recueil de questionnaires à choix multiples pour la

Transcription

recueil de questionnaires à choix multiples pour la
Dan-Mihai Alexandrescu
Ovidiu Mitu
Alexandru Lăcătuș
Cristian Pristavu
RECUEIL DE QUESTIONNAIRES
À CHOIX MULTIPLES POUR LA
PRÉPARATION DU CONCOURS
D’INTERNAT EN MEDECINE
IAȘI
2013
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
Auteurs:
Dr. Ovidiu Mitu (coord.) – médecin interne cardiologie
Dr. Dan-Mihai Alexandrescu – médecin interne cardiologie
Dr. Alexandru Lăcătuș – médecin interne pédiatrie
Dr. Cristian Pristavu – médecin interne ATI
PAO: Dr. Ovidiu Mitu
Couverture: Tudor Voloșeniuc
2013
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Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
SOMMAIRE
Préface .................................................................................................................................... 4
Avant-propos .........................................................................Error! Bookmark not defined.
Méthodologie de calcul du score ............................................................................................ 7
QCM I ..................................................................................................................................... 8
Chapitre: Cardiologie
QCM II.................................................................................................................................. 37
Chapitres: Pneumologie, Réanimation Médicale, Neurologie, Maladies infectieuses,
Hépato-gastroentérologie
QCM III ................................................................................................................................ 62
Chapitres: Chirurgie viscérale, Gynécologie-obstétrique, Rhumatologie, Chirurgie
orthopédique, Ophtalmologie, Chirurgie ORL, Gériatrie, Psychiatrie, Psychiatrie
pediatrique
QCMIV ................................................................................................................................. 88
Chapitres: Pédiatrie, Médecine interne, Radiologie, Dermatologie, EndocrynologieDiabète-Maladies métaboliques, Chirurgie urologique, Néphrologie, Hématologieoncohématologie, Oncologie
QCMV ................................................................................................................................ 120
Tous les chapitres de la thématique de l’internat
RÉPONSES ........................................................................................................................ 150
QCM I ............................................................................................................................. 151
QCM II ............................................................................................................................ 154
QCM III........................................................................................................................... 157
QCM IV .......................................................................................................................... 160
QCM V ............................................................................................................................ 163
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Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
Préface
Le concours d’internat en médecine est un examen décisif pour la profession de
médecin, la « clef » d’un bon début dans la carrière professionnelle, en couronnant
l’expérience et les connaissances accumulées pendant les études universitaires.
Afin d’assurer les prémisses de la réussite au concours d’internat en médecine, il
faut que l’étudiant se prépare et s’instruise depuis la dernière année de faculté déjà.
L’existence de guides et d’instruments d’apprentissage est extrêmement importante pour
familiariser celui-ci avec la méthodologie d’examen et pour le faire développer les
compétences nécessaires à l’évolution avec succès vers l’étape suivante.
Il existe à présent, évidemment, plusieurs instruments utiles de ce type, mais ce qui
distingue le présent recueil de tests par rapport aux autres c’est un élément inédit, à savoir
qu’il a été rédigé par ceux qui ont mené cette bataille et ont gagné, en bénéficiant,
également, des références dans le domaine.
Puisque créé par ceux qui ne savent que très bien ce que l’apprentissage
systématique comporte et ce que le déroulement du concours d’internat en médecine
signifie, le présent ouvrage offre par cet élément particulier l’ingrédient pour entrer dans la
possession de la « clef » du succès.
Je considère que cet instrument est extrêmement utile pour la préparation du
concours d’internat en médecine et en tant que tel je le recommande à tous les étudiants qui
veulent se préparer en vue de celui-ci. Je vous souhaite beaucoup de succès, à tous !
Prof. Dr. Vasile Astărăstoae,
Recteur de l’Université de Médecine et de Pharmacie
„Grigore T. Popa” – Iași
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Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
Avant-propos
Chers collègues,
Le présent livre est apparu comme une nécessité et une impulsion pour se préparer
aussi sérieusement que possible pour, disons-nous, l’examen le plus important dans la vie
d’un étudiant en médecine, à savoir le concours d’internat. Nous le considérons comme le
plus important parce qu’à la suite de cet examen vous allez choisir la spécialité que vous
désirez le plus, en ayant ainsi la possibilité d’accomplir vos rêves et de voir couronner six
années d’étude intense.
Il est apparu comme une nécessité parce que nous, qui venions de terminer la
faculté, en nous préparant intensément pour le concours d’internat en médecine, nous
avons ressenti l’absence d’un matériel écrit, correct, facile à parcourir, à l’aide duquel nous
vérifions nos connaissances et qui nous rende conscients quelles sont les informations bien
acquises et sur lesquelles il fallait insister encore. De plus, Book des ECN a été introduite
pour la première fois en 2012, étant traduite, par endroits avec de petites inadvertances,
d’après un ouvrage pour la préparation des Épreuves Classantes Nationales en France et
présenté de manière succincte et schématique ; tout cela n’a fait qu’accentuer davantage
l’absence d’un instrument censé vérifier et approfondir les connaissances.
C’est la raison pour laquelle le recueil inclut 1000 questions, reparties dans cinq
Questionnaires à choix multiples, dont chacun comprend 200 questions, tout comme au
concours d’internat en médecine (50 à complément simple / réponse unique et 150 à
complément multiple / réponses multiples). La thématique est distribuée de manière
équilibrée dans les premiers 4 QCM, tandis que le cinquième comprend des questions
couvrant tous les chapitres de la thématique, en vue d’une vérification générale des
connaissances. Ainsi structurés, les questionnaires s’avèrent être un instrument efficace de
contrôle immédiatement après la lecture des chapitres, un à un, étant bien utiles pour la
fixation des informations accumulées. De même, la mise en page est réalisée de sorte qu’on
puisse calculer facilement le score pour chaque test, tandis que le renvoi à la page d’origine
de chaque question vient à l’appui de la vérification et de l’approfondissement des
informations.
De plus, nous avons considéré que nous, en tant que participants récents au
concours d’internat en médecine 2012, et ayant obtenu des scores supérieurs à 800, nous
sommes préparés à élaborer ce recueil, vu que chacun d’entre nous a parcouru
intégralement la matière pour au moins cinq fois, en parfaite connaissance des erreurs, de
manière que ces questionnaires ne soient pas discutables et, la chose la plus importante,
pour qu’ils vous aident à préparer aussi consciencieusement que possible cet examen.
Notre initiative n’aurait pas été possible sans l’appui offert par l’Université de
Médecine et de Pharmacie « Grigore T. Popa » – Iași par l’intermédiaire de M. le Recteur,
Prof. Univ. Dr. Vasile Astărăstoae, qui a prouvé un intérêt constant pour la rédaction de
matériels médicaux de qualité et qui nous a offert un permanent appui. Nos remerciements
s’adressent également à Mme le Doyen de la Faculté de Médecine, Prof. Univ. Dr. Doina
Azoicăi, qui a encouragé dès le bon début la réalisation de ce projet, offrant elle aussi un
appui constant et motivant dans la rédaction du présent ouvrage.
Vu que c’est un matériel nécessitant énormément d’attention et de patience dans la
formulation des questionnaires, et que nous avons mis tout notre effort et notre
concentration pour réaliser un ouvrage de qualité et impeccable, veuillez accepter au
préalable nos excusez pour les éventuelles petites erreurs on non-concordances que vous
allez découvrir en résolvant les questionnaires.
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Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
Dans l’espoir que le présent ouvrage vous sera vraiment utile pour préparer le
concours d’internat en médecine, nous vous souhaitons beaucoup de succès et, peut-être
encore plus important que le score obtenu, nous vous souhaitons que vous réussissez à
choisir finalement la spécialité que vous désirez le plus!
Les auteurs
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Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
Méthodologie de calcul du score
Le format et le calcul du score pour chaque questionnaire sont réalisés en
conformité avec les méthodologies des concours d’internat en médecine les plus récents (y
compris celui de 2012).
Chaque questionnaire inclut 200 questions à choix multiples. Chaque question
comprend 5 variantes de réponses. Le score maximal possible est de 950.
Les 50 premières questions sont des questions du type à complément simple / à
réponse unique, avec une seule réponse correcte possible. Si l’on coche plus ou moins
d’une seule réponse, on annule la question (0 points). Chaque question à réponse correcte
est notée de 4 points. Donc, le maximum de points si l’on répond correctement à toutes les
questions du type complément simple est de 200.
Les 150 questions suivantes sont des questions du type à complément multiple / à
réponses multiples, avec 2-4 réponses correctes. Si l’on coche moins de 2 réponses ou
plus de 4 réponses, on annule la question (0 points). Chaque question qui a toutes les
réponses correctes est notée de 5 points. Donc, le maximum de points si l’on répond
correctement à toutes les questions du type complément multiple est de 750.
Exemples de notation pour la question de type complément multiple:
A B C D E – réponses correctes A C E
- Si l’on coche comme variantes correctes A C E, on reçoit le maximum de 5 points,
comme il suit:
ABCDE
X X X
1 1 1 1 1 = 5 points
- Si l’on ne coche pas comme variantes correctes que A et C, on reçoit 4 points, comme
il suit:
ABCDE
X X
1 1 1 1 0 = 4 points
- Si l’on coche comme variantes correctes A, B, D, on reçoit 1 point, comme il suit:
ABCDE
XX X
1 0 0 0 0 = 1 point
Nous vous conseillons également d’accorder au moins 1 heure sur les 4 de
l’examen pour l’action effective de cocher les réponses correctes.
Ceci étant dit, bon travail et bon succès au concours d’internat en médecine!
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Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
(40)
A. Amiodarone dose de charge,
ensuite dose d’entretien
B. Aspirine 250 mg/j ou rien si
CHADS=0
C. Cardioversion combinée (Choc
après la dose de charge avec
amiodarone)
D. Anticoagulants à long terme
E. Ablation
percutanée par
cathéter
QCM I
Chapitre: Cardiologie
Auteur: Dan-Mihai Alexandrescu
COMPLÉMENT SIMPLE
1. Laquelle des affections suivantes
NE représente PAS une cause
neurologique de la perte de
connaissance de courte durée: (27)
A. L’épilepsie
B. La narcolepsie
C. Le vertige
D. Drop-attack
E. Un AIT dans la région
vertébro-basilaire
5. Le bloc atrioventriculaire de
deuxième degré (BAV 2) de type 2
se caractérise par: (41-42)
A. Le blocage d’une onde P après
le prolongement progressif de
l’intervalle PR
B. Les ondes P sont bloquées de
façon intermittente tandis que
les intervalles PR sont de durée
constante
C. Un blocage permanent de la
conduction
atrioventriculaire,
nulle onde P n’est pas suivie par
de QRS
D. Le
ralentissement
de
la
conduction ne se produit qu’au
niveau hissien
E. Est souvent symptomatique
isolé
2. Le syndrome de Brugada se
caractériser par: (32)
A. Bloc de branche droit très
typique avec sur-dénivellation
évidente du segment ST dans
V1-V2-V3
B. Risque d’apparition de la
torsade de pointe, de la
fibrillation ventriculaire ou de la
mort subite
C. Cause
inconnue,
formes
familiales
D. Mutation identifiée sur le canal
sodique, formes familiales
E. Mutation sur le canal potassique
pour les formes familiales
6. Dans le traitement de l’hypertension
artérielle à la suite d’un infarctus de
myocarde on NE recommande
PAS la classe de médicaments: (55)
A. IEC
B. Diurétiques thiazidiques
C. Bêtabloquants
D. Sartans (ARA II)
E. Diurétiques
Antialdostéroniques
3. L’onde Q dans V1,V2,V3 apparaît
dans: (36)
A. Pré-excitation ventriculaire avec
faisceau de Kent droit
B. Pré-excitation ventriculaire avec
faisceau de Kent gauche
C. Hypertrophie
ventriculaire
droite
D. Infarctus inférieur
E. Bloc de branche droit
7. Laquelle des variantes suivantes NE
représente PAS une cause de l’HTA
secondaire: (56-57)
A. La consommation de substances
toxiques
(alcool,
cocaïne,
amphétamines)
B. Le phéochromocytome
4. Le traitement curatif de la
fibrillation peut se réaliser avec:
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Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
C. Le pseudohyperaldostéronisme
induit par glycol
D. L’acromégalie,
l’hyperthyroïdisme,
L’hypercalcémie
E. La coarctation d’aorte
C. Angor instable compliqué par
un infarctus rudimentaire
D. Embolie pulmonaire (souffrance
du ventricule droit)
E. Dans tous les cas d’ischémie
fonctionnelle
8. Dans le traitement de l’HTA
essentielle on utilisera de première
intention les classes suivantes de
médicaments à l’exception de: (54)
A. Antihypertensifs centraux
B. Diurétiques
C. Bêtabloquants
D. Antagonistes des récepteurs de
l’angiotensine II (ARA II)
E. Inhibiteurs calciques
12. Ce sont des causes vasculaires des
lipothymies et des syncopes les
affections suivants à l’exception de :
(27)
A. L’hypotension artérielle
B. La
dysautonomie
neurovégétative
C. La syncope vasovagale
D. L’hypersensibilité
sinocarotidienne
E. Le vol sous-clavier
13. L’affirmation suivante sur la
tachycardie ventriculaire est vraie:
(31)
A. Tachycardie aux QRS larges >
120 ms et irrégulière
B. La fréquence <100/min ou >
250/min
C. Non-soutenue ou soutenue (± 15
secondes)
D. Présence d’une dissociation
atrioventriculaire,
des
phénomènes de capture ou de
fusion
E. Activité atriale organisée et
régulière avec des atriogrammes
rétrogrades (négatifs dans DII
DIII et avF)
9. L’HTA sévère – IIIe degré se
caractérise par: (52)
A. TAd – 100-105 mm Hg
B. TAs >180 mm Hg
C. TAs > 220 mmHg
D. TAd < 110 mmHg
E. TAd – 90-99 mmHg
10. Laquelle des variantes suivantes
relatives aux caractéristiques de la
douleur thoracique aigüe ou
chroniques est vraie: (59)
A. Douleur de type lancinant dans
la péricardite
B. Douleur à irradiation intermittente
depuis
l’épigastre
jusqu’au cou dans l’angor
C. Douleur
dont
le
mode
d’apparition et d’arrêt est lié à
l’effort dans la pleurésie
D. Douleur au siège retro- et
médiosternal dans la barre ou
cervical dans l’angor
E. Douleur avec diminution des
symptômes dans l’antéflexion
(dissection d’aorte)
14. L’hypertrophie atriale gauche se
caractérise par: (35)
A. L’onde P biphasique et négative
en V6
B. L’onde P biphasique et négative
en V1
C. L’onde P≥120 ms en V3
D. L’onde P biphasique et positive
en V1
E. L’onde P biphasique et positive
en DII
11. La troponine peut augmenter dans
les
affections
suivantes
à
l’exception de: (61)
A. Dissection d’aorte
B. Myopéricardite virale
15. Dans le cas d’un patient à
fibrillation
artérielle,
avant
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Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
d’effectuer la cardioversion, on aura
en vue: (39)
A. D’éviter une embolie par
anticoagulation à l’héparine
pendant une semaine
B. D’éviter une embolie par la
réalisation d’une échographie
trans-thoracique
C. Dans le patient déjà anticoagulé
correctement
on
effectue
immédiatement la cardioversion
D. La cardioversion ne nécessite
pas des mesures spéciales, il
faut l’effectuer toujours au plus
vite afin d’établir le rythme
sinusal du patient
E. Les variantes A, B, C sont
correctes
correcte
19. L'étiologie la plus fréquente de
l’angor stable est: (64)
A. Fonctionnelle
(tachycardie,
bradycardie,
anémie,
hypoxémie)
B. L’athérosclérose coronaire
C. Le spasme coronaire
D. La coronarite
E. Des malformations congénitales
20. Le concept de viabilité myocardique
ou d’hibernation se réfère à: (68)
A. La présence d’une quantité
significative
de
myocytes
« survivants »
après
la
revascularisation
B. La présence de tous les
