Implosions Implosions d`iPhone : Apple s`explique s`explique s

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Implosions Implosions d`iPhone : Apple s`explique s`explique s
La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
N° 09
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7 Septembre 2009
La pensée de la semaine
«La modestie est le seul éclat qu'il soit permis d'ajouter à la gloire.»
Charles Duclos
Implosions d'iPhone : Apple s'explique
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/medias/multimedia/20090828.OBS9176/implosions_diphone__apple_sexplique.html
Le fabricant sort de son silence et explique que les différents "incidents" d'iPhone implosés ne "seraient pas dus à la
surchauffe de la batterie" mais "à une pression externe exercée sur l'iPhone".
Après onze cas recensés sur tout le territoire d'iPhone ayant implosés, Apple sort de son silence vendredi 28 août avec un bref
communiqué, repris par 01net. Le fabricant confirme avoir pris connaissance de quelques incidents sur son téléphone, mais réfute tout
problème de surchauffe. "A ce jour, il n'y a aucun incident avéré qui serait dû à la surchauffe de la batterie de l'iPhone 3GS, et ceux sur
lesquels nous enquêtons se comptent sur les doigts de la main", précise la firme à la pomme. "Dans tous les cas que nous avons
examinés à ce jour, les fissures sont liées à une pression externe exercée sur l'iPhone."
"Un choc préalable explique la brisure" Apple change de stratégie de communication et s'explique sur ces "accidents isolés". Le
fabricant change également de ton auprès des particuliers : Fabrice Lerebourg, dont l'iPhone s'était "autodétruit" vient d'être contacté par
Apple qui lui a présenté de "plates excuses" et lui remplace son téléphone, rapporte LCI. Reste qu'une enquête a été ouverte par la
direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) sur le sujet.
Par ailleurs, le secrétaire d'Etat chargé du Commerce Hervé Novelli a rencontré vendredi le directeur commercial d'Apple France, Michel
Coulomb, qui explique que "les premiers tests montrent qu'il y a eu un choc préalable qui explique la brisure des écrans des iPhones".
De son côté, Hervé Novelli ne veut "incriminer quiconque". Selon lui, trois iPhones endommagés en France ont été récupérés par Apple
et testés aux Etats-Unis. "Nous avons convenu avec la direction d'Apple qu'ils nous tiennent parfaitement au courant, en temps réel dans
les heures et dans les jours qui viennent, des résultats des autres tests" qu'ils mèneront sur les autres iPhones récupérés, a-t-il indiqué.
"Il n'y a pas lieu aujourd'hui de polémiquer mais plutôt de répondre aux interrogations des uns et des autres : c'est ce qu'a commencé
à faire la direction d'Apple et je l'en remercie", a-t-il déclaré.
Fujitsu prépare un supercalculateur 10 pétapéta-flops, sur Sparc64 multicoeur
http://www.silicon.fr/fr/news/2009/08/27/fujitsu_prepare_un_supercalculateur_10_peta_flops__sur_sparc64_multicoeur
Lors d'une conférence en Californie, Fujitsu a annoncé pour début 2011, un "supercalculateur" à 10 péta-flops, autour du
processeur Sparc64 co-développé avec Sun - un concurrent du Roadrunner d'IBM...
A l'occasion de la conférence Hot Chips qui se déroule cette semaine à l'université de Standford, en Californie, Fujitsu a révélé, ce 25
août, ses plans de développements d'un "supercomputer" qui, au début 2011, atteindra la puissance de calcul phénoménale de 10
pétaflops ! Ce serait dix fois plus que les supercalculateurs actuels.
Cet ordinateur unique est destiné à l'Institut de Recherche de Physique Chimie (RIKEN) de Hirosawa, Wako, au Japon.
Selon Takumi Maruyama, responsable du département des développements de processeurs chez Fujitsu, cité par IDG News, ce
supercalculateur sera conçu autour de la nouvelle génération de processeur Sparc64 VIII fx, qui comptera 8 cœurs! Elle succède à
celle des Sparc64 VII, à quatre coeurs, introduite il y a deux ans, co-développée avec Sun.
Chacun des 8 coeurs fonctionne à la fréquence ou vitesse d'horloge de 2 GHz, avec accès à 5 Mo de mémoire 'cache'. Ils utilisent les
mêmes jeux d'instructions que les Sparc9, mais avec des extensions à celles des supercalculateurs du type HPC-ACE.
