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Sommaire
Communiqué de presse
Avant-propos, par Pierre Lefranc, vice-président et fondateur de la Fondation
Charles de Gaulle
70ème anniversaire de l’Appel du 18 juin et de la France libre :
de Londres à Paris
70ème anniversaire de l’Appel du 18 juin et de la France libre :
Tchad – Cameroun – Congo, 25-30 octobre 2010
Hommage au général de Gaulle, 15 juillet 2010
« De Gaulle et l’Afrique » : Tchad, Cameroun, Congo.
Une exposition, un catalogue
Les bourses « Charles de Gaulle »
Colloque international, « De Gaulle et l’Afrique, la décolonisation de l’Afrique
francophone subsaharienne » - Paris, 2-3 décembre 2010
ANNEXES
Délégation de la Fondation Charles de Gaulle
Présentation de la Fondation Charles de Gaulle
Contact presse :
FONDATION CHARLES DE GAULLE
01.44.18.66.73 ou 77
[email protected]
70ème anniversaire de la création de la France libre
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Communiqué de presse
Commémoration du 70e anniversaire de la France libre
Tchad-Cameroun-Congo (Brazzaville), 25-30 octobre 2010
Paris le 20 octobre 2010.
A l’occasion du 70ème anniversaire de la naissance de la France Libre, et en prolongement
des manifestations en France et à Londres de juin 2010, la Fondation Charles de Gaulle
organise, du 25 au 30 octobre 2010, une commémoration exceptionnelle au Tchad, au
Cameroun et au Congo (Brazzaville), berceau de la France libre.
► 1940-1960-2010 : le sens d’une commémoration
Le 18 juin 2010, la France commémorait à Londres et en France, le 70ème anniversaire de
l’Appel du général de Gaulle, lancé sur les ondes de la BBC, acte fondateur de la France Libre.
Elle rendait ainsi hommage à tous ceux, Français libres ou résistants de l’intérieur, qui ont
refusé de se soumettre au nom d’une « certaine idée de la France » et se sont ralliés, à
«l’homme du 18 juin ».
Du 25 au 30 octobre 2010, la Fondation Charles de Gaulle sera accueillie au Tchad, au
Cameroun et au Congo (Brazzaville) où elle rendra un hommage particulier aux territoires et
aux hommes, qui, en Afrique, ont rejoint les premiers le combat du général de Gaulle, à
l’instar de Félix Eboué ou du colonel Leclerc.
Pour la Fondation Charles de Gaulle cette commémoration constitue le point d’orgue des
manifestations du 70ème anniversaire de la France libre car elle rappellera à tous cette part
d’histoire commune et la singularité des liens qui unissent depuis la France au Tchad, au
Cameroun et au Congo (Brazzaville). Si la France Libre a pu exercer rapidement sa
souveraineté sur un territoire, Brazzaville devenant dès le 27 octobre 1940 la capitale de la
France Libre, si les Forces Françaises libres ont poursuivi en Afrique le combat aux côtés des
Alliés, c’est à ces territoires et à ces hommes d’Afrique centrale que nous le devons.
En cette année du Cinquantenaire des Indépendances africaines, rappelons que c’est aussi à
Brazzaville que le général de Gaulle avait posé dès janvier 1944 les bases d’une politique
africaine qu’il mettra en œuvre après son retour au pouvoir en 1958 et qui conduira aux
indépendances de 1960.
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► N’Djamena, Yaoundé, Brazzaville : un événement mémoriel en Afrique
Grâce au soutien du Ministère de la Défense et des plus hautes autorités des Etats
concernés, la Fondation Charles de Gaulle a construit un programme mémoriel qu’elle a
voulu d’ampleur, solennel et surtout inscrit dans un présent franco-africain.
Une délégation de 200 personnes constituée de Français libres, d’anciens collaborateurs du
général de Gaulle, de personnalités et d’élèves africains des établissements militaires
français, accompagnée d’un détachement du Régiment de Marche du Tchad (RMT) avec son
emblème et par la musique des troupes de marine, participera aux différentes
manifestations organisées conjointement avec les Etats hôtes.
Dans chacun des pays visités, le programme comporte :
● Un hommage à la France libre et aux combattants africains qui se traduira par des
cérémonies devant les monuments dédiés au général de Gaulle, au général Leclerc et à Félix
Eboué et des prises d’armes franco-africaines destinées à souligner la fraternité d’armes
dans le combat commun, mais aussi par la réhabilitation de la maison des Anciens
combattants au Tchad et au Congo.
● Des rencontres entre les membres de la délégation et des personnalités des pays hôtes
privilégiant les échanges franco-africains, à l’occasion de conférences et de réceptions
officielles.
● L’inauguration de l’exposition itinérante « De Gaulle et l’Afrique » constituée de 22
panneaux retraçant à la fois l’itinéraire du général de Gaulle (1890-1970) et sa relation avec
l’Afrique centrale de 1940 à 1960. Mise à la disposition des établissements scolaires de
chacun des pays hôtes et des centres culturels français, cette exposition pédagogique
s’accompagne d’un catalogue-album distribué à 1500 exemplaires dans chacun des pays.
● L’annonce de l’attribution de Bourses d’excellence « Charles de Gaulle ». Prévues pour la
rentrée 2011, ces bourses seront décernées à quatre collégiens camerounais et congolais,
sélectionnés par un jury ad hoc ; Elles couvriront les frais de scolarité de ces élèves dans les
lycées Français.
