4 S0P A I B E La Jonrnéèdü 21 Février. NOUVELLES mCllAMBüES

Transcription

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•1* laiinromptt at aat ço&ridéri eoAflM leeoinwiâ I
tiine d homme?, et quet le général Colley a été j lOD)', sauf jrôur les biscuits s u c ^ ‘ .vangnll dei
tué avec- plusieurs de sus officiers. Nous atten­ pays étrangers,’ qui sont frappés (j’qn,droit.
Gela est, que nous le sentions ou non.
dons que le télégraphe apporte des informations plementai're de 3 fr. 75. soit 30 fr.. en Toioû*
a
défilé
devant
sa
maison,
que
d
6
|to
u
s
les
de.Pari»»
départements
ou
de
Hais ce que nous lui devons surtout, "ce
tant àii tarif ce 26 fr, ^5, voté par Ig Ch*pbro»
coins du inonde son.t arrivés ces tém oignage
J i - lui
i . ont
. i envoyé
— -a de»
.i*. adroeses, de»
->ra plus circonstanciées.
’étranacr,
des T
vem
'
Sénat vole ,enstiite les articles. 10} g .117
qui saut^ aux yeox de tous, c’est cette poés,le
Le désastre de Sjiitxkof est une nouvelle
desfl'-urs. Hais quel rémerciement ne eerait
L a JM iniée ém * » F d i^ e r. a. F lè ts r Hb^o.
(hûifes'ef s'ucs y^éiaiix) et les articles llS .à 180
grandiose, simple ou teriible, qui coule depuis diadmiration et de ïespeci à côté desquels
preuve
de
la
fausse
politique
du
cabinet
anglais
■j-deseoua de ce que lui a fait éprouver celte
toutes les pompes officielles paraissent peu
’ (bdi!*).
au
Transraal.
Les
Boors
se
montraient
dispos^
un
derql-sièsle
dé
sa'veine
intarlssablé
e
t
qui
lournée, qui sera la meilleure de sa vie et dont
I.B B fluefiJe
11 esl cinq ' heures et demie.. La séanca ' est
B ifpB
Dé*B*trc d e l'Bïméfe a tour à tour consoltl ou, relevé les plus hum­ de chose. Ce jour là, le 27 février, lé peuple il gardera lusqu’â sa dernière heure une recon­ h faire la pais. Les efforts du président do la
République d'Oranite auraient abouti à amener alors'lévée et renvoyée à jeudi prochain pour la
bles comme les plus forts d’entre nous. H a français s'ést montré digne de son poète, et naissance qu’aucunô parole humaine ne saurait
dis'cussioh
des quatre interpellaüons da 12* d |
un arrangement. Up moment, on a cru que le
u é é ir e a vdëB Boènk
surtout digne, de la Liberté qui n'inspire que
primer 1 '
pénétré partout, dans les plus modestes foyers,
gouvernement britannique voulait entrer dans Gavardia.
MéBtMlM.dea'Ciuuabres.
l’est a d re ^ é à tous, s’est imposé. 11 nous a de hautes pensées et dè nobles sentiments.
cette voie. Il e;t à craindre que cette altitude
!;«> abràllB dç U»lf «t lO; «elfoUm d » n o B .
ÀiHé DOLLFpS.
conciliante n’ait eu d’autre objet que de faciliter
..jc h é s par les pliis nobles côtés de notré
‘'d laaéàteai ' ' . '
C h a m b r e d e * d é p u té e *
B le cé io n s lé g is la tiv e s .
lBf«te«UbBS géaénilea.
les projets d’attaque du pénéral Colley. On aura
OMure, relevant, ce qu’on abaissait, honorant
voulu gagner du temps, et l’on aura compté sur
t B fè'lê àe Vletojf ttoge.
du 27 Février.
' '
ce qu’on Oéirissait, cherchant dans U p lu s
Séance ne Samedi.
ChMiiliqtt’è dèipié^tééiatttale.
le concours de sir Evelyn WooJ pour réparer la
Au début de la Représentation donnée au
pauvre et la plus déshéritée des créatures hu­
Les employés de efienint de fer,
CbvBBlqB* leéale.
première défaite subie à Lang-Ni k. Les Boers
SEINB
l é U ia p é l^ à ll fait.
maines, ce rayon divin qu’on appèlle Tôme et Trqcadéro, c’est devant un public énorme que
ne f.e sont point trompés à cette lactique. Tout
S» cir«>nscri»(»on'de Saint Denis.
. La.Chambre continue la diecuBion de la pro*
' F a its diven*
qui p eut'seule la racheter. 11 a chanté, les U. Coquelin commençant l’exécution du
on n^ocianl la paix, ils ont préparé la guerre. . position de loi qui tend à r^ le r les rapport*
Inscrit», 12,0o3. — Votants, 7,026.
VfUrldUs.'
victoire de.- jSpilzkof
peut être , considérée
femmes, les vieillards et lés petits eulants en programme, a lu desa voix chaude et vibrante M. Roques de Filh'd, radical amn. 3.530 Elu. -La..................
.
-I J.deacompagni» de-chemins de fer avec leur
■areli«a^<>’Baar8é ‘
comme décisive. En depit de tous les consens 1
tommisâonnfe,
des vers inspirés,.simples, sublimes qui se les vers suivants de Théodore .de Banvil|c, M. Deschanel,'député dém., rcp.. 3.228
FeoIiletoB I Cent mille francs de récompense.
A
A .par
, . . . Iles
... esprits
/.....ni.:. im
ü ..ir(ia iiT l’Angleterre
l’ Anirloti>rrA
....
. . ..
impartiaux,
M. Deschanel avait été élu, le 14 oclobrb donnés
. H.. Alargue a soutenu le projet de la- com»
sont gravés dans toutes les mémoires et qni trop beaux pour que nous n é les publions
1877, par 6,227 voix, contre 2,098 à M. a voulu poursuivra ses Intentions aggreMivei. . mission doiiL il est rapporteur, an nom do*
pas
:
ont fait couler bien'des larmes. Voilé un des
Si elle succombe aujoiird’hui, elle n'a qu’à s*en dcoits des employés.lla insiiié particdlièrchaeBl
Ferdiuaod Bàrrol, bonapartiste.
A
T
i
e
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o
r
H
a
g
o
*
côtés de ce Titan de la poésie moderne: l’ima­
f t o n r s é d e I ^ a r ls *
prendre à oUe-mëme.
.sur.U retenue de traitement pour la retraita qui
Pire, éoK aa aalbcur, an étail, ï la soafraice
" ' (DépSob* TASgrspUqu*^
gination la plus;complète qui ait existé.
constitue pour l’agent uii droit véritable et pour
LOIR-ET-CHER
Redijrons-nuùs de quel accent il a raconté, A l’eabre de laurier dan» la iuUe conquis, '
L li compagnie.une obligation corréléUve. -L eœ«
Arrondfssemeni de Koraoronfin.
Vitns
stDlir
sur
les
aaios
le
bdstr
de
la
France,
BsUta
d((
s
IIsn
iM
.
.pJoyé.n.’est pa,*<libre.de partir, en effet, quatid
., ’d lwrps
io A '
dans a Légende des siècle» l’histoire héroïque
M.
Julien,
républicain................
6.108
Elu.
L
e
s
ancêffrcs
d
e
s
B
oers*
Éturense de fêter le jour oà tu naquis I
» 25
' a. pondant vingt ans subi la retenue pobr la
jy v .u iw l^ lè ,85 10 84 85 > »
M. Durand: républicain clérical.. 4.590
de l’humanité? Le montrerons nous donnant Victor Hugol ta voii de la Lyre étouffée
• 05
« . f c - v - 83 7 0 .. 83 65
Div--r3..',......................................
166
ati ihéi, re des œuvres longtemps contestées,
réveilla par tei, ptaigoanl les aani Mnfferts,
dant
>
75
M.
Lesguillorr,
qu’il
s’agisisait
de
remplacer,
« i / 2 * / , . . . . <17 25 <116 60
mais ferlés,* vivantes, originales comme ces
ta connus, oiuâ que ton aient Orpbée,
, , -------------- .
avait été élu, le 14 octobre 1877, par 7,038 des
f t . / . ...............119 30 119 275 • ü I 025
Burgraves que nous commençons. Seulement L'dpre exil, tt ton càant ravit les noirs enfers,
vante, extraite du registre des mariages da la I {q nroposition de loi en discussion;
voix, contre 5,190 à M. d'Orléans, légitivnistOi
communauté wallonne à Brielle :
. M. Lelièvre, au contraire, a combaUd cette
à comprendre; comme B em ani que nous lais ta vis à prsent dans la sereine gloire,
Lé 1*^ février 1688 eut lieu, dan» l’église .proposition, de TelQcacité de laquelle il dOBle.
plaçons aujourd’hui è côté du Ctd de Corneille. Calme, benreoi, (ontemplé par le ciel souriant,
iind qu’Honère as^ sur sou trAoe divoire,
walleiineil<-B'iell<-, lemati<ge de Pierre Joubert, .Il estime que le droUd’intervention de l'Etal ne
U e p p in e e d e B ism a r c k
Le Romancier a écrit Notre-Dame de Paris, Riyonnant et tes y e u i touniés v e rs 'I’OricDt.
natif'de la M >lle-d’Aiuue< de Provence, et de {.d.oit.pa; eéteodreaux rapports des compaghles
c i ^ s p a r tis .
les AfM^ra&le», Quatre vingt-treize. Il nous a Et tu vois à les pieds la fille de Pindare,
Suzmne-Reyuede la Roque, native d'Aulherqn, laycp fes. employés. M. Lelièvre reconnatt qb’il .y
tenus sous la magie de ses conceptions tour L'Ode qui vole et plane au foid des finnaments,
V IC T O R , H U G O
I..a Gazelle nationale, parlant de l’altitude du en Provence, tous deux einbatquésdans te vais- |,a.desabus,raaisilditque pour y porter remède,
h tour grandioses ou charmantes, terribles ' "ipopée et l'éclw de son glaive barbare,
prince de Bismarik vis-ii-vis des partis, se livre seau Mval-de-Sinai, faisant voile pour le Cap de I il faut se garder de faire fléchir les principéè —
Celte d|Ôè restera Inoubliable. Elle a con­
Bunné-E^pérance, sous la conduite du capitaine I ce gui arriverait avec l'interveolioR du Gouverfa Mlire, aui'yrnx pleins de fiers cbàtimeols;
aux rtflixions suivante'-'.
ou touchantes, soit qu’il ressuscite une figure
Samuel Van Groll, ét cela aprè* leurs trois j'nement.
sacré une immense manifestation paciOque historique, soit qu’il la tire des entrailles de
le Drame, cbarmcur de la fonte pensive,
Le prince de Bismarck a une silualion à lui,
.M . Germain Casse n’a pas apporté d’araude près de cinq cent mille.hommes, femmes, l’humanité, c’est toujours la même puissance, Uui dn peuple agitant et contenant les llols, ^
une situation où personne no veut se joindre à annonces publiées dans un même jour, du con­ ment.s nouveaux ; il a seulement engagé la
entants, défilant, des palmes, des fleurs à la le même relief, la même inlet.sUé de vie; Sur tons les parias répand, comae une eau vive,
lui. Quiconque n'a pas fait autant que lui sur le sentement de m-ssjeursdu Yen, m-igistrai». • I Chambre à voter le projet, afin de prouver sa
Sa plainte gém issante et scs am ers sanglots,
Oii ^ait qu’une bonne partie drs Hollandais
terrain de la politique élraiigètcn'a pas, comme
main, peddant presque une journée entière,
'* vmpathie pour les employé de chemins de fer.
c’est par là qu'il a pénétré le plus avant i
lui, le droit de cons'dérer la politique intérieure actuels du Gap, les soi-dirant Boêrs, descendent
lais, AcoD Soateur de tou.-i les m isérables]
devant la demeure de Vicier Hugo.
/oici.l’avis du Gouvernement.
le cœur du peuple. C’est par là que ses idées Tn détoDtnes les yeox d u crim e cbâtié, .
des François qui, après la révocation de l'édit de
comme une chose secondaire.
■ Aucune mesuré d’ordre n’avait été, prise.
If.'Raynal, rour-secrétaire d’état aux trtvaox
de clémence, de pardon, d’amour sont entrées Pour ne pins voir qne l'Ange aux larmes adorables
Le chancelier a prU et traité, il est vrai, les Nantes, s» rélug èrent en Néerlande et s’embar­
‘publics,
rappi-Ile toptes h s réclamations émaQuelques esprits chagrins prédisaient i’avor- dans le courant commun. Le Roman n’a été Quaii ciel et sur la terre ou nomme : la Pitiél
partis comme il l’a dillui-inême; ils ont toujours quèrent pour le Cap; cependant il y en a aussi, l ’nantdes agents commissionnés. Ces réclamatemeot deJa manifestation, ou du moins son qu'une des formes choisies par ce génie in­
été pour lui en deuxième ligne. H est évident parmi eux, qui descendent d’Allemaiids.
PèreI s’envolant sor le divin Pégase
'ti'ens ont ému le Gouveroemcnt, qui est peraussi
que
les
partis
soufflent,
à
plusieurs
points
caractère politique probable. Il n’en a rien comparable pour se faire comprendre par la
travers l'infini sublime et radieux,
'sùadé que les eipployés n’acceptent des érooludo vue, de cet état de cho-^es. De quelque façon
‘ inents t r ^ faibles au début que parce qu'ils ont
masse, pour se rendre plus accessible à tous. fie génie effrayant, ta Pensée en extase
que lu prince de Bi-marck reste au pouvoir,
Atout vu, le pas^ les mystères, les Dieux.
Tout Paris s’est rendu à l’avenue dEylau,
là perspective d'uue retraite assurée. Or*.le ren11 semble que cet homme ne serait
qu’il gouverne d’une façon libérale, Gobs'TvaE'Ie a vu le cbaroier funèbre de. l’ilisloire,
rvôi'anti'cipé
des agents crée à ceux-ci une A»
maie un Paris solennel, presque religieux.
trice ou réaciionnaire, il aura toujours pour lui
complets! le côté politique lui avaitéchappé.
le s sages poursuivant le but essentiel.
' 'lùatioQ déplorable. C’est pourquoi le Gonver*
Le» divergences, les haines de paril, les po­
l’opinion
de
la
ma-se
du
public,
qui
pense
que
S
é
n
a
t
.
Quelques-uns trouvent qu’il s'y est amoindri,
Et les liémons foigeanl dans leur uveme noire .
'nêment
soutient,
le prqjtt de loi actuel, qui n i
lémiques se sont tues •devant celle sereine
lui Boul sait ce qu’il faut faire, tandis que les
Les brasiers de [’aorore et les sapbirs du ciel ;
nous estimons, nous, qu’il s’y est complété
’porle'pas,'comme on l'a dit, atteinte à la liberté
partis en mmorUé seront abandonnés par le
royauté du génie qu'il s’agissait de fêter et
Seancn de Sam edi.
‘<Jîs'conirât&
Elle a vu les combats, les horreurs, les d&astres
Il a chanté la royauté d’abord, par ce que ss
pays.
On
doutera
do
leur
sagesse,
tandis
qu’on
. y d’acclamer, devant lesqualre-vingl glorieuses
A;Tès ce d i s c o u r s , la d is r u s d o D générale a été
Le tarif général des douanes,
mère était Vendéenne, l'empereur ensuite Les exilés plenrut tes paradis perdus.
sera convaincu do cille du chancelier qui a agi
années de ce vieillard qu’on a pu tour à tour
u
c.
à d ,u . heure., sous 1,
M 6 ,o,x con,r„
ou agira un jour de concert avec les oiêmos par­
parce que son père, le généra! Hugo, avait Et les fouets aebarnés sor le tronpeau des astres;
A'vaîit' d’aborder la discussion des articles,
Et, lorsqu'elle revicut des gouffres éperdus,
appeler i le père , 1*aïeul et l’ancêtre.
tis. On mesure donc les chos'S avec deux
présidence de M. Léon Sny, et le déb it recom­
bercé son enfance aux récits de l’épopée im­
'Af. de'Sqlân'd à demandé qu garde des sceaux
Lorsque nouslui disons : « Parle, fine faut-il faire?
Victor ï ^ g o , on l’a dit souvent, est entré
mè:ures,
et
lepartis
doivent
pour
cette
raison
mence
sur
le
laril
général
des
douanes.
périale. Plus tard il est devenu libéral e t enfin Enseigne-nous le vrai cbcmin. U’où vient le jour?
vivant dans rim morlalilé ; G’esl-à•^ilre qu’*'
Le Sénat esl arrivé au chapitre 83, réglant 'quelles mésiirés il comptait prendre poue susse garder de renoncer à leur propre existence par
démocrate, républicain, ce qu’il est depuis le Pour nous sauver, faut-il qu'on lotte ou qu’ou diffère? ■
les droits sur les fruits et graines oléagineuses. pén'dreles pounuites contre les journaux eu
la puMilanimilé.
lui est donné d’assister & son apothéose, <
Elle répond : « Lemot du prob ème est Amour l ■
Deux-Décembre.
Ce
qui
donne
aux
partis
la
fermeté
nécessaire
La
Chambre des députés a exempté tous ces récôu'vrements d’amendes (suivant 1a dernière
d’entendre autour de son nom ce concert de
On a eu raison de dire que ces change­
« Aimez-vous1 » Ces deux moLs qui changèrent le monde
pour résister à tous les assauts, c’est le grand but produits, mais la commission du Sénat propore loi 'd'amnistie des déhl* d.e 1a presse, votée par
l’admiration universelle, que les homn
un droit de 0 fr. 60 pour le Im, le ravigon et le 'la'ChétribfeH'y a dix jours).
qu’ils poursuivent.
ments réels indiquent les efforts de celte Et vainquirent.le Mal et ses rebellions.
'M. Gàxot, gardé dès sceaux, a répondu qu’il
n’accordent' d'ordinaire aux meilleurs
colon, un droit de 1 fr. pour l'œ ll« tte, le colza
C'est sur cette base que le parti national
grande âme vers la vérité ei sont une per­ Comme aulrcfois, redits avec la voix profonde,
avait pris les mesures nécessaires pour ùâre sur*
aux plus grands d’eutre eux, que, lorsque
lutté; c'est sur celte base qu'il do.t se main­ et le chanvre, et enfin un droit de 1 fr. 25 séofr aux poursuites.
pétuelle et graduelle ascension vers la lu­ Emeuvent les rochers et comptent les lions.
m on les a touchés. Silencieux, on les épar­
pour les arachides décortiquées et le sésame.
tenir.
Obi
parlel
O
ne
tou
chant
merveilleux
retentisse
1
mière. Nous lui devons les Châtiments écrits
Un amendement de U. Fresneau tendant à ' ’ Reprise de la diMqssion sur les chemim
gne, à moins qu’on ne les oublie. Mais Vic­
[|is-nous eu tes récits, pleins de charmants effrois,
pendant son exil et qui demeureront peut- Comment quelque Bohnd arm é ponr la justice
porter à 4 Ir. le droit sur le colzx n’est pas 'da fer............... ...
to r Hugo est arrivé à ce point ob les compa­
L
a
g
u
e
r
r
e
d
e
s
Boer.s*
^
ad
ipté. M. Gaston Bazille trouve que les Uux ' 'H .T ran é u x à 'déposé le contre-projet aui*
être son œuvre la plus parfaite.
Pour sauver an enfant ^ o ^ un tas de roisl
raisons cessent d’exister ; il domine tout son
D é s a s lr e d e l’a r m é e an glaise* de 0 fr, 60 et de I fr. sont déjà trop onéreux, 'vànl :
• Qui ne se souvient de ces strophes en- 0 maître bieu-aimé, qui sans cesse t’élèves,
temps. )(l est au-dessus de la jalousie, de^
Lorsque le contrat de louage n’aura pas été
et
il
demande au Sénat d’exempter cas matières
flàmmées, de ces pagçs vibrantes et fiévreuses la France acclame en toi le plus grand de set fils;
L'.e dépêches du Cap annoncent la nouvelle
mesquines rivalités ; il est seul. Un immense
de tous droits. Cette application de droits formé pour no temps ou pour une entreprise
d’un désastre des Anglais au Transvaa).
qui marquent d’un fer rouge les origines et Elle bénit ton front plein d'espoir et de rêves,
.déJlviJItinéa,
.les parijes
pourront se dégager de
qu'rtvail
repoussée
la
Chambre
a
naturellement
.
