Sommaire - Performances Group

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Sommaire - Performances Group
Semaine 43– du 24 au 30 octobre 2011
N°197
Sommaire
Recapitalisation des banques européennes : le compte à rebours est lancé
2
Ecobank passe à la vitesse supérieure au Nigeria
3
Absa Academy du groupe Absa Bank s’engage dans la formation du secteur
4
Les banques de développement se mettent en réseau
4
Exim Bank to provide $27.5 million line of credit to Senegal
5
Demand for mobile payment offer African banks huge trade potential Send to a
friend
5
Western Union and Societe Generale International Retail Banking extend their Global
Money Transfer Agreement / Collaboration will allow companies to work together in
40 countries
7
ECO Bank pumps $1m in new software
8
Le Mobile Banking pour booster le taux de bancarisation
8
Promotion de la bancarisation : Le Mabef lance une grande campagne de
sensibilisation
9
La bancarisation comme solution à la pauvreté
9
Continental : Ecobank à l'assaut des plus hautes marches
9
La BOAD entre dans le capital du groupe bancaire Oragroup
10
Performances Veille
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1
Recapitalisation des banques européennes : le compte
à rebours est lancé
Les régulateurs européens devraient fournir les résultats des tests de résistance en cours sur les détentions de dette souveraine des banques européennes. Le principe d'une participation supplémentaire
du secteur privé au plan de sauvetage de la Grèce se précise.
Ecrit par REJANE REIBAUD, Journaliste
Le superviseur européen devrait fournir cette semaine les résultats des tests de résistance en cours sur
les détentions de dette souveraine des banques européennes. L'ensemble des mesures concernant le
secteur bancaire, y compris celle sur le sauvetage de la Grèce, seront dévoilées lors du sommet européen de dimanche prochain à Bruxelles.
La crise de la zone euro devrait trouver un début de solution cette semaine avec la mise sur les rails du
plan de recapitalisation des banques. Vendredi, l'Autorité bancaire européenne (EBA) doit fournir les
résultats des nouveaux tests qu'elle vient de mener qui prennent cette fois en compte les risques liés à
la dette souveraine en se fixant un ratio minimal de fonds propres durs de 9 % selon une définition qui
n'est, pour l'heure, pas encore tout à fait claire. Le régulateur a été en tout cas mandaté par Bruxelles
pour valoriser en valeur de marché - tant que possible -, les dettes souveraines européennes portées
par les banques de l'Union, qu'elles soient en plus-values ou en moins-values.
Cet exercice de transparence doit déboucher sur l'annonce d'un montant global de renforcement de
fonds propres qui a priori ne devrait pas être aussi énorme, selon Bruxelles, que certains bureaux d'analystes le laissent présager. Une étude de Goldman Sachs évoquait ainsi vendredi un besoin en capital
de 298 milliards d'euros pour 68 banques sur 91 qui ne passeraient pas la rampe. François Baroin, le ministre des Finances, a pour sa part réaffirmé ce week-end que les recapitalisations concernaient d'abord les 8 banques qui ont échoué aux tests de résistance du 15 juillet et les 16 qui les ont passés de justesse.
Fort en tout cas des résultats de l'EBA, les chefs d'Etat et de gouvernement présenteront dimanche
prochain un plan global de recapitalisation des banques européennes avec l'appel aux banques à
renforcer d'ici à mi-2012 au plus tard leur capital par leurs propres moyens ou avec l'aide de leur gouvernement. Seulement en dernier recours, le Fonds européen de stabilité financière viendra leur prêter
si nécessaire.
