Programme Physique Chimique 1ère C D
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Programme Physique Chimique 1ère C D
PROGRAMME DE LA CLASSE DE PREMIERE C, D Forces – Travail – Energie Dans cette partie, les notions introduites en seconde, concernant les effets des forces sur le mouvement des solides seront plus approfondies. Nous montrons notamment que la force est liée au changement de vitesse. A partir de la notion de travail d’une force, nous introduisons une grandeur fondamentale : l’énergie. Celle-ci peut prendre différentes formes et selon les situations, ces différentes formes sont susceptibles de se transformer les unes dans les autres. L’objectif est ainsi de progresser vers l’idée de conservation Sa conservation constitue une des lois les plus générales de la physique. OBJECTIF Définir le vecteur vitesse d’un point mobile Connaître les propriétés du centre d’inertie d’un solide Définir un mouvement de translation d’un solide Définir et caractériser un mouvement de chute libre Enoncer les lois de chute libre CONTENUS Mouvement de translation d’un solide Mouvement d’un solide indéformable Vitesse d’un point du solide Centre d’inertie d’un solide Mouvement de translation d’un solide Chute libre d’un solide sans vitesse initiale Vitesse d’un solide tombant en chute libre Forces s’exerçant sur un solide Forces extérieures Résultante de forces Les lois de Newton : Première loi : principe de l’inertie Deuxième loi Troisième loi : principe d’interaction SAVOIR-SAVOIR FAIRE Déterminer et représenter le vecteur vitesse d’un point mobile Savoir que, pour un solide en translation, le vecteur vitesse est le même pour tous les points Savoir que le centre d’inertie d’un solide a généralement un mouvement plus simple que les autres points Utiliser les lois de chute libre OBSERVATION On affinera la définition du vecteur vitesse, qui a été vue en classe de seconde On soulignera la propriété suivante : dans un mouvement de translation, chaque point du solide a à chaque instant, un même vecteur vitesse Vg que le centre d’inertie G du solide Il est souhaitable d’établir expérimentalement les lois de chute v=gt et h=1/2 .gt2 Connaître la variation de la vitesse en fonction de la hauteur de chute Identifier les actions mécaniques qui s’exercent sur un solide Représenter ces forces Analyser les effets produits Enoncer et appliquer les lois de Newton Connaître la définition d’un référentiel galiléen - Dans un référentiel galiléen, si le vecteur vitesse Vg du centre d’inertie ne varie pas, la somme des forces qui s’exercent sur le solide est nulle et réciproquement - Dans un référentiel galiléen, si le vecteur Vg du centre d’inertie varie, la somme des forces qui s’exercent sur le solide n’est pas nulle ; Sa direction et son sens sont ceux de la variation de Vg entre deux instants proches A et B étant deux corps, soient la force exercée par B sur A et la force exercée par A sur B ; quelque (renforcer ce qui a été vu en classe de seconde) Le calcul du travail d’une force variable, pour un déplacement quelconque de Etablir l’expression du travail d’une force :………. Donner l’expression du travail de la tension d’un ressort : W………….. Comprendre que le travail est un transfert d’énergie Définir et calculer l’énergie cinétique d’un solide en translation Enoncer et appliquer le théorème de l’énergie cinétique à un solide en translation Définir un mouvement de rotation d’un solide autour d’un axe fixe Travail et puissance d’une force (constante) agissant sur un solide en mouvement de translation Notion de travail d’une force Force conservative : exemple le poids d’un corps Travail de la tension d’un ressort Puissance d’une force ou plusieurs forces Le travail : un mode de transfert de l’énergie Travail et énergie cinétique d’un solide en translation Généralisation : solide en translation soumis à diverses forces soit l’état de mouvement de A par rapport à B, on a toujours l’égalité vectorielle……………… Analyser un exemple de propulsion (marche et frottement …) Utiliser le principe de l’inertie pour déterminer les caractéristiques des forces qui agissent sur un solide, en mouvement ou non. Savoir dans quelles conditions une force fournit du travail Exprimer et calculer le travail d’une force constante Savoir que le travail d’une force constante effectué entre deux points A et B est indépendant du chemin parcouru Connaître quelques effets sur un solide de forces dont le ou les points d’application se déplacent Définir une force conservative Définir la puissance d’une force (puissance moyenne/puissance instantanée) ; connaître son expression et savoir la calculer Etablir l’expression du travail d’une force extérieure appliquée à l’extrémité d’un ressort par méthode graphique Utiliser l’expression de l’énergie cinétique d’un solide en translation Savoir appliquer le théorème de l’énergie cinétique à un solide en translation Définir la vitesse angulaire Mouvement de rotation d’un solide autour d’un axe fixe Vitesse angulaire Enoncer et appliquer le théorème de l’énergie cinétique