olivier rudloff

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olivier rudloff
OLIVIER RUDLOFF
164 RUE CUVIER
69006 LYON
RAPPORT DE STAGE N°4
Contrôleur de stage
Maître de stage
M Philippe ALCAZAR
Mme Nicole GOUDARD
Date de dépôt : 29 janvier 2004
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PROJET DE LA NOTICE EXPLICATIVE ET
DU PLAN DU MEMOIRE
INTRODUCTION
I - NOTICE EXPLICATIVE
INTERET DU SUJET
OBJECTIF DU MEMOIRE
LIMITES DU SUJET
LIENS ENTRE LE SUJET ET LES TRAVAUX EFFECTUES
II - PLAN DU MEMOIRE
PLAN GENERAL
PLAN DETAILLE
III – BIBLIOGRAPHIE
OUVRAGES GENERAUX
OUVRAGES PROFESSIONNELS
ARTICLES DE PRESSE
MEMOIRES
AUTRES SOURCES
CONCLUSION
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INTRODUCTION
Un des quatre rapports du stage d’expertise comptable doit présenter un projet de
plan et de notice du mémoire. Les rapports comportent en général une dizaine de
page. J’ai souhaité présenté un projet de notice et de plan plus complet.
En effet, il sera la version presque définitive que je transmettrai pour ma demande
d’agrément en mars 2004.
Avant cette demande, je tiendrais compte des annotations apportées par mon
contrôleur de stage. Dans l’attente des ces dernières, je souhaite le faire lire à
différents experts-comptables sensibilisés par les Nouvelles Technologies de
l’Information et de la Communication ( NTIC) tel que M Jean-François PARET,
président du club NTIC.
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I - NOTICE EXPLICATIVE
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INTERET DU SUJET
Les cabinets d’expertise comptable spécialisés dans la tenue de comptabilité ne
cessent de passer du document papier au document numérique et inversement. Ils
agissent comme des modems ( modulateur / démodulateur ) informatiques, en ce
sens qu’ils permettent de convertir les signaux informatiques numériques en
signaux analogiques et réciproquement.
La question n’est donc pas de savoir si l’on doit tendre vers la dématérialisation
mais pourquoi passe t’on si souvent d’un format à un autre ?
Chaque transformation est-elle nécessaire ?
On ne cesse de répéter que l’outil informatique n’a nullement tendu vers le zéro
papier. Bien au contraire, on l’accuse d’être un grand gaspilleur de papier. En fait,
seul l’utilisateur est responsable de cette situation. En effet, ce n’est pas
l’informatique qui génère le papier mais plutôt nos habitudes de travail.
Nous pouvons citer différents exemples :
Le traitement des relevés bancaires.
Le banquier reçoit, sous forme numérique ou sous forme papier, les opérations de
ses clients. Il doit les saisir. A ce stade, tout est numérique.
Cependant, il doit rendre matériel ces informations pour pouvoir transmettre à son
client un relevé de compte papier.
Ce client fait parvenir au cabinet ces relevés afin qu’il puisse à son tour les saisir :
nouvelle numérisation.
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Tout comme le banquier, le cabinet doit rendre matériel ces informations pour les
remettre à son client. De plus, le cabinet se sent obligé d’archiver des copies
papiers.
Résumé de la procédure : ( Papier+numérique) -> Numérique -> Papier ->
Numérique -> Papier et encore papier.
Pourtant depuis 1993, les cabinets d’expertise comptable ont la possibilité de
télécharger les relevés bancaires de leurs clients. Peu de cabinets le font. Comme
nous le verrons en détail, des freins importants existent.
L’émission d’un fax.
Elle se fait encore régulièrement de la manière suivante :
-
Ouverture du traitement texte pour la rédaction du message ;
dématérialisation,
-
Impression ; matérialisation,
-
Utilisation du fax ; dématérialisation et matérialisation,
-
Archivage du document papier accompagné de son justificatif au
cabinet,
-
Archivage du document papier chez le client.
Or depuis quelques temps, il est possible de simplifier cela. Des applications fax,
des photocopieurs, des imprimantes évoluées, existent et éliminent toutes les
impressions papiers.
