Compte rendu de l`assemblée des propriétaires
Transcription
Compte rendu de l`assemblée des propriétaires
Association syndicale autorisee du parc de Maisons-Laffîtte [r “ L:.. ASP Extrait des délibérations du conseil des syndïcs de l’Association syndicale du Parc de Maïsons-Laffitte du mardi 28 avril 2015 En présence de son président, Monsieur Robert Fouie, le conseil des syndics de l’Association Syndicale autorisée du Parc de Maisons-Laffitte s’est réuni le mardi 28 avril 2015 à 20h30, au siège de l’Association Présents et représentés : Robert Fouie (président), François Lejealle (vice-président) Guy Lobel (trésorier), Jean-Claude Jaubert (secrétaire général), Annick Guerne (syndic), Jean-Jacques Chiozzi (syndic), Christian Marc (syndic), Bruno Debeugny (syndic), Jean-Pierre Le Bris (syndic), Sandra Ta-Ngoc (syndic), Corinne Ascoli, (syndic), Bruno Bellenguez (syndic), Michel Abello (syndic suppléant), Phiuippe Airic (syndic suppléant), Serge Godaert (conseiller municipal, adjoint du maire), Absent excusé : Jean-Claude Girot (maire-adjoint) COMPTE RENDU DE L’ASSEMBLÉE DES PROPRIÉTAIRES 2015 DU SAMEDI 11 AVRIL 2015 Comme l’an passé au cours de ‘assemblée des propriétaires un diaporama de cartes postales anciennes appartenant à Michel Arnold a été projeté. Il retrace la vie quotidienne il y a cent ans à Maisons-Laffitte. Il est consultable sur notre site internet dans la rubrique Publications”. L’ALLOCUTION DU PRÉSIDENT Après lecture des rapports d’activité des commissions le président prend la parole et évoque les faits marquants de l’année 2014. cc Je suis heureux de vous accueillir aussi nombreux à l’occasion de notre assemblée annuelle. Je salue également la présence de Monsieur le député-maire et des conseillers municipaux qui ne manqueront pas de répondre à vos questions du point de vue de la municipalité. 13, avenue Cuvier • 78600 Maisons-Laffitte • Téléphone: 01 39 62 01 50 • Télécopie : 01 39 62 66 22 Courriel : [email protected] • Internet $ www.parcmaisonslaffitte.org ASSOCIATION REOIE PAR L ORDONNANCE DU 1’ JUILLET 2004 SUR LES ASSOCIATIONS SYNDICALES - ÉTABLISSEMENT PUBLIC ADMINISTRATIF ‘z ‘r ci’tr6 L’année dernière j’avais brossé pour vous une liste détaillée des enjeux et des défis auxquels le Parc est désormais confronté dans son mode de fonctionnement et j’avais attiré votre attention sur la faiblesse de ses moyens d’action directe et, au contraire, sa capacité d’influence. Pour un certain nombre de ces défis, il ne s’agissait pas de sujets nouveaux mais plutôt de thèmes récurrents à la vie du Parc depuis son origine. C’est le cas pour la sécurité, la circulation, la sécurité des biens et des personnes, les problématiques de stationnement, les problématiques d’urbanisation rampante du Parc, quil s’agisse de mesures prises par les autorités ou du comportement même de ses résidants, ainsi que le constat d’une mauvaise évolution des comportements et des mentalités, que l’on appelle plus généralement les incivilités et qui concernent aussi bien les visiteurs extérieurs au Parc que certains des résidants euxmêmes. Néanmoins, ces sujets sur lesquels j’appelais à la vigilance et sur lesquels vos syndics s’efforcent de suivre de très près l’évolution des choses au sein du Parc ne sont pas aussi déterminants et stratégiques que ceux que je souhaite évoquer aujourd’hui. En effet, depuis notre réunion de l’année dernière, un certain nombre de tendances commencent à se dessiner plus généralement dans la grande région lIe de-France et dans l’organisation future des pouvoirs publics locaux qui ne seront pas sans conséquences majeures sur le mode opératoire du Parc, son fonctionnement, ses responsabilités et même peut-être, tout simplement, son avenir, s’il en conserve un dans ce cadre à venir. Nous savons que l’évolution vers une intercommunalité ‘durcie et élargie” va entraîner pour votre ASP un changement dans la désignation de ses interlocuteurs et même peut-être dans son acceptation par ces nouveaux interlocuteurs. Cette menace en tout cas est clairement identifiée venant de l’autorité de tutelle dont nous dépendons. Je veux parler du niveau préfectoral. Ce village gaulois semble perçu comme une gêne plus qu’un atout pour leurs projets, en particulier en matière durbanisation et de logements. Pour formuler les