à un solide en rotation Définir et calculer l’énergie cinétique de rotation d’un solide autour d’un axe fixe Etablir le moment d’inertie par Moment d’une force par rapport à un axe Moment d’un couple Travail et puissance des forces agissant sur un solide en mouvement de rotation Energie cinétique Savoir que chaque point d’un solide en rotation autour d’un axe fixe, a une trajectoire circulaire Savoir relier la vitesse d’un point à la vitesse angulaire Prévoir dans des cas simples la possibilité de mise en rotation d’un solide autour d’un axe fixe Analyser les effets de rotation produits par une force Utiliser l’expression de l’énergie cinétique d’un solide en rotation son point d’application est aussi au programme. On devrait traiter alors, la notion de travail élémentaire, qu’on doit noter …. et non dW On montrera que le travail des forces de pesanteur s’exprime par Wp=mg(z1-z2) lorsque le centre d’inertie passe de la côte z1 à z2 est indépendant du chemin suivi : force conservative On établira avec les élèves l’expression du travail de la tension du ressort à réponse linéaire W=………….avec la méthode graphique. On familiarisera les élèves à cette méthode par des exercices On pourra parler d’autres modes de transfert d’énergie tels le transfert thermique (par conduction, par convection, notion vue en 5ème) avec ou sans changement d’état (vue en 3ème); le rayonnement par les ondes électromagnétiques Reprendre l’exemple d’une chute libre d’un mobile Procéder à une généralisation rapport à leur axe de quelques solides Définir l’énergie potentielle de pesanteur et connaître son expression de rotation d’un solide autour d’un axe fixe Moment d’inertie (cas simple : masse répartie sur la circonférence) Energie potentielle Définir l’énergie potentielle élastique d’un ressort et connaître son expression Définir l’énergie potentielle élastique d’un fil de torsion à réponse linéaire Définir l’énergie mécanique d’un solide Enoncer et appliquer la conservation de l’énergie mécanique en l’absence de frottement Travail et énergie potentielle de pesanteur Energie potentielle d’un solide en interaction avec la Terre Cas particulier des situations localisées au voisinage de la terre Transformation de l’énergie potentielle en énergie cinétique (exemple cas de la chute libre) Energie mécanique : sa conservation dans quelques exemples simples : -Chute libre d’une bille -Projectile dans le champ de pesanteur -Solide accroché à une extrémité d’un ressort horizontal - Pendule pesant Exemples de non conservation de l’énergie mécanique (présence de frottement) Utiliser l’expression de l’énergie potentielle de pesanteur d’un solide au voisinage de la terre Expliciter la transformation de l’énergie potentielle (énergie potentielle de pesanteur, énergie potentielle élastique) en énergie cinétique dans des cas simples : échanges énergétiques Exprimer l’énergie mécanique d’un système masse-ressort horizontal Exprimer l’énergie mécanique d’un solide dans un champ de pesanteur uniforme Exploiter la relation traduisant la conservation de l’énergie mécanique d’un système Calculer la variation de l’énergie cinétique du système à partir de la variation de l’énergie potentielle et réciproquement Savoir qu’en présence de frottement, l’énergie mécanique n’est pas constante, elle diminue ; Savoir que la variation de l’énergie mécanique entre deux positions A et B, pendant une certaine durée, est égale au travail des forces de frottement au cours de cette même durée Electricité Dans cette partie, on étudie des transformations de l’énergie dans un circuit électrique en soulignant l’importance de l’effet Joule, autant dans ses applications que dans ses inconvénients. OBJECTIF CONTENUS Définir un champ électrique et donner sa formule Champ électrique Interaction électrique entre deux corps chargés : loi de Coulomb Champ électrique Définition Donner les caractéristiques d’un champ uniforme Champ électrique uniforme Définir la différence de potentiel électrique et établir son expression : ….. Donner le sens du champ électrique Etablir l’expression du travail d’une force électrique : …… Différence de potentiel entre deux points Rappeler la définition d’une force conservative Définir l’énergie potentielle électrique et donner son expression : ……. Enoncer et appliquer la conservation de l’énergie mécanique Définir la puissance et l’énergie reçue par un dipôle récepteur en courant continu Etablir et énoncer la loi de Joule : W= RI2t Expliquer quelques conséquences de l’effet Joules (effets utiles et effets nuisibles) SAVOIR – SAVOIR FAIRE Travail d’une force électrique Energie potentielle d’une charge électrique Mouvement d’une particule chargée dans un champ électrique Les récepteurs Bilan énergétique Transferts d’énergie dans un circuit électrique : l’énergie fournie par le générateur est convertie en d’autres formes d’énergie : énergie thermique, énergie chimique, énergie mécanique ou énergie de rayonnement Calculer la puissance et l’énergie reçue par un récepteur L’effet Joule (effet calorifique) dans