Diapositiva 1 - PHP Version 5.4.16

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Diapositiva 1 - PHP Version 5.4.16
Ce projet a été financé avec le soutien de la Commission européenne. Cette publication n'engage que son auteur et la Commission n'est pas responsable de l'usage qui
pourrait être fait des informations qui y sont contenues.
Mythes, contes et légendes:
nos racines nous parlent
Comenius 2010 – 2012
Institut “Don Bosco”
Verviers (Belgique)
Lycée “La Hotoie”
Amiens (France)
Istituto Superiore “A. Tilgher”
Ercolano (Italie)
Grup Şcolar “Miron Cristea”
Subcetate (Roumanie)
1
PRÉFACE
Jeudi 16 octobre 2008
D’après M. Simon André (coordinateur du projet)
En fait, notre aventure n'est qu'une banale histoire de rencontres, de hasards, de ces petits miracles comme ceux qui font surgir les
champignons dans les bois en automne. Une histoire de rencontres, donc, et de barrières.
Tout commence en automne 2007, dans une classe de 6ème professionnelle, à Verviers. Il ne nous faut pas très longtemps pour nous
rendre compte que notre classe est le point de rencontre de personnes venues d'horizons professionnels, géographiques, linguistiques,
culturels très variés. Et que la cohabitation qui s'amorce n'est pas toujours facile. Un véritable microcosme – excusez-moi, ça m'a
échappé, je voulais dire « un petit monde » - à l'image de notre société.
Deuxième rencontre, en automne encore, le hasard – mais est-ce bien un hasard ? - me mène à bord d'une péniche amarrée sur le canal
de Bruxelles. On y rêve d'Europe, d'amitiés, d'un monde meilleur ... Il y a là Cécile, qui parle avec passion d'un truc par internet, facile,
qui ne coûte rien. Vous avez deviné ? Ca commence par E.
Troisième rencontre, en automne toujours, sur le site internet d'Etwinning: Louise, Filomena, Kyriaki, Mohamed et leurs élèves
confrontent leurs identités, comme nous dans notre classe. Le miracle, c'est qu'ils le font en français, et qu'ils nous ouvrent leur porte.
Du fond de notre petit coin de Wallonie, nous serons les seuls francophones d'un groupe qui travaille en français !
Alors apparaissent les barrières, linguistiques, culturelles, administratives, technologiques.
Alors patiemment, barreau après barreau, avec les tenailles de la parole, de l'obstination, de la réflexion et surtout -surtout !- du plaisir
partagé, petit à petit nous ouvrons des brèches dans les barrières.
On est en classe, et on chatte avec des Italiens et des Norvégiens, on écrit, on se filme, on parle de soi et des autres, on se pose des
questions, on répond aux questions, on se dispute le titre de « meilleur chocolat du monde ». C'est tout petit, une goutte d'eau dans la
mer, mais une fenêtre s'est entrouverte et soudain, dans notre école poussiéreuse, on respire comme un air de liberté.
Puis le travail de notre groupe est primé à Rome, puis chez nous, et nous sommes tout étonnés: c'était notre vie de tous les jours, on
nous dit avec ce prix qu'elle a de la valeur, et nous ne nous en rendions pas compte. Nous voici donc devenus des bourgeois
gentilshommes, faisant de la démocratie interculturelle sans le savoir…
http://medtwinners.blogspot.it/search?updated-max=2008-11-03T22:00:00%2B01:00&maresults=20&start=40&bydate=false
Au cours de mes expériences scolaires j'ai essayé donner une valeur ajoutée à mon enseignement par une coopération européenne afin
de passionner mes élèves à l'étude de la langue étrangère et leur donner une motivation appropriée.
J'avais envie de trouver une stratégie nouvelle et utile pour être plus proche à leur monde, au monde des nouvelles technologies.
Un jour, un mail de mon Ministère de l'Éducation pour annoncer l'opportunité de se jumeler en Europe…la plate-forme e-Twinning. Il était
fort intéressant que des lycéens pouvaient se réjoindre sur le Net et avoir des opportunités de citoyenneté active en Europe.
Enfin la communication virtuelle, mais bien réelle entre amis européens par des outils bien faciles à utiliser qui nous donnaient
l'opportunité d'un échange par courrier et d' ouverture à l'autre et à ses différences à considérer comme une richesse.
À partir du 2005 , tout le long de mes années scolaires l'expérience e-Twinning a fait partie de mes planifications annuelles. Que
d'expériences! Jumelages en France, en Grèce, en Norvège, au Maroc, en Belgique, en Espagne, en Roumanie.
Mes élèves pouvaient apprendre de leurs amis en Europe, partager leurs points de vue, leurs habitudes, développer leur motivation à
l'apprentissage de la langue française, leur autonomie et l'esprit de solidarité tout en utilisant les TIC.
Pour moi de très belles amitiés en Europe, Louise, Kyriaki, Mohammed, Célia, André, Maria Dolores, Doïna, Maria, Nina, Nathalie,
Jordi...et trois expériences interculturelles internationales au cours de trois séminaires, à Florence pour le prix e-Twinning pour mon
école et l'opportunité d'un jumelage au Maroc, à Rome pour le prix Medtwinning avec Louise, André et Mohamed et à Ischia où j'ai connu
Cécile la responsable e-Twinning en Belgique.
Enfin on était prêts à partir pour notre aventure Comenius.
D’ après M.me Filomena Gamen
2
INTRODUCTION
Ce projet est conçu comme le prolongement de 3 projets etwinning
successifs menés en français sur le thème de l’identité, le dernier de
ceux-ci portant déjà le même titre “Mythes, contes et légendes: nos
racines nous parlent”. Il répond au besoin éprouvé par les partenaires
d’approfondir leur collaboration et d’enrichir leur travail.
(Source: formulaire de candidature. Appel à propositions 2010)
Il offre l’avantage de travailler tant au niveau local et régional, par
l’étude de traditions mythique et légendaires, qu’européen, par la mise
en évidence des élements convergents de ces traditions (Formulaire de
candidature)
Ce livre est le résultat d’une réalisation sous forme écrite d’un recueil
commun de récits mythiques et légendaires de nos régions
respectives, en français, commentés et diffusés dans nos écoles en
utilisant les canaux e-Twinning et Comenius”.
(Source: formulaire de candidature. Objectif opérationnel final )
www.etwinning.net
www.euromythes.blogspot.com
https://sites.google.com/site/euromythes/
3
Notre première rencontre à Rome
pour le prix Medtwinning...
de notre projet e-Twinning ...
…à la soumission d’un partenariat Comenius
...par la rédaction d'un …
Formulaire de candidature Comenius:
Appel à propositions : 2010
Partenariats
A travers les mythes, contes et légendes de nos régions
d'origine, nous affinerons la connaissance de notre
identité culturelle régionale et européenne, de ce qui nous
rend à la fois semblables et différents. L'échange se
faisant en français permettra d'appréhender la similitude
des langues romanes et l’influence du latin et du grec sur
les langues européennes.
Après échanges et confrontations nous produirons un
recueil commenté de récits, écrits et oraux, en français,
conçu comme une initiation aux racines mythiques et
légendaires de notre identité européenne.
Comenius 2010 - 2012
Ce projet a été financé avec le soutien de la Commission européenne
Cette publication n'engage que son auteur
et la Commission n'est pas responsable de l'usage que pourrait etre fait des informations qui y sont contenues
Mythes, contes et légendes: nos racines
nous parlent
BELGIQUE
FRANCE
ROUMANIE
www.euromythes.blogspot.com
ITALIE
Déception pour les amies roumaines: Doina, Maria et
Nina
nos amis roumaines n'ont pas obtenu le financement…
Comenius, c'est parti !!
da:
André SIMON - DBV [email protected]
Bonjour Célia et Filomena.
Enfin, me voici avec quelques précisons et questions concernant notre projet Comenius.
1. La "question Roumanie" : comme vous le savez, nos amis roumains n'ont pas obtenu le financement;
renseignements pris à Bruxelles, cela n'est pas dû à une appréciation négative du projet, mais au fait
qu'en Roumanie les demandes sont beaucoup plus nombreuses que les bourses disponibles………
2. La "question e-twinning" : j'ai eu l'impression que plusieurs de nos partenaire e-twinning de l'année
scolaire passée seraient désireux de garder un contact……...
3. Le lancement du projet: le calendrier établi pour la présentation du projet prévoyait une première
réunion en Roumanie uniquement entre enseignants en octobre. suite du projet. Je vous ferai une
proposition plus détaillée lorsque nous en saurons un peu plus concernant les questions 1-2-3 :-))
4. Mon directeur m'a annoncé que nous avons reçu l'argent (en tout cas la première tranche); je suis
convoqué à une réunion de toutes les écoles Comenius de Belgique francophone le 23 septembre: il
semble que nous puissions compter sur un soutien actif de nos responsables nationaux, et je compte
bien en profiter sans retenue :-)) Je reçois mes premiers élèves lundi, et je compte bien débattre
immédiatement du projet avec eux: je vous ferai part de leurs premières impressions et/ou réflexions. Je
croise les doigts pour qu'ils soient aussi enthousiastes que nous !
5. Je vais me mettre à la création du site internet et du blog du projet: ….. utile de créer un groupe sur
internet, ou la communication par email vous semble-t-elle suffisante?
Celia FILIPPINI [email protected]
André SIMON - DBV <[email protected]>
Filomena Gamen <[email protected]>
05 settembre 2010 17:3
13 luglio 2010 18:13
oggetto:
OK de l'Italie
Mes chers amis,
La communication officielle est arrivée. Demain je vais me
rendre à l'école pour la visionner et signer le plan financier.
Je vais transférer l'essentiel de ton mail à l'intendance car ce sera peut-être plus difficile de convaincre
la direction. C'est la première fois que nous avons la chance de participer à un projet Comenius : mon
chef d'établissement est ravi et ne cesse de faire notre éloge. Mais comme c'est une grande première,
……
8
Années scolaires:2009 -2010 – 2011
Notre appartenance européenne
Ce projet a été financé avec le soutien de la Commission européenne. Cette publication n'engage que son auteur et la Commission n'est pas responsable de l'usage
qui pourrait être fait des informations qui y sont contenues
Tous ensemble :Comenius et e-Twinning
Institut “Don Bosco”
Verviers
(BELGIQUE)
Institut Ralleios
Grèce
Istituto Tecnico Commerciale
“S. Pertini” Turi (ITALIE)
Institut Hemne
NORVEGE
Istituto Istruzione Superiore
“A. Tilgher”
Ercolano (ITALIE)
Lycée “La Hotoie”
Amiens (FRANCE)
Groupe Scolaire “Miron Cristea” Subcetate et L'école des
Roumains de Saint-Georges
Nos outils de communication
pour vivre notre citoyenneté européenne
Nous attendons de notre partenariat que
les personnes concernées, élèves et
enseignants, prennent l'habitude de
communiquer et collaborer à un niveau
supranational, en utilisant les techniques
modernes.
Gmail
LE BLOG DU GROUPE ETWINNING COMENIUS "MYTHES, CONTES ET LÉGENDES:
NOS RACINES NOUS PARLENT.«
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LES SITES WEB DE NOS ÉCOLES
L'école des Basques Espagnols de
Bergara
L'école des Belges de Verviers
L'école des Français d'Amiens
L'école des Grecques du Pirée
L'école des Italiens d'Ercolano
L'école des Italiens de Turi
L'école des Norvégiens de Hemne
L'école des Roumains de Nucet
L'école des Roumains de SaintGeorges
L'école des Roumains de
Subcetate
La première rencontre à Ercolano du 20 au 23 octobre 2010:
Voilà les responsables à la réunion de concertation initiale:
M. Simon André de l'Institut "Don Bosco" de Verviers en Belgique;
M.lle Célia Filippini du Lycée "La Hotoie" de Amiens en France;
M.me Filomena Gamen de l'I. I. Superiore "A. Tilgher" de Ercolano
Aux ruines de la
cité antique
Visite à
une villa
vésuvienne
Notre proviseur et
nos élèves vous
accueillent
• à
Soirée en
“pizzeria” avec
les collègues
italiennes.
A’
Naples
Rencontre à Ercolano
du 26 mars au 2 avril 2011
Enthousiastes et curieux, 13
belges et 12 français partent de
Verviers et d’Amiens avec 2 profs
également, destination: Ercolano !
