Salle des fêtes - Archives
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SAISON 09/10 Salle des fêtes Du lundi 3 au vendredi 7 mai 2010 Au Grand T © Agathe Poupeney Dossier Jeune Public Sommaire Présentation p.3 Le propos p.4 Les intentions de mise en scène p.5 La création de Salle des fêtes Entretien avec Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff p.6 Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff, metteurs en scène p.8 Les échos de la presse p.10 2 Salle des fêtes Un spectacle de Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff Assistant à la mise en scène Décors et costumes Lumières Son Accessoires Assistante à la scénographie Assistant à la lumière Assistante costumière Pierre-Emmanuel Rousseau Macha Makeïeff Dominique Bruguière André Serré Sylvie Châtillon Claudine Bertomeu Alain Paradis Claudine Crauland Avec Tiphanie Bovay-Klameth Lorella Cravotta David Déjardin Catherine Gavry Hervé Lassïnce Gaël Rouilhac Pascal Ternisien Production Deschamps & Makeïeff Du lundi 3 au vendredi 7 mai 2010 au Grand T Les lundi, mercredi et vendredi à 20h30, les mardi et jeudi à 20h Durée du spectacle : 1h30 Public : à partir de la troisième Tarif : 9€ par élève ou un pass-culture 3 Le propos « Il y a ce titre, tout d’abord, Salle des fêtes, comme une invitation à venir jeter un œil et puis, tiens pourquoi pas pendant que vous y êtes, installez-vous confortablement. Il n’y pas mieux à faire, promis-juré ! Bienvenue donc chez les Deschamps, une famille de théâtre qui nous est devenue si familière au fil du temps. Alors le tandem nous promet cette Salle des fêtes, grande ouverte sur l’inconnu. Enfin pas tant que cela : il devrait y avoir des airs à fredonner, des effets comiques, de la nostalgie – mais pas trop. Et puis quelques étincelles de génie aussi. Tout l’univers, ou presque, qui tiendrait sur un plateau. « Une estrade pour moins de désolation. On transforme la salle d’attente pour l’enchantement ; quelques plantes et des rideaux pour se mettre à rêver. On s’affaire et prémédite quelque chose comme un voyage dans la lune, avec tous les désirs et toutes les maladresses. Comme des mystiques ou de grands animaux de cirque. On croirait Palais Mascotte avant fermeture » nous écrit Macha Makeïeff. Il ne manquerait plus qu’on rate cela. » Philippe Noisette, pour le Théâtre national de Chaillot © Marc Enguerand 4 Les intentions de mise en scène Confusion des genres et tentatives contrariées « Au fond du hangar, un îlot de plastique et de papier peint, son comptoir Macumba, ses tabourets de skaï rouge, l’estrade pour musiciens. Une erreur, un hasard, un rêve ; on a poussé la porte et on se lance. Il y a les filles et les garçons, une équipée qui va tenter la soirée inoubliable. Entre Gavotte et Nirvana, on brique la piste de lino. Derrière la dame de la direction, s’agite la petite tribu appliquée, inquiète, pleine d’envies de danse et de chansons ; une série de doux exaltés, avec quelque chose de frénétique qui les rend comme des patineurs. Entre deux annonces à l’interphone réverbéré, ils se rêvent artistes associés. Avec Alabama-dance, Nirvana, I fall in love…, les espoirs enchaînés, les chimères, ils suivent le balancement entre envolées et frustrations. ©Agathe Poupeney Qui console qui et de quoi ? Tout près de la caméra de surveillance, la dame du comptoir se perd dans les portes et dans les comptes. Elle ne sait plus qui est de la fête ; le petit chat est mort et le chien affamé. Le bar du dancing est son poste de contrôle, de tri, de rejet. « Vous n’êtes pas d’ici ! » et le gars au chariot repart. Elle s’embrouille, l’entraîneuse, dedans, dehors, mélange tout, les gens