In Dreams - Groupe LAPS
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In Dreams - Groupe LAPS
In Dreams un projet de spectacle interactif sous vidéo-surveillance 70 rue Douy Delcupe 93100 Montreuil www.groupe-laps.org tél. : 01 43 63 20 19 [email protected] Direction artistique Pierre Froment La sensation d’inquiétante étrangeté fut une impression particulièrement difficile à définir. Ni terreur absolue ni angoisse diffuse, l’inquiétante étrangeté parut plus facile à décrire en fonction de ce qu’elle n’était pas, qu’à partir d’une signification propre. Anthony Vidler, The Architectural Uncanny, The M.I.T. Press, Londres, 1992. (...) l’inquiétante étrangeté sera cette sorte de l’effrayant qui se rattache aux choses connues depuis longtemps, et de tout temps familière. Sigmund Freud, L’inquiétante étrangeté, Essais de psychanalyse appliquée, Éditions Gallimard, Paris, 1933. 3 S O M M A I R E In Dreams - note d’intention ............................................................................................................................ Page 5 Structures et principes ................................................................................................................................................. page 6 Outils numériques et temps de développement ............................................................... Page 8 Distribution et note biographique ......................................................................................................... Page 9 Planning de création .............................................................................................................................................................. Page 10 Budget prévisionnel de production ...................................................................................................... Page 11 Présentation du groupe LAPS ........................................................................................................................... Page 12 Parmis les projets du groupe LAPS ...................................................................................................... Page 13 In Dreams Contact ...............................................................................................................................................................................................................Page 14 4 In Dreams photogrammes extraits de la vidéo captée et diffusée pendant le performance Velvet La Blanchisserie, 2005 In Dreams - note d’intention 5 In Dreams est un projet de spectacle entre théâtre, danse, performance audio-visuelle et dispositif de vidéo-surveillance, très librement inspiré du film de David Lynch Blue Velvet. Ce film met en scène un personnage (Jeffrey) animé d’une très forte envie de voir et de savoir qui va le faire basculer dans un autre monde, sombre et étrange, au point d’en devenir l’un des acteurs. À partir de cette question du regard, In Dreams se propose de travailler le rapport au spectateur, et pour cela d’opérer un glissement analogique à partir des principaux protagonistes du film de David Lynch : - Trois acteurs-danseurs-performeurs incarnent respectivement, et à leur façon, Ben (sorte de maître de cérémonie), Frank (tortionnaire schizophrénique), Dorothy (objet de désir, initiatrice et victime à la fois). - Chaque spectateur (et le public comme entité) devient potentiellement Jeffrey (personnage principal du film), celui qui veut voir et par là donne à voir. - Un performeur-vidéaste endosse le rôle de celui qui filme, donne à voir le dedans comme le dehors (un genre de réalisateur), à travers un dispositif de vidéo-surveillance filmant en direct des espaces hors-champ des spectateurs. Notre désir est que l’ensemble forme ainsi une sorte de huis-clos où chaque espace fonctionne comme cellule, voisine d’une autre, emprisonnant la pièce et les spectateurs dans un jeu sans hors-champ. Un dispositif panoptique où chacun peut voir et, par là même, être vu, créant ainsi les conditions d’une expérience collective dans laquelle chacun peut basculer à tout instant. Au même titre que Jeffrey découvre le monde obscur de la nuit en même temps qu’il l’invente, ce qui a lieu n’existe que pour ce spectateur-regardeur, qui semble voir sans être vu, mais qu’un rien fait basculer de l’autre côté de la mise en scène ; à la fois voyeur et acteur du rituel, possédé et dépossédé, toujours déjà pris dans le jeu de la représentation induit par le dispositif de vidéo-surveillance. In Dreams In Dreams se veut être un rituel de possession entraînant le spectateur dans un basculement des rôles : une transe par laquelle s’exorcisent nos désirs et nos craintes. 