Nouveau cycle combiné gaz de Martigues

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Nouveau cycle combiné gaz de Martigues
DOSSIER DE PRESSE
12 NOVEMBRE 2012
Nouveau cycle combiné gaz de
Martigues :
EDF renforce ses moyens de
production dans la péninsule
électrique PACA
Un geste simple pour l'environnement,
n'imprimez ce message que si vous en avez l'utilité.
Service de Presse
22-30 avenue de Wagram
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EDF SA au capital 924 433 331 euros - 552 081 317 R.C.S. Paris
Le groupe EDF, un des leaders sur le marché de l’énergie en Europe, est un énergéticien intégré, présent sur
l’ensemble des métiers : la production, le transport, la distribution, le négoce et la vente d’énergies. Premier
producteur d’électricité en Europe, le Groupe dispose en France de moyens de production essentiellement nucléaires
et hydrauliques fournissant à 96,5 % une électricité sans émission de CO 2. En France, ses filiales de transport et de
distribution d'électricité exploitent 1 285 000 km de lignes électriques aériennes et souterraines de moyenne et basse
tension et de l’ordre de 100 000 km de réseaux à haute et très haute tension. Le Groupe participe à la fourniture
d’énergies et de services à près de 27,9 millions de clients en France. Le Groupe a réalisé en 2011 un chiffre
d’affaires consolidé de 65,3 milliards d’euros dont 43,1 % hors de France. EDF, cotée à la Bourse de Paris, est
membre de l’indice CAC 40.
-2-
EDF inaugure le premier cycle combiné gaz
de Martigues
EDF inaugure le premier des deux Cycles Combinés Gaz (CCG) sur son site de Martigues. D’une puissance de 465
MW chacune, ces deux nouvelles unités contribueront à la sécurité d’approvisionnement en électricité de la région
Provence Alpes Côte d’Azur – qui ne produit sur son territoire que 40% de ses besoins – et permettront notamment de
faire face aux pics de consommation en particulier au cours de l’hiver.
Plus performant et plus propre, le CCG de Martigues est issu d’une opération de « repowering » qui est une première
en Europe à cette échelle. Procédé de haute technologie, le « repowering » consiste à utiliser une partie des
installations existantes (turbine à vapeur et station de pompage notamment) pour les associer à des éléments neufs
dans la nouvelle unité.
La reconversion de la centrale de Martigues en deux Cycles Combinés Gaz (CCG) va permettre de passer d’une
production au fioul à une production au gaz naturel tout en augmentant la puissance disponible ainsi que les
performances économiques, environnementales et techniques.
Débuté en 2008, ce chantier a représenté plus de 3,3 millions d’heures de travail, fait appel à 300 entreprises et
mobilisé 1000 personnes à son pic d’activité. Ce projet de 500 millions d’euros constitue l’investissement le plus
important du plan de modernisation du parc thermique à flamme d’EDF en France.
Le deuxième CCG en construction sur le site de Martigues devrait être mis en service début 2013.
-3-
SOMMAIRE
1. LE PREMIER CYCLE COMBINE GAZ CONSTRUIT PAR
“REPOWERING”
5
Le CCG : un process performant
5
Le « repowering » à grande échelle : une première en Europe
6
2. CCG de Martigues : un chantier exemplaire
7
L'intégration environnementale à toutes les étapes du projet
7
Une biodiversité préservée
7
Un volet social pour accompagner les salariés
8
3. LE THERMIQUE A FLAMME : FLEXIBILITE ET REACTIVITE
8
La contribution à un mix de production efficace et compétitif
8
Un parc de production thermique diversifié et bien implanté sur le territoire
9
4. RENFORCEMENT ET MODERNISATION DES CENTRALES
10
THERMIQUE A FLAMME
Rénover les unités de production au charbon les plus récentes pour la « semi-base »
10
Construire quatre cycles combinés gaz en France pour répondre aux besoins de « semi-base »
10
« Décocooner » quatre unités de production au fioul pour répondre aux besoins de «pointe »
11
Construire des turbines à combustion pour « l’extrême pointe »
11
Optimiser les performances environnementales
11
5. LE DEVELOPPEMENT DU THERMIQUE A FLAMME A
L’INTERNATIONAL
12
Une expertise en ingénierie thermique
12
Les ambitions du Groupe
12
6. ANNEXES
13
Les chiffres clés du chantier
13
Repères
14
-4-
1. LE PREMIER CYCLE COMBINE GAZ
CONSTRUIT PAR “REPOWERING”
Un cycle combiné gaz est composé d'une turbine à combustion (TAC) et d'une turbine à vapeur (TAV), chacune
équipée de son propre alternateur. Ces nouvelles installations contribueront à améliorer les performances
environnementales globales du parc thermique à flamme d’EDF.