,
apaisement s'est fait sur son œuvre et sur
Ou
80
rappelle
que
le
génixal
tii
G.
Colley,
le développement de ce second Empire, né Et tes cbevenx pareils ï la neige des lysI
donnant .congé, suivant
leyrn obligàliQOsen.sp
obligàtÎQhS
son nom. Les derniers retardataires sonirengouverneur de Natal, après avoir subi un échec force la commission V àugmeriter, ceux établis I Ivyrs
d’un massacre et écroulé dans l’invasion Ton Œ u vre, dont le Temps a souleve.les voiles,
surleshuih-s. le savon, lép'etroléi'il est donc les usages établis, oii, s'il n’exTsta pas d’uiages,
sérieux
à
Lang-Kek,
s’éiait
retiré
à
Mounl-Prostrés'au giron ; il ne sait plus ce, que c’est que
étrangère, dans la ruine, dans la désolation b’est déroulée' ainsi ([ne de riches colliers.
pect, attendant une occasion favorable pour a craindre que les consommateurs ne soient en observant un délai an moins égal h' la durée
Comme après des a ilie rs et des m ihcrs d'étoiles.
la critique eV la négation: il q'a plus d’autre
ci’ûn terme du paiement des salaires stipulée,
de la patrie î Hugo savait comment tout cela Des toiles an del s'allument par milliers.
reprendre les hostilités. Les Anglais avaient pour gênéa par des prix trop élevé». '
M.Ancel fait remarquer qu’il ne s’agit pas j sans que ce délai puisse être moindre qne trois
* é ^ l que liii^méme.
objectif de tourner la position formidable des
finirait ; il n’a cessé de le dire et l’événement 0 parlel ravis-nous, poète1chante encore,
mois. En ce cas, la partie qui aura repris sa
ici
dè
produits
alimentaires,
et
que
la
culture
'
, C’est ceque la foule avec ce merveilleux
Boers ü Lang-Nek. Ils «'étaient, dans ce dessein,
a donné raison à celte pensée des anciens Eflajant nos mallieprs, nos deuils, l'antique affront;
instinct d'intuition qu'elle possède, a comemparés, pendant la nuit de lundi, de la colline dcntll s’agit et qui est très répandue dans un liberté sans motif légitime devra rendra compte
pour qui le mot poète signifiait aussi voyant. |t doi>nc-nous l'immense orgueil de voir éclore
à l’autre de tout ce qu’elle aura pu recevoir
grand
nombre
de
dépar;einent8,doit
è
re
p
r
^
do
Spilzkof,
située
à
gauche
de
cette
position.
pris'lpot de suite. Paris a été digne et sim­
sérvée d'un déclin prochain. L.a commission n’a d’elle en vue d'une plus longue exécotion dn
Aujourd'hui le'vieillard apaisé, doucement Les chefsHl'œavre futurs q^i germent sous ton front.
Les Boers les ont attaqués au point du jour.
ple en fëtdnt la plus incontestable de ses
T h é o d o b b d e B a n v il l e .
pas admis les droits de 4 fr. demandés par les contrat, sans qo’il puisse être opposé de sti­
attendri,
se
rapproche
de
Dieu
à
mesure
que
Les
rense
gnements
ne
sont
pas
encore
com­
glpirès, et il a donni è la France etau monde
plets sur ce qui s’est passé dans celte rencontre. agriculteurs, mais on peut bien leur accorder pulation contraire. *
ce grand ^ e m p lé d'un peuple qui s’honore les années, impuissantes à affaiblir son cer­
H. Hargue a combattu cet amendemenr
On assure loutelols qu’après avoir repoussé ceux très réduits qui ont été fixés.
MSI. Birne, Paris, Tirard et Pouyer^Querlier comme anti-juridique.
en houoranl ceux dont la vie entière a été veau, tombent en neige sur sés cheveux. Ses
Le Rappel publie la noie suivante à propos quatre attaques successives, les troupes britan­
dernières
œuvres
sont
des
hymnes
à
la
gloire
H. de Harcère l'a défendu, H . Trarieux est.
montent
successivement
à
U
tribune
et
dé­
consacrée au culte de l’Idéal et de la liberté.
niques, n’ayant plus de munitions, se virent
de la fête de Victor Hugo :
forcées de se replier sur le camp do Meunt-? fendent ces deux opinions. Le droit de 0 fr, 60 venu nne dernière fois à la rescousse, puis la
I Dequis clinquante ans, V ictor Hugo' a pro­ de Celui q u i se manifeste surtout en de tels
Ddus
l’impossibilité
où
il
est
de
remercier
Chambre
a voté. Le vote a donné
voixpar
la
commission
pour
le
lia,
le
rademandé
hommes et par de tels hommes.
Prospect. Cïlle retraite aurait été im vériUble
fondément renouvelé la littérature française.
individuelUraent tous ceux qui, en si grand
Tous les êtres déshérltéé, souffrants, toutes nombre, luj ont «i magnifiquement rouhaiw sa désastre. Le 58* r^iroent aurait péri entière­ vison et le coton n'est pas adopté. Ces produite pour le projet et 204 voix contre.
Il l’a marquée à son empreinte. Nos poètes,
Il y a eu un pointage. Le pointage a donné
sont déclaré exempts ainsi que les œillettes et
ment
;
sept
hommes
seulement
aurait
pu
re­
nps romancteva, nos historiens piocèdent de les causes justes, tous les peuples opprimés fêl', M. Viclér Ib-go remercie collectivement joindre le camp. Les versions sont contradic- leslarachides décortiquées.
198 VOIX contre 198. 11 n*y a pas en de majorité
Aucunes modlGcations n’ont été apportées par et le contre-projet a été rejeté.
lui. 11 n’en est pas un qui ne lui doive quel­ Ou martyrs ont trouvé dans lé cœur du poète cet admirable et généreux peuple de France qui loirct sur l’étendue des pertes éprouvée* par les
lui a fait I h o n n e u r de venir saluer sa maison»
<
un
écho
sympathique
et
profond.
Il
n’a
rien
La séance a été levée et la discussion fMToyéa
la
commi&den
sur
les
autres
graines
et
les
den­
que chose. Qui que nous soyods, nouà lui
les villes.'qui lui ont envoyé des déléguw, les Anglais. Hais les blessés, évacués sur Newcastle,
à jeudi.
avons emprunté, sinon le fond, du moins la défendu qui ne méritât de l'être., rien admiré compatriotes du dehors qui sont vénus lui. ser- racontent qu’il n’est resté au camp qu’une cen- rées coloniales de consommation (article 83 à
I
qui
ne
fut
admirable,
rien
haï
qui
ne
fut
forme dé dés Idéeà, une part de lui-mème.
S 0P A I B E
1.
La Jon rn éèd ü 21 Février.
NOUVELLES
F E U IL L E T O N
D B
(8)
R É C lO lI k P B S IlB B
IlilKS. lERMINA
ÉLDe sa chambrà elle avait aperçu,! elle anxM,
B pavillon, éclairé. Et iogeant que le comte et
Lanturà cohilnnaient les. recherches; dont le
matelot loi' avait parlé, elle venait s’enquérir de
lenr iôsallàt.
. , ■
«Elle àvàit entendu les dernieres paroles pro­
férées par le comte.
— Les grandes, donlenrs sont mères des
IIIosioDS, dit-elle froidement. Sians dnnie ce qde
voué avez pris pour une Inmléré brillant à 1 intêHeur dn pavillon n’était que le reflet dfi quel­
que, taenr. cxtèrienroy. et teqe|, fit elle .vivét
njpnt» ma lampe est près de votre fenêtre,, voyei
H par hasard elle ne se refléteiait pas dans le*
vltrœ,,., ;
comte iorüt.
<- '
Hiry-Ano disait vrM.
'
An mlUén de l’obeenritA profonde qui eovel o ^ t les bttiOMnli. la hunlère eemblaii si
baillante que dans les carreaux .du pavillon elle
se réflétait en produisant l’effet d’une clarté
intérieure.
— Après tout, dit le comte rêveur, c’est n&c
conjecture admissible.
— Hum! fit Laniurc. Comment se fait-il
alors que nous n’ayons plus rien vu quand nous
nous sommes approchés tout à l’heure?
— Effet d’opliqué, dii le comte.
Lapture b p ^ à U tête.
Esi'-ce que . vôtre lampe est restée où elle
eét'liodte la soirée fdénSanda-t-iU.Mary-Ann.
Gell<-ci 'té redressa et d’nn ton sec :
— SofqNts^voos que je I**! mise là... exprèaî
\
-r- Mon, non, je ne dis rien, fit le m atdot ■
,Ét il marmofta entre ses dçDt* ,: \
C’èsi .égal, çanem e parsit.pas.clair. . , ;
—. RèniroiiA,'fit iè çbmtè, toutes ces émotions
m’ont brisé... J’ai peine à me'tenir debôul...
hélas!... me sera-t-il jamais'.donné maintenant
de connaître le repos? .llemettex. votre âme .aux mains du Teut*Puissanl, fit eolcnnclkm.ent fllary Ann, et offreslui vos doniènrs eh holocauste...
Laniure eut uh bausAeincnt d’épaoles des plus
significatifs.
— G’esi une brave femme, grogna-t-il tont
bas, mais elle nous ennuie avec scsliianlea.
Referme la porte', l.aDture, dit le comte,
et rends la clé à madame i je passerai le reste de
la nnlt auprès d'Uélénc, à prier et à pleurer...
Etaient-ils fous tous deux ? Avaient-ils va ou
bien avaient-ils été dupes d’une iliuskn?...
Avant de répoudre à cotte qnëstiont il nous
faut présenter à nos lecieurt daui nouveaux per­
sonnages, appelés, à jouer un rôle -important
dans ce mystérienx récit.
, . 4
C’était à Tatibe du jour qui imvit celm où
! avait été comml* le crime des Tréœbiayes.
' Lè'ch&teail était sitbé, non* Tavons dit, siir
ono hatitenr dominant la vallée de Balll6p;la
coitibo descendait en pente rapide ponr se peidfe
par pno déclivité pins douce dans un large ro ^ if
de bois connu dans le pays sons T aj^taiioo
significative de Vallée-Sombre...
Ces fourrés dépendant des immenses propriétés,
da duc d’U.!. longeaient une route vicinale,
ordloalrèment peu frèquenfée, qdi relie ta pçüie
ville de Rocbefort à <;laire Fontaiqe.
Rochefurt, qui Iprésentc encore aojonrdbui
un vif intérêt aôx archéol^éS, fat an temps
jadis la Keidencc des RÔhan. USnV le dmellèrb.
attenant h la vieille ^lise, on voit cncoro tes
tombes des plus illustres seigneurs d e teite ftmillc, et nùtammemccIledagraadmatiVqde.la
Véiierle bue Louis XIV fit périr sur r^chafàod,
à la sbiio de lé eeièbrè Conipirallpii de Vim deu
i Lindon-*! dramVtiqurtttèiêt ixcohiée par Eogène
A .lA.. ....A
Mtmah’ tuiManfnonl.,
rnhi^'
r______ --...-JBaqdè
^
Les iilllls deetallées Sombree rsooovreot à ce
l’on iSiiM » de foogi etpcefoodiietrtamfoi
mCllAMBüES
qui, lux époques hoarmentées du moyen-lge, reines -du petit monde blotti sons l’herbe, qnl
servaient de communication entre les diverses vivent d’un rêve -et meurent d’un souffle.
Lentement elle se glissait à \kavors le*
forteresses qui défetidalent le territoire. Aajourd'hui des fourrés inextricables de basse branches qui semblaleDl se plier èt s'onvrir
futaie éouvrcnt le sol, et c’est à peine si de temps d’eilcs-mêmes devant lenr souveraine.
Et quand elle parut sur le Iwrd de la clairière»
à autre quelque intrépide chercheur ose se
un premier rayon de soleil l'éclaira tout entière,
hasarder dàns'ce dédale.
1 Cependant I l’henre dont nous Mrlons, voici comme pour lui souhaiter la bienvenue.
.Timide, presque craintive, elle so penchait en
ce qui se passait au plus profond d e ces bois
ê^is dont le jour finissant caressait lès feuilles avant, glitsanl plutôt qu’elle ne marchait. Une
de ses mains étaient cachée sous sa robe, et de
Vertes, agitée* par le souffle du maiin.
>' Sous uh'^ôhié formé par dès bouloanx nboo^ l'autre elle faisait maintenant un rempart à ses
l^is et de* 'h ô ti^ naihs, nne clairière s'^étcndait yeux éblonis par le passage subit de Tombre à U
sur une ôirCoAférMce de quelques mètre^ Le lumière...
Elle regarda autour d’elle et voyant qu elle
M couvert d’àhe herbe fooffue, disparaissait
sous les idargtaeriieiS et les reines des prés. Le était bien seule, elle souHt et dit :
— Boi^oor, mes petits amir
iltcoce'ii’étalt tronblé que par le snsqrrcment
• Elle répondait aux Insocics qui là saluaient.
dto inseèttt chantaht le réveil de la natnre,
Parvenue au milien de la clairière, elle s'assit
poétique harmonie qol est le cantllène de la vie
i prïm'itivc et qùe le rêVenr préfèEe au boordonhc- gracieusement sur l’herbe.
Pois sa main cachée dins les plis de la loileen
ment sourd des grandes cités.
.
B i^lôtles branchés .s'éciirièrent et à travers sortit... Ses doigts tenaient une couronne, toute
Im feuillages d’un vert cru se montra une de,frailles blanches eide fleur» d'oranger...
Elle la posa doucement sur le tapisde verdure,
éïninge et ravissante jeune fille...
r^rès-vant, caressant km pétales froissées.
■ ” Dc grands yeux bruns éclairaient son front
— Mon boit soleill reprli-olle de sa voix,
;bfanc, encadré dè cheveux longs et soyeux d’un d’enfant, si to veux être bien, bien gentil* lu la
. noir éclatant.
sécheras tout de suite..»
' J*maip vl**8® ne réalisa mieux le'typé idéal
Cette singulièré créald're était bien conntM
qn’Ary éhoifcre Ptôtélisa douce Hignon. .
dans le pays. On l’appciajt Avrilleite.
’ ^iL’enfant paraissait avoir doute ans à peine.
Voici podrqùoi.
Ses lièvres purpprines ' avaient Ig' fraicbeor ' A'tiavér* te* brairtéà; conrani sdi‘ Ta pMte
écUiante des ,cerisM t aous son teint plutôt mat ' d'ci và)lôti8,‘il eft dabàlé^pày^onèjMtte rfviM
, q itrM rW tè'aoas hhe vôûte !de léùlHa^ Av
Iquè Üté» le tangiéourait actif et plein de .vw.
i m i« était vêtue d^mesortô de blouse d’étoffe Mlé, qhaod'fà Inttb ^ r e M
lotobaht Jnsqi'k ses ple^ qu’éllê àyah
mdt*t‘ue<MFrawt'à sk Wlle' fine par] dM'coEde
Ifaitede branches IlexlbWi, '
"
•
l«iUiwl.bMdd« Urhilèn, mmMtt
Cette g r a d M ippiritioB rappelait à Tlmagl^
'nleiiulmntltlaaldnWNl
lu
MUtxi les («SI dei H |N dèi o à lm qoi sont
ro sn n i avileUt formé, noe p » n o ,;p ,iit« .
créature âgée de quelques jours à peine.
D’où vcnait-elleT qui l’avait ainn abaàdonqét.
dans ce lieu désert? c est ce qqe nul ne pouvait
deviner. Tons les efforts forent infractiwnt popr
établir l’Identité de l’enfant.
. ,
On parla bien de l’envoyer aux
Trouvés; mais les paysannes ont Tlmp -hoanei,
la petite était ai mignqnne! Quand ses ypnx
s’oDvriront pour la première foû,. ellq .pqrpt ai,
jolie qu’une des fennnès qtü'donbait le smn à on
gros poupon s’offrit poufiui servir de nonrrice.
Elle avait été trouvée en un ionr d’avril» dlilà
le nom d’Avrilictte; qo’on. Ini donna- d’U
coaamun accord. 11 est vrai que sur les regiiom
de l'état-civil dè Oaire-FOntalo^ ooM .aniK
imposé celui d’Alix, sainte qnl, alMi qpM cbacnst
sait, se foie le A avril. IHlab j ’osai*.pfévahiC
contre l’aulorlté, et Avrilleite fat adoptée par.
tont le village. Elle n'était h pem one, die « a k
à tous. C’était notre
oonpN -pidM ts
Chose singulière | dès^qo’eile pot maivhar e t
courir, il s’atucha kelletme sortadesmersthlM.
Avrillettè était la fée de Clake-fénMÉé, <* Ifq
vieillards du pays 'raconüiieat tinè tiN W nt lA*
mnde d’après laquelle, an temps.des IMHe*
une Dame ; Manche léiall rideè idss bhïa da*
Bbllfon. G’étilt eHé qiü était ffeveaiM»
«M l
pas à en donter. ■
'' /
autres è Crépy-en;yalois, et lés rix dernières h
Ssnlia Bi*'n qui* ces gniis d'armes Tuèrent des
hommes d’élite et qu’il- Rissent surtout chargé
de proiéger le pays contre le» pillards et In vo­
leurs^ J ’anemblée générale du 8 jeillal, aprèà
une discussion, k laquelle prirent, part Ice gens
d'égliteelles pri 0 ci)>aux habitante, déi:ida que
Ton en prapdfail k Sentis lé moins poeaible; elle
trouvait que quatre lancea pour Ta ville a u ÿ saient largrm'ent'ét que Ton pourrait bien
meitre les deux aiiree soit k Creil. eeit k Pont.
SiSgM
1« pwU rSpnliUIl etaii de pnhdpean moyen-kge que les garvon
von
nUonsen temps no paiXj autsi bien que lie '"
DÉPARTBHENTS
HpubUe«lD«i. rteoUonnmir*!.
trottpe.-r en camprane, ■véclisrent aux dépens dn
u n.
paya sur lequel élire se trouvaient. L'élection.de
Sentis fut chargée d’entrétènir lre dix lances,
63.368
1S.743
Ain, 6 rêpublkaips . .................
qui'élaient logées sur son territoire. Lee coin83,831
42.894
Aisne, 8 républicains . ..............
roissaires répartirent cette charge entre teulM
53.372 37.362
Allier, 6 r ^ u b iic a in s .....................
les paroisere de l'élection et la villa de Senlia
13.640
Alpes b a s s e s -), 5 répubiic^ns
>•••
fut imposée k 4 0 9 1 . 1 , pour trois mois, dont,
8.387
1 siège gagné.
Alpes (Hautes*), 2 républicains, 1 réacf . . . 13.847
le clei^é devait paver sa part. C’est ce qui '
6.208
1 siège gagné.
Alpes-HaritUhes, 3 républicains, 1 r é a c t. . . 30.510
explique Ik présenta de nombreux écclésiae48.410
41.439
Ardéohe» 6 républicains, 1 réactionnaire. . .
1 siège gagné.
tiqurek Taaremblée du 8 juillet 1445; on les
45.394
31.502
Ardennesl 5 républicains.....................• • • •
avait convoquée parce qu'il s'agissait d’affaires
30.566
25.609
A r i^ e , 3 républicains. . . . ........................
C l a e in i D S d e f e r e t e a n e a x *
militairre, qui les concernaient comme tous lea
27.656
42.423
Aube, H rép u b licain s........................................
Lo Joum at officiel vient de jjNlblier des étals autres bybiiaqis. Cette somme de 400 1.1. paf
X
. '5 '
41.450
34.807
Aude, 4 rép u b lica in s................. .......................
On annonce que le lieutenant-colonel GliMel,
détaillés faisant connaître, pour le qualnème irimi stre était une charge des plus lourdes pour 37.775
52.096
2 sièges perdus.
Avejrron, % r^U blicain?, 5 réactionnaires. . .
acquitté dans raffaire dite du scandale de Bor­
trimestre de Tannée dernière, la marche des la malheurêuse ville rumée par trente années de
73.645
40.746
Boucbes^u-R béne, 7 républicains.................
deaux, vient d'élre mis & la retraita ü'ofQce.
travaux de chemins de fer et de navigation doiit guerres continuelles et elle demanda une dimi­
39.621
55.621
Calvados, 7 réa c tio n n a ire s...............................