et les bêtes. On fait comme si tout devait durer un soir encore, les attractions, les refrains et toutes les beautés de la représentation. Avec l’énervement des préparatifs et le désir de gloire, les locataires se lancent dans une chanson comme on saute sur un manège qui s’emballe ; de retour sur son tabouret, on a le tournis d’avoir osé l’idée de la grande soirée. Les rêves quand ils ont lieu se désagrègent : de la mousse et du vent. Plus d’enfance. Juste un musicassette. Il y a une menace, un chantier pas très loin, un arrière industriel au-delà du rideau de plastique. La bande resterait volontiers là, dans le local, façon dancing en panne, foyer moderne et municipal, à attendre le remodelage, la structuration, la rénovation, le désastre. Les doux égarés jouent à la fête, avec l’application cruelle des clowns. Leur petit inventaire de rengaines leur fait comme un miracle. » Macha Makeïeff 5 La création de Salle des fêtes Entretien avec Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff Vous vivez, répétez et produisez vos spectacles au même endroit. C'est une manière de placer l'art au cœur de votre vie ? Nous avions envie, Macha et moi, de trouver un lieu qui nous ressemble, qui nous donne du temps pour vivre notre aventure artistique et pour nous amuser. J'ai toujours été choqué par les théâtres construits sans salle de répétition. On pensait à tout, au public, aux bureaux, mais pas aux artistes. C'est terriblement grave d'éloigner les corps dirigeants d'une institution des artistes qu'ils accueillent. Quand Charlie Chaplin travaillait en studio, il faisait toujours venir ses équipes aux répétitions, et changeait un élément de décor, une réplique en fonction de leurs réactions. J'ai suivi sa démarche : ici, l'équipe costumes est à côté de l'équipe de production, la machine à coudre jouxte des vieilles bobines de Jacques Tati. Nous avons organisé ce lieu de fabrication comme un endroit où les forces et les idées peuvent se croiser sans arrêt. Dans vos spectacles, on a souvent l'impression de regarder des chantiers faits de bric et de broc. Comment travaillez-vous ? Le metteur en scène est un accessoire. Il sert de passeur, il essaie de tendre la bonne clé à ses équipes artistiques. Les artistes dramatiques travaillent à l'aide de forces et de sentiments très puissants, mais aussi très secrets. C'est une énergie intime que nous essayons de canaliser. Après avoir lu un texte, je n'ai jamais une idée très précise de ce que je veux. Ce serait contre productif. J'attends plutôt de voir ce que me propose le comédien. Pendant les répétitions, il y a certaines choses dont on ne peut pas parler, parce qu'elles sont trop intimes. En revanche, on sait qu'elles sont là. L'élégance et la magie du métier est de reconnaître, d'accepter cette pudeur. Je suis constamment à la recherche de cet échange fragile. Certains artistes souffrent en présence du public. C'est un tiers nécessaire, mais pas toujours agréable. Dans votre démarche, quel rôle l'improvisation a-t-elle ? Il faut savoir à quel moment la faire intervenir. Antoine Vitez parlait d'un "théâtre de l'ici et maintenant", et nous travaillons ainsi. Ce qui m'intéresse c'est de tendre des perches de façon à faire surgir des choses inattendues. Pour nous, mais aussi pour l'artiste lui-même. Sans faire de psychologie de comptoir, le moindre geste peut devenir porteur de sens. Un mouvement anodin, justifié par un vécu, une expérience, devient unique et révèle les pans d'une histoire qui n'existe pas dans le scénario. J'aime ces arrière-plans qui enrichissent un spectacle de manière mille fois plus subtile que des effets de mise en scène ou un texte