Rue de Givet, 21 - 5570 Beauraing - 082/71 02 20
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Noël 2015 - n° 94 Rue de Givet, 21 - 5570 Beauraing - 082/71 02 20 - www.indbg.be 1 Sommaire Alors la Paix viendra 3 Devoir de regard4 Sciences Economiques5 Sciences Sociales et solidarité 6 L’option Sciences7 Les informaticiens9 Du théâtre en anglais10 Concours Techno Trophy11 Inès Cléda ou la rencontre d’une écrivaine prometteuse13 Trésors artistiques dans nos poubelles ! 14 La First LEGO League s’invite à l’INDBG ! Du bruit dans la tête : l’enfer Découverte pour les 2C 18 Visite de Kitchen Market19 Réalisation d’un escalier droit 21 Théâtre pour le 2e degré22 Le technique de calepinage, un travail minutieux 23 Le plaisir de lire et d’écrire 25 Une belle histoire ...26 Que sont devenus nos anciens ? 27 In memoriam27 Recette pour faire un monde nouveau ... 29 Nouvelles familiales31 2 15 16 Alors la Paix viendra Si tu crois à la puissance d'une main offerte, Si tu crois que ce qui rassemble les hommes est plus important que ce qui divise, Si tu crois qu'être différent est une richesse, et non pas un danger, Si tu sais regarder l'autre avec un brin d'amour, Si tu préfères l'espérance au soupçon, Si tu estimes que c'est à toi de faire le premier pas, plutôt qu'à l'autre, Si le regard d'un enfant parvient encore à désarmer ton cœur, Si tu peux te réjouir de la joie de ton voisin, Si l’injustice qui frappe les autres te révolte autant que celle que tu subis, Si pour toi l’étranger est un frère qui t’est proposé, Si tu sais donner gratuitement un peu de ton temps par amour, Si tu acceptes qu’un autre te rende service, Si tu partages ton pain et que tu saches y joindre un morceau de ton cœur, Si tu crois qu’un pardon va plus loin qu’une vengeance, Si tu sais chanter le bonheur des autres et danser leur allégresse, Si tu sais accueillir et adopter un avis différent du tien, Si pour toi l’autre est d’abord un frère, Si la colère est pour toi une faiblesse, non une preuve de force, Si tu préfères être lésé que faire du tort à quelqu’un, Si tu refuses qu’après toi ce soit le déluge, Si tu te ranges du côté du pauvre et de l’opprimé sans te prendre pour un héros, Si tu crois que l’Amour est la seule force de dissuasion, Si tu croix que la Paix est possible, … Alors la Paix viendra. Pierre Guilbert Si tu peux écouter le malheureux qui te fait perdre ton temps et lui garder le sourire, Si tu sais accepter la critique et en faire ton profit, sans la renvoyer et te justifier, 3 Devoir de regard Début octobre 2015, de nombreux élèves de 5e et de 6e de l’INDBG ont visité l’exposition « Devoir de regard », lancée par Amnesty International Belgique francophone dès 2013. Nous nous sommes rendus au très dynamique Centre culturel de Beauraing que nous saluons au passage et que nous remercions. Dans un troisième temps, nous avons partagé nos réactions et nos questions. L’une d’entre elles chez nos jeunes était : pourquoi, malgré nos petits problèmes quotidiens, vivons-nous dans la paix, dans la prospérité et la liberté et que d’autres n’ont pas accès à tout cela ? L’exposition proposait un certain nombre de photographies parcourant 50 ans de luttes pour les droits humains à travers le monde entier. Certaines d’entre elles, en noir et blanc ou en couleurs, sont de véritables instantanés d’Histoire et sont assez connues. Pensons à ces enfants vietnamiens fuyant devant un énorme panache d’incendie au napalm et quelques soldats américains désoeuvrés. Il faut voir ces autres enfants, soldats, ceux-là, en Afrique ou ailleurs, dressés à tuer alors qu’ils devraient être en train de jouer, de rêver et de recevoir l’éducation scolaire à laquelle ils ont droit. Des notes d’espoir, aussi, comme cette photo de Nelson Mandela, en prison à l’époque du cliché, qui regarde l’avenir avec une foi inébranlable au-delà des barreaux de sa cellule. Deux animateurs nous ont introduits à l’exposition. Puis, nous divisant en 2 groupes, ils nous ont laissé un temps d’observation et de réflexion avec les photographies. Nous nous familiarisons au passage avec les techniques des reporters. Ici, la sensation d’écrasement d’un vaste camp de réfugiés pris en plongée. Là, l’absurdité de la mort en direct d’un SDF, abandonné de tous. Les contrastes de noirs et de blancs nous suggèrent la crasse, la détresse immense, un corps vieilli et recroquevillé et suscitant la colère du visiteur qui n’a d’autre choix que de retourner cette colère contre lui-même et son sentiment d’impuissance. Là encore, une chambre de torture abandonnée depuis des années ou un vieux lit rouillé et poussiéreux nous font la lecture à voix basse de l’insoutenable qui s’est bel et bien produit. 4 L’actualité des attentats du 13 novembre à Paris nous a rappelé que tout cela avait un prix. Chaque peuple, chaque génération, chaque individu a ce devoir de regard, cette responsabilité de contribuer à la dignité et au bonheur de l’être humain, ici et ailleurs. Cette exposition a eu le mérite, comme d’autres initiatives, de pousser un peu plus nos élèves à vouloir devenir des êtres dont le courage, l’intelligence et la sensibilité sont à la hauteur des drames qui nous concernent tous. E. Michel Sciences Economiques mécanismes économiques dans Lors du premier trimestre, diverses « animations économiques » ont été organisées afin de permettre aux élèves de l’option de mieux appréhender les notions vues en classe et de saisir l’importance pour tout un chacun d’une bonne compréhension des notre société. Exposition « Behind the numbers » Les élèves de 5e et 6e ont tout d’abord rendu un dernier hommage au bâtiment de la Bourse de Bruxelles lors de l’exposition « Behind the numbers ». Celui-ci est, en effet, désormais détourné de sa fonction initiale pour y acueillir le temple de la bière. Plongés dans un univers à la fois passionnant et méconnu du grand public, nos économistes en herbe ont découvert une exposition époustouflante dans un endroit à la fois mythique et grandiose. L’exposition se décomposait en 3 cylindres présentant l’histoire de la Bourse ainsi que son fonctionnement. Aucun détail n’était laissé au hasard afin de permettre au plus néophite de se laisser captiver par le monde des traders ainsi que par les actions, obligations et autres valeurs mobilières. De nombreux outils technologiques apportaient un côté didactique à l’exposition, à savoir une simulation de cotation d’action ou encore la possibilité de passer un appel à un économiste de renom pour le questionner sur la bourse et les crises boursières. Conférence de Fred COLANTONIO L’attitude des Héros : ACTION ! Les élèves de 5e et 6e ont également eu l’opportunité de participer à la conférence de Fred Colantonio organisée au centre culturel de Beauraing par le C2P (le club des entrepreneurs, en Provinces de Luxembourg et de Namur). Captivés par la prestation de Fred Colantonio, nos économistes se sont sentis chamboulés face à leurs certitudes et ont découvert qu’ils étaient capables de devenir les héros de leur propre histoire. A travers ses conférences, Fred Colantonio présente une démarche et une attitude à adopter pour réussir professionnellement. Il