dossier de presse - Cultivoo Découverte

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dossier de presse - Cultivoo Découverte
dossier DE PRESSE
murano
chefs–d’œuvre de verre de la renaissance au XXie siècle
Musée Maillol 27 mars 28 juillet 2013
sous le haut patronage
de la Ville de Venise
FRAGILE. MURANO. Musée maillol
SOMMAIRE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE >3
EXTRAITS DE TEXTES DU CATALOGUE >5
Textes traduits de l’italien
par Renaud Temperini,
Texte de présentation des commissaires
Rosa Barovier Mentasti et Cristina Tonini
relecture par
Frédéric Morvan
Texte d’Olivier Kaeppelin, co-commissaire
pour l’art moderne et contemporain
Interview d’Adriano Berengo, concepteur
et producteur des expositions Glasstress,
par Isabelle Forestier, journaliste
LISTE DES œUVRES EXPOSéES >11
VISUELS DISPONIBLES POUR LA PRESSE >21
CONTACTS COMMUNICATION
AGENCE OBSERVATOIRE
INFORMATIONS PRATIQUES >25
68 rue Pernety
75014 Paris
Véronique Janneau
Céline Echinard
T 01 43 54 87 71
[email protected]
www.observatoire.fr
MUSÉE MAILLOL
59-61 rue de Grenelle
75007 Paris
Claude Unger
T 06 14 71 27 02
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Elisabeth Apprédérisse
T 01 42 22 57 25
[email protected]
PUBLICATIONS >31
FRAGILE. MURANO. Musée maillol
COMMUNIQUÉ
DE PRESSE
Une exposition inédite
3
3
Murano : si le nom de cette charmante île vénitienne renvoie immédiatement à
l’art du verre, les créations purement touristiques qui aujourd’hui envahissent
les magasins de souvenirs font parfois oublier le savoir-faire précieux, la qualité unique et la splendeur des objets en verre produits depuis des siècles dans
ses ateliers.
Pour la première fois en France, une exposition retrace l’extraordinaire aventure du verre de Murano en parcourant sept siècles de création intense, du
milieu du xve siècle à nos jours. Ainsi, plus de deux cents pièces, nombreuses
inédites ou exceptionnellement exposées, issues de collections publiques ou
jalousement conservées dans des collections privées, seront réunies.
L’exposition retrace le parcours historique de la production des grandes verreries : une sélection parmi les plus beaux objets réalisés pour les grandes familles et les cours européennes de la Renaissance – les familles Este, Gonzague,
Médicis –, les fantaisies baroques et les créations du xviiie siècle, les pièces Art
déco des années 1920 et du modernisme des années 1950, jusqu’aux œuvres
contemporaines de « Studio Glass », mouvement d’artistes qui ont choisi
d’utiliser le verre comme unique moyen d’expression.
Une section est réservée aux artistes internationaux venus à Murano, depuis les
années 1950, expérimenter le verre comme matière privilégiée de création, en
travaillant avec les plus grands maîtres verriers Arp, César, Chagall, Fontana, …
Cette tradition est aujourd’hui plus vive que jamais. Simultanément aux deux
dernières Biennales de Venise, leurs dernières créations regroupées sous le
nom de « Glasstress » ont été présentées au palais Cavalli Franchetti : Hatoum,
Othoniel, Pérez, Recycle Group, Shen Yuan, Wilson.
Une histoire séculaire
La verrerie vénitienne, qui découle de la verrerie romaine, apparaît vers le
xe siècle et se développe réellement dès le xiie siècle. Elle devient l’industrie la
plus importante de la Sérénissime juste derrière les chantiers navals de l’Arsenal. Elle est alors transférée à Murano, probablement à cause des risques
>
d’incendies et aussi pour pouvoir mieux contrôler les maîtres verriers soumis
à des règles draconiennes. Ils ne pouvaient quitter Venise ni exporter leur
savoir-faire sans être passibles de la peine de mort. La verrerie islamique
règnera encore en maître sur l’Europe jusqu’au milieu du xve siècle, jusqu’à
ce que la prise de Constantinople par les Ottomans, en 1453, mette en fuite
de nombreux artisans verriers du monde musulman qui viennent se réfugier
à Venise. Murano oriente alors sa production vers le luxe pour satisfaire à son
tour les cours européennes.
La Renaissance est l’une des périodes les plus fastueuses de l’histoire du
verre à Venise. Murano domine la création verrière jusqu’à la fin du xviie siècle,
qui marque un relatif déclin.
Mais les ateliers ont connu par la suite d’autres âges d’or, au milieu du
xixe siècle, dans les années 1920 puis à l’aube des années 1950. Aujourd’hui des
plasticiens du monde entier viennent travailler avec les maîtres verriers pour
produire des œuvres qui témoignent de l’excellence d’un savoir-faire séculaire.
Un parcours chronologique
Le parcours de l’exposition se déroule de manière chronologique et propose
une lecture immédiate des principales évolutions techniques et stylistiques.
À ces chefs-d’œuvre souvent spectaculaires s’ajoutent de remarquables ensembles de verres, carafes, centres de tables, objets précieux, pièces de mobilier en pâte de verre qui illustrent le goût et les modes de chaque époque.
Ils retracent à la fois l’histoire de la création verrière de Venise, celle des arts
décoratifs et des arts de la table en Europe. Magnifié par une scénographie
d’Hubert le Gall, ce corpus d’œuvres foisonnant révèle les différentes techniques, les savoir-faire et l’inépuisable créativité de ces maîtres verriers qui
mettent toujours leur talent au service du quotidien et de l’exceptionnel.
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COMMISSARIAT
Rosa Barovier Mentasti
Historienne de l’art. Née à Murano d’une dynastie de maîtres verriers, elle étudie depuis plus
de 40 ans l’histoire du verre vénitien. Spécialiste incontournable, elle a réalisé de nombreuses
expositions et est auteur d’ouvrages de référence.
Cristina Tonini
Ancien conservateur du musée Bagatti Valsecchi à Milan, spécialiste du verre vénitien,
auteur d’ouvrages sur le verre ancien et contemporain et commissaire d’expositions.
Olivier Kaeppelin
Co-commissaire pour l’art moderne et contemporain. Directeur de la Fondation Maeght
à Saint Paul de Vence.
comité scientifique
Reino Liefkes – Conservateur pour la Céramique et le Verre au Victoria and Albert Museum
Jutta Page – Conservateur pour le Verre et les Arts Décoratifs au Toledo Museum of Art
Stefano Carboni – Directeur de la Art Gallery of Western Australia – Perth Cultural Centre
Chiara Squarcina – Directrice du Museo del Vetro de Murano
FRAGILE. MURANO. Musée maillol
EXTRAITS DE TEXTES
DU CATALOGUE
Rosa Barovier Mentasti et Cristina Tonini,
commissaires
Venise entre l’Orient et l’Occident : le verre médiéval
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« La Vénétie est depuis l’Antiquité un carrefour commercial entre l’Europe et
l’Orient. Mais c’est au Moyen Âge que les îles de la Lagune, refuges contre
les invasions barbares, deviennent le premier centre d’importation puis de
production de verre de grande qualité. Les verriers vénitiens bénéficient du
riche héritage de l’Empire romain, transmis par Byzance et le monde islamique. Les verreries, par leur transparence, leur préciosité, leurs couleurs,
comptent parmi les plus convoitées des marchandises dans le vaste entrepôt
qu’est devenue la Ville de Venise. Mais les dangereux fours des verriers sont
bannis au xiiie siècle et c’est sur l’île de Murano que s’établit le centre d’une
production qui va bientôt supplanter celle du Levant et dominer le marché européen pour plusieurs siècles. Murano ne manque pas d’atouts. Un grand port
pour importer les matières premières, mais aussi les techniques orientales,
et attirer de riches clients. Enfin la maîtrise de technologies très avancées
pour la fabrication et des techniques décoratives raffinées, dont la peinture à
l’émail qui donne au verre une valeur insigne. Les verriers s’associent alors
aux meilleurs peintres pour créer de véritables chefs-d’œuvre, parfois signés,
dont certains se sont conservés jusqu’à nous pour témoigner de leur talent.
