Téléchargez le Skipper mag

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Odyssée
Itinéraire d’une
croisière épique !
SKIPPER IN the USA
Quand Skipper se lance
à la conquête de l’Ouest.
romans photos
Les skippers se
mettent en bulle !
Le Skipper du futur...
Be skipper
01
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la
Réalité
augmentée
INCROYABLE !
Skipper
Groupe
02
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Un numéro aux super pouvoirs…
Munissez-vous de votre
smartphone ou tablette et vivez
une expérience unique !
A super powers edition…
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03
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SKIPPER mag
05
Fla he moi !
Un collectif parfois non dénué de
faiblesses mais qui a toujours trouvé
son irrésistible force dans une addition de talents individuels, focalisés
sur le même objectif : développer
un écosystème où chacun d’entre
nous puisse s’épanouir pleinement
pour offrir le meilleur à nos clients.
Un collectif où le « nous » remplace
toujours le « je », où tout le monde
s’efface naturellement devant l’intérêt général, où nos équipes travaillent toujours « ensemble » et
jamais « à côté », où le droit de se
tromper survit face à notre extrême
exigence et où toutes les victoires,
même les plus anodines, sont fêtées sans relâche.
Un collectif qui s’est construit au fil
du temps, dans la durée, et qui vient
chaque année s’enrichir de nouveaux talents, à chaque fois comme
une nouvelle renaissance.
Depuis le lancement de son plan
Odyssée ce collectif est parti à la
conquête de nouveaux territoires,
d’une croissance toujours aussi
forte et du coup s’est lui-même
trouvé face à de nouvelles histoires,
de nouvelles cultures, et parfois de
nouvelles distances.
L’enjeu de ces prochaines années
est donc très clair, réussir à écarter avec délice toutes les idées
reçues qui vous expliquent sournoisement que le collectif finit toujours par s’abîmer dans les falaises
de la croissance, pour continuer à
fournir à nos clients, d'ici et d'ailleurs, le meilleur de nous et de
notre organisation.
Notre tout nouveau Campus sera
le symbole, de béton et de verre,
de cet esprit Skipper en créant
la bulle favorable à son profond
ancrage et à l’émergence de son
imagination galopante.
Ce deuxième numéro du SKIPPER
Mag’ est donc pour nous l’occasion de vous faire découvrir les
femmes et les hommes qui constituent ce collectif que nous aimons
tant, mais aussi de vous faire vivre
cette expérience Skipper qui ne
demande qu’à être partagée par le
plus grand nombre.
Fla h me!
édito
J’ai tendance à répéter sans cesse
au gré de mes rencontres, que depuis son origine, la trajectoire de
Skipper s’est appuyée sur un collectif sans faille.
Aussi, en feuilletant ces pages qui
nous ressemblent, je me dis que
cette touche technologique de réalité augmentée correspond bien à
ce que je ressens chaque jour désormais. Une réalité bien là mais
tellement augmentée depuis cette
année 1994 où, avec Pascal Ogier,
Alain Puaux et 16 autres Skipper
qui se reconnaîtront, nous avons relancé, animés par la seule passion,
cette chouette aventure…
…Et pour très longtemps !
Be Skipper
Fabien Jouvet
SKIPPER mag
07
Gwenhaël
SOMMAIRE’
La chevalière très servante.
Elle pourfend les problèmes,
chevauche les imprévus et se fait
fi de tout obstacle pour venir à la
rescousse de toute la rédaction.
Fabien
Le super rédac' chef.
En bon capt'ain, il nous
a guidé tout au long de
ces pages.
Les Ours ;-)
Marco
Le faiseur d’images
authentiques.
Mi-homme, mi-sac à dos,
il écume les plate-formes
jours (et presque nuits)
pour vous tirer le portrait
sans filtre ni retouche.
02 Trombinoscope
05
vivez la réalité augmentée
06 ÉDITO
10 LE (PRESQUE) COURRIER DES LECTEURS
36 LE MICRO TROTTOIR
44 Souvenir Souvenir…
14
Odyssée
Itinéraire d’une
croisière épique !
61 Les petites annonces
Alex
Le directeur artistique,
dit le DA, le créa, dit l’artiste !
Son pouvoir à lui, c’est de modeler les pages
à son image. Entre ses mains, le Mag’ est donc
devenu super comics !
48
Bienvenue dans le Skipper du futur...
64 Nos super héros c’est vous !
Joris
Le graphiste.
Il maquette par-ci, met en
page par-là, sous l’oeil avisé
et le menton poilu de son
pair Alex (et non son père !).
66 Un Skipper à Paris
74 Portraits chinois
28
78 Les incroyables talents de Skipper
82 Client à visage très couvert
84 Vis ma vie de Skipper
Jeanne
José
Assistante de casting.
Elle passe en revue les photos
des skippers, pour n’en garder
que les meilleurs profils. Bonne
nouvelle : vous êtes tous pris !
Le directeur des
opérations secrètes.
Geek émérite, fabricant
de mirages, c’est notre
magicien de l’irréel.
Avec lui, le SKIPPER
Mag’ prend vie.
91
Mais qui a dit ça ?
92
Record d'éric Barone
94 Les inclassables
SKIPPER IN the USA
106
Quand Skipper se lance
à la conquête de l’Ouest.
Ils l’ont fait !
108La relève est assurée
110
l'astroscope
115 Trombinoscope
—
Maud
La responsable
d’édition.
Quelle meneuse de revue !
Elle chapeaute tous les quifait-quoi-quand-et-où de
l’équipe. Sa botte secrète :
la téléconf’ de rédac’ du
vendredi.
Roxane
L’intervieweuse
writeuse.
Un jour au micro, l’autre au
stylo. Elle dégaine les jeux
de mots au kilomètre.
Gare aux mots de tête...
de nœud ;-)
des pages à vivre
en Réalité augmentée
------------------24-25, 46-47, 72-73
SKIPPER mag
09
Courrier des lecteurs
LE (PRESQUE)
COURRIER
DES LECTEURS
Le matin,
t’es plutôt thé
ou tétine de
vache ?
Pétition très
sérieuse
Souvenirs du désert
Notre aventure avec Skipper,
c’est celle de partir jouer
au milieu de nulle part, de
prendre des chemins tortueux
avec un chauffeur qui semble
ne pas savoir où il va, puis
c’est arriver dans le désert
d’Agafay, devant une superbe
scène, complètement improbable à cet endroit, un peu
comme un mirage !
C’est ensuite monter notre
matériel au milieu d’une
tempête de sable, la bouche
Double jeu
Chez Skipper, je suis Patricia. Mais quand je rentre chez
moi, je monte dans ma chambre, j’enfile mon arc et mes
flèches et je deviens... Ashe, l’archère de givre ! Je parcours
la forêt torturée avec mes flèches de cristal et mon
fidèle faucon. J’affronte d’autres évocateurs, en combat
singulier ou par équipe, pour prouver ma valeur et devenir
une championne de légende. Guerrière hors pair la nuit,
préparatrice de commandes le jour… Je mène une double
vie complètement givrée !
Il est loin le temps où Fabien
passait devant mon bar, le pas
pressé, cartable sur le dos,
en direction de l’école. Aujourd’hui, il prend son temps,
et ne fait plus seulement que
passer... il rentre ! Entre 6h30
et 7h, c’est son rituel, et pas
des plus classiques ! Bol de
Tonimalt quotidien (la boite
est achetée rien que pour
lui) et petit déjeuner entre
copains. Quand je dis petit déjeuner, je devrais plutôt dire
petites ripailles ! Les cassecroûtes que je leur prépare
sont composés, selon les humeurs, de rognons, de tripes,
de cervelles d’agneaux, ou,
dernière bizarrerie en date,
de tétines de vaches ! De quoi
aborder une bonne journée de
travail comme il se doit !
sèche, en se demandant s’il
sera possible de jouer...
Puis enfin, c’est vivre quelques
heures avec vous tous un événement mémorable, notre
concert, avec vue sur les
dunes illuminées…
Nous garderons cet instant
comme l’un des plus beaux
moments de notre aventure
de musiciens…
Monkypolis
Je travaille sur le site du Plessis Belleville depuis 5 ans. Et
depuis 5 ans, je dois supporter
les muscles saillants et la voix
caverneuse de mon collègue
Nicolas Kalita. Je n’en peux
plus ! À quand des silhouettes
féminines et sautillantes dans
les allées ? À quand des
voix angéliques à crier mon
nom à travers l'entrepôt ? Je
lance donc un appel à Skipper : on veut des Skipperettes au Plessis Belleville !
Merci pour moi !
Pompon
Patron du bar de l’Industrie
à Livron
Guillaume Le Faucheux
Un regard
Marin sur
Paris
À tous les skippers qui ne
connaissent pas Paris, qui
n’y ont jamais mis les pieds,
où n’en connaissent que les
cartes postales, je voudrais
partager avec vous ma passion pour Paris, ses monuments et ses lumières. Quand
je ne suis pas chez Skipper, je
marche dans Paris, appareil
photo à la main, à l'affût d’un
détail, d’un halo, d’un instant, que je capture dans de
modestes clichés en noir et
blanc. Paris est mon modèle
préféré, car Paris est insaisissable, toujours en mouvement, toujours nouvelle. J’espère que vous aurez l’occasion
de voir un jour Paris sous cet
angle-là. En attendant... Voici
un petit aperçu de la tour Eiffel, à travers ma focale.
Gérard Marin
Patricia Deshayes
SKIPPER mag
11
Courrier des lecteurs
Magic master class
à la Skipper Sup’
Le temps
des cerises
Le temps d’avant, d’après,
je voudrais simplement, le
temps d’une chanson, dédier
ce poème (Serge Reggiani) à
notre ami Jean-Pierre, qui a
maintenant tout son temps…
Laurence Novaro
Marco Copperfield, fils du célèbre David, et moi-même, Coline Majax, nièce du non moins
célèbre Gérard, tous deux
héritiers des plus grands illusionnistes de ce siècle, vous
donnons rendez-vous pour un
Magic master class exceptionnel à la Skipper Sup’. Venez
apprendre en quelques heures
les plus grands tours de magie
du monde.
Notre spécialité : la lévitation
sur bons porteurs, grosses
coupures et documents testamentaires. Inscrivez-vous
dès aujourd’hui. Matériel non
fourni.
Coline Majax
Big Up
à Skipper
Big up oui, car Skipper a
changé ma vie et m’a permis
d’atteindre mon plus grand
rêve ! Grâce à la confiance que
l’entreprise m’a témoignée
en m’offrant un CDI, j’ai pu
accomplir le rêve de ma vie :
acheter ma propre maison.
Sachant par où je suis passé
pour en arriver là, c’est une
grande fierté personnelle.
À travers ce billet d’humeur,
je voulais juste dire merci
à Skipper d’avoir contribué à
faire de moi un homme heureux. Tout simplement.
Stéphane Cardillo
Be SKIPPER
Dossier Odyssée
Après le plan Tremplin 2010-2013,
Skipper remet les voiles sur de
nouveaux caps stratégiques.
Odyssée 2015-2017
Itinéraire
d’une
croisière
épique !
Une épopée débutée il y a tout juste un an, avec
à son bord un équipage de skippers aguerris,
une soif de croissance, et une nouvelle
mission inspirée par un capitaine visionnaire :
l’exploration de nouveaux territoires
d’innovation.
Ouvrez vos écoutilles, Odyssée dévoile
ses plans de navigation…
—
Avec à la barre
Fabien Jouvet
Capitaine de Skipper Odyssée
Séverine Hedjam
Maître d’équipage et d’apprentissage des skippers
Pascal Picq
Responsable de la vigie et de l’abordage en territoires inconnus
Jean Mochon
Conseiller du capitaine, navigateur émérite en eaux troubles
SKIPPER mag
15
Fabien Jouvet
Cap sur 2017 !
Dans le Skipper Mag#1, nous t’avons
quitté en plein programme Tremplin.
Avant de nous embarquer dans cette
nouvelle aventure Odyssée, peux-­tu
déjà nous dire comment s’est soldée
celle de Tremplin ?
Pourquoi vous focaliser précisément sur ces
3 thématiques : RH, croissance et innovation ?
La question peut paraître bête, mais pourquoi
relancer un plan ? Après 20 ans de développement,
Skipper a-t-il encore besoin de ça pour avancer ?
- Fabien - Tremplin a été une réussite totale - Fabien - Pour moi, ce principe de plan à 3 ans est très imporsur tous les points ! Nous avons atteint tous tant. Je suis intimement convaincu que si nous voulons arrinos objectifs : doubler le chiffre d’affaire en ver à progresser, il faut avoir une feuille de route lisible, claire,
3 ans tout en réussissant à garder intact cet partagée, à long, mais aussi à plus court terme. Ce plan dérouesprit Skipper qui fait notre force. L’entreprise lé sur 3 ans permet de décupler les forces, de visualiser où on
a muté en profondeur, mais les équipes sont va, de rester concentrés sur nos objectifs. La seule année où
restées soudées et mobilisées. Nous avons nous avons tardé à enchaîner le plan suivant, nous avons subi
vécu 3 superbes années, soldées par un mo- un ralentissement de notre croissance. Ça m’a convaincu que
ment magique au Maroc en juin 2014, où nous le fait de partager nos objectifs avec tous les salariés dans un
sommes tous allés fêter cette grande victoire.
plan clair, peut faire des miracles ! Car même s’ils n’en maîPourtant, doubler notre chiffre d’affaire, même trisent pas tous les leviers, ils comprennent à quoi ils servent
si ça paraît simple sur le papier, ne s’est pas dans la mécanique, ils perçoivent le résultat de leurs actions et
fait sans friction, ni sueur. Ça n’a pas été de tout de leur contribution pour atteindre les objectifs visés.
repos au quotidien. Je pense
qu’avec Tremplin, nous avons
passé un cap, humainement. Et
L’entreprise a muté en profondeur,
le Maroc a été l’apothéose de ce
mais les équipes sont restées soudées
plan, je garde de ces 2 jours un
souvenir inoubliable. On a vécu
et mobilisées. Nous avons vécu
une osmose extraordinaire.
3 superbes années...
Le Skipper Act à Marrakech
a permis de clôturer Tremplin
et d’enclencher les perspectives suivantes, avec la présentation de notre Concrètement, un plan
ensemble et le faire partanouveau plan 2015-2017, baptisé Odyssée.
ger à tous les salariés sans
stratégique Skipper, ça
se construit comment ?
Dans la symbolique, Tremplin visait à
aller plus haut, Odyssée c'est quoi ?
Une invitation au voyage ?