questions simplement nous avons, jusqu’à ce jour, une relation de proximité avec la municipalité à laquelle nous appartenons, fondée sur les intérêts communs et une dépendance réciproque impôts, place du cheval, circulation, règles d’urbanisme qui sont nos principaux sujets à traiter en osmose. — — Quel intérêt portera au Parc et à son maintien un patron d’intercommunalité à la tête d’une communauté, les communes de la Boucle de la Seine, représentant environ 350 000 habitants, une fois que Maisons Laffitte l’a rejointe ? Quelle sera notre place dans ses priorités ? Notre statut particulier ne sera-t-il pas lui-même remis en cause par ceux-là même qui nous gouverneront? Pour mémoire, l’ensemble intercommunal sera regroupé dans un EPCI (Etablissement public regroupant les communautés de communes et d’agglomérations). Avons-nous quelque chance de nous faire entendre dans des échanges avec une grande intercommunalité composée de grandes villes des alentours et représentant un poids économique bien plus substantiel que Maisons-Laffitte? Rien n’est certain. Cela étant, nous aurons aussi la possibilité de faire reconnaître l’importance du poumon vert que représentent le Parc et ses activités hippiques comme un atout pour la région et pas seulement pour Maisons-Laffitte. Comme vous le savez tous maintenant, la municipalité s entamé le processus de mise en route du PLU et, dans ce cadre, nous aurons à trouver les moyens de faire maintenir et de respecter les règles fondatrices qui découlent de notre cahier des charges. NL:s :cgitr La suppression éventuelle des surfaces minimales des terrains et du coefficient d’occupation des sols (005) tel que prévu par la loi ALUR et remplacé uniquement par des règles dites de prospect risque de mettre à mal notre règle des 6m50 et elle laisse la porte ouverte évidemment à un morcellement accru des terrains, alors qu’il s’agit d’une tendance déjà amorcée au cours des derniers mois. Je rappelle en effet que les divisions se multiplient. Les grandes propriétés se divisaient autrefois en parcelles de 1000 m2 mais elles ne sont pas les seules touchées désormais par ce phénomène de morcellement puisqu’on assiste à une parcellisation des terrains de 1500 m2, on laisse 500 m2 autour de la maison et on vend les 1000 m2 restants. Si, comme il est envisagé, toute règle de surface minimale est appelée à disparaître, il est clair que cette tendance va s’accentuer. J’ajoute à mon sens que la tendance à la division des terrains n’est pas seulement une machination des agents immobiliers et des promoteurs, mais c’est aussi une réaction individuelle des résidants du Parc, notamment, à l’occasion de leur départ, par exemple à la retraite, parce qu’il est évidemment tentant de se faire un bonus” en divisant une parcelle. On arrive même désormais à diviser les maisons proprement dites et il y a un cas actuellement. Je rappelle néanmoins pour ce qui concerne les évolutions positives que cette suppression de surfaces minimales et du coefficient d’occupation des sols, qui sont des règles d’application en principe immédiate de la loi ALUR, ne s’appliquent pas avec effet immédiat dans les communes qui disposent déjà d’un plan d’occupation des sols, ce qui est notre cas. Tout dépendra donc du chantier du PLU et de notre évolution éventuelle vers un PLUI (c’est-à-dire à vocation intercommunale). Enfin, et surtout, l’amendement qu’a présenté Monsieur Myard au Parlement et qui a été intégré dans l’article 158 de la loi ALUR, prévoit, je cite, “que dans les secteurs bâtis des zones urbaines issus d’opérations d’aménagements d’ensemble d’un domaine boisé antérieur au 20e siècle, et ayant conservé leur caractère remarquable de Parc, le plan local d’urbanisme peut comporter des dispositions réglementant la surface de planchers de construction en fonction de la taille des terrains, si la préservation de la qualité des boisements et espaces verts le justifie”. Donc, nous pouvons espérer que le PLU qui sera mis en place pourra justifier de l’utilisation et du champ d’application de cette disposition dérogatoire, en particulier en s’appuyant sur le caractère inscrit et classé de certaines zones du Parc, C’est en s’appuyant sur cet argument du classement qu’il faudra se défendre. Il reste donc à voir, dans les mois et les années à