Compte rendu Eco Tour 2013 - CPIE - Maison de la nature Belle

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Compte rendu Eco Tour 2013 - CPIE - Maison de la nature Belle
PARTICIPER POUR PRÉSERVER
CENTRE PERMANENT D’INITIATIVES POUR L’ENVIRONNEMENT BELLE-ILE-EN-MER
Compte rendu
« Eco Tour »
2013
Céline MARIE 02/08/2013
Nos partenaires
1. Personnes présentes ou structures représentées
Structure
Hôtel Restaurant
La Désirade
Camping La
Source
CCBI (stagiaire)
Hôtel Restaurant
Le Cardinal
Le Grand large
Office du
Tourisme
Restaurant
Le Goéland
Mairie de Sauzon
Tabac presse
Sauzon
Escale de Sauzon
Nom prénom
Battefort Julien
Cournez Clarisse
Legendre Coralie
Germain –Jouvet Clothilde
Sourimant Eric
Rebours Juliette
Khatou Fatia
Nathalie Anttencourt
Mme Hery
Mathilde Gautrain
02 97 31 70 70
[email protected]
[email protected]
02 97 31 60 95
[email protected]
02 97 31 83 04
02 97 31 61 60
[email protected]
02 97 31 80 92
[email protected]
02 97 31 81 93
[email protected]
[email protected]
Le Doux Nathalie
02 97 31 62 79
[email protected]
Anne Marie Le Doux
[email protected]
Thazinger Edouard
[email protected]
02 97 31 80 16
[email protected]
[email protected]
[email protected]
02 97 31 81 33
[email protected]
02 97 31 84 21
[email protected]
02 97 31 56 64
[email protected]
02 97 31 40 15
[email protected]
02 97 31 28 28
[email protected]
Mairie de Le
Palais
Céline Laville
Perrine Vallée
Gites
Auberge de
jeunesse
Hôtel Castel
Clara
Martine Séveno
Geoffroy Clémentine
Alister
Cars bleus
Coordonnées
Esther
CPIE –Maison de
Carine Parant
la Nature
CPIE –Maison de
Marie Céline
la Nature
Nombre total de participants : 23
Les intervenants :
Joel FONTAINE (Coved) sur le site de Chubiger pour la visite du centre
d’enfouissement
Jérémie MENER (CCBI) Garde du littoral pour la gestion des Espaces Naturels
Sensibles
Céline MARIE (CPIE – Maison de la Nature) pour la visite du barrage et la gestion de
l’eau.
2. Les objectifs de l’Eco Tour
L’Eco Tour 2013 organisé et animé par le CPIE en partenariat avec le Conseil
Général du Morbihan et la CCBI avait pour principaux objectifs :
- D’informer et de sensibiliser les participants aux enjeux environnementaux liés à
notre insularité.
- Transmettre les informations et les ressources nécessaires pour qu’ils deviennent à
leur tour les médiateurs auprès des visiteurs et/ou de leur clientèle.
Cette demi-journée s’adressait aux professionnels du tourisme, aux personnels
d’accueil des 4 mairies et de l’Office du tourisme.
3. La gestion de l’eau
3.1
La ressource et le stockage
Le contexte géo-morphologique bellilois ne permet pas de disposer, comme c’est le
cas sur le continent, de nappes phréatiques souterraines exploitables
collectivement. Aussi, la seule ressource en eau dont dispose les habitants de BelleÎle-en-Mer est d’origine pluviométrique.
Cette eau lorsqu’elle s’écoule et ruisselle dans les vallons est pompée par 6 stations
de pompages (captages) pour être acheminée dans les 3 barrages de l’île.
-Bordilla : capacité = 90 000 m3
-Antoureau : capacité = 220 000 m3
-Borfloch : capacité = 550 000 m3
La capacité totale de stockage à Belle-Île-en-Mer est de 860 000m3.
Il existe bien des sources et des réserves d’eau souterraines à Belle-Île-en-Mer. Elles
alimentaient en eau les habitants de l’île pour les modestes besoins quotidiens avant
la seconde guerre mondiale. Ces réserves d’eau ne sont pas négligeables pour un
usage individuel. Néanmoins, elles ne peuvent subvenir aux besoins collectifs
d’aujourd’hui.