- Fabien - On n’en est pas très loin ! Le nom
s’est trouvé autour d’un café au port de Bendor, en préparation d’un Skipper Camp. Avec
ce nouveau plan, on voulait sortir de nos bases
historiques Drôme-ardéchoises, partir à la
conquête de nouveaux clients en dehors de nos
terres, commencer à exporter notre savoirfaire sur d’autres territoires. Le nom Odyssée
était une bonne synthèse de ce plan, d’autant
qu’il englobait une notion qui m’est toujours
aussi chère : l’aventure humaine.
- Fabien - Premièrement, il
faut une vision stratégique
pour le nourrir. Et ça, c’est
mon job. Habituellement,
je travaille seul sur cette
stratégie et me fais accompagner par des consultants
extérieurs pour la traduire
en plan d’actions. Sur Odyssée, j’ai senti que mon équipe
avait suffisamment gagné
en expertise et en maturité
avec Tremplin pour que nous
puissions construire ce plan
attendre. Ensuite, le plan se
déroule en plusieurs phases.
La première année c’est la
partie croissance et économie qui prend le pas, car il
y a des marchés à lancer,
des objectifs ambitieux à atteindre rapidement. La vraie
accélération sur la partie RH
arrive la seconde année. Avec
ce nouveau plan Odyssée,
nous avons également lancé,
ou plutôt relancé une 3e thématique, celle de l’innovation,
qui est en pleine phase de
défrichage.
- Fabien - L’une de mes préoccupations majeures est
que mes équipes aient la
banane en se levant le matin
pour venir au boulot. Les RH
ont toujours constitué un
pilier majeur des plans Skipper. Même si ça n’arrivera
jamais (rire), je préférerais
rater 1 million ou 2 dans les
objectifs de croissance plutôt
que de perdre mes équipes
en chemin. En la matière ce
n’est jamais gagné, la motivation peut s’essouffler, nous
devons donc veiller à ne pas
laisser la place à l’épuisement. Les skippers doivent se
sentir acteurs de leur vie, ça
passe par la reconnaissance,
l’empathie, et l’amour des
gens. Il faut être à leur écoute,
les solliciter, mais pas trop,
et en période de pleine croissance comme cette année, ce
n’est pas toujours facile. Un
des enjeux que nous avons
est de réussir à intégrer les
équipes des nouveaux sites
éloignés (Paris et USA), avec,
pour la seconde, une problématique culturelle forte. Le
bien-être des skippers est
donc ma priorité, j’aimerais
que fin 2017, au moins 82 %
d’entre eux me disent qu’il
fait bon vivre chez Skipper.
La partie croissance est également importante, tout simplement parce que c’est la raison de vivre d’une entreprise.
Les chiffres de croissance
sont des signaux positifs que
Les skippers
doivent se sentir
acteurs de leur vie,
ça passe par...
Tous ces objectifs atteints
nous promettent encore
une belle récompense ?
- Fabien - Il faut déjà qu’il
y ait victoire, mais je n’en
doute pas un instant. En
tout cas se sera un moment
à fêter, et ça, on sait faire !
Avec notre dernier Skipper
Act au Maroc, la barre est un
peu haute, mais qu’à cela ne
tienne ! Ce sera encore une
belle surprise pour tout le
monde, c’est certain.
l’on peut envoyer à nos partenaires, nos banquiers, nos
clients. C’est notre moteur.
Habituellement, nos plans
se focalisent sur un chiffre
d’affaires à développer, mais
à force de vouloir doubler nos
chiffres, ça devient compliqué, surtout sur des plans de
3 ans et avec une croissance
exclusivement organique. On
fait alors des projections, on
se demande « que sommes
nous capables de faire cette
fois-ci ? ». On cherche un
compromis entre un objectif
pêchu et un objectif réaliste
en termes de croissance organique. Pour ce plan, nous
avons donné une dimension
stratégique à nos objectifs, à
savoir, atteindre les 30 millions de chiffre d’affaires en
3 ans en allant chercher 15%
de ce chiffre en dehors de
nos bases historiques de la
Drôme et de l’Ardèche. Non
pas que notre volonté ait été
de baisser la garde sur nos
propres terres, car nous voulons aussi y renforcer notre
leadership, mais surtout
parce qu’il était temps d’aller
chercher des leviers de croissance en dehors ! On ne pourra pas continuer à développer
le marché ici indéfiniment, il
finira par s’étriquer en perspectives de croissance.
Le marché de l’externalisation
entamé avec notre site US, va
nous permettre de donner de
nouvelles perspectives à nos
équipes et à nos clients. Le
fait de s’implanter aux USA
donne des signaux forts à nos
clients américains et renforce
notre image auprès de nos
clients français. Nous nous
exportons en dehors de nos
bases historiques, montrant
ainsi notre capacité à aller explorer de nouveaux marchés.
La partie innovation est par
ailleurs revenue à l’ordre du
jour parce qu’on sortait d’un
cycle. Les 10 premières années de notre existence nous
avons beaucoup innové, les 10
années suivantes, notre capacité à innover a été freinée
par notre forte croissance. Il
est temps de relancer cette
démarche innovation, mais
en l’inscrivant dans le temps.
Il ne faudrait pas qu’un nouveau Skipper aussi innovant
que nous il y a 20 ans, arrive
sur le marché et révolutionne
notre métier. S’il y a une révolution à faire, elle viendra de
chez nous ! Nous allons donc
tout mettre en œuvre pour
trouver 50 idées innovantes
et 1 innovation majeure d’ici
à fin 2017 pour modeler le
Skipper de demain.
... la reconnaissance,
l’empathie, et l’amour
des gens.
SKIPPER mag
17
Séverine Hedjam
Pas un homme à la mer !
En tant
que DRH de
Skipper Groupe,
peux-tu nous expliquer
plus précisément cet
objectif des 82% évoqué
plus haut par Fabien,
concernant le bien-être
des salariés ?
Répondre
soit “OUI” soit
“NON” à une question
si ouverte,
vous pensez que c’est
un indicateur assez
fiable pour mesurer
le « bon vivre » chez
Skipper ?
- Séverine - C’est un indicateur pour nous permettre de
mesurer le taux de satisfaction de nos salariés à travailler chez nous. Pourquoi 82% ?
Parce que le référenciel de
l’institut Great Place to Work
qui récompense les entreprises où il fait bon travailler
est de 81%. Comme Skipper
aime relever des défis, nous
nous sommes fixés la barre
des 82%. Au dernier Skipper
Act nous avons commencé à
prendre la température avec
un premier sondage auprès
des 100 salariés participants,
et avons obtenu 91% de « oui »
à la question « Fait-il bon vivre
chez Skipper ? ». Est-ce qu’il
faut se dire pour autant que le
pari est gagné ? Il faut surtout
ne pas relâcher nos efforts
pour que le taux soit aussi
bon, voire supérieur, à l’issu
de ce plan Odyssée !
- Séverine - Non bien évidemment, c’est un indicateur
à prendre en compte parmi
d’autres ! Mais c’est quand
même un symbole fort ! Le
turn over est un second indicateur qui vient confirmer
cet attachement des salariés
à leur entreprise. Il est très
faible, voire proche de zéro !
Depuis 2 ans que je suis à ce
poste, une seule personne
nous a quittés après 8 ans
d’ancienneté. Autre indicateur très parlant : le taux de
participation à nos événements ! Il est toujours très
fort ! Et dès qu’il faiblit, nous
tentons de comprendre la
démobilisation, d’insuffler de
nouvelles dynamiques pour
pouvoir relancer le collectif.
Il faut être à l’écoute de tous
ces indicateurs pour maintenir cette envie de ne pas quitter le bateau.
Outre ce chiffre symbolique, j’imagine que le plan
Odyssée s'attelle à d’autres objectifs RH ?
- Séverine - Il y en a 2 autres effectivement : booster la mobilité en interne et relancer les formations de la Skipper Sup’.
La mobilité tout d’abord, pour éviter l’essoufflement, casser la routine, proposer de nouvelles dynamiques à tous les
skippers. Nous avons la chance d’avoir de nombreux sites
concentrés géographiquement, faire bouger nos Skippers
sur nos différents sites permet de leur offrir de nouvelles
perspectives, même si elles ne sont pas forcément hiérarchiques. Mon objectif Odyssée sur ce point est de faire bouger 10% des salariés d’ici fin 2017... Il est déjà atteint, et pour
le moment, toutes les personnes qui ont bougé depuis 2015
sont super satisfaites.
En 20 ans, Skipper a toujours su se renouveler
et innover, en quoi le plan Odyssée va-t-il
révolutionner cette quête d’innovation ?
- Pascal - L’innovation fait
effectivement partie de notre
ADN chez Skipper. Depuis 20
ans nous avons été des pionniers dans pas mal d’avancées « métier », avec Baliseo,
notre process de préparation
au chariot... Notre démarche
consistait jusqu’à présent à
faire de l’amélioration continue, soit à la demande de
nos clients, soit de notre
propre fait, pour moderniser
nos process. Et puis, nous
avions marqué le pas depuis
quelques années, pour nous
concentrer sur notre croissance. Avec Odyssée, nous
voulons relancer la machine
Innovation mais en ouvrant
complètement notre champ
de vision, pour ne plus nous
limiter à notre prisme « métier ». Parce que dans un
contexte actuel d’innovations
folles, on se rend compte que
si on veut se démarquer, il
faut aller puiser l’inspiration
ailleurs, en explorant des
territoires plus vastes. Dans
le cadre d’Odyssée, on s’est
donc dit que les objectifs
pouvaient être très ambitieux,
puisque tout notre environnement allait nous inspirer.
D’où cette volonté de trouver
50 idées nouvelles et 1 innovation majeure.
Donc si je comprends bien, tu as déjà atteint 2
objectifs Odyssée sur 3 et ce, dès la première année
du plan ? Tu n’as pas peur de t’ennuyer en 2016 et
2017 ?
- Séverine - Oh non ! Le 3e objectif est un sacré challenge et
nous venons à peine de nous y plonger ! Quand je suis arrivée en 2014, le groupe était en pleine croissance. J’ai dû me
concentrer sur l’accompagnement des skippers de PlessisPâté et de Lawrenceville nouvellement intégrés au groupe.
Les problématiques de distances et de cultures ont été assez
chronophages à gérer, d’autant qu’Élodie, mon assistante,
partait en congés maternité quelques mois plus tard. J’ai
donc dû prioriser mes actions, au détriment de la Skipper
Sup’ que ma prédécesseuse avait mise en place. Mais maintenant qu’Élodie est revenue, nous allons pouvoir relancer ce
programme de formations dont le principe est de dispenser
des formations par des skippers pour des skippers. Nous
avons déjà ciblé les compétences et repéré les formateurs qui
pourraient dispenser les cours. L’objectif n’est pas de dire :
« on forme tout le monde », mais de former les personnes en
demande, sur la base du volontariat.
J’imagine que le projet Campus va offrir une nouvelle dimension à cette Skipper Sup’ ?
- Séverine - Il devrait contribuer fortement à dynamiser tout ça, c’est certain. Dans ce Campus il est prévu de créer une vraie
salle de formations, avec un équipement au top. Je pense que ça va permettre de crédibiliser d’avantage ce programme de formations, de lui offrir un vrai cadre, de lui donner plus de signification. Il faut dire que jusqu’à présent ces cours étaient dispensés
entre deux coins de tables, autour de 3 vieux ordinateurs. Avec Campus, la Skipper Sup’ va pouvoir être prise au sérieux, se
développer, et qui sait si dans quelques années on ne créera pas une vraie école !
Pascal Picq
Et comment comptez-vous procéder ?
- Pascal - En laissant faire l’intelligence collective, comme
d’habitude, car c’est ça notre marque de fabrique. L’idée est
de faire participer tout le monde encore une fois, car l’aspect
collaboratif est une volonté forte chez nous, surtout pour faire
remonter les idées. Pour le coup, on ne se fixe aucune limite,
tout ce qu’on pourra faire ressortir et qui aura du sens, on le
fera. Et pour nous accompagner et faire émerger nos idées,
nous avons fait appel à La Belle Idée, une agence spécialisée
sur ces problématiques d’Innovations, qui va nous apporter la
méthodologie pour faire le tri. L’objectif est également d’acquérir cette compétence en interne pour animer par la suite
notre propre laboratoire Innovation.
Elle va ressembler à quoi cette Innovation majeure
qui va démarquer le Skipper de demain ?
- Pascal - Elle doit faciliter la vie de nos clients, ajouter de
la valeur ajoutée à notre métier, à notre entreprise. Mais ce
n’est pas forcément une révolution technologique. À l’image
des codes barres détachables sur les packs d’eau, elle doit
avant tout créer du bénéfice client. C’est ce qui va nous servir
de vitrine, nous permettre de séduire de nouveaux clients. Les
50 idées innovantes quant à elles, peuvent faciliter la vie des
équipes, notre quotidien.
Mais tout ça reste encore très flou pour le moment, car le principe de cette phase de recherche c’est d’avoir les questions,
mais pas encore les réponses. D’ailleurs, on n’est même pas
certains que les idées
qui sortiront fonctionneront, mais l’essentiel est
de re-rentrer dans cette
démarche d’innovation,
de se positionner sur ces notions et de ne pas laisser la place
à un nouveau Skipper plus créatif que nous.
Nouveaux horizons à tribord !
Bon, si c’est encore flou, peux-tu au moins nous donner des exemples
d’innovations qui pourraient être transposées chez Skipper demain ?
- Pascal - Je fais énormément de veille sur des salons,
je visite des installations, les
innovations marquantes du
moment sont par exemple
des systèmes automatisés
permettant aux camions de
se charger seuls, des drones
inventoristes, des lunettes
3D pour se repérer dans les
entrepôts. Je suis assez fasciné également à l’idée de
doter les hommes d’exosquelettes pour les soulager sur
la manutention. Mais comme
je l’ai dit, les innovations ne
seront pas forcément technologiques, notre valeur ajoutée
se fait sur la main d’œuvre
et l’humain, on veut être
reconnu pour ça. L’élément
démarquant sera donc peut
être aussi simple que le code
barres détachable du pack
d’eau… simple, mais révolutionnaire pour les salariés et
les clients.
SKIPPER mag
19
Jean Mochon
Hissez haut les idées !
Comment l’agence La Belle Idée a-t-elle
abordé cette mission chez Skipper ?
- Jean - Nous avons commencé par reprendre l’historique du développement de Skipper. La manière dont
les projets innovants avaient été abordés toutes ces
années, les axes sur lesquels l’équipe avait déjà travaillé. Puis, nous avons fait notre propre veille, analysé
la mutation du monde de la logistique, de la distribution, du transport. Nous avons rempli notre besace
d’exemples qui ne viennent absolument pas du monde
de Skipper, suivant le principe de l’innovation ouverte
qui nous est chère. Ce n’est que maintenant que nous
rentrons véritablement dans le vif du sujet.
