Télécharger le fichier - Conseil Départemental de l`Ordre des
Transcription
Télécharger le fichier - Conseil Départemental de l`Ordre des
N° 15 / Juin 2009 Mais que fait l’Ordre ? Que de fois n’entend-on cette question ? Nombreuses sont les situations où l’on sollicite l’avis ordinal ou son intervention. Patrick ROMESTAING Mais il sait aussi se rapprocher des interlocuteurs compétents en tant que de besoin. Il assume avec discrétion les missions fondamentales qui lui ont été confiées par la loi. La loi HPST a donné lieu à de multiples interventions de l’Ordre, à tous ses échelons que ce soit à propos de la gouvernance hospitalière, du testing, de l’accès aux soins ou des sanctions financières… sans projecteur, micro ni caméra. Un communiqué officiel peut être publié (cf celui sur les contrats d’intéressement dénommés amélioration des pratiques - CAPI - ou sur la place des médecins dans le pilotage hospitalier). Simplement parce qu’il est de son devoir de défendre la qualité des soins, dans l’intérêt des personnes qu’il s’agisse des patients ou des médecins. Silence n’équivaut nullement à inertie ou indifférence. Le Conseil de l’Ordre ne travaille pas sous les feux des médias. Ordre des Médecins du Rhône 94, rue Servient - 69003 LYON Tél. : 04 72 84 95 60 Fax : 04 72 84 85 55 E-mail : [email protected] www.conseil-departemental-69.medecin.fr Publication de l'Ordre des Médecins du Rhône Secret médical et justice Dans les suites du Colloque Médecine Justice, nous publions un condensé de l’exposé de Madame Sylvie BRETON, juriste du Conseil National. « I l n’ y a pa s de s o i n s s a n s c o nf id en c e s , d e c o n fid e nc es s a n s c o n fi a n c e , d e c o n fi a n c e s a n s s e c r e t . » Dans cette phrase se trouve résumé le fondement du secret médical, condition nécessaire à l’exercice. I. Les sources du secret médical 1. le Code Pénal Secret médical et justice Dès 1810 cite les médecins au premier rang des personnes astreintes au secret, notion figurant à l’article 226-13 du Nouveau Code Pénal. « La révélation d’une information à caractère secret par une personne qui en est dépositaire soit par état soit par profession, soit en raison d’une fonction ou d’une mission temporaire, est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende ». 2. Le Code de Déontologie Médicale L’article R4127-4 définit le secret médical : « Le secret professionnel, institué dans l’intérêt des patients, s’impose à tout médecin dans les conditions établies par la loi. 2 Le secret couvre tout ce qui est venu à la connaissance du médecin dans l’exercice de sa profession, c'est-à-dire non seulement ce qui lui a été confié, mais aussi ce qu’il a vu, entendu ou compris ». Le secret s’impose à tout médecin, en médecine de soins, publique ou privée, comme en médecine de prévention, de contrôle ou d’expertise. 3. L’article L 1110-4 de la loi 2002-303 du 4 mars 2002 réaffirme le principe et précise son application aux structures prenant en charge le patient. La loi affirme le droit du patient au secret médical : • il est le seul maître de sa révélation ; • son accord est nécessaire pour partager le secret même entre médecins ou professionnels de santé participant à sa prise en charge ; • il a un accès direct aux informations médicales le concernant. Sauf avis contraire exprimé par le patient avant son décès, les ayant droits peuvent disposer d’informations, dans la mesure où elles leur sont nécessaires : • pour connaître les causes de la mort ; II. Les dérogations Dans leur grande majorité, les dérogations apportées par la loi correspondent à des situations où un besoin primordial de la société a paru au législateur devoir l’emporter sur l’intérêt du secret. C’est le cas des maladies contagieuses, des placements en hôpital psychiatrique. 