prétendument profond. Lors du casting de Salle des fêtes, nous avons rencontré Tiphanie Bovay-Klameth. Elle était assise, au milieu de la pièce, ne faisait rien de particulier. Et soudain, j'ai vu des vaches, une ferme apparaître derrière elle. Son personnage et son univers se sont imposés à nous. Quand on la voit laver le sol dans le spectacle, elle n'est pas seulement une femme de ménage brimée. En donnant d'elle-même, elle apporte beaucoup plus qu'une simple composition, et ça se voit. 6 Comment ce type de création s'accommode-t-il de l'esthétique absurde, déjà présente chez les Deschiens, et dans la plupart de vos projets ? On ne fabrique pas de l'absurde gratuitement. Notre volonté n'est pas de mettre en scène un type avec un pot de chambre sur la tête et de voir ce que ça fait. C'est le décalage qui me semble important. […] A propos de Salle des fêtes, vous avez évoqué "un spectacle fait de fins du monde, où tout s'écroule". Vous vous battez contre le néant ? Je suis issu d'un milieu dans lequel je devais être polytechnicien, prêtre ou général, mais je ne me voyais pas particulièrement là-dedans. Quand je suis entré au lycée Louis-le-Grand, j'ai pu m'échapper par le biais du théâtre, en rencontrant des gens comme Patrice Chéreau ou Jean-Pierre Vincent notamment. Le Conservatoire, la Comédie-Française m'ont aussi révélé que j'avais des choses à dire. Mais l'essentiel est de pouvoir soutenir les autres, leurs projets. Je me sers de ma notoriété et de mon parcours pour ça. Aujourd'hui nous sommes les producteurs du groupe Moriarty, j'accompagne Sylvain Chomet, le réalisateur des Triplettes de Belleville, pour qu'il mène à bien son prochain film… Jérôme Deschamps, vous êtes également le directeur de l'Opéra-Comique. La gloire du titre, c'est bien beau mais ce n'est rien en comparaison du projet, qui est insensé. Encore deux ans, et plus personne ne saura qui est Auber. Quand je croise certains groupes de jeunes qui visitent les locaux de l'Opéra-Comique, je me dis qu'il y a un gros travail de mémoire à faire. J'en entendais qui ne savaient pas qui étaient Laurel et Hardy... C'est d'ailleurs ce genre d'oubli qui me pousse à faire ce que nous faisons autour de Jacques Tati. Pour revenir à l'Opéra-Comique, il faut se rappeler que c'est l'endroit où ont été créées les plus belles œuvres du lyrique français : Carmen, Les Contes d'Hoffmann... Ce lieu magnifique est une ode au baroque, l'acoustique y est formidable : ce n'est que du bonheur que d'avoir à y travailler. Pendant longtemps, l'opéra français a été méprisé par les Français eux-mêmes. Les Allemands acclamaient Beethoven, Wagner, les Italiens admiraient Verdi ou Puccini, mais les Français ne voulaient pas entendre parler de Berlioz… Actuellement, nous sommes en train de travailler avec Georges Aperghis sur la composition de Les Boulingrin, de Courteline, pour l'anniversaire de la salle Favart en 2010. Courteline, avec son approche de la bêtise humaine, c'est un peu le Deschiens du XIXe siècle. Propos recueillis par Mathieu Laviolette-Slanka et Thomas Flamerion pour evene.fr - Avril 2009 7 Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff, metteurs en scène Jérôme Deschamps Jérôme Deschamps naît à Neuilly-sur-Seine. Il a deux oncles influents : le premier, Hubert Deschamps, est acteur, le second, Jacques Tati, est cinéaste. Il fréquente au lycée l’Atelier théâtral et rencontre Patrice Chéreau et Jean-Pierre Vincent, avant d’entrer à L’École de la Rue Blanche puis au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris. Il entre ensuite pour trois ans à la Comédie-Française. © Sébastien Dolidon Il rencontre Antoine Vitez qui le