myocytes « survivants » après
six-douze
heures
depuis
l’infarctus si la revascularisation
se produit avant 90 minutes
C. Le
concept
de
viabilité
myocardique n’existe pas s’il
s’agit d’un SCA avec surdénivellation permanente du
segment ST
D. La présence d’une quantité
significative
de
myocytes
« survivants » après six-douze
heures dans le cadre d’une zone
nécrosée
E. La présence d’une quantité
significative
de
myocytes
« survivants » après une embolie
pulmonaire
16. L’hémibloc postérieur inférieur
gauche (HBPG) se caractérise par:
(43)
A. QRS réduit > 120 ms
B. Aspect Q1S3
C. Axe QRS >120 ͦ
D. On le rencontre souvent chez le
patient âgé
E. Représente
une
indication
formelle pour l’implantation
d’un pacemaker
17. Laquelle des affirmations suivantes
relatives à la scintigraphie au
Dipyridamole/Persantine est vraie:
(66)
A. Implique un effort réalisable
B. N’a pas de valeur de localisation
C. N’est pas interprétable si l’ECG
basal est anormal
D. A une bonne sensibilité
E. A une bonne spécificité
21. L’infarctus antéro-septal est visible
sur l’ECG dans les dérivations
suivantes: (69)
A. V1, V2, V3, V4
B. DII DIII aVF
C. V1, V2, V3
D. V1, V2, V3, DII, DIII, aVF
E. V3, V4
18. Le niveau cible du LDL cholestérol
dans le traitement de l’angine
pectorale est: (66)
A. <1 g/l
B. <1.6 g/l
C. >1 g/l
D. >1.6 g/l
E. Aucune des variantes n’est
22. Dans laquelle des situations
suivantes on recommande la
fibrinolyse de première intention, en
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Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
tant que modalité de traitement du
SCA ST+: (70)
A. La durée de déplacement vers la
salle de coronarographie est trop
longue (plus de 90 minutes)
B. L’infarctus
du
myocarde
s’accompagne
de
choc
cardiogénique
C. L’infarctus est diagnostiqué
après plus de 12 heures depuis
son apparition
D. Le patient est allergique à la
streptokinase
E. La variante B est la seule fausse
26. C’est l’investigation suivante qui
constitue l’examen de référence préthérapeutique
mais
non
de
monitorage dans le cadre du
diagnostic de l’anévrisme d’aorte
abdominale: (75)
A. L’échographie abdominale
B. IRM abdominal
C. CT abdominal
D. L’aortographie
E. L’échographie de Doppler des
troncs supra-aortiques
27. Laquelle des affirmations suivantes
sur la thrombo-angéite de Buerger
est fausse: (77)
A. La maladie affecte avec
prépondérance l’homme sous
l’âge de 40 ans grand fumeur
B. Affecte les membres supérieurs
C. N’est pas parmi les causes rares
de l’ACOMI
D. N’associe pas de troubles
trophiques
E. A une évolution bruyante avec
occlusion aigüe
23. Lequel des médicaments suivants
est contre-indiqué en cas d’infarctus
du ventricule droit: (70)
A. Morphine
B. Anxiolytiques
C. Trinitrine
D. Héparine standard ou LMWH
efficace ou bivalirudine
E. IEC
24. Parmi les troubles de rythme qui
peuvent
apparaître
comme
complications
précoces
de
l’infarctus, on ne peut pas compter
le suivant: (70)
A. La tachycardie ventriculaire
B. La fibrillation ventriculaire
C. La
dissociation
électromécanique
D. Le bloc atrioventriculaire
E. La bradycardie
28. L’ACOMI compensée comporte
une valeur de l’IPS de: (78)
A. 0,9 - 1,3
B. 0,75 - 0,9
C. 0,4 – 0,75
D. <0,4
E. >35 mm Hg
29. Laquelle des variantes suivantes
relatives à la physiopathologie de
l’ischémie aigüe des membres est
fausse: (81)
A. L’oblitération
artérielle
provoque une anoxie tissulaire
B. L’ischémie provoque une lyse
cellulaire
(rabdomyolyse,
nécrose tubulaire aigüe)
C. L’ischémie
provoque
une
libération
de
potassium
intracellulaire (hypokaliémie)
D. L’ischémie
provoque
une
libération d’ions H+ (acidose
25. Laquelle des affirmations suivantes
relatives au traitement du SCA STest vraie: (73)
A. On effectue la coronarographie
après une semaine
B. La fibrinolyse ne présente nul
intérêt
C. On administrera aux patients à
bas risque de l’anti-GPIIb/IIIa
D. On utilise des analgésiques pour
stopper la douleur
E. On ne traitera pas les facteurs de
risque
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Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
métabolique)
E. Les cellules les plus sensibles
sont les cellules nerveuses
E. Il n’existe pas un traitement de
référence, celui-ci dépend de la
cause subjacente
30. Si l’on a affaire à un patient qui
présente l’abolissement des pouls de
la cheville, l’occlusion est le plus
probablement localisée au niveau
de: (82)
A. L’artère iliaque
B. L’artère fémorale superficielle
C. L’artère fémorale commune
D. L’artère poplitée
E. Les artères de la gambe
35. Ce sont des facteurs de risque
thromboembolique dans les patients
porteurs de valves mécaniques les
suivants, AVEC UNE SEULE
EXCEPTION: (96)
A. Remplacement
valvulaire
mécanique en position mitrale,
aortique ou pulmonaire
B. Fraction d’éjection du ventricule
gauche <35%
C. État d’hypercoagulabilité
D. Antécédents
d’accident
thromboembolique
artériel
(AVC, AIT, ischémie aigüe des
membres inférieurs)
E. Contraste spontané intense dans
l’AS
31. Le facteur natriurétique atrial a les
actions suivantes sauf une seule
exception: (84)
A. Module la libération de rénine
B. Diminue
la
sécrétion
d’aldostérone
C. Augmente
la
sécrétion
d’arginine
D. A un effet vasodilatateur
E. A un effet diurétique
36. Les endocardites tardives, comme
complications des porteurs de valve
apparaissent plus souvent au niveau:
(94)
A. Mitral
B. Pulmonaire
C. Aortique
D. Tricuspide
E. Mitral et aortique
32. Dans
l’insuffisance
cardiaque
sévère la modification biologique
suivante apparaît : (87)
A. Hyponatrémie
B. Hypernatrémie
C. Croissance du VGM
D. Diminution du VGM
E. Polyglobulie
37. L’intervention de Ross comporte:
(93)
A. Transposer la valve aortique en
position pulmonaire, la valve
aortique étant remplacée par une
hétérogreffe
B. Transposer la valve mitrale en
position aortique, la valve
aortique étant remplacée par une
hétérogreffe
C. Transposer la valve pulmonaire
en position aortique, la valve
aortique étant remplacée par une
hétérogreffe
D. Transposer la valve pulmonaire
en position aortique, la valve
pulmonaire étant remplacée par
une hétérogreffe
33. La FEVG dans l’insuffisance
cardiaque systolique est: (88)
A. < 40 %
B. < 45 %
C. < 50 %
D. <55 %
E. < 60 %
34. Le traitement de référence de
l’insuffisance cardiaque gauche se
fait à l’aide de: (89)
A. Bêtabloquants (Carvédilol)
B. Antialdostéroniques
C. Furosémide
D. IEC
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Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
E. Aucune variante de réponse
n’est correcte
38. La maladie de Osler est provoquée
par: (97)
A. S. epidermidis
B. Streptocoques viridans
C. Streptocoques D
D. Streptocoques déficients
E. Toutes les variantes sont
correctes
représente: (107)
A. La hausse de la pression
artérielle lors de l’inspiration
(>10 mm Hg)
B. La baisse de la pression
artérielle lors de l’inspiration
(>10 mm Hg)
C. La baisse de la pression
artérielle lors de l’expiration
(>10 mm Hg)
D. La hausse de la pression
artérielle lors de l’inspiration
(<10 mm Hg)
E. Ne se réfère pas à la pression
artérielle
39. Laquelle des affirmations suivantes
relatives à la prévention de
l’endocardite infectieuse est vraie:
(103)
A. Seulement les patients des
groupes à haut risque (Groupe
A) doivent recevoir un carnet de
prophylaxie de l’endocardite
B. Les recommandations les plus
récentes vont dans la direction
de
l’intensification
de
l’antibioprophylaxie
systématique chez tous les
valvulaires
C. Il y a 3 groupes de risque:
Groupe A (risque élevé),
Groupe B (risque moyen),
Groupe C (bas risque)
D. On
ne
recommande
l’antibioprophylaxie
qu’aux
patients dans les groupes A et B
E. Les
seules
indications
d’antibioprophylaxie au niveau
dentaire sont les procédures
avec manipulation de la région
périapicale de la dent ou de la
région gingivale
42. Le signe de Musette représente:
(109)
A. Augmentation de la pression
artérielle différentielle
B. Souffle double intermittent
crural
C. Pouls capillaire
D. Hippus pupillaire
E. Balancement de la tête à chaque
battement cardiaque
43. Le traitement médical dans le cas de
l’insuffisance aortique associée au
syndrome de Marfan se fait à l’aide
de: (110)
A. IEC
B. Anticalciques: Nifédipine
C. Bêtabloquants
D. Diurétiques
E. Les variantes A et B sont
correctes
40. Laquelle des étiologies suivantes
constitue la cause la plus fréquente
de la péricardite aigüe: (105)
A. Les infections bactériennes
autres que la tuberculose
B. La tuberculose
C. Les néoplasies
D. Les infections virales
E. La péricardite post-infarctus
44. L’insuffisance mitrale chronique a
les étiologies suivantes à l’exception
de : (112):
A. Dystrophique:
Maladie
de
Barlow
B. Dégénérative
C. Fonctionnelle
D. Ischémique
(Dissection
aortique)
E. Congénitale
41. Le pouls paradoxal de Kussmaul
45. Représente une indication pour
13
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
l’utilisation de l’échographie à la
dobutamine en petites doses afin de
diagnostiquer la sténose aortique:
(117)
A. La
sténose
aortique
symptomatique,
chez
les
patients
sans
dysfonction
ventriculaire gauche
B. La
sténose
aortique
asymptomatique,
chez
les
patients
sans
dysfonction
ventriculaire gauche
C. La
sténose
aortique
symptomatique,
chez
les
patients
avec
dysfonction
ventriculaire gauche
D. La
sténose
aortique
asymptomatique,
chez
les
patients
avec
dysfonction
ventriculaire gauche
E. Les variantes C et D sont
correctes
de thromboxane
B. Bloque l’agrégation moyennée
par l’adénosine dyphosphate
C. Inhibe
la
voie
finale
d’agrégation
D. Inhibe l’action de la thrombine
E. Active les récepteurs de
GPIIb/IIIa par fibrinogène
48. Lesquelles des classes suivantes de
médicaments peuvent conduire à
l’apparition des œdèmes au niveau
des membres inférieurs: (1346)
A. Inhibiteurs des canaux calciques
B. Bêtabloquants
C. IEC
D. Antiarythmiques (l’amiodarone)
E. Antiagrégants plaquettaires
49. Des souffles organiques peuvent
apparaître dans les situations
suivantes, A L’EXCEPTION DE :
(1124)
A. Communication interatriale
B. Persistance canal artériel
C. Anémie, fièvre
D. Coarctation d’aorte
E. Tétralogie de Fallot
46. Relativement à l’examen physique
du patient à l’insuffisance veineuse
chronique, la technique de Schwartz
représente: (121)
A. Transmettre la vibration par
percussion le long du trajet
variqueux
qui
traduit
l’incontinence des valves
B. Palper les pouls distaux
C. Mettre en évidence le syndrome
des jambes sans repos
D. Lorsqu’on passe de la position
assise en orthostatisme, les
veines restent vides, et si elles se
remplissent lorsqu’on enlève le
garrot placé à la base de la
cuisse,
les
valves
sont
incontinentes
E. Aucune des variantes de réponse
n’est correcte
Présentent
des
indications
d’administration des inhibiteurs de
l’anhydrase
carbonique
les
pathologies
suivantes,
A
L’EXCEPTION DE : (141)
A. Glaucome aigu
B. Poussées de cœur pulmonaire
chronique
C. Glaucome chronique
D. Mal des montagnes
E. Hypertension
intracrânienne
(AVC hémorragique)
50.
Score complément simple: _____
47. Le mécanisme physiopathologique
par lequel le clopidogrel agit est
le suivant: (136)
A. Inhibe la voie de la cyclooxygénase et diminue la
production de prostaglandine et
COMPLÉMENT MULTIPLE
51. Les troubles de rythme conduisant à
l’apparition des lipothymies et des
syncopes sont les suivants: (27)
A. La tachycardie ventriculaire
14
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
B. La fibrillation ventriculaire
C. La torsade des pointes
D. La dysfonction sinusale
E. Flutter
B.
52. Le bilan biologique dans le cadre du
diagnostic étiologique des lipothymies
et des syncopes peut mettre en évidence
les
modifications
suivantes,
A
L’EXCEPTION DE : (28)
A. La dyskaliémie
B. La nécrose myocardique
C. L’intoxication à l’éthylène
glycol
D. L’hypocalcémie
E. La dysthyroïdie
C.
D.
53. La présence d’une phase
postcritique
prolongée
ou
une
récupération lentement progressive de
l’état de conscience normale est
caractéristique à la syncope de cause:
(28)
A. Reflexe: La syncope vasovagale
B. Vasculaire:
Hypotension
artérielle
C. Cardiaque:
Bloc
atrioventriculaire de 3e degré
D. Brève perte de connaissance de
cause neurologique
E. Brève perte de connaissance de
cause métabolique
E.
mécanisme
de
perte
de
connaissance à courte durée :
dysfonction sinusale ou BAV de
Ier degré, salves de TV
Identifie de manière directe le
mécanisme
de
perte
de
connaissance de courte durée :
bloc de branche gauche, bloc
alternant, bloc trifasciculaire
Identifie
des
signes
de
cardiopathie
ischémique,
hypertrophique ou dilatative
N’identifie pas des affections
arythmiques
spécifiques:
Syndrome
de
Brugada,
Syndrome
de
QT
long,
Dysplasie arythmogène du
ventricule droit, Syndrome
WPW
Identifie des signes d’une
cardiopathie subjacente (galop,
souffle)
56. Flutter atrial se caractérise par: (30)
A. Tachycardie régulière
B. Foyer d’automatisme intra-atrial
C. QRS fines à l’exception du bloc
de branche fonctionnel ou
organique
D. Activité atriale organisée et
régulière avec une fréquence de
300/min
E. Macro-rentrée dans le cadre de
l’atrium gauche
54. Ce sont des explorations de seconde
intention dans le diagnostic des
lipothymies et des syncopes les
suivants : (28,29)
A. Électrocardiogramme
B. Echographie cardiaque
C. Tilt Test
D. CT Cérébral
E. Massage sino-carotidien après
avoir vérifié l’absence du
souffle carotidien
57. Représentent des étiologies des
extrasystoles et des tachycardies
ventriculaires: (31)
A. Des
causes
cardiaques:
cardiopathies
ischémiques,
dilatatives,
valvulaires,
hypertrophiques,
restrictives,
congénitales,
épanchement
péricardique, postopératoire à
une chirurgie cardiaque, cœur
pulmonaire
B. Parfois idiopathiques
C. Stimulation adrénergique: effort,
stress, température
D. Iatrogènes:
digitaliques,
55. Elle est FAUSSE l’affirmation
suivante concernant la sensibilité
diagnostique de l’ECG dans le cadre
des syncopes: (28)
A. Identifie de manière directe le
15
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
hormones thyroïdiens
E. Causes rare: Syndrome de
Brugada,
Dysplasie
arythmogène de ventricule droit,
Syndrome QT long
fond
C. Implantation d’un pacemaker
D. Dépistage familial dans le cadre
des arythmies ventriculaires
congénitales
E. Traitement
médical
avec
ajmaline ou flécainide
62. Un patient se présente chez le
médecin en accusant des palpitations.
Après avoir effectué les investigations
de première intention (ECG), celles-ci
ne sont pas documentées. Les
investigations supplémentaires sont
nécessaire s’il existe: (33)
A. Un
milieu
familial,
professionnel ou sportif sans
risque
B. Des
troubles
de
rythme
ventriculaire (ESV, salves de
TV)
C. Des arguments cliniques ou
électrocardiographiques
pour
une cardiopathie de fond ou
pour une arythmie maligne
D. Une faible tolérance
E. Des symptômes invalidants
58. Ce sont des troubles de rythme
atrial les suivants: (31)
A. Les extrasystoles atriales
B. La fibrillation atriale
C. Le flutter atrial
D. La tachycardie sinusale
E. La tachycardie de Bouveret
59. Les extrasystoles ventriculaires
bénignes se caractérisent par les
éléments suivants à l’exception de :
(34)
A. La stimulation ventriculaire
négative
B. L’exploration
positive
des
potentiels tardifs
C. Un couplage tardif (phénomène
R/T )
D. L’existence de la lipothymie, de
la syncope ou de la mort subite
E. En mesure plus réduite des
extrasystoles
ventriculaires
s’aggravant à l’effort
63.
Lesquelles
des
suivantes
représentent des causes de croissance
du segment QT: (37)
A. L’hypercalcémie
B. L’hyperkaliémie
C. L’iatrogénie (antiarythmiques,
macrolides, antihistaminiques)
D. Le syndrome de Romano-Ward
E. Le syndrome de Jerwell-LangeNielsen
60. Les explorations de première
intention utilisées dans le diagnostic des
palpitations sont les suivantes, à
l’exception de: (33-34)
A. L’échographie cardiaque
B. L’ECG
C. ECG
d’effort
avec
une
excellente contribution
D. L’angiographie
ventriculaire
droite
E. L’exploration
électrophysiologique
64. Des modifications diffuses de
repolarisation apparaissent dans : (37)
A. La péricardite
B. Le bloc de branche
C. L’hypertrophie ventriculaire
D. Rarement
ischémiques
(à
l’exception de la souffrance
circonférentielle sur une sténose
de tronc commun)
E. La préexcitation
61. En présence d’une TV ou d’une
arythmie
maligne
l’attitude
thérapeutique typique est la suivante :
(34)
A. Traitement
médical
(amiodarone, bêtabloquants)
B. Traitement de la cardiopathie de
16
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
65. On NE rencontre PAS l’axe à
gauche (-30°) dans les affections
suivantes: (36)
A. Hypertrophie
ventriculaire
gauche
B. Infarctus latéral
C. Cœur verticalisé (BPOC)
D. Hémibloc postérieur gauche seul
ou avec bloc de branche droite
E. Hémibloc antérieur gauche seul
ou avec bloc de branche droite
hémorragique ou traitement avec
AVK dans le patient noncompliant
C. CHADS=0: Aspirine 250mg/j
ou rien
D. Dans peu de temps, on
remplacera les AVK par de
nouveaux antithrombotiques ne
nécessitant pas le contrôle de
l’INR (Dabigatran)
E. L’anticoagulation est toujours
continuée pendant un mois après
la conversion
66.