1. Les sévices, privations ou violences L’article 226-14 du code pénal autorise le médecin « avec l’accord de la victime, à porter à la connaissance du procureur de la République les sévices ou privations qu’il a constatés, sur le plan physique ou psychique, dans l’exercice de sa profession et qui lui permettent de présumer que des violences physiques, sexuelles ou psychiques de toute nature ont été commises. Lorsque la victime est un mineur ou une personne qui n’est pas en mesure de se protéger en raison de son âge ou de son incapacité physique ou psychique, son accord n’est pas nécessaire ». Le législateur n’a pas entendu donner à ce signalement un caractère obligatoire, ayant conscience que dans un certain nombre de cas où la situation est complexe et difficile, la dénonciation, surtout si les faits que le médecin suppose ne parviennent pas à être prouvés, peut se révéler plus nuisible qu’utile aux intérêts du mineur ou de la personne à protéger. L’article 4127-44 du Code de déontologie médicale (code de la santé publique), impose aux médecins sauf circonstances particulières qu’il apprécie en conscience, de procéder au signalement. Mais la non-dénonciation doit rester exceptionnelle et le médecin reste tenu à l’égard des victimes de l’obligation de porter secours : il doit prendre les mesures nécessaires pour soustraire la victime à ses tortionnaires. L’exception prévue au secret professionnel par l’article 226-14 n’existe que pour signaler au procureur les faits constatés ou les prescriptions de sévices qui en résultent mais non leur auteur d’ailleurs le plus souvent présumé. La recherche de ce dernier est du domaine judiciaire. 2. Les droits de la défense Il est admis que le médecin dont la responsabilité est recherchée puisse révéler des faits, produire des documents couverts par le secret professionnel pour se défendre des accusations portées contre lui. Mais, les révélations doivent rester limitées et proportionnées à ce qui est indispensable à l’organisation de sa défense en justice. 3 Secret médical et justice • pour défendre la mémoire du défunt ; • pour faire valoir leurs droits. Publication de l'Ordre des Médecins du Rhône Devenir des dossiers médicaux après cessation d’activité Jean-Pierre MICOLLE Devenir des dossiers médicaux après cessation d’activité La cessation d’activité peut être liée à : la retraite, le changement d'orientation professionnelle, la maladie, la radiation ou le décès. Aucune cause ne doit altérer la communication des éléments transmissibles du dossier médical. 1°/ La loi «informatique et liberté» du 6 janvier 1978 modifiée en 1994 doivent être prises toutes précautions utiles afin de préserver la sécurité des informations et notamment d'empêcher qu'elles ne soient déformées, endommagées ou communiquées à des tiers non autorisés. Pour les informations à caractère médical celles-ci ne peuvent être communiquées à l'intéressé que par l'intermédiaire d'un médecin qu'il désigne à cet effet. 2°/ Le code de déontologie septembre 1995 articles 45-46-73 mais surtout 96 et 111 Sous réserve des dispositions applicables aux établissements de santé, les dossiers médicaux sont conservés sous la responsabilité du médecin qui les a établis... tout médecin qui modifie ses conditions d'exercice ou cesse d'exercer est tenu d'en avertir le conseil départemental, celui-ci prend acte et informe le conseil national. Le cas du décès d'un médecin pendant son activité est particulier : 4 1°/ La famille du médecin décédé présente la patientèle soit à un médecin qui prend la succession dans les locaux ou à proximité, soit à un médecin déjà installé dans la commune devenant par contrat le médecin successeur. Il est souhaitable que la famille informe la patientèle sous forme d'une annonce publique dans la presse locale et que les dossiers seront mis à la disposition du successeur qui les transmettra conformément à l'article 6 du code de déontologie au médecin désigné par le patient ou au patient lui-même (« Loi Kouchner » ). 2°/ Il n'y a pas de successeur ou la famille quitte les lieux ou ne veut pas se charger de la garde des dossiers ou le médecin n'a pas d'héritier… Les dossiers doivent néanmoins être protégés contre toute indiscrétion à l'égard de tiers non médecin. Ils ne peuvent être transmis à qui que ce soit sans le consentement des intéressés. Un service public d'archives n'est pas tenu de recevoir des archives médicales. A tous les médecins qui garderaient leurs dossiers sur support informatique avec un code d'accès, il est conseillé de déposer ces codes sous enveloppes cachetées au conseil départemental. La démographie médicale et les médecins remplaçants Anne BLANCHARD ► Les médecins installés ont du mal à se faire remplacer