Le vif du sujet, on rentre dedans comment
justement ? Quelle est la méthodologie que
vous avez proposée à Fabien et son équipe
pour faire sortir ces 51 idées novatrices ?
- Jean - Le principe que nous appliquons est assez
simple : une première phase de travail avec le maximum de salariés, une seconde avec l’entrée de personnes extérieures et une phase d’expérimentation.
Bien sûr, ce principe est taillé sur-mesure en fonction
des entreprises que nous accompagnons.
Pour Skipper, nous avons bâti le temps n°1 autour
d’ateliers Innovation de 30 personnes, permettant à
tous les salariés de s’exprimer sans à priori, de faire
ressortir leurs idées, quelle que soit leur culture de
l’innovation. L’idée est de leur donner envie de sortir
de ce qu’ils font d’habitude, de leur dire : « on prend
en compte vos avis et vos idées » autant que celles
du patron ou des ingénieurs. 100 Skippers viennent
ainsi de participer à ces ateliers et sont venus alimenter le sujet.
Le temps n°2 permettra de réaliser une première sélection d’idées en fonction de leur degré d’innovation
et des critères préalablement définis par Fabien et les
patrons de division. Nous créerons ensuite un nouveau
groupe de travail composé cette fois-ci d’une dizaine
de salariés et de 2 ou 3 personnes extérieures qui
viendront rejoindre le groupe. Pendant deux jours, les
idées retenues seront creusées et tirées vers le haut
par ces intervenants extérieurs restés anonymes dans
un premier temps. Ils pourront être banquiers, chercheurs fous, ou patrons d’entreprises de BTP et amèneront leurs cultures au cœur de l’Innovation Skipper.
Enfin, 3e temps de ce processus : on regarde ce qui
sort de tout ça. Dans une démarche projet on mobiliserait telle équipe pour tel projet, on dédierait tel budget, tel délai et on suivrait l’avancement du tout. Ici,
dans cette démarche Innovation, on ne sait pas où on
va, on fait de l’expérimentation. Certaines idées rentreront en incrémental, d’autres en co-conception avec
d’autres entreprises, d’autres seront regroupées… et
c’est le marché qui définira au final la grande innovation ! Aujourd’hui, nous sommes incapables de dire
ce qui va sortir de notre intervention, mais il en sort
toujours quelque chose.
Le temps n°1 vient de s’achever avec les ateliers Innovation, à ce
stade du processus, vous sentez comment les équipes Skipper ?
- Jean - Je sens qu’on peut beaucoup s’appuyer sur tous les salariés sans exception, contrairement à d’autres entreprises, parce qu’on a l’enthousiasme de Fabien à faire participer tout le monde et parce qu’eux-mêmes ont envie. Ils sentent
qu’ils peuvent avoir envie, qu’ils seront écoutés. Ça promet de belles idées…
Au sortir
des ateliers
Innovation,
nous avons
sondé quelques
skippers pour
savoir s'ils la
tenaient, cette
grande idée
innovante
qui allait
révolutionner
le Skipper de
demain.
Réponses pêle-mêle de
skippers très imaginatifs…
Cédric Gerbet
« Et si c’était de faire
de la logistique sans
logistique justement. »
Séverine
Chassagnon
« Des musiques
d’ambiance pour les
clients visiteurs. »
Charlène Chaix
« Des chèvres naines
pour tondre la
pelouse autour des
entrepôts. »
SKIPPER mag
21
Jérôme Sebbane
« Greffer un bras
à Rémi Debaud. »
Alain Puaux
« Être toujours tous
ensemble (dans le
sens connectés)
même à 10 000km.»
Maryne Dutreux
« Offrir des voyages
porte-conteneurs aux
clients pour qu’ils
puissent suivre leurs
colis. »
Marc Forster
« La grande idée, c'est
pour moi l'idée qui
apporte une réelle et
forte valeur ajoutée
à nos clients tout en
étant relativement
simple et rapide à
mettre en œuvre. »
Stéphane Jacquier
« Pour moi, la grande
idée c'est Skipper
Campus bien sûr,
l'outil du futur de
Skipper.
Il symbolise
notre élan, notre
dynamisme, notre
croissance et notre
volonté de nous
inscrire dans un projet
à long terme basé sur
l'humain, l'innovation
et le collectif. »
Ludovic Fraysse
« Au lieu d’utiliser des camions ou
camionnettes pour les livraisons sur
le dernier kilomètre, on utiliserait
des drones qui seraient connectés
à nos téléphones portables. Ainsi
géolocalisé, le drone assurerait la
livraison à l’endroit précis où nous
sommes (au travail, en shopping,
au restaurant,…). De fait, plus de
nuisances sonores et polluantes
dans les centres villes, et plus de
RDV raté !”
Barbara Eppenberger
Pascal Ogier
« Pour moi la Grande
Idée c’est la DS
Break ! »
« Pour moi, la grande idée, c’est
de continuer à accompagner nos
clients de plus en plus loin dans leur
processus supply chain : faire pour
eux leur ADV, leur gestion de stock
(définition des quantités à stocker),
ré-appro, etc, pour qu’ils puissent
nous donner leur supply chain en
totalité, de l’approvisionnement à
l’expédition client. »
Chérifa Babahani
« Transformer les
entrepôts en galeries
d’art. »
SKIPPER mag
23
Pendant ce temps-là... à Livron.
Pendant ce temps-là... à la Voulte-sur-Rhône.
Pas de panique les filles !
J’ai la solution ! Je connais
des experts qui aident les
jeunes femmes en détresse.
J’ai une super faim,
il faut faire quelque
chose !
Jin joue la « Cariste
Hero »
Aucun carton ne
résiste à Wolverine
Idem… et rien à se
mettre sous la dent !
Je me sens un
peu bête là,
j’ai rien à
dire.
Mais c’est quoi ce
camouflage ridicule ?
Pas très emballant !
Une journée banale
chez les XSkippermen
de La Voulte
Cyclop,
c’est le préparateur
high-tech 2.0
Eliminer, ranger,
nettoyer, respecter,
standardiser, c’est la
devise de Tornade
Salut Hannibal ! Ton équipe
doit nous venir en aide.
Nous avons les crocs !
Youpi !!!
Ils arrivent enfin.
Tu regardes
trop la télé
ma pauvre
fille.
L’agence tous risques, c’est vraiment, la dernière
chance, au dernier moment ! (De toute façon, on
n’aurait pas trouvé mieux pour manger aujourd’hui).
Professeur Reina, en bon chef, supervise
toutes les opérations
Tout à coup, Magnéto arrive…
L’agence tous risques, c’est
vraiment, la dernière chance
du moment ! (la la la).
Ah ah ah ! Avec ça,
adieu vos délais !
J’adore qu’un plan
se déroule sans
les crocs !
Et par ordre d'apparition : Laurence Novaro • Djémila Rousset • Gabrielle Jacob • Arnaud Guillon • Kévin Lamiaux
• Céline Desaintjean • Alexandre Rey • Nicolas Billon
La team XSkippermen
parviendra-t-elle à
vaincre cette épreuve ?
A suivre…
Et par ordre d'apparition : Hélène Rogez • Nicolas Rouveyrol • Stéphane Cardillo • Agnès Dreveton • Anthony
Reina • Jean-Louis Genthial • Christophe Cabry • Rémy Genthial • Joël Rieu • Flavien Bard • Anthony De Almeida •
Stéphane Blouin • Christophe Point
SKIPPER mag
25
Be SKIPPER
SKIPPER IN THE USA
Quand
Skipper
se lance
à la conquête
de l’Ouest.
Le 1er janvier 2015, Skipper envoyait son
premier colis depuis sa plate-forme de
Lawrenceville, à 9000 kilomètres d’ici.
Une date historique, marquant le
prologue d’une nouvelle histoire
pour Skipper, celle de la conquête
du territoire américain pour le
compte de ses clients français.
Quelle est l’origine de cette
aventure et la véritable stratégie
portée par Skipper in the USA ?
Fabien Jouvet nous répond.
Occasion également de faire les présentations
avec ce site Outre-Atlantique et les nouvelles
recrues en voie de skipperisation.
SKIPPER mag
29
SKIPPER IN THE USA
Fabien, comment démarre cette histoire
entre Skipper et les états-Unis ?
Quelles sont tes premières impressions
en arrivant là-bas ?
Cela faisait un moment que nous avions préparé Skipper
à s’implanter en dehors de nos bases historiques. Notre
volonté était d’aller chercher ailleurs des relais de
croissance, tout en affirmant notre leadership en Drôme
et en Ardèche. Notre plan Odyssée a affiché clairement
cette stratégie, avec l’objectif d’atteindre les 30 millions
d’euros de CA, dont 15% réalisés en dehors de nos
implantations Drome-ardéchoises.
Le 16 mai 2014, nous voilà donc à Cumming avec Pascal.
Petite bourgade au Nord-Est d’Atlanta où est installé le stock
de Revol. Et là, j’ai le coup de cœur immédiat. Coup de
cœur pour le pays, mais aussi pour le business, parce
que c’est pile notre cœur de métier : des petits colis
bien propres, de la préparation au détail, de l’organisation de transports, tout ce que l’on sait faire. Et puis
gros coup de cœur pour le positionnement, à savoir :
faire de la french(y) logistique pour des frenchy
companies… qui à quelques mots près sera la
signature de notre positionnement sur le marché
américan.
Fin 2014, Olivier Passot, ami et patron de Revol Porcelaine implanté avec succès aux US depuis une
dizaine d'années, m’a appelé pour me dire que
sa logistique américaine, sous-traitée à un opérateur local, connaissait des signes de faiblesse
et qu’il y avait peut-être une histoire à écrire
pour Skipper.
J’en parle à mon équipe, je doute, finalement
Alain me dit : « ça se tente ». Et comme
j’écoute tout ce que me dit Alain, je prends
mon billet pour Atlanta, sans oublier
d’embarquer Pascal avec moi. Je lui
dis juste : « Pascal, viens avec moi, y’a
peut-être un truc à faire là-bas.
Et ça part de là ?
Et oui ! Nous multiplions avec Pascal les allers-retours Outre-Atlantique.
Nous crééons notre filiale Skipper Logistics, louons un nouvel entrepôt
de 7 000 m² tout beau du côté de Lawrenceville et lançons tous nos investissements (racks, convoyeurs, portables radio…). Moins de 4 mois
plus tard, la machine est lancée ! Nos équipes Support ardéchoises
partent pour mettre en place la structure, former nos nouvelles
équipes américaines et préparer le démarrage qui aura lieu le
er
1 janvier 2015 après beaucoup d’engagement et de bonne humeur.
... il y a une vraie demande
d’entreprises françaises qui
veulent être accompagnées
sur ce territoire.
Aujourd’hui, vous en êtes où de votre
conquête américaine ?
Voilà un an que nous sommes installés, que nous avons
passé du temps à apprendre, à intégrer les hommes de
là-bas, à cerner une nouvelle culture. Finalement, même
si nous n’étions pas inquiets, on prend conscience que
ce que l’on fait ici, on arrive très bien à le faire là-bas
aussi. Plusieurs clients français nous ont rejoints rapidement, séduits par le modèle. Nous clôturons donc une
honnête première année avec un chiffre d’affaires de
1,5 millions de dollars et un service déjà en phase avec
nos standards français.
Nous ce que nous proposons, c’est une solution de
logistique indépendante, expressément dédiée aux
entreprises françaises. Le client déporte ses stocks chez
nous, et nous lui offrons un service logistique autonome,
transparent en termes de coûts, qui lui permet d’aborder
le marché américain dans de bonnes conditions.
Quelle a été, et quelle est la stratégie du
groupe pour se démarquer sur ce vaste
territoire ?
Cette offre de french(y) logistique pour
des frenchy companies, n’est-elle pas une
niche un peu trop étroite ?
“Croire en notre modèle, tout d’abord. Parce qu’il répond
à une vraie problématique rencontrée par les entreprises
françaises qui veulent exporter leurs produits aux ÉtatsUnis. Quand une entreprise française commercialise
ses produits aux USA, il faut généralement qu’elle
trouve un distributeur sur le marché américain, qu’elle
lui confie ses produits, ses stocks, et
éventuellement, le
développement de sa
force commerciale.
Elle peut sembler étroite, c’est vrai. Mais il y a une vraie
demande d’entreprises françaises qui veulent être
accompagnées sur ce territoire. Même bilingue, travailler avec des américains n’est pas toujours simple, à cause
de la barrière culturelle notamment. Je découvre au fil
de mes allers-retours là-bas, que mes clients sont très
sensibles à se faire accompagner par des français, car
on parle des mêmes standards et le même langage. En
fait, ce genre d’offre existe plus ou moins aux États-Unis,
mais il s’agit d’opérateurs bien souvent atomisés sur le
territoire, qui n’ont pas de vrais moyens logistiques. Nous,
nous avons l’expertise, le savoir-faire de nos sites
français que nous avons juste eu à transposer là-bas.
Notre plate-forme américaine est en plus dirigée par un
gars de chez nous, Gaël, un skipper qui retranscrit là-bas
ce que nous faisons de mieux ici. Il est accompagné par
des équipes américaines rompues à la mécanique de la
logistique US depuis plus de 10 ans.
Pour moi ce modèle comporte trois
écueils majeurs. Premièrement, la marge
prise par le distributeur ne permet pas au
client de discerner les différents coûts dédiés à
la logistique, au commercial, au customer service. La
facturation est donc très opaque, la structure du coût difficilement maîtrisée. Deuxièmement, le client français et
ses produits sont parachutés dans un océan de marques,
le distributeur américain ayant plusieurs marques à diffuser. Il ne privilégiera pas forcément la marque française.
Enfin, l’entreprise française ne connaît pas son client final,
n’apprend pas à le connaître et perd en proximité dans
son relationnel client.
Même si notre modèle pourra à terme se déployer à
toutes les entreprises, notre stratégie initiale est désormais claire, nous souhaitons devenir rapidement « LA »
solution logistique & transport pour les entreprises
francophones souhaitant développer leur business sur
le marché nord-américain.
SKIPPER mag
31
Skipper
in
the
USA,
c’est
un
Michaël Agbenyezi
Single without children
site
américain
aussi
et
américaine
(forcément),
surtout
elle
aussi,
expérimentée,
celle
l’accent
hamburgers
une
nos
et
XXXL
comme
skippers
le
équipe,
compétente,
volontaire
de
mais
français,
goût
en
des
plus.
