citations majeures - Terminale - Littérature
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LORENZACCIO CITATIONS MAJEURES FLORENCE 1. «une forêt pleine de bandits, pleine d’empoisonneurs et de filles déshonorées» (Maffio) - I,1 2. «Florence était encore (il n’y a pas longtemps de cela) une bonne maison bien bâtie [...]. Mais il y a de par le monde deux architectes malavisés qui ont gâté l’affaire; [...] c’est le pape et l’empereur Charles.» (l’orfèvre) - I,2 3.«C’est une singulière chose que toutes les harmonies du soir avec le bruit lointain de cette ville.» (Catherine) - I,6 LE DUC 4. «un bâtard, une moitié de Médicis, un butor que le ciel avait fait pour être garçon de boucher ou valet de charrue, couche dans le lit de nos filles, boit nos bouteilles, casse nos vitres.» (l’orfèvre) I,2 5. Le pape et l’empereur sont accouchés d’un bâtard qui a le droit de vie et de mort sur nos enfants» (2e bourgeois) I,5 6.«Quand je suis en pointe de gaieté, tous mes moindres coups sont mortels» (le duc) - II,6 n’a pas la force de rire» (le duc) - I,4 ! Mélancolie LORENZO 7. «Un gredin qui n’a pas souri trois fois dans sa vie, et qui passe son temps à des espiègleries d’écolier en vacances!» (le provéditeur, I, 2) 12. «Je suis rongé d’une tristesse auprès de laquelle la nuit la plus sombre est une lumière éblouissante» (Lorenzo)- III,3 Avilissement 8.«modèle titré de la débauche florentine» (sire Maurice) - I,4 13.«Ô ma vengeance! qu’il y a longtemps que tes ongles poussent!» (Lorenzo) - III,1 9.«Lorenzo est un athée; il se moque de tout. [...] Le peuple appelle Lorenzo, Lorenzaccio; on sait qu’il dirige vos plaisirs, et cela suffit» (Sire Maurice au duc) - I,6 10. «le plus fieffé poltron! une femmelette, l’ombre d’un ruffian énervé! un rêveur qui marche nuit et jour sans épée, de peur d’en apercevoir l’ombre à son côté! d’ailleurs un philosophe, un gratteur de papier, un méchant poète qui ne sait seulement pas faire un sonnet!» (le duc) - I,4 11. «ce petit corps maigre, ce lendemain d’orgie ambulant [...]; ce visage morne, qui sourit quelquefois, mais qui Littérature Terminale - cours de M. Salomé! ! ! ! ! 14.«Tu as pris, dans un but sublime, une route hideuse» (Philippe à Lorenzo) - III,3 15.«Le vice a été pour moi un vêtement ; maintenant, il est collé à ma peau» (Lorenzo) III,3 16.«De quel tigre a rêvé ma mère enceinte de moi? Quand je pense que j’ai aimé les fleurs, les prairies et les sonnets de Pétrarque, le spectre de ma jeunesse se lève devant moi en frissonnant» (Lorenzo) - IV,3 17.«Je crois que je corromprais ma mère, si mon cerveau le prenait à tâche» (Lorenzo) - IV,5 Mélancolie ! ! ! 1/3 18.«Lâche, lâche - ruffian - le petit maigre, les pères, les filles - des adieux, des adieux sans fin - les rives de l’Arno pleines d’adieux! - Les gamins l’écrivent sur les murs. - Ris, vieillard, ris dans ton bonnet blanc - tu ne vois pas que mes ongles poussent? - Ah! le crâne, le crâne! Il s’évanouit.» - III,1 Annonce du meurtre 19.«D’ici à quelques jours il n’y aura pas plus d’Alexandre de Médicis à Florence qu’il n’y a de soleil à minuit» (Lorenzo) 20.«Faites-vous beau, la mariée est belle. Mais, je vous le dis à l’oreille, prenez garde à son petit couteau» (Lorenzo) - IV,9 21.