Rue de Givet, 21 - 5570 Beauraing - 082/71 02 20

Transcription

Rue de Givet, 21 - 5570 Beauraing - 082/71 02 20
Noël 2015 - n° 94
Rue de Givet, 21 - 5570 Beauraing - 082/71 02 20 - www.indbg.be
1
Sommaire
Alors la Paix viendra 3
Devoir de regard4
Sciences Economiques5
Sciences Sociales et solidarité
6
L’option Sciences7
Les informaticiens9
Du théâtre en anglais10
Concours Techno Trophy11
Inès Cléda ou la rencontre d’une écrivaine prometteuse13
Trésors artistiques dans nos poubelles !
14
La First LEGO League s’invite à l’INDBG !
Du bruit dans la tête : l’enfer
Découverte pour les 2C
18
Visite de Kitchen Market19
Réalisation d’un escalier droit
21
Théâtre pour le 2e degré22
Le technique de calepinage, un travail minutieux
23
Le plaisir de lire et d’écrire
25
Une belle histoire ...26
Que sont devenus nos anciens ?
27
In memoriam27
Recette pour faire un monde nouveau ...
29
Nouvelles familiales31
2
15
16
Alors la Paix viendra
Si tu crois à la
puissance d'une
main offerte,
Si tu crois que ce
qui rassemble les
hommes est plus
important que ce
qui divise,
Si tu crois qu'être
différent est une richesse, et non pas un danger,
Si tu sais regarder l'autre avec un brin d'amour,
Si tu préfères l'espérance au soupçon,
Si tu estimes que c'est à toi de faire le premier pas,
plutôt qu'à l'autre,
Si le regard d'un enfant parvient encore à désarmer ton
cœur,
Si tu peux te réjouir de la joie de ton voisin,
Si l’injustice qui frappe les autres te révolte autant que
celle que tu subis,
Si pour toi l’étranger est un frère qui t’est proposé,
Si tu sais donner gratuitement un
peu de ton temps par amour,
Si tu acceptes qu’un autre te rende
service,
Si tu partages ton pain et que tu
saches y joindre un morceau de
ton cœur,
Si tu crois qu’un pardon va plus loin
qu’une vengeance,
Si tu sais chanter le bonheur des
autres et danser leur allégresse,
Si tu sais accueillir et adopter un avis différent du tien,
Si pour toi l’autre est d’abord un frère,
Si la colère est pour toi une faiblesse, non une preuve
de force,
Si tu préfères être lésé que faire du tort à quelqu’un,
Si tu refuses qu’après toi ce soit le déluge,
Si tu te ranges du côté du pauvre et de l’opprimé sans
te prendre pour un héros,
Si tu crois que l’Amour est la
seule force de dissuasion,
Si tu croix que la Paix est possible,
… Alors la Paix viendra.
Pierre Guilbert
Si tu peux écouter le malheureux qui
te fait perdre ton temps et lui garder le sourire,
Si tu sais accepter la critique et en faire ton profit, sans la
renvoyer et te justifier,
3
Devoir de regard
Début octobre 2015, de nombreux élèves de 5e et de 6e de
l’INDBG ont visité l’exposition « Devoir de regard », lancée par
Amnesty International Belgique francophone dès 2013. Nous
nous sommes rendus au très dynamique Centre culturel de
Beauraing que nous saluons au passage et que nous remercions.
Dans un troisième temps, nous avons partagé nos
réactions et nos questions. L’une d’entre elles chez nos
jeunes était : pourquoi, malgré nos petits problèmes
quotidiens, vivons-nous dans la paix, dans la prospérité et
la liberté et que d’autres n’ont pas accès à tout cela ?
L’exposition proposait un certain nombre de photographies
parcourant 50 ans de luttes pour les droits humains à travers
le monde entier. Certaines d’entre elles, en noir et blanc
ou en couleurs, sont de véritables instantanés d’Histoire
et sont assez connues. Pensons à ces enfants vietnamiens
fuyant devant un énorme panache d’incendie au napalm
et quelques soldats américains désoeuvrés. Il faut voir ces
autres enfants, soldats, ceux-là, en Afrique ou ailleurs, dressés
à tuer alors qu’ils devraient être en train de jouer, de rêver et
de recevoir l’éducation scolaire à laquelle ils ont droit. Des
notes d’espoir, aussi, comme cette photo de Nelson Mandela,
en prison à l’époque du cliché, qui regarde l’avenir avec
une foi inébranlable au-delà des barreaux de sa cellule.
Deux animateurs nous ont introduits à l’exposition. Puis, nous
divisant en 2 groupes, ils nous ont laissé un temps d’observation
et de réflexion avec les photographies. Nous nous familiarisons
au passage avec les techniques des reporters. Ici, la sensation
d’écrasement d’un vaste camp de réfugiés pris en plongée. Là,
l’absurdité de la mort en direct d’un SDF, abandonné de tous.
Les contrastes de noirs et de blancs nous suggèrent la crasse,
la détresse immense, un corps vieilli et recroquevillé et suscitant
la colère du visiteur qui n’a d’autre choix que de retourner cette
colère contre lui-même et son sentiment d’impuissance. Là encore,
une chambre de torture abandonnée depuis des années ou un
vieux lit rouillé et poussiéreux nous font la lecture à voix basse
de l’insoutenable qui s’est bel et bien produit.
4
L’actualité des attentats du 13 novembre à Paris nous a
rappelé que tout cela avait un prix. Chaque peuple, chaque
génération, chaque individu a ce devoir de regard, cette
responsabilité de contribuer à la dignité et au bonheur de l’être
humain, ici et ailleurs. Cette exposition a eu le mérite, comme
d’autres initiatives, de pousser un peu plus nos élèves à vouloir
devenir des êtres dont le courage, l’intelligence et la sensibilité
sont à la hauteur des drames qui nous concernent tous.
E. Michel
Sciences Economiques
mécanismes
économiques
dans
Lors du premier trimestre,
diverses « animations
économiques »
ont
été organisées afin
de
permettre
aux
élèves de l’option de
mieux
appréhender
les notions vues en
classe et de saisir
l’importance pour tout
un chacun d’une bonne
compréhension
des
notre société.
Exposition « Behind the numbers »
Les élèves de 5e et 6e ont tout d’abord rendu un dernier hommage
au bâtiment de la Bourse de Bruxelles lors de l’exposition « Behind the
numbers ». Celui-ci est, en effet, désormais détourné de sa fonction initiale
pour y acueillir le temple de la bière.
Plongés dans un univers à la fois passionnant et méconnu du grand public,
nos économistes en herbe ont découvert une exposition époustouflante
dans un endroit à la fois mythique et grandiose.
L’exposition se décomposait en 3 cylindres présentant l’histoire de la
Bourse ainsi que son fonctionnement. Aucun détail n’était laissé au hasard
afin de permettre au plus néophite de se laisser captiver par le monde des
traders ainsi que par les actions, obligations et autres valeurs mobilières.
De nombreux outils technologiques apportaient un côté didactique
à l’exposition, à savoir une simulation de
cotation d’action ou encore la possibilité
de passer un appel à un économiste de
renom pour le questionner sur la bourse et
les crises boursières.
Conférence de Fred COLANTONIO
L’attitude des Héros : ACTION !
Les élèves de 5e et 6e ont également eu
l’opportunité de participer à la conférence
de Fred Colantonio organisée au centre
culturel de Beauraing par le C2P (le club des
entrepreneurs, en Provinces de Luxembourg
et de Namur). Captivés par la prestation de
Fred Colantonio, nos économistes se sont
sentis chamboulés face à leurs certitudes et
ont découvert qu’ils étaient capables de
devenir les héros de leur propre histoire.
A travers ses conférences, Fred Colantonio présente une démarche et une
attitude à adopter pour réussir professionnellement.
Il vise plus particulièrement
les entrepreneurs et futurs entrepreneurs. Son message, sa présentation
dynamique et sa méthode ont inspiré nos élèves. Le conférencier se
base sur des exemples de réussites comme Richard Branson (Virgin) ou
encore Steve Jobs (Apple) afin d’expliquer les méthodes employées
par ces personnalités hors du commun pour avoir du succès dans ce
qu'elles entreprennent.