Aussitôt après l’arrestation de cet officier, le
la dépense s'impute sur les ressources extraor­ nution. Dans cette même as«é|nblée du 8 juillet
34.576
14.963
Cantal, 4 républicains.........................................
ministre de la guerre avait prononcé sa mise en
dinaires du budget.
on nomma des 'députéi chargés d’aller repré-'
38.215
51.085
1 siège perdu.
Charente, 1 républicain, 5 réactionnaires . .
noi:-activi(é par retrait d’emploi.
^Les dépenses laites pour la construction dre senior au roi que Tévèché de Benlis était beau­
3 sièges perdus.
64.432
Charente^Inférieure, 3 républicains, 4 réact . 51.860
Le lieutenant-colonel de Poussargues serait
chemins de fer d’inlérél général, pendant cç Iri- coup plus imposé que Tévôché de Heaux et la '
41.866
36.261
1
siège
gagné.
Cher, 4 républicains, 1 réactionnaire..............
nommé au 144* de ligne, en remplacement du
mè tre, se sont élevées k. 75,788.000 francs, dé­
doyenné de C om pilas; Tevéque de Senlis,-Jead
39.394
27 585
Gorrëze, 5 républicains
........................
lieutenant-colonel Ch&tel.
passant de 14,746 OOOfrancs cellesdu trimestre Raphanel ou Raphaël, veulul y aller en’-ptt16.639
31.576
Corse, 5 réactionnaires......................................
correspondant de 1879.
X
Bonne et on dreigna pour Taccomj^gner'un
50.740
36.046
COte-d’Or, 6 républicains.............................. .
L’ensemble
des
travaux
de
chemins
de
fer,
PlusieuK j'ournanx ont fait remarquer l’ab­
homme d’église et l’avocat Sickrt'^dé Iç^&hçU
82.230
3 sièges perdus.
Cétos^iu-Nord, 3 républicains 6 r é a c t . . i • 40.917
exécutés en 1880, représente une dépense totale Mais leur mission ne donna pàs'dk r^ûltafi
sence
de
H.
Gambelta
an
bal
de
jeudi
soir
à
36.316
14.461
c ieuse, 5 républicains.........................................
de 274.120,000 francs, dépassant die68millions immédiats et l^gitalion alla t&ujôuià c fo i^ q ti
1Elysée. La Déftnte attribue cette absence au
49.533
63.767
D o rd b ^ e , t républicains, 6 réactionnaires. .
2 sièges perdus.
543.000
francs
celle
de
Tannée
1879;
triais
de
mécontentement qu'aurait éprouvé H. GaipLes ecclésiastiques, loin de calmer' Tes' passidna
25.973
Doubs, 5 républicains ......................................' 41.459
ce chiffre de 274.120,000 francs, il faut retran­
betta de certains propos tenus par H. Grévy
populaine, les exciikiént et ils*é^ien't d’autant
29.515
Dréme, 4 républicains, 1 réactionnaire, . • • 53.389
cher 84.962.000 francs de travaux ex^'cuiés en. plus furieux qu'ils élaiént moins ûbttués à
sur la question qui tient le plus au cœur de
46.045
Eure, 4 républicains, 2 réactionnaires
• 46.886
douteux.
tièremeit par les compagnies, de eerte que la p iver la taille que Ire bourgeois.
l'hôte du Palais-Bourbon :
. . . .
47.097
22.210
Eure-ét*Loire, 5 républicains...........................
dépense au compte de i’Eiat se tronve ramenée
Un chanoine de Saint-Rieul, qotpmé Michel
* M. Gambelta, dil-elle, boudait le prési67.678
55.045
3 sièges gagnés.
Finistère, 7 républicains, 3 réactionnaires. .
k 189,158,000 francs, Eomroe dans laquelle la Regnouati, se distingua parmi tous Ire mécon-^
sidcnt et de cette bouderie on donne, entre
48.369
Gard, 4 républicains, 2 -réactionnaires. . . • 55.045
2 sièges gagnés.
construction de lignes nouvelles entre pour lent*. Un. jour de juillet, k quatre heures, de
autres raisons, la suivante. On assure que le pié53.566
3 sièges gagnés.
Garonne (Haute-), 4 républicains, S réact . • 59.338
124.090.000 francs.
Tdprè»-midi, il vint au carrefour de la Perle au
sideai anonyme de la République garde ran­
33.877
42.995 2 sièges perdus.
Gers, 2 républicains, 3 réactionnaires . . . .
Lre travaux de navigation (rivières, canaux Pain, qui elait^alnrs comme aujourd'hui Tencune au président nominal de son opposition,
65.149
4 sièges gagnés.
Gironde, 6 républicains, 4 réactionnaires. . • 89.335
et port* maritimes), exécutés pendant le qu;> d>oit le plu:< fréquenté de la ville; les gens de
sourde
jusqu.e-14,
au
scrutin
de
liste,
opposi­
45.793
Hérault, 6 républicains................................. . 59.857
trième
trimestre
1880,
ont
donné
lieu
k
une
Senlis, nous dit le réquisitoire du procureur du
tion qui s'est ouvertement manifestée précisé­
65.281
57.565
Itle-el-Vilaine, 7 républicains, 1 réact .
.
1 siège gagné.
'
.
dépense de 38,158,003 frani», dépaswntdt*
roi, avaient l'habitucle de s’y rassembler pour
ment à cette soirée de jeudi dernier.
35.741
Indre, 2 républicains, 3 réactionnaires
• 27.243
2 sièges perdus.
7,086,742 francs celle effectuée pendant le tri. causer de li-urs affaires. Ce jôor-lk, il s'y trou­
■ H. Jules Grévy, parlant avec plusieurs dé­
42.619
32.654
lDdre-et>Loire, 4 républicains...........................
mretre
correspondant
de
1879.
vait beaucoup de monde et le chanoine Reputés de la commission que la Chambre devait
98.143
32.875
Isère, 8 républicains...................... ...................
A la On de Tannée dernière. Ire travaux de gnuuart saisit Toccasion pour déclamer véhé­
élire le lendemain, aurait, parait-il, tiès-netle48.828
16.241
Jura, 4 républicains
............................
navigation intérieure et maritime en cours mentement contre les élus. Il ne craignit pas de
ment exprimé ses préférences pour le scrutin
32.538
35.201
2 sièges perdus.
Landes, 2 républicains, 3 réactionnaires. . .
d’exécution représentaient un ensemble de dé­ dire qu’ils étaient dre fàurea'irre et qü ils avaient
L e » d c œ le s Me l ’O ln e .
d’arrondissement. »
38.510
27.094
Loir-etTCher, 4 républicains ..........................
penses faitée s'élevai t k 39‘K840,690 francs,
34.026
72.262
Ne faudrait-il pas cliércher aussi l’explication
Loire, 7 rép u b licain s.........................................
VOfficiel publie le tableau dre subventions pour Ire rivières, 149,540,050 francs. pour les imposé au moins 40U francs de plus que-le roi
36.695
de celte attitude dans la grosse nouvejle q u e allouét-8 et dre emprunts autorisés pour élsblis- canaux, et 155,319,900 francs pour les ports n'avait ordonné; « en mettant dans les com29.040
Loire (Haute-), 4 rép u b licain s........................
mitiaiuns données par les, commissaires huit
44.993
donnent ce matin fe Figaro et plusisuts de nos sement de maUons d'école et poiir acquisition maritimes.
64.975
S sièges perdus.
Loire-lnférieure, 2 républicains, 6 ré.act . . .
livres pour quatre et a in ^ de plus au meins. >
50.102
confrères :
34.393
1 siège gagné.
de mobiliers scolaires.
Loiret, 4 républicains, 1 réactionnaire . . . .
Il
prenait Dieu à témoin ’qu'ih était convaincu
30.590
42.036
1
siège
perdu,
Lot, 1 républicain, 3 réactio n n aires..............
Voici ce que concerne le département de
Dès que les Chambres se seront séparées,
de ces malversations et il jurait qu il leur en
45-349
42.302
1 siège gagné.
Lot-et-Garonne, 3 républicains, 1 réact. . . M. Grévy doit faire dans les déparlemenls un
l’Oise :
ferail.rendre compte. Il parla de cette façon
41.910
'48.331
1 siège perdu.
Lozère, 1 républicain, 2 réactionnaires. . . .
grand voyage circulaire, pendant que les mi­
Subventions allouées et emprunts autorisés
pendant plus d'une demwheure. Coinme il ar­
45.065
75.400
2 sièges perdus.
du 1*'juin 1878 au 1*' janvier 1880.
Maine-et-Loire, 2 républicains, 5 réact. . . .
nistres se rendront tour à tour dans leurs dé­
rive toujours dan* ces cin oiistances, dre bkdauds '
53.193
64.288
4 sièges perdus.
Manche, 4 républicains, 4 réactionnaires. . .
Nombre des communes : 91,
partements respectifs.
Teiituuièreol bientôt. On y voyait turtout do
52.366
41.405
L
i
s
t
e
d
c
si
J
u
r
é
e
p
n
a
r
l
e
a
r
e
w
i
l
e
r
Marne, 6 ré p u b lic a in s ......................................
Subventions : 397,080 fr.
• Sa maison militaire seule l’accompagnepauvres gens, que la muère devait mal conseit38.556
27.954
t r i a a c a i r e I M S I.
Marne (Haute-), 3 républicains........................
ra. »
Dans 69 communes :
ler. Cependant ce prêtre luneûx ne réussit pas
40.134.
36.664
1 siège gagné.
Mayenne, 4 républicains, 4 réactionnaire. . ..
Ecoles
mixtes.
Construction,
acquisition
et
L'Ely<ée a-t-il enfin conscience du danger l
aimés TITULAIRES
k
ire soulever contre les officiers du xoi et ses
53.657
37.945
2 sièges gagnés.
Meurlhe-ct-.Moselie, 3 républicains, 2 réact. .
appropriation : 6. Réparation et agrandissement
demande la' rértfe avec une exagération maMM.
discours ne provoquèrent pas l'émeute qu'il
40.751
35.134
1 siège gagné.
b.
Meuse, 3 républicains, 1 réactionnaire............
nife.ste.
Lemaire (Jean.Baptiele.Raphaël), propriétaire à cherchait a exçitei ; les habitants de. Senlia
38.942
57.374
2 sièges perdus.
Morbihan, 2 républicains, 4 réactionnaires. .
Ecole de garçons. Construction, acquisition et
Sainie-Eueoye.
X
avaient plus de htm sens et de sang-froid qutt<
40.922
39.821
2 sièges gagnés.
Nièvre, 3 républicains, 2 réactionnaires . . .
Gressin (Louis-Pau>), propriétaire k Nont^uil.
M. Jules Simon a déposé un amendement à appro|»riation : G. Réparation et agrandisseieure trop irriùbire pasteurs. Toulc-lois,d’affaire
141.720
9 sièges perdus.
ment : 4.
Nord, U républicains, l) réactionnaires . . . . 122.877
ÜÙpuis (Chnrire-I'iitore). cultivat-mr k Claüoir. ne devait pas finir si pairiblemedl. 1 ^ élus,
la loi sur la prisse, ainsi conçu : '
47.056
47.542
3 sièges perdus.
Oise, 3 républicains, 2 réactionnaires..............
Ecoles de filles. Construction, acquisition et Ooqteyre (J'-an-Ftançoir). propr. k Ghiintilly.
« Sont abrogés les paragraphes 5 et 11 de
iiifurines de la conduite du séduiéJx riianoine,
46.553
41.881
3 sièges gagnés.
Orne, 3 républicains, 3 réactionnaires . . . .
appropriation
:
4.
Réparation
et
agrandisse­
f.egrand
(Cyrille),
propriétaire
k
Clermoni.
l’article 7 de la loi du 4 septembre l8 7 i. »
fit eut une enquête et aounèrent lofdra wairêler'
71.031
401.379
3 sièges perdus.
Pas-de-Calais, 3 républicains, 7 réact..............
ment : 5.
Dermigny (Emi!e4}u8tave), propriébnre k Flavy- le coupable; mais il était sur ses gardes et pen-'
La loi du 4 septembre 1871 porle une aug­
75.999
48.502
4 siège gagné.
Puy-de-Dèinc, C républicains, i réact . . . .
Salles d'asile. Construction, acquisition
lc-H eid'‘UX.
mentation
de
divers
impôts
concernant
les
coiidaril quelques jours il eut sein do ne pas sortir
36.263
44.827
3 sièges perdus.
Pyréuées (Busses-), 3 républicains, 3 réact.
appropriation
;
4.
Réparation
et
agrandisseDuchalfl (Jean-François'Auguste), propriétaire des eiiuroils consacrés àu culte, où le droit
Iribullons indirectes.
23.210
32.375
4 siège perdu.
Pyrénées (Hautes-), 4 républicain, 3 ré a c t. .
k Paillart.
L’article 7 de celte loi, visé par l’amende­ roi-ni ; 1.
d’asik*, encore rrepecle, le p ro t^ e a it.. .
24.285
17.350
Pyrénées (Orientales), 2 républ. 1 r é a c t. . .
Ecole
de
garçons
et
de
filles
réunies
dans
le
Ladiré
(Léon-Raphaël),
propriétaire
k
Notrement, est relatif à l’impôt sur le papier.
Mais le samedi 24 juillet 1445, il eut la sot­
6.401
7.417
lluut-Hliin, 4 réactionnaire...............................
Dame-dn.Thil.
Lf paragraphe 5 de cet article met un droit même bâtiment. Construction, acquisition et
tise de sortir et de se laisser prendre ; Un ’sérgent
98.735
38.396
llhdnc, 7 rép u b licain s.......................................
Legris (Charlcé-Hippolyte), agent de la Compa­ Tarrêta et lui fit comfnandémeni de se rendre
de 10 francs par ICO kilos sur les papiers è appropriation : 3.
41.261
33.391
SaOue (Haute-), 4 républicains........................
Mobiliers
scolaires
et
personnels
:
10.
gnie des mines d Anzin, à'Beauvais.
écrire et è imprimer; le paragraphe 11 met un
aux prii^ons du rei. H reftisa et, comme le,ser90.853
43.619
Saône-et-Loire, t> républicains . . . . . . . .
Montant de la dépense ; 754.143 fr.
Dumont (Loiiis-CaMmir), propr. à Nourard.
droit de 30 fr. par lÛO kilos sur le papier em­
gi-ni essayait de I y' conduire de force, il aà dé­
50.664
54.004
3 sièges perdus.
Sartlie, 3 républicains, 3 réactionnaires . . .
Ressources; Subventions du département
Delamoite (François-Jerôme), propriétaire k fendit vigoureusement. Piusieure prêtres accou­
ployé à l’impr.'ssion des journaux et autres
33.114
24.548
Savoie, 5 républicains......................................
8,4UU
l'r.
Subventions
do
l’Ëiat,
331,460
fr.
Ville^'-!<ous- Sai nt-Lvu.
publications périod'ques assujetties au caution­
37.082
24.317
Savoie (Haute-), 4 rép u b licain s.....................
Versements effectués par la eai&^e des >ubvcn- Levasseur (Augustiii-Nicolas), médecin k Crillon. rurent k ses .cris et se mirant en devoir de la
nement.
secourir; de ce nombre étaient mesaire Jean de
61.675
1 siège gagné.
Seine, 24 républicains, 4 réactionnaire........... 276.552
lions allouées aux vummuiies : 258,730 fr.
Cbalona (Cbirlet-Eugèiie), ancien percepteur k Boilleul, Talné, chanoine de Seulis, messire
X
89.289
63.949
3 sièges gagnés.
Seine-Inférieure, 8 républicains, 3 ré a c t. . .
Emprunts. Nombre de communes admises
Candor.
On lit dans le Napoléon :
52.606
3 0 .8 8 5
Seine-el-Mariie, 5 républicain s......................
contracter un emp^unt:35.E^oprunt89Uto^lrés Sézilte d<-8 Essarls (Paul-Eroîle), prop. k Noyon. Yves Ladmirkull, le jeune, chaj[>elatn de l’é lise
il était question, depuis deux jours, d’un pour écoles primaires comiuuuaîes : 484 600 fr. Rouzée-Gacheux (Jacques-Josepli-Alired), maiie de Saint-Rieul de Sentis,- me^sire Pierre Char­
74.340
44.630
Seine-et-Oise, U républicains............................
nel, religieux de Saiot-Mauiice, et plusieurs
changement complet dans la direction du jour­
43.884
40.383
Montant des emprunts réalisés au 1*' janvier
Deux-Sôvres, 5 républicain s.............. ...
k Chambly..
autres eccléiiiastiqure. Us firent tant qu'ils déli-,
nal le Gaulait, et l’on avait répandu è cet 1880 au 11 décembre 1880 : 532,400 fr.
72.080
67.093
2 sièges gagnés.
Somme, 6 républicains, 2 réactionnaires . . .
Trouart (Désiré-Pierre.Léopold), cultivateur k vrèrent leur conlièie, et Michel Regnoüart'cou- .
égard
beaucoup
de
bruits
contradictoires.
Au­
47.039
44.102
2 sièges perdus.
Tarn, 2 républicains, 3 réacliounaires . . . .
Cires-Ire Hi'llo.
rait se réfugier dans une église quand, siir son
jourd'hui la transformation politique du Gau­
26.201
33.876
1 siège perdu.
Tnrn-et-Garonne, 4 républicain, 3 réact . . .
Gizé (Loub-Furcy-Florimond), ancien négociant chemin, il rencontra Ire éius qui Tanêlèrent et
lois fst un fait accompli. M. Weirbruck, pro38.883
23.206
Var, 4 républicains.............................................
Nous avons dit un mot du concours qui
k Gnmpiègne.
p
létaire
de
cette
feuille,
d’accord
avecM.
Gam35.533
33.981
♦Vaucluse, 4 républicains...................................
lieu lécemmeot k Paris. L'Oise a fourni 3 mem­ Lemaire (H nri-Tliéodore-Doroihc), propriétaire lu' conduisireotg ‘0 prison malgré ses proteslations.
betta, a congédié M. Arthur Meyer et toute la bres du jury et 13 exposants.
37.187
51.928
3 sièges perdus.
Vendée, 3 républicains, 3 réactionnaires..
.
k Garispont.
On aurait pu croire que tout allait se termi­
rédariion
actuelle,
pour
y
substituer
M.
Ri
bert
45.432
29.831
2 sièges perdus.
Vienne, 2 républicains, 4 réactionuaires . .’ .
M. Johnson, de ChantUly, a eu un t^oi^ièrae Systermans (Victor-Philippe), propriétaire à
ner la et qu'il n’en 8t*raii plus question; mais
Mitchell en qualité de réacteu r en chefetvM.
41.374
20.696
Vienne (Haute-), 5 républicains.....................
prix pour ses coqs et poules ; pour les fromage*,
Saint Gnrmer.
tout au contraire Taffaire prit les plus grandes
Lajeune'Villar comme secrétaire de la rédac­ Mme veuve Gliolet, d'Orraoy-Villers, a obtenu Thoiirei (Auguste), propriétaire k Fournival.
55.082
34.370
Vosges, 5 républicains.........................................
pioporiions. Q ieiqüre instants après Tévêque.'
tion.
61.548
30.149
Yonne, 6 républicains. . . . . . . . . . . . .
la médaille d’o r; H. Giberl, de Lévignen, une Poncelet (Jean-Bipiisie). propriet. k Fleurines.
le doyen et les chalioiiies de Saint tlieui, Tabbé
Le Gaulois, qui était devenu Ü y a six mois médaille d’argent; M. Fabre, deSainl-Sulpice,
24.615
Algérie, 3 républicains......................................
Diutreveaux (Henri-Gusiavc), propr. k Noyon. de Saiiit-Vuiceiit, le prieur de &i(it-Haorice, lé
un
organe
légistimisie,
et
où
Bl.
Heyer
n’étaitj
43.527
11.431
et Baclé, d’Auleuil, une médaille de bronze; M. Breton fFrançois-Eui^ène), propr. k Ponchon
Colonies, 6 républicains......................................
que le prète-nom de M. Mayol de l.upé, devient Tliiénard, d’Ermenonville, une roeniion t r ^
cprédeSaiiile-Genevière, celui du Saint-Rieul
Gieuel
(Floriinond.Arlhur),
cultivât,
k
Soliinle.