Quelques heures de voyage, et
nous voici accueillis à l'aéroport de
Naples par les familles italiennes
qui nous hébergeront.
Les impressions de nos amis
belges…
http://www.euromythes.blogspot.it/search?u
pdated-min=2010-12-31T15:00:0008:00&updated-max=2011-0624T18:08:00%2B02:00&maxresults=42&start=15&by-date=false
Un élève belge: Maxime Huet:
Les Français étaient
très sympathiques et les Italiens
tous fort amicaux et accueillants.
Je ne regrette pas d’être allé chez
Clarissa, plutôt que chez un garçon
car je me suis beaucoup amusé
avec elle et ses amis ,sa
famille. J'ai appris à les connaître:
leur alimentation, leur hospitalité
n'est pas la même que chez nous.
Et une élève française….
Clara Alves
Je n'étais jamais partie en
correspondance et je dois avouer
que c'est une très belle
expérience. C'etait trop dur de les
quitter , beaucoup de larmes ..!
Mégane Delavier
A’ Naples
A’ la cité antique
L’arrivée
des
belges et
français
à l’école
Au Vésuve
Au Palais Royal de Caserta
Atelier du
musée de
corail de
Torre del
Greco
Istituto d’Arte
Torre del Greco
12
Du 26 novembre au 2 décembre 2011:
Notre séjour à Verviers vu par nos amies roumaines
Vivre le temps de 6 jours l’expérience
d’une rencontre de projet Comenius, c’est
quelque chose incroyable. J’ai participé à
la réunion organisée à l’Institut « Don
Bosco » de Verviers, minutieusement
préparée par les professeurs André
Simon, le coordinateur de ce projet,
Bernard Hardy et leurs collègues d’école.
Chaque pays est une entité qui se
caractérise par la langue officielle parlée
(ou plusieurs), par une culture ou un
mélange de cultures. La Belgique est un
pays de l’Union Européenne qui a trois
régions – Bruxelles, Wallonie et Flandre –
et trois langues. On a eu l’occasion, grâce
au projet européen Comenius et au
programme très varié proposé par l’école
belge, de connaître l’ambiance
multiculturelle de ce pays, dès l’ancienne
époque d’il y a 5000-7000 ans av. J-C.,
puis l’époque gallo-romaine et le Moyen
Age, révélés par les reliques de l’
Archéoforum de Liège, jusqu’au présent
de l’Union Européenne par la visite à la
Commission Européenne de Bruxelles et
par la randonnée au lieu des « Trois
Frontières », puis à l’Aachen, en
Allemagne……
Dobrean Doina
A’ Liège: nos origines
romaines
Visite à la mine de Blégny
Sur les pas de Charles
Magne à Aix la Chapelle
A’ la Commission
européenne
Aux Hautes Fagnes
A’ Bruxelles
Dans les
ateliers
scolaires
13
Rencontre à Verviers: l'Agence belge était présente ..
Article publié sur le site Comenius belge.
http://www.aefeurope.be/index.php?Rub=aef&page=009&Article=1164
Quel meilleur endroit pour se
raconter des histoires qu’autour
d’un grand feu en pleine forêt
spadoise ? Après une balade
nature dans les Fagnes, élèves et
professeurs de l’Institut Don
Bosco de Verviers sont réunis
avec leurs partenaires italiens et
français autour d’un barbecue
savoureux. Cela fait 5 jours qu’ils
partagent tout ensemble : cours,
soirées en famille, visite des
ateliers de soudure et de bois,
endroits chargés d’histoire (mine
de Blégny, guidée par un ancien
mineur italien, Archéoforum à
Liège, Commission européenne à
Bruxelles). Pour certains, ce
n’est pas la première rencontre,
car durant la première année du
projet, élèves belges et français
avaient déjà été accueillis dans
les familles italiennes, selon les
règles de l’hospitalité
napolitaine, tout un programme !
Ils avaient d’ailleurs continué à
rester en contact via Skype,
emails et autre blog ou à passer
les vacances d’été ensemble.
La responsable belge Suzy
Vercammen était présente
L’équipe italienne de 13 élèves est dirigée avec maestro
par Filomena, la professoressa de français. Ils nous
jouent un numéro en français !, sur les nombreuses
superstitions des Napolitains et sur toute leur batterie de
grigri qui servent à rejeter le mauvais oeil.
C’est au tour des 6 élèves français, accompagnés de
leur prof d’italien, Jordi et de leur prof d’espagnol,
Nathalie, de créer un mini spectacle reprenant des
bribes des visites et des histoires vécues depuis le
début de la rencontre.
Nina, Doina et Maria, professeurs roumaines, n’ont elles, pas pu emmener leurs
élèves pour des raisons financières, mais elles sont tellement enchantées d’être
là, grâce à la débrouillardise des partenaires belges.
14
Rencontre à Amiens
du 17 au 24 avril 2012
Amiens: de très
bonnes opportunités
de
visites et activités.
SAMEDI 17: Accueil des Italiens (vers 16,00 h.)
et des Belges (vers 17h30) à Amiens -.
DIMANCHE 18: Journée au Touquet, après-midi
libre
Le TouquetParisPlage,
une commune française, située dans le
département du Pas-de-Calais et la région
Nord-Pas-de-Calais.
A’ Paris
Moules et frites au
Touquet
Au Musée du
Quai D’Orsay
LUNDI 19: Lycée La Hotoie, tournage du film
"Astérix et Obélix"
MARDI 20: Journée à Deauville
Deauville).
Station balnéaire normande.Elle attire chaque
année des milliers de touristes, notamment des
Parisiens en raison de sa relative proximité
géographique (≈ 200 km)..
MERCREDI 21: Journée à Paris: Visite du Musée
d'Orsay, Parcours à Paris: Faubourg St Honoré
jusqu‘à la place Baubeau (en passant par les
Champs-Elysées ou encore par Le Petit et
Grand Palais)
JEUDI 22: Matin au lycée la Hotoie: fin
tournage ou excursion à Amiens / Après-midi:
visite du Château de Chantilly
VENDREDI 23: Journée à Rouen: orientation
dans la ville
C'est à Rouen, capitale du pouvoir anglais dans
le royaume de France, que Jeanne d'Arc a été
jugée et brûlée le 30 mai 1431
SAMEDI: Départ…
A’ l’école
A’ Chantilly
et à Rouen
A’ Deauville
15
Le Faix du Diable
Conclusion légende :
L'eau qui stagne sur le rocher a le pouvoir de guérir les verrues et de rendre les femmes non stériles.
http://www.italieaparis.net/actualite/news/neapolis-ensemble-11030/
La légende a été présentée en vidéo aussi par nos amis belges.
http://www.euromythes.blogspot.it/search?updated-min=2010-12-31T15:00:00-08:00&updated-max=2011-0624T18:08:00%2B02:00&max-results=42&start=15&by-date=false
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http://www.euromythes.blogspot.it/2010/01/premieres-legendes-belges.html#comment-form
17
http://www.euromythes.blogspot.it/2010/01/premieres-legendes-belges.html#comment-form
18
Le pont du Diable
Situé entre Chaudfontaine et Ninane, le Pont du Diable se
Si vous le désirez, dit-il, pour demain matin, ce pont sera
dessine à l'horizon sur sa colline, reliant
reconstruit ! Toutefois, en compensation, je vous demande
deux promontoires boisés, dans un de ces sites étonnant
de me donner l'âme de la première créature qui franchira le
qui compte parmi les grandes valeurs touristiques de la
nouveau pont.
localité.
Foncièrement chrétiens, les paysans refusèrent un tel
Sa construction bizarre remonte à une date indéterminée.
marché.
Voici au sujet de sa dénomination la légende que nous a
racontée un vieux calidifontain qui la tenait déjà de son
... Les jours passèrent... les nuits passèrent... les finances
grand-père :
baissèrent... et la misère commença à se faire jour.
"Jadis les cultivateurs du hameau de Ninane et des
Acculés par la faim, les paysans retournèrent près des
hameaux environnants se rendaient à la ville en empruntant ruines du pont et conclurent le marché proposé quelque
la vallée de la Vesdre qu'ils rejoignaient en descendant vers temps auparavant par Satan.
Chaudfontaine.
Et le lendemain matin, lorsqu'ils découvrirent le pont
Toutefois, pour atteindre cette dernière localité, un seul
reconstruit et Satan attendant, en triomphateur sa victime,
chemin était accessible et au centre de ce chemin se
ils se concertèrent.
dressait un pont rudimentaire qu'ils devaient emprunter. Or, On installa alors un grand sac à l'entrée du pont.
un beau matin, à la stupéfaction générale, les paysans
De ce sac, s'enfuit un magnifique bouc qui se précipita sur
constatèrent que le pont en question s'était écroulé pendant le pont et se jeta dans les bras du Diable qui, se voyant
la nuit.
trompé,
Sa reconstruction, à l'époque, allait nécessiter plusieurs
n'eut d'autre solution que de retourner en hurlant vers le feu
semaines de travail acharné et une nombreuse mainéternel de son royaume maudit.
d'oeuvre.
Voilà, telle qu'elle nous a été racontée, la légende de ce
Après s'être lamenté toute la journée, et après examen de pont qui depuis lors s'appelle "LE PONT DU DIABLE".
la situation, les paysans désespérés décidèrent, la nuit
tombante,de rentrer chez eux.
A’ Ercolano, lors de la visite au Vésuve, dans la Vallée de
C'est à cet instant même qu'une grande lueur se produisit et l'Enfer, dans un cadre protégé et normalement interdit aux
que dans un tourbillon de flammes apparu le Diable en
touristes, les Belges donnent leur représentation
personne.
humoristique de cette légende wallonne.
A peine revenu de leur stupéfaction, les paysans tremblant http://www.euromythes.blogspot.it/search?updated-min=2010-12-31T15:00:00de frayeur entendirent Satan leur proposer le marché
08:00&updated-max=2011-06-24T18:08:00%2B02:00&maxsuivant.
results=42&start=15&by-date=false
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La légende des sorcières en France au Moyen Age
La sorcellerie serait bien plus ancienne que l'on voudrait le croire: elle remontrait jusqu'à la préhistoire! En effet
la sorcellerie est assimilée au culte de la Déesse, on retrouve des traces de ce culte qui datent de l' ère
préhistorique. Selon l'antropologiste Marija Gimbutas, la découverte de la Vénus de Willendorf prouve que le culte
de la Déesse existait déjà à cette époque, 35 000 avant J.C. En ce temps, on pratiquait le culte primitif de la
fertilité. La place de la femme était très importante, même sacrée. Car la femme est celle qui donne la vie. Dans
l'antiquité on retrouve le culte de la déesse, avec par exemple le culte de Cybèle, d'Isis, de Déméter, de
Perséphone, de Diane et de Gaïa, on assimilait alors leur prétresses à des sorcières, puis au Moyen-Age il ne reste
plus que deux culte: le culte de Diane ou féminin sacré, qui sera assimilé à la sorcellerie et le culte de vierges
noires, qui ne subira pas de persécution, puisqu'il est en l'honneur de la Vierge. De nos jours la théalogie est la
descendante du féminin sacré, la Wicca qui pratique entre autre le féminin sacré se veut la religion des sorcières,
on peut aussi citer le paganisme (= religions païennes).
Entre le XVIème et leXVIIème siècle,principalement des femmes,étaient accusées de sorcellerie.Etre une
"sorcière" à cette époque étaient interdit et d'ailleurs punis et donc les accusées étaient brulées sur un bucher.Une
sorcière est une femme de savoir, une guérisseuse, une femme mystérieuse. Les femmes accusées de sorcellerie
au moyen-âge, sont pour la plus grande majorité des paysannes, illettrées, dont les connaissances étaient basées
sur l'observation de la nature, du monde qui les entourait. Car enfin, la femme a toujours été jusque là proche de la
nature, à l'époque préhistorique, pendant que l'homme chassait, la femme faisait la cueillette. Elles avaient alors la
connaissance des plantes, savaient lesquelles guérissaient.Les hommes avaient peur de ces femmes car ils
pensaient que si elles pouvaient donner la santé,elles pouvaient aussi donner la mort à ses "patients". La sorcière
du village était crainte, mais aussi respectée car on avait besoin d'elle et de ses connaissances.Les femmes
rousses avec des taches de rousseurs ou avec des défauts physiquescomme une bosse sur le dos ou une femme
boiteuse étaient considérées comme sorcières.Plusieurs pretextes étaient valables pour accuser une femme de
sorcellerie par exemple on accusait les gitanes,les veuves,les vieilles filles;en faite les femmes en marge de la
société.