Rencontre avec Jean-Christophe Dehalu, économiste à l’UWE
Les élèves de 4e ont découvert le paysage entrepreneurial wallon
lors d’une conférence en classe, organisée par l’UWE (Union Wallonne
des Entreprises). L’orateur, J-C. Dehalu, a présenté diverses statistiques
présentes dans la brochure « L’entreprise je veux savoir » avec
beaucoup de rigueur et également
énormément de pédagogie afin de
permettre à nos élèves de comprendre
des notions assez techniques relatives
aux entrepreneurs présents en Wallonie.
A titre d’illustration, nos économistes en
herbe se sont rendu compte que la
Wallonie compte 72.435 entreprises
(secteur privé) en activité qui assurent
67 % de l'emploi salarié total wallon à
la fois public et privé. Ils ont également
pu se rendre compte du succès de
nombreuses entreprises wallonnes. FlyingCam, entreprise liégeoise, en constitue
une belle illustration. L’entreprise a mis
au point un hélicoptère télécommandé,
équipé d’une caméra, qui s’est tout de
suite imposé dans le secteur cinématographique (Harry Potter, Da Vinci
Code, James Bond , …).
D’autres activités sont également planifiées dans le courant de l’année
scolaire pour les élèves de l’option à partir de la 3e année comme
des visites d’entreprises, une conférence, organisée par la BNB,
pour déceler les faux billets et la participation à des concours … A
découvrir dans la prochaine revue !
C. Marc
5
Sciences Sociales et solidarité
Le site internet de notre école indique que les Sciences Sociales
regroupent différentes disciplines (sociologie, anthropologie sociale et
culturelle, économie et sciences politiques, psychologie et communication
sociale) ayant pour objets l’être humain vivant en société ainsi que la
réalité sociale, fruit des interactions humaines. Faire des sciences sociales
permet donc de comprendre le monde dans lequel on vit.
de l’aide sociale, certaines conditions doivent être remplies. Avant de
l’octroyer, le CPAS effectue, dans chaque cas, une enquête sur les moyens
de subsistance de la personne concernée. Le CPAS examine quelle aide
est la plus adaptée en fonction de la situation personnelle ou familiale
de la personne concernée et lui offre les moyens adéquats de subvenir
à ses besoins. Voici quelques exemples de services proposés par le
CPAS : aide financière, logement, fonds social de chauffage, aide
A priori, il n’est pas rose, le monde dans lequel on vit ! Crise des migrants,
attentats, pauvreté, réchauffement climatique ; autant de sujets qui
alimentent nos conversations.
Pourtant, on peut parfois percevoir une note d’optimisme dans notre
quotidien. Ainsi, le bel élan de solidarité qui a touché la Belgique pour
accueillir les migrants. L’option Sciences Sociales n’était pas en reste
puisque c’est à l’initiative de Mme Lefèbvre, professeur en 4e, 5e, 6e qu’une
collecte de vêtements chauds a été organisée pour permettre au centre
Fédasil de Pondrôme d’accueillir dans les meilleures conditions possibles
les candidats à l’asile qui ne manqueraient pas d’affluer.
De solidarité, il en était également question pour les élèves de 3e de
l’option qui, dans le cadre de leur cours ont étudié la problématique de
la pauvreté en Belgique. Une stagiaire est en effet venue leur présenter
ce thème et a pris l’initiative de leur faire rencontrer Mme Caroline
Colaux, assistante sociale du CPAS de Beauraing. Après avoir rédigé
un questionnaire, les élèves ont donc pu échanger avec elle et en
apprendre plus sur les mécanismes de l’action sociale en Belgique.
Le CPAS, ou « Centre Public d’Action Sociale », assure la prestation d’un
certain nombre de services sociaux et veille au bien-être de chaque
citoyen. Chaque commune ou ville a son propre CPAS offrant un large
éventail de services.
En Belgique, bon nombre de gens disposent de moyens de subsistance
insuffisants ou sont parfois sans domicile fixe (ces situations découlent
souvent d’« accidents » de la vie : maladie, perte d’un emploi, séparation,
…) . Toutes ces personnes peuvent bénéficier de l’assistance sociale du
CPAS. Chaque personne résidant légalement en Belgique a droit à
une assistance sociale. Celle-ci a pour but de garantir
un revenu minimum à l’ensemble de la
population. Pour pouvoir bénéficier
6
médicale, aide et soins à domicile, mise au travail, médiation de
dettes, aide psychosociale, … Le CPAS a aussi la possibilité, après
avoir mené une enquête sur la situation financière d’une personne, de lui
octroyer le revenu d’intégration. Les élèves ont cependant pu se rendre
compte que ce revenu était très faible après qu’avaient été retirées
toutes les dépenses que la personne devait effectuer (loyer, charges,
assurances, taxes communales, …) : environ 246 € pour vivre par mois,
soit quelque 6 € par jour !
C. Baijot
L’option Sciences
Des sciences, on
attend
qu’elles
apportent
toujours
plus de connaissances
positives, si possible
applicables
au
bénéfice de tous ; on
leur demande aussi
de prévoir et, le cas
échéant, de prévenir
les risques auxquels
nous exposent nos efforts pour maîtriser la nature aussi bien en
nous-mêmes qu’en dehors de nous.
L’option Sciences, proposant de découvrir des notions de
biologie, chimie et physique, est présentée le plus souvent possible
dans un contexte relatif à la vie quotidienne, et cela en vue de
leur donner du sens.
L’accent est mis sur la démarche scientifique expérimentale et intègre,
selon le choix, théorie et travaux pratiques de laboratoire, réalisés, la
plupart du temps, par les élèves eux-mêmes.
Les séances de laboratoire permettent de découvrir les lois
scientifiques qui peuvent alors être réutilisées dans des exercices de
déduction.
L’élève qui suit la filière des sciences expérimentales ne sera donc
pas devant un cours plus facile mais bien devant une approche
toute différente. Il fera souvent des exercices écrits d’observations,
d’analyses, d’argumentations.
La logique mathématique lui sera d’une
grande utilité pour mener à bien la
démarche pratique
d’analyse des résultats qu’on attend de
lui. Le travail en équipe, la rigueur de
travail devant un mode opératoire, le
respect du matériel et d’une méthode de
mesure, ne sont que quelques exemples
parmi d’autres des aptitudes et attitudes
à travailler et améliorer durant toutes les
années qui vont suivre.
L’élève partagera des informations avec
d’autres jeunes de son équipe ou d’autres
équipes et défendra son avis. Il apprendra à décrire correctement les
phénomènes qu’il observe. Il sera plus souvent amené à décloisonner
les informations des trois domaines des sciences pour faire,
le plus souvent possible, de
l’interdisciplinarité lors des analyses de phénomènes présentés au
laboratoire.
Il sera donc, tant que possible, familiarisé avec la démarche
scientifique qui sera affinée pour tous les sujets du programme.
Il bénéficiera d’un drill tant pour la systématique de rapport de
laboratoire que pour les différents types d’exercices scientifiques
abordés.
Bref, la méthodologie adoptée dans cette option considère
l’élève dans sa globalité en tenant compte de sa dimension
intellectuelle (à la fois théorique et pratique) mais aussi affective.
Elle vise à amener les élèves progressivement à un certain niveau
d’abstraction en utilisant largement
la méthode inductive puis des
raisonnements déductifs de plus en
plus élaborés.
Pour conclure, Auguste Comte
(philisophe du XIXe siècle) établit dans
son « Traité philosophique » la maxime
selon laquelle « La science consiste
surtout à voir pour prévoir », donc à «
étudier ce qui est afin d’en conclure
ce qui sera ». Pour lui également, la
science est « destinée à fournir la
véritable base rationnelle de l’action
de l’homme sur la nature ».
Si nous pouvons prévoir les
phénomènes, nous pourrons dans « la vie active » les modifier à
notre avantage, en les faisant jouer les uns sur les autres. De là, une
nouvelle maxime :
« Science, d’où prévoyance ; prévoyance d’où action. » …
C. Derenne et M. De Buyser.
7
Titre principal
AFFÛTAGE ET VENTE
OUTILS DE DÉCOUPE
Rue du Centre, 690A
6688 Longchamps - Bastogne
Responsable Affûtage/Vente :
Stéphane Wuidart
0476/50 52 13
Anciennement
CONSTRUMAT
BEAURAING
Pour la maison, tout est là !