mettra en scène plusieurs fois dans Claudel, Vinaver… Il devient metteur en scène en créant Blanche Alicata et La Famille Deschiens en 78 au Théâtre des Quartiers d’Ivry. Il fonde et dirige avec Macha Makeïeff une compagnie de théâtre. Acteur de théâtre dans ses propres spectacles, on le retrouve au cinéma sous la direction de Christian Vincent, Roger Kahane, Pavel Lounguine… Au théâtre, il met en scène avec Macha Makeïeff plus de vingt spectacles en France et à l’étranger dont plusieurs ont été accueillis au Grand T : Les Pensionnaires (mai 2000), La Cour des grands (avril 2002), Les Etourdis (novembre 2004) et L’Affaire de la rue de Lourcine (janvier 2007). À l’opéra, il met en scène Les Brigands d’Offenbach (direction musicale Louis Langrée), L’Enlèvement au Sérail de Mozart (direction musicale Marc Minkovski, puis Christophe Rousset)… Pour la télévision, il créé les Deschiens. Au Centre National du Cinéma, il a dirigé en 1996-97 la Commission de l’avance sur recettes dont il a initié la réforme. En 2000, il fonde avec Sophie Tatischeff et Macha Makeïeff « Les Films de Mon Oncle », pour le rayonnement de l’œuvre de Jacques Tati. En 2005, il est nommé directeur de l’Opéra Comique. 8 En 2007, il assure sa première saison lyrique à l’Opéra Comique, et met en scène Zampa de Hérold, salle Favart, puis Fra Diavolo en 2009. Macha Makeïeff Macha Makeïeff est née à Marseille d’une famille protestante aux ascendances russe et italienne. Élève au Conservatoire de Marseille, elle rencontre le pianiste Pierre Barbizet. Elle étudie la littérature et l'histoire de l'art à la Sorbonne et à l’Institut d’Art de Paris, et rejoint Antoine Vitez qui lui confie sa première mise en scène au Théâtre des Quartiers d’Ivry. © Sébastien Dolidon Macha Makeïeff est auteur avec Jérôme Deschamps de plus de vingt spectacles de leur compagnie qu'ils créent et dirigent ensemble (cf. page précédente). En 2000, avec Jérôme Deschamps, elle anime avec lui « le 7bis », un lieu singulier de création à Paris. Plasticienne aussi, elle crée costumes, décors, accessoires, identité visuelle et sentimentale des spectacles. Elle expose à la Fondation Cartier, au Musée des Arts Décoratifs de Paris, à Chaumont-sur-Loire, à la Grande Halle de la Villette et intervient dans différents musées. Macha Makeïeff invente dans les années 90 le style "Deschiens", qui marque une époque. Elle publie des essais sur le théâtre et la poétique des objets qui la hantent. En 2006, elle signe le décor de Solo et La Dernière Bande de Beckett au Théâtre de Lille. Elle est directrice artistique du Théâtre de Nîmes depuis 2003. À l’Opéra, elle a mis en scène avec Jérôme Deschamps Les Brigands d'Offenbach, (direction musicale Louis Langrée), L’Enlèvement au Sérail de Mozart (direction musicale Marc Minkowski), Moscou-Tchériomouchki dont elle conçoit décors et costumes (direction Alexandre Lazarev - en 2004), Mozart Short Cuts, (direction musicale Laurence Equilbey – en 2006), La Veuve Joyeuse (direction musicale Gérard Korsten – en 2006). À l’Opéra Comique, elle met en scène L’Etoile de Chabrier en décembre 2007 (direction musicale John Eliot Gardiner) puis en mars 2008 Zampa de Herold (direction musicale William Christie). En 2009, elle a été commissaire d’exposition et scénographe de la rétrospective Jacques Tati à la Cinémathèque Française. 