vise plus particulièrement les entrepreneurs et futurs entrepreneurs. Son message, sa présentation dynamique et sa méthode ont inspiré nos élèves. Le conférencier se base sur des exemples de réussites comme Richard Branson (Virgin) ou encore Steve Jobs (Apple) afin d’expliquer les méthodes employées par ces personnalités hors du commun pour avoir du succès dans ce qu'elles entreprennent. Rencontre avec Jean-Christophe Dehalu, économiste à l’UWE Les élèves de 4e ont découvert le paysage entrepreneurial wallon lors d’une conférence en classe, organisée par l’UWE (Union Wallonne des Entreprises). L’orateur, J-C. Dehalu, a présenté diverses statistiques présentes dans la brochure « L’entreprise je veux savoir » avec beaucoup de rigueur et également énormément de pédagogie afin de permettre à nos élèves de comprendre des notions assez techniques relatives aux entrepreneurs présents en Wallonie. A titre d’illustration, nos économistes en herbe se sont rendu compte que la Wallonie compte 72.435 entreprises (secteur privé) en activité qui assurent 67 % de l'emploi salarié total wallon à la fois public et privé. Ils ont également pu se rendre compte du succès de nombreuses entreprises wallonnes. FlyingCam, entreprise liégeoise, en constitue une belle illustration. L’entreprise a mis au point un hélicoptère télécommandé, équipé d’une caméra, qui s’est tout de suite imposé dans le secteur cinématographique (Harry Potter, Da Vinci Code, James Bond , …). D’autres activités sont également planifiées dans le courant de l’année scolaire pour les élèves de l’option à partir de la 3e année comme des visites d’entreprises, une conférence, organisée par la BNB, pour déceler les faux billets et la participation à des concours … A découvrir dans la prochaine revue ! C. Marc 5 Sciences Sociales et solidarité Le site internet de notre école indique que les Sciences Sociales regroupent différentes disciplines (sociologie, anthropologie sociale et culturelle, économie et sciences politiques, psychologie et communication sociale) ayant pour objets l’être humain vivant en société ainsi que la réalité sociale, fruit des interactions humaines. Faire des sciences sociales permet donc de comprendre le monde dans lequel on vit. de l’aide sociale, certaines conditions doivent être remplies. Avant de l’octroyer, le CPAS effectue, dans chaque cas, une enquête sur les moyens de subsistance de la personne concernée. Le CPAS examine quelle aide est la plus adaptée en fonction de la situation personnelle ou familiale de la personne concernée et lui offre les moyens adéquats de subvenir à ses besoins. Voici quelques exemples de services proposés par le CPAS : aide financière, logement, fonds social de chauffage, aide A priori, il n’est pas rose, le monde dans lequel on vit ! Crise des migrants, attentats, pauvreté, réchauffement climatique ; autant de sujets qui alimentent nos conversations. Pourtant, on peut parfois percevoir une note d’optimisme dans notre quotidien. Ainsi, le bel élan de solidarité qui a touché la Belgique pour accueillir les migrants. L’option Sciences Sociales n’était pas en reste puisque c’est à l’initiative de Mme Lefèbvre, professeur en 4e, 5e, 6e qu’une collecte de vêtements chauds a été organisée pour permettre au centre Fédasil de Pondrôme d’accueillir dans les meilleures conditions possibles les candidats à l’asile qui ne manqueraient pas d’affluer. De solidarité, il en était également question pour les élèves de 3e de l’option qui, dans le cadre de leur cours ont étudié la problématique de la pauvreté en Belgique. Une stagiaire est en effet venue leur présenter ce thème et a pris l’initiative de leur faire rencontrer Mme Caroline Colaux, assistante sociale du CPAS de Beauraing. Après avoir rédigé un questionnaire, les élèves ont donc pu échanger avec elle et en apprendre plus sur les mécanismes de l’action sociale en Belgique. Le CPAS, ou « Centre Public d’Action Sociale », assure la prestation d’un certain nombre de services sociaux et veille au bien-être de chaque citoyen. Chaque commune ou ville a son propre CPAS offrant un large éventail de services. En Belgique, bon nombre de gens disposent de moyens de subsistance insuffisants ou sont parfois sans domicile fixe (ces situations découlent souvent d’« accidents » de la vie : maladie, perte d’un emploi, séparation, …) . Toutes ces personnes peuvent bénéficier de l’assistance sociale du CPAS. Chaque personne résidant légalement en Belgique a droit à une assistance sociale. Celle-ci a pour but de garantir un revenu minimum à l’ensemble de la population. Pour pouvoir bénéficier 6 médicale, aide et soins à domicile, mise au travail, médiation de dettes, aide psychosociale, … Le CPAS a aussi la possibilité, après avoir mené une enquête sur la situation financière d’une personne, de lui octroyer le revenu d’intégration. Les élèves ont cependant pu se rendre compte que ce revenu était très faible après qu’avaient été retirées toutes les dépenses que la personne devait effectuer (loyer, charges, assurances, taxes communales, …) : environ 246 € pour vivre par mois, soit quelque 6 € par jour ! C. Baijot L’option Sciences Des sciences, on attend qu’elles apportent toujours plus de connaissances positives, si possible applicables au bénéfice de tous ; on leur demande aussi de prévoir et, le cas échéant, de prévenir les risques auxquels nous exposent nos efforts pour maîtriser la nature aussi bien en nous-mêmes qu’en dehors de nous. L’option Sciences, proposant de découvrir des notions de biologie, chimie et physique, est présentée le plus souvent possible dans un contexte relatif à la vie quotidienne, et cela en vue de leur donner du sens. L’accent est mis sur la démarche scientifique expérimentale et intègre, selon le choix, théorie et travaux pratiques de laboratoire, réalisés, la plupart du temps, par les élèves eux-mêmes. Les séances de laboratoire permettent de découvrir les lois scientifiques qui peuvent alors être réutilisées dans des exercices de déduction. L’élève qui suit la filière des sciences expérimentales ne sera donc pas devant un cours plus facile mais bien devant une approche toute différente. Il fera souvent des exercices écrits d’observations, d’analyses, d’argumentations. La logique mathématique lui sera d’une grande utilité pour mener à bien la démarche pratique d’analyse des résultats qu’on attend de lui. Le travail en équipe, la rigueur de travail devant un mode opératoire, le respect du matériel et d’une méthode de mesure, ne sont que quelques exemples parmi d’autres des aptitudes et attitudes à travailler et améliorer durant toutes les années qui vont suivre. L’élève partagera des informations avec d’autres jeunes de son équipe ou d’autres équipes et défendra son avis. Il apprendra à décrire correctement les phénomènes qu’il observe. Il sera plus souvent amené à décloisonner les informations des trois domaines des sciences pour faire, le plus souvent possible, de l’interdisciplinarité lors des analyses de phénomènes présentés au laboratoire. Il sera donc, tant que possible, familiarisé avec la démarche scientifique qui sera affinée pour tous les sujets