On les retrouve dans l’Europe entière, souvent ornés de blasons nobiliaires,
preuves de leur prestige et de leur coût. Verres peints à l’émail, ornés de
feuillages, d’animaux et d’armoiries, bouteilles aux formes élancées, à large
panse, mais aussi verre décoloré dont la transparence égale celle du cristal
de roche, coupes, cruches, salières… l’éventail des formes et des couleurs est
très large. C’est une véritable alchimie qui préside à la création de ces couleurs imitant les pierres : l’améthyste s’obtient avec du dioxyde de carbone,
l’aigue-marine avec du cobalt ! »
La première Renaissance. 1450-1530
« Au début du xve siècle, le monde islamique cesse de produire des objets d’art
en verre. Murano a le champ libre, à l’aube d’une révolution qui va bouleverser l’Europe, la Renaissance. Effacer la prétendue décadence médiévale,
retrouver les sources idéales de l’Antiquité, tels sont les mots d’ordre des
Humanistes qui vont inspirer artistes et artisans d’art. Émergent alors les
premières dynasties de verriers, parmi lesquels Barovier, qui remettent au
>
goût du jour la peinture à l’émail et inventent le « cristal vénitien ». De nouvelles techniques permettent une grande diversification des matières : verre
transparent, verre blanc opaque imitant la porcelaine, verres nervurés imitant les pierres comme la calcédoine. Les ateliers de Murano excellent alors
dans la création de couleurs raffinées, du violet améthyste au vert émeraude,
qui peuvent être rehaussées d’or. L’art de la couleur est porté à son apogée
avec la création du bleu paon, intense et brillant, obtenu avec de l’oxyde de
cobalt. La technique du verre émaillé se prête admirablement au travail des
peintres décorateurs sur verre qui exécutent des compositions de plus en
plus complexes, aux thèmes mythologiques ou chrétiens. Les œuvres des
grands artistes de la Renaissance sont les modèles de ces miniaturistes,
tout comme les motifs floraux, les frises de grotesques, les scènes chevaleresques. L’Europe est prise d’un véritable engouement pour les verreries
précieuses : papes, rois et princes collectionnent avec passion des calices
encore gothiques, des coupes d’inspiration chinoise, des cruches et flacons
rappelant l’art islamique ou des verres colorés et armoriés qui sont souvent
représentés dans les tableaux de cette époque. »
La seconde Renaissance
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« Au xvie siècle, la variété des formes est très grande, d’une grande liberté,
mais le plus souvent dictée par la sobriété classique qui domine les arts et
l’architecture, inspirés par l’Antiquité retrouvée. Aux inventions de nouveaux
matériaux de la première Renaissance succède le temps des perfectionnements et de la virtuosité des verriers. Le verre reprend ses droits sur la peinture émaillée pour explorer le monde des formes et des matières. C’est la
manipulation du verre incandescent par le verrier qui nous offre ces objets
d’un raffinement extrême. Parmi ces nouvelles techniques, il faut distinguer le verre filigrané, une technique antique renouvelée par la fabrication
de cannes en cristal contenant un fil de couleur et combinées pour obtenir
des verres d’une grande finesse et aux effets chromatiques spectaculaires,
ou le verre craquelé, soumis à un choc thermique dans l’eau froide. La peinture à l’émail est complétée par une peinture à froid, permettant une grande
richesse de détails, exclusivement pour des objets à fonction purement décorative puisqu’on ne pouvait pas les laver. Autre technique nouvelle, la gravure
à la pointe de diamant qui permettait de graver finement le verre soufflé de
motifs ornementaux, de scènes figuratives mais aussi d’armoiries, une technique également appliquée à la fabrication des verres de miroirs. Le pape Pie
IV possède lui-même des assiettes en cristal taillé figurant des sirènes, des
dragons, des mascarons et des guirlandes. Ces objets de grand luxe étaient
essentiellement destinés à l’exportation et furent très vite imités : on vit bientôt fleurir une production internationale de verre « façon de Venise », en Allemagne, en Espagne et jusqu’en Angleterre. L’émigration de quelques verriers
des ateliers de Murano, malgré la menace de bannissement et de confiscation
des biens, annonce déjà la fin de la suprématie vénitienne. »
Verriers vénitiens à la cour des Médicis
aux XVIe et XVIIe siècles
« À Florence, où règne la famille de Médicis, le vif intérêt pour l’art du verre
s’illustre tout d’abord par une collection admirable de pièces acquises directement à Murano. Mais dès le xve siècle on essaie d’attirer en Toscane des
verriers vénitiens. Le projet aboutit en 1569 avec l’arrivée de Bortolo d’Alvise
et de ses ouvriers qui exportent illégalement le savoir-faire de la Sérénis-
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sime. Passionnés d’alchimie et de nouvelles expériences créatrices dans le
domaine des arts appliqués, les ducs de Toscane apportent tout leur concours
à l’établissement de ces nouvelles verreries qui collaborent avec des artistes
toscans. On y souffle le verre, mais on le moule également pour réaliser des
objets de petites dimensions. C’est à cette époque que sont rédigés les premiers traités et manuels qui dévoilent les secrets de la fabrication du verre
« à la façon de Venise ». Les formes simples, parfois nervurées, ou ornées
de montures en bronze doré ou en argent, dominent cette production qui se
distingue par le raffinement de ses couleurs. Parmi elles, le merveilleux vert
émeraude obtenu grâce à l’adjonction de plomb, mais aussi toute la gamme
déjà élaborée en Vénétie. Dans le berceau de la Renaissance et la ville des
artistes, les ateliers florentins bénéficient du concours des meilleurs dessinateurs pour donner encore plus de raffinement à leurs verreries. Financés par
les Médicis, ces ateliers produisaient des pièces exceptionnelles qui étaient
destinées à servir de cadeaux diplomatiques et qui essaimèrent dans toute
l’Europe. Mais la Renaissance sait aussi être joyeuse, c’est à Florence que l’on
invente les « verres espiègles » dans lesquels il est aventureux de boire, pour
le plus grand amusement des convives. »
L’âge baroque : entre fantaisie et virtuosité
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« La suprématie de Venise reste entière au xviie siècle, par la qualité autant
que par l’inventivité, malgré la concurrence européenne. Les formes sages de
la Renaissance ne sont pas abandonnées mais apparaît alors une esthétique
nouvelle, que l’on a qualifiée de baroque, qui autorise toutes les bizarreries
et la fantaisie la plus débridée. Verres à renflements ouverts, à ouvertures
ondulées, à bulles écrasées, aux anses délicatement ciselées, verres soufflés
à renflements multiples, verres espiègles ou dont la tige prend la forme d’un
serpent… la virtuosité du verrier est capitale ! Le baroque, c’est aussi l’art de
l’illusion, le verre imitant tous les autres matériaux. Une sphère vitrée soudée
à l’intérieur d’un vase en cristal ou en verre bleu, rempli d’eau et de fleurs,
donnait des effets d’optique étonnants. Toutes les techniques élaborées à la
Renaissance, filigrane, craquelé et gravure à la pointe de diamant, sont appliquées à ces formes tourmentées, entrelacées, qui prennent même des formes
