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Dossier de presse
du 6 septembre au 30 octobre 2005
Les Pas perdus
de Denise Bonal
mise en scène Gilles Guillot
Théâtre du Rond-Point 2 bis, avenue Franklin D. Roosevelt 75008 PARIS
Direction de la communication Nathalie Sultan
Service presse Hélène Ducharne 01 44 95 98 47/Carine Mangou 01 44 95 98 33
Les Pas perdus
de Denise Bonal
paru aux éditions Théâtrales
mise en scène Gilles Guillot
assistante mise en scène Isabelle Chemoul
scénographie Claude Lemaire
musique Didier Goret
lumières Roberto Venturi
vidéo Yves Kuper
coiffure Chantal Durpoix
avec par ordre chronologique
Les Amoureux jeunes
Les Petits Truands
La Femme Agée
Les Clochards
Dis à ta tante
Les Nettoyeuses
Bruges
La photo 1
Lionel Nakache et Héloïse Guillot
Antoine Brétillard et Lionel Nakache
Jenny Clève
Claude Lévêque et Rémy Darcy
Isa Mercure et Héloïse Guillot, Lionel Nakache et Antoine Brétillard
Nicolle Vassel et Maria Verdi
Marie Réache et Louis-Marie Audubert
Philippe Le Mercier, Claude Lévêque, Isabelle Chemoul,
Louis-Marie Audubert
Père, Fils
Claude Lévêque et Lionel Nakache
La jeune fille errante Héloïse Guillot et Rémy Darcy
La photo 2
Antoine Brétillard et Tania Dessources
Le Tableau Perdu
Isa Mercure et Louis-Marie Audubert
L’Homme Seul
Rémy Darcy
La Nature (mère et fils) Marie Réache et un enfant*
Les Amoureux
Marie Réache et Philippe Le Mercier
La photo 3
Antoine Brétillard et Tania Dessources
Faits divers
Isabelle Chemoul, Lionel Nakache, Louis-Marie Audubert,
Philippe Le Mercier
Le retour de Bruges
Louis-Marie Audubert et Philippe Le Mercier
Les Jeunes Fugueuses Héloïse Guillot et Tania Dessources
La Famille
Isa Mercure, Louis-Marie Audubert et un enfant
Le Beau Linge
Marie Réache
Les Jumelles
Héloïse Guillot et Isabelle Chemoul
Bastory
Claude Lévêque et Philippe Le Mercier
La photo 4 et le Soldat Antoine Brétillard et Lionel Nakache
Les Petites Lumières Isa Mercure
Les Amoureux vieux
Isa Mercure et Claude Lévêque
*un enfant
Noé Borst-Jouan ou Jules Fabre ou Léonce Pruvost
production Théâtre du Barouf, SNCF. Le Théâtre du Barouf est en convention avec la DRAC Ile-de-France
avec le soutien de l’ADAMI et de la SPEDIDAM
salle Jean Tardieu (176 places)
du mardi 6 septembre au dimanche 30 octobre 2005 à 21h, le dimanche à 15h30
relâche les lundis et les dimanches 11, 18 et 25 septembre et les 2, 16, 23 et 30 octobre
réservations 01 44 95 98 21 ou 0 892 701 603 (0,34 euros/min)
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Avant-propos de l’auteur
« Les départs déchirent le cœur », dit Rimbaud. Ce n’est pas le retour qui éclipse aussitôt
le voyageur qui intéresse, non ce n’est pas le retour,
c’est le départ,
le cœur fiévreux, le sac à l’épaule, le regard figé sur ce tableau des horaires où le cliquetis
argenté dévoile peu à peu la marche à suivre, on attend.
Passent et repassent les hommes pressés, les femmes avec leurs enfants leurs magazines, leurs
chats, leurs valises à roulettes, les bandes braillardes, les errants, les familles électriques, les
fantômes du monde entier, les anonymes couleur de fumée, les fous qui parlent seuls.
Lieu des au revoirs et des adieux, lieu aux histoires meurtries, aux décisions décousues, aux
envols vainqueurs, lieu de toutes les souffrances, de toutes les interrogations et de tous les
espoirs, lieu des larmes chaudes et des mains jointes et des serments hâtifs, lieu des derniers
sourires, des paroles qu’on n’oubliera jamais et des baisers donnés pour la vie,
voici la gare :
c’est elle le personnage principal, elle le sait et le fait savoir.
Voici la gare :
qui enflamme, plombe les cœurs, déplie les ailes, qui jamais ne se lasse et jamais ne nous
lasse,
voici la gare centrale
« Débarcadère des volontés, carrefour des inquiétudes. »
Denise Bonal
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Avant-propos du metteur en scène
Dans l’espace métaphorique de la gare, Denise Bonal braque son objectif sur des situations
drolatiques, pathétiques, à vif. Ces instantanés saisis avec justesse et lucidité révèlent les
failles les plus secrètes de ses personnages. Chacun dessine une facette singulière qui, mêlée
aux autres, participe du portrait terriblement ressemblant de notre humanité. Denise Bonal,
dans un style d’une précision qui n’exclut pas la poésie, nous donne à voir le monde - du plus
privé au plus universel - engagé dans sa course dérisoire contre le temps. Le train n’attend
pas.