un conducteur ohmique Etablir la caractéristique intensité-tension d’un électrolyseur Utilisation et inconvénients de l’effet Joule Déterminer la force contre électromotrice e’ Algébrisation de la tension Savoir que l’effet joule est un effet thermique associé au passage du courant dans un conducteur OBSERVATION Durée : 9 heures On pourra introduire la notion de champ électrostatique, en exploitant l’analogie entre le poids d’un corps dans le champ de pesanteur et la force électrique dans le champ électrique Le champ électrique en un point sera caractérisé par le vecteur champ électrique en ce point On ne considèrera que le champ uniforme existant entre les armatures d’un condensateur plan On dira qu’entre deux points A et B, se trouvant dans un champ électrique uniforme existe une différence de potentiel (qui peut être éventuellement nulle). Cette ddp dépend du champ et des positions A et B dans ce champ On établira l’expression du travail d’une force électrique, puis on fera remarquer que ce travail est l’opposé de la variation d’une fonction Ep= qV appelée énergie potentielle électrique On indiquera que le travail de la force électrique est indépendant du chemin suivi : la force électrique est aussi une force conservative On se limitera au seul cas du champ uniforme On définira rapidement l’unité d’énergie : eV On fera remarquer l’analogie formelle entre le champ de pesanteur et le champ électrique sur les points suivants : vecteur champ, travail, énergie potentielle, énergie mécanique et sa conservation Durée : 6 heures On montrera que l’énergie potentielle des électrons sortant d’un dipôle récepteur et inférieure à celle des électrons entrant : ………… et la résistance interne r’ d’un électrolyseur Présenter la conversion d’énergie dans un électrolyseur Définir le rendement en puissance d’un récepteur Définir la puissance électrique engendrée par le générateur (P= eI) Etablir la caractéristique intensité-tension d’une pile Présenter le bilan énergétique d’un générateur : P= Pj+Pg soit eI= rI2 + Upn.I Etude d’un récepteur électrochimique : loi d’Ohm pour un récepteur Energie et puissance électrique reçues par un récepteur Bilan d’un transfert d’énergie (bilan énergétique) pour un récepteur Puissance utile d’un récepteur Rendement d’un récepteur Les générateurs Bilan énergétique dans un circuit Puissance et énergie électrique fournies par un générateur au reste du circuit Loi de fonctionnement d’un générateur Ee= UIt La puissance électrique reçue sera : Pe= UI Représenter sur un schéma une tension par une flèche Utiliser la caractéristique d’un électrolyseur (loi de fonctionnement) Utiliser le principe de conservation de l’énergie pour faire un bilan énergétique au niveau d’un récepteur Savoir que l’énergie pouvant être convertie se répartie entre le travail utile et en énergie de perte Identifier les transferts d’énergie dans un circuit électrique Bilan d’énergie pour un générateur (circuit en série) Enoncer et appliquer la loi de Pouillet Appliquer le transfert d’énergie entre les générateurs et les dipôles passifs Calculer la puissance et l’énergie fournie par un générateur Loi de Pouillet Définir et reconnaître un condensateur Donner sa représentation symbolique Définir la capacité et la charge d’un condensateur Donner son unité dans le S.I et ses multiples Exprimer la relation qui existe entre la charge, la capacité et la tension aux bornes d’un condensateur : qA= C(Va- Vb) Calculer le condensateur équivalent, à une association en série et en parallèle Définir l’énergie d’un condensateur et son expression : E= 1 /2 CV2 A partir de la relation qui traduit la loi d’ohm, on établira on établira la relation traduisant la loi de Joule : P= RI2 et W=RI2t On expliquera l’utilisation de l’effet Joule pour : le chauffage, l’éclairage, protéger l’installation électrique On signalera aussi les effets néfastes (perte d’énergie, perte en ligne, échauffement nuisibles des circuits) En exploitant la courbe donnant la caractéristique de l’électrolyseur, on établira la loi d’ohm pour un récepteur : U=e’+r’I On déterminera e’ et r’ Bilan d’énergie pour un générateur (circuit avec dérivation) Le condensateur Présentation du condensateur Mécanisme de charge et de décharge d’un condensateur Association de condensateurs en série et en parrallèle Energie emmagasinée par un condensateur Représenter sur un schéma une tension par une flèche Effectuer un bilan énergétique d’un générateur Durée : 7 heures On montrera que l’énergie potentielle des électrons sortant d’un générateur est supérieure à celle des électrons entrant ………… L’énergie gagné par n électrons traversant le générateur est : Eg=ne(Vp- Vn) Eg= q(Vp- Vn)= It.Upn et Pg= Upn.I = eI- rI2 La puissance engendrée par le générateur est eI eI= Upn .I+rI2 La puissance engendrée par le générateur se partage en deux : Pj= la puissance Joule (rI2) Pg= la puissance disponible utilisée par le reste du circuit (Upn.I) On établira la loi de Pouillet généralisée…………………. A partir d’exemple précis, on démontrera que la puissance