naturalistes pour imiter fleurs, insectes et oiseaux. Les formes les plus prisées sont les grandes coupes à pied et les plateaux sur lesquels on disposait
d’autres objets en verre soufflé. La fantaisie anime aussi la couleur qui se
manifeste par des touches de couleurs qui animent le verre opaque imitant
la porcelaine. La mode du chocolat et du café est à l’origine de la production
d’objets spécifiquement destinés à leur dégustation : le verre concurrence
alors l’argent et la vraie porcelaine. Certaine tasses à chocolat peuvent même
imiter la pierre de lune aux reflets changeants. Murano s’illustre également
dans la fabrication de pâtes de verre opaques de couleur jaune ou rouge, mais
aussi de la précieuse aventurine, un verre destiné à l’orfèvrerie et qui miroite
de paillettes métalliques. »
Le XVIIIe siècle : splendeur et crise
« Grandeur et décadence marquent le siècle des Lumières vénitien. La ville
de Casanova vit ses dernières heures de gloire et s’étourdit dans une fête
permanente. La virtuosité technique des verriers de Murano est alors inégalable, mais la production sera bientôt menacée par la concurrence du verre
de Bohême. Les formes se diversifient encore avec des lampes en cristal
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zoomorphes, des vases dont les anses s’ornent de branches de fleurs polychromes, des verres rouge rubis agrémentés d’or, des agrumes en verre
jaune destinés au décor de la table. Les verres à pied eux-mêmes voient leur
tige décorée de fleurs de verre, transparentes ou colorées. Sommet dans l’art
subtil de l’imitation, le verre opaque sert de support à une peinture émaillée pour feindre la porcelaine avec brio. Ce sont de simples fleurs ou des
oiseaux mais aussi des scènes bibliques inspirées d’œuvres de Raphaël, et
même, chefs-d’œuvre dans l’art de la miniature, des vues de Venise d’après
Canaletto. Les premiers « touristes », les aristocrates anglais effectuant leur
Grand Tour en Italie, les collectionnaient comme des souvenirs. Le verre de
Murano faisait déjà depuis longtemps partie des précieux objets destinés aux
cadeaux diplomatiques. La République en offrait à ses hôtes et tout particulièrement de spectaculaires surtouts servant à orner un centre de table. Pouvant mesurer près de deux mètres de long, ils pouvaient prendre des formes
diverses, l’une des plus fréquentes étant celle d’un jardin à l’italienne. Mais
on pouvait aussi admirer des monuments architecturaux, des figures mythologiques ou encore des scènes marines ! Disposés sur un socle réfléchissant
en verre miroir, ces ensembles raffinés exigeaient un travail considérable et
atteignaient de tels prix que l’on pouvait les louer le temps d’un banquet. La
République en envoyait aussi en cadeaux, accompagnés de lampadaires ou
chandeliers en verre agrémentés de feuilles et de fleurs bigarrées, disposées
dans de petites coupes en verre. L’ensemble du lampadaire en verre soufflé,
qui pouvait atteindre deux mètres de diamètre, était maintenu par une structure métallique. Le tableau est complété par le succès des miroirs produits
à Venise, délicatement gravés à la roue, aux cadres en bois dorés ou revêtus
eux-mêmes de miroirs. »
Le XIXe siècle : déclin et renouveau
« C’est Bonaparte qui met fin à la République en 1797, Venise y perd son indépendance. Française puis autrichienne, elle devient italienne en 1866. La décadence de Venise est consommée mais naît alors le mythe de la ville romantique, splendide et mourante au cœur de sa lagune. Le déclin touche aussi
l’art du verre, le verre de Bohême, davantage à la mode, envahit même les
demeures vénitiennes. L’occupant autrichien taxe lourdement les verriers des
Murano qui peinent à exporter des verreries de luxe et qui survivent avec la
production de perles en verre dont certaines étaient destinées au marché africain où elles servaient de monnaie ! Les ateliers de Murano avaient cependant
conservé le savoir-faire permettant d’exécuter des marqueteries en émaux de
verre colorés destinés à orner des dessus de table. Napoléon Ier en commanda
une pour son bureau à Fontainebleau. Par leur préciosité, les émaux de verre
taillés, dont certains incluaient de l’aventurine, étaient pour la joaillerie de
véritables substituts aux pierres précieuses et aux camées. Un certain renouveau de la technique du filigrane amena les verriers à produire des imitations
de verreries anciennes que certains antiquaires n’hésitaient pas à faire passer pour authentiques ! L’aventurine aux reflets brillants et dorés, soufflée ou
taillée, flattait le goût d’une clientèle bourgeoise baignée dans l’éclectisme
de l’époque. Mais ces objets raffinés ne sont plus qu’une partie secondaire de
l’activité des verriers. Le temps est à la production « industrielle ». Malgré la
crise, l’avocat Salviati investit le palais Barbarigo à Venise pour y établir une
verrerie florissante qui a régulièrement exposé, lors des expositions universelles parisiennes, des chefs-d’œuvre imitant ceux du passé, jusqu’au verre
des Romains ! À la fin du siècle cependant, une production nouvelle s’inspire
des tendances de l’Art nouveau et touche une fois encore une clientèle de
touristes fortunés. »
Olivier Kaeppelin, co-commissaire
pour l’art moderne et contemporain
L’art entre immatériel et matière
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« Le verre a toujours fasciné les artistes. En premier lieu, par son opération
physico-chimique de création, qui voit une substance insaisissable faite de
poudre, de grains devenir une matière brillante, transparente, traversée par
la lumière. Les artistes ont été fascinés par cette transparence même qui, à
la fois, est un voile mettant à distance l’accès direct au réel mais invitant à
supposer un monde « autre » au-delà de cette frontière, un monde complexe
fait de déformations, de reflets, de mouvements créant des figures nouvelles.
Utiliser le verre a souvent été pour eux une possibilité de travailler les formes
où se jouait le dialogue éternel, au cœur de l’art, entre l’immatériel et la matière. Certains ont inventé des « lieux » réels ou imaginaires où, par le verre,
l’individu doute de sa propre apparence jusqu’à s’inventer d’autres corps plus
légers, plus mobiles, d’autres espaces se libérant de limites induites par la
perception et la pesanteur. Le verre est aussi un corps vivant où l’œuvre se
conçoit dans l’incandescence, le rougeoiement d’une pâte où peut s’incarner,
par exemple, dans l’épaisseur de sa fusion, un dessin, une forme entre visible
et invisible. Pendant un temps, étrangement, certains prédicateurs du futur
ont cru pouvoir ranger cette étonnante substance, philosophique et pratique,
au rayon des accessoires passés, sous prétexte de la découverte de nouveaux
moyens d’expression, d’autres oubliant qu’art et artisanat peuvent produire
des créations incomparables. Heureusement, chaque fois que l’occasion leur
a été donnée, chaque fois qu’ils en ont décidé, les artistes contemporains les
ont détrompés. Aujourd’hui, ils nous permettent de vivre ces émotions, ces
aventures physiques et mentales qui sont une part spécifique et essentielle
de l’expérience artistique. (…) »
Extrait de l’interview d’Adriano Berengo,
concepteur et producteur des expositions Glasstress,
par Isabelle Forestier, journaliste
Comment êtes-vous devenu promoteur de l’art du verre à Murano ?