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Un des principes fondamentaux de la comptabilité est le principe de permanence
des méthodes ; il est indispensable pour que les comptes sociaux donnent une
image fidèle de l’entreprise.
Par contre, dans la gestion interne du cabinet et même en matière d’audit, le suivi
continuel de procédures ou d’habitudes, sans savoir si ce que l’on fait est utile, est
irrationnel.
Il est temps de réfléchir sur le pourquoi de certaines habitudes. Les jeunes recrues
sont souvent à l’origine de ces réflexions car ils portent un regard neuf sur
l’organisation du travail. En général, l’être humain n’aime pas changer ses
habitudes. Il tentera donc de combattre les remaniements proposés. Les freins liés
aux changements seront nombreux et de tous ordres. Les plus importants seront
ceux liés à la sécurité et aux manques de temps.
La sécurité est souvent un argument qui atteste de l’ignorance des
problèmes réels. Les hommes ont peur de ce qu’ils ne connaissent pas ou
ne maîtrisent pas correctement. C’est pourquoi, ils exigent une sécurité
absolue.
Par exemple, un cabinet décide de mettre en place une Gestion
Electronique de Document ( GED ). Certains remettent en cause la sûreté
du classement car ils craignent de ne pas pouvoir retrouver un document.
L’archivage papier ne le garantie pas non plus. La recherche d’un document
papier mal classé est beaucoup plus fastidieuse que celle d’un document
numérique. En effet, dans une GED, l’outil informatique propose une
multitude d’aide à la recherche.
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Cette nouvelle organisation ne peut, en aucun cas, éliminer tous les
problèmes rencontrés auparavant.
Le temps de sa mise en place est un faux problème.
L’avantage d’utiliser la dématérialisation est le gain de temps. Or pendant la
période d’apprentissage, l’utilisateur doit changer ses habitudes ce qui
demande un peu plus de temps et surtout de réflexion. En effet, les gains
de productivité ne viendront qu’après.
On tombe toujours sur le fameux cercle vicieux, pour gagner du temps il
faut en investir.
L’Europe et l’Administration Française ont bien compris l’enjeu de cette
dématérialisation. L’Etat tend à dématérialiser tout son système déclaratif et il
prend des mesures pour favoriser le développement de l’Internet à l’ensemble de
la population.
Hier, chaque Administration
imposait ses propres imprimés pour déclarer
périodiquement les cotisations sociales et fiscales mais ces documents deviennent
peu à peu normalisés. Cette normalisation a permis leur dématérialisation. Les
cabinets d’expertise comptable ont donc accès :
-
à la GED,
-
aux envois simplifiés,
-
aux traitements de masse des déclarations,
-
à l’externalisation.
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Ce système de déclaration évite la course à la collecte des déclarations papiers
auprès de nos clients, les recopies fastidieuses et les erreurs qui s’ensuivent.
Bien sûr, la dématérialisation remonte à 1998, d’ailleurs, un nombre très
importants d’articles apparaît dans les revues professionnelles.
Mais qu’en est-il au sein des cabinets d’expertise comptable ?
Les cabinets sont les premiers producteurs de déclarations sociales et fiscales.
Les déclarations constituent leur métier de base. Ils doivent donc s’intéresser à
tout changement les concernant. Si les cabinets d’expertise comptable ne le font
pas d’autres s’en chargeront, à commencer par les Administrations elles-même.
Au début de l’année 2002, le Gouvernement annonçait des mesures de
simplification pour les entreprises. L’une d’entre elle prévoyait que l’URSSAF gère
gratuitement l’ensemble des formalités sociales, du bulletin de salaire jusqu’aux
déclarations, pour les Très Petites Entreprise ( TPE ) ayant moins de 10 salariés.
Or près de 80% des TPE ont recours à un expert-comptable.
Ces projets de simplification n’ont pas inquiété les professionnels de la paie. Ils
pensaient que leurs mise en place seraient difficilement réalisable.