Chaque processeur atteint la puissance de 128 gigaflops en consommant 58 watts. M. Maruyama n'a pas pu répondre si oui et quand les
nouveaux processeurs Sparc64 VIIIfx pourraient équiper d'autres machines que celle de cet Institut de recherche RIKEN.
La course au péta-flops est lancée D'autres constructeurs se sont lancés dans cette course aux supercalculateurs de niveau 'pétaflop', qui bénéficient des innovations de la technologie de miniaturisation des 'chips' à 32 nano-mètres.
Les labos de recherche d'Intel, en 2007, ont présenté le premier processeur embarquant 80 cœurs et 100 millions de transistors, soit
trois fois moins de transistors que les générations précédentes - mais cela reste une technologie encore réservée à la recherche. Ce
processeur atteignait 1,01 téraflops sur un seul processeur avec une fréquence d'horloge à 3,16 gigahertz, et consommant 62 watts.
IBM devait intervenir également lors de cette conférence Hot Chips, à propos notamment de son futur processeur Power 7 attendu pour
le 1er semestre 2010. Ce processeur doit servir de base à un nouveau supercalculateur à l'échelle du pétaflops, destiné à l'université de
l'Illinois à Urbana-Champaign (le National Center for Supercalculating Applications). Cette machine, au nom de code Blue Waters, est
également promise pour 2011. A ce jour, IBM dispose déjà du supercalculateur considéré comme le plus puissant, le Roadrunner, qui
équipe le Laboratoire National de Los Alamos du Département US à l'énergie: cette machine, rangée en juin dernier sur la 'top' liste des
500 supercalculateurs dans le monde, a atteint les 1.105 péta-flops.
Navigateur Web mobile : RIM s’empare de Torch Mobile
http://www.itespresso.fr/navigateur-web-mobile-rim-sempare-de-torch-mobile-31002.html
RIM s'offre Torch Mobile, qui détient un navigateur web mobile, Iris, bâti sur le moteur de rendu Webkit, utilisé par
Safari et Chrome.
Research In Motion (RIM) va bientôt doter ses smartphones BlackBerry d’un navigateur Web open source. Le constructeur canadien
vient en effet de mettre la main sur son compatriote Torch Mobile, une entreprise qui s’est spécialisée dans l’élaboration d’un
navigateur Internet mobile baptisé Iris, basé sur le moteur de rendu open source Webkit, notamment utilisé par Google Chrome et Safari.
Le montant de cette acquisition n’a pas été dévoilé.
Torch Mobile devrait désormais consacrer ses efforts à mettre au point pour les BlackBerry un nouveau browser basé sur Webkit “afin
d’améliorer la plate-forme BlackBerry”, comme le précise l’éditeur canadien dans un communiqué.
En effet, la navigation sur les BlackBerry s’avère beaucoup moins ergonomique et pratique qu’à partir d’autres navigateurs comme Safari,
disponible sur l’iPhone, ou Google Android. Quant au browser Iris, il est capable d’afficher de manière très fluide les pages Web sur des
écrans de mobile en gérant des technologies comme le HTML, Flash Lite, la version mobile de Flash, le bloquage des pop up et en
prenant en charge le protocole de sécurisation SSL (Secure Sockets Layer).
RIM a ici une belle carte à jouer en mettant à profit sa deuxième place sur le marché des smartphones (18,7% de parts de marché au
deuxième trimestre), derrière Nokia et ses 45% de parts de marché.
Sharp lance un PC portable lilliputien, aux technologies novatrices
http://www.silicon.fr/fr/news/2009/08/28/sharp_lance_un_pc_portable_lilliputien__aux_technologies_novatrices
ARM et Linux sont au cœur du nouveau PC ultraportable de Sharp. Entre le
smartphone et le netbook, cette machine propose un concept proche du Zaurus.
En 2007, Sharp avait décidé d’arrêter la production de ses PDA survitaminés, les Zaurus. La
firme revient aujourd’hui sur ce marché avec une approche différente.
Le NetWalker PC-Z1 est un ultraportable pourvu d’un écran panoramique et tactile d’une
diagonale de 5 pouces (résolution de 1024 x 600 points). Cette machine s’architecture
autour d’un processeur Freescale i.MX515 cadencé à 800 MHz (une puce ARM, ce qui lui
vaut la dénomination de Smartbook), de 512 Mo de mémoire vive et d’un disque flash de
4 Go. Un module Wifi est présent, tout comme des ports USB 2.0.
Sur le papier, le NetWalker est donc finalement assez proche des Zaurus. Mais le concept des
deux gammes diffère. Le Zaurus était un « super PDA » pourvu d’une distribution Linux
embarquée. Le NetWalker est un « pico-PC », fonctionnant avec une distribution Linux
Ubuntu 9.04 Smartbook Remix : Firefox, Thunderbird, Sunbird et OpenOffice.org sont
ainsi installés par défaut !