Mais la vraie raison de ces meurtres est religieuse car la femme étant considérée comme le"diable" dans la
bible,les femmes non soumises étaient donc accusées de sorcellerie,à cette époque ou la religion prenait une
grande place dans la vie et la société.D'ailleurs une loi,la loi salique édité par Clovis,roi des francs au Vème siècle
pour condamner l'usage de la sorcellerie. Les sociétés patriarcales menaient une politique de propagande pour
insuffler une haine et un sentiment de terreur envers ces femmes que l'on appelait sorcières. De ce fait si le
moindre doute subsistait on n'hésitait pas à dénoncer, par crainte. L'image de la sorcière apparaissait comme
particulièrement horrible. Cannibale, mangeuse d'enfants, anthropophage et nécrophile, on dit qu'elle participait à
des sabbats, assemblée où se déroulaient les pires orgies et crimes. Ainsi, tous les maux et malheurs étaient
fautes des sorcière, la science n'étant pas là pour expliquer, les sorcières étaient les bouc émissaires. Lorsqu'un
homme devenait impuissant, on disait qu'une sorcière lui avait noué l'aiguillette, si un chien hurlait à mort, si un
bébé pleurait la nuit c'était la faute de la sorcière, un autre disparaissait, c'était encore cette ogresse, elle faisait
mourir le bétail et les récolte.
Les sorcière étaient considérées comme les servantes du diable, à l'opposé des prêtes, qui sont les serviteurs de
Dieu, on devait donc punir ces servantes qui avaient alors tous les vices, puisqu'on ne pouvait atteindre le maître.
Les prêtres dans leur sermons dénonçaient la sorcellerie. D'ailleurs ceux ci furent très mécontents de la mode des
coiffes à cornes et hennins qu'ils assimilaient aux cornes du diable.Avant les hommes n'avait pas beaucoup de
connaissances sur la météo,la médecine,le corps humain et donc l'anatomie.....etc,c'est pour cela que cette
société très basée sur la religion accusée les personnes différentes comme les soit disant "sorcières".
RAPHAELLE_SAVOY
et les prof Nathalie Gonzales et Jordi Traverso du Lycée “La Hotoie” Amiens
http://www.euromythes.blogspot.it/search/label/L%C3%A9gendes%20et%20traditions%20fran%C3%A7aises
20
La Dame blanche
Ikrame et Fionna d'Amiens vous présentent la légende de la dame banche (réflexion et recherche inspirés des
échanges sur le diable).
Souvent, on raconte qu'à plusieurs endroits précis une femme vêtue de blanc portant un châle qui cacherait son
visage apparaîtrait. Il existe plusieurs versions des apparitions de la dame blanche. La plus connue étant celle
de l'automobiliste. On dit que la dame blanche est une auto-stoppeuse. Si vous la prenez, elle vous prévient
juste de faire attention juste avant un virage et disparaît mystérieusement après le virage. Par contre, si vous la
laissez en plan, vous provoquez un accident fatal dans le virage.
En France, la dame blanche apparaîtrait comme auto-stoppeuse dans la forêt de Compiègne car les rumeurs
disent que le mari de la dame blanche serait mort dans un de ces virages.
On raconte également qu'on l'aperçoit au niveau de l'abribus du C.H.U. de Caen car une jeune femme serait
morte sur le trajet de la D17. La jeune femme resterait discrète et commencerait à s'apeurer à l'approche du
virage. Enfin, elle crierait « Attention au virage ! » et disparaîtrait une fois celui-ci passé.
Une autre version de la légende de la dame blanche serait un fantôme qui errerait dans les châteaux.
En France, par exemple dans le château de Trécesson dans le Morbihan, le fantôme de la dame blanche
apparaîtrait de temps à autre. Il proviendrait d'une femme enterrée vivante dans les combles du château.
Dans le château de Pouancé en Maine et Loire, des histoires sordides de dame blanche circulent également.
Une première version serait que le fantôme de la dame blanche serait celui d'une femme morte à cause d'une
crise de jalousie de son mari qu'il l'aurait d'abord attablée avec de beaux couverts en argent, puis il la fit
attacher à cette même table et enfin il l'emmura vivante.
Par contre, certains récits de dames blanches intègrent une variante telle que, au lieu de se volatiliser, l'autostoppeuse oublie un objet personnel sur la banquette (carte d'identité, vêtement, etc...), avec un indice
quelconque permettant de la retrouver.
Le lendemain, le conducteur se rend chez la jeune femme et rencontre ses parents dont il apprend que l'objet
lui appartient bien, mais qu'elle est décédée depuis un certain temps.
D'autres témoins apportent des variantes qu'il est intéressant de considérer. Comme par exemple cet
enseignant circulant, de nuit, en moto.
Il voit dans la lumière de son phare une silhouette blanche face à lui, et la percute. De fait, il ne la percute pas
réellement mais traverse l'apparition.
En se retournant il s'aperçoit qu'il voit le paysage au travers d'elle et comprend qu'elle disparaît, mais le plus
surprenant, si cela est possible, c'est que la femme semble le suivre comme si elle restait très proche de la
moto. Enfin, elle disparaît complètement.
Ikrame et Fionna et les prof Nathalie Gonzales et Jordi Traverso du Lycée “La Hotoie” Amiens
http://www.euromythes.blogspot.it/2010/05/ikrame-et-fionna-damiens-vous.html
21
ASTERIX & LES GAULOIS
http://www.euromythes.blogspot.it/search/label/L
%C3%A9gendes%20et%20traditions%20fran%C
3%A7aises
En 1959, René Goscinny et Albert Uderzo participent à la créationd'un nouveau magazine de bandes dessinées pour les
enfants : Pilote.
Désireux de donner vie à un nouveau héros pour accompagner cette aventure éditoriale, ils se consacrent d'abord à une
adaptation du
Roman de Renart.
Toutefois, lorsqu'ils apprennent qu'un autre auteur y travaille déjà, ils cherchent d'autres sources d'inspiration dans
l'histoire
de France. Très vite, ils jettent leur dévolu sur l'Antiquité, sur « nos ancêtres les Gaulois », et, en deux heures seulement,
établissent les bases
d'une série qui deviendra l'un des plus grands succès de la bande dessinée mondiale.
Le petit monde d'Astérix
Le premier album, Astérix le Gaulois, paraît en 1961. Cette histoire initiale contient déjà en grande partie les ingrédients
qui feront le succès de la série : un village d'irréductibles Gaulois qui résistent encore et toujours àl'envahisseur romain, un
druide, Panoramix, détenteur du secret d'une potion magique qui confère à ceux qui en consomment une force surhumaine,
et un gentil colosse, Obélix, qui devient rapidement l'inséparable compagnon d'Astérix. Le duo se change en trio lors de la
cinquième aventure, le Tour de Gaule (1965), avec l'apparition d'un petit chien, Idéfix, dont le nom est proposé par les
lecteurs de Pilote. Astérix, Obélix et Idéfix, tout au long de leurs aventures, arpenteront alternativement la Gaule et
différentes régions du monde (Astérix et Cléopâtre, 1965 ; Astérix chez les Bretons, 1966 ; Astérix chez les Helvètes, 1971 ;
Astérix chez Rahàzade, 1987).
Sous la plume de Goscinny, les jeux de mots, les proverbes et les calembours s'enchaînent, aussi bien dans les noms des
personnages (Assurancetourix, le barde; Agecanonix, le doyen du village) que dans les locutions latines, qu'il reprend
ou déforme (« Vae victis, comme disait l'autre, mon vieux ») ou à travers des expressions qu'il crée de toutes pièces et qui
font date (« Ils sont fous, ces Romains ! »). Avec son pinceau, Uderzo dote ses personnages d'un trait dynamique,
humoristique (notamment à travers les « gros nez ») et truffe les histoires de références à des personnalités (en
caricaturant des acteurs des chanteurs ou des auteurs de bande dessinée, a commencer par Goscinny et lui-même !) ainsi
qu'à des œuvres classiques de la peinture ou de la sculpture.
22
Les élèves et les prof Nathalie Gonzales et Jordi Traverso du Lycée “La Hotoie” Amiens
“La
trompeuse trompée”
Le conte est tiré de l' œuvre “Les contes napolitains”de Pompeo Sarnelli
edité à Naples en 1684.
CONTENUS:
L'héroine, Cicia, comme dans tous les contes de fées, passe de la privation initiale, orpheline, à la retribution ( épouse d'un roi)
et à la promotion finale ( tromper la trompeuse) en passant par diverses épreuves et diverses vicissitudes.
INTRODUCTION:
Une jeune fille orpheline au nom de Cicia a eu la prétention d'exprimer un désir: se marier au roi.
RÉSUMÉ:
Sa belle-mère, la méchanceté même, contraire à cette idée, pense se venger du fils désobéissant et au moment de
l'accouchement de la belle fille, a eu le courage de remplacer ses deux beaux jumeaux de deux chiots et de demander à un de
ses serviteurs de les tuer...mais il les abandonne près d'un fleuve. Ils seront sauvés de la femme d'un meunier…
Les deux frères, Ninnella et Jannuzzo, partent à travers le monde à la recherche de leurs parents et ils apprennent d'un oiseau
que leur maman est vivante. Jannuzzo, se lance dans diverses aventures pour faire plaisir à sa belle sœur: trouver la pomme qui
parle, l'eau qui danse et l'oiseau qui parle pour la faire devenir plus belle L'oiseau le transforme en statue pour l'avoir entendu
parler, mais le libère pour amour de Ninnella.
Plus tard, l'oiseau va revéler à son père, le roi, la haine de sa mère pour sa femme et des aventures de ses deux jumeaux, et les
vicissitudes de sa femme imprisonnée et accusée injustement d' avoir accouché deux chiots.
Le roi ordonne de tailler en pièce Pascadozzia , sa mère. Cicia ne veut pas rendre le mal par le mal. L'oiseau met fin à leur
débat en la changeant en statue avec ses méchantes dames, et tous les hommes sans cœur qui l'avaient maltraitée.
En lisant le conte, au cours des années et des péripéties des deux jeunes fils, on apprend de l' origine légendaire que Sarnelli a
voulu donner à nos endroits les plus importants:
Posillipo: A' l'origine, le Pausilippe était un jeune homme très beau mais malheureux pour avoir tombé amoureux de Nisida.
Pour le désespoir il fut changé en montagne et elle en une île qui reste dédaigneusement au large pour avoir été ingrate et
discourtoise.
Le Vésuve et Capri: Pour l'origine du Vésuve, une autre histoire qui nous a émus. Le Vésuve était, à l'avis de Sarnelli, un
gentilhomme de Naples tombé amoureux d'une fille de la famille de Capra. Leurs familles s'opposèrent à leur union. Pour le
désespoir, elle se jeta à la mer et devint une île, l'actuelle Capri, et le Vèsuve se mit à pousser des soupirs enflammés et, petit
à petit, se changea en une montagne qu'on nomme Somma.
Mergellina: Toujours une histoire d'amour. On conte qu'un pêcheur habitant sur le Pausilippe un jour, voyant passer la Sirène
qui chantait, fut tellement enflammé de cette musique qu'il se plongea dans la mer plusieurs fois et fut transformé en
l'actuel écuiel qui se trouve à la fin du promontoire du Pausilippe.
CONCLUSION:
A toute occasion, dans le conte on trouve l'idée de la bienfaisance et du Ciel qui aide les innocents.
Le conte termine par un proverbe: «Souventes fois le trompeur est trompé et tôt ou tard il s'en mordra les doigts».
Yasmine, Annarita, Anna, Claudia et Emiliana (5a A IGEA) et leur prof Filomena Gamen de l’Istituto d’Istruzione Superiore « A.
Tilgher » Ercolano
https://sites.google.com/site/euromythes/accueil-site/2010---2011/2-recits-et-traditions/recits-et-traditions-d-italie/la-posilicheata
Sur les pas de nos ancêtres Romains à l’aide de l’écrivain
Tirées de "la guide des étrangers à Poussol" où il nous montre suffisamment sa cognition de l'antiquité, son
erudition son savoir.