L’affirmation
suivante
sur
l’intervalle PR est vraie : (36)
A. Le PR normal varie entre 100220 ms, constant d’un cycle à
l’autre
B. PR >200 ms stable sans ondes P
bloquées dans le BAV de Ier
degré
C. PR>200 constant dans le BAV 2
Wenckebach
D. Le prolongement du PR dans le
syndrome WPW
E. La diminution du PR dans le
syndrome WPW
69. Le score CHADS inclut: (39)
A. Âge ≥ 75 ans
B. Diabète
C. Hypotension
D. Cardiomégalie
E. AVC
70. Parmi les complications de la
fibrillation atriale on compte: (39)
A. L’insuffisance cardiaque
B. Récidives: rares
C. La maladie arythmique atriale:
l’hyperexcitabilité associée à la
bradycardie
D. Complications iatrogènes
E. AVC ischémique
67. Représentent des causes cardiaques
de la fibrillation atriale les suivantes:
(38)
A. Les valvulopathies: surtout
mitrales
B. L’HTA: la cause no. 1
seulement si accompagnée par
l’hypertrophie
ventriculaire
gauche
C. Coronaropathies
D. Hyperthyroïdisme,
phéochromocytome, éthylisme
aigu
E. FiA idiopathique
71. Ce sont des affirmations FAUSSES
relatives aux modalités de baisse de la
fréquence cardiaque dans la fibrillation
atriale: (39)
A. L’objectif est une fréquence
cardiaque ≤80 au repos et ≤110
à l’effort
B. L’objectif est une fréquence
cardiaque ≤60 au repos et ≤100
à l’effort
C. En cas d’urgence on recourt aux
bêtabloquants
D. À la distance des bêtabloquants
ou des digitaliques orientés
selon la fonction systolique
E. On réalise la baisse de la
fréquence cardiaque à l’aide des
anticoagulants
68. Les variantes suivantes relatives aux
indications des anticoagulants dans la
fibrillation artérielle sont vraies: (40)
A. CHADS≥2: AVK avec INR
entre 2 et 3
B. CHADS=1: AVK avec INR
entre 1 et 2 ou Aspirine 250
mg/j en cas de risque
17
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
les signes suivants A L’EXCEPTION
DE : (42)
A. Retard de l’apparition de la
déflexion intrinsécoïde >50 ms
B. Aspect S1Q3
C. Anomalies de repolarisation en
V2, V3, V4 (sur-dénivellation
ST et ondes T positives)
D. La disparition de l’onde Q en
DI, aVL, V5, V6
E. L’axe QRS est toujours dévié
vers la droite
72. Les affirmations suivantes relatives
au bloc trifasciculaire sont vraies: (43)
A. Peut avoir une étiologie
dégénérative
ou
il
peut
apparaître sur le fond d’une
cardiopathie avancée
B. Associe BBD + HBAG ou BBD
+ HBPG à un BAV 1 ou 2
C. La conduite à suivre dans la
plupart des cas - implanter un
stimulateur cardiaque
D. Associe BBG + BBD ou BBD +
HBPG/HBAG à un BAV 1 ou 2
E. Représente un trouble de
conduction atrioventriculaire
76. Ce sont des troubles de conduction
intraventriculaire les suivants: (43)
A. Le bloc de branche droit
B. Le bloc de branche gauche
C. L’hémibloc
antérosupérieur
gauche
D. L’hémibloc
postéroinférieur
gauche
E. BAV tip 3
73. Les suivantes représentent des
étiologies des blocs atrioventriculaires:
(42)
A. La syncope vasovagale
B. L’hypokaliémie
C. Congénitale (l’absence de la
connexion entre le nœud
atrioventriculaire et le fascicule
de His)
D. Le syndrome coronarien aigu
E. Iatrogène: les digitaliques, les
bêtabloquants, les sartans
77. L’HTA « de la blouse blanche » est
définie par: (52)
A. MAPA au domicile <125/80
mmHg
B. Automesurée <135/85 mmHg
C. HTA au cabinet >160/100
mmHg
D. Ne représente pas une HTA
isolée
E. Les variantes B et D sont
correctes
74. Le bloc atrioventriculaire de
premier degré (BAV 1) se caractérise
par: (41)
A. Le prolongement de l’intervalle
PR au-dessus de 200 ms sans
ondes P bloquées
B. Le
ralentissement
de
la
conduction à tout étage (nodal,
hissien, infrahissienn)
C. Le BAV 1 est souvent
symptomatique
D. Un BAV 1 peut traduire un
ralentissement nodal bénin aussi
bien qu’un bloc distal évoluant
vers BAV3
E. Occasionnellement des ondes P
bloquées apparaissent
78. On considère comme des facteurs
de risque cardiovasculaire les suivants,
A L’EXCEPTION DE: (53)
A. L’âge >45 ans chez l’homme et
> 55 ans chez la femme
B. Diabète, seulement si non-traité
C. LDL> 1,60 g/l (4,1 mmol/l)
HDL-cholestérol<0,40g/l
(1
mmol/l)
D. Arrêt de fumer depuis moins de
3 ans
E. Existence
d’un
syndrome
métabolique
75. Le bloc de branche droite est
évident sur l’électrocardiogramme par
18
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
79. Ce sont des signes paracliniques de
retentissement de l’HTA les suivants:
(53)
A. L’hypertrophie atriale gauche
B. La protéinurie>300mg/24 ore
C. L’augmentation discrète de la
créatinine et/ou de la clearance
créatinine < 60 ml/min
D. L’épaisseur intime-moyenne >
0.9 mm ou plaque carotidienne
E. Infarctus du myocarde
83. L’HTA secondaire iatrogène peut
être induite par les médicaments
suivants: (57)
A. AINS
B. Amphétamines
C. Corticoïdes
D. Estro-progestatifs
E. Cocaïne
84. Lesquelles des affirmations
suivantes sur le phéochromocytome
sont FAUSSES: (56)
A. Signes évocateurs: la triade
céphalée-transpirationspolypnée avec flush cutané
B. Traitement chirurgical sous
captopril
C. C’est une tumeur à cellules
chromaffines, maligne dans
90% des cas, qui secrète des
catécholamines,
de
siège
médulosurrénal dans 90% des
cas
D. Confirmation parfois difficile
par
le
dosage
des
métanéphrines et des normétanéphrines urinaires par 24 h, si
possible pendant une poussée de
tension
E. On effectue des explorations
morphologiques par scanner ou
IRM surrénal, scintigraphie à la
MIBG
80. Les examens recommandés pour
chercher une étiologie curable (HTA
secondaire), afin de détecter les autres
facteurs de risque cardio-vasculaire et
de dépister une affection des organes
cible
sont
les
suivants,
A
L’EXCEPTION DE: (54)
A. L’acide urique sérique
B. Micro-albuminémie
C. ECG à l’effort
D. Fond d’œil si l’HTA est sévère
E. Kaliémie sans garrot
81. Lesquelles des affirmations
suivantes représentent des conseils
hygiéno-diététiques indiqués dans le
traitement de l’HTA essentielle: (54)
A. Réduire la consommation de
lipides non-saturés
B. Diminuer l’apport de sel
C. Diminuer la consommation de
l’alcool et du thé
D. Normaliser le poids en cas de
surcharge volémique
E. Dépister et traiter les autres
facteurs de risque (sevrage
tabagique, gestion du diabète,
traitement de la dyslipidémie)
85. Ce sont des signes évocateurs pour
les hyperaldostéronismes primaires les
suivants: (56)
A. L’hyperkaliémie sévère
B. L’hypokaliémie sévère
C. L’alcalose métabolique
D. La kaliurèse importante
E. L’acidose métabolique
82. Le traitement médicamenteux
recommandé de l’HTA essentielle dans
le sujet jeune peut se faire à l’aide des
médicaments suivants: (55)
A. Bêtabloquants
B. Diurétiques
C. IEC
D. Anticalciques
E. Alpha-bloquants
86. La crise aigüe hypertensive est
définie par: (57)
A. Augmentation brutale de la
pression artérielle au-dessus des
valeurs régulières, en pratique,
une TAs≥180 mmHg et/ou
19
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
TAd≥110 mmHg
B. Augmentation brutale de la
pression artérielle au-dessus des
valeurs régulières, en pratique,
une TAs≥220 mmHg et/ou
TAd≥130 mmHg
C. Apparaît chez un patient
généralement
normotensif
(spontané ou sous l’effet d’un
traitement antihypertensif)
D. Augmentation brutale de la
pression artérielle au-dessus des
valeurs normales, en pratique,
une
TAs≤180 mmHg et/ou
TAd≤110
E. Apparaît chez un patient dont
les valeurs de l’HTA sont en
permanence élevées (HTA
résistante)
l’angiotensine III (IEC)
D. Commence par monothérapie
seule
E. On utilisera de 2nde intention
l’aliskiren, les alphabloquants
et les antihypertensifs centraux
89. Le pouls paradoxal apparaît dans les
affections suivantes: (59)
A. Tamponnade
B. Infarctus du ventricule droit
C. Embolie pulmonaire sévère
D. Coarctation d’aorte
E. Défaut septal interventriculaire
90.
L’ECG
est
difficilement
interprétable ou non-interprétable dans
les situations suivantes: (60)
A. Si le patient est porteur d’un
stimulateur cardiaque
B. Si le patient est sous sédation
C. Si un bloc de branche gauche est
présent
D. Si le patient a une hypertrophie
ventriculaire gauche majeure
E. Si
l’on
administre
des
digitaliques au patient ou s’il
présente aussi d’autres troubles
métaboliques (dyskaliémie)
87. Dans laquelle des situations
suivantes on aura en vue le diagnostic
d’HTA secondaire (55):
A. HTA chez le sujet ≥65 ans
B. HTA chez le sujet jeune
C. HTA résistante
D. HTA maligne
E. HTA avec apparition
et
aggravation rapides
88. Lesquelles des affirmations
suivantes relatives au traitement
médicamenteux de l’’HTA sont
FAUSSES: (54)
A. On commence le traitement en
cas de persistance des valeurs
élevées de la TA après 3-6 de
suivi strict des règles hygiénodiététiques
B. Si l’on n’obtient pas la TA cible
dans au moins 15 jours, il faut
quelquefois recourir à la
bithérapie, la tri-thérapie, même
la quadri-thérapie
C. Les 5 classes thérapeutiques à
utiliser de première intention
sont : les diurétiques, les
bêtabloquants,
IEC,
les
inhibiteurs calciques et les
antagonistes des récepteurs de
91. Lesquelles des affirmations
suivantes
sur
les
douleurs
« fonctionnelles » sont vraies: (63)
A. Ne
représentent
pas
un
diagnostic d’élimination
B. Ce sont des précordialgies sousmammaires pongitives
C. Sont fréquentes dans la jeune
femme neurotonique
D. Apparaissent chez les patients
avec prolapsus valvulaire mitral
E. Apparaissent chez les patients
avec sténose mitrale
92. Les modifications de l’ECG
apparaissant dans l’anévrisme du
ventricule gauche sont les suivantes:
(37)
A. La sur-dénivellation ST discrète,
fixe, non-évolutive
20
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
B. L’onde Q n’apparaît pas
C. L’onde T géante apparaît
D. La sur-dénivellation ST corrigée
par la trinitrine
E. L’onde Q apparaît le plus
souvent en V2V3V4
coronarien aigu avec sur-dénivellation
permanente du segment ST les
affirmations suivantes sont vraies : (70)
A. Le traitement est indiqué si le
patient présente une HTA sévère
B. Le traitement est contre-indiqué
en cas d’infarctus du ventricule
droit
C. Le traitement est indiqué en cas
d’infarctus inférieur
D. Le traitement est contre-indiqué
dans
le
cas
du
choc
cardiogénique
E. On n’administre pas des
bêtabloquants en cas de
tachycardie
ventriculaire
soutenue
93. Le déséquilibre du rapport
apport/consommation d’oxygène du
myocarde (MVO2) dépend de: (64)
A. Le niveau de stress
B. La médication
C. La fréquence cardiaque
D. La
tension
pariétale
du
myocarde
E. Le sexe du patient
94.
Lesquelles
des
pathologies
suivantes représentent des contreindications des tests d’ischémie: (65)
A. L’insuffisance cardiaque sévère
B. Infarctus du myocarde datant de
moins de 5 jours
C. La cardiomyopathie obstructive
symptomatique
D. Troubles de rythme atrial
E. La sténose aortique étroite
symptomatique
98. Conformément à la classification
internationale de Killip, le stade II
présuppose
l’existence
des
modifications suivantes: (71)
A. Râles sibilants ne dépassant pas
la
moitié
des
champs
pulmonaires
B. Infarctus du myocarde sans
complications
C. Œdème pulmonaire
D. Râles crépitants ne dépassant
pas la moitié des champs
pulmonaires
E. Mortalité dans la phase aigüe:
30%
95. Dans laquelle des dérivations
suivantes
apparaissent
des
modifications en cas d’infarctus
antérieur étendu: (69)
A. V1, V2, V3
B. V7, V8, V9
C. DI, aVL
D. V4, V5, V6
E. V3R, V4R, VE
99. L’infarctus du ventricule droit
bénéficie des principes suivants de
traitement: (71)
A. Coronarographie d’urgence en
vue d’une angioplastie
B. On administre des substances
inotropes
C. On recommande d’administrer
des diurétiques
D. On effectuera le remplissage
vasculaire (colloïdes)
E. On évitera les dérivés nitrés
96. Lesquelles des variantes suivantes
concernant l’augmentation du CPK-MB
sont vraies: (69)
A. Se positive toutes les 2 heures
B. Le pic à 12-24 heures
C. Se normalise au 2ème jour
D. Se normalise au 3ème jour
E. Se positive toutes les 12 heures
100. Ce sont des complications
précoces de l’infarctus du myocarde:
(71)
97. Sur les indications du traitement à
bêtabloquants dans le syndrome
21
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
ou compliqué
D. Anévrisme
volumineux
(diamètre supérieur ou égal à 1
cm)
E. Anévrisme à évolution lente
(+1 cm dans 2 ans)
A. La mort subite par fibrillation
ventriculaire,
asystolie,
bradycardie ou dissociation
électromécanique
B. Syndrome de Dressler
C. Insuffisance mitrale par rupture
ou dyskinésie de pilier
D. Choc cardiogénique
E. Anévrisme ventriculaire
104. L’artérite diabétique présente les
caractéristiques suivantes: (77)
A. Est plus fréquente
B. Est plus tardive
C. Associe des troubles trophiques
distaux
D. Est plus diffuse
E. N’est pas influencée par la
présence de l’athérosclérose
101.
Lesquelles des pathologies
suivantes NE représentent PAS des
étiologies rares de l’anévrisme
d’aorte abdominale: (75)
A. La dystrophie de la moyenne: la
maladie de Marfan, Elher
Danlos
B. La maladie de Horton
C. L’athérosclérose
D. La thrombangéite de Buerger
E. La maladie de Takayasu
105. Le diagnostic différentiel de
l’ACOMI en présence de la
claudication intermittente se réalise
par
rapport
aux
affections
suivantes: (78)
A. Varices compliquées
B. Coarctation d’aorte
C. Anévrisme artériel
D. Canal lombaire étroit
E. Dissection d’aorte
102.
Parmi les complications de
l’anévrisme d’aorte abdominale, le
syndrome de fissuration se
caractérise par les signes et les
symptômes suivants : (76)
A. Douleur abdominale spontanée,
violente
avec
contracture
abdominale
B. Douleur
abdominale
accompagnée
d’hémorragie
digestive supérieure
C. Masse battante et douloureuse à
la palpation, parfois avec
augmentation du volume
D. Collapse généralement modéré
E. Collapse rapide mortel
106. Lesquelles des variantes suivantes
NE constituent PAS des indications
de traitement dans l’ACOMI stade
II: (80)
A. Traitement
antiagrégant
plaquettaire + statines + IEC
B. On initiera des procédures de
rééducation de la marche
C. En cas d’amélioration on va
effectuer un contrôle tous les 2
ans
D. Revascularisation plus précoce
en cas de lésion distale
E. Administration
de
prostaglandines i.v.
