Dossier de presse

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DOSSIER DE PRESSE 2013
www.parolesdegalere.net
Photo : Romain Beurrier
Composition graphique : Kevin Vacher
CONTACT MARIUS CHAMPION /[email protected] / 06.95.30.15.53
EDITO 2013
Après trois éditions à la friche la Belle de mai, l’édition 2013 du festival Parole de Galère investira le quartier populaire du Grand St Barthélémy
dans le 14ème arrondissement de Marseille. Depuis 2010, autour de Radio
Galère et de nombreuses autres associations, des dizaines de bénévoles se sont
mobilisés pour offrir une alternative culturelle, un moment de fête, aux Marseillais-es (et aux autres!). Productions radiophoniques, projections, concerts,
expos, débats, stands associatifs… sont chaque année au rendez-vous.a
Pourquoi ce changement de lieu ? Paroles de Galère, qui s’est proclamé dès sa création « festival populaire et
militant », se doit de devenir un outil d’expression pour des populations qui
vivent des galères quotidiennes : le chômage, la précarité, l’incertitude du
lendemain, la discrimination raciale, postcoloniale et la dégradation du cadre
de vie. La galère, c’est aussi la confrontation quotidienne à des élus qui réduisent bien souvent l’action politique au clientélisme.
Parce qu’elles vivent dans des quartiers délabrés, délaissés par les institutions
dont les seules manifestations visibles sont le zèle de la police succédant la
venue d’un ministre, ces populations ont décidé de se prendre en charge, à
travers la densité d’un tissu associatif dynamique et impertinent.
Pour toutes ces raisons et pour rendre possible les nécessaires jonctions entre
les différentes expérimentations sociales des quartiers populaires et d’ailleurs,
la place du festival Paroles de Galère ne peut naturellement qu’être dans les
quartiers populaires.
L’édition 2013 sera conçue et réalisée en très grande partie par les acteurs sociaux et culturels des quartiers populaires. La richesse de la création culturelle, le savoir-faire des militants associatifs et des habitants sont
des ferments suffisants pour une édition 2013 du festival où nous voulons
souligner l’espoir qui chaque jour anime notre action. Paroles de Galères, veut
être un moment de fête populaire que chacun pourra s’approprier. Trente
ans après la marche pour l’égalité des droits et contre le racisme, nous proposons un outil pour faire le bilan de nos expériences et tracer des perspectives nouvelles.
Le festival aura lieu les samedi 7 et dimanche 8 septembre dans le Grand St
Barthélémy sur la pelouse Picon. Son financement est basé sur le prix libre,
où chacun finance à la hauteur de ses moyens.
1
TABLES DES MATIERES
La Programmation
p3-14
Forum d’expression populaire
p 15-16
Animations
p 17
Les amis du festival
p 18
2
Programmation musicale
Samedi 7 et dimanche 8 septembre
scène ouverte
La scène ouverte du festival mettra en avant les groupes de rap, rock, slam et
danse du grand St Barthélémy. Samedi et dimanche, nous pourrons compter sur deux fois deux heures de scène ouverte avec la présence d’au moins 16
groupes, parmi lesquels :
La Relève
Unité Marginale
R-girls
J&J’s
S-Saw
Ryan
Mehdi
DD Monkey (danse)
African crew (danse)
African girls
Cécilia
Lilia
Gyptis (musique gitane)
Aliens from Mars (rock)
Kemano
Badjo
3
Samedi 7 septembre
Obscur Jaffar / Rap
Obscur Jaffar de son vrai nom Rodolphe Diloma Soulama est natif Ouagadougou
au Burkina Faso.
Rapidement attiré par le rap dès son adolescence il se lance dans la musique dès
Il s’est plus particulièrement orienté vers le SLAM et participe au collectif .1999
association( 53 l’Afrikslam. Il participe activement à la création la Konkret
des acteurs de la culture hip hop pour l’union et l’intégration) dont il est le
secrétaire général.Il se réclame de « l’unité des contraires », le titre de son
premier album solo, qui voit comme l’intégration ou la réunion des différentes
oppositions apparentes.