Ce matériau - théâtral par essence - comporte les contradictions de la vie elle-même :
l’intense circulation de personnages anonymes contenant, isolée, l’intimité d’individus dans
leur histoire particulière. Les sons incessants d’une gare avec ses annonces dont le détail
échappe le plus souvent à l’oreille et, au premier plan, les silences et les mots de personnages
en situation sensible.
L’art, le théâtre ne luttent pas avec la vie. Ils y puisent et ordonnent différemment les
éléments captés par le regard de l’artiste. A partir de l’écriture de Denise Bonal et des
séquences qu’elle propose, c’est maintenant au metteur en scène - en connivence avec la
scénographe, le musicien, l’éclairagiste, l’ingénieur du son - de composer l’écriture scénique
qui va prolonger l’écriture littéraire et la donner à vivre à ceux chargés de l’incarner : les
acteurs.
Avec ce sujet, le Théâtre du Barouf, retrouve son territoire favori : celui, intangible, où
l’architecture secrète du spectacle s’équilibre dans un ordre musical. Hors de toute anecdote
superflue, il s’agit ici de faire exister des parcours croisés dont le rythme relève d’une
chorégraphie plus suggérée que visible et ce dans un espace épuré dans lequel le spectateur
peut projeter son propre imaginaire. A ce stade de la préparation les lignes sont tracées,
l’essentiel est devant nous. Le rêve commence.
Gilles Guillot
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Le Théâtre du Barouf
La compagnie indépendante créée en 1978 travaille en convention avec la Drac Ile-de-France
depuis 1988. Elle est animée par Isa Mercure et Gilles Guillot.
1978, 1980, 1981 et 1982 : L'Empereur s'appelle dromadaire, de Jacques Prévert
1982 : Le blanc cassé de Jenny Arasse
1982 : Nuit de rêve et Bertrand de Slawomir Mrozek
1983, 1990, 1991, 1992, 1994 et 2003 : L'archipel sans nom de Jean Tardieu
1984 et 1985 : Les violettes de Georges Schéhadé
1985 : Je vous écris d'un pays lointain, spectacle Henri Michaux
1986 : Piccolet et l'Affaire de la rue de Lourcine d'Eugène Labiche
1987 : Au bord du lit de Guy de Maupassant
1988 : Les Armoires de Ionesco, Feydeau, Prévert, Obaldia, Courteline, Tardieu
1990 : L'Eventail de Carlo Goldoni
1991 : Le Cimetière des éléphants de Jean-Paul Daumas
1995, 1996 et 2000 : La Chambre des reflets de Colette
1996 et 1997 : Fin d’été à baccarat de Philippe Minyana,
1998, 1999, 2000, 2001 et 2002 : Même si c’est vrai c’est faux de Henri Michaux
2002 : Meurtre de Martine Drai
2003 : Comment ça va sur la terre ? spectacle de Jean Tardieu
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Denise Bonal
(auteur)
Denise Bonal est comédienne et auteur.
Elle est née en Algérie où elle passe toute son enfance. Arrivée à l’âge de 12 ans à Paris, elle
entre au lycée Fénelon. Déjà prise par le virus du théâtre, elle met en scène, pendant son
année d’hypokhâgne en 1940, Aucassin et Nicolette, une pièce en vieux français. Elle
abandonnera ses études pour suivre le cours de théâtre de Charles Dullin.
Sa première tentative d’écriture est un montage de textes venus du monde entier sur les
activités des hommes sur la terre.
En 1951, elle est engagée à la Comédie de l’Ouest au Centre Dramatique National de Rennes
où elle reste 15 ans. Durant cette période elle écrit des contes et nouvelles radiophoniques à
raison d’une par semaine tout en continuant à interpréter les plus grands rôles du répertoire.
En 1971, elle rejoint Hubert Gignoux au Théâtre National de Strasbourg puis devient
professeur au conservatoire de Roubaix. En 1983, elle est nommée professeur titulaire au
Conservatoire National Supérieur de Paris.
Elle a écrit entre autres Légère en août, mise en scène de Johanna Gresse-Racharan ; Honorée
par un petit monument, mise en scène d’Alain Françon ; Passions et prairies, mise en scène
d’Andrée Michèle Tireau ; Féroce comme le cœur ; Turbulences et petits détails, mise en
scène de Mariline Gourdon.
Ses pièces, pour la plupart, sont parues aux éditions Théâtrales et créées notamment au
Théâtre Artistic Athévains, au Festival d’Avignon, au Palais de Chaillot, au Théâtre de l’Est
Parisien. Elles ont aussi été traduites et mises en scène à l’étranger notamment aux Etats-Unis,
en Belgique, au Canada, en Grèce et en Allemagne.
Elle a reçu le prix d’Enghien pour Les Moutons de la nuit en1975, le Prix de la Radio de la
SACD en 1980, le Prix du Théâtre de la SACD en 1986, le Prix Arletty pour l’ensemble de
son œuvre en 1990, le Prix European Drama pour Féroce comme le cœur en 1994 et le
Molière du meilleur auteur 2004 pour Portrait de famille.
La pièce Les Pas Perdus est parue aux éditions Théâtrales.
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Gilles Guillot
(metteur en scène)
Au théâtre, Gilles Guillot a joué notamment dans La Pensée d'Andreïev, mise en scène de
Laurent Terzieff ; Le Satyre de la Villette de René de Obaldia, mise en scène d'André
Barsacqq ; Le Revizor de Gogol, mise en scène d'Edmond Tamiz ; La Baye de Philippe
Adrien, mise en scène d'Antoine Bourseiller.
