B i M eb O - association des etudiants de l`utbm
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B i M eb O - association des etudiants de l`utbm
la bohème la bohème Le journal des étudiants de l’UTBM Edito par DUFOU Les amis, vous tenez entre vos mains la dernière BiMeBo de l’année 2011. Une fin d’année implique nécessairement le début d’une nouvelle année. Tout comme la fin de quelque chose, comme le Gala de Prestige ou le mandat des membres du bureau de l’ae, se transforme nécessairement en nouveau départ : élection d’un nouveau bureau, départ pour un nouveau pays... Cette édition contient un peu de tout ça. Un peu de fin, et un peu de début. Et pour cette dernière semaine de cours avant les vacances de Noël, encore plus de jeux pour vous divertir. Oui, car à la Bohème, on n’est pas toujours sérieux, et votre divertissement est notre priorité. Bon, okay, ce slogan sonne atrocement déjà vu, on fera quelque chose de moins fake pour la prochaine édition... 58 BiMebO Soirée épique des grandes époques Le Gala de prestiGe vu par Success 1 par Fidèle, trésorier du Gala par Eboul’ Pour 1540 personnes La préparation est assez longue : prévoyez quatre jours. Commencez par réunir les ingrédients dans les locaux. Faites revenir les bénévoles à feu vif, sans les brûler ! Pendant ce temps, commencez à préparer les scènes. Faites monter la moquette en neige, puis saupoudrez de quelques éléments de décoration. Recouvrez le tout d’un coulis de son et de lumière, et votre Gala est prêt ! Servez immédiatement. Vous avez 7 heures pour déguster le plat, bon appétit ! Prochaine BiMeBo : le 3/01/2012 Le bimensuel de la Bohème. Gala de Prestige à la Sevenanaise Ingrédients : 2 dinosaures 3 kilomètres de scotch double face Une douzaine de remorques de matériel divers 14 membres du staff bien frais 22 marches d’escalier à moquetter 33 boissons différentes 56 rotations de navettes 78 artistes, dont 49 UTBohéMiens 120 bénévoles (prévoyez large en cas de nécessité) 190 badges à plastifier 350 mètres de moquette 1300 éditions spéciales de la Bohème 88000 euros de budget Pour l’assaisonnement, vous pouvez choisir : le guide Labba de la décoration constitue un bon ouvrage de référence. n°58 - 12/12/2011 ISSN 1771-7647 Envoi articles :[email protected] Merci les bénévoles Gala par Fifi (treillis girl et destroy talkie-walkie girl) En tant que Reine des fourmis (nan je me la joue pas, mais alors pas du tout…), je tiens à féliciter mes troupes, toutes ces fourmis ouvrières communément appelées « bénévoles », sans qui la fourmilière Gala n’aurait pu être construite. Ce fut un très grand plaisir de passer 4 jours d’instal’, 7h de soirée et 18h de désinstal’ avec vous mes loulous, que je connaissais très peu voire pas du tout pour la plupart. Ce fut aussi l’occasion d’acquérir ou de se perfectionner dans certaines tâches très utiles pour votre futur boulot d’ingénieur : poser une moquette (ST10 chez StMaclou !!), comment faire rentrer un tyrannosaure dans un ascenseur (très important sur un futur CV, et pour se démarquer des autres, y a pas mieux !!!), coller du scotch droit (héhéhé !! j’ai rien trouvé pour celle-là),… Vraiment surprise et heureuse du nombre et surtout de la qualité des bénévoles de cette année. 2011 fut un grand cru bénévoles Gala, surtout pour la partie instal’. Chapeau ! Bref, juste un p’tit mot pour dire un grand merci à tous ceux qui sont venus aider et qui ont su me supporter tant bien que mal durant toute la semaine Gala. En espérant vous revoir dans l’associatif avec votre motivation et votre énergie débordante mes petits enfants. C’était le ptit mot de Maman Bénévoles (et bah, ça en fait des bambinos). PS : nouveau ragot, F_F_ est amoureuse de tout ses bénévoles Gala <3, c’est miiiiiignooooon ^^ PS2 : Papa indygne vous aime aussi tant qu'on y est ! PS3 : heu non, ça a beau être bientôt Noël, la PS2 ça suffit déjà hein...hum hum, ok ok (se dirige vers la porte, en trainant des pieds la tête baissée... ===> []) Bilan