Il a collaboré depuis avec de nombreux artistes au Burkina. Il fait partie de
cette génération de musiciens engagés, comme Smockey et Sams’K Le Jah. Ainsi
participe t il au concert en hommage à Sankara en 2007, fait partie des artistes unis pour Norbert Zongo qui a monté un album pour contribuer à ce que
justice soit faite pour ce journaliste assassiné. Il collabore aussi au festival ciné
droit libre. Il aime les collaborations interdisciplinaires et participe à des spectacles melant slam et danse contemporaine.
Pour Paroles de Galère 2013, Obscur Jaffar présentera sur scène deux spectacles. Une première scène partagée avec les adolescents du quartier présentera
le résultat d’ateliers animés par Jaffar ; suivra dans la soirée la présentation de
son spectacle.
4
Samedi 7 septembre
Kawah Family / Chants kabyles et gnawi de l’immigration
Musique à ouïr, à chanter et à danser, puisant dans les racines kabyles
et gnawa, la fusion métisse de KAWAH Family nous amène de l’autre côté
de la Méditerranée, vers un Maghreb élargi où les chants de l’immigration
algérienne se mêlent à la transe des hommes du sud Maroc.
Nadia Ammour : Chant, percussions
Hakim El Mekkaoui : Oud, Chant, percussions
Soufyan Rajraji : Chant, Guembri, percussions
Denis Fouquet : Guitares
Thomas LIppens : Batterie
5
Samedi 7 septembre
QWX / Musique tradiotionnelle Kurde
Du soupir jusqu’à la transe…
Pour la plupart nous ne connaissons pas ces voix, ces mélodies ou ces rythmes
qui prennent racine entre la Turquie, la Syrie, l’Iran et l’Iraq… Bienvenue dans
un folklore où la musique rappelle les épreuves de la vie, les accents mélancoliques implorant les êtres chers, leur pays, leur amour, leur vie , laissés par
leurs exil. Dans cette musique cette nostalgie se diffuse, nous envahit et parfois s’apaise pour laisser place aux rythmes endiablés pour faire danser jusqu’à
la transe !! Bienvenue au Kurdistan !! Trois musiciens vous accompagnent dans
ce voyage. Ce groupe « QWX », les 3 lettres kurdes interdites, symbolisent la
persécution de cette minorité contrainte à l’exil. Partis depuis plusieurs années,
leurs routes se sont finalement croisées à Marseille. Pour l’occasion ces musiciens
associent leurs répertoires et remontent l’Euphrate et le Tigre jusqu’au fin fond
de leur terre natale. Apo ; fait trembler son « davul » (prononcé daoul). C’est
cette percussion qui fait battre le coeur de ce folklore. La peau de chèvre et de
mouton claque et gronde sous les coups de sa baguette et de sa canne.
Bayram ; les yeux révulsés, part vers la transe au son du « DAF » Omer ; procure les frissons et les larmes à l’aide de son « Ney », de son « Doudouk ». Issu
d’une famille de musiciens.
6
Samedi 7 septembre
Aziz Boumediene / Récit de voyage initiatique «France/Maroc»
Inch’Allah» est un spectacle d’images, de musiques et de récits qui évoquent
l’ambiguité d’être à la fois français et d’origine maghrébine. C’est un spectacle
qui questionne la notion d’identité et des libertés individuelles, de manière plus
large.
Mais c’est aussi un hymne au voyage, à la diversité culturelle, à la tolérance,
au respect. C’est un hymne à la beauté du monde, de l’univers, à l’amour. Le
spectacle est composé de projections de photographies qui constituent en même
temps un élément de décors aux récits, poèmes et chansons qui se produisent
sur scène accompagnées de musiciens.
