4 S0P A I B E La Jonrnéèdü 21 Février. NOUVELLES mCllAMBüES
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4 S0P A I B E La Jonrnéèdü 21 Février. NOUVELLES mCllAMBüES
Il ;: r,. IV^Vl Il ‘ r • ! . * . . • . .. i ' i II. •. , sitiii:al 4 $ i( l u l i ............. I ‘ ' “ i'. Trait il ï '» « - I M iÙi&OB'c«# r a n » n DWXBTIOIM Itcaa.'iÙJÙf eJ r* L*aiBOBC»tü«dMsihurd6,'511|aM/l^ ^OBC» tÜ-dftU - ^ _ d'«TMè*oUM*4Bt ABM ■ » ' ' t Mt-' :''li''.ll‘ r 4 M lM C ' M »™ "? •1* laiinromptt at aat ço&ridéri eoAflM leeoinwiâ I tiine d homme?, et quet le général Colley a été j lOD)', sauf jrôur les biscuits s u c ^ ‘ .vangnll dei tué avec- plusieurs de sus officiers. Nous atten pays étrangers,’ qui sont frappés (j’qn,droit. Gela est, que nous le sentions ou non. dons que le télégraphe apporte des informations plementai're de 3 fr. 75. soit 30 fr.. en Toioû* a défilé devant sa maison, que d 6 |to u s les de.Pari»» départements ou de Hais ce que nous lui devons surtout, "ce tant àii tarif ce 26 fr, ^5, voté par Ig Ch*pbro» coins du inonde son.t arrivés ces tém oignage J i - lui i . ont . i envoyé — -a de» .i*. adroeses, de» ->ra plus circonstanciées. ’étranacr, des T vem ' Sénat vole ,enstiite les articles. 10} g .117 qui saut^ aux yeox de tous, c’est cette poés,le Le désastre de Sjiitxkof est une nouvelle desfl'-urs. Hais quel rémerciement ne eerait L a JM iniée ém * » F d i^ e r. a. F lè ts r Hb^o. (hûifes'ef s'ucs y^éiaiix) et les articles llS .à 180 grandiose, simple ou teriible, qui coule depuis diadmiration et de ïespeci à côté desquels preuve de la fausse politique du cabinet anglais ■j-deseoua de ce que lui a fait éprouver celte toutes les pompes officielles paraissent peu ’ (bdi!*). au Transraal. Les Boors se montraient dispos^ un derql-sièsle dé sa'veine intarlssablé e t qui lournée, qui sera la meilleure de sa vie et dont I.B B fluefiJe 11 esl cinq ' heures et demie.. La séanca ' est B ifpB Dé*B*trc d e l'Bïméfe a tour à tour consoltl ou, relevé les plus hum de chose. Ce jour là, le 27 février, lé peuple il gardera lusqu’â sa dernière heure une recon h faire la pais. Les efforts du président do la République d'Oranite auraient abouti à amener alors'lévée et renvoyée à jeudi prochain pour la bles comme les plus forts d’entre nous. H a français s'ést montré digne de son poète, et naissance qu’aucunô parole humaine ne saurait dis'cussioh des quatre interpellaüons da 12* d | un arrangement. Up moment, on a cru que le u é é ir e a vdëB Boènk surtout digne, de la Liberté qui n'inspire que primer 1 ' pénétré partout, dans les plus modestes foyers, gouvernement britannique voulait entrer dans Gavardia. MéBtMlM.dea'Ciuuabres. l’est a d re ^ é à tous, s’est imposé. 11 nous a de hautes pensées et dè nobles sentiments. cette voie. Il e;t à craindre que cette altitude !;«> abràllB dç U»lf «t lO; «elfoUm d » n o B . ÀiHé DOLLFpS. conciliante n’ait eu d’autre objet que de faciliter ..jc h é s par les pliis nobles côtés de notré ‘'d laaéàteai ' ' . ' C h a m b r e d e * d é p u té e * B le cé io n s lé g is la tiv e s . lBf«te«UbBS géaénilea. les projets d’attaque du pénéral Colley. On aura OMure, relevant, ce qu’on abaissait, honorant voulu gagner du temps, et l’on aura compté sur t B fè'lê àe Vletojf ttoge. du 27 Février. ' ' ce qu’on Oéirissait, cherchant dans U p lu s Séance ne Samedi. ChMiiliqtt’è dèipié^tééiatttale. le concours de sir Evelyn WooJ pour réparer la Au début de la Représentation donnée au pauvre et la plus déshéritée des créatures hu Les employés de efienint de fer, CbvBBlqB* leéale. première défaite subie à Lang-Ni k. Les Boers SEINB l é U ia p é l^ à ll fait. maines, ce rayon divin qu’on appèlle Tôme et Trqcadéro, c’est devant un public énorme que ne f.e sont point trompés à cette lactique. Tout S» cir«>nscri»(»on'de Saint Denis. . La.Chambre continue la diecuBion de la pro* ' F a its diven* qui p eut'seule la racheter. 11 a chanté, les U. Coquelin commençant l’exécution du on n^ocianl la paix, ils ont préparé la guerre. . position de loi qui tend à r^ le r les rapport* Inscrit», 12,0o3. — Votants, 7,026. VfUrldUs.' victoire de.- jSpilzkof peut être , considérée femmes, les vieillards et lés petits eulants en programme, a lu desa voix chaude et vibrante M. Roques de Filh'd, radical amn. 3.530 Elu. -La.................. . -I J.deacompagni» de-chemins de fer avec leur ■areli«a^<>’Baar8é ‘ comme décisive. En depit de tous les consens 1 tommisâonnfe, des vers inspirés,.simples, sublimes qui se les vers suivants de Théodore .de Banvil|c, M. Deschanel,'député dém., rcp.. 3.228 FeoIiletoB I Cent mille francs de récompense. A A .par , . . . Iles ... esprits /.....ni.:. im ü ..ir(ia iiT l’Angleterre l’ Anirloti>rrA .... . . .. impartiaux, M. Deschanel avait été élu, le 14 oclobrb donnés . H.. Alargue a soutenu le projet de la- com» sont gravés dans toutes les mémoires et qni trop beaux pour que nous n é les publions 1877, par 6,227 voix, contre 2,098 à M. a voulu poursuivra ses Intentions aggreMivei. . mission doiiL il est rapporteur, an nom do* pas : ont fait couler bien'des larmes. Voilé un des Si elle succombe aujoiird’hui, elle n'a qu’à s*en dcoits des employés.lla insiiié particdlièrchaeBl Ferdiuaod Bàrrol, bonapartiste. A T i e é o r H a g o * côtés de ce Titan de la poésie moderne: l’ima f t o n r s é d e I ^ a r ls * prendre à oUe-mëme. .sur.U retenue de traitement pour la retraita qui Pire, éoK aa aalbcur, an étail, ï la soafraice " ' (DépSob* TASgrspUqu*^ gination la plus;complète qui ait existé. constitue pour l’agent uii droit véritable et pour LOIR-ET-CHER Redijrons-nuùs de quel accent il a raconté, A l’eabre de laurier dan» la iuUe conquis, ' L li compagnie.une obligation corréléUve. -L eœ« Arrondfssemeni de Koraoronfin. Vitns stDlir sur les aaios le bdstr de la France, BsUta d(( s IIsn iM . .pJoyé.n.’est pa,*<libre.de partir, en effet, quatid ., ’d lwrps io A ' dans a Légende des siècle» l’histoire héroïque M. Julien, républicain................ 6.108 Elu. L e s ancêffrcs d e s B oers* Éturense de fêter le jour oà tu naquis I » 25 ' a. pondant vingt ans subi la retenue pobr la jy v .u iw l^ lè ,85 10 84 85 > » M. Durand: républicain clérical.. 4.590 de l’humanité? Le montrerons nous donnant Victor Hugol ta voii de la Lyre étouffée • 05 « . f c - v - 83 7 0 .. 83 65 Div--r3..',...................................... 166 ati ihéi, re des œuvres longtemps contestées, réveilla par tei, ptaigoanl les aani Mnfferts, dant > 75 M. Lesguillorr, qu’il s’agisisait de remplacer, « i / 2 * / , . . . . <17 25 <116 60 mais ferlés,* vivantes, originales comme ces ta connus, oiuâ que ton aient Orpbée, , , -------------- . avait été élu, le 14 octobre 1877, par 7,038 des f t . / . ...............119 30 119 275 • ü I 025 Burgraves que nous commençons. Seulement L'dpre exil, tt ton càant ravit les noirs enfers, vante, extraite du registre des mariages da la I {q nroposition de loi en discussion; voix, contre 5,190 à M. d'Orléans, légitivnistOi communauté wallonne à Brielle : . M. Lelièvre, au contraire, a combaUd cette à comprendre; comme B em ani que nous lais ta vis à prsent dans la sereine gloire, Lé 1*^ février 1688 eut lieu, dan» l’église .proposition, de TelQcacité de laquelle il dOBle. plaçons aujourd’hui è côté du Ctd de Corneille. Calme, benreoi, (ontemplé par le ciel souriant, iind qu’Honère as^ sur sou trAoe divoire, walleiineil<-B'iell<-, lemati<ge de Pierre Joubert, .Il estime que le droUd’intervention de l'Etal ne U e p p in e e d e B ism a r c k Le Romancier a écrit Notre-Dame de Paris, Riyonnant et tes y e u i touniés v e rs 'I’OricDt. natif'de la M >lle-d’Aiuue< de Provence, et de {.d.oit.pa; eéteodreaux rapports des compaghles c i ^ s p a r tis . les AfM^ra&le», Quatre vingt-treize. Il nous a Et tu vois à les pieds la fille de Pindare, Suzmne-Reyuede la Roque, native d'Aulherqn, laycp fes. employés. M. Lelièvre reconnatt qb’il .y tenus sous la magie de ses conceptions tour L'Ode qui vole et plane au foid des finnaments, V IC T O R , H U G O I..a Gazelle nationale, parlant de l’altitude du en Provence, tous deux einbatquésdans te vais- |,a.desabus,raaisilditque pour y porter remède, h tour grandioses ou charmantes, terribles ' "ipopée et l'éclw de son glaive barbare, prince de Bismarik vis-ii-vis des partis, se livre seau Mval-de-Sinai, faisant voile pour le Cap de I il faut se garder de faire fléchir les principéè — Celte d|Ôè restera Inoubliable. Elle a con Bunné-E^pérance, sous la conduite du capitaine I ce gui arriverait avec l'interveolioR du Gouverfa Mlire, aui'yrnx pleins de fiers cbàtimeols; aux rtflixions suivante'-'. ou touchantes, soit qu’il ressuscite une figure Samuel Van Groll, ét cela aprè* leurs trois j'nement. sacré une immense manifestation paciOque historique, soit qu’il la tire des entrailles de le Drame, cbarmcur de la fonte pensive, Le prince de Bismarck a une silualion à lui, .M . Germain Casse n’a pas apporté d’araude près de cinq cent mille.hommes, femmes, l’humanité, c’est toujours la même puissance, Uui dn peuple agitant et contenant les llols, ^ une situation où personne no veut se joindre à annonces publiées dans un même jour, du con ment.s nouveaux ; il a seulement engagé la entants, défilant, des palmes, des fleurs à la le même relief, la même inlet.sUé de vie; Sur tons les parias répand, comae une eau vive, lui. Quiconque n'a pas fait autant que lui sur le sentement de m-ssjeursdu Yen, m-igistrai». • I Chambre à voter le projet, afin de prouver sa Sa plainte gém issante et scs am ers sanglots, Oii ^ait qu’une bonne partie drs Hollandais terrain de la politique élraiigètcn'a pas, comme main, peddant presque une journée entière, '* vmpathie pour les employé de chemins de fer. c’est par là qu'il a pénétré le plus avant i lui, le droit de cons'dérer la politique intérieure actuels du Gap, les soi-dirant Boêrs, descendent lais, AcoD Soateur de tou.-i les m isérables] devant la demeure de Vicier Hugo. /oici.l’avis du Gouvernement. le cœur du peuple. C’est par là que ses idées Tn détoDtnes les yeox d u crim e cbâtié, . des François qui, après la révocation de l'édit de comme une chose secondaire. ■ Aucune mesuré d’ordre n’avait été, prise. If.'Raynal, rour-secrétaire d’état aux trtvaox de clémence, de pardon, d’amour sont entrées Pour ne pins voir qne l'Ange aux larmes adorables Le chancelier a prU et traité, il est vrai, les Nantes, s» rélug èrent en Néerlande et s’embar ‘publics, rappi-Ile toptes h s réclamations émaQuelques esprits chagrins prédisaient i’avor- dans le courant commun. Le Roman n’a été Quaii ciel et sur la terre ou nomme : la Pitiél partis comme il l’a dillui-inême; ils ont toujours quèrent pour le Cap; cependant il y en a aussi, l ’nantdes agents commissionnés. Ces réclamatemeot deJa manifestation, ou du moins son qu'une des formes choisies par ce génie in été pour lui en deuxième ligne. H est évident parmi eux, qui descendent d’Allemaiids. PèreI s’envolant sor le divin Pégase 'ti'ens ont ému le Gouveroemcnt, qui est peraussi que les partis soufflent, à plusieurs points caractère politique probable. Il n’en a rien comparable pour se faire comprendre par la travers l'infini sublime et radieux, 'sùadé que les eipployés n’acceptent des érooludo vue, de cet état de cho-^es. De quelque façon ‘ inents t r ^ faibles au début que parce qu'ils ont masse, pour se rendre plus accessible à tous. fie génie effrayant, ta Pensée en extase que lu prince de Bi-marck reste au pouvoir, Atout vu, le pas^ les mystères, les Dieux. Tout Paris s’est rendu à l’avenue dEylau, là perspective d'uue retraite assurée. Or*.le ren11 semble que cet homme ne serait qu’il gouverne d’une façon libérale, Gobs'TvaE'Ie a vu le cbaroier funèbre de. l’ilisloire, rvôi'anti'cipé des agents crée à ceux-ci une A» maie un Paris solennel, presque religieux. trice ou réaciionnaire, il aura toujours pour lui complets! le côté politique lui avaitéchappé. le s sages poursuivant le but essentiel. ' 'lùatioQ déplorable. C’est pourquoi le Gonver* Le» divergences, les haines de paril, les po l’opinion de la ma-se du public, qui pense que S é n a t . Quelques-uns trouvent qu’il s'y est amoindri, Et les liémons foigeanl dans leur uveme noire . 'nêment soutient, le prqjtt de loi actuel, qui n i lémiques se sont tues •devant celle sereine lui Boul sait ce qu’il faut faire, tandis que les Les brasiers de [’aorore et les sapbirs du ciel ; nous estimons, nous, qu’il s’y est complété ’porle'pas,'comme on l'a dit, atteinte à la liberté partis en mmorUé seront abandonnés par le royauté du génie qu'il s’agissait de fêter et Seancn de Sam edi. ‘<Jîs'conirât& Elle a vu les combats, les horreurs, les d&astres Il a chanté la royauté d’abord, par ce que ss pays. On doutera do leur sagesse, tandis qu’on . y d’acclamer, devant lesqualre-vingl glorieuses A;Tès ce d i s c o u r s , la d is r u s d o D générale a été Le tarif général des douanes, mère était Vendéenne, l'empereur ensuite Les exilés plenrut tes paradis perdus. sera convaincu do cille du chancelier qui a agi années de ce vieillard qu’on a pu tour à tour u c. à d ,u . heure., sous 1, M 6 ,o,x con,r„ ou agira un jour de concert avec les oiêmos par parce que son père, le généra! Hugo, avait Et les fouets aebarnés sor le tronpeau des astres; A'vaîit' d’aborder la discussion des articles, Et, lorsqu'elle revicut des gouffres éperdus, appeler i le père , 1*aïeul et l’ancêtre. tis. On mesure donc les chos'S avec deux présidence de M. Léon Sny, et le déb it recom bercé son enfance aux récits de l’épopée im 'Af. de'Sqlân'd à demandé qu garde des sceaux Lorsque nouslui disons : « Parle, fine faut-il faire? Victor ï ^ g o , on l’a dit souvent, est entré mè:ures, et lepartis doivent pour cette raison mence sur le laril général des douanes. périale. Plus tard il est devenu libéral e t enfin Enseigne-nous le vrai cbcmin. U’où vient le jour? vivant dans rim morlalilé ; G’esl-à•^ilre qu’*' Le Sénat esl arrivé au chapitre 83, réglant 'quelles mésiirés il comptait prendre poue susse garder de renoncer à leur propre existence par démocrate, républicain, ce qu’il est depuis le Pour nous sauver, faut-il qu'on lotte ou qu’ou diffère? ■ les droits sur les fruits et graines oléagineuses. pén'dreles pounuites contre les journaux eu la puMilanimilé. lui est donné d’assister & son apothéose, < Elle répond : « Lemot du prob ème est Amour l ■ Deux-Décembre. Ce qui donne aux partis la fermeté nécessaire La Chambre des députés a exempté tous ces récôu'vrements d’amendes (suivant 1a dernière d’entendre autour de son nom ce concert de On a eu raison de dire que ces change « Aimez-vous1 » Ces deux moLs qui changèrent le monde pour résister à tous les assauts, c’est le grand but produits, mais la commission du Sénat propore loi 'd'amnistie des déhl* d.e 1a presse, votée par l’admiration universelle, que les homn un droit de 0 fr. 60 pour le Im, le ravigon et le 'la'ChétribfeH'y a dix jours). qu’ils poursuivent. ments réels indiquent les efforts de celte Et vainquirent.le Mal et ses rebellions. 