K É C A P IT ljX A T IO rV
donc à présent un organe évolutionniste.
hoBorabie ; et H. Butocq, de Ghaumont, une Delarue (Chartes-Edmond), propriétaire k Ple<- et celui de Saïoi-Picrte, le chanoine Japques deLayevilteei plusieuis autres piètres se réunirent
mention honorable.
59
sier-aur.Saint-Just.
Sièges perdus..
Dans les roids et cires, ce sont M. Naquel, Deledre (Charles Brune-^rcisius), fermier k en assemblée et décidèrent de cerièr le' service
35
Sièges gagnés .
divin et de tout faire pour obtenir la liberté'dn
d ’AobSuvillers et H. Fouroier, d’Ormuy-Villers,
L a L 'A ie d e V i c lo t * H u g o *
HartinceurL
qui ont mérité, comme nous l’avons déjk dit lavoir (Jean-Baptisle-Narcisse), marchand de t>nsonoier. Ils envuyèient k Tegiise de SaintDifférences (sièges p e rd u s). . . .
....................................................
24
En dépit d'un temps froid et brumeux et pour celiû-ci, les piemièire récompenses.
A’gnan défendre de cuntinuer k chanter les
chevaux k Fiérhy.
En établissant une balancé entre les sièges qu’auraient obtenus le parti républicain et d’averses répétées, la lète de Victor Hugo a été
vêprre du remedi, et vinrent ensuite tons en-,
Delange (Louis-Joseph-Emery), cultiv. k Lubby. si^mble k la Porte au Pain, où ils trouvèrent le
ceux üui ne lui auraient point été attribués, si les élections du 14 octobre 4877 avaient eu
célébrée diroanche.avec un grand éclat, au mi­
Brière fCbarles-Ernest), ag<*ni.voyer.k Beauvais.
lieu au scrutin de liste, on constate qU’cn fin de compte les repulihcains auraient eu 24 lieu d’un immense concours de population.
prévôt de la ville, auquel Téiêque fit comman­
Avl» aux Rd*«rva&tcs.
Dufey (rierre-Narci&se.Xavier), géomètre k Cler- dement verbal dè relâcher lé prbohmer'dans Ira
sièges de moins. Nous yi’oublions pas, assurément, les conditions toutes spéciales dans
Dès la veille, la maison du poète était en­
monl.
Le ministre de la guerre vient d'adresser aux
Jesuuelles ont eu lieu les élections législatives sous le gouvernement du 16 Mai, ni es combrée do fleurs, de couronnes, de palmes et
trois heures sous prine d'excommuBlcation et'
progrès pcrsistanls des idées républicaines : il y a toutelois là un fait qui pourra paraître de branches de laurier, pré>enls d’amis et d’ad ­ généraux commandant lescorps d’armée et aux Julien (Btienne-Lucien), entrepreneur de serru­
de quarante marcs d'aigent d’amende; dé Ik, ils’
rerie à Compiègne.
mirateurs connus ou inconnus. Pendant toute gouverneurs militaires de Pans et de Lyon une
se liansporièreiit chez 1 un dre élus, auquel le
digne d ’t'lre noté.
____________________________________
Franquet
(Jules-Aim
ind),
notaire
k
Rossons.
la matinée, les envois se sucièdenl sans inter­ circulaire dont la ti-neur suit :
prélat adressa les mêmes injonctions.
Dubois (Joach.m), cultivateur k Canly.
Mon cher général,
( \ ) LoschifTrcfl ouo n ous don n o n s sont, ceux des élections du 14 octobre 18T7, corabinés avec les
ruption; les deux e-trades préparées k droite et
Ils revinrent ensuite k la Porte ati Pain, où
rn su lU U d es électiona q n i o nt eu lieu à la suite dos invalidations prononcées p a r la Cham bre des
Mon attention a été appelée sur les inconvé­ Boulanger (Jean-François-Jules), cultivateur k sens duute la foule, attirée par crssiènei plus
k gauche du petit hôtel de l'avenued’Eylau dis­
Verneuil.
d é p u tés.
paraissent bientôt sous la verdure et sous les nients que peutprét^entcr pour l'agriculture, sur
qu'étranges, devait être considérable. De leur
Turquel
(lean-Baptiste-^phonee),
blanchisseur
certains
points
du
territoire,
la
convocation,
au
fleurs.
côté les élus et -Ire officiers du roi, prévenuè de
k Sdint-Firmin.'
.
Bien que le défilé ne soit annoncé que peur commencement de mars prochain, d’une partie
ce scandale, se rassemblèrent et-vinrent trouver
virps chargé de munitions qui attendaient pour midi, dès dix heures la fouit s’amasse sur la des réservistes de la classe 1872 et des hommes Méteil (Pierre-Emiie), propriétaire à Gcrberoy.
le clergé. Iis fireul en.vain Ire plus grands ef­
de
l’armée
territoriale
des
classes
de
1868
et
partir un convoi de fusils modèle 1866, exp^ place de l'Etoile et dans les avenues environ­
aufiés supriianis
forts pour calmer Tévêque et ses prêtres. « Ils
diés, dit-on, de Grehoble à destioalion de nantes. Les d é la tio n s ouvrières et les sociétés 1869.
M».
eistoient, dit le jirocureur du r o i,, tellement
Pour
remédier,
autant
que
possible,
k
ces
musicales, àu nombre de cent dix, se massent
Letailleur fÂmédée-Alfred), marchand de nou- esmeus et échauffés, que ils màltratctOient rai­
Le conseil des minislrrs s'ost icuni’ hier ma- Grèce.
dans l'avenue -d’Iéna. La circulation des voi­ inconvénients, j ’ai décidé que vous pourrez
veâutre k Beauvais.
tht à l'Elysée, eous la présidence de M. Grévy.
son de justice et plusieurà; d eux rébondlront
accorder des ajournements k une autre période Caron (Julct-Alfred), meunier à Beauvais,
Lt séance a été fort courte. Eu dehors de
aux dits officiers du roy mal gracieusement et
üne dépêche de Dunkerque annonce qu’il est tures et des omnibus est interrompue sur tout
l'expédition dus affaires courantes, le conseil arrivé en gare samedi malin quarante cinq le parcours entre la place de l'Etoile et l’avenue d’exercice aux «tf/toa/etirs et aux ouvriers agrû Delafosse (Marie-Joseph-Alphonse), marchand irrévéremmeiit et arrogamment. > Alors lee élus
oe/et, convoqués pour les différentes pénodes
ds lingerie k Beauvais.
dEjlau.
s’ret occupé de la quation du chemin de fer wagons chargés d'armes et de munitions, qui
voulurent faire prisonniers Jean de f ille u l,
dv
mois
prochain,
qui
vous
en
feront
la
de­
Delaville (Alexandre), profereeur d'horticulture Yvon Ladmirault et Pierre Charnel, qui avaient
Quelques minutes avant midi, les délénés
du Simplon. On sait que la Chambre estreisie devaient compléter la cargaisrn d’un steamer.
mande par l’intermMiaire du sous-préfet de
du
conseil
municipal
de
Pa
piécédéspsracux
k
Beauvais.
d'une proposition de H. Léon Renault, signée
arraché
Michel Rvgnuuart dre roaiuX du sergent
Une dépêche du ministre de la guerre or­
M r 110 députée, et tendant k faire allouor par donne l’arrestation immédiate desdits wagons huissiers, ayant k leur tête le président du con­ leur arrondissement et dont la présence sera
qui l’avait arrêté la première fuis. Mais ils s«
déclarée, par ce fonctionnaire indispensable
l'Etat une subvention de cinquante millions k et le verrement
delènairent de leur mieux en jurapt leurs grands
leur c o D le n o k l’arsenal de seil ai le» membres du bureau, se détachent pour les travaux des champs. Toùteiois, ii im­
du cortège et se rendent chex Victor Hugo.
cette entreprise.
dieux qu’iU ne se reudraieiit pas.Tous les nom­
Dunkerque.
Celui-ci reçoit les conseillers sur les^uil de la porte que ces sursis ne soient accorifèi qu’avec
Le ministre dre travaux publics a rendu
breux ecclésiastiques présents k cette scène,
CHRONIQUE LOCALE
Les troupes montent la garde autour des wa­
maison et, après un échange mutuel de com­ une grande rdierve.
compte des éludu comparatives qu’ila fait faire gons suspects.
Tévêque en tête, vinrent au sécours ^e Iturs
pliments, il les invite k entrer chez lui.
par des commissions techniques non-seul* ment
c o lly r e et s’ojiposèrent par la force k ce qu’on
D'autre part, une dépêche de Marseille an­
André
page
Pendant le temps, le cortège s’est ébranlé, et
pour le percement du Simplon, mais pour celui nonce qu’un ordre ministériel vient d’interdire
Ire emmenkt. lies bourgeois prirent parti liour
M* « « rp a i d * A rre të « . — 'C œ n s e ll d «
d e r i l i s i o i r e d e B c i il is »
du Mont-Blanc.
lus gens du roi, qui n’eiaient pas assez forts
le départ du navire Fanny pour le Pyrée, por­ il débouche en masses profondes par la large
g ;u c rr« .
avenue d Eylau devenue trop étroite CKiur con­
Le conseil n’a pris aucune résolution. 11 con­ tant six mille kilogrammes de dynamite.
pour résister, et ui|e bataille èn règle s’engagea
H . JulésTlàmm erm ont, en écrivant td sa­
tinuera celte étude dans ses prochainre séincre.
Séance du 25 février 1881.
R’tfin, avant-hier, l’£cAo sanmurois dit que tenir la foule. Une société musicale ouvre la
vante Histoire des Institutions municipales d* entre les laïques et leurs piètres; mais les gens
deux camions de caisses k cartouches soet re- marche en jouant la Marseillaise. La tète du Présidence de M. Huberdeau, lieutenant-colo­ Sentis, o’à voulu nous donner qu’un livre d’église eurent le dessous, et leurs trois confrères
X
furent mis en prison.
mbntés au chkteau. On les aurait ramenés de cortège est formée par le comité des gens de
nel, chef du génie,
d'érudition pore. Il a compulsé d’abord et
Le bemilé technique de I Exposition iBleroa- la gare, le contre-ordre ayant été donné assez Ultras et par les élèves de l'Ecole normale su­
Vaincus dans ce combat, Tévêque et ses
Mongendre (Emile-Félix), soldat au 54* de rédigé ensuite sans esprit dé parti et sans prêtres eurent têcburs k dàutres armes. Ils ne
tieniie d’électricité s ret réuni an ministère des k temps pour qu’elles ne partent pas.
périeure, dont deux élèves portent sur leurs
Mstes e i télégraphes, sobs la présidence de M.
gaules une gigantesque couronne de lauriers. ligne k Compi^ne : vols au préjudice de rolli- parti-pris. Hais tes allusions piquantes, les voulurent pas reprendre leurs fonctions; le UnD’autre part, le Citoyen annonce qu'un voL
tiires. — Cinq ans de réclusion, la dégradation rapprochements singuliers abondent dans non deinaiii dimanche 23 juillet, les églises Rirent
Teireerenc de fiorl.
lier grec, presqu’entièrement chargé de poedre I^is viennent la délégation des arts et mann- militaire; dispensé de la surveillance de
Le ministre assistait k la séance.
qui avait déclaré aller k Alger, mais quieffec- faciurre et presque tous les adhérents dei'llnien haute police.
livre. C'esi notre droit de les y-chercher et fermées et les utfices ne lurent pas célébrés;
Le comité a ariété la dlassillcation des objets Uvemeat se rendait en Grèce, a été empêché de de la jeunesse française.
bit-n mieux ils refusèrent Ire sacrêmenla et ils
d’en faire part au lecteur.
Les organisateurs de la fêle avaient décidé
k axporer,
cesiièrent même de faire lés enietrements. La
quitter le port, .
Nous avons prouvé, il y a quelques Jours,
. Le délai pour Ire deihandes d'admission a été
que chaque délégation serait précédée d'une
ville était en interdit; au moyémk^oc’était uùe
X
peolongé jusqu’au 31 mars.
société musicale; mai*, devant l’affluence tou­ B x p M illiœ n r é d r M M « l l v e «es P i i - que le clergé de Senlis refusait de s'astreindre sitiiatiunintolérablu et TexcummùetpaAiéii avait,
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On écrit de Berlin, 1** m ^e :
jours croissante, on dut bientôt renoncer k cette
au service militaire. Nous allons montrer au­ alors pour tous lreconséquebcreles piiisgraves.'
X
t
9
M
I
.
L’empereur a conféré hier k M. le comte combinaison. Les délégations prenaient la file
jourd'hui que ce môme clergé n’entendait U’rei pourquoi le diinaoclié même lè érocureur
La. renté dp M. Faltèrre, sous-secrétaire de Saint-Vallier, ambassadeur de France, la un peu au hasard, et les musiqui s, qui n’a­
La ville de Versailles prépare, k l’occasion du
du roi requit le lieui<*nanl général du bailliage
au raimsièie de l’intérieur, laute tou- décoration de l’ordre de l'Aiglo-Noir, qui est la vaient pu Ire rejoindre, s’intenelaient dans le Concoure agricole relouai de 1881, une EXPO­ nullement payer Timpôt. — A. D.
de contraindre Tevèque et tous les membre» du
ours désirer. Les médecins ont recoonnandé distinction la plus élevée qu'on puisse obtenir cortège.
SITION RÉTROSPECTIVE dbbjets d’art et
On sait que le 36 mai 1445, Charles VII ah
clergé, rebelles k Tautoiité royéle, k lever im­
j repos le plus absolu, pendant plusieurs s«- en Prusse. Cette décoration est conférée en ne
d'archéologie.
[
Il nous est impossible de donner l’énuméragna, k Louppy-le-Chftteau, une ordonnance ré- médiatement les excommuniiatWs pronoric^
maiDM, au sous-secrétaire d’Etat, qui ret aitriai, peut plus rarement aux ambassadeurs étran­
Cette Exposition aura iieu au Palais de Ver- paitiosant dans toute la France quini-i cents et k rouvrir les églisi-s, sous peine de saisie de
tion de toutes les délégations, tant leur nombre
cdmmd on sait, d'un éryiipèle.
gers.
était grand. Les élèves des lycées, hs comités saillre, du 1«* juin au 15'juillet prochain.
iancti coroposére d'himmes d’armre choisis leur temporel (I). Nous né savons pas ce qu'il
Elle est placée sous le patronage de la Com- avec le plus grand soin (1). L’éleolion dv Sentis en advint, car Ire archives du bailliage de S ^ lis '
X
des bibliothèques populaires. Ire Associaiiona
X
philetecbnique et polytechnique, les eociétéa misiien de l^inventaire des 'richesus d a r l du fut désignée pour recevoir dix lancre, compre­ sont aujourd’hui perdues et le doyen de SaintUn
personnaRe
politique
a
eu
l'occasion
d’en­
Le PiHt IfareetHsfs aonoece que le ministre
déparHm
ntdelieine-et‘Oi>e,
qui
a
dehgué
scs
nant chacune de cinq k six homiiire, et les Riuul, Afforty, n’a copie que cette seule pièce;
de l'intérieur a envoyé une circulaire aux pré­ tretenir M. de Freycinet au sujet de la dernière chansoanières, enfla toutes les corporations onpouvoirs k une soua-commission dont le Prési­ corominaires, ordonnés pour lre loger, vou­
sociclés
secours mutuels,
Il esi'probaule que le tem js calma les fbt.A
fets, (Mriiculièrement aux piéfeU du littéral, interpellation du Sénat, celle des 80,000 fusils. viikrre,
L’ancien ministre dre affilrre étraRgèrre chambres syndicales, Ire Sociétés patronage dent est M. L. Clément de Ris, conservateur du lurent 'en mettre deux k TIle-Adam, deux
leur recommaudanl de surveiller I embarqueet de protection aaristaient aa grand complet ou Musée, et le Secrétaire, M. Dutilleux, chef de
(1) Tous ces roBseigaemenls nous sont fournie '
riia(otient de la manière la plus calorique
reent dre armes et des munitioDS.
(1) BoutariiL Institutions militaires, p. 809.
procureur .dft- roi, — Vrif
pris d'engigement l'éckrd
la tout au moins étalent représenté» parla ma­ divirion a la Préfecture. Tontes eommunicalloni
GoDforaéaent cas instructions, en assure jamais 41
et Areundre d'eioiisiion devroAt être edrcsaére Paris, 186^ in-8.
Grèce p u un objet
diplo* jorité de lears dkeB^fê**
été mie vendredi sur deux
à 'ï E M
utin
' N o il eroTons» d it VEeho de VOite, d ero ir remetlro «ous les y d i i d ç nos lectenr» les
résolitts des électioDs qni ont « u lie u le 14 octobre 1877 dans tons ^»s départemonts. Ces
résùiuts, qne m u s sriÂM seruM leqsem ent conserrés et que nous ÿenobs de Térifier arec
solo, o n t leur Intérêt an moment ou là proposition relatiTÔ au r ô t^ s s e m e n t du scrutin
de liste t u ê tre discutée & la Chambre. Nous n*en voulons point t ir e j^ e conclusion pour le
moment; m ais ii nous a pàHTiUle d'établir le tableau suivant, qui i n s titu e u n véritable
document e t peut, par conséquent, devenir un élément de discussion (1).
4«Uque ou ê’ordre rallitaire, soit dirocttment
avec le roi Ceorgei, soit avec H; DtIjaDnIt, le
chargé d'aiftirea de Grèce I oeUe époqqe.
Diversea propositions lui ont ^ aonmisce
r le gouveraement d’Athènes ; H à h ^ m lt de
>examiner, mais II n'a adhéré è aqffae.
^1.1 oit blair que> ai les Grecs ont M éyé d’agir
i ^ n insu, ces rétractations ae pea^ialrât «voir
aucune portée et n'engageaient i anm n titre la
liberté ou gouvaraement, gui est étm üatié en­
tière.
X
On se rappelle que H. Challemti-Lacour
avril été condamné par la cour de Oiion à des
dommages-iotéréts envers las hrères dee écoUs
cbréliennes de Lyon, dent rétablissement avait
été pillé en 1870, alors quq l’ambaeaadenr ac­
tuel de la France en Angleterre était préfet à
Lyon. ''
La Cour de cassation vient de casser. l'ariél
de la Cour de Dijon. Elle a décidé qu’nn préfet
ne pouvait encourir aucune responsabilité lors­
qu'un arrêté ministériel d^larail qu'il avait agi
au nom de l'Etat.
K
Victor Hugo Mt debout è sa fqflîre, lyant è
MO côlé»|m.p«ttti enfanta. Dans Itspièi osda
m-de-chiufliée et enr l’estrqdè {ironnent place
les amis particuliers de là maison. Arrivée 4 la
bautepr du numéro 192 de l’avenue d’B jlio , la
Ionie relue en poussant des cria derVivn Victor
Hugo I Des bannières s’inclinent et'|« pàMo pro­
fondément ému, salue de la tète.et d r Jk main.
Chaque délégation dépose, en passahl'devant la
maiien, des couronnas, des Qe«rs;.jX beaoconp
resDSlunl dans dre cerbeilirs, d é «drésis et
dre discours. Mali il.fatt se biter, rer la foule
qui vient derrière est ri compacte que le
moindre àrrM dans la marche du cortège pourrrit amener de la oonfurion et causer des’aicideûts. On défile dono rapidement e | en rangs
Mrvés, mais sans précipitation ni désordre.
La province, èHs aussi, a tenu è être repré­
sentée; ]>eauconp de villes ont envoyé dee délé­
gations qui défilent bannière en têts. La délé­
gation de Marseille est précédés d’un vieux
drapeau t^colore qui, parait-il, a servi en 1792
k la garda nationale de la -cité phocéenne.
Quelques personnes acclament cette relique ci­
vique dont nous ne nous permettruus pas de
mettre en doute uu seul initant la parfaite au­
thenticité.
CerUines corporations, celledes compc«itisurs
d’imprimerie; par exemple, ne se sont pas i n ­
tentées d’une bannière, elles se font prêcher
par un char triomphal portant une statue de la
République.