Le CCG : un process performant
Le cycle combiné gaz produit, avec la même quantité de combustible, deux fois plus d’électricité qu’une centrale
thermique classique, grâce à un système de double turbine. Une première turbine à combustion brûle le combustible
dont les gaz d’échappement font tourner la turbine pour alimenter un premier alternateur. En parallèle, au contact de
ces gaz d’échappement très chauds, l’eau du circuit est transformée en vapeur. Cette vapeur fait tourner une
deuxième turbine qui entraîne un second alternateur générant de l’électricité. Ce dispositif participe à l’amélioration
des performances environnementales globales du parc thermique à flamme d’EDF. Un premier CCG a été mis en
service en France par EDF sur le site de Blénod (Meurthe-et-Moselle) en octobre 2011.
-5-
Les performances technique et environnementale du CCG permettent une augmentation de la capacité installée sur le
site de Martigues de 30%, une amélioration du rendement (de 37% à 55%) et une plus grande flexibilité d’utilisation.
Au total, 930 MW plus respectueux de l’environnement seront prochainement disponibles.
Pour chaque mégawatheure produit :
- les émissions de dioxyde de carbone (CO2) seront réduites par deux.
- les émissions d’oxydes d’azote (NOx) par 4
- les émissions de dioxyde de soufre (SO2) et de poussières seront, quant à elles, très faibles
Le « repowering » à grande échelle : une première en
Europe
Le cycle combiné gaz de Martigues 5 est le premier construit par EDF en France par "repowering", c'est-à-dire en
utilisant une partie des installations de l'ancienne centrale fioul comme la turbine à vapeur.
Cette réalisation, d'une grande complexité technologique, est une première en Europe à cette échelle. Conçue et
adaptée pour répondre à la fluctuation croissante de la consommation d’électricité, elle permet de reconvertir une
production au fioul -arrêtée en mars dernier- en production au gaz naturel, tout en augmentant la puissance disponible
ainsi que les performances techniques, économiques et environnementales.
Débuté en 2008, ce chantier d’envergure (de 500 millions d’euros pour les 2 CCG de Martigues) est l’investissement
le plus important du parc thermique à flamme en France.
Le premier cycle combiné gaz (CCG) du site de Martigues (Martigues 5), d’une puissance installée de 465 MW a été
mis en service industriel le 31 août 2012. Le second CCG actuellement en construction, Martigues 6, d'une puissance
identique, devrait, quant à lui, être mis en service début 2013.
La filière de production thermique à flamme a connu d’importantes évolutions technologiques au cours des dernières
années : installations de lavage des fumées sur les centrales existantes, construction de nouveaux moyens de
production avec des rendements inégalés (47% sur le charbon supercritique en construction en Pologne, 61% sur le
CCG en construction à Bouchain dans le Nord de la France), construction d’un pilote de recherche de captage de
CO2 sur notre centrale du Havre.
L’impact positif du « repowering » sur l’environnement
Ce « repowering » permet d’abord de réutiliser des équipements déjà existants, comme les groupes turboalternateurs
et ainsi d’économiser l’énergie nécessaire à leur fabrication. Le « repowering » a permis d’éviter l’empreinte carbone
des émissions qu’aurait généré la construction de matériel neuf et son transport.