'M. Gàxot, gardé dès sceaux, a répondu qu’il n’accordent' d'ordinaire aux meilleurs colon, un droit de 1 fr. pour l'œ ll« tte, le colza C'est sur cette base que le parti national grande âme vers la vérité ei sont une per Comme aulrcfois, redits avec la voix profonde, avait pris les mesures nécessaires pour ùâre sur* aux plus grands d’eutre eux, que, lorsque lutté; c'est sur celte base qu'il do.t se main et le chanvre, et enfin un droit de 1 fr. 25 séofr aux poursuites. pétuelle et graduelle ascension vers la lu Emeuvent les rochers et comptent les lions. m on les a touchés. Silencieux, on les épar pour les arachides décortiquées et le sésame. tenir. Obi parlel O ne tou chant merveilleux retentisse 1 mière. Nous lui devons les Châtiments écrits Un amendement de U. Fresneau tendant à ' ’ Reprise de la diMqssion sur les chemim gne, à moins qu’on ne les oublie. Mais Vic [|is-nous eu tes récits, pleins de charmants effrois, pendant son exil et qui demeureront peut- Comment quelque Bohnd arm é ponr la justice porter à 4 Ir. le droit sur le colzx n’est pas 'da fer............... ... to r Hugo est arrivé à ce point ob les compa L a g u e r r e d e s Boer.s* ^ ad ipté. M. Gaston Bazille trouve que les Uux ' 'H .T ran é u x à 'déposé le contre-projet aui* être son œuvre la plus parfaite. Pour sauver an enfant ^ o ^ un tas de roisl raisons cessent d’exister ; il domine tout son D é s a s lr e d e l’a r m é e an glaise* de 0 fr, 60 et de I fr. sont déjà trop onéreux, 'vànl : • Qui ne se souvient de ces strophes en- 0 maître bieu-aimé, qui sans cesse t’élèves, temps. )(l est au-dessus de la jalousie, de^ Lorsque le contrat de louage n’aura pas été et il demande au Sénat d’exempter cas matières flàmmées, de ces pagçs vibrantes et fiévreuses la France acclame en toi le plus grand de set fils; L'.e dépêches du Cap annoncent la nouvelle mesquines rivalités ; il est seul. Un immense de tous droits. Cette application de droits formé pour no temps ou pour une entreprise d’un désastre des Anglais au Transvaa). qui marquent d’un fer rouge les origines et Elle bénit ton front plein d'espoir et de rêves, .déJlviJItinéa, .les parijes pourront se dégager de qu'rtvail repoussée la Chambre a naturellement . , apaisement s'est fait sur son œuvre et sur Ou 80 rappelle que le génixal tii G. Colley, le développement de ce second Empire, né Et tes cbevenx pareils ï la neige des lysI donnant .congé, suivant leyrn obligàliQOsen.sp obligàtÎQhS son nom. Les derniers retardataires sonirengouverneur de Natal, après avoir subi un échec force la commission V àugmeriter, ceux établis I Ivyrs d’un massacre et écroulé dans l’invasion Ton Œ u vre, dont le Temps a souleve.les voiles, surleshuih-s. le savon, lép'etroléi'il est donc les usages établis, oii, s'il n’exTsta pas d’uiages, sérieux à Lang-Kek, s’éiait retiré à Mounl-Prostrés'au giron ; il ne sait plus ce, que c’est que étrangère, dans la ruine, dans la désolation b’est déroulée' ainsi ([ne de riches colliers. pect, attendant une occasion favorable pour a craindre que les consommateurs ne soient en observant un délai an moins égal h' la durée Comme après des a ilie rs et des m ihcrs d'étoiles. la critique eV la négation: il q'a plus d’autre ci’ûn terme du paiement des salaires stipulée, de la patrie î Hugo savait comment tout cela Des toiles an del s'allument par milliers. reprendre les hostilités. Les Anglais avaient pour gênéa par des prix trop élevé». ' M.Ancel fait remarquer qu’il ne s’agit pas j sans que ce délai puisse être moindre qne trois * é ^ l que liii^méme. objectif de tourner la position formidable des finirait ; il n’a cessé de le dire et l’événement 0 parlel ravis-nous, poète1chante encore, mois. En ce cas, la partie qui aura repris sa ici dè produits alimentaires, et que la culture ' , C’est ceque la foule avec ce merveilleux Boers ü Lang-Nek. Ils «'étaient, dans ce dessein, a donné raison à celte pensée des anciens Eflajant nos mallieprs, nos deuils, l'antique affront; instinct d'intuition qu'elle possède, a comemparés, pendant la nuit de lundi, de la colline dcntll s’agit et qui est très répandue dans un liberté sans motif légitime devra rendra compte pour qui le mot poète signifiait aussi voyant. |t doi>nc-nous l'immense orgueil de voir éclore à l’autre de tout ce qu’elle aura pu recevoir grand nombre de dépar;einent8,doit è re p r ^ do Spilzkof, située à gauche de cette position. pris'lpot de suite. Paris a été digne et sim sérvée d'un déclin prochain. L.a commission n’a d’elle en vue d'une plus longue exécotion dn Aujourd'hui le'vieillard apaisé, doucement Les chefsHl'œavre futurs q^i germent sous ton front. Les Boers les ont attaqués au point du jour. ple en fëtdnt la plus incontestable de ses T h é o d o b b d e B a n v il l e . pas admis les droits de 4 fr. demandés par les contrat, sans qo’il puisse être opposé de sti attendri, se rapproche de Dieu à mesure que Les rense gnements ne sont pas encore com glpirès, et il a donni è la France etau monde plets sur ce qui s’est passé dans celte rencontre. agriculteurs, mais on peut bien leur accorder pulation contraire. * ce grand ^ e m p lé d'un peuple qui s’honore les années, impuissantes à affaiblir son cer H. Hargue a combattu cet amendemenr On assure loutelols qu’après avoir repoussé ceux très réduits qui ont été fixés. MSI. Birne, Paris, Tirard et Pouyer^Querlier comme anti-juridique. en houoranl ceux dont la vie entière a été veau, tombent en neige sur sés cheveux. Ses Le Rappel publie la noie suivante à propos quatre attaques successives, les troupes britan dernières œuvres sont des hymnes à la gloire H. de Harcère l'a défendu, H . Trarieux est. montent successivement à U tribune et dé consacrée au culte de l’Idéal et de la liberté. niques, n’ayant plus de munitions, se virent de la fête de Victor Hugo : forcées de se replier sur le camp do Meunt-? fendent ces deux opinions. Le droit de 0 fr, 60 venu nne dernière fois à la rescousse, puis la I Dequis clinquante ans, V ictor Hugo' a pro de Celui q u i se manifeste surtout en de tels Ddus l’impossibilité où il est de remercier Chambre a voté. Le vote a donné voixpar la commission pour le lia, le rademandé hommes et par de tels hommes. Prospect. Cïlle retraite aurait été im vériUble fondément renouvelé la littérature française. individuelUraent tous ceux qui, en si grand Tous les êtres déshérltéé, souffrants, toutes nombre, luj ont «i magnifiquement rouhaiw sa désastre. Le 58* r^iroent aurait péri entière vison et le coton n'est pas adopté. Ces produite pour le projet et 204 voix contre. Il l’a marquée à son empreinte. Nos poètes, Il y a eu un pointage. Le pointage a donné sont déclaré exempts ainsi que les œillettes et ment ; sept hommes seulement aurait pu re nps romancteva, nos historiens piocèdent de les causes justes, tous les peuples opprimés fêl', M. Viclér Ib-go remercie collectivement joindre le camp. Les versions sont contradic- leslarachides décortiquées. 198 VOIX contre 198. 11 n*y a pas en de majorité Aucunes modlGcations n’ont été apportées par et le contre-projet a été rejeté. lui. 11 n’en est pas un qui ne lui doive quel Ou martyrs ont trouvé dans lé cœur du poète cet admirable et généreux peuple de France qui loirct sur l’étendue des pertes éprouvée* par les lui a fait I h o n n e u r de venir saluer sa maison» < un écho sympathique et profond. Il n’a rien La séance a été levée et la discussion fMToyéa la commi&den sur les autres graines et les den que chose. Qui que nous soyods, nouà lui les villes.'qui lui ont envoyé des déléguw, les Anglais. Hais les blessés, évacués sur Newcastle, à jeudi. avons emprunté, sinon le fond, du moins la défendu qui ne méritât de l'être., rien admiré compatriotes du dehors qui sont vénus lui. ser- racontent qu’il n’est resté au camp qu’une cen- rées coloniales de consommation (article 83 à I qui ne fut admirable, rien haï qui ne fut forme dé dés Idéeà, une part de lui-mème. S 0P A I B E 1. La Jon rn éèd ü 21 Février. NOUVELLES F E U IL L E T O N D B (8) R É C lO lI k P B S IlB B IlilKS. lERMINA ÉLDe sa chambrà elle avait aperçu,! elle anxM, B pavillon, éclairé. Et iogeant que le comte et Lanturà cohilnnaient les. recherches; dont le matelot loi' avait parlé, elle venait s’enquérir de lenr iôsallàt. . , ■ «Elle àvàit entendu les dernieres paroles pro férées par le comte. — Les grandes, donlenrs sont mères des IIIosioDS, dit-elle froidement. Sians dnnie ce qde voué avez pris pour une Inmléré brillant à 1 intêHeur dn pavillon n’était que le reflet dfi quel que, taenr. cxtèrienroy. et teqe|, fit elle .vivét njpnt» ma lampe est près de votre fenêtre,, voyei H par hasard elle ne se refléteiait pas dans le* vltrœ,,., ; comte iorüt. <- ' Hiry-Ano disait vrM. ' An mlUén de l’obeenritA profonde qui eovel o ^ t les bttiOMnli. la hunlère eemblaii si baillante que dans les carreaux .du pavillon elle se réflétait en produisant l’effet d’une clarté intérieure. — Après tout, dit le comte rêveur, c’est n&c conjecture admissible. — Hum! fit Laniurc. Comment se fait-il alors que nous n’ayons plus rien vu quand nous nous sommes approchés tout à l’heure? — Effet d’opliqué, dii le comte. Lapture b p ^ à U tête. Esi'-ce que . vôtre lampe est restée où elle eét'liodte la soirée fdénSanda-t-iU.Mary-Ann. Gell<-ci 'té redressa et d’nn ton sec : — SofqNts^voos que je I**! mise là... exprèaî \ -r- Mon, non, je ne dis rien, fit le m atdot ■ ,Ét il marmofta entre ses dçDt* ,: \ C’èsi .égal, çanem e parsit.pas.clair. . , ; —. RèniroiiA,'fit iè çbmtè, toutes ces émotions m’ont brisé... J’ai peine à me'tenir debôul... hélas!... me sera-t-il jamais'.donné maintenant de connaître le repos? .llemettex. votre âme .aux mains du Teut*Puissanl, fit eolcnnclkm.ent fllary Ann, et offreslui vos doniènrs eh holocauste... Laniure eut uh bausAeincnt d’épaoles des plus significatifs. — G’esi une brave femme, grogna-t-il tont bas, mais elle nous ennuie avec scsliianlea. Referme la porte', l.aDture, dit le comte, et rends la clé à madame i je passerai le reste de la nnlt auprès d'Uélénc, à prier et à pleurer... Etaient-ils fous tous deux ? Avaient-ils va ou bien avaient-ils été dupes d’une iliuskn?... Avant de répoudre à cotte qnëstiont il nous faut présenter à nos lecieurt daui nouveaux per sonnages, appelés, à jouer un rôle -important dans ce mystérienx récit. , . 4 C’était à Tatibe du jour qui imvit celm où ! avait été comml* le crime des Tréœbiayes. ' Lè'ch&teail était sitbé, non* Tavons dit, siir ono hatitenr dominant la vallée de Balll6p;la coitibo descendait en pente rapide ponr se peidfe par pno déclivité pins douce dans un large ro ^ if de bois connu dans le pays sons T aj^taiioo significative de Vallée-Sombre... Ces fourrés dépendant des immenses propriétés, da duc d’U.!. longeaient une route vicinale, ordloalrèment peu frèquenfée, qdi relie ta pçüie ville de Rocbefort à <;laire Fontaiqe. Rochefurt, qui Iprésentc encore aojonrdbui un vif intérêt aôx archéol^éS, fat an temps jadis la Keidencc des RÔhan. USnV le dmellèrb. attenant h la vieille ^lise, on voit cncoro tes tombes des plus illustres seigneurs d e teite ftmillc, et nùtammemccIledagraadmatiVqde.la Véiierle bue Louis XIV fit périr sur r^chafàod, à la sbiio de lé eeièbrè Conipirallpii de Vim deu i Lindon-*! dramVtiqurtttèiêt ixcohiée par Eogène A .lA.. ....A Mtmah’ tuiManfnonl., rnhi^' r______ --...-JBaqdè ^ Les iilllls deetallées Sombree rsooovreot à ce l’on iSiiM » de foogi etpcefoodiietrtamfoi mCllAMBüES qui, lux époques hoarmentées du moyen-lge, reines -du petit monde blotti sons l’herbe, qnl servaient de communication entre les diverses vivent d’un rêve -et meurent d’un souffle. Lentement elle se glissait à \kavors le* forteresses qui défetidalent le territoire. Aajourd'hui des fourrés inextricables de basse branches qui semblaleDl se plier èt s'onvrir futaie éouvrcnt le sol, et c’est à peine si de temps d’eilcs-mêmes devant lenr souveraine. Et quand elle parut sur le Iwrd de la clairière» à autre quelque intrépide chercheur ose se un premier rayon de soleil l'éclaira tout entière, hasarder dàns'ce dédale. 1 Cependant I l’henre dont nous Mrlons, voici comme pour lui souhaiter la bienvenue. .Timide, presque craintive, elle so penchait en ce qui se passait au plus profond d e ces bois ê^is dont le jour finissant caressait lès feuilles avant, glitsanl plutôt qu’elle ne marchait. Une de ses mains étaient cachée sous sa robe, et de Vertes, agitée* par le souffle du maiin. >' Sous uh'^ôhié formé par dès bouloanx nboo^ l'autre elle faisait maintenant un rempart à ses l^is et de* 'h ô ti^ naihs, nne clairière s'^étcndait yeux éblonis par le passage subit de Tombre à U sur une ôirCoAférMce de quelques mètre^ Le lumière... Elle regarda autour d’elle et voyant qu elle M couvert d’àhe herbe fooffue, disparaissait sous les idargtaeriieiS et les reines des prés. Le était bien seule, elle souHt et dit : — Boi^oor, mes petits amir iltcoce'ii’étalt tronblé que par le snsqrrcment • Elle répondait aux Insocics qui là saluaient. dto inseèttt chantaht le réveil de la natnre, Parvenue au milien de la clairière, elle s'assit poétique harmonie qol est le cantllène de la vie i prïm'itivc et qùe le rêVenr préfèEe au boordonhc- gracieusement sur l’herbe. Pois sa main cachée dins les plis de la loileen ment sourd des grandes cités. . B i^lôtles branchés .s'éciirièrent et à travers sortit... Ses doigts tenaient une couronne, toute Im feuillages d’un vert cru se montra une de,frailles blanches eide fleur» d'oranger... Elle la posa doucement sur le tapisde verdure, éïninge et ravissante jeune fille... r^rès-vant, caressant km pétales froissées. ■ ” Dc grands yeux bruns éclairaient son front — Mon boit soleill reprli-olle de sa voix, ;bfanc, encadré dè cheveux longs et soyeux d’un d’enfant, si to veux être bien, bien gentil* lu la . noir éclatant. sécheras tout de suite..» ' J*maip vl**8® ne réalisa mieux le'typé idéal Cette singulièré créald're était bien conntM qn’Ary éhoifcre Ptôtélisa douce Hignon. . dans le pays. On l’appciajt Avrilleite. ’ ^iL’enfant paraissait avoir doute ans à peine. Voici podrqùoi. Ses lièvres purpprines ' avaient Ig' fraicbeor ' A'tiavér* te* brairtéà; conrani sdi‘ Ta pMte écUiante des ,cerisM t aous son teint plutôt mat ' d'ci và)lôti8,‘il eft dabàlé^pày^onèjMtte rfviM , q itrM rW tè'aoas hhe vôûte !de léùlHa^ Av Iquè Üté» le tangiéourait actif et plein de .vw. i m i« était vêtue d^mesortô de blouse d’étoffe Mlé, qhaod'fà Inttb ^ r e M lotobaht Jnsqi'k ses ple^ qu’éllê àyah mdt*t‘ue<MFrawt'à sk Wlle' fine par] dM'coEde Ifaitede branches IlexlbWi, ' " • l«iUiwl.bMdd« Urhilèn, mmMtt Cette g r a d M ippiritioB rappelait à Tlmagl^ 'nleiiulmntltlaaldnWNl lu MUtxi les («SI dei H |N dèi o à lm qoi sont ro sn n i avileUt formé, noe p » n o ,;p ,iit« . créature âgée de quelques jours à peine. D’où vcnait-elleT qui l’avait ainn abaàdonqét. dans ce lieu désert? c est ce qqe nul ne pouvait deviner. Tons les efforts forent infractiwnt popr établir l’Identité de l’enfant. . , On parla bien de l’envoyer aux Trouvés; mais les paysannes ont Tlmp -hoanei, la petite était ai mignqnne! Quand ses ypnx s’oDvriront pour la première foû,. ellq .pqrpt ai, jolie qu’une des fennnès qtü'donbait le smn à on gros poupon s’offrit poufiui servir de nonrrice. Elle avait été trouvée en un ionr d’avril» dlilà le nom d’Avrilictte; qo’on. Ini donna- d’U coaamun accord. 11 est vrai que sur les regiiom de l'état-civil dè Oaire-FOntalo^ ooM .aniK imposé celui d’Alix, sainte qnl, alMi qpM cbacnst sait, se foie le A avril. IHlab j ’osai*.pfévahiC contre l’aulorlté, et Avrilleite fat adoptée par. tont le village. Elle n'était h pem one, die « a k à tous. C’était notre oonpN -pidM ts Chose singulière | dès^qo’eile pot maivhar e t courir, il s’atucha kelletme sortadesmersthlM. Avrillettè était la fée de Clake-fénMÉé, <* Ifq vieillards du pays 'raconüiieat tinè tiN W nt lA* mnde d’après laquelle, an temps.des IMHe* une Dame ; Manche léiall rideè idss bhïa da* Bbllfon. G’étilt eHé qiü était ffeveaiM» «M l pas à en donter. ■ '' / autres è Crépy-en;yalois, et lés rix dernières h Ssnlia Bi*'n qui* ces gniis d'armes Tuèrent des hommes d’élite et qu’il- Rissent surtout chargé de proiéger le pays contre le» pillards et In vo leurs^ J ’anemblée générale du 8 jeillal, aprèà une discussion, k laquelle prirent, part Ice gens d'égliteelles pri 0 ci)>aux habitante, déi:ida que Ton en prapdfail k Sentis lé moins poeaible; elle trouvait que quatre lancea pour Ta ville a u ÿ saient largrm'ent'ét que Ton pourrait bien meitre les deux aiiree soit k Creil. eeit k Pont. SiSgM 1« pwU rSpnliUIl etaii de pnhdpean moyen-kge que les garvon von nUonsen temps no paiXj autsi bien que lie '" DÉPARTBHENTS HpubUe«lD«i. rteoUonnmir*!. trottpe.