Joué par 4 musiciens (guitarre,clarinette,contrebasse,percussion et chant).
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Samedi 7 septembre
Hijo del desierto / Rap Sahraouis
C’est un groupe de musique du monde. Plusieurs style de musique y est joué :
Yslem Mohamed Salem Nafaa, connu sous le nom d’Hijo del desierto, est un MC
originaire de Techla, Sahara, né en 1987.
Ses débuts dans le mouvement musical remonte à l’époque où il vivait dans les
camps de réfugiés sahraouis en Algérie, où il a pu découvrir le rap algérien et
notamment le groupe M.B.S. Un intérêt qui sera ensuite complété par des influences de musiques africaines, mais aussi de rap européen et américain.
Il axe ses titres autour de revendications envers le peuple sahraouis ainsi qu’autour de revendications sociales. Il utilise, en plus de l’Espagnol, le Hassania,
langue du Sahara, l’un des dialecte arabe les plus anciens.
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Dimanche 8 septembre
Grive & Ours / Balèti
C’est un groupe de musique du monde. Plusieurs style de musique y est joué :
Klezmer, Irlandais, Traditionnel, etc.a
Baleti organiser par le groupe Grive & Ours. Mais qu’est ce qu’un Baleti ?a
Le balèti, c’est le bal folk occitan, le fest-noz de Bretagne : un groupe (ou plusieurs) anime la soirée et on y danse, on s’y retrouve, et surtout on s’y amuse.
Les danses sont variées, en couple, en ligne, en cercle, en chaîne, etc, ce sont
des bourrées, scottish, mazurkas, cercles circassiens, danses de l’ours, etc. La
liste n’est pas exhaustive, et pour vous faire une idée, le mieux est d’aller voir
Grive & Ours à un Baleti !i
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Samedi 7 septembre
Yasmine Mouloud / chants fusion Orient-Occidents
YASMINE MOULOUD, auteur compositeur interprète. Egalement auteur de
pièces de théâtre et de récits. Eille interprète ses chansons du déserts avec
beaucoup d’émotion.
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La Cie KTA présente : Strange Fruit / Conte et musique
La Compagnie Kta vous invite au voyage. La musique crée le paysage, le verbe
guide et l’imaginaire s’enflamme. En 8 ans d’existence la compagnie a composé 9 spectacles, du conte traditionnel au récit de vie, de l’Histoire vraie à la
légende, pour tous les publics.
Quand Souffle le vent du Nord- contes du temps de Noël
Toujours en recherche, toujours sur la route, la Compagnie Kta enchantera vos.
oreilles.
Stange Fruits est une histoire populaire de la lutte pour les droits civiques
aux États-unis. Elle raconte les destins des femmes dans cette lutte contre
l’esclavagisme, la ségrégation et le racisme ordinaire sur une musique afroaméricaine.
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Samedi 7 septembre
Smaïl Chaït / Musique populaire Kabyle
Smaïl Chaït est un jeune chanteur berbère de Kabylie. Issu de la
jeunesse un peu blasée par les errements de la génération précédente
qui a failli dans sa mission de lui donner des perspectives, Smaïl
chante met en musique les rêves et la désillusion de sa génération.
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Carte Blanche à l’Ostau dau pais Marselhes : Violoneuses !
Violoneuses !
Perrine Bourel et Mana Serrano: violons, violons graves , voix
Ces deux joueuses de violons timbrés puisent dans les paysages musicaux archaïques des Alpes du Sud et du Massif Central pour fabriquer avec sensibilité
une matière sonore brute et poétique.” Un bal endiablé qui soulève les danseurs
!! Farandoles, cercles, polkas, mazurkas, valses, scottishes, rondes, chapeloise et
surtout rigodons et bourrées, deux danses emblématiques des montagnes préalpines et auvergnates.