Le tout pèse 409 g pour des dimensions de 161,4 x 108,7 x 24,8 mm. Petites mains et yeux
de faucon obligatoires ! Bon point, cette machine est créditée d’une autonomie maximale de
10 heures et peut sortir de veille en seulement 3 secondes.
Le NetWalker pourra intéresser les professionnels itinérants qui ne peuvent s’encombrer d’une machine de grande taille. Restent deux
inconnues : le clavier permettra-t-il une frappe correcte et la machine sera-t-elle distribuée en Europe ? Pour le moment, Sharp ne prévoit
de livrer son NetWalker qu’au Japon, en septembre et au prix de 44 800 yens (environ 332 euros HT).
Projets IT : Bison Fûté roule
roule en temps réel avec Capgemini
http://www.lemagit.fr/article/capgemini-bi-projets-bison-fute/4065/1/projets-bison-fute-roule-temps-reel-avec-capgemini/
Le ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement Durable et de l’Aménagement du Territoire (Meeddat) a confié à la division
Ouest de Capgemini son projet de système unique de gestion en temps réel du trafic routier pour Bison Fûté. « Tipi », nom de la solution
qui sera mise en œuvre, est 100% basé sur le logiciel libre et remplacera, pour les centres régionaux d’information et de coordination
routière, un parc de 15 applications.
Tipi permettra de recueillir, de traiter et de diffuser en temps réel les informations relatives à l’état du trafic (bouchons, accidents,
manifestations, intempéries, travaux…) en se basant notamment sur des données provenant des stations de comptage automatique du
trafic, de caméras de surveillance ainsi que des forces de police et de gendarmerie.
Ce projet constitue l’une des toutes premières applications d’envergure de la nouvelle norme européenne relative à l’échange
d’information routière, DATEX2.
Sopra met en œuvre la BI du nucléaire d’EDF
http://www.lemagit.fr/article/sopra-bi-projets-edf/4064/1/projets-sopra-met-uvre-nucleaire-edf/
Le nucléaire français a désormais son outil d’aide à la décision. La direction Production Ingénierie d’EDF – qui refond l’ensemble de son SI
- a confié cet été à Sopra le soin de s’occuper de la partie BI. La SSII sera chargée d’implémenter des solutions Business Objects et
Informatica afin de permettre d’élaborer des tableaux de bord et des modèles d’analyses utilisés par la Direction Production Ingénierie
d’EDF ainsi qu'en support des processus opérationnels.
Le contrat est d’un montant prévisionnel de plusieurs millions d'euros. Un premier pilote sera mis en place en mars 2010 avec un objectif
de déploiement en 2011 dans les 19 centrales nucléaires françaises et les entités de support d’EDF.
Spacebook : un PC portable à double écran commercialisé à la fin de l’année
http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39705427,00.htm?xtor=EPR-100
Conçu par la firme canadienne gScreen, le Spacebook se compose de deux écrans 15,4 pouces LED qui coulissent
horizontalement l’un derrière l’autre. Il sera distribué d’ici la fin de l’année dans le monde via Amazon.com.
Pour la première fois, un PC portable va proposer deux
« vrais » écrans complets. Le Spacebook, mis au point
par gScreen, est doté deux écrans 15,4 pouces LED qui
se glissent l'un derrière l'autre de sorte que fermé, il
ressemble à n'importe quel autre portable.
Une machine destinée avant tout à des professionnels
ayant besoin de travailler sur plusieurs applications,
comme dans la finance par exemple. Sous le capot, le
Spacebook propose une configuration solide avec un
Core 2 Duo P8400 à 2.26-GHz, un disque dur 7200 t/mn
de 320 Go, 4 Go de mémoire vive, une carte graphique
NVIDIA (GeForce 9800M GT ou Quadro FX 1700M). Le
tout animé par Windows Vista ou XP Pro (une option) et
alimenté par une batterie lithium-ion à 9 cellules.
La configuration est susceptible de changer d'ici la sortie du produit en fonction du coût et de la disponibilité de certains composants.
gScreen ne communique ni sur le poids ni sur l'autonomie de sa machine qui pourraient bien être ses points faibles. Rien n'est dit non
plus quant au prix, mais certains sites spécialisés avancent un budget de $3 000.