parcequ’il y a plus d’offres de remplacement que de remplaçants et que le remplacement est une charge financière trop lourde pour le médecin installé qui a plus intérêt à confier ses patients aux médecins voisins lorsqu’il s’absente. ► Le remplaçant impose souvent ses exigences : ne pas assurer les gardes, avoir des horaires précis, ne pas travailler certains jours. remplaçants vont jusqu’à demander 80 % ; les charges étant payées par le médecin remplacé, celui-ci se trouve ainsi dans une situation financière déficitaire. Le contrat de remplacement est un contrat de gré à gré. Le tact et la mesure, vertus du médecin envers ses patients, doivent s’appliquer aussi entre confrères et la confraternité ne doit pas être un vain mot. Soyons donc vigilants à ne pas se laisser s’organiser l’exploitation de l’un par l’autre. Le taux de reversement doit être calculé en fonction des charges du cabinet. ► Les revenus de remplaçant sont suffisants pour vivre. Les contraintes de toutes sortes ne poussent pas à l’installation. Soyons aussi vigilants à conserver notre humanisme, aussi bien envers les patients qu'entre nous et à ne pas laisser s'installer en nous un esprit mercantile. L’usage du reversement se situait à 50 % du chiffre d’affaires : certains Le médecin est responsable de sa condition et doit la défendre. Suite à des problèmes rencontrés, il est rappelé que les Praticiens Hospitaliers Plein Temps ne sont pas autorisés à effectuer des remplacements. 5 La démographie médicale et les médecins remplaçants Environ 25% des nouveaux médecins généralistes inscrits ne sont plus attirés pas l’installation et pratiquent souvent leur art en remplaçant les médecins installés. L’âge moyen d’installation se situe à 39 ans actuellement. Publication de l'Ordre des Médecins du Rhône Activité du Conseil Départemental du Rhône en 2008 Bernard COLIN Activité du Conseil Départemental du Rhône en 2008 Avec 8700 inscrits le Rhône est un des plus important de France Avec 8 secrétaires, 1 juriste et 21 conseillers ordinaux, il fait face à ses nombreuses missions : ► Tenue du tableau, avec 404 inscriptions, 217 retraits et 648 qualifications ► Accueil individuel par un conseiller de tous les nouveaux inscrits ► Gestion des remplacements : 355 licences, et plus de 5000 avis de remplacements à gérer avec la DASS ► Gestion de la Permanence Des Soins dans les 49 secteurs du Rhône, relations avec le SAMU et la CPAM, participation aux séances du CODAMUPS ► 83 saisies judiciaires de dossiers, avec la présence obligatoire d’ un conseiller ► 60 réunions de conciliations pour plaintes ou litiges, dont 28 ont abouti à un retrait de plainte ► 1600 dossiers traités dans le cadre des R.M.I (relations-médecinsindustrie). ► 364 contrats de médecins, associations, SCM, SEL..., soit plus de 1500 courriers avec médecins et avocats ► Plus de 1000 avis juridiques donnés à des médecins ► Représentation de l'Ordre aux conseils d'Administration des Facultés, Hôpitaux et dans de nombreuses Commissions Départementales (Enfance - Handicapés - Personnes âgées) ► Relations avec les différentes Autorités Administratives, Judiciaires, Sanitaires et Sociales ► Entraide financière et accompagnement de confrères ou leurs familles en grandes difficultés. ► Remise des bourses de l'AFEM aux enfants de confrères décédés, pour les aider dans leurs études du Serment ► Cérémonie d'Hippocrate à l'Hôtel-Dieu pour tous les nouveaux médecins ► Organisation du Colloque Médecine et Justice au palais des congrès ► Réalisation de 4 bulletins annuels ► Site internet LE CONSEIL DEPARTEMENTAL DU RHONE EST VOTRE CONSEIL Il est à votre service pour toute aide ou conseil utile dans votre exercice 6 A propos d’Ostéopathie Jean DEPASSIO I. - Le praticien justifiant d'un titre d'ostéopathe ne peut effectuer les actes suivants : 1° Manipulations gynéco-obstétricales ; 2° Touchers pelviens. II. - Après un diagnostic établi par un médecin attestant l'absence de contre-indication médicale à l'ostéopathie, le praticien justifiant d'un titre d'ostéopathe est habilité à effectuer les actes suivants : 1° Manipulations du crâne, de la face et du rachis chez le nourrisson de moins de six mois ; 2° Manipulations du rachis cervical. III. - Les dispositions prévues aux I et II du présent