Quand le SON porte l`empreinte du VIVANT

Transcription

Quand le SON porte l`empreinte du VIVANT
DOSSIER Le POUVOIR du SON
PRÉSENTE
Quand
le SON porte
l’empreinte du VIVANT
Par Pierre
Boogaerts
Maître de Chi et
de Tai Ji Quan
– Quel est le cri du cheval ?
– Euh… il hennit !
– Et du mouton ?
– Il bêle !
– Du chat ?
– Il miaule, mais nom d’un chien (!), où veux-tu en venir ?
– Quel est celui de l’homme ? me demanda Vlady
Il est l’auteur de 2 coffrets de 10 CD
chacun, présentant une approche
progressive et méthodique de
tech­niques traditionnelles qui tra­
vaillent le Chi, l’énergie vitale.
Travail sur soi, sur sa vie, sur la Vie,
travail d’une grande actualité !
Information :
Tél. : 1-888-922-1146
www.artduchi.com/centrepb
Les sons sont étudiés et
utilisés par les scientifiques
et la recherche médicale
a découvert les effets
étonnants de certaines
fréquences sur notre corps.
Vlady Stévanovitch, 1925-2005
POUR MIEUX LE CONNAÎTRE
Pierre Boogaerts est directeur
du Centre Pierre Boogaerts/
Centre Vlady Stévanovitch-Qc
en Estrie. Responsable de l’École
internationale de la Voie intérieure
au Qc et de la formation de ses
enseignants. Vlady Stévanovitch lui
a reconnu la qualité de Maître de
Tai Ji Quan et de Chi.
Un
peu désarçonné, j’ai répondu
« … Il parle ! » « Mais non, ça c’est
culturel ! », me dit-il avec un soupir. Puis il
poursuivit : « Sais-tu que l’humain a, lui
aussi, un cri ? »
et des contes, accessibles aux devins et aux
chamans Tout fonctionne toujours, mais
nous n’écoutons plus ces signaux-là.
Cet échange un peu particulier entre un
maître et son élève n’en est pas moins
tout à fait banal : pour communiquer, nous
utilisons des mots dont nous connaissons
le sens. Notre langage s’adresse à notre
matière grise. Mais qu’en est-il chez les animaux qui en possèdent beaucoup moins
ou chez les végétaux qui n’en possèdent
pas du tout ? Comment communiquent-ils ?
Se comprennent-ils ou nous comprennent-ils ?
Or, en dehors de leurs significations sémantiques, nos mots sont aussi des sons bien
réels qui possèdent des caractéristiques
physiques quantifiables, notamment la hauteur, l’intensité et le timbre. Les sons sont
étudiés et utilisés par les scientifiques et la
recherche médicale a découvert les effets
étonnants de certaines fréquences sur
notre corps. Les fréquences découvertes
par le Dr Paul Nogier sont d’ailleurs couramment utilisées depuis plus de quarante ans.
Bien avant le langage…
D’une façon toute naturelle. Leurs langages
ne s’adressent tout simplement pas au
mental qu’ils ont peu ou pas du tout, mais
grâce aux muscles chez les animaux, et à
la chimie chez les plantes. Une explication
simplifiée évidemment. La communication entre individus, entre groupes, entre
espèces et entre genres recoupe plusieurs
facteurs et est le fruit de la longue évolution
de la vie sur terre. Évolution qui est toujours
à l’œuvre.
Retenons simplement le fait qu’au sein de
la nature, l’évolution de la communication a
provoqué le développement de la pensée
abstraite et c’est à celle-ci que notre langage
humain s’adresse. Ce qui ne veut pas dire
que nous sommes dépourvus des moyens
de communication qui ont précédé celui du
langage « intelligent ». Simplement, comme
ils ne s’adressent pas à notre mental conscient, nous les ignorons. Ils sont tombés en
désuétude, relégués au niveau des mythes
22 VIVRE
Le Chi, empreinte du vivant
La voix donc, comme tout instrument de
musique ou synthétiseur, crée des vibrations qui sont transmises par l’air et excitent
non seulement l’ouïe, mais aussi le corps.
Par contre, les sons émis par l’humain,
comme ceux de tous les êtres vivants, comportent quelque chose de plus qui n’a pu,
jusqu’à présent, être expliqué par la physique. Il existe une différence fondamentale
qui distingue ces sons de tous les autres.
Cette différence est l’empreinte du vivant,
c’est le Chi.