Contact presse :
FONDATION CHARLES DE GAULLE
01.44.18.66.77
[email protected]
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Avant-propos
Contrairement à beaucoup d’officiers français en 1940 le colonel de
Gaulle n’avait jamais mis le pied en Afrique.
Il avait été en poste au Liban et avait parcouru le Proche-Orient mais le
grand continent d’Alger à Brazzaville lui était inconnu.
Et c’est du plus isolé des territoires liés à la France qu’allait lui parvenir
le premier ralliement en réponse à son appel du 18 juin. Des rives du Tchad, une
grande voix lui répondit. Le seul gouverneur noir du corps colonial se ralliait, le
plus patriote de tous ses collègues, le plus impliqué dans la défense de l’honneur
et de l’indépendance de sa lointaine patrie. Pour de Gaulle, l’Afrique entrait en
scène.
Le premier acte fut dramatique : c’est Dakar où les Vichystes tirent sur
les Français libres. Que va-t-il se passer dans les autres territoires ?
Par un hardi coup de main, le colonel Leclerc a forcé le ralliement du Cameroun. De son côté, agissant
avec un extraordinaire esprit d’initiative, le colonel de Larminat fait basculer le moyen Congo dans le bon camp.
Mais arrivant au Cameroun le 8 octobre, de Gaulle ignore l’accueil qui l’attend. Les autorités sont
maintenant acquises mais le peuple ? Quel est son sentiment ? Le bâtiment accoste, la Marseillaise éclate mais
c’est une immense acclamation qui domine le port : la population reconnaît la France dans le grand général qui
descend lentement la coupée.
Ce contact-là est celui du cœur et va donner au chef de la petite France libre conscience de la hauteur
de sa mission.
Puis c’est l’installation à Brazzaville qui va devenir la capitale de la France au combat pour sa
libération.
C’est le manifeste du 27 octobre 1940 par lequel de Gaulle prend l’engagement de rétablir la
République, c’est la création de l’Ordre de la Libération, c’est dès que possible l’installation d’un poste
émetteur de radio qui donnera à de Gaulle sa totale liberté de parole. C’est enfin sur les rives du Congo que
sera donnée au général Leclerc la mission de monter vers le nord vers le Fezzan et vers la Tunisie.
La guerre sur le point d’être gagnée, c’est la conférence de Brazzaville en janvier 1944 où de Gaulle
ouvre les portes de l’avenir aux vastes pays qui constituent encore l’empire africain de la France.
Revenu au pouvoir, le Général mettra en œuvre sa politique d’émancipation et, les unes après les
autres, des nations nouvelles vont prendre place dans l’Histoire.
De Gaulle et l’Afrique c’est une union d’inclination pour ne pas dire d’amour. Le sentiment
exceptionnel a survécu aux atteintes du temps, ainsi en témoignent les manifestations qui se sont déroulées au
courant de l’année 2010 et qui renforcent encore l’attachement de la France aux jeunes Etats où le souvenir de
De Gaulle est toujours présent dans tous les cœurs.
.
Pierre Lefranc
Vice-Président
et fondateur de la Fondation Charles de Gaulle
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70ème anniversaire de l’Appel du 18 juin et de la France
libre : de Londres à Paris
A l’heure où l’Appel résonne encore comme un message d’espoir et de liberté, le 70ème anniversaire de
l’Appel du 18 juin du général de Gaulle et de la France Libre est l’occasion unique de rendre un hommage aux
femmes et aux hommes d’honneur qui ont refusé de se soumettre au régime d’occupation et sont restés
fidèles aux valeurs de la République. Un hommage qui prend, en cette année 2010, une dimension
particulièrement solennelle.
2010 marque sans doute le dernier grand rendez-vous des Français, notamment des plus jeunes, avec la
génération des acteurs et témoins d’une époque décisive de notre histoire contemporaine.
A l'occasion du 70e anniversaire de l'appel du 18 juin 1940, un Eurostar a été spécialement affrété et sérigraphié avec les effigies du Général
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Conçu comme une « saison mémorielle », le programme commémoratif 18 juin comprenait à la fois des
évènements mémoriels à vocation commémorative et des productions culturelles visant tous les publics et
toutes les générations, du néophyte au passionné d’histoire, du témoin au scolaire. Au travers de ce format
résolument novateur, le 70ème anniversaire entend fédérer les jeunes comme les moins jeunes, favoriser le
dialogue et la réflexion dans la population, faire vivre notre Histoire et les valeurs civiques parmi les citoyens.
Londres : l’hommage aux Britanniques. Les commémorations ont débuté au siège historique de la BBC
(Broadcasting House), puis à Carlton Gardens, quartier général de la France Libre de 1940 à 1943. Enfin, à
l’issue des hommages rendus aux dirigeants et souverains britanniques (dépôts de gerbe aux statues de
Churchill, de Georges VI et de la Reine Elisabeth), une grande cérémonie franco-britannique a consacré les
retrouvailles des Free French et des Tommies. Cette commémoration londonienne a bénéficié de la mise en
place d’un dispositif exceptionnel tant de la part des médias audiovisuels ("émissions spéciales" TF1, France TV,
Radio France) que de celle des organisateurs (un Eurostar spécial a acheminé à Londres, pour la circonstance,
de nombreux témoins, personnalités et journalistes.)
Paris, Mont Valérien : l’hommage solennel à la France combattante. Dans ce haut lieu de la mémoire
nationale, une cérémonie au déroulement immuable, s’est tenue, comme chaque 18 juin (le Mémorial de la
France combattante a été inauguré par le général de Gaulle le 18 juin 1960).