Un contexte toujours difficile
La nouvelle contribution des banques à un allégement de la dette publique de la Grèce sera également dévoilée le 23 octobre, a confirmé samedi à Paris François Baroin. « Depuis trois mois, les marchés
ont évolué, ils se sont dégradés [...]. On est parti sur [une décote de la dette grecque] de 21 % le
21 juillet, ce sera plus, c'est à peu près certain », a-t-il simplement déclaré, en soulignant que les chiffres
qui circulent allant « bien au-delà de 50 % » étaient « fantaisistes ». Pour les banques, ce nouvel effort arrive dans un contexte toujours difficile. Les banques françaises continuent de nourrir les inquiétudes des
agences de notation. Soulignant que « les profils de financement et de liquidités des 5 banques sont
plus vulnérables que nous le pensions », Standard & Poor's a abaissé d'un cran (AA à AA-) vendredi la
note de BNP Paribas, mais confirmé celle des quatre autres banques avec désormais une perspective
stable sur le secteur. « Compte tenu de l'ensemble des décisions prises cette semaine pour le secteur
bancaire mondial, BNP Paribas reste l'une des banques les mieux notées », a réagi la banque de la rue
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d'Antin. Le 14 septembre, Moody's avait de son côté décidé de prolonger l'examen de la note Aa2 de
la banque.
Fitch a par ailleurs placé vendredi sous surveillance négative les notes de viabilité de 7 grandes banques qui pourraient être dégradées au maximum de deux crans. Il s'agit de Barclays, Credit Suisse,
Deutsche Bank, des américains Goldman Sachs et Morgan Stanley et des français Société Générale et
BNP Paribas. Ce nouvel avis pourrait apporter des arguments supplémentaires aux partisans d'une
séparation des activités de banque de détail et de banque d'investissement.
Ecobank passe à la vitesse supérieure au Nigeria
L’acquisition d’Oceanic Bank repositionne Ecobank Nigeria dans le top cinq bancaire nigérian.
L’ensemble disposera de plus de 600 agences dans tous les Etats du Nigeria et d’une base de 7,4 millions de clients. Perspectives.
Arnold Ekpe : « Nous allons créer une institution de services financiers complets de premier plan et consolider la position de Ecobank en tant que leader du marché au Nigéria. »
L’annonce de l’acquisition d’Oceanic Bank, appelé à fusionner avec Ecobank Nigeria, devrait repositionner la banque panafricaine dans ce marché, le plus important de l’Afrique de l’Ouest.
Pour rappel, le 30 juillet 2011, la convention d’exécution et de transaction pour l’acquisition et la recapitalisation d’Oceaninc Bank a été signée avec les responsables d’Ecobank. Au terme de la fusion projetée, la nouvelle entité disposera de « solides parts de marché dans tous les domaines et d’un puissant
réseau de distribution », ainsi que le rappelle le communiqué émis à l’occasion.
L’ensemble disposera d’un réseau de distribution leader dans tous les Etats du Nigeria avec plus de 600
agences et 1450 GAB. La banque se placera en cinquième position en total actifs, en 4ème position
par les dépôts et en seconde position par le nombre d’agences.
Une synergie importante
Au-delà de l’effet de taille, cette acquisition sera une jonction entre une institution (Oceanic Bank) bien
positionnée dans la banque de détail et disposant d’un portefeuille secteur public des plus solides et
Ecobank, ancré dans le secteur des multinationales et des grandes entreprises locales. « En associant la
base de la clientèle de détail et la solide franchise du secteur public avec la clientèle des multinationales et des grandes entreprises locales de Ecobank, nous allons créer une institution de services financiers complets de premier plan et consolider la position de Ecobank en tant que leader du marché au
Nigéria », déclare Arnold Ekpe, directeur général du groupe. En termes de synergie, une optimisation
des coûts d’approvisionnement, des infrastructures et des coûts de fonds est attendue.
Le processus d’acquisition a reçu l’aval de la Banque centrale du Nigeria (CBN) ainsi que l’accord de
principe de la Security and Exchange Commission.
La 13ème acquisition
Une assemblée générale des actionnaires d’Oceanic Bank programmée le 27 septembre dernier devait approuver le projet. Si tout se passe normalement, l’acquisition sera effective ce 5 octobre. Suivra
alors une période de trois ans de recapitalisation et de restructuration devant aboutir à l’intégration totale des activités.
En dix ans, c’est la 13ème acquisition d’Ecobank en Afrique. Peu avant l’opération Oceanic Bank, la
banque panafricaine avait annoncé la finalisation d’une participation significative dans la Trust Bank
Limited (TTB Ghana).