Rue de Rochefort, 72
5570 BEAURAING
Tél.: 082/71 42 14
Fax : 082/71 20 91
À chaque problème une solution
Rue Ernest Matagne 1A3
8
5330 Assesse
Gsm: 0475/55.61.48
OUVERT AUX PROFESSIONNELS COMME AUX PARTICULIERS
Négoce de matériaux• Produits de toiture • Surface de bricolge
Rue du Parc Communal, 8
5570 BEAURAING - 082/71.40.60
Ouvert du lundi au vendredi de 7h à 12h et de 13h à 17h.
Le samedi de 8h à 12h.
www.moline-habitat.be
Toujours
à votre service
à Paliseul
061/53.44.50
Magali
Robin
Secrétaire indépendante
0497/13 60 44
[email protected]
www.backtobasics-secretariat.be
Les informaticiens
Notre
option
est jeune, certes,
mais a déjà de
nombreux projets
qui ne demandent
qu’à se réaliser …
Cette
année,
l’Institut
NotreDame a l’honneur de proposer aux élèves de l’option
Informatique un séjour culturel des 24 et 25 mars 2016.
Ce séjour touchera les domaines de la programmation
du jeu vidéo et les techniques de manipulation des
images.
Une aventure sociale !
Le but de ce séjour est de permettre à l’élève de développer
son émancipation sociale, son sens de la critique et sa
curiosité. Au-delà d’une découverte scientifique, le jeune
aura la chance de faire la connaissance d’autres élèves
issus de la même section que la sienne. En effet, nos élèves
partageront cette aventure avec ceux du Centre Scolaire
Sainte-Julienne de Fléron.
Du virtuel … au réel !
Au programme de ce séjour,
deux visites essentielles sont
organisées : le Futuroscope de
Poitiers et la Cité des Sciences et
de l’Industrie de Paris. La première
journée au Futuroscope sera axée
sur le développement de jeux vidéo
et les techniques de projection de
l’image. La deuxième journée, quant
à elle, permettra à nos chérubins de
découvrir la dimension scientifique
de la lumière et des images.
La vidéo, c’est du numérique !
L’activité
très ludique qui attend nos élèves au Futuroscope leur
donnera la possibilité de développer un jeu vidéo de A
à Z. De plus, tout au long de la journée, ils assisteront à
différentes attractions manipulant l’image. Et, cerise sur le
gâteau, en soirée, ils seront émerveillés par un spectacle
sons et lumières au-dessus de l’eau.
La tête dans les étoiles !
Lors de la visite de la Cité des Sciences et de l’Industrie
de Paris, nos élèves auront la tête dans les étoiles!
Le planétarium propose une
découverte
époustouflante
de notre voie lactée, voire de
notre univers. Encore une fois,
ils évalueront les nombreuses
possibilités de la projection
d’images numériques à travers
les expositions temporaires et
permanentes que l’on peut
visiter en ces lieux.
Au final …
A travers l’organisation de cette
première expérience, notre
école n’a eu qu’une seule pensée : avoir l’espoir de
servir au mieux les intérêts et le devenir de ses élèves.
M. Anckaert
9
Du théâtre en anglais
Ce lundi 23 novembre, une troupe de théâtre irlandaise, la « Emerald
Isle Theatre Company », s’est produite dans notre école devant les
élèves de 4-5 et 6 G ... in English of course.
La pièce, intitulée « Sisters », racontait l’histoire de 2 soeurs. L’une
est très sérieuse et l’autre rêve d’une carrière d’actrice. Quand notre
future star de cinéma est victime d’un accident vasculaire cérébral et
tombe dans le coma, sa soeur se met à lui raconter des histoires plus
vraies que nature.
Grâce à cette activité hors du commun, une excellente troupe,
une pièce contenant beaucoup d’humour et qui interpelle le
public, les élèves ont pu apprendre l’anglais de manière ludique.
Quelques élèves ont d’ailleurs pu participer à cette pièce grâce à
des petits rôles comme celui d’une assistante ou d’une fan hystérique
! Les apprentis acteurs ont pris part à des petites danses ainsi qu’à
quelques exercices de prononciation préparatoires qui nous ont
rendus bien ridicules mais qui nous ont bien amusés.
Il s’agit vraiment d’une superbe expérience, très instructive et très
amusante, qui nous laissera d’excellents souvenirs. Cette pièce nous a
également permis d’entraîner notre compréhension d’un message oral
et, pour les acteurs, notre prononciation.
De plus, cette activité nous a prouvé à tous que nous sommes
capables de suivre et comprendre un message formulé par des natifs
de la langue.
Voici quelques réactions d’élèves notées juste après la pièce :
« Je trouve que la pièce était très bien, que les acteurs jouaient bien
leurs rôles et que la pièce était facile à comprendre. » M. Chiliade, 5G
« C’est déjà la troisième année que j’assiste à une pièce de théâtre
de cette troupe. Chaque fois, je suis agréablement surprise et c’ est
encore plus le cas cette année. C’était vraiment passionnant et
la participation des élèves est réellement un plus. Ce sera un très
agréable souvenir. »
A. Mazy, 6G
« La pièce était super et même si on n’a pas tout compris, l’ensemble
était compréhensible. C’était drôle, les comédiens étaient
vraiment chouettes et c’était amusant de voir nos
camarades jouer. »
P. Van Hijfte, 5G
10
« Le spectacle était très réussi, le vocabulaire était adapté et varié.
Les acteurs donnaient vie à leurs personnages, ce qui rendait un
attrait encore plus particulier à cette pièce. » F. Rochette, 4G
« J’ai trouvé l’histoire très bien mise en scène et j’ai beaucoup
apprécié les acteurs. Ils sont très gentils et nous nous sommes vraiment
bien amusés avec eux. C’était très compréhensible car l’histoire n’était
pas très compliquée. C’était à la fois drôle et émouvant, cela m’a
beaucoup plu. »
J. Crépin, 5G et participante à la pièce.»
« La pièce était très plaisante à regarder et assez compréhensible. Les comédiens étaient au top et l’histoire était assez
drôle ! »
J. Seck Mulet, 5G
« J’ai trouvé qu’il y avait une bonne ambiance dans la salle, tout le
monde jouait bien son rôle et j’ai rigolé du début à la fin. C’était
vraiment super ! »
J. Bayet, 4G
Texte rédigé par Lucie Fidalgo, élève en 5 G
Concours Techno Trophy
Le
jeudi
19
novembre,
nos
élèves de 6e
Qualification
Mécanicien
Automaticien ont
participé à la 5e
édition du TechnoTrophy organisée
par le département Ingénieur Industriel d’HENALLUX.
Dans un premier temps, cette journée a permis aux
élèves de découvrir l’atmosphère des auditoires qu’ils
côtoieront peut-être l’année prochaine. Ils ont donc
assisté durant la matinée à des exposés théoriques qui
concernaient des domaines variés comme l’énergie, les
microprocesseurs, les imprimantes 3D et la pneumatique.
Dans un second temps, les étudiants ont pu mettre en
pratique les notions acquises lors d’un concours organisé
par le corps professoral de la Haute Ecole.
Au programme, quatre épreuves de 30 minutes à réaliser
par petits groupes de 3 à 4
étudiants. Durant le dîner, l’esprit
compétitif se faisait déjà ressentir
entre les différentes équipes.
Les élèves ont dû notamment
répondre à un questionnaire sur
les fonctions de l’imprimante 3D,
réaliser un cycle pneumatique, mais
aussi programmer et câbler des
microcontrôleurs.
En attendant la remise des prix, ils
ont eu l’occasion de discuter avec
des étudiants sortis de l’école
l’année précédente. Ils ont pu poser leurs questions et, pour
certains, parler de leurs doutes. Ils ont été assez rassurés
vu les bonnes bases acquises dans
l’option
Electromécanique. Cependant, nos élèves n’ont pas nié
la charge de travail qu’il leur faudra fournir !
Au final, le succès est au rendez-vous. Sur un total
de vingt-deux équipes, nos étudiants terminent sur la
deuxième marche du podium et ils repartent chacun
avec une clé USB, mais surtout avec un bon aperçu de
ce qui les attend peut-être l’année prochaine.
L’esprit chaleureux et l’accueil convivial rencontrés làbas ont même donné à certains
l’envie de devenir ingénieur.