En janvier 2004, ces projet sont formalisés par une ordonnance. Elle donne
mission aux URSSAF d’établir les bulletins de paies et les déclarations de charges
sociales des TPE.
Pour ne pas perdre la mission sociale, les experts comptables doivent réagir en
proposant les mêmes services de simplification tout en ajoutant leur valeur
ajoutée : LE CONSEIL.
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Une des motivations premières de la clientèle est la simplification de leurs
obligations administratives.
Les TPE sont vite dépassées par le nombre de déclarations qu’elles doivent nous
acheminer. En leur simplifiant leur gestion, nous améliorons notre productivité.
Fini le temps passé aux relances pour avoir, dans les délais, l’ensemble des
bordereaux. La dématérialisation simplifie la circulation des déclarations.
Pourtant, elle se fait encore le plus souvent de la manière suivante :
-
L’Administration envoie les bordereaux chez le client,
-
Le client les envoie au cabinet,
-
Le cabinet les envoie chez le client après traitement,
-
Le client les envoie à l’Administration pour règlement.
Ces quatre envois engendrent des inconvénients :
-
risques de perte, de retard, d’oubli ou d’incompréhension,
-
des coûts réels mais surtout de nombreux coûts cachés.
La dématérialisation totale des
procédures déclaratives, règlement compris (
Télérèglement ), permet de réduire ces quatre envois à deux ; du cabinet aux
Administrations et du cabinet aux clients.
L’activité d’un cabinet d’expertise comptable n’est pas linéaire sur l’année. Il
fonctionne par à coup. Les délais pour établir les déclarations sont courts. Chaque
minute gagnée pendant ces périodes de forte productivité est précieuse.
Cependant, ces projets de simplifications peuvent bouleverser l’activité comptable.
La dématérialisation au sens large rend l’externalisation des travaux de production
possible ; ils peuvent être déplacés chez le client, dans les Administrations ou
même à l’étranger.
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Les cabinets vont donc devoir s’adapter obligatoirement à ces Nouvelles
Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC ) et ceci même si
aujourd’hui, les TPE ne sont pas prêtes. En effet, utiliser dès aujourd’hui ces
nouvelles technologies, c’est apprendre à les maîtriser. Elles sont un axe majeur
de développement et d’image que les cabinets doivent rapidement intégrer dans
leurs missions quotidiennes, pour rester les acteurs indispensables de
l’organisation, de la détention et de la distribution de l’information. Enfin, c’est être
prêt à proposer de nouveaux services via Internet, tel que la comptabilité
interactive.
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OBJECTIFS DU MEMOIRE
La dématérialisation : Crainte ou espoir ?
Pourquoi en avoir peur, elle nous entoure déjà : 80 % de notre production est
dématérialisée.
L’objectif premier de ce mémoire est de susciter l’intérêt vis à vis de ces méthodes
afin de donner le désir de les utiliser. Je m’efforcerais de clarifier et de démystifier
cet état de fait.
On entend parfois : « Les cabinets d’expertise comptable doivent repenser en
profondeur leurs méthodes de travail ». Cette idée fait peur et ne motive pas
l’utilisation de la dématérialisation. Or le plus gros est fait ; notre production est
déjà dématérialisée. Il suffit maintenant d’en tirer profit en éliminant ou en
simplifiant quelques taches administratives rébarbatives, telles que le classement,
l’envoi des déclarations aux administrations, la mise à jour de notre documentation.
Ce mémoire actualisera un domaine en perpétuel mouvement. Il expliquera ces
nouvelles technologies, les modalités pratiques d’application en analysant leurs
impacts sur l’organisation du cabinet et sur ses missions.
Il pourra aussi éclairer les concepteurs de logiciels afin qu’ils nous présentent un
nouveau concept informatique, capable de répondre à tous nos besoins
professionnels en une seule application.
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Ce mémoire sera composé de trois parties :
Une première partie expliquera les principes généraux de la
dématérialisation. Pour motiver son utilisation, elle décrira
l’absurdité de certaines habitudes de travail et les bienfaits de la
dématérialisation.
La deuxième partie expliquera les utilisations possibles de la
dématérialisation à l’intérieur du cabinet, tel que la GED et
l’intranet.