Il participe également à sept spectacles mis en scène par Jorge Lavelli : Le Concile d’amour
de Panizza, Jeux de massacre de Ionesco, Orden de Pierre Bourgeade, Bella Ciao d'Arrabal,
L'Ile pourpre de Boulgakov, Le Mariage de Gombrovicz et Le Grand Vizir de Obaldia.
En 1993, il joue dans Lundi huit heures de Jacques Deval, mise en scène de Régis Santon au
Théâtre Silvia Monfort en 1994 ; Rossini de Laure Bonin et Claude D'Anna, mise en scène de
Stephan Meldegg au Théâtre La Bruyère en 1995 ; La Visite de la vieille dame de Durenmatt,
mise en scène de Régis Santon au Théâtre des Célestins de Lyon et repris au Théâtre du Palais
Royal en 1996.
Il crée Le Théâtre du Barouf avec Isa Mercure en 1978, dont il interprète ou met en scène la
plupart des spectacles.
Au cinéma, il tourne dans une dizaine de films, notamment avec Agnès Varda, Michel
Deville, Daniel Moosmann, Edouard Molinaro et Bertrand Tavernier.
A la télévision, il tourne dans une trentaine de dramatiques notamment avec Stellio Lorenzi,
Louis Grospierre, Michel Mitrani, Roger Kahane, Jean-Paul Roux, Pierre Cardinal et Robert
Mazoyer.
Louis-Marie Audubert
(comédien)
Depuis les années « lycée » où il devait improviser entre deux changements de bobines, un
spectacle qu’il vient de jouer plus de 500 fois à Paris, Louis-Marie Audubert n’a eu de cesse
de passer d’un genre à l’autre.
Il expérimente notamment un rôle dans Les Acteurs de bonne foi de Marivaux aux Bouffes
du Nord, chante aux terrasses des cafés d’Avignon, donne des représentations dans les
prisons, joue dans Douze hommes en colère aux côtés de Michel Leeb pour qui il écrira un
sketch pour son one-man show à l’Olympia, accompagne à l’accordéon une pièce sur
Strinberg jouée à Stockhom, joue au cinéma dans Les Grands Ducs de Patrice Leconte ...
Interpréter, écrire, chanter, jouer d’un instrument forment un ensemble indissociable et
indispensable à son bonheur d’être comédien.
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Antoine Brétillard
(comédien)
Antoine Brétillard est né à Paris le 23 août 1984.
Il suit une formation à l’Ecole du Studio-Théâtre d’Asnières et auprès de la compagnie Martin
Barbaz. Il y travaille Victor Hugo, Noren, Sénèque, Shwab, Strauss, etc.
Il joue dans Les Epiphanies, mise en scène d’Henri Pichette au Théâtre Molière à Paris en
2003 et dans Nomas Que Salgamos dans la crypte de Notre-Dame des Champs en 2004.
Il monte plusieurs projets d’écriture et de réalisation de documentaires, de courts et de longs
métrages.
Isabelle Chemoul
(comédienne)
Isabelle Chemoul est formée par Véronique Nordey, au Théâtre des Quartiers d’Ivry, et au
Conservatoire de Maison- Laffitte. Elle y rencontre Nathalie Sévilla qui lui confiera les rôles
titres dans Mimi Pinson d’après Alfred de Musset et Electre de Sophocle. En 1995 et 1996,
elle est également son assistante pour La Traversée de Miguel Angel Sévilla avec Bernadette
Lafond et John Arnold.
Au théâtre, elle a joué dans Mamie Ouate en Papouasie de Joël Jouanneau et Anéantis de
Sarah Kane, mises en scène de Stéphanie Correia ; Donne moi du feu, de et par Miguel Angel
Sevilla ; Le Soulier de Satin de Paul Claudel, mise en scène de Xavier Latroupe ; Ma Solange,
comment t’écrire mon désastre de Noëlle Renaude, mise en scène de Christian Germain ; Un
long Silence, mise en scène de Myriam Brown ; Notre Stanislavski d’après les écrits de
Stanislavski, mise en scène de Julian Negulesco.
En 1996, elle interprète Claire dans Les Bonnes de Jean Genet, dont elle signe également la
mise en scène.
Jenny Clève
(comédienne)
Au théâtre, Jenny Clève a joué notamment dans Ivanov de Tchékov et La Colonie de
Marivaux, mises en scène de Jacques Rosner ; Hamlet, mise en scène de Patrice Chéreau ; Le
retour au désert de Bernard-Marie Koltès, mise en scène de Jacques Nichet. Elle a aussi
travaillé sous la direction de Bruno Membrey, Jacques Duparc, Stéphane Verrue, JeanFrançois Philippe, Claude Yersin, Joël Dragutin, Jean-Paul Wenzel, Gérard Vergez.
Au cinéma, elle participe à Un crime au paradis, Les Enfants du Marais, Elisa et l’Eté
meurtrier, quatre films de Jean Becker. Elle a tourné aussi avec Christophe Ostenberger, Ariel
Zeitoun, Claude Berri, Marc Pico, Jean-Jacques Beineix, Tilly, Jérôme Foulon, Jacques
Deray, Georges Lautner, Diane Kurys, Michel Deville, Bertrand Blier, Joseph Losey, JeanLouis Bertucelli, Christine Pascal, Luc Béraud, Daniel Duval et Patrice Chéreau.