MBF
Structure de l’acquisition
L’acquisition sera exécutée par le biais d’un concordat dont les détails sont ci-après :
AMCON investira une aide financière, « Financial Accommodation Amount » (FAA) pour ramener à
zéro la valeur nette de l’actif de Oceanic Bank et en échange va émettre des actions ordinaires de
Oceanic Bank par voie de placement privé.
Consécutivement à l’injection de ces fonds (FAA), ETI va acquérir 100% du volume existant des actions
ordinaires de Oceanic Bank.
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La totalité des fonds propres de Oceanic Bank seront converties en actions ETI ordinaires et en action
ETI préférentielles.
Il est envisagé qu’à l’issue de cette acquisition, ETI procéde à la fusion de Oceanic Bank avec Ecobank
Nigeria. Suite à cette opération, l’entité fusionnée devrait afficher un ratio de solvabilité d’au moins
16%.
Absa Academy du groupe Absa Bank s’engage dans
la formation du secteur
Afrique du Sud
"Depuis l’année dernière, date de sa création, Absa Academy a procédé à trois séances de formation,
en octobre 2010, en février 2011 et en octobre 2011.
Cette division, spécialisée dans la formation au sein du groupe bancaire Absa, a effectivement formé
avec succès le premier groupe de conseillers financiers à travers les assurances.
Izak Smit, directeur général du département de la distribution d’Absa, Business Unit, qui abrite cette
académie, a souligné que le premier groupe de conseillers formés a été intégré dans Absa Bank.
Ils fournissent au sein du groupe des conseils financiers indispensables aux clients.
Au-delà de ce cercle, « la formation que délivre Absa Academy permettra de compléter le nombre
de conseillers en mesure de fournir aussi des services financiers aux clients et, partant, de stimuler la culture de l’épargne et des investissements en Afrique du Sud », a soutenu le chef du département distribution. "
Les banques de développement se mettent en réseau
En marge de travaux des assemblées annuelles des institutions de Bretton Woods, qui se sont déroulées
du 21 au 26 septembre à Washington, il a été lancé, à l’initiative du groupe allemand, KfW Bankengruppe, l’International Development Finance Club (IDFC) ou réseau mondial des banques de développement. Seule africaine membre de ce réseau, la marocaine Caisse de Dépôt et de Gestion
(CDG).
Dorénavant les actions pour financer la lutte contre les changements climatiques, les infrastructures
publiques et le développement social seront mieux coordonnées . En décidant de la création de
l’International Development Finance Club (IDFC), les présidents et directeurs généraux de 19 Banques
de développement nationales et sous-régionales entendent apporter une réponse à la hauteur de ces
ambitions. A l’occasion de son lancement, Ulrich Schröder, PDG de KfW Bankengruppe et désormais
président du Club, s’est montré enthousiaste : « Nous sommes fiers d'avoir pu rassembler des institutions
de renommée mondiale innovantes et compétentes dans le financement des pays émergents, ayant
déjà accompli des réalisations remarquables en finance de développement. Nous voulons combiner
nos forces et répondre conjointement aux défis planétaires actuels comme les changements climatiques ».
Une synergie au service du développement
Les membres-fondateurs du Club comprennent l'Agence Française de Développement (AfD), la Banco
Estado (Chili), la Bancoldex (Colombie), la BNDES (Brésil), la BSTDB (Grèce), la BCIE (Honduras), la CDB
(Chine), la Caisse de Dépôt et de Gestion du Maroc (CDG), la HBOR (Croatie), l'Indonesian Exim Bank,
la TSKB (Turquie), la JICA (Japon), la KfW (Allemagne), la KOFC (Corée du Sud), la NAFIN (Mexique) et
la VEB (Russie).
Les initiateurs, qui ont signé la Charte de ce nouveau réseau, en parallèle aux travaux des assemblées
annuelles du FMI et de la Banque mondiale, mettent déjà en place un groupe de travail, composé de
5 institutions, dont la CDG marocaine pour le continent africain, et devant élaborer un document assez
exhaustif sur la finance climatique ainsi que sur sa mise en oeuvre. Si l’agenda du nouveau Club comprend la réelle participation à la promotion de partenariats entre des Banques de développement nationales et régionales, aussi bien au niveau international que national, afin d'agir de manière concertée
et efficace, il appréhende d’ores et déjà très sérieusement, sa contribution, relativement à la finance
climatique, au « Rio+20 », réunion des Nations Unies, prévue en juin 2012.