La troisième partie consistera à décrire le transport et le partage
de cette information dématérialisée à l’extérieur du cabinet.
La deuxième et la troisième partie, exposeront de manière
pratique les conséquences et les freins de son exploitation
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LIMITES DU SUJET
La dématérialisation est une notion très large. D’après le dictionnaire Hachette
Multimédia, « dématérialiser » signifie rendre quelque chose immatérielle.
En partant du principe que 80% de notre production est dématérialisée, ce
mémoire se limitera à l’utilisation de la dématérialisation existante. Il s’agit de celle
déjà présente en interne, car produite par nos outils informatiques, ou en externe,
car mise à disposition par les administrations. Elle ne nécessite aucun temps de
création, mais elle demande une nouvelle organisation de travail avant de pouvoir
l’exploiter. La numérisation systématique de documents sera peu abordée, car elle
est l’étape ultime du traitement de la dématérialisation.
Ce mémoire concernera plus particulièrement les 80% des cabinets d’expertise
comptable qui possèdent moins de dix salariés, et ceci pour deux raisons :
-
Les coûts liés à l’informatique étant fixes, ils ne peuvent pas posséder
de personnel pour gérer leur environnement informatique,
-
Spécialisés le plus souvent dans les missions de tenue de comptabilité,
ils traitent un volume considérable de papier.
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LIENS ENTRE LE SUJET ET LES TRAVAUX EFFECTUES
Durant mon stage, on m’a donné la chance de pouvoir prendre du recul par rapport
à la production comptable. Tout en découvrant les différentes facettes de notre
métier, j’ai réalisé à quel point l’informatique était important. C’est alors que j’ai noté
le manque d’interactivité entre nos différentes applications informatiques.
Je me suis intéressé à l’informatique et à la dématérialisation qui en découle. Pour
acquérir des compétences informatiques, j’ai investi en matériel ( Portables,
imprimantes, graveur, scanner, disque dur externe de grosse capacité, liaisons
Internet à haut débit , carte réseaux) et en temps.
Je n’indique pas volontairement l’acquisition de documentations. Grâce à l’Internet,
j’ai pu avoir accès à toutes les informations nécessaires. Cela m’a permis de
m’habituer à lire des documentations sur écran. Par analogie, il a été facile de
comprendre ce que ce nouveau média allait pouvoir apporter à notre profession.
Tous ces avantages sont liés à la notion de réseaux impliquant le partage de
l’information. J’ai longuement visité tous les sites utiles à notre profession. Pour
que ce travail ne reste pas futile, j’ai crée un site sous la forme d’un portail : « Le
portail du comptable » http://olivier.rudloff.free.fr
Mon maître de stage est la présidente de l’ALPA ( Association Lyonnaise Pour
l’Audit). Cette association a, entre autre, pour vocation de proposer à ses membres
des formations professionnelles. Je suis intervenu en 2001 pour décrire ce que
pouvait apporter l’Internet, ce fabuleux média numérique.
J’ai été au sein du cabinet, le responsable des Déclarations Annuelles des
Données Sociales et ai insisté pour que l’on adhère au Transfert des Données
Sociales par Internet ( TDS-NET ).
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Tout au long de mon stage, j’ai eu pour mission l’étude de la mise en place des
éléments suivants :
-
L’Internet sur un poste dédié,
-
Les DUCS papiers ( Déclaration Unifiée des Cotisations Sociales ),
-
Les DUCS EDI ( DUCS Echange de Données Informatisé ),
-
La GED,
-
La télétransmission des relevés bancaires,
-
L’Internet sur le réseau,
-
Les documentations numériques sur le réseau.