de la responsable par Tilleur Enfin, après 9 (promo 9, promo 9, tralalalalère...) mois de préparation, le Gala a eu lieu! Le bilan de cette édition est très positif. Les visiteurs, pour la plupart, sont repartis satisfaits (et c’est vous qui nous le dites !), la Sécurité Civile n’a constaté que peu de débordements et l’administration de l’UTBM est satisfaite. Évidemment, nous avons essuyé quelques couacs, y’a pas de challenge sinon ! Mais ils ne nous ont pas empêchés de mener notre mission à bien ! Notre équipe, elle poutre ! Cet événement a été très formateur pour moi et j’en garde de très bon souvenirs. C’était chouette :) Encore une fois merci à tous : équipe, bénévoles, administration de l’UTBM, partenaires, et ceux qu’on oublie ! 1 an de préparation 1 mois de stress 1 semaine d’installation 1 jour de bonheur Voilà comment on pourrait résumer le gala. Mais le gala ça n’est pas que ça. C’est avant tout une aventure humaine, l’occasion de rencontrer plein de gens, d’en redécouvrir d’autres. C’est l’occasion rêvée pour connaître beaucoup de monde en peu de temps et de voir dans les yeux des autres la gratitude pour un travail bien fait. Le gala ne déroge pas à la règle des associations : c’est un monde sans pitié, dur par moment mais qui soude les amitiés, qui crée des liens et qui , surtout, est gratifiant quel qu’en soit le résultat. Personne ne peut imaginer le plaisir que l’on ressent lorsque l’on reçoit les félicitations et remerciements de tous les partenaires et participants, lors d’une réunion de débrief où l’on peut enfin se dire « c’est fini ». Un ensemble d’allégresse et de satisfaction. Pour tous ces moments passés, les faciles comme les durs, les drôles comme les prises de têtes, les bons jours et les autres. Pour cette année d’expériences, de tests, d’efforts personnels comme collectifs, de repoussements des limites, je tiens à remercier l’ensemble de l’équipe gala qui m’a permis de grandir et que j’espère avoir pu faire grandir. Quand je parle de l’équipe gala je parle bien sûr du staff avec qui j’ai passé énormément de temps, mais aussi des membres de l’AE (Clé, Iss’, oMan, Dufou en particulier) qui nous ont guidé et épaulé tout au long du périple ; l’UTBM qui nous a soutenu dans nos choix, qui nous a montré nos erreurs et encouragé pour recommencer ; tous les partenaires (TNT, Urkos et biens d’autres) sans qui rien de tout cela n’aurait été possible, et bien sûr tous les bénévoles qui ont fait bien plus que ce qu’ils pensaient, les bénévoles qui sont l’âme même de l’associatif et qui chaque année répondent présents. Un simple merci aurait pu suffire, mais personnellement et j’espère au nom de merci tous, je vous dis un grand , et c’est avec beaucoup de reconnaissance que je vous dis à l’année prochaine pour un autre gala ! LQ00 - Semestre d’’étude au Canada Que serait une UV de langue sans le cours de propagande à propos des stages et semestres d'étude ? Je vous ai longuement parlé de la langue Québécoise dans mes trois derniers articles, et je reviendrai dessus dans les suivants, en ajoutant des éléments culturels également. Après ces quelques détails laissés par ci par là, je sens, je devine, je sais, que certains se sont laissés séduire par ce qu'ils ont lu ou bien deviné entre les lignes. J'écris cet article dans le but de faciliter pour vous le parcours qui n'a pas été des plus simples pour moi. Il faut savoir que les semestres d'étude au Québec se font au travers d'un programme d'échange organisé par la crepuq (Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec). Celle-ci regroupe 16 universités Québécoises. Ce sont eux qui fixent les dates, les démarches, et qui vous permettent d'étudier là bas sans débourser un sou pour l'inscription. (allez, si, j'avoue, 5$ pour avoir la carte d'étudiant) Quand prendre sa décision ? Ne pensez pas "bah, j'ai le temps !". Pour aller au Québec en automne, les premières échéances ont lieu tout au début du semestre de printemps. Et