-r en camprane, ■véclisrent aux dépens dn u n. paya sur lequel élire se trouvaient. L'élection.de Sentis fut chargée d’entrétènir lre dix lances, 63.368 1S.743 Ain, 6 rêpublkaips . ................. qui'élaient logées sur son territoire. Lee coin83,831 42.894 Aisne, 8 républicains . .............. roissaires répartirent cette charge entre teulM 53.372 37.362 Allier, 6 r ^ u b iic a in s ..................... les paroisere de l'élection et la villa de Senlia 13.640 Alpes b a s s e s -), 5 répubiic^ns >••• fut imposée k 4 0 9 1 . 1 , pour trois mois, dont, 8.387 1 siège gagné. Alpes (Hautes*), 2 républicains, 1 réacf . . . 13.847 le clei^é devait paver sa part. C’est ce qui ' 6.208 1 siège gagné. Alpes-HaritUhes, 3 républicains, 1 r é a c t. . . 30.510 explique Ik présenta de nombreux écclésiae48.410 41.439 Ardéohe» 6 républicains, 1 réactionnaire. . . 1 siège gagné. tiqurek Taaremblée du 8 juillet 1445; on les 45.394 31.502 Ardennesl 5 républicains.....................• • • • avait convoquée parce qu'il s'agissait d’affaires 30.566 25.609 A r i^ e , 3 républicains. . . . ........................ C l a e in i D S d e f e r e t e a n e a x * militairre, qui les concernaient comme tous lea 27.656 42.423 Aube, H rép u b licain s........................................ Lo Joum at officiel vient de jjNlblier des étals autres bybiiaqis. Cette somme de 400 1.1. paf X . '5 ' 41.450 34.807 Aude, 4 rép u b lica in s................. ....................... On annonce que le lieutenant-colonel GliMel, détaillés faisant connaître, pour le qualnème irimi stre était une charge des plus lourdes pour 37.775 52.096 2 sièges perdus. Avejrron, % r^U blicain?, 5 réactionnaires. . . acquitté dans raffaire dite du scandale de Bor trimestre de Tannée dernière, la marche des la malheurêuse ville rumée par trente années de 73.645 40.746 Boucbes^u-R béne, 7 républicains................. deaux, vient d'élre mis & la retraita ü'ofQce. travaux de chemins de fer et de navigation doiit guerres continuelles et elle demanda une dimi 39.621 55.621 Calvados, 7 réa c tio n n a ire s............................... Aussitôt après l’arrestation de cet officier, le la dépense s'impute sur les ressources extraor nution. Dans cette même as«é|nblée du 8 juillet 34.576 14.963 Cantal, 4 républicains......................................... ministre de la guerre avait prononcé sa mise en dinaires du budget. on nomma des 'députéi chargés d’aller repré-' 38.215 51.085 1 siège perdu. Charente, 1 républicain, 5 réactionnaires . . noi:-activi(é par retrait d’emploi. ^Les dépenses laites pour la construction dre senior au roi que Tévèché de Benlis était beau 3 sièges perdus. 64.432 Charente^Inférieure, 3 républicains, 4 réact . 51.860 Le lieutenant-colonel de Poussargues serait chemins de fer d’inlérél général, pendant cç Iri- coup plus imposé que Tévôché de Heaux et la ' 41.866 36.261 1 siège gagné. Cher, 4 républicains, 1 réactionnaire.............. nommé au 144* de ligne, en remplacement du mè tre, se sont élevées k. 75,788.000 francs, dé doyenné de C om pilas; Tevéque de Senlis,-Jead 39.394 27 585 Gorrëze, 5 républicains ........................ lieutenant-colonel Ch&tel. passant de 14,746 OOOfrancs cellesdu trimestre Raphanel ou Raphaël, veulul y aller en’-ptt16.639 31.576 Corse, 5 réactionnaires...................................... correspondant de 1879. X Bonne et on dreigna pour Taccomj^gner'un 50.740 36.046 COte-d’Or, 6 républicains.............................. . L’ensemble des travaux de chemins de fer, PlusieuK j'ournanx ont fait remarquer l’ab homme d’église et l’avocat Sickrt'^dé Iç^&hçU 82.230 3 sièges perdus. Cétos^iu-Nord, 3 républicains 6 r é a c t . . i • 40.917 exécutés en 1880, représente une dépense totale Mais leur mission ne donna pàs'dk r^ûltafi sence de H. Gambelta an bal de jeudi soir à 36.316 14.461 c ieuse, 5 républicains......................................... de 274.120,000 francs, dépassant die68millions immédiats et l^gitalion alla t&ujôuià c fo i^ q ti 1Elysée. La Déftnte attribue cette absence au 49.533 63.767 D o rd b ^ e , t républicains, 6 réactionnaires. . 2 sièges perdus. 543.000 francs celle de Tannée 1879; triais de mécontentement qu'aurait éprouvé H. GaipLes ecclésiastiques, loin de calmer' Tes' passidna 25.973 Doubs, 5 républicains ......................................' 41.459 ce chiffre de 274.120,000 francs, il faut retran betta de certains propos tenus par H. Grévy populaine, les exciikiént et ils*é^ien't d’autant 29.515 Dréme, 4 républicains, 1 réactionnaire, . • • 53.389 cher 84.962.000 francs de travaux ex^'cuiés en. plus furieux qu'ils élaiént moins ûbttués à sur la question qui tient le plus au cœur de 46.045 Eure, 4 républicains, 2 réactionnaires • 46.886 douteux. tièremeit par les compagnies, de eerte que la p iver la taille que Ire bourgeois. l'hôte du Palais-Bourbon : . . . . 47.097 22.210 Eure-ét*Loire, 5 républicains........................... dépense au compte de i’Eiat se tronve ramenée Un chanoine de Saint-Rieul, qotpmé Michel * M. Gambelta, dil-elle, boudait le prési67.678 55.045 3 sièges gagnés. Finistère, 7 républicains, 3 réactionnaires. . k 189,158,000 francs, Eomroe dans laquelle la Regnouati, se distingua parmi tous Ire mécon-^ sidcnt et de cette bouderie on donne, entre 48.369 Gard, 4 républicains, 2 -réactionnaires. . . • 55.045 2 sièges gagnés. construction de lignes nouvelles entre pour lent*. Un. jour de juillet, k quatre heures, de autres raisons, la suivante. On assure que le pié53.566 3 sièges gagnés. Garonne (Haute-), 4 républicains, S réact . • 59.338 124.090.000 francs. Tdprè»-midi, il vint au carrefour de la Perle au sideai anonyme de la République garde ran 33.877 42.995 2 sièges perdus. Gers, 2 républicains, 3 réactionnaires . . . . Lre travaux de navigation (rivières, canaux Pain, qui elait^alnrs comme aujourd'hui Tencune au président nominal de son opposition, 65.149 4 sièges gagnés. Gironde, 6 républicains, 4 réactionnaires. . • 89.335 et port* maritimes), exécutés pendant le qu;> d>oit le plu:< fréquenté de la ville; les gens de sourde jusqu.e-14, au scrutin de liste, opposi 45.793 Hérault, 6 républicains................................. . 59.857 trième trimestre 1880, ont donné lieu k une Senlis, nous dit le réquisitoire du procureur du tion qui s'est ouvertement manifestée précisé 65.281 57.565 Itle-el-Vilaine, 7 républicains, 1 réact . . 1 siège gagné. ' . dépense de 38,158,003 frani», dépaswntdt* roi, avaient l'habitucle de s’y rassembler pour ment à cette soirée de jeudi dernier. 35.741 Indre, 2 républicains, 3 réactionnaires • 27.243 2 sièges perdus. 7,086,742 francs celle effectuée pendant le tri. causer de li-urs affaires. Ce jôor-lk, il s'y trou ■ H. Jules Grévy, parlant avec plusieurs dé 42.619 32.654 lDdre-et>Loire, 4 républicains........................... mretre correspondant de 1879. vait beaucoup de monde et le chanoine Reputés de la commission que la Chambre devait 98.143 32.875 Isère, 8 républicains...................... ................... A la On de Tannée dernière. Ire travaux de gnuuart saisit Toccasion pour déclamer véhé élire le lendemain, aurait, parait-il, tiès-netle48.828 16.241 Jura, 4 républicains ............................ navigation intérieure et maritime en cours mentement contre les élus. Il ne craignit pas de ment exprimé ses préférences pour le scrutin 32.538 35.201 2 sièges perdus. Landes, 2 républicains, 3 réactionnaires. . . d’exécution représentaient un ensemble de dé dire qu’ils étaient dre fàurea'irre et qü ils avaient L e » d c œ le s Me l ’O ln e . d’arrondissement. » 38.510 27.094 Loir-etTCher, 4 républicains .......................... penses faitée s'élevai t k 39‘K840,690 francs, 34.026 72.262 Ne faudrait-il pas cliércher aussi l’explication Loire, 7 rép u b licain s......................................... VOfficiel publie le tableau dre subventions pour Ire rivières, 149,540,050 francs. pour les imposé au moins 40U francs de plus que-le roi 36.695 de celte attitude dans la grosse nouvejle q u e allouét-8 et dre emprunts autorisés pour élsblis- canaux, et 155,319,900 francs pour les ports n'avait ordonné; « en mettant dans les com29.040 Loire (Haute-), 4 rép u b licain s........................ mitiaiuns données par les, commissaires huit 44.993 donnent ce matin fe Figaro et plusisuts de nos sement de maUons d'école et poiir acquisition maritimes. 64.975 S sièges perdus. Loire-lnférieure, 2 républicains, 6 ré.act . . . livres pour quatre et a in ^ de plus au meins. > 50.102 confrères : 34.393 1 siège gagné. de mobiliers scolaires. Loiret, 4 républicains, 1 réactionnaire . . . . Il prenait Dieu à témoin ’qu'ih était convaincu 30.590 42.036 1 siège perdu, Lot, 1 républicain, 3 réactio n n aires.............. Voici ce que concerne le département de Dès que les Chambres se seront séparées, de ces malversations et il jurait qu il leur en 45-349 42.302 1 siège gagné. Lot-et-Garonne, 3 républicains, 1 réact. . . M. Grévy doit faire dans les déparlemenls un l’Oise : ferail.rendre compte. Il parla de cette façon 41.910 '48.331 1 siège perdu. Lozère, 1 républicain, 2 réactionnaires. . . . grand voyage circulaire, pendant que les mi Subventions allouées et emprunts autorisés pendant plus d'une demwheure. Coinme il ar 45.065 75.400 2 sièges perdus. du 1*'juin 1878 au 1*' janvier 1880. Maine-et-Loire, 2 républicains, 5 réact. . . . nistres se rendront tour à tour dans leurs dé rive toujours dan* ces cin oiistances, dre bkdauds ' 53.193 64.288 4 sièges perdus. Manche, 4 républicains, 4 réactionnaires. . . Nombre des communes : 91, partements respectifs. Teiituuièreol bientôt. On y voyait turtout do 52.366 41.405 L i s t e d c si J u r é e p n a r l e a r e w i l e r Marne, 6 ré p u b lic a in s ...................................... Subventions : 397,080 fr. • Sa maison militaire seule l’accompagnepauvres gens, que la muère devait mal conseit38.556 27.954 t r i a a c a i r e I M S I. Marne (Haute-), 3 républicains........................ ra. » Dans 69 communes : ler. Cependant ce prêtre luneûx ne réussit pas 40.134. 36.664 1 siège gagné. Mayenne, 4 républicains, 4 réactionnaire. . .. Ecoles mixtes. Construction, acquisition et L'Ely<ée a-t-il enfin conscience du danger l aimés TITULAIRES k ire soulever contre les officiers du xoi et ses 53.657 37.945 2 sièges gagnés. Meurlhe-ct-.Moselie, 3 républicains, 2 réact. . appropriation : 6. Réparation et agrandissement demande la' rértfe avec une exagération maMM. discours ne provoquèrent pas l'émeute qu'il 40.751 35.134 1 siège gagné. b. Meuse, 3 républicains, 1 réactionnaire............ nife.ste. Lemaire (Jean.Baptiele.Raphaël), propriétaire à cherchait a exçitei ; les habitants de. Senlia 38.942 57.374 2 sièges perdus. Morbihan, 2 républicains, 4 réactionnaires. . Ecole de garçons. Construction, acquisition et Sainie-Eueoye. X avaient plus de htm sens et de sang-froid qutt< 40.922 39.821 2 sièges gagnés. Nièvre, 3 républicains, 2 réactionnaires . . . Gressin (Louis-Pau>), propriétaire k Nont^uil. M. Jules Simon a déposé un amendement à appro|»riation : G. Réparation et agrandisseieure trop irriùbire pasteurs. Toulc-lois,d’affaire 141.720 9 sièges perdus. ment : 4. Nord, U républicains, l) réactionnaires . . . . 122.877 ÜÙpuis (Chnrire-I'iitore). cultivat-mr k Claüoir. ne devait pas finir si pairiblemedl. 1 ^ élus, la loi sur la prisse, ainsi conçu : ' 47.056 47.542 3 sièges perdus. Oise, 3 républicains, 2 réactionnaires.............. Ecoles de filles. Construction, acquisition et Ooqteyre (J'-an-Ftançoir). propr. k Ghiintilly. « Sont abrogés les paragraphes 5 et 11 de iiifurines de la conduite du séduiéJx riianoine, 46.553 41.881 3 sièges gagnés. Orne, 3 républicains, 3 réactionnaires . . . . appropriation : 4. Réparation et agrandisse f.egrand (Cyrille), propriétaire k Clermoni. l’article 7 de la loi du 4 septembre l8 7 i. » fit eut une enquête et aounèrent lofdra wairêler' 71.031 401.379 3 sièges perdus. Pas-de-Calais, 3 républicains, 7 réact.............. ment : 5. Dermigny (Emi!e4}u8tave), propriébnre k Flavy- le coupable; mais il était sur ses gardes et pen-' La loi du 4 septembre 1871 porle une aug 75.999 48.502 4 siège gagné. Puy-de-Dèinc, C républicains, i réact . . . . Salles d'asile. Construction, acquisition lc-H eid'‘UX. mentation de divers impôts concernant les coiidaril quelques jours il eut sein do ne pas sortir 36.263 44.827 3 sièges perdus. Pyréuées (Busses-), 3 républicains, 3 réact. appropriation ; 4. Réparation et agrandisseDuchalfl (Jean-François'Auguste), propriétaire des eiiuroils consacrés àu culte, où le droit Iribullons indirectes. 23.210 32.375 4 siège perdu. Pyrénées (Hautes-), 4 républicain, 3 ré a c t. . k Paillart. L’article 7 de celte loi, visé par l’amende roi-ni ; 1. d’asik*, encore rrepecle, le p ro t^ e a it.. . 24.285 17.350 Pyrénées (Orientales), 2 républ. 1 r é a c t. . . Ecole de garçons et de filles réunies dans le Ladiré (Léon-Raphaël), propriétaire k Notrement, est relatif à l’impôt sur le papier. Mais le samedi 24 juillet 1445, il eut la sot 6.401 7.417 lluut-Hliin, 4 réactionnaire............................... Dame-dn.Thil. Lf paragraphe 5 de cet article met un droit même bâtiment. Construction, acquisition et tise de sortir et de se laisser prendre ; Un ’sérgent 98.735 38.396 llhdnc, 7 rép u b licain s....................................... Legris (Charlcé-Hippolyte), agent de la Compa Tarrêta et lui fit comfnandémeni de se rendre de 10 francs par ICO kilos sur les papiers è appropriation : 3. 41.261 33.391 SaOue (Haute-), 4 républicains........................ Mobiliers scolaires et personnels : 10. gnie des mines d Anzin, à'Beauvais. écrire et è imprimer; le paragraphe 11 met un aux prii^ons du rei. H reftisa et, comme le,ser90.853 43.619 Saône-et-Loire, t> républicains . . . . . . . . Montant de la dépense ; 754.143 fr. Dumont (Loiiis-CaMmir), propr. à Nourard. droit de 30 fr. par lÛO kilos sur le papier em gi-ni essayait de I y' conduire de force, il aà dé 50.664 54.004 3 sièges perdus. Sartlie, 3 républicains, 3 réactionnaires . . . Ressources; Subventions du département Delamoite (François-Jerôme), propriétaire k fendit vigoureusement. Piusieure prêtres accou ployé à l’impr.'ssion des journaux et autres 33.114 24.548 Savoie, 5 républicains...................................... 8,4UU l'r. Subventions do l’Ëiat, 331,460 fr. Ville^'-!<ous- Sai nt-Lvu. publications périod'ques assujetties au caution 37.082 24.317 Savoie (Haute-), 4 rép u b licain s..................... Versements effectués par la eai&^e des >ubvcn- Levasseur (Augustiii-Nicolas), médecin k Crillon. rurent k ses .cris et se mirant en devoir de la nement. secourir; de ce nombre étaient mesaire Jean de 61.675 1 siège gagné. Seine, 24 républicains, 4 réactionnaire........... 