En cas de faibles précipitations en hiver, le Syndicat « Eau du Morbihan » responsable
de l’approvisionnement en eau douce de l’île depuis le 1 janvier 2012, utilise les
unités mobiles de dessalement installées sur la plage des Grands Sables depuis 2005.
Ses capacités de production de 50m3 par heure pallient ponctuellement au
manque d’eau éventuel.
Un projet est en cours d’étude pour pérenniser ou non ces unités mobiles de
dessalement qui se dégradent à proximité de la plage.
3.2
La potabilisation
La station de traitement de l’eau construite à Bordilla en 1965 a une capacité de
production de 200m3 heure en période estivale et 100m3 en hiver.
Sa production annuelle est plafonnée à 500 000 m3 pour répondre aux besoins en
consommation d’eau qui s’élèvent à 420 000 m3 par an.
La nouvelle usine de traitement de l’eau, en cours de construction et opérationnelle
en avril 2014, aura une capacité de production de 250 m3 par heure.
3.3
Les usagers de l’eau
Le relevé des consommations d’eau effectués par la SAUR révèlent que les plus gros
pics de consommations correspondent aux périodes d’affluence de l’île.
De 900m3 jour en hiver, la population estivale ou saisonnière consomme 4000m3
d’eau par jour.
Les plus gros consommateurs de l’île sont l’hôpital et l’hôtel thalasso Castel Clara.
Pour diminuer les consommations d’eau dans les infrastructures touristiques, il existe
des démarches environnementales (Eco Label Européen, Clef verte, Green Globe…)
incitant les responsables et leurs salariés à équiper l’établissement d’équipements
hydro économes et à sensibiliser leur clientèle. A ce jour 7 structures touristiques sont
éco labellisées sur l’île. (Castel Clara, La Désirade, le Grand Large, le Cardinal, le
camping La Source, La clef des champs et l’Auberge de jeunesse).
3.4
Le traitement des eaux usées.
Les eaux usées de Belle-Île-en-Mer sont traitées avant leurs rejets en milieu naturel par
4 unités différentes :
La première située à Bruté est une station d’épuration qui recueille les eaux usées de
Le Palais, Sauzon et de Bangor. Son procédé biologique à « culture libre » que l’on
appelle « les boues activées »
Les eaux usées de Locmaria, sont traitées dans 3 bassins de lagunages naturels où
l’eau s’épure avec l’aide de plantes aquatiques, l’oxygène, l’action des UV et par
décantation.
Le prochain plan d’assainissement auquel devra faire face la CCBI prévoit de
séparer la commune de Bangor du réseau qui conduit les eaux usées à la station
d’épuration de Bruté. Des bassins de lagunages seront construis pour assainir les eaux
de Bangor. La station d’épuration à Bruté est en cours de restauration et de
modernisation.
3.5
La sensibilisation à l’économie d’eau.
Un dernier temps fut consacré à la présentation des équipements hydro économes
permettant de réduire la consommation d’eau à la maison mais aussi et surtout dans
les infrastructures touristiques (Réducteur de pression, réducteur de débit, éco
plaquette pour les WC…).
L’équipe du CPIE est à votre disposition pour toutes informations relatives aux
économies d’eau.
3.6 Temps d’échange
Les questions qui ont suivies cette brève présentation ont portées sur :
-
-
-
l’avancé du projet de dessalement : Le nouveau projet de dessalement
d’eau de mer est à l’étude. Il se différencie du projet initial de 2010 qui
consistait à intégrer le dessalement dans l’usine de traitement d’eau en cours
de construction à Antoureau.
Le nouveau projet à l’étude vise à « mettre à l’abri » les unités de dessalement
des Grands Sables en vue de limiter leur dégradation et de les utiliser de
manière ponctuel en cas de périodes peu pluvieuses.
Le goût et l’odeur de Chlore dans l’eau : Le Chlore est utilisé au dernier stade
de la « stérilisation » de l’eau. Son efficacité est pérenne dans le temps mais
présente l’inconvénient de dégager une odeur et un goût dans l’eau
distribuée. Il y a peu de solution pour remplacer le Chlore dans le procédé de
stérilisation. Il en est une qui consiste à utiliser des ultra-violets mais leur
efficacité est courte dans le temps et l’eau risquerait de se recharger en
bactérie dans les canalisations.