Je suis Vénitien, j’ai parcouru le monde, j’ai fait des études universitaires en
Italie et aux Etats-Unis, mais le métier de professeur ne me convenait pas.
Le hasard m’a fait revenir à Venise et découvrir l’extraordinaire richesse de
la création du verre. Passionné de littérature et d’art, j’ai entrepris de devenir
un « médiateur » entre les artistes et les artisans de Murano. J’ai créé pour
cela le Berengo Studio en 1989, qui produit des œuvres contemporaines réalisées par des artisans verriers de Murano. Les œuvres sont présentées depuis
la Biennale internationale de Venise de 2009 dans le cadre d’un événement
culturel international intitulé « Glasstress ».
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Quelle est votre vision des relations entre artistes et artisans ?
Je crois que l’avenir de Murano, comme son passé en témoigne, réside dans
l’innovation que les artistes apportent à un artisanat fondé sur la perpétuation
d’une tradition millénaire. Il faut toujours renouveler les sources d’inspiration,
et bousculer la tradition, tout en conservant précieusement le savoir-faire des
verriers. Le verre est d’ailleurs un des matériaux qui intéresse singulièrement les créateurs contemporains, artistes, architectes et designers. Il fallait
renouer le lien qui existe depuis la fin du Moyen Âge à Venise entre esthétique
et production. Je n’ai pas peur d’assumer la part commerciale de mon activité, c’est le marché qui commande et valide la production des artistes. Je
m’inscris dans la suite de Peggy Guggenheim qui produisait des œuvres de
Chagall ou Calder en collaboration avec le verrier Egidio Costantini.
Comment associez-vous artistes et verriers ?
Je joue un vrai rôle de médiateur. Les verriers maîtrisent une véritable alchimie, ils donnent corps à des objets issus d’un matériau complexe, capricieux,
fragile, et qui supposent une véritable transmutation ! Il a fallu habituer les
artistes à voir sortir du four un objet fini sur lequel on ne peut pas revenir. De
leur côté, les verriers doivent affronter de nouveaux défis techniques qui sont
le gage du renouvellement de leur art. Un rapport d’estime, de confiance et de
compréhension doit s’établir entre l’artiste et le maître verrier.
Quels sont les artistes avec lesquels vous aimez travailler ?
Ils sont nombreux, mais je voudrais citer Jaume Pienza, Javier Pérez ou encore Fred Wilson. Thomas Schütte m’a vivement impressionné par sa capacité
à traduire dans le verre la corruption de la figure humaine. Ils ont su tirer
tout le parti de la tradition verrière pour imaginer des œuvres étonnantes, en
rupture avec ce qu’on a l’habitude de voir sortir des ateliers de Murano. Et je
suis ravi de pouvoir les exposer dans le monde grâce à Glasstress. Je crée en
ce moment, en parallèle avec mon studio, un centre pour l’art contemporain
appliqué au verre qui s’installera dans un ancien four de verrier à Murano.
FRAGILE. MURANO. Musée maillol
LISTE DES œUVRES
EXPOSÉES
RENAISSANCE À 1900
Coupe de mariage en « lattimo » avec
une figure féminine et un joueur de luth
XVe siècle
H 12,0 cm
Prague, Nationalmuseum
11
Coupe turquoise à pied
1475 - 1500
L 20,0 cm ; H 13,0 cm
Londres, Victoria and Albert Museum
Calice au « Triomphe de la Justice »
XVe siècle
H 22,0 cm; L 13,5 cm
Florence, Museo del Bargello/Istituti
museali della Soprintendenza Speciale per
il Polo Museale Fiorentino
Assiette émaillée
1450 - 1550
H 4,0 cm ; D 24,0 cm
Londres, Victoria and Albert Museum
Assiette émaillée 1475 - 1525
D 26,5 cm
Londres, Victoria and Albert Museum
Verre avec angelos et crabes
1500
H 11,0 cm ; L 9,0 cm
Prague, Museum of Decorative Arts
in Prague
Verre aux tritons 1500 - 1520
H 13,0 cm ; L 9,0 cm
Londres, Victoria and Albert Museum
Lampe de mosquée
1520
H 30 cm ; L. 18 cm
Düsseldorf, Kunstmuseum
Calice aux sirènes et aux tritons
1500 - 1525
L 13,5 cm ; H 20,0 cm
Londres, Victoria and Albert Museum
Verre à pied avec Apollon et Marsyas
XVIe siècle
H 25 ; D 11 cm
Vérone, Fondazione Miniscalchi Erizzo
Grande coupe à pied en cristal soufflé
XVIe siècle
H 24,7 cm ; L 16,7 cm
Venise, Museo del Vetro
Coupelle Piero di Cosimo
XVIe siècle
H 5,3 cm ; L 15,3 cm
Venise, Museo del Vetro
Salière
XVIe siècle
H 5 cm ; D 9 cm
Venise, Museo del Vetro
Coupe émaillée aux flammes
XVIe siècle
Brescia, Musei Civici di Brescia
Verre émaillé
XVIe siècle
H 11,5 cm
Coburg, Kunstsammlungen der
Veste Coburg
>
Calice avec noeud
en « mezza stampaura » XVIe siècle
H 14,8 cm ; L 9,5 cm
Venise, Museo del Vetro
Verre à couvercle en cristal
XVIe siècle
H 23 ; D 11 cm
Venise, Museo del Vetro
Coupe à pied émaillée
XVIe siècle
Naples, Museo Duca di Martina e Villa
Floridiana
Salière
XVIe siècle
Saussey, Manoir de Saussey
12
Verre à pied
XVIe siècle
H 13,2 cm ; L 10,0 cm
Londres, Victoria and Albert Museum
Carafe avec les armoiries des familles
Ebner Von Eschenbach
et Fürer von Haimendorf
1500
H 23,0 cm ; L 12,0 cm
Prague, Museum of Decorative Arts
Flacon à parfum avec les armoiries
de la famille Nuremberg
1515
H 22,5 cm ; L 10,5 cm
Londres, Victoria and Albert Museum
Coupe à pied avec les armoiries
de la famille Gonzague
XVIe siècle
H 7,0 cm ; D 29,0 cm
Milan, Castello Sforzesco / Civiche raccolte
di Arte Applicata
Verre à couvert avec les armoiries
d’Alfonso II duc de Ferrare
1565 - 1572
L 11,0 cm ; H 21,5 cm
Londres, Victoria and Albert Museum
Coupe émaillée
1500
H 24,0 cm ; L 27,0 cm
Paris, Petit Palais
Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris
Coupe à deux anses en « mezza stampaura »
XVIe siècle
H 8,5 ; D 12,7 cm
Venise, Museo del Vetro
Coupe en « reticello »
XVIe siècle
H 11,0 cm ; L18,0 cm
Coburg, Kunstsammlungen
der Veste Coburg
Calice en « reticello »
1550 - 1575
Brescia, Musei Civici di Brescia
Coupe en «filigrane»
XVIe siècle
H 14,0 cm
Coburg, Kunstsammlungen
der Veste Coburg
Bouteille en « filigrane »
à col retourné
XVIe siècle
Coburg, Kunstsammlungen
der Veste Coburg
Flacon en « retortoli »
XVIe siècle
Naples, Museo Nazionale di Capodimonte
Tasse en cristal
XVIe siècle
Coburg, Kunstsammlungen
der Veste Coburg