276.552 lions allouées aux vummuiies : 258,730 fr. Cbalona (Cbirlet-Eugèiie), ancien percepteur k Boilleul, Talné, chanoine de Seulis, messire X 89.289 63.949 3 sièges gagnés. Seine-Inférieure, 8 républicains, 3 ré a c t. . . Emprunts. Nombre de communes admises Candor. On lit dans le Napoléon : 52.606 3 0 .8 8 5 Seine-el-Mariie, 5 républicain s...................... contracter un emp^unt:35.E^oprunt89Uto^lrés Sézilte d<-8 Essarls (Paul-Eroîle), prop. k Noyon. Yves Ladmirkull, le jeune, chaj[>elatn de l’é lise il était question, depuis deux jours, d’un pour écoles primaires comiuuuaîes : 484 600 fr. Rouzée-Gacheux (Jacques-Josepli-Alired), maiie de Saint-Rieul de Sentis,- me^sire Pierre Char 74.340 44.630 Seine-et-Oise, U républicains............................ nel, religieux de Saiot-Mauiice, et plusieurs changement complet dans la direction du jour 43.884 40.383 Montant des emprunts réalisés au 1*' janvier Deux-Sôvres, 5 républicain s.............. ... k Chambly.. autres eccléiiiastiqure. Us firent tant qu'ils déli-, nal le Gaulait, et l’on avait répandu è cet 1880 au 11 décembre 1880 : 532,400 fr. 72.080 67.093 2 sièges gagnés. Somme, 6 républicains, 2 réactionnaires . . . Trouart (Désiré-Pierre.Léopold), cultivateur k vrèrent leur conlièie, et Michel Regnoüart'cou- . égard beaucoup de bruits contradictoires. Au 47.039 44.102 2 sièges perdus. Tarn, 2 républicains, 3 réacliounaires . . . . Cires-Ire Hi'llo. rait se réfugier dans une église quand, siir son jourd'hui la transformation politique du Gau 26.201 33.876 1 siège perdu. Tnrn-et-Garonne, 4 républicain, 3 réact . . . Gizé (Loub-Furcy-Florimond), ancien négociant chemin, il rencontra Ire éius qui Tanêlèrent et lois fst un fait accompli. M. Weirbruck, pro38.883 23.206 Var, 4 républicains............................................. Nous avons dit un mot du concours qui k Gnmpiègne. p létaire de cette feuille, d’accord avecM. Gam35.533 33.981 ♦Vaucluse, 4 républicains................................... lieu lécemmeot k Paris. L'Oise a fourni 3 mem Lemaire (H nri-Tliéodore-Doroihc), propriétaire lu' conduisireotg ‘0 prison malgré ses proteslations. betta, a congédié M. Arthur Meyer et toute la bres du jury et 13 exposants. 37.187 51.928 3 sièges perdus. Vendée, 3 républicains, 3 réactionnaires.. . k Garispont. On aurait pu croire que tout allait se termi rédariion actuelle, pour y substituer M. Ri bert 45.432 29.831 2 sièges perdus. Vienne, 2 républicains, 4 réactionuaires . .’ . M. Johnson, de ChantUly, a eu un t^oi^ièrae Systermans (Victor-Philippe), propriétaire à ner la et qu'il n’en 8t*raii plus question; mais Mitchell en qualité de réacteu r en chefetvM. 41.374 20.696 Vienne (Haute-), 5 républicains..................... prix pour ses coqs et poules ; pour les fromage*, Saint Gnrmer. tout au contraire Taffaire prit les plus grandes Lajeune'Villar comme secrétaire de la rédac Mme veuve Gliolet, d'Orraoy-Villers, a obtenu Thoiirei (Auguste), propriétaire k Fournival. 55.082 34.370 Vosges, 5 républicains......................................... pioporiions. Q ieiqüre instants après Tévêque.' tion. 61.548 30.149 Yonne, 6 républicains. . . . . . . . . . . . . la médaille d’o r; H. Giberl, de Lévignen, une Poncelet (Jean-Bipiisie). propriet. k Fleurines. le doyen et les chalioiiies de Saint tlieui, Tabbé Le Gaulois, qui était devenu Ü y a six mois médaille d’argent; M. Fabre, deSainl-Sulpice, 24.615 Algérie, 3 républicains...................................... Diutreveaux (Henri-Gusiavc), propr. k Noyon. de Saiiit-Vuiceiit, le prieur de &i(it-Haorice, lé un organe légistimisie, et où Bl. Heyer n’étaitj 43.527 11.431 et Baclé, d’Auleuil, une médaille de bronze; M. Breton fFrançois-Eui^ène), propr. k Ponchon Colonies, 6 républicains...................................... que le prète-nom de M. Mayol de l.upé, devient Tliiénard, d’Ermenonville, une roeniion t r ^ cprédeSaiiile-Genevière, celui du Saint-Rieul Gieuel (Floriinond.Arlhur), cultivât, k Soliinle. K É C A P IT ljX A T IO rV donc à présent un organe évolutionniste. hoBorabie ; et H. Butocq, de Ghaumont, une Delarue (Chartes-Edmond), propriétaire k Ple<- et celui de Saïoi-Picrte, le chanoine Japques deLayevilteei plusieuis autres piètres se réunirent mention honorable. 59 sier-aur.Saint-Just. Sièges perdus.. Dans les roids et cires, ce sont M. Naquel, Deledre (Charles Brune-^rcisius), fermier k en assemblée et décidèrent de cerièr le' service 35 Sièges gagnés . divin et de tout faire pour obtenir la liberté'dn d ’AobSuvillers et H. Fouroier, d’Ormuy-Villers, L a L 'A ie d e V i c lo t * H u g o * HartinceurL qui ont mérité, comme nous l’avons déjk dit lavoir (Jean-Baptisle-Narcisse), marchand de t>nsonoier. Ils envuyèient k Tegiise de SaintDifférences (sièges p e rd u s). . . . .................................................... 24 En dépit d'un temps froid et brumeux et pour celiû-ci, les piemièire récompenses. A’gnan défendre de cuntinuer k chanter les chevaux k Fiérhy. En établissant une balancé entre les sièges qu’auraient obtenus le parti républicain et d’averses répétées, la lète de Victor Hugo a été vêprre du remedi, et vinrent ensuite tons en-, Delange (Louis-Joseph-Emery), cultiv. k Lubby. si^mble k la Porte au Pain, où ils trouvèrent le ceux üui ne lui auraient point été attribués, si les élections du 14 octobre 4877 avaient eu célébrée diroanche.avec un grand éclat, au mi Brière fCbarles-Ernest), ag<*ni.voyer.k Beauvais. lieu au scrutin de liste, on constate qU’cn fin de compte les repulihcains auraient eu 24 lieu d’un immense concours de population. prévôt de la ville, auquel Téiêque fit comman Avl» aux Rd*«rva&tcs. Dufey (rierre-Narci&se.Xavier), géomètre k Cler- dement verbal dè relâcher lé prbohmer'dans Ira sièges de moins. Nous yi’oublions pas, assurément, les conditions toutes spéciales dans Dès la veille, la maison du poète était en monl. Le ministre de la guerre vient d'adresser aux Jesuuelles ont eu lieu les élections législatives sous le gouvernement du 16 Mai, ni es combrée do fleurs, de couronnes, de palmes et trois heures sous prine d'excommuBlcation et' progrès pcrsistanls des idées républicaines : il y a toutelois là un fait qui pourra paraître de branches de laurier, pré>enls d’amis et d’ad généraux commandant lescorps d’armée et aux Julien (Btienne-Lucien), entrepreneur de serru de quarante marcs d'aigent d’amende; dé Ik, ils’ rerie à Compiègne. mirateurs connus ou inconnus. Pendant toute gouverneurs militaires de Pans et de Lyon une se liansporièreiit chez 1 un dre élus, auquel le digne d ’t'lre noté. ____________________________________ Franquet (Jules-Aim ind), notaire k Rossons. la matinée, les envois se sucièdenl sans inter circulaire dont la ti-neur suit : prélat adressa les mêmes injonctions. Dubois (Joach.m), cultivateur k Canly. Mon cher général, ( \ ) LoschifTrcfl ouo n ous don n o n s sont, ceux des élections du 14 octobre 18T7, corabinés avec les ruption; les deux e-trades préparées k droite et Ils revinrent ensuite k la Porte ati Pain, où rn su lU U d es électiona q n i o nt eu lieu à la suite dos invalidations prononcées p a r la Cham bre des Mon attention a été appelée sur les inconvé Boulanger (Jean-François-Jules), cultivateur k sens duute la foule, attirée par crssiènei plus k gauche du petit hôtel de l'avenued’Eylau dis Verneuil. d é p u tés. paraissent bientôt sous la verdure et sous les nients que peutprét^entcr pour l'agriculture, sur qu'étranges, devait être considérable. De leur Turquel (lean-Baptiste-^phonee), blanchisseur certains points du territoire, la convocation, au fleurs. côté les élus et -Ire officiers du roi, prévenuè de k Sdint-Firmin.' . Bien que le défilé ne soit annoncé que peur commencement de mars prochain, d’une partie ce scandale, se rassemblèrent et-vinrent trouver virps chargé de munitions qui attendaient pour midi, dès dix heures la fouit s’amasse sur la des réservistes de la classe 1872 et des hommes Méteil (Pierre-Emiie), propriétaire à Gcrberoy. le clergé. Iis fireul en.vain Ire plus grands ef de l’armée territoriale des classes de 1868 et partir un convoi de fusils modèle 1866, exp^ place de l'Etoile et dans les avenues environ aufiés supriianis forts pour calmer Tévêque et ses prêtres. « Ils diés, dit-on, de Grehoble à destioalion de nantes. Les d é la tio n s ouvrières et les sociétés 1869. M». eistoient, dit le jirocureur du r o i,, tellement Pour remédier, autant que possible, k ces musicales, àu nombre de cent dix, se massent Letailleur fÂmédée-Alfred), marchand de nou- esmeus et échauffés, que ils màltratctOient rai Le conseil des minislrrs s'ost icuni’ hier ma- Grèce. dans l'avenue -d’Iéna. La circulation des voi inconvénients, j ’ai décidé que vous pourrez veâutre k Beauvais. tht à l'Elysée, eous la présidence de M. Grévy. son de justice et plusieurà; d eux rébondlront accorder des ajournements k une autre période Caron (Julct-Alfred), meunier à Beauvais, Lt séance a été fort courte. Eu dehors de aux dits officiers du roy mal gracieusement et üne dépêche de Dunkerque annonce qu’il est tures et des omnibus est interrompue sur tout l'expédition dus affaires courantes, le conseil arrivé en gare samedi malin quarante cinq le parcours entre la place de l'Etoile et l’avenue d’exercice aux «tf/toa/etirs et aux ouvriers agrû Delafosse (Marie-Joseph-Alphonse), marchand irrévéremmeiit et arrogamment. > Alors lee élus oe/et, convoqués pour les différentes pénodes ds lingerie k Beauvais. dEjlau. s’ret occupé de la quation du chemin de fer wagons chargés d'armes et de munitions, qui voulurent faire prisonniers Jean de f ille u l, dv mois prochain, qui vous en feront la de Delaville (Alexandre), profereeur d'horticulture Yvon Ladmirault et Pierre Charnel, qui avaient Quelques minutes avant midi, les délénés du Simplon. On sait que la Chambre estreisie devaient compléter la cargaisrn d’un steamer. mande par l’intermMiaire du sous-préfet de du conseil municipal de Pa piécédéspsracux k Beauvais. d'une proposition de H. Léon Renault, signée arraché Michel Rvgnuuart dre roaiuX du sergent Une dépêche du ministre de la guerre or M r 110 députée, et tendant k faire allouor par donne l’arrestation immédiate desdits wagons huissiers, ayant k leur tête le président du con leur arrondissement et dont la présence sera qui l’avait arrêté la première fuis. Mais ils s« déclarée, par ce fonctionnaire indispensable l'Etat une subvention de cinquante millions k et le verrement delènairent de leur mieux en jurapt leurs grands leur c o D le n o k l’arsenal de seil ai le» membres du bureau, se détachent pour les travaux des champs. Toùteiois, ii im du cortège et se rendent chex Victor Hugo. cette entreprise. dieux qu’iU ne se reudraieiit pas.Tous les nom Dunkerque. Celui-ci reçoit les conseillers sur les^uil de la porte que ces sursis ne soient accorifèi qu’avec Le ministre dre travaux publics a rendu breux ecclésiastiques présents k cette scène, CHRONIQUE LOCALE Les troupes montent la garde autour des wa maison et, après un échange mutuel de com une grande rdierve. compte des éludu comparatives qu’ila fait faire gons suspects. Tévêque en tête, vinrent au sécours ^e Iturs pliments, il les invite k entrer chez lui. par des commissions techniques non-seul* ment c o lly r e et s’ojiposèrent par la force k ce qu’on D'autre part, une dépêche de Marseille an André page Pendant le temps, le cortège s’est ébranlé, et pour le percement du Simplon, mais pour celui nonce qu’un ordre ministériel vient d’interdire Ire emmenkt. lies bourgeois prirent parti liour M* « « rp a i d * A rre të « . — 'C œ n s e ll d « d e r i l i s i o i r e d e B c i il is » du Mont-Blanc. lus gens du roi, qui n’eiaient pas assez forts le départ du navire Fanny pour le Pyrée, por il débouche en masses profondes par la large g ;u c rr« . avenue d Eylau devenue trop étroite CKiur con Le conseil n’a pris aucune résolution. 11 con tant six mille kilogrammes de dynamite. pour résister, et ui|e bataille èn règle s’engagea H . JulésTlàmm erm ont, en écrivant td sa tinuera celte étude dans ses prochainre séincre. Séance du 25 février 1881. R’tfin, avant-hier, l’£cAo sanmurois dit que tenir la foule. Une société musicale ouvre la vante Histoire des Institutions municipales d* entre les laïques et leurs piètres; mais les gens deux camions de caisses k cartouches soet re- marche en jouant la Marseillaise. La tète du Présidence de M. Huberdeau, lieutenant-colo Sentis, o’à voulu nous donner qu’un livre d’église eurent le dessous, et leurs trois confrères X furent mis en prison. mbntés au chkteau. On les aurait ramenés de cortège est formée par le comité des gens de nel, chef du génie, d'érudition pore. Il a compulsé d’abord et Le bemilé technique de I Exposition iBleroa- la gare, le contre-ordre ayant été donné assez Ultras et par les élèves de l'Ecole normale su Vaincus dans ce combat, Tévêque et ses Mongendre (Emile-Félix), soldat au 54* de rédigé ensuite sans esprit dé parti et sans prêtres eurent têcburs k dàutres armes. Ils ne tieniie d’électricité s ret réuni an ministère des k temps pour qu’elles ne partent pas. périeure, dont deux élèves portent sur leurs Mstes e i télégraphes, sobs la présidence de M. gaules une gigantesque couronne de lauriers. ligne k Compi^ne : vols au préjudice de rolli- parti-pris. Hais tes allusions piquantes, les voulurent pas reprendre leurs fonctions; le UnD’autre part, le Citoyen annonce qu'un voL tiires. — Cinq ans de réclusion, la dégradation rapprochements singuliers abondent dans non deinaiii dimanche 23 juillet, les églises Rirent Teireerenc de fiorl. lier grec, presqu’entièrement chargé de poedre I^is viennent la délégation des arts et mann- militaire; dispensé de la surveillance de Le ministre assistait k la séance. qui avait déclaré aller k Alger, mais quieffec- faciurre et presque tous les adhérents dei'llnien haute police. livre. C'esi notre droit de les y-chercher et fermées et les utfices ne lurent pas célébrés; Le comité a ariété la dlassillcation des objets Uvemeat se rendait en Grèce, a été empêché de de la jeunesse française. bit-n mieux ils refusèrent Ire sacrêmenla et ils d’en faire part au lecteur. Les organisateurs de la fêle avaient décidé k axporer, cesiièrent même de faire lés enietrements. La quitter le port, . Nous avons prouvé, il y a quelques Jours, . Le délai pour Ire deihandes d'admission a été que chaque délégation serait précédée d'une ville était en interdit; au moyémk^oc’était uùe X peolongé jusqu’au 31 mars. société musicale; mai*, devant l’affluence tou B x p M illiœ n r é d r M M « l l v e «es P i i - que le clergé de Senlis refusait de s'astreindre sitiiatiunintolérablu et TexcummùetpaAiéii avait, l a l a d o V c r u A l ll M , J a i n J a l l i c é On écrit de Berlin, 1** m ^e : jours croissante, on dut bientôt renoncer k cette au service militaire. Nous allons montrer au alors pour tous lreconséquebcreles piiisgraves.' X t 9 M I . L’empereur a conféré hier k M. le comte combinaison. Les délégations prenaient la file jourd'hui que ce môme clergé n’entendait U’rei pourquoi le diinaoclié même lè érocureur La. renté dp M. Faltèrre, sous-secrétaire de Saint-Vallier, ambassadeur de France, la un peu au hasard, et les musiqui s, qui n’a La ville de Versailles prépare, k l’occasion du du roi requit le lieui<*nanl général du bailliage au raimsièie de l’intérieur, laute tou- décoration de l’ordre de l'Aiglo-Noir, qui est la vaient pu Ire rejoindre, s’intenelaient dans le Concoure agricole relouai de 1881, une EXPO nullement payer Timpôt. — A. D. de contraindre Tevèque et tous les membre» du ours désirer. Les médecins ont recoonnandé distinction la plus élevée qu'on puisse obtenir cortège. SITION RÉTROSPECTIVE dbbjets d’art et On sait que le 36 mai 1445, Charles VII ah clergé, rebelles k Tautoiité royéle, k lever im j repos le plus absolu, pendant plusieurs s«- en Prusse. Cette décoration est