Nickname
Mikky
Hobby/sport
Soccer
Personality
Friendly and easy going
Greatest pride
Living the realities
of my dreams
Best quality
Fast thinking and solves
problems
Dream
To be better in all I do
Favorite meal
Chinese
Languages
English, Twi
(language of Ghana )
Season
Summer
Favorite ice
cream
Vanilla
Favorite color
Brown
His word
Thanks
New Year’s
resolution
Learn to be patient,
work hard
Ski p p e r i n t h e U S A i s a n A me r i c a n s i t e (o f c o ur se), but it’s a lso a nd a bov e a ll a tea m – a lso Amer ican o f s ki l l e d , ex p e r i e n c e d a n d d e t e r mi n e d skipper s, just like o ur Frenc h skipper s but with a n a c cen t an d
a t a s t e f or h u ge burg er s thrown in fo r go o d m ea sure.
Gaël Feugère
Married :) no children yet
Rencont re avec ces n o u v e au x sk ip p e r s, e n t o u t e sim p l i c i t é .
A n e n c o u n t e r with these new skipper s m a de ea sy.
Hobby/sport
Tennis
Family pet
One cute bunny
Favorite meal
Japanese
Languages
English, French,
un poco Espanol
Season
Summer
Favorite ice cream
Chocolate
Favorite color
turquoise-blue
His word
My diet !
SKIPPER mag
33
«
SKIPPER IN THE USA
William Wilber
Bryan Bell
Girlfriend without children
Married, 2 daughters
Hobby/sport
College football
Favorite movie
Forest Gump
Personality
Friendly
Favorite meal
Mexican
Best quality
Helpful to others
Season
Summer
Music style
Jazz, country
New Year’s
resolution
Train for halfmarathon
Solomon Nwanjang
Single without children
Nickname
Ortex
Hobby/sport
Soccer
Personality
Humble
The think he is most proud of
Team work
Best quality
Excellent
Dream
To be businessman
Music style
Gospel songs
Nickname
T.J
Family pet
Wiley my dog
Season
Winter
Hobby/sport
Music
Dream
To have some land
Rocky Read
Personality
Calm
Music style
Indie rock / EDM
Favorite ice
cream
Favorite movie
Action films
The think he is
most proud of
His car
Favorite movie
Star Wars :
A New Hope
Favorite color
Green
Favorite meal
All healthy food
Best quality
Good at sleeping
Favorite meal
Spaghetti
New Year’s
resolution
No more fast food!
Favorite singer
Michaël Jackson
New Year’s resolution
Focus
James Freeman
Hippolyte T. Menedem
Single without children
Married, 3 children
Nickname
Kimbo
Music style
Reggaeton, hip
hopv
Hobby/sport
Football, MMA
(mixed martial
arts), Hunting
Favorite movie
Gangs of New
York
Favorite meal
Personality
Sunny, athletic,
hard working
Double bacon
cheese burger
Languages
English, Spanish
Favorite song
Me my Self & I G-Eazy
The think he is Playing college
most proud of football
Nickname
Hippo
Hobby/sport
Soccer
Personality
Frank and fellow feeling
Best quality
Hard Worker
Family pet
Dog (Fella)
Music style
French and African music
Languages
French, English, little German
Family pet
3 dogs
Favorite color
Blue
Season
Summer
Dream
Own my own gym
His word
Bruh
Favorite ice cream
Chocolate
SKIPPER mag
35
Micro Trottoir
C’est qui
ton super
héros ?
LE
MICRO
TROTTOIR
Coline
Tisserand
« Moi c’est fantômette,
elle me rappelle toute
mon enfance ! »
Propos recueillis
par Clark Kent
Nicolas
ROUVEYROL
« Shrek, je suis un
peu comme lui,
même coupe, même
gabarit. »
Chez Skipper, nos héros
du quotidien s’appellent
Lucile, Cédric, Gabrielle,
Christophe. Mais de qui
s’inspirent-t-ils pour
guider leurs choix et leurs
actions ? Qui sont leurs
mentors, leurs idoles,
leurs super héros bien
à eux ? Nous avons envoyé
sur place notre meilleur
reporter pour enquêter.
Karl
Masson
Élodie
Ardiale
« Le méchant dans
la série Héros, avec
son pouvoir de
télékinésie. »
« Superman, parce qu’il
est beau. Mais celui de
la série, pas celui du
film ! Ou alors Élastique
Girl, parce qu’elle
s’adapte à toutes les
situations, comme
moi ! »
SKIPPER mag
37
Micro Trottoir
Antoine
Vallençon
« Clint Eastwood.
Multigenre, indétrônable,
et il dure dans le temps ! »
C’est qui
ton super
héros ?
Hélène
Rogez
« Iron man, mais
surtout l’acteur
en fait. »
Frédérique
Baudin
« Magic Johnson,
le meneur des
Lakers de LA. »
Gwenhaël
Bodnar
« Mon mari. Après un semi
et un marathon, il prépare
cette année un Iron Man.
C’est 1 an d’entraînement,
entre 17 et 20 heures de
sport par semaine quel
que soit le temps, avec
une rigueur alimentaire
quotidienne. C’est mon
modèle de dépassement
de soi. »
Sophie
Badalamenti
« Nicolas Cage, tous ses
rôles lui vont à merveille.
C’est l’homme parfait ! »
Flora
Dufour
« Mon grand-père,
il me fait toujours
rêver. »
Nolwenn
Pierre
Élisabeth
Delay
« Philippe Croizon, ce
sportif sans bras, ni
jambe, qui a traversé
la manche à la nage. »
« Agatha Christie,
pour sa capacité à
imaginer des trucs
tordus. »
SKIPPER mag
39
Micro Trottoir
Céline
Dessaintjean
Élodie
Assaud
C’est qui
ton super
héros ?
« Jean-Marc Buisson… Hi hi !
Je dis surtout ça parce qu’il
est à côté de moi ! »
« Wonder Woman,
parce qu’elle n’a pas
besoin d’un homme,
elle fait tout toute
seule. »
Mélanie
Martinelli
« Personne en
particulier. On est tous
des super héros.
Il suffit d’être acteur
de sa vie, de se
donner les moyens
d’être des héros au
quotidien. »
Jean-Marc
Buisson
« Robin des Bois,
parce qu’il vole aux
riches pour donner
aux pauvres. ».
Marc
Montaner
« Batman, parce que
c’est le seul super
héros qui n’a pas de
pouvoir, il est humain,
comme nous, il fait
juste travailler son
cerveau et se bat avec
ses mains. »
Vanessa
De Almeida
Jean-Pierre
Reboul
« Sylvester Stallone,
parce qu’il ressemble
à mon père. Je me
suis promise de le
rencontrer un jour. »
« Pour moi c’est Fabien
Jouvet, d’avoir repris
la boîte de son père, si
jeune, et d’en avoir fait
ce qu’il en a fait. »
Séverine Chassagnon
« Mon père… ce héros ! »
Jérôme SEBBANE
« J’hésite entre moi et Super-souris. »
SKIPPER mag
41
Be SKIPPER
uche
« Mon emba
a 3 mois,
y
il
er
chez Skipp
ça a changé
ma vie. »
« Y’en a trop ! Mais
c’est surtout mon arrivée
dans l’entreprise
.
Une structure à ta
ille humaine, jeu
ne,
ambitieuse. C’ét
ait vraiment la
bonne surprise !
»
Qu’ils soient Skippers
depuis
3 mois ou 20 ans, ils on
t
tous des souvenirs he
ureux,
personnels ou partagé
s, qui
ont marqué leur carrièr
e
chez Skipper.
« Le
week-end dans le
Jura. On est arrivé au milieu
de nulle part, on a d’abord cru à
une blague. Au final c’était
génial. »
Morceaux choisis...
« Le décollage en avion
pour aller au Maroc ! J’avais
jamais pris l’avion, ça m’a marqué
vraiment. En tout cas ce genre de
voyage motive au quotidien, on a
envie de repartir. »
« Mon embauche ici à Livron,
il y a 6 ans. J’ai découvert une
seconde famille. C’est pas le plus beau
des sites, mais tout le monde vous le dira,
c’est le mieux. Mon poste, les gens du coin,
les clients, les collègues, c’est ludique de venir
bosser ici. Je suis super bien ! »
« Tous les jours je
suis surpris ici. Chaque
année je suis de plus en plus
surpris par l’imagination sans
limite de Fabien. Chaque année
j’ai un nouveau souvenir plus
fort que l’année précédente. »
« Une mission chez un client
pendant 2 nuits, ça s’est super bien
passé. On n’a pas l’habitude d’aller
chez le client et j’ai trouvé
ça super. »
SKIPPER mag
45
Pendant ce temps-là... Un peu de partout !
Pendant ce temps-là... à Lawrenceville.
I bet 1 burger no
one can stop me.
No one else?
No way!
I can throw the
ball really fast
Doesn’t matter!!
I’m Michael
Do you know
Michael Jordan?
Et par ordre d'apparition : Jennifer Justamond • Flora Dufour • Barbara Eppenberger • Alexandre Martin • Rex
Et par ordre d'apparition : Solomon Nwanjang • Bryan Bell • William Wilber • Hippolyte T. Menedem • James
Freelan • Michael Agbenyezi
SKIPPER mag
47
CAMPUS
Bienvenue dans le Skipper du futur.
Campus. What else ? Alors que certains n’y voient pour le moment qu’une grande nébuleuse aux
contours incertains, d’autres y projettent déjà tous leurs fantasmes : nouveaux bureaux ouverts
sur l’infini et l’au-delà, laboratoire de recherche satellite de la NASA, université Harvardéchoise,
complexe sportif, centre de balnéo… Depuis l’annonce de sa création au dernier Skipper Act, le sujet
passionne. Il s’appelle Campus, ok, sur ce point tout le monde s’accorde. Mais pourquoi ? Pour qui ?
Quelles vocations auront ces bureaux pas tout à fait comme les autres et à quoi ressembleront-ils ?
Skipper Mag vous fait le topo.
SKIPPER mag
49
Fabien, peux-tu nous expliquer l’origine de
ce projet ? Comment t’est venue cette idée ?
Le deuxième besoin, c’était celui de remettre
aux normes les lieux de vie (sanitaires,
cuisines) de notre plate-forme logistique de
La Voulte, comme nous avions pu le faire à
Valence Briffaut ou à Livron, il y a quelques
années. Faute de place, ces lieux de vie sont
restés dans leur jus, fait de bric et de broc,
il est temps de redonner un coup de neuf à
tout ça.
Alors Campus concrètement,
qu’est-ce qu’on y trouve et à qui
s’adresse-t-il ?
L’interview
Fabien Jouvet
C’est d’abord le résultat de deux
besoins fondamentaux qui se faisaient
de plus en plus pressants depuis 4 ou
5 ans. Premièrement, la nécessité de
redimensionner nos bureaux du site de
La Voulte, par rapport au développement
de nos fonctions transverses. À l’issue du
programme Tremplin, croissance aidante,
on s’est retrouvé avec des effectifs plus
nombreux, qu’on a commencé à
éclater sur les plate-formes par
manque de place. J’ai commencé
par envoyer Alain Puaux à
Livron, à contre cœur, puis les
équipes Process & Méthodes et
Skipper Technologies au Pouzin.
Aujourd’hui, on se rend compte
que cet éclatement ne contribue
pas à construire le collectif.
Parallèlement, à La Voulte, les
équipes ont continué à s’entasser
dans les bureaux ici et là… à faire
du camping. Ce qui, en termes
de fonctionnement, nuit à l’efficacité du
groupe et rend les conditions de travail
difficiles pour tout le monde.
C’était une évidence en fait, elle est arrivée en
janvier. J’ai trouvé l’idée qui pouvait synthétiser
notre volonté d’innovation, de « bien travailler
J’imagine que tu vas nous dire quelle était
ensemble », l’idée d’un lieu à offrir à tous les
cette idée, celle qui a tout déclenché ?
Skippers, qui réunirait les fonctions transverses,
et où l’innovation pourrait phosphorer. J’ai
imaginé un lieu qui nous ferait gagner en visibilité,
où chacun pourrait se nourrir de lumière, et
venir travailler avec nous au Skipper du futur. L’idée était de créer un lieu fondateur de notre croissance des 20
prochaines années. Un lieu atypique, axé sur l’innovation, la formation, les nouvelles technologies, qui valorise notre
image. Le centre névralgique du Skipper de demain. C’est ça qui m’a fait basculer et me lancer.
de Fabien
Pourquoi avoir mis autant
de temps à te lancer ?
Une fois que tu as identifié ces besoins, c’est simple,
il faut construire des bureaux. Sauf que l’idée de
seulement construire des bureaux, pour des bureaux,
ne me convenait pas. Je cherchais à y mettre du sens,
et pas seulement celui de se faire plaisir après 20 ans
d’activité avec des locaux flambants neufs.
Ça m’aurait trop projeté vers le passé. Du coup,
j’ai eu du mal à me décider, j’attendais de trouver
l’idée. Plusieurs projets sont venus me titiller les uns
après les autres, mais pour ce genre de décisions
complexes, stratégiques, j’ai toujours tendance à ne
pas me laisser submerger par la pression. Alors j’ai
attendu, et elle a fini par venir d’elle-même...
Il s’adresse à tous ceux qui voudront venir travailler à nos
côtés, qui voudront venir se former, innover, partager.
C’est un véritable enjeu que d’en faire un lieu de
partage et d’échanges, un point de ralliement pour
tous les salariés.
Concrètement, on y déménagera toutes les fonctions
transverses. Par contre, la quintessence du projet Campus
étant également de trouver de nouvelles dynamiques
de travail, il est prévu de revoir la disposition des
bureaux. Je veux que dans ce lieu on réapprenne à
construire collectif, qu’on repense complètement
nos méthodes de travail. En 2016, je trouvais qu’on ne
Avec un tel programme tourné vers
l’avenir, on imagine que le nom
Campus est venu de lui-même ?
Chez Skipper, on donne des noms à tout ce qu’on
fait. Je voulais donner une identité forte au lieu.
On a pensé au « Loft », au « Hub », mais Campus
résumait vraiment le mieux notre projet. Il symbolise
tout ce qui tourne autour de l’apprentissage, de la
recherche, du travail collaboratif, de l’émulation.
Un campus c’est aussi un lieu ouvert sur l’extérieur,
sur des espaces paysagers. Il était donc tout indiqué
pour ce lieu qu’on voulait créer.
pouvait décemment plus faire un bâtiment à 4 étages,
avec le standard en bas et le big boss au sommet, avec
un fonctionnement pyramidal. Campus va casser tous
ces codes hiérarchiques, décloisonner un maximum les
espaces, ouvrir le travail sur l’extérieur. Mais ça, c’est une
histoire qu’on vous expliquera un peu plus tard avec Luc,
notre architecte.