Expliquer le résultat obtenu avec un montage, qui exploite l’énergie emmagasinée dans un condensateur Définir un mouvement vibratoire Définir la période et la fréquence d’un mouvement périodique Calculer la fréquence d’immobilité apparente du disque avec k secteurs : N= k Ne Calculer la fréquence du mouvement apparent…………. Définir les termes suivants et donner leurs expressions : - célérité d’une onde - longueur d’onde Définir la double périodicité de l’onde : temporelle (T), spatiale (..) Positionner les points vibrants : - en phase….. - en opposition de phase… Utilisation des condensateurs : réservoir d’énergie (flash d’un appareil photographique) Réalisation d’un montage qui simule le fonctionnement d’un flash électronique Propagation d’un phénomène vibratoire entretenu Phénomènes vibratoires entretenus Etude expérimentale Période- fréquence électrique engendrée par le générateur est égale à la somme des puissances perdues par effet Joule dans les différents appareils et les puissances utiles des récepteurs P= Pch+Pcal+Pm Durée : 8 heures On donnera les principaux constituants d’un condensateur On présentera divers types de condensateurs (à défaut d’appareils réels, présenter des photos) On fera admettre les relations I=dqA /dt qA= C(Va- Vb)= C.Uab On signalera que qA= C.Uab est une relation algébrique où qA et Uab sont toujours de même signe On établira l’expression de la capacité du condensateur équivalent à un groupement en série et en parallèle La méthode graphique sera encore utilisée pour établir l’expression de l’énergie emmagasinée dans un condensateur E=1/2 C.V2 Réflexion Réfraction Diffraction Mise en évidence expérimentale Il s’agit ici de réaliser un montage qui simule le fonctionnement d’un flash électronique (sinon présenter le montage du schéma et justifier le résultat attendu) Décrire des expériences de réflexion, de réfraction et de diffraction Défini les phénomènes suivants : - réflexion - transmission - diffraction Enoncer et appliquer les lois de Descartes sur la réflexion et la réfraction Tracer correctement la Lois de Descartes sur la réflexion et la réfraction Cas des ondes lumineuses Durée : 10 heures On signalera que les mouvements périodiques ne sont pas exclusivement des mouvements vibratoires entretenus Pour l’étude stroboscopique, on se limitera au cas où l’intervalle entre deux éclairs successifs est égal, soit presque égal à la période du phénomène étudié (immobilité apparente ou mouvement apparent ralenti) Dans le cas d’un milieu marche d’un rayon lumineux unidimensionnel, on soulignera la double périodicité d’une onde progressive On pourra réaliser quelques propagations : - le long d’une corde - à la surface de l’eau - le long d’un ressort - d’une onde sonore On définira l’onde transversale et l’onde longitudinale à partir de ces expériences On ne fera pas une étude analytique, mais on se limitera seulement à expliquer que : - des points vibrant en phase séparés par une distance …… - des points vibrant en opposition de phase séparés par une distance …… Durée : 12 heures On montrera la réflexion d’un ébranlement sur l’extrémité d’une corde ou d’un ressort, ainsi que, grâce à la cuve à onde, la réflexion d’ondes planes ou circulaires sur un obstacle fixe On signalera qu’il y a diffraction d’une onde incidente lorsqu’elle traverse une ouverture dont la largeur est du même ordre de grandeur ou inférieure. Le phénomène de diffraction explique que les ondes (mécaniques, acoustiques, lumineuses, radioélectrique) peuvent contourner les obstacles Les résultats énoncés ici seront utilisés lors de l’étude de la réflexion et de la réfraction de la lumière ; Il conviendra de signaler que l’écho sonore est une forme du phénomène de réflexion L’étude expérimentale de la propagation d’un faisceau lumineux et la présentation de deux ou trois expériences de diffraction de fentes, voilages, permettront, par analogie avec les Décrire des expériences d’interférence Enoncer le principe de superposition Interférences Mise en évidence expérimentale Interpréter des phénomènes d’interférences mécaniques ou acoustiques Positionner des points situés sur une frange d’amplitude maximale :…….. Cas des ondes lumineuses Montrer le caractère ondulatoire de la lumière Etablir l’expression de phénomènes observés sur la cuve à ondes, la lumière par des trous, de conclure intuitivement au caractère ondulatoire du phénomène lumineux On mettra en évidence la diffraction de la lumière On indiquera que dans ces conditions, le rayon lumineux n’est qu’une approximation strictement parlant et qu’il n’est pas possible d’isoler un rayon lumineux On introduira la notion de lumière monochromatique en réalisant une expérience de décomposition de lumière blanche Il est souhaitable de vérifier expérimentalement les lois de la réflexion et de la réfraction On indiquera mais sans insister la formation d’une image à l’aide d’un miroir plan Durée : 8 heures Avant d’aborder l’étude du phénomène d’interférences, on fera observer la superposition en un point de deux