les premières démarches sont donc à faire maintenant. Sachez également qu'il n'est pas possible de partir pour le semestre de printemps en faisant un semestre d'automne en France. En effet, leur session de printemps commence début janvier, alors que l'utbm est encore en examens finaux. Donc en clair, si vous devez prendre cette décision, c'est en ce moment qu'il faut commencer à y penser sérieusement. Quelques délais importants - Dès aujourd’hui : s’informer pour choisir l’université cible et les cours désirés. N’hésitez pas à écrire aux contacts sur place qui sont indiqués sur les sites des universités pour poser des questions à propos des différents cours et des sessions auxquelles ils sont enseignés, ils vous répondront avec plaisir. - Avant de partir en intersemestre : Prendre contact avec les services de mobilité étudiante (si ce n’est pas déjà fait), faire valider les équivalences des cours auprès du directeur de programme, ouvrir le dossier sur le site de crepuq. - mi mars : Votre dossier doit arriver au Québec à la fin du mois de mars. Comptez au moins une semaine pour le trajet du courrier. C’est donc, grand maximum, à la mi mars qu’il vous faudra donner votre dossier au service de mobilité qui se chargera de l’envoi. Tout seul à l’autre bout du monde ? C’est une appréhension totalement légitime. Et comme tout le monde, je l’ai ressentie. Mais l’utbm ne vous laisse pas seul. Durant le semestre de printemps, vous aurez une réunion avec les autres étudiants partant en Amérique du Nord. Vous apprendrez quelques éléments importants pour ne pas passer pour un impoli en vous faisant avoir par les différences de culture, et vous rencontre- rez les autres... Pour ma part, je suis à Trois-Rivières avec un autre étudiant de l’utbm. Et même si nous ne sommes pas de grands amis, c’est toujours plaisant, lorsqu’on se croise dans un couloir de l’université, de pouvoir échanger quelques mots et impressions. Votre école d’arrivée ne vous laisse pas seul non plus. Tout comme le fait l’utbm et l’ae avec le club welcome, vous aurez un accueil, la possibilité de rencontrer d’autres étudiants étrangers, et donc de lier très vite des liens. Chaque université possède également un réseau d’associations, dont j’expliquerai le fonctionnement précis dans un futur article, et qui vous permettra de rencontrer des Québécois. En fait, vous êtes assisté par tous ceux qui peuvent le faire, ne vous inquiétez pas, il n’y a aucune raison de s’inquiéter. Comment choisir ma destination et mes cours ? Vous vous rendrez compte que la liste des possibilités est longue. Très longue... Pour ma part je vous conseille de choisir un compromis entre le lieu et l’intérêt des cours que vous pouvez y prendre. Alors voici quelques éléments pour vous aider... à vous de choisir votre cadre rêvé : - Montréal est une grande ville, et surtout une ville bilingue. Certains habitants ne parlent pas un mot de français. Il faut aimer la ville et maîtriser l’anglais. - Québec est superbe et totalement francophone mais très touristique. Ce qui peut être vu comme un bon point ceci dit. - Trois-Rivières se trouve entre les deux, à 1h30 / 2h de route. N’y attendez pas une ambiance folle, je comparerai plutôt ça avec Belfort. Mais ça reste une ville dans laquelle vous avez accès à tout ce dont vous avez besoin. - Le reste, je n’ai pas vraiment de vision personnelle, mais de ce qu’on m’en dit, on se retrouve vite dans des villes dont la moitié des habitants est composée des étudiants de l’université. Joli cadre bucolique si c’est ce que vous recherchez. Les cours, parce que vous êtes là pour étudier quand même : Vous êtes obligés de suivre cinq cours sur place au minimum (dans les Universités du réseau UQ en tout cas). Le système scolaire étant très différents, vous n’aurez que des cours magistraux. Peu d’heures de cours obligatoires, mais beaucoup plus de travail à côté. Ce qui signifie qu’un cours qui ne vous intéresse pas risque bien plus d’être raté. Si