Paris, Invalides : l’hommage au général de Gaulle et aux Français libres À partir de 22 heures, sur l’esplanade
des Invalides, le public est invité à assister à un grand spectacle multimédia. Une fresque historique qui retrace
l’épopée de la France libre et combattante, de l’Appel à la Libération, illuminera la façade de l’Hôtel national
des Invalides.
Le 18 juin 2010 aux Invalides un spectacle son et lumière grandiose projeté sur la façade des Invalides a attiré plus de 30 000 personnes
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70ème anniversaire de l’Appel du 18 juin et de la France
libre : Tchad-Cameroun-Congo, 25-30 octobre 2010
Cette année 2010, le 70ème anniversaire de l’Appel se double du cinquantenaire des Indépendances des
pays d’Afrique francophones. Il s’agit alors de remercier les Africains d’avoir donné à la France Libre, dès
l’été 1940, sa première assise territoriale. Voulant commémorer le rôle majeur assumé par ces pays dans la
Victoire, et les liens très étroits qui unirent toujours le continent africain à Charles de Gaulle, une
manifestation d’envergure est programmée à travers le Tchad, le Cameroun, et le Congo.
Tchad : N’Djamena, 25-26 octobre 2010
Rappel historique
Premier pays d’Afrique à rejoindre le général de Gaulle le 26 août 1940 grâce à l’action conjuguée de
son Gouverneur général, Félix Eboué, du Secrétaire général, Henri Laurentie et d’une majorité des Français, le
Tchad apporte à la France libre une base de départ pour une action future contre les forces de l’Axe mais aussi,
avec son Gouverneur général, l’exemple d’un patriote exemplaire aux origines africaines qui préfigure le
ralliement des populations noires d’Afrique. Plus tard, le général de Gaulle saluera en Félix Eboué le « symbole
de la dette contractée envers les peuples dont le destin est associé à celui de la France ».
Le nom de Leclerc est inséparable de celui du Tchad. C’est en effet à partir de Fort-Lamy, aujourd’hui
N’Djaména, que Philippe de Hauteclocque a lancé la colonne Leclerc pour investir et faire tomber Koufra, tenu
par les Italiens et situé 1 500 kilomètres plus au Nord, en territoire libyen. Composée de deux compagnies
motorisées, la colonne totalise environ 400 hommes dont 100 Européens et 300 Tchadiens et Sénégalais.
Un an plus tard, la colonne Leclerc, devenue la Force « L », entreprendra des actions offensives vers
Tripoli à partir de ses bases tchadiennes, avant de constituer au Maroc la future 2ème Division Blindée dont le
Régiment de Marche du Tchad sera l’une des plus belles unités.
Programme
Lundi 25 octobre N’Djamena
19h 45 : Réception offerte par l’ambassadeur de France à la Résidence en présence de nombreuses
personnalités tchadiennes, au cours de laquelle l’exposition « De Gaulle et l’Afrique » sera officiellement
inaugurée.
Mardi 26 octobre – N’Djamena
8h 45 : Inauguration de la Maison des Anciens Combattants réhabilitée par la Fondation Charles de Gaulle
10h 15 : Cérémonie au Monument Eboué-Leclerc
11h 00 : Prise d’armes franco-tchadienne présidée par le président Idriss Deby, président de la République du
Tchad
12h 00 : Réception offerte par le président Idriss Deby au palais présidentiel.
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Cameroun – Yaoundé, 26-28 octobre 2010
Rappel historique
Le Cameroun n’a jamais été une colonie française : ancienne colonie allemande, le territoire, après la
victoire de 1918 et le traité de Versailles, a été placé sous tutelle de la Société des Nations et confié à
l’administration de la France et du Royaume-Uni.
En 1940, en raison de sa frontière commune avec le Nigeria, de sa population dont une forte
proportion d’Européens et de sa prospérité, le Cameroun constituait un enjeu.
Dans la nuit du 26 au 27 août 1940, le commandant Leclerc et le colonel Hettier de Boislambert
s’emparent de Douala. Le lendemain, le gouverneur se range à leurs côtés et le Cameroun, en quelques heures,
bascule du côté de la France libre !
Le 8 octobre 1940, le général de Gaulle, prenant la parole au micro de Radio Cameroun, déclara : « Au
Cameroun, je dirai que c’est à dessein que le chef des Français libres a voulu venir ici en premier lieu. Oui, en
premier lieu au Cameroun, parce que le Cameroun est particulièrement visé par l’ennemi, parce que le
Cameroun, lui, n’a jamais fléchi dans sa volonté de se défendre et parce que le Cameroun, sous l’impulsion du
colonel Leclerc, son glorieux et avisé gouverneur, donne à tout l’Empire l’exemple de la foi, du courage, de
l’effort. »
Programme
Mardi 26 octobre – Yaoundé
19h 30 : Réception au « Club France ». Rencontre avec la communauté française.
Mercredi 27 octobre – Yaoundé
10h 30 : Prise d’armes franco-camerounaise présidée au monument Leclerc-Eboué par M. Laurent ESSO
ministre d’Etat, secrétaire général de la présidence de la République.
11h 30 : Réception offerte par les autorités camerounaises.
18h 30 : Réception offerte par l’ambassadeur de France à la Résidence au cours de laquelle l’exposition « De
Gaulle et l’Afrique » sera officiellement inaugurée.
