de Mauléon, aussi prévôt, 1577-1578, quinze d`André

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de Mauléon, aussi prévôt, 1577-1578, quinze d`André
de Mauléon, aussi prévôt, 1577-1578, quinze d'André Toynart, prévôt et gruyer,
1596-1626, enregistrant les obligations de divers particuliers pour biens
possédés à Forges.
• Arrentement de la maison de Jean Herbillon à Forges, 15 juin 1664.
• Plan des bois communaux de Forges, 1671.
Procès-verbal de visite d'un bois au ban de Forges, 12 mai 1673.
• Liquidation des droits de relief dus par Christophe de La Grelette, lieutenantcolonel du régiment de David-hussards, et son frère Didier, curé de Samogneux,
pour raison des fief et seigneurie foncière et dépendances qu'ils possèdent à
Forges, prévôté des Montignons, mouvant du château de Clermont, en qualité
d'héritiers de Didier de Bonnaire, qui avait acquis le fief, le 7 mai 1715, de
Claude de Chartogne et de Charlotte d'Epinay, sa femme ; 1er mai 1749.
CUMIERES.
• Par accord fait entre la comtesse de Bar et Geoffroy d'Ornes, écuyer, gouverneur
de la forte maison de Cumières pour Perrin, fils de feu Gaucher de Cumières,
Geoffroy devait informer Henri de Vouziers, chevalier, de qui il entendait tenir
Cumières.
Il déclare tenir la maison, les murs et l'enceinte des fossés de la comtesse de Bar,
comme faisait jadis Pierre de Cumières, qui tenait la maison du comte de Bar, dont
il était homme lige après le roi de France, duquel roi il était homme avant tous
autres pour une autre terre qu'il tenait de lui ; 7 octobre 1362.
• Jean de Forges, écuyer, déclare que le duc de Bar lui a donné ses droits en la
forteresse de Cumières, qu'il a rachetée de ceux qui l'occupaient au nom de
Philippe des Armoises ; il en est son homme lige ; s'il meurt sans laisser de fils,
Cumières reviendra au duc ; 4 août 1375.
• Pierre d'Argiers, chevalier, déclare que la comtesse de Bar lui a donné la
forteresse de Cumières, et qu'il la tient d'elle en fief à cause de son château de
Clermont ; 8 août 1394.
• Pierre d'Argiers promet à la comtesse « de faire garder et gouverner oudit chastel
et ez pasturages qui y appartiennent à son prouffit, à mes propres cous et despens,
yver et esté, jusques à la somme de trente grosses bestes, buefz, vaches et autres à
l'avenant, tant et sy longuement que il plaira » à la comtesse ; 8 août 1394.
• Nicole d'Argiers, dame de Chennery et de Dommartin-sous-Hans, veuve de Louis
de Chennery, donne, avec le consentement de son second fils Ferry de Chennery,
seigneur d'Argiers et d'Ecouviez, à son fils aîné Jean, seigneur de Chennery et
de « Welmont », conseiller et chambellan du Roi, tout l'héritage qui lui est
échu par la mort d'Edouard d'Argiers, seigneur de Cumières, son cousin-germain,
1511

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