103. Lesquelles des variantes suivantes
représentent des indications de
traitement curatif dans le cas d’un
patient avec anévrisme d’aorte
abdominale: (76)
A. Anévrisme
volumineux
(diamètre supérieur ou égal à 5
cm)
B. Anévrisme à évolution rapide
(+1 cm dans un an)
C. L’anévrisme est symptomatique
107. L’ischémie aigüe des membres par
mécanisme embolique peut être
provoquée par les pathologies
suivantes: (81)
A. La sténose mitrale
B. Le myxome
22
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
C. La dissection aortique
D. La cardiomyopathie obstructive
E. L’anévrisme artériel
prostaglandines
D. L’activation de la sécrétion
d’arginine, de vasopressine
E. La dilatation et l’hypertrophie
du ventricule gauche
108. Ce sont des signes neurologiques
constituant un indicateur de
sévérité dans l’ischémie aigüe des
membres les suivants : (82)
A. L’anesthésie
B. Le déficit moteur
C. L’hypoesthésie
D. L’hyperesthésie
E. Des troubles trophiques cutanés
112. Les effets négatifs, nuisibles, de
l’activation adrénergique comme
mécanisme
compensatoire
dans
l’insuffisance cardiaque chez l’adulte
sont les suivants: (84)
A. La tachycardie
B. L’augmentation de la précharge
C. L’effet arythmogène
D. L’augmentation de la postcharge
E. L’augmentation
du
travail
cardiaque
109. Lesquels des éléments suivants
orientent le diagnostic vers
l’ischémie aigüe des membres par
thrombose athéromateuse: (82)
A. L’ischémie moins sévère
B. L’ischémie sévère franche
C. Tous les autres pouls sont
présents
D. Début aigu
E. Des images de thrombose sur les
artères pathologiques
113. Des endocrinopathies
avec
affection du myocarde qui produisent
l’insuffisance ventriculaire gauche
par l’altération de la fonction
musculaire sont les suivantes : (85)
A. Le syndrome de Conn
B. Le phéochromocytome
C. L’acromégalie
D. Le diabète
E. Le syndrome de Cushing
110.
Du
point
de
vue
physiopathologique la gravité de
l’ischémie aigüe des membres dépend
de : (81)
A. L’état du réseau artériel
préexistant
B. Ne dépend pas de la présence
d’une
thrombose
veineuse
associée
C. La quantité d’ions de H+ libérée
D. Le siège de l’obstruction
E. La vitesse d’installation
114.
L’insuffisance
cardiaque
systolique à haut débit N’apparaît
PAS dans: (85)
A. L’anémie chronique
B. La carence de la vitamine B6
C. La thyréotoxicose
D. La
fistule
artério-veineuse
congénitale ou acquise
E. La
communication
interventriculaire congénitale ou
acquise
111. Lesquelles des variantes suivantes
représentent
des
mécanismes
compensatoires
au
niveau
périphérique qui apparaissent dans
l’insuffisance cardiaque chez l’adulte:
(84)
A. L’activation du système rénineangiotensine-aldostérone
B. L’activation de la sécrétion
d’endothéline
C. L’inactivation de la sécrétion de
115. Un patient avec insuffisance
cardiaque systolique peut présenter
lors de l’auscultation cardiaque les
signes suivants: (86)
A. Tachycardie
B. Signe de Carvalho
C. Galop protosystolique
D. Galop télésystolique
23
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
E. Bruit 2 accentué dans le foyer de
la pulmonaire, prouvant une
HTAP associée
120. Les bêtabloquants qui sont
autorisés à être commercialisés dans
l’insuffisance cardiaque sont: (89)
A. Bisoprolol
B. Aténolol
C. Propranolol
D. Labétalol
E. Carvédilol
116. La dyspnée est très probablement
d’origine cardiaque si: (87)
A. BNP < 400pg/ml
B. NT-proBNP>2000 pg/ml
C. BNP > 400pg/ml
D. NT-proBNP<2000 pg/ml
E. NT-proBNP< 400pg/ml
121. Le traitement de l’œdème
pulmonaire aigu avec TAs < 100
mmHg se fait à l’aide de: (92)
A. Furosémide 1mg/kg iv répété,
pour obtenir une diurèse
d’environ 2-3 l /24h
B. Dérivés
nitrés
par
voie
intraveineuse
C. Oxygénothérapie nasale
D. Amines à l’activité inotrope: la
dobutamine
E. Anticoagulation préventive ou
efficace en fonction de la
cardiopathie subjacente et des
facteurs déclenchants
117. Lesquelles des investigations
suivantes sont effectuées de façon
systématique pour le patient adulte
avec
insuffisance
cardiaque
systolique: (87)
A. L’hémoleucogramme
B. Le dosage de l’uricémie, de la
calcémie
et
de
la
phosphorémie ne présentent
pas d’intérêt
C. Sérologie VIH 1-2 si le sujet est
jeune
D. Bandelette urinaire
E. Bilan hépatique complet
122. Constituent des indications
d’implantation
d’un
défibrillateur
implantable,
comme modalité de
traitement non-pharmacologique de
l’insuffisance
cardiaque
gauche
systolique les suivants: (90)
A. Arrêt cardiaque par FV ou TV
sans cause aigue ou réversible
B. Patient dans les classes NYHA
III-IV sous traitement médical
optimal qui présente une
cardiopathie avec ventricule
gauche
dilaté
(DTDVG>30mm/m2)
et
FEVG≤35%, dans le rythme
sinusal et un QRS large
(≥120ms)
C. Les patients coronariens dans la
classe NYHA II-III avec une
FEVG≤30% mesurée après au
moins un mois depuis l’infarctus
ou à 3 mois après un geste de
revascularisation (chirurgie ou
angioplastie)
118. Ce sont des facteurs de
décompensation
de
l’insuffisance
cardiaque systolique chez l’adulte les
suivants: (88)
A. Le traitement bradycardisant ou
inotrope négatif
B. La poussée d’hypertension
C. La surinfection bronchique ou
la pneumonie
D. La présence des varices au
niveau des membres supérieurs
E. La consommation excessive de
nicotine
119. Ce sont des facteurs de pronostic
négatif biologiques de l’insuffisance
cardiaque systolique chez l’adulte les
suivants: (89)
A. Le bas niveau de BNP
B. L’hyponatrémie
C. L’insuffisance rénale
D. L’hyperbilirubinémie
E. La polyglobulie
24
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
D. TV soutenue spontanée, mal
tolérée,
en
l’absence
de
l’anomalie
cardiaque
pour
laquelle un traitement médical
ou une ablation sont impossibles
ou ils n’ont pas eu succès
E. L’apparition d’une TV ou d’une
FV dans la phase aigüe d’un
SCA
123.
Constituent
des
moyens
d’assistance circulatoire qu’on peut
utiliser pendant les poussées de choc
cardiogénique, réfractaire au traitement
pharmacologique, les suivants: (91)
A. L’implantation d’un pacemaker
tricaméral
B. L’assistance circulatoire externe
biventriculaire
C. Le cœur artificiel total
D. La contrapulsation aortique
E. La contrapulsation de la veine
cave
E. Réduit
le
d’hospitalisations
nombre
126. La transplantation cardiaque est
contre-indiquée dans les situations
suivantes: (91)
A. Âge> 60-65 ans
B. HTA précapillaire
C. Existence de l’athérosclérose
D. Existence d’un néoplasie
E. État psychique compatible
127. Ce sont des facteurs de pronostic
négatif cliniques de l’insuffisance
cardiaque systolique les suivants: (89)
A. Prise de poids involontaire
B. Cardiopathie ischémique
C. Antécédents de mort subite
ressuscitée
D. Lipothymies, syncopes
E. Le stade NYHA III/IV
128. Le traitement étiologique
l’insuffisance cardiaque systolique
réfère à: (89)
A. L’administration de IEC
B. La revascularisation en cas
coronaropathie
C. Le remplacement valvulaire
cas de valvulopathie
D. La vaccination antigrippale
antipneumococciques
E. L’implantation de pacemaker
124. Le patient avec insuffisance
cardiaque diastolique peut présenter sur
la
radiographie
thoracique
les
modifications suivantes: (91)
A. Cardiomégalie (ICT> 0.7)
B. Épanchements pleuraux
C. Hypertrophies
atriales
et
ventriculaires gauches souvent
marquées
D. La cardiomégalie est absente
E. La
surcharge
pulmonaire
n’apparaît pas
de
se
de
en
et
129. Les affirmations suivantes
relatives au traitement de l’insuffisance
cardiaque
systolique
avec
des
inhibiteurs de calcium sont vraies: (90)
A. Ne modifie pas le pronostic
B. Réduit la mortalité
C. Réduit
le
nombre
d’hospitalisations
D. On les recommande en tant
qu’antihypertensifs de première
intention
E. On les utilise en tant
qu’antihypertensifs si l’HTA
persiste après le traitement avec
des diurétiques, des IEC et des
bêtabloquants
125.
En
ce
qui
concerne
l’administration de digitaliques dans le
traitement de l’insuffisance cardiaque
systolique les affirmations suivantes
sont FAUSSES: (90)
A. Améliore la mortalité
B. Ne réduit pas le nombre
d’hospitalisations
C. On la recommande en cas de
fibrillation atriale permanente
avec transmission ventriculaire
lente
D. N’améliore pas la mortalité
25
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
l’ECG
E. Douleur
angineuse
trinitrorésistante durant moins
de 5 minutes
130. Le traitement de l’insuffisance
cardiaque diastolique présuppose: (91)
A. Il est différent par rapport au
traitement de l’insuffisance
cardiaque systolique
B. La réduction pondérale est
importante
C. Le contrôle de l’hypotension
artérielle
D. La restauration du rythme
sinusal
E. Le contrôle de l’hypertension
artérielle
133. Les marqueurs de nécrose
myocardique sont utiles dans les
situations suivantes: (69)
A. Pour initier le traitement
B. En cas de doute sur le diagnostic
C. À titre de pronostic (pic
enzymatique)
D. Chronologiquement pour dater
la nécrose
E. Pour faire la différence entre un
SCA(ST+) et un SCA(ST-)
131. Lesquelles des variantes suivantes
relatives au SCA (le syndrome
coronarien aigu) sont vraies: (67)
A. Définit toute douleur thoracique
d’allure angineuse survenant de
novo, de façon prolongée ou
d’aggravation récente chez un
patient avec ou sans antécédents
coronariens
B. S’associe à la sur-dénivellation
permanente du ST si le
thrombus
n’est
pas
complètement occlusif
C. Apparaît secondairement à une
rupture (fissure) d’une plaque
athéromateuse, le plus souvent
jeune
D. La vasoconstriction n’apparaît
pas
E. Un SCA(ST-) peut évoluer vers
un SCA(ST+)
134. Dans lesquelles des dérivations
suivantes
apparaissent
des
modifications en cas d’infarctus
inférieur étendu au ventricule droit: (69)
A. V1, V2, V3
B. V7, V8, V9
C. DII, DIII, aVF
D. DII, DIII, aVL
E. V3R, V4R, VE
135. Sur les blocs atrioventriculaires
qui
apparaissent
comme
complication
dans
l’infarctus
inférieur on peut affirmer: (71)
A. Le bloc nodal est bénin,
transitoire avec échappement
ventriculaire efficace
B. On traite le bloc nodal à l’aide
de l’atropine
C. La lésion se trouve au niveau
des branches du fascicule de His
D. Dans les BAV de degré 2,3 mal
tolérés on implante de première
intention une sonde
de
cardiostimulation
E. L’apparition du bloc traduit une
nécrose vaste
132. On pose le diagnostic d’infarctus
en train de constitution sur la base des
signes et des symptômes suivants: (69)
A. Douleur
angineuse
trinitrorésistante durant plus de
30 minutes
B. Douleur associée à une surdénivellation du segment ST
C. Pour le diagnostic il faut avoir
des augmentations de la
Troponine et de la Myoglobine
D. On ne pose le diagnostic que
lorsque l’onde Q apparaît sur
136. Représentent des types de
bioprothèses les suivants: (93)
A. Hétérogreffes: à partir de valves
(ou du péricarde) porcin ou
bovin
26
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
C. Les patients diabétiques
D. Les patients avec insuffisance
rénale
E. Les
patients
avec
hyperparathyroïdie
B. Homogreffes: valves mitrales,
aortiques
ou
pulmonaires
prélevées de cadavres
C. Homogreffes: prélevées du
patient en question
D. Bioprothèses stentless: sans
armature
E. Valves aux ailettes doubles
140. Les affirmations suivantes
relatives à l’hémolyse extracorpusculaire
chez les porteurs de valves et de
prothèses vasculaires sont FAUSSES:
(95)
A. Il
apparaît
une
anémie
minimale/modérée
parfois
associée à un sous-ictère
conjonctival
B. L’anémie est régénérative avec
des
signes
d’hémolyse
(hyperbilirubinémie
libre,
haptoglobine
élevée,
LDH
élevée)
C. Sur le frottis n’apparaissent pas
des schizocytes
D. Hémolyse « physiologique » si
LDH > 2N
E. Les formes importantes ou
évolutives devront conduire à la
recherche d’une désinsertion,
d’une thrombose ou d’une
endocardite
137. Lesquelles des variantes suivantes
représentent
des
indications
pour
l’utilisation des valves mécaniques: (94)
A. Les sujets jeunes<65 ans
B. Les patients à bas risque de
dégénérescence
sur
la
bioprothèse
C. Patient déjà sous traitement
anticoagulant pour une autre
prothèse mécanique cardiaque
D. Le désir du patient ne représente
pas une indication
E. Patient déjà sous traitement
anticoagulant pour une cause
différente:
dysfonction
ventriculaire gauche sévère,
FiA, état d’hypercoagulabilité
138. Les affirmations suivantes
relatives à l’endocardite précoce chez les
porteurs de valves et de prothèses
vasculaires sont vraies: (94)
A. Précoce signifie avant 1 mois
depuis la chirurgie
B. Le diagnostic différentiel se fait
à l’aide de la médiastinite
C. La localisation aortique est 5
fois plus fréquente
D. Le traitement médicamenteux
est suffisant, il n’est pas
nécessaire
d’effectuer
une
intervention chirurgicale pour
remplacer la prothèse
E. Se doit principalement au
staphylocoque et aux bacilles
gram négatifs
141. Le groupe HACEK inclut les
germes suivants: (98)
A. Haemofilus
B. Cardiobacterium
C. Kingella
D. E.coli
E. Brucella
142. On classifie dans le groupe A de
cardiopathie à haut risque d’endocardite
infectieuse : (97)
A. Les antécédents d’endocardite
infectieuse
B. La bicuspidie aortique
C. Les antécédents de plastie
mitrale
avec
implantations
d’anneau prothétique
D. Cardiomyopathie obstructive
E. Prothèses
valvulaires
mécaniques
139. La dégénérescence de la
bioprothèse est plus fréquente dans: (95)
A. Les sujets jeunes
B. Les sujets âgés
27
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
facteur rhumatoïde
C. Phénomènes
vasculaires
embolie,
hémorragie
intracrânienne,
anévrisme
mycotique
D. Hémocultures
positives
ne
répondant pas aux critères
majeurs
E. Valvulopathie ou une autre
condition cardiaque favorisante
ou toxicomanie i.v.
143. Les agents étiologiques des
endocardites aux hémocultures négatives
sont les suivants: (97)
A. Streptocoques déficients
B. Germes du groupe HACEK
C. Chlamidia (quintana et henselae)
D. Fungi
E. Streptococus bovis
144. Le bilan clinique de l’endocardite
infectieuse peut mettre en évidence
les signes et les symptômes suivants:
(98)
A. Pourpre
pétéchiale
classiquement décrite au niveau
palmo-plantaire
B. Fièvre
C. Hépatomégalie
D. Splénomégalie
E. Anévrismes
mycotiques
périphériques
148.
Ce
sont
des
examens
morphologiques pour identifier la voie
d’entrée dans l’endocardite infectieuse
les suivants: (99)
A. Scintigraphie osseuse/IRM en
cas de douleurs rachidiennes
associées
B. Échographie
ou
PET-CT
abdomino-pelvien
C. Radiographie des sinus
D. « Body-scanner »
afin
de
dépister
des
anévrismes
mycotiques ou des emboles
septiques
E. Radiographie osseuse
145. Les marqueurs immunologiques
qui apparaissent dans les endocardites
sous-aiguës sont: (98)
A. C3-C4-CH50
B. Crioglobulinémie
C. Latex Waaler Rose
D. CRP
E. TFA VDRL
149. Les végétations dans l’endocardite
infectieuse ont un risque embolique
élevé dans les situations suivantes,
SAUF:(99)
A. Dimension >10 mm
B. Mobilité réduite
C. Siège aortique
D. Forme pédiculée
E. Siège pulmonaire
146. Les critères de Duke permettent de
poser le diagnostic d’endocardite
certaine si: (99)
A. 3 critères mineurs sont présents
B. L’examen anatomopathologique
retrouve
un
aspect
de
l’endocardite
C. 2 critères majeurs sont présents
D. 3 critères mineurs et un majeur
sont présents
E. Un critère majeur et un critère
mineur sont présents
150. Ce sont des facteurs de pronostic
négatif
échocardiographiques
dans
l’endocardite infectieuse : (100)
A. Végétations larges> 15 mm
B. Dysfonction sévère de prothèse
C. HTA
D. Sténose aortique ou mitrale
E. Endocardite avec BGN ou fungi
147. Parmi les critères mineurs de
Duke, on a: (99)
A. Fièvre > 38 ͦC ou <36 ͦC
B. Phénomènes immunologiques:
nodule d’Osler, tâches de Roth,
151. Ce sont des causes de fièvre
persistante
après
7
jours
d’antibiothérapie dans le cas de
28
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
l’endocardite
infectieuse
les
suivantes: (101)
A. La phlébite
B. La persistance de la porte
d’entrée
C. L’anévrisme mycotique
D. Des
complications
rénales:
L’insuffisance rénale
E. Des complications emboliques:
La
myocardite
(emboles
coronaires), abcès du myocarde,
d’autres
embolies
septiques
(rénales, spléniques), l’AVC
B.