ébranlements allant à la rencontre l’un de l’autre et continuant leur propagation de part et d’autre du point de croisement Ceci conduit au « principe de superposition »qui traduit une propriété de linéarité Ce principe étant admis, on réalisera alors une expérience d’interférence entre deux ondes entretenues à la surface de l’eau et on interprétera le phénomène observé à partir du principe de superposition On n’entreprendra aucune étude analytique. On se limitera à expliquer qualitativement pourquoi un décalage spatial égal à n…..conduit à des interférences constructives alors qu’un décalage supplémentaire de .. /2 conduit à des interférences destructives l’interfrange i : ……………………… Décrire l’analogie formelle frappante entre les interférences mécaniques, acoustiques et lumineuses Expliquer microscopiquement la compressibilité isotherme d’un gaz Température et chaleur Compressibilité isotherme d’un gaz Description d’un gaz à l’échelle microscopique (d’où ses propriétés expansible/compressible) Mise en évidence et origine de la pression d’un gaz ; interprétation microscopique Description de l’état gazeux par des grandeurs physiques macroscopiques Enoncer et appliquer la loi de Boyle- Mariotte : PV=cte Notion de pression Instrument de mesure de la pression ; unité de pression Loi de Boyle- Mariotte Donner l’unité de température absolue Comparer l’échelle absolue et l’échelle Celsius Décrire une expérience, montrant la dilatation d’un gaz Dilatation des gaz Savoir qu’un gaz est constitué de molécules dispersées et désordonnées en agitation permanente Interpréter la force pressante sur une paroi par un modèle microscopique de la matière Savoir que l’état d’un gaz peut être décrit par des grandeurs macroscopiques comme la température, la pression, le volume, la quantité de matière Connaître l’unité légale de pression Utiliser la relation p=F/S Equation d’état des gaz parfaits Enoncer les principes de On définira microscopiquement, que la pression d’un gaz est le résultat du bombardement moléculaire sur une surface Définir la température absolue Utiliser la relation …= T(K)-273.15 Enoncer et appliquer l’équation d’état d’état des gaz parfaits (PV= nRT) Dans le cas de la lumière, on présentera une expérience classique en lumière monochromatique (Fentes d’Young ou miroirs de Fresnel). On mettra l’accent sur la nécessité d’un interprétation ondulatoire du phénomène lumineux, déjà évoquée avec la diffraction, por comprendre que la lumière ajoutée à de la lumière puisse donner l’obscurité. On indiquera que la mesure de l’interfrange permet d’évaluer la longueur d’onde On fera remarquer que dans certains cas, on a l’analogie formelle surprenante : Mvt + mvt= immobilité Son + Son = silence Lumière + lumière = obscurité Volumes molaires d’un gaz (dans les CNTP Vm= 22.4L/mol Dans les conditions usuelles ...= 20°C et p= 1.013.10 Pa, Vm= 24L/mol) Exemple de mesures calorimétriques Chaleurs massiques et chaleurs de changement Savoir que, à une pression et à une température donnée, un nombre donné de molécules occupe un volume indépendant de la nature du gaz Savoir que, l’équation d’état PV= nRT définit le modèle de comportement du gaz « parfait » Savoir que dans les conditions habituelles de température et de On pourra suggérer qualitativement d’abord, la loi de Boyle- Mariotte, en utilisant une seringue ou une pompe à vélo Ainsi, on conclura qu’à température constante, le volume et la pression d’un gaz varie en sens inverse On signalera que le gaz parfait, n’est qu’un état idéal théorique ;il est défini comme un gaz réel à l’état limite de pression évanescente On définira les conditions normales de température et la calorimétrie Définir les termes suivants : Chaleurs massiques et chaleurs de changement d’état pour un corps pur ; Chaleurs de réaction d’état pour un corps pur ; Chaleurs de réaction pression, l’air de la salle de classe peut être assimilé à un gaz parfait de pression (CNTP) L’atmosphère qui nous entoure peut être assimilé à un gaz parfait Utiliser la loi des gaz parfaits Distinguer les effets thermiques d’un transfert de chaleur : Transfert de chaleur sans changement d’état ; Transfert de chaleur avec changement d’état Exprimer la variation d’énergie d’un système pour chacun des cas Tous les gaz ont, sous faible pression (inférieure à quelques bars), un comportement identique à celui d’un gaz idéal, appelé gaz « parfait » La production de chaleur peut aussi avoir une autre origine, que la dissipation d’énergie macroscopique qui résulte du travail des forces de frottement. On pourra en citer d’autres : effet Joule, les réactions chimiques notamment les combustions Chimie organique OBJECTIF CONTENU Découvrir la chimie organique La chimie organique Origine des molécules organiques sur Terre : Du dioxyde de carbone au glucose Du glucose aux molécules d’origine naturelle Des molécules naturelles à celles d’origine synthétique SAVOIR – SAVOIR FAIRE Cerner le champ de la chimie organique ; la multitude et de la diversité des molécules en chimie organique (nombre de