Vase moulé à décor de pointe de diamant
XVIe siècle
H 36 ; D 12 cm
Vérone, Fondazione Miniscalchi Erizzo
Vase moulé aux masques
XVIe siècle
H 22 ; D 7,5 cm
Vérone, Fondazione Miniscalchi Erizzo
Vase moulé aux dragons
XVIe siècle
H 28 ; D 11 cm
Vérone, Fondazione Miniscalchi Erizzo
Vase à trois becs
gravé à la pointe de diamant
XVIe siècle
H 17,8 cm ; L 7,2 cm
Florence, Museo del Bargello/Istituti
museali della Soprintendenza Speciale per
il Polo Museale Fiorentino
>
Petite coupe au scorpion
gravée à la pointe de diamant
XVIe siècle
Brescia, Musei Civici di Brescia
Vase en verre rouge à montures en métal
XVIe siècle
H 22,0 cm
Venise, Collection Giuseppe Maranghi
Flacon bleu gravé à la pointe de diamant
XVIe siècle
Naples, Museo Nazionale di Capodimonte
Fiole en verre transparent
avec monture en métal
XVIe siècle
H 18,0 cm
Venise, Collection Giuseppe Maranghi
Seau en verre craquelé
XVIe siècle
H 15,0 cm ; L 13,0 cm
Milan, Castello Sforzesco / Civiche raccolte di
Arte Applicata
Seau en verre craquelé
1570 - 1600
Brescia, Musei Civici di Brescia
13
Reliquaire avec couvercle
en cristal légèrement fumé
XVIe siècle
H 27,8 cm ; L 12,3 cm
Venise, Museo del Vetro
Reliquaire avec figure De doge
XVIe siècle
H 19,0 cm ; L 10,0 cm
Saussey, Manoir de Saussey
Calice gravé à la pointe de diamant
1570 - 1590
H 21,0 cm ; L 7,0 cm
Coburg, Kunstsammlungen der Veste Coburg
Pierre Raymond
Coupe « La Danse des Amours »
1544
H 19,0 cm ; L 12,0 cm
Paris, Petit Palais, Musée des Beaux-Arts
de la Ville de Paris
Grand plat émaillé
XVIe siècle
H 4,8 cm ; L 53,7 cm
Venise, Museo del Vetro
Vase Médicis vert Castello
XVIe siècle
H 30,0 cm ; L 14,5 cm
Milan, Castello Sforzesco / Civiche raccolte di
Arte Applicata
Vase bleu à montures de métal
XVIe siècle
Venise, Collection Giuseppe Maranghi
Coupe à pied turquoise
XVIe siècle
Naples
Museo Duca di Martina e Villa Floridiana
Carafe en calcédoine
XVIe siècle
H 30,0 cm
Florence, Museo del Bargello/Istituti
museali della Soprintendenza Speciale
per il Polo Museale Fiorentino
Coupe calcédoine
1550 - 1575
Brescia, Musei Civici di Brescia
Vase calcédoine
1590
Brescia, Musei Civici di Brescia
Vase calcédoine
XVIIe siècle
Naples, Museo Nazionale di Capodimonte
Calice à pied avec noeud
XVIIe siècle
H 27,0 cm ; L 16,0 cm
Milan, Castello Sforzesco / Civiche
raccolte di Arte Applicata
Miroir et encadrement en verre
XVIIe siècle
L 118,0 cm ; H 186,0 cm
Venise, Museo del Vetro
Bouteille soufflée en calcédoine
XVIIe siècle
H 21 ; D 10,3 cm
Venise, Museo del Vetro
Flacon à corps géométrique
en « lattimo » tacheté
XVIIe siècle
H 9,0 cm
Venise, Collection Giuseppe Maranghi
>
Tasse à deux anses en « lattimo » tacheté
XVIIe siècle
H 5,7 cm
Venise, Collection Giuseppe Maranghi
Assiette en « lattimo »
1700
D 12,0 cm
Pavie, Musei Civici di Pavia - Castello Visconteo
Tasse en « lattimo »
1700
H 8,5 cm ; L 6,8 cm
Pavie, Musei Civici di Pavia - Castello Visconteo
Assiette en « lattimo » d’après une « veduta »
de Canaletto avec le pont de Rialto
1741
D 22,0 cm
Londres, Victoria and Albert Museum
14
Trembleuse Miotti émaillée en « lattimo »
XVIIIe siècle
H 7,5 cm ; L 8,5 cm
Naples,
Museo Diego Aragona Pignatelli Cortes
Gobelet
XVIIIe siècle
Paris, Musée des Arts Décoratifs
Soucoupe
XVIIIe siècle
Paris, Musée des Arts Décoratifs
Trembleuse en calcédoine
XVIIIe siècle
H 8 ; D 5,8 cm
Venise, Museo del Vetro
Calice à pied avec décoration florale
et coupe en reticello
XVIIIe siècle
Rome, Galleria Nazionale d’Arte Antica
Palazzo Barberini
bougeoir
XVIIIe siècle
H 31,9 cm
Copenhague, Rosenborg Castle
The Royal Danish Collection
Soucoupe à fleurs gravée
à la pointe de diamant
XVIIIe siècle
H 9,0 cm ; D 33,0 cm
Pavie, Musei Civici di Pavia - Castello Visconteo
Citron
XVIIIe siècle
Naples, Museo Nazionale di Capodimonte
Citron
XVIIIe siècle
Naples, Museo Nazionale di Capodimonte
Cédrat
XVIIIe siècle
Naples, Museo Nazionale di Capodimonte
Coupe bleue à deux anses
XVIIIe siècle
Brescia, Musei Civici di Brescia
Cafetière à fleurs polychromes
XVIIIe siècle
Venise, Museo del Vetro
Vase à deux anses
XVIIIe siècle
H 22,5 cm
Coburg, Kunstsammlungen der Veste Coburg
Manufacture vénitienne
Fiole en forme de carafe en verre transparent
moulé travaillé à main libre
XVIIIe siècle
H 24,3 ; D 13 cm
Venise, Museo del Vetro
Coupelle avec couvercle en verre décoré
XVIIIe siècle
H 19,0 cm ; L 22,0 cm ; P 17,5 cm
Venise, Museo del Vetro
Rafraîchissoir
XVIIIe siècle
H 18 ; D 45 cm
Venise, Museo del Vetro
Calice à pied avec décoration florale
XVIIIe siècle
Rome, Galleria Nazionale d’Arte Antica
Palazzo Barberini
Tasse « girasol »
XVIIIe siècle
Brecia, Musei Civici di Brescia
Bougeoir « girasol »
XVIIIe siècle
Brecia, Musei Civici di Brescia
>
Surtout
(Triomphe de table du XIXe siècle)
XVIIIe siècle
Paris, Musée des Arts Décoratifs
Miroir aux masques avec applications
en verre et miroirs gravés
XVIIIe siècle
H 156 ; L 88 ; l 19 cm
Venise, Cassa di Risparmio di Venezia CARIVE
Miroir aux masques avec applications
en verre et miroirs gravés
XVIIIe siècle
H 157 ; L 88 ; l 19 cm
Venise, Cassa di Risparmio di Venezia CARIVE
Giuseppe Briati
Miroir au cadre avec applications en verre
XVIIIe siècle
H 108,0 cm; L 81,0 cm
Venise, Museo del Vetro
15
Giuseppe Briati
Fauteuil avec incrustations de verre
XVIIIe siècle
H 117,0 cm ; L 72,0 cm
Venise, Museo del Vetro
Coffret en verre de Venise
XVIIIe siècle
H 19 ; L 35 ; l 28 cm
Paris, Courtesy Galerie Steinitz
Coffret en verre de Venise
XVIIIe siècle
H 20 ; L 35 ; l 28 cm
Paris, Courtesy Galerie Steinitz
Pietro Bigaglia
Bouteille en « mezza filigrana »
1845 - 1848
H 20,5 cm ; L 9,5 cm
Venise, Museo del Vetro
Pietro Bigaglia
Bouteille en « reticello »
1845 - 1848
H 22,0 cm ; L 10,0 cm
Venise, Museo del Vetro
Pietro Bigaglia
Bouteille « écossaise »
1845 - 1848
H 24,0 cm ; L 14,7 cm
Venise, Museo del Vetro
Pietro Bigaglia
Bouteille à « retortoli »
1845 - 1848
H 27,0 cm ; L 10,0 cm
Venise, Museo del Vetro
Fratelli Giacomuzzi
Plan de table en mosaïque de verre
1851
D 88,0 cm
Venise, Museo del Vetro
F.lli Giobbe per Salviati & C.
