Si la connerie pouvait être transformée en électricité - J.P. - e

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Si la connerie pouvait être transformée en électricité - J.P. - e
Si la connerie pouvait être transformée en
électricité
Tous les problèmes énergétiques de la France
seraient résolus
7 février 2013 - 9 février 2013
Avant même que François Hollande ne soit élu, le menu était déjà sur la porte. J'avais titré "
Sarkoland ou Hollsky "
http://www.dailymotion.com/video/xh26ks_francois-hollande-et-la-dette-publiqueaccablant_news#.URSoHIXO_bk
Il suffisait de regarder cette vidéo pour perdre immédiatement toute illusion vis à vis du
bonhomme et de sa prétendue étiquette politique. Et il n'est pas le seul dans ce cas,si on parcourt
tout le spectre des formations du pays. La vie politique est simplement devenue ... inexistante.
Quant aux carrières politiques, ce ne sont plus que des sinécures. Être politicien est devenu un
métier comme un autre, avec un paquet impressionnant d'avantages sociaux, que nos députés
accroissent chaque année. Ils viennent de se voter une extension d'une "indemnité de chômage"
de 6 à 60 mois en cas de non-réelection. Ce qui est impressionnant, c'est le naturel avec lequel
Hollande répond à la question posée. Il explique que, maintenant, le pays doit emprunter à des
banques privées, et que le taux d'intérêt dépend de l'état économique du pays, de ses efforts de
redressement. La la note baisse, le taux d'accroît, et c'est ... normal.
Il y répond comme aurait répondu n'importe quel politique, spécialement ceux qui sont issus de
ces pieuvres françaises que sont polytechnique et l'ENA. Hollande n'est pas particulièrement
stupide. Il se situe simplement dans la moyenne des représentants du peuple français. Ces gens
n'ont jamais travaillé de leur vie. Émergeant très fréquemment de l'ENA, ils commencent par
être hauts fonctionnaires. Les plafonds de leurs bureaux sont immédiatement lambrissés. Ils
foulent la glèbe avec un rectangle de moquette fixé sous chaque semelle, qu'ils ne quitteront
jamais.
Quand il a été élu, le premier geste de Hollande a été de signer l'autorisation de construction du
générateur nucléaire expérimental Astrid. Une décision qui est passée totalement inaperçue. Or
cette décision montre qu'issu de cette brillante école d'ingénieurs qu'est l'ENA, il suit à la lettre
les plans des nucléocrates, à savoir développer, en dépit de l'échec de Superphénix (temps prévu
pour le démantèlement de ce dernier : 30 années, du fait de son contenu en sodium radioactif).
Astrid, rebaptisé "réacteur de IV° génération", qui n'est autre qu'un surgénérateur à neutrons
rapides, refroidi au sodium. Ne voyez là aucune malice, aucune perversité. Ca n'est même pas de
la complicité, mais de la simple incompétence, qui est lot commun de nombre de nos élus.
Ceci est la première étape d'un plan visant à déployer, d'ici la fin du siècle, ce type de
générateurs, éminemment dangereux, mais permettant d'exploiter le trésor détenu par les
Français : 300.000 tonnes d'uranium 238, issus de plus d'un demi siècle d'enrichissement, de
raffinage du minerai naturel.
Pour ceux qui ignorent de quoi il retourne : le minerai naturel d'uranium est composé de 0,7 %
d'U 235 , fissile, et de 99,3 % d'Uranium 238, non fissile. Mais si on utilise ce "déchet" du
raffinage comme " couverture fertile " (pour les néophytes lire Energétiquement vôtre,
gratuitement téléchargeable) , en le soumettant au bombardement issu des neutrons de fission,
cet uranium 238 se transforme en combustible, c'est à dire en Plutonium 239. En combustible, et
aussi en explosif, puisque le Pu 239 est le combustible type des bombes A.