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Pour sa part, Anass Alami, directeur général de la CDG, seul représentant du continent africain à ce
Club, a plaidé pour une participation active aux travaux du réseau aux côtés de ses pairs, pour parachever les causes nobles qu’il s’assigne comme desseins.
D. MBaye
Exim Bank to provide $27.5 million line of credit to Senegal
MUMBAI: The Export-Import Bank of India (Exim Bank) has entered into an agreement with Senegal for
extending a USD 27.5 million soft loan to finance exports and consultancy services for a rural electrification project in the African nation.
The Line of Credit (LoC) is effective from August 24 this year and the date of execution of the agreement is April 21, the Reserve Bank said in a statement.
"Exim Bank has concluded an agreement dated April 21, 2011, with the government of Senegal, making available to the latter a LoC of USD 27.50 million for financing eligible goods, services, machinery
and equipment, including consultancy services from India, for the purpose of financing a rural electrification project in Senegal," it said.
Out of the total credit provided under this agreement, at least 75 per cent of the goods and services,
including consultancy services, have to be sourced from India.
With an aim to monitor the end-use of soft loan assistance by the Exim Bank to other countries, the
Finance Ministry had last week said that all such projects will be monitored twice a year by a special
committee.
The bank provides a LoC under the Indian Development and Economic Assistance Scheme to poor,
low and medium income countries.
During 2010-11, 22 LoCs worth a combined USD 2.38 billion were extended by the Exim Bank to support
the export of projects, goods and services from India.
As of March, 2011, the Bank has in place 138 LoCs covering 72 countries in Africa, Asia, the CIS, Europe
and Latin America, with credit commitments aggregating to USD 6.66 billion.
Demand for mobile payment offer African banks huge
trade potential
Send to a friend
By The Citizen Reporter & Agencies
Dar es Salaam. Mobile-savvy consumers in Africa want to do more with their phones and that presents
huge commercial and business opportunities for the continent’s banks and their merchant partners, a
new report titled: Mobile Africa Report 2011 has said.
According to the African Development Bank, there were fewer than two million mobile phone users in
the continent 13 years ago. The number grew to over 400 million in 2009.In Tanzania, official figures
show that mobile users increased from about 36,000 in 1998 to 21.2 million at the end of March this year.
The number is projected to reach 36.6 million by 2015.
“Banks and other providers now recognise the potential of reaching millions of prospective customers,
especially the rural population who account for more than 60 per cent of Africa’s total population and
have no access to banking services,” authors of the report note.
“An increasing number of banks and financial institutions are using mobile advertising to share information and promote services. As financial institutions embrace mobile phones as a distinct channel - not
just a supplement to PC banking - their number-one challenge is the same as they faced when first rolling out online banking: consumer confidence,” they add.
In countries such as Kenya, or South Africa, research indicates that users have a higher propensity to
make e-commerce and m-commerce transactions with 46 per cent of Kenyan and 43 per cent of
South African users having made remote purchases via mobile Internet, fixed Internet and telephone
respectively.
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The most popular items for remote purchases are downloads and virtual gifts, with 25.99 per cent of
South Africans and 30.13 per cent of Kenyan’s polled in a recent survey having purchased these items.
With a successful mobile banking platform and an effective education, more awareness can lead to
greater demand for m-commerce services. Other m-commerce services on African users’ wish-lists include buying tickets (movies, transport), buying groceries and paying restaurant bills.
Experts argue that this provides many opportunities for banks to partner with merchants such as cinema
operators, supermarket chains and even fast food or restaurant outlets.
In South Africa, Standard Chartered allows consumers to use their phones to check their bank account
balance, manage credit cards or loans, pay bills, transfer money between accounts and more. However consumers are often required to register first from a PC before being able to bank with a phone.
“When done correctly, mobile banking can create and grow new markets, enabling consumers in a
variety of settings to save money and pay bills and in the process create value in communities.”