-6-
2. CCG de Martigues : un chantier exemplaire
Plus de 3 ans de travaux auront été nécessaires au « repowering » de la Centrale de Martigues, avec un pic de 1000
personnes employées sur le chantier et des résultats en termes de sécurité remarquables tout au long des 3,3 millions
d’heures travaillées. Une partie des installations de l’ancienne centrale fioul, mise en service en 1971, ont été
rénovées, comme la turbine à vapeur (TAV), ou le poste d’eau, et ont été associées à un ensemble neuf composé
d’une turbine à combustion (TAC) et d’une chaudière de récupération.
L’intégration environnementale à toutes les étapes du
projet
Depuis le début, le chantier de construction des CCG est organisé pour atteindre des objectifs ambitieux en matière
de préservation de l’environnement sur tout le cycle de vie des installations. Un programme de valorisation des
déchets a été mis en place avec, par exemple, la création d’une déchetterie sur le site et le recyclage des déblais : les
60 000 m3 de terre dégagés lors des travaux de terrassement serviront à remblayer et à revégétaliser certaines zones
du site. Avec cette opération EDF a, par ailleurs, limité les déplacements de camions et « économisé » 100 000
kilomètres de trajets.
Une biodiversité préservée
Suite au déplacement d’Ophrys Aurélien (espèce protégée d’orchidée) dans le cadre de la construction des cycles
combinés gaz, la centrale a mis en œuvre des mesures compensatoires afin de préserver la biodiversité. Elle a cédé
au Conservatoire Régional des Espaces Naturels la partie la plus riche du vallon des Renaïres et protège le biotope
sur une surface de 11 hectares, par la mise en place d’un arrêté préfectoral.
Deux espèces d’orchidées protégées dans le
cadre de l’arrêté biotope et du plan de gestion
avec le CEEP CEEP
-7-
3. LE THERMIQUE A FLAMME : FLEXIBILITE ET
REACTIVITE
L’électricité ne se stockant pas et faisant l’objet de demandes variables, en fonction des saisons notamment, la
diversité des différents moyens de production utilisés par EDF permet d’ajuster en permanence l’offre à la demande :
-
le nucléaire et l’hydraulique, en raison de leurs coûts de production peu élevés, sont utilisées prioritairement
en période de consommation normale (dite « en base », c’est à dire quelle que soit l’heure de la journée ou
l’époque de l’année) ;
-
la production thermique à flamme (fioul, gaz et charbon) est sollicitée en période de « semi-base » (production
modulée au fil de la journée) et « de pointe » (les jours de grand froid par exemple). Il en va de même pour la
production hydraulique « modulable », correspondant aux barrages de retenue.
La contribution à un mix de production efficace et
compétitif
Avec en 2011 une puissance installée en France de 12,2 GW et 45 GW de capacité brute1 de production thermique à
flamme installée dans le monde, EDF est aujourd’hui un acteur majeur de la production thermique à flamme. En 2011,
les centrales thermiques à flamme d’EDF en France ont produit 11,8 TWh, soit 2,5 % de la production annuelle d’EDF
en France.
1
Capacités physiques totales des unités dans lesquelles le Groupe a des intérêts
-8-
Un parc de production thermique diversifié et bien
implanté sur le territoire
Le parc thermique à flamme d’EDF en France s’est adapté au rythme de l’évolution des besoins en électricité. Le parc
en fonctionnement est aujourd’hui constitué de capacités de production diversifiées, tant au niveau du combustible
que de la puissance :
-
13 centrales au charbon : 9 unités de 250 MW et 4 de 600 MW
-
8 centrales au fioul : 4 unités de 700 MW, 4 de 600 MW
-
13 turbines à combustion pour un total de 1856 MW
-
1 cycle combiné gaz de 430 MW à Blénod
-
1 cycle combiné gaz de 465 MW à Martigues
-9-
4. RENFORCEMENT ET MODERNISATION DES
CENTRALES THERMIQUES A FLAMME
EDF a lancé un vaste programme de renforcement et de modernisation de ses centrales thermiques à flamme. Au
total, ce sont 5 000 MW supplémentaires qui auront été mis en service en France à fin 2012.