Plus encore : si on parvient à utiliser ce plutonium comme nouveau combustible du réacteur ( à
neutrons rapides ), celui-ci pourra, en fissionnant, car il est également fissile, comme l'uranium
235, se recréer lui-même, à partir de son environnement d'uranium 238, tel le Phénix renaissant
de ses cendres. C'est le grand rêve des nucléopathes français.
Le problème est que pour faire fonctionner ce type de générateur on est obligé d'utiliser du
sodium fondu, et non de l'eau, pour éviter de ralentir les neutrons émis, qui partent à 2000 km/s.
L'eau les ralentirait, et ils ne parviendraient plus à pénétrer dans le noyau des atomes d'uranium
238 pour opérer leur transmutation, en le transformant ceux-ci en carburant de fission, en
Plutonium 239.
Le problème est que cette énorme masse de sodium, qui sert de "fluide caloporteur" (c'est à dire
qui transporte la chaleur dégagée par les barres de plutonium) est inflammable. Elle s'enflamme
spontanément dans l'air et explose au contact de l'eau. En outre ce milieu est merveilleusement
opaque, à la différence de l'eau des réacteurs à eau pressurisée. S'il se passe quelque chose
d'anormal, il est alors très difficile, et même pratiquement impossible d'effectuer un diagnostic,
alors que l'eau des réacteurs à eau pressurisée est transparente, et ... ne s'enflamme pas quand on
dévisse de couvercle du réacteur, après refroidissement. En un mot comme un seul, le
déploiement de tels générateurs est un véritable suicide programmé, car si un accident se
produisait sur ce genre d'installation, des événement comme Tchernobyl et Fukushima
apparaîtrait comme de douces plaisanteries.
Mais cette idée a germé dans les têtes de technocrates français, très en pointe également dans ce
domaine là. Sont-ils corrompus, pervers ? Même pas. Incompétents serait le mot juste. Pour
lancer un projet aussi ambitieux " qui donnerait à la France 5000 années d'indépendance
énergétique, du fait de son stock d'uranium 238 il lui faut démarrer avec un stock minimal de
3000 tonnes de Plutonium 239, qui permettrait de "recréer en continu le carburant de fission
consommé, à partir du stock inépuisable d'uranium 238". Elle en possède actuellement moins du
tiers. D'où la construction du centre de retraitement de la Hague, où on accueille les chargements
des réacteurs français et de ceux de nos voisins, transportés par les wagons " Castor ", que mon
voisin ( il habite Gréoux) , l'allemand Klaus Janberg, retraité, est si fier de les avoir conçus et
mis au point, au long de sa carrière.
La France ne fait pas que de conditionner les déchets de l'industrie nucléaire, en les réexpédiant
dans des emballages vitrifiés, elle conserve le précieux plutonium 239, pièce maîtresse de ce
plan dément. Comme le disait avec insistance un représentant du Cnrs lors d'assises
parlementaires en 2011 : " il est alors indispensable de conserver ce plutonium à l'état pur, et
non de le conditionner à son tour". La quantité visée est de 3000 tonnes. Sachant d'un
milligramme de plutonium entraîne, par ingestion ou inhalation, la mort d'un être humain, ce
stock permet potentiellement du tuer trois mille milliards d'être humains, la population de
milliers de planètes.
Chez les députés, Bataille et Vido sont les chauds partisans d'un tel projet, depuis des années.
N'espérez pas qu'ils puissent un jour s'interroger sur le bien fondé de leurs positions. Le "
gendarme du nucléaire ", l'ASN ( l'Autorité de Sûreté Nucléaire) veillera à la sécurité. Au
moment de son départ en retraite, il y a quelques mois, son directeur, au moment de son départ
en retraite, déplorait que son service ne dispose que de 300 fonctionnaires, ce qui est bien peu
pour surveiller 58 réacteurs. Ainsi, pour ses audits, l'ASN sous-traite auprès des exploitants du
nucléaire. Bataille, qui l'ignorait, s'en est inquiété.