Félicitations à tous nos élèves
qui ont participé à cette
journée riche en apprentissages
et qui ont fait mieux que se
défendre lors de la mise en
pratique ! D. Dion
11
Titre principal
12
Inès Cléda ou la rencontre d’une écrivaine prometteuse
Le
jeudi
12
novembre,
les
élèves de troisième
année générale
et de transition,
ainsi que ceux de
quatrième année
technique ont eu
le privilège de
rencontrer Inès Cléda, jeune auteure.
Inès Cléda ? Un nom et un prénom qui résonnent dans
la région ? Bien sûr ! Cette sympathique personne
n’habite pas loin, à Givet., pas bien loin de chez nous.
Une jeune auteure dites-vous ? Ce n’est pas peu dire ! Elle
a 20 ans et a déjà publié un roman !
Vous voulez en savoir plus ? Pour Inès, l’écriture est une
passion. Elle lui vient de sa maman.
Son roman, intitulé « L », met en scène une jeune
femme : Léonie. Celle-ci adore
observer les gens qu’elle croise et
noter ses réflexions dans un carnet.
Le jour où elle perd ce fameux
carnet, elle est bouleversée à l’idée
que quelqu’un lise ses écrits …
Dans une interview, Inès précise que
ce livre la reflète un peu finalement.
Elle se retrouve à travers l’héroïne qui
ne veut pas publier ses écrits suite
à un manque de confiance en elle.
En outre, son objectif principal était
de dénoncer quelques aspects de
la société qui la révoltent ou qu’elle trouve absurdes. Elle
voudrait également, par ce livre, encourager les jeunes qui
doutent en leurs capacités à aller
jusqu’au
bout de leurs idées et de leurs rêves.
Mais encore ? Parallèlement à son aventure d’écrivaine,
Inès Cléda est diplômée en logopédie. Elle compte
prochainement rejoindre le cabinet médical de ses
parents, à Givet.
Quel talent ! Et nous n’avons certainement pas fini
d’entendre parler d’elle ! En effet, la jeune écrivaine
vient de proposer son second roman à quelques
maisons d’édition. Inès et son
entourage sont confiants, l’issue
sera positive !
Les élèves et moi, nous n’en
doutons pas ! Ce livre, nous
l’attendons avec impatience !
Chacun a apprécié la lecture
de « L » et lira volontiers le
suivant. Que dis-je ? Les suivants !
Nous conclurons par ces
quelques mots : une rencontre
inoubliable, une personnalité
hors du commun, une écriture sobre, une bouffée
d’optimisme et une inspiration étonnante.
Merci Inès pour ce rendez-vous mémorable.
C. Noël
13
Trésors artistiques dans nos poubelles !
Sensibiliser à la surconsommation par « l’Art du recyclage », tel était le
but de l’exposition du Centre Culturel de Beauraing. Une opportunité
pour nos classes de Technique Artistique qui ont pu, par ce biais,
découvrir des œuvres fascinantes faites de « petits riens », de petites
choses oubliées, inutiles ou démodées.
Nous sommes de nombreux artistes ou apprentis artistes à nous dire :
« ça coûte cher de créer de nos jours : le moindre pinceau, le moindre
tube d’acrylique, du petit taille-crayon récolteur au bloc de feuilles de
dessin à grains, tout est hors de prix ». Faudrait-il être riche pour faire
de l’Art ? Eh bien, non ! Au vu des œuvres exposées au Centre culturel,
nous pouvons dès à présent vous affirmer qu’on peut faire beaucoup
avec pas grand-chose et, qui plus est, transmettre un message très
riche et très puissant.
L’exposition intitulée « Recycl’Art » présente le travail de cinq artistes
contemporains qui n’utilisent que des matériaux de récupération.
A travers leurs œuvres singulières, chaque artiste montre son univers
onirique, satirique ou critique et tente de nous ouvrir les yeux sur notre
propre société qui consomme et qui jette, qui achète et qui jette à
nouveau, sans trop se soucier des conséquences.
Les sculptures sont très étonnantes à nos yeux et nous sommes tout
particulièrement surpris par le travail minutieux de Jérôme Dayez.
Ce créateur original assemble par collages toutes sortes de petits
« objets-déchets » (parfois des « choses » dégoûtantes comme
de vieilles brosses à dents) afin de créer des sculptures abstraites
et totalement esthétiques. Ce n’est qu’en s’approchant des œuvres
qu’on se rend compte de leur composition ; il est amusant d’essayer
de reconnaître les objets mélangés et souvent peints : pinces à
linge, boîtes d’allumettes, petits outils, petites fourchettes à frites,…un
véritable bric-à-brac agencé intelligemment et qui forme un tout assez
charmant. C’est comme une poubelle organisée et colorée qu’on
pourrait exposer sans aucune gêne dans son salon !
Les autres créations n’étaient pas moins captivantes : les sculptures
de Jean-Marie Collet nous font réfléchir de manière plus concrète
sur nos comportements citoyens : nous respectons-nous, nous-mêmes,
dans notre façon de consommer ? Respectons-nous les autres et
notre planète ? Ses œuvres suscitent le débat et notre guide aide nos
élèves à se poser les bonnes questions : sommes-nous dépendants
des nouvelles technologies ? Sommes-nous des
victimes de la publicité ? Ces différents
thèmes amènent à réfléchir sur
14
notre manière de vivre, de consommer. Chacun a son petit rôle à
jouer dans ses habitudes quotidiennes, tout simplement par le tri des
déchets ; c’est un premier pas.
Cette visite guidée s’est conclue par une invitation : répondre à un
appel à projets pour une prochaine exposition sur le thème de l’Art
recyclé, exposition à laquelle nos élèves sont invités à participer en
présentant leurs propres œuvres. Nous allons donc essayer de relever
ce défi. Les élèves de 4e Techniques Artistiques s’attèlent dès à présent
à un projet de chaises « design » faites de matériaux de récupération.
D’autres idées viendront.
Ne jetez pas trop vite, l’art est partout, même dans votre poubelle …
recyclez, recyclons, créons de belles choses faites de petits riens.
Joyeuses fêtes de fin d’année. Je vous souhaite de jolies découvertes.
D. Mottet
La First LEGO League s’invite à l’INDBG !
L’année 2015 a
démarré sur les
chapeaux
de
roues pour les
1S/2P
(option
Technique).
En
effet, avec leurs
professeurs, ils se
sont lancés dans
une aventure basée sur la construction de robots, leur
programmation et sur une réflexion sur les déchets ...
Créé en 1998, le challenge FIRST LEGO League
est une compétition de robotique internationale qui
a lieu dans plus de 60 pays, faisant participer plus de
200 000 jeunes. Il a pour objectif de susciter l’intérêt
des jeunes pour les sciences et la technologie. Pour la
première fois en Fédération Wallonie-Bruxelles, une école
va participer à ce projet. Et, grâce à la collaboration du
centre Technobel de Ciney, c’est notre école qui a été
choisie !
Une certaine fierté pour l’équipe
pédagogique et les élèves de
relever le défi ! Mais quel défi ! Et
c’est donc depuis le 4 septembre
que les élèves de 1S/2P s’évertuent
à réfléchir, construire, démonter,
remonter, programmer leur robot afin
de finaliser les missions imposées
par le concours.
Chaque semaine, entourés de
leurs professeurs de mathématique,
informatique, français et technique,
ils s’entraînent pour concourir et
présenter leur travail devant des
jurys, le tout dans une ambiance conviviale. La partie match,
bien qu’elle constitue un temps fort de la rencontre, ne sera
pas la seule à être évaluée car la
programmation et le design technique du robot seront
aussi pris en compte par le jury « robot design ». L’esprit
d’équipe ne sera pas en reste car la rencontre ne se
limite pas aux seuls aspects techniques, mais constitue
aussi une véritable aventure humaine ! Enfin, nos
apprentis ingénieurs devront présenter un projet de
recherche autour de la thématique FFL. Ces chercheurs
en herbe devront analyser le tri des déchets, se poser
les bonnes questions, échanger leurs idées et réflexions
afin de proposer par la suite des solutions innovantes.
Les équipes les mieux classées
emporteront un trophée en
LEGO et seront sélectionnées
pour participer à la finale
européenne, puis à la finale
mondiale ... Why not ?
Profitons-en pour remercier
Mr Decuyper, responsable et
formateur de la partie First Lego
à Technobel, qui a mis en prêt
l’ensemble du matériel logistique
et technique pour travailler
dans les meilleures conditions et qui, depuis le début
du lancement du projet, accompagne les élèves dans
leurs recherches.
