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Odyssée Itinéraire d’une croisière épique ! SKIPPER IN the USA Quand Skipper se lance à la conquête de l’Ouest. romans photos Les skippers se mettent en bulle ! Le Skipper du futur... Be skipper 01 Fla hez cette page ! Fla h this page! Téléchargez l'appli Download the app la Réalité augmentée INCROYABLE ! Skipper Groupe 02 Lancez l'application et visez cette page en entier, Gaby vous expliquera tout ! Start the application and target this full page, Gaby will explain everything! Un numéro aux super pouvoirs… Munissez-vous de votre smartphone ou tablette et vivez une expérience unique ! A super powers edition… Take your smartphone or tablet and enjoy a single experience! Version française 03 Visez toutes les pages comportant l'éclair : Target all pages having the lightning: english version Cap'tain TRAD Toutes les pages du Skipper Mag' sont traduites en anglais. Il suffit de "viser" les pages grâce à l'application "SKIPPER Groupe"... and it's done! All pages of the Skipper Mag' are English translated. You just need to target the pages via the "SKIPPER Groupe" application… and it’s done! SKIPPER mag 05 Fla he moi ! Un collectif parfois non dénué de faiblesses mais qui a toujours trouvé son irrésistible force dans une addition de talents individuels, focalisés sur le même objectif : développer un écosystème où chacun d’entre nous puisse s’épanouir pleinement pour offrir le meilleur à nos clients. Un collectif où le « nous » remplace toujours le « je », où tout le monde s’efface naturellement devant l’intérêt général, où nos équipes travaillent toujours « ensemble » et jamais « à côté », où le droit de se tromper survit face à notre extrême exigence et où toutes les victoires, même les plus anodines, sont fêtées sans relâche. Un collectif qui s’est construit au fil du temps, dans la durée, et qui vient chaque année s’enrichir de nouveaux talents, à chaque fois comme une nouvelle renaissance. Depuis le lancement de son plan Odyssée ce collectif est parti à la conquête de nouveaux territoires, d’une croissance toujours aussi forte et du coup s’est lui-même trouvé face à de nouvelles histoires, de nouvelles cultures, et parfois de nouvelles distances. L’enjeu de ces prochaines années est donc très clair, réussir à écarter avec délice toutes les idées reçues qui vous expliquent sournoisement que le collectif finit toujours par s’abîmer dans les falaises de la croissance, pour continuer à fournir à nos clients, d'ici et d'ailleurs, le meilleur de nous et de notre organisation. Notre tout nouveau Campus sera le symbole, de béton et de verre, de cet esprit Skipper en créant la bulle favorable à son profond ancrage et à l’émergence de son imagination galopante. Ce deuxième numéro du SKIPPER Mag’ est donc pour nous l’occasion de vous faire découvrir les femmes et les hommes qui constituent ce collectif que nous aimons tant, mais aussi de vous faire vivre cette expérience Skipper qui ne demande qu’à être partagée par le plus grand nombre. Fla h me! édito J’ai tendance à répéter sans cesse au gré de mes rencontres, que depuis son origine, la trajectoire de Skipper s’est appuyée sur un collectif sans faille. Aussi, en feuilletant ces pages qui nous ressemblent, je me dis que cette touche technologique de réalité augmentée correspond bien à ce que je ressens chaque jour désormais. Une réalité bien là mais tellement augmentée depuis cette année 1994 où, avec Pascal Ogier, Alain Puaux et 16 autres Skipper qui se reconnaîtront, nous avons relancé, animés par la seule passion, cette chouette aventure… …Et pour très longtemps ! Be Skipper Fabien Jouvet SKIPPER mag 07 Gwenhaël SOMMAIRE’ La chevalière très servante. Elle pourfend les problèmes, chevauche les imprévus et se fait fi de tout obstacle pour venir à la rescousse de toute la rédaction. Fabien Le super rédac' chef. En bon capt'ain, il nous a guidé tout au long de ces pages. Les Ours ;-) Marco Le faiseur d’images authentiques. Mi-homme, mi-sac à dos, il écume les plate-formes jours (et presque nuits) pour vous tirer le portrait sans filtre ni retouche. 02 Trombinoscope 05 vivez la réalité augmentée 06 ÉDITO 10 LE (PRESQUE) COURRIER DES LECTEURS 36 LE MICRO TROTTOIR 44 Souvenir Souvenir… 14 Odyssée Itinéraire d’une croisière épique ! 61 Les petites annonces Alex Le directeur artistique, dit le DA, le créa, dit l’artiste ! Son pouvoir à lui, c’est de modeler les pages à son image. Entre ses mains, le Mag’ est donc devenu super comics ! 48 Bienvenue dans le Skipper du futur... 64 Nos super héros c’est vous ! Joris Le graphiste. Il maquette par-ci, met en page par-là, sous l’oeil avisé et le menton poilu de son pair Alex (et non son père !). 66 Un Skipper à Paris 74 Portraits chinois 28 78 Les incroyables talents de Skipper 82 Client à visage très couvert 84 Vis ma vie de Skipper Jeanne José Assistante de casting. Elle passe en revue les photos des skippers, pour n’en garder que les meilleurs profils. Bonne nouvelle : vous êtes tous pris ! Le directeur des opérations secrètes. Geek émérite, fabricant de mirages, c’est notre magicien de l’irréel. Avec lui, le SKIPPER Mag’ prend vie. 91 Mais qui a dit ça ? 92 Record d'éric Barone 94 Les inclassables SKIPPER IN the USA 106 Quand Skipper se lance à la conquête de l’Ouest. Ils l’ont fait ! 108La relève est assurée 110 l'astroscope 115 Trombinoscope — Maud La responsable d’édition. Quelle meneuse de revue ! Elle chapeaute tous les quifait-quoi-quand-et-où de l’équipe. Sa botte secrète : la téléconf’ de rédac’ du vendredi. Roxane L’intervieweuse writeuse. Un jour au micro, l’autre au stylo. Elle dégaine les jeux de mots au kilomètre. Gare aux mots de tête... de nœud ;-) des pages à vivre en Réalité augmentée ------------------24-25, 46-47, 72-73 SKIPPER mag 09 Courrier des lecteurs LE (PRESQUE) COURRIER DES LECTEURS Le matin, t’es plutôt thé ou tétine de vache ? Pétition très sérieuse Souvenirs du désert Notre aventure avec Skipper, c’est celle de partir jouer au milieu de nulle part, de prendre des chemins tortueux avec un chauffeur qui semble ne pas savoir où il va, puis c’est arriver dans le désert d’Agafay, devant une superbe scène, complètement improbable à cet endroit, un peu comme un mirage ! C’est ensuite monter notre matériel au milieu d’une tempête de sable, la bouche Double jeu Chez Skipper, je suis Patricia. Mais quand je rentre chez moi, je monte dans ma chambre, j’enfile mon arc et mes flèches et je deviens... Ashe, l’archère de givre ! Je parcours la forêt torturée avec mes flèches de cristal et mon fidèle faucon. J’affronte d’autres évocateurs, en combat singulier ou par équipe, pour prouver ma valeur et devenir une championne de légende. Guerrière hors pair la nuit, préparatrice de commandes le jour… Je mène une double vie complètement givrée ! Il est loin le temps où Fabien passait devant mon bar, le pas pressé, cartable sur le dos, en direction de l’école. Aujourd’hui, il prend son temps, et ne fait plus seulement que passer... il rentre ! Entre 6h30 et 7h, c’est son rituel, et pas des plus classiques ! Bol de Tonimalt quotidien (la boite est achetée rien que pour lui) et petit déjeuner entre copains. Quand je dis petit déjeuner, je devrais plutôt dire petites ripailles ! Les cassecroûtes que je leur prépare sont composés, selon les humeurs, de rognons, de tripes, de cervelles d’agneaux, ou, dernière bizarrerie en date, de tétines de vaches ! De quoi aborder une bonne journée de travail comme il se doit ! sèche, en se demandant s’il sera possible de jouer... Puis enfin, c’est vivre quelques heures avec vous tous un événement mémorable, notre concert, avec vue sur les dunes illuminées… Nous garderons cet instant comme l’un des plus beaux moments de notre aventure de musiciens… Monkypolis Je travaille sur le site du Plessis Belleville depuis 5 ans. Et depuis 5 ans, je dois supporter les muscles saillants et la voix caverneuse de mon collègue Nicolas Kalita. Je n’en peux plus ! À quand des silhouettes féminines et sautillantes dans les allées ? À quand des voix angéliques à crier mon nom à travers l'entrepôt ? Je lance donc un appel à Skipper : on veut des Skipperettes au Plessis Belleville ! Merci pour moi ! Pompon Patron du bar de l’Industrie à Livron Guillaume Le Faucheux Un regard Marin sur Paris À tous les skippers qui ne connaissent pas Paris, qui n’y ont jamais mis les pieds, où n’en connaissent que les cartes postales, je voudrais partager avec vous ma passion pour Paris, ses monuments et ses lumières. Quand je ne suis pas chez Skipper, je marche dans Paris, appareil photo à la main, à l'affût d’un détail, d’un halo, d’un instant, que je capture dans de modestes clichés en noir et blanc. Paris est mon modèle préféré, car Paris est insaisissable, toujours en mouvement, toujours nouvelle. J’espère que vous aurez l’occasion de voir un jour Paris sous cet angle-là. En attendant... Voici un petit aperçu de la tour Eiffel, à travers ma focale. Gérard Marin Patricia Deshayes SKIPPER mag 11 Courrier des lecteurs Magic master class à la Skipper Sup’ Le temps des cerises Le temps d’avant, d’après, je voudrais simplement, le temps d’une chanson, dédier ce poème (Serge Reggiani) à notre ami Jean-Pierre, qui a maintenant tout son temps… Laurence Novaro Marco Copperfield, fils du célèbre David, et moi-même, Coline Majax, nièce du non moins célèbre Gérard, tous deux héritiers des plus grands illusionnistes de ce siècle, vous donnons rendez-vous pour un Magic master class exceptionnel à la Skipper Sup’. Venez apprendre en quelques heures les plus grands tours de magie du monde. Notre spécialité : la lévitation sur bons porteurs, grosses coupures et documents testamentaires. Inscrivez-vous dès aujourd’hui. Matériel non fourni. Coline Majax Big Up à Skipper Big up oui, car Skipper a changé ma vie et m’a permis d’atteindre mon plus grand rêve ! Grâce à la confiance que l’entreprise m’a témoignée en m’offrant un CDI, j’ai pu accomplir le rêve de ma vie : acheter ma propre maison. Sachant par où je suis passé pour en arriver là, c’est une grande fierté personnelle. À travers ce billet d’humeur, je voulais juste dire merci à Skipper d’avoir contribué à faire de moi un homme heureux. Tout simplement. Stéphane Cardillo Be SKIPPER Dossier Odyssée Après le plan Tremplin 2010-2013, Skipper remet les voiles sur de nouveaux caps stratégiques. Odyssée 2015-2017 Itinéraire d’une croisière épique ! Une épopée débutée il y a tout juste un an, avec à son bord un équipage de skippers aguerris, une soif de croissance, et une nouvelle mission inspirée par un capitaine visionnaire : l’exploration de nouveaux territoires d’innovation. Ouvrez vos écoutilles, Odyssée dévoile ses plans de navigation… — Avec à la barre Fabien Jouvet Capitaine de Skipper Odyssée Séverine Hedjam Maître d’équipage et d’apprentissage des skippers Pascal Picq Responsable de la vigie et de l’abordage en territoires inconnus Jean Mochon Conseiller du capitaine, navigateur émérite en eaux troubles SKIPPER mag 15 Fabien Jouvet Cap sur 2017 ! Dans le Skipper Mag#1, nous t’avons quitté en plein programme Tremplin. Avant de nous embarquer dans cette nouvelle aventure Odyssée, peux-tu déjà nous dire comment s’est soldée celle de Tremplin ? Pourquoi vous focaliser précisément sur ces 3 thématiques : RH, croissance et innovation ? La question peut paraître bête, mais pourquoi relancer un plan ? Après 20 ans de développement, Skipper a-t-il encore besoin de ça pour avancer ? - Fabien - Tremplin a été une réussite totale - Fabien - Pour moi, ce principe de plan à 3 ans est très imporsur tous les points ! Nous avons atteint tous tant. Je suis intimement convaincu que si nous voulons arrinos objectifs : doubler le chiffre d’affaire en ver à progresser, il faut avoir une feuille de route lisible, claire, 3 ans tout en réussissant à garder intact cet partagée, à long, mais aussi à plus court terme. Ce plan dérouesprit Skipper qui fait notre force. L’entreprise lé sur 3 ans permet de décupler les forces, de visualiser où on a muté en profondeur, mais les équipes sont va, de rester concentrés sur nos objectifs. La seule année où restées soudées et mobilisées. Nous avons nous avons tardé à enchaîner le plan suivant, nous avons subi vécu 3 superbes années, soldées par un mo- un ralentissement de notre croissance. Ça m’a convaincu que ment magique au Maroc en juin 2014, où nous le fait de partager nos objectifs avec tous les salariés dans un sommes tous allés fêter cette grande victoire. plan clair, peut faire des miracles ! Car même s’ils n’en maîPourtant, doubler notre chiffre d’affaire, même trisent pas tous les leviers, ils comprennent à quoi ils servent si ça paraît simple sur le papier, ne s’est pas dans la mécanique, ils perçoivent le résultat de leurs actions et fait sans friction, ni sueur. Ça n’a pas été de tout de leur contribution pour atteindre les objectifs visés. repos au quotidien. Je pense qu’avec Tremplin, nous avons passé un cap, humainement. Et L’entreprise a muté en profondeur, le Maroc a été l’apothéose de ce mais les équipes sont restées soudées plan, je garde de ces 2 jours un souvenir inoubliable. On a vécu et mobilisées. Nous avons vécu une osmose extraordinaire. 