Ce plan de déploiement s'étend jusqu'à la fin du siècle. Ce faisant, on table sur le fait que notre
physique n'aura pas évolué dans les 90 années à venir.
Le manque d'imagination au pouvoir, tous secteurs confondus
Ce plan est totalement démentiel, irresponsable, criminel. Mais Hollande, complétant sa
décision d'autoriser la construction d'Astrid, vient de débloquer, je crois, 158 millions d'euros
pour cette opération. Il est à la fois incompétent et borné, n'écoute que ses véritables maîtres.
Comme les véritables imbéciles, il est totalement inconscient de son état. Et il n'est pas le seul
dans l'hémicycle. Les journaux titrent " la gauche n'a plus droit à l'erreur ". Il les accumule et
continuera. Il vient de lancer la France dans une nouvelle aventure guerrière, qui aura pour
champ de bataille ... l'ensemble du Sahara. Vaste prpgramme.
Mais ... de quelle gauche ces gens parlent-t-il ???
Taubira, garde des Sceaux, veut vider les prisons. Geneviève Fioraso, Ministre de
l'enseignement supérieur et de la recherche, a inauguré le site d'ITER le 17 janvier dernier, en
s'écriant " Nous allons partir à la conquête du soleil ". Un fantastique gâchis, une faillite
programmée. Tout ce que j'aurai dit et écrit n'aura servi strictement à rien. Au passage notons la
nullité totale des écologistes, des "verts", et des antinucléaires ( "qui font des chaînes, en se
tenant par la main, se livrent à de pitoyables pantomimes déguisées " ). Les représentants
d'EELV voyagent, palabrent et soignent leur image. Je n'insiste pas, j'ai déjà parlé de tout cela.
Geneviève Fioraso, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche
" Nous serions fous de passer à côté de cette opportunité qu'est ITER,
grâce auquel nous allons nous lancer à la conquête du soleil".
Un regard pétillant d'intelligence
Mégajoule ( un banc visant à réaliser la fusion à l'aide de 176 lasers, contre 192 pour
l'installation américaine ) sera achevé au Barp, près de Bordeaux, alors que son équivalent
américain, le NIF, a terminé fin 2012 deux années de campagne par un fiasco complet ( ses
responsables : " il est trop tôt pour conclure que le NIF permettra ou non d'obtenir l'ignition ",
c'est à dire l'allumage des réactions thermonucléaires ). Après cet échec américain, il aurait été
logique de stopper les dépenses, de laisser le projet Mégajoule en l'état, en attendant qu'outre
Atlantique on parvienne au but visé. Mais non, nous vivons dans un monde Shaddock ( "Plus ça
échoue et plus ça a de chances de réussir ")
Coût de Mégajoule : 6,6 milliards d'euros, s'ajoutant au gâchis d'ITER.
Pour en savoir plus, procurez-vous le numéro de Janvier-Février de la revue NEXUS, le seul
journal qui évoque ce fiasco, ce qui en dit long sur la liberté de la presse française, ou
simplement sa conscience, qui ne sont plus que des mythes.
Continuons. Ces jours derniers la ministre de l'écologie (...), Delphine Batho, vient de visiter
l'installation CIGEO, à Bure, qui à terme doit permettre de valider un système de stockage des
déchets radioactifs à vie longue dans une couche d'argile.
4 février 2013. Delphine Batho ( Ministre de l'écologie !!!) :
" Le stockage des déchets à Bure est la solution la plus sûre "
Le pauvre Michel Guéritte se bat depuis des années avec courage contre ce projet démentiel,
secondé maintenant par un scientifique, Bertrand Thuillier, qui a analysé toutes les failles d'un
tel projet. NEXUS a accepté de publier un dossier de 8 pages dans un de ses prochains numéros.
Il faut bien comprendre une chose, que personne ne semble percevoir. Ce système de stockage
(où là encore la France sera "en pointe", et peut être acceptera-t-elle, moyennant finance,
d'engranger les déchets ... d'autres pays ) est une des pièces essentielle de cet ensemble :
- Passage (d'ici la fin du siècle !) aux surgénérateurs à neutrons rapides, au sodium,
fonctionnant au plutonium, rebaptisés "générateurs de quatrième génération".