Elle a tourné de nombreux téléfilms notamment sous la direction de Jean Prat, Maurice
Failevic, Jean-Pierre Marchand, Jacques Krier, François Dupont-Midy, Gérard Chouchan,
Bruno Gantillon, Peter Kassovitz, Franck Apprederis, Eric Le Hung, François Gir, Daniel
Mossmann, Roger Pigaut, Denys de la Patellière, Jean-Michel Ribes, Jacques Ertaud, Philippe
Lefebvre, Michel Wyn, Roger Kahane et Maurice Frydland.
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Rémy Darcy
(comédien)
De 1964 à 1973, il participe à une quarantaine de spectacles avec la Compagnie La Guilde CDN Guy Rétoré : Macbeth et Le Roi Lear de Shakespeare ; L’Opéra de quat’sous, Sainte
Jeanne des abattoirs, de Bertolt Brecht, Le Manteau de Gogol...
De 1973 à 1977, c’est avec la Compagnie José Valverde au Théâtre Gérard Philippe de SaintDenis qu’il joue dans une vingtaine de spectacles dont Mère courage de Brecht ; Chile
Vencera de Juan Fondon et Ruy Blas de Victor Hugo.
Il travaille ensuite à la Péniche Théâtre avec Mireille Larroche, joue dans Six personnages en
quête d’auteur de Pirandello, mise en scène de Jorge Lavelli ; dans cinq spectacles mis en
scène par Gilles Guillot pour Le théâtre du Barouf : L’Archipel sans nom et Comment ça va
sur la terre ? de Jean Tardieu, Les violettes de Georges Schehade, Piccolet et L’affaire de la
rue de Lourcine de Labiche et L’Eventail de Goldoni.
Au cinéma, il a notamment joué dans Lucie Aubrac, de Claude Berry ; Belphégor, de JeanPaul Salomé et dans Le Dernier Eté de Claude Goretta.
A la télévision, il tourne sous la direction Stellio Lorenzi, Jean Dewever, Marc Pavaux, JeanPaul Roux, André Michel, Michel Wyn, Jean-Yves Jeudy, Denis de la Patelière, Youri,
Jacques Krier, Daniel Tragarz, Jean-Marie Coldefy, Gavin Millar, Olivier Schatzky, Hugues
de Laugardière.
Il joue le rôle-titre de l’inspecteur Millereau dans 35 émissions en direct de L’inspecteur mène
l’enquête.
Tania Dessources
(comédienne)
Après une formation à l'Atelier International Blanche Salant et Paul Weaver, au "Magasin" et
aux Ateliers de l'Ouest, Tania Dessources interprète au Théatre Sula de Tony Morrison, mise
en scène de Maïmouna Coulibaly ; Dom Juan, mise en scène de Maurice Bénichou et crée
Petites histoires pour petits hommes et petites femmes.
A la télévision, elle interprète Camille Gambolo dans la série Avocats et associés.
Héloïse Guillot
(comédienne)
Héloïse Guillot a suivi une formation à l’Atelier International Blanche Salant et Paul Weaver
avec Marc Adjadj, puis au Studio-théâtre d’Asnières dirigé par Jean-Louis Martin-Barbaz.
Au théâtre, elle a joué Mathurine et la partition musicale au piano de Dom Juan de Molière,
mise en scène de Maurice Bénichou ; Grand peur et misère du 3ème Reich de Brecht ; La
Brasserie du globe du Portugal, montage Ribes-Dubillard-Anouilh. Avec le Studio-théâtre,
elle joue dans J’ai dix ans, mise en scène de Stéphane Douret et Alain Maillard.
Au cinéma, elle a tourné plusieurs courts-métrages et sera bientôt à l’affiche de Casting , un
long-métrage de Stéphane Robelin.
Elle a dernièrement adapté Journal intime de Raymond Queneau qu’elle jouera
prochainement dans une mise en scène de Guillaume Chapet.
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Philippe Le Mercier
(comédien)
Après une formation avec Françoise Le Bail et Georges Wilson, Philippe Le Mercier joue
dans Joyeuses Pâques, de Jean Poiret puis dans La Petite Cuiller, spectacle solo de Pierre
Louki.
Il tourne avec Les tréteaux de France sous la direction de Jean Danet et Roland Monod, joue
dans L’Archipel sans nom et Comment ça va sur la terre ? de Jean Tardieu ; L’Eventail de
Goldoni et Fin d’été à Baccarat, de Philippe Minyana, mises en scène de Gilles Guillot.
Récemment il travaille avec Xavier Marcheschi, joue dans Barouf à Chioggia de Goldoni ; Le
Chandelier de Musset au Théâtre du Nord Ouest et Question de rythme, un spectacle solo.
Il a également mis en scène Le carnaval des animaux et autres, un spectacle alliant textes,
sculptures et poésies de Jean-Paul Douziech et Petites annonces au Lavoir Moderne Parisien.
Au cinéma et à la télévision, il a tourné sous la direction de Denys de la Patelière, Jean
Becker, Aline Issermann, Philippe Harel.
Récemment, il a joué dans Sucre amer et 1802, l’Epopée guadeloupéenne de Christian Lara et
dans Le promeneur du Champ de Mars de Robert Guédiguian.