C.
D.
E.
sans signe au miroir, concave en
haut
Microvoltage
constant
(amplitude QRS<5mm)
Sur-dénivellation du segment
PQ, facile à prouver
Tachycardie sinusale, troubles de
rythme atrial
Alternance électrique
155.
Les
examens
biologiques
systématiques réalisés pour le diagnostic
de la péricardite aiguë sont les suivants,
A L’EXCEPTION DE: (105)
A. Le syndrome inflammatoire
B. Le bilan thyroïdien
C. Le dosage des marqueurs
tumoraux
D. La sérologie VIH
E. Les enzymes pancréatiques
152. Le traitement de première intention
si l’on a affaire à une endocardite
infectieuse
sur
prothèse
avec
hémocultures négatives se fait à l’aide
de la: (102)
A. Pénicilline G 12-24 MU/j
B. Ceftriaxone
C. Vancomycine
D. Rifampicine
E. Gentamicine
156.
On
pose
le
diagnostic
échocardiographique de tamponnade
cardiaque à partir de l’existence des
signes suivants: (107)
A. Épanchement
généralement
circonférentiel et abondant
B. Aspect de « swinging heart »
C. Adiastolie des cavités droites
D. Variations importantes des flux
transvalvulaires
pendant
la
respiration
E. Aspect en « dip-plateau » des
pressions
intraventriculaires
droites
153. Le traitement chirurgical de
l’endocardite infectieuse NE se réalise
PAS d’extrême urgence dans les
situations suivantes: (102)
A. IA ou IM sévères, secondaires à
l’endocardite, avec des signes
cliniques
persistants
d’insuffisance
ventriculaire
gauche ou des signes de
mauvaise
tolérance
hémodynamique
B. Endocardite fungique ou avec
des organismes multirésistants
C. Insuffisance cardiaque sévère ou
rebelle
secondaire
à
une
régurgitation massive
D. Endocardite à haut
risque
embolique
E. Désinsertion
ou
thrombose
obstructive de prothèse
157.
Lesquelles des affirmations
suivantes sur la myopéricardite NE sont
PAS vraies: (106)
A. La présentation clinique est celle
d’une
péricardite
maligne,
associée
à
un
tableau
d’insuffisance cardiaque
B. L’échocardiographie
est
l’examen d’élection pour le
diagnostic
C. Il apparaît sur l’ECG la pseudoonde Q de nécrose
D. L’insuffisance cardiaque peut
dégénérer en choc cardiogénique
154. L’ECG dans la péricardite aiguë
indique les modifications suivantes:
(104)
A. Sur-dénivellation ST diffuse,
29
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
E. O ne la traite pas avec des
analgésiques
A.
B.
C.
D.
E.
158. Le traitement symptomatique de la
péricardite aiguë se fait de la manière
suivante: (106)
A. Anti-inflammatoire
nonstéroïdien (aspirine) dans des
doses décroissantes pendant 3
semaines ± paracétamol en cas
de douleur persistante sous
aspirine
B. Hospitalisation quelle que soit la
forme de maladie
C. Repos
D. Congé médical
E. Arrêt du traitement anticoagulant
Hypertension artérielle sévère
La dissection aortique
Le traumatisme thoracique
Syphilis
L’endocardite infectieuse aiguë
163.
C’est
caractéristique
pour
l’étiologie dégénérative ou dystrophique
de l’insuffisance aortique chronique:
(108)
A. C’est la valvulopathie la plus
fréquente
dans
les
pays
industrialisés
B. Affecte les patients âgés de plus
de 60 ans
C. Les valves sont épaissies,
calcifiées et à mobilité réduite
D. Peut apparaître dans le cadre de
la maladie de Marfan
E. L’insuffisance aortique + la
dilatation de l’aorte ascendante =
la maladie annuloectasiante
159. Le frottement péricardique se
caractérise par: (104)
A. Bruit qui persiste dans l’apnée
B. Bruit superficiel systolique
C. Bruit fort variable dans le temps
D. Bruit
mieux
entendu
en
décubitus dorsal
E. Bruit qui apparaît exclusivement
dans la tamponnade
164. L’auscultation du patient avec
insuffisance aortique met en évidence les
signes suivants: (109)
A. Souffle protodiastolique fin,
doux, à caractère aspiratif, dont
le pic est dans le foyer aortique,
et irradiation vers l’appendice
xiphoïde, le long du bord gauche
du sternum
B. Click mésosystolique suivi par
un souffle télédiastolique
C. Souffle holodiastolique dans le
foyer aortique
D. Souffle diastolique de Flint dans
le foyer mitral
E. Galop protodiastolique: traduit
l’augmentation de la pression
télédiastolique du ventricule
gauche
160. Le diagnostic différentiel de la
tamponnade cardiaque se fait par rapport
aux affections suivantes: (107)
A. Embolie pulmonaire massive
B. Pleurésie gauche
C. Myocardite virale
D. Infarctus du ventricule droit
E. Pneumothorax compressif
161. Les causes les plus fréquentes
d’apparition
de
la
péricardite
constrictive sont: (107)
A. La pleurésie tuberculeuse
B. La pleurésie VIH
C. La pleurésie post-radiothérapie
D. La pleurésie postopératoire
E. La pleurésie provoquée par des
maladies de système: lupus,
polyarthrite rhumatoïde
165. L’échographie transœsophagienne
présente les indications suivantes dans le
diagnostic de l’insuffisance aortique:
(110)
A. Faible échogénicité
B. Suspicion d’endocardite
C. Insuffisance cardiaque
162. L’insuffisance aortique aiguë peut
avoir les étiologies suivantes: (108)
30
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
D. Dilatation de l’aorte ascendante
E. Dissection aortique
D. Peut être d’origine ischémique
ou d’origine rhumatismale
E. Apparaît
à
cause
d’une
perforation de la valve
166.
Représentent
de
possibles
complications de l’insuffisance aortique
les suivantes: (110)
A. La mort subite
B. L’endocardite
C. L’insuffisance cardiaque
D. La dissection aortique
E. Des
troubles
de
rythme
ventriculaires
mais
non
supraventriculaires
170. Ce sont des signes fonctionnels
présents
dans
l’insuffisance
mitrale:(113)
A. Hémoptysies fréquentes
B. Dyspnée
C. Douleur thoracique
D. Palpitations
liées
à
une
fibrillation
atriale,
souvent
associée aux valvulopathies
mitrales
E. Asthénie, fatigabilité d’effort
167. Les critères échographiques
suivants en cas d’insuffisance aortique
sévère asymptomatique représentent des
indications chirurgicales: (111)
A. Calcifications
aortiques
modérément sévère
B. DTSVG>40 mm
C. FEVG < 50%
D. Aorte ascendante dilatée ≥55 mm
E. DTSVS<45mm
171. Le bilan clinique de l’insuffisance
mitrale par rupture de cordages peut
mettre en évidence les modifications
suivantes: (113)
A. Fièvre en cas d’endocardite
B. Douleur thoracique en cas
d’infarctus
C. Claquement dans la poitrine
(coup de fouet) associé à une
douleur thoracique prolongée
D. La dyspnée n’apparaît pas
E. Dyspnée qui trahit un œdème
pulmonaire aigu
168. Lesquelles des affirmations
suivantes caractérisent la maladie de
Barlow: (112-113)
A. C’est une pathologie rare
affectant la jeune femme
B. Représente
l’étiologie
dystrophique de l’insuffisance
mitrale
C. Les valves sont fines, perlucides,
les cordages sont allongés
D. À l’auscultation l’on perçoit un
click mésosystolique suivi d’un
souffle télésystolique
E. Les valves sont prolabées dans
l’atrium gauche
172. Les affirmations suivantes relatives
à la physiopathologie de l’insuffisance
mitrale sont FAUSSES: (113)
A. Au cours de la diastole, le sang
est éjecté dans l’aorte et, de
façon rétrograde, dans l’atrium
gauche
B. La régurgitation provoque une
dilatation de l’atrium gauche
C. Dans le stade tardif une
insuffisance cardiaque gauche
apparaît
D. Le ventricule gauche se dilate
ensuite il s’hypertrophie
E. Dans l’insuffisance mitrale aiguë
à
cause
du
mécanisme
compensatoire
il
arrive
l’augmentation brutale de la
pression dans les capillaires
169. Le 2ème stade de la classification de
Carpentier se caractérise par: (112)
A. L’amplitude des mouvements des
valves est élevée
B. Il
s’agit
d’un
prolapsus
valvulaire
C. Le jeu valvulaire est limité avec
une clôture insuffisante de la
valve
31
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
pulmonaires
et
pulmonaire apparaît
l’œdème
amont, il apparaît l’hypertrophie
ventriculaire
gauche
compensatoire
173. Les affirmations suivantes sur
l’insuffisance mitrale sont vraies: (112115)
A. L’évolution
est
lente,
l’insuffisance
mitrale
reste
longtemps asymptomatique
B. Dans la maladie de Barlow on a
rapporté des troubles de rythme
surventriculaire
(fibrillation
atriale)
et
des
accidents
emboliques
C. DTSVS>45 mm représente une
indication de remplacement
valvulaire ou de plastie mitrale
D. On observe l’enveloppe du jet
régurgité à l’aide du Doppler
continu et pulsé
E. L’étiologie fonctionnelle est la
plus fréquente
176.
Lesquelles des affirmations
suivantes relatives à la maladie de
Mönckeberg NE sont PAS vraies:
(116)
A. Représente la cause la plus
fréquente dans le cas des patients
de plus de 50 ans
B. Des calcifications des valves sont
présentes pouvant s’étendre sur le
septum
C. Associe la dilatation de l’aorte
ascendante
D. On constate la présence de la
dégénérescence myxoïde des
valves qui s’épaississent et
deviennent redondantes
E. Peut être congénitale
177. La sténose aortique présente les
signes fonctionnels suivants:
(117)
A. Angor
B. Souffle
mésosystolique
éjectionnel, âpre, maximal dans le
foyer aortique, irradié au niveau
de l’axile
C. Syncope
D. Palpitations
liées
aux
extrasystoles ou au passage dans
le FiA paroxystique
E. Souffle
mésosystolique
éjectionnel, âpre, maximal dans le
foyer aortique, irradié au niveau
des vaisseaux du cou
174. L’insuffisance mitrale aiguë peut
avoir les étiologies suivantes: (112)
A. Rupture de cordage
B. Ischémique au cours d’un
infarctus du myocarde antérieur
par la rupture d’un bout du pilier
postérolatéral
C. Myxome de l’atrium gauche
D. Endocardite aiguë par rupture de
cordages
E. Traumatisme thoracique
175. Les affirmations suivantes sur la
physiopathologie de la sténose aortique
sont vraies: (116)
A. Pour un débit cardiaque normal,
une sténose étroite entraîne un
gradient
moyen
ventricule
gauche/aorte de 20-40 mm Hg
B. La sténose étroite apparaît pour
des surfaces inférieures à 1 cm2
C. Le débit cardiaque n’augmente
pas assez à l’effort
D. L’angor s’explique seulement par
l’athérosclérose associée à un
débit insuffisant à l’effort
E. Comme une conséquence en
178. La sténose aortique peut avoir les
étiologies suivantes: (116)
A. Bicuspidie aortique
B. Maladie de Barlow
C. Syndrome de Laubry et Pezzi
D. Rhumatisme articulaire aigu
E. Sténose supra- ou sous-valvulaire
congénitale
32
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
179. Le diagnostic différentiel de la
sténose aortique se fait avec les
pathologies suivantes: (118)
A. L’insuffisance mitrale
B. La cardiomyopathie obstructive
C. La
communication
interventriculaire
D. La coarctation d’aorte
E. La persistance du canal artériel
à l’ulcère variqueux sont vraies: (122)
A. Est unique
B. Est généralement douloureux
C. Siège malléolaire externe
D. Bords lis
E. Est de grandes dimensions
184. Le traitement médical de
l’insuffisance veineuse chronique se
réalise à l’aide de: (123)
A. Médicaments veinotoniques
B. La crénothérapie
C. La sclérose des varices avec des
agents physiques ou le laser
D. Stripping de la veine saphène
interne ± externe
E. Lever les membres inférieurs afin
d’assurer un drainage postural
pendant le sommeil
180. Lesquelles des pathologies suivantes
constituent de possibles complications de
la sténose aortique: (118)
A. L’insuffisance cardiaque
B. Seulement des troubles de rythme
ventriculaire
C. L’endocardite bactérienne
D. Des embolies calcaires
E. Des troubles de conduction de
haut degré
185. Lesquelles des variantes suivantes
relatives au risque hémorragique dans les
patients auxquels on administre de
l’héparine sont vraies: (124)
A. Est plus grand chez les patients
auxquels on administre l’héparine
non-fractionnée
B. Augmente avec l’âge
C. Est
accru
par
certaines
pathologies: insuffisance rénale
ou hépatique
D. Dépend de la qualité de
l’observation du traitement
E. Ne dépend pas de l’administration
simultanée
d’autres
antithrombotiques (antiagrégants
plaquettaires)
181.
Du
point
de
vue
physiopathologique, le retour veineux est
assuré par: (120)
A. La pression résiduelle du réseau
veineux
B. La pompe musculaire surale
C. La pression positive engendrée
par la respiration
D. La continence des valvules
E. La pression de la voûte plantaire
182. La 2ème classe de la sévérité
fonctionnelle de l’insuffisance veineuse
chronique
conformément
à
la
classification de Porter associe: (121)
A. L’insuffisance
veineuse
chronique modérée
B. La
présence
des
signes
fonctionnels avec ou sans signes
objectifs de stase
C. Des troubles trophiques évidents
sans ulcère ou sans antécédents
d’ulcère
D. Des troubles trophiques avec
ulcère
E. L’insuffisance
veineuse
chronique mineure
186. La thrombocytopénie induite par
l’héparine de type 2 se caractérise par les
éléments suivants, A L’EXCEPTION DE
: (125)
A. A
comme
mécanisme
d’apparition
l’agrégation
plaquettaire
B. Des thromboses artério-veineuses
multiples apparaissent
C. Peut
être
progressive
et
asymptomatique
D. Thrombocytes > 100.000/ml ou >
183. Les affirmations suivantes relatives
33
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
40%
E. Est rare
(VIII)
D. Le facteur antihémolitique A(IX)
E. La protéine C et S
187. Le traitement des hémorragies
mineures apparues sous traitement avec
AVK (L’antivitamine K) se fait par:
(126)
A. Hospitalisation
B. Administration de la vitamine K
per os si INR>6
C. Diminution ou arrêt transitoire de
l’AVK
D. Administration de PPSB humain
E. Control de l’INR 30 minutes
après l’administration de PPSB
ensuite après 12 heures
188. Ce sont des contre-indications
absolues pour l’administration des
thrombolithiques les suivantes A
L’EXCEPTION DE : (128)
A. L’AVC ischémique < 6 mois
B. L’endocardite infectieuse
C. La grossesse ou la première
semaine postpartum
D. La dissection aortique
E. Le traitement avec AVK
191. Lesquels des médicaments suivants
diminuent la fixation protéique de
l’AVK: (134)
A. AINS
B. Amiodarone
C. Sulfamides
antibiotiques
ou
hypoglicémiantes
D. Phénytoïne
E. Miconazole
192.
Parmi
les
antiagrégants
plaquettaires, on peut administrer les
anti-GPIIb/IIIa dans les situations
suivantes: (137)
A. SCA ST- à risque élevé
B. SCA ST+ dans la salle de
cathétérisme en case de thrombus
massif
C. Angioplastie coronaire complexe
D. AVC
E. FiA à risque embolique élevé
193.
Ce sont de possibles effets
secondaires de l’administration de
furosémide,
provoqués
par
l’hyperaldostéronisme secondaire les
suivants: (138)
A. L’alcalose métabolique
B. L’hyperchlorémie
C. L’hypochlorémie
D. L’hypokaliémie
E. La déshydratation extracellulaire
189.
Lesquelles
des
affirmations
suivantes relatives aux héparines sont
vraies: (128-131)
A. Au cours du traitement, on dose
les thrombocytes une fois par
semaine
B. Comme effets adverses, on peut
avoir
l’ostéoporose
et
l’hypokaliémie
C. La dissection aortique représente
une contre-indication relative
D. Avant le traitement on dépistera
une anomalie de l’hémostase ou
de la coagulation
E. On obtient le fondaparinux en
isolant le pentasaccharide
194. Lesquelles des pathologies suivantes
NE constituent PAS des indications
d’administration
des
diurétiques
thiazidiques: (139)
A. Hypercalcémie
B. Hypertension artérielle
C. Diabète insipide hypothalamique
D. Hypercalciurie
E. Œdèmes
d’origine
rénale,
hépatique ou cardiaque
190. Les facteurs de coagulation dont la
production dépend de la vitamine K sont
les suivants: (132)
A. La prothrombine(II)
B. La proconvertine (VII)
C. Le facteur antihémolithique B
195.
