les relations trophiques

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LES RELATIONS TROPHIQUES
1) Titrez le document 1.
Titre : Réseau trophique (ou alimentaire) en milieu marin (dans un écosystème marin).
2) Identifiez et définissez les notions scientifiques mobilisées pour construire ce
schéma.
Les notions scientifiques mobilisées sont celles de chaîne et de réseau alimentaires
(trophiques).
Une chaîne alimentaire commence toujours par un végétal chlorophyllien (ici le
phytoplancton), autotrophe, qui est à l'origine de la production par photosynthèse de la
matière organique utilisée par les consommateurs de niveau 1 (zoooplancton herbivore, krill),
de niveau 2 (rorqual, zooplancton carnivore, calmar), de niveau 3 (léopard de mer), de niveau
4 (orque).
Le réseau trophique est formé par l'interaction de plusieurs chaînes trophiques dans le
même milieu. Ici, les flèches signifient « mangé par ».
3) Construisez un schéma du même type avec les êtres vivants représentés sur
le document 2.
Producteur primaire
Consommateur de niveau 1
(phytophage)
Consommateur de niveau 2
(Zoophage)
Noisettes
Petit rongeur
Rapace
Herbe
Lapin
Renard
Noisettes
Lapin
Rapace
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4) Titrez le document 3. Que représente-t-il ?
Titre : Pyramide écologique.
Les pyramides écologiques permettent de quantifier les échanges entre les niveaux
trophiques ou d'évaluer la taille des populations concernées.
Il en existe trois catégories : pyramide des nombres, pyramide des biomasses, pyramide
des énergies. Chaque rectangle de la pyramide a une surface proportionnelle au nombre
d'individus, à la masse totale d'individus d'une même catégorie, ou à la quantité d'énergie
récoltée à chaque niveau de la chaîne alimentaire. La pyramide met en évidence les
rendements trophiques.
Ici, aucune indication ne permet de savoir s'il s'agit d'une pyramide des nombres ou des
biomasses.
5) En vous appuyant sur le texte du document 4, vous indiquerez ce qu’a
découvert Gilbert White sur le rôle écologique des vers de terre.
Gilbert White a découvert que, dans le cas des vers de terre, la « chaîne de la nature »
correspond à l'interdépendance, aux interactions entre ces animaux « insignifiants » et la
végétation. « Promoteurs de la végétation », ils favorisent son développement. C'est donc une
vision écologique qui est perçue par l'auteur.
On sait maintenant que les vers de terre, en tant que décomposeurs détritivores,
contribuent à produire la matière minérale dont les plantes ont besoin, et qu'en creusant des
galeries ils favorisent le drainage de sols et la respiration racinaire.
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