6 Structure et principes L’espace de jeu Nous qualifions trois types d’espaces (dans l’ordre chronologique de leur apparition) : - un espace d’accueil (billetterie, bar ou équivalent), intérieur ou extérieur, connu des spectateurs et visible à travers le dispositif de vidéo-surveillance, - un lieu de représentation où se situent les spectateurs et, sur scène, un grand écran devant lequel se tient de dos le vidéaste, manipulateur des images, - le reste des espaces disponibles, les coulisses, inconnus du spectateur, rendus visibles et existants par le dispositif de vidéo-surveillance. Ainsi, nous prenons pour principe d’exploiter tendanciellement l’ensemble du lieu qui s’offre à nous et d’en révéler - en les explorant - les potentialités scénographiques. La frontière entre espace de jeu et espace du public se fera et se défera au cours de la représentation. Le dispositif vidéo Une série de caméras motorisées (pan, tilt and zoom) quadrille l’espace de jeu à la manière d’un dispositif de vidéo-surveillance, filmant en continu les différents espaces parcourus par les protagonistes et spectateurs de la pièce. Le vidéaste, équipé d’une régie à vue, effectue en direct un mixage de ces images, alors projetées sur un écran de fond de scène, et de ces sons diffusés dans la salle. En même temps que le spectacle se déroule sous nos yeux, une performance audio-visuelle et un film se construisent, dont le spectateur est l’un des protagonistes. La vidéo-surveillance agit ici comme un opérateur de multiplication d’espace, un multiplicateur d’emplacements. Des espaces éloignés se trouvent, par l’intermédiaire de l’écran, rendus présents ici et maintenant, interconnectés à notre espace sous forme de relations de voisinages. Par là même, ils acquièrent d’emblée l’ambiguïté d’être bien là, en même temps qu’ils n’existent que comme image, juxtaposés les uns aux autres selon une bidimensionnalité cartographiante et emprisonnante. Il s’agit bien là d’un dispositif panoptique défini par la formule «voir sans être vu», mais dans lequel chacun joue un rôle à chaque instant interchangeable : chacun peut voir et être vu. «Nous ne sommes ni sur les gradins ni sur la scène, mais dans la machine panoptique, investis par ses effets de pouvoir que nous reconduisons nousmêmes puisque nous en sommes un rouage.» (M. Foucault, Surveiller et punir, Gallimard, 1975, p 219) In Dreams Le rapport au spectateur, le rituel, le basculement des rôles In Dreams se veut être un rituel. La représentation de théâtre en soi en est un, dans sa dramaturgie séculaire, la place attribuée à l’assemblée des spectateurs et le rôle des acteurs. Ici, nous voudrions que les spectateurs, isolément ou en groupe, puissent être invités à participer à la représentation, et que le spectacle ainsi offert rejaillisse sur l’ensemble des spectateurs pour lui rendre sensible le fait d’appartenir à une possibilité fictionnelle. Ainsi, tel spectateur, pris à témoin et mené par l’un des protagonistes, peut devenir Jeffrey, celui par lequel est vue, et ainsi donnée à voir, la scène à laquelle nous assistons. Jeffrey est le personnage manquant, l’opérateur d’une possible identification pour les spectateurs. Le rapport direct au spectateur est un élément prépondérant de In Dreams. D’égal à égal, de complicité et d’instrumentalisation, ce rapport au large spectre est susceptible de métamorphoser momentanément ou durablement certains spectateurs en acteurs du rituel. Tandis que Dorothy et Frank restent « à