Énergie sacrée des cathédrales

Transcription

Énergie sacrée des cathédrales
René et Claudine Bouchet
Énergie sacrée
des cathédrales
TrajectoirE
Éditions
Introduction
_____
L’érection des tout premiers mégalithes, qui ouvre une période de plusieurs millénaires, est encore contemporaine des derniers siècles de l’archipel Atlantéen qui s’est englouti, peu à peu, dans l’océan Atlantique,
sans aucun doute la conséquence directe d’expériences du genre thermonucléaire et inconsidérées de certains de ses initiés qui ont confondu
hermétisme et magie !
L’Atlantide n’était donc pas un continent formé d’un seul bloc, mais un
ensemble géographiquement fort disséminé d’archipels d’îles fort éloignées les unes des autres, ce qui explique la diversité des races qui s’y
sont exprimées, selon les latitudes de leur habitat.
De nos jours, tout cela se voit confirmé peu à peu grâce aux recherches
archéologiques modernes qui sont effectuées dans les fonds marins de
l’Atlantique, de la mer du Nord et de la Manche.
Le rameau des Atlantes de race blanche, ceux habitant les îles nordiques
de l’Atlantide, entre l’Irlande et Terre-Neuve, a jalonné par les alignements
de Carnac, la ligne de pénétration qu’ils ont suivie pour entrer en Celtique
continentale. Les sages rescapés de la longue série de cataclysmes qui
ont englouti Atlantis ont déterminé les courants telluriques qui sillonnent
le sous-sol de notre planète et les ont balisés par les monuments mégalithiques.
Les célèbres alignements de pierres dressées, tant à Carnac qu’à Kermario,
nous fournissent des précisions qui nous permettraient d’assigner à ces
ensembles mégalithiques toute une chronologie remontant au cours des
âges.
Les menhirs ou les pierres levées ont principalement été dressés au point
exact où se croisent un courant hydraulique souterrain et un courant tellurique.
C’est ainsi que, très souvent, on en voit à proximité de sources et de rivières et ces mégalithes marquent donc, généralement, les lieux devenus
curatifs par l’eau radioactive en raison de l’action électromagnétique des
ondes telluriques souterraines.
8  Énergie sacrée des cathédrales
Cette eau alimente les puits qu’on trouve souvent à l’intérieur des églises
et cathédrales, comme à Notre-Dame de l’Épine, ou dans le jardin qui les
entoure, à Notre-Dame de Paris, Reims ou Quimper, et que les autorités
religieuses de tutelle ont qualifiée, de tout temps, de « miraculeuse ».
Les menhirs radient le jour les forces magnétiques déterminées par les
courants telluriques et agissent dans le même sens, alors que la nuit,
ils deviennent récepteurs des forces électriques provenant de l’univers
interstellaire.
Cela explique le fait qu’ils soient souvent associés à des grandes cathédrales, généralement qualifiés de vaisseaux cosmiques, comme c’est le
cas à Saint-Julien du Mans où l’on peut constater la présence d’un menhir
encastré dans l’un des murs extérieurs de l’édifice.
Les dolmens sont toujours dressés là où le courant tellurique se ramifie
– comme un nerf – en deux ou trois, voire plusieurs rameaux, ce qui sera
indiqué par le nombre de pieds supportant le monument mégalithique.
Parfois, ils ont été dressés à titre commémoratif, lors de grands événements.
Ces courants se ramifient à l’extrême et, sur leurs trajets, on retrouve tous
les lieux radioactifs de France… Certains sont curatifs par les seules émanations de leur fluide électromagnétique, et là, nous rencontrerons des
abbayes, des chapelles, des basiliques, des collégiales et des cathédrales,
toujours vouées par l’Église romaine à des saints dont l’intercession invoquée là produit parfois des guérisons qualifiées de miraculeuses, c’està-dire très rapides dans lesquelles n’entre en compte aucun traitement
médical. Notamment, on peut constater de tels « miracles » à la célèbre
basilique Sainte-Madeleine de Vézelay.
