www.myspace.com/oursoursours www.ours

Transcription

www.myspace.com/oursoursours www.ours
www.myspace.com/oursoursours
www.ours-lechanteur.com
Album Mi sorti le 9 juillet 07
Tour : PYRPROD • 32 bd Carnot - 21000 DIJON • www.pyrprod.fr
Benjamin FOURNET • +33 (0) 3 80 661 065 • [email protected]
Promo tournée
Thierry BINOCHE • +33 (0) 3 80 667 666 • [email protected]
Séverine MENCARELLI • +33 (0) 3 80 667 674 • [email protected]
Biographie
L’Ours est né en 1978 dans une maternité de Boulogne, mais c’est au cœur de Montparnasse
qu’il fait ses premiers pas. Il a la fibre artistique par atavisme. Elle se développe et s’affine au gré
des découvertes musicales. Ours écoute surtout Stevie Wonder et Les Beatles, mais aussi Herbie
Hancock, The Commodores, Led Zeppelin et Miles Davis. Il est aussi bercé par la chanson française,
celle de France Gall, Michel Berger et Michel Jonasz. Son premier achat de disque est pour The
Cure, à 13 ou 14 ans. C’est à peu près à cet âge-là, qu’il découvre une guitare au pied de son
sapin de Noël… Le voilà qui dessine ses premiers accords et accroche aux murs de sa chambre des
posters de musiciens comme Manu Katché.
Tout porte à croire que l’Ours deviendra musicien. Ce n’est pas le cas, du moins pas pour l’instant.
Il projette de créer un magazine basé sur la communication visuelle : « Mes études d’art ont un lien
très étroit avec ce qui sera plus tard mon projet musical. J’y ai appris à creuser mon propre univers,
à ne pas faire comme les autres ». C’est le temps des visites de musées où il fait connaissance de
Léonard de Vinci et de Raphaël mais aussi de Matisse, Mondrian et Fernand Léger. C’est aussi le
temps des groupes éphémères. Avec « Brocoli », il verse dans la musique funk éclectique. Avec le
groupe « Stuart », il explore le mélange des genres : du ragga à l’electro. Ours commence à écrire
des chansons inspirées du rap français dont il apprécie l’énergie et les textes au style direct.
« Orange », qui figure sur ce premier album, est le seul vestige de cette époque
londonienne.
Ex-graphiste qui se distingua par la création de sites Internet usant de matières inédites
dans cet espace-là (des animations de bois de papier et de pâtes à modeler), l’Ours
redevenu parisien s’est mué en chanteur. Officiellement. Définitivement. Il écrit, compose,
chante et joue toutes les sessions de guitare sur son premier disque (co-produit par Julien
Delfaud). Il s’apprête à rejoindre Mathieu Boggaerts, -M- et Camille sur la nouvelle scène
française. Et d’y apporter cette fraîcheur que donnent ses chansons au désespoir léger
et à la mélancolie désinvolte. D’y apporter aussi cette voix éraillée de naissance qui est
immédiatement reconnaissable.
Ours aborde le passage délicat de l’adolescence à l’âge adulte, sans s’appesantir sur
cette brève difficulté d’être. Belle idée que celle d’enterrer son insouciance en chantant.
Ses chansons existentielles, il les veut pudiques et acidulées comme « des bonbons » : sans
drame irréversible, sans torrent de larmes. C’est dans cette quête de légèreté qu’Ours s’est
inspiré des rythmes chaloupés pour certaines de ses compositions. Sa musique, il la qualifie
de « solaire », à mi-chemin entre mélancolie et bonne humeur. Car ici rien n’est grave.
La nostalgie des jeunes années (« Le cafard des fanfares ») ne noue pas l’estomac. Les
nuits d’ivresse restent de bons souvenirs (« Quand Nina est saoule », « Nina se réveille »). La
déprime n’est jamais qu’une mauvaise passe (« Orange », « Révélés ») Et quand plus rien ne
va, vraiment, il trouvera toujours « La maison de mes parents » pour se ressourcer…
Coup de Coeur de l’Académie Charles Cros.
Lauréat du Fair 2007.
Séléctionné Prix Constantin 2007.
Il participe pendant l’année 07/08 aux Chroniques Lycéennes Charles Cros.
PYRPROD, 32 bd carnot, 21000 DIJON
03 80 666 667 • [email protected]
www.pyrprod.fr