3 superbes années... Le Skipper Act à Marrakech a permis de clôturer Tremplin et d’enclencher les perspectives suivantes, avec la présentation de notre Concrètement, un plan ensemble et le faire partanouveau plan 2015-2017, baptisé Odyssée. ger à tous les salariés sans stratégique Skipper, ça se construit comment ? Dans la symbolique, Tremplin visait à aller plus haut, Odyssée c'est quoi ? Une invitation au voyage ? - Fabien - On n’en est pas très loin ! Le nom s’est trouvé autour d’un café au port de Bendor, en préparation d’un Skipper Camp. Avec ce nouveau plan, on voulait sortir de nos bases historiques Drôme-ardéchoises, partir à la conquête de nouveaux clients en dehors de nos terres, commencer à exporter notre savoirfaire sur d’autres territoires. Le nom Odyssée était une bonne synthèse de ce plan, d’autant qu’il englobait une notion qui m’est toujours aussi chère : l’aventure humaine. - Fabien - Premièrement, il faut une vision stratégique pour le nourrir. Et ça, c’est mon job. Habituellement, je travaille seul sur cette stratégie et me fais accompagner par des consultants extérieurs pour la traduire en plan d’actions. Sur Odyssée, j’ai senti que mon équipe avait suffisamment gagné en expertise et en maturité avec Tremplin pour que nous puissions construire ce plan attendre. Ensuite, le plan se déroule en plusieurs phases. La première année c’est la partie croissance et économie qui prend le pas, car il y a des marchés à lancer, des objectifs ambitieux à atteindre rapidement. La vraie accélération sur la partie RH arrive la seconde année. Avec ce nouveau plan Odyssée, nous avons également lancé, ou plutôt relancé une 3e thématique, celle de l’innovation, qui est en pleine phase de défrichage. - Fabien - L’une de mes préoccupations majeures est que mes équipes aient la banane en se levant le matin pour venir au boulot. Les RH ont toujours constitué un pilier majeur des plans Skipper. Même si ça n’arrivera jamais (rire), je préférerais rater 1 million ou 2 dans les objectifs de croissance plutôt que de perdre mes équipes en chemin. En la matière ce n’est jamais gagné, la motivation peut s’essouffler, nous devons donc veiller à ne pas laisser la place à l’épuisement. Les skippers doivent se sentir acteurs de leur vie, ça passe par la reconnaissance, l’empathie, et l’amour des gens. Il faut être à leur écoute, les solliciter, mais pas trop, et en période de pleine croissance comme cette année, ce n’est pas toujours facile. Un des enjeux que nous avons est de réussir à intégrer les équipes des nouveaux sites éloignés (Paris et USA), avec, pour la seconde, une problématique culturelle forte. Le bien-être des skippers est donc ma priorité, j’aimerais que fin 2017, au moins 82 % d’entre eux me disent qu’il fait bon vivre chez Skipper. La partie croissance est également importante, tout simplement parce que c’est la raison de vivre d’une entreprise. Les chiffres de croissance sont des signaux positifs que Les skippers doivent se sentir acteurs de leur vie, ça passe par... Tous ces objectifs atteints nous promettent encore une belle récompense ? - Fabien - Il faut déjà qu’il y ait victoire, mais je n’en doute pas un instant. En tout cas se sera un moment à fêter, et ça, on sait faire ! Avec notre dernier Skipper Act au Maroc, la barre est un peu haute, mais qu’à cela ne tienne ! Ce sera encore une belle surprise pour tout le monde, c’est certain. l’on peut envoyer à nos partenaires, nos banquiers, nos clients. C’est notre moteur. Habituellement, nos plans se focalisent sur un chiffre d’affaires à développer, mais à force de vouloir doubler nos chiffres, ça devient compliqué, surtout sur des plans de 3 ans et avec une croissance exclusivement organique. On fait alors des projections, on se demande « que sommes nous capables de faire cette fois-ci ? ». On cherche un compromis entre un objectif pêchu et un objectif réaliste en termes de croissance organique. Pour ce plan, nous avons donné une dimension stratégique à nos objectifs, à savoir, atteindre les 30 millions de chiffre d’affaires en 3 ans en allant chercher 15% de ce chiffre en dehors de nos bases historiques de la Drôme et de l’Ardèche. Non pas que notre volonté ait été de baisser la garde sur nos propres terres, car nous voulons aussi y renforcer notre leadership, mais surtout parce qu’il était temps d’aller chercher des leviers de croissance en dehors ! On ne pourra pas continuer à développer le marché ici indéfiniment, il finira par s’étriquer en perspectives de croissance. Le marché de l’externalisation entamé avec notre site US, va nous permettre de donner de nouvelles perspectives à nos équipes et à nos clients. Le fait de s’implanter aux USA donne des signaux forts à nos clients américains et renforce notre image auprès de nos clients français. Nous nous exportons en dehors de nos bases historiques, montrant ainsi notre capacité à aller explorer de nouveaux marchés. La partie innovation est par ailleurs revenue à l’ordre du jour parce qu’on sortait d’un cycle. Les 10 premières années de notre existence nous avons beaucoup innové, les 10 années suivantes, notre capacité à innover a été freinée par notre forte croissance. Il est temps de relancer cette démarche innovation, mais en l’inscrivant dans le temps. Il ne faudrait pas qu’un nouveau Skipper aussi innovant que nous il y a 20 ans, arrive sur le marché et révolutionne notre métier. S’il y a une révolution à faire, elle viendra de chez nous ! Nous allons donc tout mettre en œuvre pour trouver 50 idées innovantes et 1 innovation majeure d’ici à fin 2017 pour modeler le Skipper de demain. ... la reconnaissance, l’empathie, et l’amour des gens. SKIPPER mag 17 Séverine Hedjam Pas un homme à la mer ! En tant que DRH de Skipper Groupe, peux-tu nous expliquer plus précisément cet objectif des 82% évoqué plus haut par Fabien, concernant le bien-être des salariés ? Répondre soit “OUI” soit “NON” à une question si ouverte, vous pensez que c’est un indicateur assez fiable pour mesurer le « bon vivre » chez Skipper ? - Séverine - C’est un indicateur pour nous permettre de mesurer le taux de satisfaction de nos salariés à travailler chez nous. Pourquoi 82% ? Parce que le référenciel de l’institut Great Place to Work qui récompense les entreprises où il fait bon travailler est de 81%. Comme Skipper aime relever des défis, nous nous sommes fixés la barre des 82%. Au dernier Skipper Act nous avons commencé à prendre la température avec un premier sondage auprès des 100 salariés participants, et avons obtenu 91% de « oui » à la question « Fait-il bon vivre chez Skipper ? ». Est-ce qu’il faut se dire pour autant que le pari est gagné ? Il faut surtout ne pas relâcher nos efforts pour que le taux soit aussi bon, voire supérieur, à l’issu de ce plan Odyssée ! - Séverine - Non bien évidemment, c’est un indicateur à prendre en compte parmi d’autres ! Mais c’est quand même un symbole fort ! Le turn over est un second indicateur qui vient confirmer cet attachement des salariés à leur entreprise. Il est très faible, voire proche de zéro ! Depuis 2 ans que je suis à ce poste, une seule personne nous a quittés après 8 ans d’ancienneté. Autre indicateur très parlant : le taux de participation à nos événements ! Il est toujours très fort ! Et dès qu’il faiblit, nous tentons de comprendre la démobilisation, d’insuffler de nouvelles dynamiques pour pouvoir relancer le collectif. Il faut être à l’écoute de tous ces indicateurs pour maintenir cette envie de ne pas quitter le bateau. Outre ce chiffre symbolique, j’imagine que le plan Odyssée s'attelle à d’autres objectifs RH ? - Séverine - Il y en a 2 autres effectivement : booster la mobilité en interne et relancer les formations de la Skipper Sup’. La mobilité tout d’abord, pour éviter l’essoufflement, casser la routine, proposer de nouvelles dynamiques à tous les skippers. Nous avons la chance d’avoir de nombreux sites concentrés géographiquement, faire bouger nos Skippers sur nos différents sites permet de leur offrir de nouvelles perspectives, même si elles ne sont pas forcément hiérarchiques. Mon objectif Odyssée sur ce point est de faire bouger 10% des salariés d’ici fin 2017... Il est déjà atteint, et pour le moment, toutes les personnes qui ont bougé depuis 2015 sont super satisfaites. En 20 ans, Skipper a toujours su se renouveler et innover, en quoi le plan Odyssée va-t-il révolutionner cette quête d’innovation ? - Pascal - L’innovation fait effectivement partie de notre ADN chez Skipper. Depuis 20 ans nous avons été des pionniers dans pas mal d’avancées « métier », avec Baliseo, notre process de préparation au chariot... Notre démarche consistait jusqu’à présent à faire de l’amélioration continue, soit à la demande de nos clients, soit de notre propre fait, pour moderniser nos process. Et puis, nous avions marqué le pas depuis quelques années, pour nous concentrer sur notre croissance. Avec Odyssée, nous voulons relancer la machine Innovation mais en ouvrant complètement notre champ de vision, pour ne plus nous limiter à notre prisme « métier ». Parce que dans un contexte actuel d’innovations folles, on se rend compte que si on veut se démarquer, il faut aller puiser l’inspiration ailleurs, en explorant des territoires plus vastes. Dans le cadre d’Odyssée, on s’est donc dit que les objectifs pouvaient être très ambitieux, puisque tout notre environnement allait nous inspirer. D’où cette volonté de trouver 50 idées nouvelles et 1 innovation majeure. Donc si je comprends bien, tu as déjà atteint 2 objectifs Odyssée sur 3 et ce, dès la première année du plan ? Tu n’as pas peur de t’ennuyer en 2016 et 2017 ? - Séverine - Oh non ! Le 3e objectif est un sacré challenge et nous venons à peine de nous y plonger ! Quand je suis arrivée en 2014, le groupe était en pleine croissance. J’ai dû me concentrer sur l’accompagnement des skippers de PlessisPâté et de Lawrenceville nouvellement intégrés au groupe. Les problématiques de distances et de cultures ont été assez chronophages à gérer, d’autant qu’Élodie, mon assistante, partait en congés maternité quelques mois plus tard. J’ai donc dû prioriser mes actions, au détriment de la Skipper Sup’ que ma prédécesseuse avait mise en place. Mais maintenant qu’Élodie est revenue, nous allons pouvoir relancer ce programme de formations dont le principe est de dispenser des formations par des skippers pour des skippers. Nous avons déjà ciblé les compétences et repéré les formateurs qui pourraient dispenser les cours. L’objectif n’est pas de dire : « on forme tout le monde », mais de former les personnes en demande, sur la base du volontariat. J’imagine que le projet Campus va offrir une nouvelle dimension à cette Skipper Sup’ ? - Séverine - Il devrait contribuer fortement à dynamiser tout ça, c’est certain. Dans ce Campus il est prévu de créer une vraie salle de formations, avec un équipement au top. Je pense que ça va permettre de crédibiliser d’avantage ce programme de formations, de lui offrir un vrai cadre, de lui donner plus de signification. Il faut dire que jusqu’à présent ces cours étaient dispensés entre deux coins de tables, autour de 3 vieux ordinateurs. Avec Campus, la Skipper Sup’ va pouvoir être prise au sérieux, se développer, et qui sait si dans quelques années on ne créera pas une vraie école ! Pascal Picq Et comment comptez-vous procéder ? - Pascal - En laissant faire l’intelligence collective, comme d’habitude, car c’est ça notre marque de fabrique. L’idée est de faire participer tout le monde encore une fois, car l’aspect collaboratif