vous n’êtes pas motivé à travailler, rien ne vous y oblige, à part vos partenaires de travail... Ne vous faites pas avoir. Et après ? La paperasse... Quand vous recevrez votre lettre d’admission, vous pousserez un cri de joie et ferez un V avec les doigts, tel un dresseur qui attrape son premier pokémon (Non, je n’avais pas de meilleure métaphore, désolée...). Mais ne criez pas victoire trop vite, votre parcours ne sera pas terminé. Votre semestre de printemps ne sera pas de tout repos puisque vous arrivez au moment où il faut faire de la... paperasse ! - Le passeport Si vous n’en avez pas, il est temps de vous rendre à la mairie pour en faire un. Cela n’a mis qu’une semaine pour moi à Belfort mais ce n’est pas ainsi partout et c’était il y a un an. Ne vous faites pas avoir. - Le CAQ et Permis d’études Si vous ne restez qu’une session, cela fait 4 mois, il n’est pas obligatoire pour les français d’avoir un permis d’étude. Arrivez à l’immigration avec votre lettre d’admission et vous aurez un visa «visiteur» automatiquement à votre arrivée sur le territoire. Par contre, si vous pensez peut-être rester plus longtemps, enchaîner sur un stage par exemple, il vous faut un permis d’études. En effet, quelqu’un qui a un visa «visiteur» ne peut pas obtenir de permis de travail ou d’étude une fois sur place. Il est alors obligatoire de rentrer en France pour faire les démarches puis retourner au Canada. Ce qui est une perte d’argent non négligeable. (croyez moi, c’est ce que je vais devoir faire) - La sécurité sociale Le service des stages vous donnera un papier à faire signer pour ne pas avoir à payer la sécurité sociale sur place. Si vous ne faites pas cette démarche, vous aurez des frais de presque 1000$ (700€) sur place. Donc ne négligez pas ce point. Et faites attention, beaucoup de choses sont fermées en août... (oui je me suis fait avoir, j’avoue) - Le permis de conduire Le permis français est reconnu au Canada (pour la période du visa visiteur donc 6 mois) mais pour rester plus longtemps ou pour se rendre aux états-unis il faut se procurer un permis international. Ceci auprès de la préfecture liée au lieu de résidence principale. - Le logement L’université d’arrivée vous fournira les informations utiles pour trouver un logement facilement. Prenez vous y le plus vite possible, mais ne soyez pas inquiet pour autant. Ce n’est pas le plus difficile. Mais c’est cher !? Ce serait mentir que de dire que ça ne m’a rien coûté. Mais très sincèrement, pas tant que ça. Vous avez accès, en tant qu’étudiant à l’utbm, à une aide de la part de la région Franche-comté (aquisis). Pour ma part elle a couvert totalement le prix du voyage en avion. C’est certain qu’il est mieux d’avoir un petit peu d’argent de côté pour pouvoir voyager sur place et s’acheter des affaires pour l’hiver ainsi que quelques souvenirs, mais pour cela il vous suffira normalement de travailler un petit peu cet été. Ceci dit, ôtez tout de suite l’idée qui vient de germer dans votre esprit, vous n’avez pas le droit de travailler sur place. Ni avec le permis d’études (vous trouverez l’information inverse sur internet mais ce n’est vrai qu’à partir d’un an sur place en tant qu’étudiant), ni avec le visa visiteur (ça par contre, vous vous en doutiez). Autre mise en garde, si vous êtes boursier et que vous avez louché un petit peu trop longtemps sur l’aide promise par le crous, ne comptez pas trop dessus. Le service mobilité étudiante vous l’expliquera mieux que moi. Ceci dit, la vie ici ne coûte pas plus cher qu’en France. En fait, certaines choses oui et d’autre non, donc ça s’équilibre. Ceci à condition de faire un trait sur les produits Français importés et de prendre les habitudes alimentaires d’ici. (le moindre camembert coûte 15€, oubliez le plateau de fromage...). Je vis à Trois-Rivières avec exactement le même budget que lorsque j’étais à Belfort. Pour finir... Je pense avoir dit l'essentiel, en espérant que ces quelques démarches ne vous décourageront