molécules, nombre d’espèces organiques synthétisées chaque année…) Importance économique de la chimie organique Mettre en évidence l’élément commun aux produits organiques naturels Appliquer les valences des éléments : C,H,O,N Importance de l’élément carbone Le squelette carboné : Les alcanes Tétravalence du carbone Le rôle de l’élément carbone Savoir que le carbone est l’élément de base de la chimie organique A l’aide des règles de OBSERVATION Durée : 1 heure On signalera quelques exemples de produits organiques naturels tels que : les glucides (glucose, saccharose), les lipides, les protides, le charbon de la (Sakoa), le grès bitumineux de Bemolanga….. De la fabrication des produits de la vie quotidienne : savons, nettoyants ménagers, aliments, textiles, papier, médicaments, encres…..jusqu’à celle des matériaux et des carburants, la chimie organique intervient dans tous les domaines de la vie quotidienne et de l’industrie On pourra faire faire des recherches documentaires à propos des grandes dates dans l’histoire de la chimie organique On montrera des expériences de pyrolyse et et chaîne carbonée des alcanes ; la liaison C-C Notion de libre rotation Identifier une isomérie de chaîne carbonée Donner les noms des alcanes Définir les alcanes et appliquer leur formule générale CnH2n+2 Isomérie de chaîne carbonée Nomenclature des alcanes Quelques propriétés des alcanes Ecrire les réactions de combustion des alcanes « l’octet », décrire les liaisons que peut établir un atome de carbone avec ses atomes voisins (tétravalence) de combustion d’un composé pour mettre en évidence le carbone Reconnaître un hydrocarbure saturé Distinguer des hydrocarbures linéaires, ramifiés, cycliques Donner les formules brutes et semi développée d’une molécule simple Souligner l’importance du squelette carboné, du groupement fonctionnel et leur rôle respectif sur les propriétés physiques et chimiques Prévoir les isomères de constitution d’une molécule à partir de sa formule brute Reconnaître, à partir des formules semi développées des isomères Combustion des alcanes Définir une réaction de substitution Définir les hydrocarbures insaturés Représenter les molécules d’éthylène (C2H4) et d’acétylène (C2H2) Définir les alcènes et appliquer leur formule générale (CnH2n) Définir les alcynes et appliquer leur formule générale (CnH2n-2) Donner le nom des alcènes et alcynes Identifier les isomères Z et E Définir une réaction d’addition Ecrire les réactions d’addition sur l’éthylène et sur un autre alcène, Halogénation par substitution Donner les noms des alcanes à chaîne droite et à chaîne ramifiée Influence de la chaîne carbonée sur les propriétés physiques (température d’ébullition, densité, solubilité….) Les dérivés insaturés Isomérie de position Isomérie Z et E Quelques propriétés des dérivés insaturés Reconnaître une chaîne carbonée insaturée (présence d’une liaison double ; présence de liaison triple sur une chaîne carbonée) Illustrer la réactivité des dérivés insaturés On prendra l’exemple simple du butane pour introduire la notion d’isomérie de chaîne On indiquera que la présence de la terminaison – ane dans le nom d’un composé caractérise un alcane On n’oubliera pas de citer, l’intérêt pratique et économique considérable de la combustion des alcanes, en effet les alcanes sont utilisés comme combustibles de chauffage et comme carburants Des réactions de substitution peuvent être réalisées avec le brome et le chlore, produits qui nécessitent d’être manipulés avec précaution Durée : 3.5 heures L’isomérie de position de la double liaison sera expliquée à partir des cas simples, notamment le but1-ène et le but-2-ène On n’appliquera l’isomérie de position qu’au composé HAC=CAH On ne traitera pas encore les notions de liaison …pi et …sigma… utiliser éventuellement la règle de Markovnikov Ecrire les réactions d’addition sur l’acétylène Justifier la grande réactivité des dérivés insaturés Polyaddition des alcènes Ecrire les réactions de polymérisation avec des monomères suivants : éthylène, propène, tétrafluoroéthylène) Les composés aromatiques Caractéristiques du noyau benzénique Réaction d’addition sur le benzène de dichlore et de dihydrogène A partir d’un monomère, écrire le motif du polymère obtenu par polyaddition Réaction de substitution : halogénation et nitration du benzène On ne fera pas une étude détaillée ; il suffit de traiter des exemples de polymères On montrera la relation entre la structure du haut polymère à celle du monomère par répétition d’un motif élémentaire sans chercher la justification Ces polymères ont des propriétés mécaniques, thermiques et électriques intéressantes, ce qui explique leur importance économique très grande Pétrole et gaz naturels Matières premières des produits de base de la chimie organique Durée : 3 heures Composés organiques oxygénés Définir les buts des opérations de base de l’industrie du pétrole Présentation des composés oxygénés les plus simples Distillation fractionnée du pétrole Le craquage et le reformage modifient profondément les squelettes