est une volonté forte chez nous, surtout pour faire remonter les idées. Pour le coup, on ne se fixe aucune limite, tout ce qu’on pourra faire ressortir et qui aura du sens, on le fera. Et pour nous accompagner et faire émerger nos idées, nous avons fait appel à La Belle Idée, une agence spécialisée sur ces problématiques d’Innovations, qui va nous apporter la méthodologie pour faire le tri. L’objectif est également d’acquérir cette compétence en interne pour animer par la suite notre propre laboratoire Innovation. Elle va ressembler à quoi cette Innovation majeure qui va démarquer le Skipper de demain ? - Pascal - Elle doit faciliter la vie de nos clients, ajouter de la valeur ajoutée à notre métier, à notre entreprise. Mais ce n’est pas forcément une révolution technologique. À l’image des codes barres détachables sur les packs d’eau, elle doit avant tout créer du bénéfice client. C’est ce qui va nous servir de vitrine, nous permettre de séduire de nouveaux clients. Les 50 idées innovantes quant à elles, peuvent faciliter la vie des équipes, notre quotidien. Mais tout ça reste encore très flou pour le moment, car le principe de cette phase de recherche c’est d’avoir les questions, mais pas encore les réponses. D’ailleurs, on n’est même pas certains que les idées qui sortiront fonctionneront, mais l’essentiel est de re-rentrer dans cette démarche d’innovation, de se positionner sur ces notions et de ne pas laisser la place à un nouveau Skipper plus créatif que nous. Nouveaux horizons à tribord ! Bon, si c’est encore flou, peux-tu au moins nous donner des exemples d’innovations qui pourraient être transposées chez Skipper demain ? - Pascal - Je fais énormément de veille sur des salons, je visite des installations, les innovations marquantes du moment sont par exemple des systèmes automatisés permettant aux camions de se charger seuls, des drones inventoristes, des lunettes 3D pour se repérer dans les entrepôts. Je suis assez fasciné également à l’idée de doter les hommes d’exosquelettes pour les soulager sur la manutention. Mais comme je l’ai dit, les innovations ne seront pas forcément technologiques, notre valeur ajoutée se fait sur la main d’œuvre et l’humain, on veut être reconnu pour ça. L’élément démarquant sera donc peut être aussi simple que le code barres détachable du pack d’eau… simple, mais révolutionnaire pour les salariés et les clients. SKIPPER mag 19 Jean Mochon Hissez haut les idées ! Comment l’agence La Belle Idée a-t-elle abordé cette mission chez Skipper ? - Jean - Nous avons commencé par reprendre l’historique du développement de Skipper. La manière dont les projets innovants avaient été abordés toutes ces années, les axes sur lesquels l’équipe avait déjà travaillé. Puis, nous avons fait notre propre veille, analysé la mutation du monde de la logistique, de la distribution, du transport. Nous avons rempli notre besace d’exemples qui ne viennent absolument pas du monde de Skipper, suivant le principe de l’innovation ouverte qui nous est chère. Ce n’est que maintenant que nous rentrons véritablement dans le vif du sujet. Le vif du sujet, on rentre dedans comment justement ? Quelle est la méthodologie que vous avez proposée à Fabien et son équipe pour faire sortir ces 51 idées novatrices ? - Jean - Le principe que nous appliquons est assez simple : une première phase de travail avec le maximum de salariés, une seconde avec l’entrée de personnes extérieures et une phase d’expérimentation. Bien sûr, ce principe est taillé sur-mesure en fonction des entreprises que nous accompagnons. Pour Skipper, nous avons bâti le temps n°1 autour d’ateliers Innovation de 30 personnes, permettant à tous les salariés de s’exprimer sans à priori, de faire ressortir leurs idées, quelle que soit leur culture de l’innovation. L’idée est de leur donner envie de sortir de ce qu’ils font d’habitude, de leur dire : « on prend en compte vos avis et vos idées » autant que celles du patron ou des ingénieurs. 100 Skippers viennent ainsi de participer à ces ateliers et sont venus alimenter le sujet. Le temps n°2 permettra de réaliser une première sélection d’idées en fonction de leur degré d’innovation et des critères préalablement définis par Fabien et les patrons de division. Nous créerons ensuite un nouveau groupe de travail composé cette fois-ci d’une dizaine de salariés et de 2 ou 3 personnes extérieures qui viendront rejoindre le groupe. Pendant deux jours, les idées retenues seront creusées et tirées vers le haut par ces intervenants extérieurs restés anonymes dans un premier temps. Ils pourront être banquiers, chercheurs fous, ou patrons d’entreprises de BTP et amèneront leurs cultures au cœur de l’Innovation Skipper. Enfin, 3e temps de ce processus : on regarde ce qui sort de tout ça. Dans une démarche projet on mobiliserait telle équipe pour tel projet, on dédierait tel budget, tel délai et on suivrait l’avancement du tout. Ici, dans cette démarche Innovation, on ne sait pas où on va, on fait de l’expérimentation. Certaines idées rentreront en incrémental, d’autres en co-conception avec d’autres entreprises, d’autres seront regroupées… et c’est le marché qui définira au final la grande innovation ! Aujourd’hui, nous sommes incapables de dire ce qui va sortir de notre intervention, mais il en sort toujours quelque chose. Le temps n°1 vient de s’achever avec les ateliers Innovation, à ce stade du processus, vous sentez comment les équipes Skipper ? - Jean - Je sens qu’on peut beaucoup s’appuyer sur tous les salariés sans exception, contrairement à d’autres entreprises, parce qu’on a l’enthousiasme de Fabien à faire participer tout le monde et parce qu’eux-mêmes ont envie. Ils sentent qu’ils peuvent avoir envie, qu’ils seront écoutés. Ça promet de belles idées… Au sortir des ateliers Innovation, nous avons sondé quelques skippers pour savoir s'ils la tenaient, cette grande idée innovante qui allait révolutionner le Skipper de demain. Réponses pêle-mêle de skippers très imaginatifs… Cédric Gerbet « Et si c’était de faire de la logistique sans logistique justement. » Séverine Chassagnon « Des musiques d’ambiance pour les clients visiteurs. » Charlène Chaix « Des chèvres naines pour tondre la pelouse autour des entrepôts. » SKIPPER mag 21 Jérôme Sebbane « Greffer un bras à Rémi Debaud. » Alain Puaux « Être toujours tous ensemble (dans le sens connectés) même à 10 000km.» Maryne Dutreux « Offrir des voyages porte-conteneurs aux clients pour qu’ils puissent suivre leurs colis. » Marc Forster « La grande idée, c'est pour moi l'idée qui apporte une réelle et forte valeur ajoutée à nos clients tout en étant relativement simple et rapide à mettre en œuvre. » Stéphane Jacquier « Pour moi, la grande idée c'est Skipper Campus bien sûr, l'outil du futur de Skipper. Il symbolise notre élan, notre dynamisme, notre croissance et notre volonté de nous inscrire dans un projet à long terme basé sur l'humain, l'innovation et le collectif. » Ludovic Fraysse « Au lieu d’utiliser des camions ou camionnettes pour les livraisons sur le dernier kilomètre, on utiliserait des drones qui seraient connectés à nos téléphones portables. Ainsi géolocalisé, le drone assurerait la livraison à l’endroit précis où nous sommes (au travail, en shopping, au restaurant,…). De fait, plus de nuisances sonores et polluantes dans les centres villes, et plus de RDV raté !” Barbara Eppenberger Pascal Ogier « Pour moi la Grande Idée c’est la DS Break ! » « Pour moi, la grande idée, c’est de continuer à accompagner nos clients de plus en plus loin dans leur processus supply chain : faire pour eux leur ADV, leur gestion de stock (définition des quantités à stocker), ré-appro, etc, pour qu’ils puissent nous donner leur supply chain en totalité, de l’approvisionnement à l’expédition client. » Chérifa Babahani « Transformer les entrepôts en galeries d’art. » SKIPPER mag 23 Pendant ce temps-là... à Livron. Pendant ce temps-là... à la Voulte-sur-Rhône. Pas de panique les filles ! J’ai la solution ! Je connais des experts qui aident les jeunes femmes en détresse. J’ai une super faim, il faut faire quelque chose ! Jin joue la « Cariste Hero » Aucun carton ne résiste à Wolverine Idem… et rien à se mettre sous la dent ! Je me sens un peu bête là, j’ai rien à dire. Mais c’est quoi ce camouflage ridicule ? Pas très emballant ! Une journée banale chez les XSkippermen de La Voulte Cyclop, c’est le préparateur high-tech 2.0 Eliminer, ranger, nettoyer, respecter, standardiser, c’est la devise de Tornade Salut Hannibal ! Ton équipe doit nous venir en aide. Nous avons les crocs ! Youpi !!! Ils arrivent enfin. Tu regardes trop la télé ma pauvre fille. L’agence tous risques, c’est vraiment, la dernière chance, au dernier moment ! (De toute façon, on n’aurait pas trouvé mieux pour manger aujourd’hui). Professeur Reina, en bon chef, supervise toutes les opérations Tout à coup, Magnéto arrive… L’agence tous risques, c’est vraiment, la dernière chance du moment ! (la la la). Ah ah ah ! Avec ça, adieu vos délais ! J’adore qu’un plan se déroule sans les crocs ! Et par ordre d'apparition : Laurence Novaro • Djémila Rousset • Gabrielle Jacob • Arnaud Guillon • Kévin Lamiaux • Céline Desaintjean • Alexandre Rey • Nicolas Billon La team XSkippermen parviendra-t-elle à vaincre cette épreuve ? A suivre… Et par ordre d'apparition : Hélène Rogez • Nicolas Rouveyrol • Stéphane Cardillo • Agnès Dreveton • Anthony Reina • Jean-Louis Genthial • Christophe Cabry • Rémy Genthial • Joël Rieu • Flavien Bard • Anthony De Almeida • Stéphane Blouin • Christophe Point SKIPPER mag 25 Be SKIPPER SKIPPER IN THE USA Quand Skipper se lance à la conquête de l’Ouest. Le 1er janvier 2015, Skipper envoyait son premier colis depuis sa plate-forme de Lawrenceville, à 9000 kilomètres d’ici. Une date historique, marquant le prologue d’une nouvelle histoire pour Skipper, celle de la conquête du territoire américain pour le compte de ses clients français. Quelle est l’origine de cette aventure et la véritable stratégie portée par Skipper in the USA ? Fabien Jouvet nous répond. Occasion également de faire les présentations avec ce site Outre-Atlantique et les nouvelles recrues en voie de skipperisation. SKIPPER mag 29 SKIPPER IN THE USA Fabien, comment démarre cette histoire entre Skipper et les états-Unis ? Quelles sont tes premières impressions en arrivant là-bas ? Cela faisait un moment que nous avions préparé Skipper à s’implanter en dehors de nos bases historiques. Notre volonté était d’aller chercher ailleurs des relais de croissance, tout en affirmant notre leadership en Drôme et en Ardèche. Notre plan Odyssée a affiché clairement cette stratégie, avec l’objectif d’atteindre les 30 millions d’euros de CA, dont 15% réalisés en dehors de nos implantations Drome-ardéchoises. Le 16 mai 2014, nous voilà donc à Cumming avec Pascal. Petite bourgade au Nord-Est d’Atlanta où est installé le stock de Revol. Et là, j’ai le coup de cœur immédiat. Coup de cœur pour le pays, mais aussi pour le business, parce que c’est pile notre cœur de métier : des petits colis bien propres, de la préparation au détail, de l’organisation de transports, tout ce que l’on sait faire. Et puis gros coup de cœur pour le positionnement, à savoir : faire de la french(y) logistique pour des frenchy companies… qui à quelques mots près sera la signature de notre positionnement sur le marché américan. Fin 2014, Olivier Passot, ami et patron de Revol Porcelaine implanté avec succès aux US depuis une dizaine d'années, m’a appelé pour me dire que sa logistique américaine, sous-traitée à un opérateur local, connaissait des signes de faiblesse et qu’il y avait peut-être une histoire à écrire pour Skipper. J’en parle à mon équipe, je doute, finalement Alain me dit : « ça se tente ». Et comme j’écoute tout ce que me dit Alain, je prends mon billet pour Atlanta, sans oublier d’embarquer Pascal avec moi. Je lui dis juste : « Pascal, viens avec moi, y’a peut-être un truc à faire là-bas. Et ça part de là ? Et oui ! Nous multiplions avec Pascal les allers-retours Outre-Atlantique. Nous crééons notre filiale Skipper Logistics, louons un nouvel entrepôt de 7 000 m² tout beau du côté de Lawrenceville et lançons tous nos investissements (racks, convoyeurs, portables radio…). Moins de 4 mois plus tard, la machine est lancée ! Nos équipes Support ardéchoises partent pour mettre en place la structure, former