J’ai participé à différentes formations :
-
Formations techniques stagiaire sur le portail jedéclare.com,
-
Formation technique stagiaire sur la GED donné par la société
NOVAXEL,
-
Formation de 40 heures sur le logiciel CEGID PGI S5,
-
Réunions du club NTIC ( adhérent depuis 2002 ),
-
Conférences sur le portail net-entreprise organisé par le GIP-MDS
( Groupement d’Intérêt Public – Modernisation des données sociales ),
-
Journée de sensibilisation sur la DUCS –EDI présenté par le conseil
régional de l’ordre Rhône Alpes. Ce dernier s’est doté d’un espace
permettant à l’ensemble de la profession de découvrir gratuitement les
nouvelles technologies. Il a pour nom le bureau du futur et il existe
depuis juillet 2000.
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Au sein du cabinet, j’ai été fortement impliqué dans le choix d’un nouveaux
photocopieur numérique, capable de scanner, de faxer ou d’établir des courriels.
J’ai participé, avec le responsable informatique du cabinet, à la mise en place d’un
Intranet, capable d’optimiser notre production comptable tout en la normalisant .
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II - PLAN DU MEMOIRE
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PLAN GENERAL DU MEMOIRE
Nombre de pages
estimé
NOTE DE SYNTHESE
1 à 2 pages
INTRODUCTION
4 à 5 pages
LISTE DES ABREVIATIONS
PREMIERE PARTIE : PRINCIPES GENERAUX
DE LA DEMATERIALISATION
20 à 25 pages
DEUXIEME PARTIE : L’ORGANISATION DE L’INFORMATION DEMATERIALISEE
POUR UN USAGE INTERNE
35 à 40 pages
TROISIEME PARTIE : LE TRANSPORT DE L’INFORMATION
DEMATERIALISE
30 à 35 pages
CONCLUSION GENERALE
3 à 5 pages
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE
TOTAL ESTIMATIF :
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93 à 112 pages
PLAN DETAILLE DU MEMOIRE
NOTE DE SYNTHESE
1 à 2 pages
INTRODUCTION
4 à 5 pages
LISTE DES ABREVIATIONS
PARTIE 1 - PRINCIPES GENERAUX DE LA
DEMATERIALISATION
CHAPITRE 1 - LA DEMATERIALISATION
1.1 - Définition
1.2 - Présentation
1.3 - Les outils de production
CHAPITRE 2 - CONSTAT SUR SON UTILISATION
2.1 - Dans les cabinets
2.2 - Dans les autres entreprises
2.3 - Dans les administrations
CHAPITRE 3 - CHAMPS D’APPLICATION
3.1 - Pour les clients
3.2 - Pour le cabinet
3.3 - Pour les administrations et les OGA
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20 à 25 pages
CHAPITRE 4 - POURQUOI S’EN INQUIETER ?
4.1 - Pour apporter un meilleur service au client
4.2 - Pour comprendre et la maîtriser
4.3 - Pour l’image de la profession
4.4 - Pour améliorer sa productivité
4.5 - Pour externaliser sa production
4.6 - Pour mieux archiver (GED, EXTRANET)
4.7 - Pour faire des économies de papier, de temps
CHAPITRE 5 - FONDEMENT JURIDIQUE
5.1 - La reconnaissance dans le monde virtuel
5.2 - La déontologie
PARTIE 2 - L’ORGANISATION DE L’INFORMATION
DEMATERIALISEE POUR UN USAGE INTERNE
35 à 40 pages
CHAPITRE 1 - DESCRIPTION DE DIFFERENTES
SOLUTIONS : MISE EN PLACE D’UNE GED
1.1 - Se servir des fonctionnalités associées aux applications comptables évoluées
1.2 - Logiciels commerciaux dédiés
1.3 - Créer une arborescence Windows partagée sur un réseau
CHAPITRE 2 - MISE EN PLACE PRATIQUE D’UNE
GED
2.1 - Description
2.2 - Méthodologie de mise en œuvre
2.3 - Facteur de réussite de sa mise en place
2.4 - Coût de sa mise en place
2.5 - Avantages et inconvénients
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CHAPITRE 3 - IMPACT SUR LA VIE DU CABINET
ET SUR SA RELATION AVEC SES CLIENTS
3.1 - Maîtriser les incidences sur l’organisation : Impact sur l’humain
3.2 - Les freins liés aux changements
CHAPITRE 4 – TENDRE VERS
L’EXTERNALISATION: L’INTRANET
4.1 - Définition
4.2 - Pourquoi ?