Derrière les innombrables corporations ou­
vrières (chaque corps d'état ayant ténu è se
faire représenter), les délégués des loges maçon­
niques, revêtus de leurs insignes, marchent
gravement. Plus de vingt sociétés du gymnastiques, avec tous leurs adhérents, suivent les
dél^ués maçonniques. Enfin le corl^e est fer­
mé par une foule considérable, composée de
curieux et de promeneurs, comprenant toutes
les claî'ses de la société.
Le défilé a duré plus de trois heures. On peut
juger par ce seul fait du nombre extraordinaire
de personnes q u r s ’étaient rendues à la fête.. Il
nous est dilficile d’évaluer avec quelque certi­
tude le nombre, même approximatif, des arsistanls, mais en is fixant à trois cent mille on est
assuré de rester en dessous de la vérité.
l’un 0 1 rautre de ces deux merobrre de 11
Ilommireion.
Une ou plurieurs relire leropt suécialeroeni
fi’trciére 4 tout ce qui • r» p o rt a l’art et
rtfistoira de i ’ancleine lle-do-Prance et de la
ville de. VerreUlre.
\
' .
'
Les.fraU .d’emhàllage, de transport et de
rééxpéditiog eoot au compté de la commission
de l’ExporitioD.
M. Çoenue, emballeur ded M uée nationanx
est cbai|é de crninlirêr toua leé;objeliy de les
smballàr chex les j^ p t ia t a ir ^ de lesftraneporter h Vensrilles, et de Ire rendre aux expo­
sants.
Tous les objets devront être déposés dans les
salles.de l’Exposition le 14 o u i k 6 heures du
soir au plus tarà.
Les exposants recevront une carte d'entrée
permanente, un exemplaire du catalane et une
médaille commémorative frappée à l'occarion
de l'Exposition réirospeclive de 1881.
è
CHRONIQUE DËj*ARTËIUENTAbE
Cour d'Assises de l'Oise.
INFORMATIONS GÉNÉRALES
de
d'Elal
k
t
les
qtHrenbkfgoa
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na-
p'a
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qtretôonqaed'erare
que
de
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de
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Ifî'
Gomma k celte iirara il y avait 4o monde sur trsviilltif, sous un. tas dafhmier. Qnaad il r ^
C h iiB é lU ir. w^Noui dpiuunoii lalmért do
Charic*). S8 ans, mécaiicieh, d tifiw n o t è P***
pied) qnelqnesseaaxd’eau suffirent pour élnndre vint le laqdemsiD, psurreprendro son travail, la TwdoM n u
MB. p u i a M .UH M l ,
ris. rue Roi bechouirt, n* 9Q, a, w iBobaqrra- J . Drouvu d elhon,ancieim ioistredraffiires ce commencement d’iacandie.
bêche avait disparu.
lion des règlements, oorésionné ifs blesiurerè étrangèm de 1853 è 1858 et de 1862 k It6 6 .
p u U (U M c i« in lu ia « |l.,S a l(iU I« i
i
Perle estimés 4 fr. 50.
M. Drouvu do Lbuvs était no diplémaio de
•— H. C..., ouvrier keotennier, deroeurantk
ersonnee...................
Ténéienne école, trto inatrnit, très fin, très NeIré-Dame-du-Tbil. a uhe manière teuba par^
condamné en 26 fr. d’amendo.
V I I I « i> B .S B ta < - P r M lk « a r r . — Oo
B E T l L E S G l t B E
délié; il iTest
beaucoup occupé ticulièra de solder les parsonnos qui viennent lui nous annonce la mort, dans cette commune, de
Outrage* d Ofifnt, térsiis. — éusUn (Adol­
accu ltu ré.
‘
i
demander de l’argent.
D m B A M V , 4 # L e se âre # .
Hme veuve Pécbeux, née Pilorget. k laquelle il
phe),:43ao^ nupouvritr,' démenraiii à VilleiisDepuis 1878, il éuU templèUmenl retiré ^ Dans la jonrnM du 37 cemant, le boucher da n'a manqué que 39 jours pour atteindre cent Guériaeant les dyspepsies, gastritas, gistriM ei,
Uilè eoioqoDlcaUiia de 1« Clllrtnlire e jn d ^ sous*&ipt-Leu, a outragé lo gando champêtre
Gaignecourt qui viept habituellement vendra de
constipation, ÿilrss, vents, aigreurs, additéi,
ç e lm e a i lotbm e qàe,|e dlmtnçhe ? i» * "i •
do la commune. Eu eulie, Cusuo ê<t ioculpéde de là vie publique; il était ègé de Boixaute-srixe la viande k Srinl-I^cian, entra cbex loi et lai aiu.
pitaitesj phlegmes, nausées, reoTaik i
i^ ^
I neiinsi H . PâustI bo p rif, député, d onne» conlravennon d’ivresso.
On sait que H. Drouyn ds Lhoyi habitait demanda s’il ponvayt lui régler un compte dèjk
menti, même es grossssM, d ls r r h ^ dyssen.GuetiD est condamné onun moiè d’pmprisonôné Cooférèoco bu théâtre de Seollst sor le,
andea. Sur son refQs, le boucher lui fit quel­
Chantilly durant 1a bélle s^ m d .
ttfie, coliques, toux, asthmt, étoofllMneats,
bement
et
5
(r.
d'amande.
L , T em ps q i 'i l f a i t .
PI6i^ 'dà <ihainbrm
et su r la Ré:
ques ramontraneee ^ui no fiireot pas do goutde
étouidissemeots, opproirioD, congestion, né­
C v e l l. — Le 32 courant dans la soirée, H . C..., qui prit un manche k baïal et fe cassa
Coup* uolantaire*. ■— Gadot (Geneviève),
f b n i u i ^ . l ’ivi^ô t ^ . b o m o n i .
vrose, insomnies. mâsDcolie, biblease, épuiioira cinq heurts du eoir, Hme yaoderlick se sor les reins de son fournisseur qui alla porter
femme Regnault, dit (hmada, '42 fens, iqanoaSERVICE
METEOROLOGIQUE
ment, anémie, cbloroee, tous désordres de la
vrièré, demiürant è Bélbiry-Saïoi-Piorro, con­ rendait dans soii jardip, acoompiignét de la fille. plainte k l'autorisé.
poitrine, gorge, baleine, voix, des l^ronches,
damnés .'par up précMent jugeiflont on quIoM Victerins VandeiKi k, èfin d’y chercher des lé­
H.
C...
a
une
mauvaise
réputaüon,
il
a
déjk
‘ > r i * 4 * *•
vessie, foie, r«ns, intestins, muqueuse, cervesn
gumes. Celte dernière lui'ayant maaifoité le dé­ subi plusieurs condamnations comme bracon2
mors
1881.
jo
ù
n
d’empnséniiemsnt
pour
coujw
volontaires
à
4»
et sang ; toute irritation et toute odrer fiévreuse
sur la personne dn sieur Tourneur, ■ foriné op­ sir d’aller voir sa tante q u i,resté k côté, lui Ik- ■ier et ce n’est pas en agissant de la sorte qu'il
Baromètre monte de 6*.
en se levant. (>est en outre, la nourriture par
., J 4 BTix de U tiia d e, k Seolif, «et fi*é poo^
cha la main et la laissa partir, (^nq ùiinutM obtiendra l’Indulgence du tribunal.
Vent faible de l'ouest.
position è ce jugement.
ibois de.iDâFelSSl» coome U sûllf Bavoir :
En raison des explications (ournioBè l’audience, après, la tante arrivait, en’ disant a sa btlloThermomètremaxima - f 6 '5 et miuima 6*4 excellence qui, seule, sulfil, peur asnifer la
prospérité des enfants. — 33 ans de succès,
Éctuf.'
le tribunal réduit la condamnation è trois jours èœur que sa fille était tombée d u u l’ean bouil­
P B B é^S B iaaée-llB B eB ee. — Dans la au-dessous ds zéro.
1(H),0()0 cures y compris celle de Madame la
lante.
:
'
i**calé8orie : Tende de treache, cnletle, ghe i
d’emprisonnement.
Ciel peu nuageux.
nuit du IMt au 23 courant; un amateur d’outils
duchesse de (^lelstuart, le duc de Pludçovr,
U n o iï, 1 reB«hegrai8frtcftlee
Malgré tous lee soins qui loi furent prodi­
Temps proèaôie. — Froid et beau.
Vol de n u m frm e. — Hoquet (Adolphe), 54 g u é , celte petite fille est morie le lendemain de jardinage, s’est introduit, en brisant on car­
Madame la marquise de Brâian, lord Stnari
V
•
ceuVeries, lekilo».
Ifr.i 85 ans, manouvrier è pouivopne, comparait devant
reau, dana la serre de H. Louis-Auguste Qelaude Decies, pair d’Angleterre, H. lo docteur
matin.2* ^
PlaU de c6te, épaule^e
rier, jardinier k Pont et lui a pris un couteau et
le Iribûnal sous l’iiicuipatioB de vol de numé­
professeur Draé, etc.
cèles sous 1épaule*
une pelote de ficelle.
raire.
I V a n ie n il. — Empronté au Figaro :
Cure N* 98,614 : Depuis des innées Je seuftendron, le kilo
Perte estimée 7 fr. 50.
Hoquet, r^onnu coupable, est condamné en
drais de manque d’appétit, mauvaise digestion;
Flancbel, grés bout de
Le déplacement de l’équipage de Chantilly a
uù mois d'eoàprisonnement.
affections de cœur, des reins et de la vessie,
P r é o y - r a a ^ O is e . —Le dimanche 6 mars
. . poilrint, collier, le
eu lieu vendredi derniér.
Société anonyme, capital : 6 0 millions
irritation nerveuse et mélancolie; tous ces
Coup* vglonUûre*, toréwe. — Douvier (Jean1 35
Les veneurs .e sont directement rendus de 1B81, fête du Bois-Uourdy.
k ilo .......................
maux ont disparu sous l’heureicie influœice de
Jules), 32 ans, sans profession ni domicile, est Paris k Crépy p^r la ligne de Soissons. I^um
Grande Cavalcade, sous le patronage des au­
féoit.
L’s*seroblée générale ordinaire du CRÉDIT votre divine Revalescière. l i o N P btclbt , Insti­
inculpé du délit de coups volontaires et de con- chevaux èt quatre d’entre eux ont profilé torités.
GÉNÉRAL FRANÇAIS qui a eu lieu ^ ih e d i 26 tuteur à Eynancas par Séreilhac (Haute-Vienne).
catégorie : Pan de veau...............
traventibo è la'loi du 23 janvier 1873.
proo
R
auhe
du train spécial parlant de Chantilly k 9 m
2« — ' Epaule, pottrma..........
N* 63,476 : M. le curé Coraparet, de dixDouvier est condamnO en trois iuois d’empri­
A onze heures, réception de la Hûsique de février, a déçidé la distiibulton de 61 fr. 14 par
avec le reste de l'équipage.
S* —
Collier..i.
action, k titre de solde du coupon de l’exercice huit ans de dyspepsie, de gastralgie, de souf­
sonnement et 5 ir. d'amende.
A l’arrivée, le déjeûner s’est dédoublé : 1e Gouvieux par les commissaires.
JfowtéM.
frances de l'estomac, des nerfs, faiblesse et
A une heure, formation du cortège sur la 1880, ce qui fait pour l’exercice 1880 entier:
duc d'Auroale et le prince de Joinville ont déVol. — Vilain, manouvrier è Senliv, ex-pen­
sueurs nocUirnes.
!*• catégorie t Gigot, Olet, cèleletle.
Fr. 06 14 par action libérée de 500 fr.
sionnaire de l'hépital, s’est rendu coupable de jr’ûfiéchrx U. Lemaire, de Nanteuil, avec U. -place.
Cure N* 99, 625. — Avignon, 18 avril 1876.
2*
~
E p a u le
77.39 par action libérés de 125
Départ k une heure et demie.
Eugène Labiche, le nouvel académicen. Les
vol.
S* — . Poitrine, collier..........
Ordre dn cortège : Eclaireurs k cheval, sa­
autres veneurs sont alléi tout simplement s’at­
Vilain est condbœné en huit jours d'empri­
Ce solde de 61.14 par action est payable La Revalescière du Barry m’a guérie k l'kge do
61 ans d'épouvantables souffrances de vingt ans.
h a morceaux de »• et de 3« catégorie de iha- sonnement.
tabler k l’aube^e des Trois-Pigeoiis. Gomme peurs, tambour-maJOr, tambours, groupe de immédiatement sans déduction de l’impôt.
— J’avais des oppressions les plus teiribles, k
que e»pèce de viande doivent porter une éti­
nous le disions plus haut, c’était un vendredi et soldais Louis XIII, groupe d’Ecossais, UuMque !
A paris. — Au siège social.
ne pouvoir faire aucun mouvement, ni m’hsl’on était treiie à table ! On en fit la remarque, de Gouvieux, char du Trésorier, peloton de dra­
quette indiquant leur catégorie et le prix de celte
d a C r é d it G é sa é ra l F rm a ç a ls .
biller, ni désabiller, avec des maux d’estomac
B
o
B
B
ié
re
m
(Seini-et-Oise).
—
On
nous
gons,
char
des
Ficur-t,
groupe
de
hallebardiers,
le
déjfùoer
n’en
fût
pas
moins
gai,
et
la
jour­
oatteerie.
'
16, rue Le Peletier,
jour et nuit et des insomnies horribles. Con­
née bonne pour tous, même pour l’animal de char du Jongleur américain (par un artiste de
•. Les prix ci-deeane ne sont pas applicables aux écrit:
et k son bureau auxiliaire,
tre toutes ces angoisses, tous les remèdes
Equipage SERVANT-servamt
l’Hippodroroej.pelotondemousquetaires, groupe
cha-se, qui mourut glorieusement.
viandes de taureau et de vache.
53, rue de Rivoli, Paris.
avaient échoué ; la Eevalesciëre m’en a sauvé
Le 19 février, les veneqrs, aprèa avoir profité
de grotesques, char des Gourmets, groupe de
SiX' cerfs avaient été rembucbés, dans les bois
Il résolu de li( note ci-dessue qui nous est de la gracieuse invitation qui leur avait été faite
En province. — Dans toutes les Succursales complètement. — B orbel , née Carbonnetty,
costumes
variés,
groupe
de
cavaliers.
du
Roi,
en
barde.
Tout
le
inonde
croyait
à
communiquée de la mairie, que pour le mois par les èhàielains de Rotny, sont montés dans
rue du Balai, 11.
du Crédit Général Français.
Une quête au profit des pauvres sera faite sur
un débucher sur la forêt de Villers-Cottereis.
de mars les prix du bœuf restent les mêmes deux breack.
Quatre fois plus nourrissante q u e ls riande,
tout le pkrcours de 1a Cavalcade.
On découple les chiens d’attaque et, au bout
qu’en février; le veau ahbit une diminution de
elle économise encore 50 fois son prix en mé­
. Cesl par un temps magnifique et à fond de d’une demi-heure, un cerf k sa quatrième tête
A six heures, embrasement de l’arbre.
20 e* et le mouton est augmenté de 05 c. par train que ces me8sieurs se»ont rendus aux Huitdecines.
En boites : 1/4 kil., 2 Ir. 25 ; 1/2 kil.,
A neuf heures, Bj Is parés et travestis, dans
est mis sur pied et contrairement k l’opinondes
lûlogramme.
_
4 f r .; 1 kil., 7 fr.; 2 kil., 1/2, 16 fr.; 6 Ul.,
Heures, lieu de rentbx-vous.
malins du pays, il fait léte sur Veisigny, dé­ les salles Ltgros et Noblesse.
36 f r .: 12 kil., 70 fr. — Envoi contre bon de
Le coup d’œil était d’autant plus charmant buche et entreprend un voyage sérieux.
Eimssion d’Obligations communales 4 */.
S a i B t - l l a x i m i n . — On nous écrit :
poste. Les boites de 36 et 70 fr. franco. —
S o c ié té
a 'H o r t l c u l t u r e
que plusieurs*dames et demoiselles faisaient par­
On arrôie la tète des chiens et au bout de dix
tie de la Société.
En représentation des prêts qu’il consent aux Dépôt k ^ n lis, chez HM. Dufoormenlel^ succ.
Vn accident de carrière.
08 la’iBROnDISSEMBMT DS 8ENLIS
minutes on se décide k partir.
de
Mercier; Taupin; épicier. Bouffetier, epider,
Au rapport, un sanglier à son <Mrs-on entrant
villes,
aux
communes
et
aux
départements,
le
On traverse la plaine de Versigny, Baron,
Il y a quelques jours, plusieurs ouvriers, par­
place de la Halle, et partout chez les bons phar­
G r^it Foncier de France délivro des
quartanier.
presque en vue do Uontagny. Les veneursi ' ‘ mi le:‘quels se trouvaient les sieurs Jean-Bap
iB k u v iM a * » des CABeeara ponr appoFta
maciens et épiciers. — Du BARsiet C* (limited).
UoBB
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B
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D
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le
s
41
°
/o
4
c
1
6
0
f
r
.
Pour
attaquer
carrément,
les
circonstances
sur
k
s
chiens
et
bien
ensemble
on
entre
dans
la
liste
Dubuquoi,
kgé
de
58
ans,
et
Leforaly,
4e fleare aor le Marehé 4Ô la vUle
voulaient que l'animal fut rapproché'à trait de forêt d’Ermenonville, au bois de Perthes, on avaient, en vain, esi>ay>i de faire tomber un bloc e t d e 5 0 0 f r a B e v , au porteur ou nomi­ 8, rue Castiglione, Paris.
de Sealle'.
(imier. Henri, secondé par le fameux Joujou, traverse vivement Chaalis, l’animal de chasse de roche dans la carrière k ciel couveit de M.
natives.
H ardi 8 Mars 1Ç81
eut bientôt lait, car au bout de dix minutes, la passe à côté des étangs sans y entrer, parse à Borde.
Ces obligations sont émises au pair, soit m u
belle fanfare du {juarfanter résonnait dans les Haute-Chaume, débuche sur Chantilly et tombe
Voyant la résiriance de la masse, ils se p r i x d e lO O f f r a n e s pour les obligalions
T o u s les HorücoUcure-Marcbands, sans d k d ’une valeur de 100 francs, soit m u p r i x d e
échos d’alentour.
raide devant les chiens qui ne l’avaient pas croyaient en toute sûreté pour leur travail.
tinction aucune, sont invités fc apporter leurs
Aus>itôt les harde» découplées dans une en­ quitté : sur cinquante-cinq chasseurs, cinq
Hélas! il n'en fut pas longtemps ainsi, car, 5 0 6 f r a i i e e pour les obligalions d’une
produits sur Je Marché.
ceinte du bok Uichaud, l’animal c o m m e n c e
Tdteùr de 500 francs. Elles soiit remboursables
seulement assistent k l'hallali et sur les trentemercredi dernier, à d:x heures et demie du ma­
Des médailles d’argent seront décernées aux drcoudre plusieurs chiens ; débùehe sur les
(7* anonyme pour la Fabrication mécanique
sept chiens il n'en est que cinq également qui
tin, au moment où ces ouvriers étaient livrés k aux mêmes prix, en 60 ans au plus tard, par
Horticulteurs qui auront mis en vente, aux ches du Cutnef, lentre en iorèi par là vente d< se trouvent k la mort. Tous les autres veneurs leur travail habituel-, un banc de plusieurs vou's de tirages au sort qui auiunt lieu les 5
DE LA
époques ci-dessous indiquées, les produits juges la Tortue, paies k la baraque Fournier, descend et le reste de la meuto ont été si més dans le mètres cubes se détacha de la voûte de la car­ février et 5 août de chaque année.
D E IM T E L L E V R A IE
les meilleurs et tes plus avantageux,
l.es intérèV'' sont payables : k Paris, mm
au fond de lailessovree, enfin nous offre pen­ trajet de la chasse, que l’on estime k près de rière, sans aucun craquement, et, dans sa chute,
UgutM t : Les deuxièmes Hardis de Hai, dant une heure une chaifse d'une vitesse'iiicrofa- cinquante kilomètres parcourus d’un train coupa en plusieurs rao:ceaux le malheureux C r é d i t F o n e l e r ; dans les départements
40, RUE LAFFITTE, 40, PARIS
Juillet ei Octobre.