La Grotte du Chien (soufre et alun)
À la sortie de la Grotte et au rivage du Lac d'Agnane, il y a une caverne fort peu profonde. On l'appelle d'ordinaire la Grotte
du Chien car on s'est servi de cet animal pour faire l'expérience du merveilleux effet de cette Grotte, c'est à dire, de faire
mourir quelque animal que ce soit, pour un peu de temps qu'il y demeurait. Cet effet surprenant procède des exhalaisons
pestifères ou plutôt des esprits arsenicaux qu'on appelle en italien “Mofete”, un élément qui exhale de la terre et qui consent
leur mort... “ses membres s'abandonnent, comme s'il était prêt de mourir, mais en l'apportant bien vite dans le Lac, qui n'est
qu'à quinze pas de là, la fraîcheur de l'eau le remet dans quelques minutes”. Mais si l'animal restait dans la Grotte plus temps,
il mourirait effectivement et toute l'eau du Lac ne le résusciterait point.
“L'Amphithêatre
On l'appelle ordinairemet le “Colisée”. Il a été bati en forme ovale de pierres carrées et sa place est longue de 172 pieds et
large de 88. Il a bien souffert des tremblements de terre. Il était autrefois au milieu de l'ancienne ville de Poussol et c'est un
ouvrage fort ancien.
C'est en ce lieu que le glorieux Saint Janvier et ses Compagnons furent exposés aux bêtes sauvages, lesquelles plus
humaines que les hommes, se prostérnèrent avec respect à leurs pieds, sans leur faire aucun mal. Tandis que l'impie
Président Timothée, étant devenu aveugle, ici recouvra la vue par l'intercession du Saint Evêque, afin qu'il puisse voir ses
pertes de ses propres yeux, dès qu'il ne voulut jamais les ouvrir à la veritable foie.
Le Lac d'Averne
On dit que: on a lui donné ce nom dérivant “du grec “àornos” qui veut dire “sans oiseaux” parce que la puanteur de ses eaux
était mortelle au point que s'ils y passaient par dessus, ils y tombaient morts”. (Nonnius) cela arrivait par l'épaisseur des
fôrets dont le Lac était entouré. Elles empêchaient le vent de dissiper la puanteur du souffre qui exhalait de ces eaux.
(Servius) Agrippa (Mère de Neron) et Auguste, ils firent couper ces bois et rendirent ces lieux sains, fertiles et agréables.
L'Empereur Neron y fit commencer un fossé ou canal qu'il voulait continuer jusqu'à Ostie(Rome). Il devait être si large et si
profond, qu'on y put naviguer aisement et surement..On pourraient faire de ce lac le meilleur Port d'Europe, en y faisant
travailler la chiourme des galères pendant quelques années...(Suetone)
La Grotte de la Sybille
A' l'Orient du Lac d'Averne, ...par une entrée...fort mal aisée, on entre dans la Grotte de la Sybille Cumée...”“Sa voute
semble avoir été ornée de peintures avec de l'azur d'outremer et de l'or, les murailles de pierres et de coquilles... qui sont d
divers couleurs; le pavé est aussi de pierres rapportées à la mosaïque” La Sybille de Cumest l'une des plus importantes parmi
les douze sybilles du monde grec. Elle apparaît dans nombreuses légendes, notamment celles de Enée qui la consulta pour
descendre aux Enfers. Le poète Virgile en décrit la descente dans son œuvre l'”Eneide”: “Elle lui avait montré où cueillir le
rameau d'or, dans les bois sur les bords du Lac d'Averne, rameau qui devait lui permettre de pénétrer dans le royaume
d'Hadès. Le poète Ovide raconte dans ses “Métamorphoses” que Apollon, épris par les charmes de la Sybille, offrit de realiser
son vœu le plus cher en échange de ses faveurs...elle lui demanda autant d'années de vie que les grains de sable que sa main
puisse contenir, omettant malheureusement de formuler celui-ci de manière à conserver la fraîcheur de ses vingt ans. Elle
veillessa progressivement jusqu'à demeurer toute recroquevillée dans une bouteille suspendue au plafond de sa cave et aux
enfants demandant ce qu'elle désirait, elle répondait: “Je veux mourir”.
Yasmine, Annarita, Anna, Claudia et Emiliana (5a A IGEA) et leur prof Filomena Gamen de l’Istituto d’Istruzione Superiore « A.
Tilgher » Ercolano
https://sites.google.com/site/euromythes/accueil-site/2010---2011/2-recits-et-traditions/recits-et-traditions-d-italie/sur-les-pas-des-ancetres-romains
Les sept palombes
Tiré de “LE CONTE DES CONTES “ou le divertissement des petits enfants” de GIAMBATTISTA BASILE
L'une des productions majeures de la littérature européenne du XVIIe sièclel 'œuvre peut être
considérée un recueil de contes pour enfants.
On y découvre à quel point l'étourderie d'une benjamine peut se révéler désastreuse pour ses aînés.
INTRODUCTION:
Pendant cinq journées dix conteuses déroulent leurs histoires en les introduisant par un récit-cadre:
Zoza, la belle princesse triste, est contrainte par une femme en colère à reveiller un prince ensorcelé en
remplissant de pleurs une cruche, mais trompée de l'esclave Lucia,la mauresque, elle provoque chez celle-ci,
pour se venger, l'envie d'entendre ces contes (cinquante récits) dont nous vous proposons:
RÉSUMÉ:
La scène se passe à Arzano, un pays de Naples. Il y était une fois une heureuse femme qui donnait chaque année
naissance à un nouveau fils, tant et si bien qu'elle en était arrivée à sept....
À nouveau enceinte, elle donne naissance à une fille au nom de Cianna.
Ses frères trompés de l'accoucheuse, à la nouvelle d'un autre frère, quittent leur maison sans se retourner. Après
trois années, ils arrivent dans une forêt et à la maison d'un ogre, aveugle et détestant les femmes. Fatigués
et mourant de faim, ils acceptent de se mettre à son service. Leur sœur grandit et part à leur recherche. Elle
arrive à la maison de l'ogre et connaît ses frères qui l'enferment dans leur chambre pour ne pas la faire
tomber sous la griffe de l'ogre.
Malgré les avertissements de ses frères, elle en sort et risque d'être dévorée.
Embobinant l'ogre sur la présence d'une fille dans sa maison, ils l'enterrent et demandent à leur sœur de ne jamais
cueillir la moindre herbe à cet endroit là car ils risquent devenir des palombes.
Un jour, un pélerin arrive chez eux une bosse à la tête. Pour le soigner, elle y va cueillir une branche de romarin et
ses frères deviennent sept palombes.
Il faut s'adresser à la Mère du Temps pour se délivrer de l'ensorcellement
Sur son chemin elle rencontre une baleine, un rat, une armée de fourmis, un grand chêne et un vieux qui n'était que
le pélerin soigné.
Tous lui indiquent le chemin pour la maison de la Mére du Temps dans l'espoir de trouver eux mêmes des remèdes
à leur survivance.
En particulier, le pélerin lui conseille de ne pas entrer dans la maison jusqu'à ce que le Temps, son fils, en sorte et
d'enlever le contrepoids de l'horloge avant de demander ce qu'elle désire.
Au moment où elle entre dans la maison, elle reste epouvantée par l'aspect repoussant de la vielle, mais elle la
questionne et obtienne toutes les réponses pour faire survivre les amis rencontré sur son chemin et ses sept
frères. Ceux-ci devaient faire leur nid sur la colonne de la richesse pour retourner à leur état antérieur.
CONCLUSION:
Ayant fait du bien, elle a reçu du bien tout en démontrant l'antique proverbe:
“ Chaque fois que tu le peux, fait le bien et oublie-le”.
Les élèves de 5 C Liceo Sc. et leur prof Maria Bonito de l’Istituto di Istruzione Superiore “A. Tilgher” di Ercolano
https://sites.google.com/site/euromythes/accueil-site/2010---2011/2-recits-et-traditions/recits-et-traditions-d-italie/gbasile-les-sept-palombes
Naples, comme toutes les choses humaine, subit l'influence d'une double force qui régit sa déstinée: elle a son démon qui veut la perdre, elle a son
patron qui espère la sauver.
Son ennemi est la jettatura; son protecteur est Saint Janvier.
Si Saint Janvier n'était pas au ciel, il y aurait longtemps que la jettatura aurait anéanti Naples; si la jettatura n'existait pas sur la terre, il y a longtemps
que Saint Janvier aurait fait de Naples la reine du monde.
Les anciens connaissaient trois moyens de jeter les sorts: le toucher, la parole, le regard.
Ovide dit:
Cujus ab attractu variarum monstra ferarum
in juvenes veniunt; nulli sua mansit imago.
et à ce toucher les jeunes prennent l'aspect de plusieurs animaux monstrueux. Personne ne garda son image.
Quœ nec pernumerare curiosi
possint, nec mala fascinare lingua,
“Que les curieux ne puissent pas les conter ou les la mauvaise langue vous jeter un sortilège”
Virgilio:
Nescio quis teneros oculis mihi fascinat agnos,
“ je sais pas à propos du mauvais œil qui ensorcèle mes tendres agneaux”
De ces trois jettatures , deux se sont perdues en routes, et une seule est restée, la jettatura du regardLa personne jetant le mauvais œil est
ordinairement maigre et pâle, il a le nez en bec de corbin, de gros yeux qu'il recouvre ordinairement d'une paire de lunettes: il tue le rossignol en le
regardant.
Donc si vous rencontrez dans les rues de Naples un homme fait ainsi que j'ai dit, prenez garde à vous. Si c'est un jettatore, le mal est fait, il n'y a pas de
remède, courbez la tête et attendez.
Si, au contraire, vous l'avez prévenu du regard, hâtez-vous de lui présenter le doigt du milieu étendu et les deux autres fermés: le malefice sera conjuré:
“Et digitum porrigito medium” dit Martial.
Il va sans dire que, si vous portez sur vous quelque corne de corail ou de jais, vous n'avez point besoin de prendre toutes ces précautions. Le talisman
est infallible, du moins à ce que disent les marchands de cornes.
Comme le disait déjà le Dictionnaire de la langue italienne (1858-1879) de Nicolò Tommaseo et Bernardo Bellini : le jettatore est “celui dont on croit,
spécialement dans le milieu napolitain, qu’il apporte, par sa présence et ses paroles, le malheur ou le malaise; sorte de sorcier innocent et passif”.
Quand quelqu’un, surtout dans le sud de l’Italie, acquiert la réputation de jettatore, il voit le vide se faire autour de lui – ses amis disparaîtront, personne
ne le contactera pour lui proposer du travail ou des passe-temps.
Lorsque un étranger arrive à Naples, il commence par rire de la jettatura, puis peu à peu il s'en préoccupe;
enfin, au bout de trois mois de séjour, vous le voyez couvert de cornes...des pieds à la tête...
Il n'ya pas d'âge, il n'y a pas de sexe, il n'y a pas d'état pour être un jettatore: enfant ou veillard, homme ou femme...pauvre ou riche.
Après vingt-cinq siècle les savants anciens et les modernes (due gruppi) se disputent à ce sujet et affirment:
C'est l'homme qui jette le sort le plus terrible que ne le fait la femme;
C'est celui qui porte perruque qui est plus à craindre que celui qui n'emporte pas;
Celui qui porte des lunettes n'est pas à craindre que celui qui porte perruque;
C'est celui qui prend du tabac qui est plus à craindre que celui qui porte la perruque; et s'il a les lunettes, la perruqque et la tabatière en se
combinant, on triple la force de la jettatura;
La femme jettatrice est plus à craindre quand elle est enceinte;
Elle est encore plus à craindre quand elle ne l'est pas;
Les moines sont plus généralement jettatori que les autres hommes, et parmi les moines c'est l'ordre le plus à craindre;
On peut jeter le sort de côtè, de face, ou par derrière;
Il y a des prières qui peuvent garantir la jettatura;
Enfin, le pouvoir des talismans modernes est égal au pouvoir du talisman ancient et laquelle est plus efficace de la corne unique ou de la corne
double.Toutes ces recherche sont consignées dans un volume qui est du plus haut intérêt ….Malheureusement mon libraire refuse de
l’imprimer…Mais j’invite tout voyageur à se le procurer, en arrivant à Naples, moyennant la modique somme de six carlins.