Plan de table en mosaïque de verre
1865
H 4,0 cm ; L 90,0 cm
Milan, Castello Sforzesco / Civiche raccolte
di Arte Applicata
Salviati & C.
Base du plan de table ci-dessus
1865
H 88,0 cm
Collection Martin Cohen et José Arias
Benedetto Barbaria
Dessin préparatoire aquarellé pour le plan
d’une table réalisé pour l’empereur
Napoléon 1er
1811
H 69,0 cm ; L 90,0 cm
Venise, Museo del Vetro
Murrine « Vincenzo Moretti » n°1
1878
H 40,0 mm ; L 40,0 mm
Collection particulière
Murrine « Vincenzo Moretti » n°2
1878
H 40,0 mm ; L 40,0 mm
Collection particulière
Murrine « Vincenzo Moretti » n°3
1878
H 40,0 mm ; L 40,0 mm
Collection particulière
Coupe en verre « murrino »
1881 - 1885
H 3,0 cm; D 12,0 cm
Vercelli, Museo Borgogna
>
Coupe en verre « murrino »
1880 - 1881
H 4,5 cm ; D 7,3 cm
Vercelli, Museo Borgogna
Calice au dragon
XIXe siècle
H 32,0 cm ; L 17,0 cm
Venise, Collection de Boos-Smith
Coupe en verre « murrino »
1878 - 1885
H 3,0 cm ; D 11,7 cm
Vercelli, Museo Borgogna
Giulio Salviati
Carafe au dragon
XIXe siècle
H 37,5 cm ; L 15,0 cm
Venise, Collection de Boos-Smith
Coupe de la compagnie de Venise et Murano
1888 - 1889
D 17,0 cm
Paris, Musée des Arts Décoratifs
16
Antonio Salviati
Miroir au cadre revêtu de petites feuilles
première moitié du XXe siècle
H 84 cm ; L. 62 cm
Courtesy Giordana Naccari
Bouteille à la feuille d’argent
1877 - 1890
H 25,0 cm ; L 18,0 cm
Venise, Collection de Boos-Smith
1900 À 1950
Carafe en « lattimo »
recouvert de verre « rubino »
1880
H 32,0 cm ; L 16,5 cm
Venise, Collection de Boos-Smith
Manufacture Rioda
Lustre Rezzonico
Début XXe siècle
H 280 ; L 180 cm Paris, Courtesy Antiquités Philippe Lachaux
Carafe à la feuille d’argent
1885 - 1890
H 21,5 cm ; L 17,5 cm
Venise, Collection de Boos-Smith
Miroir avec gravure de navire
1900 - 1950
H 70cm ; L 80cm
Courtesy Giordana Naccari
Carafe à décoration « phénicienne »
1885 - 1890
H 18,0 cm ; L 15,0 cm
Venise, Collection de Boos-Smith
Vase à « murrine »
avec un paon sur une branche
1920 - 1924
H 74,0 cm
Venise, Museo del Vetro
Fiole au dragon
1890
H 22,0 cm ; L 19,0 cm
Venise, Collection de Boos-Smith
Fratelli Toso
Calice aux trois dragons et un dauphin
1900
H 29,5 cm ; L 16,0 cm
Venise, Collection de Boos-Smith
Vase en forme de dragon
XIXe siècle
H 30,2 cm ; L 13,0 cm
Venise, Collection Boos-Smith
Vittorio Zecchin pour Venini
Vase Veronese
1921
H 30,0 cm ; L 16,0 cm
Collection particulière
Umberto Bellotto
Flacon en verre mosaïque
1922
H 25,0 cm ; L 21,0 cm ; P 4,8 cm
Milan, Castello Sforzesco/ Civiche raccolte di
Arte Applicata
Ercole Barovier
Vase à « murrine » transparentes
1925
Collection Martin cohen et José Arias
>
Pauly &C
Calice Pauly
1930
H 33,0 cm ; L 15,0 cm
Venise, Fondazione di Venezia
Giulio Radi
Vase
1948
H 18,0 cm ; L 13,0 cm
Venise, Fondazione di Venezia
Pauly &C
Vase Pauly
1930
H 33,0 cm ; L 12,0 cm
Venise, Fondazione di Venezia
André Arbus
Lustre / chandelier Jets d’eau
1949
H 140,0 cm ; L 150,0 cm
Paris, Courtesy Galerie Yves Gastou
Napoleone Martinuzzi
Vase rouge
1934
H 19,0 cm ; L 16,0 cm
Venise, Fondazione di Venezia
1950 À 2000
Vittorio Zecchin pour Venini
Vase Libellule (grand)
1921 - 1925
H 20 cm
Collection particulière
17
Vittorio Zecchin pour Venini
Vase Libellule (petit)
1921 - 1925
H 14 cm Collection particulière
Carlo Scarpa pour Cappellin
Petit vase en lattimo avec bord
et pied en pâte rouge
1926
H 15,0 cm
Collection particulière
Carlo Scarpa pour Venini
Vase « sommerso »
1934
H 20,0 cm
Collection particulière
Carlo Scarpa pour Venini Petit récipient en verre transparent
1936
H 10,0 cm
Collection particulière
Carlo Scarpa pour Venini
Vase sphérique en verre transparent
1936
H 20,0 cm
Collection particulière
Giò Ponti
Lustre à huit bras de lumière
1950
Paris, Courtesy JD Antiquités
Paolo Venini
Vase gravé
1956
H 21,0 cm ; L 13,0 cm
Venise, Fondazione di Venezia
Ercole Barovier
Vase «Argo» 1960
H 39,0 cm ; L 15,0 cm
Venise, Fondazione di Venezia
Flavio Poli
Coupe « sommerso »
1960
H 12,5 cm ; L 21,0 cm
Venise, Fondazione di Venezia
Flavio Poli pour Anzolo Seguso
Vase en verre « sommerso »
1960
H 15,0 cm ; L 8,8 cm
Venise, Museo del Vetro
Anzolo Fuga
Plat « Astronomico »
1962
D 41,0 cm
Venise, Fondazione di Venezia
Luciano Gaspari
Plat « Op »
1966
D 37,0 cm
Venise, Fondazione di Venezia
>
Fulvio Bianconi
« Informale »
1968
H 37,0 cm ; L 19,0 cm
Milan, Collection Bellini-Pezzoli
Yoichi Ohira
« Luci di Sommerso »
2000
H 15,0 cm ; L 19,0 cm
Paris, Courtesy Galerie Michel Giraud
Ettore Sottsass pour Venini
Théière
1977
Courtesy Giordana Naccari
Massimo Micheluzzi
Vase mosaïque
2000
H 35,0 cm ; L 30,0 cm
Venise, Collection de l’artiste