T. Poncelet
15
Du bruit dans la tête :
Parce qu’il en a plein les oreilles et qu’il ne veut pas
que ça arrive aux autres, Julien Martial a pris son bâton
de pèlerin.
Les acouphènes, Julien Martial connaît bien le sujet.
Depuis deux ans, il en souffre. C’est du bruit en
permanence dans les oreilles et dans la tête. Jeune
ayant envie de vivre normalement, il en souffre.
Musicien dans l’âme, il en est handicapé. Désormais, il
sait que le reste de sa vie, il devra s’en accommoder.
aux musiques amplifiées. « Il y a quelques années,
j’étais assis à votre place, on m’a parlé du sujet mais
cela ne m’avait pas marqué ». Il n’était pas conscient
des dégâts que le bruit pouvait occasionner. « Je veux
dire aux jeunes tout simplement de faire gaffe à la
musique qui va fort et longtemps. Les normes établies
ne sont pas respectées. Protégez-vous. »
« Mon quotidien a été bouleversé. C’est encore
supportable maintenant mais plus tard ? ». Il le sait :
le mal dont il souffre est incurable. Il devra faire avec
un bruit perpétuel en arrière-plan. Il n’a plus qu’à
s’adapter et trouver des techniques pour essayer de
s’en accommoder.
Faites gaffe !
Sa mésaventure, Julien Martial n’a pas envie que
d’autres la connaissent. Dans son cercle d’amis, il
prêche la bonne parole. Il veille sur les autres pour
éviter que le bruit infini s’invite dans d’autres oreilles.
Dernièrement, le Beaurinois a passé la vitesse supérieure.
Apprenant que les étudiants de son ancienne
école organisaient un bal, il a voulu apporter son
témoignage, expliquer les risques
encourus lorsqu'on s’expose
16
C’était il y a deux ans
La vie du Beaurinois a basculé il y a près de deux ans.
Le jeune s’en souvient parfaitement. Ça s’est passé
l’enfer
après une soirée.
Depuis ce jour, le
bruit ne l’a plus
quitté.
Direction
le
monde médical
pour s’entendre
dire que les tests
auditifs étaient bons mais que les acouphènes
étaient là. « J’ai rencontré des médecins qui
m’expliquaient bien. D’autres un peu moins. Mais
il n’y a pas de traitement. Il y a des dispositions
à prendre pour essayer d’apaiser la gêne que ça
génère. On doit apprendre à vivre avec. Ce n’est pas
facile. »
Conseil : porter des protections suffisantes lors
d’événements musicaux. Un autre est de se tenir à
distance des baffles. Il faut aussi surveiller son temps
d’exposition aux bruits.
Un bal de rhétos sous
surveillance
A l’Institut Notre-Dame, on
veut un bal des rhétoriques
« responsable ». Ce vendredi,
la fête se tiendra à la salle
l’Espérance à Pondrôme.
Oui, il y aura de la musique mais
on veut qu’elle soit « safe ». Ceci
est passé notamment par le choix
de DJ. On a opté pour une animation respectueuse des
tympans. On ne veut pas de décibels à
outrance.
Les jeunes n’auront pas d’appareils de contrôle
sous la main mais ils feront confiance au sonomètre
qui se trouve dans la salle et qui mettra un frein si
un certain niveau est dépassé. Le professionnel du
son a d’ores et déjà indiqué qu’il positionnera les
enceintes afin d’éviter la diffusion directe.
« C’est important que les organisateurs mettent leurs
protections auditives pour
montrer l’exemple. L’an passé,
ça a marché. De plus jeunes
ont suivi le mouvement. »
indique Mme Dalemans.
A l’entrée, on procédera
à une distribution gratuite
de bouchons auditifs. Il y
aura aussi des folders pour
expliquer les dangers liés au
bruit excessif.
P. Higuet,
article paru dans L’Avenir
17
Découverte pour les 2C
Le 3 décembre, dans le cadre du cours de sciences, les élèves de
2e commune ont participé à une demi-journée d’étude sur le terrain.
Afin de découvrir le thème de la reproduction en milieu aquatique, un
rendez-vous était pris à la pisciculture de Mirwart.
L’objectif était double: l’étude de la reproduction de la truite fario et
de l’écrevisse à pattes rouges. Nos élèves ont pu assister à la ponte et
à la fécondation des œufs de la truite fario. Il s’agit de la seule espèce
de truite indigène vivant dans les eaux courantes de nos rivières.
Une autre préoccupation du domaine est la protection et la
reproduction de l’écrevisse indigène. Celle-ci a été décimée à la fin
du XIXe siècle. par la petite écrevisse américaine. Importée chez nous,
elle est malheureusement porteuse d’un champignon mortel, appelé la
peste de l’écrevisse, pour notre espèce à pattes rouges.
La reproduction de la truite fario se déroule en hiver entre novembre
et janvier. A cette époque, les géniteurs sont stimulés par le manque de
lumière et les eaux froides. La truite est un prédateur et les prédateurs
se reproduisent généralement avant leurs proies potentielles. La truite
pond en décembre de gros œufs remplis de réserves nutritives qui vont
permettre à l’alevin de survivre sur ses propres réserves jusqu’à mars
ou avril, période où les proies commencent à abonder à la faveur du
réchauffement printanier et de la reproduction d’autres espèces de
poissons.
A Mirwart, on pratique la reproduction artificielle. Les œufs fécondés
sont répartis dans de petits bacs qui vont être inspectés tous les jours
jusqu’à l’éclosion au printemps. Cette technique de reproduction
permet d’amener 15 % environ de la production au stade adulte alors
que, dans la nature, le taux n’est que de quelques adultes pour …
mille œufs fécondés! Les truitelles vont alors vivre plusieurs mois, voire
plusieurs années, dans différents étangs. Une fois adultes, ces truites
seront vendues principalement pour réempoissonner nos cours d’eau.
Les poissons de la pisciculture de Mirwart sont destinés au
réempoissonnement des rivières et vendus à divers stades de
croissance au Fonds piscicole ou aux sociétés de pêche.
Ses 35 étangs actuels, aménagés en terrain naturel, livrent entre 8 à
10 tonnes de truites fario par an.
Cette année, la reproduction de la truite est retardée de 3 à
4 semaines. Ce retard est dû aux périodes de bon temps
et aux températures élevées que nous venons
de connaître ces derniers mois.
18
Le domaine a un large public. C’est pour cette raison que de
nombreuses activités sont organisées, aussi bien pour les étudiants
que pour les randonneurs, les passionnés de nature, de pêche ou les
marcheurs « gourmands ». Le domaine est aussi chargé de gérer la
forêt : plantations, semis naturels, mises à blanc, éclaircies, …mais aussi
de la protection des étangs contre les prédateurs comme le martin
pêcheur, le héron, les canards ou encore le redoutable cormoran.
Les professeurs de sciences du 1er degré
Visite de Kitchen Market
Dans le cadre du
cours Art de la
Vente, les élèves
de 6e Vente
ont effectué la
visite du tout
nouveau magasin
Kitchen
Market
(anciennement
Euro Center) le
mardi
24
novembre.
C’est plus qu’un simple changement d’enseigne ; c’est
d’un tout nouveau concept, unique en Wallonie,
qu’il s’agit : réunir sous un même toit tout ce qu’il faut pour
réaliser une cuisine et pour cuisiner. La diminution constante
des marges sur certains produits a été l’un des éléments
déclencheurs.
Rappelons que le groupe Menatam a été fondé par la
famille Taminiaux en 1979 à Bois-de-Villers (province de
Namur), et qu’il s’est imposé comme un acteur de premier
plan avec ses enseignes Eurocenter et Eggo.
Nous avons été accueillis par
Monsieur Jamotton, gérant très
sympathique.
Celui-ci nous a offert un chocolat
chaud ainsi que des pop-corn
tout en nous expliquant l’histoire
de l’entreprise et les raisons de
ce changement de stratégie
commerciale.
Le magasin Kitchen Market est
un espace accueillant, aéré et convivial où nous avons
découvert les quatre univers essentiels de l’enseigne : la
cuisine équipée, les appareils électroménagers,
les
ustensiles
-
accessoires et les cours de cuisine.