Les dates mêmes des moments de plus forte intensité radioactive, connues
des initiés, sont devenues des jours de célébration religieuse et, les siècles
passant, le christianisme s’étant implanté en Gaule, des monuments fermés, des cathédrales y ont été élevées, succédant aux mégalithes dont la
plupart avaient déjà été christianisés.
L’autel chrétien sur lequel se célèbre le sacrifice symbolique du « pain et
du vin » s’est superposé ou a remplacé le fruste dolmen, et l’invocation
aux forces naturelles, à la Terre, mère toujours vierge, a été remplacée par
celle adressée à Marie, la mère du Christ solaire, souvent identifiée avec
l’antique Vierge noire, comme celle de Notre-Dame de Clermont-Ferrand
et qui a été construite à l’échelle du nombre d’or.
Introduction  9
Au cours des âges, la technique se perfectionnant et le druidisme étant
contraint d’entrer dans la clandestinité, il a dû remettre au point ses modes
d’enseignement et ses conceptions sur la cosmogonie.
C’est dans le tracé régulateur des célèbres cathédrales et le symbolisme
de leurs ornementations que s’est exprimée une science fort étendue,
dont les données devaient pouvoir se transmettre aux initiés, sans qu’un
livre écrit ne puisse tomber entre les mains des profanes.
Cette gageure inouïe a été tenue : parvenir, durant des siècles, à transmettre
des symboles numériques et tout un enseignement philosophique, sans
qu’une seule phrase, sans qu’un seul mot ne soit couché sur le papier.
Toute la science possédée par les druides et leurs successeurs, s’est inscrite dans de gigantesques constructions aux proportions, toujours calculées harmonieusement et visibles de tous.
Gageure inouïe, si l’on songe qu’à l’époque où les cathédrales ont été
construites, et longtemps encore après, il était tenu pour hérétique et
passible du bûcher de concevoir un monde évolutif dont la terre n’était
qu’un atome, et non pas un centre avec l’être humain unique objet des
préoccupations du Créateur.
L’étude de radiesthésie initiatique des cathédrales apporte, sans nul
doute, des clartés sur les rapports existant entre leur architecture et leurs
influences, tant cosmiques que telluriques.
Les architectes et les constructeurs de toutes ces splendides cathédrales
se transmettaient la science antique de nos ancêtres par l’initiation
compagnonnique :
– charpentiers du père Soubise,
– tailleurs de pierre du devoir de maître Jacques,
– ymagiers, maîtres verriers ou sculpteurs et décorateurs, qui étaient chargés d’exprimer, par des motifs décoratifs, tout l’enseignement ésotérique
du thème développé en l’architecture d’un monument conçu par les
maîtres d’œuvre.
Ces cathédrales, qui transmettent encore aux seuls initiés une science
totalement inconnue par ceux-là même qui officient en ces lieux sacrés,
même si certains de ces prêtres se doutaient de quelque chose de surnaturel, présentent partout cette particularité d’être élevées sur des « nœuds »
de courants telluriques et orientées dans le sens de leurs ondes.
L’orientation de ces monuments y est strictement subordonnée à la force
d’attraction émise par ces courants qui augmentent la cohésion des matériaux, mesurés, taillés et appareillés selon des règles strictes, toujours
10  Énergie sacrée des cathédrales
concordantes avec les mesures cosmiques et leurs rapports présentant
une attirance magnétique capable d’en assurer la parfaite stabilité depuis
des siècles.
C’est le cas de toutes les cathédrales étudiées dans cet ouvrage.
René et Claudine Bouchet devant les chutes du Niagara (Canada)
(archive du CIDECD)
Chapitre 1
La croix celtique initiatique est à la base
du tracé régulateur des cathédrales
_____
Les compagnons des différentes confréries, qui ont construit les grandes
cathédrales, toujours placées sur l’emplacement d’antiques dolmens ou
menhirs, savaient par les druides que ceux-ci indiquaient la présence d’un
nœud de courants telluriques, ces mystérieuses ondes souterraines qui
favorisent la cohésion des matériaux lorsque l’on sait en utiliser les forces
de manière intelligente !