Quoi d’autre au programme de ce Campus ? Et bien
la Skipper Sup’, notre école de formation. Elle aura une
salle de formation dédiée et un mini dépôt qui pourra
simuler nos process pour nos équipes en formation
et les nouvelles recrues.
Il y aura aussi une belle dose de nouvelles technologies
avec des lieux collaboratifs hyper connectés, des espaces
de visioconférences pour échanger avec les autres sites,
des meetingbox pour les entretiens en petit comité, au
calme des espaces collaboratifs.
Il y aura beaucoup d’autres surprises qui vont, je pense,
améliorer les conditions de travail et contribuer à créer
du « bon travailler ensemble » chez Skipper.
Il sera où ce Campus Skipper ?
On voulait rester en Ardèche. Parce que Skipper est un
acteur du territoire et entend le rester, et parce que je suis
moi-même très attaché à notre identité ardéchoise. On
avait 2 options : La Voulte ou Le Pouzin. Notre raison a fini
par pencher pour Le Pouzin. La raison de la visibilité tout
d’abord, puisque notre bâtiment de 1000m2 sera situé en
sortie d’autoroute, de quoi donner à la marque une belle
vitrine. Et puis, la raison de l’équité, pour retrouver une
position centrale vis-à-vis de tous nos sites.
On y va
quand ?
Début 2017… mais faudrait
déjà que j’achète le terrain !
SKIPPER mag
51
C 'e s t
Sylvie Roussel
Élodie
Assaud
« C’est étonnant
et ça donne envie
de participer. »
« C’est 5 minutes de
trajet en moins pour
moi le matin ! Plus
sérieusement, c’est
également plein de
nouveaux projets et
de perspectives. »
Vanessa Grand
« C’est le regroupement de toutes nos fonctions
transverses. Le but est d’en faire un truc stylé
dans lequel on se sentira bien pour bosser. »
Elisabeth Delay
Christophe Michelon
« Ça fait penser aux Etats-Unis. Sinon je trouve que c’est une bonne
idée, ça va permettre d’avoir un vrai point de regroupement pour tous
les skippers. »
« C’est être moins à l’étroit je l’espère ! »
Stéphane
Cardillo
Marguerite Bruyère
« C’est encore un grand pas pour Skipper. »
« Si on peut y faire
une salle de sport ou un
terrain de foot en salle,
se serait pas mal. »
QUOI ?
SKIPPER mag
53
C 'e s t
Flora Dufour
« Je pense que ça va être génial, j’ai hâte d’y être,
Fabien fera tout pour qu’on s’y sente bien ! »
Karl Masson
« Pour nous ça va surtout occasionner des espaces libres
qui vont être mis à disposition de la logistique. »
Mélanie
Martinelli
« Il est à l’image de Fabien :
innovant. Il va booster notre
travail, donner un nouveau
souffle à notre équipe. »
Jennifer
Justamond
Olivier Baldini
« On va pouvoir
travailler dehors ! »
« C’est le paradis ! Parce que depuis 8 ans, on tasse, on tasse,
ça devient compliqué de travailler. Ça va nous permettre de
réinventer le “travailler ensemble. »
Jean Baptiste Duboué
« C’est une vitrine pour Skipper dans les années à venir. »
Sophie Badalamenti
Candice Seiler
« On va retourner à l’école, non ? »
« Un espace de travail plus adapté au nombre de
salariés. Ça va avoir un super impact en termes
d’image pour les clients aussi. »
QUOI ?
SKIPPER mag
55
Fla he moi Fla h me
Qui es-tu Luc ? Quand même pas Luc Skywalker ?
S
i, mais avec le vertige en plus [rires]. Du coup, je n’ai construit aucune tour à Manhattan !
Plus sérieusement, je suis Luc Boulant, architecte depuis quelques années maintenant…
Et un type plutôt normal en fait : marié, père de 2 filles, un homme entouré de 3 blondes !
Interview de Luc Boulant
Architecte du futur Campus
Ton parcours, quel est-il ?
D
es études d’archi rapides à Grenoble (sorti
diplômé en 1983), une expérience sportive
professionnelle en tant que moniteur de tennis
et deux ans de professorat en architecture à
Casablanca.
Ensuite, de 1986 à 1996, je navigue entre
Romans et le reste du monde comme fondateur
et dirigeant d’une société de conception et
réalisation d’espaces commerciaux « L’Interior
Designer », spécialisée dans la mode. Je réalise
par exemple les boutiques Mosquitos et Stéphane Kélian de Paris, New York, Moscou. Dans
les années 2000, je reviens à l’architecture avec
une spécialisation en ingénierie Développement
Durable à l’école d’architecture de Lyon.
Et depuis, je conçois divers bâtiments au gré
des rencontres et demandes…
Pour travailler avec Fabien,
il faut avoir la Skipper
attitude, elle se manifeste
comment chez toi ?
Campus dans
l'œil de l'archi
E
n étant moi-même, en ne faisant jamais
semblant… et en me levant tôt. On doit
aussi avoir en commun avec Fabien cette même
volonté d’être exigeant et humain à la fois
(enfin je crois).
Raconte-nous un peu
les prémices du projet
Skipper Campus. Comment
en arrive-t-on à se dire :
“on va faire un campus à
l’américaine” au Pouzin ?
J
e connaissais Fabien de longue date, et
pour en avoir souvent parlé avec lui, je
connaissais aussi son envie de construire de
nouveaux bureaux. Avant l’idée du campus,
on avait déjà commencé à faire des esquisses,
à travailler sur d’autres configurations de
bureaux. Le projet du bâtiment s’est vraiment
éclairci quand Fabien m’a montré le terrain
et qu’il a lui-même formalisé ce concept de
“campus”.
Comment as-tu traduit
ce concept en Skipper
Campus ? Quels ont été tes
partis pris architecturaux
pour donner au site cet
esprit de campus ?
D
u béton brut, des tonalités minérales,
un savant mélange de modernité et de
vintage pour rappeler les campus américains.
J’ai également fait un travail sur les circulations
intérieures et extérieures, avec une attention
particulière donnée au parc paysager.
C’est un site qui invite à déjeuner sur l’herbe,
à se balader autour du bâti, à travailler dehors,
il facilite les chassés-croisés entre les extérieurs
et les intérieurs... Un campus quoi.
SKIPPER mag
57
Fla he moi Quelles contraintes Fabien
t’a-t-il données pour définir
les lignes du bâtiment ?
J
e ne parlerais pas de contraintes, parce que
Fabien m’a vraiment donné carte blanche.
Mais disons qu’il y a 3 points qu’il voulait que
je prenne en compte dans la conception du
bâtiment. À savoir : aucun étage, des espaces
intérieurs décloisonnés, et une ouverture
maximale sur l’extérieur. Nous avons traduit la
première par la conception d’un bâti horizontal,
formé de deux îlots de plain-pied en forme de
haricots. La difficulté ici était de travailler sur
de longues circulations et de gagner en fluidité
dans les déplacements.
Pour la seconde, nous avons opté pour des
espaces ouverts, modulables, mais délimités
par ce qu’on appelle des cloisons-rangements.
Le designer marseillais Maxime Paulet a
conçu un mobilier technique et intelligent qui
répondra à ce besoin d’ouvrir l’horizon tout en
garantissant l’intimité des skippers au travail.
Enfin, le troisième point est amené par l’orientation du bâti, la réflexion sur les expositions,
le traitement lumineux des façades et la disposition des bureaux, toujours tournés vers
le dehors.
C’est cette recherche
d’efficience qui
différencierait aujourd’hui
pour toi le bon architecte,
du mauvais ?
Fla h me
C
’est ce que moi je cherche en tout cas.
Mais on ne reconnaît pas forcément un bon
architecte d’un mauvais, c’est ça le drame !
S’il y avait un vrai critère de sélection on vivrait
dans un monde parfait. Moi j’essaie simplement
de m’adapter à la demande du client, et de
toujours maîtriser l’ensemble du projet, de la
conception jusqu’à la livraison, pour être certain
que l’idée de base a été traduite correctement.
Quel est le plus beau projet
que tu aies réalisé en tant
qu’architecte, dont tu sois
le plus fier ?
J
e suis assez modeste sur ce sujet et la
beauté est tellement subjective ! Cependant il y a 3 critères de satisfaction pour moi
dans un projet : l’intégration du projet à son
environnement, la satisfaction de mon maître
d’ouvrage (client), ma propre satisfaction, qui
dépend souvent des 2 premiers critères.
Un bâtiment ouvert donc,
et vert aussi ?
O
n peut dire ça. Je suis un partisan du Low
Tech, c’est à dire, du “faire mieux avec
moins”. Du coup, j’ai travaillé l’apport solaire
de façon passive pour avoir à chauffer moins
l’hiver. À l’inverse, pour l’été, j’ai prévu des casquettes brise-soleil pour limiter l’utilisation des
climatisations. Le béton blanc des bâtiments
participe également à cette quête d’inertie
thermique.
Avec le Skipper
Campus, on y est ?
O
n est sur la bonne
voie en tout cas !
Suivez-nous,
on vous ouvre
les portes.
SKIPPER mag
59
L e s
p e t i t e s
a n n o n c e s
Personne ne passe !
Dans le cadre de la
certification OEA,
nous avons intégré
de nouveaux process
de sécurité sur nos
plate-formes. Au
Plessis-Belleville,
Nicolas Kalita,
chevalier de la table
ronde, spécialités
joutes et côtes de
mailles, expérimente
la défense par l’épée.
Une technique qui
jusqu’à présent fait
ses preuves ! Nicolas
cherche à former des
frères d’armes pour
exporter le concept
chez nos clients.
Intéressés, contactez
le service Process &
Méthodes.
Nicolas Kalita
Cherche Plant-sitter
occasionnel
Cherche personne
attentionnée pour
prendre soin de Bonnie
durant mes missions
extérieures et congés
annuels. Personnalité
très commode, discrète.
Dates d'ouverture :
• Finale de la coupe
Davis en novembre
• Championnat du
monde de handball en janvier
Barbara Eppenberger
Avis de
recherche
Bar des sports clandestin
En prévision des
nombreux événements
sportifs à venir, j’invite
tous les skippers,
amateurs de sports
ou de bons moments,
à venir visionner les
retransmissions sur
grand écran dans mon
garage, spécialement
aménagé pour l’occasion. Buvette, billard
et ambiance supporter
garantis !
Possibilité de ranger
le bureau de Ludo en
option, si le cœur vous
en dit !
Le petit Denis Reboullet s’est perdu au dernier
Skipper Familly, alors qu’il s’amusait dans les
structures gonflables. Aidez-nous à le retrouver.
Voici les dernières images de lui recueillies par
notre vidéo surveillance. Signe particulier :
bouclettes et casquette Oui-Oui.
• Championnat du
monde de natation
en juillet
• Championnat du
monde d'athlétisme en août
Jean-Baptiste Duboué
Gare au loup !
Le loup est dans
la bergerie !
Vous l’avez vu
rôder aux ateliers
Innovation,
s’abreuvant de
vos échanges,
flairant l’odeur de
l’idée fraîche, se
repaissant de vos
Be SKIPPER
trouvailles ingénieuses. Méfiezvous de cette bête
sans process, ni
méthode, elle a
la dent longue,
et une faim de
loup !
Stéphane Cardillo
SKIPPER mag
61
L
e
s
p
e
t
i
t
e
s
a
n
n
o
n
c
e
s
Devenez
MOI
en 10 leçons
Résultat du grand concours
de déguisements de Noël
And the winner is…
Coline Tisserand, avec
sa vision post-moderne
du sapin de Noël,
version roi des forêts.
Elle nous propose
Un Skipper Vs Wild
Après " Man vs Wild ", découvre
z
" Un skipper face à la nature ".
Un docu-fiction extrait de la sorti
e
canyoning aux gorges du Verdon
et retraçant le parcours exemplair
e
de Benjamin Tournier qui s’est
démarqué par sa vivacité d’esprit
une déclinaison
enguirlandée sur bâche
verte et boules rétro, et
un couvre-chef, façon
“étoile du berger”.
Quelle créativité !
cours de port de chèche
entre midi et deux à la
Skipper Sup’. Matériel
fourni. 10 Dirhams la
séance.
Marc Forster
Jérôme Sebbane
face aux éléments, sa capacité
d’adaptation en milieu hostile
et sa maîtrise des doubles saltos
bombés. Un film de Skipper
production disponible en Blu-ray
et auto-description.
Michel Galabru
Chèche ou pas chèche ?
Vous avez un projet de
séjour à Marrakech ?
Vous faites des allergies
au soleil ? Ou êtes
tout simplement
curieux d’apprendre les
coutumes d’un autre
pays ? Je propose des
Reconnu pour mon
style dandy frenchy et
mes bonnes manières
de gentleman, je me
lance dans le coaching
personnel. Nœud
pap’, lunettes hipsters,
humour inimitable…
Je vous livre tous mes
secrets d’esthète pour
briller dans la haute
valentinoise.
4x4 avec chauffeur
pour balade forestière
À vendre. 4x4 état neuf avec chauffeur
très peu servi. Toutes options (y
compris l’option chasseur de galinettes
et gros gibiers). Prix à débattre.
Cyril Reboul
C’est le pied !
Nous donnons ces superbes
babouches, taille 72, en croupe
de chèvre de l’Atlas.
Cause : trouvé meilleures chaussures à nos pieds.
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lle Barb
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Cherche désesp
érément cariste ba
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bouteille, pour
contrat
professionnel et
amical
de très longue
durée
(30 ans minim
um).
Qualités requise
s pour
ce poste : être m
ihomme, mi-fen
wick,
certificat de pilo
sité
exigé.
Virginie Chapign
at
WA
NT
ED
… la preuve ! Il serait descendu
du grand Nord, en
compagnie du père Noël, pour
participer à notre
dernière soirée de Noël.
Recherche, mort ou
vif, éventuellement en
miettes, le Skipper qui a
pioché dans mon gâteau
au chocolat à la pause de
10h. Récompense assurée.
Jean-Marcel Cyhylyck
Boris Laforge
n’est pas mort…
Jean Louis Genthial &
Jennifer Justamond
SKIPPER mag
63
HEROS
VOUS
C'est
NOS
Super
Vous avez la
nez !
Vous carton
Non c'est toi !
touch !
Ha ! Non c'est toi !
jours !
Avec vous, ça roule tou
Vous être toujours dans
les starting blocks.
Vous êtes des fonceurs !
Vous formez une sacrée équipe.
Vous êtes toujours là où
on ne vous attend pas.
La force est en vous.
Vous savez mettre le
doigt sur ce qui coince.