venir, le cadre dans lequel va s’articuler la mise en place de ce PLU combiné aux pressions immobilières de ‘État ayant pour objet le respect des règles en matière de logements sociaux qui peuvent rendre vulnérable le statut et la pérennité du Parc. 2 - t Un travail de fond reste à faire dans la mise en place du PLU, auquel l’ASP devrait être associée. Je reste persuadé que le maniement intelligent des règles de prospect, qui constitueront une vraie barrière de protection dans le cadre de la loi ALUR, devrait permettre de maintenir directement ou indirectement le degré de protection actuel du Parc, tant en ce qui concerne la règle des 6 m 50 que la règle actuelle de superficie à 1000 m2. Voilà pour la dimension légale et institutionnelle de notre nécessaire protection. Nous reviendrons plus tard sur le poids d’influence que représentent l’ASP et ses résidants. Dans un domaine certes plus modeste, mais qui présente néanmoins des difficultés certaines, la circulation dans le Parc reste un sujet majeur. La sécurité routière se dégrade du fait de la dimension du trafic et de la vitesse des véhicules. Les quelques photos qui défilent peuvent en témoigner et force est de constater que le Parc est de plus en plus utilisé comme voie de dérivation pour la circulation de l’agglomération et pour un rôle de parking de véhicules pour les citoyens qui veulent emprunter les transports en commun pour se rendre à Paris dont on voit l’impact à l’entrée du Parc et en remontant jusqu’à la place Marine. Il s’agit là d’un sujet qui ne pourra pas ne pas être traité si l’on veut éviter que le Parc ne soit transformé définitivement en voie de détournement pour les circulations de transit, qui ne peuvent qu’augmenter, il n’est que de rentrer ou de sortir du Parc aux heures de pointe pour s’en rendre compte. L’autre volet sur lequel une réflexion stratégique est nécessaire concerne évidemment l’activité hippique. Si nous avons une quelconque chance de protéger le caractère agreste du Parc dans le cadre du PLU à venir, et plus généralement dans le cadre des vastes programmes d’urbanisme et de mise en place d’une mixité de logements qui semblent se dessiner pour la ville sous la férule de l’administration d’État, c’est notamment par la reconnaissance spécifique qui peut découler de la présence maintenue d’une activité hippique, cohérente et pérenne. Ce n’est un secret pour personne que le monde des courses va mal et va devoir se restructurer, faute sans doute de ne pas l’avoir fait dans le passé, où tout allait pour le mieux. La structure même de France Galop, son mode de fonctionnement et financier posent sans doute problème, mais ce n’est pas notre propos. Ce qui est certain c’est que ces restructurations à venir jettent, comme naguère, un doute sur l’avenir de l’hippodrome qui est loin d’être assuré ce d’autant plus que la vente de certains sites hippiques de France Galop n’est pas à exclure, celui-ci ayant à financer une restauration très coûteuse de l’hippodrome de Longchamp. - - Monsieur le maire nous commentera sûrement ces informations mais nous voyons tous les rumeurs de nouveau se propager, notamment dans les médias. Prenons par exemple l’article du Parisien du mercredi 8 avril 2015 qui fait état de ce projet pour l’lle-de-France d’identifier un certain nombre de sites qui pourraient faire l’objet de construction de logements. Les projets retenus pourraient voir le jour sous la forme d’une opération d’intérêt national, ce qui est simplement l’outil juridique utilisé pour cacher une récupération par l’Ltat de terrains et de s’affranchir des contraintes normales d’acquisition, notamment en faisant sauter les contraintes de protection et de classement. L’hippodrome de Maisons-Laffitte y est répertorié pour la possible implantation de 6500 logements, évidemment il n’est pas question de s’en affoler et Monsieur le maire lui-même, par voie de presse, a fait part de sa réaction en invoquant le caractère inondable de la zone, Il reste que si l’on combine la situation difficile de France Galop, qui sera d’une façon ou d’une autre amenée à se séparer de certains actifs, et la volonté très ferme au sommet de l’État de poursuivre le développement et la mixité du logement dans la zone du Grand Paris, on voit tout à fait le type de risque auquel à son