Ettore Sottsass pour Venini
Vase
Toulouse, Collection Galvani
Ettore Sottsass pour Venini
Vase
Toulouse, Collection Galvani
18
Michele Burato
« Black fingers »
2007
H 36,0 cm ; L 39,0 cm
Venise, Collection de l’artiste
Ettore Sottsass pour Venini
Vase
Toulouse, Collection Galvani
Giampaolo Seguso
« A mio padre »
H 16 cm ; H 28,5 cm
Venise, Collection de l’artiste
Laura de Santillana
Biro 1982 - 1983
H 20,0 cm
Milan, Collection Bellini-Pezzoli
Vase dit « Veronese » réinterprété par
Matteo Thun
2006
H 36 cm
Toulouse, Collection Galvani
Laura de Santillana
Biro
1982 - 1983
H 40,0 cm
Milan, Collection Bellini-Pezzoli
Vase dit « Veronese » réinterprété par
Alessandro Mendini
2006
H 36 cm
Toulouse, Collection Galvani
Toni Zuccheri
Petits chevaux
1992
Venise, Fondazione di Venezia
Vase dit « Veronese » réinterprété par
Mimmo Paladino
2006
H 36 cm
Toulouse, Collection Galvani
Mario Bellini
« Sogni infranti »
1992
H 44,0 cm ; L 31,0 cm
Milan, Collection Bellini-Pezzoli
Yoichi Ohira
Vase « Catena »
1998
L 18,0 cm
Paris, Courtesy Galerie Michel Giraud
Vase dit « Veronese » réinterprété par
Mario Botta
2006
H 36 cm
Toulouse, Collection Galvani
Vase dit « Veronese » réinterprété par
David Palterer
2006
H 36 cm
Toulouse, Collection Galvani
Yoichi Ohira
«Valle rossa »
2001
H 15,0 cm ; L 19,0 cm
Paris, Courtesy Galerie Michel Giraud
>
Vase dit « Veronese » réinterprété par
Massimiliano Fuksas
2006
H 36 cm
Toulouse, Collection Galvani
Lucio Fontana
Panneau
1965
H 124,5 cm ; L 71,5 cm ; P 10,0 cm
Venise, Courtesy Berengo Studio 1989
Vase dit « Veronese » réinterprété par
Paolo Portoghesi
2006
H 36 cm
Toulouse, Collection Galvani
César
Compression Coca-Cola
1992
H 37,0 cm ; L 23,0 cm ; P 24,0 cm
Venise, Courtesy Berengo Studio 1989
Vase dit «Veronese» réinterprété par
Cleto Munari
2006
H 36 cm
Toulouse, Collection Galvani
ŒUVRES CONTEMPORAINES
Vase dit « Veronese » réinterprété
par Carlo Nason
2006
H 36 cm
Toulouse, Collection Galvani
19
Vase dit « Veronese » réinterprété
par Richard Meier
2006
H 36 cm
Toulouse, Collection Galvani
ŒUVRES 1950 à 1990
Marc Chagall pour Egidio Costantini
« Risveglio della natura »
1954
H 7,0 cm
Venise, collection Berengo
Jean Arp
Collage n.2 (Glass object)
1964
H 50,0 cm ; L 34,7 cm ; P 3,0 cm
Venise, Courtesy Berengo Studio 1989
Jean Arp
Figure
1964
H 81 ; L 23 cm
Collection Taevernier,
Courtesy de la galerie le Minotaure
Adriano Vistosi
« Il bacio »
2001
H 43cm L. 65 cm ; L. 24 cm
Collection particulière
Maria Grazia Rosin
« Ice virus X »
2000
Collection de l’artiste
Giorgio Vigna
« Installazione Acqua-Rame d’Acqua »
2013
H 28,0 cm ; L 13,0 cm
Collection de l’artiste
Cristiano Bianchin
« Urna del cacciatore » 2008
H 72,0 cm ; L 53,0 cm; P 54,0 cm
Venise, Courtesy of Cristiano Bianchin
Mona Hatoum
« Web »
2006
Courtesy Galleria Continua
Jan Fabre
« Shitting doves of peace and flying rats »
2008
H 25,0 cm ; L 260,0 cm ; P 25,0 cm
Venise, Courtesy Berengo Studio 1989
Shen Yuan
« Polikilotherme »
2008
L 205,0 cm ; H 20,0 cm ; BP 19,0 cm
Milan, Fondazione Orsi
>
Fred Wilson
« Iago’s Mirror » 2009
H 200,0 cm ; L 130,0 cm ; P 20,0 cm
Venise, Courtesy Berengo Studio 1989
Thomas Schütte
« Berengo Heads »
2011
H 45 cm ; L. 30 cm; l. 27 cm
H 50 cm ; L. 30 cm ; l. 27 cm
Venise, Courtesy Berengo Studio 1989
Silvano Rubino
« Scala illuminante » 2010
250,0 cm ; 150,0 cm
Venise, Collection de l’artiste 1989
Javier Pérez
« Carrona » 2011
H 120,0 cm ; L 235,0 cm ; P 300,0 cm
Venise, Courtesy Berengo Studio 1989
Recycle Group
« Way » 2011
H 29,0 cm ; L 154,0 cm ; P 600,0 cm
Venise, Courtesy Berengo Studio 1989
20
Jean-Michel Othoniel
« Géométrie amoureuse alessandrita »
2004
H 157cm ; L. 70 cm ; l. 70 cm
Paris, Courtesy Galerie Perrotin
Tony Cragg
Sans titre
2012
Venise, Courtesy Berengo Studio 1989
Marie-Laure Viébel
« Oxygène, Graines de vie »
H 32,0 cm ; L 25,0 cm ; l 10cm
2012
Collection de l’artiste
Orlan
« Miroirs Portrait-Stress of Our Society »
2009
H 87 cm ; L. 57 cm
Venise, Copurtesy Berengo Studio 1989
Erik Dietman
« Crâne »
Paris, Courtesy Galerie Claudine Papillon
Liste non exhaustive.
FRAGILE. MURANO. Musée maillol
VISUELS DISPONIBLES
POUR LA PRESSE
21
Calice au « Triomphe de la Justice »
XVe siècle
H 22,0 cm ; L 13,5 cm
Florence, Museo del Bargello/Istituti museali della
Soprintendenza Speciale per il Polo Museale Fiorentino
©
Su concessione del Ministero per i Beni e le Attività Culturali
Calice en « reticello »
1550 - 1575
Brescia, Civici Musei di Arte e Storia
©
Archivio fotografico Civici Musei d’Arte e Storia di Brescia,
Fotostudio Rapuzzi
Coupe nuptiale en lattimo
avec une figure féminine et un joueur de luth
1500 env.