SKIPPER mag
65
Un Skipper à Paris
UN
SKIP-
PER
À
PARIS
LE PLESSIS-Pâté
Skipper est allé tenter sa chance
du côté de la Capitale. L’occasion
de belles rencontres, la première
au Plessis-Belleville dans l’Oise en
2011, la seconde, au Plessis-Pâté
dans l’Essonne en 2014, où nous
nous sommes entichés de 2 plateformes et de leurs logisticien(ne)s.
Mohamed Hamidi
Ils font désormais partie de nos
aventures et nous les imprégnons,
Poste
petit à petit et avec délice, de
Loisir
Préparateur de commandes
VTT et travaux dans sa maison, jardinage,
plomberie, peinture, il ne s’ennuie jamais !
notre culture. Le SKIPPER Mag’
Signe particulier
était donc l’occasion rêvée de vous
Expression libre
présenter ces nouvelles têtes qui
Patricia Deshayes
représentent désormais le groupe
Poste
dans la Capitale, celles de nos
Loisir
skippers à Paris.
Le sourire jusqu’aux oreilles !
« J’aurais aimé être architecte »
Animatrice
Les jeux vidéo, principalement les RPG (jeux
de rôles massivement multi-joueurs), le dessin
Signe particulier
Une geek au féminin
Expression libre « J’aurais aimé faire les beaux arts
pour être dessinatrice et travailler sur la création
de jeux vidéos »
SKIPPER mag
67
Un Skipper à Paris
Axel Baurain
Boubacar Siby dit Bouba
Poste
Préparateur de commandes
Poste
loisir
Cross fit
loisir
Supporter de foot et de l’OM,
balade à vélo en famille
Gémeau, comme
son tatouage dans le dos
Signe particulier
LE
Plessis-Pâté
Superviseur
chemise
impeccablement repassée
Signe particulier
Expression libre « Ma peau,
c’est le roman de ma vie ! »
Expression libre « On me dit souvent « tu
es trop gentil Bouba ! » que voulezvous que je fasse ? »
Rosaria Rodriguez
Poste
Préparatrice de commandes
Portugaise en France
depuis 16 ans
Signe particulier
Expression libre
famille ! »
« Mon dada c’est ma
Julien Baudvin
Poste
Marylène Barbosa
Jéremy Bellin
Poste
Superviseur
Ancienneté
3 ans, 20 ans de métier
Signe particulier
A vécu à la Réunion
Expression libre « Mon grand père est en
Guadeloupe, mes parents à la Réunion,
je suis déjà allé en Guyane, mais mon
pays préféré c’est Madagascar ! »
Mohamed Kadja
Poste
Préparateur de commandes
Les voyages à Pondichéry en
Inde où il retourne tous les ans
Loisir
Parle 5 langues
indiennes, son pays d’origine où
il a vécu 18 ans
Poste
Assistante d’exploitation
Loisir
Course à pieds, volley, foot
Signe particulier
de marathon
Ancienne coureuse
Expression libre « Mon boulot est très
intense ! J’adore ! »
Préparateur de commandes
Les sports en général, le foot
en particulier, le PSG à fond ! Mais
toujours derrière la télé !
Loisir
La blouse blanche en
toute occasion
Isabelle Machado
Poste
Préparatrice de commandes
roller, les romans policiers,
les balades en forêt
Loisir
Signe particulier
gaga de ses 13 neveux
Signe particulier
et nièces
« Mon rêve serait de faire
le tour du monde et de m’acheter de
belles voitures ! »
Expression libre « J’aimerais savoir
freiner avec mes rollers en dérapant,
la grande classe, mais pour le
moment c’est pas trop ça ! »
Expression libre
Signe particulier
« Mon rêve serait de
m’offrir une voiture de sport ! »
Expression libre
Gérard Marin
Poste
Superviseur
Supporter du Stade Français
Paris Rugby et photographe amateur
Loisir
Florent Lubin
Poste
Responsable de site
Loisir
La rando de montagne
Expression libre « Mon projet pour
cet été est de faire le GR20 sur
15 jours, soit 170 km de rando. »
Expression libre « J’aime me balader
dans Paris avec mon appareil photo,
immortaliser des instants de vie, un
détail sur un monument, un flot de
touristes, une scène à la terrasse
d’un café. »
SKIPPER mag
69
Un Skipper à Paris
Melissa Derond
Poste
Préparatrice de commandes
Escapades le week-end
dans les villes européennes
loisir
Depuis 1 an en
métropole, toute sa famille est
en Guyane française, elle cuisine
des gratins de papayes comme
personne !
Signe particulier
LE
PLESSIS-Pâté
Expression libre « Je me plais
beaucoup en métropole, j’ai
juste eu beaucoup de mal à
m’habituer aux températures
hivernales, à Cayenne quand
on se lève le matin, il fait déjà
28 degrés ! »
Maryame Dembele
Poste
Préparatrice de commandes
Fitness, renforcement
musculaire
loisir
Prend des cours
d’arabe, parlé et écrit
Signe particulier
Sandrine Lapostolle
Poste
Animatrice
Signe particulier
Vient d’emménager en région parisienne
Expression libre « J’aime l’ambiance qu’il y a ici au
Plessis, c’est comme un village. Pour moi c’est
le début d’une nouvelle vie ! »
Expression libre « Je suis d’origine
malienne, je rêverais de pouvoir
visiter le Mali un jour. »
Maxime Roboam
Poste
Superviseur
Travaux dans sa maison depuis 1 ans,
supporter de nombreux sports
Loisir
Signe particulier
Vit au jour le jour
Expression libre « Petit, j’aurais voulu être véto,
aujourd’hui, j’ai un chien. »
LE PLESSIS-BELLEVILLE
Guillaume Le Faucheux
Poste
Préparateur de commandes
Foot en tant que joueur et supporter,
travaux dans sa maison
Loisir
Signe particulier
Carole Wilmart
Poste
Préparatrice de commandes
Les chevaux, elle emmène la
fille de son mari faire de l’équitation
tous les week-end
Loisir
L’art de marier
chaussures de sécurité et coiffures
au carré
Signe particulier
« Ça me plairait de
voyager à l’étranger, dans les pays
chauds aux eaux turquoises, genre
les Seychelles, j’en ai eu un avantgoût avec la Martinique, et j’ai
adoré ! »
Expression libre
Phoenix tatoué dans le dos
Kimberley Cerqueira
Poste
Préparatrice de commandes
Fitness 1h30 par jour, sorties
en boites de nuit, vacances au
Portugal près de Porto dans sa
famille
Loisir
Strass sur la dent,
lissage parfait des cheveux,
féminine jusqu’au bout des ongles,
même au travail !
Signe particulier
« J’aime bien
travailler chez Skipper, il y a
une bonne ambiance, le travail
est agréable, ça change des jobs
que j’ai pu faire avant. »
Expression libre
Nicolas Kalita
Poste
Superviseur
Participe à des tournois de combats médiévaux
sportifs et des reconstitutions historiques du XIV et
XVe siècles
Loisir
Signe particulier
Tresse et barbe viking
Expression libre « J’aimerais avoir une vraie salle et
donner des cours de combats médiévaux sportifs,
être reconnu dans ma discipline que je suis d’ailleurs
le seul en France à pratiquer. Vincent Parisi, qui
est maintenant chroniqueur sur beIN Sport m’a
contacté pour venir tester mon sport avec un VIP,
en l’occurrence Stomy Bugsy ! »
SKIPPER mag
71
Pendant ce temps-là... à Briffaut.
Pendant ce temps-là... au Pouzin.
Au Q.G. Skipper, rien à signaler. L’entrepôt
est calme, les bolides sont à l’arrêt...
Tuche !
T’es viré !
OUAIS !!
J’suis chômeur !
... Les Power Skippers prennent du bon temps,
entre deux missions logistiques.
Pouah, c’est pas
Monaco là ?
Une seconde plus tard, l’alerte est donnée. Un client à besoin d’un
colis. Toute l’équipe est à son poste en un fragment de seconde.
Quand les Power Skippers passent…
les problèmes logistiques trépassent !
En route pour
Briffaut ! On va
leur crêper le
brushing !
On est les
nouveaux proprios…
Avec Marc TUCHE c’est lô vie de
t’chateau les Biloutes…
Forces oranges parées
pour la mission !
Quelques minutes plus tard…
Vous ne pouvez pas entrer.
De mon vivant… J’entends !
Encore une victoire collective
pour les Power Skippers !
On leur donne pas 1 an, avant
que ça devienne un camping !
Mission accomplie !
Et par ordre d'apparition : Marc Montaner • Pascal Cheynis • Elisabeth Delay • Luca Granon • Sophie Badalamenti
• Frédérique Baudin • Jean-Christophe Gaso • Bruno Avon • Jean-Jacques Tallieu • Aurélie Piquet • Vanessa De
Almeida• Sandrine Bavencoff
Et par ordre d'apparition : Lydie Chaussinand • Manon Chaix • Emilie Gerbet • Albane Saint-Etienne • Pascal
Teyssier • Yves Delaygue • Rémi Collavet • Jean Cardillo • Batefa Deron • Robin Gaillard • Ludovic Chaudier
SKIPPER mag
73
Portraits chinois
Benjamin Tournier
Christophe Point
Le Pou z i n
L a Vou lte
1- Si j’étais un super héros, je serais ?
1- Si j’étais un super héros, je serais ?
2- Si j’étais un transport logistique,
je serais ?
2- Si j’étais un transport logistique,
je serais ?
Kick-Ass
Si j'étais...
Un porte containers
3- Si j’étais une série TV, je serais ?
Mc Gyver
4- Si j’étais un péché mignon, je serais ?
Le chocolat
5- Si j’étais américain, I would be ?
Mickael Jordan
6- Si j’étais une recette de grand-mère,
je serais ?
Batman
Un camion
3- Si j’étais une série TV, je serais ?
L’homme de Picardie pour son action
trépidante
4- Si j’étais un péché mignon, je serais ?
Un Suisse (spécialité valentinoise et non
pas de nos voisins helvétiques)
5- Si j’étais américain, I would be ?
Neil Armstrong
Un civet de biche
7- Si j’étais un truc, je serais ?
Une écharpe (de l’OM)
8- Si j’étais un personnage de l’Odyssée,
je serais ?
Poséidon
Ils sont
de retour !
Les portraits chinois
rempilent pour
ce mag#2 avec
une nouvelle cible
dans le viseur : les
responsables de site.
Entre scoops
et révélations
fracassantes... âmes
sensibles s’abstenir !
6- Si j’étais une recette de grand-mère,
je serais ?
—
Un grog
7- Si j’étais un truc, je serais ?
Un appareil photo
9- Si j’étais une espèce en voie
de disparition, je serais ?
Le crocodile du Siam
10- Si je n’étais pas responsable de site
chez Skipper, je serais ?
Buraliste
8- Si j’étais un personnage de l’Odyssée,
je serais ?
Achille
9- Si j’étais une espèce en voie
de disparition, je serais ?
Une marmotte de l’île de Vancouver
10- Si je n’étais pas responsable de site
chez Skipper, je serais ?
Dessinateur industriel
SKIPPER mag
75
Denis Reboullet
Florent Lubin
Gaël Feugère
Jérôme Odibert
Pascal Cheynis
Rémy Carau
Li v ro n sur D rome & Les Auréats
Le P lessis-Pâté
Lawrence ville
Équipe support
Vale n ce Bri ffaut
M al iss a rd / Le P l essis- Bel l e v i l l e
1- Si j’étais un super héros, je serais ?
1- Si j’étais un super héros, je serais ?
1- Si j’étais un super héros, je serais ?
1- Si j’étais un super héros, je serais ?
1- Si j’étais un super héros, je serais ?
2- Si j’étais un transport logistique,
je serais ?
2- Si j’étais un transport logistique,
je serais ?
2- Si j’étais un transport logistique,
je serais ?
Un avion
2- Si j’étais un transport logistique,
je serais ?
Une péniche à la force tranquille et écolo
2- Si j’étais un transport logistique,
je serais ?
3- Si j’étais une série TV, je serais ?
3- Si j’étais une série TV, je serais ?
3- Si j’étais une série TV, je serais ?
3- Si j’étais une série TV, je serais ?
4- Si j’étais un péché mignon, je serais ?
4- Si j’étais un péché mignon, je serais ?
4- Si j’étais un péché mignon, je serais ?
4- Si j’étais un péché mignon, je serais ?
5- Si j’étais américain, I would be ?
5- Si j’étais américain, I would be ?
Vin Diesel
Indiana Jones, généreux et ingénieux
5- Si j’étais américain, I would be ?
5- Si j’étais américain, I would be ?
6- Si j’étais une recette de grand-mère,
je serais ?
6- Si j’étais une recette de grand-mère,
je serais ?
6- Si j’étais une recette de grand-mère,
je serais ?
Capitaine caverne
Une charrette avec un cheval pour un
retour aux sources
3- Si j’étais une série TV, je serais ?
Friends
4- Si j’étais un péché mignon, je serais ?
Une bonne bouteille de vin rouge
5- Si j’étais américain, I would be ?
Heureux de vivre en France
6- Si j’étais une recette de grand-mère,
je serais ?
Superman
Une tyrolienne
The walking dead
Une mousse bien fraîche
Fat
Un plat en sauce
Un pot au feu
Captain America
Captain América
Games of thrones
X.Files, l’étrange m’attire
Un cheesecake au chocolat of course
Une bombine, simple et conviviale
Une tarte au chocolat banane
Le saucisson
Gaël Feugere !
Un poste à souder, assembler, fédérer,
c’est mon dada
8- Si j’étais un personnage de l’Odyssée,
je serais ?
8- Si j’étais un personnage de l’Odyssée,
je serais ?
Breaking bad
7- Si j’étais un truc, je serais ?
Une fourchette
Un bouton poussoir pour rendre aimable
les gens
Fedex
La tisane de bourrache
7- Si j’étais un truc, je serais ?
7- Si j’étais un truc, je serais ?
Green Arrow
Dionysos
Zeus
9- Si j’étais une espèce en voie de disparition,
je serais ?
Un bon gros panda tout doux
10- Si je n’étais pas responsable de site chez
Skipper, je serais ?
1- Si j’étais un super héros, je serais ?
Au chômage
L’homme qui valait 3 milliards
2- Si j’étais un transport logistique,
je serais ?
Un avion
3- Si j’étais une série TV, je serais ?
Le prince de Bel air
4- Si j’étais un péché mignon, je serais ?
Une fraise
5- Si j’étais américain, I would be ?
Wayne Gretzky
6- Si j’étais une recette de grand-mère,
je serais ?
6- Si j’étais une recette de grand-mère,
je serais ?
Un pot au feu
7- Si j’étais un truc, je serais ?
7- Si j’étais un truc, je serais ?
8- Si j’étais un personnage de l’Odyssée,
je serais ?