nos nouvelles équipes américaines et préparer le démarrage qui aura lieu le er 1 janvier 2015 après beaucoup d’engagement et de bonne humeur. ... il y a une vraie demande d’entreprises françaises qui veulent être accompagnées sur ce territoire. Aujourd’hui, vous en êtes où de votre conquête américaine ? Voilà un an que nous sommes installés, que nous avons passé du temps à apprendre, à intégrer les hommes de là-bas, à cerner une nouvelle culture. Finalement, même si nous n’étions pas inquiets, on prend conscience que ce que l’on fait ici, on arrive très bien à le faire là-bas aussi. Plusieurs clients français nous ont rejoints rapidement, séduits par le modèle. Nous clôturons donc une honnête première année avec un chiffre d’affaires de 1,5 millions de dollars et un service déjà en phase avec nos standards français. Nous ce que nous proposons, c’est une solution de logistique indépendante, expressément dédiée aux entreprises françaises. Le client déporte ses stocks chez nous, et nous lui offrons un service logistique autonome, transparent en termes de coûts, qui lui permet d’aborder le marché américain dans de bonnes conditions. Quelle a été, et quelle est la stratégie du groupe pour se démarquer sur ce vaste territoire ? Cette offre de french(y) logistique pour des frenchy companies, n’est-elle pas une niche un peu trop étroite ? “Croire en notre modèle, tout d’abord. Parce qu’il répond à une vraie problématique rencontrée par les entreprises françaises qui veulent exporter leurs produits aux ÉtatsUnis. Quand une entreprise française commercialise ses produits aux USA, il faut généralement qu’elle trouve un distributeur sur le marché américain, qu’elle lui confie ses produits, ses stocks, et éventuellement, le développement de sa force commerciale. Elle peut sembler étroite, c’est vrai. Mais il y a une vraie demande d’entreprises françaises qui veulent être accompagnées sur ce territoire. Même bilingue, travailler avec des américains n’est pas toujours simple, à cause de la barrière culturelle notamment. Je découvre au fil de mes allers-retours là-bas, que mes clients sont très sensibles à se faire accompagner par des français, car on parle des mêmes standards et le même langage. En fait, ce genre d’offre existe plus ou moins aux États-Unis, mais il s’agit d’opérateurs bien souvent atomisés sur le territoire, qui n’ont pas de vrais moyens logistiques. Nous, nous avons l’expertise, le savoir-faire de nos sites français que nous avons juste eu à transposer là-bas. Notre plate-forme américaine est en plus dirigée par un gars de chez nous, Gaël, un skipper qui retranscrit là-bas ce que nous faisons de mieux ici. Il est accompagné par des équipes américaines rompues à la mécanique de la logistique US depuis plus de 10 ans. Pour moi ce modèle comporte trois écueils majeurs. Premièrement, la marge prise par le distributeur ne permet pas au client de discerner les différents coûts dédiés à la logistique, au commercial, au customer service. La facturation est donc très opaque, la structure du coût difficilement maîtrisée. Deuxièmement, le client français et ses produits sont parachutés dans un océan de marques, le distributeur américain ayant plusieurs marques à diffuser. Il ne privilégiera pas forcément la marque française. Enfin, l’entreprise française ne connaît pas son client final, n’apprend pas à le connaître et perd en proximité dans son relationnel client. Même si notre modèle pourra à terme se déployer à toutes les entreprises, notre stratégie initiale est désormais claire, nous souhaitons devenir rapidement « LA » solution logistique & transport pour les entreprises francophones souhaitant développer leur business sur le marché nord-américain. SKIPPER mag 31 Skipper in the USA, c’est un Michaël Agbenyezi Single without children site américain aussi et américaine (forcément), surtout elle aussi, expérimentée, celle l’accent hamburgers une nos et XXXL comme skippers le équipe, compétente, volontaire de mais français, goût en des plus. Nickname Mikky Hobby/sport Soccer Personality Friendly and easy going Greatest pride Living the realities of my dreams Best quality Fast thinking and solves problems Dream To be better in all I do Favorite meal Chinese Languages English, Twi (language of Ghana ) Season Summer Favorite ice cream Vanilla Favorite color Brown His word Thanks New Year’s resolution Learn to be patient, work hard Ski p p e r i n t h e U S A i s a n A me r i c a n s i t e (o f c o ur se), but it’s a lso a nd a bov e a ll a tea m – a lso Amer ican o f s ki l l e d , ex p e r i e n c e d a n d d e t e r mi n e d skipper s, just like o ur Frenc h skipper s but with a n a c cen t an d a t a s t e f or h u ge burg er s thrown in fo r go o d m ea sure. Gaël Feugère Married :) no children yet Rencont re avec ces n o u v e au x sk ip p e r s, e n t o u t e sim p l i c i t é . A n e n c o u n t e r with these new skipper s m a de ea sy. Hobby/sport Tennis Family pet One cute bunny Favorite meal Japanese Languages English, French, un poco Espanol Season Summer Favorite ice cream Chocolate Favorite color turquoise-blue His word My diet ! SKIPPER mag 33 « SKIPPER IN THE USA William Wilber Bryan Bell Girlfriend without children Married, 2 daughters Hobby/sport College football Favorite movie Forest Gump Personality Friendly Favorite meal Mexican Best quality Helpful to others Season Summer Music style Jazz, country New Year’s resolution Train for halfmarathon Solomon Nwanjang Single without children Nickname Ortex Hobby/sport Soccer Personality Humble The think he is most proud of Team work Best quality Excellent Dream To be businessman Music style Gospel songs Nickname T.J Family pet Wiley my dog Season Winter Hobby/sport Music Dream To have some land Rocky Read Personality Calm Music style Indie rock / EDM Favorite ice cream Favorite movie Action films The think he is most proud of His car Favorite movie Star Wars : A New Hope Favorite color Green Favorite meal All healthy food Best quality Good at sleeping Favorite meal Spaghetti New Year’s resolution No more fast food! Favorite singer Michaël Jackson New Year’s resolution Focus James Freeman Hippolyte T. Menedem Single without children Married, 3 children Nickname Kimbo Music style Reggaeton, hip hopv Hobby/sport Football, MMA (mixed martial arts), Hunting Favorite movie Gangs of New York Favorite meal Personality Sunny, athletic, hard working Double bacon cheese burger Languages English, Spanish Favorite song Me my Self & I G-Eazy The think he is Playing college most proud of football Nickname Hippo Hobby/sport Soccer Personality Frank and fellow feeling Best quality Hard Worker Family pet Dog (Fella) Music style French and African music Languages French, English, little German Family pet 3 dogs Favorite color Blue Season Summer Dream Own my own gym His word Bruh Favorite ice cream Chocolate SKIPPER mag 35 Micro Trottoir C’est qui ton super héros ? LE MICRO TROTTOIR Coline Tisserand « Moi c’est fantômette, elle me rappelle toute mon enfance ! » Propos recueillis par Clark Kent Nicolas ROUVEYROL « Shrek, je suis un peu comme lui, même coupe, même gabarit. » Chez Skipper, nos héros du quotidien s’appellent Lucile, Cédric, Gabrielle, Christophe. Mais de qui s’inspirent-t-ils pour guider leurs choix et leurs actions ? Qui sont leurs mentors, leurs idoles, leurs super héros bien à eux ? Nous avons envoyé sur place notre meilleur reporter pour enquêter. Karl Masson Élodie Ardiale « Le méchant dans la série Héros, avec son pouvoir de télékinésie. » « Superman, parce qu’il est beau. Mais celui de la série, pas celui du film ! Ou alors Élastique Girl, parce qu’elle s’adapte à toutes les situations, comme moi ! » SKIPPER mag 37 Micro Trottoir Antoine Vallençon « Clint Eastwood. Multigenre, indétrônable, et il dure dans le temps ! » C’est qui ton super héros ? Hélène Rogez « Iron man, mais surtout l’acteur en fait. » Frédérique Baudin « Magic Johnson, le meneur des Lakers de LA. » Gwenhaël Bodnar « Mon mari. Après un semi et un marathon, il prépare cette année un Iron Man. C’est 1 an d’entraînement, entre 17 et 20 heures de sport par semaine quel que soit le temps, avec une rigueur alimentaire quotidienne. C’est mon modèle de dépassement de soi. » Sophie Badalamenti « Nicolas Cage, tous ses rôles lui vont à merveille. C’est l’homme parfait ! » Flora Dufour « Mon grand-père, il me fait toujours rêver. » Nolwenn Pierre Élisabeth Delay « Philippe Croizon, ce sportif sans bras, ni jambe, qui a traversé la manche à la nage. » « Agatha Christie, pour sa capacité à imaginer des trucs tordus. » SKIPPER mag 39 Micro Trottoir Céline Dessaintjean Élodie Assaud C’est qui ton super héros ? « Jean-Marc Buisson… Hi hi ! Je dis surtout ça parce qu’il est à côté de moi ! » « Wonder Woman, parce qu’elle n’a pas besoin d’un homme, elle fait tout toute seule. » Mélanie Martinelli « Personne en particulier. On est tous des super héros. Il suffit d’être acteur de sa vie, de se donner les moyens d’être des héros au quotidien. » Jean-Marc Buisson « Robin des Bois, parce qu’il vole aux riches pour donner aux pauvres. ». Marc Montaner « Batman, parce que c’est le seul super héros qui n’a pas de pouvoir, il est humain, comme nous, il fait juste travailler son cerveau et se bat avec ses mains. » Vanessa De Almeida Jean-Pierre Reboul « Sylvester Stallone, parce qu’il ressemble à mon père. Je me suis promise de le rencontrer un jour. » « Pour moi c’est Fabien Jouvet, d’avoir repris la boîte de son père, si jeune, et d’en avoir fait ce qu’il en a fait. » Séverine Chassagnon « Mon père… ce héros ! » Jérôme SEBBANE « J’hésite entre moi et Super-souris. » SKIPPER mag 41 Be SKIPPER uche « Mon emba a 3 mois, y il er chez Skipp ça a changé ma vie. » « Y’en a trop ! Mais c’est surtout mon arrivée dans l’entreprise . Une structure à ta ille humaine, jeu ne, ambitieuse. C’ét ait vraiment la bonne surprise ! » Qu’ils soient Skippers depuis 3 mois ou 20 ans, ils on t tous des souvenirs he ureux, personnels ou partagé s, qui ont marqué leur carrièr e chez Skipper. « Le week-end dans le Jura. On est arrivé au milieu de nulle part, on a d’abord cru à une blague. Au final c’était génial. » Morceaux choisis... « Le décollage en avion pour aller au Maroc ! J’avais jamais pris l’avion, ça m’a marqué vraiment. En tout cas ce genre de voyage motive au quotidien, on a envie de repartir. » « Mon embauche ici à Livron, il y a 6 ans. J’ai découvert une seconde famille. C’est pas le plus beau des sites, mais tout le monde vous le dira, c’est le mieux. Mon poste, les gens du coin, les clients, les collègues, c’est ludique de venir bosser ici. Je suis super bien ! » « Tous les jours je suis surpris ici. Chaque année je suis de plus en plus surpris par l’imagination sans limite de Fabien. Chaque année j’ai un nouveau souvenir plus fort que l’année précédente. » « Une mission chez un client pendant 2 nuits, ça s’est super bien passé. On n’a pas l’habitude d’aller chez le client et j’ai trouvé ça super. » SKIPPER mag 45 Pendant ce temps-là... Un peu de partout ! Pendant ce temps-là... à Lawrenceville. I bet 1 burger no one can stop me. No one else? No way! I can throw the ball really fast Doesn’t matter!! I’m Michael Do you know Michael Jordan? Et par ordre d'apparition : Jennifer Justamond • Flora Dufour • Barbara Eppenberger • Alexandre Martin • Rex Et par ordre d'apparition : Solomon Nwanjang • Bryan Bell • William Wilber • Hippolyte T. Menedem • James Freelan • Michael Agbenyezi SKIPPER mag 47 CAMPUS Bienvenue dans le Skipper du futur. Campus. What else ? Alors que certains n’y voient pour le moment qu’une grande nébuleuse aux contours incertains, d’autres y projettent déjà tous leurs fantasmes : nouveaux bureaux ouverts sur l’infini et l’au-delà, laboratoire de recherche satellite de la NASA, université Harvardéchoise, complexe sportif, centre de balnéo… Depuis l’annonce de sa création au dernier Skipper Act, le sujet passionne. Il s’appelle Campus, ok, sur ce point tout le monde s’accorde. Mais pourquoi ? Pour qui ? Quelles vocations auront ces bureaux pas tout à fait comme les autres et à quoi ressembleront-ils ? Skipper Mag vous fait le topo. SKIPPER mag 49 Fabien, peux-tu nous expliquer l’origine de ce projet ? Comment t’est venue cette idée ? Le deuxième besoin, c’était celui de remettre aux normes les lieux de vie (sanitaires, cuisines) de