- Engrangement d'une quantité hyper-dangereuse de plutonium : 3000 tonnes (naturellement
produit par tous les réacteurs, civils ou militaires, du monde entier).
- Mise en place de sites permettant de stocker, non les déchets du passé, mais ... ceux du futur,
d'un futur cauchemardesque, à travers ce système de stockage souterrain où, une fois de plus la
France fera la démonstration de son "excellence technologique".
Pourtant il y aurait des alternatives. L'une, courageuse, serait de décider, au niveau mondial,
d'abandonner totalement le nucléaire tel qu'il se conjugue aujourd'hui, en investissant
massivement dans les énergies renouvelables, à une échelle industrielle et non dans une optique
baba-cool de "décroissance".
L'autre est la possible émergence d'une fusion aneutronique, ne créant pas de déchets (la fusion
Bore Hydrogène produit de ... l'hélium). Température nécessaire : entre un et deux milliards de
degrés. Dépassés dès 2005 dans la Z-machine américaine de Sandia, Nouveau Mexique. Il y a
huit ans. Une telle filière est un chien dans un jeu de quille, vis à vis des rêves pharaoniques
(et/ou) irresponsables de nos nucléocrates, nucléomanes, nucléopathes. Elle est totalement et
délibérément ignorée en France.
Vox clamat in deserto
Mes tentatives de sensibiliser convaincre les "figures" du nucléaires français : l'ingénieur Paul
Henri Rebut, créateur du Tokamak de Fontenay aux Roses, l'académicien Guy Laval, qui a
dirigé l'audit de l'Académie des sciences de 2007 consacré à l'exploitation de la fission pour
produire de l'énergie, mais qui ne semble guère pressé de revoir sa copie, ou de l'ancien
directeur des projets scientifiques du CEA, Robert Dautray, également académicien, ancien
directeur des recherches scientifiques du CEA, se sont soldées par des échecs. Au téléphone :
Paul Henri Rebut, membre correspondant de l'Académie des Sciences (71 ans) : " Qui vous dit
qu'ITER ne fonctionnera pas ? " (contredisant ainsi ses déclarations de 2010 dans la revue
Science et Vie).
Guy Laval, académicien ( 77 ans en 2013 ) : "Attendons les premiers résultats d'ITER pour
nous prononcer "
Robert Dautray, académicien (83 ans) : n'a pas transmis, comme il me l'avait promis, l'article
que j'avais rédigé à son intention, intitulé "MONDES HORS D'EQUILIBRE", consacré à l'échec
de la gestion des projets plasmas à travers des simulations effectuées sur ordinateur. Pas
d'accusé réception, rien. Un homme qui m'avait dit au téléphone " qu'il avait la plus grande
estime pour moi, parce que j'étais un des rares scientifiques qui allaient au fond des choses, au
lieu de rester à la surface". Il estimait "important que je poursuive mes actions (...)". Il s'était
engagé, si le contenu de l'article lui convenait, à le faire suivre à la revue Pour la Science, en lui
recommandant de le publier. Je le lui au fait suivre en décembre 2012. Mais depuis, silence
radio complet, en dépit de discrètes relances.
Décidément, le pays est plein de gens qui " ont une immense estime pour moi " mais ne feraient
pas un geste pour m'appuyer dans quoi que ce soit.
L'homme qui le premier, dans son article de Physical Review Letters de 2006, a montré la
réalité de cette percée de 2005, mon vieil ami Malcom Haines, vient de décéder d'un cancer le
13 janvier 2013.