carbonés Définir les alcools et donner leur formule générale (R-OH) Reconnaître les principales familles de composés organiques Identifier les isomères de chaîne et de position du groupe fonctionnel pour les alcools Identifier certains groupes fonctionnels (ou groupes caractéristiques) à partir des tests chimiques Donner les noms des Obtention de l’éthanol et de l’éthanal à partir de Durée : 0.5 heure On parlera succinctement du fractionnement du pétrole brut (séparation des constituants) On donnera quelques indications sur la production mondiale et nationale On prendra l’exemple des cas simples, tels que le alcools l’éthylène Mêmes objectifs pour : les aldéhydes,cétones, acide carboxyliques, ester Ecrire les réactions de préparation de l’éthanol et de l’éthanal à partir de l’éthylène Donner les noms des produits d’oxydation selon les conditions opératoires Ecrire la réaction d’estérification Identifier les trois classes d’alcool méthanol, l’éthanol, puis établir la formule générales des alcools (R-OH) On expliquera les deux types d’isomérie (chaîne et position du groupe fonctionnel), qu’on illustre par quelques exemples On soulignera que la terminaison « ol » est caractéristique d’un alcool Oxydation des alcools : Oxydation de l’éthanol en éthanal et en acide éthanoique Le même plan sera adopté pour les autres fonctions Formation d’un ester à partir d’un acide et d’un alcool Hydrolyse d’un ester Notion d’équilibre chimique Ecrire la réaction d’hydrolyse d’un ester Définir une réaction limitée, une réaction lente et une réaction réversible On ne manquera pas de souligner l’importance industrielle de ces réactions Nommer les esters Savoir que les réactions d’estérification et d’hydrolyse sont inverses l’une de l’autre et que les transformations associées à ces réactions sont lentes Savoir que, lorsque l’état d’équilibre d’un système est atteint, les quantités de matière n’évoluent plus, et que cet état d’équilibre est dynamique Définir la notion d’équilibre chimique Ce paragraphe montrera que le ou les produits d’oxydation dépendent des conditions opératoires On montrera la préparation des esters En traçant les courbes d’estérification et d’hydrolyse sur le même graphique, on mettra en évidence que l’estérification et l’hydrolyse ont la même limite Chimie minérale OBJECTIF CONTENU SAVOIR – SAVOIR FAIRE OBSERVATION Identifier les produits des réactions : - Le gaz dégagé (dihydrogène) - Les ions en solution (Fe2+,Zn2+, Al3+) Ecrire les réactions chimiques entre les solutions acides et les métaux Définir les termes suivants : oxydation, réduction, oxydant, réducteur Interpréter les réactions précédentes du point de vue de l’oxydoréduction Expliquer le comportement des solutions acides avec l’argent, le cuivre er l’or Classer qualitativement les cations métalliques (Zn2+, Cu2+, Ag+) selon leur pouvoir oxydant et les métaux correspondants (Zn, Cu, Ag) selon leur pouvoir réducteur Réaction d’oxydoréduction en solution aqueuse Action des solutions acides sur les métaux (Zn, Fe, Al, Cu) Réaction d’oxydoréduction entre un métal M et un ion métallique Mn+ Notion de couple oxydant/réducteur Définir la notion de couple Prévoir la possibilité ou non d’une réaction Décrire les produits de la réaction (utilisation de la règle du gamma) Décrire une pile Daniell, fonctionnement, équation bilan) Classifier quantitativement des Notion de potentiel d’oxydoréduction, potentiel standard On fera seulement les expériences avec une solution d’acide chlorhydrique et on signalera que les résultats seront transposables avec une solution diluée et froide d’acide sulfurique Les réactions précédentes seront interprétées, comme une réaction d’oxydoréduction, entre les ions H3O+ et un métal 5Zn, Fe, Al) au cours de laquelle simultanément : le métal est oxydé (en ion Zn2+, Fe2+, Al3+) ,l’ion H3O+ est réduit avec dégagement de dihydrogène On réalisera d’abord les expériences suivantes : a. Réaction entre le zinc et les ions Cu2+ b. Réaction entre le cuivre et les ions Ag+, puis on établira avec les élèves l’échelle de classification La notion de couple oxydant/réducteur sera introduite à partir des couples déjà vus tels que : Fe2+/Fe ; Cu2+/Cu ; H3O+/H2 ; Ag+/Ag ;puis on continuera de compléter l’échelle de classification suivant des données des expériences On famoliarisera les élèves à la règles du gamma Le potentiel d’oxydoréduction sera introduit à partir de la mesure de la f.e.m des piles formées par association de deux couples : Mn+/M et M’n+/M’ couples oxydant/réducteur Mn+/M et H3O+/H2 Décrire l’électrode normale à hydrogène (E .N.H) Définir le potentiel normal d’oxydoréduction Utiliser le tableau des potentiels normaux pour : a. Calculer la f.e.m d’une pile b. Prévoir la possibilité d’une réaction d’oxydoréductio n et donner le caractère de cette réaction (totale ou partielle) Généralisation de la notion de couple oxydantréducteur (les espèces associées sont toutes deux en solution) On donnera le principe de la construction d’une classification électrochimique quantitative On