notre plate-forme logistique de La Voulte, comme nous avions pu le faire à Valence Briffaut ou à Livron, il y a quelques années. Faute de place, ces lieux de vie sont restés dans leur jus, fait de bric et de broc, il est temps de redonner un coup de neuf à tout ça. Alors Campus concrètement, qu’est-ce qu’on y trouve et à qui s’adresse-t-il ? L’interview Fabien Jouvet C’est d’abord le résultat de deux besoins fondamentaux qui se faisaient de plus en plus pressants depuis 4 ou 5 ans. Premièrement, la nécessité de redimensionner nos bureaux du site de La Voulte, par rapport au développement de nos fonctions transverses. À l’issue du programme Tremplin, croissance aidante, on s’est retrouvé avec des effectifs plus nombreux, qu’on a commencé à éclater sur les plate-formes par manque de place. J’ai commencé par envoyer Alain Puaux à Livron, à contre cœur, puis les équipes Process & Méthodes et Skipper Technologies au Pouzin. Aujourd’hui, on se rend compte que cet éclatement ne contribue pas à construire le collectif. Parallèlement, à La Voulte, les équipes ont continué à s’entasser dans les bureaux ici et là… à faire du camping. Ce qui, en termes de fonctionnement, nuit à l’efficacité du groupe et rend les conditions de travail difficiles pour tout le monde. C’était une évidence en fait, elle est arrivée en janvier. J’ai trouvé l’idée qui pouvait synthétiser notre volonté d’innovation, de « bien travailler J’imagine que tu vas nous dire quelle était ensemble », l’idée d’un lieu à offrir à tous les cette idée, celle qui a tout déclenché ? Skippers, qui réunirait les fonctions transverses, et où l’innovation pourrait phosphorer. J’ai imaginé un lieu qui nous ferait gagner en visibilité, où chacun pourrait se nourrir de lumière, et venir travailler avec nous au Skipper du futur. L’idée était de créer un lieu fondateur de notre croissance des 20 prochaines années. Un lieu atypique, axé sur l’innovation, la formation, les nouvelles technologies, qui valorise notre image. Le centre névralgique du Skipper de demain. C’est ça qui m’a fait basculer et me lancer. de Fabien Pourquoi avoir mis autant de temps à te lancer ? Une fois que tu as identifié ces besoins, c’est simple, il faut construire des bureaux. Sauf que l’idée de seulement construire des bureaux, pour des bureaux, ne me convenait pas. Je cherchais à y mettre du sens, et pas seulement celui de se faire plaisir après 20 ans d’activité avec des locaux flambants neufs. Ça m’aurait trop projeté vers le passé. Du coup, j’ai eu du mal à me décider, j’attendais de trouver l’idée. Plusieurs projets sont venus me titiller les uns après les autres, mais pour ce genre de décisions complexes, stratégiques, j’ai toujours tendance à ne pas me laisser submerger par la pression. Alors j’ai attendu, et elle a fini par venir d’elle-même... Il s’adresse à tous ceux qui voudront venir travailler à nos côtés, qui voudront venir se former, innover, partager. C’est un véritable enjeu que d’en faire un lieu de partage et d’échanges, un point de ralliement pour tous les salariés. Concrètement, on y déménagera toutes les fonctions transverses. Par contre, la quintessence du projet Campus étant également de trouver de nouvelles dynamiques de travail, il est prévu de revoir la disposition des bureaux. Je veux que dans ce lieu on réapprenne à construire collectif, qu’on repense complètement nos méthodes de travail. En 2016, je trouvais qu’on ne Avec un tel programme tourné vers l’avenir, on imagine que le nom Campus est venu de lui-même ? Chez Skipper, on donne des noms à tout ce qu’on fait. Je voulais donner une identité forte au lieu. On a pensé au « Loft », au « Hub », mais Campus résumait vraiment le mieux notre projet. Il symbolise tout ce qui tourne autour de l’apprentissage, de la recherche, du travail collaboratif, de l’émulation. Un campus c’est aussi un lieu ouvert sur l’extérieur, sur des espaces paysagers. Il était donc tout indiqué pour ce lieu qu’on voulait créer. pouvait décemment plus faire un bâtiment à 4 étages, avec le standard en bas et le big boss au sommet, avec un fonctionnement pyramidal. Campus va casser tous ces codes hiérarchiques, décloisonner un maximum les espaces, ouvrir le travail sur l’extérieur. Mais ça, c’est une histoire qu’on vous expliquera un peu plus tard avec Luc, notre architecte. Quoi d’autre au programme de ce Campus ? Et bien la Skipper Sup’, notre école de formation. Elle aura une salle de formation dédiée et un mini dépôt qui pourra simuler nos process pour nos équipes en formation et les nouvelles recrues. Il y aura aussi une belle dose de nouvelles technologies avec des lieux collaboratifs hyper connectés, des espaces de visioconférences pour échanger avec les autres sites, des meetingbox pour les entretiens en petit comité, au calme des espaces collaboratifs. Il y aura beaucoup d’autres surprises qui vont, je pense, améliorer les conditions de travail et contribuer à créer du « bon travailler ensemble » chez Skipper. Il sera où ce Campus Skipper ? On voulait rester en Ardèche. Parce que Skipper est un acteur du territoire et entend le rester, et parce que je suis moi-même très attaché à notre identité ardéchoise. On avait 2 options : La Voulte ou Le Pouzin. Notre raison a fini par pencher pour Le Pouzin. La raison de la visibilité tout d’abord, puisque notre bâtiment de 1000m2 sera situé en sortie d’autoroute, de quoi donner à la marque une belle vitrine. Et puis, la raison de l’équité, pour retrouver une position centrale vis-à-vis de tous nos sites. On y va quand ? Début 2017… mais faudrait déjà que j’achète le terrain ! SKIPPER mag 51 C 'e s t Sylvie Roussel Élodie Assaud « C’est étonnant et ça donne envie de participer. » « C’est 5 minutes de trajet en moins pour moi le matin ! Plus sérieusement, c’est également plein de nouveaux projets et de perspectives. » Vanessa Grand « C’est le regroupement de toutes nos fonctions transverses. Le but est d’en faire un truc stylé dans lequel on se sentira bien pour bosser. » Elisabeth Delay Christophe Michelon « Ça fait penser aux Etats-Unis. Sinon je trouve que c’est une bonne idée, ça va permettre d’avoir un vrai point de regroupement pour tous les skippers. » « C’est être moins à l’étroit je l’espère ! » Stéphane Cardillo Marguerite Bruyère « C’est encore un grand pas pour Skipper. » « Si on peut y faire une salle de sport ou un terrain de foot en salle, se serait pas mal. » QUOI ? SKIPPER mag 53 C 'e s t Flora Dufour « Je pense que ça va être génial, j’ai hâte d’y être, Fabien fera tout pour qu’on s’y sente bien ! » Karl Masson « Pour nous ça va surtout occasionner des espaces libres qui vont être mis à disposition de la logistique. » Mélanie Martinelli « Il est à l’image de Fabien : innovant. Il va booster notre travail, donner un nouveau souffle à notre équipe. » Jennifer Justamond Olivier Baldini « On va pouvoir travailler dehors ! » « C’est le paradis ! Parce que depuis 8 ans, on tasse, on tasse, ça devient compliqué de travailler. Ça va nous permettre de réinventer le “travailler ensemble. » Jean Baptiste Duboué « C’est une vitrine pour Skipper dans les années à venir. » Sophie Badalamenti Candice Seiler « On va retourner à l’école, non ? » « Un espace de travail plus adapté au nombre de salariés. Ça va avoir un super impact en termes d’image pour les clients aussi. » QUOI ? SKIPPER mag 55 Fla he moi Fla h me Qui es-tu Luc ? Quand même pas Luc Skywalker ? S i, mais avec le vertige en plus [rires]. Du coup, je n’ai construit aucune tour à Manhattan ! Plus sérieusement, je suis Luc Boulant, architecte depuis quelques années maintenant… Et un type plutôt normal en fait : marié, père de 2 filles, un homme entouré de 3 blondes ! Interview de Luc Boulant Architecte du futur Campus Ton parcours, quel est-il ? D es études d’archi rapides à Grenoble (sorti diplômé en 1983), une expérience sportive professionnelle en tant que moniteur de tennis et deux ans de professorat en architecture à Casablanca. Ensuite, de 1986 à 1996, je navigue entre Romans et le reste du monde comme fondateur et dirigeant d’une société de conception et réalisation d’espaces commerciaux « L’Interior Designer », spécialisée dans la mode. Je réalise par exemple les boutiques Mosquitos et Stéphane Kélian de Paris, New York, Moscou. Dans les années 2000, je reviens à l’architecture avec une spécialisation en ingénierie Développement Durable à l’école d’architecture de Lyon. Et depuis, je conçois divers bâtiments au gré des rencontres et demandes… Pour travailler avec Fabien, il faut avoir la Skipper attitude, elle se manifeste comment chez toi ? Campus dans l'œil de l'archi E n étant moi-même, en ne faisant jamais semblant… et en me levant tôt. On doit aussi avoir en commun avec Fabien cette même volonté d’être exigeant et humain à la fois (enfin je crois). Raconte-nous un peu les prémices du projet Skipper Campus. Comment en arrive-t-on à se dire : “on va faire un campus à l’américaine” au Pouzin ? J e connaissais Fabien de longue date, et pour en avoir souvent parlé avec lui, je connaissais aussi son envie de construire de nouveaux bureaux. Avant l’idée du campus, on avait déjà commencé à faire des esquisses, à travailler sur d’autres configurations de bureaux. Le projet du bâtiment s’est vraiment éclairci quand Fabien m’a montré le terrain et qu’il a lui-même formalisé ce concept de “campus”. Comment as-tu traduit ce concept en Skipper Campus ? Quels ont été tes partis pris architecturaux pour donner au site cet esprit de campus ? D u béton brut, des tonalités minérales, un savant mélange de modernité et de vintage pour rappeler les campus américains. J’ai également fait un travail sur les circulations intérieures et extérieures, avec une attention particulière donnée au parc paysager. C’est un site qui invite à déjeuner sur l’herbe, à se balader autour du bâti, à travailler dehors, il facilite les chassés-croisés entre les extérieurs et les intérieurs... Un campus quoi. SKIPPER mag 57 Fla he moi Quelles contraintes Fabien t’a-t-il données pour définir les lignes du bâtiment ? J e ne parlerais pas de contraintes, parce que Fabien m’a vraiment donné carte blanche. Mais disons qu’il y a 3 points qu’il voulait que je prenne en compte dans la conception du bâtiment. À savoir : aucun étage, des espaces intérieurs décloisonnés, et une ouverture maximale sur l’extérieur. Nous avons traduit la première par la conception d’un bâti horizontal, formé de deux îlots de plain-pied en forme de haricots. La difficulté ici était de travailler sur de longues circulations et de gagner en fluidité dans les déplacements. Pour la seconde, nous avons opté pour des espaces ouverts, modulables, mais délimités par ce qu’on appelle des cloisons-rangements. Le designer marseillais Maxime Paulet a conçu un mobilier technique et intelligent qui répondra à ce besoin d’ouvrir l’horizon tout en garantissant l’intimité des skippers au travail. Enfin, le troisième point est amené par l’orientation du bâti, la réflexion sur les expositions, le traitement lumineux des façades et la disposition des bureaux, toujours tournés vers le dehors. C’est cette recherche d’efficience qui différencierait aujourd’hui pour toi le bon architecte, du mauvais ? Fla h me C ’est ce que moi je cherche en tout cas. Mais on ne reconnaît pas forcément un bon architecte d’un mauvais, c’est ça le drame ! S’il y avait un vrai critère de sélection on vivrait dans un monde parfait. Moi j’essaie simplement de m’adapter à la demande du client, et de toujours maîtriser l’ensemble du projet, de la conception jusqu’à la livraison, pour être certain que l’idée de base a été traduite correctement. Quel est le plus beau projet que tu aies réalisé en tant qu’architecte, dont tu sois le plus fier ? J e suis assez modeste sur ce sujet et la beauté est tellement subjective ! Cependant il y a 3 critères de satisfaction pour moi dans un projet : l’intégration du projet à son environnement, la satisfaction de mon maître d’ouvrage (client), ma propre satisfaction, qui dépend souvent des 2 premiers critères. Un bâtiment ouvert donc, et vert aussi ? O n peut dire ça. Je suis un partisan du Low Tech, c’est à dire, du “faire mieux avec moins”. Du coup, j’ai travaillé l’apport solaire de façon passive pour avoir à chauffer moins l’hiver. À l’inverse, pour l’été, j’ai prévu des casquettes brise-soleil pour limiter l’utilisation des