Four years ago, mobile operator Safaricom launched M-Pesa in Kenya. The mobile company, which introduced the first mobile payment scheme in Africa on March 6, 2007, has since witnessed this service
being introduced in several African countries by other mobile operators, including its competitors in
Kenya.
Mobile payment services have now been launched in South Africa, Madagascar, Uganda, Côte
d’Ivoire, Senegal and Tanzania. By early this year M-Pesa in Kenya was used by 10 million people
around the country and had transferred Ksh135.38 billion ($1.8 billion) representing about five per cent
of GDP.
In Tanzania, M-Pesa, which was launched in 2008, has over two million customers, who are served
through a network of 10,000 agents.
“Since its launch in 2008, M-Pesa has played an instrumental role in changing the way money is sent,
saved, and used to buy daily needs, by Vodacom customers across the country. Over the last three
years, the M-Pesa mobile money solution has become ingrained in the lives of Vodacom customers,”
Vodacom Tanzania said last month in a statement when announcing that it now has 10 million mobile
phone users.
“The key to M-Pesa’s success, in Kenya and a growing number of countries, is the African love affair
with the cell phone. Sometime in 2011, the continent will cross a threshold of mobile phone use, with
one mobile phone for every African adult,” reads a part of the mobile report.
According to research firm Juniper, the number of active users of mobile money services in the world is
predicted to double in the next two years, exceeding 200 million by 2013. Nearly 40 per cent active users in 2015 are estimated be in the Africa & Middle East region.
“Consumers in Africa are looking for a robust e-commerce solution that delivers security, accessibility,
acceptance, ability and a global reach,” says Mr Manoj Kohil, Airtel chief executive officer and joint
managing director.
Currently it is estimated that Africa has close to 500 million mobile phone users and an unbanked population of 230 million households. It is expected that by 2014, Africa will see 56 per cent mobile penetration.
But East African banks are proving slow to embrace the Internet, and systems that take mobile ecommerce payments, reported Kenya’s leading software developers at the recent AITEC Banking and
Mobile Money Conference in Nairobi.
Cell phone penetration is estimated at 98 percent in South Africa. According to the Tanzania Communications Regulatory Authority (TCRA) mobile phone penetration in Tanzania stood at 47 per cent last
year
“Interestingly, in Africa, some consumers might not have shoes, but they have a cell phone,” according
to Mr Brian Richardson, a former banker and founder of mobile payment services firm Wizzit of South
Africa.
By the end of 2008, the company had an estimated 250,000 customers in South Africa, and today it has
two million customers across Africa and Europe. Customers can use their cell phones for such functions
as viewing bank statements, sending money and paying bills, all with low transaction fees.
Mobile banking is an example of cell phones being used in innovative ways to bypass the gaps in traditional infrastructure in Africa — in this case the shortage of bricks-and mortar banks in rural areas, and
lack of Internet access.
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“It’s very difficult to build a sustainable, viable economy when the bulk of your population is unbanked.
There is the equivalent of $2 billion under mattresses in South Africa at any time. If even a portion of that
was in banks, it would have a huge impact on the economy,” Mr Richardson argues.
The Johannesburg-based company has since expanded into Zambia, Rwanda, Tanzania and Romania,
and plans to launch in three more African countries, with talk of expanding into other major emerging
markets.
According to a 2009 survey by the World Bank’s Consultative Group to Assist the Poor, about 2.7 billion
people globally do not have banking services. Access to banking can help people to lift themselves
out of poverty by providing ways to save money and make payments without having to travel.
Western Union and Societe Generale International Retail Banking extend their Global Money Transfer Agreement / Collaboration will allow companies to work together in 40 countries
Western Union and Societe Generale International Retail Banking extend their Global Money Transfer
Agreement / Collaboration will allow companies to work together in 40 countries
ENGLEWOOD, USA, October 21, 2011/African Press Organization (APO)/ — Western Union (NYSE: WU), a
leader in global payment services, and Societe Generale, one of the largest financial services groups in
Europe, today announced an agreement that will introduce the Western Union® Money TransferSM service in Societe Generale International Retail Banking’s network in new countries across Europe – excluding metropolitan France – and CIS, Africa and Asia Pacific.