Claude Lévêque
(comédien)
Durant son long compagnonnage d’une dizaine de spectacles avec Maurice Jacquemont,
Claude Lévêque a été particulièrement marqué par L’Echange de Claudel.
Il a joué aussi, notamment sous la direction de Marcel Cuvelier, Jean-Marie Serreau, Edmond
Tamiz, Antoine Vitez, Armand Gatti, Jean-Pierre Miquel, Michel Dubois, Laurent Terzief,
Roger Blin, Christian Dente, Mireille Laroche, Simon Heine, Patrice Chéreau, Stéphane
Braunschweig et a participé à la plupart des spectacles de la compagnie Meyrand-Téphany à
Chelles et au Centre Dramatique National de Limoges.
Ces dernières années, il participe à Des héros et des dieux, hymnes Homériques ; Peines
d’amour perdues et Vie et mort du roi Jean de Shakespeare, mises en cène de Laurent Pelly ;
L’Avare de Molière, Holderlin de Charles Juliet, Emmanuel Kant de Thomas Bernhard, mises
en scène de Roger Planchon ; C’est beau de Nathalie Sarraute, mise en cène de Michel
Raskine ; Bartleby d’Herman Melville, mise en scène de Daniel Géry ; La Version de
Browning de Terence Rattigan, mise en scène de Didier Bezace.
Au cinéma et à la télévision, il a tourné sous la direction de Marcel Bluwal, Jean Prat, JeanPierre Marchand, Hervé Baslé, Elisabeth Rappeneau, Philippe Defrance, Manuel de Oliveira,
Thierry Klifa, Eric Lartigot.
10
Isa Mercure
(comédienne)
Après huit années passées au Théâtre de la Ville, Isa Mercure crée Le Théâtre du Barouf en
1978 avec Gilles Guillot.
Elle interprète neuf créations de la Compagnie dont Au bord du lit de Guy de Maupassant au
Théâtre de la Madeleine ; l’Archipel sans nom au Théâtre Silvia Monfort, au Théâtre 14 et au
Théâtre du Rond-Point ; Comment ça va sur la terre ? de Jean Tardieu au Théâtre Molière ;
Fin d’été à Baccarat de Philippe Minyana au Théâtre 14-Jean-Marie Serreau ; la Chambre
des reflets de Colette au Théâtre de Poche Montparnasse, mises en scène de Gilles Guillot.
Elle joue aussi en dehors de la compagnie la Fausse suivante de Marivaux, mise en scène de
Jean-François Rémy, Horace de Corneille, mise en scène de Marion Bierry et, cette année, A
la renverse de Michel Vinavier, mise en scène de Michel Vinavier et Catherine Anne au
Festival 20scènes à Vincennes et frictions à Dijon.
Au cinéma et à la télévision, elle a tourné notamment avec André Michel, Robert Mazoyer,
Yves Allegret, Stephane Kurck, Caroline Huppert. Et ces dernières années dans Meurtres
sans risque, de Christiane Spiero ; La part de l’ombre, de Charlotte Branstrom et Le temps
retrouvé d’après Proust, de Raoul Ruiz
Elle met en scène Bertrand de Slawomir Mrozek ; Même si c’est vrai c’est faux d’Henri
Michaux ; Meurtre de Martine Drai et adapte également Prevert, Tardieu, Michaux,
Maupassant, Hugo, Colette en collaboration avec Gilles Guillot.
Lionel Nakache
(comédien)
Lionel Nakache a suivi plusieurs années de formation théâtrale, notamment à l'Atelier
International de Théâtre dirigé par Blanche Salant et Paul Weaver à Paris.
Au théâtre il vient d'interpréter le monologue Demande à la poussière de John Fante, mise
en scène de Guillaume Chapet. Il a joué également dans plusieurs pièces dont Les Frères
Karamazov de Dostoïevski, mise en scène de Daniel Amar ; Dom Juan de Molière, mise en
scène de Maurice Bénichou ; Art de Yasmina Reza, mise en scène de Ludovic Girard ; Les
Diablogues de Dubillard et Aux armes citoyens de Louis Calaferte, mises en scène de Anne
Lefèvre.
Au cinéma il a joué dans Real Movie, de Stéphane Robelin, ainsi que dans le second long
métrage du même réalisateur intitulé Casting qui sortira prochainement.
Il a également tourné dans plusieurs courts-métrages dont Les Liens du sang, de Hugues
Hariche ; Errances, de Julien Guetta ; Au baissant de l'eau, de Jean-Baptiste Baïs ;
Échanges cordiaux qu'il a co-réalisé avec Simon Lehembre, et dans Uma Uma co-réalisé
avec Christophe Marthoud.
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Marie Réache
(comédienne)
Au théâtre, Marie Réache a joué dans Portrait de famille de Denise Bonal (Molière 2004 du
meilleur auteur) ; Quartiers, mise en scène de Laurence Février ; Les Directeurs de Daniel
Besse, mise en scène de Etienne Bierry, (Molière 2001 du meilleur spectacle de création et
meilleur auteur) ; Après la pluie de Sergi Belbel, mise en scène de Marion Bierry (Molière
1999 du meilleur spectacle comique) ; Les Insolistes, spectacle musical, mise en scène de
Grégori Baquet ; Gulliver, mise en scène de Daniel Soulier ; L'Eloge de la chose de JeanDaniel Magnin, mise en scène de Norma Guevara ; La Conférence des Anges de Marion
Jacob, mise en scène d’Anouck Paré ; Bergson-Feydeau, de et mise en scène de Gerville et
d’elle même.