pas. Le Québec c'est une belle aventure. Et les démarches étant étalées sur 6 mois, ça ne vous prendra pas tout votre temps non plus. C'est un petit coup de stress en France, si vous aimez autant les papiers officiels que moi, pour 4 mois de bonheur à l'autre bout du monde. N'hésitez pas à m'écrire pour les questions sur la vie quotidienne et à écrire au service mobilité pour les démarches ! Et une fois sur place, puisque je risque d'être encore dans le coin, n'hésitez pas à me joindre en cas de besoin. Que ce soit pour un hébergement le soir de votre arrivée ou lors d'un passage à Trois-Rivières, pour un repas avec une française qui n'a pas encore trop l'accent tandis que vous serez perdus dans leur vocabulaire barbare, ou rien qu'un petit "coucou" pour dire que mes articles vous ont décidé à franchir le pas, je serais ravie de vous lire et d'être là pour vous. (soyons solidaires dans ce monde de sauvages :D) Sur ce, bonne chance, et bon vent. Le prochain article reprendra un ton plus léger, promis. Et un peu d’actu, quand même ! Un album ? "polisse : 22, v’la un bon film" par Knacki Un EP d’Alph&Nek balancé gratuitement sur la toile, c’est important de le remarquer surtout quand celui-ci est de bonne facture. Nekfeu et Alphan Wann s’échappent de 1995 pour nous livrer une galette composée de 9 titres. Et que dire si ce n’est que rien n’est à jeter. Chaque MC évolue dans son registre respectif : d’un côté Nekfeu avec son phrasé mathématique et de l’autre le nonchalant Alpha Wann. Niveau instru, il n’y a là aussi que du bon notamment avec « Monsieur sable » qui reprend le thème de « Mister Sandman » et « le retour du vrai bail » avec son beat inspiré de Star Wars. Parmi les 9 titres, on retiendra «Monsieur sable», «En soum soum» et « Le sexe opposé » qui réunissent à la fois texte tranchant et gros beat. Au final, les 2 MC nous livrent un EP de qualité qui sort du lot par rapport aux autres productions françaises. Un conseil, empressez- vous de le télécharger ici http://ensousmarin.fr/. par 2Fleur Il y a parfois des films qui peuvent direct vous donner envie de courir au cinéma (le téléchargement est illégal, et Hadopi fait TRES peur ndlr.), juste en regardant leur bande annonce. Pour Polisse, ce ne fut pas le cas pour ma part ! Mais bon, il faut parfois savoir mettre ses "a priori" au placard, prendre son courage à deux mains et tenter le coup, surtout quand il y a "prix du jury du Festival de Cannes 2011" marqué sur l'affiche. Au pire, faites comme moi : allez-y avec votre parrain. Si le film est mauvais, vous n'aurez qu'à l'accuser d'avoir gaspillé votre argent. Vous aurez au moins la conscience tranquille. Dans Polisse, on suit le quotidien de la Brigade de Protection des Mineurs (BPM), chargée d’enquêter sur diverses affaires liées aux enfants et adolescents. Pédophilie, maltraitances, délinquance, sexualité... Bref des sujets pas très joyeux. Or pour les hommes et femmes de ce service de police parisien, cela constitue presque une journée de routine. Bien que difficile, ils aiment leur métier et doivent concilier travail, vie privée, et les tracas de chacun (qui sont parfois tout aussi compliqués). Voilà pour les grandes lignes. Alors vous me direz : «pourquoi un bon film ?». Parce que malgré la gravité des affaires traitées (inspirées de faits réels en plus), le film arrive à mélanger les genres avec brio, si bien qu’on passe du rire à l’émotion d’une scène à l’autre. Oui vous avez bien lu ! On rit bel et bien dans Polisse ! Même beaucoup ! Car les membres de la BPM n’en restent pas moins des êtres humains, avec leur humour, leur langage (grossier et cru !) face à certaines situations qui prêtent malheureusement à rire. On s’attache donc rapidement aux personnages, on partage leurs joies, leurs doutes, leurs colères... Côté casting, on retrouve notamment Marina Foïs, Karine Viard, Nicolas Duvauchelle et Joey Starr, qui nous prouve qu’il sait parfois (bien) faire autre chose que du rap ou la