Logo: http://www.apo-mail.org/Western_Union.jpg
Picture : http://www.apo-mail.org/SG-WU.jpg
(Mr Bernard David, Deputy Head International Retail Banking, Société Générale Group and Mr. Jean
Claude Farah Senior Vice President, Middle East and Africa, The Western Union Company)
Societe Generale International Retail Banking already offers Western Union services in more than 2,500
locations across 25 countries. The agreement is an extension of the two companies’ successful collaboration across Europe and Africa.
“We’re looking forward to combining our strengths in Asia Pacific and the Commonwealth of Independent States,” said Hikmet Ersek, CEO and President, Western Union. “Societe Generale and Western Union share a centuries-old heritage as well as global presence. This renewal, and more importantly, the
extension of our relationship into more countries, builds on our past success and global infrastructure.”
Mr Bernard David, Deputy Head International Retail Banking, Société Générale Group and Mr. Jean Claude Farah
Senior Vice President, Middle East and Africa, The Western
Union Company
(Download the Picture)
“Renewing the global agreement with Western Union will
allow us to expand our relationship to more markets.
Therefore, we will better serve our clients with complete
solutions, which is at the heart of our business“ said JeanLouis Mattei, Head of International Retail Banking at Societe Generale.
The relationship between Societe Generale and Western Union has grown rapidly since the first Western
Union Money Transfer agreement was signed in 1998.
Distributed by the African Press Organization on behalf of Western Union.
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About Western Union
The Western Union Company (NYSE: WU) is a leader in global payment services. Together with its Vigo,
Orlandi Valuta, Pago Facil and Western Union Business Solutions branded payment services, Western
Union provides consumers and businesses with fast, reliable and convenient ways to send and receive
money around the world, to send payments and to purchase money orders. The Western Union, Vigo
and Orlandi Valuta branded services are offered through a combined network of 470,000 agent locations in 200 countries and territories. In 2010, The Western Union Company completed 214 million consumer-to-consumer transactions worldwide, moving $76 billion of principal between consumers, and
405 million business payments.
For more information, visit http://www.westernunion.com.
Western Union
Media Lisa McConnell, +27 11 549 3310, [email protected]
Investors : Mike Salop, +1 720-332-8276 - [email protected]
SOURCE : Western Union
ECO Bank pumps $1m in new software
By NKOLE CHITALA
ECO Bank Zambia says it is investing over US$ 1 million in upgrading of a core banking software application, Flexcube to help avoid fraud and cyber crime.
Flexcube is Oracle Corporation’s banking automation software that enables global financial institutions
to provide a more efficient service to customers.
Managing director Charity Lumpa said the changeover to Flexcube is effective October 31, 2011.
Ms Lumpa told media briefing that the bank expects normal banking operation while migrating from
the current system to the new one.
She the technology and telecommunications platform is supported by three data centres located in
Accra, Lome and London which provide real time disaster recovery capabilities.
And the bank is to invest US$2 million in opening four branches in Livingstone, Ndola, Chipata and Solwezi.
She said services will be made available in Chibombo, Mpongwe, Masaiti and Shango’mbo.
The outlets will be supported by Automated Teller Machines by the end of 2012.
The bank has four existing branches on Thabo Mbeki, Cairo Roads and Woodlands and Kitwe since
2009.
She said the expansion is a commitment to provide effective banking services to more people across
the country thereby supporting Governments development programmes.
Le Mobile Banking pour booster le taux de bancarisation
(Source: reussirbusiness.com) Aujourd’hui, même si le taux de
bancarisation reste encore faible au Sénégal moins de 20%
contre, 10 % dans l’UEMOA, force est de préciser que
d’importantes mesures ont été prises, même si la réussite n’a
pas toujours été au rendez-vous. Mais le GIM semble avoir
trouvé une solution qui pourrait bien faire avancer le taux,
notamment au Sénégal. « La mise en place du projet Mobile
Banking / Mobile Payment comme principal vecteur de bancarisation de nos populations et d’accès aux services financiers de base, notre solution innovante qui va changer le
quotidien de nos citoyens », explique M. Blaise Ahouantchédé, Directeur Général du GIM-UEMOA. En
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effet, si beaucoup d’espoirs sont placés sur cette trouvaille, c’est grâce à son adaptation aux réalités
du moment. Aujourd’hui, l’usage du téléphone est comme devenu une nécessité. L’ayant compris, le
GIM a pris d’assaut le téléphone. « Aux grands maux, les grandes solutions. Cette trouvaille contribuera
dans l’atteinte des objectifs du millénaire pour le développement. Cela passe par la promotion de
l’inclusion financière s’avère capitale pour permettre aux personnes non bancarisées estimées à 90%
de la population de l’UEMOA, d’accéder aux services financiers de base. Il nous faut y aller en unissant
nos efforts », a dit le Directeur Général de GIM.