Pour limiter les inconvénients du Chlore, l’eau peut être placée au frais
quelques heures avant sa consommation.
La récupération d’eau de pluie ne peut-elle pas être obligatoire ? En Belgique
et en Allemagne, la récupération d’eau de pluie est obligatoire pour toute
nouvelle construction. En France, ce n’est pas encore le cas et la
réglementation est très restrictive concernant l’usage de l’eau de pluie. En
effet, en usage intérieur, l’eau de pluie ne peut être utilisée que dans les WC
et à titre expérimental pour les machines à laver.
A l’occasion de la révision des POS en PLU, il est peut être possible de rendre
obligatoire la récupération d’eau de pluie pour toute nouvelle construction.
Nous avons posé la question au bureau d’étude (Citanova) en charge de
l’élaboration des PLU communaux. Au moment de la rédaction de ce compte
rendu, nous attendons leur réponse.
Ressource diffusée:
« L’eau douce à Belle-Île, comment ça marche ? » CPIE.
Les initiatives locales sur l’eau.
-
-
Campagne Belle-Île-en-Eau du CPIE : Sensibilisation tous publics,
accompagnement des particuliers et des professionnels, expositions, diffusion
de ressources pédagogiques…Contact : [email protected]. 02 97
31 28 28.
7 hébergeurs touristiques sont dans une démarche d’amélioration
environnementale depuis 2009. Parmi les critères pour obtenir la labellisation
écologique, la préservation quantitative et qualitative de l’eau.
Etablissements ayant un label écologique : Castel Clara, La Désirade, le
Grand Large, le Cardinal, le camping La Source, La clef des champs et
l’Auberge de jeunesse.
4. La gestion des déchets
La CCBI est en charge des la collecte et de traitement des déchets ménagers de
l’île. Ce service est assuré par l’entreprise COVED qui gère également la déchetterie
depuis le 1 juillet 2011.
4.1
L’ISDND (Installation de Stockage des Déchets Non Dangereux)
Le responsable du site M. FONTAINE Joël a présenté l’organisation générale du site et
les différentes missions de la COVED (collecte, déchetterie, centre d’enfouissement)
La pesée des camions à leur arrivé et au départ du site permet de connaître
précisément les quantités de déchets traités à Chubiger.
Notre intervenant à insisté sur le fait que tout ce qui est trié est exporté par bateau,
valorisé, recyclé et rapporte à la collectivité.
Tout ce qui n’est pas trié, est enfoui à Belle-Île définitivement.
Cette solution d’enfouissement n’est par ailleurs que temporaire.
L’autorisation d’exploiter court jusqu’au 31 décembre 2017. Une demande de
prolongation de la durée d’exploitation sera prochainement demandée auprès de
la DREAL. Des travaux en vue de traiter les non-conformités seront engagés dans les
prochains mois.
Si cette demande devait être refusée par le Préfet (peu probable), les élus et les
techniciens de la CCBI devront alors trouver une autre solution pour le traitement de
ces déchets.
Le groupe s’est ensuite rendu au niveau de l’alvéole de stockage où l’image et
l’odeur des déchets amoncelés a laissé certaines personnes sans voix.
En 2012, ce sont 2600 tonnes de déchets qui ont été collectés et enfouis, soit une
diminution de près de 100 tonnes par rapport à 2011. C’est bien, mais Il faut trier
davantage !!
Visite par les professionnels du tourisme du casier
recevant les ordures ménagères à Chubiger
4.2
Temps d’échange
Les questions qui ont suivies l’intervention de M. Fontaine:
-
Le tri sélectif n’est pas toujours facile, certains déchets posent des difficultés
aux personnes de bonne volonté. Ex : pots de yaourt ou de crème, faut-il les
laver avant de les jeter dans la poubelle jaune ?
Réponse : NON puisque les pots en plastique ne vont pas dans la poubelle
jaune. Seules les bouteilles et flacons sont acceptés !
La CCBI a recruté une « ambassadrice » du tri qui réalise, entre autre, une
mission de sensibilisation et d’information chez les particuliers. Elle poursuivra
sa mission auprès des professionnels et des commerçants jusqu’au 15 août.