climatisations. Le béton blanc des bâtiments participe également à cette quête d’inertie thermique. Avec le Skipper Campus, on y est ? O n est sur la bonne voie en tout cas ! Suivez-nous, on vous ouvre les portes. SKIPPER mag 59 L e s p e t i t e s a n n o n c e s Personne ne passe ! Dans le cadre de la certification OEA, nous avons intégré de nouveaux process de sécurité sur nos plate-formes. Au Plessis-Belleville, Nicolas Kalita, chevalier de la table ronde, spécialités joutes et côtes de mailles, expérimente la défense par l’épée. Une technique qui jusqu’à présent fait ses preuves ! Nicolas cherche à former des frères d’armes pour exporter le concept chez nos clients. Intéressés, contactez le service Process & Méthodes. Nicolas Kalita Cherche Plant-sitter occasionnel Cherche personne attentionnée pour prendre soin de Bonnie durant mes missions extérieures et congés annuels. Personnalité très commode, discrète. Dates d'ouverture : • Finale de la coupe Davis en novembre • Championnat du monde de handball en janvier Barbara Eppenberger Avis de recherche Bar des sports clandestin En prévision des nombreux événements sportifs à venir, j’invite tous les skippers, amateurs de sports ou de bons moments, à venir visionner les retransmissions sur grand écran dans mon garage, spécialement aménagé pour l’occasion. Buvette, billard et ambiance supporter garantis ! Possibilité de ranger le bureau de Ludo en option, si le cœur vous en dit ! Le petit Denis Reboullet s’est perdu au dernier Skipper Familly, alors qu’il s’amusait dans les structures gonflables. Aidez-nous à le retrouver. Voici les dernières images de lui recueillies par notre vidéo surveillance. Signe particulier : bouclettes et casquette Oui-Oui. • Championnat du monde de natation en juillet • Championnat du monde d'athlétisme en août Jean-Baptiste Duboué Gare au loup ! Le loup est dans la bergerie ! Vous l’avez vu rôder aux ateliers Innovation, s’abreuvant de vos échanges, flairant l’odeur de l’idée fraîche, se repaissant de vos Be SKIPPER trouvailles ingénieuses. Méfiezvous de cette bête sans process, ni méthode, elle a la dent longue, et une faim de loup ! Stéphane Cardillo SKIPPER mag 61 L e s p e t i t e s a n n o n c e s Devenez MOI en 10 leçons Résultat du grand concours de déguisements de Noël And the winner is… Coline Tisserand, avec sa vision post-moderne du sapin de Noël, version roi des forêts. Elle nous propose Un Skipper Vs Wild Après " Man vs Wild ", découvre z " Un skipper face à la nature ". Un docu-fiction extrait de la sorti e canyoning aux gorges du Verdon et retraçant le parcours exemplair e de Benjamin Tournier qui s’est démarqué par sa vivacité d’esprit une déclinaison enguirlandée sur bâche verte et boules rétro, et un couvre-chef, façon “étoile du berger”. Quelle créativité ! cours de port de chèche entre midi et deux à la Skipper Sup’. Matériel fourni. 10 Dirhams la séance. Marc Forster Jérôme Sebbane face aux éléments, sa capacité d’adaptation en milieu hostile et sa maîtrise des doubles saltos bombés. Un film de Skipper production disponible en Blu-ray et auto-description. Michel Galabru Chèche ou pas chèche ? Vous avez un projet de séjour à Marrakech ? Vous faites des allergies au soleil ? Ou êtes tout simplement curieux d’apprendre les coutumes d’un autre pays ? Je propose des Reconnu pour mon style dandy frenchy et mes bonnes manières de gentleman, je me lance dans le coaching personnel. Nœud pap’, lunettes hipsters, humour inimitable… Je vous livre tous mes secrets d’esthète pour briller dans la haute valentinoise. 4x4 avec chauffeur pour balade forestière À vendre. 4x4 état neuf avec chauffeur très peu servi. Toutes options (y compris l’option chasseur de galinettes et gros gibiers). Prix à débattre. Cyril Reboul C’est le pied ! Nous donnons ces superbes babouches, taille 72, en croupe de chèvre de l’Atlas. Cause : trouvé meilleures chaussures à nos pieds. Recrute nouve lle Barb à perpétuité iche Cherche désesp érément cariste ba rbu super sympa av ec de la bouteille, pour contrat professionnel et amical de très longue durée (30 ans minim um). Qualités requise s pour ce poste : être m ihomme, mi-fen wick, certificat de pilo sité exigé. Virginie Chapign at WA NT ED … la preuve ! Il serait descendu du grand Nord, en compagnie du père Noël, pour participer à notre dernière soirée de Noël. Recherche, mort ou vif, éventuellement en miettes, le Skipper qui a pioché dans mon gâteau au chocolat à la pause de 10h. Récompense assurée. Jean-Marcel Cyhylyck Boris Laforge n’est pas mort… Jean Louis Genthial & Jennifer Justamond SKIPPER mag 63 HEROS VOUS C'est NOS Super Vous avez la nez ! Vous carton Non c'est toi ! touch ! Ha ! Non c'est toi ! jours ! Avec vous, ça roule tou Vous être toujours dans les starting blocks. Vous êtes des fonceurs ! Vous formez une sacrée équipe. Vous êtes toujours là où on ne vous attend pas. La force est en vous. Vous savez mettre le doigt sur ce qui coince. SKIPPER mag 65 Un Skipper à Paris UN SKIP- PER À PARIS LE PLESSIS-Pâté Skipper est allé tenter sa chance du côté de la Capitale. L’occasion de belles rencontres, la première au Plessis-Belleville dans l’Oise en 2011, la seconde, au Plessis-Pâté dans l’Essonne en 2014, où nous nous sommes entichés de 2 plateformes et de leurs logisticien(ne)s. Mohamed Hamidi Ils font désormais partie de nos aventures et nous les imprégnons, Poste petit à petit et avec délice, de Loisir Préparateur de commandes VTT et travaux dans sa maison, jardinage, plomberie, peinture, il ne s’ennuie jamais ! notre culture. Le SKIPPER Mag’ Signe particulier était donc l’occasion rêvée de vous Expression libre présenter ces nouvelles têtes qui Patricia Deshayes représentent désormais le groupe Poste dans la Capitale, celles de nos Loisir skippers à Paris. Le sourire jusqu’aux oreilles ! « J’aurais aimé être architecte » Animatrice Les jeux vidéo, principalement les RPG (jeux de rôles massivement multi-joueurs), le dessin Signe particulier Une geek au féminin Expression libre « J’aurais aimé faire les beaux arts pour être dessinatrice et travailler sur la création de jeux vidéos » SKIPPER mag 67 Un Skipper à Paris Axel Baurain Boubacar Siby dit Bouba Poste Préparateur de commandes Poste loisir Cross fit loisir Supporter de foot et de l’OM, balade à vélo en famille Gémeau, comme son tatouage dans le dos Signe particulier LE Plessis-Pâté Superviseur chemise impeccablement repassée Signe particulier Expression libre « Ma peau, c’est le roman de ma vie ! » Expression libre « On me dit souvent « tu es trop gentil Bouba ! » que voulezvous que je fasse ? » Rosaria Rodriguez Poste Préparatrice de commandes Portugaise en France depuis 16 ans Signe particulier Expression libre famille ! » « Mon dada c’est ma Julien Baudvin Poste Marylène Barbosa Jéremy Bellin Poste Superviseur Ancienneté 3 ans, 20 ans de métier Signe particulier A vécu à la Réunion Expression libre « Mon grand père est en Guadeloupe, mes parents à la Réunion, je suis déjà allé en Guyane, mais mon pays préféré c’est Madagascar ! » Mohamed Kadja Poste Préparateur de commandes Les voyages à Pondichéry en Inde où il retourne tous les ans Loisir Parle 5 langues indiennes, son pays d’origine où il a vécu 18 ans Poste Assistante d’exploitation Loisir Course à pieds, volley, foot Signe particulier de marathon Ancienne coureuse Expression libre « Mon boulot est très intense ! J’adore ! » Préparateur de commandes Les sports en général, le foot en particulier, le PSG à fond ! Mais toujours derrière la télé ! Loisir La blouse blanche en toute occasion Isabelle Machado Poste Préparatrice de commandes roller, les romans policiers, les balades en forêt Loisir Signe particulier gaga de ses 13 neveux Signe particulier et nièces « Mon rêve serait de faire le tour du monde et de m’acheter de belles voitures ! » Expression libre « J’aimerais savoir freiner avec mes rollers en dérapant, la grande classe, mais pour le moment c’est pas trop ça ! » Expression libre Signe particulier « Mon rêve serait de m’offrir une voiture de sport ! » Expression libre Gérard Marin Poste Superviseur Supporter du Stade Français Paris Rugby et photographe amateur Loisir Florent Lubin Poste Responsable de site Loisir La rando de montagne Expression libre « Mon projet pour cet été est de faire le GR20 sur 15 jours, soit 170 km de rando. » Expression libre « J’aime me balader dans Paris avec mon appareil photo, immortaliser des instants de vie, un détail sur un monument, un flot de touristes, une scène à la terrasse d’un café. » SKIPPER mag 69 Un Skipper à Paris Melissa Derond Poste Préparatrice de commandes Escapades le week-end dans les villes européennes loisir Depuis 1 an en métropole, toute sa famille est en Guyane française, elle cuisine des gratins de papayes comme personne ! Signe particulier LE PLESSIS-Pâté Expression libre « Je me plais beaucoup en métropole, j’ai juste eu beaucoup de mal à m’habituer aux températures hivernales, à Cayenne quand on se lève le matin, il fait déjà 28 degrés ! » Maryame Dembele Poste Préparatrice de commandes Fitness, renforcement musculaire loisir Prend des cours d’arabe, parlé et écrit Signe particulier Sandrine Lapostolle Poste Animatrice Signe particulier Vient d’emménager en région parisienne Expression libre « J’aime l’ambiance qu’il y a ici au Plessis, c’est comme un village. Pour moi c’est le début d’une nouvelle vie ! » Expression libre « Je suis d’origine malienne, je rêverais de pouvoir visiter le Mali un jour. » Maxime Roboam Poste Superviseur Travaux dans sa maison depuis 1 ans, supporter de nombreux sports Loisir Signe particulier Vit au jour le jour Expression libre « Petit, j’aurais voulu être véto, aujourd’hui, j’ai un chien. » LE PLESSIS-BELLEVILLE Guillaume Le Faucheux Poste Préparateur de commandes Foot en tant que joueur et supporter, travaux dans sa maison Loisir Signe particulier Carole Wilmart Poste Préparatrice de commandes Les chevaux, elle emmène la fille de son mari faire de l’équitation tous les week-end Loisir L’art de marier chaussures de sécurité et coiffures au carré Signe particulier « Ça me plairait de voyager à l’étranger, dans les pays chauds aux eaux turquoises, genre les Seychelles, j’en ai eu un avantgoût avec la Martinique, et j’ai adoré ! » Expression libre Phoenix tatoué dans le dos Kimberley Cerqueira Poste Préparatrice de commandes Fitness 1h30 par jour, sorties en boites de nuit, vacances au Portugal près de Porto dans sa famille Loisir Strass sur la dent, lissage parfait des cheveux, féminine jusqu’au bout des ongles, même au travail ! Signe particulier « J’aime bien travailler chez Skipper, il y a une bonne ambiance, le travail est agréable, ça change des jobs que j’ai pu faire avant. » Expression libre Nicolas Kalita Poste Superviseur Participe à des tournois de combats médiévaux sportifs et des reconstitutions historiques du XIV et XVe siècles Loisir Signe particulier Tresse et barbe viking Expression libre « J’aimerais avoir une vraie salle et donner des cours de combats médiévaux sportifs, être reconnu dans ma discipline que je suis d’ailleurs le seul en France à pratiquer. Vincent Parisi, qui est maintenant chroniqueur sur beIN Sport m’a contacté pour venir tester mon sport avec un VIP, en l’occurrence Stomy Bugsy ! » SKIPPER mag 71 Pendant ce temps-là... à Briffaut. Pendant ce temps-là... au Pouzin. Au Q.G. Skipper, rien à signaler. L’entrepôt est calme, les bolides sont à l’arrêt... Tuche ! T’es viré ! OUAIS !! J’suis chômeur ! ... Les Power Skippers prennent du bon temps, entre deux missions logistiques. Pouah, c’est pas Monaco là ? Une seconde plus tard, l’alerte est donnée. Un client à besoin d’un colis. Toute l’équipe est à son poste en un fragment de seconde. Quand les Power Skippers passent… les problèmes logistiques trépassent ! En route pour Briffaut ! On va leur crêper le brushing ! On est les nouveaux proprios… Avec Marc TUCHE c’est lô vie de t’chateau les Biloutes… Forces oranges parées pour la mission ! Quelques minutes plus tard… Vous ne pouvez pas entrer. De mon vivant… J’entends ! Encore une victoire collective pour les Power Skippers ! On leur donne pas 1 an, avant que ça devienne un camping ! Mission accomplie ! Et par ordre d'apparition : Marc Montaner • Pascal Cheynis • Elisabeth Delay • Luca Granon • Sophie Badalamenti • Frédérique Baudin • Jean-Christophe Gaso • Bruno Avon • Jean-Jacques Tallieu • Aurélie Piquet • Vanessa De Almeida• Sandrine Bavencoff Et par ordre d'apparition : Lydie Chaussinand • Manon Chaix • Emilie Gerbet • Albane Saint-Etienne • Pascal Teyssier • Yves Delaygue • Rémi Collavet • Jean Cardillo • Batefa Deron • Robin Gaillard • Ludovic Chaudier SKIPPER mag 73 Portraits chinois Benjamin Tournier Christophe Point Le Pou z i n L a Vou lte 1- Si j’étais un super héros, je serais ? 