du programme. Il bénéficiera d’un drill tant pour la systématique de rapport de laboratoire que pour les différents types d’exercices scientifiques abordés. Bref, la méthodologie adoptée dans cette option considère l’élève dans sa globalité en tenant compte de sa dimension intellectuelle (à la fois théorique et pratique) mais aussi affective. Elle vise à amener les élèves progressivement à un certain niveau d’abstraction en utilisant largement la méthode inductive puis des raisonnements déductifs de plus en plus élaborés. Pour conclure, Auguste Comte (philisophe du XIXe siècle) établit dans son « Traité philosophique » la maxime selon laquelle « La science consiste surtout à voir pour prévoir », donc à « étudier ce qui est afin d’en conclure ce qui sera ». Pour lui également, la science est « destinée à fournir la véritable base rationnelle de l’action de l’homme sur la nature ». Si nous pouvons prévoir les phénomènes, nous pourrons dans « la vie active » les modifier à notre avantage, en les faisant jouer les uns sur les autres. De là, une nouvelle maxime : « Science, d’où prévoyance ; prévoyance d’où action. » … C. Derenne et M. De Buyser. 7 Titre principal AFFÛTAGE ET VENTE OUTILS DE DÉCOUPE Rue du Centre, 690A 6688 Longchamps - Bastogne Responsable Affûtage/Vente : Stéphane Wuidart 0476/50 52 13 Anciennement CONSTRUMAT BEAURAING Pour la maison, tout est là ! Rue de Rochefort, 72 5570 BEAURAING Tél.: 082/71 42 14 Fax : 082/71 20 91 À chaque problème une solution Rue Ernest Matagne 1A3 8 5330 Assesse Gsm: 0475/55.61.48 OUVERT AUX PROFESSIONNELS COMME AUX PARTICULIERS Négoce de matériaux• Produits de toiture • Surface de bricolge Rue du Parc Communal, 8 5570 BEAURAING - 082/71.40.60 Ouvert du lundi au vendredi de 7h à 12h et de 13h à 17h. Le samedi de 8h à 12h. www.moline-habitat.be Toujours à votre service à Paliseul 061/53.44.50 Magali Robin Secrétaire indépendante 0497/13 60 44 [email protected] www.backtobasics-secretariat.be Les informaticiens Notre option est jeune, certes, mais a déjà de nombreux projets qui ne demandent qu’à se réaliser … Cette année, l’Institut NotreDame a l’honneur de proposer aux élèves de l’option Informatique un séjour culturel des 24 et 25 mars 2016. Ce séjour touchera les domaines de la programmation du jeu vidéo et les techniques de manipulation des images. Une aventure sociale ! Le but de ce séjour est de permettre à l’élève de développer son émancipation sociale, son sens de la critique et sa curiosité. Au-delà d’une découverte scientifique, le jeune aura la chance de faire la connaissance d’autres élèves issus de la même section que la sienne. En effet, nos élèves partageront cette aventure avec ceux du Centre Scolaire Sainte-Julienne de Fléron. Du virtuel … au réel ! Au programme de ce séjour, deux visites essentielles sont organisées : le Futuroscope de Poitiers et la Cité des Sciences et de l’Industrie de Paris. La première journée au Futuroscope sera axée sur le développement de jeux vidéo et les techniques de projection de l’image. La deuxième journée, quant à elle, permettra à nos chérubins de découvrir la dimension scientifique de la lumière et des images. La vidéo, c’est du numérique ! L’activité très ludique qui attend nos élèves au Futuroscope leur donnera la possibilité de développer un jeu vidéo de A à Z. De plus, tout au long de la journée, ils assisteront à différentes attractions manipulant l’image. Et, cerise sur le gâteau, en soirée, ils seront émerveillés par un spectacle sons et lumières au-dessus de l’eau. La tête dans les étoiles ! Lors de la visite de la Cité des Sciences et de l’Industrie de Paris, nos élèves auront la tête dans les étoiles! Le planétarium propose une découverte époustouflante de notre voie lactée, voire de notre univers. Encore une fois, ils évalueront les nombreuses possibilités de la projection d’images numériques à travers les expositions temporaires et permanentes que l’on peut visiter en ces lieux. Au final … A travers l’organisation de cette première expérience, notre école n’a eu qu’une seule pensée : avoir l’espoir de servir au mieux les intérêts et le devenir de ses élèves. M. Anckaert 9 Du théâtre en anglais Ce lundi 23 novembre, une troupe de théâtre irlandaise, la « Emerald Isle Theatre Company », s’est produite dans notre école devant les élèves de 4-5 et 6 G ... in English of course. La pièce, intitulée « Sisters », racontait l’histoire de 2 soeurs. L’une est très sérieuse et l’autre rêve d’une carrière d’actrice. Quand notre future star de cinéma est victime d’un accident vasculaire cérébral et tombe dans le coma, sa soeur se met à lui raconter des histoires plus vraies que nature. Grâce à cette activité hors du commun, une excellente troupe, une pièce contenant beaucoup d’humour et qui interpelle le public, les élèves ont pu apprendre l’anglais de manière ludique. Quelques élèves ont d’ailleurs pu participer à cette pièce grâce à des petits rôles comme celui d’une assistante ou d’une fan hystérique ! Les apprentis acteurs ont pris part à des petites danses ainsi qu’à quelques exercices de prononciation préparatoires qui nous ont rendus bien ridicules mais qui nous ont bien amusés. Il s’agit vraiment d’une superbe expérience, très instructive et très amusante, qui nous laissera d’excellents souvenirs. Cette pièce nous a également permis d’entraîner notre compréhension d’un message oral et, pour les acteurs, notre prononciation. De plus, cette activité nous a prouvé à tous que nous sommes capables de suivre et comprendre un message formulé par des natifs de la langue. Voici quelques réactions d’élèves notées juste après la pièce : « Je trouve que la pièce était très bien, que les acteurs jouaient bien leurs rôles et que la pièce était facile à comprendre. » M. Chiliade, 5G « C’est déjà la troisième année que j’assiste à une pièce de théâtre de cette troupe. Chaque fois, je suis agréablement surprise et c’ est encore plus le cas cette année. C’était vraiment passionnant et la participation des élèves est réellement un plus. Ce sera un très agréable souvenir. » A. Mazy, 6G « La pièce était super et même si on n’a pas tout compris, l’ensemble était compréhensible. C’était drôle, les comédiens étaient vraiment chouettes et c’était amusant de voir nos camarades jouer. » P. Van Hijfte, 5G 10 « Le spectacle était très réussi, le vocabulaire était adapté et varié. Les acteurs donnaient vie à leurs personnages, ce qui rendait un attrait encore plus particulier à cette pièce. » F. Rochette, 4G « J’ai trouvé l’histoire très bien mise en scène et j’ai beaucoup apprécié les acteurs. Ils sont très gentils et nous nous sommes vraiment bien amusés avec eux. C’était très compréhensible car l’histoire n’était pas très compliquée. C’était à la fois drôle et émouvant, cela m’a beaucoup plu. » J. Crépin, 5G et participante à la pièce.» « La pièce était très plaisante à regarder et assez compréhensible. Les comédiens étaient au top et l’histoire était assez drôle ! » J. Seck Mulet, 5G « J’ai trouvé qu’il y avait une bonne ambiance dans la salle, tout le monde jouait bien son rôle et j’ai rigolé du début à la fin. C’était vraiment super ! » J. Bayet, 