Louisa Lopez : Ambassadrice du tri pour la CCBI 02 97 29 89 27
Les éducateurs à l’environnement du CPIE sont également à votre disposition
pour toutes questions concernant le tri sélectif.
[email protected] ou 02 97 31 40 15
-
Quels sont les projets après 2018 si l’autorisation préfectorale n’est pas
prorogée et que le casier doit être fermé ?
Une réflexion doit être menée très prochainement par les élus et les
techniciens en charge de la gestion des déchets pour répondre à cette
question.
Pour le moment, la solution qui est à notre portée et qui permettrait de garder
le casier ouvert jusqu’en 2025 (année estimée de saturation), c’est de trier
correctement les déchets pour ainsi limiter les apports dans le casier.
-
-
-
Serait-il possible qu’il y ait plus de containers sur le territoire pour limiter les
déplacements des citoyens qui trient ?
Pour toute question concernant la collecte des déchets, vous pouvez
contacter directement la COVED au n° 02 97 54 52 12.
Le nombre de bacs présents sur le territoire est déjà largement supérieur aux
besoins (cf. rapport annuel). Il faut en moyenne 1 bac pour 10 maisons. Plus
on multiplie les points de collecte, plus les coûts augmentent (et donc la
REOM avec).
La collecte du verre pour les professionnels. Que deviendra la fosse à verre de
Bordilla ?
Pour des raisons de sécurité, la CCBI à décidé de fermer la fosse à verre situé
à Bordilla que les professionnels du tourisme utilisent.
En attendant la mise en place d’un container sécurisé supplémentaire à la
déchetterie de Chubiger, les professionnels devront utiliser les bacs mis à
disposition sur le territoire ou faire appel aux services d’un professionnel.
Comment peut-on se débarrasser des huiles de friture de façon propre ?
Dominique Pelhatre collecte gratuitement divers matériaux : métaux,
véhicules, huiles de fritures et tous les produits recyclables.
Son n° : 06 83 96 23 63.
Les ressources diffusées :
Le lexique du bon trieur
Les déchets à Belle-Île de la CCBI.
Bilan de l’opération Foyers témoins menée en 2012 par le CPIE
Pourquoi ça déborde ? Document ADEME
Toutes les initiatives locales sur les déchets :
- Collecte de tous matériaux (carton, huile de friture, métaux,…) M. Peulhatre
06 83 96 23 63
- Sensibilisation et éducation à l’environnement avec le CPIE de Belle-Ile-enMer 02 97 31 40 15
- Ambassadrice du tri à la CCBI : 02 97 29 89 27
5 Informer sur la gestion générale des espaces naturels sensibles de BelleIle-en-Mer.
5.1
Le cadrage et le rappel des objectifs de la réunion
En introduction, Jérémie Mener et Céline Marie se sont attachés à présenter
les différents acteurs qui interagissent sur le territoire pour la préservation des
espaces naturels, et à décrire les objectifs de cet étape à Port Coton.
1. Valoriser la politique de gestion et de sensibilisation menée par les trois
partenaires (Conseil Général du Morbihan propriétaire, CCBI gestionnaire,
CPIE éducateur à l’environnement)
2. Diffuser des supports d’information,
3. Recueillir leurs besoins en termes d’information et de supports sur les
espaces naturels.
5.2
Les problématiques locales
Les mesures de protection mises en œuvre par la CCBI sur les espaces
naturels sensibles de Belle-Île sont décidées en collaboration avec le Conseil
général du Morbihan et s’inscrivent dans les objectifs du DOCOB rédigé en
2006.
Les deux volumes du document d’objectif sont téléchargeables sur le lien
suivant :
http://www.ccbi.fr/ sous la rubrique « Les espaces Naturels, Natura 2000 ».
Les principales problématiques rencontrées par le gestionnaire des Espaces
Naturels de Belle-Île sont les suivantes :
- La circulation automobile sur les espaces naturels
- La fréquentation
- Les plantes invasives
- La banalisation des milieux
Notre territoire est un lieu touristique attractif grâce, en partie, aux mesures de
préservation en faveur de sa biodiversité et de son caractère sauvage.