L’emplacement des tours marque le point d’entrée ou de sortie des courants, et leur hauteur est fonction de leur intensité, ce qui explique que
beaucoup de cathédrales ou d’églises soient pourvues de tours inégales,
comme c’est notamment le cas de Notre-Dame de Chartres.
La croix celtique se trouve être réellement à la base du tracé régulateur
des cathédrales.
Pour s’en convaincre, il suffit d’ouvrir la page de garde du livre de Raoul
Vergez, cet ami de mon père, Paul Bouchet : La pendule à Salomon qui
comporte, en son milieu, la croix celtique, dont le cercle central inscrit
l’étoile à cinq branches ou étoile pythagoricienne.
Il est important de remarquer que cette étoile à cinq branches est
constructible à partir de notre croix celtique, comme en témoignent de
nombreux symboles vus dans les cathédrales.
12  Énergie sacrée des cathédrales
La pendule à Salomon
(Raoul Vergez)
Et, à ce propos, on peut d’abord constater que la méthode de construction de l’étoile à cinq branches, qui figure dans tous les manuels et les encyclopédies, ne permet d’obtenir que des mesures approximatives. Quel
que soit le soin apporté avec des compas de précision, il y a toujours un
très léger écart.
Utilisons donc notre croix celtique.
Le cercle de Keugant (D = 81) marque la limite d’activité de l’être humain
incarné sur Terre. Par ailleurs, le cercle de la matière d’Annuim (prononcer
« Annouin ») marque le début de toute vie, au sortir de Cythraul (le néant).
La croix celtique initiatique  13
L’homme incarné provient d’Annuim, mais n’y pénètre plus au cours de
son existence terrestre. À partir de ces deux notions de base, il apparaît que le symbole traditionnel de l’être humain incarné doit toucher
Annuim, mais ne peut plus y pénétrer.
Traçons une tangente à ce cercle qui sera limitée par le cercle de Keugant,
qui ne saurait être pénétré par l’être humain ou par son symbole…
À partir des deux points limités par le cercle de Keugant, traçons d’autres
tangentes et, en poursuivant cette construction, nous allons obtenir, sans
aucune difficulté, avec la seule aide d’une règle, une parfaite étoile à cinq
branches. Évidemment, cette construction est possible à n’importe quel
autre endroit, mais il est souhaitable qu’elle soit régulière, c’est-à-dire avec
la pointe placée en haut, selon la Tradition.
Dans L’homme pentagonal, de Léonard de Vinci, la pointe du haut correspond à la tête. Il est évident que la branche supérieure de notre croix,
présidée par la planète Mercure, doit la contenir.
Retenons les deux points qui marquent la limite inférieure de la branche
supérieure de notre croix, qui est elle-même limitée par les trois quarts de
cercles.
Par ailleurs, les deux points d’intersection du cercle d’Abred – nécessité de réincarnation – et de la partie supérieure horizontale de la croix
– traditionnellement, l’élément inerte fécondé par le « verbe lumineux »
vertical – sont fort importants.
Si nous joignons ces quatre points à ceux de gauche et ceux de droite, nous
obtenons deux droites qui se rejoignent sur le cercle de Keugant, au milieu
exact de notre croix, et qui sont tangentes au cercle d’Annuim.
Le reste de la construction est simple à réaliser.
Remarquons, de plus, que la partie horizontale de cette étoile – parallèle à
la branche horizontale de la croix – passe par les points d’intersection du
cercle d’Abred et de deux trois quarts de cercle, ce qui permet une autre
méthode de construction…
Notre croix celtique est le seul pentacle au monde sans aucun angle, d’où
sa force exceptionnellement bénéfique, notamment sur le plan médical…
Maintenant, il est temps de revenir à cette fameuse « pendule à Salomon »
dont le premier ensemble est inclus dans deux cercles concentriques,
entre lesquels se trouvent trente-deux cercles enfermant des ensembles
de signes très parfaitement hermétiques pour l’œil profane, et absolument clairs pour le compagnon averti.