La bonne nouvelle en revanche, c'est la disponibilité mondiale immédiate dès la sortie du Spacebook programmée dans le courant du
dernier trimestre. Dans un premier temps, c'est la plateforme américaine d'Amazon qui vendra le produit à l'étranger avant que ses
entités locales ne prennent le relais (Allemagne, Angleterre, Canada, France, Japon).
Chiffres clés : les accès internet en France
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39705469,00.htm?xtor=EPR-102
Selon l'Arcep le nombre d'abonnements à internet en France était de 18,674 millions à la fin 2008, marquant une
croissance de seulement 8,3% par rapport à 2007. La part des accès bas débit est tombée à moins de 1 million ; elle était
de 5,3 millions en 2004.
2004
2005
2006
2007
Prévisions
2008
Evolution
2007/2008
Bas débit
5,377
3,746
2,557
1,496
0,983
- 34,3%
Haut débit
6,561
9,471
12,711
15,752
17,691
12,3%
dont accès xDSL
6,103
8,902
12,032
14,974
16,803
12,2%
Abonnements Internet
11,938
13,217
15,268
17,248
18,674
8,3%
Source : ARCEP, Observatoire des CE - Enquêtes annuelles de 1998 à 2007, enquêtes trimestrielles pour 2008 (estimations provisoires)
La reconnaissance de caractères bientôt disponible partout ?
http://www.silicon.fr/fr/news/2009/08/31/la_reconnaissance_de_caracteres_bientot_disponible_partout__
ABBYY propose une solution qui permettra d’installer un moteur de reconnaissance de caractères dans n’importe quel
produit du monde de l’électronique embarquée.
Avec FineReader Engine for Embedded OS, ABBYY dévoile un kit de développement permettant d’apporter des fonctions de
reconnaissance de caractères à tous les terminaux embarqués. Un processeur 32 bits et un maximum de 3,5 Mo de mémoire vive
seront suffisants pour exploiter ce moteur.
« Nous comptons sur ce nouveau SDK pour généraliser l’utilisation des technologies de reconnaissance. Les avantages de l’OCR et des
autres technologies de reconnaissance ne se limitent ainsi plus aux PC et serveurs », explique Andrey Isaev, directeur du technology
products department d’ABBYY. « En intégrant notre technologie, les constructeurs vont pouvoir produire des terminaux intelligents
capables de capturer automatiquement les informations de documents imprimés et d’images, réduisant ainsi les opérations manuelles et
rationalisant la gestion documentaire. »
Le FineReader Engine for Embedded OS fonctionne sur la plupart des systèmes d’exploitation (Windows, Windows CE, Linux, VxWorks,
etc.) et plates-formes processeur du marché (x86, ARM, PowerPC, etc.). Vingt-trois langues sont supportées par défaut, dont le
français. La compagnie précise que d’autres plates-formes, OS et langages peuvent être ajoutés sur demande.
Ce kit permet aussi d’enregistrer directement le document généré dans un fichier PDF (ou PDF/A pour l’archivage). Une solution
idéale pour la gestion électronique des documents. Si cette annonce peut sembler mineure, elle pourrait pourtant changer durablement le
monde des appareils électroniques grand public : imaginez une imprimante multifonction, un copieur ou même un smartphone, capable
de transformer directement une page en un document texte !
Officiel : eBay boucle la revente de Skype
http://www.itespresso.fr/officiel-ebay-boucle-la-revente-de-skype-31073.html
eBay cède les activités de Skype à un pool de fonds d'investissement. Montant de la transaction: $1,9 Bn en cash.
eBay se sépare officiellement de Skype. Le groupe Internet vient de céder sa filiale qui exploite le célèbre logiciel de téléphonie sur IP à
un pool de fonds d’investissement. Alors qu’une procédure d’introduction en Bourse avait été initialement envisagée pour se débarrasser
de cet actif jugé trop encombrant.
Ce groupe d’investisseurs, qui a comme chef de file Silver Lake, réunit Index Ventures (qui avait parié très tôt sur l’essor de la start-up
Skype), Andreessen Horowitz (un nouveau fonds sous la houlette du fondateur de Netscape) et the Canada Pension Plan (CPP)
Investment Board (qualifié “d’organisation professionnelle pour la gestion d’investissement”).
Montant de la transaction : 1,9 milliard de dollars en cash. Les fonds d’investissement, nouveaux propriétaires de Skype, détiendront 65%
du capital. eBay gardant une participation d’environ 35%. Avec cet accord, les activités de Skype sont valorisées 2,75 milliards de dollars.