conférée en ne d'archéologie. [ Il nous est impossible de donner l’énuméragna, k Louppy-le-Chftteau, une ordonnance ré- médiatement les excommuniiatWs pronoric^ maiDM, au sous-secrétaire d’Etat, qui ret aitriai, peut plus rarement aux ambassadeurs étran Cette Exposition aura iieu au Palais de Ver- paitiosant dans toute la France quini-i cents et k rouvrir les églisi-s, sous peine de saisie de tion de toutes les délégations, tant leur nombre cdmmd on sait, d'un éryiipèle. gers. était grand. Les élèves des lycées, hs comités saillre, du 1«* juin au 15'juillet prochain. iancti coroposére d'himmes d’armre choisis leur temporel (I). Nous né savons pas ce qu'il Elle est placée sous le patronage de la Com- avec le plus grand soin (1). L’éleolion dv Sentis en advint, car Ire archives du bailliage de S ^ lis ' X des bibliothèques populaires. Ire Associaiiona X philetecbnique et polytechnique, les eociétéa misiien de l^inventaire des 'richesus d a r l du fut désignée pour recevoir dix lancre, compre sont aujourd’hui perdues et le doyen de SaintUn personnaRe politique a eu l'occasion d’en Le PiHt IfareetHsfs aonoece que le ministre déparHm ntdelieine-et‘Oi>e, qui a dehgué scs nant chacune de cinq k six homiiire, et les Riuul, Afforty, n’a copie que cette seule pièce; de l'intérieur a envoyé une circulaire aux pré tretenir M. de Freycinet au sujet de la dernière chansoanières, enfla toutes les corporations onpouvoirs k une soua-commission dont le Prési corominaires, ordonnés pour lre loger, vou sociclés secours mutuels, Il esi'probaule que le tem js calma les fbt.A fets, (Mriiculièrement aux piéfeU du littéral, interpellation du Sénat, celle des 80,000 fusils. viikrre, L’ancien ministre dre affilrre étraRgèrre chambres syndicales, Ire Sociétés patronage dent est M. L. Clément de Ris, conservateur du lurent 'en mettre deux k TIle-Adam, deux leur recommaudanl de surveiller I embarqueet de protection aaristaient aa grand complet ou Musée, et le Secrétaire, M. Dutilleux, chef de (1) Tous ces roBseigaemenls nous sont fournie ' riia(otient de la manière la plus calorique reent dre armes et des munitioDS. (1) BoutariiL Institutions militaires, p. 809. procureur .dft- roi, — Vrif pris d'engigement l'éckrd la tout au moins étalent représenté» parla ma divirion a la Préfecture. Tontes eommunicalloni GoDforaéaent cas instructions, en assure jamais 41 et Areundre d'eioiisiion devroAt être edrcsaére Paris, 186^ in-8. Grèce p u un objet diplo* jorité de lears dkeB^fê** été mie vendredi sur deux à 'ï E M utin ' N o il eroTons» d it VEeho de VOite, d ero ir remetlro «ous les y d i i d ç nos lectenr» les résolitts des électioDs qni ont « u lie u le 14 octobre 1877 dans tons ^»s départemonts. Ces résùiuts, qne m u s sriÂM seruM leqsem ent conserrés et que nous ÿenobs de Térifier arec solo, o n t leur Intérêt an moment ou là proposition relatiTÔ au r ô t^ s s e m e n t du scrutin de liste t u ê tre discutée & la Chambre. Nous n*en voulons point t ir e j^ e conclusion pour le moment; m ais ii nous a pàHTiUle d'établir le tableau suivant, qui i n s titu e u n véritable document e t peut, par conséquent, devenir un élément de discussion (1). 4«Uque ou ê’ordre rallitaire, soit dirocttment avec le roi Ceorgei, soit avec H; DtIjaDnIt, le chargé d'aiftirea de Grèce I oeUe époqqe. Diversea propositions lui ont ^ aonmisce r le gouveraement d’Athènes ; H à h ^ m lt de >examiner, mais II n'a adhéré è aqffae. ^1.1 oit blair que> ai les Grecs ont M éyé d’agir i ^ n insu, ces rétractations ae pea^ialrât «voir aucune portée et n'engageaient i anm n titre la liberté ou gouvaraement, gui est étm üatié en tière. X On se rappelle que H. Challemti-Lacour avril été condamné par la cour de Oiion à des dommages-iotéréts envers las hrères dee écoUs cbréliennes de Lyon, dent rétablissement avait été pillé en 1870, alors quq l’ambaeaadenr ac tuel de la France en Angleterre était préfet à Lyon. '' La Cour de cassation vient de casser. l'ariél de la Cour de Dijon. Elle a décidé qu’nn préfet ne pouvait encourir aucune responsabilité lors qu'un arrêté ministériel d^larail qu'il avait agi au nom de l'Etat. K Victor Hugo Mt debout è sa fqflîre, lyant è MO côlé»|m.p«ttti enfanta. Dans Itspièi osda m-de-chiufliée et enr l’estrqdè {ironnent place les amis particuliers de là maison. Arrivée 4 la bautepr du numéro 192 de l’avenue d’B jlio , la Ionie relue en poussant des cria derVivn Victor Hugo I Des bannières s’inclinent et'|« pàMo pro fondément ému, salue de la tète.et d r Jk main. Chaque délégation dépose, en passahl'devant la maiien, des couronnas, des Qe«rs;.jX beaoconp resDSlunl dans dre cerbeilirs, d é «drésis et dre discours. Mali il.fatt se biter, rer la foule qui vient derrière est ri compacte que le moindre àrrM dans la marche du cortège pourrrit amener de la oonfurion et causer des’aicideûts. On défile dono rapidement e | en rangs Mrvés, mais sans précipitation ni désordre. La province, èHs aussi, a tenu è être repré sentée; ]>eauconp de villes ont envoyé dee délé gations qui défilent bannière en têts. La délé gation de Marseille est précédés d’un vieux drapeau t^colore qui, parait-il, a servi en 1792 k la garda nationale de la -cité phocéenne. Quelques personnes acclament cette relique ci vique dont nous ne nous permettruus pas de mettre en doute uu seul initant la parfaite au thenticité. CerUines corporations, celledes compc«itisurs d’imprimerie; par exemple, ne se sont pas i n tentées d’une bannière, elles se font prêcher par un char triomphal portant une statue de la République. Derrière les innombrables corporations ou vrières (chaque corps d'état ayant ténu è se faire représenter), les délégués des loges maçon niques, revêtus de leurs insignes, marchent gravement. Plus de vingt sociétés du gymnastiques, avec tous leurs adhérents, suivent les dél^ués maçonniques. Enfin le corl^e est fer mé par une foule considérable, composée de curieux et de promeneurs, comprenant toutes les claî'ses de la société. Le défilé a duré plus de trois heures. On peut juger par ce seul fait du nombre extraordinaire de personnes q u r s ’étaient rendues à la fête.. Il nous est dilficile d’évaluer avec quelque certi tude le nombre, même approximatif, des arsistanls, mais en is fixant à trois cent mille on est assuré de rester en dessous de la vérité. l’un 0 1 rautre de ces deux merobrre de 11 Ilommireion. Une ou plurieurs relire leropt suécialeroeni fi’trciére 4 tout ce qui • r» p o rt a l’art et rtfistoira de i ’ancleine lle-do-Prance et de la ville de. VerreUlre. \ ' . ' Les.fraU .d’emhàllage, de transport et de rééxpéditiog eoot au compté de la commission de l’ExporitioD. M. Çoenue, emballeur ded M uée nationanx est cbai|é de crninlirêr toua leé;objeliy de les smballàr chex les j^ p t ia t a ir ^ de lesftraneporter h Vensrilles, et de Ire rendre aux expo sants. Tous les objets devront être déposés dans les salles.de l’Exposition le 14 o u i k 6 heures du soir au plus tarà. Les exposants recevront une carte d'entrée permanente, un exemplaire du catalane et une médaille commémorative frappée à l'occarion de l'Exposition réirospeclive de 1881. è CHRONIQUE DËj*ARTËIUENTAbE Cour d'Assises de l'Oise. INFORMATIONS GÉNÉRALES de d'Elal k t les qtHrenbkfgoa h na- p'a h qtretôonqaed'erare que de de de les -\ Ifî' Gomma k celte iirara il y avait 4o monde sur trsviilltif, sous un. tas dafhmier. Qnaad il r ^ C h iiB é lU ir. w^Noui dpiuunoii lalmért do Charic*). S8 ans, mécaiicieh, d tifiw n o t è P*** pied) qnelqnesseaaxd’eau suffirent pour élnndre vint le laqdemsiD, psurreprendro son travail, la TwdoM n u MB. p u i a M .UH M l , ris. rue Roi bechouirt, n* 9Q, a, w iBobaqrra- J . Drouvu d elhon,ancieim ioistredraffiires ce commencement d’iacandie. bêche avait disparu. lion des règlements, oorésionné ifs blesiurerè étrangèm de 1853 è 1858 et de 1862 k It6 6 . p u U (U M c i« in lu ia « |l.,S a l(iU I« i i Perle estimés 4 fr. 50. M. Drouvu do Lbuvs était no diplémaio de •— H. C..., ouvrier keotennier, deroeurantk ersonnee................... Ténéienne école, trto inatrnit, très fin, très NeIré-Dame-du-Tbil. a uhe manière teuba par^ condamné en 26 fr. d’amendo. V I I I « i> B .S B ta < - P r M lk « a r r . — Oo B E T l L E S G l t B E délié; il iTest beaucoup occupé ticulièra de solder les parsonnos qui viennent lui nous annonce la mort, dans cette commune, de Outrage* d Ofifnt, térsiis. — éusUn (Adol accu ltu ré. ‘ i demander de l’argent. D m B A M V , 4 # L e se âre # . Hme veuve Pécbeux, née Pilorget. k laquelle il phe),:43ao^ nupouvritr,' démenraiii à VilleiisDepuis 1878, il éuU templèUmenl retiré ^ Dans la jonrnM du 37 cemant, le boucher da n'a manqué que 39 jours pour atteindre cent Guériaeant les dyspepsies, gastritas, gistriM ei, Uilè eoioqoDlcaUiia de 1« Clllrtnlire e jn d ^ sous*&ipt-Leu, a outragé lo gando champêtre Gaignecourt qui viept habituellement vendra de constipation, ÿilrss, vents, aigreurs, additéi, ç e lm e a i lotbm e qàe,|e dlmtnçhe ? i» * "i • do la commune. Eu eulie, Cusuo ê<t ioculpéde de là vie publique; il était ègé de Boixaute-srixe la viande k Srinl-I^cian, entra cbex loi et lai aiu. pitaitesj phlegmes, nausées, reoTaik i i^ ^ I neiinsi H . PâustI bo p rif, député, d onne» conlravennon d’ivresso. On sait que H. Drouyn ds Lhoyi habitait demanda s’il ponvayt lui régler un compte dèjk menti, même es grossssM, d ls r r h ^ dyssen.GuetiD est condamné onun moiè d’pmprisonôné Cooférèoco bu théâtre de Seollst sor le, andea. Sur son refQs, le boucher lui fit quel Chantilly durant 1a bélle s^ m d . ttfie, coliques, toux, asthmt, étoofllMneats, bement et 5 (r. d'amande. L , T em ps q i 'i l f a i t . PI6i^ 'dà <ihainbrm et su r la Ré: ques ramontraneee ^ui no fiireot pas do goutde étouidissemeots, opproirioD, congestion, né C v e l l. — Le 32 courant dans la soirée, H . C..., qui prit un manche k baïal et fe cassa Coup* uolantaire*. ■— Gadot (Geneviève), f b n i u i ^ . l ’ivi^ô t ^ . b o m o n i . vrose, insomnies. mâsDcolie, biblease, épuiioira cinq heurts du eoir, Hme yaoderlick se sor les reins de son fournisseur qui alla porter femme Regnault, dit (hmada, '42 fens, iqanoaSERVICE METEOROLOGIQUE ment, anémie, cbloroee, tous désordres de la vrièré, demiürant è Bélbiry-Saïoi-Piorro, con rendait dans soii jardip, acoompiignét de la fille. plainte k l'autorisé. poitrine, gorge, baleine, voix, des l^ronches, damnés .'par up précMent jugeiflont on quIoM Victerins VandeiKi k, èfin d’y chercher des lé H. C... a une mauvaise réputaüon, il a déjk ‘ > r i * 4 * *• vessie, foie, r«ns, intestins, muqueuse, cervesn gumes. Celte dernière lui'ayant maaifoité le dé subi plusieurs condamnations comme bracon2 mors 1881. jo ù n d’empnséniiemsnt pour coujw volontaires à 4» et sang ; toute irritation et toute odrer fiévreuse sur la personne dn sieur Tourneur, ■ foriné op sir d’aller voir sa tante q u i,resté k côté, lui Ik- ■ier et ce n’est pas en agissant de la sorte qu'il Baromètre monte de 6*. en se levant. (>est en outre, la nourriture par ., J 4 BTix de U tiia d e, k Seolif, «et fi*é poo^ cha la main et la laissa partir, (^nq ùiinutM obtiendra l’Indulgence du tribunal. Vent faible de l'ouest. position è ce jugement. ibois de.iDâFelSSl» coome U sûllf Bavoir : En raison des explications (ournioBè l’audience, après, la tante arrivait, en’ disant a sa btlloThermomètremaxima - f 6 '5 et miuima 6*4 excellence qui, seule, sulfil, peur asnifer la prospérité des enfants. — 33 ans de succès, Éctuf.' le tribunal réduit la condamnation è trois jours èœur que sa fille était tombée d u u l’ean bouil P B B é^S B iaaée-llB B eB ee. — Dans la au-dessous ds zéro. 1(H),0()0 cures y compris celle de Madame la lante. : ' i**calé8orie : Tende de treache, cnletle, ghe i d’emprisonnement. Ciel peu nuageux. nuit du IMt au 23 courant; un amateur d’outils duchesse de (^lelstuart, le duc de Pludçovr, U n o iï, 1 reB«hegrai8frtcftlee Malgré tous lee soins qui loi furent prodi Temps proèaôie. — Froid et beau. Vol de n u m frm e. — Hoquet (Adolphe), 54 g u é , celte petite fille est morie le lendemain de jardinage, s’est introduit, en brisant on car Madame la marquise de Brâian, lord Stnari V • ceuVeries, lekilo». Ifr.i 85 ans, manouvrier è pouivopne, comparait devant reau, dana la serre de H. Louis-Auguste Qelaude Decies, pair d’Angleterre, H. lo docteur matin.2* ^ PlaU de c6te, épaule^e rier, jardinier k Pont et lui a pris un couteau et le Iribûnal sous l’iiicuipatioB de vol de numé professeur Draé, etc. cèles sous 1épaule* une pelote de ficelle. raire. I V a n ie n il. — Empronté au Figaro : Cure N* 98,614 : Depuis des innées Je seuftendron, le kilo Perte estimée 7 fr. 50. Hoquet, r^onnu coupable, est condamné en drais de manque d’appétit, mauvaise digestion; Flancbel, grés bout de Le déplacement de l’équipage de Chantilly a uù mois d'eoàprisonnement. affections de cœur, des reins et de la vessie, P r é o y - r a a ^ O is e . —Le dimanche 6 mars . . poilrint, collier, le eu lieu vendredi derniér. Société anonyme, capital : 6 0 millions irritation nerveuse et mélancolie; tous ces Coup* vglonUûre*, toréwe. — Douvier (Jean1 35 Les veneurs .e sont directement rendus de 1B81, fête du Bois-Uourdy. k ilo ....................... maux ont disparu sous l’heureicie influœice de Jules), 32 ans, sans profession ni domicile, est Paris k Crépy p^r la ligne de Soissons. I^um Grande Cavalcade, sous le patronage des au féoit. L’s*seroblée générale ordinaire du CRÉDIT votre divine Revalescière. l i o N P btclbt , Insti inculpé du délit de coups volontaires et de con- chevaux èt quatre d’entre eux ont profilé torités. GÉNÉRAL FRANÇAIS qui a eu lieu ^ ih e d i 26 tuteur à Eynancas par Séreilhac (Haute-Vienne). catégorie : Pan de veau............... traventibo è la'loi du 23 janvier 1873. proo R auhe du train spécial parlant de Chantilly k 9 m 2« — ' Epaule, pottrma.......... N* 63,476 : M. le curé Coraparet, de dixDouvier est condamnO en trois iuois d’empri A onze heures, réception de la Hûsique de février, a déçidé la distiibulton de 61 fr. 14 par avec le reste de l'équipage. S* — Collier..i. action, k titre de solde du coupon de l’exercice huit ans de dyspepsie, de gastralgie, de souf sonnement et 5 ir. d'amende. A l’arrivée, le déjeûner s’est dédoublé : 1e Gouvieux par les commissaires. JfowtéM. frances de l'estomac, des nerfs, faiblesse et A une heure, formation du cortège sur la 1880, ce qui fait pour l’exercice 1880 entier: duc d'Auroale et le prince de Joinville ont déVol. — Vilain, manouvrier è Senliv, ex-pen sueurs nocUirnes. !*• catégorie t Gigot, Olet, cèleletle. Fr. 06 14 par action libérée de 500 fr. sionnaire de l'hépital, s’est rendu coupable de jr’ûfiéchrx U. Lemaire, de Nanteuil, avec U. -place. Cure N* 99, 625. — Avignon, 18 avril 1876. 2* ~ E p a u le 77.39 par action libérés de 125 Départ k une heure et demie. Eugène Labiche, le nouvel académicen. Les vol. S* — . Poitrine, collier.......... Ordre dn cortège : Eclaireurs k cheval, sa autres veneurs sont alléi tout simplement s’at Vilain est condbœné en huit jours d'empri Ce solde de 61.14 par action est payable La Revalescière du Barry m’a guérie k l'kge do 61 ans d'épouvantables souffrances de vingt ans. h a morceaux de »• et de 3« catégorie de iha- sonnement. tabler k l’aube^e des Trois-Pigeoiis. Gomme peurs, tambour-maJOr, tambours, groupe de immédiatement sans déduction de l’impôt. — J’avais des oppressions les plus teiribles, k que e»pèce de viande doivent porter une éti nous le disions plus haut, c’était un vendredi et soldais Louis XIII, groupe d’Ecossais, UuMque ! A paris. — Au siège social. ne pouvoir faire aucun mouvement, ni m’hsl’on était treiie à table ! On en fit la remarque, de Gouvieux, char du Trésorier, peloton de dra quette indiquant leur catégorie et le prix de celte d a C r é d it G é sa é ra l F rm a ç a ls . biller, ni désabiller, avec des maux d’estomac B o B B ié re m (Seini-et-Oise). — On nous gons, char des Ficur-t, groupe de hallebardiers, le déjfùoer n’en fût pas moins gai, et la jour oatteerie. ' 16, rue Le Peletier, jour et nuit et des insomnies horribles. Con née bonne pour tous, même pour l’animal de char du Jongleur américain (par un artiste de •. Les prix ci-deeane ne sont pas applicables aux écrit: et k son bureau auxiliaire, tre toutes ces angoisses, tous les remèdes Equipage SERVANT-servamt l’Hippodroroej.pelotondemousquetaires, groupe cha-se, qui mourut glorieusement. viandes de taureau et de vache. 