modeste niveau l’établissement public du parc de Maisons-Laffitte peut être confronté. â zz r:;-t Dernier volet d’ailleurs de préoccupations dans le cadre des activités hippiques le centre d’entraînement. Une réflexion est actuellement menée par France Galop pour le redimensionner aux besoins. Je rappelle qu’il est prévu pour environ 1500 à 2000 chevaux et qu’il y en a actuellement 600 à 750 à l’entraînement. L’ASP est propriétaire d’une partie de ce terrain et s’inquiète donc légitimement du devenir de ces parcelles. La conséquence pour nous serait à qui ces parcelles pourraient être vendues, qui pourrait venir s’y installer, pour quelle activité, logements ou autres, et évidemment dans l’immédiat la perte de revenus engendrée par la perte des loyers, actuellement servis par France Galop. Un dernier exemple des menaces qui se précisent à l’horizon pour le Parc concerne le voisinage du quartier Gallieni. Je rappelle que cette caserne en forêt de Saint-Germain peut être également susceptible de faire l’objet d’une cession permettant, là aussi, une installation de logements. On voit donc les conséquences à gérer en matière de flux de circulation et de sécurité que ces différents projets pourraient entraîner pour le Parc, outre l’impact lié à la réduction corrélative des activités hippiques. À ceci s’ajoute la problématique du devenir immobilier des écuries dans le Parc (qu’il faudra bien traiter dans le futur PLU), dont on constate la paupérisation pour certaines et le processus déjà entamé par France Galop de la vente de certaines de ses écuries, dont une a été heureusement revendue à un entraîneur de chevaux de course. Ceci étant, il est bon de rappeler quelques moyens qui sont à notre disposition pour tenter d’influer sur le cours des événements et, en tout cas, pour protéger le Parc dans son état. Il n’est pas nécessairement dans notre esprit de s’insurger contre l’installation de nouveaux habitants, Il reste connu que la moyenne d’âge de Maisons-Laffitte, et en particulier du Parc, est hors de proportion avec les tendances des Yvelines. Le Parc ne doit pas être un ghetto composé seulement de personnes âgées ou proches de l’âge de la retraite et où les jeunes habitants avec plus ou moins de revenus ne pourraient pas s’installer. Ce n’est en tout cas pas notre conception du Parc, ni de la nécessaire solidarité des générations. Je rappelle enfin que nous sommes tous indirectement copropriétaires de l’ensemble des parties que constituent les réserves et les espaces boisés du Parc, eux-mêmes propriété de l’ASP. Au travers de notre titre de propriété et de nos cotisations aujourd’hui qualifiées de redevances pour services rendus, nous conservons un droit au maintien de cet existant et l’ASP saurait fédérer l’ensemble des propriétaires à travers l’outil qu’est cet établissement public du parc de Maisons-Laffitte et assurer le respect de son cahier des charges, mais aussi au travers de toute association appropriée qu’il serait nécessaire de constituer afin de faire obstacle à des spoliations que pourraient représenter certains projets des pouvoirs publics ». :eçifrc ! nrr;r:——’ ‘rr ..., r:’ ... b LA PAROLE EST À JAQUES MYARD Jacques Myatd remercie Robert Fouie d’avoir abordé avec clarté et esprit de synthèse des sujets qui dans un proche avenir vont s’imposer et sur lesquels l’ASP et la mairie sont en phase. • Le PLU (Plan local d’urbanisme) Le processus d’élaboration en est à sa phase de diagnostic. Une consultation publique permettra aux Mansonniens de prendre connaissance du rapport du bureau d’étude mandaté par la ville. L’écriture devrait s’achever en mai 2016. Jacques Myard précise que l’ASP a présenté les spécificités du Parc au cours d’une réunion qui lui était consacrée, et rappelle l’amendement pris à son initiative réglementant les surfaces de plancher. • La construction de logements sociaux sur l’hippodrome Le PPRI (Plan de prévention des risques d’inondation) apparaît pour nous comme un verrouillage incontournable. Par ailleurs, faute de foncier, la ville ne pourra répondre à la volonté de l’État de densifier la région parisienne. “Rien n’est perdu on va se battre” dit Jacques Myard, ajoutant qu’il faut retrouver une politique de l’aménagement du territoire. • La circulation Un seul accident corporel en 2014, en