4G Texte rédigé par Lucie Fidalgo, élève en 5 G Concours Techno Trophy Le jeudi 19 novembre, nos élèves de 6e Qualification Mécanicien Automaticien ont participé à la 5e édition du TechnoTrophy organisée par le département Ingénieur Industriel d’HENALLUX. Dans un premier temps, cette journée a permis aux élèves de découvrir l’atmosphère des auditoires qu’ils côtoieront peut-être l’année prochaine. Ils ont donc assisté durant la matinée à des exposés théoriques qui concernaient des domaines variés comme l’énergie, les microprocesseurs, les imprimantes 3D et la pneumatique. Dans un second temps, les étudiants ont pu mettre en pratique les notions acquises lors d’un concours organisé par le corps professoral de la Haute Ecole. Au programme, quatre épreuves de 30 minutes à réaliser par petits groupes de 3 à 4 étudiants. Durant le dîner, l’esprit compétitif se faisait déjà ressentir entre les différentes équipes. Les élèves ont dû notamment répondre à un questionnaire sur les fonctions de l’imprimante 3D, réaliser un cycle pneumatique, mais aussi programmer et câbler des microcontrôleurs. En attendant la remise des prix, ils ont eu l’occasion de discuter avec des étudiants sortis de l’école l’année précédente. Ils ont pu poser leurs questions et, pour certains, parler de leurs doutes. Ils ont été assez rassurés vu les bonnes bases acquises dans l’option Electromécanique. Cependant, nos élèves n’ont pas nié la charge de travail qu’il leur faudra fournir ! Au final, le succès est au rendez-vous. Sur un total de vingt-deux équipes, nos étudiants terminent sur la deuxième marche du podium et ils repartent chacun avec une clé USB, mais surtout avec un bon aperçu de ce qui les attend peut-être l’année prochaine. L’esprit chaleureux et l’accueil convivial rencontrés làbas ont même donné à certains l’envie de devenir ingénieur. Félicitations à tous nos élèves qui ont participé à cette journée riche en apprentissages et qui ont fait mieux que se défendre lors de la mise en pratique ! D. Dion 11 Titre principal 12 Inès Cléda ou la rencontre d’une écrivaine prometteuse Le jeudi 12 novembre, les élèves de troisième année générale et de transition, ainsi que ceux de quatrième année technique ont eu le privilège de rencontrer Inès Cléda, jeune auteure. Inès Cléda ? Un nom et un prénom qui résonnent dans la région ? Bien sûr ! Cette sympathique personne n’habite pas loin, à Givet., pas bien loin de chez nous. Une jeune auteure dites-vous ? Ce n’est pas peu dire ! Elle a 20 ans et a déjà publié un roman ! Vous voulez en savoir plus ? Pour Inès, l’écriture est une passion. Elle lui vient de sa maman. Son roman, intitulé « L », met en scène une jeune femme : Léonie. Celle-ci adore observer les gens qu’elle croise et noter ses réflexions dans un carnet. Le jour où elle perd ce fameux carnet, elle est bouleversée à l’idée que quelqu’un lise ses écrits … Dans une interview, Inès précise que ce livre la reflète un peu finalement. Elle se retrouve à travers l’héroïne qui ne veut pas publier ses écrits suite à un manque de confiance en elle. En outre, son objectif principal était de dénoncer quelques aspects de la société qui la révoltent ou qu’elle trouve absurdes. Elle voudrait également, par ce livre, encourager les jeunes qui doutent en leurs capacités à aller jusqu’au bout de leurs idées et de leurs rêves. Mais encore ? Parallèlement à son aventure d’écrivaine, Inès Cléda est diplômée en logopédie. Elle compte prochainement rejoindre le cabinet médical de ses parents, à Givet. Quel talent ! Et nous n’avons certainement pas fini d’entendre parler d’elle ! En effet, la jeune écrivaine vient de proposer son second roman à quelques maisons d’édition. Inès et son entourage sont confiants, l’issue sera positive ! Les élèves et moi, nous n’en doutons pas ! Ce livre, nous l’attendons avec impatience ! Chacun a apprécié la lecture de « L » et lira volontiers le suivant. Que dis-je ? Les suivants ! Nous conclurons par ces quelques mots : une rencontre inoubliable, une personnalité hors du commun, une écriture sobre, une bouffée d’optimisme et une inspiration étonnante. Merci Inès pour ce rendez-vous mémorable. C. Noël 13 Trésors artistiques dans nos poubelles ! Sensibiliser à la surconsommation par « l’Art du recyclage », tel était le but de l’exposition du Centre Culturel de Beauraing. Une opportunité pour nos classes de Technique Artistique qui ont pu, par ce biais, découvrir des œuvres fascinantes faites de « petits riens », de petites choses oubliées, inutiles ou démodées. Nous sommes de nombreux artistes ou apprentis artistes à nous dire : « ça coûte cher de créer de nos jours : le moindre pinceau, le moindre tube d’acrylique, du petit taille-crayon récolteur au bloc de feuilles de dessin à grains, tout est hors de prix ». Faudrait-il être riche pour faire de l’Art ? Eh bien, non ! Au vu des œuvres exposées au Centre culturel, nous pouvons dès à présent vous affirmer qu’on peut faire beaucoup avec pas grand-chose et, qui plus est, transmettre un message très riche et très puissant. L’exposition intitulée « Recycl’Art » présente le travail de cinq artistes contemporains qui n’utilisent que des matériaux de récupération. A travers leurs œuvres singulières, chaque artiste montre son univers onirique, satirique ou critique et tente de nous ouvrir les yeux sur notre propre société qui consomme et qui jette, qui achète et qui jette à nouveau, sans trop se soucier des conséquences. Les sculptures sont très étonnantes à nos yeux et nous sommes tout particulièrement surpris par le travail minutieux de Jérôme Dayez. Ce créateur original assemble par collages toutes sortes de petits « objets-déchets » (parfois des « choses » dégoûtantes comme de vieilles brosses à dents) afin de créer des sculptures abstraites et totalement esthétiques. Ce n’est qu’en s’approchant des œuvres qu’on se rend compte de leur composition ; il est amusant d’essayer de reconnaître les objets mélangés et souvent peints : pinces à linge, boîtes d’allumettes, petits outils, petites fourchettes à frites,…un véritable bric-à-brac agencé intelligemment et qui forme un tout assez charmant. C’est comme une poubelle organisée et colorée qu’on pourrait exposer sans aucune gêne dans son salon ! Les autres créations n’étaient pas moins captivantes : les sculptures de Jean-Marie Collet nous font réfléchir de manière plus concrète sur nos comportements citoyens : nous respectons-nous, nous-mêmes, dans notre façon de consommer ? Respectons-nous les autres et notre planète ? Ses œuvres suscitent le débat et notre guide aide nos élèves à se poser les bonnes questions : sommes-nous dépendants des nouvelles technologies ? Sommes-nous des victimes de la publicité ? Ces différents thèmes amènent à réfléchir sur 14 notre manière de vivre, de consommer. Chacun a son petit rôle à jouer dans ses habitudes quotidiennes, tout simplement par le tri des déchets ; c’est un premier pas. Cette visite guidée s’est conclue par une invitation : répondre à un appel à projets pour une prochaine exposition sur le thème de l’Art recyclé, exposition à laquelle nos élèves sont invités à participer en présentant