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Congo – Brazzaville, 28-30 octobre
Rappel historique
…. « A Brazzaville, l’affaire fut aussi bien menée. Le 28 août, à l’heure fixée, le commandant Delange se rendit
au Palais du Gouvernement à la tête de son bataillon et invita le gouverneur-général Husson à céder la place.
Celui-ci le fit sans résistance, quoique non sans protestations. La garnison, les fonctionnaires, les colons, les
Congolais, dont, pour la majorité, l’opinion était faite d’avance … acceptèrent avec joie. Le général de Larminat,
traversant le Congo, prit aussitôt en mon nom les fonctions de Haut-commissaire de l’Afrique équatoriale
française avec pouvoirs civils et militaires. …Ainsi, la plus grande partie du bloc Afrique équatoriale – Cameroun
se trouvait jointe à la France libre sans qu’ait coulé une seule goutte de sang. » Charles de Gaulle, Mémoires de
Guerre - l’Appel 1940-1942
Le général de Gaulle s’installe à Brazzaville dès le 24 octobre 1940 qui devient capitale de la France libre le 26
octobre ; le 27, une ordonnance du Général y crée le Conseil de Défense de l’Empire, embryon d’un
gouvernement ; le 16 novembre, il y institue l’Ordre de la Libération ; Radio-Brazzaville devient son émetteur
national. Le général de Gaulle séjournera régulièrement à Brazzaville avant de s’installer à Alger en juin 1943. Il
y reviendra pour ouvrir la conférence africaine française (30 janvier-8 février 1944 qui pose les bases de la
politique africaine qu’il mènera de retour au pouvoir en 1958.
Programme
Jeudi 28 octobre – Brazzaville
18h 00 : Signature de la convention concernant les bourses Charles de Gaulle et la réhabilitation de la Maison
des Anciens combattants de Poto Poto
19h 30 : Réception offerte par l’ambassadeur de France à la Case de Gaulle.
Vendredi 29 octobre – Brazzaville
9h 15 : Cérémonie franco-congolaise au monument du général de Gaulle
10h 30 : Prise d’armes au stade Félix Eboué
11h 20 : Messe présidée par Mgr Milandou, archevêque de Brazzaville à la basilique Sainte-Anne.
12h 45 : Dévoilement d’une plaque de la Fondation Charles de Gaulle à la basilique Sainte-Anne.
13h 15 : Réception offerte par l’ambassadeur de France à la Case De Gaulle.
15h 45 : Cérémonie à l’école militaire général Leclerc conduite par la Fondation du maréchal Leclerc de
Hauteclocque.
16 h 00 : Rencontre avec Eric Deroo, auteur du Manuel scolaire consacré à la « Force Noire », Librairie-Galerie
Congo des Dépêches de Brazzaville.
16h 00 : Conférence de Frédéric Salat-Baroux, conseiller d’Etat, ancien secrétaire général de l’Elysée, au Palais
des Congrès de Brazzaville intitulée «De Gaulle, une vision d’un monde multipolaire».
19h 00 : Réception offerte par le président de la République du Congo, Denis Sassou-N’Guesso au palais
présidentiel.
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Hommage au général de Gaulle, 15 juillet
2010
Dans le cadre des cérémonies du 70ème anniversaire de la France libre et du 50ème anniversaire des
indépendances africaines, la France a souhaité associer les armées africaines des anciennes colonies françaises
à participer au défilé du 14 juillet, célébrant ainsi «le lien né de la contribution des troupes africaines à la
défense et à la libération de la France».
Le lendemain, le président du Congo, Denis Sassou N’Guesso, et le président du Cameroun, Paul Biya étaient
les invités de la Fondation Charles de Gaulle. Reçus successivement par Pierre Lefranc, vice-président de la
Fondation et Antoine Dupont-Fauville, secrétaire général, en présence de Jacques Toubon, ancien ministre,
secrétaire général du Cinquantenaire des Indépendances africaines, ils ont tenu à rendre homme au général de
Gaulle, tant l’homme du 18 juin 1940 que celui de la décolonisation.
«En visitant ce lieu, qui entretient sa mémoire avec une ferveur
affectueuse, j’ai mieux perçu toutes les dimensions de sa riche
personnalité. Personnage hors du commun, hissé par sa vision, sa pensée
et son action, aux cimes les plus élevées de l’histoire, Charles de Gaulle ne
laissait pas de cultiver la simplicité dans sa vie quotidienne. Son courage,
sa rectitude, sa noblesse, son sens du devoir, son souci d’incarner la
France, d’hier et en devenir, font de lui une source d’inspiration pour tous
ceux qui ont choisi le métier des armes, comme pour tous ceux que leur
peuple a placés à la tête de leur pays. Le général de Gaulle nous rappelle
que la charge suprême implique un don de soi total. Il a incarné la France,
mais son action et son message nous concernent tous. Je remercie la
Fondation Charles de Gaulle de m’avoir offert l’occasion de méditer plus
profondément sur le destin d’un homme qui a marqué son siècle et dont le
nom demeurera à jamais à l’histoire de mon pays. Je félicite la Fondation
pour le professionnalisme, la ferveur et l’intelligence avec lesquels elle
veille à la mémoire de Charles De Gaulle.», a écrit le président Denis
Sassou N’Guesso dans le livre d’or de la Fondation Charles de Gaulle.