Promotion de la bancarisation : Le Mabef lance une
grande campagne de sensibilisation
(Source : Le Democrate repris par Abidjan.net)
Après la récente organisation du Mabef (Marché des assurances, banques et établissements financiers), qui a mobilisé pendant quatre jours, les principaux opérateurs économiques du secteur bancaire, des assurances et des établissements financiers, Média Afrique communication (Mediacom),
n’entend pas s’arrêter en si bon chemin. C’est pourquoi, elle initie les tout prochains jours, une vaste
campagne de promotion de la bancarisation.
Média Afrique communication (Mediacom) veut inscrire la bancarisation comme le fer de lance de la
politique de relance des activités économiques post crise en Côte d’Ivoire. C’est ce qui ressort en substance de l’entretien que nous a accordé lundi, N’dri Bernard, le directeur général du Marché des assurances, banques et établissements financiers (Mabef) qui est une des activités de Mediacom. Selon
N’dri Bernard, aucun investissement crédible et porteur, ne peut être réalisé que si les banques et les
établissements financiers, mobilisent les ressources financières nécessaires. D’autant que c’est grâce à
l’importance du taux de bancarisation que les opérateurs économiques européens, ont pu bénéficier
de l’investissement initial nécessaire pour démarrer leurs premières activités.
Le constat qui ressort du récent Mabef, quant au taux de bancarisation en Afrique, en général et en
Côte d’Ivoire, en particulier, est très alarmiste.
La bancarisation comme solution à la pauvreté
Toute chose qui impacte négativement sur le financement des projets d’emploi, d’autant plus que les
banques n’arrivent pas à mobiliser suffisamment les ressources financières nécessaires à cet effet. Et
pourtant, il suffit seulement d’encourager et mobiliser l’épargne en Côte d’Ivoire pour renflouer les
caisses des banques commerciales qui, à coup sûr, aura une répercussion bénéfique sur l’essor des entreprises, véritables gages de la promotion de l’emploi. C’est pourquoi, le Mabef a décidé de palier
cette difficulté en initiant cette vaste campagne de promotion des produits d’assurances et de banques. En somme, le Marché des assurances, banques et établissements financiers, affiche ainsi sa
détermination à développer le secteur des services et le positionner comme le leitmotiv de la relance
des activités économiques post crise électorale.
Idrissa Konaté
Continental : Ecobank à l'assaut des plus hautes
marches
Par Stéphane Ballong
Le siège d'Ecobank à Abidjan, en Côte d'Ivoire. © AFP
Avec deux nouvelles acquisitions, au Ghana et au Nigeria, Ecobank s’impose peu à peu sur ses principaux marchés ouest-africains. Objectif : figurer dans le trio de tête de chaque pays où il est présent.
D’abord The Trust Bank au Ghana, ensuite Oceanic Bank au Nigeria. En juillet, en l’espace de deux semaines, Ecobank a annoncé coup sur coup deux opérations majeures sur les deux principaux marchés
de son réseau. Deux acquisitions, actuellement en cours de bouclage, qui doivent lui permettre de se
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hisser en tête de peloton dans chacun de ces pays et de franchir un nouveau cap dans sa stratégie :
figurer parmi les trois premiers établissements dans chacun de ses trente pays d’implantation.