L’enjeu majeur est donc de trouver un compromis entre la préservation du
patrimoine naturel et le développement d’un tourisme responsable.
Intervention de Jérémie MENER (garde du littoral) aux Aiguilles de Port Coton
5.3
Les mesures de protection sur le site de Port Coton
Les différents aménagements
Les aménagements les plus courants utilisés par les gardes du littoral, sont les
panneaux et la signalisation posés sur les Espaces Naturels et aux abords des
plages.
Il est important de valoriser la signalétique car cette dernière contient des
informations intéressantes pour le public mais aussi parce qu’elle fait souvent
l’objet de vandalisme.
Pour canaliser la fréquentation et limiter le piétinement, plusieurs kilomètres de
monofils ont été posés sur le site
Ces aménagements sont accompagnés par de la « transplantation » de
plantes pour accélérer la végétalisation du milieu.
Le nettoyage des plages
Port Coton n’est pas concerné par le nettoyage de plage, néanmoins, nous
avons abordé le sujet pour informer les professionnels sur la question.
Le nettoyage des plages est manuel et quotidien entre le 1er juillet et le 31
août. Les passages sont plus espacés en hiver mais restent hebdomadaires, en
particulier dans les criques qui reçoivent beaucoup de déchets provenant de
l’océan.
Les éléments naturels qui composent la laisse de mer sont laissés sur place
A l’image de Donnant ou de Herlin, les algues laissées sur le haut de plage, se
décomposent et alimentent les plantes de la dune embryonnaire.
5.4
Temps d’échanges
Les questions qui ont suivies l’intervention de Jérémie MENER et Céline MARIE
-
Pourquoi n’y a-t-il pas de poubelles sur les plages ? L’installation de
poubelles sur les plages engendrerait plus de déchets et d’insalubrité
qu’à l’heure actuelle. Les parkings des principaux sites touristiques de l’île
sont équipés de poubelles. Globalement les plages sont propres, même
en période estivale. Seuls les restes de soirées sont retrouvés
quotidiennement et constituent le plus gros des déchets laissés par les
visiteurs.
Les ressources diffusées
Les différents supports de sensibilisation et d’information diffusés à l’issu de
cette réunion ont fortement intéressé les participants. Ces derniers ont
exprimé leur souhait de les diffuser dans leurs propres structures.
- Cartographie des espaces naturels de Belle-Île conçue par la CCBI.
- Les fiches botaniques du CPIE
- Les affiches de la CCBI « Invasives » et « Plages propres »
Toutes les initiatives locales pour la protection des espaces naturels de Belle-Île
-
Service espaces naturels de la CCBI et son équipe de garde du littoral.
Jérémie MENER : 06 70 11 99 94
Les éducateurs à l’environnement du CPIE : Michael Quérré et Céline
MARIE : 02 97 31 40 15
6 Conclusion et évaluation
17 questionnaires d’évaluation ont été complété par les participants à l’issu
de l’Eco Tour.
Les remarques et suggestions formulées par les professionnels du tourisme
portent sur la forme donnée à l’Eco Tour et sur le fond des thématiques
abordées:
- « Organiser ce type de visite pour les vacanciers » ; « Sensibiliser les
particuliers et les commerçants au tri des déchets » ; « Faire plus d’Eco
Tours, notamment pour les insulaires, pour les sensibiliser surtout au niveau
de la déchetterie »
- « Profiter des 45 minutes du voyage en bateaux pour informer les visiteurs
sur l’eau et les déchets » ; « plus d’infos sur le bateau » ;
- « Diffuser encore et toujours ces messages »
Depuis 2009, le CPIE organise des réunions sur le terrain avec les
professionnels du tourisme de Belle-Ile-en-Mer. Au regard de la mobilisation et
de l’intérêt porté par les professionnels pour l’Eco Tour « édition 2013 », il est
évident que ce type d’action « monte en puissance » sur le territoire. Il semble
donc pertinent qu’elle soit renouvelée annuellement et pourquoi pas testée
auprès de différents publics.
Ce compte rendu a été rédigé par Céline MARIE
CPIE Belle-Ile-en-Mer
[email protected]
02 97 31 28 28
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