Pendant plus d’une heure et dans une ambiance
chaleureuse, les élèves ont eu droit à un échange
questions – réponses tournant autour du monde de
la vente : l’aménagement du magasin, la rotation des
stocks (avec la visite de la réserve), les qualités requises
d’un futur vendeur pour l’enseigne, la création, la
distribution et le coût d’un folder publicitaire, …
Cette visite concrète et
enrichissante a permis à nos
étudiants de découvrir une face
méconnue d’une entreprise :
la conception et la réalisation
d’une nouvelle enseigne dans
notre région.
Merci aux élèves pour leur
curiosité et un tout grand merci
à Monsieur Jamotton pour cette
visite très accueillante.
M. Parizel
19
Titre principal
Votre fournisseur spécialiste en produits alimentaires
hines-outillage-serrurerie-quincaillerie
Tél.: 061/260 800
Vêtements
de
travail
Machines-outillage-serrurerie-quincaillerie
Vêtements
travail
Porte
de degarage
Porte
de
garage
Nouveau
Matériel
& jardin
Matériel forêt
forêt & jardin
Machines-outillage-serrurerie-quincaillerie
Atelier
de
réparation
Vêtements de travail
AtelierDEALER
de
réparation
OFFICIEL
Porte de garage
Nouveau
Matériel
forêt & jardin
DEALER
OFFICIEL
Nouveau
Allée des Artisans 1
Zoning de Biron
5590 Ciney
Atelier de réparation
Tél : 083/21.75.65
Allée1des Artisans 1
Artisans
Zoning de Biron
Biron5590 Ciney
ney
DEALER OFFICIEL
Web Shop
www.debrysa.be
Tél : 083/21.75.65
Web Shop
www.debrysa.be
Tél : 083/21.75.65
Web Shop
www.debrysa.be
Philippe Wilmet
Area Sales manager
Tél.: 0473/282 495
E-mail : [email protected]
20
Réalisation d’un escalier droit
Du 23 au 27
novembre, le Centre
de compétence Le
Forem Wallonie Bois
de Libramont nous
a accueillis dans ses
locaux et ses ateliers
afin de proposer aux
élèves de 5P et de
6P Menuiserie une
situation
d’apprentissage et une situation d’intégration professionnellement
significative sur le thème : « Concevoir et réaliser un escalier droit
de 4 marches avec une rampe ».
C’est dès 7h45 que 11 élèves de notre école, 5 en 6Pb et
6 en 5Pb, ont pris place dans un car de la société Toussaint, en
direction de Libramont.
Arrivés au Centre 50 minutes plus tard, nous avons été reçus par
Monsieur Jean-François Pandolfe, formateur du centre.
La journée a débuté par une matinée de présentation des trois
machines à commande numérique, une scie à format, une quatrefaces et une toupie programmable.
Après avoir insisté sur la sécurité, Monsieur Pandolfe a expliqué
l’organisation de la semaine afin de
pouvoir mettre en situation les élèves de
notre école.
La matinée s’est terminée par le rappel
des connaissances de base et les règles
de calcul de l’escalier qui avaient déjà
été étudiées au cours technique à l’école.
Dès l’après-midi de ce premier jour de
formation, les élèves ont eu l’occasion de
retrousser leurs manches pour commencer
la fabrication de l’escalier.
Avant de reprendre la direction de
Beauraing, tous les élèves avaient déjà
eu l’occasion de s’initier aux réglages numériques d’une des trois
machines.
Les quatre autres jours, les tâches
se
sont
suivies à une cadence soutenue afin que les élèves puissent avoir
la possibilité de terminer l’escalier au centre pour les élèves de
6e qui travaillaient individuellement ou d’exploiter au mieux les
nouvelles machines pour les élèves de 5e qui travaillaient par
groupes de trois.
En fin de semaine, tous lont eu l’opportunité d’utiliser plusieurs fois
les machines performantes du centre. En effet, pendant que les uns
débitaient les planches de tilleul avec la scie à format, les autres
corroyaient les 4 faces des planches débitées. Déjà à ce stade,
les élèves étaient en train d’apprendre à s’organiser tous ensemble.
Calculer l’escalier, calculer les gabarits,
entrer les cotes dans le programme,
débiter, corroyer, fabriquer le calibre
d’élévation, fabriquer le gabarit de
défonçage, défoncer les entailles,
ajuster au ciseau, scier à format, scier
suivant un angle, profiler à la toupie,
poncer, assembler, visser, …, plus
aucune opération n’avait de secret
pour les élèves.
C’est avec une corde supplémentaire
à leur arc et le sentiment du devoir
accompli que tous les élèves ont repris
le car à 16h20 à Libramont, vendredi
27, le dernier jour de la semaine de
formation, en m’invitant à chanter avec eux pour partager leur
bonne humeur.
Au nom des élèves, je tiens à remercier l’équipe de direction et les
formateurs du centre, sans qui cette formation enrichissante, tant
techniquement que pédagogiquement, n’aurait pas eu lieu.
O. Remy
21
Théâtre pour le 2 degré
e
Mardi matin, 10 novembre, les élèves du deuxième
degré quittent l'école en direction du Centre Culturel
de Beauraing. Accueillis par les deux acteurs de
l'A.S.B.L. « Trou de ver », c'est une scène déserte qui
les attend ... Suspense sur un spectacle intitulé « Trait
d'union » !
Une fois son histoire racontée au public, il prend
conscience que la réponse se trouve au bout du trou
noir, dans le « trou des vers » ; une porte vers une
autre dimension ... celle des repas en famille quand il
était petit. Il comprend que ses blessures ne viennent
La pièce s'ouvre avec la tentative de Simon (24 ans)
de mettre des mots sur la solitude qu'il ressent. Il confie
au public qu'il n'arrive pas à supporter le regard des
pas du divorce qui l'encourage à manger, mais bien
du manque de bonheur d'être en famille !
gens parce que, même s'il paraît normal, à l'intérieur,
il se sent gros! Il a donc décidé de « gratter en
lui » pour lever le mal sur cette sensation qui le détruit
petit à petit. Et la seule explication plausible, c'est qu'à
l'intérieur de lui se trouve un vide, un trou noir ...
Il plonge avec le public dans ses souvenirs et se
retrouve à l'époque de ses 15 ans, la pire période de
sa vie; celle où ses parents ont décidé de divorcer.
Sur scène, il subit à nouveau les violentes disputes
de ses parents, les séances au tribunal sans jamais lui
demander son avis, l'apparition de nouveaux conjoints
qui le rejettent et surtout ce gonflement du corps qui
a suivi tous ces événements! Il retrouve les brimades
des petits comiques de sa classe et les déceptions
sentimentales avec Pauline, la seule fille qui a été
gentille avec lui.
22
C'est par un échange constructif et enrichissant, avec
les deux comédiens, que s'est terminée cette matinée !
M. Laffineur
La technique de calepinage, un travail minutieux
Après
la
restauration
complète d’un
pont enjambant
la Snaye à
Vonêche,
les
élèves de 7e
année
en
Rénovation, Restauration et Conservation du
bâtiment s’attaquent à la transplantation d’un
ouvrage d’art.
En effet, lors des Portes ouvertes de l’année scolaire
passée, les élèves de 6e année Construction-Gros
œuvre ont réalisé dans leur atelier une fontaine
en pierre du pays. Cet ouvrage a fait grand effet,
d’où l’idée de la déplacer afin de garantir sa
pérennité.
Voilà un projet qui convient
à merveille pour les 7es de
cette année. En effet, l’un des
modules d’apprentissage en
rénovation et restauration est
la conservation du patrimoine
bâti.
Suite à une étude technique,
la méthode qui a été choisie
est la même que celle utilisée
pour la reconstruction de
nombreux bâtiments du Fourneau Saint-Michel : Le
calepinage.
La technique de calepinage consiste à
découper le bâtiment en portions de plus ou
moins 1.5 m². Puis, chaque portion est redessinée
à l’échelle. Lorsque les différents plans de détails
sont réalisés, le numérotage de chaque élément
de pierre peut être fait en correspondance
avec l’édifice.
Après le numérotage, vient le
démontage et le stockage
minutieux de chaque pierre
afin que celle-ci puisse
être remontée à sa place
exacte.
A l’heure actuelle, nos
élèves ont terminé la
réalisation des plans et la
numérotation de l’édifice.
Rendez-vous lors de nos Portes ouvertes le
14 mai prochain pour découvrir où en sont les
travaux.