...
• hif, prend l'eau pour la première lois à la mare d’enfer danq des terrains lourds.
Dubuquoi, qui ne jeta aucun cri, tant la mort a u x T r é x e r c r ie M g f é a é r a lc a e t a a x
Ok l'ii put duuder des éduBtlUeu.
Fleur* : Les troUièmes Hardis de Mars, Uai Thibault, en sort à pas comptPs,.gai<ne un tertre
K c c e l t e e p a r t i e u l i è r e s , semestrielle­
avait été instantané.
N o i p e - D a D i e d n - T h i l . — Le 15 jan­
et Octobre.
.
jet se reiouTRS rar la meute. Il était vraiment
On est tout étonné qu'il n'y ait pas eu d’au­ ment les i** avril et 1 " octobre sur les titres de
On voit fonctionner les métiers te* âfardti,
Arbre* et arbrisuaux : Le deuxième Mardi beau dans son attitude, car la léte levée et dé­ vier dernier, U. Gasioa-Augüsle Barbet, kgé de tres victimes.
500 francs et annuellement le 1*' avril sur les
Jeudis et Samedis, de 2 d 4 Aeures, k l’atelior,
d'Octobre.
‘
. ,
fiant les chiens, il avait le port d’un dix cor*. 23 ans, manouvrier k Saint-Just-des-Marais,
litres de 100 francs.
Ce fait ne peut qu’engager les prudents ou­
rue St-Uaur, k Paris.
H ardi 8 Mars 1881, à neuf heures et demie
alla dîner k Noire-Damc-du-Thil, chex Mme Le- vriers de carrières k redoubler de vigilance.
Malgré son courage, t'eslnaUali courant qu'
Les demandes sont reçue? :
du matin, la Commission d'examen se rendra va è la vente k Vienne et aux Grands jfonfs.
fëvre. sa grand-mère. Cette daine ayant eu be­
A
P aris : au Crédit Foncier de France, rue
place Aulas de Labrujëre.^.pour juger les ap­
T r « » l y - B r e a l l . — Le 21 février, H.
Aptèi avoir fait plus de vingt ferm a et au­ soin de se rendre k Beauvais, laissa la garde dè
Neuye-des-Capucines, 19;
ports qui- seront déposés devant les mauons de tant de bal Veau, certains chisseurs étaient d’a
sa maison à son pelit-lils, qui profita de cette Louis Fournier, manouvrier k TroEly-Breuil, D ans les D éparteuents : chez MM. les Tiéla rue du Chàlel portant les n** 13,15 et sui­
vis que les chii-ni ayant trop vu l’animal, ne le circonstance pour lui voler dans son armoire une s’aperçut que pendant que sa femme .était allé
Grâce au nouveau système employé dans les
soriers-Payeurs
généraux et les Receveurs
vants, emplacement désigné par Tadministra- prendraient pas.
somme de 75 fr. Pour commettre ce vol il avait dans son jardin ou dans le voisinage, sans avoir la
photographies de M. Roblin, on peut venir
particuliers des Finances.
brisé un panneau ds derrière Tarmoire afin pr^aulion de fermer ses portes, un malfaiteur
tion municipals.
^
Le chef de l’équipage, fiJèle k son principe,
poser par les temps les plus sombres, de neuf
s’était introduit dana son habitation et lui avait
entre alors dans l’enciinte aidé de ses hommes qu’on ne s aperçut pas de son larcin.
heures du matin k trois heures, en hiver ; p a ^
jeune nomme a déjà une mauvaise répula- volé une montre estimée 50 fr.
et sans s’effrayer des charges du sanglier, ranime
r* o U c o
c o r r o o tio r u ie lle
cette heure, on se pourrait garantir Ip parfaite
A b o u n c m e u i g ra é u îl.
Auteur inconnu.
sa meute, et au bout de 20 minutes, le quarlU' lation et a p r^ avoir commis son vol, il a quitté
réussite. Les enfants, comme toujours, seront
D E S E N L IS
nier, honteox en quelque sorte de sa défaite, la maison de ses parents.
Toute personne abonnée k un journal quel­ photographiés instantanément, surtout jusqu’à
T r a n i i l l y . — Le dimanche 20 février,
Audience du 28 février 1881,
fourre i» tête dans un roncier où il est porté
conque, r»*cevra gratuitement r E c l i a l r e n r midi.
V
—
Lundi
matin,
28
courant,
vers
six
heurrs
M.
Jean-Daptiste
Biirlliélemy,
jardinier
k
Trubas paf 29 chiens sur 36, dont deux tués et 11
Présidéncè de M. Baucbart , chevalier de la
L'établissement est continuellement chauffé
du raitin, un rommenccmeul d'incendie s’est roiliy, quitta son domicile vers six heures et de­ F l i i a n c i e r , pendant trois mois.
^ Légion d'Iiunneur.
blsAsés.
L’E e l a i r r n r F i n B o e i e r est indispen­ et est dirigé par le meilleur opérateur des
déclaré
dans
la
chambre
du
M.
veuve
Rennes,
k
mie
du
malin
pour
aller
voir
ses
enfants
k
Ori l Afarfin le Roys, qui a servi l'animal, a eu Villers-Sainl'Lucien. Cette dame avait prubaH. H azièrb, substitut, occupe le siège
rouy. Quand il rentra le soir, vers six heures, il sable aux porteurs de titres; il parait tous les photographies Roblin. Ou reste ses preuves
les honneurs du pied.
du ministère public.
blvment regirité dans son armoire la veille avec ne remarqua rien de su>pect, cependant le len­ eamedis, publ*e les listes officielli-s do tous les sont faites k Senlis comme à Paris.
Lettser-eourra de trois heures parÂlIard
une chandelle, et uqe fl.immèche était torobéo demain il déclara k l’autorité que pendant son linges et donne des renseignements précis sur
Le travail est terminé k rétablissement
Fravde^au préjudice d’u» reAlaornfcur. — Henri.
sur le linge. Ce qui est certain, c'est que le b n - abtence on lui avait volé une montre en or avec toutes les valeurs.
central k Paris, rue da l’Entrepôt, 12.
Trolart (Zicharie-Alexandre), 34 ans, sans proVn abonné,
Pour recevoir dette utile publication, il suffit
demain matin, Mme Rennes sentant dans la sa chaîne égaleideut en or.
fojsipn ni domicile fixes, s’esi Jait servir des
S a l o B e t A t e l i e r d e .|M B ey ..
d'envoyer la bande d’adresse du journal auquel
Perte 209 fr.
boissons et aliments ebex divers restauralenrs,
C h a n l il ly r . — Il parait que l’exclusion chambre'l’odeur de linge brûlé, sauta de son lit
rue Bellon, 24, d Senlis,
on est abonné, au Directeur de r B e l a i r c u r
des 8lee|ile chases des ailées de Chantilly n’a et ouvrit la porte de sou armoire. Aussitôt un
notamment à Creil.
.
V e r b e r l e . —' D.ins la soirép du 24 février, F io M B e le r, 45, rue Vivienne, k Paris.
Trolart est condamné en huit jours d empri*
pas encore été prononcée d^une manière dé­ jet de flammes s'en échappa; elle n’eût que •
M.
Jeaii-BaptisieBourdon,
manouvrier
k
Verbefinitive par le comité de la Société d’encourag^ temps d’ouvrir la croisré et d'appeler au et"
Bonnement.
rie, avait caché sa bêche dans les champs, où il
cours.
Bîeteure* par imprudence. — Mejer (André- ment.
SAtiTÉETËliertGiriTflIiS
‘gaMMl*ft«ieBS do prM itftd étiÉ prMi
M ' PfrqB|t d i çom pw ndrB^oi|)i«i, /«
Mcaai<DQ, Içujr corfdiiite ,éta>( iiDprttjd^nta.‘
CRÉDIT
mm FRINCMS
CRÉDIT FONCIER DE FRANCE
LA D E N T E L L I E R E
Euché deParis dn 28 Fénier.
Tableau synoptique des U archés de la Région.
Farine, lesacdclOOkil. n e t...
de seigle, les 100 k il...
Blé indigène, suivant qualité
beisle.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
ü ig e
—
E sconrgcon
les 100 kil. l’h ec to litre
LOCALITES
Lundi.
GIsors.. . . . ' ...........
Grandrilliers..........
Neaitles.................
Roye............... .
21 33 18 50 14 X 13 ■>
tu 30 15
t3 50 13 21 16 90
12 50 6 »
i» 46 18 30 tu 80
12 66 21 01
6ü
21 bi
JfardI.
Oournay-en-Bny..
S m lls
........
ii »
17 I 15
15 15
21 45 19 85
JfereredI.
5*016011...
Vormerie • i
25 97
37 5u
10
32 »
S o n g e o n s ......................
Beaumont-sur-OlH...........
S8
27 41
36 30
21 »■
22 A»
yendredl.
Marsetll*.............................
H éra...................................
NanteulHe-Haudooin.......
PonV-8aiDie-Uax«nc«.......
18
36 51
19
23 9<
27 kO 25 »» 19
26 5Ü 21
tl
Samedi
Beauvais............................
’ CtermonB..........................
Gompiègne........................
Movon................................
38 50 26 Rfl
27 25
26 i l 25 61
27 80 27
36 5t'
27
A n n o n c e s «InilleialreB»
Art. i .
8
6 50
10 16
50
12 50
41
42
24 17 75
66 19 «t*
21 2S 17 75
26 H3 26 5l>
2fl »• 19
2(1 25 19 M
\Y »
sO 89 26 59
14 25 14
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12 .‘<4 12
!.*> l2 Il
53 31
54 18
17 ».
bi IH
70 17 50 16 51
10
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7
8
50
66
74 7 31 61 »n
23 7 26 60 »»
18 » 8 •> 7
15 •>
9 17 8
11 95 19 5u
15
10 »»
14 50 14 •» 22 01
17 62 12 54 18 50 17 W 8 55 7
9
13 23 12 77 21
8 67 7
18 18
15
« I b b A v r i l f f iW l.
n e u r e d e midi.
»» 61 •»
Kl
«2 «>
7: 60 •»
D E D tO IV A T lO IV
C o m m u n e <f ré rro ir de C uvergnon
A r t ic l e p r e m i e r .
Une MAISON D’HABITATION sise à
Guve^non, place de l’Eglise, cemprananl boutique k l’entrée, alle k coucher,
buanderie et fournil k la suite; qoaire
chambres au premier étage, grenier andessus couvert en tuiles, celliér y atte­
nant; cave dessous. Cour, dans laquelle
se trouvent un hannard aervant de remisé
et autres petits bluroefils à usage d’écu­
rie eide poulaillèr.
Ladite malND i et» Mirée par q m
20 »>
grande porte donnant sur la place, et
tient par devant k la rue, par derrière au
jardin ci-eprès désigné, d’un côté au
cimetière, et d’autre bouté M. Gorbie.
Saoüon G, numéro 93 du plan cadastral
de ta commune de Cuvergnon.
1»
Prix
extrêmes
Bœufs. . 3038 ZM 1 62 1 36 1 » 90kl 68
ïacke*.. 772 332 1 5U 1 22 > 90 » 80kl 54
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i *43
aé
» Bk»
BOIITF on VACll
Vendu ; 38.681 kil.
1/4 derrière. ■ 86 k 1 86
1/4devant.. > 70kl 16
Aloyan
1 »• kS
lassebeneh. » 10 k 116
A r t ic l e q u a t r i è m e .
*
Com m une e t te rro ir de. B o u la rre .
Outre les charges, clauses et condi­
tions énoncées afi cahier des charges
dressé par M* C M Inin, etdépqs^ an
greffe dn tribniml «ivll de préiqièfe
instfliKé de Senlis^ les iitimedbtes staséUÛin^i « f s n t Ysndiu s ir Issm iiask
M IS E S A
2*
qté I qté
Cinqareede bois, même terroir, lieu
dit le Fonds dès Ecuries oh la Croix
Misère Apcèls, tenant d'un côté k H.
Lacome, m aire, d’autre coté et d’un
bout a u i rep r^ n tad ts B ru lé /^ d'autre
namééo
M
k IL Coiirbiê."“ Section
■
7S'pdar
ylaV cadastral dé la
S'pour partis
partit tfii ïiaV
ômmaM ds CareriQoa.
Î
».
75
50
a»
B e s tia u x .
Article troisiômâf.
Article detixiôniè.
L tn.
•» 65 »»k »•
6.5 »• >>
b(l 65
65
■ 117 25 67
s» 67 25 >«
Paria (La VUletle), 28 février.
Quinze ares da bois taillis, planté de
peuuliers, lieu dit le Rat Poist, tensnt
d'iin côté k M. Morel, diantre côté k M.
Bouvet. Section D, numéros 176 et 177
du lilsn cadastral de la commune de
Boularre.
A r t ic l e c in q u i è m e .
C o m m u n e e t terro ir de B a r g n y ,
Vingt-cinq ares de bois, terroir de
Bargny, lieu dit le Fossé Gettin, tenant
d’un Mité k M. Hoquet (Lonls), d’autre
côté k madame veuve Sénnier et autres.
Section B, numéro 71 du plan cadastral
de la commune de Bargny.
Un JARDIN derrière la maison, d’envfron douze arcs, entouré partie par un
mur et partis par une haie, tenant d un
côté AH. Gorbie, d'autre côté ap cime­
tière, d'un bout à M. Riberot, et d'autre
bout k la maiien. Section G, nitimére 92
du plan.
5(1 J »•
50 72
75 72
50
»» >•
21 »»
67 » k > »
Dispbn. en tonne. 74 '*■ à >
Tout fût dispooib. 72 >• > •|65 »* >
Epurée................. 82 »» »•
31 54 >»
M'ayant pas d’avoué constitué;
Le ATarrit cin q A v ril 1881, heur^
de m id i, .en l’autlieace des criées .du
tribunal' civil de première instance de
Sentis, ad Palais de Justice de ladite
ville, k la vente aux enchères publiques,
au plus offiranl et dernier enchérisseur
et k l’extinction des feux, des immeu­
bles dent la désignation suit :
39 48 i 40 10
31 * 32
27 50 ,8 50
23 »• » a»
17 »> 21 50
88» saccbarimétriqucs 7-9 ........ 57 50 A 57 75
10-13....
• “
Blanc type
.....................^67 ■*
■
lype n»
I 3
Raffinés W n e sorte.......
!! 112 >• ■
belle so rte .......
..
4t) •». •
Certificat do sorUe....................
..
13 »• «
Mélasse de fabrique.................
14 50 I
~
deraffinerie
. ..
lla ilc B .
Cote officiel le.
12 66
20
En exécution d’un procès-verbil de
saisie immobilière dn ministère de Lecointre, huissier k Belx, du vingt-neuf
novembre 1880, enregistré, dénoncé et
transcrit avec l’exploit de dénonciation
'V B i V T B
au bureau dev hypothèques de Sentie, le
trente décembre suivant, volume 65,
S u r satste tm m ohiltère,
. E q Taudieoce dee’oriéesdu tribunal civil numéros 18 et 19;
de première instance de Senits,
Il sera :
A la requête du sieur Louis * Péul
rise au n ia is de Justice de ladite ville,
. . ‘atiçois siné, meunier, demeurant k
I* D ’i l N Ë M A IS O IN
Saint-Uaurice, Grande Rue, numéro
(Seine):
e t u n J A R D IN
Créancier poursuivant;
Sis il CUVERGNON, p K c d e I Egliu,
Ayant M* Chalmin pour avoué, qui
5P ET
est ccnstitué k l'effet d occuper pour lui
T ro is P ièces d e Bois sur ladite eaisie;
Procédé, sur le sieur Charles-VIctor
S(s« Icrroin H« CUVERGNON, fluU Tranchant, boulanger pyant demeuré è
LAHRE i l BARGNY,
Alfortville, rue de Srine, numéro 5, et
Le tout canton de Oeti,
actuellement k Paris,' rue du ButieonarrondtiMmeot de Sentis (Oise).
^ t^ L o u I f , D o m ^ 15;
Partie «lUie;
L’Adjndication.itin'Uen le
Elude de M* B r a c s t C b a l M l n ,
' avoué h Senlis, rue Sainl-Hilaira,
numéro 10.
!'• q. 2*q.
10 50
19 80 18 50 8 95
16 75 14 75 H 50 20 92
td 2; 19
17 50 14
Colia.
Diipenible........... 71
Courant.............. 71
Prochain............. 72
73
4 de mai
.
4 d’été................ 73
20 50 21 ■»
Avoine, suivant lots.............
18 35 18 ■>
Sanasin................................
12 50 14 75
Sons
........................
Ueconpettes.............................. 13 •
I14
t 50
Ilemonlagcs(suivantcouleur).. 15 » »t ■»
F a r ia e s d e
100 kll.
iWkiL
41 08k > »
Marque Darblay.. 64 k >
41 71 42 99
67
Marque Truffaut.. 65
41 08 41 71
65
i** BneétBeauce. 64
39 48 40 10
69
Farines diverses.. 62
31 50 33 »
Farine de seigle
.
F s s rlB c s d e eoBSBineree (5 h^res).
HalVllAT^nat. SwériewM.
62 25à*s A* 39 >-à39 25
Mois courant.. ..
39 75 39 >•
61 40
Prochain
.
75 »• »»
60 30
4preD ilers . . . . .
60 75 »* ■» 38 50 38 75
4 de mars.........
i »• >• »»
59 75 60
4 de mai...........
Sq . «* q
...........................
................
Cote com m erciale.
P R IX .
Bsmrse d e P aris d u t * r Mers.
roim s n’iTAT — actions
S 0/0.............
83 62 Orléans.......... 1415 e*
3 0/0 amortis. 84 95 O u e s t;;...... 875 >»
4 li2 OiO
117 26 Par.-Lyen-ll. 1690 as
5 0 /0 ............. 119 20 GoBp.par.gas 1620 s»
Banq. d e F r.. 4050 •» Société bsB .. 21 > •
Banq.d. Paris 845 s» Ceap. trans.. 56» 75
Compt. d'ese. 1012 50 M eu.aaritiB. 800 SB
Crédit foncier. 1668 75 Canal de Suez 1680 aa
Cr. industriel. 735 »• Italien
.
89 sa
Créd. lyonnais 1080 ■■ Fene. d*Antr.. 840 »*
Crédit mobil.. 738 75 C r.aekll.esp. 787 80
Dép.etcoBpt. 725 •> CiMa.aitrica. 637 50
Société linane. 530 •» S.-Ant.-LeBab. 237 50
Société génér. 677 50 NerédePEsp. 441 60
Banq.fr.-égyp. 735 a» P ertn g als.... 560 sa
G harentei.... s* s» Ch. fer. Ro». 140 aa
Est................. 788 76 S a n to sM .... 41150
Hidi................. 1175 SB. Omnibus . . . . 1540 a»
Nord
1735 •»' Vidanges..... 875 aa
OBUdATIMS
Obi. du Trésor 530 »a Est 5 OiO........ 113 sa
D. de la Seine. 239 as Est 3 0 ( 0 ..... 390 sa
Paris, 1855-60 507 sa Ardennei. . . . 386 a»
1865... 521 •> Lyon.............. 390 sa
1869... 401 s» Benréen.SOiO 390 a»
1871... 396 as D anpkîné.... 386 >a
1/41871 107 »a Hédt.(fasien) 390 50
Bonsliq.50Â 536 es Médit. 18I6.. 318 an
500 4 0(0 517 50 Vietor-Enui.. 388 m
10* 40|0 104 as M idi............. 389 aa
500 SOtO 555 ss Nord finneals. 392 29
10* SOiO . l i s sa Orléans. .TT.. 390 a»
500 4 0i0 520 a» Grand eentral. 388 an
eom.SOiO 475 »• O nest............ 389 s»^
5* 30(0 96 50 Cordoue ........ 330 aa
dfo. 5 OiO 515 as Médoe............ 275 a*
S.alg.T50(.6*i. 143 50 Canal dé Sues
35 ss Omnibus. . . .
Gkareates.. . .
Le Gérant î D à i ll r .
Senlis. — Imprimerie BnnnsT Patru.
prix ci-après, fixées par le poursuivant,
savoir :
A cinq cents firancs peur l’article
.premier,
.............. ........