«Ma vie entière est au bout de ma dague, et que la Providence retourne ou non la tête en m’entendant frapper, je jette la nature humaine à pile ou face sur la tombe d’Alexandre - dans deux jours, les hommes comparaîtront devant le tribunal de ma volonté» (Lorenzo) - III,3 Désillusions politiques 22.«Je te fais une gageure. Je vais tuer Alexandre; une fois mon coup fait, si les républicains se comportent comme ils le doivent, il leur sera facile d’établir une république, la plus belle qui ait jamais fleuri sur la terre. [...] - Je te gage que ni eux ni le peuple ne feront rien.» (Lorenzo à Philippe) III,3 28.«Eh bien, Florence, apprends-la donc à tes pavés, la couleur de mon noble sang! il y a quarante de tes fils qui l’ont dans les veines» (Philippe) - II,5 Tyrannicide 30.«Prends garde à toi, Philippe, tu as pensé au bonheur de l’humanité» (Lorenzo) - III,3 23.«Il faut que je sois un Brutus» (Lorenzo) - III,3 24.«Quand j’ai commencé à jouer mon rôle de Brutus, [...] l’humanité souleva sa robe et me montra, comme à un adepte digne d’elle, sa monstrueuse nudité» (Lorenzo) - III,3 25.«Tout à l’heure, en passant sur la place, j’ai entendu deux hommes parler d’une comète» (Lorenzo) - IV,3 26.«J’étais une machine à meurtre, mais à un meurtre seulement» (Lorenzo) - V,7 27. «Ne dirait-on pas que toute la vertu de Florence s’est réfugiée chez ces Strozzi?» (Salviati, I,5) ! 31.«Qu’il t’est facile à toi, dans le silence du cabinet, de tracer une ligne mince et pure comme un cheveu sur ce papier blanc!» (Philippe) II,1 32.«Vieillard obstiné! inexorable faiseur de sentences! vous serez cause de notre perte.» (Pierre Strozzi) - IV,6 33.«Les avalanches se font quelquefois au moyen d’un caillou gros comme le bout du doigt» (Pierre) - III,2 Honneur et humanité ! Hésitations condamnables de Philippe Rêves de soulèvement LES STROZZI Littérature Terminale - cours de M. Salomé! 29. «Depuis quand le vieil aigle reste-t-il dans le nid, quand ses aiglons vont à la curée?» (Philippe) - III,2 ! 34.«Les Médicis sont une peste. Celui qui est mordu ! ! ! ! 2/3 par un serpent n’a que faire d’un médecin; il n’a qu’à se brûler la plaie.» (Pierre) - III, 2) Romantisme de Philippe 35.«Ses yeux mélancoliques étaient ainsi fermés à demi, mais ils se rouvraient au premier rayon de soleil, comme deux fleurs d’azur. [...] Un jour de plus, pensaisje en voyant l’aurore, un sillon de plus dans mon champ!» (Philippe à propos de Louise) - IV,6 SALVIATI 36.«Le drôle a fait comme les araignées, -il s’est laissé tomber en repliant ses pattes croches, et il a fait le mort de peur d’être achevé.» (Pierre) - III,2 LES CIBO 37.«Être un roi, sais-tu ce que c’est? [...] Comme il tremblerait, ce vieux du Vatican, si tu ouvrais tes ailes, toi, mon aiglon! César est si loin! la garnison t’est si dévouée!» (la marquise Cibo au duc, III,6) 38.«Allons, allons, ton petit rôle de femme, et de vraie femme, te va si bien» (le duc à la marquise Cibo) - III,6 39.«César a vendu son ombre au diable, cette ombre impériale se promène, affublée d’une robe rouge, sous le nom de Cibo» (la marquise au cardinal) - IV,4 LE PEINTRE 40.«Réaliser des rêves, voilà la vie du peintre» (Tebaldeo, II,2)