leurs propres œuvres. Nous allons donc essayer de relever ce défi. Les élèves de 4e Techniques Artistiques s’attèlent dès à présent à un projet de chaises « design » faites de matériaux de récupération. D’autres idées viendront. Ne jetez pas trop vite, l’art est partout, même dans votre poubelle … recyclez, recyclons, créons de belles choses faites de petits riens. Joyeuses fêtes de fin d’année. Je vous souhaite de jolies découvertes. D. Mottet La First LEGO League s’invite à l’INDBG ! L’année 2015 a démarré sur les chapeaux de roues pour les 1S/2P (option Technique). En effet, avec leurs professeurs, ils se sont lancés dans une aventure basée sur la construction de robots, leur programmation et sur une réflexion sur les déchets ... Créé en 1998, le challenge FIRST LEGO League est une compétition de robotique internationale qui a lieu dans plus de 60 pays, faisant participer plus de 200 000 jeunes. Il a pour objectif de susciter l’intérêt des jeunes pour les sciences et la technologie. Pour la première fois en Fédération Wallonie-Bruxelles, une école va participer à ce projet. Et, grâce à la collaboration du centre Technobel de Ciney, c’est notre école qui a été choisie ! Une certaine fierté pour l’équipe pédagogique et les élèves de relever le défi ! Mais quel défi ! Et c’est donc depuis le 4 septembre que les élèves de 1S/2P s’évertuent à réfléchir, construire, démonter, remonter, programmer leur robot afin de finaliser les missions imposées par le concours. Chaque semaine, entourés de leurs professeurs de mathématique, informatique, français et technique, ils s’entraînent pour concourir et présenter leur travail devant des jurys, le tout dans une ambiance conviviale. La partie match, bien qu’elle constitue un temps fort de la rencontre, ne sera pas la seule à être évaluée car la programmation et le design technique du robot seront aussi pris en compte par le jury « robot design ». L’esprit d’équipe ne sera pas en reste car la rencontre ne se limite pas aux seuls aspects techniques, mais constitue aussi une véritable aventure humaine ! Enfin, nos apprentis ingénieurs devront présenter un projet de recherche autour de la thématique FFL. Ces chercheurs en herbe devront analyser le tri des déchets, se poser les bonnes questions, échanger leurs idées et réflexions afin de proposer par la suite des solutions innovantes. Les équipes les mieux classées emporteront un trophée en LEGO et seront sélectionnées pour participer à la finale européenne, puis à la finale mondiale ... Why not ? Profitons-en pour remercier Mr Decuyper, responsable et formateur de la partie First Lego à Technobel, qui a mis en prêt l’ensemble du matériel logistique et technique pour travailler dans les meilleures conditions et qui, depuis le début du lancement du projet, accompagne les élèves dans leurs recherches. T. Poncelet 15 Du bruit dans la tête : Parce qu’il en a plein les oreilles et qu’il ne veut pas que ça arrive aux autres, Julien Martial a pris son bâton de pèlerin. Les acouphènes, Julien Martial connaît bien le sujet. Depuis deux ans, il en souffre. C’est du bruit en permanence dans les oreilles et dans la tête. Jeune ayant envie de vivre normalement, il en souffre. Musicien dans l’âme, il en est handicapé. Désormais, il sait que le reste de sa vie, il devra s’en accommoder. aux musiques amplifiées. « Il y a quelques années, j’étais assis à votre place, on m’a parlé du sujet mais cela ne m’avait pas marqué ». Il n’était pas conscient des dégâts que le bruit pouvait occasionner. « Je veux dire aux jeunes tout simplement de faire gaffe à la musique qui va fort et longtemps. Les normes établies ne sont pas respectées. Protégez-vous. » « Mon quotidien a été bouleversé. C’est encore supportable maintenant mais plus tard ? ». Il le sait : le mal dont il souffre est incurable. Il devra faire avec un bruit perpétuel en arrière-plan. Il n’a plus qu’à s’adapter et trouver des techniques pour essayer de s’en accommoder. Faites gaffe ! Sa mésaventure, Julien Martial n’a pas envie que d’autres la connaissent. Dans son cercle d’amis, il prêche la bonne parole. Il veille sur les autres pour éviter que le bruit infini s’invite dans d’autres oreilles. Dernièrement, le Beaurinois a passé la vitesse supérieure. Apprenant que les étudiants de son ancienne école organisaient un bal, il a voulu apporter son témoignage, expliquer les risques encourus lorsqu'on s’expose 16 C’était il y a deux ans La vie du Beaurinois a basculé il y a près de deux ans. Le jeune s’en souvient parfaitement. Ça s’est passé l’enfer après une soirée. Depuis ce jour, le bruit ne l’a plus quitté. Direction le monde médical pour s’entendre dire que les tests auditifs étaient bons mais que les acouphènes étaient là. « J’ai rencontré des médecins qui m’expliquaient bien. D’autres un peu moins. Mais il n’y a pas de traitement. Il y a des dispositions à prendre pour essayer d’apaiser la gêne que ça génère. On doit apprendre à vivre avec. Ce n’est pas facile. » Conseil : porter des protections suffisantes lors d’événements musicaux. Un autre est de se tenir à distance des baffles. Il faut aussi surveiller son temps d’exposition aux bruits. Un bal de rhétos sous surveillance A l’Institut Notre-Dame, on veut un bal des rhétoriques « responsable ». Ce vendredi, la fête se tiendra à la salle l’Espérance à Pondrôme. Oui, il y aura de la musique mais on veut qu’elle soit « safe ». Ceci est passé notamment par le choix de DJ. On a opté pour une animation respectueuse des tympans. On ne veut pas de décibels à outrance. Les jeunes n’auront pas d’appareils de contrôle sous la main mais ils feront confiance au sonomètre qui se trouve dans la salle et qui mettra un frein si un certain niveau est dépassé. Le professionnel du son a d’ores et déjà indiqué qu’il positionnera les enceintes afin d’éviter la diffusion directe. « C’est important que les organisateurs mettent leurs protections auditives pour montrer l’exemple. L’an passé, ça a marché. De plus jeunes ont suivi le mouvement. » indique Mme Dalemans. A l’entrée, on procédera à une distribution gratuite de bouchons auditifs. Il y aura aussi des folders pour expliquer les dangers liés au bruit excessif. P. Higuet, article paru dans L’Avenir 17 Découverte pour les 2C Le 3 décembre, dans le cadre du cours de sciences, les élèves de 2e commune ont participé à une demi-journée d’étude sur le terrain. Afin de découvrir le thème de la reproduction en milieu aquatique, un rendez-vous était pris à la pisciculture de Mirwart. L’objectif était double: l’étude de la reproduction de la truite fario et de l’écrevisse à pattes rouges. Nos élèves ont pu assister à la ponte et à la fécondation des œufs de la truite fario. Il s’agit de la seule espèce de truite indigène vivant dans les eaux courantes de nos rivières. Une autre préoccupation du domaine est la protection et la reproduction de l’écrevisse indigène. Celle-ci a été décimée à la fin du XIXe siècle. par la petite écrevisse américaine. Importée chez nous, elle est malheureusement porteuse d’un champignon mortel, appelé la peste de l’écrevisse, pour notre espèce à pattes rouges. La reproduction de la truite