Barres à la tequila anti-gueule de bois
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Barres à la tequila anti-gueule de bois
Le billet de Carlo de Pascale Une frite à la dérive Ingrid Otto A www.facebook.com/ mmmmh/ yant parcouru quelques restaurants de la Capitale dans le contexte d’une prochaine labellisation des tables bruxelloises, j’ai dû faire une amère constatation : celle de voir combien, dans des enseignes autrefois incontournables et toujours chargées d’Histoire – parce que le bénéfice de l’Histoire, il reste, même si on la trahit – on méprisait notre orgueil national, j’ai nommé la frite. Oui, je suis amer, car, sans vergogne, avec assurance et aplomb, on m’a trop souvent servi des frites en garniture de plats à 25 euros qui vaudraient à des frituristes qui oseraient les vendre à 2,50 euros d’être pendus par les pieds, avant le bûcher ! Oui, attention paradoxe, nous sommes étrangement conciliants avec ces produits surgelés qui, pour ma part, sont déjà inacceptables à la cafétéria de la piscine. Imaginez : vous allez à la friterie, et on vous balance du surgelé ! Et vous devriez vous taper tout un cornet de frites surgelées : vous aller aimer ? Et pourtant, au restaurant, le plus souvent, on gobe ces malheureuses frites sans goût en les trempant dans la béarnaise du steak, et souvent il nous faut quelques frites avant de constater que la promesse n’est pas tenue. Car la frite, c’est d’abord pour la plupart d’entre nous un souvenir, le souvenir d’un croustillant, d’un goût, et d’un moelleux à l’intérieur. Alors, on pioche, on repioche, on croit que ce que l’on goûte est de la frite, et ça n’en est pas, définitivement pas ! Moi, la fausse frite, la frite d’usine, ça me gâche tout, de l’américain à la sauce archiduc en passant par les boulettes, vive la frite, coupée maison, cuite deux fois maison, tonnerre ! C.d.P. La recette de la semaine Barres à la tequila anti-gueule de bois Le meilleur lendemain de veille. Préparez-les avant une grosse sortie et grignotez-les en revenant ou après quelques heures de sommeil au petitdéjeuner. Vous serez à nouveau d’aplomb, voire prêt(e) à recommencer. Préparation : 30 min. Cuisson : 40 min. INGRÉDIENTS (POUR +/- 10 RECTANGLES) • 350 g de Cent Wafers ou de gaufrettes vanille ou chocolat du même genre • 50 g de pignons • 30 g de graines de tournesol • 200 g de beurre fondu • 85 ml de tequila • 125 ml de jus de citrons verts (environ 3 citrons) • 400 ml de lait concentré sucré • 5 jaunes d’œufs + 2 blancs • 1 c. à c. de sucre USTENSILE PARTICULIER moule rectangulaire type moule à brownies d’environ 20x30 cm PRÉPARATION • Préchauffez le four à 180ºC (th. 6). Faites la croûte. • Mixez au robot les gaufrettes avec les pignons et les graines. Ajoutez le beurre et mélangez. • • • • • Réservez 3 c. à s. de biscuits. • Pressez le reste au fond du moule et enfournez 15 à 18 minutes. À la fin de la cuisson, sortez du four et laissez complètement refroidir la croûte. Occupez-vous de la garniture. • Dans un saladier ou un cul-de-poule, fouettez la tequila, le jus des citrons, les jaunes d’œufs et le lait concentré sucré. Montez les blancs en neige avec la cuiller de sucre. Incorporez le blanc en neige à la préparation à la tequila. Versez l’appareil sur la croûte et enfournez 25 minutes. Laissez refroidir, recouvrez du crumble de biscuits non cuit et placez au réfrigérateur 2 heures minimum. • Coupez en rectangles avant de déguster. CONSEIL • Si vous faites ces barres pour des petits, vous pouvez remplacer la tequila par 85 ml de sauce caramel maison ou du commerce. Recette tirée du livre “Candelicious”, de Candice Kother (éd. Racine). Air de familles: Se laver les mains, encore ? O util d’apprentissage pour les enfants, elles touchent le sol, manipulent tout ce qu’elles attrapent, finissent bien souvent dans la bouche des plus petits et transmettent à leurs propriétaires virus, microbes et autres bactéries… Il est donc important de laver régulièrement les mains des enfants et de leur montrer l’exemple en faisant de même, mais aussi de leur apprendre comment et pourquoi ce passage à l’eau et au savon doit devenir une habitude. Car le lavage des mains est une barrière efficace contre la transmission des maladies ! Se laver les mains, c’est plus que les agiter sous l’eau. Il faut un savon qui mousse et que l’on répartit en frottant sur la paume, les doigts, le dos de la main jusqu’au poignet, sans oublier les ongles ! On rince ensuite à l’eau courante et on sèche bien avec un linge propre. Bon à savoir : s’essuyer les mains avec une lingette n’équivaut pas à un lavage des mains. Inutile – sauf cas particulier – d’acheter du gel désinfectant ou “antibactérien”, le savon est suffisant et efficace. Se laver les mains avant de manger (oui, même pour le petit déjeuner) et, bien sûr, avant de manipuler de la nourriture, devrait être la règle ! Mais aussi lorsque les mains sont visiblement ou invisiblement souillées : après être passé aux toilettes, s’être mouché, avoir caressé un animal, joué dehors ou bricolé dedans, après avoir emprunté les transports en commun… Sans tomber dans la paranoïa ni développer un “TOC”, évidemment ! À chaque famille de déterminer son seuil de tolérance, mais se laver les mains est une saine habitude, qui n’a jamais empêché aucun enfant de développer son immunité ! Sophie Schneider. Anne Pochet. À la télé: tous les jours à la sur la Une et la Deux, tous les jours à 12h12 et 17h12 sur . Sur internet (www.one.be) : toutes les émissions, les spécialistes et les infos pratiques.