La finalisation de l’accord entre les différentes parties devraient être conclue dans le courant du quatrième trimestre 2009.
C’est une page de l’histoire de Skype qui se tourne : quatre ans après son acquisition par eBay, le service le plus populaire du secteur de
la voix sur IP reprend son indépendance.
Avec Smart Business Desktop Cloud, IBM veut standardiser le service de bureau virtuel
http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39705499,00.htm?xtor=EPR-100
IBM tente un coup sur le marché du Cloud Computing en proposant un service complet de virtualisation de bureau
d’utilisateurs, moyennant un abonnement mensuel. Une offre à destination de grandes et moyennes entreprises aux
Etats-Unis et en Europe.
IBM vient de présenter Smart Business Desktop Cloud, service de virtualisation de bureau qui sera disponible à partir d'octobre. Le
service propose la création d'une image du bureau d'un utilisateur avec ses applications qui sera ensuite hébergée sur des serveurs IBM
basés en Caroline du Nord et en Allemagne.
L'employé aura accès à son espace de travail depuis un navigateur Internet sur n'importe quel ordinateur. IBM cible les grandes et
moyennes entreprises ayant des environnements informatiques assez standardisés, comme les centres d'appel par exemple. Le tarif de
l'abonnement mensuel n'a pas été précisé mais l'on sait qu'il faudra le souscrire pour un minimum de 50 postes de travail et que les prix
dépendront de la quantité de ressources allouée.
Jusqu'à présent, IBM proposait de telles solutions au cas par cas, mais pas de manière standardisée. Et si certaines entreprises ne
souhaitent pas que leurs bureaux virtuels soient hébergés à l'extérieur, IBM proposera le service en implantant les serveurs sur site.
EMC et Cisco pourraient
pourraient former une coco-entreprise
http://www.lemagit.fr/article/virtualisation-serveurs-datacenter-cisco-emc-reseau/4108/1/rumeur-emc-cisco-pourraient-former-une-entreprise/
Selon notre confrère The Register, EMC et Cisco auraient décidé de s'unir au sien d'une co-entreprise qui encadrerait le développement et
la commercialisation d'une solution commune pour le datacenter, combinant stockage, réseau et serveur.
Si pour l'heure, l'information n'a pas été confirmée par les deux supposés partenaires, le recrutement de forces commerciales aurait déjà
débuté, expliquent également nos confrères.
VMware, la filiale virtualisation d'EMC, ne ferait pas partie du deal. Il ne s'agirait donc pas d'un reformatage de l'annonce faite lors de
EMC Forum début août et portant sur un partenariat entre Cisco, EMC et VMware autour du développement d'outils pour le Cloud
Computing.
Selon certains analystes, cette alliance pourrait combiner UCS (Unified Communication System) de Cisco – une gamme de serveurs lames
x86 intégrant virtualisation et réseau – aux pharaoniques outils de stockage d'EMC.
Rappelons également que, depuis plusieurs mois, des rumeurs attribuent à Cisco la volonté de racheter EMC.
Capgemini et Arisem partenaires dans le text mining
http://www.journaldunet.com/breve/41516/capgemini-et-arisem-partenaires-dans-le-text-mining.shtml
Le groupe de conseil et de services IT a conclu un partenariat d'intégration avec le fournisseur de solutions de veille Arisem. Selon les
termes de l'accord, Capgemini intégrera l'offre de text mining et de traitement sémantique d'Arisem dans l'outil Open Source de gestion
de contenu Drupal. Des fonctionnalités de structuration et de gestion de la connaissance sous forme d'ontologies seront également
proposées aux utilisateurs de cette solution.
Gmail en rade pendant deux heures
http://www.silicon.fr/fr/news/2009/09/02/gmail_en_rade_pendant_deux_heures
Le service de courrier électronique de Google était une nouvelle fois paralysé hier soir. Deux heures de panne que
Mountain View justifie par une opération de maintenance.
«Je vous présente à tous nos excuses. Hier matin (heure du Pacifique) nous avons mis hors ligne une petite partie des serveurs Gmail,
pour réaliser une maintenance de routine. Mais nous avons un peu sous-estimé la charge associée à certaines modifications récentes sur
les routeurs qui gèrent le trafic Gmail, et qui, ironie du sort, étaient conçues pour améliorer la disponibilité du service », a commenté sur
son blog, Ben Treynor, vice-président responsable de l’ingénierie de Google.