Malcom Haines
Un des plus éminents spécialistes de la physique des plasmas au monde
Décédé d'un cancer le 13 janvier 2013
Son article de 2006 titrait " ... plus de deux milliards de degrés". Il fut le premier à comprendre
pourquoi un certain type d'instabilités MHD (la plaie de machines comme ITER) permettait
d'obtenir des températures dont personne n'aurait osé rêver jusqu'ici: des milliards de degrés, par
"résistivité turbulente". Une découverte qui marquera l'histoire des sciences en ouvrant grand la
porte d'un domaine nouveau, celui des plasmas hyper-chauds.
On est déjà très au delà maintenant. Les Russes rejoignent le peloton en construisant l'engin
Baïkal.
Cela n'est rien d'autre qu'un fusion impulsionnelle, un autre forme de "fusion par confinement
inertiel". L'équivalent du moteur à explosion, par rapport à la machine à vapeur (dont l'image est
donnée par le projet ITER). Enfin une perspective un peu intelligente, outsider ( en prime c'est
un nouveau type de plasma, avec Ti >> Te ) , au milieu de projet bâtards comme "la filière du
thorium" ou d'éternels mirages comme la fusion froide (bien que celle-ci soit en principe
théoriquement possible). Malcom étant décédé, je reste un des rares bonshommes a savoir de
quoi il retourne, et en tout cas le seul en France, où ça n'intéresse strictement personne.
La réalité est un peu différente, au sens où cette nouvelle perspective scientifique est,
évidemment, riche d'applications militaires ( les bombes à fusion pure ). Christian Nazet, ancien
ingénieur militaire, ancien responsable de l'instrumentation à Muroroa avait d'ailleurs transmis
en 2008 le mot d'ordre, version hexagonale :
- Rien ne se fera sans l'aval de l'armée. Ces recherches sont "proliférantes".
Donc ... rien ne se fera; par simple incompétence hexagonale. Au colloque de Biarritz, en 2012,
consacré aux Z-machines, et où j'avais retrouvé mon vieil ami Haines, qui avait fait l'ouverture
en faisant un exposé où il avait mis tout le monde d'accord, la présence française était
simplement ... totalement inexistante. Il ne s'est même pas trouvé un représentant du pays
d'accueil, France, pour dire quelques mots de bienvenue, ce qu'aucun participant n'avait jamais
vu dans toute sa carrière. Les hôtesses étaient charmentes, les petits fours délicieux. Les seuls
mots prononcés fut le fait d'un jeune étudiant qui se contenta de dire.
- Sur le micro, le bouton permet la mise en marche et quand la lampe rouge est allumée, c'est le
signe que tout fonctionne. Et maintenant, bon congrès.
Au-then-ti-que !
L'actualité journalistique ? Dans l'hexagone, les états d'âme de Johnny Hallyday et, sur le plan
politique, le suivi du débat concernant le projet de mariage des homosexuels. Le phénomène est
planétaire. S'agissant des USA, regardez cette vidéo, consacrée à l'affaire Ellsberg, qui se
termina par la démission du Président des Etats-Unis (sanctionné par deux prix Pullitzer) et
l'arrêt de la guerre du Vietnàm. Elle est riche d'enseignements. Le pouvoir américain s'aperçut
par la suite que deux choses avaient été négligées.
- La presse constituait encore un "cinquième pouvoir"
- L'armée américaine pratiquait la conscription.
Le remède fut rapidement apporté. Voyez le 11 septembre et la privatisation des activités
militaires.
En France, cette mutatuin ubuesque est déjà achevée depuis des décennies.
Sur le plan scientifique, vous avez le choix entre les explications de l'avalanche de nouvelles
observations (l'univers, en plus, ... accélère !) en terme de matière sombre, d'énergie noire ou la
quête souterraine, au fond de mines désaffectées, de problématiques "astroparticules". Une
descente dans l'obscurantisme, au sens propre comme au sens figuré.
Je me replonge dans la rédaction d'articles scientifiques, très time-consuming. Je ne fais ici
qu'un bref survol de l'actualité. Il reste une question :
Quelle sera la prochaine décision stupide du
gouvernement Hollande ?
Sur ce plan, notre obtus capitaine de pédalo est une valeur sûre.
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