500 A.
A cloquante fiance pour
l’article deuxième, ci.........
50
A cinq francs pour l’arti­
cle troisième, ci...................
A dix (Irancs pour l’artide
quatrième; ci................... ..
10
A dix francs poorrarticlè
rinquième, d .....................
10
Total dm Imises à prix t
^ q cent soixaite quinie
|'p
P V ltG E L iiO A L B
11 est id déclaré que tons ceux du
ghtf desquels il pourrait être pris inaraison td’hypethèqiee
.
cription pour raiimn
lécalM sur lès immetbies
immetbl saisis, ndnoot
requérir cette tnscriptimi arent latrantFah et lédl^ p é l’atM é poaisnif anl
soo8st|né^
A Ssnbs, la deux mars 1881.
Signé :Bai(m<GBALlim.
Et enregistré.
S’adresser poitr te* renssipiiaiiiéiits ;
1* A U* CHALMIN, avoué à Benlis,
peursuivant lavante;
3* AH* LEGOINTRE, huissier à Bats;
8* Au grHfe do tribuial civii d«
Sentis, où est déposé le cahier dé»
charges.
Ponr insertion i
Signé Ernest Gu iio n .
A r t.1
Btode de H* CxiiLn K jm hniyéh
avoué kdarmont (Oise),
rua du ChateUkr, numéro D i . .
stNcassanrde H* BoqsiHt.
Sim
s u ’i m
I
MBOQSi BoUir»^CripT<
«llH>Vklob;' dépositaire dn, oahier .dw
oImi
Btada'da'
Venie Mobilière
Ei(jde<^e H* A noong,!
licencié'en droit; tr o u
p S S Ï Ï 2 ^ .Ü .,
v o M ra rw v
■taflé d*
Quantité dé.Eûafiér
«o p tb »
,>AiWirtoMirliSaïUs.
\
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DE CHEYAOX
Prem fèr^ qwslxiét
"■ A
V 'E N p . H 't e ; ■.
A l’BtobUiseaieiit dé Btlns hraéhiqU'
i S i i o U RéfAibllqun^ hj Wqlis.
, Av Kf
é Ghamblj.
JP
CFa
s ' b p t ; : : ' A vemiiMMr «dMitMllim ^
È x p i m ^ t ^ K M wmpJonf,
. B n f i m i d e e f p ê è h m in ittè r e éft
Aprfo I«
de H.
• Mv-DMiAïoiraj
à Ih if, ,
ShM P'l|%!iimbly, rué qe Parûi,
B e n l l a , Salle -dea V en tes,
i i M t t yëiiilii^B
Tinii t:
Lq Dimanche 6 llaid; à-deiilheiirl^»
'vjg|aT is s f c 'i i 'M c k T A T i o i i
■ ■ irn e du F.our^.
.. ?!5S5fiî5TÔÎK>
o t.,jr A R f n i«
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ffadroanraadit.il*
DasjMnnii,
ndtélTét‘
■ N T ll M àJIU IS ET HiniOEB.
U D1MANÛ1IB.6 MARti 1981, > m
^Sis è Amb|tlMonrtjcom**,dK CHumbly,
.rue
1
k
R^fifillque,
n*
18,
raudisoce déâ'''driééi'du trtbuni]
'heure précÎM,
snocèsseur dé M* Braois*.
r ;i8 i|0 à HMiïpCD li^ u e de Dessous,
A V f n a n f j t r a a |i i 4 i < H i U f p
au Palais de J u s ^
(Oise),
; Par le mInûMre de .M' BAtxfioniT» ;
_____
Âudé do tl* 1t ^ r i * â i â b , notaire . V l w s B a r a l 'V t i U '^ commtssfêre-jntiairid SenJii,
ministrée par MM. Casaan fils, L. GAle Nardl
Blers ISfil,
.h Vern.^p,(0ise).
A. v « n d r e iM k ila 4 iiid ic « tio m
à midi précis,
COMPRENANT N0TAUMBNT :
•lÛs-'ea •même lüeu, «a la rue de Dessous,
Le Dimtnche 6 Murs, A deux btures,'
;L,|>iiii.Bcb 0 IS.MiP.AtYRf
Dslensiles de cuisine et de ménage,
DE î !•
A PUilly. «n 1k; ÛtlMp d’école,
O a M u m traiter.’a n n t i’adjuqical
quisiniéres et cheminées en fonte, bellé
aol fW
P u r Je « tn tslity de Ù* D iuiin,
a^il
i l est
h iilt Amà
des ntfroa
offres SQtÛilplW.
sul
Sis >i » iial-Vaasl-de-Longmo^it,
Adÿeésèn > la t'c o m m h d d a l' A,
table de cuisine.
nobitre'à Seulis,'
S ’a p a i s e r à H* lU iiB tB T , M ototte.
rue de PBglise,
G
A
8SA
N fila>«t
iiroprlétadraé-8
Grandes el belles glaces, pendules en
<• 1 iu i . Oudine,
A v é n d r c p a r a d jn d tc a tlo D Maraussan (HÿrauU).
marbre, en brome et à colonnes, flam­
beaux, lampes, très belles peintures,
E
n
Félude
et
par
le
ministère
d
Sises
J(tix
terroirs
de
MOrtefoolaino
; ' \ ■ ''AVEC '
Corjps d e Pe)rihe
gravures, volumes, horloge-coucou, un
H* LBrR&KC. notoire d Verùer'
et Moussy-te-Neuf,
s u h COI8COORT-MOUY, tn la tue
e n g r a is
T ^ u i le M a té r ie l e t le s
beau Uipis d’appartemeut, carpelles,
'Le Dimanche 18 Mars, b’deux houriis..
Sadresser audit M* Drubd; ftotsirs.
de Dessous,
H la r e b a u ilise s,
rideaux, boites à gants, baremëlre.
On pourra traiter avant J'aiijudicationt
6RAN0 piPLOiE d'HOIIIEUR
Sis a Persan ^Seina-e^-Oise},
Meubles en teu# genres, couchelles
S'adresser Audit H* LETiiARO, notoire.
Le jVlùsiéconoihiqtie 'U le plus elflcKce,
s»
avec sommier, lit en fer aus.<i avec som­ A V « n & e p a # a d j n a i e « t l o n
Avai)ida*e p a r ad(jiidlieatioii
ui ,ée rapproché ,|à('plUK du fumiB»
' S u r le'Quel é xiste une Cave,
Par U ministère de Ip Dbiaad,
mier, grand:büfftsl-étagéie, autre buffet
' En l’étude et par le mi)iiSlère dé
Etudede
H
*
f/fa
c
T
a
lié
r,n
o
tairei
Acy,
Sis à COUNCOÜRT-SIOÜY,
è ferm e,, ’ i ,i
• ' '
«otàtre
à
Sentit,
.
en
chêne
à
quatre
venlaux,
table-bureau,
À u s a g e il’A u b c r g e ,
11
*
llsHacT,
notaire
à
Ghamh'X*.
JRappôr^
a
p
p o rt de VEcolei
V E c o ^i d ’A g r ic u ltu re
successeur de U* Brbite.
A Plailly, en la Maison d’école.
table de loiletle, tables de nuit, tables l
tVBC
6* ET
‘L e D i m a n c h e ^ M a r s , à m i d i .
' " ' " d é G rig h o n .
Le
Dimanche
6 Mars, é une heure,
rallonges,
une
belle
a
rm
o
ire
à
glace
C o u r e e t, J a r d i n e »
Récoltes sataro èi abondantes avec
A V e n d r e à l*am .lalile
S’adresser audit H* lliifBLET, notaire.
e n acajou, u n très beau coffre-fort
E T B A T IM E N T S
. . . . . . 4 5 fr.
hëctarô. •
e t O o l^ a
e n fe r , un piano carré, consetes, ca­
Sises aux lerroirs de MOUY, AÎJGT,
Situées au terroir de Plailly.
napés, divans, fauteuils voltaire et
P o u v a n t s e rv ir a u n e p e tite
O q 'd ê m à n ife 4 ^ A çen to ,
3
k
e
c
ia
r
e
s
3
9
aires
4
0
e
.
d e 9 H c ^ c tu ro a ;
COiNCODRtrStOÜY, IIODDMNVÎLLE,
S’adresser audit M* Dnunn, notaire.
autres, crapauds, chaises paillées et rePosiliOii da l.Qpq à 12,000 francs.
C uU urC ;
Ali terroir
______dé Bôu lôuiUancy.
• TUü RY et ULLY-SAINT-GEORGES
LetoulsUuêau l'üTKAÜ, dépendance coiiveries,'chauffeuses.
S’adresserà M j D o u t . l i » , BD,
S'adresser pour traiter, A U* CusvALt^,
Ualelas, sommiers, couvertures, cou­
(Oise).
. <te-^ËNÜS (Oise):
Aux terroirs de tlonqueréllea, BelloA
I
jo
n
é
r
à
l^
aniiable
PARIS.
notaire à Acy..
vre-pieds, édredous, vêtements et linge
^ lid e et Chamhly,
à usage d’homme et de femme, draps de
L’adjudic.'iUon aura lieu lc I» lm » n « D e
A v e n d r e p a r a d ju d ic a tio n
Ut; chaussure#, mercerie.
v l u § ; t lIla r M l ^ M I ,
Sise à SA1XT-LÉ08ARD, en la
Elude de M* llé m c t, huissier-.pn^ùr
£ n J’^twde et par le ministère de
une heure de relevée,
Fusils de cbassc, pislolèl de salon, d e F o n ta in é -le s^C o rp s-N u d s, sur
àChanlilly. .
Grande Rue:
la r ivière de Ison
N b n eite,
H* liAMEVBT, notatrsaCAamélp,
revolver, cors'dé cba^ise, botte à musique,
4» ET
e
t
aéa
Ihôpoiiduncea.
Le Dimanche 20 Mars, à ,une heure.
2 flûtes.
R Îq p H. B r u n o , coiffeur, »ra«'
■ En exécliiion d’uii jugemeul conlraS’adresser
audit
U*
H
amblet
,
notaire.
Ce
Moulin
comprend
trois
paires
de
Aloulres
et
chaînes
en
or
et
en
argent,
Vieill.ed-de.pariii, n* 48, « I c i i i i a a d l e
-dictoiremeul rendu e n t r e les pariies par
u n a p p r r n l l . >i
Iq Tribunal civil séant i Clerraonl (Oise), Aux toiroirs de SENLlSetPCiNTARMÉ; bijoux, diamants, ruollz, fjiencesd'lialie. meules.
Pour cause dé dé< ès,
Un escalier tournant, 2 comptoirs, S'adresser pour visiter, chez M. Uam-b ,
le 17 décembre 1880, cnrcgtsiréel signi­
Etude de M* B a | é z e a u x , notaire A G h u n t i l t l y y * Grande Rue. -72,
E n s ix C o ta
à Fontaine;
péiriu, caisses, vitrines, paniers, objets
Le bimanciiH 13 Mars, à une heure,
fié.
à Chantilly.
Qui polirroni éire réunis partielle
Et pour tous reosdgnements :
O i> d io m a itii <li 3 u j à o ù ? ,
iraluaiits et quantité d'autres objets
Il sera, aux requête poursuite et diliPar le ministère dudit M* Hbhbt.
ment ou en totalité.
A M. BORDIER, coiistrucieur-méca
’v r l é r . o u n u i i l e K i r , ea ^h a n t.
dont le détail serait trop long.
.genco de M. Aiphouse üuru, cultivateur
lipe é ï écrire et au côufaût du s^riiK^.
S'adresser pour les renseignements :
nicien à Senlis;
demeurant à Mouy,
d'une tJ.<iné'à Gaz — Là préfeqçg ^ r a i t '.
Et à M* DRIARD, notaire audit lieu.
« Agiasanl au nom el comme tuteur
V ille d e S e n lis .
E n tre C o u r e t J a rd in
1* A SI* YAMROYS, avoué à Senlis,
accordée è l’onvrier qui sauhiil faire uni*
A CEDER
■ naturel et légal de Âlphonse-Aignaa pouisuivant la wnle;
Sise à Vtneuil, commune dcSi-Ftrmio,
peu do plomberie. Appointements sui­
« Ducu, son fils mineur, issu de son
rue
de
Saint-lyeu
et
rue
Neuve,
2* A M* CIIALMIN, avoué présent k
, Etude de M' H o r e l , notaire à Senlis,
vait: les capacités. — In u tile d e -se'
« mariage avec la dame Célcstine- la vente;
A V e n d r é |) a r a ilj u 4lic a tio a P o u r l a C o n s tru c tio n d ’u n e S a lle pré se n te r sans de bonnearifirences.
Situé dan< larroodis-ement de Seulis. j
successeur de
Fohtaiwb,
< Eupbrasinc Jourdain, son épouse
3* A M* MOREL, notaire à Senli-,
En l’etude et par le ministère de
S’adressera H. GUINIERES, directeur
AITiires 05 Mcs de 157 kd. par mois ; ^
p a r a d ju d ic a tio n
« décédée, le mineur Alphonse-Ai- dépositaire de# til-.es de propriété;
d’A s ile e t d e s F c e ie s d e s F ille s .
kr* nBalbzbaux,
'
M*
notaire jid Chanltllÿ,
de l’Usine à Qaz, à la BiguS
• goant Duru, comme paraissant
4* El au grellc du tribunal civil de
L e v e n d e u r e s tp r o p rié U ire d e _
A W fC t
Le Samedi 26 Mars, b une heure.
€ avoir seul droit b la succession de Senlis, où le cahier dej charges est la M aiso n q u i se ra T en d u e a v ec v G U « & o t S jQ i J iD w J M D
Le
Dimanche
20
MARS
1881,
à
deux
O 19I < l é |ç n ù i » 'f l o ’i i t « e
SFadresser audit M* Baigz^cx, notoire.
« il. Charles-Onésime Jourdain, son
heures, il sera procédé, par M. le Maire p l a e ^ d e s a r i d e p a r t i c u le F o o d s o u donnée à bail^ à la Sises à Senlis, rueVieilIé-dc-Pari^^n*41
■ aieol, comme habile à se dire seul
de la ville de Sf-nlis, dans ûne .des salles tie x ^ ô ii ç f a r i l e c i m i u p ô t r e .
et rue da Villevert, n** 16 et 18,
1
■ héritier; mais sous bénéfice d’in- Elude de M’ Ehilr D é m e l i n , liceuclé ToloDlé d u p re n e u r.
B O N N E S R É F É R E N C E S.
UNJ J A S t m X
G randes facililés de p a iem en t.
« ventaire seulement de la dame Céen dro.’i,avoué à Senlis,
rabais, sur eoumissions
fiouron
cachetée#, des
ffadresserâu/mroaudMjàttrndl; :
dite l a D o u l e < P O r »
• Icstine-Euplirasine Jourdain, sa
8 'adn!##ei au Bureau du Journal.
|
.Sise à Senlis, impasse Murât,
travaux de toute nature à exécuter pour
rue de Villovcrl, n’ 7,
Située à Saint-Firmin, sur la roule
« mére, décédée à Mouy, le itO sep- sacccsîeur de Jl“ Delgove et T hehbt.
lesdites constructions, lesquels travaux
de Seuils,
.. . « tembre 1S80, saisie de ses droits
s'élèvent en totalité à la somme de surancee, rG h to n industrielle;
A CEDER
< daus la succession de son père.
Sise terroir de Villeneuve-sur-Verbeiie, A v c n i l r e f m r a d i u d i e a t i o a
41,461 francs 10 centimes.
V e ille 8 iir l ie i la li o n
Naiilcuii-le- Haûdouin, « l e i n a i n c l o
PoursQivani ayant M® Laliaye pour
c o n te n a n t 15 ares 24 cen tiares,
En Vétu*ie et par le'.ministire d«
I
"
ENTRE MAJEURS ET, MINEURS,
des s p u s - u f i e n t A ' pour les c ru - avoué constitué.
Le MARUl 15 Slars, à deux heures,
U* B alézsaux, notaire à Chanltllÿ,
| 'èÊàtÊemôBsietmUtBBmmammdàaS&ê^^
A usajyc de Buulang;erie, Epiceton# de StHilU, Cumpiegné; Betz, Crépy- ’
En présence ou eux dûment appelés
En l’étude et par le ministère de
Le Sameili 2t» Mars, à d m heures.
« .
.
«
,
en*Vàloi8 et Ponl-Saiiilo-Udtence:
ricy Alcrcerie^ D ébit de Vins
H* M o r k l , notoire à Senlis (Oue),
de !
. .
,
M is e à P r i x : 34,000 f r .
|
AVEC SES
et C afé-ltcstaurant,
1® Madame lIortense-(;éleslino Jour­
S’adresser audit M* Morbl, notaire.
Al. F e rd in a n d
On pourra traiter avant 1 adjudication, E a u x -d e -V ie , L iq u eu rs 9 Vins
C irc o n s ta n c e s e l D é p e n d a n c e s
Sise dans le canton de Grcpy-en-Vdlois,
r i l l e u j x , entrepreneur de raKgodnedain, propriétaire, dciueuraul à Angy,
s il e#t fait des offres sulfitontes.
fins 'c l o rdinaires»
Sise à SENLIS (Oi«e). nie du Cliâ'.el,
sur la ligfic-du chemin de fer on consriü à Saint-Leu-a'Ë#sereul (Oise),-do*
veuve de M. Simon Rnbbé.
S-«lra..er audil M- B . l e 2 s » « x , m tatre. | j j „
bouteilles.
A
L
o
u
e
r
à
l’a
m
ia
b
le
naiiiéio
3U.
truciion
de
Rivecourlà
Oimoy-Viller#.
Présente i la vente, ayant M* Ansart
m an d e
dc;W o u v r i e r »
m açons.
Il -y.
. pour avoué constitué..
L’adjudication aura lieu le SSai*«li
S’alrfssir pour renseiguemouts, à M*
2* Madame Eiiplirasine Pommcry,
A v e n d r e p a p a d |u « lic a lio i
A. LESaCE, grelüer de paix à CrépyAu terroir de Courleiiil,
«9 ^
A li B a n , pkissleràÇrépycultivatrice, demeurant â Coincourtà midi prec;#,
Le Dimanche 6 Mars, a midi.
19, R u e d u C h û t e l, 19,
en-Valols.
D'une contenance de 2 hectares
en-Valois.
d
e
m
a n d e un- ap "
Mouy, veuve de M. Charlcs-Onésimc En l’audience des çnees du iribunal civil
Par le ministère de H* BalêzeauX;
73 ares 03 centiares,
à
p r e n ti.T ’
Jourdain.
notaire à Chantilly (Oise),
de Senlis (0:sc).
Remboursement
gratuit
des
dépenses
en
S’adresser
}'our
lous
renseignetnenls
;
A C E D E R
Co-licitante, ayant
Rondcst pour
_ A I. D e n o g e n f ^ 'S
S’adresser pour/es rÉHSciÿncnienty ;
A M* FEI.BOI^, avoué à Senli#;
«voué constitué. rier a O.rouy (Ois«), d e û i a t i d e
Et à M' MUREL, notaire à Senlis.
IJ-EtM . Fclix-Alcxis Gouct, cultiva­
A Senii.'* (Oise) : .
d e s b o n s o u v rie irs .
En la Maison 'le Madame L ant. siso .
1 ' A M* Emile DÉMELIS , avoué
teur, demeurant il 15aiagny-sur-Thérain.
< lc A l a ç o n n e r i e
à GOUVIEÜX, rue de Gouvieux
U n e m a ià o n a rig la la »
f Au iiono et comme subrogé tu- poursuivant la vcnie;
A v ec tra v a u x a v a n ta g e u x e n
è Cl.'aumonl.
A L .O U Ë R
d e m a n d e d e s A g e ta l» li o u o r a a tour du tnintur Alphonsc-Aignan
2* A M® CIIAIMI.N, avoué co-licilant;
c o u r s d ’e x é c u tio n .
l > l e » pour l'achat de céréales. —
« Duru, .sus-uommé.
G ran d es fa c ilité s de p a ie m e n t.
3“ A M« MoRïli, notaire;
Appuiiiletneiils fixe#, commissions et
Procédé le dimanche vingt mars l 8 8 i,
S adresser a M. LEl’l.'^E. à B#tz.
a v e c B E A U J A K D i:« ^
à V A L 4 . A t J » I S Alp -s Mariiimr.o) frais dé voyagea.