Ce 1er septembre à 22h (heure française), Gmail ne répondait plus pour la majorité des utilisateurs dans le monde entier. Mountain View
explique donc cette panne par une maintenance qui aurait mal terminée. Le problème serait survenu en redirigeant son trafic vers
d’autres serveurs lors de l’intervention. Une manipulation habituelle sensée rendre anodine le travail de maintenance, mais hier les choses
ne se sont pas passé comme prévues. Une avarie similaire avait déjà frappé le service de webmail en février dernier. En mai, les services
de Google essuyaient une nouvelle panne majeure. Des événements qui s’ajoutent à la liste noire de la qualité des services de Google.
Avec plus de 80 millions d’utilisateurs dans le monde, citoyens ou entreprises, les incidents de Google ne peuvent pas être inaperçus.
Environ un million de sociétés sont abonnées aux services Google Apps. La multiplication des pannes depuis le début de l’année remettrat-elle en question la confiance attribuée au géant d’Internet?
Websociety propose le « taxitaxi-covoiturage » sur iPhone
http://www.silicon.fr/fr/news/2009/09/02/websociety_propose_le___taxi_covoiturage___sur_iphone
Depuis le 1er septembre, une nouvelle application disponible sur l'iPhone, permet de partager le prix d’une course de
taxi avec un autre utilisateur, localisé grâce au smartphone.
On pourrait dire que c’est une énième application pour iPhone. Mais celle-ci part d’un bon sentiment. Lutter contre le réchauffement
climatique et faciliter la vie des voyageurs. « Eco Taxi», édité par la firme Websociety, a pour but de mettre en contact les utilisateurs de
smartphones, désirant faire un trajet similaire en taxi.
Conséquence : le coût de la course se voit divisé par deux, et l’usager peut également gagner du temps, si son partenaire de
transport est mieux placé que lui dans la file d’attente. Un service qui peut se révéler particulièrement utile au sortir des gares et
aéroports, sachant qu’un million de personnes par jour prennent le taxi en France.
Le principe de « taxi-covoiturage » est donc de réduire les émissions de gaz à effets de serre, en regroupant les usagers en partance
pour une même destination. Pour cela, l’utilisateur du smartphone doit s’inscrire en précisant le lieu et son heure de départ. Ensuite,
l’application lui indique sur une carte la personne la plus proche, désirant se déplacer au même endroit que lui.
Websociety, développantt de moyens numériques pour lutter contre le réchauffement climatique, voudrait créer prochainement, une
autre application iPhone, toujours dans la même logique: celle du covoiturage. Et pour continuer dans les bonnes intentions, la société
reversera 10% du chiffre d’affaires généré par la vente d'Eco Taxi, à des associations de protection de l’environnement.
Chapeau bas pour cette création française, disponible également en anglais. Reste à savoir si les chauffeurs de Taxis ne verront pas d'un
mauvais œil cette application qui au final, pourrait réduire le nombre des courses, si elle s'avérait être un succès.
Frédéric Mitterrand instaure une mission pour développer l’offre légale sur Internet
http://www.itespresso.fr/frederic-mitterrand-instaure-une-mission-pour-developper-loffre-legale-sur-internet-31088.html
Le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand met sur pied une mission présidée par le fondateur du label Naïve pour
améliorer les offres légales de contenus sur Internet.
Pour compléter la loi Création et Internet et le projet de loi Hadopi 2 concernant le volet répressif, et ainsi ralentir le téléchargement
illégal, Frédéric Mitterrand souhaite que le marché légal du téléchargement d’œuvres sur Internet s’ouvre plus largement. Dans cette
optique, le ministre de la Culture et de la Communication a décidé de lancer une mission afin d’améliorer et d’enrichir l’offre légale de
films et de musiques disponible sur le Web. Celle-ci devra remettre à Frédéric Mitterrand une série de propositions avant le 15 novembre.
Présidée par Patrick Zelnik, le fondateur du label Naïve et président d’Impala, le syndicat européen des sociétés phonographiques
indépendantes, cette mission rassemble également Jacques Toubon, ancien ministre de la Culture, et Guillaume Cerutti, le P-DG de la
maison de ventes aux enchères Sotheby’s France.
En mettant en place cette mission, Frédéric Mitterrand montre qu’il planche déjà sur l’après-Hadopi. Il avait promis au début de l’été qu’il
allait “lancer rapidement une concertation aussi vaste que les Accords de l’Elysée réunissant internautes, créateurs et professionnels.”
La création de cette mission destinée à faire barrage au piratage en modifiant le comportement des internautes via la mise en place d’une
offre légale pléthorique, riche et facilement accessible intervient au moment où le volet Hadopi 2 devrait faire l’objet d’un vote solennel à
l’Assemblée nationale à la mi-septembre.