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Projections documentaire
Vendredi 6 septembre 20h
Le Vendredi soir, le festival s’ouvrira dans une ambiance de fête de quartier,
dans le quartier des Flamants. Nous rendrons ainsi une nouvelle fois hommage à
Lahouari Ben Mohamed. Ce sera l’occasion d’une diffusion en avant première du
documentaire en cours de production d’Alain Dufau : « Tout était possible ». Le
film retrace l’histoire culturelle du Grand Saint Barthélémy dans les années 80,
notamment autour du dramaturge Akel Akian. La projection sera suivie d’un
débat en présence du réalisateur et des jeunes du quartier qui ont participé à la
réalisation du documentaire. Il s’agira de se pencher, à partir du territoire du
Grand Saint Barthélémy, sur les conséquences directes de la Marche de 1983
sur la vie de ces quartiers.
Samedi 7 septembre 22h
Projection du documentaire Douce France, la saga du mouvement beur.
de Mogniss H. Abdallah et Ken Fero, 1993, 1h27.
En présence du réalisateur Mogniss H. Abdallah
Le mouvement de l’immigration et des quartiers populaires, cités et banlieues,
a une histoire. Des rodéos des Minguettes à la Marche pour l’Egalité et contre le
racisme de 1983, de Rock against Police à la lutte contre la double peine, des
affrontements raciaux dans l’usine Talbot-Poissy en grève aux retrouvailles communautaires autour des valeurs de justice sociale de l’Islam, en passant par le
mouvement étudiant de 1986, la mobilisation contre les lois Pasqua et la réforme du code de la nationalité, les révoltes de Vaulx-en-Velin et de Mantes-laJolie contre les violences policières avec mort d’hommes (Malik Oussekine, Abdel
Benyahia, Thomas Claudio, Aïssa Ihiche, Youssef Khaïf et tant d’autres). Sans
oublier le massacre du 17 octobre 1961 à Paris… Ce film, basé sur les images
d’archives de l’agence IM’média, retrace l’histoire de luttes dans les quartiers
populaires.
Samedi 7 et Dimanche 8 septembre
Samedi 7 et dimanche 8 septembre les participants au festival pourront profiter des projections de documentaires militants de primitivi qui installeront leur
écran, leur caravan et leur camping car sur la pelouse picon.
Primitivi
Relais d’infos Sud américaines
Relais des médias libres français
Informations alternatives marseillaises
/ http://www.primitivi.org
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Forum d’expression Populaire
Vendredi 6 Samedi 7 et Dimanche 8 septembre
Chaque année, le festival Paroles de Galère se donne pour objectif d’être un outil
pour produire une pensée par et pour ceux qui galèrent. Entre deux scènes artistiques, le forum d’expression populaire est plus qu’un simple espace de débats, il est
pour le festival un élément structurant, donnant un ton et une ambiance au festival. Les précédentes éditions avaient abordé des thèmes tels que la dette publique et
ses conséquences pour les peuples, la culture populaire ou encore les profonds changements urbains que la ville de Marseille connaît depuis ces dernières années. Pour
cette quatrième édition, nous aborderons le thème de « l’actualité de la Marche pour
l’égalité et contre le racisme (1983) », que les médias ont ensuite nommée « la
Marche des beurs ». En construisant le festival avec les acteurs sociaux, associatifs et
les habitants du Grand Saint Barthélémy, ce thème est apparu comme une évidence.
Au delà de la date anniversaire, nous voulons nous pencher dans un profond bilan de
trente ans de luttes dans les quartiers populaires et donner humblement aux premiers concernés un espace d’élaboration de nouvelles perspectives pour l’avenir.
Montée du racisme et du Front National, violences et meurtres policiers, chômage de
masse et précarité, avenir sans lendemain… En 1983 comme aujourd’hui, le constat
est le même… amer. Trente ans sont passés et entre temps, les quartiers populaires
ne se sont nullement résignés. Dans le Grand Saint Barthélémy, un riche tissu associatif s’est formé, portant l’éducation populaire, les luttes de l’immigration et des
quartiers populaires au cœur de son projet. Trente ans de combats, dont la manifestation du 1er Juin de cette année est venu rappeler l’actualité.