Des sons chargés de missions
En Orient où les recherches sur le Chi ont
atteint jadis des sommets inégalés, des
techniques énergétiques et vocales ont été
élaborées afin d’introduire intentionnellement une quantité et une qualité d’énergie
supérieure dans les sons émis. Ces techniques « chargent » les sons qui deviennent
ainsi de véritables véhicules de Chi. En
modulant ces sons, on peut moduler leur
Chi. Il devient possible alors d’atteindre
les moindres recoins du corps, de les faire
vibrer et d’agir en fonction de leurs besoins
particuliers.
Les « sons porteurs de Chi » peuvent influen­
cer profondément tout être vivant, qu’il
soit du règne humain, animal ou végétal.
Ils peuvent aussi produire des effets physiques observables dans la matière inerte.
Ces pratiques existent depuis longtemps et
bon nombre d’objets de culte, de sabres,
de calligraphies et de talismans l’attestent
en conservant le Chi qu’un Maître y a insufflé plusieurs siècles, voire des millénaires
auparavant.
Au-delà du temps et de l’espace
Pour que les sons émis véhiculent le Chi
en quantité et en qualité, il faut plus qu’un
instrument de musique et plus qu’une maîtrise vocale. Cela n’est possible qu’en possédant des techniques énergétiques complexes. Il faut avoir atteint des sommets
dans la manipulation du Chi. Vlady Stévanovitch a travaillé ces techniques pendant
plus de soixante ans. Comme les maîtres
anciens qui chargèrent en Chi des objets de
culte, Vlady parvint à adapter ses émissions
énergétiques sonores afin qu’elles soient
captées par des instruments d’analyse (un
enregistreur par exemple) pour lesquels
ces outils n’étaient pas destinés.
Grâce à ces enregistrements, le Chi d’un
grand Maître devint accessible à tous et sa
présence physique persiste au-delà de la
mort. Il s’agit d’une véritable révolution. Ces
enregistrements, pour la première fois
dans l’histoire de l’humanité, permettent à l’énergie vitale d’être étudiée par les
plus grands scientifiques, décomposée et
analysée par ordinateur.
traditionnelles de manipulation du Chi en
créant d’autres complexes sonores riche­
ment chargés en Chi qui « visent » certains
muscles avec une étonnante précision. Des
pulsions sonores correctement dirigées
provoquent des contractions musculaires
ou des réactions de gonflement des tissus
permettant aux élèves de réaliser plus faci­
lement des techniques énergétiques qui
deman­dent habituellement de nombreuses
années de pratique. Les fréquences sonores
comme les champs électromagnétiques
sont aujourd’hui connus et même couramment utilisés en milieux hospitaliers. Mais le
Chi est encore et toujours rejeté parce que
non identifiable et non manipulable par les
chercheurs scientifiques.
Les travaux de Vlady Stévanovitch viennent changer la donne et risquent de
bouleverser bien des certitudes, dans bien
des domaines. Ils apportent aussi des
éclaircissements à certains résultats controversés, comme ceux des travaux sur la
recherche de « la mémoire de l’eau » du
docteur, immunologue et chercheur au
CNRS puis à l’INSERM, Jacques Benveniste.
Peut-être… On peut rêver…
En tout cas, Vlady Stévanovitch aura permis
qu’un plus grand nombre de gens puissent
aujourd’hui bénéficier des sons porteurs
de Chi. Il suffit d’un peu d’entraînement
pour permettre au Chi – et non aux sons
qui le véhiculent – d’influencer notre vita­
lité et permettre à cette « musique », qui
ne s’adresse ni à l’oreille, ni à l’émotion,
ni au mental et à son jugement esthétique, de rejoindre directement la vie de
notre corps, afin que la vie puisse enfin
mieux s’exprimer à travers nous. Le cri de
l’homme, le cri de la Vie, ne trouvez-vous
pas qu’il y a urgence ?
Douceur, puissance et précision
Comme Vlady Stévanovitch avait utilisé le
Chi pour soigner pendant une grande partie de sa vie, il a pu construire, à partir de
ses découvertes, de nombreux complexes
sonores à visée thérapeutique. Une centaine de médecins les testent aujourd’hui
avec succès. C’est un début. Un de ces
complexes a même été intégré dans un
petit appareil à usage personnel. Étonnant
de constater que ses effets, pourtant très
doux, se font sentir très profondément et
surtout, varient selon les besoins de chacun !
Vlady Stévanovitch a aussi révolutionné l’enseignement des techniques
VIVRE, c’est...
Permettre consciemment
au son d’agir à l’intérieur
de nous
Le son est vibration. Les cellules de
notre corps vibrent aussi, chacune à
leur fréquence. Les sons que nous
écoutons peuvent donc influencer
nos cellules. En choisissant consciemment les sons porteurs de
guérison, nous pouvons en faire
bénéficier notre corps en entier !