14  Énergie sacrée des cathédrales
L’étoile à cinq branches dans la croix celtique, positionnée ici inversée, telle
qu’elle l’est dans la rosace nord d’Amiens
(dessin de Claude Rannou)
Qu’en dit Raoul Vergez ?
« Ce signe-là…, il en connaissait bien le nom : le chemin de Compostelle.
Il est toujours sculpté sur la façade des églises pyrénéennes, à Autun, à
Saint-Savin, à Tramesaigües, à Gavernie, à Cadéac, à Aragnouet. Jadis, il indiquait la route aux «pèlerins Saint-Jacquaires», jusqu’au col de Boucharo.
Et ce signe-là, il le sut plus tard, portait un autre nom bien étrange, «la
pendule à Salomon» ».
Compostelle…, le champ de l’étoile, sis en Galicie, terre celtique… Saint
Jacques le majeur, compagnon de Jésus, apôtre et martyr et, nous avons
parlé précédemment du mystérieux maître Jacques ?
C’est au fronteau de l’église d’Arreau que nous avons pu relever, sur l’indication de Jacques d’Arès alors secrétaire général d’Atlantis, le dessin du
chrisme : au centre d’un cercle, l’entrelacement des lettres grecques xi et
rhô, forme le monogramme du Christ – vocable connu des prêtres égyptiens – qui signifiait « le possesseur du secret ».
La croix celtique initiatique  15
Dans les angles latéraux de la figure ainsi formée, à gauche, l’alpha, écrit
en majuscule, à droite l’oméga, en minuscule, lettres dont la valeur numérale se lit : 800, 1, 809, 9, soit la triple manifestation dans les trois mondes,
ce qu’explique la croix celtique.
Jésus n’avait-il pas coutume de dire : « Je suis l’alpha et l’oméga. »
Un trait horizontal placé sous la boucle du rhô transforme son graphisme
en une épée avec sa garde et sa poignée : comment ne pas y retrouver
l’épée des chevaliers du Temple ?
Et, si l’on place encore, sur la partie inférieure de la tige du rhô, le signe en
forme de s, le serpent qui, dans la tradition druidique, représente la lumière
créatrice de vie et la connaissance, il devient alors aisé de retrouver les initiales p et s, qui sont à l’origine de la « pendule à Salomon »…
Pour construire rapidement la croix celtique, qui est la plus magnifique
et la plus complète de la cosmogonie occidentale des druides, traçons
d’abord trois cercles concentriques dont les diamètres sont respectivement de 9, 27, 81 millimètres et, sur le diamètre commun à ces trois circonférences, plaçons le rapporteur et marquons un point sur le cercle de
81 unités, à 12 degrés de part et d’autre des axes. Mais, si vous n’avez pas
de rapporteur, tracez une corde de 17 mm sur ce même cercle, soit donc
8,5 mm de part et d’autre des diamètres.
– 17 est la longueur de la corde d’un arc de 24 degrés sur une circonférence de 81 mm de diamètre.
– 24 degrés sera donc l’ouverture des branches de notre croix et nous
rappelle le degré d’inclinaison de l’axe polaire sur le plan de l’écliptique,
calculé il y a plusieurs milliers d’années, lorsque fut composée la croix
celtique par les Sages, avec l’ouverture d’un calendrier qui doit coïncider avec la date d’achèvement de la « grande pyramide ».
Puis, des quatre points tracés, tirons quatre cordes parallèles aux diamètres polaire et équinoxial. La croix, ainsi dessinée, forme au centre un
carré de 0,17 mm de côté.
Prenant successivement ces quatre angles rentrants comme centres de
cercles de diamètre de 9 mm, nous tracerons quatre cercles dont les trois
quarts mordront sur les branches de la croix et formeront notre croix celtique.
Reprenons alors le compas et traçons un cercle qui passera par les quatre
angles rentrants de la croix, les centres des quatre cercles dessinés formant le symbole initiatique du pentacle puis, des quatre points d’inter-
16  Énergie sacrée des cathédrales
section de ce cercle avec les deux axes de la croix pris comme centres,
nous décrivons quatre autres cercles de 9 mm de diamètre. Placés sur les
bras, ils seront exactement tangents aux quatre déjà dessinés et qui ont
formé l’aspect ésotérique – ou apparent – du pentacle.
