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Französische Jugendsprache 06.07.2013 Bewertung von Jugendsprache Le langage des jeunes en banlieue: Ausdruck von Gewalt „sous-culture „ „langue de violence“ “violence verbale“ LEPOUTRE, DAVID. 2001. Cœur de banlieue. Codes, rites et langages. Paris : Odile Jacob. « bad language » DORAN, MERDITH. 2007. « Alternative French, Alternative Identities : Situating Language in La Banlieue », dans : Contemporary French and Francphone studies 11 / 4 (2007) 497-508. hohe Anzahl an groben und vulgären Ausdrücken und Schimpfwörtern gibt: vannes Lepoutre: « toutes sortes de remarques virulentes, de plaisanteries désobligeantes et de moqueries échangées sur le ton de l’humour entre personnes qui se connaissent ou du moins font preuve d’une certaine complicité » « y’avait des putains, putes, tous les 5 mots… pour se dire des trucs super triviaux et pas méchants du tout » Forumseintrag Gegenargumente: bewusstes code-switching bewusste Wahl des Sprachstils Die Jugendlichen unterscheiden zwischen « le langage du quartier » et « les fautes de français » SEUX, BERNARD. 1997. « Une parlure argotique de collégiens », dans Langue française 114 (1997), 82-103. « arrêtes ça c’est chim » « c’est sal » « chaque moment il a son langage chaque situation a son langage quoi » « avec nos potes » « dans un moment de délire » Le langage des jeunes en banlieue : Ausdrucksarmut « l’argot est une langue pauvrissime » GOUDAILLIER, JEAN-PIERRE. 1991. « Argotolâtrie et argotophobie », dans Langue française 90 (1991), 10-12. Le Monde (19. März 2007 ): « Vivre avec 400 mots » Gegenargument: Sprache als Bereicherung nicht als Manko: « ça c’est une richesse que pour le coup nous on a et (on, que d’autres n’ont) pas forcément ». « [lui] apporte ses eaux vives et quelquefois torrentielles, contribuant ainsi grandement à l’indispensable renouvellement de notre langue » MERLE, PIERRE. 1998. Le Dico du Français qui se cause. Toulouse : Ed. Milan. Le langage des jeunes en banlieue: Ausdruck einer contre-culture « la fraction sociale si souvent dénoncée se double d’une fracture langagière difficile à combattre » GOUDAILLIER, JEAN-PIERRE. 1997. « La Langue des cités », dans : Communication & langages; signes, objets et pratiques 1997, 96-110. « le français officiel traduit mal le quotidien » PIERRE-ADOLPHE, PHILIPPE / MAMOUD, MAX. 1998. Tchatche de banlieue, suivi de l'argot de la police. Paris : Ed. Mille et une Nuits. « langue étrangère par rapport à [leur] propre culture » « il [le parler jeune dans les banlieues] exprime une vision du monde et une idéologie qui lui sont propres. Bref, il relève d’une culture […] à la fois organisée et cohérente » LEPOUTRE, DAVID. 2001. Cœur de banlieue. Codes, rites et langages. Paris : Odile Jacob. « miroir d’une société » Méla, Vivienne. 1991. « Le verlan ou le langage du miroir », in : Langages 101/mars (1991), 73-94. Gegenargument: Durch die theoretische Unterscheidung der Sprache wird eine soziale Abgrenzung heraufbeschworen: 76A (2) : et pourtant je ne sais pas j’ai envie de dire on est tous en France mais (-) c’est juste, et en plus c’est des petits mots qui changent mais (-) des fois ça fait beaucoup tu vois ça (-) ça cause beaucoup de choses juste un petit mot | de toute façon quand on connaît pas il y a toujours cette peur il y a toujours ce jugement direct de se braquer sur la chose 14A: j‘ai envie de dire on parle comme tout le monde on dit bonjour chez nous 16A: on dit bonjour (-) on dit pas autrement on parle un peu comme tout le monde 18A: je pense pas + qu‘il y ait une grande différence par rapport À notre langage 105B: avoir accès à un langage de plus à un langage familier À un langage plus + du ghetto et eu: 106A: un langage populaire 107A: populaire si tu veux excuse-moi pour toute à l‘heure