revanche davantage de tôle froissée remarque-t-il. Concernant les flux de circulation il informe qu’ils sont aussi importants sur la rue de la Muette que sur l’avenue Bergeret. Quant au problème de la vitesse de circulation il subsiste et là les solutions ne sont pas évidentes. ÉCHANGES AVEC LES ASSOCIES Le moment est venu de donner la parole aux associés afin de leur permettre d’évoquer leurs préoccupations. Les sujets abordés couvrent différents domaines. ,- Logements sociaux La première question concerne indirectement le Parc. Pour répondre au quota de constructions de logements sociaux imposé à la commune ny aurait-il pas une solution envisageable avec la caserne Gallieni et/ou la gare de triage d’Achères? La caserne appartient au ministère de la Défense et n’est pas sur notre territoire mais sur celui de SaintGermain fait remarquer Jacques Myard. Par ailleurs ce ministère va même renforcer ce site. Il ajoute que si la solution devait passer par la caserne il y aurait un coût à la charge de la commune. Quoi qu’il arrive la vigilance s’impose. Quant à la gare d’Achères elle va retrouver son rôle de gare de triage. F. TVE Do:i t! ID J-1 > Hippisme L—-J L’une des préoccupations de France Galop est d’adapter la superficie du centre dntraînement à son activité. Dans ces conditions comment faire venir les entraîneurs? Le nouveau PLU ne permettra pas la transformation d’établissements hippiques en habitations, précise Jacques Myard, et permettra ainsi la venue de nouveaux entraîneurs. p- Stationnement Pourquoi ne pas prévoir lnstallation d’un parking à tentrée du Parc? “Imaginez le coût faramineux d’une telle infrastructure” fait remarquer Robert Follie, ajoutant que ce type de projet n’est, à son avis, plus d’actualité compte tenu du contexte économique. Le stationnement dans le Parc est souvent dangereux et nuit à la visibilité, que ce soit au niveau des stops, des carrefours, aux arrêts de bus ou devant les bateaux. Il est par ailleurs gêné par des voitures ventouses. Quant à la signalétique au sol elle n’est pas toujours lisible. Que répondre à ces constats? L’ASP est par principe contre le marquage au sol, à l’exception de certains emplacements où il est indispensable. Pour régler les désordres liés au stationnement alterné dans certaines avenues du Parc lASP, en coopération avec la mairie, a autorisé, dans ces seules avenues, le gel du stationnement unilatéral. Il n’y a malheureusement pas de solutions réelles au vu de la multiplicité des incivilités. Concernant les voitures ventouses nous sommes bien conscients de ce problème et testons vigilants, mais nous sommes dépendants de la police nationale et de la police municipale. Sans doute faudrait-il donner plus de pouvoirs à nos gardes qui ne peuvent à ce jour qu’informer la police de leurs constats. Un sujet sur lequel nous ne sommes pas décideurs. ,- Sujets divers Qu’en est-il de la priorité dans le Parc? Nous rappelons que la priorité à droite est une règle qui s’impose à toutes les avenues et aux places, sauf cas indiqués par les panneaux “Stop”. Autre sujet évoqué, la circulation au niveau du Rond $évigné où les écuries induisent un important flux de chevaux qui traversent l’avenue La Fontaine pour rejoindre le centre d’entraînement de Fromainvile. Ce n’est pas sans danger compte tenu du nombre de véhicules circulant à cet endroit du Parc. Il est répondu que bien conscientes de ce problème la ville et l’ASP mènent une réflexion commune. De qui dépend le réseau de distribution d’eau et le remplacement des canalisations encore en plomb ? Le réseau d’eau est de la responsabilité de la commune qui sous-traite son utilisation à Veolia, à charge pour Veolia de fournir l’eau potable et de pourvoir à l’entretien du réseau de distribution De nouvelles normes interdisant les canalisations en plomb ont conduit à leur remplacement il y a plusieurs années mais certaines subsistent. Elles sont en cours de remplacement selon un programme qui devrait être terminé avant la fin de l’année 2016. En principe la responsabilité du riverain commence à partir du compteur d’eau de sa propriété. L n cnec o L. Après avoir remercié l’ASP pour sa gestion un associé se dit surpris de la hausse des charges de personnel en 2014 et s’interroge sur leur montant en 2015. La hausse des charges de