Considérons la couronne de ces huit cercles cotangents, puis observons
leurs correspondances planétaires et chromatiques : dans l’angle inférieur
droit, entre l’ultra-violet et le bleu nous aurons :
– le violet et Neptune ;
– le bleu, sur la branche droite et Jupiter ;
– le vert et Vénus, angle supérieur droit ;
– le jaune et Mercure, angle gauche ;
– l’orange, angle supérieur gauche, Terre et Lune, son satellite ;
– le rouge et Mars, sur le bras gauche ;
– l’infrarouge (pourpre) et Uranus, l’angle inférieur gauche ;
– l’ultraviolet (noir) et Saturne, en bas du pentacle.
Ces huit radiations forment la lumière blanche : le Soleil au centre.
Or, nos Anciens en avaient projeté le symbole ésotérique sur la carte géographique de la Gaule, puis de la France, en l’inclinant de 24 degrés par
rapport au Nord magnétique, pour respecter l’ouverture des branches de
la croix. Mais dans quel but ?
Tout simplement de se mettre en harmonie avec les forces qui s’exercent
sur notre sol. C’est la raison pour laquelle le cercle central, celui de Gwenwed ou lumière blanche a pour centre la ville de Bourges, véritable centre
de la France.
N’oubliez pas que la reconquête du sol français par Jeanne d’Arc est partie
de cet endroit.
En effet, en 1422, à la mort des rois Charles VI et d’Henri V, le roi imposé
par le traité de Troyes n’a que deux ans et la régence est assurée en France
par le duc de Bedford et en Grande-Bretagne par le duc de Gloucester.
La légitimité du dauphin de France, le futur Charles VII, est donc on ne
peut plus contestée et il doit se réfugier à Bourges, ne conservant que la
fidélité des pays sis au sud de la Loire :
le Berry, le Limousin, le Poitou, la Touraine, l’Auvergne, le Languedoc,
Lyon et le Dauphiné, ce qui lui valut le surnom guère enviable de « roi de
Bourges ».
Les druides vont donc, utilisant les forces magnétiques du sol, apporter leurs
forces occultes au roi Charles VII qui les accepte sans grande conviction,
La croix celtique initiatique  17
tellement il se sent découragé ; son entourage n’est pas non plus très enthousiaste.
C’est pourquoi les druides ont dû le convaincre en lui rappelant, preuves
à l’appui, qu’ils ont toujours été présents aux moments critiques de l’histoire de notre pays.
Ainsi, nous retrouvons leur présence auprès de Geneviève de Lutèce, qui
a sauvé Paris, face à Attila ; puis auprès de Charles Martel qui, en l’an 732,
sur un autre lieu sacré druidique de Poitiers, le cercle rouge de Mars – sur
notre croix celtique projetée à partir de son centre, Bourges – a battu
les Arabes et a arrêté définitivement leur invasion de la France, avec une
toute petite armée de chevaliers.
En effet, les courants telluriques exercent sur tous les êtres vivants – humains, animaux et plantes – une influence tant physique que psychique.
Il est donc possible d’en utiliser les forces occultes et de créer un sentiment d’insécurité, voire de peur, dans l’esprit des troupes ennemies, ce
qui détruit toute leur confiance en elles et les incite à prendre la fuite.
C’est ce qui s’est passé à Poitiers où quelques chevaliers ont mis en déroute plusieurs milliers de Sarrasins.
Les druides ont donc apporté leur aide à Jeanne d’Arc et aux troupes
royales de Charles VII.
Il faut savoir que la croix celtique, qui est un symbole bienfaisant et protecteur par définition, peut également devenir un instrument d’attaque
et de défense, selon ce que veulent en obtenir les initiés, mais toujours en
vue de favoriser le Bien.