fario se déroule en hiver entre novembre et janvier. A cette époque, les géniteurs sont stimulés par le manque de lumière et les eaux froides. La truite est un prédateur et les prédateurs se reproduisent généralement avant leurs proies potentielles. La truite pond en décembre de gros œufs remplis de réserves nutritives qui vont permettre à l’alevin de survivre sur ses propres réserves jusqu’à mars ou avril, période où les proies commencent à abonder à la faveur du réchauffement printanier et de la reproduction d’autres espèces de poissons. A Mirwart, on pratique la reproduction artificielle. Les œufs fécondés sont répartis dans de petits bacs qui vont être inspectés tous les jours jusqu’à l’éclosion au printemps. Cette technique de reproduction permet d’amener 15 % environ de la production au stade adulte alors que, dans la nature, le taux n’est que de quelques adultes pour … mille œufs fécondés! Les truitelles vont alors vivre plusieurs mois, voire plusieurs années, dans différents étangs. Une fois adultes, ces truites seront vendues principalement pour réempoissonner nos cours d’eau. Les poissons de la pisciculture de Mirwart sont destinés au réempoissonnement des rivières et vendus à divers stades de croissance au Fonds piscicole ou aux sociétés de pêche. Ses 35 étangs actuels, aménagés en terrain naturel, livrent entre 8 à 10 tonnes de truites fario par an. Cette année, la reproduction de la truite est retardée de 3 à 4 semaines. Ce retard est dû aux périodes de bon temps et aux températures élevées que nous venons de connaître ces derniers mois. 18 Le domaine a un large public. C’est pour cette raison que de nombreuses activités sont organisées, aussi bien pour les étudiants que pour les randonneurs, les passionnés de nature, de pêche ou les marcheurs « gourmands ». Le domaine est aussi chargé de gérer la forêt : plantations, semis naturels, mises à blanc, éclaircies, …mais aussi de la protection des étangs contre les prédateurs comme le martin pêcheur, le héron, les canards ou encore le redoutable cormoran. Les professeurs de sciences du 1er degré Visite de Kitchen Market Dans le cadre du cours Art de la Vente, les élèves de 6e Vente ont effectué la visite du tout nouveau magasin Kitchen Market (anciennement Euro Center) le mardi 24 novembre. C’est plus qu’un simple changement d’enseigne ; c’est d’un tout nouveau concept, unique en Wallonie, qu’il s’agit : réunir sous un même toit tout ce qu’il faut pour réaliser une cuisine et pour cuisiner. La diminution constante des marges sur certains produits a été l’un des éléments déclencheurs. Rappelons que le groupe Menatam a été fondé par la famille Taminiaux en 1979 à Bois-de-Villers (province de Namur), et qu’il s’est imposé comme un acteur de premier plan avec ses enseignes Eurocenter et Eggo. Nous avons été accueillis par Monsieur Jamotton, gérant très sympathique. Celui-ci nous a offert un chocolat chaud ainsi que des pop-corn tout en nous expliquant l’histoire de l’entreprise et les raisons de ce changement de stratégie commerciale. Le magasin Kitchen Market est un espace accueillant, aéré et convivial où nous avons découvert les quatre univers essentiels de l’enseigne : la cuisine équipée, les appareils électroménagers, les ustensiles - accessoires et les cours de cuisine. Pendant plus d’une heure et dans une ambiance chaleureuse, les élèves ont eu droit à un échange questions – réponses tournant autour du monde de la vente : l’aménagement du magasin, la rotation des stocks (avec la visite de la réserve), les qualités requises d’un futur vendeur pour l’enseigne, la création, la distribution et le coût d’un folder publicitaire, … Cette visite concrète et enrichissante a permis à nos étudiants de découvrir une face méconnue d’une entreprise : la conception et la réalisation d’une nouvelle enseigne dans notre région. Merci aux élèves pour leur curiosité et un tout grand merci à Monsieur Jamotton pour cette visite très accueillante. M. Parizel 19 Titre principal Votre fournisseur spécialiste en produits alimentaires hines-outillage-serrurerie-quincaillerie Tél.: 061/260 800 Vêtements de travail Machines-outillage-serrurerie-quincaillerie Vêtements travail Porte de degarage Porte de garage Nouveau Matériel & jardin Matériel forêt forêt & jardin Machines-outillage-serrurerie-quincaillerie Atelier de réparation Vêtements de travail AtelierDEALER de réparation OFFICIEL Porte de garage Nouveau Matériel forêt & jardin DEALER OFFICIEL Nouveau Allée des Artisans 1 Zoning de Biron 5590 Ciney Atelier de réparation Tél : 083/21.75.65 Allée1des Artisans 1 Artisans Zoning de Biron Biron5590 Ciney ney DEALER OFFICIEL Web Shop www.debrysa.be Tél : 083/21.75.65 Web Shop www.debrysa.be Tél : 083/21.75.65 Web Shop www.debrysa.be Philippe Wilmet Area Sales manager Tél.: 0473/282 495 E-mail : [email protected] 20 Réalisation d’un escalier droit Du 23 au 27 novembre, le Centre de compétence Le Forem Wallonie Bois de Libramont nous a accueillis dans ses locaux et ses ateliers afin de proposer aux élèves de 5P et de 6P Menuiserie une situation d’apprentissage et une situation d’intégration professionnellement significative sur le thème : « Concevoir et réaliser un escalier droit de 4 marches avec une rampe ». C’est dès 7h45 que 11 élèves de notre école, 5 en 6Pb et 6 en 5Pb, ont pris place dans un car de la société Toussaint, en direction de Libramont. Arrivés au Centre 50 minutes plus tard, nous avons été reçus par Monsieur Jean-François Pandolfe, formateur du centre. La journée a débuté par une matinée de présentation des trois machines à commande numérique, une scie à format, une quatrefaces et une toupie programmable. Après avoir insisté sur la sécurité, Monsieur Pandolfe a expliqué l’organisation de la semaine afin de pouvoir mettre en situation les élèves de notre école. La matinée s’est terminée par le rappel des connaissances de base et les règles de calcul de l’escalier qui avaient déjà été étudiées au cours technique à l’école. Dès l’après-midi de ce premier jour de formation, les élèves ont eu l’occasion de retrousser leurs manches pour commencer la fabrication de l’escalier. Avant de reprendre la direction de Beauraing, tous les élèves avaient déjà eu l’occasion de s’initier aux réglages numériques d’une des trois machines. Les quatre autres jours, les tâches se sont suivies à une cadence soutenue afin que les élèves puissent avoir la possibilité de terminer l’escalier au centre pour les élèves de 6e qui travaillaient individuellement ou d’exploiter au mieux les nouvelles machines pour les élèves de 5e qui travaillaient par groupes de trois. En fin de semaine, tous lont eu l’opportunité d’utiliser plusieurs fois les machines performantes du centre. En effet, pendant que les uns débitaient les planches de tilleul avec la scie à format, les autres corroyaient les 4 faces des planches débitées. Déjà à ce stade, les élèves étaient en train d’apprendre à s’organiser tous ensemble. Calculer l’escalier, calculer les gabarits, entrer les cotes dans le programme, débiter, corroyer, fabriquer le calibre d’élévation, fabriquer le gabarit de défonçage, défoncer les entailles, ajuster