Lesquelles
des
affirmations
suivantes relatives aux diurétiques qui
34
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
économisent le potassium sont vraies:
(139-140)
A. Ont des effets antiandrogéniques
et inducteurs enzymatiques
B. Peuvent être des antagonistes
véritables
de
l’aldostérone
(amiloride et triamtérène) ou des
pseudo-antagonistes
de
l’aldostérone (spironolactone)
C. Per os ont une durée d’action très
variable (8-72 heures)
D. Le triamtérène peut produire la
lithiase urinaire
E. Sont indiqués dans l’insuffisance
cardiaque
200. Les souffles cardiaques fonctionnels
dans l’enfant ont les caractéristiques
cliniques suivantes: (1123)
A. Temps d’auscultation systolodiastolique bref
B. Invariable avec la position et/ou
le cycle respiratoire
C. Irradie très peu
D. Intensité inférieure à 3/6, timbre
doux, jamais âpre, râpant
E. Les bruits cardiaques sont
normaux
Score complément multiple: _____
196. Dans la tétralogie de Fallot on a les
modifications suivantes: (1124)
A. Communication interventriculaire
B. Sténose pulmonaire
C. Insuffisance pulmonaire
D. Dextrorotation cardiaque
E. Shunt droite-gauche
SCORE TOTAL: _____ / 950
197. Ce sont des signes d’insuffisance
cardiaque chez le nourrisson et le bébé
sont les suivants: (1123)
A. Polypnée
B. La faillite de la courbe pondérale
C. Douleur thoracique
D. Cyanose
E. Tachycardie
198. Œdèmes unilatéraux des membres
inférieurs apparaissent dans: (1346)
A. La thrombophlébite
B. La filariose
C. La métastase ganglionnaire d’un
cancer
D. L’érysipèle
E. Insuffisance veineuse
199. Le régime diététique présuppose la
baisse des protéines dans les pathologies
suivantes: (1272)
A. Syndrome néphrotique
B. Insuffisance cardiaque
C. Insuffisance rénale
D. Hépatopathie alcoolique
E. Obésité
35
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
36
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
C. l’hypercapnie > 40 mmHg
D. les troubles de conscience
E. la respiration paradoxale
QCM II
Chapitres: Pneumologie, Réanimation
Médicale, Neurologie, Maladies
infectieuses, Hépato-gastroentérologie
5. Une des variantes suivantes N’est PAS
un facteur déclencheur de l’asthme
suraigu: (152)
A. un conflit
B. le stress psychologique
C. l’exposition massive aux allergènes
D. l’administration des AINS aux
patients avec intolérance à ces
médicaments
E. souvent la surinfection bronchique
Auteur: Cristian Pristavu
COMPLÉMENT SIMPLE
1. Une des variantes suivantes représente
une cause de dyspnée aiguë sans bruits
anormaux: (143)
A. L’œdème de Quincke
B. L’OAP
C. La tamponnade péricardique
D. La pleurésie massive
E. La pneumopathie aiguë infectieuse
6. Les formes de tuberculose pulmonaire
sont les suivantes, A L’EXCEPTION DE:
(157)
A. la
tuberculose
pulmonaire
commune
B. la tuberculose milliaire
C. la pneumonie tuberculeuse
D. la pleurésie sérofibrineuse
E. le SDRA
2. Conformément à la classification
NYHA, la dyspnée à l’effort léger
apparaît: (144)
A. Dans le Ier stade
B. Dans les stades II, IV
C. Seulement dans le IIème stade
D. Dans le IIIème stade
E. Dans le IVème stade
7. L’examen ophtalmologique du patient
avec
tuberculose
s’impose
avant
l’institution du traitement avec: (159)
A. isoniazide
B. rifampicine
C. rifabutine
D. éthambutol
E. pyrazinamide
3. Dans le diagnostic des allergies
respiratoires chez l’adulte, l’affirmation
suivante sur les tests cutanés est FAUSSE:
(149)
A. cherchent la présence des anticorps
non-spécifiques au niveau des
macrophages cutanés
B. la technique la plus utilisée est le
prick-test
C. ce ne sont pas douloureux, on les
fait vite
D. sont sensibles
E. sont spécifiques
8. Un patient diagnostiqué avec BPCO, qui
présente VEMS/CV < 0,70, VEMS < 50%
des valeurs prédites et des signes cliniques
d’insuffisance cardiaque droite s’encadre
dans: (163)
A. le IIème stade
B. le IIIème stade
C. le stade III ou IV en fonction des
valeurs PaO2
D. le IVème stade
E. aucune des variantes ci-dessus
4. Les signes exigeant la ventilation
spontanée dans le cas d’un patient adulte
avec asthme bronchique sont les suivants,
A L’EXCEPTION DE: (152)
A. le coma
B. l’arrêt respiratoire
9. Dans le cas d’une pneumopathie
infectieuse chez l’adulte, laquelle des
variantes suivantes NE constitue PAS une
indication d’hospitalisation en thérapie
37
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
pleurésie purulente chez l’adulte: (186)
A. doit être orienté contre les bactéries
aérobies
B. dure 2-4 semaines
C. se fait avec de l’amoxicilline+
acide clavulanique, 4-6g i.v./24h
D. on
utilise
oxacilline
+
aminoglycoside
E. on utilise de première intention la
vancomicine
associée
à
la
gentamicine
intensive : (170)
A. affection bilatérale ou multilobaire
ou progression radiographique de
la dimension de l’opacité
B. alcalose sévère (pH< 7,3)
C. insuffisance
rénale
aiguë
nécessitant la dialyse
D. le besoin de catécholamines
pendant plus de 4 heures
E. polypnée > 30/min
10. Se caractérise par l’absence de
l’opacité radiologique pulmonaire et
gazométrie normale la cause suivante de
détresse respiratoire aiguë chez l’adulte:
(176)
A. la dyspnée laryngienne
B. l’embolie pulmonaire
C. l’asthme aigu grave
D. le pneumothorax bilatéral ou
compressif
E. l’œdème pulmonaire aigu
14. Un liquide pleural est un transsudat si:
(187)
A. le
rapport
protéines
en
liquide/protéines dans le sang >
0,5
B. le rapport protéines dans le
sang/protéines en liquide> 0,5
C. le rapport LDH en liquide/LDH
dans le sang > 0,6
D. la LDH en liquide > deux tiers de
la limite supérieure normale de la
LDH dans le sang
E. Si nulle des variantes A,C,D n’est
pas réalisée
11. L’affirmation suivante sur le
pneumothorax spontané primitif est
FAUSSE: (183)
A. apparaît chez les adultes jeunes,
longilignes
B. a une nette prédominance féminine
C. est déterminé par la rupture d’une
cavité aérique qui se trouve en
contact avec la pleure apicale
D. 25% des patients récidivent dans
les deux ans suivants
E. 50% des patients récidivent dans
les six ans suivants
15. Laquelle des variantes suivantes NE
fait PAS partie du bilan initial d’un cancer
broncho-pulmonaire, sans rapport au type
histologique: (198)
A. La fibroscopie bronchique
B. Le CT cérébral
C. L’échographie abdominale
D. Les PFR
E. Les marqueurs tumoraux
12. Les suivantes représentent des
complications
possibles
d’un
pneumothorax, A L’EXCEPTION DE:
(185)
A. risque d’infections
B. atélectasie/ bouchons muqueux
dans le poumon collabé
C. œdème pulmonaire à vacuo
(fréquent et grave)
D. complications de décubitus
E. persistance de la brèche pleurale
16. Lequel des cancers suivants peut
donner des métastases pulmonaires à
plusieurs ans après un traitement initial
considéré comme satisfaisant: (200)
A. le mélanome malin
B. les lymphomes
C. le cancer rénal
D. le cancer ovarien
E. le cancer prostatique
17. L’insuffisance respiratoire chronique
restrictive se caractérise du point de vue
gazométrique par: (203)
13. Le traitement antibiotique dans une
38
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
A.
B.
C.
D.
E.
représente le mécanisme adaptatif commun
à tous les 4 types de choc? (220)
A. l’augmentation de l’extraction
d’oxygène
par
les
tissus
périphériques
B. la diminution de l’extraction
d’oxygène
par
les
tissus
périphériques
C. la stimulation sympathique
D. la stimulation vagale
E. l’augmentation de la sécrétion de
sérotonine et de dopamine au
niveau des noyaux gris centraux
augmentation de la CPT
diminution de la CPT
augmentation du VEMS
diminution du rapport VEMS/CV
diminution DEP
18. Laquelle des explorations suivantes
apparaît supplémentairement dans le cas
d’un traumatisme thoracique, dans le
management initial d’un patient stable
comparativement à un patient instable:
(206)
A. radiographie thoracique
B. échographie
cardiaque
transthoracique
C. tomographie à contraste
D. échographie
cardiaque
transœsophagienne
E. fibroscopie bronchique
23. Les facteurs qui aggravent la
souffrance neuronale sont les suivants, A
L’EXCEPTION DE: (250)
A. L’HTA
B. L’hypoglycémie
C. L’hyperglycémie
D. L’acidose
E. L’hypocapnie
19. La contre-indication pour le traitement
antithrombotique préventif avec LMWH
est: (211)
A. la patienta en post-partum
B. la présence de la tachycardie
C. l’insuffisance rénale avec clearance
< 30 ml/min
D. l’insuffisance hépatique
E. l’insuffisance cardiaque associée
24. Les syndromes alternes sont la
conséquence d’un AVC produit au niveau
de: (251)
A. Les hémisphères cérébraux
B. Les hémisphères cérébelleux
C. La protubérance bilatérale
D. Le tronc cérébral
E. Le thalamus
20. Le traitement anticoagulant à vie après
un premier accident thromboembolique a
les
indications
suivantes,
A
L’EXCEPTION DE: (213)
A. anticoagulant de type lupique
B. déficit d’antithrombine
C. déficit de protéine C
D. déficit de protéine S
E. déficit de facteur V
25. Dans l’imagerie cérébrale le signe du
triangle vide apparaît dans : (258)
A. L’infarctus
cérébral
d’origine
athéromateuse
B. L’infarctus
cérébral
d’origine
cardioembolique
C. Les hématomes intracérébraux
dans l’HTA
D. L’hémorragie sous-arachnoïdienne
E. La thrombose veineuse cérébrale
21. La dose d’adrénaline administrée dans
l’arrêt cardiaque par asystolie est de: (219)
A. 1 mg i.m. toutes les 4 min
B. 5-10 mg dans 10 ml solution saline
par voie intra-trachéale
C. 1 mg s.c toutes les 4 min
D. 5-10 mg i.v. toutes les 4 min
E. 5 mg i.v. toutes les 4 min
26. La prévention du vasospasme dans une
hémorragie de la méninge se fait avec:
(260)
A. nimodipine
B. bisoprolol
C. tamsulosine
D. vérapamil
22. Laquelle des variantes suivantes
39
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
E. ramipril
B.
C.
D.
E.
27. Lequel des types suivants de cancers
peut déterminer des métastases cérébrales
hémorragiques: (274)
A. pulmonaire
B. rénal
C. mammaire
D. colique
E. vésical
Coxiella burnetti
S. pneumoniae
Haemophilus influenzae
Salmonella typhi
32. Laquelle des affirmations suivantes sur
la
pneumocystose
pulmonaire
est
FAUSSE: (327)
A. c’est l’infection opportuniste la
plus fréquente
B. est provoquée par une bactérie
C. a le tableau clinique d’une
pneumopathie interstitielle fébrile
D. les examens d’imagerie indiquent
une affection alvéolo-interstitielle
E. le prélevé idéal pour le diagnostic
est le lavage bronchoalvéolaire
28. On traite une hydrocéphalie aiguë
apparue dans le cadre d’une tumeur
cérébrale par: (274)
A. traitement hyperosmolaire
B. la résection d’urgence de la tumeur
C. traitement
diurétique
et
antihypertensif
D. restriction hydrosaline
E. dérivation ventriculaire externe
d’urgence
33. La période d’incubation dans
l’infection à gonocoque est de: (331)
A. 3 semaines
B. 6 semaines
C. 2-7 jours
D. 1-3 jours
E. Peut
être
très
longue,
correspondant à la période de
latence
29. On associe la corticothérapie à la
première injection avec antibiotique dans
une méningite chez l’enfant dans les
situations suivantes, AVEC UNE SEULE
EXCEPTION: (290)
A. La méningite tuberculeuse
B. La méningite avec Listeria
monocytogenes
C. La méningite méningococique
D. La méningite pneumococcique
E. La méningite à Haemophilus
influenzae
34. Le chancre syphilitique se caractérise
par les éléments suivants, AVEC UNE
SEULE EXCEPTION: (332)
A. c’est une ulcération le plus souvent
unique
B. est incolore, aux marges nettes
C. a la base indurée
D. est situé le plus souvent au niveau
du gland ou de la vulve
E. peut être localisé aussi au niveau de
l’œsophage
30. La cellulite représente une étiologie de
la fièvre aiguë surtout chez: (311)
A. Les patients qui se trouvent déjà
dans le milieu hospitalier
B. Les patients âgés
C. Les
toxicomanes
par
voie
intraveineuse
D. Le patient alcoolique
E. Les patients provenant d’un
contexte social précaire
35. Laquelle des variantes suivantes sont
toujours des infections nosocomiales?
(340)
A. les infections urinaires
B. les pneumopathies infectieuses
C. les infections de plaie opératoire
après des interventions sans
implantation de matériel étranger
31. Laquelle des bactéries suivantes à
tropisme respiratoire peut déterminer un
tableau clinique pseudogrippal: (322)
A. VRS
40
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
D. les infections de plaie opératoire
après des interventions avec
implantation de matériel étranger
E. les infections liées aux cathéters
39. Laquelle des variantes suivantes NE
représente PAS un signe de déshydratation
extracellulaire: (403)
A. fièvre
B. perte de poids
C. soif modérée
D. veines jugulaires collabées
E. pli cutané persistant
36. Dans le cas d’un patient qui présentait
une plaie sale, tardivement observée, avec
débridement incomplet, la stratégie
thérapeutique a consisté en rappel +
vaccination ultérieure + Ig G (500 UI) +
antibiothérapie. Quel était le statut
vaccinal du patient? (368)
A. le dernier rappel < 5 ans
B. le dernier rappel entre 5 et 10 ans
C. le dernier rappel > 10 ans
D. vaccination incomplète
E. vaccination absente ou incertaine
40. On rencontre la déshydratation sévère
dans: (404-405)
A. le choléra
B. la diarrhée à Campylobacter jejuni
C. la diarrhée à calicivirus
D. les yersinioses
E. la diarrhée à E. coli entéroinvasif
41. L’indication commune pour la
coproculture sur des milieux sélectifs et
pour l’examen parasitologique des selles
est: (404)
A. le syndrome dysentérique
B. la diarrhée > 3 jours
C. diarrhée
chez
un
sujet
immunodéprimé
D. la diarrhée nosocomiale
E. diarrhée à déshydratation sévère
37. Le traitement de première intention
dans les septicémies à pneumocoque,
streptocoque ou méningocoque se fait
avec: (374)
A. pénicilline G
B. fluoroquinolones
C. macrolides
D. amoxicilline
E. ampicilline
42. L’un des agents étiologiques des
syndromes dysentériques provoque des
manifestations extradigestives fréquentes
(érythème noueux). Il s’agit de: (406)
A. Campylobacter jejuni
B. Yersinia
C. Shigella
D. Salmonella
E. E. coli
38. Laquelle des variantes suivantes
représente la définition correcte de la
diarrhée aiguë chez l’adulte: (403)
A. l’émission d’une selle aqueuse ou
liquide, brusquement survenue
B. l’émission de plus de 2 selles
molles ou liquides brusquement
survenue, dont la durée est
inférieure à 14 jours
C. l’émission de selles molles ou
liquides, n’importe pas le nombre,
installée insidieusement, au cours
de 14 jours environ
D. l’émission de plus de 4 selles,
quelle que soit leur consistance,
dont la durée est inférieure à 14
jours
E. l’émission de plus de 4 selles
molles ou liquides, brusquement
survenue, dont la durée est
inférieure à 14 jours
43. Dans l’ulcère gastroduodénal le
traitement avec IPP per os selon la
classification de Forrest est recommandé
dans le stade: (427)
A. caillot adhérent
B. IIA
C. IIB
D. IIC
E. Vas visible non-hémorragique
44. Ce NE sont PAS des causes rares des
hémorragies digestives hautes: (428)
41
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
A.
B.
C.
D.