Zeus
Super vieux
9- Si j’étais une espèce en voie
de disparition, je serais ?
9- Si j’étais une espèce en voie
de disparition, je serais ?
10- Si je n’étais pas responsable de site
chez Skipper, je serais ?
10- Si je n’étais pas responsable de site
chez Skipper, je serais ?
Moins bien loti
7- Si j’étais un truc, je serais ?
8- Si j’étais un personnage de l’Odyssée,
je serais ?
Un alliage supraconducteur
Un phoque moine de méditerranée
Un parmentier de canard
Un couteau Suisse
Un panda
Tennisman
9- Si j’étais une espèce en voie
de disparition, je serais ?
Le gorille
10- Si je n’étais pas responsable de site
chez Skipper, je serais ?
Présentateur-commentateur-journaliste
sportif
Une voiture
8- Si j’étais un personnage de l’Odyssée,
je serais ?
Ulysse
9- Si j’étais une espèce en voie de
disparition, je serais ?
Un tigre blanc
10- Si je n’étais pas responsable de site chez
Skipper, je serais ?
Formateur ou Auditeur, car aujourd’hui
est mieux qu’hier et moins bien que
demain
8- Si j’étais un personnage de l’Odyssée,
je serais ?
Achille
9- Si j’étais une espèce en voie
de disparition, je serais ?
Un ours polaire
10- Si je n’étais pas responsable de site
chez Skipper, je serais ?
Un rugbyman professionnel
SKIPPER mag
77
Kévin Lamiaux
Les sauts dans le vide !
Du haut de ponts ou de
falaises de 20 mètres par
exemple.
Jennifer Justamond
Je chante toujours dans le bureau,
même si je chante extrêmement mal !
Christophe Cabry
Thomas Berthier
J’adore cuisiner ! J’ai pris des cours
chez Anne Sophie Pic.
Mélanie
Martinelli
Je fais de la natation handisport. En
2009, j’ai même fini 6e au championnat
d’Europe en Islande. J’ai aussi participé
au Handi-Raid Sapeurs Pompiers qui
consiste à descendre le Rhône en zodiac
de Aix-les-Bains à Port Camargue.
Je suis speed du
matin au soir. Je suis
à 300% tout le temps !
Sophie
Badalamenti
Mon dada c’est le
cheval ! Dressage,
cross, saut, j’adore !
Honorine Pralix
Je fais de la peinture et beaucoup
d’autres choses, car tout m’intéresse.
Cyril Ramond
Je suis un ancien pro de foot.
Skipper est d’ailleurs sponsor de mon
club. Donc je dirais que mon incroyable
talent c’est le ballon !
Nathalie Longo
Je ne suis pas Wonder Woman,
ça c’est sûr ! J’essaie de voler,
mais je n’y arrive toujours pas.
Alors je dirais que je suis une
super maman au moins !
SKIPPER mag
79
Marc Montaner
Yoann Pistoresi
Je suis l’homme de toutes
les situations pour ma femme.
Elle a toujours de nouvelles
envies déco, besoin de monter
une étagère, de déménager un
truc. Je suis toujours là quand
elle a besoin de moi !
Je dessine des BD. Mais c’est un vrai talent
caché, personne ne le sait.
Gaël Maza
Rémi Debaud
Je pratique l'Ultimate Frisbee.
C'est fun, physique, américain mais
surtout c'est un sport collectif.
Moi mon truc, c’est le bricolage.
Je répare les pieds de table,
je resserre les boulons...
on me surnomme clé de 12.
Aurélie Piquet
Mon truc, c’est le football
américain. Sinon je fais
du secourisme, j’attends
d’ailleurs avec impatience
de sauver quelqu’un !
Rémy Delubac
Je suis pompier volontaire doublé
d’un super papa !
Grégory Robert
J’ai la main verte ! Je crée des
jardins, des espaces paysagers,
je suis paysagiste de métier.
Jean-Christophe Gaso
Mon talent, c’est la mécanique.
J’aime démonter et remonter tout ce
que je trouve, juste pour comprendre
comment ça fonctionne.
Candice Seiler
Je suis très bonne ménagère,
j’ai moins de 40 ans ?
Ça peut le faire comme
incroyable talent ?
SKIPPER mag
81
Baliseo vous suit partout.
À moins que ce ne soit vous,
qui la suiviez où bon vous
semble ?
à emporter partout.
L’appli maison,
lient à
isage très
Toujours à porté de main
(ou de pied).
pour fêter toutes
les victoires.
Le Buzz Easy,
Idéal pour les négociations
fines et pour entrer dans
nos petits papiers.
parce que vous
le valez bien !
Le sac kraft
Dans le dernier mag’ nous vous révélions le
dress code adéquat pour avoir la Skipper touch
et intégrer la grande famille des skippers.
Aujourd’hui, découvrez le style à adopter
pour devenir un SKIPPER CLIENT !
Client à visage très couvert
SKIPPER mag
83
Vis ma vie de Skipper
Vis
ma vie
de skipper
Deviens le rouage
d’une machinerie
complexe
Fais un boulot
qui cartonne
Alexandre Dethière
Agnès Devreton
Deviens pilote de
ligne au féminin
Camille Gerland Raille
Sois réfléchi
Cyril Reboul
Deviens pilote
de ligne au
masculin…
Axel Tato Léon
Expédie des colis,
sur un petit nuage
Anthony Reina
SKIPPER mag
85
Vis ma vie de Skipper
Montre-nous ton
plus beau profil
Sois rêveur
David Ghazarian
Sois
égal à toi-même
Julien Bondon
Etonne-toi de tout
Jean Cardillo
Yoan Job
Offre-nous...
... des sourires
séducteurs
... des sourires discrets
Bérangère Grillet
Partage tes
découvertes
Emboite et déboite
à ta guise
Eric Boronad
Pascal Teyssier
Ophélie Masson
...pourvu qu’ils
viennent du cœur
Et...
Va de l’avant…
Tiens bon la barre
et la moulinette
Rémy Genthial
Virginie Serre
Ne te retourne pas…
ou presque
Joël Rieu
Brice Nury
SKIPPER mag
87
Vis ma vie de Skipper
Reste toujours droit
Bruno Avon
Établis des
connexions
Extériorise tes joies
David Gomes
N’oublie pas d’être
sérieux, parfois
Claude Comte
Stéphane Blouin
Fête toutes
les victoires
Garde la banane...
Richard Gatti
Manoeuvre
avec précision
Pascal Heraud
...et le style
Anthony Combe
Alain Lemeur
Prends les
commandes
de ta vie...
Cédric De Laurière
... pour que tout roule
Batefa Deron
Reste concentré
sur tes objectifs
Karine Belan
Et reste toi
Jérôme Jelin
SKIPPER mag
89
« Ça pousse à la paranoïa
toutes ces innovations ! »
Maryne Dutreux
« J’aimerais
bien être un
hibou, pour
voir la nuit. »
François Reina
Jérôme Sebbane
« Mon animal
fétiche c’est le
loup surtout parce
qu’il fait peur aux
enfants. »
Arnaud Guillon
Be SKIPPER
« Je suis un peu
SDF. Sans dépôt
fixe. »
« L’animal que je trouve
vraiment incroyable, c’est
l’homme. Je voulais dire
moi, mais ça me paraissait
trop égocentrique. »
Pascal Picq
SKIPPER mag
91
Record éric Barone
Fla he moi !
Fla h me!
EN PISTE AVEC NOTRE
CHAMPION !
Nouveau record du monde !
Lui qui nous pousse à nous dépasser à
chaque Skipper Camp, nous montre encore
l’exemple, déterminé, toujours plus fou, en se
remettant en selle à 54 ans et en reprenant
la piste des records pour une énième
descente de vitesse.
Objectif : décrocher la lune, ou au moins
quelques étoiles ! Pari réussi pour notre
baron rouge, avec un chrono à 223,30 km/h,
battant son propre record de 2000.
Une descente éclair, que Skipper
vous propose de revivre, comme
si vous y étiez…
SKIPPER mag
93
Galerie
I
un
break
classifi
able
Skipper invente le flash-fen’. Le premier fenwick qui décharge plus vite que la lumière !
Skipper invents the flash-fen’. The first fenwick which unloads faster than the speed light!
SKIPPER mag
95
2
I
Les comics trip
The comics trip
-1Focus sur les dossiers classés
“top secret” du Skipper-SHIELD.
Focus on the classified "top secret files"
of Skipper-shield.
-2Chez Skipper, Spider-Man possède
son propre mur d'entraînement :
très très lisse et très très haut !
At Skipper, Spiderman has its own training
wall very very smooth, very very high!
1
SKIPPER mag
97
I
Les comics trip
The comics trip
-3À Livron, la nouvelle planque
des tortues ninjas. La classe !
At Livron, the new hideout of Ninja
Turtles. Awesome!
-4Hulk est encore passé
par là !
Hulk is still been there!
3
4
SKIPPER mag
99
I
Les comics trip
The comics trip
5
6
-5Le poste de travail de Wolverine : il s’est encore fait la main sur les fournitures !
Wolverine workstation: he couldn’t stop scratching!
-6Les nouvelles roulettes du professeurs Xavier, trop stylées !
The new wheels of Professor Xavier, too stylish !
-7La planche du surfeur d’argent, encore garée au milieu de l’entrepôt.
The board of the Silver Surfer, still stand in the middle of the warehouse!
7
SKIPPER mag
101
9
I
Les comics trip
The comics trip
-8Un stock de méchants mis en
bouillie par nos Skippermen.
Many wicked men squashed
by Skippermen.
-9La source des Green Lantern,
cachée quelque part chez
Skipper.
The source of Green Lantern,
hiding somewhere in Skipper.
8
SKIPPER mag
103
I
Maëlys
Tel père, tel fille !
Artiste accomplie, elle dégaine son
objectif plus vite que son ombre.
Elle joue, compose et s’amuse
avec notre image.
Avec toute sa sensibilité, Maëlys nous
plonge dans son univers dès lors
qu’elle nous accompagne...
Like father, like daughter!
FOCUS
REBUTTINI(S)
Accomplished artist, she shoots
faster than her shadow.
She has fun, composes and
plays with our image.
With all her sensitivity, Maëlys takes us
in her world any time she comes with us.
&
I
Marco
Il est passé par ici, il repassera par là !
He came through here, he’ll come back there !
Vous l'avez sans doute vu ce bipède joyeux,
monté sur roulettes, l'objectif baladeur.
You have probably seen this happy biped, rolling on
wheels, with his wandering lens.
Il est revenu vous shooter. Avouez que,
cette fois encore, vous y avez pris du plaisir...
Notre histoire avec Marco se poursuit, alors
gardez la banane, sa focale pourrait bien
encore vous prendre par surprise.
He came back to shoot you. Admit it, you enjoyed it again,
this time...
Our history with Marco goes on, so keep smiling, his focus
could surprise you again.
SKIPPER mag
105
Gwenhaël Bodnar
« Je me suis mariée
dans un cirque. »
Coline Tisserand
« Je suis allée en Côte
d’Ivoire pour aider les
enfants d’un village. »
Sylvie Roussel
« J’ai monté ma boîte en Tunisie
quand j’avais 40 ans. »
Lucile Pourroy
« J’ai fait une randonnée de
10 heures sur Chaillol, à 3000
mètres d’altitude, et sans
aucune préparation ! »
Nolwenn Pierre
« J’ai fait un voyage
humanitaire au Mali
pendant 3 ans. »
Frédérique Baudin
« J’ai marqué 18 points
lors d’un match de basket !
5 paniers à 3 points ! »
ILS L’ONT
Honorine Pralix
« Je suis partie à 17 ans faire mes
études au Ghana. Sinon, j’ai repris
mes études à 32 ans, ça aussi c’était
un sacré challenge ! »
Tallieu Jean‐Jacques
« J’ai fait un saut en parachute
et en solo ! Quitte à le faire,
je voulais le faire bien. »
Vanessa De Almeida
« J’ai appris à danser
à peu près toutes les
danses ! Jazz, salsa,
danse de société, etc. »
Élisabeth Delay
« J’ai fait un voyage en
Tanzanie chez les Masaïs. »
Sandrine Bavencoff
« Je suis partie faire du canyoning
avec Skipper. J’ai cru que j’allais
mourir, mais je l’ai fait ! »
Jean-Marc Buisson
« Sauver des gens
en tant que sapeur
pompier, c’est sûrement
ce que j’ai fait de plus
incroyable. »
SKIPPER mag
107
La relève est assurée
Skipper, c’est une somme d’aventures quotidiennes,
familiales, humaines, celles d’hommes et de femmes
qui bâtissent, depuis 2 générations, notre belle histoire
collective. Certains construisent cette histoire depuis
plus de 20 ans, d'autres le feront pour les 20 à venir,
d'autres encore y participeront plus tard, pour l’ériger
peut être en légende.
Alors qui sont-ils ces futurs skippers ?
Sont-ils au moins nés ?
Peut-être sont-ils déjà là, sous nos yeux, dans nos
propres familles, prêt à reprendre le flambeau ?
Actrice de ma vie,
peut-être pas encore...
actrice, ça c’est sûr !
Qu’en pensez-vous ?
Ja d
e
Éthan
Arthur
Adrien
Leelou
Optimisation de l’espace,
un bon début en logistiqu
e !
Déjà la Skipper touch !
Casquette de travers et
banane jusqu’aux oreilles !
Carla
Déjà prêt pour le
Skipper camp !
Pour remplacer Barbiche,
est-ce que la moustache
ça compte ?
Marety
Lounès
Oscar
Samuel
Un bon candidat pour
une carrière aux US !
Océane
Une future recrue
pour le pôle Transit ?
Lunettes de hipster, sweat
à capuche, sourire enjôleur,
j’ai déjà tout planifié pour
prendre la place de papa !
SKIPPER mag
109
Lion
L'astroscope
vierge
Axel Tato Leon
l e super h é r o s d e m au d
Lydie Chaussinand
Et vous pensez qu’on va
vous croire ! Il est temps
de tomber les masques les
vierges, tout le monde s’en
doute, vous n’êtes plus
blanches comme neige.
Et avec le trio MarsUranus-Jupiter dans votre
dos, restez confiantes.
Un Mars et ça repart !
Vous êtes en bonne voie
pour tout déchirer cette
année ! Attention à ne pas
trop sortir les griffes. Côté
loisir, vous rêvez d’évasion,
c’est le moment de faire un
safari !
l'astroscope
balance
scorpion
À toujours vouloir peser le
pour et le contre, vous en
perdez parfois l’équilibre.
C’est peut-être le moment
d’aller courir avec Alain
pour vous délester de
quelques kilos ! Côté loisir,
passez votre permis poids
lourds et faites du cheval !