l’intérieur » du personnage dont ils sont l’incarnation, n’entretenant de rapport au spectateur qu’en tant qu’il figure le personnage de Jeffrey, Ben, entremetteur et maître de cérémonie, s’adresse directement au spectateur en tant que tel, l’invite à devenir personnage, lui prodigue conseils et indications de jeu. Ben constitue donc une sorte d’interface entre les personnages et les spectateurs, organisant et régissant le passage d’un monde à l’autre. Il est à la fois à l’intérieur de la pièce, en tant que personnage, et à l’extérieur, dans la réalité de la situation du spectacle proposée aux spectateurs. Ce jeu relationnel entre les opérateurs que sont Dorothy et Frank d’une part, Ben d’autre part et Jeffrey sous ses multiples incarnations potentielles, constitue l’espace dramaturgique du rituel. 7 Le corps et le jeu : le rapport au film In Dreams Outre les questions du regard, du désir de voir, du basculement spectateur-acteur déjà évoquées, In Dreams emprunte au film de David Lynch une ambiance particulière, faite d’un mélange de trivial et de mystère, de sensualité et de violence : un univers de désirs, de pulsions et de fantasmes, que le personnages du film et ceux de In Dreams auront en partage. Ainsi, les protagonistes de la pièce eux-mêmes utilisent le film de David Lynch comme canevas d’un rituel au sein duquel ils vont mimer, jouer et rejouer des scènes et situations les menant à une véritable transe. Comme dans Blue Velvet, une certaine violence des corps se dégage du jeu des acteurs. Mais c’est aussi de cette violence que naît le corps dansé, ritualisé dans une sorte de pantomime qui fait basculer les corps de la pesanteur à la légèreté, et le jeu de la gravité au burlesque. Des corps qui, en état de tension permanent, l’effort accompli, s’abandonnent à la lascivité. Une parole contenue qui laisse place au corps parlant, fiévreux, en état de moiteur. Pour mieux approcher cette architecture du rituel, un autre film peut être invoqué : celui de Jean Rouch Les Maîtres Fous dans lequel il filme un rituel d’exorcisme où les protagonistes endossent de manière caricaturale et stylisée le rôle des colons blancs détenteurs du pouvoir. Ce film, dont on ne sait s’il s’agit d’un documentaire décrivant le réel ou d’une captation parodique de type docu-fiction (ou les deux à la fois) décrit bien la limite sur laquelle In Dreams tente de se maintenir, entre fiction du spectacle et réalité de la situation. photogrammes extraits de la vidéo captée et diffusée pendant le performance Velvet L’Imprimerie 168, 2003 8 Outils numériques et temps de développement Le dispositif de vidéo-surveillance à l’oeuvre dans In Dreams consiste en un réseau de caméras IP motorisées (entre 5 et 8, mais leur nombre exact reste à déterminer en fonction de l’évolution de la création et des lieux d’accueil) connectées à un réseau informatique de type Intranet. Le pilotage des caméras et la transmission de leurs images et sons sont assurés par la transmission des données via le réseau. À ce stade de la création nous étudions encore la possibilité de fabriquer ces caméras à partir de modules Raspberry Pi augmentés d’un système mécanique pilotable de type PTZ (pan, tilt and zoom) ou d’acquérir un matériel existant prêt à l’emploi. De plus, le projet ne s’interdit pas l’utilisation ponctuelle et partielle de systèmes de vidéo-surveillance existant dans les lieux d’accueil. Quoiqu’il en soit, l’utilisation d’un système de caméras motorisées connectées par réseau informatique garantit la rapidité, la fiabilité et donc la faisabilité de l’installation dans les lieux d’accueil. La manipulation en direct du dispositif doit être assurée par un système logiciel qui permette de réagencer librement à l’écran les images et les sons provenant des caméras, d’en piloter les mouvements de rotation et de zoom optique et d’enregistrer / rediffuser ces images et sons à notre guise. Là encore, nous étudions la possibilité d’acquérir un logiciel existant ou la nécessité d’en assurer le développement à partir d’une plateforme de programmation libre telle que Pure Data. Au terme de ce temps de développement du projet qui doit permettre d’opérer les choix et d’acquérir le matériel (physique et logiciel) minimal nécessaire à la création, une première résidence de création aura lieu aux Abattoirs de la ville de Riom (co-production acquise), qui permettra d’éprouver et de développer le travail d’écriture engagé et le dispositif numérique afférent. 