Le top 40 des logiciels open source
http://www.indexel.net/actualites/le-top-40-des-logiciels-open-source-2924.html
Le magazine Infoworld publie un palmarès des 40 meilleurs logiciels open source du moment. L'occasion de faire un
point en cette rentrée où les budgets IT sont de plus en plus serrés.
Quels sont les logiciels open source les plus populaires ? Le magazine américain Infoworld répond à cette question en publiant une
sélection des 40 "meilleurs" logiciels open source. Ceux-ci sont répartis dans quatre catégories : outils de développement, progiciels,
réseau, infrastructure et middleware. Un classement qui vient compléter celui de l'Observatoire des logiciels libres.
Parmi les outils de développement web les plus populaires retenus par Infoworld, BrowserShots.org simule le rendu d'un site web
dans une centaine de navigateurs via une simple URL. Les développeurs de sites web peuvent également s'appuyer sur jQuery, une
librairie Ajax. Pour des développements de plus bas niveau, Infoworld conseille d'utiliser WebKit pour intégrer un moteur de rendu HTML
à ses logiciels. Enfin, ce top 40 met en avant deux clones d'outils Google : OpenStreetMap (Google Maps) et Piwik (Google Analytics).
Infoworld retient différentes briques d'infrastructure web, notamment Drupal et Wordpress pour les outils de gestion de contenu
(CMS), Nginx comme serveur web, et les différentes appliances Turnkey Linux (Tomcat, LAMP, LAPP, MySQL, PostgreSQL, Django, Rails,
Drupal, et WordPress).
Les développeurs d'applications traditionnelles s'appuieront plutôt sur l'atelier NetBeans de Sun. Initialement conçu pour les
développements Java, il supporte désormais de nombreux autres langages : C, C++, Python, Ruby, PHP, XML et HTML. Infoworld retient
également Eclipse Web Services Tools qui facilite la création de services web dans l'atelier de développement Eclipse IDE. Les
développeurs .NET disposent également d'un socle d'exécution open source avec Mono, soutenu par Novell. Parmi les différents outils
SOA / BPM, Infoworld retient l'infrastructure Intalio BPM (BPMS), le moteur de règles Drools, le bus de service Mule ESB et
l'infrastructure SOA WSO2 Carbon.
Dans la catégorie des progiciels, Compiere s'impose encore une fois comme la référence des ERP open source, mais Openbravo ERP fait
aussi son entrée dans le classement. Infoworld retient aussi SugarCRM (gestion de la relation client) et Magento (commerce
électronique). Deux fonctionnalités déjà prises en charge par Compiere. Enfin, Dimdim facilite les conférences à distance et Kamailio
permet de déployer un serveur SIP.
Côté décisionnel, Infoworld retient les suites décisionnelles JasperSoft BI Suite et Pentaho BI Suite, secondées par Talend Open Studio
(ETL), Hadoop and Hive (data warehouse), et jitterbit (migration de données). Les outils de virtualisation qui se distinguent sont
OpenVZ, VirtualBox et Xen, l'hyperviseur commercialisé par Citrix. Côté réseau, Cacti, Nagios, OpenNMS et Zenoss sont les outils de
supervision les plus appréciés tandis que Untangle et IPCop fournissent des solutions de sécurité évoluées.
Google souhaite diffuser sur YouTube des films payants
http://www.tdg.ch/actu/economie/google-discussions-diffuser-youtube-films-payants-2009-09-03
Le géant internet Google est en discussions avec plusieurs majors du cinéma pour pouvoir proposer via sa filiale YouTube
le visionnage de contenus payants.
Google discute avec les studios Lions Gate Entertainment, Sony et Warner Bros pour pouvoir proposer des films récents sur YouTube
moyennant une location à la demande, selon des sources proches du dossier citées par le quotidien.
YouTube a fait son succès parmi la communauté d'internautes en proposant des contenus gratuits, financés par la publicité.
La plate-forme d'échanges de vidéos, qui a sensiblement élargi son offre de contenus depuis son acquisition par Google en 2006 via des
partenariats, propose aujourd'hui certains films de ces studios en accès gratuit, mais il s'agit de sorties anciennes.
Les négociations en cours prévoient que certains films sortant en DVD puissent être ainsi accessibles le même jour en visionnage sur
YouTube. Ces nouveautés pourraient être visionnées pour un prix unitaire de 3,99 dollars, soit le même prix que propose le géant
informatique Apple sur son site iTunes pour un film.