E.
les ulcérations de Dieulafoy
les tumeurs
l’œsophagite peptique
la wirsungorragie
l’hémobilie
d’ascite chez un patient avec cirrhose peut
être traitée avec: (462)
A. ampicilline
B. amoxicilline-acide clavulanique
C. imipénème
D. clindamycine
E. un aminoglycoside d’élection
50. Si un patient présente à l’examen
clinique un prolapsus des hémorroïdes
internes permanent et irréductible il est
encadré conformément à la classification
de Goligher dans le stade: (474)
A. I
B. II
C. III
D. IV
E. V
45. Le diagnostic différentiel entre la
rectocolite et la maladie de Crohn se fait
par: (439)
A. sérologie (pANCA positifs dans
RCUH, ASCA positifs dans la
maladie de Crohn)
B. examen avec la vidéocapsule
endoscopique
C. CT abdominal à substance de
contraste hydrosoluble
D. Colonoscopie
totale
avec
iléoscopie
E. Examen histologique: l’association
des
signes
d’inflammation
chroniques et des signes d’activité
Score complément simple: _____
COMPLÉMENT MULTIPLE
46. L’une des variantes suivantes NE fait
PAS partie du bilan nécessaire en cas de
suspicion de MICI : (441)
A. hémoleucogramme
B. ionogramme
C. urée
D. CRP
E. albumine
51. Les examens de première intention
qu’il faut effectuer dans le cas de toute
dyspnée sont: (142)
A. la radiographie thoracique
B. la bronchoscopie
C. l’électrocardiogramme
D. la gazométrie artérielle à l’air
ambiant
E. la scintigraphie pulmonaire de
ventilation perfusion
47. L’exploration par imagerie de première
intention dans le cas d’un ictère c’est:
(446)
A. échographie abdominale
B. CT abdominal
C. Cholangio-IRM
D. Échoendoscopie
E. IRM
52. On rencontre l’orthopnée dans les
affections suivantes, A L’EXCEPTION
DE: (143):
A. la
paralysie
diaphragmatique
bilatérale
B. l’asthme aigu grave
C. shunt droit-gauche
D. le syndrome hépato-pulmonaire
E. la tamponnade
48. Laquelle des variantes suivantes N’est
PAS une cause rare de cytolyse à
transaminases < 10N? (456)
A. la maladie cœliaque
B. amyloïdose
C. l’hépatite autoimmune
D. l’infiltration tumorale hépatique
E. la maladie de Wilson
53. Les affections suivantes sont des
causes de toux chronique et présentent sur
la radiographie une opacité localisée: (145)
A. le cancer broncho-pulmonaire
B. la sarcoïdose
C. la mucoviscidose
D. la dilatation localisée des bronches
49. L’infection spontanée du liquide
42
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
E. la
pneumocystose
l’immunodéprimé
corticothérapie par inhalation
C. en cas d’inefficacité on associe les
antihistaminiques et des corticoïdes
inhalateurs
D. On
utilise
l’immunothérapie
spécifique depuis le stade de rhinite
persistante modérée vers sévère
E. On
peut
utiliser
les
décongestionnants
et
les
anticholinergiques à l’action locale
chez
54. Lesquelles des variantes suivantes
représentent des causes de toux aiguë?
(145)
A. l’embolie pulmonaire
B. la pneumopathie infectieuse sousaiguë
C. l’œdème pulmonaire
D. la mucoviscidose
E. les corps étrangers
58. Les affirmations suivantes sur l’asthme
aigu grave sont vraies: (152)
A. c’est une crise inhabituelle par son
intensité, sans constituer une
menace pour le pronostic vital à
court terme
B. présente des signes de détresse
respiratoire
C. c’est une crise résistante au
traitement
avec
des
bronchodilatateurs habituels
D. du point de vue gazométrique, c’est
une crise avec normo ou
hypocapnie
E. du point de vue fonctionnel, le
DEP est inférieur à 30% de la
valeur théorique
55. On peut utiliser le bromure
d’ipratropium: (147)
A. pour réduire la stimulation des
récepteurs de la toux
B. pour élever le seuil ou la latence de
réactivité des voies afférentes
C. pour élever le seuil ou la latence de
réactivité des centres nerveux
D. pour élever le seuil ou la latence de
réactivité des voies efférentes
E. pour réduire la contraction des
muscles squelettiques impliqués
dans la toux
56. Le dosage des IgE sériques spécifiques
est utile si: (149)
A. les tests cutanés sont négatifs
B. l’examen
clinique
est
peu
évocateur
C. il y a des discordances entre
l’historique clinique et les tests
cutanés
D. les tests cutanés sont irréalisables
E. on indique une désensibilisation
spécifique
59. Les indications de réalisation d’une
radiographie thoracique dans l’asthme
bronchique chez l’adulte sont: (152)
A. l’asthme récemment dépisté
B. fièvre associée
C. l’absence de la réponse nette au
traitement
D. la suspicion d’une complication
E. on effectue la radiographie
thoracique chaque fois qu’on
examine un patient asthmatique
57. L’attitude thérapeutique dans les
allergies respiratoires chez l’adulte inclut
les moyens suivants, A L’EXCEPTION
DE: (150)
A. dans les rhinites persistantes
modérées à sévères: on administre
de
première
intention
des
antihistaminiques
B. dans les rhinites intermittentes ou
persistantes légères: on utilise de
première
intention
la
60. Le traitement de l’asthme aigu grave
inclut les possibilités thérapeutiques
suivantes : (153)
A. Des nébulisations avec de fortes
doses de bêta-2-agonistes à temps
d’action très rapide
B. Oxygène nasal: 3-4 l/min
C. Des corticoïdes par inhalation
D. Des
nébulisations
43
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
d’anticholinergiques
E. On réduit l’hydratation à cause du
haut risque d’OAP
doses petites-modérées
D. Dans l’asthme persistant sévère on
peut utiliser l’omalizumab
E. Dans l’asthme persistant sévère
l’on peut utiliser la corticothérapie
orale à long terme
64. La radiographie thoracique dans la
tuberculose pulmonaire commune met en
évidence: (157)
A. des infiltrats
B. des nodules
C. des cavernes
D. le
syndrome
interstitiel
micronodulaire
E. des lésions localisées dans les lobes
supérieurs ou dans le segment
apical des lobes inférieurs
61. Lesquelles des variantes suivantes
représentent des critères d’asthme instable:
(153)
A. la fréquence accrue des crises
B. une sensibilité plus grande des
crises
aux
bronchodilatateurs
typiques
C. la nécessité d’utiliser les bêta-2agonistes à longue durée d’action à
la place de ceux à courte durée
D. l’aggravation
progressive
de
l’obstruction bronchique appréciée
par l’augmentation du DEP
E. l’augmentation progressive de la
consommation de bêta-2-agonistes
65. L’examen clinique dans la tuberculose
milliaire inclut les variantes suivantes:
(157)
A. fièvre
B. transpirations nocturnes
C. altération rapide de l’état général
D. dyspnée en forme évoluée
E. syndrome
interstitiel
micronodulaire diffus
62. Si un patient souffrant d’asthme
bronchique présente des symptômes
quotidiens, des symptômes d’asthme
nocturne > 2 fois par mois, utilisation
quotidienne de bêta-2-agonistes à courte
durée d’action et DEP ≥ 80% des valeurs
prédites, avec une variabilité de 20-30%,
alors on peut l’encadrer dans le stade:
(155)
A. 3
B. 2
C. Asthme persistant léger
D. Asthme persistant modéré
E. Asthme persistant sévère
66. Le bilan biologique avant d’instituer le
traitement antituberculeux inclut: (158)
A. L’hémogramme
B. La sérologie de dépistage VIH,
systématiquement proposée vu la
fréquence de la coexistence avec la
tuberculose
C. Transaminases,
bilirubine,
phosphatases alcalines, gamma GT
D. La sérologie de dépistage des
hépatites B et C, systématiquement
proposée vu les comorbidités
E. La créatininémie, la natrémie,
l’uricémie
63. Les affirmations suivantes sur le
traitement de l’asthme bronchique chez
l’adulte sont fausses: (156)
A. dans l’asthme intermittent on fait
un traitement de fond avec des
corticoïdes par inhalation en petites
doses
B. dans certains cas d’asthme
persistent léger le traitement
alternatif se réalise avec des
chromones d’inhalation ou des
antileucotriènes
C. dans l’asthme persistant modéré, le
traitement de fond se réalise avec
des corticoïdes d’inhalations en
67. Le suivi bactériologique au cours d’un
traitement antituberculeux inclut: (160)
A. l’examen bactériologique précoce
entre le jour 10 et le jour 15
B. l’examen bactériologique précoce
indiqué dans le cas des patients
dont l’examen microscopique est
44
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
négatif
C. examen après 2 mois
D. examen après 6 mois
E. examen tous les 2 mois
72. Ce sont des critères cliniques de
gravité dans le BPCO sont: (164)
A. l’oxygénothérapie de longue durée
B. la température supérieure à 38,5 oC
C. FC en dessus de 110/min
D. La diminution de la vigilance
E. Des troubles récents des fonctions
supérieures
68. L’emphysème pulmonaire est défini
par les éléments suivants: (161)
A. élargissement anormal des espaces
aériens
B. élargissement
réversible
des
espaces aériens
C. affection des espaces aériens audelà des bronchioles terminales
D. destruction des parois alvéolaires
E. fibrose pulmonaire
69. L’emphysème centrolobulaire
caractérise par: (162)
A. Patient âgé de plus de 50 ans
B. cardiomégalie
C. l’hyperclarté des pics à
radiographie thoracique
D. dyspnée inaugurale
E. déficit d’alpha-1 antitrypsine
73. Le traitement pharmacologique dans le
BPCO peut se faire avec: (166)
A. des bronchodilatateurs à action
rapide (fénotérol)
B. des bronchodilatateurs à action
prolongée (le bromure d’ipratropium)
C. des bronchodilatateurs à action
rapide (salmétérol)
D. des corticoïdes pour inhalation
selon le cas
E. de la théophylline et des
corticoïdes oraux de moins en moins
utilisés
se
la
74.
L’antibiothérapie
avec
amoxicilline/acide clavulanique ou C3G
injectable au cours d’une exacerbation de
la BPCO est indiquée dans les situations
suivantes: (166)
A. VEMS < 50%
B. VEMS > 50% si dyspnée à l’effort
C. VEMS < 30%
D. VEMS > 30%
E. Dyspnée au moindre effort ou
dyspnée de repos
70. Lors de l’examen clinique d’un patient
avec BPCO NE constituent PAS des signes
cliniques de distension thoracique: (162)
A. le signe de Hoover
B. le déplacement de la paroi
thoracique vers l’intérieur pendant
la contraction du diaphragme
C. des indices de HTAP et d’ IVD
D. l’augmentation du diamètre antéropostérieur du thorax
E. l’utilisation
des
muscles
respiratoires accessoires
75. L’oxygénothérapie de longue durée est
indiquée chez le patient avec BPCO dans
les situations suivantes: (167)
A. PaCO2 ≥ 50 mmHg
B. PaCO2 ≥ 60 mmHg
C. PaO2 ≤ 55mmHg
D. PaO2 ≤ 60 mmHg accompagnée de
HTAP
E. PaO2 ≤ 60 mmHg accompagnée
d’hématocrite ≥ 55%
71. Lesquelles des variantes suivantes sont
des indications d’effectuer la gazométrie
chez les patients avec BPCO: (163)
A. VEMS < 50% de la valeur
théorique
B. Discordance clinico-fonctionnelle
seulement si le VEMS < 50% de la
valeur théorique
C. Comorbidité
cardio-vasculaire
associée
D. SaO2<92%
E. PaO2< 60 mmHg
76. Les contre-indications de l’intervention
chirurgicale dans la BPCO sont les
suivantes, A L’EXCEPTION DE: (168)
45
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
A. HTAP
B. VEMS moyen à 25% de la valeur
théorique
C. CPT > 125% de la valeur
théorique
D. Tabagisme persistant
E. Corticothérapie supérieure à 15
mg/j continuelle
mmHg
81. Dans une pneumopathie infectieuse
chez l’adulte, installée au domicile, les
suivants sont des agents étiologiques
rarement impliqués: (171)
A. Haemophilus influenzae
B. S. aureus
C. Legionella pneumophila
D. Moraxella catarrhalis
E. Bacilles Gram négatifs
77. On pose le diagnostic de pneumopathie
chez l’adulte sur la base de signes
physiques tels: (169)
A. La toux
B. syndrome de condensation clinique
C. tachycardie > 100/min
D. des anomalies auscultatoires
E. des râles crépitants localisés
82. Les facteurs favorisants pour une
pneumopathie nosocomiale chez l’adulte
sont: (173)
A. l’âge avancé
B. chirurgie abdominale ou pelvienne
C. immobilisation de longue durée
D. la ventilation artificielle
E. l’insuffisance rénale
78. Les facteurs de risque de mortalité
dans une pneumopathie infectieuse chez
l’adulte sont: (169)
A. l’âge de plus de 65 ans
B. l’insuffisance rénale aiguë
C. traitement
aux
immunosuppresseurs pendant la
dernière année
D. les antécédents de pneumonie
bactérienne
E. la vie institutionnalisée
83. Les variantes suivantes NE font PAS
partie de la triade d’Anthonisen: (175)
A. La température centrale augmente
au-dessus de 39oC
B. Le prolongement de la phase
productive de la toux plus de 14
jours
C. L’augmentation du volume de
l’expectoration
D. La diminution de la dyspnée
E. L’augmentation de la purulence de
l’expectoration
79. Lesquels des suivants constituent des
critères radiographiques d’hospitalisation
dans une pneumopathie infectieuse chez
l’adulte: (170)
A. plusieurs lobes sont affectés
B. épanchement pleural
C. affection interstitielle bilatérale
D. cavité
sur
la
radiographie
thoracique
E. leucopénie (< 4000 GB/ml) ou
leucocytose sévère (> 20000
GB/ml)
84. Lesquelles des variantes suivantes
représentent des diagnostiques différentiels
du SDRA chez l’adulte: (178)
A. la
pneumopathie
grave
à
Pneumocistis carinii
B. la fibrose pulmonaire idiopathique
C. l’alvéolite allergique extrinsèque
D. l’hémorragie alvéolaire
E. la sarcoïdose
80. Laquelle des variantes suivantes NE
fait PAS partie du score CRB65: (170)
A. Céphalée
B. Confusion
C. Respiration paradoxale
D. Âge < 65 ans
E. Pression artérielle systolique < 90
85. Lesquelles des variantes suivantes
représentent des examens de première
intention dans une hémoptysie: (181)
A. la radiographie thoracique
B. la fibroscopie bronchique
46
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
C. l’échographie
cardiaque
transthoracique
D. le CT thoracique
E. la scintigraphie pulmonaire de
ventilation/perfusion
suivantes NE représentent PAS des causes
d’exsudat: (188)
A. Le myxœdème
B. L’obstruction de la veine cave
supérieure
C. L’embolie pulmonaire
D. Le syndrome de Churg-Strauss
E. La pancréatite
86. Ce sont des causes classiques
d’hémoptysie chez un patient extuberculeux sont: (182)
A. l’aspergillome
B. la nécrose aseptique des masses
pseudotumorales
C. la dilatation postcicatricielle des
bronches
D. la mycobactériose atypique
E. la récidive BK
91. Les variantes suivantes représentent
des causes de pneumopathies interstitielles
diffuses aiguës: (189)
A. les pneumopathies opportunistes
diverses
B. la pneumopathie toxique
C. l’alvéolite allergique extrinsèque
D. l’histiocytose X
E. le SDRA
87. On rencontre dans un pneumothorax
les signes fonctionnels suivants : (183)
A. matité basale franche
B. douleur
brutale,
lancinante,
latérothoracique
C. la diminution de la transmission
des vibrations vocales
D. dyspnée d’intensité variable
E. des quintes douloureuses de toux,
toujours présentes
92. La sarcoïdose se caractérise par un
syndrome interstitiel qui au CT thoracique
présente: (189)
A. des images kystiques surtout dans
les lobes supérieurs
B. une distribution péribronchique
prédominante
C. des
adénopathies
hilaires
bilatérales et symétriques
D. des
adénopathies
hilaires
unilatérales
E. des adénopathies du médiastin
88. Le pneumothorax spontané secondaire
peut compliquer l’évolution des maladies
respiratoires suivantes: (183)
A. BPCO
B. Mucoviscidose
C. Pneumopathies à streptocoque ou
Moraxella
D. Infarctus pulmonaire
E. Nœud rhumatoïde
93. L’histiocytose langerhansienne se
caractérise par: (192)
A. affecte les sujets entre 20-40 ans
B. son apparition n’est pas influencée
par la consommation de tabac,
seulement son évolution ultérieure
C. aspect de rayon de miel ou
« poumons de dentelle » au CT
thoracique
D. dans le LBA on met en évidence
des cellules qui expriment CD1a
E. on confirme le diagnostic par
biopsie pulmonaire, des biopsies de
petites dimensions étant suffisantes
89. Dans le cas d’un épanchement pleural
chez l’adulte, les variantes suivantes
représentent des signes d’intolérance:
(186)
A. Polypnée
B. Pâleur
C. Bradycardie
D. Hypotension artérielle
E. Latérodéviation des bruits du cœur
94. Ce sont des circonstances qui dans le
cas d’un sujet tabagique âgé de plus de 40
90. Dans le cas d’un épanchement pleural
chez l’adulte, lesquelles des variantes
47
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
ans devraient conduire à la réalisation
d’une radiographie thoracique: (197)
A. l’apparition ou l’aggravation d’une
toux ou de la dyspnée
B. un épisode infectieux pulmonaire
qui traîne ou qui récidive dans la
même aire
C. l’hémoptysie
D. le syndrome de cave supérieur
(surtout dans le cancer bronchopulmonaire non à petites cellules)
E. la douleur thoracique
D. la lymphangite carcinomateuse
apparaît dans les cancers d’utérus,
de prostate et de pancréas
E. les adénopathies du médiastin sont
fréquentes dans les cancers dans la
sphère ORL, d’œsophage ou
broncho-pulmonaires
98. Le diagnostic d’imagerie par
radiographie ou CT thoracique dans le
milliaire métastasique est fondé sur les
éléments suivants: (200)
A. des nodules faiblement délimités
B. bord diffus et irrégulier
C. surtout périphériques
D. prédominants dans les lobes
inférieurs
E. la présence des calcifications
n’exclut pas la nature tumorale
95. On applique le traitement chirurgical
de première intention dans le cancer
broncho-pulmonaire non à petites cellules
dans les situations suivantes: (199)
A. T1 N0
B. T2 N0
C. T3 N1
D. Le stade III B
E. Le stade II
99. Dans les tumeurs pulmonaires
secondaires on utilise de première
intention le traitement non-chirurgical
pour: (201)
A. le cancer testiculaire
B. le cancer ovarien
C. les néphroblastomes
D. les lymphomes
E. les ostéosarcomes
96. Dans le cancer broncho-pulmonaire
non à petites cellules, IVème stade, qui
présente une mutation activatrice du gène
EGFR/RFCE (fr) le traitement de première
ligne consiste en: (199)
A. inhibiteur de la tyrosine-kinase
B. gefitinib (IRESSA)
C. pneumonectomie
D. radiothérapie ciblée
E. association
entre
une
chimiothérapie
de
troisième
génération et le cisplatine
100. Ce sont des éléments de pronostic
négatif pour la métastasectomie: (201)
A. métastases > 5
B. l’importance
des
signes
fonctionnels
C. l’unilatéralité des métastases
D. un bref intervalle entre la
découverte
du
primitif
et
l’apparition des lésions secondaires
E. temps de redoublement > 20 jours
97. Lesquelles des affirmations suivantes
sur les tumeurs pulmonaires secondaires
sont FAUSSES: (200)
A. le milliaire métastasique est plus
fréquent en cas de mélanome
malin,
cancer
prostatique,
carcinome médullaire thyroïdien et
cancer ovarien
B. le milliaire métastasique est plus
fréquent dans les lymphomes, les
cancers de poumon, sein et estomac
C. les adénopathies du médiastin sont
plus fréquentes dans le cancer
testiculaire
101. L’insuffisance respiratoire chronique
restrictive d’origine mécanique par
affection pariétale peut avoir les causes
suivantes: (203)
A. cyphoscoliose
B. spondylarthrite ankylosante
C. thoracoplastie
D. côte cervical accessoire
E. pectus excavatum (le thorax en
48
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
D. œdème inflammatoire
E. perte de la capacité de balancement
de la gambe
entonnoir)
102. Le diagnostic de trouble de
ventilation restrictif est fondé sur les
modifications suivantes des EFR, A
L’EXCEPTION DE: (203)
A. réduction de la CPT
B. diminution du VEMS/CV
C. toujours diminution du rapport
DLCO/VA
D. diminution du VEMS dans la
même proportion que la CV
E. augmentation de la CPT
106.