53, rue de Rivoli, Paris. avaient échoué ; la Eevalesciëre m’en a sauvé Le 19 février, les veneqrs, aprèa avoir profité de grotesques, char des Gourmets, groupe de SiX' cerfs avaient été rembucbés, dans les bois Il résolu de li( note ci-dessue qui nous est de la gracieuse invitation qui leur avait été faite En province. — Dans toutes les Succursales complètement. — B orbel , née Carbonnetty, costumes variés, groupe de cavaliers. du Roi, en barde. Tout le inonde croyait à communiquée de la mairie, que pour le mois par les èhàielains de Rotny, sont montés dans rue du Balai, 11. du Crédit Général Français. Une quête au profit des pauvres sera faite sur un débucher sur la forêt de Villers-Cottereis. de mars les prix du bœuf restent les mêmes deux breack. Quatre fois plus nourrissante q u e ls riande, tout le pkrcours de 1a Cavalcade. On découple les chiens d’attaque et, au bout qu’en février; le veau ahbit une diminution de elle économise encore 50 fois son prix en mé . Cesl par un temps magnifique et à fond de d’une demi-heure, un cerf k sa quatrième tête A six heures, embrasement de l’arbre. 20 e* et le mouton est augmenté de 05 c. par train que ces me8sieurs se»ont rendus aux Huitdecines. En boites : 1/4 kil., 2 Ir. 25 ; 1/2 kil., A neuf heures, Bj Is parés et travestis, dans est mis sur pied et contrairement k l’opinondes lûlogramme. _ 4 f r .; 1 kil., 7 fr.; 2 kil., 1/2, 16 fr.; 6 Ul., Heures, lieu de rentbx-vous. malins du pays, il fait léte sur Veisigny, dé les salles Ltgros et Noblesse. 36 f r .: 12 kil., 70 fr. — Envoi contre bon de Le coup d’œil était d’autant plus charmant buche et entreprend un voyage sérieux. Eimssion d’Obligations communales 4 */. S a i B t - l l a x i m i n . — On nous écrit : poste. Les boites de 36 et 70 fr. franco. — S o c ié té a 'H o r t l c u l t u r e que plusieurs*dames et demoiselles faisaient par On arrôie la tète des chiens et au bout de dix tie de la Société. En représentation des prêts qu’il consent aux Dépôt k ^ n lis, chez HM. Dufoormenlel^ succ. Vn accident de carrière. 08 la’iBROnDISSEMBMT DS 8ENLIS minutes on se décide k partir. de Mercier; Taupin; épicier. Bouffetier, epider, Au rapport, un sanglier à son <Mrs-on entrant villes, aux communes et aux départements, le On traverse la plaine de Versigny, Baron, Il y a quelques jours, plusieurs ouvriers, par place de la Halle, et partout chez les bons phar G r^it Foncier de France délivro des quartanier. presque en vue do Uontagny. Les veneursi ' ‘ mi le:‘quels se trouvaient les sieurs Jean-Bap iB k u v iM a * » des CABeeara ponr appoFta maciens et épiciers. — Du BARsiet C* (limited). UoBB e » B ia ia D B le s 41 ° /o 4 c 1 6 0 f r . Pour attaquer carrément, les circonstances sur k s chiens et bien ensemble on entre dans la liste Dubuquoi, kgé de 58 ans, et Leforaly, 4e fleare aor le Marehé 4Ô la vUle voulaient que l'animal fut rapproché'à trait de forêt d’Ermenonville, au bois de Perthes, on avaient, en vain, esi>ay>i de faire tomber un bloc e t d e 5 0 0 f r a B e v , au porteur ou nomi 8, rue Castiglione, Paris. de Sealle'. (imier. Henri, secondé par le fameux Joujou, traverse vivement Chaalis, l’animal de chasse de roche dans la carrière k ciel couveit de M. natives. H ardi 8 Mars 1Ç81 eut bientôt lait, car au bout de dix minutes, la passe à côté des étangs sans y entrer, parse à Borde. Ces obligations sont émises au pair, soit m u belle fanfare du {juarfanter résonnait dans les Haute-Chaume, débuche sur Chantilly et tombe Voyant la résiriance de la masse, ils se p r i x d e lO O f f r a n e s pour les obligalions T o u s les HorücoUcure-Marcbands, sans d k d ’une valeur de 100 francs, soit m u p r i x d e échos d’alentour. raide devant les chiens qui ne l’avaient pas croyaient en toute sûreté pour leur travail. tinction aucune, sont invités fc apporter leurs Aus>itôt les harde» découplées dans une en quitté : sur cinquante-cinq chasseurs, cinq Hélas! il n'en fut pas longtemps ainsi, car, 5 0 6 f r a i i e e pour les obligalions d’une produits sur Je Marché. ceinte du bok Uichaud, l’animal c o m m e n c e Tdteùr de 500 francs. Elles soiit remboursables seulement assistent k l'hallali et sur les trentemercredi dernier, à d:x heures et demie du ma Des médailles d’argent seront décernées aux drcoudre plusieurs chiens ; débùehe sur les (7* anonyme pour la Fabrication mécanique sept chiens il n'en est que cinq également qui tin, au moment où ces ouvriers étaient livrés k aux mêmes prix, en 60 ans au plus tard, par Horticulteurs qui auront mis en vente, aux ches du Cutnef, lentre en iorèi par là vente d< se trouvent k la mort. Tous les autres veneurs leur travail habituel-, un banc de plusieurs vou's de tirages au sort qui auiunt lieu les 5 DE LA époques ci-dessous indiquées, les produits juges la Tortue, paies k la baraque Fournier, descend et le reste de la meuto ont été si més dans le mètres cubes se détacha de la voûte de la car février et 5 août de chaque année. D E IM T E L L E V R A IE les meilleurs et tes plus avantageux, l.es intérèV'' sont payables : k Paris, mm au fond de lailessovree, enfin nous offre pen trajet de la chasse, que l’on estime k près de rière, sans aucun craquement, et, dans sa chute, UgutM t : Les deuxièmes Hardis de Hai, dant une heure une chaifse d'une vitesse'iiicrofa- cinquante kilomètres parcourus d’un train coupa en plusieurs rao:ceaux le malheureux C r é d i t F o n e l e r ; dans les départements 40, RUE LAFFITTE, 40, PARIS Juillet ei Octobre. ... • hif, prend l'eau pour la première lois à la mare d’enfer danq des terrains lourds. Dubuquoi, qui ne jeta aucun cri, tant la mort a u x T r é x e r c r ie M g f é a é r a lc a e t a a x Ok l'ii put duuder des éduBtlUeu. Fleur* : Les troUièmes Hardis de Mars, Uai Thibault, en sort à pas comptPs,.gai<ne un tertre K c c e l t e e p a r t i e u l i è r e s , semestrielle avait été instantané. N o i p e - D a D i e d n - T h i l . — Le 15 jan et Octobre. . jet se reiouTRS rar la meute. Il était vraiment On est tout étonné qu'il n'y ait pas eu d’au ment les i** avril et 1 " octobre sur les titres de On voit fonctionner les métiers te* âfardti, Arbre* et arbrisuaux : Le deuxième Mardi beau dans son attitude, car la léte levée et dé vier dernier, U. Gasioa-Augüsle Barbet, kgé de tres victimes. 500 francs et annuellement le 1*' avril sur les Jeudis et Samedis, de 2 d 4 Aeures, k l’atelior, d'Octobre. ‘ . , fiant les chiens, il avait le port d’un dix cor*. 23 ans, manouvrier k Saint-Just-des-Marais, litres de 100 francs. Ce fait ne peut qu’engager les prudents ou rue St-Uaur, k Paris. H ardi 8 Mars 1881, à neuf heures et demie alla dîner k Noire-Damc-du-Thil, chex Mme Le- vriers de carrières k redoubler de vigilance. Malgré son courage, t'eslnaUali courant qu' Les demandes sont reçue? : du matin, la Commission d'examen se rendra va è la vente k Vienne et aux Grands jfonfs. fëvre. sa grand-mère. Cette daine ayant eu be A P aris : au Crédit Foncier de France, rue place Aulas de Labrujëre.^.pour juger les ap T r « » l y - B r e a l l . — Le 21 février, H. Aptèi avoir fait plus de vingt ferm a et au soin de se rendre k Beauvais, laissa la garde dè Neuye-des-Capucines, 19; ports qui- seront déposés devant les mauons de tant de bal Veau, certains chisseurs étaient d’a sa maison à son pelit-lils, qui profita de cette Louis Fournier, manouvrier k TroEly-Breuil, D ans les D éparteuents : chez MM. les Tiéla rue du Chàlel portant les n** 13,15 et sui vis que les chii-ni ayant trop vu l’animal, ne le circonstance pour lui voler dans son armoire une s’aperçut que pendant que sa femme .était allé Grâce au nouveau système employé dans les soriers-Payeurs généraux et les Receveurs vants, emplacement désigné par Tadministra- prendraient pas. somme de 75 fr. Pour commettre ce vol il avait dans son jardin ou dans le voisinage, sans avoir la photographies de M. Roblin, on peut venir particuliers des Finances. brisé un panneau ds derrière Tarmoire afin pr^aulion de fermer ses portes, un malfaiteur tion municipals. ^ Le chef de l’équipage, fiJèle k son principe, poser par les temps les plus sombres, de neuf s’était introduit dana son habitation et lui avait entre alors dans l’enciinte aidé de ses hommes qu’on ne s aperçut pas de son larcin. heures du matin k trois heures, en hiver ; p a ^ jeune nomme a déjà une mauvaise répula- volé une montre estimée 50 fr. et sans s’effrayer des charges du sanglier, ranime r* o U c o c o r r o o tio r u ie lle cette heure, on se pourrait garantir Ip parfaite A b o u n c m e u i g ra é u îl. Auteur inconnu. sa meute, et au bout de 20 minutes, le quarlU' lation et a p r^ avoir commis son vol, il a quitté réussite. Les enfants, comme toujours, seront D E S E N L IS nier, honteox en quelque sorte de sa défaite, la maison de ses parents. Toute personne abonnée k un journal quel photographiés instantanément, surtout jusqu’à T r a n i i l l y . — Le dimanche 20 février, Audience du 28 février 1881, fourre i» tête dans un roncier où il est porté conque, r»*cevra gratuitement r E c l i a l r e n r midi. V — Lundi matin, 28 courant, vers six heurrs M. Jean-Daptiste Biirlliélemy, jardinier k Trubas paf 29 chiens sur 36, dont deux tués et 11 Présidéncè de M. Baucbart , chevalier de la L'établissement est continuellement chauffé du raitin, un rommenccmeul d'incendie s’est roiliy, quitta son domicile vers six heures et de F l i i a n c i e r , pendant trois mois. ^ Légion d'Iiunneur. blsAsés. L’E e l a i r r n r F i n B o e i e r est indispen et est dirigé par le meilleur opérateur des déclaré dans la chambre du M. veuve Rennes, k mie du malin pour aller voir ses enfants k Ori l Afarfin le Roys, qui a servi l'animal, a eu Villers-Sainl'Lucien. Cette dame avait prubaH. H azièrb, substitut, occupe le siège rouy. Quand il rentra le soir, vers six heures, il sable aux porteurs de titres; il parait tous les photographies Roblin. Ou reste ses preuves les honneurs du pied. du ministère public. blvment regirité dans son armoire la veille avec ne remarqua rien de su>pect, cependant le len eamedis, publ*e les listes officielli-s do tous les sont faites k Senlis comme à Paris. Lettser-eourra de trois heures parÂlIard une chandelle, et uqe fl.immèche était torobéo demain il déclara k l’autorité que pendant son linges et donne des renseignements précis sur Le travail est terminé k rétablissement Fravde^au préjudice d’u» reAlaornfcur. — Henri. sur le linge. Ce qui est certain, c'est que le b n - abtence on lui avait volé une montre en or avec toutes les valeurs. central k Paris, rue da l’Entrepôt, 12. Trolart (Zicharie-Alexandre), 34 ans, sans proVn abonné, Pour recevoir dette utile publication, il suffit demain matin, Mme Rennes sentant dans la sa chaîne égaleideut en or. fojsipn ni domicile fixes, s’esi Jait servir des S a l o B e t A t e l i e r d e .|M B ey .. d'envoyer la bande d’adresse du journal auquel Perte 209 fr. boissons et aliments ebex divers restauralenrs, C h a n l il ly r . — Il parait que l’exclusion chambre'l’odeur de linge brûlé, sauta de son lit rue Bellon, 24, d Senlis, on est abonné, au Directeur de r B e l a i r c u r des 8lee|ile chases des ailées de Chantilly n’a et ouvrit la porte de sou armoire. Aussitôt un notamment à Creil. . V e r b e r l e . —' D.ins la soirép du 24 février, F io M B e le r, 45, rue Vivienne, k Paris. Trolart est condamné en huit jours d empri* pas encore été prononcée d^une manière dé jet de flammes s'en échappa; elle n’eût que • M. Jeaii-BaptisieBourdon, manouvrier k Verbefinitive par le comité de la Société d’encourag^ temps d’ouvrir la croisré et d'appeler au et" Bonnement. rie, avait caché sa bêche dans les champs, où il cours. Bîeteure* par imprudence. — Mejer (André- ment. SAtiTÉETËliertGiriTflIiS ‘gaMMl*ft«ieBS do prM itftd étiÉ prMi M ' PfrqB|t d i çom pw ndrB^oi|)i«i, /« Mcaai<DQ, Içujr corfdiiite ,éta>( iiDprttjd^nta.‘ CRÉDIT mm FRINCMS CRÉDIT FONCIER DE FRANCE LA D E N T E L L I E R E Euché deParis dn 28 Fénier. Tableau synoptique des U archés de la Région. Farine, lesacdclOOkil. n e t... de seigle, les 100 k il... Blé indigène, suivant qualité beisle.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ü ig e — E sconrgcon les 100 kil. l’h ec to litre LOCALITES Lundi. GIsors.. . . . ' ........... Grandrilliers.......... Neaitles................. Roye............... . 21 33 18 50 14 X 13 ■> tu 30 15 t3 50 13 21 16 90 12 50 6 » i» 46 18 30 tu 80 12 66 21 01 6ü 21 bi JfardI. Oournay-en-Bny.. S m lls ........ ii » 17 I 15 15 15 21 45 19 85 JfereredI. 5*016011... Vormerie • i 25 97 37 5u 10 32 » S o n g e o n s ...................... Beaumont-sur-OlH........... S8 27 41 36 30 21 »■ 22 A» yendredl. Marsetll*............................. H éra................................... NanteulHe-Haudooin....... PonV-8aiDie-Uax«nc«....... 18 36 51 19 23 9< 27 kO 25 »» 19 26 5Ü 21 tl Samedi Beauvais............................ ’ CtermonB.......................... Gompiègne........................ Movon................................ 38 50 26 Rfl 27 25 26 i l 25 61 27 80 27 36 5t' 27 A n n o n c e s «InilleialreB» Art. i . 8 6 50 10 16 50 12 50 41 42 24 17 75 66 19 «t* 21 2S 17 75 26 H3 26 5l> 2fl »• 19 2(1 25 19 M \Y » sO 89 26 59 14 25 14 12 54 t2 12 .‘<4 12 !.*> l2 Il 53 31 54 18 17 ». bi IH 70 17 50 16 51 10 9 7 8 50 66 74 7 31 61 »n 23 7 26 60 »» 18 » 8 •> 7 15 •> 9 17 8 11 95 19 5u 15 10 »» 14 50 14 •» 22 01 17 62 12 54 18 50 17 W 8 55 7 9 13 23 12 77 21 8 67 7 18 18 15 « I b b A v r i l f f iW l. n e u r e d e midi. »» 61 •» Kl «2 «> 7: 60 •» D E D tO IV A T lO IV C o m m u n e <f ré rro ir de C uvergnon A r t ic l e p r e m i e r . Une MAISON D’HABITATION sise à Guve^non, place de l’Eglise, cemprananl boutique k l’entrée, alle k coucher, buanderie et fournil k la suite; qoaire chambres au premier étage, grenier andessus couvert en tuiles, celliér y atte nant; cave dessous. Cour, dans laquelle se trouvent un hannard aervant de remisé et autres petits bluroefils à usage d’écu rie eide poulaillèr. Ladite malND i et» Mirée par q m 20 »> grande porte donnant sur la place, et tient par devant k la rue, par derrière au jardin ci-eprès désigné, d’un côté au cimetière, et d’autre bouté M. Gorbie. Saoüon G, numéro 93 du plan cadastral de ta commune de Cuvergnon. 1» Prix extrêmes Bœufs. . 3038 ZM 1 62 1 36 1 » 90kl 68 ïacke*.. 772 332 1 5U 1 22 > 90 » 80kl 54 W «aox 137 395 126 1 tl6> 90 » 80kl 30 Veanx... 1086 80>2 101 901 50 140x220 Montons. 20971 19 2 05 1 85ll 501 4uk215 Porcs gr. 1724 86,1 68 1 64 1 56 1 48kl 75 maigres. I> »>|> P e a u de montons en laine, ■ fr. t> à » (r. ■« — rase.......• VcBte A la criée des visades. 26 février 1 8 8 0 .- 96.521 kU. ▼EAU Vendu : 39.191 kil. 1 " qualité.. 1 92 42 20 ^ q la lité ... 136 a l 90 3*qualité... • 8 6 k l 34 Pan,eaissot » 9 6 k i6 0 MOOfON »onc Vendu : 15.574 UI. Vendu: 8.074kU. 1>* qualité.. 