Selon le journal, la notion d'ancienneté à partir de laquelle un film serait gratuit ou deviendrait payant n'est pas claire.
Un porte-parole de YouTube a indiqué au quotidien américain des affaires que le groupe cherchait toujours à développer "ses bonnes
relations avec les studios de cinéma" et "les types de vidéos proposées" à ses usagers.
GoProd a déposé une offre pour la reprise de Violet (Nabaztag)
http://www.zdnet.fr/actualites/telecoms/0,39040748,39705751,00.htm?xtor=EPR-100
Cette start-up, dont Iliad, la maison mère de Free est actionnaire, a présenté une offre visant à faire perdurer l'activité.
Les lapins Nabaztag ont peut-être trouvé un chevalier blanc. Rappelons que le sort de Violet, la société qui commercialise le célèbre lapin
communiquant, sera fixé le ce vendredi. En redressement judiciaire depuis juin, la société est à la recherche d'un repreneur.
Selon nos informations, la start-up GoProd a présenté une offre visant à faire perdurer l'activité. Cette jeune pousse, soutenue
financièrement par Iliad (la maison mère de Free) propose aux professionnels de développer et mettre en place des solutions liées aux
systèmes de l'information et aux nouvelles technologies. On lui doit notamment BabyGo.fr, le moteur de recherche pour les enfants ou
encore FreeAngel, le logiciel de contrôle parental destiné aux abonnés de Free. Le FAI et Violet ont d'ailleurs déjà travaillé ensemble
autour de projets communs. Ainsi, le lapin fait office de répondeur pour la Freebox...
"GoProd s'engage à passer en opensource tous les codes liés au nazbatag/tag et mir:ror afin de permettre à la communauté qui anime
ces produits de faire ce que bon lui semble. GoProd a déjà débuté de la R&D sur le fonctionnement du lecteur RFID mir:ror. Ce dossier
sera probablement le plus solide d'un point de vue technique et pérennité des produits. Toutefois il est fort probable que les autres
dossiers soient plus intéressants d'un point de vue économique sans garantir la survie du lapin et du lecteur", nous explique Adrien
Touati, actionnaire de GoProd.
Rien ne dit en effet que l'offre de GoProd sera acceptée par la justice. Le projet visant à faire perdurer l'activité aura fatalement un coût
qui devra être pris en compte dans la proposition financière. "C'est désormais au juge commissaire de faire son choix parmi les dossiers
qui parviendront à l'étude de Maitre Martinez", poursuit l'actionnaire. Selon l'appel d'offres publié ce lundi, Violet a réalisé un chiffre
d'affaires de 2,2 millions d'euros à fin 2008 contre 3,2 millions d'euros un an plus tôt. La société compte 15 salariés.
Interrogé par ZDNet.fr, Rafi Haladjian, fondateur de Violet, expliquait les raisons de ce redressement judiciaire : "Violet pour vivre est à
90% dépendant des réseaux de grande distribution dans le monde. Nos seuls revenus proviennent de la vente d'objet puisqu'ensuite leur
utilisation est gratuite. Or depuis le début de la crise, c'est-à-dire il y a un an maintenant, la plupart des acheteurs de la grande
distribution (en particulier en dehors de France) et les grossistes ont pris des positions extrêmement frileuses. Ce n'est pas évident du
tout d'être une a) une startup b) innovante c) dans le consumer électronique d) français en situation de crise économique".
Motorola lance une nouvelle technologie de portefeuille électronique pour mobile
http://securite.reseaux-telecoms.net/actualites/lire-motorola-lance-une-nouvelle-technologie-de-portefeuille-electronique-pour-mobile-20769.html
Motorola a développé une nouvelle technologie afin de transformer un téléphone mobile en moyen de paiement. Le constructeur
américain devrait réaliser ses tests à Taïwan avant de s'attaquer à la Chine continentale.
Le produit est une carte NFC (Near Field Contact), qui a presque la taille d'une carte SIM classique, mais beaucoup plus fine. Cette carte
peut contenir des informations telles que carte de crédit, carte de débit, carte de transport, carte de fidélité pour une compagnie
aérienne, etc ... L'objectif est de transformer le mobile en moyen de paiement universel. Afin de régler un achat, on passera le mobile sur
un lecteur sans contact.
Un point important de la carte de Motorola est qu'elle peut être collée sur une carte SIM traditionnelle, et s'insérer dans l'emplacement de
la SIM du mobile. Il devient alors inutile de changer de carte SIM, de téléphone mobile, ou le lecteur.