Mangin Jessica
BÉLIER
Justine Chancrin
taureau
Julie Aymard
capricorne
Yves Delaygue
C’est votre année les
béliers ! Vous prenez le
taureau par les cornes
et accomplissez de
bêêêêêlles choses.
Et si vos amours vous
rendent parfois chèvre,
en revanche, vos relations
amicales sont « coton » !
Côté toison, évitez les
averses, vous frisez
facilement.
Arrêtez d’avoir les bulls et
de voir tout rouge ! Offrezvous plutôt une manucure,
prenez des cours de yoga
avec Fredo et levez le pied
sur la viande saignante. Et
n’oubliez pas les taureaux :
« vache qui rit, à moitié
dans ton lit », Olé !
Visez la lune, ça ne vous
fait pas peur ! Vous avez
plus d’une corde à votre
arc pour y parvenir et
comptez bien décrocher
quelques étoiles au
passage. Côté famille, bel
équilibre général. Attention
aux excès de frangipane.
Stéphane Dabonneau
Gémeaux
Jean Pierre Reboul
cancer
Vous aimeriez bien vous
débarrasser de votre
double maléfique ! Il vous
pousse à manger trop
gras, trop salé et trop
sucré, alors que vous, vous
n’aimez que les légumes !
Côté travail, vous bossez
pour dix ! C’est un
exosquelette de poulpe que
Pascal Picq va devoir vous
greffer !
Bruno Imbert
sagittaire
C’est certain, votre vie ne
manque pas de piquant !
Vous êtes un battant et
rien ne vous atteint.
Côté santé, quelques
problèmes de transit…
Il est peut être temps
de passer à la logistique.
verseau
poisson
Si vous êtes frit, vous avez
tout compris. Sinon, il est
temps de prendre le large
et de mettre un peu de
sel dans votre vie ! Côté
amour, il y a baleine sous
gravier avec la voisine du
3e, c’est le moment de
vous jeter à l’eau !
Vous porterez sur vos
épaules de lourdes
charges, ménagez-vous,
la goutte d’eau pourrait
vite déborder ! Côté santé,
tout coule. Côté travail,
vous ne faites pas de
vague. Un conseil si vous
êtes célibataire : évitez les
cruches !
Natifs du 1er décan, vous
avez des tendances à
l’hypocondrie. Pour les
autres, faites le plein de
crustacés pour garder
la pêche ! Et si vous en
pincez pour quelqu’un,
invitez-la(le) à manger
des moules !
Frederic Froissard
Mi-bouc, mi-dauphin,
vous êtes plutôt du genre
« flipper » ! Détendezvous, si vous ne voulez pas
perdre pied ! Côté travail,
vous êtes doté d’une
intelligence remarquable
et d’un sens du collectif
naturel. Santé : vous avez
de la corne aux pieds !
Cédric Delaurière
Grégory Crumière
SKIPPER mag
111
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Michael Agbenyezi
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Sebastien Andre
ASSISTANTE COMMERCIALE ROUTE
Elodie Ardiale
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Jean-Luc Arsac
ASSISTANTE RH
Elodie Assaud
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Bruno Avon
DéVELOPPEUR INFORMATIQUE
Julie Aymard
ANIMATRICE
Cherifa Babahani
PRéPARATRICE DE COMMANDE
Sophie Badalamenti
RESPONSABLE D'EXPLOITATION ROUTE
Olivier Baldini
ASSISTANTE EXPLOITATION
Marylene Barbosa
APPRENTI LOGISTIQUE
Flavien Bard
PRéPARATRICE DE COMMANDE
Frederique Baudin
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Julien Baudvin
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Axel Baurain
ANIMATRICE
Sandrine Bavencoff
DéVELOPPEUR INFORMATIQUE
Karine Belan
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Bryan Bell
SUPERVISEUR
Jeremy Bellin
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Jose Benedetti
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Thomas Berthier
ANIMATEUR
Nicolas Billon
RESPONSABLE SERVICE CLIENT LOGISTIQUE
Stephane Blouin
ASSISTANTE DE DIRECTION
Gwenhael Bodnar
SUPERVISEUR
Julien Bondon
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Eric Boronad
PRéPARATRICE DE COMMANDE
Marguerite Bruyere
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Jean-Christophe Buisson
AGENT DE MAINTENANCE
Jean-Marc Buisson
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Christophe Cabry
RESPONSABLE DE DEPOT
Remy Carau
MAGASINIER
Jean Cardillo
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Stephane Cardillo
PRéPARATRICE DE COMMANDE
Kimberley Cerqueira
ANIMATRICE
Charlene Chaix
PRéPARATRICE DE COMMANDE
Manon Chaix
ASSISTANTE RH
Justine Chancrin
PRéPARATRICE DE COMMANDE
Virginie Chapignat
COMPTABLE-CHARGEE DES
Severine Chassagnon
Lawrenceville
Ludovic Chaudier
Lydie Chaussinand
Pascal Cheynis
Remi Collavet
Anthony Combe
Claude Comte
Stephane Corbet
Elodie Cros
Gregory Crumiere
Stephane Dabonneau
Laurie Daniere
Anthony De Almeida
Vanessa De Almeida
Cedric De Lauriere
Batefa De Ron
Remi Debaud
Elisabeth Delay
Yves Delaygue
Remy Delubac
Équipe support
APPROVISIONNEMENTS
SUPERVISEUR
PRéPARATRICE DE COMMANDE
RESPONSABLE DE DEPOT
Le Plessis-Pâté
Transit
La Voulte
RH
Valence
Informatique
Le Pouzin
Valence
Transit
Le Plessis-Pâté
La Voulte
Valence
Le Plessis-Pâté
Le Plessis-Pâté
Valence
Informatique
Lawrenceville
Le Plessis-Pâté
Le Plessis-Pâté
Valence
Livron
La Voulte
Direction Générale
Équipe support
La Voulte
La Voulte
La Voulte
Production
La Voulte
Malissard
Le Pouzin
La Voulte
Le Plessis-Pâté
Malissard
Le Pouzin
RH
Livron
DAF
Le Pouzin
Valence
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Le Pouzin
PRéPARATEUR DE COMMANDE
La Voulte
CHEF DE PROJET
Process & Méthodes
CHEF DE PROJET
Informatique
SUPERVISEUR
CHEF DE PROJET
PRéPARATEUR DE COMMANDE
COMPTABLE
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Équipe support
Process & Méthodes
Valence
DAF
La Voulte
ANIMATRICE
Valence
CHAUFFEUR
Production
SUPERVISEUR
INGENIEUR METHODES
ANIMATRICE
Le Pouzin
Process & Méthodes
Valence
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Le Pouzin
PRéPARATEUR DE COMMANDE
La Voulte
Maryame Dembele
Melissa Derond
Celine Dessaintjean
Patricia Deshayes
Alexandre Dethiere
Agnes Dreveton
Jean-Baptiste Duboue
Flora Dufour
Maryne Dutreux
Barbara Eppenberger
Gael Feugere
Marc Forster
Ludovic Fraysse
James Freeman
Frederic Froissard
Robin Gaillard
Jean-Christophe Gaso
Richard Gatti
Jean-Louis Genthial
Remy Genthial
Jessica George
Cedric Gerbet
Emilie Gerbet
Camille Gerland Reille
David Ghazarian
Eric Gipoulou
David Gomes
Vanessa Grand
Luca Granon
Berengere Grillet
Arnaud Guillon
Mohamed Hamidi
Severine Hedjam
Pascal Heraud
Bruno Imbert
Gabrielle Jacob
Stephane Jacquier
Jerôme Jelin
Yoan Job
Fabien Jouvet
Jennifer Justamond
Nicolas Kalita
Boris La Forge
Kevin Lamiaux
Sandrine Lapostolle
Olivier Laquet
Alain Le Meur
Guillaume Lefaucheux
Aurele Lhuillier
Philippe Limouzin
Nathalie Longo
Florent Lubin
Isabelle Machado
Jessica Mangin
Gerard Marin
Alexandre Martin
Damien Martin
Melanie Martinelli
Karl Masson
PRéPARATRICE DE COMMANDE
Le Plessis-Pâté
PRéPARATRICE DE COMMANDE
Le Plessis-Pâté
ANIMATRICE
Livron
ANIMATRICE
Le Plessis-Pâté
PRéPARATEUR DE COMMANDE
La Voulte
ANIMATRICE
La Voulte
AGENT DE TRANSIT
ASSISTANTE COMMERCIALE
TECHNICIENNE QHSE
DIRECTRICE DIVISION CONSEIL
RESPONSABLE DE DEPOT
Transit
Commerce
Process & Méthodes
Conseil
Lawrenceville
DIRECTEUR DIVISION INFORMATIQUE
Informatique
DIRECTEUR DIVISION COMMERCIALE
Commerce
PRéPARATEUR DE COMMANDE
CHEF DE PROJET
Lawrenceville
Informatique
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Le Pouzin
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Valence
PRéPARATEUR DE COMMANDE
La Voulte
PRéPARATEUR DE COMMANDE
La Voulte
PRéPARATEUR DE COMMANDE
La Voulte
PRéPARATRICE DE COMMANDE
Valence
TECHNICIEN RÉSEAUX
ASSISTANTE EXPLOITATION
APPRENTIE TRANSIT
Informatique
Le Pouzin
Transit
PRéPARATEUR DE COMMANDE
La Voulte
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Malissard
PRéPARATEUR DE COMMANDE
La Voulte
CHEF DE PROJET
PRéPARATEUR DE COMMANDE
CONTRÔLEUSE DE GESTION
Process & Méthodes
Valence
DAF
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Livron
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Le Plessis-Pâté
DIRECTRICE DIVISION RH - QHSE
CHAUFFEUR
DéVELOPPEUR INFORMATIQUE
ASSISTANTE EXPLOITATION
RH
Production
Informatique
Valence
DIRECTEUR DIVISION TRANSIT
Transit
PRéPARATEUR DE COMMANDE
La Voulte
SUPERVISEUR
La Voulte
PRÉSIDENT
ASSISTANTE COMMERCIALE ROUTE
SUPERVISEUR
AGENT DE TRANSIT
SUPERVISEUR
ANIMATRICE
Direction Générale
Transit
Le Plessis Belleville
Transit
Livron
Le Plessis-Pâté
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Les Auréats
RESPONSABLE MAINTENANCE
Production
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Le Plessis Belleville
ASSISTANT DE PROJETS LOGISTIQUES
PRéPARATEUR DE COMMANDE
RESPONSABLE OVERSEAS
Process & Méthodes
La Voulte
Transit
RESPONSABLE DE SITE
Le Plessis-Pâté
PRéPARATRICE DE COMMANDE
Le Plessis-Pâté
ASSISTANTE COMPTABLE / ACCUEIL
SUPERVISEUR
CHEF DE PROJET
PRéPARATEUR DE COMMANDE
AFFRETEUR
SUPERVISEUR
DAF
Le Plessis-Pâté
Process & Méthodes
Malissard
Transit
La Voulte
Ophelie Masson
Gael Maza
Christophe Michelon
Kadja Mohamed
Marc Montaner
Laurence Novaro
Brice Nury
Solomon Nwanjang
Jerôme Odibert
Pascal Ogier
Laurence Paysserand
Pascal Picq
Nolwenn Pierre
Aurelie Piquet
Yoann Pistoresi
Christophe Point
Lucile Pourroy
Honorine Pralix
Alain Puaux
Cyril Ramond
Cyril Reboul
Jean-Pierre Reboul
Denis Reboullet
Anthony Reina
Francois Reina
Alexandre Rey
Romuald Riccardi
Joel Rieu
Gregory Robert
Maxime Roboam
Antonia Rodriguez
Helene Rogez
Sylvie Roussel
Djemila Rousset
Nicolas Rouveyrol
Albane Saint-Etienne
Jerôme Sebbane
Candice Seiler
Virginie Serre
Boubacar Siby
Jean-Jacques Tallieu
Axel Tato Leon
Hippolyte Tepongmo
Menedem
Pascal Teyssier
Coline Tisserand
Benjamin Tournier
Thomas Treuvey
Franck Valette
Antoine Vallancon
William Wilber
Carole Wilmart
Eric Barone
Jean Mochon
Monkypolis
Pompon
Marco Rebuttini
ASSISTANTE ADMINISTRATIVE
ET COMMERCIALE
Transit
COMPTABLE
DAF
AFFRETEUR
Transit
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Le Plessis-Pâté
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Valence
ASSISTANTE EXPLOITATION
Livron
PRéPARATEUR DE COMMANDE
La Voulte
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Lawrenceville
RESPONSABLE DE DEPOT
DIRECTEUR DIVISION
ADMINISTRATIVE ET FINANCIERE
ASSISTANTE EXPLOITATION
DIRECTEUR DIVISION PROCESS
ET METHODES
Équipe support
DAF
Le Pouzin
Process & Méthodes
ASSISTANTE D EXPLOITATION
Valence
SUPERVISEUR
Valence
PRéPARATEUR DE COMMANDE
La Voulte
RESPONSABLE DE DEPOT
La Voulte
PRéPARATRICE DE COMMANDE
ASSISTANTE DIVISION PRODUCTION
DIRECTEUR DIVISION PRODUCTION
Valence
Livron
Production
PRéPARATEUR DE COMMANDE
La Voulte
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Le Pouzin
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Livron
RESPONSABLE DE DEPOT
Livron
SUPERVISEUR
La Voulte
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Livron
SUPERVISEUR
Livron
DéVELOPPEUR INFORMATIQUE
Informatique
ANIMATEUR
La Voulte
PRéPARATEUR DE COMMANDE
La Voulte
SUPERVISEUR
Le Plessis-Pâté
PRéPARATRICE DE COMMANDE
Le Plessis-Pâté
ANIMATRICE
AGENT DE TRANSIT
ASSISTANTE EXPLOITATION
PRéPARATEUR DE COMMANDE
APPRENTIE LOGISTIQUE
COMMERCIAL
AGENT DE TRANSIT
PRéPARATRICE DE COMMANDE
La Voulte
Transit
Livron
La Voulte
Équipe support
Commerce
Transit
La Voulte
SUPERVISEUR
Le Plessis-Pâté
SUPERVISEUR
Valence
AGENT DE TRANSIT
Transit
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Lawrenceville
PRéPARATEUR DE COMMANDE
Le Pouzin
AGENT DE TRANSIT
RESPONSABLE DE DEPOT
Transit
Le Pouzin
PRéPARATEUR DE COMMANDE
La Voulte
PRéPARATEUR DE COMMANDE
La Voulte
RESPONSABLE SERVICE CLIENT LOGISTIQUE
SUPERVISEUR
PRéPARATRICE DE COMMANDE
Valence
Lawrenceville
Le Plessis-Pâté
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