H 12,0 cm
Prague, National Museum
©
National Museum, Prague, Czech Republic
Seau en verre craquelé
1570 - 1600
Brescia, Civici Musei di Arte e Storia
©
Archivio fotografico Civici Musei d’Arte e Storia di Brescia,
Fotostudio Rapuzzi
Petite amphore à deux anses
en verre rouge - verre médicéen
Fin XVIe - début XVIIe siècle
H 22,0 cm
Collection particulière Giuseppe Maranghi
Photo ©Delmagno
Soucoupe à fleurs gravée à la pointe de diamant
XVIIIe siècle
H 9,0 cm ; D 33,0 cm
Pavie, Musei Civici di Pavia - Castello Visconteo ©
Musei Civici di Pavia
22
Trembleuse Miotti émaillée en « lattimo »
(tasse)
XVIIIe siècle
H 7,5 cm ; L 8,5 cm
Naples, Museo Diego Aragona Pignatelli Cortes
©
fotografie claudio garofalo napoli
Fauteuil avec applications en verre
XVIIIe siècle
H 117,0 cm ; L 72,0 cm
Venise, Museo del Vetro
©
Archivio Fotografico FMCV
Calice à pied avec décoration florale
Fratelli Giacomuzzi
XVIIIe siècle
Rome, Galleria Nazionale d’Arte Antica - Palazzo Barberini
©
Archivio Fotografico SSPASE
e per il Polo Museale della Città di Roma
Plan de table
1851
D 88,0 cm
Venise, Museo del Vetro
©
Archivio Fotografico FMCV
>
Vittorio Zecchin
Vittorio Zecchin pour Venini
Vase Libellule n°2
1921
H 14 cm Collection particulière
©
DR
Vase Veronese
1921
H 30,0 cm ; L 16,0 cm
Collection particulière
©
DR
Ercole Barovier
Napoleone Martinuzzi
Vase à «murrine» transparentes
1925
Collection particulière
©
Robert Lorenzson
Vase rouge
1934
H 19,0 cm ; L 16,0 cm
Venise, Fondazione di Venezia
©
DR
Jean Arp
César
23
« Figure »
1964, H 81 ; L 23 cm
Collection Taevernier,
Courtesy de la galerie le Minotaure
©
DR/ADAGP, Paris 2013
«Compression Coca-Cola »
1992
H 37,0 cm ; L 23,0 cm ; P 24,0 cm
Venise, Courtesy Berengo Studio 1989
©
Oliver Haas /ADAGP, Paris 2013
>
Mona Hatoum
Javier Pérez
«Web » 2006
H 515,0 cm ; L 2 100,0 cm ; P 1 325,0 cm
Sphère de cristal et fil métallique
San Gimignano, Courtesy Galleria Continua
©
Photo Ela Bialkowska
« Carrona »
2011
Verre et corbeaux naturalisés
H 120,0 cm ; L 235,0 cm ; P 300,0 cm
Produced by Berengo Studio and Venice Projects
©
Francesco Allegretto
Fred Wilson
Recycle Group
« Iago’s mirror »
2009
H 200,0 cm ; L 130,0 cm ; P 20,0 cm
Produced by Berengo Studio and Venice Projects
©
Francesco Allegretto
« Way »
2011
H 120,0 cm ; L 235,0 cm ; P 300,0 cm
Verre, métal et chemin électrique
Produced by Berengo Studio and Venice Projects
©
Francesco Allegretto
24
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FRAGILE. MURANO. Musée maillol
INFORMATIONS
PRATIQUES
25
MUSEE MAILLOL – FONDATION DINA VIERNY
RESTAURANT
59-61, rue de Grenelle
75007 Paris
T 01 42 22 59 58
F 01 42 84 14 44
Métro Rue du Bac (ligne 12)
Bus no 63, 68, 69, 83, 84
www.museemaillol.com
Restaurant italien La Cortigiana
ouvert tous les jours pour le petit
déjeuner, le déjeuner, le goûter et pour
dîner le vendredi soir
à l’occasion de la nocturne du musée
Privatisation possible en matinée
et en soirée
HORAIRES
ATELIERS POUR ENFANTS
Tous les jours de 10 h 30 à 19 h,
y compris les jours fériés
Nocturne le vendredi jusqu’à 21 h 30
Durée 1 h 30 (visite de l’exposition
+ atelier + goûter)
Ouverts aux enfants de 7 à 11 ans
Tarif 18 euros
Tous les mercredis de 15 h à 16 h 30
Tous les samedis de 11 h à 12 h 30
Pendant les vacances scolaires
nous contacter
Maximum 12 enfants par atelier
Réservation
[email protected]
PRIX D’ENTREE
Plein tarif 11 euros
Tarif réduit 9 euros
Gratuit pour les moins de 11 ans
BILLETTERIE EN LIGNE
www.museemaillol.com
www.fnac.com
Contacts groupes
CONTACTS COMMUNICATION
Séverine Lambert
01 42 22 25 44
[email protected]
AGENCE OBSERVATOIRE
25 œuvres majeures seront
disponibles sur audioguide et l’application smartphone du musée
FILM, MURANO
À travers des documents d’archives, le
musée Maillol vous fait revivre
l’instant magique de la création
qui unit artistes et maîtres verriers
dans la forge.
De la mythique Fucina degli Angeli,
devant Peggy Guggenheim, la rencontre
entre le maître Egidio Costantini et
Jean Arp, jusqu’aux œuvres les plus
récentes de Javier Pérez, Jan Fabre,
Fred Wilson ou Thomas Schütte.
Film 15 minutes.
Production Musée Maillol/ Tecniarte
68 rue Pernety
75014 Paris
Véronique Jeanneau
Céline Echinard
01 43 54 87 71
[email protected]
www.observatoire.fr
MUSÉE MAILLOL
59-61 rue de Grenelle
75007 Paris
Claude Unger
06 14 71 27 02
[email protected]
Elisabeth Apprédérisse
01 42 22 57 25
[email protected]
FRAGILE. MURANO. Musée maillol
publications
CATALOGUE DE L’EXPOSITION
Coédition musée Maillol-Fondation Dina Vierny/Éditions Gallimard
26
Format :190 x 285 mm
Nombre de pages : 256
Nombre d’illustrations : 200 env.
Prix prévisionnel : 39 euros
Parution : 28 mars 2013
Auteurs : Rosa Barovier Mentasti, Cristina Tonini, Olivier Kaeppelin
et Marco Veritàs
Services de presse
Presse nationale
Béatrice Foti
01 49 54 42 10
[email protected]
assistée de :
Françoise Issaurat
01 49 54 43 21
[email protected]
Presse régionale/étrangère
Pierre Gestede
01 49 54 42 54
[email protected]
assisté de :
Marina Toso
01 49 54 43 51
[email protected]
Vanessa Nahon
01 49 54 43 89
[email protected]
>
DÉCOUVERTE GALLIMARD
LE VERRE DE MURANO. DE LA RENAISSANCE AU xxi e SIÈCLE
Format : 120 x 170
8 modules
Environ 50 illustrations
Prix : 8,40 euros
Code sodis : A14043
Parution : 14 mars 2013
Auteurs : Rosa Barovier Mentasti et Cristina Tonini
Service de presse
David Ducreux
01 49 54 16 70
[email protected]
assisté de :
Charlotte Fagart
01 49 54 42 91
[email protected]
27
www.decouvertes-gallimard.fr
HORS-SERIE CONNAISSANCE DES ARTS
Nombre de pages : 36
Prix : 9,50 euros
Parution : 20 mars 2013

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