Projects
Heads of State of the African Union Assembly, who met from 30-31 January 2011 in Addis Ababa,
Ethiopia, endorsed key priority projects identified by the NEPAD High-Level Sub-Committee on Infrastructure.
The projects identified and their respective champions are as follows:
The Missing Link of the Trans Sahara Highway Project and the Optical
Fibre Project along the same alignment
Algeria
The Kinshasa-Brazzaville Road Rail Bridge Project
The Republic of
Congo
Water Management, River and Rail Transport Infrastructure projects
Egypt
The Nigeria- Algeria gas pipeline project
Nigeria
ICT Broadband and Link to Fibre Optic Network into neighbouring
states
Rwanda
Dakar-Ndjamena-Djibouti Rail and Road project
Senegal
The North South Corridor Rail and Road Projects
South Africa
These projects were identified based on the AU-NEPAD Africa Action Plan and in line with Programme for Infrastructure Development for Africa (PIDA), a programme led by the African Development Bank (AfDB).
The AfDB attended the NEPAD Heads of State and Government Committee on the sides of the
16th African Union Summit in Addis-Ababa, Ethiopia, from 28-31 January 2011.. The previous summit had established the NEPAD High-Level Sub-Committee on Infrastructure (8 Heads of State and
Government) comprising South Africa as chair, Algeria, Benin, Egypt, Nigeria, Republic of Congo,
Rwanda and Senegal.
This Sub-Committee was mandated to prioritise and consolidate infrastructure projects for high
impact and results; as well as approve modalities and procedures for championing infrastructure
projects by specific Heads of State and Government.
During a run-up meeting to the AU Summit, President Jacob Zuma presented a report detailing
the recent steps taken, namely; that the criteria for selecting projects and champions were concluded; that projects were identified based on the AU-NEPAD Africa Action Plan and in line with
Programme for Infrastructure Development for Africa (PIDA) as a strategic framework; and that
respective champions were selected.
The PIDA, an AfDB-led programme expected to be concluded by the end of 2011, will lead to design and development of the short, medium and long-term investment programs, addressing infrastructure needs in all key infrastructure sectors (transport, energy, ICT & trans-boundary water)
up to 2040. It will serve as a platform to unify and coordinate actions by all key stakeholders, including regional member countries themselves, regional economic communities, infrastructure
sector specialized institutions, private sector and development partners.
The Heads of State also witnessed the formal launch of the revised AU/NEPAD African Action Plan
(AAP), which the AfDB financed and managed in collaboration with the AU Commission and
NEPAD Agency. The AAP’s objective is to develop an improved strategic framework, prioritisation
of programs/projects and updated cost estimates for the interventions therein.
“The launch of the AAP and emergence of political champions for a subset of its projects puts the
continent on the right track for bridging some of its acute deficits in regional interconnectivity,”
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said Alex Rugamba, AfDB Regional Integration Director. “These concrete realisations will pave the
way for a shared vision around agreed priority projects and policy frameworks, which will be crystallized in the PIDA study. This bodes well for the creation of an integrated African economy that
will enable the continent to unleash its true potential,” he added.
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