Les élèves de 5A IGEA et 5C Liceo Sc. et leurs profs Filomena Gamen et Maria Bonito de ‘Istituto di Istruzione Superiore “A. Tilgher” Ercolano
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La légende de Maramureş
Comme le plupart des peuples de ce monde, les roumains ont cherché leurs origines dans le mythe, en voulant expliquer comme
est apparu une civilisation. La légende parle d’un peuple des géants qui traversent des foréts en emportant la lumière du
soleil.Ils s’aretent dans une région pitoresque, située entre les rivièrs de Tisa (Tisse) et de Mara, entre Iza(Ise) et
Vişeu(Vichaiou) où ils construissent une grandiose cité conduite par le géant Cingălău(Cingalau).
Le maître de la cité vite la pleine joie du pouvoir; à l’aube se naît son unique fille nomée Rozalina( Rosaline), la fille du Soleil.
Le pays de géants semble éternel, mais, dans le ciel on décide le déstin de Cingalau.Il restera seul, mais Rozalina(Rosaline) se
mariera avec un petite homme, en donnant naissance à la peuplade des maramouréchaînnes.
De son père Rosaline a appris que le peuple des géants a vaincu les dragons, en sourmontant les forces monstrueuses de la
nature.
Quoique les géants sont destinés à périr, Rosaline est celle qui va faire durer le peuple noble de son père.
La balade nous dit :
« Et nous serons remplacés
Par un autre peuple, plus petit
Au corpe moins robuste
Mais à l’ésprit bien éclairé
Et à l’origine bien noble ».
En volant sauver le peuple de Cingalau, Rosaline se marie avec le héros Turda, en recevant la couronne de la mariée des
paysans de Maramures. Le moment où les deux jeunes unissent leur vie par le mariage, est marqué d’une méthamorphose
étonnante du mariée :
« Cingalau ses peux frottait
Il voyait, mais n’y croyait
Rosaline, sa fille
Plus petite se jaisait
Son époux plus grandissait ».
Le mariage de la fille du soleil avec le jeune paysan signifie le mariage du ciel avec la terre, l’union du divin avec l’humain, la vie
qui triomphe de la mort par la naissance.
Au moment de sa mort, Cingalau est annoncé que ce moment changera le temps.Il s’élevera au ciel ou se trouvait son noble
peuple, mais à son départ il demande aux jeunes mariés de garder la nouvelle cité pour toujoursDu peuple de géants
Tant que
Sur le sapin et la croix
Lui seul le maître sera
Chez nous le sapin signifie l’éternité, la permanenence de la vie.
La croix est notre signe distinctif comme peuple chrétien.
La legénde du noble peuple de la fille de soleil fait réjouir les participants aux rituels des noces en Maramures
comme l’expression d’une nation vigoureuse et talentée.
La présentation appartient aux élèves Izabela Novac , Madalina Milea, Dora Nedelcu et Diana Grigoroscuta du Collége
National « Mihai Viteazul »de Saint-George, COVASNA, ROUMANIE
Prof.coordinateurs: Maria Stoica et Nina Stanoescu
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UNE COUTUME ANCESTRALE – LA DANSE DU “CĂLUŞ” [keulouch
]
En Roumanie, la semaine avant la Pentecôte lorsqu’on fete la descente du Saint Esprit sur les Apôtres, on
pratique la coutume du “Căluş”, un rituel magique avec des multiples fonctions dans la communauté rurale. Au
Sud de la Roumanie, en Oltenie et aussi à l’Est, en Moldavie on garde, meme aujourd’hui, cette coutume avec
des raciness immémoriales, en venant de la période préchrétienne. Initialment on a cru que l’origine du “Căluş”
se trouve dans les danses militaries romaines, mais certains aspects, lies à la valeur symbolique de la danse,
font référence à la mythologie thraco-gète.
La danse du “Căluş” est liée à l’existence de la Pentecôte, des esprits maléfiques, féminins, semblables aux
Erynies de la mythologie grecque, mais elle s’associe aussi a l’existence d’un culte ancestral d’un dieu chevalin
autochton. Le nom “căluş” c’est un diminutif du mot “cal” (cheval), issu du latin “caballus”. Les danseurs sont
appelés “căluşari” et ils se designent parmi les plus vigoureux hommes du village avec un role important dans la
vie de la communauté.
“Căluşarii” reprennent symboliquement la vie du dieu chevalin et ils accomplissent des rituels de guerison, en
aidant ceux qui ont été touches par la vengeance de la Pentecôte (on dit que Celle-ci punit toute personne qui
empiète sur certains interdictions, en lui prenant le don de la parole). En même temps “căluşarii” ont le role de
chasser les mauvais esprits, pour purifier l’espace de la communauté, en protégeant les gens et les animaux.
Par cette danse on invoque de la richesse, de la prosperité. Puisque la danse se pratique le samedi lorsque les
Roumains fêtent “Moşii de vară” (Les Vieillards d’été ”), on considère que la coutume est associée à un culte
ancestral, de véneration des ancêtres, comme MANES autrefois chez les romains.
Le cérémonial du “Căluş” est complexe et il cache des mystères difficile à déchiffrer aujourd’hui. La danse des
“Căluşari” est connu partout, grâce à la chorégraphie spectaculaire, à la musique joyeuse et de divertissement
qui transmet beaucoup d’exubérance.Celle-ci est précédée d’un ritual d’initiation des danseurs qui se retirent
dans un lieu secret dans la forêt où ils se costument et confectionnent le drapeau d’un écharpe blanc, embelli
de rubans et de fil rouge. Un bois sculpté en forme de tête et cou de cheval, habillé en fourrure de lapin et
rempli des herbes guérissables représente le “căluşul”. “Căluşarii” déposent un serment d’allégeance et sautent
dessus le “căluş” en criant “ hălăi-şa! “.
Après cette initiation, “căluşarii” partent dans le village dans l’accompagnement des violoneux
où ils dansent dans un rythme vivant. Le protagoniste principal du spectacle c’est “Le Muet”
qui fait des bouffonneries et des acrobaties. Le cortège, conduit par un “contremaître”,
parcourt le village jusqu’au soir, quand “căluşul se casse “ et le drapeau est enterré
dans un lieu secret, jusqu’a l’année prochaîne.
Même si aujourd’hui les significations du “căluş” sont enveloppées en mystère,
sa musique enveloppante et la beauté de la danse font de cette partie du folklore roumain
un chef-d’oeuvre, La valeur du “Căluş” a été aussi reconnue sur le plan international.
De même il a été inclus parmi les 40 chefs-d’oeuvre immatériels du monde,
entrant dans le patrimoine UNESCO.
Evelina, Andreea et Ioana du Collège National “Mihai Viteazul”, Sf.Gheorghe, Covasna
Coordinateurs- prof.Maria Stoica et Nina Stanoescu
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Le roman « Baltagul »(Le hachereau) publié par Mihail Sadoveanu en
1930 La héroïne, Vitoria Lipan, la femme d’un berger des
Elle montera, elle aussi, cette montagne avec un
Montagnes de Tarcau s’inquiète de la longue absence de son guide et dans la localité suivante, située au pied de la
mari qui était parti acheter un troupeau de moutons à la foire montagne, elle apprend qu’à l’ auberge sont arrivés deux
de Vatra-Dornei.Bien qu’il fut parti des le mois d’octobre, le bergers seulement, les compagnons de son mari.Le soupçon
26 octobre (le fête de Saint Dumitru), et les fêtes d’hiver
que Vitoria avait se confirme : son mari a été tué sur la route
étaient proches, Vitoria n’avait aucune nouvelle de son
de la montagne entre les deux villages.
mari.Son fils Gheorghita, un adolescent, s’occupera des
Revenant à Sabasa, l’héroïne et son fils trouvent le
troupeaux de moutons qui devaient être conduits pour
chien Lupu, l’animal fidèle du berger.Le chien les conduit au
l’hivernage dans la région de plaines.
précipice « Le croix des Taliens », la place où Nechifor a été
Bien décidée à apprendre la vérité sur la disparition tué, et les aide a découvrir les restes de la victime.
de son mari, après les fêtes d’hiver et l’Epiphanie, elle part
Vitoria annonce les autorités et puis, aidée par les
pour la ville de Piatra Neamt annoncer les autorités.Elle ne
aubergistes des deux villages, elle fait les funérailles de son
croit pas à l’aide des officialites et elle se prépare pour le
mari.Elle invite au repas mortuaire les deux tueurs aussi.Au
voyage où elle sera accompagnée de son fils.Elle vend des
festin, avec une grande habilité dans les discutions, elle fait
choses de sa ferme et elle s’assure ainsi l’argent nécessaire les deux tueurs avouer leur crime.Elle demande à un des
pour ce long voyage.Ils sont armés, Gheorghita porte un
bergers le hachereau pour que son fils l’examine, parce que
hachereau aussi comme son père.
son fils avait une arme pareille.Avec les mots « sur ce
Le voyage commence le 10 mars après la fête des
hachereau est écrit sang ! » Vitoria décrit les circonstances
quarantes martyrs.
de la mort de Nechifor, qui a été tué au coucher de soleil,
Vitoria a suit le même itineraire que son mari et elle afrappé dans la tête avec le hachereau. Le chien Lupu
ainsi la confirmation que Nechifor, son mari, était arrive à la immobilise le tueur en l’étranglant et le berger reconnaît son
foire d’automne.Dans la ville de Vatra-Dornei elle apprend
crime avant de rendre l’âme.
d’un employé que son mari a acheté un troupeau de 300
Vitoria les abandonne aux autorités les tueurs pour
moutons qu’il allait le conduire pour l’hivernage avec ses
donner l’impression que se sont eux qui ont fait justice.
autres moutons.Deux bergers, qui sont venus plus tard à la
Elle organise les prochaines cérémonies rituelles en
foire, lui demandèrent de leur donner une partie de son
souvenir du défunct et elle rentre à la maison et sa vie
tropeau, il accepte et fait la route accompagné de ces deux continue comme avant.Soulagée, par ce sentiment du devoir
bergers.
accompli, la vengeance, sa vie peut continuer naturellement,
Vitoria suit le trace de Nichifor le long des cours
l’ordre du monde est de nouveau bien établi.
d’eau : Neagra, Bistrita, Jijia.Dans les auberges où s’était
Dans la mythologie roumaine, le hachereau est une
arrête Nechifor elle apprit des détails importants sur les deux arme volée par les dragons et recupérée par le Prince
compagnons.
charmant.Quand l’arme est utilisee pour faire justice, elle est
Dans la localité Sabasa l’héroïne apprend que son
propre, mais quand elle est utilisée pour faire injustice, elle
mari a traversé un montagne abrupte, Stanisoara,
se couvre de sang.
accompagné des deux bergeres.
Les élèves du la VIII –ème classe A, du Collège National « Mihai Viteazul », Sf.Gheorghe, sous la coordination de prof.Maria
Stoica en collaboration avec les prof.Laura Pospisil et Nina Stanoescu
http://www.euromythes.blogspot.it/search/label/L%C3%A9gendes%20et%20traditions%20roumaines
29
Les mythes et la poèsie : Z Le grand poète roumain Mihai
Eminescu a développé le mythe, en lui donnant une
interprétation nouvelle dans deux de ses créations. burătorul
Dans la littérature roumaine, fondée sur les traditions
populaires, le Zburator est un beau diable,
un Éros adolescente qui réveille dans les cœurs des jeunes
filles lespremières émotions d’amour ; ces
expériences révèlent le besoin d'amour et de vivre le
mystère du sentiment érotique.
Selon la croyance populaire, le Zburator apparais comme
un beau jeune qui s'introduit dans les maisons des jeunes
filles et leur vole leurs cœurs, les amenant à vivre le feu de
l’amour inattendu.
Dans le poème « Calin (pages de l'histoire) » le
Zburator est le jeune dont une belle
fille d’empereur tombe amoureuse. Parce que son père
condamne leur amour secret,la fille est bannie de la
maison et est forcée de vivre dans une
cabane pauvre. Elle donne naissance à un enfant et lui
donne le nom de son père : Calin.