9 Les échos de la presse « Une tendresse rare, une lumière rayonnante baignent ce dernier spectacle-là. » Télérama, décembre 2008 « Une fois de plus on les retrouve, ces paumés de la vie qui ont rêvé de jouer ou de chanter. Salle des Fêtes leur ouvre les portes en grand. Ce décor-là on a l'impression de ne l'avoir jamais quitté. Un hall immense, tapissé de papier peint aux motifs géométriques années 50. Un bar, une table, des tabourets en skaï... […] Il n'y a pas que le décor qui en a pris un coup, les gens aussi. Déclassés, toujours un peu à côté de la vie. En premier la patronne des lieux, madame Cravota, qui perd ses clés comme elle perd sa tête. Ne contrôlant plus rien, surtout pas elle-même. Mais voilà, ce soir c'est la fête au Macumba, un concours de chant où chacun est convié. Et des catastrophes que l'on n'attend jamais. Jérôme Deschamps nous livre d'emblée tout le vocabulaire qu'il a créé de spectacles en spectacles. Un tohu bohu que l'on reconnaît à la première casserole qui tombe, à la première fumée qui envahit la scène. Puis voilà qu'ils arrivent ces artistes d'un jour, l'un laissant la pelle et la pioche, l'autre l'éponge. Le ménage d'accord, mais le chant d'abord. Une batterie et une guitare électrique feront l'affaire. Et ils se jettent à corps perdus sur la scène avec « Marcia Baila », «Stayin'Alive», «Vanina», «Toute la musique que j'aime», etc. Salle des Fêtes est un des spectacles les plus musicaux de Deschamps et Makeieff. Toujours avec cet esprit parodique, cette tendresse qui pousse autant au rire qu'à l'émotion. Et une fois de plus, les comédiens chanteurs, hissent le propos vers une sorte de magie théâtrale, une extase musicale décalée. Si l'on retrouve les habitués comme Hervé Lassïnce ou Catherine Gavry, on découvre dans Salles des Fêtes un véritable phénomène, David Déjardin. Un ludion à affoler aussi bien Broadway que le West-End. C'est la fête, la fête... » La Tribune.fr, novembre 2008 « Moche, mal fréquentée, tenue par une dictatrice extravagante et généreuse, cette salle des fêtes n'a rien pour elle. Aucune importance, elle n'en a plus pour longtemps : en arrière-plan, on démolit, on dynamite, on enfume. La fin est proche – métaphore un peu grossière mais finalement bonne à voir d'une culture en péril. Sauf que sur scène, l'effervescence empêche toute tentative d'anéantissement. L'énergie contre l'ennui, la vie contre la mort. Ici c'est open bar : pas de petit label, pas de genre mineur, dans cette salle des fêtes tout art a sa place. On passe du rock le plus sauvage à l'intermède façon human beat box. Le seul lien, c'est la passion, la détermination d'une bande dépenaillée qui déborde largement le cadre de la scène pour atteindre un public attentif et peu à peu acquis. […] L'élan vient du corps ; l'attente, l'observation de l'autre, l'investissement de l'espace vide apparaissent comme les vrais langages. […] A ce titre, la Salle des fêtes de Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff s'adresse à tous, message optimiste au milieu de productions parfois absconses quand elles ne sont pas vides de sens. L'humour apparaît ça et là pour mieux faire ressortir la tragédie d'un néant – culturel, sentimental, humain – qui menace, de plus en plus manifeste. Et on se surprend à suivre en rythme les mélodies de cette tranche de vie, attentif au jeu tout en finesse de comédiens résolument à la fête. » evene.fr, avril 2009 10 SAISON 09/10 Contacts Jeune Public Le Grand T Marion Echevin / 02 28 24 28 18 [email protected] Pascale Degrieck / 02 28 24 28 08 [email protected] Florence Danveau / 02 28 24 28 16 [email protected] Clémence Jouin / 02 28 24 28 17 [email protected] Dossier réalisé à partir des documents fournis par le Théâtre national de Chaillot De nombreuses pistes de travail autour des spectacles dans le document « Aller au théâtre… » http://www.legrandt.fr/IMG/pdf/Aller_au_theatre.pdf Le Grand T - BP 30111 - 44001 Nantes cedex 01 Tel 02 28 24 28 24 / Fax 02 28 24 28 38 11