CHAPITRE 5 – SECURITE ET CONFIDENTIALITE
5.1 - Quels risques ?
5.2 - Quelles solutions ?
PARTIE 3 - LE TRANSPORT DE L’INFORMATION
DEMATERIALISEE
30 à 35 pages
CHAPITRE 1 - DESCRIPTIONS DES MOYENS
NECESSAIRES
1.1 - Matériels
1.2 - Logiciels
1.3 - Accès Internet
1.4 - Paramétrages nécessaires
CHAPITRE 2 - PRESENTATION DES
TELEDECLARATIONS
2.1 - Inventaire des déclarations ou opérations disponibles en télétransmission
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2.2 - Le service associé à apporter aux clients : les télérèglements
2.3 - Enumération des téléprocédures
CHAPITRE 3 - LES PORTAILS DECLARATIFS
3.1 - Utilités
3.2 - Description de deux portails importants : jedeclare.com et net-entreprise
3.3 - Tableau comparatif de leurs services
3.4 - Critiques et améliorations à apporter
CHAPITRE 4 - LES PREMISSES A
L’EXTERNALISATION : L’EXTRANET
4.1 - Vers ses clients
4.2 - Vers ses salariés travaillant à domicile ou en déplacement
4.3 - Vers des cabinets sous traitant
CHAPITRE 5 – SECURITE ET CONFIDENTIALITE
5.1 - Quels risques ?
5.2 - Quelles solutions ?
CONCLUSION GENERALE
3 à 5 pages
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE
TOTAL ESTIMATIF :
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93 à 112 pages
III – BIBLIOGRAPHIE
Page 24 sur 26
BIBLIOGRAPHIE
OUVRAGES GENERAUX
Rapport sur l’impact des NTIC sur les missions traditionnelles des cabinets
Conseil Supérieur de l’Ordre des Experts-Comptables.
14 pages.
2000.
DUCS : Cahier des normes et recommandations à l’usage du déclarant
Ministère de l’économie, des finances et de l’industrie.
155 pages.
1999.
19ème rapport d’activité
Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés
14 pages.
1999.
Créez vos PDF avec Acrobat
Marina RAFFAUD
192 pages.
2003.
Les réseaux
Matt HAYDEN
408 pages.
2002.
Halte aux absurdités technologiques
Yves LASFARGUE
237 pages.
2003.
OUVRAGES PROFESSIONNELS
SIC
N°183 Mai 2000 : Téléprocédures, la dématérialisation des déclarations, les
télédéclarations
N°185 Août-Septembre 2000 : Télécharger les comptes bancaires des clients
N°186 Octobre 2000 : Infotrans-TDFC
N°188 Décembre 2000 : Télétransmission des comptes bancaires
N°191 Mars 2001 : Le portail Internet jedeclare.com
N°194 Juin-Juillet 2002 : Télétransmissions bancaires
N°202 Avril 2002 : Un tour d’horizon des modèles des cabinets qui travaillent avec
les TIC
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N°205 Août Septembre 2002 : Succès pour la galaxie jedeclare.com
N°213 Mai 2003 : Jedeclare.com 2003 … Encore plus pratique
N°214 Juin-Juillet 2003 : Modernisation et simplification du recouvrement des
cotisations de Sécurité sociale
EXPERT ON LINE
N°1 Décembre 2000 : La sécurité sinon rien
REVUE FRANÇAISE DE COMPTABILITE
N°321 Avril 2000 : La signature électronique
PAROLES D’EXPERTS
N°21 Octobre 2002 : Inéluctable DUCS EDI
SEMINAIRES ET FORMATIONS
Formation sur « Utiliser les télédéclarations ».
M Stéphane SCASCH, Directeur Technique du site Jedeclare.com .
4/12/2002.
Formation sur « La GED par NOVAXEL »
17/12/2002.
Formation sur « Optimisation de la productivité du cabinet »
Mme Véronique AUDRAIN
21/11/2003.
Conférence sur « Le portail NET-ENTREPRISE ».