Après sept ans, retourné à l'endroit où il avait tombé
amoureux avec la fille de l’empereur, le
Zburator rencontre son fils qui le mène à
la cabane. Les deux jeunesamoureux se marient dans
le fabuleux décor de la forêt d'argent. Des personnages de
contes de fées prennent part à la noce, mais aussi des
éléments du monde céleste et terrestre, en pleine
harmonie de la nature. En utilisant comme point de
départ un mythe, le poète roumain a réalisé dans ce
poème un extraordinaire tableau de la nature de l'Eden,
spiritualisé par amour.
Le même poète nous donne une autre facette du mythe
dans son poème « Luceafărul » (L’étoile de nuit). Ici se met
en balance l’amour idéal, absolu, d’Hypérion et l’amour
virginal, ignorant, de Catalina. Hypérion attire Catalina en
lui promettant l'immortalité. Même si ravie, la fille
s’effraye et préfère donner son amour a un homme égale à
elle.
Le mythe devient tragique par le conflit
dans l’âme d’Hypérion. Il veut l'amour,
mais il ne voudrait pas descendre au niveau des mortels ; il
souhaite apporter sa bien-aimé à la hauteur de ses
idéaux. Après multiples tourments, Hypérion demande
le démiurge de retirer son immortalité pour être avec son
bien aimé, mais celui-ci le refuseet lui montre comment
Catalina avait déjà choisi de vivre son amour avec un jeune
et beau serviteur.
Le mythe souligne ici l'incompatibilité entre le monde idéal
et le réel, en mettant en évidence le thème romantique du
génie humain, condamné à la solitude comme condition
d'obtenir l'immortalité.
Présentation realisée par Andrada-Madelaine, Arina et
Carmen-Stefania du Collège National « MIHAI-VITEAZUL »,
St.Georges, Roumanie. Coordinateur- professeur Maria
Stoica
http://www.euromythes.blogspot.it/search/label/L%C3%A9gendes%20et%20traditions%20roumaines
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Carnaval de Putignano
A la fin de la journée du mardi gras , quand il commence à
Putignano a subi les invasions sarrasines cruelles qui ont
faire nuit, après les 12 coups de cloche , les gens se
semé la terreur et la mort. C'est au cours de l'une de ces
réunissent autour di cochon en papier mâché pour le bruler
invasions que les gens ont eu l'idée de se recouvrir sur tout sur la place publique,, il symbolise la mort du matérialisme
le corps d'une poudre brun- clair et de se montrer comme
en faveur de la spiritualité. 365 coups de la cloche des
cela aux usurpateurs comme s'ils étaient des monstres ... macaroni retentissent c’est le temps qu’il reste pour
En effet, les Sarrasins étaient terrifiés, la pensée d'une
manger gras .
maladie grave , mystérieuse et infectieuse qui aurait t saisi On peut manger et déguster le vin local avec un plat de
les habitants du pays les fait partir et ils abandonnent la
pate durant les 365 coups mais après il faut faire carême.
ville
Une des traditions du carnaval populaire sont les 4 jeudis
Quelle était cette mystérieuse poudre qui a sauvé
qui indiquent la période grasse avant de faire carême. On
Putignano? la farine de pois chiche e d’orge . La Farinella. commence par le jeudi des prêtes puis celui des mariés et
(a fernedd) estun repas qui se compose essentiellement de celui des fous et des veuves, Ce dernier se déroule le jour
pois et d'orge concassé et grillé. Le farinage est également suivant le mercredi des cendres , à cette occasion les
liée à la fête du carnaval, une des plus anciennes en Italie, maris offrent à leurs femmes des dragées et du chocolat ..
laFarinella est devenue la masquotte des défilés du
Les plus jeunes se défoulent pendant la fête des fous et
carnaval symbole .Elle ressemble avec ses couleurs à
savourent les trois jours de vacances scolaires les gens se
arlequin, mais avec un tricorne avec des pointes et de
promènent dans les rues de la ville comme le veut la
clochettes aux extrémités. Le charme des chars
tradition .
allégoriques et des masques de caractère du carnaval de
Le clou du carnaval est le mardi gras le dernier jour qui
Putignano est basé sur l'originalité, le raffinement et la
coïncide avec la mort du carnaval . Il faut encore savoir ce
délicatesse du papier mâché fini. Une particularité est
que font les prêtes , naturellement ils célèbrent la messe à
l’utilisation d’un papier mâché de qualité , réalisé par
leurs façons et les veuves celles qui sont encore affectées
l’école de Putignano . La technique forgée au fil du temps et et tristes par la perte de leurs maris continuent à suivre le
a très jalousement gardée. Le carton est fabriqué par le
char qui marque la fin du carnaval et sa mort.
moulage, le façonnage de l'art des couches de papier , les
journaux sont mouillés par une colle de farine et d'eau
Daddato Christian et Schettini Nicola
Nicola Sacchetti et Gianfranco Murro IA
Rossella De Tommaso IA et leur prof. Françoise Valdenaire
https://sites.google.com/site/euromythes/accueil-site/2010---2011/2-recits-et-traditions/recits-et-traditions-d-italie/carnaval-de-putignano
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Le mythe d'Europe
Au terme Europe on peut accrocher bien des
dimensions
:
l’Europe
géographique,
continentale, politique, économique…..Mais
l’Europe,
c’est
aussi
une
aventure
mythologique
antique
créée
par
les
Grecs… Celle d’une princesse phénicienne
portant le nom d’Europe, enlevée par Zeus
sous forme de taureau de son pays natal
jusqu’en Crète
Elle traversa l'onde amère,domptée par les
ruses de Zeus
Hesiode Fragments,Fr1
Un jour que la princesse Europe se trouvait
sur le rivage de sa ville natale avec ses
compagnes, un taureau éclatant de blancheur
apparut. Ses cornes étaient rehaussées d’un
croissant de lune...Après un moment d’effroi,
Europe laisse le taureau s’approcher d’elle ;
bien plus, elle commence à le caresser et
s’assied même sur son dos lorsque celui-ci se
couche à ses pieds.Mais, alors, le taureau se
relève brusquement, se dirige vers la mer et
s’éloigne en fendant les flots. Cet animal n’est
autre que Zeus qui, une fois de plus séduit par
une mortelle, a pris pour l’approcher la forme
d’un taureau. Europe cramponnée à ses
cornes et criant en direction de sa terre
natale. Zeus -Taureau traverse la mer pour
atteindre la Crète et s’arrête près de la ville de
Gortyne. C’est là, près d’une source, dans un
bois de saules, qu’il s’unit à Europe. De l’union
avec Zeus naissent trois fils : Minos,
Sarpédon et Rhadamanthe.
Le mythe de Prométhée
le bienfaiteur des Hommes
•
•
Rien de plus universel que l'histoire du feu. Toutes les
civilisations ont leurs légendes qui en narrent la capture : le
rapt du feu est un mythe fondateur chez les Grecs. Hésiode,
Eschyle et Platon le présentent avec Prométhée le titan qui
veut aider les hommes à s'arracher à leur condition et ils
font de cet héros un symbole de l'intelligence.
Prométhée, en grec ancien Προμηθεύς, « le Prévoyant »,
appartient à la race des Titans, qui, selon la mythologie
grecque, aurait régné sur le monde avant que Zeus ne la
soumette et n'impose à tous la souveraineté des dieux
olympiens. Le mythe de Prométhée est lié à la création de
l'homme et à l'apparition de la culture. D'après certaines
légendes, l'homme serait l'œuvre de Prométhée et de son
frère Épiméthée. Celui-ci (dont le nom signifie "qui réfléchit
trop tard"), avant de créer l'homme, distribue les dons les
meilleurs aux animaux: force, rapidité, plumes, poils, ailes,
coquilles, etc., si bien qu'il ne reste rien pour les hommes,
ni enveloppe protectrice, ni qualités nécessaires pour lutter
contre les animaux et dominer la nature. Pour corriger
l'erreur d'Épiméthée, Prométhée,donne aux hommes une
forme plus noble que celle des animaux et, à l'instar des
dieux, il les fait se tenir debout. Puis il se rend dans l'île de
Lemnos, où se trouvent les forges d'Héphaïstos (le dieu du
feu), auquel, au moyen d'une torche, il dérobe le feu qu'il
apporte ensuite sur la Terre: c'est pour les hommes la
meilleure des protections et la source de nombreuses
activités. Avec le feu, la culture prend son essor et permet à
l'homme de compenser les insuffisances de la nature. Mais
sonna la vengeance de Zeus. Il a puni Prométhée…..
La vengeance de Zeus continue. Pour punir l’humanité des
cadeaux de Prométhée, Zeus imagina une chose superbe
mais perverse : une femme, Pandore, dont le nom signifie
« don de tout », aussi fantasque qu’attirante. Il
l’envoya sur terre. Elle portait un coffret qui ne devait pas
être ouvert. Bientôt, comme Zeus l’avait prévu, Pandore
décida d’ouvrir le mystérieux coffret. Aussitôt, s’en
échappèrent les malheurs qui tourmentent l’humanité tels
que la famine, la guerre et le péché. Seule l’espérance resta
au fond de la boîte.
(Chaque européen qui veut rechercher ses racines,
rencontre et traduit le mythe d’Europe, début et symbole
d’une civilisation, notre civilisation.)
L’équipe de l’etwinning coordonnée de la prof. Kyriaki Mourghinaki
Lycée Ralleios du Pirée
https://sites.google.com/site/euromythes/accueil-site/home/mythes-contes-et-legendes/grece1/le-mythe-de-promethee
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https://sites.google.com/site/euromythes/accueil-site/home/mythes-contes-et-legendes/grece-1/grece
Les lamies.
Un des personnages les plus
populaires de la mythologie basque.
ASPECT PHYSIQUE
Une lamie est un être fantastique de la mythologie basque, un esprit de la nature ou un génie d’apparence humaine.
Les lamies peuvent avoir l’aspect d’un homme ou d’une femme, un corps humain et des traits d’animaux (des pieds de canard, de poule,
de chèvre ou même queue de poisson).
La plupart des légendes racontent que les lamies sont du sexe féminin et qu’elles peuvent être aussi belles que terribles. Quand il s’agit
de lamies hommes, ils sont très forts et ils sont toujours à la quête de pucelles.
OÙ HABITENT LES LAMIES
On situe les lamies dans les montagnes du Pays Basque. Elles habitent dans des grottes, des rivières ou des fontaines et pas très loin
des paysans.
LES POUVOIRS SURHUMAINS DES LAMIES
Elles sont si attirantes, que les hommes tombent tout de suite amoureux d’elles. D’après quelques légendes, les lamies entrent dans les
maisons des paysans tandis qu’ils dorment pour manger ce que ceux-ci leur ont préparé. En échange, elles les aident dans leurs tâches.
On croit que certains ponts comme ceux des villages d’ Ebrain (Bidarrai), Azalain (Andoain), Urkulu (Gatzaga), Ligi…ont été construits la
nuit par ces génies et chacun a sa propre légende. On trouve aussi des dolmens, constructions mégalithiques, construites aussi la nuit
par des lamies, toujours selon les légendes.
On dit aussi que les lamies se situent face au soleil pour peigner leurs longs cheveux et que c’est comme ça que l’arc-en-ciel se forme
quand le soleil brille et reflète ses rayons sur leurs cheveux.
RENDRE SERVICE
Les lamies demandaient aux gens de leur rendre service. Une légende populaire raconte qu’une fois les lamies ont demandé un service à
une sage-femme. Celle-ci, la tâche accomplie, a été invitée à déjeuner par les lamies. Quand la sage-femme a vu qu’il y avait du pain
blanc, elle s’en est approprié d’un bout de ce pain et l’a gardé dans sa poche. Au moment de partir, elle a remarqué qu’elle ne pouvait pas
se lever de la chaise où elle s’était assise et c’est alors que les lamies lui ont dit qu’elle avait quelque chose qui leur appartenait. La
sage-femme a reconnu qu’elle avait volé un peu de pain et l’a remis sur la table. En partant, on lui a averti : « Ne te retourne pas pour
regarder derrière toi tout au long du chemin » Elle a voulu tromper les lamies et, en arrivant chez elle, la sage-femme ayant un pied dans
la maison et l’autre dehors, a regardé derrière elle et a été dépossédée de la moitié des bijoux en or qu’elle avait.