EDF a ainsi considérablement renforcé ses capacités de production de pointe et de semi-base et poursuit la
modernisation de son parc. Les rénovations et modernisations portent essentiellement sur les performances
techniques et environnementales.
Rénover les unités de production au charbon les plus
récentes pour la « semi-base »
EDF rénove et modernise ses centrales thermiques à charbon les plus puissantes (600 MW) pour répondre aux
besoins des périodes de consommation intermédiaire (semi-base). Elles bénéficient des coûts de revient du
combustible les plus bas du parc thermique à flamme. Leur flexibilité et leur puissance sont des atouts essentiels. Un
programme de 450 millions d’euros d’investissements sur ces centrales sera déployé d’ici 2015 pour améliorer leurs
performances et prolonger leur durée de vie.
Construire quatre cycles combinés gaz en France pour
répondre aux besoins de « semi-base »
Les unités de production au gaz sont les plus compétitives et les plus performantes pour répondre à la demande en
semi-base.
EDF a lancé la construction de quatre cycles combinés gaz en France pour une mise en service des premières unités
entre 2011 et 2015.
-
-
un cycle combiné gaz de 430 MW sur le site de la centrale thermique de Blénod-Lès-Pont-A-Mousson
(Meurthe-et-Moselle) mis en service en octobre 2011
la centrale thermique au fioul de Martigues (Bouches-du-Rhône) sera remplacée par deux cycles combinés
gaz pour une puissance totale de 930 MW dont la première mise en service a eu lieu en août 2012, la
deuxième aura lieu début 2013
en décembre 2011, le Groupe a annoncé la construction, en partenariat, avec GE, d’un cycle combiné
gaz de dernière génération équipé de la technologie FlexEfficiency50 à Bouchain. Ce cycle combiné gaz,
dont la mise en service est prévue en 2015, aura une capacité installée de 510 MW
- 10 -
« Décocooner » quatre unités de production au fioul
pour répondre aux besoins de «pointe »
Sur la période 2006-2008, EDF a réactivé 2 600 MW de capacités de production de pointe au fioul, arrêtées
temporairement dans les années 1990-2000, dans un contexte de surcapacité de production :
-
Porcheville (Yvelines) : 2 tranches de 600 MW réactivées, une en décembre 2006, l’autre fin 2008
Cordemais (Loire-Atlantique) : 1 tranche de 700 MW réactivée fin 2007
Aramon (Gard) : 1 tranche de 700 MW réactivée fin 2008
Ce programme constitue une première mondiale, pour une telle puissance (2600 MW) dans un délai de trois ans.
Construire des turbines à combustion pour « l’extrême
pointe »
Les turbines à combustion fonctionnent en moyenne quelques centaines d’heures par an et peuvent être démarrées
très vite avec une grande fiabilité. En cas d’urgence, douze à vingt minutes suffisent en effet pour produire à pleine
puissance. EDF a mis en service 1 100 MW de capacités d’extrême pointe, en Ile de France, entre 2008 et 2010 :
-
Vaires-sur-Marne (Seine et Marne) : 3 turbines à combustion de 185 MW
Montereau (Seine et Marne) : 2 turbines à combustion de 185 MW
Vitry-Arrighi (Val-de-Marne) : 1 turbine à combustion de 125 MW
Optimiser les performances environnementales
Avec 10 à 15 ans d’avance par rapport à la réglementation, les centrales à charbon de 600 MW sont équipées des
systèmes de lavage des fumées les plus récents et les plus performants. Elles sont dotées d’un système de
désulfuration des fumées (réduction de 90% des émissions de dioxyde de soufre) et d’un système de dénitrification
des fumées (réduction de 80% des émissions d’oxyde d’azote). Ces traitements permettent à ces unités de production
de se conformer aux exigences environnementales applicables dès 2008 ainsi que de répondre aux évolutions de la
réglementation au-delà de 2015 (décisions issues du Grenelle de l’environnement).
Des progrès ont été réalisés sur les performances des centrales fioul grâce à l’optimisation de la combustion et à
l’utilisation de combustible de meilleure qualité : fioul à très faible teneur en soufre, charbons moins cendreux et moins
soufrés. Une expérimentation est par ailleurs actuellement menée sur deux unités de production qui ont été équipées
de brûleurs bas NOX, pour réduire encore plus les émissions d’oxyde d’azote.