article ne sont pas applicables aux médecins ni aux autres professionnels de santé lorsqu'ils sont habilités à réaliser ces actes dans le cadre de l'exercice de leur profession de santé et dans le respect des dispositions relatives à leur exercice professionnel… » Pour certains actes effectués par des ostéopathes non médecins, le certificat médical est une obligation légale. Celui-ci est demandé, directement par l’intéressé ou l’un de ses représentants légaux, au médecin traitant qui ne peut s’y soustraire. Il faut savoir qu’il pourra engager la responsabilité du médecin en cas d’accident, et notamment si une contre indication n’a pas été respectée. En cas de doute il est conseillé de ne pas rédiger ce certificat et d’en donner la raison au patient. Il faut donc que les médecins qui rédigent ce certificat le fassent après un interrogatoire et un examen médical complet. S’ils jugent l’acte d’ostéopathie contre indiqué ou non indiqué, il est conseillé de faire une information claire, précise et circonstanciée au demandeur. Par ailleurs, l’Ordre National des Médecins recommande aux médecins qui partagent des locaux professionnels avec une profession réglementée ou une profession libérale d’avoir une salle d’attente distincte pour éviter toute forme de « compérage ». L’Ordre National des Médecins recommande particulièrement aux médecins de ne pas partager de local professionnel avec les ostéopathes, ni médecin, ni kinésithérapeute, pour éviter tout risque de confusion entre un acte médical d’ostéopathie et un acte d’ostéopathie non médicale. 7 A propos d’Ostéopathie Le décret relatif aux actes et aux conditions d’exercice de l’ostéopathie du 02/11/2007, dans son article 3, stipule : Publication de l'Ordre des Médecins du Rhône « CAPI » : le NON du CNOM Tels qu'ils sont, ils contreviennent à la déontologie Le Conseil National de l’Ordre des Médecins regrette la publication le 21 avril 2009 de la création d’un contrat-type d’amélioration des pratiques (CAPI) à destination de certains médecins libéraux conventionnés. Le CNOM rappelle son avis négatif en session plénière du 11 décembre 2008 sur ces contrats d’intéressement comme il l’avait fait pour les médecins conseils et pour les médecins hospitaliers. « CAPI » : le NON du CNOM Le CNOM estime contraire à la déontologie les clauses et contrats d’intéressement de tous les médecins : ► un intéressement du médecin liant ses décisions et conseils médicaux n’est pas acceptable en ce qu’il aliénerait son indépendance professionnelle ; ► la relation de confiance indispensable à la qualité de la prise en charge d’un patient serait affectée. Les patients pourraient se demander si le médecin a agi en fonction de son intéressement financier ou pour leur seul bien. ► s’adressant à une population restreinte et choisie par l’un des contractants, la CNAM, et excluant de ce fait une partie des praticiens ayant adhéré au même système conventionnel, ces contrats créent une discrimination entre médecins et donc, si l’objectif réel en était l’optimisation des soins, une discrimination inacceptable entre patients. Le CNOM se réserve la possibilité d’un recours contre la décision publiée en son état mais reste ouvert à toute discussion sur les moyens à mettre en œuvre pour que soit améliorée la qualité des soins aux patients dans le respect de la déontologie médicale. Le numéro d’identification R.P.P.S. ne remplace pas encore le numéro ADELI. Ces deux numéros doivent figurer sur tout document. 8 Grippe A (H1N1) Message du Président du CDOM aux médecins libéraux Cette première mise à disposition, constituée de quantité relativement limitée, est destinée aux médecins, qui n'ont plus de kits de protection distribués en 2007 et aux médecins nouvellement installés. Les kits de protection de 2007 doivent être utilisés en priorité, après vérification de leur date de péremption. Il ne s'agit pas d'équiper, à ce stade, tous les professionnels. D'autres mises à disposition interviendront si la situation épidémiologique le justifiait. Ces masques sont disponibles auprès de 34 officines du département du Rhône dont vous trouverez les coordonnées sur le site internet de l’Ordre Départemental.