AIDANT LES HOMMES
Une autre légende nous raconte qu’un paysan, pour se protéger de l’averse, s’est vu obligé à se mettre à l’abri dans une grotte, où il a été
accueilli par une lamie. L’averse passée, quand l’homme s’apprêtait à partir, la lamie lui a remis un morceau de charbon qui s’est
transformé en or quand l’homme a abandonné la grotte.
DES ENLEVEMENTS
On croyait aussi que les lamies enlevaient des personnes. Un jour elles ont enlevé un jeune homme qu’elles ont emporté dans leur grotte.
Un prêtre, en portant une croix et des hosties bénies, s’y est rendu dans le but de libérer le jeune, mais tout a été en vain. En partant, le
prêtre a écouté ces mots: « Grace à ce que tu portes dans ta main et, mieux encore, à ce que tu portes dans ta poitrine, tu ne seras pas
forcé à rester ici ».
Comme vous pouvez apprécier dans ces légendes, les lamies agissaient parfois en faveur des hommes et parfois contre eux.
Dans cette dernière légende, on voit aussi que dans des légendes païennes on introduit déjà des éléments chrétiens.
Élèves espagnols du Pays Basque.
Et leur prof. Maria Dolores Garcia Cento.
https://sites.google.com/site/euromythes/accueil-site/home/mythes-contes-et-legendes/pays-basque33
espagne/les-lamies
Norrøn mytologi –
Les mythes norvégiens
Frey
Frey est le dieu de la vie et de la
fertilité dans la mythologie nordique.
Il est frère de Frija.
Frey est le chef de file des Vanes, la
deuxième famille divine.
Dans le monde scandinave, Frey est
souvent représenté comme un homme
barbu, aux attributs virils
disproportionnés.
Du lycée Hemne Videregående Skole”
Håvard, Brynjar et Jan Kristian
et leur prof. Louise Rennemo
https://sites.google.com/site/euromythes/accueilsite/home/mythes-contes-et-legendes/norvege1/norvege
Un Viking pure qui aime la bière…
et un Troll à la longue queue qui
habite dans les montagnes
norvégiennes nous ont été
présentés des élèves norvégiennes,
Andrea, Amelia, Julie, Line, Lisa,
Trine, et Trude
par un film réalisé dans leur école
qu’on peut visionner dans l’espace
Youtube au titre
“La culture norvégienne”
http://www.youtube.com/watch?v=7xyODiGsUbE
34
En 50 avant J.-C., Gaulois et Romains participaient à un
concours de chasse au sanglier.
Ils partirent donc dans la forêt.
Ayant aperçu un sanglier au loin, Astérix prit sa gourde et
but une gorgée de la potion magique que son druide avait Les Belges, apprenant que les Gaulois sont en difficulté,
préparée avec soin. Devenu pratiquement invincible, il
décident de venir à leur secours au plus vite. Ils leur
pourchassa sa proie, que les Romains avaient aussi
donnent leur propre potion, typique de la Belgique, la
repérée. Astérix rattrapa le sanglier sans trop de difficulté potion Jupiter. Les Gaulois en prennent, et dominent peu à
et lui donna un coup derrière la nuque.
peu les troupes d’Italie.
Les Romains, dépités, protestèrent que les Gaulois
avaient gagné le concours parce qu’ils étaient avantagés La guerre s’arrête alors, car les syndicats ont organisé
par leur potion magique. Fâchés, ils racontèrent tout à
des grèves de soldats: ’ils ne gagnaient pas assez
leur chef. Jules César, en apprenant l’histoire et
d’argent. De plus, cela devenait trop long, c’était une
l’existence de la potion magique, donna l’ordre aux
perte de temps.
troupes de surveiller de près tous les Gaulois qu’ils
Les trois chefs décident donc de se rencontrer aux “Trois
croiseraient sur leur chemin.
Frontières” pour trouver une solution. Il y a là
Abraracourcix pour les Gaulois, Jules César pour les
Romains, et Canabix pour les Belges.
Entretemps, Astérix et un ami boivent une potion magique Au bout d’un certain temps, ils décident d’ouvrir un
qui les fait télé transporter de Gaule en Italie. A peine
restaurant, “ Le Comenius “, pour gagner de l’argent et
arrivé, l’ami d’Astérix tombe amoureux d’une jeune fille, ... pouvoir payer leurs soldats. Dans ce restaurant on
la fille de Jules César !! Celui-ci n’accepte pas cette
propose du pain français, de la pizza italienne et des frites
union. Pour se venger du garçon et de la défaite lors de la belges. Ainsi, une fois l’argent récupéré, la guerre pourra
chasse au sanglier, il décide d’attaquer les Gaulois.
peut-être recommencer.
Jules César arrive donc devant le village gaulois entouré Mais il est possible que grâce à ce restaurant les tensions
de ses nombreuses troupes. Elles sont fières, et prêtes à s‘apaisent.
combattre. Les troupes gauloises ne savent que dire
devant la grandeur des Romains.
La bataille commence, et va durer plusieurs jours. Jour et Finalement, l’ami d’Astérix et la fille de César se marient
nuit, ils vont s’acharner dans le but de détruire
en Belgique, et tous se retrouvent pour un grand banquet
l’adversaire. La bataille est féroce, et les Romains
au “ Comenius “
prennent le dessus sur les Gaulois qui tentent tant bien
que mal avec leur potion d’éliminer les troupes adverses.
https://sites.google.com/site/euromythes/accueil-site/2010---2011/2recits-et-traditions/legende-comenius/notre-legende
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En Colombie, aussi ...
Expérience véçue de nos amis belges: interview via ordinateur présentée à Ercolano lors de notre
1ère rencontre le 30 mars 2011.
http://www.euromythes.blogspot.it/search?updated-min=2010-12-31T15:00:00-08:00&updated-max=201106-24T18:08:00%2B02:00&max-results=42&start=15&by-date=false
Enquête anthropologique: les Wayyu de Colombie.
A la découverte de nos amis les Wayuu .
M.Lionel Simon mène actuellement une recherche anthropologique chez les Indiens Wayuu de
Colombie, pour le compte de l'université de Louvain-la-Neuve.
Les élèves de Verviers ont eu l'occasion de l'interroger en direct, et d'échanger quelques mots
avec un représentant de ce peuple lointain.
« Il était accompagné de deux personnes de la tribu des Wayuu. Un de 18 ans et l’autre de 28 ans
qui parlait espagnol. Les questions n‘ont pas été directement posées aux Wayuu mais, à Lionel
qui comprend et parle espagnol. Ce qui nous a vraiment frappés, c’est l’importance qu’ils donnent
aux conseils des vieilles femmes, qui aident aussi leurs femmes à accoucher. C’est différent de
chez nous, ils ne sont pas équipés comme nous . A propos des personnes handicapées, il disait
qu’elles ont reçu un signe des esprits . Nous avons trouvé cette expérience très intéressante. Car
ce n’est pas tous les jours qu’on parle à une tribu de Colombie. »
https://sites.google.com/site/euromythes/accueil-site/2010---2011/2-recits-et-traditions/encolombie-aussi/6-en-colombie-aussi
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Une conférence pour présenter notre production « Sarnelli » en forme multimédiale.
Le 24 mars 2011 à 11 heures, nous serons heureux d'accueillir dans l'auditorium de notre école le
Cav. Francesco Massimiliano, président de l'Association Culturelle "Pompeo Sarnelli" de Bisceglie.
Dans le cadre des activités Comenius, les classes participant au projet ont pu apprécier et
représenter sous forme de document multimédia un récit de P. Sarnelli, "La Posilicheata", tiré de
son œuvre "Les contes napolitains".
Au cours de la rencontre, le Président nous présentera le personnage de Pompeo Sarnelli qui, bien
que n'étant pas Napolitain, aimait tant notre cité qu'il voulut en laisser, par ses œuvres, un souvenir
impérissable.
Toutes les classes participant au projet et toutes les personnes intéressées sont invitées à cette
rencontre.
https://sites.google.com/site/euromythes/accueil-site/2010---2011/rencontres/b--ercolano-mars--avril-2011/ercolano_commentaires/italiens/dans-la-presse
https://sites.google.com/site/euromythes/accueil-site/2010---2011/2-recits-et-traditions/recitset-traditions-d-italie/la-posilicheata
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Nos remerciements
Au nom des participants roumains au projet Comenius « Mythes, contes et légendes- les racines nous parlent », on
remercie notamment pour le thème généreux du projet qui nous a permis parler sur la culture roumaine en la faisant
connue aux autre pays européens. A cette occasion on a pu approfondir la connaissance de nous mêmes et puis la
connaissance de la culture, des traditions, des coutumes des pays participants à ce projet- la Belgique, l’Italie et la
France – et non seulement, en employant le français comme langue de la culture, de la courtoisie et de l’amitié, du
dialogue transnational.
La rencontre de Verviers a été édificatrice pour se lier d’amitié avec des gens merveilleux. On exprime notre gratitude
entière pour les professeurs André Simon et Bernard Hardy, les coordinateurs belges du projet, pour toutes les
personnes de l’Institut « Don Bosco » de Verviers impliquées à ce projet, dès le M.le Proviseur jusqu’aux élèves ! Notre
gratitude aussi pour le M. Paul Simon, qui nous a facilite l’accès à la Commission Européenne de Bruxelles, pour M.Paul
Noel, le conteur wallon, pour nos amis Nicole et Jean-Claude Fraikin-Guillissen, Viktoria et Bernard Hardy, qui nous ont
chaleureusement et généreusement accueillies dans leurs maisons !
On remercie également les extraordinaires collègues du projet, les professeurs Filomena Gamen, Nathalie Gonzales et
Jordi Traverso, que nous avons personnellement connu à Verviers et qui sont devenus nos amis ; on remercie les autres
collaborateurs de la Roumanie, de l’Italie, de Grèce, d’Espagne et de la Norvège, parmi lesquels Françoise Valdenaire et
Kyriaki Mourghinaki., Louise Mary Rennemo, Célia Filippini et Dolores Garcia , pour leurs apport important au
développement de ce thème.
Nous avons l’espérance de continuer la colllaboration à un nouveau projet européen pour relever d’autres aspects de
notre culture et spiritualité, en employant aussi le français comme langue du dialogue.
Amicalement,
Maria Stoica, Nina Stanoescu et Doina Dobrean avec leurs élèves
COLEGIUL NATIONAL "MIHAI VITEAZul” Loc.SFANTU-GHEORGHE - GRUP SCOLAR "MIRON CRISTEA” Loc.SUBCETATE
Au nom des participants italiens M.me Filomena Gamen remercie:
L’équipe e-Twinning italienne (Alessandra Ceccherelli, Donatelli Nucci et Alexandra Tosi) qui m’a donné de très bonnes
opportunité d’apprendre et comprendre l’importance de l’action e-Twinning de jumelage en Europe avec la participation
à trois séminaires internationalux dans mon pays;
M. Grimaldi Ubaldo (mon vieux proviseur) qui m’a initié à l’interculturalité et qui a eu confiance en moi .
L’Association Culturelle “Monsignor Pompeo Sarnelli” et son Directeur M. Cav. Francesco Massimiliano qui a contribué à
nous faire connaître cet auteur et ses œuvres pour nous faire mieux apprécier les mythes de l’origine de notre région.
Notre Mairie représenté du Conseilleur M. Acampora Gioacchino à la rencontre à Ercolano (26 mars-2 avril 2011)
L’Ente Parco del Vesuvio” qui nous a autorisé à visiter “La Vallée de l’Enfer” tout près du Vésuve et M.me R. Basile qui
nous a accompagné dans la visite. (idée de ma collègue Rosanna Ammirati)
La Sovrintendenza des Biens culturels pour l’autorisation et “l’Istituto d’Arte” de Torre del Greco pour la visite au
Musée du Corail et à ses ateliers.
38
M.me Françoise Valdenaire prof de langue française à Turi (Pouille) en Italie, connue à Rome à
l’occasion du prix Medtwinning (Rome, 15-16 mai 2008) pour le projet “Les jeunes en Europe
s’intéressent à la Méditerranée: folklore et traditions” . A’ ce moment pour la première fois, on
passait du virtuel au réel. Les équipes eTwinning norvégienne, belge et italienne nous ont donné une
grande opportunité: Mohamed Chahir, Louise Rennemo, André Simon, Filomena Gamen tous
ensemble pouvaient discuter dans les “workshop” des collaborations successives. A notre table de
travail Françoise qui nous a encouragés à collaborer dans le cadre de projets Comenius et nous a
présenté les amies roumaines Doina, Maria et Nina, une équipe formidable qui a continué son riche
travail malgré non financé.