4’ Et au gretle du tribunal, cii est
b vinc licnre de relevée, en l’une des
S i s e à Seiilis, faubourg de-Villeverl,
k Située à, Vineuil, commune de SatulEcrire franco a &fM. II GREGORT
AlnisoD
fuiidcc
À
G
r
a
s
s
c
e
n
184-1
salles de l’hotcl-de-ville de Mouy (Oise), déposé le cahier des charges.
Firmin, en la rue de la Colonne,
rue de l’Orme-qui-Baïc, n* 2.
}
Eaux dislihé-'S : <le F^euis d’oranger#, el Gte, 10 Kii\iy ôtresl, Gitv, Loudres,
k la veille et adjudication au plus offrant
A
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o
b
ilie
r
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\
de
roses,
marasqiie,
laurier,
cerise,
etc.
et dernier ciicliérisscur et é rcxtinciion
Elude deM* Emile S îc n ü c lin , licencié
A O é d o r c le s u i t e
S'adresser pour tes renseignements : , S ’a d re s s e r p o u r tous renseignements :
— E'torc*-? d’*iraog»'# nour curaçao. —
des feux, des iipiucubles dont la désigna­
l%t* P o l l > o i a « % v o u é à
en droit, avoue à Senli#,
Pour cause de départ.
A M® MUREL, notaire à Sentis.
; A M* B alszexux , notairo à Chantilly. Essences diverses. - - Pctrium.-i concen­ S e n l i s , d o u i a u c l t s t à n p e t i t
tion suit :
rue de Villcverl, n® 7. •
S'adresser au Bureau du Journal.
trés pour liqueurs. — Pommad:s el e l e r c .
extraits aux fl -urs. — Produits pharma­
Eludes de M" F é x i z a n et H e r e i ,
Elude de M® C a r l l l o o , notaire
ceutiques. ILiiles'd’olive.#.
A r t ic l e p r e m i e r .
Sur Publications judiciaires.
üMET AI* Q t i c t o p , ayoué k
A V K A 'O R B
notaire# à Senlis.
à Chambly(Oise),
Par suite de coiivoisioii de sahie imINVOl DE PRIX COURANTS SUR DEMANDE. S-nhs, d l e u a a n U e u n c l e r c .
Successeur de M* Maitre-D evalloh.
mobilicre,
A r i ic l c c in ( |u n n tc - .s c p t.
A v e e l l n i 'n u i s c l V o i l u r e ,
Ving' arcs quatre-vingt onze centiares
D ’U T J ïJ M A I S O N
Sise à Sentis, rue do Vii.evert, n* 9, j
de terre, sis terroir d'Ully Saint-Gcorge.s,
A P R IX M O D É R É .
pour
de R E V E N U P A R A N
AVEC SES
SisesàDoran,
S’adres-er à .M. NAMI’ON (Jean-Bap- A v c n d r e | i a r a d j u d i c a l S o n ]
lien (lit la #cnic de l’crol, tenant d’un
coté Madame Rabbé, .d’autre coté plu­ C i r c o n s t a n c e s e t D é p e n d a n c e s
liste), à Gilocourl, piè# Cré,>y (Oise).
Le Dimanche 20 Mars, à une heure, ( A ven d re. |>aradiudi«*alîon
Sii«P à SE.Nj.lS (0,#.-). rue de la
sieurs, d’un bout Naquel Oiïroy, d'autre
En l’étude de M® F ktizon , notaire à j
En la failn de U Mairie de Boran,
Fcniaii,e-de#-A é.ies, iiuméio 16.
bout la sente de Pérel.
SenViF, place de I.1 Halle.
i
P a r te ministère de M^-GAhiLLON,
II
la
FiiU'
Mise i prix, qualrc-viitgl
S'adre.vser jH>ur/es reNsei^nemenU : |
L’adjudication aura lieu ie .U n r d i
notoire a Chambly,
dix francs, ci.....................
90
A M" F é iiz o n et Morel , noiaire#.
.1
v ii> g ;t-iic iif .tiluroi I t i d i l ,
I.e Dimanche 13 Mars, è une heure.
A C IS D IS U
il deux heures de relevé»*,
S'adresser audit M'C*bii.i.om, notoire.
S’adresser au Bureau du Journal.
En l'cluile et par le ministère de
Elude deM® R o u t i e r , notaire
laeiU dm let Upitux IFER DIALYSÉ BRAVAISI RmmudÛÛ p«rl«t lUwimA
M® U r u o d , notoire d Senlii (Oise).
à Bélliisy-Saiiil-Pierre (Oise).
CoiitreABènie,CUct{M,.BtbUiÙ, Ep2iuoMiit,Pert<sbliECHS,eic.’J i
Ouirc Icî charges, clauses et conditions
A LiOfflCD
L e r e r SSr&vaS»lfer iifuld«en ^âuliee eoneentr^eep. e u te meO-A
S'odresscr pour les renseignements : ■
énoncées au cahier d’enrhèrcs drcs-'^é par
!eordrlooit»ton<'|a(:g|tereeonUiiaant[iapeic«lleOMiiluilitlln{Mp)rV
’ Urap^riarilédesaprepirStlouilneS (Uti|irirellidreptDiperrectioDaè<:i!A
P o u r « la r t-ilz is ,
M* Biidin, notaire à Mouy. et par lui
A Stnlis (0,.S‘) :
]
, d’h ni odenr, ni unnret neptodoilnl confüpuion.ni diirTiiée,ni#dusn>l]
déiwsé en son éuidf', les immeubles
V niria.ni fuijciiede Petinmee; iteplDilineiioIreltiamnleleedentr.'
V
Sis a Chambly (Oise),
1* A .M® E m il e UEMELIN, avoué »
A V Ï ^ A D R li)
1 C'eit le p lu écoaoaii;ce dei le m iiite u , pnUqo'u (Iieoi dira n m aii.fl
sns-désigné.s, seront vendus et adjugés poursuivant l.i vente;
APPELÉ
’ S'adresser è M. TASSIN, horticulteur,
DéTeitprinciroiixàl'arh.tX n.l.AFAvmK e( AVEKURtiKL'OnbuÜMv
oATon tm«T»*ealpnipni 1. Onlnquina Bravais «t les Eeox UinAralca
jiur If.s mises b prix fixées [vir le jugement
* '
E X B O IS
l e M o u lin d o V ig n e s c n ii,
route de Compiêgne, à Senlis.
Natureitri df l'Artfrelit-, SpuTcei du V era'et, «te.
■I
2’
A
.M
*
i
ELBOIS,
avoué
co-licila;:t;
dont b’ogit, cl .s’élevant au lolal
deux
SiüCS.terroir d'Orrouy,
Bien te m étier dM im lUtienadaDgereuaeset exiger la margnedeAabriqoeel'C entM.i: i
P r C v - e n tïm e n l e x p lo ité par .M. RoizÉ" >1 gralli tnr depianéc
hied’ane
ne nfrfanf
KfTranrhie
d’nne liiléiieksanle
iiiidnkMnie lawbnre
Ifforbnre ntarr VAnénte
TJndmfi el
3 ' El j M* UBIiU I, notaire, dé,io#imille sept cent douze francs, ci. 2.7l2fr.
A v ia t .
A v e n d r e p a r a d ju d îcalS on
3 o q > 0 ‘O cs> O
‘ O O < > O Q - 0 iC>iC>OC><
A JL O L E D
|
, Fait et rédigé par l'avoué poursuivant taire du cahier de# charges.
Ce youlin. situé aux abords de la
A
Orrouy,
en
ta
Mduon
d’école.
4® LA
Mussigné.
.
ville,
à
quelques
minutes
de
la
gare
du
Le Dimanche 13 Mars, à deux heures.
A Clermont (Oise, le vingt-six février
Etude de M' Ernkst C i i a l n i i n ,
Par le ministère de M*R o u t ie r , notaire chemin de fer, esi monté de quatre pai­
4881.
avoué il Senli#,
res de meülis d’après le système anglais.
X 0 ^ ,0 0 0
y V b iQ ik ilé â
PB ANC
à Bétkisy-Sainl-Pierre.
P rè s I’O N T -S a IN TE-M a X ENCË,
Signé ; Ch. Lahaye.
rue Saitil-llilairo, numéro 10 .
S’adresser pour fous renset«;nemen(s.‘
Autorisée comme élablissement insa­
S’adresser audit M' R o u t ib r , notaire.
E l enregistré.
A
M
®
CARILLON,
notaire
a
Chambly.
lubre
de
1
*
®
classe.
V K î^ T E
Srtdrtsser pour les rcnsi ignemcnis :
L o y e r a n n u e l 3,500 fr.
S U R '. S A I S U i I M M O n i L I É P . E ,
1 * A 51* Ch. I.AHAYE, avoué à
i Etude de M* Eduono P a y e n , notaire
[i
rauiiieiice
de# cru-es ilu tribunal civil
Clermont, poorsnivant la vente ;
Sises à Gik'ceuri, sur la roule de
I
è Pont-Sainte-Maxence.
de Senlis, au Palais de Justice.
2 * A SI** IlONDEST cl ANSART,
Coropiègne à Meaux,
e t D épendances
Maison.
«voués au même lieu ;
Voi.‘i n e a e laladite
d
( P a r a ît t o n s le s d im a n c h e s , à v o c n n o C à u sô rio f i n a n c i è r e 'd n ‘B a r o n LoUto) j ^ '
A
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tio
n
M A I S O N
:i“ A SI' nUDIN, notaire i Slony, en O ’ U N r ,
L o y e r a n n u e l 800 fr.
LB SC a 10llLl.(l'niLTClKR qai patli* la Liiit «Scitlle ilti Erajet d« taies T ilars friuçabà û M m ^ m
A Gilocourl, en la Matsond’écolç,
' - l’étude duquel est déposé le cahier des Siî6 à ORROUY, en la ruo Fourchcron,
S’adresser à M* LAVERNE, notaire à
Le Dimânche 20 Murs, è deux heures.
(se iz e p a g e s d e Y exte)
charges ;
Paris, 13, rue Tailboul.
Par le mintslère de M* Routier, notoire
Sis à Robérval,
A M® CORPECnOT, notaire au
n r^nTUnÜ
Itevue générale de toutes les Valeurs— La Coteo^icieUeàê laépurse.r
à Béthisy-Saini-Pterre,
XL I lUILLId Dui4r6i<r<i^naeanto0euæ—/.ePrlmdctCoupoiû' V ^p o cu m ftU ^ inédits,
A V c n d r e p a r a<liqdica!(8oii|i
ineroe lieu ;
Sadresseraudit
M
*
Routier,
notoire.
Sises terroir d’ORROUY,
. ,5® Kl à SI® BRICOGNE, huisstcr b
Par le ministère de 11* P i t e r , notaire
PBOPBIÉTÉ DEU SOCIÉTÉ OÉBÉRAU FMtjWEDECBÉOlt.- Capital : É0;OOO,0d0 de> .
Le tout canton dcCrépy, arrondissement
Uouy.
à Pont-Ste-Maxenee (Oise),
do Sonhs.
En la salle d'école de Roberval,
On s’abonne dans toutes les Succursales dos Dépnricfncnts, dans tous los Bureaux do Poste
CoUc» O oudrons
et « Paris, 17, rue de-Londres :
Le
Dimanche
20
Mars,
à
deux
heures,
L’adjudication aura lieu le H I a r ili
Etude de N* A o | : a » i e y a n t r o y « ,
B T C H A xbB O lTS S S 7 0 'T S K
XTTS
P * .A ‘3ES .A.3Sr
q n i n z c lla r.-v l ê l R I l ,
^adresser audtJ M* Paten, notaire.
avoué è Senlis.
I
liiii'iiiÉ iiln
I.II
I
G ra n d e t b eau J a rd in
heure
de
midi.
successeur do M* FnéuT.
D E S P R IX t
V
A BétiiUytSaint-Pierre,
Rue de la République, D” 17,
S'a(/i'es#cr pour Us renseignements :
T a r if à d a te r d u 15 février 1881 .*
A
V
e
n
d
r
e
p
u
r
adJn
U
iealion
1® A M* En>EST. CIIALMIN, avoué L’hectolitre ( Pris à l’Usine 1 fr. uO
En l’élude et « ir le ministère de
V E ÎV T E
è Senli#, rue Sainl-ililaire, numéro 10,
deGoke; ( Livré è domicile 1 70
P a ra u ifc d 'a c c c p fa fio n bénéficiaire poursuivant la vente;
(Réduction dè 0 fr. 10 c. par hectolitre II* Rotmut, notaire à Bélhisy-Sl-Pierref.
Le Dimanche 6 Mars, è deux heures.
pour
Iffhect.
et
au-de#sus.)
2® A M* TENNI-L, huissier è Crépy;
! • D e l a N u c - P r o p r i 6 t6
éTodreMer audif M®R o u t ie r , notoire.
CHARBONS OC FOYCft :
3 ®Et au greffe du tribunal civil de
GROSSE GAILLETÜR'E 1 - qualité:
Senlis, où le cahier des charges est dé­
Etude de M* I lA m e l e t , notaire
les 100 kil. pris è l'Usine 4 Ir. 25
posé.
à Chambly (Oise).
P r é c l D o is T o illis
—
è domicile
4 40
PABXS — 1 8 , B u t i l ta C iaiissie'^A aU a,
Situées terroirs de FREStNOY-LA*RI(Au complanl, ou fin du mots de livrai­
PéOPRIÉTé OE CA
d b c c lii F « i 0 4 a r e s 3 8
son, an# escompte). .
YIÈRE, FEIGNEUX et MORIËNVAL,
•
canton d e OrépyAon-Valois,
SOCIÉTÉ
FRANÇAISE
F I NANCI ÈRE
RtSIDUS DE L'ÉPURATION*.
(toeitTi iRexTH*)
Aff* L . a c o u r .( P A 08 PER), demro«rrondissemenl' ^ Scnhs (Olso);
Sour-llydro-Siilfale de Cliaux pour
Aux terroirs dePuiseux. Neuilly-enC a p ita l':
rant
au
Berval,
commune
de
Doniiruilâ« ï ) e ‘ 'l a N u e ^ r o p r i é t ô d u "
E st indi*jT(î»»KflM« à to m 'es P orteur* r^r P./iilct. d 'A ctions et d'Obtlgnttôns. — JVS#en-Valois, prévi-iu. le .public qu’il ne E n g r a is délivrés gratis à titre d’essai ’ Thelle, Dieudouno et Fresnoy-en-Thelle,
è AfM. les Cultivateurs de Varrondisse- < *
.
> tiers indivis
eom plet.— Purm'l chhniie D<»nrt»i7n!. — 10 pH'"* <'0 te x te .— I.islenffti i rthrUiS 7tra>7M. •
p.iiera aucune dette que pourrait con- ment, qui se cliargoront de (aire un ; X y e o a r e p * K ® « * * jM « iC to 4 lo n
Coin * lies Vnte'irs coleus
et en ttamina.
Cltinntes renilHs dus Assem^
‘P ‘
tMcier la femme, qpi .a quitté le domi­
En la Mllé delà Mairie de Dieudonne,
bU'csil'Ât'iioiinaifes. — Ktiiihis iiii)»'(>loniiir.sdes lû itrepriscSlhian.iéres e lin d ia irléliéé
sur leur emplui.
...------mpi rapport
et des t'n to iiri o/'/‘>'rtei en *oii*cri;;tioit pidiligiie.— fjtis, t>ncrcts,Jimeu\ents intirestm U
Par U ministère de U* lUuEUtT,
Siee à FRE8N0Y-LA-R1V1ÉRE, rue de cile conjugal.
S 'a d r e s s e r à M . C u i n i e h e s , d i ­
tes p orteurs de rifrc i. — Jtfi'sGds des C/tooiint de fe r , etc., etc,
notoire
d
Chambly,
l’Uominy,
r e c t e u r d e l ’U s in e à G a t à J a
U 'A SO N N É A -DaOIT :
Li Dimanche 18 Mars, A une heurs.
B ig u ë (SenJts).
L’i^^ jqdicalionaiiralieulcljlm anehe A v is û u x P / i p i n i d r i s ^ s e t a u x
A tr p A t E M i S N T Q -T X A T trx r z>zr c o tr p o j v s
On pourra traiter avant l’adjudication.
P r o p r i é ta i r e s .
A Z /A C M A T E T A i A
V E N T E D E E E 3 V A X Æ tT rj»
Sadicsser audit W* IIamelkt; notairA
• n n * C o d iiiii- e to n
j
•h une heure de relevco,
ipώro 17,
f.
rsMo^iwmMto;
A
m
viNS:MsgéT;f
:jt' 'Dâe fràiiijiiB aWii JarM
«to» AN8T, fil 1»me el 11PUuro
Corps dé Fermé
Uni Fonds de Commerce
Trois Jardins
5 PlèNs de Teire labourable
H'* dç Vins et Ânbergiste
, BPUTW
et IsuQn, d’Habitstioii
fin Terrain
UiNE GRANDE MAISON
3
52 Pièces de Terre
3 Pièces de Terre et Jardin
Un Marché (ie Terre
D E T lîIR R E
3° U H S M AXSOSI
MOULIN A EAU
Vente m obilière
3 Pièces de Terre et Pré
JOLIE MAISON
Bon Fonds de Bonlangerie
Adjudication de Travaux
Jolie Maison de Camuaune denwiel-de-ville, à radjudiration au
Off**AI- «Joiinôls agent d’as-
etonePiècB de Bois taillis
Maison de Commerce
D 'U N IE MAi;SONl
Bpiceïies et Comestibles
Marais et Pré
À . 3J17R V
Fonds d’Entrepreneur
Maison Meublée
Objets Mobiliers
Bons commerciaux français
Jolie Maison de Campagne
DISTILLERIE ET PARFUIHERIE
MAÜBERT Jeune
Bon Fonds de Maréchal
Un Cheval de labour
Maison Bourgeoise
|
Maison et Terre
50
100
L I R E ..I I I I Y S T E R E S » B O U f lS E
M plDit par BANIIDEDEU BOB, i, plaît b Boiusi,
Bon Fonds de M' de Vins
FER BRAVAIS
Gravier d’Argenteuil
S ÎA IS O N
. et 31 Pièces de Terre, Pré
GRAND MOULIN
Grande Usine de Monceaux
£e
DEUX MAISONS
2“ Maison de Campagne
JfaiSOn, GradgC, Jardin
Terres, Bois et Carrière
D
itta n itF u r
à
t t l e u t s
LEPLUSCOiUPLETDETOCSLESJOURNAUX
Deux Pièees de Terre
Usine à Gaz de Senlis
Maison bourgeoise
U J k n ia l
18 Pièces de Terre,
(11* Année )
de Terres et Bois
.
VINGT-CINQ MILLIONS flo tamos
D 'U N E RIAISOW
Jkt/laA hlIe d e l à MalsOn d’école
Fw snoV -lû-RiV ière (Oise),
Par ^jum istère de M* Ridoit, notoire
[Oise).
( ffcdreiier pour le$ refiitignemenls :
1®tà M* VANTtlflYS, Ntoué h Benlis,
£ n gros ou en dciatJ,
«VENDREOUI CEOERDESUITE
Grand Fonds d’Epiccrie
4,000 Pcunlicrssuisses
Corps de Ferme
V in s e t L iq u e u rs ,
Sis k Krcüii® rue du Préau,
« Io n (® ta ( P R o r a n t s
avec 45 heetareg de Terre
A V E X aR E
ItÉGENÉRÉSl
S'adresiPT è M. J ules SOUPLT, jar­
dinier, au château d'Ovouy.
poanaiviiil k veaiet
^- •••“
—
^
Vii Wt'iitMi'Ilkfre i t U Tille L SeoHi, popr l«,.llMllpii.a« U
«.u. PÔea, e,pw(lc à reiUde
M
o l D é b it d e T « b a e .
S’adresBer «u Ouroan dua Jpti
Jpuynal.
le
Sür Erculi, MedllIj-ei)-Tlielle, Crouj,
1 teeidle,la
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Prit Jel’JboDBfnifnl feiir loiileI»France(IrAl;»-lorraiiie:■
F B A N C
P A B
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Dn S'ABONIcè t«NS PRAIS PANS TOUS LES BU(ie«U'X DE POSTE
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