9 Distribution et note biographique Metteur en scène / Réalisateur : Pierre Froment Interprètes pressentis : Côme Delain dans le rôle de Ben Alexandre Théry dans le rôle de Frank Recherche d’une comédienne pour le rôle de Dorothy Pierre Froment - metteur en scène / plasticien / vidéaste Après des études de philosophie politique et de philosophie des sciences, et animé d’une passion sans limite pour le cinéma, il mène ses premières expériences artistiques dans la réalisation de films courts (Topochorégraphie d’un lieu, Une nuit et un jour…), puis ses premières expériences de vidéaste dans le domaine du spectacle vivant autour de performances et spectacles de danse contemporaine (Cie In Situ, En Chantier avec la cie IDA Mark Tompkins 2001-2004). En 2001, il fonde le collectif de production artistique et multimédia EPOKA, au sein duquel il collabore à différents projets d’installations, spectacles et performances en tant que vidéaste et concepteur de dispositifs multimédia (Velvet, Hom(e), La Boîte Noire…). Se dessine alors son intérêt constant et croissant pour les systèmes d’interaction et la question de la fiction et de l’auto-fiction. Il conçoit et réalise des projets d’installations urbaines multimédia à grande échelle (Perturbation 1 et 2, Bureau des Vérifications, Tour M…) et intervient régulièrement en tant que vidéaste ou développeur sur d’autres créations scéniques. In Dreams Au sein du Groupe LAPS, il poursuit ses activités de recherche, de création et de production dans le domaine du multimédia, des arts numériques et du spectacle vivant : Witness N14 avec la compagnie Friches Théâtre Urbain, L’attente de l’arrivée à Villetaneuse, Futuricité à Pierrefitte, KEYFRAMES à la Fête des Lumières 2011 de Lyon, Spectres aux Bains Numériques 2014... 10 planning de création 9 jours printemps 2015 Les Abattoirs de Riom (63) (acquis) Résidence de développement : écriture scénique phase 1 et étude du dispositif numérique (1 metteur en scène, 1 développeur logiciel, 3 comédiens, 1 oeil extérieur) 10 jours printemps/été 2015 Château Ephémère (78) (en cours) Résidence de création N°1 : développement vidéo et création sonore (1 metteur en scène, 1 développeur logiciel, 1 créateur sonore) 5 jours été/automne 2015 Centre des Arts (95) (en cours) Résidence de création N°2 : écriture scénique phase 2 (1 metteur en scène, 3 comédiens, 1 oeil extérieur, 1 créateur sonore, 1 créateur lumière) 5 jours automne/hiver 2015 Résidence de création N°3 : écriture scénique phase 3 (1 metteur en scène, 3 comédiens, 1 oeil extérieur, 1 créateur sonore, 1 créateur lumière) In Dreams 10 jours hiver 2015 Résidence de création N°4 : assemblage et finalisation (1 metteur en scène, 3 comédiens, 1 oeil extérieur, 1 créateur sonore et 1 créateur lumière) 11 Groupe LAPS BUDGET PRÉVISIONNEL DE PRODUCTION (Budget au 17/09/2014 avec 3 comédiens) DEPENSES salaires artistiques et techniques Brut / J nb J Metteur en scène / Réalisateur Comédiens Oeil extérieur Créateur sonore Créateur lumière Développeur logiciel cotisations patronales 59 87 17 17 9 120 € 120 € 120 € 120 € 120 € total 7 080 € 10 440 € 2 040 € 2 040 € 1 080 € 4 500 € 13 446 € Frais techniques et logistiques matériel vidéo, lumière, son Costumes Accessoires Entretiens costumes 26 500 € 20 000 € 2 000 € 4 000 € 500 € Autres frais de production Administration et suivi de production assurance Communication tel-poste missions réceptions 40 626 € 9 320 € 7 000 € 120 € 1 200 € 200 € 800 € TOTAL DEPENSES 76 446 € PRODUITS autofinancement Groupe LAPS (apport en matériel) 3 046 € 3 046 € subventions 34 000 € coproductions et résidences Ville de Riom (acquis) Co-producteur(s) Résidences TOTAL DES PRODUITS 10 000 € 10 000 € 12 000 € 2 000 € 39 400 € 1 000 € 31 000 € 7 400 € 76 446 € In Dreams Aide à au développement DICREAM (en-cours) Aide à la production DICREAM DRAC Ile-de-France – aide à la production dramatique DRAC Auvergne (aide à la résidence) (en-cours) 12 Présentation du Groupe LAPS Issu de la fusion de deux collectifs, Epoka et la 8e Compagnie, le Groupe LAPS est une structure de production artistique réunissant des artistes associés, plasticiens, scénographes, éclairagistes et vidéastes. En mutualisant des outils matériels, des savoir-faire artistiques et techniques, le Groupe LAPS développe des propositions artistiques — films, lumières, installations et dispositifs multimédias. Les créations du Groupe LAPS, collectives ou individuelles, prennent forme et vie pour naviguer entre la réalité et la fiction, dé-construire et re-construire, perturber, détourner, s’immiscer, épouser, surprendre… Les installations proposées sont des éléments de récit, des signes partiels qui apportent une modification du réel et de l’espace temporel. Le groupe LAPS travaille depuis 2001 à des créations où se croisent installations, nouveaux médias et performances. À travers ces réalisations, nous expérimentons des espaces architecturaux qui deviennent les lieux habités d’une représentation jouant constamment d’une double conscience entre visible et voilé, présence et absence, réalité et fiction. In Dreams Les différentes réalisations du Groupe LAPS et de ses artistes associés sont consultables par Internet à l’adresse http://www.groupe-laps.org/ Parmi les projets du Groupe LAPS SPECTRES 13 (création 2014) Installation vidéo interactive À l’écran, dix figures au lointain. Un mouvement léger les anime, parfois quasi imperceptible, qui trahit l’attente. Elles nous regardent, invitent à s’avancer vers l’écran, à s’approcher d’elles pour les faire exister, comme pour un rendez-vous improbable où l’on ne saurait en définitive qui rencontre l’autre, si c’est nous qu’elles attendent, à nous qu’elles s’adressent réellement... Ce projet est co-produit par le Centre des Arts (95), L’Avant Rue (75), le Lieu Multiple (86). Aide à la création : le DICREAM (aide au développement). DRAC Ile-de-France, Région Ile-de-France, la ville de Montreuil (93) Soutien : ARCADI (plateaux solidaires) Bains Numériques #8 au Centre des Arts (95), juin 2014 KEYFRAMES (création 2011) Installation plastique nocturne destinée aux espaces publics Sur le principe de la décomposition de mouvement (chronophotographie) et de la cinétique, des personnages lumineux et sonores sont précisément disposés dans l’espace pour reconstituer une histoire au cours de séquences d’allumage programmées. KEYFRAMES crée un pont entre sculpture et cinéma, un art plastique scénarisé, spectaculaire et festif qui métamorphose l’espace dans lequel il s’inscrit. Fête des Lumières Lyon 2011 Fête des Lumières de Lyon, déc. 2011 / I Light Marina Bay de Singapour, mars 2012 / Light in Jerusalem, juin 2012 / Glow festival à Eindhoven, nov.2012 / Dépayz’arts à Brie Comte Robert, déc. 2012 / Nocha Blanca à Bilbao, juin 2013 / Lumina Light Festival de Cascais, sept. 2013 / E-TOPIE Marseille-Provence 2013, oct-nov / LUMIERE à Durham, nov. 2013 / Lausanne Lumière, dec 2013 / Faites des Lumières à Saint-Maixent l’Ecole, dec. 2013 / Dubaï Festival, mars. 2014 HOM(e) (création 2003) Installation plastique et audiovisuelle Ivry-sur-Seine (94) à l’hôpital Charles Foix 2003, Paris (75) à l’Imprimerie 168, 2003 In Dreams HOM(e) est une maison suspendue de 16 m2 en bâche polyane équipée d’un dispositif vidéo de six webcams, placées à l’intérieur de la maison, et deux videoprojecteurs (ou écrans) diffusant les images à l’extérieur. Cette installation a été temporairement couplée avec une perfomance artistique retransmise par ces mêmes caméras. Installation HOM(e) 2003 contact Eugénie FRAIGNEAU Administratrice [email protected] +33 1 43 63 20 19 +33 6 13 98 08 64 Les différentes réalisations du Groupe LAPS et de ses artistes associés sont consultables : © Groupe LAPS www.groupe-laps.org Avec le soutien des Abattoirs et la ville de Riom