Denis Sassou N’Guesso, président du
Congo
Lors de sa réception à la Fondation Charles de Gaulle, le
président Paul Biya a rendu hommage au général de
Gaulle en ces termes : «L'Africain que je suis retiendra sans
hésiter le rôle capital que le général de Gaulle a joué dans
l'accession à l'indépendance des peuples qui furent sous sa
tutelle ». C'est la phrase qu’il a consignée dans le livre d'or
de la Fondation Charles de Gaulle. Dans une allocution, le
président camerounais a également évoqué les grandes
lignes de l’amitié franco-camerounaise : une «amitié qui a
été scellée dans le sang».
Paul Biya, président du Cameroun
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« De Gaulle et l’Afrique » : Tchad, Cameroun, Congo
Une exposition, un catalogue
La Fondation Charles de Gaulle a conçu une exposition de 22 panneaux retraçant la vie du général de Gaulle
(1890-1970). Huit des 22 panneaux sont consacrés à l’Afrique de 1940 à 1960 mettant en valeur d’une part le
rôle politique, militaire et stratégique de l’Afrique dans la guerre et d’autre part son cheminement vers les
indépendances.
L’exposition sera successivement inaugurée par la délégation à l’ambassade de France au Tchad, au Cameroun
et au Congo en présence des autorités des pays visités. Pour remplir au mieux sa mission de transmission de la
mémoire, la Fondation Charles de Gaulle a souhaité offrir un exemplaire de cette exposition itinérante à
chaque pays afin qu’elle puisse être vue à l’avenir par le plus grand nombre.
Au sommaire :
Outre les 12 panneaux biographiques,
L’Afrique française libre
• Rallier de Gaulle, les « Trois Glorieuses »,
août-novembre 1940
• « Brazzaville, capitale de la France libre »,
automne 1940
• Le manifeste de Brazzaville, 16 novembre
1940
Vers les indépendances
• Radio-Brazzaville : l’esprit de la France
libre, 5 décembre 1940
• L’épopée de la colonne Leclerc, 1940-1944
• La conférence de Brazzaville, 30 janvier-8
février 1944
• Les voyages du général de Gaulle en
Afrique, mars – automne 1953
• De la Communauté aux indépendances,
1958-1960
Un catalogue « De Gaulle et l’Afrique, 1940-1960 : Tchad, Cameroun, Congo »,
complète cette présentation en y ajoutant discours du général de Gaulle, déclarations du
général Leclerc, et divers documents tels que le texte du Manifeste de Brazzaville. Une
chronologie des relations franco-africaines, 1940-1960 permet de contextualiser
l’ensemble.
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Les bourses Charles de Gaulle
BOURSES D’EXCELLENCE CHARLES DE GAULLE en AFRIQUE
Dans le cadre du 70ème anniversaire de la France libre et à l’occasion du voyage commémoratif qu’elle
entreprend au Tchad, Cameroun et Congo du 25 au 30 octobre 2010, la Fondation Charles de Gaulle a souhaité
inscrire son geste mémoriel dans le présent et surtout dans la durée.
C’est pourquoi, en liaison avec les postes diplomatiques et lycées français des pays concernés, des bourses
d’excellence « Charles de Gaulle » seront attribuées à des collégiens camerounais et congolais sur critères
d’excellence académique. Elles consistent en la prise en charge durant trois années des frais d’inscription et de
scolarité de deux collégiens admis aux Lycées français de Yaoudé, Doula et Brazzaville.
BOURSES DE RECHERCHE
Créées en 2003 par la Fondation Charles de Gaulle, alors présidée par Yves GUENA, avec le concours de son
Club d’Entreprises, ces bourses d’une valeur de 10.000 € chacune sont destinées au financement de recherches
de jeunes candidats francophones de moins de 40 ans ayant la volonté de prolonger la réflexion du général de
Gaulle sur les problèmes d’actualité.
Tenant compte de la diversité des mesures en faveur de l’innovation que le Général de Gaulle avait inspirées
dans les domaines économique, social, scientifique, technique et culturel qui ont tant déterminé l’avenir des
organismes et entreprises français, un nouveau thème de recherche d’actualité est proposé chaque année aux
candidats.
Un jury composé de 9 membres regroupe chaque année trois personnalités qualifiées ayant un lien
avec le thème des bourses, trois représentants des entreprises membres du Club d’Entreprises ainsi que trois
représentants de la Fondation Charles de Gaulle. Il rend ses décisions au vu d’un examen approfondi des
dossiers de candidature reçus au siège de la Fondation, chaque lauréat disposant ensuite d’un an pour
développer ses travaux et remettre son dossier final.
BOURSES « JEUNES ELITES »
Placé sous le patronage des plus hautes
autorités, ce programme a débuté avec
la Chine pour des raisons historiques (le
président Hu Jintao avait tenu à rendre
un hommage appuyé à l’initiateur du
dialogue franco-chinois contemporain
lors de sa visite d’Etat en France de
janvier 2004) et institutionnelles (un
partenariat lie la Fondation et l’Institut
de Politique étrangère du Peuple Chinois
depuis 2004).