Parallèlement et compte-tenu des exigences environnementales, l’entreprise a décidé d’arrêter progressivement, d’ici
au 31 décembre 2015, les unités de production au charbon les plus anciennes, c'est-à-dire les 9 unités de production
d’électricité fonctionnant au charbon de 250 MW ainsi qu’une ancienne unité de 600 MW au Havre. Pour ces unités,
EDF a engagé un programme d’investissement qui permettra de maintenir leur niveau de performance jusqu’en 2015.
L’ensemble des centrales thermiques à flamme en fonctionnement est certifié ISO 14001.
- 11 -
5. LE DEVELOPPEMENT DU THERMIQUE A
FLAMME A L’INTERNATIONAL
L’expertise technologique du Groupe dans la production thermique est une référence reconnue dans le monde entier.
Au cours des 30 dernières années, EDF a ainsi développé de nombreux partenariats internationaux. Fin 2011, le
Groupe EDF dispose de 45 GW de puissance installée brute dans le monde. L’objectif étant de consolider la
production thermique Groupe à 50 GW.
Une expertise en ingénierie thermique
EDF dispose d'une ingénierie reconnue internationalement. L’entreprise intervient en France et à l'étranger sur le
développement de nouvelles installations, l'adaptation et la rénovation d'installations existantes et la mise au point de
nouvelles technologies pour préparer l'avenir. Le Groupe EDF s’intéresse à la construction de centrales à charbon
supercritiques capables de mieux brûler le charbon avec moins de rejets, notamment en Pologne où EDF va
construire à Rybnik une centrale à charbon supercritique, la première de ce type qui sera conçue et construite par son
ingénierie.
Les ambitions du Groupe
L’international a une place de choix dans la stratégie du Groupe dont l’ambition est d’augmenter ses capacités de
production d’électricité à l’international de 50% d’ici la fin de la décennie. Face à la forte croissance de la demande en
électricité et des besoins en capacité, le groupe EDF est sollicité par de nombreux pays industrialisés ou en voie de
développement pour concevoir, construire et exploiter des centrales thermiques. EDF a ainsi mené ces dernières
années, un programme de développement de cycles combinés gaz à l’international : Norte Fluminense au Brésil, Phu
My au Vietnam, et SLOE aux Pays-Bas sont aujourd'hui opérationnels. Deux des trois CCG à West-Burton au
Royaume-Uni seront mis en service fin 2012 le troisième courant 2013.
.
- 12 -
ANNEXE
LES CHIFFRES CLES DU CHANTIER
Investissement : 500 millions d’euros (pour les 2 CCG)
Le « repowering » a permis une réduction des coûts de 15 % par rapport à une installation neuve
Une amélioration des performances du site :
-
diminution par 2 des émissions de CO2
-
diminution par 4 des émissions d’oxyde d’azote
-
pas de poussières, très peu d’oxyde de soufre
-
un rendement de 57% contre 37% sur les anciennes installations
Une turbine TAC de 350 tonnes
Une turbine TAV de 300 tonnes
Les intervenants du chantier :
-
160 entreprises titulaires
-
300 sous-traitants
-
800 personnes en moyenne sur le chantier dont un pic à 1000 personnes
-
3 400 000 heures travaillées
Un chantier de grande envergure :
-
surface chantier : 55 000 m²
-
volume béton : 18 000 m3
-
ferraillage : 10 000 t
-
coffrage : 22 000 m²
-
câblages électriques : 400 km
-
tuyauterie : 20 km
-
hauteur cheminées : 60 m
-
chaudière : 56x16x30 m
Un chantier exemplaire sur le plan de la sécurité : Taux de fréquence globale = 2.09
- 13 -
REPERES
Durées moyennes d’utilisation
Charbon
2500 à 5000 h
Gaz (CCG)
2500 à 4000 h
Fioul
150 à 500 h
TAC gaz
Quelques centaines d’heures par an
TAC fioul (FOD)
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