Elle fait partie depuis l’enfance du Théâtre de l’Escabeau fondé par ses parents. Elle y a joué
notamment Brecht, Musset, Schnitzler, Claudel, Grumberg.
Au cinéma, elle a tourné sous la direction de Michel Deville, Nacho Carranza, J-L Benoist,
Patrice Leconte, Yann Ficher Lester, P. Richard, Marco Pico, Yvan Calberac, Alexandra
Milgrom.
A la télévision, elle a été dirigée par Denys Granier-Deferre, Marco Pico, L. Berrault, Claude
Vajda, Michel Boisrond, Roger Guillot, Marc Boyer. Elle a joué dans Les Aventures de Jamel
Debbouze sur Canal+, Dix secondes et des poussières et Les Baisers .
En publicité elle a tourné notamment avec Jean-Marie Poiret et Etienne Chatillez.
Nicolle Vassel
(comédienne)
Nicolle Vassel a entre autres suivi une formation au Conservatoire National Supérieur d’Art
Dramatique de Paris.
Au Théâtre, elle joue notamment dans huit pièces d’Anouilh dont cinq créations à Paris :
L’Arrestation, L’Orchestre, La Culotte, Les Poissons Rouges ; La Convention Belzébir et Le
Minotaure de Marcel Aymé ; La leçon au théâtre de la Huchette et Le roi se meurt de
Ionesco .
Elle a également interprété René de Obaldia, Boris Vian, Mrozek, Feydeau.
Dernièrement, elle a joué dans Les Rustres de Goldoni ; Turcaret de Lesage et dans Le
Bourgeois Gentilhomme avec Les Tréteaux de France.
Au Théâtre musical ou en variétés, elle a aussi interprété plusieurs tours de chant, du Gospel
et le genre comédie musicale américaine.
Elle a déjà travaillé avec le Théâtre du Barouf pour L’Archipel sans nom et Comment ça va
sur la terre ? de Jean Tardieu.
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Maria Verdi
(comédienne)
Au théâtre, Maria Verdi a joué notamment dans La Machine à écrire de Jean Cocteau, mise en
scène de Jean Meyer ; Le roi se meurt d’Eugène Ionesco, mise en scène de René Dupuy ; Les
Femmes savantes de Molière, mise en scène de Jean Meyer ; Thyeste de Sénèque, mise en scène
de Jean-Pierre Vincent ; Dommage qu’elle soit une putain de John Ford, mise en scène de Jérôme
Savary ; La Mouette d’Anton Tchekhov, mise en scène de Philippe Calvario.
En 2003, au Théâtre du Rond-Point, elle a joué dans Les Crabes ou les hôtes et les hôtes de
Roland Dubillard, mise en scène de Caterina Gozzi.
Au Théâtre du Rond-Point en janvier 2006, elle jouera dans Léviathan Coccys de Jean-Daniel
Magnin, mise en scène de Agathe Alexis.
Au cinéma, elle a joué notamment dans Le Choix des armes, d’Alain Corneau ; L’Homme blessé,
de Patrice Chéreau ; 588 rue paradis, de Henri Verneuil ; Les Faussaires de Frédéric Blum ; La
Femme du cosmonaute, de Jacques Monnet ; Sucre Amer, de Christian Lara ; Est-Ouest, de Régis
Wargnier ; Le Château, de Jesse Peretz ; Trois huit, de Philippe Leguay ; Notre père, d’Estelle
Larrivaz et Lovely Rita, sainte patronne des désespérés, de Stéphane Clavier.
A la télévision, elle a joué dans Le Diable au corps, de Gérard Vergez ; Le Pantalon, d’Yves
Boisset ; Les Voies du Paradis, de Stéphane Kurc ; Président Ferrare ; L’Affaire Pierre Valéra,
d’Alain Nahum et dans Une femme dans l’urgence, d’Emmanuel Gust
Claude Lemaire
(scénographe)
Architecte de formation, Claude Lemaire rencontre Jean-Marie Serreau et fait ses débuts au
théâtre avec lui.
Elle a travaillé pour la Comédie Française, le Théâtre National de Chaillot, le Théâtre de la Ville,
l’Opéra de Paris et a collaboré à plus de 150 spectacles notamment à L’Ecole des Femmes, Tartuffe,
Dom Juan, Le Misanthrope de Molière ; Dave au bord de mer de René Kalisky ; Bérénice de
Racine ; Les Noces de Figaro de Beaumarchais ; Le Révizor de Nicolas Gogol, mises en scène
d’Antoine Vitez ; Intermezzo de Jean Giraudoux, mise en scène de Jacques Seyres ; La Volupté de
l’honneur de Pirandello, mise en scène de François Chaumette ; Le Médecin volant et Le Médecin
malgré lui de Molière, mise en scène de Dario Fo ; La Trilogie du revoir de Botho Strauss, La
Tragédie du vengeur de Cyril Tourneur, mises en scène de Philippe Van Kessel et Félicité de Jean
Audureau, mise en scène de Jean-Pierre Vincent. Elle a travaillé également avec Jean-Louis Barrault,
Jean Mercure, André Steiger, Roger Planchon, Jacques Rosner, Jean-Paul Roussillon, Jacques
Lassalle, Pierre Barrat, Jacques Mauclair, Jean-Pierre Miquel, Stéphan Meldegg, Arlette Tephany.