1564176 EnÜeronl/2 120 4180 2*qualité... !2 8 k l 54 En quartier. 1 30k 1 9dv S*qualité... a 80k l 26 ^ é . ......... • Gigots i *43 aé » Bk» BOIITF on VACll Vendu ; 38.681 kil. 1/4 derrière. ■ 86 k 1 86 1/4devant.. > 70kl 16 Aloyan 1 »• kS lassebeneh. » 10 k 116 A r t ic l e q u a t r i è m e . * Com m une e t te rro ir de. B o u la rre . Outre les charges, clauses et condi tions énoncées afi cahier des charges dressé par M* C M Inin, etdépqs^ an greffe dn tribniml «ivll de préiqièfe instfliKé de Senlis^ les iitimedbtes staséUÛin^i « f s n t Ysndiu s ir Issm iiask M IS E S A 2* qté I qté Cinqareede bois, même terroir, lieu dit le Fonds dès Ecuries oh la Croix Misère Apcèls, tenant d'un côté k H. Lacome, m aire, d’autre coté et d’un bout a u i rep r^ n tad ts B ru lé /^ d'autre namééo M k IL Coiirbiê."“ Section ■ 7S'pdar ylaV cadastral dé la S'pour partis partit tfii ïiaV ômmaM ds CareriQoa. Î ». 75 50 a» B e s tia u x . Article troisiômâf. Article detixiôniè. L tn. •» 65 »»k »• 6.5 »• >> b(l 65 65 ■ 117 25 67 s» 67 25 >« Paria (La VUletle), 28 février. Quinze ares da bois taillis, planté de peuuliers, lieu dit le Rat Poist, tensnt d'iin côté k M. Morel, diantre côté k M. Bouvet. Section D, numéros 176 et 177 du lilsn cadastral de la commune de Boularre. A r t ic l e c in q u i è m e . C o m m u n e e t terro ir de B a r g n y , Vingt-cinq ares de bois, terroir de Bargny, lieu dit le Fossé Gettin, tenant d’un Mité k M. Hoquet (Lonls), d’autre côté k madame veuve Sénnier et autres. Section B, numéro 71 du plan cadastral de la commune de Bargny. Un JARDIN derrière la maison, d’envfron douze arcs, entouré partie par un mur et partis par une haie, tenant d un côté AH. Gorbie, d'autre côté ap cime tière, d'un bout à M. Riberot, et d'autre bout k la maiien. Section G, nitimére 92 du plan. 5(1 J »• 50 72 75 72 50 »» >• 21 »» 67 » k > » Dispbn. en tonne. 74 '*■ à > Tout fût dispooib. 72 >• > •|65 »* > Epurée................. 82 »» »• 31 54 >» M'ayant pas d’avoué constitué; Le ATarrit cin q A v ril 1881, heur^ de m id i, .en l’autlieace des criées .du tribunal' civil de première instance de Sentis, ad Palais de Justice de ladite ville, k la vente aux enchères publiques, au plus offiranl et dernier enchérisseur et k l’extinction des feux, des immeu bles dent la désignation suit : 39 48 i 40 10 31 * 32 27 50 ,8 50 23 »• » a» 17 »> 21 50 88» saccbarimétriqucs 7-9 ........ 57 50 A 57 75 10-13.... • “ Blanc type .....................^67 ■* ■ lype n» I 3 Raffinés W n e sorte....... !! 112 >• ■ belle so rte ....... .. 4t) •». • Certificat do sorUe.................... .. 13 »• « Mélasse de fabrique................. 14 50 I ~ deraffinerie . .. lla ilc B . Cote officiel le. 12 66 20 En exécution d’un procès-verbil de saisie immobilière dn ministère de Lecointre, huissier k Belx, du vingt-neuf novembre 1880, enregistré, dénoncé et transcrit avec l’exploit de dénonciation 'V B i V T B au bureau dev hypothèques de Sentie, le trente décembre suivant, volume 65, S u r satste tm m ohiltère, . E q Taudieoce dee’oriéesdu tribunal civil numéros 18 et 19; de première instance de Senits, Il sera : A la requête du sieur Louis * Péul rise au n ia is de Justice de ladite ville, . . ‘atiçois siné, meunier, demeurant k I* D ’i l N Ë M A IS O IN Saint-Uaurice, Grande Rue, numéro (Seine): e t u n J A R D IN Créancier poursuivant; Sis il CUVERGNON, p K c d e I Egliu, Ayant M* Chalmin pour avoué, qui 5P ET est ccnstitué k l'effet d occuper pour lui T ro is P ièces d e Bois sur ladite eaisie; Procédé, sur le sieur Charles-VIctor S(s« Icrroin H« CUVERGNON, fluU Tranchant, boulanger pyant demeuré è LAHRE i l BARGNY, Alfortville, rue de Srine, numéro 5, et Le tout canton de Oeti, actuellement k Paris,' rue du ButieonarrondtiMmeot de Sentis (Oise). ^ t^ L o u I f , D o m ^ 15; Partie «lUie; L’Adjndication.itin'Uen le Elude de M* B r a c s t C b a l M l n , ' avoué h Senlis, rue Sainl-Hilaira, numéro 10. !'• q. 2*q. 10 50 19 80 18 50 8 95 16 75 14 75 H 50 20 92 td 2; 19 17 50 14 Colia. Diipenible........... 71 Courant.............. 71 Prochain............. 72 73 4 de mai . 4 d’été................ 73 20 50 21 ■» Avoine, suivant lots............. 18 35 18 ■> Sanasin................................ 12 50 14 75 Sons ........................ Ueconpettes.............................. 13 • I14 t 50 Ilemonlagcs(suivantcouleur).. 15 » »t ■» F a r ia e s d e 100 kll. iWkiL 41 08k > » Marque Darblay.. 64 k > 41 71 42 99 67 Marque Truffaut.. 65 41 08 41 71 65 i** BneétBeauce. 64 39 48 40 10 69 Farines diverses.. 62 31 50 33 » Farine de seigle . F s s rlB c s d e eoBSBineree (5 h^res). HalVllAT^nat. SwériewM. 62 25à*s A* 39 >-à39 25 Mois courant.. .. 39 75 39 >• 61 40 Prochain . 75 »• »» 60 30 4preD ilers . . . . . 60 75 »* ■» 38 50 38 75 4 de mars......... i »• >• »» 59 75 60 4 de mai........... Sq . «* q ........................... ................ Cote com m erciale. P R IX . Bsmrse d e P aris d u t * r Mers. roim s n’iTAT — actions S 0/0............. 83 62 Orléans.......... 1415 e* 3 0/0 amortis. 84 95 O u e s t;;...... 875 >» 4 li2 OiO 117 26 Par.-Lyen-ll. 1690 as 5 0 /0 ............. 119 20 GoBp.par.gas 1620 s» Banq. d e F r.. 4050 •» Société bsB .. 21 > • Banq.d. Paris 845 s» Ceap. trans.. 56» 75 Compt. d'ese. 1012 50 M eu.aaritiB. 800 SB Crédit foncier. 1668 75 Canal de Suez 1680 aa Cr. industriel. 735 »• Italien . 89 sa Créd. lyonnais 1080 ■■ Fene. d*Antr.. 840 »* Crédit mobil.. 738 75 C r.aekll.esp. 787 80 Dép.etcoBpt. 725 •> CiMa.aitrica. 637 50 Société linane. 530 •» S.-Ant.-LeBab. 237 50 Société génér. 677 50 NerédePEsp. 441 60 Banq.fr.-égyp. 735 a» P ertn g als.... 560 sa G harentei.... s* s» Ch. fer. Ro». 140 aa Est................. 788 76 S a n to sM .... 41150 Hidi................. 1175 SB. Omnibus . . . . 1540 a» Nord 1735 •»' Vidanges..... 875 aa OBUdATIMS Obi. du Trésor 530 »a Est 5 OiO........ 113 sa D. de la Seine. 239 as Est 3 0 ( 0 ..... 390 sa Paris, 1855-60 507 sa Ardennei. . . . 386 a» 1865... 521 •> Lyon.............. 390 sa 1869... 401 s» Benréen.SOiO 390 a» 1871... 396 as D anpkîné.... 386 >a 1/41871 107 »a Hédt.(fasien) 390 50 Bonsliq.50 536 es Médit. 18I6.. 318 an 500 4 0(0 517 50 Vietor-Enui.. 388 m 10* 40|0 104 as M idi............. 389 aa 500 SOtO 555 ss Nord finneals. 392 29 10* SOiO . l i s sa Orléans. .TT.. 390 a» 500 4 0i0 520 a» Grand eentral. 388 an eom.SOiO 475 »• O nest............ 389 s»^ 5* 30(0 96 50 Cordoue ........ 330 aa dfo. 5 OiO 515 as Médoe............ 275 a* S.alg.T50(.6*i. 143 50 Canal dé Sues 35 ss Omnibus. . . . Gkareates.. . . Le Gérant î D à i ll r . Senlis. — Imprimerie BnnnsT Patru. prix ci-après, fixées par le poursuivant, savoir : A cinq cents firancs peur l’article .premier, .............. ........ 500 A. A cloquante fiance pour l’article deuxième, ci......... 50 A cinq francs pour l’arti cle troisième, ci................... A dix (Irancs pour l’artide quatrième; ci................... .. 10 A dix francs poorrarticlè rinquième, d ..................... 10 Total dm Imises à prix t ^ q cent soixaite quinie |'p P V ltG E L iiO A L B 11 est id déclaré que tons ceux du ghtf desquels il pourrait être pris inaraison td’hypethèqiee . cription pour raiimn lécalM sur lès immetbies immetbl saisis, ndnoot requérir cette tnscriptimi arent latrantFah et lédl^ p é l’atM é poaisnif anl soo8st|né^ A Ssnbs, la deux mars 1881. Signé :Bai(m<GBALlim. Et enregistré. S’adresser poitr te* renssipiiaiiiéiits ; 1* A U* CHALMIN, avoué à Benlis, peursuivant lavante; 3* AH* LEGOINTRE, huissier à Bats; 8* Au grHfe do tribuial civii d« Sentis, où est déposé le cahier dé» charges. Ponr insertion i Signé Ernest Gu iio n . A r t.1 Btode de H* CxiiLn K jm hniyéh avoué kdarmont (Oise), rua du ChateUkr, numéro D i . . stNcassanrde H* BoqsiHt. Sim s u ’i m I MBOQSi BoUir»^CripT< «llH>Vklob;' dépositaire dn, oahier .dw oImi Btada'da' Venie Mobilière Ei(jde<^e H* A noong,! licencié'en droit; tr o u p S S Ï Ï 2 ^ .Ü ., v o M ra rw v ■taflé d* Quantité dé.Eûafiér «o p tb » ,>AiWirtoMirliSaïUs. \ . è. DE CHEYAOX Prem fèr^ qwslxiét "■ A V 'E N p . H 't e ; ■. A l’BtobUiseaieiit dé Btlns hraéhiqU' i S i i o U RéfAibllqun^ hj Wqlis. , Av Kf é Ghamblj. JP CFa s ' b p t ; : : ' A vemiiMMr «dMitMllim ^ È x p i m ^ t ^ K M wmpJonf, . B n f i m i d e e f p ê è h m in ittè r e éft Aprfo I« de H. • Mv-DMiAïoiraj à Ih if, , ShM P'l|%!iimbly, rué qe Parûi, B e n l l a , Salle -dea V en tes, i i M t t yëiiilii^B Tinii t: Lq Dimanche 6 llaid; à-deiilheiirl^» 'vjg|aT is s f c 'i i 'M c k T A T i o i i ■ ■ irn e du F.our^. .. ?!5S5fiî5TÔÎK> o t.,jr A R f n i« S tu d à ;4 « H * D i» l» iH liiio U ite A S ta lU ; ffadroanraadit.il* DasjMnnii, ndtélTét‘ ■ N T ll M àJIU IS ET HiniOEB. U D1MANÛ1IB.6 MARti 1981, > m ^Sis è Amb|tlMonrtjcom**,dK CHumbly, .rue 1 k R^fifillque, n* 18, raudisoce déâ'''driééi'du trtbuni] 'heure précÎM, snocèsseur dé M* Braois*. r ;i8 i|0 à HMiïpCD li^ u e de Dessous, A V f n a n f j t r a a |i i 4 i < H i U f p au Palais de J u s ^ (Oise), ; Par le mInûMre de .M' BAtxfioniT» ; _____ Âudé do tl* 1t ^ r i * â i â b , notaire . V l w s B a r a l 'V t i U '^ commtssfêre-jntiairid SenJii, ministrée par MM. Casaan fils, L. GAle Nardl Blers ISfil, .h Vern.^p,(0ise). A. v « n d r e iM k ila 4 iiid ic « tio m à midi précis, COMPRENANT N0TAUMBNT : •lÛs-'ea •même lüeu, «a la rue de Dessous, Le Dimtnche 6 Murs, A deux btures,' ;L,|>iiii.Bcb 0 IS.MiP.AtYRf Dslensiles de cuisine et de ménage, DE î !• A PUilly. «n 1k; ÛtlMp d’école, O a M u m traiter.’a n n t i’adjuqical quisiniéres et cheminées en fonte, bellé aol fW P u r Je « tn tslity de Ù* D iuiin, a^il i l est h iilt Amà des ntfroa offres SQtÛilplW. sul Sis >i » iial-Vaasl-de-Longmo^it, Adÿeésèn > la t'c o m m h d d a l' A, table de cuisine. nobitre'à Seulis,' S ’a p a i s e r à H* lU iiB tB T , M ototte. rue de PBglise, G A 8SA N fila>«t iiroprlétadraé-8 Grandes el belles glaces, pendules en <• 1 iu i . 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Ce Moulin comprend trois paires de Aloulres et chaînes en or et en argent, Vieill.ed-de.pariii, n* 48, « I c i i i i a a d l e -dictoiremeul rendu e n t r e les pariies par u n a p p r r n l l . >i Iq Tribunal civil séant i Clerraonl (Oise), Aux toiroirs de SENLlSetPCiNTARMÉ; bijoux, diamants, ruollz, fjiencesd'lialie. meules. Pour cause dé dé< ès, Un escalier tournant, 2 comptoirs, S'adresser pour visiter, chez M. Uam-b , le 17 décembre 1880, cnrcgtsiréel signi Etude de M* B a | é z e a u x , notaire A G h u n t i l t l y y * Grande Rue. -72, E n s ix C o ta à Fontaine; péiriu, caisses, vitrines, paniers, objets Le bimanciiH 13 Mars, à une heure, fié. à Chantilly. Qui polirroni éire réunis partielle Et pour tous reosdgnements : O i> d io m a itii <li 3 u j à o ù ? , iraluaiits et quantité d'autres objets Il sera, aux requête poursuite et diliPar le ministère dudit M* Hbhbt. ment ou en totalité. A M. BORDIER, coiistrucieur-méca ’v r l é r . o u n u i i l e K i r , ea ^h a n t. dont le détail serait trop long. .genco de M. Aiphouse üuru, cultivateur lipe é ï écrire et au côufaût du s^riiK^. S'adresser pour les renseignements : nicien à Senlis; demeurant à Mouy, d'une tJ.<iné'à Gaz — Là préfeqçg ^ r a i t '. Et à M* DRIARD, notaire audit lieu. « Agiasanl au nom el comme tuteur V ille d e S e n lis . E n tre C o u r e t J a rd in 1* A SI* YAMROYS, avoué à Senlis, accordée è l’onvrier qui sauhiil faire uni* A CEDER ■ naturel et légal de Âlphonse-Aignaa pouisuivant la wnle; Sise à Vtneuil, commune dcSi-Ftrmio, peu do plomberie. Appointements sui « Ducu, son fils mineur, issu de son rue de Saint-lyeu et rue Neuve, 2* A M* CIIALMIN, avoué présent k , Etude de M' H o r e l , notaire à Senlis, vait: les capacités. — In u tile d e -se' « mariage avec la dame Célcstine- la vente; A V e n d r é |) a r a ilj u 4lic a tio a P o u r l a C o n s tru c tio n d ’u n e S a lle pré se n te r sans de bonnearifirences. Situé dan< larroodis-ement de Seulis. j successeur de Fohtaiwb, < Eupbrasinc Jourdain, son épouse 3* A M* MOREL, notaire à Senli-, En l’etude et par le ministère de S’adressera H. GUINIERES, directeur AITiires 05 Mcs de 157 kd. par mois ; ^ p a r a d ju d ic a tio n « décédée, le mineur Alphonse-Ai- dépositaire de# til-.es de propriété; d’A s ile e t d e s F c e ie s d e s F ille s . kr* nBalbzbaux, ' M* notaire jid Chanltllÿ, de l’Usine à Qaz, à la BiguS • goant Duru, comme paraissant 4* El au grellc du tribunal civil de L e v e n d e u r e s tp r o p rié U ire d e _ A W fC t Le Samedi 26 Mars, b une heure. € avoir seul droit b la succession de Senlis, où le cahier dej charges est la M aiso n q u i se ra T en d u e a v ec v G U « & o t S jQ i J iD w J M D Le Dimanche 20 MARS 1881, à deux O 19I < l é |ç n ù i » 'f l o ’i i t « e SFadresser audit M* Baigz^cx, notoire. « il. Charles-Onésime Jourdain, son heures, il sera procédé, par M. le Maire p l a e ^ d e s a r i d e p a r t i c u le F o o d s o u donnée à bail^ à la Sises à Senlis, rueVieilIé-dc-Pari^^n*41 ■ aieol, comme habile à se dire seul de la ville de Sf-nlis, dans ûne .des salles tie x ^ ô ii ç f a r i l e c i m i u p ô t r e . et rue da Villevert, n** 16 et 18, 1 ■ héritier; mais sous bénéfice d’in- Elude de M’ Ehilr D é m e l i n , liceuclé ToloDlé d u p re n e u r. B O N N E S R É F É R E N C E S. UNJ J A S t m X G randes facililés de p a iem en t. « ventaire seulement de la dame Céen dro.’i,avoué à Senlis, rabais, sur eoumissions fiouron cachetée#, des ffadresserâu/mroaudMjàttrndl; : dite l a D o u l e < P O r » • Icstine-Euplirasine Jourdain, sa 8 'adn!##ei au Bureau du Journal. | .Sise à Senlis, impasse Murât, travaux de toute nature à exécuter pour rue de Villovcrl, n’ 7, Située à Saint-Firmin, sur la roule « mére, décédée à Mouy, le itO sep- sacccsîeur de Jl“ Delgove et T hehbt. lesdites constructions, lesquels travaux de Seuils, .. . « tembre 1S80, saisie de ses droits s'élèvent en totalité à la somme de surancee, rG h to n industrielle; A CEDER < daus la succession de son père. Sise terroir de Villeneuve-sur-Verbeiie, A v c n i l r e f m r a d i u d i e a t i o a 41,461 francs 10 centimes. V e ille 8 iir l ie i la li o n Naiilcuii-le- Haûdouin, « l e i n a i n c l o PoursQivani ayant M® Laliaye pour c o n te n a n t 15 ares 24 cen tiares, En Vétu*ie et par le'.ministire d« I " ENTRE MAJEURS ET, MINEURS, des s p u s - u f i e n t A ' pour les c ru - avoué constitué. Le MARUl 15 Slars, à deux heures, U* B alézsaux, notaire à Chanltllÿ, | 'èÊàtÊemôBsietmUtBBmmammdàaS&ê^^ A usajyc de Buulang;erie, Epiceton# de StHilU, Cumpiegné; Betz, Crépy- ’ En présence ou eux dûment appelés En l’étude et par le ministère de Le Sameili 2t» Mars, à d m heures. « . . « , en*Vàloi8 et Ponl-Saiiilo-Udtence: ricy Alcrcerie^ D ébit de Vins H* M o r k l , notoire à Senlis (Oue), de ! . . , M is e à P r i x : 34,000 f r . | AVEC SES et C afé-ltcstaurant, 1® Madame lIortense-(;éleslino Jour S’adresser audit M* Morbl, notaire. Al. F e rd in a n d On pourra traiter avant 1 adjudication, E a u x -d e -V ie , L iq u eu rs 9 Vins C irc o n s ta n c e s e l D é p e n d a n c e s Sise dans le canton de Grcpy-en-Vdlois, r i l l e u j x , entrepreneur de raKgodnedain, propriétaire, dciueuraul à Angy, s il e#t fait des offres sulfitontes. fins 'c l o rdinaires» Sise à SENLIS (Oi«e). nie du Cliâ'.el, sur la ligfic-du chemin de fer on consriü à Saint-Leu-a'Ë#sereul (Oise),-do* veuve de M. Simon Rnbbé. S-«lra..er audil M- B . l e 2 s » « x , m tatre. | j j „ bouteilles. A L o u e r à l’a m ia b le naiiiéio 3U. truciion de Rivecourlà Oimoy-Viller#. Présente i la vente, ayant M* Ansart m an d e dc;W o u v r i e r » m açons. Il -y. . pour avoué constitué.. L’adjudication aura lieu le SSai*«li S’alrfssir pour renseiguemouts, à M* 2* Madame Eiiplirasine Pommcry, A v e n d r e p a p a d |u « lic a lio i A. LESaCE, grelüer de paix à CrépyAu terroir de Courleiiil, «9 ^ A li B a n , pkissleràÇrépycultivatrice, demeurant â Coincourtà midi prec;#, Le Dimanche 6 Mars, a midi. 19, R u e d u C h û t e l, 19, en-Valols. D'une contenance de 2 hectares en-Valois. d e m a n d e un- ap " Mouy, veuve de M. Charlcs-Onésimc En l’audience des çnees du iribunal civil Par le ministère de H* BalêzeauX; 73 ares 03 centiares, à p r e n ti.T ’ Jourdain. notaire à Chantilly (Oise), de Senlis (0:sc). Remboursement gratuit des dépenses en S’adresser }'our lous renseignetnenls ; A C E D E R Co-licitante, ayant Rondcst pour _ A I. D e n o g e n f ^ 'S S’adresser pour/es rÉHSciÿncnienty ; A M* FEI.BOI^, avoué à Senli#; «voué constitué. rier a O.rouy (Ois«), d e û i a t i d e Et à M' MUREL, notaire à Senlis. IJ-EtM . Fclix-Alcxis Gouct, cultiva A Senii.'