gueule sur les plateaux télé... Le film reste centré sur la vie de ces enfants, avec en parallèle l’évolution du groupe de la brigade, qui découvre de jour en jour des histoires de plus en plus aberrantes, ainsi que la vision des jeunes victimes. Un bon moment de cinéma donc, souvent drôle et poignant, dont on ne ressort pas indifférent ! Et pour ceux qui l’auraient loupé au Seven Art mercredi 7 au soir... Polisse : le film en 5 points • Réalisé par : Maïwenn • Avec : Marina Foïs, Karine Viard, Nicolas , Joey Starr... • Genre : Drame • Durée : 2h07 • Note : 8,5/10 L'avenir de l'ae est entre tes mains par Foif Comme chaque année, les membres (du moins la plupart) de la promo sortante quittent l'UTBM pour rejoindre l'entreprise de leurs rêves afin d'effectuer leur ST50. Mais c'est avec tristesse qu'à l'ae, chacun devra quitter son poste pour laisser sa place à d'autres. Avec une petite larme nostalgique à l'oeil, tout le bureau est prêt à accueillir son futur potentiel successeur pour lui enseigner l'art de son métier. Si toi aussi tu veux participer activement à la vie étudiante de ta tendre école, n'hésite pas à te renseigner sur les différents postes à pourvoir le semestre prochain. Ils sont tous décrits sur le site de l'ae (forum, wiki, page d'accueil du site ae : encadré gris, ...) mais tout le bureau peut te fournir de plus amples informations bien entendu. Au semestre prochain, les postes à pourvoir sont : - Président (actuellement Iss') - Vice-Président (actuellement Matou) - Secrétaire (actuellement Telect) - Trésorier Général (actuellement Clé) - Trésorier Interne (actuellement Grégory) - Trésorier Carte AE (actuellement Epyde) - Responsable Communication (actuellement Foif ) - Adjoint Communication (actuellement Dalton) - Responsable Presse (actuellement Eboul') - Responsable Informatique (actuel- lement Kiri) - Responsable Sécurité (actuellement Labeu) - VPI Sevenans (actuellement Douille) - VPI Montbéliard (actuellement Yruana) Faire partie de l'équipe, c'est une expérience riche, conviviale et gratifiante. N'hésite plus, jette-toi à l'eau (attention, n'oublie pas ta bouée si tu ne sais pas nager). Pour te présenter, envoie un mail à [email protected] (pour en informer l'équipe) et poste tes motivations sur le forum de l'ae (Salon de discussions -> "Bureau le semestre prochain : appel à candidatures"). Bonne Campagne ! L'équipe ae « Un monde à nous, à vous, ae. » Le site de la semaine par Avé Qui n’a jamais demandé à ses parents ce qu’il s’était passé le jour de sa naissance ? Ou à quoi ressemblaient les gens de l’époque (peut on facilement imaginer le look (ignoble = vieux pull tricoté + caleçon moulant + converses pour les filles, sweat jaune avec un singe dessus + jean trop court pour les garçons) des jeunes de l’époque? Qui se rappelle précisément des contextes politiques et économiques ? On peut maintenant prendre conscience de l’évolution de la vie (et de la qualité de la télévision !) grâce au site : www.dailymotion.com/sas/jtn qui nous propose de regarder le journal télévisé d’une date en particulier. Le coup de cœur d’Avé : Le journal du jour de la chute du mur de Berlin (le 9/11/89, espèce d’incultes !), à voir absolument ! Et da décem ns 2 jours , le m b ercred tion d re, ne lou i p e Le Se "Les Ave ez pas la p 14 n cret d t u r e s de rojece la L l’amp Tin ic h nans. i P108 de orne" à 21 tin : h da l’UTBM de Se ns veVenez nomb reux ! Un an de Bohème par DUFOU Il y a de cela un an, quasiment jour pour jour, je signais mon premier édito. C’est le 13 janvier dernier qu’est sortie la BiMeBo 45, première d’une longue série. à l’époque, il fallait réclamer les articles presque avec violence, et avec Vif, on distribuait toutes seules sur les 3 sites. On faisait ça le lundi, pendant nos 4h de pauses communes. C’était long et fastidieux, mais on le faisait quand même, en s’efforçant de faire perdurer cette tradition journalistique. Si on doit faire un bilan aujourd’hui, la BiMeBo, sur le