Récemment, elle a collaboré à Oscar et la dame rose, L’Évangile selon Pilate et La Nuit des oliviers
d’Eric-Emmanuel Schmidt et à Soie d’Alessandro Baricco, mises en scène de Christophe Lidon. Elle a
aussi fait les scénographies de L’Illium de Ferenc Molnâr, mise en scène de Stratis Vouyoucas et
Alexis Moati et de La Panne de Durrenmatt, mise en scène d’Arlette Tephany.
Pour le Théâtre du Barouf, elle a conçu les décors et les costumes de La Chambre des reflets de
Colette ; Fin d’été à Baccarat de Philippe Minyana, ; Même si c’est vrai c’est faux d’Henri
Michaux ; Meurtre de Martine Drai et de Comment ça va sur la terre ? de Jean Tardieu.
Elle a été responsable de la section scénographique à l'Ecole du T N S de 1981 à 1988.
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Didier Goret
(musique)
Didier Goret est né en 1957 à Amiens. Il étudie à l'Ecole Normale Supérieure de Musique de
Paris, au Conservatoire du 14ème, au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris
et à la Sorbonne où il obtient une licence de musicologie. Puis, il étudie la composition avec
André Hodeir, Jacques Lejeune, Guy Reibel et le compositeur américain David Engel ;
l'arrangement avec Yvan Julien ; l'improvisation avec Pierre Cammas et Martial Solal et la
direction d’orchestre avec Nicolas Brochot.
Il crée lui même différentes formations dont un big band ; “Assiette Anglaise,” avec lequel il
obtient le prix de la SACEM au Concours National de la Défense en 1983, ainsi qu’un trio
avec lequel il obtient le Premier Prix au Concours International de Composition de Monaco.
Il accompagne également Juliette, Hélène Delavault, Sylvie Louche, Font et Val, Marie Paule
Belle, Maurice Baquet, Isabelle Morelli, Captain Mercier, Colette Renard, Soledona, Nadine
Rossello, Jo-Ann Pickens, Jérôme Savary pour Zazou.
Il compose par ailleurs aussi bien pour des formations jazz : O.N.J 86, Gérard Badini, Big
band, Steckar tubahorde, Milky Sax, Chance Orchestra, Caravansérail, que classiques : la
Quintette Epsilon, la Quintette Just'à cinq, le Quatuor de saxophones de Paris, Mel
Culbertson, Philippe Legris, l'ensemble des Hauts de France, l’Orchestre de tango Horacero.
Il compose également pour le théâtre et le cinéma.
Il a également réalisé comme arrangeur/compositeur divers albums de chanson française
(Juliette, Jean Guidoni, Paco...) et écrit trois Opéras dont le dernier, Mister Cauchemar, est
joué en février 2005 à l’auditorium de l’Opéra Bastille.
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Roberto Venturi
(lumières)
Parallèlement à sa carrière de directeur de la photographie, Roberto Venturi travaille pour le
théâtre et l’opéra.
Il a réalisé de nombreux éclairages à la Comédie Française notamment pour Jacques Sereys,
Jean-Pierre Vincent, Claude Régy, André Steiger, Catherine Hiegel et Jorge Lavelli. Il a
également travaillé avec Pierre Mondy, Bernard Stora, André Kontchalowski, Gilles Guillot,
Jean Bouchaud, Béatrice Agénin, Jerôme Deschamps et Marie-Louise Bischof-Berger.
Pour l’Opéra, il a participé aux productions de La Flûte Enchantée , Le Comte Ory et Orlando
au Festival d’Aix en Provence ; Rigoletto au Chorégies d’Orange ; L’Enlèvement au Sérail et
Xersès au Grand Théâtre de Genève ; Les Contes d’Hoffmann, Guillaume Tell et Katia
Kabanova à l’Opéra Royal de Wallonie ; Tristan und Isolde et Carmen à l’Opéra de
Montecarlo ; Anna Bolena, Le Voyage sur la lune et Lulu à l’Opéra de Metz ; Barbebleue, Le
château de Barbebleue et Ariane à l’Opéra du Rhin.
Récemment il a créé les lumières de Madame de au Grand Théâtre de Genève ; de Don
Quichotte à l'Opéra de Metz ; La Favorite, Rheingold et Walküre à l'Opéra Royal de
Wallonie ; Semiramide au Rossini Opéra Festival de Pesaro ; de Aïda à l'Opéra de Montecarlo
et de Orfeo e Euridice pour le Théâtre San Carlo de Naples.
Pour la danse, il a créé la lumière de Pinocchio et Apollo e Dafne, mise en scène de Karole
Armitage :dans le cadre du Maggio Musicale Fiorentino. Et pour le Ballet de Lorraine à
Nancy.
Yves Kuper
(vidéaste)
Yves Kuper est né en 1967 à Amiens. Il étudie la photo et pratique la danse et le mime.
Très vite il travaille dans la décoration, enrichit et affine références et langages visuels et
s’initie aux outils infographiques ainsi qu’aux métiers du film.
En 1996, il participe à la création des collectifs « Titanik » et « Lunatic Park » à Lausanne. De
ce centre artistique surgiront différentes manifestations telles que « Habits Zarbis » et
« Bouge Tout Court ».