Depuis
2005,
la
Fondation
a
intégralement pris en charge les frais de Du 8 au 17 septembre 2007, la Fondation Charles de Gaulle organise
vie et de scolarité de trois diplomates d’étude en Chine pour une vingtaine de « jeunes élites » françaises
chinoises (Master 2 à Sciences Po ou
HEC) et a organisé des séjours d’étude pour des délégations françaises.
un séjour
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Colloque international
« De Gaulle et l’Afrique, la décolonisation de l’Afrique francophone subsaharienne »
Auditorium Parodi - Ecole nationale d’administration, 2, avenue de l’Observatoire, Paris 6e
Jeudi 2 et vendredi 3 décembre 201
JEUDI 2 DECEMBRE 2010
9 h 00 – accueil par Bernard Boucault, directeur de l’ENA et par Pierre Lefranc, président de la Fondation
Charles de Gaulle
Introduction : M. Henri Lopès, ambassadeur du Congo
I - La Communauté (1958-1960)
Présidence : André Lewin (ancien ambassadeur)
L’Union française de 1946 à 1958, espoirs et limites : Catherine Coquery-Vidrovitch (professeur émérite
Université Paris 7-Denis-Diderot)
La mise en œuvre institutionnelle de la Communauté : Didier Maus (professeur de droit constitutionnel)
Le sentiment de De Gaulle pour l’Afrique et les Africains depuis la guerre et la conférence de Brazzaville :
Marc Michel (professeur émérite, université de Provence)
De Gaulle et les Américains en Afrique noire : Pierre-Michel Durand (professeur agrégé en classes
préparatoires, docteur en histoire)
Grand témoin : Michel Aurillac (ancien ministre)
14 h 00
II - Vers l’indépendance, le rôle des hommes
Présidence : Noureini Tidjani-Serpos (ancien directeur général adjoint de l’Unesco)

Jean Foyer : Sabine Jansen (maître de conférences au CNAM, vice-présidente du Comité d'histoire
parlementaire et politique)
Jacques Foccart : Pascal Geneste (conservateur en chef, Archives nationales)
Léopold Sédar Senghor : Anna Konieczna (doctorante à l’IEP Paris)
Félix Houphouët-Boigny : Charles Zorgbibe (juriste et historien, professeur à l'université Paris I, ancien
recteur de l'académie d'Aix-Marseille).
Grand témoin : Yves Guéna (ancien ministre)
VENDREDI 3 DECEMBRE 2010
9 h 00
III - La politique de coopération
Présidence : Bernard Vinay (président des anciens élèves de l’ENFOM)
- Culture et enseignement : Alain Bry (chargé de mission au Secrétariat général de l’Elysée 1964-1968,
ambassadeur de France à Madagascar 1984-1988)
- Le franc CFA : Yves Barroux (directeur général de l’IEDOM et de l’IEOM)
- Un échec, la Guinée de Sékou Touré : André Lewin (ancien ambassadeur de France en Guinée)
- Le Mali : Vincent Joly (professeur d'histoire contemporaine à l'Université Rennes 2)
Débat 10h20-10h40 - Café 10h40-11h
- Les nouveaux Etats indépendants et la France : Tony Chafer (professeur à l’université de Portsmouth)
- De Gaulle et le Biafra : Jean Guisnel (journaliste, écrivain)
Table ronde 11h45-12h45
Jean Charbonnel (ancien ministre de la Coopération) Louis Dauge (ambassadeur de France) et Maurice Vaïsse
(professeur à l’IEP Paris)
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Délégation de la Fondation Charles de Gaulle
Antoine DUPONT-FAUVILLE
Secrétaire général de la Fondation Charles de Gaulle
À sa sortie de l'ENA en 1953, Antoine Dupont-Fauville est affecté à l'Inspection
générale des Finances. Chargé de mission auprès de la présidence du Conseil de
Charles de Gaulle lors de son retour au pouvoir en 1958, il œuvre ensuite au
cabinet du Premier ministre Michel Debré. Directeur du cabinet Robert Boulin
(Budget, 1962-1965) et du cabinet Debré (Finances, 1966-1968) ; chef de service
à l'Inspection générale des Finances (1965-1968). Il travaille ensuite au Crédit
National et au Crédit du Nord (dont il est PDG de 1974 à 1982). Il est Secrétaire
général de la Fondation Charles de Gaulle depuis 2007.
Monsieur Antoine DUPONT-FAUVILLE, Chef de délégation. Secrétaire général de la Fondation CDG. Ancien conseiller du
général de Gaulle. Inspecteur général des Finances.
Accompagné de
Monsieur Jacques TOUBON, Secrétaire général du Cinquantenaire des Indépendances africaines. Ancien Ministre.
Général Bruno CUCHE, Gouverneur des Invalides. Co-Pdt de la Fondation Maréchal Leclerc de Hauteclocque. Ancien
CEMAT.
Madame Anne de LAROULLIERE, Présidente de la Fondation Anne de Gaulle. Petite-fille du général de Gaulle.
Monsieur Charles LECLERC DE HAUTECLOCQUE, Fils du maréchal Leclerc de Hauteclocque
M. Jean MEO, Ancien secrétaire général de la Fondation Charles de Gaulle. Ancien conseiller du général de Gaulle. Ingénieur
général des Mines.
Monsieur Frédéric SALAT-BAROUX, conseiller d'Etat. Ancien secrétaire général de la Présidence de la République.
Général François KESSLER, Directeur général de la Fondation CDG.
DELEGATION (par ordre alphabétique)
Monsieur Michel APPERT, Association des Familles de Compagnons de la Libération.
Monsieur François ARCHAMBAULT, Convention CDG. Président de la Fondation Mémoire et Espoirs de la Résistance
Monsieur Hubert d'ARTEMARE, Convention CDG. Administrateur de sociétés.
Monsieur Pascal BABOUOT, Convention CDG. Maire de Colombey-les-deux-Eglises
Madame Diane de BELLESCIZE, Convention CDG. Professeur de droit public.