précisera les conditions standard : pH= 0, le dihydrogène étant sous la pression P= 1 bar= 10 ……Pa pour l’E ;N.H On définira que le potentiel d’oxydoréduction du couple Mn+/Mn, est le potentiel de l’électrode M mesuré par rapport à l’E.N.H dans la pile obtenue en associant la demi-pile Mn+/Mn et l’E.N.H. On le note : EMn+/M Interpréter et écrire les équations bilans des réaction d’oxydoréduction Dosage par réaction d’oxydoréduction Utiliser la règle du gamma, pour placer des couples dans la classification électrochimique On étudiera d’abord des couples mettant en jeu des espèces oxydantes et réductrices constituées d’un seul élément (Fe3+/Fe2+, Cu2+/Cu, Cl2/Cl-, I2/I-, puis des couples où au moins, l’une des deux espèces est un ion polyatomique MnO4-/Mn2+, Cr2O7-/Cr3+, NO3-/NO, S4O6--/S2O3 On donnera la méthode pour équilibrer les demiéquations Définir le principe du dosage Réaliser Après avoir signalé la nécessité d’une électrode conductrice et inattaquable, notamment le fil de platine ou le graphite, on énoncera la règle qui définit le potentiel normal d’un expérimentalement un dosage Repérer et définir le point d’équivalence au cours d’un dosage Ecrire l’équation rédox correspondant au dosage Généralisation de l’oxydoréduction Exemples de réaction par voie sèche Nombre d’oxydation d’un élément Calculer une concentration d’après le résultat d’un dosage, en utilisant l’équation : noCoVo= nrCrVr Ecrire les équationsbilans d’oxydoréduction par voie sèche couple oxydant /réducteur On fera remarquer la couleur des solutions contenant les ions suivants : MnO4- (violet), Mn2+ (incolore), I2 (brune), I- (incolore) … On fera réaliser en travaux pratiques les dosages des ions Fe2+ par manganimétrie et de l’iode par l’ion thiosulfate. Cela permettra l’acquisition de savoir faire à la fois expérimentaux et théoriques. La notion de normalité oxydoréductrice, comme celle de normalité acidobasique, ne doit plus être utilisée. L’équivalence sera déterminée par un changement de couleur Application de l’oxydoréduction Electrolyse en solution aqueuse Donner le nombre d’oxydation (n.o)d’un élément : - à l’état atomique - dans un ion monoatomique - dans une molécule - dans un ion polyatomique Utiliser le n.o pour : - identifier une réaction d’oxydoréductio n - équilibrer une réaction d’oxydoréductio n par voie sèche Interpréter des expériences d’électrolyse Ecrire les bilans des oxydations anodiques et des réductions cathodiques Durée : 2 heures Ce sera l’occasion de justifier l’utilisation de ces nombres dans la nomenclature des ions et on les utilisera pour repérer l’oxydation ou la réduction d’un élément On soulignera qu’au cours d’une réaction d’oxydoréduction, la somme de tous les nombres d’oxydation gagnés est égale à la somme de tous les nombres d’oxydation perdus Durée : 7.5 heures Piles électrochimiques On présentera l’électrolyse de l’eau, du chlorure d’étain (II), du chlorure de sodium On écrira les bilans des oxydations anodiques et des réductions cathodiques Toute autre étude théorique est rigoureusement hors programme Donner la caractéristique I= f(U) d’un électrolyseur Décrire l’importance industrielle de l’électrolyse Corrosion des métaux : cas particulier du fer Protection Expliquer le principe de fonctionnement d’une pile Réaliser une pile Les engrais On ne manquera pas de signaler l’importance de l’électrolyse pour la préparation des produits industriels, la purification, les dépôts métalliques. On insistera sur le fat que l’électrolyse constitue un moyen d’oxydation et de réduction particulièrement puissant. Il faut cependant remarquer qu’en solution aqueuse, les réactions observées peuvent être l’oxydation et/ou la réduction de l’eau ; ainsi l’électrolyse de la solution aqueuse de soude ne permet pas l’obtention du sodium, plus réducteur que l’hydrogène Expliquer l’origine de la corrosion des métaux Décrire des mécanismes de protection Décrire le rôle et l’origine On ne montrera que la constitution d’une pile électrochimique classique, d’une pile combustible Tout développement excessif est hors programme, on fera comprendre seulement que les réactions chimiques font intervenir des couples oxydantréducteur différents et qu’il y a relation entre la f.e.m d’une pile et les des principaux éléments (C, H, O, P, S, K, Ca, Mg) potentiels d’oxydoréduction de ces couples Décrire les différents types d’engrais et les éléments qu’ils contiennent On fera comprendre que le phénomène de corrosion est dû à la formation de micropiles On fera remarquer que la corrosion se produit préférentiellement aux endroits où la surface du métal présente des irrégularités, des rayures, là où le métal subit des contraintes On citera quelques modes de protection : (protection de surface et protection cathodique) Durée : 2 heures On traitera seulement quelques notions sur la composition des sols et les besoins des plantes On présentera très rapidement les différents types d’engrais L’étude chimique des engrais ne manquera pas de prendre en compte les aspects biologique et économique