Il réalise plusieurs clips : celui de Peacepolice pour H&M en 1999 pour lequel il obtient le
Premier Prix Suisse ; celui de Pôle Position pour Sens Unik en 2001 ; celui de Poison pour
Arsenik en 2002 ; de Greed pour Edison ; J’apprends bien pour Dynamike et Signal de J-Luv.
Il crée de nombreuses scénographies événementielles pour des sociétés privées et festivals,
notamment pour le Bicentenaire Vaudois en 1998, mais aussi celles de L’Histoire de Babar
de Poulenc et de Pierre et le loup de Prokofiev pour l’Opéra de Dijon ou encore les visuels et
la scénographie de Traces pour la compagnie Nomades, qu’il accompagne la tournée en
Allemagne et en Egypte.
Il a aussi créé les décors d’un film d’animation pour le Caprices Festival Crans Montana.
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Pages pratiques
COMMENT SE RENDRE AU THÉÂTRE?
2 bis, avenue Franklin D. Roosevelt 75008 Paris
T 01 44 95 98 00 – F 01 40 75 04 48
Métro : Champs-Elysées Clemenceau (ligne 1 et 13)
Franklin D. Roosevelt (ligne 1 et 9)
bus : 28, 42, 73, 80, 83, 93
parking : 18 avenue des Champs-Elysées
RÉSERVATIONS
sur place 14 jours avant la date de représentation
du mardi au samedi de 12h à 19h
et le dimanche de 12h à 16h (les jours de représentations)
par téléphone 14 jours avant la date de représentation
au 01 44 95 98 21 de 11h00 à 19h00 du lundi au samedi
et le dimanche de 12h à 16h
sur le site internet
www.theatredurondpoint.fr
la Fnac pour le Théâtre du Rond- Point
au 0 892 701 603 (0,34 euros/min) du lundi au samedi de 9h à 20h
fermé les dimanches et jours fériés
les autres points de ventes
www.fnac.com ; www.theatreonline.com ; www.lastminute.com ; www.digitick.com ; agences, Le Kiosque
LES TARIFS
tarif 18h30/24 euros ; groupe (8 personnes minimum)/18 euros ; plus de 60 ans/20 euros
demandeurs d’emploi/15 euros ; moins de 30 ans/12 euros ; carte imagine R/8,5 euros
LA CARTE
autant de spectacles que vous voulez, quand vous voulez, à un tarif préférentiel pour vous et la personne de
votre choix
prix de la carte 25 euros, réduit 22 euros (groupes, plus de 60 ans), moins de 30 ans et demandeurs
d’emploi 10 euros
prix de la place 16 euros pour le plein tarif, 14 euros pour les tarifs réduits, 7,5 euros pour les moins de
30 ans et demandeurs d’emploi au lieu de 24 euros.
L’ABONNEMENT
l’abonnement doit compter au minimum 6 spectacles dont 3 en salle Renaud-Barrault et 1 en salle Jean
Tardieu.
prix de la place dans les trois salles/13 euros
la carte et l’abonnement vous donnent droit à des tarifs réduits au restaurant et à la librairie du Rond-Point,
et à des tarifs préférentiels dans les structures partenaires : le cinéma le Balzac,
la Villette, le Palais de Tokyo, le Palais de la Découverte, le Centre national de la danse
et le Musée d’Orsay
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DANS LES AUTRES SALLES SEPTEMBRE-OCTOBRE 2005
Musée haut, Musée bas salle Renaud-Barrault
texte et mise en scène Jean-Michel Ribes
avec Jean-Damien Barbin, Emeline Bayart, Catherine Beau, Patrick Dutertre, Annie Grégorio,
Christian Hecq, Micha Lescot, Patrick Ligardes, Paola Piccolo, Anne Saubost, Eric Verdin,
Virginie Vives et les élèves du Cours Florent
du jeudi 15 septembre au dimanche 6 novembre à 20h30 les dimanches à 15h00
relâche les lundis, dimanche 18 septembre et mardi 1er novembre
soirée dédiée à Amnesty International le jeudi 6 octobre
Merci salle Renaud-Barrault
de et par Daniel Pennac
du jeudi 29 septembre au dimanche 6 novembre
représentations uniquement les jeudis, vendredis et samedis à 18h30
et exceptionnellement le dimanche 6 novembre
les représentations des jeudis 6, 13 et 20 octobre sont à 14h30
relâche samedi 22 octobre
Le Fait d’habiter Bagnolet salle Jean Tardieu
de Vincent Delerm
mise en scène Sophie lecarpentier
avec Frédéric Cherbœuf, Marie Payen et la participation de Sébastien Trouvé
et la voix de Véronique Silver
du vendredi 9 septembre au samedi 29 octobre à 18h30
relâche les lundis et dimanches
Sixième solo salle Roland Topor
de Serge Valletti
mise en scène Benoît Lambert
avec Philippe Fretun
du mardi 13 septembre au dimanche 23 octobre à 21h
les dimanches à 15h30
relâche les lundis et dimanche 18 septembre
La Bancale se balance salle Roland Topor
de Louise Doutreligne
mise en scène Antonio Arena
avec Marianne Basler
du mardi 20 septembre au samedi 22 octobre à 18h30
relâche les dimanches et lundis
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