Monsieur Romée de BELLESCIZE, Membre honoraire du Conseil d'Etat - Docteur en Science politiques
Professeur Robert BELOT, Conseil scientifique CDG. Professeur des Universités.
Monsieur Jean–Paul BLED, Convention et CS CDG. Professeur des Universités.
Monsieur Vincent BONNEVAL, Professeur d'Histoire. APHG
Général Robert BRESSE, Convention CDG. Directeur du Musée de l'Armée.
Général Patrice CAILLE, Adjoint du Gouverneur militaire de Paris
M. et Mme Raymond CESAIRE, Ambassadeur de France et Ancien Ambassadeur à Brazzaville
Monsieur Antoine CHAMPEAUX, Direction de la Mémoire, du patrimoine et des Archives (DMPA). Ministère de la Défense.
Monsieur André CHAPPUIS, 1er Adjoint au maire de Colombey
Monsieur Gérard COLLIOT, Vice-président de l'Union National des Combattants (UNC)
M. le Préfet Victor CONVERT, Directeur général de la Fondation de la Résistance.
Colonel Alain CORVEZ, Convention CDG.
Monsieur Stéphane CURVEILLER, Maître de conférences. Université d'Artois.
Monsieur Hugues DALLEAU, Président de l'Union National des Combattants (UNC)
Amiral et Mme Michel DEBRAY, Accompagné de Mme Françoise Debray. Ancien président de l'Institut Charles de Gaulle.
Monsieur Jean-Marie DEDEYAN, Convention CDG. Secrétaire général de l'Association des Amis de Michel DEBRE
Monsieur Eric DEROO, Auteur-Réalisateur-Chercheur associé au CNRS.
Monsieur Bernard DIDIER, Proviseur honoraire. Fondation Maréchal Leclerc de Hauteclocque.
Monsieur Alexandre DUVAL-STALLA, Convention CDG. Avocat et écrivain. "De Gaulle-Malraux" Gallimard.
Monsieur Hyacynthe DZELLAT, Président de l'Association de la case de Gaulle.
Monsieur Henri ECOCHARD, Français libre. Présent à Brazzaville en 1941
15
Madame Anne-Christianne FOSSEUX/BIRABEN, Epouse de Marc Fosseux - Membre du conseil d'administration CDG
(empêchement de dernière minute)
Madame Martine de FROBERVILLE, Convention CDG.
Monsieur Christian GAMBOTTI, Conseiller du Président du conseil économique, social et environnemental. Club
d'entreprises CDG
Monsieur Philippe GERMAIN, Convention CDG. Délégué régional EDF.
Monsieur Vincent GIRAUDIER, Directeur du Département "Historial Charles de Gaulle" du Musée de l'Armée (Invalides).
Monsieur Jacques GODFRAIN, Convention CDG. Ancien ministre de la Coopération.
Monsieur Roland HUREAUX, Conseil scientifique CDG. Magistrat à la Cour des comptes. Essayiste.
Madame Marie-Clothilde JACQUEY, Secrétaire générale de l'Association des Familles de compagnons.
Colonel (ER) Michel JOURDAIN de MUIZON, Directeur général de l'Union National des Combattants (UNC) - Acc de Madame
Jourdain de Muizon
Monsieur Bernard KANOVITCH
Général Eric de LA MAISONNEUVE, Convention CDG. Président de la Société de stratégie.
Général Pierre LANG, général de Corps d'Armée - Président des anciens d'Outre-Mer et anciens combattants des troupes
marines).
Colonel et Mme Loïc LE BASTARD, Convention CDG. Secrétaire général de l'Ordre de la Libération.
Madame Catherine LEGRAND, Amicale des Cadets de la France libre
Monsieur Maurice LIGOT, Ancien Ministre. Ancien député.
Monsieur Alexandre MOATTI, Convention CDG. Ingénieur des Mines. Secrétaire général de l'Association X-Résistance.
Ecrivain.
Monsieur Alexandre MORA, Directeur du Mémorial Charles de Gaulle de Colombey-les-deux-églises.
Monsieur Jean-François MURACCIOLE, CS CDG. Professeur des Universités.
Monsieur Alain PATTERNOTTE, Ancien de la 2ème DB - Membre de la Fondation Charles Leclerc de Hauteclocque
Madame Hélène PAPADOPOULOS, Professeur d'histoire (APHG)
Général Gérard PONS, Conseiller défense du Cabinet du président d'Air France. Club d'entreprises CDG.
Monsieur Philippe SAINT ROBERT, Convention CDG. Ancien commissaire général à la langue française. Ecrivain.
Monsieur Guillaume SAINTENY, Directeur des études économiques. Enseignant à Sciences Po et X.
Monsieur Didier SAPAUT, Directeur des chaînes thématiques Ushuaia TV et Odyssée TV (groupe TF1)
M. et Mme Olivier de SARNEZ, Président de l'Association des Médaillés de la Résistance Française. Homme politique.
Monsieur Claude TERMINARIAS, Fondation de la France libre.
Général Jean-Claude THOMANN, général de corps d'armée (2S).
Madame Céline TOTI, Professeur d'Histoire. Pôle pédagogique Mémorial CDG de Colombey-les-deux-Eglises.
Monsieur Vladimir TROUPLIN, Conservateur du Musée de l'Ordre de la Libération.
Madame Eliane de VENDEUVRE, Fille du capitaine de Vendeuvre, Compagnon de la Libération
Monsieur Jacques VISTEL, Président de la Fondation de la Résistance. Conseiller d'Etat honoraire.