Tous les partenaires eTwinning déjà nommés et la collègue grecque Kyriaki Mourghinaki pour sa collaboration.
Tous les amis partenaires de ce projet avec lesquels j’ai partagé l’enthousiasme de la collaboration et
l’enrichissement mutuel, en particulier André, notre coordinateur, ami sérieux et infatigable, “génie
de la technologie” qui a crée le blog et le site du projet donnant la visibilité appropriée à nos activités
et à nos productions.
Les collègues français Célia Filippini, Nathalie Gonzales et Jordi Traverso, l’équipe la plus jeune, mais
bien enthousiaste.
Mes collègues Carlo Intoccia, le Maître de notre “chorale” , Rosanna Ammirati , Fortuna Sannino,
Marilena Bonito, Adele Sorrentino, Luciana Nunziata, Loredana Giglio, Anna Tronca, Piero De Luca qui
ont collaboré pendant les deux années du projet.
M.me Principe Giuseppina, mon proviseur actuel, qui a appuyé mes demandes et apprécié mes
efforts.
Toutes les familles italiennes, belges et françaises qui ont accueilli d’une façon fort aimable les
élèves et tous les élèves qui ont participé au projet avec enthousiasme.
Enfin, mais en particulier, mon mari qui m’a toujours encouragé.
M.me Filomena Gamen et les prof. italiens participant au projet
de l’Istituto Superiore “A. Tilgher”
Ercolano (NA) en Italie
39
Au nom du coordinateur
Notre projet fut une aventure où nous sommes partis à la découverte des autres et de nousmêmes.Pour vous la présenter, je n'emploierai pas le jargon du pédagogue, mais les mots
simples de tous les jours, ces mots qui font notre identité, ces mots que nous avons
échangés par-delà les frontières.En fait, notre aventure n'est qu'une banale histoire faite de
rencontres, de hasards, de petits miracles comme ceux qui font surgir les champignons dans
les bois en automne. Une histoire de rencontres … et de barrières.Tout commence pour moi
en automne 2007, dans une classe de 6ème professionnelle, à Verviers. Très vite, nous nous
rendons compte que notre classe est le point de rencontre de personnes venues d'horizons
professionnels, géographiques, linguistiques, culturels très variés. Et que la cohabitation qui
s'amorce ne sera pas toujours facile. Toute notre société en modèle réduit.Deuxième
rencontre, en automne encore. Le hasard – mais est-ce vraiment le hasard ? - me mène à
bord d'une péniche amarrée sur le canal de Bruxelles. On y rêve d'Europe, d'amitié, d'un
monde meilleur … On y présente aux enseignants les programmes européens d'échanges,
Leonardo et autres Comenius. Il y a là Cécile Gouzée qui parle avec passion d'un truc par
internet, facile, sûr, qui ne coûte rien. C'est le programme eTwinning, plate-forme
européenne de jumelages électroniques pour les écoles. Troisième rencontre, en automne
toujours. Sur le site internet eTwinning, Louise en Norvège, Filomena en Italie, Kyriaki en
Grèce, Mohamed au Maroc, avec leurs élèves, confrontent leurs identités, comme nous dans
notre classe.Et finalement, le miracle: tout cela se fait en français, et ils nous ouvrent leurs
portes. Du fond de notre petit coin de Wallonie, nous serons les seuls francophones d'un
groupe qui travaille en français !Alors apparaissent les barrières, linguistiques, culturelles,
administratives, technologiques. Alors, patiemment, avec les tenailles de la parole, de
l'obstination, de la réflexion et surtout – surtout ! - du plaisir partagé, petit à petit nous
ouvrons des brèches dans les barrières. On est en classe, et on discute avec des Italiens et
des Norvégiens, on écrit, on se filme, on parle de soi et des autres, on se pose des
questions, on répond aux questions, on se dispute le titre de « meilleur chocolat du monde ».
C'est tout petit, une goutte d'eau dans la mer, mais une fenêtre s'est entrouverte et soudain,
dans notre vieille école poussiéreuse, on respire comme un air de liberté.
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Puis le travail de notre groupe est primé en Italie, en Norvège, en Belgique, et nous en sommes tout
étonnés. C'était notre vie de tous les jours, ordinaire, et ces prix viennent nous dire qu'elle sortait
de l'ordinaire. Nous voici désormais Bourgeois Gentilshommes, faisant de la démocratie
interculturelle sans le savoir. Alors, puisque nous y trouvons du plaisir, celui, profond, qui vient du
partage et de la connaissance mutuelle, puisqu'on nous dit avec autant d'insistance que « c'est
bien », alors, on continue. D'autres écoles en France, en Italie, en Grèce, en Roumanie, en Espagne,
au Maroc, nous rejoignent. Nous créons un blog. Nous embarquons nos élèves de la nouvelle année
scolaire dans l'aventure. Et puis, on franchit le pas: on va se rencontrer, en chair et en os, grâce au
programme Comenius où nous nous inscrivons. Et c'est le départ d'une nouvelle aventure, plus
enrichissante encore, mais plus difficile aussi. Nous nous rencontrons autour des mythes, contes et
légendes à Ercolano, à Verviers, à Amiens. Nous passons les frontières, la confrontation et passe
du virtuel au réel, de vraies amitiés se nouent, nous apprenons vraiment à vivre ensemble nos
différences: nous sommes devenus Européens ! Désormais, un site internet
(https://sites.google.com/site/euromythes) complète notre blog (http://euromythes.blogspot.com), et
relate les étapes de notre aventure. Arrivés au bout de cette étape, nous voulons ici remercier tous
ceux qui de près ou de loin ont rendu possible cette extraordinaire expérience: les élèves de tous
nos pays, qui ont participé avec enthousiasme; les enseignants de toutes nos écoles, qui nous ont
regardés d'un oeil parfois sceptique, parfois envieux, parfois simplement bienveillant, mais qui ont
aussi donné de leur temps et de leur énergie; les directions de nos écoles qui nous ont soutenus;
les parents dont l'hospitalité a donné à nos échanges une qualité de vie inestimable; les
responsables des agences nationales Comenius, dont l'aide nous a été précieuse. Et, tout au
sommet de la pyramide, la Commission Européenne, qui a mis sur pied et financé généreusement le
cadre qui nous permet de mener ces projets. Pour reprendre une phrase d'un de mes élèves: on
critique souvent l'Europe, mais là, elle a assuré !Notre projet Comenius, ce sont des dizaines de
jeunes en Europe et au-delà, ainsi qu'un groupe d'enseignants unis par un idéal commun.
Aujourd'hui, nous connaissons un peu mieux les autres, mais nous savons aussi mieux qui nous
sommes.
M. Simon André
de l’Institut « Don Bosco »
Verviers (Belgique)
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A’ Ercolano, en Italie du 26 mars au 2 avril
Les amis français
Et leurs prof.
M.lle Célia Filippini et M.lle Nathalie Gonzales
et leurs amis italiens
Les amis belges:
Et leurs prof.
M.André Simon et M.Bernard Hardy
et leurs amis italiens...
1- Clara Alves
Claudia Carotenuto
2- Gabrielle Crombez
Emiliana Palomba
- Maxime HUET
Clarissa CANFORA
3- Mégane Delavier
Anna Formicola
- Marlon LEKO WALEKO
Benito PALOMBA
4- Manon Leduc
Annarita Verdolino
- Bryan BALTUS
Miko CATALDO
5- Guillaume Priolet
Rosalia Imperato
- Christophe CARRANO
Mario RUGGIERO
6- Kévin Pécourt
Raffaella Punzo
- Maxime ROX
Libero COZZOLINO
7- Alicia M'Ban Loumpele
Martina Sannino
- Rodrigo COTO Y IGLESIAS
Vincenzo ASCIONE
8- Julie Bodelu
Yasmine Simeone
- Melvin MALOTAUX
Daniel Mattia DANIELE
9- Raphaëlle Savoy
Lucia Imperato
- Jerry MASSOZ
Vincenzo SORGENTE
10- Justine Buffet
Francesca Granato
- Antoine PORCU
Mario RESTA
- Pierre MATSIOS
Mario PALUMBO
- Paul MATSIOS
Vittorio CUOMO
- Jonathan LOPEZ TRAGAS
Giuseppe STARACE
11- Nathan Mergen
Filomena Cozzolino
12-Maxime Anger
Alberto Del Giudice
- iCédric FRYNS
Michele PENNIELLO
Les prof italiennes hotes des partenaires: Filomena Gamen, Luciana Nunziata et Carla Giammona
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A’ Verviers, en Belgique
du 26 novembre au 2 décembre
PRÉNOM
NOM
Hôte
Remarques
Clarissa
Canfora
Profssa MARIO Sarah
Francesca
Granato
HENNEN Thomas
Benito
Palomba
MASLACK Dimitry
Miko
Cataldo
BALTUS Bryan
Réciproque de Ercolano
Mario
Ruggiero
CARRANO Christophe
Réciproque de Ercolano
Libero
Cozzolino
ROX Maxime
Réciproque de Ercolano
Vincenzo
Ascione
HUET Maxime
(Maxime logeait chez Clarissa à Ercolano)
Avec Mario Palumbo
Daniel Mattia
Daniele
MALOTAUX Melvin
Réciproque de Ercolano
Vincenzo
Sorgente
MASSOZ Jerry
Réciproque de Ercolano
Mario
Resta
PORCU Antoine
Réciproque de Ercolano
Mario
Palumbo
HUET Maxime
(Maxime logeait chez Clarissa à Ercolano)
Avec Vincenzo Ascione
Vittorio
Cuomo
SCHRÖDER Marc
Giuseppe
Starace
Romain PIETTE
Filomena
Gamen
Prof. SIMON André
Loredana
Giglio
Prof. WERTZ Bernard
Avec Julie, Justine et Alicia d'Amiens
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Amiens, en France
du 17 au 24 avril
De l’Italie
Prof.Gamen Filomena
Prof. Nunziata Lucia
En France
De la Belgique
Hotellerie de l’école
«
«
M. André Simon
M. Bernard Hardy
En France
Hotellerie de l’école
«
«
Claudia Carotenuto
Alves Clara
Adnan Sokoli
Cozzolino Filomena
Mergen Nathan
Bertrand Lemin
Delavier Mégan
Nicolas Dohm
Imperato Lucia
Savoy Raphaelle
Antoine Porcu
Mégane Délavier
Leschiera Ornella
Justine Buffet
Melvin Malotaux
Hotellerie de l’école
Formicola Anna
Palomba Emiliana
Punzo Raffaella
Sannino Martina
Joussra
Pecourt Kevin
M Ban Loumpele Alicia
Simeone Yasmine
Bodelu Julie
Verdolino Annarita
Leduc Manon
M. Ban Loumpele Alicia
M. Ban Loumpele Alicia
Julie Bodeleau
Cédric Delmal
«
«
Laurent Dolders
«
«
Florian Desarcy
«
«
Les prof français: Nathalie Gonzales et Jordi Traverso
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Comenius: l'Europe en classe
Le programme Comenius met l'accent sur tous les niveaux de l'enseignement scolaire, de
l'école maternelle et primaire à l'enseignement secondaire. Il s'adresse à toute personne
concernée par l'enseignement scolaire: principalement les élèves et les enseignants, mais
aussi les autorités locales, les représentants des associations de parents, les organisations
non gouvernementales, les établissements de formation des enseignants et les universités.
Relevant de programme pour l'éducation et la formation tout au long de la vie de l'UE, les
actions Comenius visent à aider les jeunes et le personnel éducatif à mieux comprendre la
diversité des cultures, des langues et des valeurs européennes. Elles aident également les
jeunes à acquérir les qualifications et les compétences de base nécessaires à leur
développement personnel, à leur activité professionnelle future et à une citoyenneté active.
Le programme Comenius aborde des questions fortement liées aux discussions et avancées
actuelles en matière de politiques scolaires: motivation pour l'apprentissage et capacités
d'"apprendre à apprendre", compétences clés, contenu éducatif numérique et éducation
inclusive.
http://ec.europa.eu/education/lifelong-learning-programme/comenius_fr.htm
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