* (Oise) : . d e s b o n s o u v rie irs . En la Maison 'le Madame L ant. siso . 1 ' A M* Emile DÉMELIS , avoué teur, demeurant il 15aiagny-sur-Thérain. < lc A l a ç o n n e r i e à GOUVIEÜX, rue de Gouvieux U n e m a ià o n a rig la la » f Au iiono et comme subrogé tu- poursuivant la vcnie; A v ec tra v a u x a v a n ta g e u x e n è Cl.'aumonl. A L .O U Ë R d e m a n d e d e s A g e ta l» li o u o r a a tour du tnintur Alphonsc-Aignan 2* A M® CIIAIMI.N, avoué co-licilant; c o u r s d ’e x é c u tio n . l > l e » pour l'achat de céréales. — « Duru, .sus-uommé. G ran d es fa c ilité s de p a ie m e n t. 3“ A M« MoRïli, notaire; Appuiiiletneiils fixe#, commissions et Procédé le dimanche vingt mars l 8 8 i, S adresser a M. LEl’l.'^E. à B#tz. a v e c B E A U J A K D i:« ^ à V A L 4 . A t J » I S Alp -s Mariiimr.o) frais dé voyagea. 4’ Et au gretle du tribunal, cii est b vinc licnre de relevée, en l’une des S i s e à Seiilis, faubourg de-Villeverl, k Située à, Vineuil, commune de SatulEcrire franco a &fM. II GREGORT AlnisoD fuiidcc À G r a s s c e n 184-1 salles de l’hotcl-de-ville de Mouy (Oise), déposé le cahier des charges. Firmin, en la rue de la Colonne, rue de l’Orme-qui-Baïc, n* 2. } Eaux dislihé-'S : <le F^euis d’oranger#, el Gte, 10 Kii\iy ôtresl, Gitv, Loudres, k la veille et adjudication au plus offrant A V e n d r e à l’a u iia lile ' E. C. B e a u J a r d i n . R i c h e M o b ilie r . \ de roses, marasqiie, laurier, cerise, etc. et dernier ciicliérisscur et é rcxtinciion Elude deM* Emile S îc n ü c lin , licencié A O é d o r c le s u i t e S'adresser pour tes renseignements : , S ’a d re s s e r p o u r tous renseignements : — E'torc*-? d’*iraog»'# nour curaçao. — des feux, des iipiucubles dont la désigna l%t* P o l l > o i a « % v o u é à en droit, avoue à Senli#, Pour cause de départ. A M® MUREL, notaire à Sentis. ; A M* B alszexux , notairo à Chantilly. Essences diverses. - - Pctrium.-i concen S e n l i s , d o u i a u c l t s t à n p e t i t tion suit : rue de Villcverl, n® 7. • S'adresser au Bureau du Journal. trés pour liqueurs. — Pommad:s el e l e r c . extraits aux fl -urs. — Produits pharma Eludes de M" F é x i z a n et H e r e i , Elude de M® C a r l l l o o , notaire ceutiques. ILiiles'd’olive.#. A r t ic l e p r e m i e r . Sur Publications judiciaires. üMET AI* Q t i c t o p , ayoué k A V K A 'O R B notaire# à Senlis. à Chambly(Oise), Par suite de coiivoisioii de sahie imINVOl DE PRIX COURANTS SUR DEMANDE. S-nhs, d l e u a a n U e u n c l e r c . Successeur de M* Maitre-D evalloh. mobilicre, A r i ic l c c in ( |u n n tc - .s c p t. A v e e l l n i 'n u i s c l V o i l u r e , Ving' arcs quatre-vingt onze centiares D ’U T J ïJ M A I S O N Sise à Sentis, rue do Vii.evert, n* 9, j de terre, sis terroir d'Ully Saint-Gcorge.s, A P R IX M O D É R É . pour de R E V E N U P A R A N AVEC SES SisesàDoran, S’adres-er à .M. NAMI’ON (Jean-Bap- A v c n d r e | i a r a d j u d i c a l S o n ] lien (lit la #cnic de l’crol, tenant d’un coté Madame Rabbé, .d’autre coté plu C i r c o n s t a n c e s e t D é p e n d a n c e s liste), à Gilocourl, piè# Cré,>y (Oise). Le Dimanche 20 Mars, à une heure, ( A ven d re. |>aradiudi«*alîon Sii«P à SE.Nj.lS (0,#.-). rue de la sieurs, d’un bout Naquel Oiïroy, d'autre En l’étude de M® F ktizon , notaire à j En la failn de U Mairie de Boran, Fcniaii,e-de#-A é.ies, iiuméio 16. bout la sente de Pérel. SenViF, place de I.1 Halle. i P a r te ministère de M^-GAhiLLON, II la FiiU' Mise i prix, qualrc-viitgl S'adre.vser jH>ur/es reNsei^nemenU : | L’adjudication aura lieu ie .U n r d i notoire a Chambly, dix francs, ci..................... 90 A M" F é iiz o n et Morel , noiaire#. .1 v ii> g ;t-iic iif .tiluroi I t i d i l , I.e Dimanche 13 Mars, è une heure. A C IS D IS U il deux heures de relevé»*, S'adresser audit M'C*bii.i.om, notoire. S’adresser au Bureau du Journal. En l'cluile et par le ministère de Elude deM® R o u t i e r , notaire laeiU dm let Upitux IFER DIALYSÉ BRAVAISI RmmudÛÛ p«rl«t lUwimA M® U r u o d , notoire d Senlii (Oise). à Bélliisy-Saiiil-Pierre (Oise). CoiitreABènie,CUct{M,.BtbUiÙ, Ep2iuoMiit,Pert<sbliECHS,eic.’J i Ouirc Icî charges, clauses et conditions A LiOfflCD L e r e r SSr&vaS»lfer iifuld«en ^âuliee eoneentr^eep. e u te meO-A S'odresscr pour les renseignements : ■ énoncées au cahier d’enrhèrcs drcs-'^é par !eordrlooit»ton<'|a(:g|tereeonUiiaant[iapeic«lleOMiiluilitlln{Mp)rV ’ Urap^riarilédesaprepirStlouilneS (Uti|irirellidreptDiperrectioDaè<:i!A P o u r « la r t-ilz is , M* Biidin, notaire à Mouy. et par lui A Stnlis (0,.S‘) : ] , d’h ni odenr, ni unnret neptodoilnl confüpuion.ni diirTiiée,ni#dusn>l] déiwsé en son éuidf', les immeubles V niria.ni fuijciiede Petinmee; iteplDilineiioIreltiamnleleedentr.' V Sis a Chambly (Oise), 1* A .M® E m il e UEMELIN, avoué » A V Ï ^ A D R li) 1 C'eit le p lu écoaoaii;ce dei le m iiite u , pnUqo'u (Iieoi dira n m aii.fl sns-désigné.s, seront vendus et adjugés poursuivant l.i vente; APPELÉ ’ S'adresser è M. TASSIN, horticulteur, DéTeitprinciroiixàl'arh.tX n.l.AFAvmK e( AVEKURtiKL'OnbuÜMv oATon tm«T»*ealpnipni 1. Onlnquina Bravais «t les Eeox UinAralca jiur If.s mises b prix fixées [vir le jugement * ' E X B O IS l e M o u lin d o V ig n e s c n ii, route de Compiêgne, à Senlis. Natureitri df l'Artfrelit-, SpuTcei du V era'et, «te. ■I 2’ A .M * i ELBOIS, avoué co-licila;:t; dont b’ogit, cl .s’élevant au lolal deux SiüCS.terroir d'Orrouy, Bien te m étier dM im lUtienadaDgereuaeset exiger la margnedeAabriqoeel'C entM.i: i P r C v - e n tïm e n l e x p lo ité par .M. RoizÉ" >1 gralli tnr depianéc hied’ane ne nfrfanf KfTranrhie d’nne liiléiieksanle iiiidnkMnie lawbnre Ifforbnre ntarr VAnénte TJndmfi el 3 ' El j M* UBIiU I, notaire, dé,io#imille sept cent douze francs, ci. 2.7l2fr. A v ia t . A v e n d r e p a r a d ju d îcalS on 3 o q > 0 ‘O cs> O ‘ O O < > O Q - 0 iC>iC>OC>< A JL O L E D | , Fait et rédigé par l'avoué poursuivant taire du cahier de# charges. Ce youlin. situé aux abords de la A Orrouy, en ta Mduon d’école. 4® LA Mussigné. . ville, à quelques minutes de la gare du Le Dimanche 13 Mars, à deux heures. A Clermont (Oise, le vingt-six février Etude de M' Ernkst C i i a l n i i n , Par le ministère de M*R o u t ie r , notaire chemin de fer, esi monté de quatre pai 4881. avoué il Senli#, res de meülis d’après le système anglais. X 0 ^ ,0 0 0 y V b iQ ik ilé â PB ANC à Bétkisy-Sainl-Pierre. P rè s I’O N T -S a IN TE-M a X ENCË, Signé ; Ch. Lahaye. rue Saitil-llilairo, numéro 10 . S’adresser pour fous renset«;nemen(s.‘ Autorisée comme élablissement insa S’adresser audit M' R o u t ib r , notaire. E l enregistré. A M ® CARILLON, notaire a Chambly. lubre de 1 * ® classe. V K î^ T E Srtdrtsser pour les rcnsi ignemcnis : L o y e r a n n u e l 3,500 fr. S U R '. S A I S U i I M M O n i L I É P . E , 1 * A 51* Ch. I.AHAYE, avoué à i Etude de M* Eduono P a y e n , notaire [i rauiiieiice de# cru-es ilu tribunal civil Clermont, poorsnivant la vente ; Sises à Gik'ceuri, sur la roule de I è Pont-Sainte-Maxence. de Senlis, au Palais de Justice. 2 * A SI** IlONDEST cl ANSART, Coropiègne à Meaux, e t D épendances Maison. «voués au même lieu ; Voi.‘i n e a e laladite d ( P a r a ît t o n s le s d im a n c h e s , à v o c n n o C à u sô rio f i n a n c i è r e 'd n ‘B a r o n LoUto) j ^ ' A v e n d r e p a r a d ju d ic a tio n M A I S O N :i“ A SI' nUDIN, notaire i Slony, en O ’ U N r , L o y e r a n n u e l 800 fr. LB SC a 10llLl.(l'niLTClKR qai patli* la Liiit «Scitlle ilti Erajet d« taies T ilars friuçabà û M m ^ m A Gilocourl, en la Matsond’écolç, ' - l’étude duquel est déposé le cahier des Siî6 à ORROUY, en la ruo Fourchcron, S’adresser à M* LAVERNE, notaire à Le Dimânche 20 Murs, è deux heures. (se iz e p a g e s d e Y exte) charges ; Paris, 13, rue Tailboul. Par le mintslère de M* Routier, notoire Sis à Robérval, A M® CORPECnOT, notaire au n r^nTUnÜ Itevue générale de toutes les Valeurs— La Coteo^icieUeàê laépurse.r à Béthisy-Saini-Pterre, XL I lUILLId Dui4r6i<r<i^naeanto0euæ—/.ePrlmdctCoupoiû' V ^p o cu m ftU ^ inédits, A V c n d r e p a r a<liqdica!(8oii|i ineroe lieu ; Sadresseraudit M * Routier, notoire. Sises terroir d’ORROUY, . ,5® Kl à SI® BRICOGNE, huisstcr b Par le ministère de 11* P i t e r , notaire PBOPBIÉTÉ DEU SOCIÉTÉ OÉBÉRAU FMtjWEDECBÉOlt.- Capital : É0;OOO,0d0 de> . Le tout canton dcCrépy, arrondissement Uouy. à Pont-Ste-Maxenee (Oise), do Sonhs. En la salle d'école de Roberval, On s’abonne dans toutes les Succursales dos Dépnricfncnts, dans tous los Bureaux do Poste CoUc» O oudrons et « Paris, 17, rue de-Londres : Le Dimanche 20 Mars, à deux heures, L’adjudication aura lieu le H I a r ili Etude de N* A o | : a » i e y a n t r o y « , B T C H A xbB O lTS S S 7 0 'T S K XTTS P * .A ‘3ES .A.3Sr q n i n z c lla r.-v l ê l R I l , ^adresser audtJ M* Paten, notaire. avoué è Senlis. I liiii'iiiÉ iiln I.II I G ra n d e t b eau J a rd in heure de midi. successeur do M* FnéuT. D E S P R IX t V A BétiiUytSaint-Pierre, Rue de la République, D” 17, S'a(/i'es#cr pour Us renseignements : T a r if à d a te r d u 15 février 1881 .* A V e n d r e p u r adJn U iealion 1® A M* En>EST. CIIALMIN, avoué L’hectolitre ( Pris à l’Usine 1 fr. uO En l’élude et « ir le ministère de V E ÎV T E è Senli#, rue Sainl-ililaire, numéro 10, deGoke; ( Livré è domicile 1 70 P a ra u ifc d 'a c c c p fa fio n bénéficiaire poursuivant la vente; (Réduction dè 0 fr. 10 c. par hectolitre II* Rotmut, notaire à Bélhisy-Sl-Pierref. Le Dimanche 6 Mars, è deux heures. pour Iffhect. et au-de#sus.) 2® A M* TENNI-L, huissier è Crépy; ! • D e l a N u c - P r o p r i 6 t6 éTodreMer audif M®R o u t ie r , notoire. CHARBONS OC FOYCft : 3 ®Et au greffe du tribunal civil de GROSSE GAILLETÜR'E 1 - qualité: Senlis, où le cahier des charges est dé Etude de M* I lA m e l e t , notaire les 100 kil. pris è l'Usine 4 Ir. 25 posé. à Chambly (Oise). P r é c l D o is T o illis — è domicile 4 40 PABXS — 1 8 , B u t i l ta C iaiissie'^A aU a, Situées terroirs de FREStNOY-LA*RI(Au complanl, ou fin du mots de livrai PéOPRIÉTé OE CA d b c c lii F « i 0 4 a r e s 3 8 son, an# escompte). . YIÈRE, FEIGNEUX et MORIËNVAL, • canton d e OrépyAon-Valois, SOCIÉTÉ FRANÇAISE F I NANCI ÈRE RtSIDUS DE L'ÉPURATION*. (toeitTi iRexTH*) Aff* L . a c o u r .( P A 08 PER), demro«rrondissemenl' ^ Scnhs (Olso); Sour-llydro-Siilfale de Cliaux pour Aux terroirs dePuiseux. Neuilly-enC a p ita l': rant au Berval, commune de Doniiruilâ« ï ) e ‘ 'l a N u e ^ r o p r i é t ô d u " E st indi*jT(î»»KflM« à to m 'es P orteur* r^r P./iilct. d 'A ctions et d'Obtlgnttôns. — JVS#en-Valois, prévi-iu. le .public qu’il ne E n g r a is délivrés gratis à titre d’essai ’ Thelle, Dieudouno et Fresnoy-en-Thelle, è AfM. les Cultivateurs de Varrondisse- < * . > tiers indivis eom plet.— Purm'l chhniie D<»nrt»i7n!. — 10 pH'"* <'0 te x te .— I.islenffti i rthrUiS 7tra>7M. • p.iiera aucune dette que pourrait con- ment, qui se cliargoront de (aire un ; X y e o a r e p * K ® « * * jM « iC to 4 lo n Coin * lies Vnte'irs coleus et en ttamina. Cltinntes renilHs dus Assem^ ‘P ‘ tMcier la femme, qpi .a quitté le domi En la Mllé delà Mairie de Dieudonne, bU'csil'Ât'iioiinaifes. — Ktiiihis iiii)»'(>loniiir.sdes lû itrepriscSlhian.iéres e lin d ia irléliéé sur leur emplui. ...------mpi rapport et des t'n to iiri o/'/‘>'rtei en *oii*cri;;tioit pidiligiie.— fjtis, t>ncrcts,Jimeu\ents intirestm U Par U ministère de U* lUuEUtT, Siee à FRE8N0Y-LA-R1V1ÉRE, rue de cile conjugal. S 'a d r e s s e r à M . C u i n i e h e s , d i tes p orteurs de rifrc i. — Jtfi'sGds des C/tooiint de fe r , etc., etc, notoire d Chambly, l’Uominy, r e c t e u r d e l ’U s in e à G a t à J a U 'A SO N N É A -DaOIT : Li Dimanche 18 Mars, A une heurs. B ig u ë (SenJts). L’i^^ jqdicalionaiiralieulcljlm anehe A v is û u x P / i p i n i d r i s ^ s e t a u x A tr p A t E M i S N T Q -T X A T trx r z>zr c o tr p o j v s On pourra traiter avant l’adjudication. P r o p r i é ta i r e s . A Z /A C M A T E T A i A V E N T E D E E E 3 V A X Æ tT rj» Sadicsser audit W* IIamelkt; notairA • n n * C o d iiiii- e to n j •h une heure de relevco, ipœéro 17, f. rsMo^iwmMto; A m viNS:MsgéT;f :jt' 'Dâe fràiiijiiB aWii JarM «to» AN8T, fil 1»me el 11PUuro Corps dé Fermé Uni Fonds de Commerce Trois Jardins 5 PlèNs de Teire labourable H'* dç Vins et Ânbergiste , BPUTW et IsuQn, d’Habitstioii fin Terrain UiNE GRANDE MAISON 3 52 Pièces de Terre 3 Pièces de Terre et Jardin Un Marché (ie Terre D E T lîIR R E 3° U H S M AXSOSI MOULIN A EAU Vente m obilière 3 Pièces de Terre et Pré JOLIE MAISON Bon Fonds de Bonlangerie Adjudication de Travaux Jolie Maison de Camuaune denwiel-de-ville, à radjudiration au Off**AI- «Joiinôls agent d’as- etonePiècB de Bois taillis Maison de Commerce D 'U N IE MAi;SONl Bpiceïies et Comestibles Marais et Pré À . 3J17R V Fonds d’Entrepreneur Maison Meublée Objets Mobiliers Bons commerciaux français Jolie Maison de Campagne DISTILLERIE ET PARFUIHERIE MAÜBERT Jeune Bon Fonds de Maréchal Un Cheval de labour Maison Bourgeoise | Maison et Terre 50 100 L I R E ..I I I I Y S T E R E S » B O U f lS E M plDit par BANIIDEDEU BOB, i, plaît b Boiusi, Bon Fonds de M' de Vins FER BRAVAIS Gravier d’Argenteuil S ÎA IS O N . et 31 Pièces de Terre, Pré GRAND MOULIN Grande Usine de Monceaux £e DEUX MAISONS 2“ Maison de Campagne JfaiSOn, GradgC, Jardin Terres, Bois et Carrière D itta n itF u r à t t l e u t s LEPLUSCOiUPLETDETOCSLESJOURNAUX Deux Pièees de Terre Usine à Gaz de Senlis Maison bourgeoise U J k n ia l 18 Pièces de Terre, (11* Année ) de Terres et Bois . VINGT-CINQ MILLIONS flo tamos D 'U N E RIAISOW Jkt/laA hlIe d e l à MalsOn d’école Fw snoV -lû-RiV ière (Oise), Par ^jum istère de M* Ridoit, notoire [Oise). ( ffcdreiier pour le$ refiitignemenls : 1®tà M* VANTtlflYS, Ntoué h Benlis, £ n gros ou en dciatJ, «VENDREOUI CEOERDESUITE Grand Fonds d’Epiccrie 4,000 Pcunlicrssuisses Corps de Ferme V in s e t L iq u e u rs , Sis k Krcüii® rue du Préau, « Io n (® ta ( P R o r a n t s avec 45 heetareg de Terre A V E X aR E ItÉGENÉRÉSl S'adresiPT è M. J ules SOUPLT, jar dinier, au château d'Ovouy. poanaiviiil k veaiet ^- •••“ — ^ Vii Wt'iitMi'Ilkfre i t U Tille L SeoHi, popr l«,.llMllpii.a« U «.u. PÔea, e,pw(lc à reiUde M o l D é b it d e T « b a e . S’adresBer «u Ouroan dua Jpti Jpuynal. le Sür Erculi, MedllIj-ei)-Tlielle, Crouj, 1 teeidle,la ' '’ '' MÜ, U N Prit Jel’JboDBfnifnl feiir loiileI»France(IrAl;»-lorraiiie:■ F B A N C P A B A N Dn S'ABONIcè t«NS PRAIS PANS TOUS LES BU(ie«U'X DE POSTE ± 1.» u