au ciseau, scier à format, scier suivant un angle, profiler à la toupie, poncer, assembler, visser, …, plus aucune opération n’avait de secret pour les élèves. C’est avec une corde supplémentaire à leur arc et le sentiment du devoir accompli que tous les élèves ont repris le car à 16h20 à Libramont, vendredi 27, le dernier jour de la semaine de formation, en m’invitant à chanter avec eux pour partager leur bonne humeur. Au nom des élèves, je tiens à remercier l’équipe de direction et les formateurs du centre, sans qui cette formation enrichissante, tant techniquement que pédagogiquement, n’aurait pas eu lieu. O. Remy 21 Théâtre pour le 2 degré e Mardi matin, 10 novembre, les élèves du deuxième degré quittent l'école en direction du Centre Culturel de Beauraing. Accueillis par les deux acteurs de l'A.S.B.L. « Trou de ver », c'est une scène déserte qui les attend ... Suspense sur un spectacle intitulé « Trait d'union » ! Une fois son histoire racontée au public, il prend conscience que la réponse se trouve au bout du trou noir, dans le « trou des vers » ; une porte vers une autre dimension ... celle des repas en famille quand il était petit. Il comprend que ses blessures ne viennent La pièce s'ouvre avec la tentative de Simon (24 ans) de mettre des mots sur la solitude qu'il ressent. Il confie au public qu'il n'arrive pas à supporter le regard des pas du divorce qui l'encourage à manger, mais bien du manque de bonheur d'être en famille ! gens parce que, même s'il paraît normal, à l'intérieur, il se sent gros! Il a donc décidé de « gratter en lui » pour lever le mal sur cette sensation qui le détruit petit à petit. Et la seule explication plausible, c'est qu'à l'intérieur de lui se trouve un vide, un trou noir ... Il plonge avec le public dans ses souvenirs et se retrouve à l'époque de ses 15 ans, la pire période de sa vie; celle où ses parents ont décidé de divorcer. Sur scène, il subit à nouveau les violentes disputes de ses parents, les séances au tribunal sans jamais lui demander son avis, l'apparition de nouveaux conjoints qui le rejettent et surtout ce gonflement du corps qui a suivi tous ces événements! Il retrouve les brimades des petits comiques de sa classe et les déceptions sentimentales avec Pauline, la seule fille qui a été gentille avec lui. 22 C'est par un échange constructif et enrichissant, avec les deux comédiens, que s'est terminée cette matinée ! M. Laffineur La technique de calepinage, un travail minutieux Après la restauration complète d’un pont enjambant la Snaye à Vonêche, les élèves de 7e année en Rénovation, Restauration et Conservation du bâtiment s’attaquent à la transplantation d’un ouvrage d’art. En effet, lors des Portes ouvertes de l’année scolaire passée, les élèves de 6e année Construction-Gros œuvre ont réalisé dans leur atelier une fontaine en pierre du pays. Cet ouvrage a fait grand effet, d’où l’idée de la déplacer afin de garantir sa pérennité. Voilà un projet qui convient à merveille pour les 7es de cette année. En effet, l’un des modules d’apprentissage en rénovation et restauration est la conservation du patrimoine bâti. Suite à une étude technique, la méthode qui a été choisie est la même que celle utilisée pour la reconstruction de nombreux bâtiments du Fourneau Saint-Michel : Le calepinage. La technique de calepinage consiste à découper le bâtiment en portions de plus ou moins 1.5 m². Puis, chaque portion est redessinée à l’échelle. Lorsque les différents plans de détails sont réalisés, le numérotage de chaque élément de pierre peut être fait en correspondance avec l’édifice. Après le numérotage, vient le démontage et le stockage minutieux de chaque pierre afin que celle-ci puisse être remontée à sa place exacte. A l’heure actuelle, nos élèves ont terminé la réalisation des plans et la numérotation de l’édifice. Rendez-vous lors de nos Portes ouvertes le 14 mai prochain pour découvrir où en sont les travaux. Les professeurs de Construction 23 Titre principal AUTO-ÉCOLE TECNOCONDUITE BEAURAING Rue Vermer, 28 5570 Beauraing 24 082/71 19 57 0476/33 87 20 Le plaisir de lire et d’écrire Tout au long de la semaine, nous avons préparé notre rencontre avec l’auteur F. Andriat. Nous avons ainsi recherché 2 ou 3 questions à lui poser. Après une mise en commun, chacun d’entre nous a reçu une question. Ce jour-là, comme d’habitude, je discute avec les autres jusqu’à ce que l’horrible son aigu de la sonnerie retentisse. C’est le moment pour se mettre en rang, deux par deux, en attendant notre professeur de français, Mr Naviaux. Nous voilà donc en route vers la bibliothèque de Beauraing avec en poche le petit papier sur lequel est écrite notre question et le roman de F. Andriat. Nous avons prévu de le faire dédicacer … Sur place, la bibliothécaire et F. Andriat nous accueillent gentiment. Nous nous sommes assis et nous avons alors posé nos questions (sur sa vie, son métier d’écrivain, sa vie de professeur, ses livres, …). La rencontre s’est terminée par la dédicace. (J. Lescaud, 2Cd) Qui est Frank Andriat ? C’est un écrivain accueillant, chaleureux et très gentil. A l’âge de 12 ans, il voulait parler de ses émotions, mais il était trop timide. Alors, il prit une feuille et écrivit ... Un jour, il donna sa feuille à son professeur de français qui l’encouragea à poursuivre dans cette voie. Plus tard, il écrivit pour la revue de l’école. Un autre professeur qui avait acheté la revue se moqua de son travail…Frank fut très mal ; mais après avoir réfléchi, il se dit qu’il allait continuer pour prouver que son professeur s’était trompé !!! Ce que j’ai appris lors de la rencontre de F. Andriat : • J’ai tout d’abord beaucoup apprécié la rencontre avec F. Andriat. Je sais qu’on ne peut pas vivre du métier d’écrivain en Belgique. Il est nécessaire d’avoir deux professions. C’est donc pour cette raison que F. Andriat est toujours enseignant. (N. Dasty, 2 Cd) • Quand Frank Andriat ne trouve pas l’inspiration pour écrire son livre, il va boire un café ou manger quelque chose. (L. Guillaume, 2 Cd) • Un écrivain gagne entre 5 et 10 % du prix de vente de son livre. (M. Anceaux, 2 Cd) Prolongement de la visite. Si vous désirez vous aussi rencontrer F. Andriat, cet écrivain belge, plongez-vous dans la lecture de ses romans. (T. Haoud, 2Cd) Rue Josaphat (Mémor, Bruxelles, 1999), Le journal de Jamila (Mijade, Namur, 2008), Les aventures de Bob Tarlouze, T1 Arrête ton baratin ! (Ker Editions, 2013), … Encore merci à tous les élèves pour leur excellent comportement et leur dynamisme lors de cette rencontre. Un merci tout particulier à Sabrina, bibliothécaire à Beauraing. D. Naviaux 25 Une belle histoire ... Un agriculteur avait des chiots qu’il avait besoin de vendre. Il a peint un panneau annonçant les 4 chiots et le cloua à un poteau sur le côté de sa cour. Comme il plantait le dernier clou dans le poteau, il sentit un tirage sur sa salopette. Il tomba dans les yeux d’un petit garçon. « Monsieur », dit-il, « je veux acheter un de vos chiots. » « Eh bien ! », dit le fermier, en frottant la sueur à l’arrière de son cou, « ces chiots viennent de parents très racés et coûtent beaucoup d’argent. » Le garçon baissa