« Nous avons aujourd’hui atteint cet objectif dans quinze pays », affirme Laurence do Rego, administratrice exécutive chargée de la finance, du risque et du contrôle interne. D’ici à 2012, c’est surtout au
Nigeria que le groupe aura réalisé la plus grande avancée. Sur ce marché, le plus grand d’Afrique subsaharienne, où Ecobank réalise près de 25 % de ses revenus, le rachat d’Oceanic Bank (4,8 milliards
d’euros de total de bilan en 2010) propulse sa filiale locale dans les cinq premières banques du pays.
Du quatorzième rang en termes d’actifs gérés, Ecobank Nigeria, avec 2,3 milliards d’euros de total de
bilan en 2010, va désormais passer à la cinquième place, avec un total de bilan de près de 7,2 milliards
d’euros. Par les dépôts, la nouvelle entité viendra en quatrième position ; par le nombre d’agences,
estimé à plus de 600, au deuxième rang. C’est justement sur ce potentiel, couplé à une politique
commerciale agressive, qu’Ecobank mise pour rejoindre rapidement le trio de tête.
Au Ghana, où la croissance du PIB devrait atteindre 13,5 % en 2011 et où Ecobank a réalisé environ
48 millions d’euros de bénéfice net en 2010, le groupe s’apprête également à voir ses parts de marché
fortement augmenter. À Accra, il est sur le point de prendre le contrôle de The Trust Bank (300 millions
d’euros de total de bilan), qui devra fusionner avec Ecobank Ghana. La nouvelle entité passera ainsi
de la quatrième à la deuxième position.
Avec ces deux acquisitions, Ecobank devrait peser près de 15 milliards d’euros de total de bilan en
2012, contre 9,1 milliards actuellement. Ces opérations seront notamment financées par une émission
d’actions, grâce à une autorisation obtenue auprès des actionnaires en 2008 pour lever près de
2,3 milliards d’euros. Plus de 375 millions ont depuis été mobilisés, reste une marge de 1,9 milliard. Il n’y
aura donc pas de nouvelle levée de fonds, contrairement à ce qui a été indiqué dans la presse.
Leadership
Outre le Ghana et le Nigeria, le groupe parvient à gagner des parts sur d’autres marchés importants.
En Côte d’Ivoire, il se classe deuxième, derrière la SGBCI et devant la BIAO Côte d’Ivoire. Au Sénégal,
Ecobank est sur la troisième marche, derrière la CBAO (groupe Attijariwafa Bank) et la SGBS.
« Au cours de ces deux dernières années, la banque a réussi à prendre le leadership dans des pays
comme le Mali, le Tchad, la Centrafrique, le Burkina… », indique-t-on à la direction du groupe. Ecobank
Burkina est ainsi devenu numéro un en 2010, après avoir racheté en 2008 la Banque nationale agricole
et commerciale du Burkina (BACB), pour 13 millions d’euros.
Mais si, globalement, Ecobank, qui a réalisé douze acquisitions au cours de ces quatre dernières
années, semble plutôt bien s’en sortir en Afrique de l’Ouest, le groupe panafricain doit encore
s’imposer au centre et dans l’est du continent. Notamment au Cameroun et au Kenya, où ses filiales
sont respectivement classées sixième et dix-septième.
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Continental : Ecobank à l'assaut des plus hautes marches | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
La BOAD entre dans le capital du groupe bancaire
Oragroup
LOME -- La Banque ouest-africaine de développement (BOAD) a fait une prise de participation au
montant de 2 milliards de francs Cfa (environ 4,2 millions USD) au capital du groupe bancaire Oragroup
au terme d'un accord signé mercredi par les deux institutions dans la capitale togolaise.
A la suite de cette intervention de la BOAD s'est opérée pendant que le groupe PROPARCO, filiale de
l'Agence française de développement(AFD) et une institution de financement publique de la Belgique
ont également fait leur entrée au capital.
Ces prises de participations ont fait passé le capital de ce holding de 48,588 milliards CFA à 54,965 milliards CFA.
L'opération de la BOAD intervient en une période où l' institution communautaire conforte ses capacités financières au travers des lignes de crédit de ses actionnaires stratégiques chinois et français.
La BOAD est l'institution financière de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) qui
comprend huit pays: Bénin, Burkina, Côte d'Ivoire, Guinée-Bissau, Mali, Niger, Sénégal et Togo.
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