M Jacques SAURET, Directeur du GIP-MDS
24/10/2002.
Réunions du CLUB NTIC
M Jean-François PARET, président du club NTIC
13 /03/2003, 30/10/2003, 22/01/2004
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MEMOIRES D’EXPERTISE COMPTABLE
Echange de données informatisé (EDI) L' : opportunité et passage obligé pour
la profession comptable. Enjeux et conséquences de la mise en place de l'EDI
pour l'expert comptable et les différents partenaires concernés
Arnaud TRESARRIEU.
1995.
Les déclarations fiscales et sociales immatérielles : leur intégration dans un cabinet
d’expertise comptable
Jean-Luc PFLIEGER.
1997.
Les conséquences pratiques des nouvelles technologies d’échange de données
informatisé sur la mission de l’expert-comptable
Frédéric CLOSET.
1998.
Dématérialisation est-elle à maturité?
Christophe SERVENTI.
1998.
L'archivage : de sa nécessaire organisation à une source de missions pour
l'expert-comptable
Olivier LASSIBILLE.
1999.
La gestion électronique du dossier de travail de l'expert-comptable
Laurent CROPPI.
2000.
La GED et le dossier de travail électronique : conception, implantation et application
dans l’environnement multilogiciel d’un cabinet d’expertise comptable
Olivier RODICK.
2001.
Les Nouvelles Technologies d'Information et de Communication (NTIC) au
service de la performance du cabinet : le cybercabinet, une nouvelle
organisation de travail pour l'expert-comptable et son client
Thierry GERBAUX.
2002.
Page 27 sur 26
SITES INTERNET
Préambule
La fiabilité de l’information que l’on peut trouver sur Internet dépend du site qui l’a
fournit. Il est logique de faire surtout confiance aux sites d’une administration ou
d’une grande entreprise. En effet, les informations sont plus contrôlées. A contrario, il
faut être méfiant des sites personnels ou purement commerciaux. Il est donc prudent
de se créer une liste de sites de favoris susceptible de donner une information fiable
et ne pas hésiter à la recouper avec un autre site.
http://www.experts-comptables.com/ : C’est le site de l’ordre des experts-comptables.
Il propose de nombreux téléchargements, de documentations tel que la déontologie
à suivre pour la création d’un site WEB.
http://www.jedeclare.com/ : Le portail déclaratif de l’ordre via Internet sécurisé pour
toutes les télédéclarations fiscales, sociales, comptables.
http://www.net-entreprises.fr/ : Le portail déclaratif de l’administration via Internet
sécurisé pour toutes les télédéclarations fiscales, sociales, comptables.
http://www.bibliotique.com/ : Le centre de documentation des experts-comptables et
commissaires aux comptes.
http://www.impots.gouv.fr/ : Le site de l’administration fiscale.
http://www.urssaf.fr/ : Le site de l’URSSAF.
http://www.assedic.fr/ : Le site de l’ASSEDIC.
http://www.edifrance.asso.fr/ : L’association pour le développement de l’EDI.
http://olivier.rudloff.free.fr : Le portail du comptable.
http://www.canam.fr/docs/index_canam.html : La caisse nationale d’assurance
maladie des professions indépendantes.
http://www.service-public.fr : Le portail de l’administration française.
http///www.legifrance.org : Le service public de la diffusion du droit.
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CONCLUSION
Ce rapport m’a montré les difficultés que je rencontrerais lors de la rédaction du
mémoire que ce soit sur le fond et la forme.
Mon sujet de mémoire étant d’actualité, sa rédaction nécessite rapidité. Les projets
de simplification, tel que le Titre Emploi Service ( TEE ), l’ont démontré très
récemment. Ma recherche documentaire doit donc être réalisée au plus près de sa
rédaction finale.
Je souhaite qu’il soit vivement critiqué, de façon négative mais aussi de façon
positive, afin qu’il me guide dans la construction de mon mémoire définitif. En effet,
sa rédaction m’a fait comprendre que sans avis éclairés, il est difficile de réaliser
un mémoire d’expertise comptable de qualité.
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