personnel en 2014 s’explique pat le départ à la retraite d’un personnel administratif et à un doublon momentané de poste. L’ASP est très rigoureuse sur ses comptes. Son personnel, pluridisciplinaire et couvrant toutes les taches, suit les règles d’augmentation des fonctionnaires. Ajoutons que l’augmentation des dépenses d’investissement est essentiellement due à d’importants travaux de voirie et à l’installation de puisards. Quant à la stabilité des recettes elle se justifie par la subvention de la mairie dont le montant reste le même depuis dix ans, alors que toutefois les coûts augmentent. L’évacuation des déchets verts est une contrainte lourde reconnaît un associé, notamment pour les personnes résidant en appartement. Il évoque différentes solutions disposer de poubelles réservées aux déchets verts ou d’un passage sur appel téléphonique, comme pour les encombrants, ou encore avoir recours â un service éventuellement payant d’enlèvement de ces déchets. Jean-François Tassin, maire adjoint, rappelle que ces déchets peuvent être ramassés avec les ordures ménagères, dans la limite de trois sacs de 100 litres remplis aux %, ou encore déposés à la carrière Sainte-Hélène. ouverte le deuxième et dernier samedi de chaque mois, mais en aucun cas déversés dans les réserves. Or des dépôts s’y multiplient du fait notamment d’entreprises de jardinage, voire de particuliers. lI est rappelé que les réserves, gèrèes par l’ASP, sont à respecter et les préserver touche à ses priorités. En ce qui concerne l’éventualité d’une mise en place d’un service payant l’ASP, établissement public administratif, ne peut ajouter à sa redevance le coût de l’enlèvement de déchets. Il est donc pour elle hors de question d’organiser elle-même un tel service. Le sujet mérite sans doute d’être creusé mais il convient pour cela de se rapprocher de la mairie. Qu’en est-il de la publicité dans le Parc? Tout panneau publicitaire ou commercial est interdit en bordure des propriétés et à l’intérieur de celles ci. Seules les plaques discrètes d’agences immobilières sont tolérées en cas de vente, et pour une durée qui doit être limitée. Elle n’est en aucun cas admissible sur les arbres. L’ASP y veille. R ‘r Dcc c ‘u Ert a RÉSULTAT DES VOTES Les scrutateurs, nommés selon les textes en vigueur, étaient Michel Chalumeau, Mireille Chiozzi, et Robert Sénécal. Cette année quatre syndics titulaires étaient à élire pour six ans, un syndic titulaire à confirmer pour deux ans et deux syndics suppléants à élire pour deux ans. • Nombre d’associés inscrits 3113 totalisant 200 043 voix • Quorum: 100 022 voix • Nombre d’associés présents ou représentés totalisant À déduire en application Article 12* • 717 106 712 voix 35 585 voix • 71127 voix * L’article 12 des statuts stipule qu’un propriétaire ne peut à lui seul cumuler plus de 10 000 voix. Au-delà, les voix de cet associé ne peuvent être prises en compte dans le résultat des votes et sont de ce fait déduites. VOTE POUR L’APPROBATION DES RAPPORTS D’ACTIVITÉ ET FINANCIER Voix exprimées Pour Contre Nul 64 937 (sont exclus les pouvoirs reçus hors délais) : 64 502 soit 99.30 ¾ : 115 soit 0.20 ¾ : 320 soit 0.50 ¾ ÉLECTION DES CANDIDATS SYNDICS LISTE “ASP” Titulaires Voix exprimées 64 937 Pour 64 937 soit 100 % Nul Suppléants Voix exprimées : 64 820 Pour :64820 soit 100% Nul D :u::D oïuF: LZ iE1 LE CONSEIL SYNDICAL Robert Fouie François Lejealle Jean-Claude Jaubert Guy Lobe! Annick Gueme Sandra Ta-Ngoc Corinne Ascoli Jean-Jacques Chiozzi Bruno Debeugny Christian Marc Jean-Pierre Le Bris Bruno BeNenguez Miche! Abello Philippe Airic Président Vice-président Secrétaire général Trésoer Syndic Syndic Syndic Syndic Syndic Syndic Syndic Syndic Syndic suppléant Syndic suppléant L LES RAPPORTEURS DE COMMISSIONS Les commissions sont chargées de suivre les différentes activités de l’ASP, d’étudier les sujets qui relèvent de leur domaine, de faire des propositions au conseil syndical et d’en suivre la mise en oeuvre. Admnistraion générale Sécurité Jean-Claude Jaubert - Budget Finances - Guy Lobel Communication Annick Guerne Espaces verts Environnement Corinne Ascoli - Urbanisme Robert Follie, Sandra Ta-Ngoc Voirie Circulation François Lejealle - Activités hippiques Jean-Jacques Chiozzi Affaires juridiques Robert Follie ient,,’, Robert Follie » in