1- Si j’étais un super héros, je serais ? 2- Si j’étais un transport logistique, je serais ? 2- Si j’étais un transport logistique, je serais ? Kick-Ass Si j'étais... Un porte containers 3- Si j’étais une série TV, je serais ? Mc Gyver 4- Si j’étais un péché mignon, je serais ? Le chocolat 5- Si j’étais américain, I would be ? Mickael Jordan 6- Si j’étais une recette de grand-mère, je serais ? Batman Un camion 3- Si j’étais une série TV, je serais ? L’homme de Picardie pour son action trépidante 4- Si j’étais un péché mignon, je serais ? Un Suisse (spécialité valentinoise et non pas de nos voisins helvétiques) 5- Si j’étais américain, I would be ? Neil Armstrong Un civet de biche 7- Si j’étais un truc, je serais ? Une écharpe (de l’OM) 8- Si j’étais un personnage de l’Odyssée, je serais ? Poséidon Ils sont de retour ! Les portraits chinois rempilent pour ce mag#2 avec une nouvelle cible dans le viseur : les responsables de site. Entre scoops et révélations fracassantes... âmes sensibles s’abstenir ! 6- Si j’étais une recette de grand-mère, je serais ? — Un grog 7- Si j’étais un truc, je serais ? Un appareil photo 9- Si j’étais une espèce en voie de disparition, je serais ? Le crocodile du Siam 10- Si je n’étais pas responsable de site chez Skipper, je serais ? Buraliste 8- Si j’étais un personnage de l’Odyssée, je serais ? Achille 9- Si j’étais une espèce en voie de disparition, je serais ? Une marmotte de l’île de Vancouver 10- Si je n’étais pas responsable de site chez Skipper, je serais ? Dessinateur industriel SKIPPER mag 75 Denis Reboullet Florent Lubin Gaël Feugère Jérôme Odibert Pascal Cheynis Rémy Carau Li v ro n sur D rome & Les Auréats Le P lessis-Pâté Lawrence ville Équipe support Vale n ce Bri ffaut M al iss a rd / Le P l essis- Bel l e v i l l e 1- Si j’étais un super héros, je serais ? 1- Si j’étais un super héros, je serais ? 1- Si j’étais un super héros, je serais ? 1- Si j’étais un super héros, je serais ? 1- Si j’étais un super héros, je serais ? 2- Si j’étais un transport logistique, je serais ? 2- Si j’étais un transport logistique, je serais ? 2- Si j’étais un transport logistique, je serais ? Un avion 2- Si j’étais un transport logistique, je serais ? Une péniche à la force tranquille et écolo 2- Si j’étais un transport logistique, je serais ? 3- Si j’étais une série TV, je serais ? 3- Si j’étais une série TV, je serais ? 3- Si j’étais une série TV, je serais ? 3- Si j’étais une série TV, je serais ? 4- Si j’étais un péché mignon, je serais ? 4- Si j’étais un péché mignon, je serais ? 4- Si j’étais un péché mignon, je serais ? 4- Si j’étais un péché mignon, je serais ? 5- Si j’étais américain, I would be ? 5- Si j’étais américain, I would be ? Vin Diesel Indiana Jones, généreux et ingénieux 5- Si j’étais américain, I would be ? 5- Si j’étais américain, I would be ? 6- Si j’étais une recette de grand-mère, je serais ? 6- Si j’étais une recette de grand-mère, je serais ? 6- Si j’étais une recette de grand-mère, je serais ? Capitaine caverne Une charrette avec un cheval pour un retour aux sources 3- Si j’étais une série TV, je serais ? Friends 4- Si j’étais un péché mignon, je serais ? Une bonne bouteille de vin rouge 5- Si j’étais américain, I would be ? Heureux de vivre en France 6- Si j’étais une recette de grand-mère, je serais ? Superman Une tyrolienne The walking dead Une mousse bien fraîche Fat Un plat en sauce Un pot au feu Captain America Captain América Games of thrones X.Files, l’étrange m’attire Un cheesecake au chocolat of course Une bombine, simple et conviviale Une tarte au chocolat banane Le saucisson Gaël Feugere ! Un poste à souder, assembler, fédérer, c’est mon dada 8- Si j’étais un personnage de l’Odyssée, je serais ? 8- Si j’étais un personnage de l’Odyssée, je serais ? Breaking bad 7- Si j’étais un truc, je serais ? Une fourchette Un bouton poussoir pour rendre aimable les gens Fedex La tisane de bourrache 7- Si j’étais un truc, je serais ? 7- Si j’étais un truc, je serais ? Green Arrow Dionysos Zeus 9- Si j’étais une espèce en voie de disparition, je serais ? Un bon gros panda tout doux 10- Si je n’étais pas responsable de site chez Skipper, je serais ? 1- Si j’étais un super héros, je serais ? Au chômage L’homme qui valait 3 milliards 2- Si j’étais un transport logistique, je serais ? Un avion 3- Si j’étais une série TV, je serais ? Le prince de Bel air 4- Si j’étais un péché mignon, je serais ? Une fraise 5- Si j’étais américain, I would be ? Wayne Gretzky 6- Si j’étais une recette de grand-mère, je serais ? 6- Si j’étais une recette de grand-mère, je serais ? Un pot au feu 7- Si j’étais un truc, je serais ? 7- Si j’étais un truc, je serais ? 8- Si j’étais un personnage de l’Odyssée, je serais ? Zeus Super vieux 9- Si j’étais une espèce en voie de disparition, je serais ? 9- Si j’étais une espèce en voie de disparition, je serais ? 10- Si je n’étais pas responsable de site chez Skipper, je serais ? 10- Si je n’étais pas responsable de site chez Skipper, je serais ? Moins bien loti 7- Si j’étais un truc, je serais ? 8- Si j’étais un personnage de l’Odyssée, je serais ? Un alliage supraconducteur Un phoque moine de méditerranée Un parmentier de canard Un couteau Suisse Un panda Tennisman 9- Si j’étais une espèce en voie de disparition, je serais ? Le gorille 10- Si je n’étais pas responsable de site chez Skipper, je serais ? Présentateur-commentateur-journaliste sportif Une voiture 8- Si j’étais un personnage de l’Odyssée, je serais ? Ulysse 9- Si j’étais une espèce en voie de disparition, je serais ? Un tigre blanc 10- Si je n’étais pas responsable de site chez Skipper, je serais ? Formateur ou Auditeur, car aujourd’hui est mieux qu’hier et moins bien que demain 8- Si j’étais un personnage de l’Odyssée, je serais ? Achille 9- Si j’étais une espèce en voie de disparition, je serais ? Un ours polaire 10- Si je n’étais pas responsable de site chez Skipper, je serais ? Un rugbyman professionnel SKIPPER mag 77 Kévin Lamiaux Les sauts dans le vide ! Du haut de ponts ou de falaises de 20 mètres par exemple. Jennifer Justamond Je chante toujours dans le bureau, même si je chante extrêmement mal ! Christophe Cabry Thomas Berthier J’adore cuisiner ! J’ai pris des cours chez Anne Sophie Pic. Mélanie Martinelli Je fais de la natation handisport. En 2009, j’ai même fini 6e au championnat d’Europe en Islande. J’ai aussi participé au Handi-Raid Sapeurs Pompiers qui consiste à descendre le Rhône en zodiac de Aix-les-Bains à Port Camargue. Je suis speed du matin au soir. Je suis à 300% tout le temps ! Sophie Badalamenti Mon dada c’est le cheval ! Dressage, cross, saut, j’adore ! Honorine Pralix Je fais de la peinture et beaucoup d’autres choses, car tout m’intéresse. Cyril Ramond Je suis un ancien pro de foot. Skipper est d’ailleurs sponsor de mon club. Donc je dirais que mon incroyable talent c’est le ballon ! Nathalie Longo Je ne suis pas Wonder Woman, ça c’est sûr ! J’essaie de voler, mais je n’y arrive toujours pas. Alors je dirais que je suis une super maman au moins ! SKIPPER mag 79 Marc Montaner Yoann Pistoresi Je suis l’homme de toutes les situations pour ma femme. Elle a toujours de nouvelles envies déco, besoin de monter une étagère, de déménager un truc. Je suis toujours là quand elle a besoin de moi ! Je dessine des BD. Mais c’est un vrai talent caché, personne ne le sait. Gaël Maza Rémi Debaud Je pratique l'Ultimate Frisbee. C'est fun, physique, américain mais surtout c'est un sport collectif. Moi mon truc, c’est le bricolage. Je répare les pieds de table, je resserre les boulons... on me surnomme clé de 12. Aurélie Piquet Mon truc, c’est le football américain. Sinon je fais du secourisme, j’attends d’ailleurs avec impatience de sauver quelqu’un ! Rémy Delubac Je suis pompier volontaire doublé d’un super papa ! Grégory Robert J’ai la main verte ! Je crée des jardins, des espaces paysagers, je suis paysagiste de métier. Jean-Christophe Gaso Mon talent, c’est la mécanique. J’aime démonter et remonter tout ce que je trouve, juste pour comprendre comment ça fonctionne. Candice Seiler Je suis très bonne ménagère, j’ai moins de 40 ans ? Ça peut le faire comme incroyable talent ? SKIPPER mag 81 Baliseo vous suit partout. À moins que ce ne soit vous, qui la suiviez où bon vous semble ? à emporter partout. L’appli maison, lient à isage très Toujours à porté de main (ou de pied). pour fêter toutes les victoires. Le Buzz Easy, Idéal pour les négociations fines et pour entrer dans nos petits papiers. parce que vous le valez bien ! Le sac kraft Dans le dernier mag’ nous vous révélions le dress code adéquat pour avoir la Skipper touch et intégrer la grande famille des skippers. Aujourd’hui, découvrez le style à adopter pour devenir un SKIPPER CLIENT ! Client à visage très couvert SKIPPER mag 83 Vis ma vie de Skipper Vis ma vie de skipper Deviens le rouage d’une machinerie complexe Fais un boulot qui cartonne Alexandre Dethière Agnès Devreton Deviens pilote de ligne au féminin Camille Gerland Raille Sois réfléchi Cyril Reboul Deviens pilote de ligne au masculin… Axel Tato Léon Expédie des colis, sur un petit nuage Anthony Reina SKIPPER mag 85 Vis ma vie de Skipper Montre-nous ton plus beau profil Sois rêveur David Ghazarian Sois égal à toi-même Julien Bondon Etonne-toi de tout Jean Cardillo Yoan Job Offre-nous... ... des sourires séducteurs ... des sourires discrets Bérangère Grillet Partage tes découvertes Emboite et déboite à ta guise Eric Boronad Pascal Teyssier Ophélie Masson ...pourvu qu’ils viennent du cœur Et... Va de l’avant… Tiens bon la barre et la moulinette Rémy Genthial Virginie Serre Ne te retourne pas… ou presque Joël Rieu Brice Nury SKIPPER mag 87 Vis ma vie de Skipper Reste toujours droit Bruno Avon Établis des connexions Extériorise tes joies David Gomes N’oublie pas d’être sérieux, parfois Claude Comte Stéphane Blouin Fête toutes les victoires Garde la banane... Richard Gatti Manoeuvre avec précision Pascal Heraud ...et le style Anthony Combe Alain Lemeur Prends les commandes de ta vie... Cédric De Laurière ... pour que tout roule Batefa Deron Reste concentré sur tes objectifs Karine Belan Et reste toi Jérôme Jelin SKIPPER mag 89 « Ça pousse à la paranoïa toutes ces innovations ! » Maryne Dutreux « J’aimerais bien être un hibou, pour voir la nuit. » François Reina Jérôme Sebbane « Mon animal fétiche c’est le loup surtout parce qu’il fait peur aux enfants. » Arnaud Guillon Be SKIPPER « Je suis un peu SDF. Sans dépôt fixe. » « L’animal que je trouve vraiment incroyable, c’est l’homme. Je voulais dire moi, mais ça me paraissait trop égocentrique. » Pascal Picq SKIPPER mag 91 Record éric Barone Fla he moi ! Fla h me! EN PISTE AVEC NOTRE CHAMPION ! Nouveau record du monde ! Lui qui nous pousse à nous dépasser à chaque Skipper Camp, nous montre encore l’exemple, déterminé, toujours plus fou, en se remettant en selle à 54 ans et en reprenant la piste des records pour une énième descente de vitesse. Objectif : décrocher la lune, ou au moins quelques étoiles ! Pari réussi pour notre baron rouge, avec un chrono à 223,30 km/h, battant son propre record de 2000. Une descente éclair, que Skipper vous propose de revivre, comme si vous y étiez… SKIPPER mag 93 Galerie I un break classifi able Skipper invente le flash-fen’. Le premier fenwick qui décharge plus vite que la lumière ! Skipper invents the flash-fen’. The first fenwick which unloads faster than the speed light! SKIPPER mag 95 2 I Les comics trip The comics trip -1Focus sur les dossiers classés “top secret” du Skipper-SHIELD. Focus on the classified "top secret files" of Skipper-shield. -2Chez Skipper, Spider-Man possède son propre mur d'entraînement : très très lisse et très très haut ! At Skipper, Spiderman has its own training wall very very smooth, very very high! 1 SKIPPER mag 97 I Les comics trip The comics trip -3À Livron, la nouvelle planque des tortues ninjas. La classe ! At Livron, the new hideout of Ninja Turtles. Awesome! -4Hulk est encore passé par là ! Hulk is still been there! 