Le festival Paroles de Galère structurera donc ses activités autour du bilan de la
Marche de 1983 et des perspectives à tracer aujourd’hui, dans le Grand St Barthélémy, à Marseille et en France. Pour cela, trois temps de débats sont prévus.
15
Débats
Vendredi 6 septembre à partir de 19ha
Le Vendredi soir, le festival s’ouvrira dans une ambiance de fête de quartier,
dans le quartier des Flamants. Nous rendrons ainsi une nouvelle fois hommage à
Lahouari Ben Mohamed (cf. encadré « repères »). Ce sera l’occasion d’une diffusion en avant première du documentaire en cours de production d’Alain Dufau :
« Tout était possible ». Le film retrace l’histoire culturelle du Grand Saint Barthélémy dans les années 80, notamment autour du dramaturge Akel Akian.
La projection sera suivie d’un débat en présence du réalisateur et des jeunes du
quartier qui ont participé à la réalisation du documentaire. Il s’agira de se pencher, à partir du territoire du Grand Saint Barthélémy, sur les conséquences
directes de la Marche de 1983 sur la vie de ces quartiers.
Samedi 7 septembre de 15h à 17h
Le samedi après midi sera l’occasion de revenir sur l’actualité des conditions
d’existence et de vie des habitants des quartiers populaires et ainsi, des revendications de la Marche de 1983. A partir d’ateliers menés les mois précédents
avec les habitants du Grand Saint Barthélémy et de leurs propres paroles, les
discussions s’organiseront en ateliers autours de trois axes : égalité/discriminations ; les violences et quelles réponses institutionnelles, avec un aller-retour
systématique entre 1983 et aujourd’hui.
Nous organiserons samedi soir à partir de 22h, la projection du film « Douce
France » qui retrace l’histoire de la Marche.
Dimanche 8 septembre de 15h à 17h
Le dimanche après midi, nous conclurons nos débats par une séance plénière
lors de laquelle nous restituerons les travaux du week-end. Cette séance aura
pour thème le bilan des expériences d’organisation des quartiers populaires et
leurs développements à venir. Des intervenants scientifiques et des militants de
toute la France seront invités à intervenir aux côtés des acteurs de 1983 et
d’aujourd’hui, de Marseille et d’ailleurs.
Durant l’ensemble du festival, un « forum d’expression populaire » sera installé sous forme de village associatif, réunissant de manière libre et ouverte des
associations culturelles, militantes, scientifiques, des collectifs et autres réseaux
de Marseille et d’ailleurs. Ce forum sera l’occasion de rencontres nouvelles et de
discussions informelles que nous espérons très riches.
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Animations
Samedi 7 septembre
La Grande Famille nous prête ses jouets !
Nous pourrons compter sur l’énergie débarodante de «La Grande Famille» et
ses jeux en bois pour animer la pelouse entre concerts spectacles et debats sa!medi après midi.
La Grande Famille est une association régie par la loi 1901 qui a pour but de
«proposer des manifestations culturelles et artistiques à tous, dans un esprit de
simplicité, prioritairement dans les milieux isolés ou délaissés de notre société.»
C’est à dire ? Eh bien tout simplement partager nos passions et toutes les idées
qui nous trottent dans la tête... Des concerts, des jeux en bois, des projections,
des ateliers d’arts plastiques, de la boulangerie, des expos photos, de l’écriture de contes... Juste un peu d’évasion la plupart du temps, car on en a tous
besoin.
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Les Amis du Festival
Avec la participation de :
CSF, sections Busserine, St. Barthélémy III, Flamants-Iris
CLCV picon - Busserine
Quartiers nord-quartiers forts
Schebba
Collectif la relève
...
18

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