la tête un moment. Ensuite, fouillant profondément dans sa poche, il sortit une poignée de monnaie et la tendit à l’agriculteur. « J’ai trente-neuf cents. Est-ce suffisant pour jeter un oeil ? » « Bien sûr » dit le fermier . Et il laissa échapper un sifflement. « Ici, Dolly ! », a-t-il appelé . Venant de la niche et descendant la rampe, Dolly courut, suivie par quatre petites boules de fourrure. Le petit garçon pressa son visage contre le grillage. Ses yeux dansaient de joie. Comme les chiens arrivaient à la clôture, le petit garçon remarqua quelque chose d’autre qui remuait à l’intérieur de la niche. Lentement, une autre petite boule apparut, nettement plus petite. En bas de la rampe, elle glissa . Ensuite, de manière un peu maladroite, le petit chiot a clopiné vers les autres, faisant de son mieux pour les rattraper ... « Je veux celui-là », dit le petit garçon , pointant l’avorton . L’agriculteur s’agenouilla à côté du garçon et lui dit : « Mon fils, tu ne veux pas ce chiot. Il ne sera jamais capable de courir et de jouer avec toi comme ces autres chiens le feraient. » Le petit garçon recula de la clôture, se baissa et commença à rouler 26 une jambière de son pantalon. Ce faisant, il révéla une attelle en acier des deux côtés de la jambe, fixée sur une chaussure spécialement conçue . En regardant en l’air vers l’agriculteur, il dit : « Vous voyez, monsieur, je ne cours pas très bien moi-même, et il aura besoin de quelqu’un qui le comprend. » Avec des larmes dans les yeux, l’agriculteur se baissa et ramassa le petit chiot ... Le tenant délicatement, il le tendit au petit garçon. « Combien ? », demanda le petit garçon ... « Rien », répondit le paysan, « il n’y a pas de prix pour l’amour. » Que sont devenus nos anciens ? « Je suis sorti de l’école en juin 1993, ayant réussi ma 7e professionnelle Constructions Mécaniques et Métalliques et muni du CESS et du CQ 7. Après mon service militaire en Allemagne, je suis entré immédiatement dans la société de Luc Clarinval à Bièvre, comme soudeur de charpentes. J’y suis resté quatre années, avant de vouloir changer d’air … C’est ainsi que je suis entré dans la construction via la société Damilot à Wellin. Très vite et j’ai franchi tous les échelons, de manœuvre … à maçon qualifié de 1er échelon … et finalement de 2e échelon. En 2009, j’ai appris que mon ancienne école cherchait un professeur de maçonnerie. J’ai alors franchi le cap difficile de quitter une équipe de maçons que j’appréciais vraiment. Il fallait aussi apprendre le métier d’enseignant et suivre la formation pour obtenir le certificat d’aptitude pédagogique. Heureusement, je me suis immédiatement senti très bien accueilli à l’école, dans l’atelier de construction en particulier, et très bien intégré dans la salle des professeurs. Il faut dire que l’ambiance y est In memoriam Au revoir Rémi … Après avoir professé quelques années à Ciney et à Dinant, Monsieur Boreux est arrivé chez nous le 01 septembre 1982. Pendant quelques années, Monsieur Boreux fut d’abord surveillant-éducateur temps plein, tout en assurant de temps en temps des intérims en français et EDM, puisqu’il était AESI Français. Au fil du temps, ses prestations furent également réparties entre la surveillance des élèves et la fonction de professeur de français. excellente, notamment l’accueil des nouveaux collègues, stagiaires et intérimaires. Aujourd’hui, j’ai la satisfaction de partager mon expérience professionnelle de maçon avec les élèves qui me sont confiés. J’aime cette rencontre au quotidien avec les jeunes. Cela fait aussi plaisir de revoir, lors des « journées Portes ouvertes », des collègues de l’entreprise qui s’intéressent à ma nouvelle profession. Ces journées sont encore l’occasion de revoir des professeurs retraités qui restent fidèles à l’école et d’anciens élèves qui sont reconnaissants de l’enseignement et des apprentissages que vous leur avez donnés. » D. Crepin Monsieur Boreux cessa ses fonctions le 01 mars 2010. Il a connu récemment des problèmes de santé et est décédé ce 3 octobre 2015. Nous garderons de Monsieur Boreux le souvenir d’un collègue très plaisant qui aimait beaucoup discuter, avec entre autres comme sujets de prédilection la politique, l’actualité ou les faits de société. Il aimait plaisanter et fut boute-en-train à ses heures. Profitant de sa retraite, il s’était établi en région liégeoise où il se consacrait à sa famille et à la lecture. 27 Titre principal Restaurant Le Pont des Anges Rue l’Essor, rue dede l'Aubépine, 33 3 5570 Beauraing(Sambreville) 5060 AUVELAIS 071/77 67 80 www.pontdesanges.be Tél.: 082/22 62 33 - 0475/86 40 54 Sprl Guy Clarinval rue de Wellin, 33 Tél.: 082/71 28 54 Fax : 082/71 21 97 SPRL GILSON Marcel & Fils 5575 MALVOISIN TRAVAUX PUBLICS ET PRIVÉS Tél.: 061/58 81 73 Fax : 061/58 99 18 Visitez notre site : www.sprlgilson.be Mail : [email protected] 28 BEAURAING : 082/64 32 80 GEDINNE : 061/58 08 80 Placements - Crédits Toutes assurances Recette pour faire un monde nouveau ... Laissez exploser votre joie et recueillez les débris dans un grand saladier. - Triez ensuite vos ingrédients en ne mélangeant pas pauvres en argent, pauvres en cœur. - Ne jetez pas les riches, mais comme ils sont plus secs, faites-les mariner quelques jours dans un bain de gentillesse. Ecalez leur coquille d’égoïsme et épluchez-leur sagement le cœur avec un couteau de douceur. - Laissez s’égoutter la méchanceté, que vous jetez, et versez le reste dans un grand bol de terre. - Ne séparez pas les blancs des jaunes, ni les blancs des noirs. Pétrissez le tout avec des doigts légers pour que la pâte soit bien lisse et qu’il n’y ait pas de grumeaux d’incompréhension. - Séparez ensuite le Bien du Mal. Jetez le Mal, montez le Bien en neige et incorporez-le délicatement à la préparation. - Ajoutez une pincée de levure de tendresse et, pour que le bonheur soit plus fort, laissez lever sous le sourire du Temps. - Façonnez alors une boule bien ronde, sans angles pour ne pas blesser, et enfarinez-la de joie. - Faites cuire à jamais au soleil de l’Amour et ne laissez pas brûler par votre manque d’enthousiasme … - Ajoutez deux cuillères à soupe d’attention envers les autres, 30 g de don de soi, un brin de bonne volonté et quelques grains de générosité. 29 Titre principal OCTA+ SOUTIENT VOTRE ÉCOLE ! Vous désirez faire des économies pour vos énergies ? 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Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage ? Nous exprimons toute notre sympathie aux familles éprouvées. Ont apporté la joie par leur premier sourire à la vie : Marion, chez M. et Mme Hogge-Bastin, née le 09/07/2015 Gabriel, chez M. et Mme Bondroit-Ruelle, né le 07/08/2015 Lucien, chez M. et Mme Golinvaux-Meirlaen, né le 08/10/2015 « La venue d’un nouveau-né fait partie de la richesse d’une vie. Elle apporte enthousiasme et joie pour l’avenir. » Tous nos vœux de bonheur aux heureux parents. 31 Titre principal Les 11 et 1 L’atelier-théâtre des 5es et 6es de l’INDBG vous présente 2 mars 20 16 Le Serment d´Hippocrate illustré Avec des extraits de : Le Malade imaginaire et LeMédecinmalgrélui Jules Romains, Knock. Molière, 32