3 4 SKIPPER mag 99 I Les comics trip The comics trip 5 6 -5Le poste de travail de Wolverine : il s’est encore fait la main sur les fournitures ! Wolverine workstation: he couldn’t stop scratching! -6Les nouvelles roulettes du professeurs Xavier, trop stylées ! The new wheels of Professor Xavier, too stylish ! -7La planche du surfeur d’argent, encore garée au milieu de l’entrepôt. The board of the Silver Surfer, still stand in the middle of the warehouse! 7 SKIPPER mag 101 9 I Les comics trip The comics trip -8Un stock de méchants mis en bouillie par nos Skippermen. Many wicked men squashed by Skippermen. -9La source des Green Lantern, cachée quelque part chez Skipper. The source of Green Lantern, hiding somewhere in Skipper. 8 SKIPPER mag 103 I Maëlys Tel père, tel fille ! Artiste accomplie, elle dégaine son objectif plus vite que son ombre. Elle joue, compose et s’amuse avec notre image. Avec toute sa sensibilité, Maëlys nous plonge dans son univers dès lors qu’elle nous accompagne... Like father, like daughter! FOCUS REBUTTINI(S) Accomplished artist, she shoots faster than her shadow. She has fun, composes and plays with our image. With all her sensitivity, Maëlys takes us in her world any time she comes with us. & I Marco Il est passé par ici, il repassera par là ! He came through here, he’ll come back there ! Vous l'avez sans doute vu ce bipède joyeux, monté sur roulettes, l'objectif baladeur. You have probably seen this happy biped, rolling on wheels, with his wandering lens. Il est revenu vous shooter. Avouez que, cette fois encore, vous y avez pris du plaisir... Notre histoire avec Marco se poursuit, alors gardez la banane, sa focale pourrait bien encore vous prendre par surprise. He came back to shoot you. Admit it, you enjoyed it again, this time... Our history with Marco goes on, so keep smiling, his focus could surprise you again. SKIPPER mag 105 Gwenhaël Bodnar « Je me suis mariée dans un cirque. » Coline Tisserand « Je suis allée en Côte d’Ivoire pour aider les enfants d’un village. » Sylvie Roussel « J’ai monté ma boîte en Tunisie quand j’avais 40 ans. » Lucile Pourroy « J’ai fait une randonnée de 10 heures sur Chaillol, à 3000 mètres d’altitude, et sans aucune préparation ! » Nolwenn Pierre « J’ai fait un voyage humanitaire au Mali pendant 3 ans. » Frédérique Baudin « J’ai marqué 18 points lors d’un match de basket ! 5 paniers à 3 points ! » ILS L’ONT Honorine Pralix « Je suis partie à 17 ans faire mes études au Ghana. Sinon, j’ai repris mes études à 32 ans, ça aussi c’était un sacré challenge ! » Tallieu Jean‐Jacques « J’ai fait un saut en parachute et en solo ! Quitte à le faire, je voulais le faire bien. » Vanessa De Almeida « J’ai appris à danser à peu près toutes les danses ! Jazz, salsa, danse de société, etc. » Élisabeth Delay « J’ai fait un voyage en Tanzanie chez les Masaïs. » Sandrine Bavencoff « Je suis partie faire du canyoning avec Skipper. J’ai cru que j’allais mourir, mais je l’ai fait ! » Jean-Marc Buisson « Sauver des gens en tant que sapeur pompier, c’est sûrement ce que j’ai fait de plus incroyable. » SKIPPER mag 107 La relève est assurée Skipper, c’est une somme d’aventures quotidiennes, familiales, humaines, celles d’hommes et de femmes qui bâtissent, depuis 2 générations, notre belle histoire collective. Certains construisent cette histoire depuis plus de 20 ans, d'autres le feront pour les 20 à venir, d'autres encore y participeront plus tard, pour l’ériger peut être en légende. Alors qui sont-ils ces futurs skippers ? Sont-ils au moins nés ? Peut-être sont-ils déjà là, sous nos yeux, dans nos propres familles, prêt à reprendre le flambeau ? Actrice de ma vie, peut-être pas encore... actrice, ça c’est sûr ! Qu’en pensez-vous ? Ja d e Éthan Arthur Adrien Leelou Optimisation de l’espace, un bon début en logistiqu e ! Déjà la Skipper touch ! Casquette de travers et banane jusqu’aux oreilles ! Carla Déjà prêt pour le Skipper camp ! Pour remplacer Barbiche, est-ce que la moustache ça compte ? Marety Lounès Oscar Samuel Un bon candidat pour une carrière aux US ! Océane Une future recrue pour le pôle Transit ? Lunettes de hipster, sweat à capuche, sourire enjôleur, j’ai déjà tout planifié pour prendre la place de papa ! SKIPPER mag 109 Lion L'astroscope vierge Axel Tato Leon l e super h é r o s d e m au d Lydie Chaussinand Et vous pensez qu’on va vous croire ! Il est temps de tomber les masques les vierges, tout le monde s’en doute, vous n’êtes plus blanches comme neige. Et avec le trio MarsUranus-Jupiter dans votre dos, restez confiantes. Un Mars et ça repart ! Vous êtes en bonne voie pour tout déchirer cette année ! Attention à ne pas trop sortir les griffes. Côté loisir, vous rêvez d’évasion, c’est le moment de faire un safari ! l'astroscope balance scorpion À toujours vouloir peser le pour et le contre, vous en perdez parfois l’équilibre. C’est peut-être le moment d’aller courir avec Alain pour vous délester de quelques kilos ! Côté loisir, passez votre permis poids lourds et faites du cheval ! Mangin Jessica BÉLIER Justine Chancrin taureau Julie Aymard capricorne Yves Delaygue C’est votre année les béliers ! Vous prenez le taureau par les cornes et accomplissez de bêêêêêlles choses. Et si vos amours vous rendent parfois chèvre, en revanche, vos relations amicales sont « coton » ! Côté toison, évitez les averses, vous frisez facilement. Arrêtez d’avoir les bulls et de voir tout rouge ! Offrezvous plutôt une manucure, prenez des cours de yoga avec Fredo et levez le pied sur la viande saignante. Et n’oubliez pas les taureaux : « vache qui rit, à moitié dans ton lit », Olé ! Visez la lune, ça ne vous fait pas peur ! Vous avez plus d’une corde à votre arc pour y parvenir et comptez bien décrocher quelques étoiles au passage. Côté famille, bel équilibre général. Attention aux excès de frangipane. Stéphane Dabonneau Gémeaux Jean Pierre Reboul cancer Vous aimeriez bien vous débarrasser de votre double maléfique ! Il vous pousse à manger trop gras, trop salé et trop sucré, alors que vous, vous n’aimez que les légumes ! Côté travail, vous bossez pour dix ! C’est un exosquelette de poulpe que Pascal Picq va devoir vous greffer ! Bruno Imbert sagittaire C’est certain, votre vie ne manque pas de piquant ! Vous êtes un battant et rien ne vous atteint. Côté santé, quelques problèmes de transit… Il est peut être temps de passer à la logistique. verseau poisson Si vous êtes frit, vous avez tout compris. Sinon, il est temps de prendre le large et de mettre un peu de sel dans votre vie ! Côté amour, il y a baleine sous gravier avec la voisine du 3e, c’est le moment de vous jeter à l’eau ! Vous porterez sur vos épaules de lourdes charges, ménagez-vous, la goutte d’eau pourrait vite déborder ! Côté santé, tout coule. Côté travail, vous ne faites pas de vague. Un conseil si vous êtes célibataire : évitez les cruches ! Natifs du 1er décan, vous avez des tendances à l’hypocondrie. Pour les autres, faites le plein de crustacés pour garder la pêche ! Et si vous en pincez pour quelqu’un, invitez-la(le) à manger des moules ! Frederic Froissard Mi-bouc, mi-dauphin, vous êtes plutôt du genre « flipper » ! Détendezvous, si vous ne voulez pas perdre pied ! Côté travail, vous êtes doté d’une intelligence remarquable et d’un sens du collectif naturel. Santé : vous avez de la corne aux pieds ! Cédric Delaurière Grégory Crumière SKIPPER mag 111 PRéPARATEUR DE COMMANDE Michael Agbenyezi PRéPARATEUR DE COMMANDE Sebastien Andre ASSISTANTE COMMERCIALE ROUTE Elodie Ardiale PRéPARATEUR DE COMMANDE Jean-Luc Arsac ASSISTANTE RH Elodie Assaud PRéPARATEUR DE COMMANDE Bruno Avon DéVELOPPEUR INFORMATIQUE Julie Aymard ANIMATRICE Cherifa Babahani PRéPARATRICE DE COMMANDE Sophie Badalamenti RESPONSABLE D'EXPLOITATION ROUTE Olivier Baldini ASSISTANTE EXPLOITATION Marylene Barbosa APPRENTI LOGISTIQUE Flavien Bard PRéPARATRICE DE COMMANDE Frederique Baudin PRéPARATEUR DE COMMANDE Julien Baudvin PRéPARATEUR DE COMMANDE Axel Baurain ANIMATRICE Sandrine Bavencoff DéVELOPPEUR INFORMATIQUE Karine Belan PRéPARATEUR DE COMMANDE Bryan Bell SUPERVISEUR Jeremy Bellin PRéPARATEUR DE COMMANDE Jose Benedetti PRéPARATEUR DE COMMANDE Thomas Berthier ANIMATEUR Nicolas Billon RESPONSABLE SERVICE CLIENT LOGISTIQUE Stephane Blouin ASSISTANTE DE DIRECTION Gwenhael Bodnar SUPERVISEUR Julien Bondon PRéPARATEUR DE COMMANDE Eric Boronad PRéPARATRICE DE COMMANDE Marguerite Bruyere PRéPARATEUR DE COMMANDE Jean-Christophe Buisson AGENT DE MAINTENANCE Jean-Marc Buisson PRéPARATEUR DE COMMANDE Christophe Cabry RESPONSABLE DE DEPOT Remy Carau MAGASINIER Jean Cardillo PRéPARATEUR DE COMMANDE Stephane Cardillo PRéPARATRICE DE COMMANDE Kimberley Cerqueira ANIMATRICE Charlene Chaix PRéPARATRICE DE COMMANDE Manon Chaix ASSISTANTE RH Justine Chancrin PRéPARATRICE DE COMMANDE Virginie Chapignat COMPTABLE-CHARGEE DES Severine Chassagnon Lawrenceville Ludovic Chaudier Lydie Chaussinand Pascal Cheynis Remi Collavet Anthony Combe Claude Comte Stephane Corbet Elodie Cros Gregory Crumiere Stephane Dabonneau Laurie Daniere Anthony De Almeida Vanessa De Almeida Cedric De Lauriere Batefa De Ron Remi Debaud Elisabeth Delay Yves Delaygue Remy Delubac Équipe support APPROVISIONNEMENTS SUPERVISEUR PRéPARATRICE DE COMMANDE RESPONSABLE DE DEPOT Le Plessis-Pâté Transit La Voulte RH Valence Informatique Le Pouzin Valence Transit Le Plessis-Pâté La Voulte Valence Le Plessis-Pâté Le Plessis-Pâté Valence Informatique Lawrenceville Le Plessis-Pâté Le Plessis-Pâté Valence Livron La Voulte Direction Générale Équipe support La Voulte La Voulte La Voulte Production La Voulte Malissard Le Pouzin La Voulte Le Plessis-Pâté Malissard Le Pouzin RH Livron DAF Le Pouzin Valence PRéPARATEUR DE COMMANDE Le Pouzin PRéPARATEUR DE COMMANDE La Voulte CHEF DE PROJET Process & Méthodes CHEF DE PROJET Informatique SUPERVISEUR CHEF DE PROJET PRéPARATEUR DE COMMANDE COMPTABLE PRéPARATEUR DE COMMANDE Équipe support Process & Méthodes Valence DAF La Voulte ANIMATRICE Valence CHAUFFEUR Production SUPERVISEUR INGENIEUR METHODES ANIMATRICE Le Pouzin Process & Méthodes Valence PRéPARATEUR DE COMMANDE Le Pouzin PRéPARATEUR DE COMMANDE La Voulte Maryame Dembele Melissa Derond Celine Dessaintjean Patricia Deshayes Alexandre Dethiere Agnes Dreveton Jean-Baptiste Duboue Flora Dufour Maryne Dutreux Barbara Eppenberger Gael Feugere Marc Forster Ludovic Fraysse James Freeman Frederic Froissard Robin Gaillard Jean-Christophe Gaso Richard Gatti Jean-Louis Genthial Remy Genthial Jessica George Cedric Gerbet Emilie Gerbet Camille Gerland Reille David Ghazarian Eric Gipoulou David Gomes Vanessa Grand Luca Granon Berengere Grillet Arnaud Guillon Mohamed Hamidi Severine Hedjam Pascal Heraud Bruno Imbert Gabrielle Jacob Stephane Jacquier Jerôme Jelin Yoan Job Fabien Jouvet Jennifer Justamond Nicolas Kalita Boris La Forge Kevin Lamiaux Sandrine Lapostolle Olivier Laquet Alain Le Meur Guillaume Lefaucheux Aurele Lhuillier Philippe Limouzin Nathalie Longo Florent Lubin Isabelle Machado Jessica Mangin Gerard Marin Alexandre Martin Damien Martin Melanie Martinelli Karl Masson PRéPARATRICE DE COMMANDE Le Plessis-Pâté PRéPARATRICE DE COMMANDE Le Plessis-Pâté ANIMATRICE Livron ANIMATRICE Le Plessis-Pâté PRéPARATEUR DE COMMANDE La Voulte ANIMATRICE La Voulte AGENT DE TRANSIT ASSISTANTE COMMERCIALE TECHNICIENNE QHSE DIRECTRICE DIVISION CONSEIL RESPONSABLE DE DEPOT Transit Commerce Process & Méthodes Conseil Lawrenceville DIRECTEUR DIVISION INFORMATIQUE Informatique DIRECTEUR DIVISION COMMERCIALE Commerce PRéPARATEUR DE COMMANDE CHEF DE PROJET Lawrenceville Informatique PRéPARATEUR DE COMMANDE Le Pouzin PRéPARATEUR DE COMMANDE Valence PRéPARATEUR DE COMMANDE La Voulte PRéPARATEUR DE COMMANDE La Voulte PRéPARATEUR DE COMMANDE La Voulte PRéPARATRICE DE COMMANDE Valence TECHNICIEN RÉSEAUX ASSISTANTE EXPLOITATION APPRENTIE TRANSIT Informatique Le Pouzin Transit PRéPARATEUR DE COMMANDE La Voulte PRéPARATEUR DE COMMANDE Malissard PRéPARATEUR DE COMMANDE La Voulte CHEF DE PROJET PRéPARATEUR DE COMMANDE CONTRÔLEUSE DE GESTION Process & Méthodes Valence DAF PRéPARATEUR DE COMMANDE Livron PRéPARATEUR DE COMMANDE Le Plessis-Pâté DIRECTRICE DIVISION RH - 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Photos Marco Rébuttini - Rédaction Les Anamorphoses Skipper Groupe Z.I. 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