* Les médecins qui auraient besoin de masques FFP2 et de masques chirugicaux pourront ainsi s'adresser à l'officine desservant le secteur géographique de leur exercice selon le découpage présenté sur notre site Internet. Il est impératif que chaque médecin ne s'adresse qu'à son officine de rattachement. Le pharmacien leur délivrera, sur présentation de leur carte professionnelle, 25 masques FFP2 et 50 masques chirurgicaux. Dans le souci de bonne organisation, les médecins sont invités à téléphoner aux pharmaciens avant de se rendre dans les officines. Je vous remercie de l'attention que vous porterez à ce message et de bien vouloir diffuser ces informations, ce texte n'étant adressé, actuellement, qu'aux confrères dont nous disposons de l'adresse mail. * Il est rappelé que tous les médecins inscrits doivent se connecter sur le site Internet de l’Ordre et communiquer leur adresse mail afin de recevoir leur mot de passe. Ils disposeront ainsi d’informations réservées et pourront recevoir des messages d’alerte. www.conseil-departemental-69.medecin.fr 9 Grippe A (H1N1) "Le directeur départemental des affaires sanitaires et sociales m'a informé de la mise à disposition de masques FFP2 et de masques anti projections (chirurgicaux) pour les médecins généralistes et les médecins spécialistes dont la spécialité le justifie (pédiatres et pneumologues par exemple), dans le cadre de la lutte contre la grippe A. Publication de l'Ordre des Médecins du Rhône Nouvelle alerte Annuaires professionnels en ligne Annuaires professionnels en ligne Des sociétés commerciales siégeant souvent hors France proposent aux médecins (mais aussi aux autres professions libérales et aux P.M.E) d’insérer leurs coordonnées professionnelles dans des annuaires électroniques ou papiers moyennant un abonnement prohibitif (en moyenne plus de 900 € par an). La présentation du formulaire adressé au médecin est trompeuse pouvant laissant croire qu’il s’agit d’une simple vérification d’adresse professionnelle. Les conditions de l’offre du prestataire de service sont en petits caractères et souvent illisibles. En remplissant ce formulaire et en le signant le médecin passe commande et se trouve engagé pour plusieurs années (en général trois ans) par le jeu d’un renouvellement automatique. Le médecin reçoit ensuite sa facture et des relances de la société ou d’une société de recouvrement. QUE FAIRE ? ► Saisir la DGCCRF (Immeuble Aurealys, 129 av. Thiers - 69457 Lyon cedex 06 - tél : 04 78 65 55 55 Fax : 04 72 75 97 01) qui vous conseillera et consultez leur message d’alerte pour connaître vos recours : www.dgccrf.gouv.fr (rubrique «Entreprise»). ► Contester par écrit le contrat (LRAR) auprès de la société. ► Contacter votre assurance RCP ► Nous contacter pour message d’alerte. Liste non exhaustive de ces sociétés : Annuaire Pro, Annuaire PagesBiz, European City Guide, On line GTAP, Nova Channel, Xalys, Jaunes-Pages.fr… • Conception et réalisation : REY Communication 6 rue du Périgord - 69330 MEYZIEU • Directeur de la publication : Patrick ROMESTAING • Rédacteur en chef : Michel EVREUX • Publicité : Christine BENITAH Tél. 04 37 44 30 00 - Fax : 04 37 44 30 10 Mail : [email protected] • Tirage : 9000 exemplaires 10 Ils nous ont quittés • DIAB Thomas 15 mai 1966 • FELIX Rénée 12 mai 1921 • FRANKEL Patrick 20 février 1947 • GANGOLPHE Michel 3 septembre 1920 • GENDREAU René 19 mai 1914 • GRAVIER Marc 1 février 1931 • JAUBERT DE BEAUJEU Michel 5 juin 1917 • MELTZ Jacques 16 septembre 1923 • PANSU Michel 12 juin 1947 • POIX Dominique 21 juin 1954 • REBOUL Henri 27 juillet 1922 • SIMON Roland 17 novembre 1928 • VITANI Christiane 9 août 1932 • VOTTERO René 29 avril 1929 11 Ils nous ont quittés • ROLLAND Louis 19 octobre 1915 DELEGATION LYON GRANGE BLANCHE Espace BIOPARC - Bâtiment Adénine 60 avenue Rockefeller - 69008 LYON Les lundi, mardi, mercredi, jeudi de 9h15 à 17h30 Le vendredi de 09h15 à 11h45 et de 14h15 à 17h30 ? téléphone : 32 33* ou 01 71 14 32 33 7 fax : 04 72 71 08 92 @ www.macsf.fr DELEGATION DE LYON GARIBALDI 105 rue Garibaldi 69006 LYON Les lundi, mardi, mercredi, vendredi de 9h15 à 17h30 Le jeudi de 09h15 à 11h45 et de 14h15 à 17h30 ? téléphone : 32 33* ou 01 71 14 32 33 7 fax : 04 72 74 05 83 @ www.macsf.fr *Prix d’un appel local depuis un poste fixe FT. Tarif susceptible d’évoluer selon l’opérateur