Monsieur Joseph ZIMET, Directeur Adjoint de la DMPA (Ministère de la Défense).
Journalistes
Monsieur Yvan AMAR, Journaliste. RFI.
Monsieur Christian CHARDON, Rédacteur en chef. L'Union - L'Ardennais
Monsieur Christian EBOULE, Journaliste. TV5 Monde
Monsieur Etienne de MONTETY, Directeur adjoint de la rédaction du Figaro
Monsieur Noël NDONG, Journaliste. Dépêche de Brazzaville
Monsieur Benjamin SALAMA, Rédacteur en chef. France 3.
Madame Marion URBAN, Journaliste. RFI. Site Internet Tirailleurs 2010.
Elèves africains en France
LTN Vivien BEKOULA, EMB
Elève Michel OKANDZA-PHOTI, St-Cyr
Elève Gendras MOKOKI, St-Cyr
Elève Agnéone MAYEMBO, St-Cyr
Elève Paul-Kévin LOGMO, LM Autun
Elève Rudy BANGUI COUANGAH, LM Autun
Elève Yann Pavel MEGAGA ADJI, LM Autun
Elève Hugues-Henry NGOUELONDELE, LM Autun
Elève Yoann NGUESSO, LM Autun
Elève Gloire Divin TIAKOULOU, LM Autun
Elève Fritz Boris ANGAH MBEZELE, LM Autun
Elève Jérémie ANDZEMBE OKOUMAMBOLO, ESCC
Elève Maxime EBO'O, ESCC
Elève Arciph MBAIONDOUM, ESCC
Elève Armel AKAM, ESCC
Elève Oumar IDRISS DEBY ITNO , LM d'Aix-en-Provence
16
La Fondation Charles de Gaulle
Dès le 20 février 1971, avec l'accord donné de son vivant par le général de Gaulle, un certain nombre de
personnalités, telles qu’André Malraux ou Pierre Lefranc, créent l'Institut Charles de Gaulle, qui devient avec
l'aide de l'Etat, la Fondation Charles de Gaulle, reconnue d'utilité publique par le décret du 22 septembre 1992.
Vouée à l'œuvre et à la mémoire du général de Gaulle, la Fondation de Gaulle s’interdit toute activité ou prise
de positions politiques. Elle est animée par une vingtaine de salariés, répartis sur les trois sites de Paris, Lille et
Colombey-les-deux-églises. Le siège se trouve au 5 rue de Solferino à Paris dans les locaux occupés par le
général de Gaulle de 1947 à 1958.
Une double mission
1. Transmettre la mémoire du général de Gaulle en France et à l'étranger,
2. Entreprendre et faciliter toutes recherches ou études sur l'œuvre et l'action du général de Gaulle.
Un centre et des outils pour l’Histoire au service des chercheurs et des scolaires
La Fondation met à la disposition des chercheurs une bibliothèque de 4500 ouvrages mais aussi des archives.
Elle est dotée d’un conseil scientifique (collaborateurs du général de Gaulle et universitaires) qui organise de
nombreux colloques internationaux et cycles de conférence. Elle publie une revue trimestrielle, Espoir, qui
ouvre ses colonnes aux universitaires et aux témoins de l’action du général de Gaulle.
La priorité de la Fondation est aujourd’hui de mener une politique pédagogique active qui se traduit, grâce à
un partenariat étroit avec le Ministère de l’Education nationale, par la mise à disposition des enseignants et des
élèves de produits pédagogiques innovants (kit d’exposition, productions multimédia, livres)
La Fondation Charles de Gaulle s’est lancée depuis quelques années dans d’ambitieux projets
muséographiques destinée à créer des lieux de transmission historiques pérennes
1. À Lille, la maison natale et son nouveau centre culturel multimédia inaugurés le 22 novembre 2005.
2. À Paris, l’Historial Charles de Gaulle au sein du Musée de l’Armée, aux Invalides, inauguré le 22 février
2008 par le président de la République.
3. À Colombey-les-Deux-Églises (Haute-Marne), avec le Conseil général de la Haute-Marne, un nouveau
Mémorial Charles de Gaulle inauguré le 11 octobre 2008 par le président de la République et la
Chancelière allemande.
La Fondation est présente dans toutes les commémorations nationales ou internationales liées à la mémoire
du général de Gaulle en construisant des événements mémoriels mêlant cérémonies officielles et productions
culturelles susceptibles de faire connaître l’action du général de Gaulle à un large public. A Moscou en 2003,
dans le cadre de l’Année de la France en Chine en 2004 et 2005, ou à Londres et à Paris dans le cadre du 70ème
anniversaire de l’Appel du 18 juin et de la France libre en 2010.
Enfin avec l’aide de son Club d’entreprises, la Fondation offre des bourses d’études ou de recherche à des
étudiants français et étrangers (notamment chinois, congolais ou camerounais).
Pour en savoir plus : http://www.charles-de-gaulle.org
Fondation reconnue d’utilité publique
par le décret du 22 novembre 1992
5, rue de Solférino, 75007 Paris
Tél. : 33 (0) 1 44 18 66 77
Fax : 33 (0) 1 44 18 66 99
[email protected]
www.charles-de-gaulle.org
Vice-Président : Pierre Lefranc
Secrétaire général : Antoine Dupont-Fauville
Directeur général : Général (2s) François Kessler
Directeur général adjoint : Sharon Elbaz
Directeur administratif : Lcl Bernard Nougué
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