Les professeurs de Construction
23
Titre principal
AUTO-ÉCOLE
TECNOCONDUITE
BEAURAING
Rue Vermer, 28
5570 Beauraing
24
082/71 19 57
0476/33 87 20
Le plaisir de lire et d’écrire
Tout au long de
la semaine, nous
avons préparé notre
rencontre
avec
l’auteur F. Andriat.
Nous avons ainsi
recherché 2 ou 3
questions à lui poser.
Après une mise en
commun,
chacun
d’entre nous a reçu une question.
Ce jour-là, comme d’habitude, je discute avec les autres
jusqu’à ce que l’horrible son aigu de la sonnerie retentisse.
C’est le moment pour se mettre en rang, deux par deux, en
attendant notre professeur de français, Mr Naviaux. Nous voilà
donc en route vers la bibliothèque de Beauraing avec en
poche le petit papier sur lequel est écrite notre question et le
roman de F. Andriat. Nous avons prévu de le faire dédicacer …
Sur place, la bibliothécaire et F. Andriat nous accueillent
gentiment. Nous nous sommes assis et nous avons alors posé nos
questions (sur sa vie, son métier d’écrivain, sa vie de professeur,
ses livres, …). La rencontre s’est terminée par la dédicace.
(J. Lescaud, 2Cd)
Qui est Frank Andriat ?
C’est un écrivain accueillant,
chaleureux et très gentil. A l’âge de 12
ans, il voulait parler de ses émotions,
mais il était trop timide. Alors, il prit une
feuille et écrivit ...
Un jour, il donna sa feuille à son
professeur de français qui l’encouragea
à poursuivre dans cette voie. Plus tard,
il écrivit pour la revue de l’école. Un
autre professeur qui avait acheté la
revue se moqua de son travail…Frank
fut très mal ; mais après avoir réfléchi, il
se dit qu’il allait continuer pour prouver
que son professeur s’était trompé !!!
Ce que j’ai appris lors de la rencontre de F. Andriat :
•
J’ai tout d’abord beaucoup apprécié la
rencontre avec F. Andriat. Je sais qu’on ne peut pas vivre du
métier d’écrivain en Belgique. Il est nécessaire d’avoir deux
professions. C’est donc pour cette raison que F. Andriat est
toujours enseignant.
(N. Dasty, 2 Cd)
•
Quand Frank Andriat ne trouve pas
l’inspiration pour écrire son livre, il va boire un café ou manger
quelque
chose.
(L. Guillaume, 2 Cd)
•
Un écrivain gagne entre
5 et 10 % du prix de vente de son
livre.
(M. Anceaux, 2 Cd)
Prolongement de la visite.
Si vous désirez vous aussi rencontrer
F. Andriat, cet écrivain belge,
plongez-vous dans la lecture de
ses romans.
(T. Haoud, 2Cd)
Rue Josaphat (Mémor, Bruxelles,
1999), Le journal de Jamila (Mijade,
Namur, 2008), Les aventures de Bob Tarlouze, T1 Arrête ton
baratin ! (Ker Editions, 2013), …
Encore merci à tous les élèves pour leur excellent
comportement et leur dynamisme lors de cette rencontre. Un
merci tout particulier à Sabrina, bibliothécaire à Beauraing.
D. Naviaux
25
Une belle histoire ...
Un agriculteur avait des chiots qu’il avait besoin de vendre.
Il a peint un panneau annonçant les 4 chiots et le cloua à
un poteau sur le côté de sa cour. Comme il plantait le dernier
clou dans le poteau, il sentit un tirage sur sa salopette. Il
tomba dans les yeux d’un petit garçon.
« Monsieur », dit-il, « je veux acheter un de vos chiots. »
« Eh bien ! », dit le fermier, en frottant la sueur à l’arrière de son
cou, « ces chiots viennent de parents très racés et coûtent
beaucoup d’argent. »
Le garçon baissa la tête un moment. Ensuite, fouillant
profondément dans sa poche, il sortit une poignée de
monnaie et la tendit à l’agriculteur.
« J’ai trente-neuf cents. Est-ce suffisant pour jeter un oeil ? »
« Bien sûr » dit le fermier . Et il laissa échapper un sifflement.
« Ici, Dolly ! », a-t-il appelé .
Venant de la niche et descendant la rampe, Dolly courut,
suivie par quatre petites boules de fourrure.
Le petit garçon pressa son visage contre le grillage. Ses yeux
dansaient de joie. Comme les chiens arrivaient à la clôture,
le petit garçon remarqua quelque chose d’autre qui remuait
à l’intérieur de la niche.
Lentement, une autre petite boule apparut, nettement plus
petite. En bas de la rampe, elle glissa . Ensuite, de manière un
peu maladroite, le petit chiot a clopiné vers les autres, faisant
de son mieux pour les rattraper ...
« Je veux celui-là », dit le petit garçon , pointant l’avorton .
L’agriculteur s’agenouilla à côté du garçon et lui dit :
« Mon fils, tu ne veux pas ce chiot. Il ne sera jamais capable
de courir et de jouer avec toi comme ces autres chiens le
feraient. »
Le petit garçon recula de la clôture, se
baissa et commença à rouler
26
une jambière de son pantalon.
Ce faisant, il révéla une attelle en acier des deux côtés de
la jambe, fixée sur une chaussure spécialement conçue .
En regardant en l’air vers l’agriculteur, il dit : « Vous voyez,
monsieur, je ne cours pas très bien moi-même, et il aura
besoin de quelqu’un qui le comprend. »
Avec des larmes dans les yeux, l’agriculteur se baissa et
ramassa le petit chiot ...
Le tenant délicatement, il le tendit au petit garçon.
« Combien ? », demanda le petit garçon ... « Rien », répondit
le paysan, « il n’y a pas de prix pour l’amour. »
Que sont devenus nos anciens ?
« Je suis sorti de
l’école en juin 1993,
ayant
réussi
ma
7e
professionnelle
Constructions Mécaniques et Métalliques et
muni du CESS et du
CQ 7.
Après mon service
militaire en Allemagne,
je suis entré immédiatement dans la société de Luc Clarinval à Bièvre, comme
soudeur de charpentes. J’y suis resté quatre années, avant de
vouloir changer d’air …
C’est ainsi que je suis entré dans la construction via la société
Damilot à Wellin. Très vite et j’ai franchi tous les échelons, de
manœuvre … à maçon qualifié de 1er échelon … et finalement de
2e échelon.
En 2009, j’ai appris que mon ancienne école cherchait un professeur
de maçonnerie. J’ai alors franchi le cap difficile de quitter une équipe
de maçons que j’appréciais vraiment. Il fallait aussi apprendre le métier
d’enseignant et suivre la formation pour obtenir le certificat d’aptitude
pédagogique.
Heureusement, je me suis immédiatement senti très bien accueilli
à l’école, dans l’atelier de construction en particulier, et très bien
intégré dans la salle des professeurs. Il faut dire que l’ambiance y est
In memoriam
Au revoir Rémi …
Après avoir professé quelques années à Ciney et
à Dinant, Monsieur Boreux est arrivé chez nous le
01 septembre 1982. Pendant quelques années,
Monsieur Boreux fut d’abord surveillant-éducateur
temps plein, tout en assurant de temps en temps
des intérims en français et EDM, puisqu’il était AESI
Français. Au fil du temps, ses prestations furent
également réparties entre la surveillance des élèves et la
fonction de professeur de français.
excellente, notamment l’accueil des nouveaux collègues, stagiaires
et intérimaires.
Aujourd’hui, j’ai la satisfaction de partager mon expérience
professionnelle de maçon avec les élèves qui me sont confiés.
J’aime cette rencontre au quotidien avec les jeunes.
Cela fait aussi plaisir de revoir, lors des « journées Portes
ouvertes », des collègues de l’entreprise qui s’intéressent à
ma nouvelle profession. Ces journées sont encore l’occasion
de revoir des professeurs retraités qui restent fidèles à l’école
et d’anciens élèves qui sont reconnaissants de l’enseignement
et des apprentissages que vous leur avez donnés. » D. Crepin
Monsieur
Boreux
cessa ses fonctions
le 01 mars 2010. Il a
connu récemment des
problèmes de santé
et est décédé ce
3 octobre 2015.