À ce propos, vous pourrez constater que la croix celtique, à cause de son
inclinaison de 24 degrés, est orientée au nord-ouest, en direction de l’Angleterre, le pays avec lequel la France a été en guerre pendant des siècles
et des siècles… Ce sont encore les druides qui ont indiqué à Jeanne le lieu
où l’épée de Charles Martel était cachée (enfouie derrière l’autel de l’église
de Sainte-Catherine de Fierbois, à quelques kilomètres de Poitiers).
En observant attentivement la carte de France sur laquelle est projetée
la croix celtique, vous constaterez que dans chacun de ces huit cercles,
nous y avons au moins une cathédrale ou un « haut lieu » sacré. Chacun
d’eux balise un carrefour tellurique important émettant des ondes précises, complémentaires les unes des autres…
À titre d’exemple :
– cercle central : Bourges, Châteauroux, Nevers, Vierzon, La Châtre et
Saint-Amand Montrond ;
Table des matières
Introduction . ............................................................................................................................................................ 3
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Chapitre 32
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
La croix celtique est à la base du tracé régulateur des cathédrales ..... 11
La cathédrale de Bourges ............................................................................................... 23
La cathédrale Notre-Dame de Chartres ................................................................. 39
La cathédrale Notre-Dame de Paris .......................................................................... 61
La cathédrale Notre-Dame d’Amiens . ..................................................................... 75
La cathédrale de Reims .................................................................................................... 79
La cathédrale Saint-Corentin de Quimper . .......................................................... 91
La cathédrale Sainte-Croix d’Orléans ....................................................................... 97
La cathédrale Saint-Samson de Dol-de-Bretagne .........................................101
Le mont Saint-Michel . .....................................................................................................105
La cathédrale d’Auxerre ..................................................................................................115
La cathédrale de Saint-Denis ......................................................................................119
La cathédrale de Senlis ...................................................................................................123
La cathédrale Notre-Dame de Noyon ...................................................................127
La cathédrale Notre-Dame de Laon .......................................................................131
La cathédrale Saint-Étienne de Meaux .................................................................141
La cathédrale Saint-Pierre de Beauvais .................................................................149
La cathédrale Saint-Étienne de Sens ......................................................................157
La cathédrale de Sées ......................................................................................................161
Les cathédrales de Bayeux et de Coutances .....................................................167
La cathédrale de Tréguier ..............................................................................................171
La cathédrale de Poitiers . ..............................................................................................175
La cathédrale de Clermont-Ferrand .......................................................................181
Les cathédrales de Saint-Jean de Lyon et Saint-Maurice de Vienne ..185
Les cathédrales de Maguelone et de Montpellier .........................................191
La cathédrale de Béziers ................................................................................................197
Les anciennes cathédrales du Midi .........................................................................199
Le décor de la cathédrale (sculptures et vitraux) ...........................................203
La cathédrale de Strasbourg .......................................................................................211
Les trois évêchés (Metz, Toul, Verdun) ...................................................................219
La cathédrale Saint-Étienne de Châlons-sur-Marne .....................................225
La cathédrale de Troyes ..................................................................................................229
La cathédrale de Rouen .................................................................................................233
La cathédrale d’Évreux ....................................................................................................235
La cathédrale du Mans . ..................................................................................................237
La cathédrale d’Angers . ..................................................................................................245
312  Énergie sacrée des cathédrales
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 39
Chapitre 40
Chapitre 41
Chapitre 42
Chapitre 43
Chapitre 44
Chapitre 45
Chapitre 46
La cathédrale de Nantes .............................................................................................................249
La cathédrale Saint-Cyr de Nevers ........................................................................................253
La cathédrale de Limoges . ........................................................................................................257
La cathédrale Saint-Étienne de Toulouse et ses voisines . ......................................259
La cathédrale Saint-André de Bordeaux ...........................................................................267
La cathédrale Sainte-Cécile d’Albi .........................................................................................271
Les cathédrales d’Autun, du Puy-en-Velay et de Rodez ..........................................273
La cathédrale de Gap ....................................................................................................................281
Les cathédrales du Midi ..............................................................................................................287
L’art celtique s’est exprimé dans les sculptures romanes et gothiques . .......293
Conclusion . ....................................................................................................................................................................303
Table des matières .........................................................................................................................................................311

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