Communiqué - SIX media marketing inc.

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Communiqué - SIX media marketing inc.
Communiqué
Pour diffusion immédiate
Le nouvel album disponible le 22 avril
Un disque d’une violence douce où l’écriture interroge l’intime. Alors osons :
si Arcade Fire voulait un jour chanter en français et dans le creux de notre
oreille, il se rebaptiserait La Maison Tellier…
Montréal, mars 2016 – Dès la première chanson – Cinq est le numéro parfait
– La Maison Tellier donne le ton de ce nouvel album, Avalanche, à paraître le
22 avril. Cinq musiciens à l’heure de leur cinquième album. « Chaque nouvel
album est le plus important, mais celui-ci, c’est un disque où on s’est révélés,
frottés à nous-mêmes. Le disque qui nous intéressait, pas celui qu’on pouvait
attendre de nous. » confie Yannick, le chanteur-auteur de La Maison Tellier.
La Maison Tellier n’y est pas allé par quatre chemins. « Sitôt le disque live
(Beauté partout) achevé, il y a eu un frémissement, de nouvelles envies.
Comme une sorte d’urgence, un besoin de s’y remettre là, maintenant, en se
consacrant uniquement à nos chansons. » Alors Yannick s’est plongé en
apnée dans les mots des futures chansons. Des mots comme autant de kerns
sur ce nouveau chemin. L’album précédent glorifiait le combat pour la beauté.
Celui-ci témoigne d’une quête. Une quête vers la joie. Comme certains sont
en quête de la foi. Une quête semée d’embûches, de doutes et d’angoisses
(J’ai rêvé d’avalanches, Haut, bas, fragile). De questions sans réponses (Où
sont les hommes ?). Une quête où la musique et l’amitié tiennent lieu d’armes
fatales (Cinq est le numéro parfait). Où l’amour (En toutes choses, Beautiful
Again), les femmes (Amazone) et la fête (23h59) viennent aider nos cinq
Chevaliers de la Table Ronde à s’approcher du Graal.
LA MAISON TELLIER
Avalanche
Source :At(h)ome
Informations : Simon Fauteux
[email protected]
Audrée Loiselle
[email protected]
SIX media marketing inc.
514 544-7013
C’est donc avec son calepin plein d’encre de notes griffonnées et de ratures
que Yannick était parti s’isoler dans le Massif Central, à la fin de l’été 2014, en
compagnie de Sébastien, le guitariste, pour une évasion studieuse et une
première phase de composition en duo. S’ensuivra une semaine de
cristallisation à la fin de l’hiver, à Essaouira cette fois, avec leur batteur
Hyacinthe, avant que Morgan et Frédéric (basse et cuivres) n’échafaudent les
projets d’arrangements de ce cinquième album. Une vraie opération
commando, menée avec méthode et rigueur, pour conserver la spontanéité
et la fraîcheur des nouvelles énergies.
Mais il manquait quelqu’un dans ce dispositif : « Parfois, lorsqu’on compose à
cinq, les forces peuvent s’annuler. Après dix ans de travail en vase clos, nous
avons compris qu’il fallait nous mettre entre les mains d’un réalisateur pour
faire le tri dans toutes nos idées, éviter de nous perdre et dégager la
cohérence sonore de notre musique. Quelqu’un qui puisse à la fois extraire le
meilleur de nous-mêmes, porter un regard extérieur et proposer de nouvelles
couleurs musicales. » explique Yannick.
Yann Arnaud (Air, Camille, Alex Beaupain, Syd Matters, Stephan Eicher) sera
celui-là : un accoucheur, une boussole, une lanterne au bout du tunnel qui
dessine le chemin esthétique. C’est au début de l’été parmi les murs chargés
de fantômes du studio de La Frette, au milieu d’instruments et consoles
vintage et dans un cadre acoustique unique, que La Maison Tellier et Yann
Arnaud vont créer leur zone de partage. L’alchimie prendra définitivement
forme au studio Mélodium de Montreuil. Le cinquième album de La Maison
Tellier sera « Avalanche ». Un recueil de musique cinématique, alternant les
plans séquences mélancoliques, les rodéos pop propulsés à la rythmique et
des scènes d’intérieurs au ciel électronique.
Si les arrangements envoient des clins d’oeil discrets aux influences de
toujours (John Barry, Ennio Morricone ou Calexico) les claviers de Julien Noël
recentrent le propos, encore un peu plus loin des cowboys. « Afin que l’on
redevienne / Des Indiens, des Indiennes », les guitares ont perdu leur côté
poilu et les cuivres ont gagné en discrétion dans des interventions pointillistes.
La courbe est subtile, mais le virage très net : toujours plus d’épure.
Une élégance presque classique, presque romantique.
70, rue Molière suite 201, Montréal
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