point de mourir en septembre dernier (on se rappelle l’édito désespéré de Gawel dans la n°42), a su renaître de ses cendres et redevenir le véritable «bimensuel de la Bohème». Comme à l’époque. Les articles viennent d’eux-mêmes, les gens ont repris la plume, et je les en remercie. Certains ont même pris le poste de rédacteur en chef (Eboul’, Gawel ou encore Foif ) pour un jour, ou des mois ; pour une Bohème ou une BiHeBo... Alors, merci à tous de faire vivre le journal et d’avoir contribué, en l’écrivant, en le distribuant, ou simplement en le lisant, à cette tradition qui a failli se perdre. Noël => encore plus de jeux! Société générale On s’en souviendra ! Pendant un conseil scientifique... «M. _ m b _ r t : Ici, tout le monde sème... M. B _ l _ t : Tout le monde s’aime?» « Moi quand j’suis énervé, je viens dans les bureaux et je gueule. Après, moi je vais mieux ! Vous comprenez je me suis défoulé. Mais tous les autres ben, ils sont énervés, alors moi ça me fait marrer ! » M. D _ c r _ _s _, en OM41. « Ils sont huîtres. Enfin ... huit, ... et foie gras, c’est bientôt les fêtes ! » M. L _ p _ s t _ l _, en PS40. L'Association des Etudiants et le Bureau des Sports de l'UTBM entretiennent depuis plusieurs années un partenariat avec la Société Générale. Question « Vous ne savez pas ce que c’est un cul ? » M. H _ s s l _ r, en MG03. Réponse « Ca fait mal au cul quoi ! » M. N _ _ l, en PS40. Dans le cadre de ce partenariat, la Société Générale vous propose des avantages exclusifs ! « Des fois, quand on reste les doigts coincés dans la fente, je trouve que c’est désagréable ». Mme R _ g _ r, en EG80. « Tout ce qui ce dit dans cette salle reste entre nous n’est-ce-pas ?» M. D _ c r _ _s _, oui, évidemment ! Envoyez vos citations laboheme@ utbm.fr! Vous pouvez notamment bénéficier d'une prise en charge d'une partie de votre inscription au SKI-UT. Pour cela, il suffit de vous rendre à l'agence Société Générale de Belfort, votre contact privilégié : Mélody BENCHARAB 03 84 58 84 67 Poème par Sylvain Pantin désarticulé Entendre un bruit dans un étroit couloir De pièces tombant de poches percées De journaux piétinés sans complexer Ne gênant pas pour dormir comme un loir Des marionnettes exposées ou vivantes Des Hommes clés simplement dépassés Des autochtones à la tête percée Disant amen à tout et qui s’en vantent Arrêtons de dormir comme des loirs Toi petit pantin désarticulé Qui ne souhaite pas être acculé Lève toi et gravis ce promontoire Regarde l’immensité enivrante De ce grand monde presque immaculé Où chaque chose n’est pas calculée Où le rêve n’est plus ce qui te hante Crier, chanter, parler, rire et pleurer Chacun peut atteindre cet équilibre En ouvrant ses yeux si souvent leurrés Plus besoin d’avoir la face voilée Vie, respire car tu es enfin libre Petit pantin si bien articulé Sudokus faciles (pour Mario, Elmex, ilé...) Mini dessilogique Pour tous ceux qui trouvent que les jeux de la BiMeBo sont désespérément trop difficiles... Bridge puzzles par M. Ouaib Règles : accrochez-vous, c’est pas évident à comprendre. On a plusieurs cercles contenant des chiffres entre 1 et 8. Le but est de relier tous les cercles entre eux, en tenant compte du chiffre à l’intérieur, qui indique combien de «liens» doivent partir de cette cellule. Au maximum 2 traits peuvent relier 2 cercles entre eux. Enfin, peut être qu’un exemple est plus parlant qu’un long discours, alors, voici... Ours Rédaction en chef et PAO : Héloïse Pouy Partenaires : Rédaction : Marie Anastacio Romain Bourgeon Sylvain d’Hayer Noélie Di-Cesare Marianne Figer Antoine Gille Quentin Nocchi Dédicasse à Blanca, et à tous les adorateurs du douze ! Relecture : Johanna Bernhard Julien Voisin Musky Truong-Huu Distribution : Tommy Batista Lise Delamare Etienne Petit Et merci aussi à : Gaël Guerlesquin Floriane Wexcsteen Bimebo n°58 imprimée à 500 exemplaires Association des Etudiants de l’UTBM Rue du Château 90 400 Sévenans Dépôt légal : à parution ISSN 1771-764