Nous garderons de
Monsieur Boreux le souvenir d’un collègue très plaisant
qui aimait beaucoup discuter, avec entre autres comme
sujets de prédilection la politique, l’actualité ou les faits
de société. Il aimait plaisanter et fut boute-en-train à
ses heures. Profitant de sa retraite, il s’était établi en
région liégeoise où il se consacrait à sa famille et à la
lecture.
27
Titre principal
Restaurant
Le Pont des Anges
Rue
l’Essor,
rue dede
l'Aubépine,
33 3
5570 Beauraing(Sambreville)
5060 AUVELAIS
071/77
67 80
www.pontdesanges.be
Tél.: 082/22 62 33 - 0475/86 40 54
Sprl Guy Clarinval
rue de Wellin, 33
Tél.: 082/71 28 54
Fax : 082/71 21 97
SPRL GILSON Marcel & Fils
5575 MALVOISIN
TRAVAUX PUBLICS ET PRIVÉS
Tél.: 061/58 81 73
Fax : 061/58 99 18
Visitez notre site : www.sprlgilson.be
Mail : [email protected]
28
BEAURAING : 082/64 32 80
GEDINNE : 061/58 08 80
Placements - Crédits
Toutes assurances
Recette pour faire un monde nouveau ...
Laissez
exploser votre
joie et recueillez
les
débris
dans un grand
saladier.
- Triez ensuite
vos ingrédients en ne mélangeant pas pauvres
en argent, pauvres en cœur.
- Ne jetez pas les riches, mais comme ils sont plus
secs, faites-les mariner quelques jours dans un bain
de gentillesse. Ecalez leur coquille d’égoïsme et
épluchez-leur sagement le cœur avec un couteau
de douceur.
- Laissez s’égoutter la méchanceté, que vous jetez,
et versez le reste dans un grand bol de terre.
- Ne séparez pas les blancs
des jaunes, ni les blancs des
noirs. Pétrissez le tout avec
des doigts légers pour que
la pâte soit bien lisse et
qu’il n’y ait pas de grumeaux
d’incompréhension.
- Séparez ensuite le Bien du Mal. Jetez le
Mal, montez le Bien en neige et incorporez-le
délicatement à la préparation.
- Ajoutez une pincée de levure de tendresse et,
pour que le bonheur soit plus fort, laissez lever sous
le sourire du Temps.
- Façonnez alors une boule
bien ronde, sans angles pour
ne pas blesser, et enfarinez-la
de joie.
- Faites cuire à jamais au
soleil de l’Amour et ne laissez
pas brûler par votre manque
d’enthousiasme …
- Ajoutez deux cuillères à
soupe d’attention envers les
autres, 30 g de don de soi,
un brin de bonne volonté et quelques grains de
générosité.
29
Titre principal
OCTA+ SOUTIENT
VOTRE ÉCOLE !
Vous désirez faire des économies pour vos énergies ?
Rendez-vous sur www.octaplus.be pour faire une simulation
en ligne ou contactez un de nos collaborateurs au
060 34 00 00 pour des conseils personnalisés.
006-Octa+_2015_0016_61_IND_beauraing.indd
1
19/11/15
10:32
our
nes p
r
u
o
t
Ris
nts
igna
ense
nts
udia
et ét
PATIGNY MAZOUT
SCRL
Pâtisserie Beaurinoise
Patissier - Glacier
Route de Rochefort, 150
5570 BEAURAING
Tél.: 082/71 36 97
OUVERT LE DIMANCHE MATIN
ET
LES JOURS FÉRIÉS
Avenue Arthur Tagnon, 41
6850 Carlsbourg (Paliseul)
Tél.: 061 53 42 17
Fax : 061 53 43 19
Route de Rochefort, 229-231
5570 BEAURAING
Tél.: 082/71 14 14
Vous économisez de l’argent, tous les
prix sont super compétitifs, et Vous
bénéficiez d’une gamme de boissons Variées
et réputées pour leur qualité.
30
082/71 41 59 - 082/22 52 44
0475/54 85 36
Avenue Arthur Tagnon 41
6850 Carlsbourg (Paliseul)
Tél. : 061 53 42 17
Fax : 061534319
Route de Givet, 10
Beauraing
Tél.: 082/71 16 25
Nouvelles familiales
« La mort n'est pas
l'obscurité, c'est une
lampe qui s'éteint
parce que le jour se
lève. »
Madame Anne-Marie
HENIN,
grand-mère
de Simon Elice (2 C) –
24/06/2015
Monsieur
Yanis
MICHAUX, frère de Shanon Michaux (7 Pe) – 05/07/2015
Monsieur Paul LEJEUNE, grand-père de Chloé Lejeune (6 Ga) –
05/08/2015
Madame Emmanuella DELAHAUT, belle-mère de Michel Rézette
(sous-directeur) – 29/08/2015
Madame Lucie COLLIN, grand-mère de Karun Simon (enseignant) et
de Amadéo Simon (1 Cc) – 04/09/2015
Monsieur Willy SAISELET, père de Cécile Saiselet (enseignante) et
grand-père de Charlotte Hurel (1 Cb) – 10/09/2015
Monsieur Noël ROCHETTE, grand-père de Nathan (6 Ga), Célien
(3 TTa), Gautier (1 Cb) et Simon Rochette (4 Pr), grand-père de
Camille (6 Pr) et Hugo Rochette (1 Pr) – 24/09/2015
Monsieur Rémi BOREUX, (ancien enseignant), grand-père de Benjamin
Boreux (1 Mat) – 03/10/2015
Madame Yvonne DINANT, grand-mère de Benoit Piret (enseignant) et
arrière-grand-mère de Lucas (1 Cd) et Anaïs Piret (3 Pr) – 06/10/2015
Madame Jeaninne MASSON, mère d’Anne
(éducatrice) et Baudoin Lallemand
(éducateur) et grand-mère d’Elisa Merny
(1 Ce) – 11/10/2015
Monsieur Jean-Marie BUYCK, grand-père
de Mathis Buyck (3 Pg) – 12/10/2015
Madame
Marie-Thérèse
COVENS,
mère de Patrick Hanot (enseignant) –
18/10/2015
Madame Fanny MIGNON, grand-mère de
Dimitri Monin (enseignant) et arrière-grandmère de Florent (2 Ce) et Emilie Monin
(1 Cc) – 19/10/2015
Madame Maria MICHEL, grand-mère de
Florine (4 Ga) et de Cyril Diskeuve (2 Cc)
– 26/10/2015
Madame Nelly HERBIET, grand-mère de Christelle Degaudinne
(enseignante) et Quentin Degaudinne (2 Ce) – 13/11/2015
Monsieur Robert DELORGE, grand-père de Simon (4 Pa) et
de Thomas Delorge (3 TT) –
18/11/2015
Monsieur Pierre VAN NAMEN, grand-père de Renaud Goethals (1
Ca) – 21/11/2015
Madame Jeanne LAVIS, arrière-grand-mère de Marion Steeman (3
Gc) – 28/11/2015
Madame Jacqueline FRANKART, grand-mère d’Antoine (6 Qa),
d’Augustin (4 Qa) et de Germain Warscotte (1 Cb) – 02/12/2015
Monsieur Aimé LAURANT, grand-père de Gaëtan Laurant (5 Qa)
– 02/12/2015
Madame Solange TONDU, grand-mère de Kylian Rossion (1 Ca)
- 03/12/2015
Monsieur René REZETTE, père de Michel Rézette (sous-directeur)
- 06/12/2015
Quelqu’un meurt, et c’est comme des
pas qui s’arrêtent ...
Mais si c’était un départ pour un
nouveau voyage ?
Nous exprimons toute notre sympathie
aux familles éprouvées.
Ont apporté la joie par leur premier
sourire à la vie :
Marion, chez M. et Mme Hogge-Bastin, née le 09/07/2015
Gabriel, chez M. et Mme Bondroit-Ruelle, né le 07/08/2015
Lucien, chez M. et Mme Golinvaux-Meirlaen, né le 08/10/2015
« La venue d’un nouveau-né fait partie de la richesse d’une vie.
Elle apporte enthousiasme et joie pour l’avenir. »
Tous nos vœux de bonheur aux heureux parents.
31
Titre principal
Les 11 et 1
L’atelier-théâtre des 5es et 6es de l’INDBG
vous présente
2 mars 20
16
Le Serment
d´Hippocrate
illustré
Avec des extraits de :
Le Malade imaginaire et LeMédecinmalgrélui
Jules Romains, Knock.
Molière,
32