Ce
sont
des
indications
d’hospitalisation dans la thrombose
veineuse profonde: (210)
A. le risque hémorragique
B. le syndrome obstructif veineux
sévère
C. l’état subfébrile
D. l’insuffisance rénale sévère
E. la localisation iliaque externe
103. Chez un patient avec traumatisme
thoracique la détresse circulatoire peut être
due à: (206)
A. un choc cardiogénique lié à une
dissection aortique
B. un choc hémorragique
C. une tamponnade
D. une luxation extrapéricardique du
cœur
E. une rupture de la coupole
diaphragmatique
107.
Les
signes
radiologiques
dans l’embolie pulmonaire sont: (211)
A. l’atélectasie en bande
B. la surélévation du dôme pleural
C. le pneumothorax
D. le signe de Westermarck
E. le signe de Mahler
108. Lesquelles des variantes suivantes
font partie des éléments à retrouver dans le
cas où l’on suspecte une thrombophilie?
(213)
A. les thrombocytes
B. le syndrome antiphospholipidique
C. la protéine C
D. la protéine S
E. l’antithrombine
104. Les affirmations suivantes sur la
rupture de la coupole diaphragmatique
sont vraies: (207)
A. est plus fréquente à la droite
B. la radiographie thoracique pose le
diagnostic tranchant
C. le diagnostic se base sur la
tomographie thoracique
D. se doit à une compression
thoracique associée à une contusion
abdominale
E. l’échographie
cardiaque
transthoracique est nécessaire pour
mettre
en
évidence
les
complications cardiaques
109. Lesquelles des variantes suivantes
représentent des éléments de traitement
symptomatique dans l’embolie pulmonaire
massive? (214)
A. l’expansion volémique
B. la dobutamine
C. l’oxygénothérapie
D. la thrombolyse intraveineuse
E. l’embolectomie chirurgicale
105. Les suivants représentent des signes
fonctionnels dans la thrombose veineuse
profonde: (210)
A. douleur spontanée au niveau de la
gambe
B. douleur provoquée au niveau de la
gambe
C. le signe de Homans
110. Dans l’arrêt cardio-circulatoire
l’alcalinisation par administration de
bicarbonate est recommandée: (218)
A. si l’on présuppose que la
fibrillation
ventriculaire
est
apparue depuis plus de 4 minutes
B. en
cas
d’hyperpotassémie
confirmée
49
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
C. dans un cas d’insuffisance rénale
dialysée longtemps après la
dernière dialyse
D. dans le cas d’une intoxication à
benzodiazépines
E. dans le cas d’une intoxication à
antidépressifs tricycliques
115. Le syndrome de Wallenberg associe:
(251)
A. l’anesthésie de l’hémiface du côté
de la lésion
B. vertige et nystagmus rotateur du
côté opposé à la lésion
C. la paralysie de l’hémivoile du côté
de la lésion
D. l’anesthésie
thermoalgésique
hémicorporale du côté opposé à la
lésion
E. l’anesthésie
thermoalgésique
hémicorporale du côté de la lésion
111. Lesquelles des variantes suivantes
représentent des signes cliniques de choc?
(220)
A. la tachycardie
B. l’augmentation du temps de
recoloration cutanée
C. l’insuffisance rénale fonctionnelle
D. la polypnée
E. l’hypoxie
116. Les causes qui sont à retrouver dans
le cas d’un infarctus cérébral chez l’adulte
jeune sont: (252)
A. l’endocardite à emboles cérébraux
B. la dissection d’une artère cérébrale
C. des causes immunologiques
D. l’athérosclérose
E. la lipohyalinose de petites artères
perforantes
112. Le traitement inotrope positif est
indiqué dans les situations suivantes: (221)
A. si une diminution de la contractilité
cardiaque s’est concrétisée
B. choc cardiogénique
C. choc anaphylactique
D. choc hémorragique
E. choc septique associé à une
défection cardiaque
117. Ce sont des examens biologiques à
effectuer d’urgence dans le cas d’un
infarctus cérébral: (253)
A. l’hémoleucogramme
B. l’ionogramme sanguin
C. l’ionogramme urinaire
D. le bilan hépatique
E. la glycémie
113. Les affirmations suivantes sur
l’utilisation des catécholamines dans le
traitement du choc sont FAUSSES: (223)
A. la dopamine est un vasoconstricteur
plus efficace que la noradrénaline
B. la
noradrénaline
est
le
vasoconstricteur de référence
C. la dobutamine est l’agent inotrope
de référence
D. l’adrénaline est l’agent inotrope de
référence
E. l’adrénaline est agent inotrope et
vasoconstricteur
118. La sémiologie évocatrice de l’AIT
inclut les variantes suivantes: (253)
A. cécité monoculaire transitoire
B. aphasie
C. hémianopsie latérale homonyme
D. ataxie cérébelleuse
E. troubles moteurs et/ou sensitifs
bilatéraux
114. Lesquelles des variantes suivantes
représentent des diagnostics différentiels
pour l’AVC: (250)
A. l’hypoglycémie
B. l’hyperglycémie
C. l’épilepsie
D. l’aura migréneuse
E. l’encéphalopathie urémique
119. Le traitement de l’HTA dans la phase
aiguë d’un AVC est indiqué dans les
situations suivantes: (254)
A. HTA > 185/110 mmHg en
l’absence
du
traitement
thrombolithique
B. HTA> 220/120 mmHg
50
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
C. HTA associée à l’infarctus du
myocarde
D. HTA
associée
à
l’œdème
pulmonaire aigu
E. HTA associée à l’insuffisance
rénale
C. apparaissent constamment les
signes de Kernig et de Brudzinski
D. parfois des troubles de conscience
apparaissent
E. une
crise
convulsive
peut
apparaître parfois
120. Le traitement anticoagulant dans
l’infarctus cérébral a les suivantes
indications certaines: (254)
A. L’AIT d’origine cardioembolique
certaine
B. La
dissection
artérielle
extracrânienne
C. La sténose extracrânienne étroite
D. Les infarctus veineux
E. Des états d’hypercoagulabilité
124. Ce sont des complications à terme
moyen de l’hémorragie méningée les
suivantes: (261)
A. le vasospasme artériel
B. l’épilepsie
C. des
séquelles
motrices
ou
cognitives, en fonction du siège et
des complications de l’hémorragie
initiale
D. des complications de décubitus
E. l’hydrocéphalie à pression normale
121. Les affirmations suivantes sur les
hématomes
intraparenchymateux
cérébraux sont vraies: (257)
A. sont situés dans le territoire
profond si liés à l’HTA
B. sont situés dans le territoire lobaire
si liés à l’HTA
C. sont situés dans le territoire lobaire
si liés à la rupture d’une
malformation artérioveineuse
D. sont situés dans le territoire
profond si liés à l’angiopathie
amyloïde
E. sont situés dans le territoire
cortico-souscortical si liés à
l’angiopathie amyloïde
125. Ce sont des signes cliniques
évocateurs
pour
un
syndrome
d’hypertension intracrânienne: (274)
A. la céphalée surtout vespérale
B. la nausée-les vomissements en jet
C. la diplopie à valeur localisatrice
D. la vue trouble
E. l’œdème papillaire bilatéral
126.
Peuvent
être
des
lésions
intracérébrales dans le contexte d’une
sérologie VIH positive: (275)
A. le lymphome cérébral
B. le tuberculome
C. la
leucoencéphalopathie
multifocale progressive
D. la leucoaraïose
E. la pneumocystose
122. Constituent des terrains favorisants
pour les thromboses veineuses cérébrales :
(258)
A. le post-abortum
B. la contraception à dispositif
intrautérin
C. la thrombophilie
D. les hémopathies subjacentes
E. La RCUH
127. Les affirmations suivantes sur la
gestion des méningites infectieuses sont
FAUSSES: (289)
A. dans une méningite à pneumocoque
le traitement curatif se fait avec
céfotaxime x 15 jours
B. dans les méningites à coques et
bacilles Gram négatifs le traitement
se fait avec céfotaxime x 7 jours
C. dans la méningite à Haemophilus
influenzae le traitement se fait avec
céfotaxime 15 jours
123. Le tableau clinique dans une
hémorragie méningée se caractérise par:
(260)
A. céphalée brutale
B. céphalée d’intensité modérée
51
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
D. dans la méningite à Listeria
monocytogenes
on
fait
la
prophylaxie avec rifampicine ou
rovamycine
E. Il est obligatoire de déclarer la
méningite
à
Listeria
monocytogenes
128. Ce sont des signes encéphalitiques
dans la méningoencéphalite herpétique:
(291)
A. des troubles de mémoire
B. des troubles de vigilance
C. la céphalée
D. la phonophobie
E. la raideur de la nuque
aiguë chez le patient alcoolique les
suivantes, A L’EXCEPTION DE: (311)
A. la pneumopathie par inhalation
B. les virus hépatites B et C
C. la pancréatite aiguë
D. delirium tremens
E. l’endocardite droite
133. La période de contagiosité dans la
grippe: (321)
A. à partir de 2 jours avant
l’apparition des signes cliniques
B. à partir de 6 jours avant
l’apparition des signes cliniques
C. persiste 6 jours après l’apparition
des signes cliniques
D. est très brève: 1-3 jours
E. peut dépasser 12 jours dans le cas
des immunodéprimés
129. Les lésions qui apparaissent à
l’imagerie
cérébrale
dans
la
meningoencéphalite herpétique ont les
caractéristiques
suivantes,
A
L’EXCEPTION DE: (291)
A. lésions unilatérales
B. lésions bilatérales
C. lésions frontales
D. lésions temporales
E. lésions pariétales
130. La fièvre se définit par: (309)
A. température centrale de plus de
o
C le matin
B. température centrale de plus
38,3 oC le matin
C. température centrale de plus de
o
C le soir
D. température centrale de plus
38,3 oC le soir
E. température centrale de plus de
o
C à tout moment de la journée
134. Les prodromes NE se caractérisent
PAS par: (321)
A. sont spécifiques
B. arthromyalgies
C. céphalée
D. apparition brusque
E. asthénie
38
135. Les facteurs intrinsèques dont dépend
l’efficacité du vaccin antigrippal sont les
suivants, A L’EXCEPTION DE: (323)
A. L’âge
B. Les comorbidités
C. Les
traitements
à
immunosuppresseurs
D. Le sexe
E. Le poids corporel
de
38
de
38
136. La phase symptomatique ou le SIDA
dans l’infection VIH se manifeste par:
(325)
A. pneumocystose
B. tuberculose
C. leucoplasie chevelue
D. le zona (l'herpès zoster)
E. cachéxie
131. Ce sont des pathologies noninfectieuses qui peuvent constituer des
étiologies d’une fièvre aiguë: (310)
A. maladies
inflammatoires
systémiques
B. tumeurs
C. maladies métaboliques
D. maladie de Wilson
E. paludisme
137. La toxicité des antirétroviraux utilisés
dans le traitement de l’infection à VIH est
représentée par: (326)
132. Peuvent être des causes de fièvre
52
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
A.
B.
C.
D.
E.
toxicité digestive
toxicité cutanée
toxicité neuropsychique
hépatotoxicité
toxicité rénale
142. Lesquelles des variantes suivantes
peuvent être des formes cliniques de la
chlamydiose: (332)
A. Les urétrites
B. Les cervicites
C. Les LGV
D. Les formes néonatales (kératites
purulentes, endophtalmites)
E. Le syndrome de Fitz-Hugh-Curtis
138. Le bilan initial dans l’infection à VIH
inclut: (326)
A. la charge virale VIH plasmatique
B. l’hémoleucogramme
C. des tests de coagulation
D. la sérologie CMV
E. la sérologie toxoplasmose
143. Le traitement de la chlamydiose
dépend de la région infectée et se fait
comme il suit : (332)
A. Dans les urétrites et dans les
cervicites: doxycycline 1 g per os
B. Dans les urétrites et dans les
cervicites:
azithromycine 200
mg/jour, 7 jours
C. Dans les salpingites: amoxicillineacide clavulanique (10 jours) +
doxycycline (21 jours)
D. Dans les LGV: doxycycline 200
mg/jour pendant 21 jours
E. Dans les prostatites et les
orchiépididymites: fluoroquinolone
139. Ce sont des signes évocateurs d’une
infection à transmission sexuelle: (329)
A. douleurs pelviennes
B. leucorhée
C. chancre buccal
D. conjonctivite (néonatale, surtout
dans les infections à gonocoque et
chlamydia)
E. adénopathies inguinales
140. Les principaux facteurs de risque
reconnus pour l’IST sont: (329)
A. le sexe masculin
B. multiples partenaires sexuels
C. rapports sexuels tardifs
D. antécédents d’IST
E. niveau
socio-économique
défavorable
144. Le syndrome de Fiessinger-LeroyReiter associe: (332)
A. urétrite
B. cervicite
C. conjonctivite
D. uvéite
E. polyarthrite
141. Les affirmations suivantes relatives à
l’infection à gonocoque sont vraies: (331)
A. est suggéré par l’examen clinique
dans les formes purulentes
classiques
B. l’examen direct n’est pas concluant
que pour les femmes
C. l’examen direct n’est pas concluant
que pour les hommes
D. à l’examen direct on observe des
diplocoques lancéolés encapsulés
E. dans toutes les formes nonclassiques on réalise la culture sur
milieux normaux
145. Si chez un patient suspecté de syphilis
on met en évidence la combinaison
VDRL+/TPHA-, les variantes suivantes
sont possibles: (333)
A. le patient a la syphilis
B. le patient se trouve dans la période
d’incubation et il faut effectuer le
FTA pour la confirmation
C. le résultat est faux positif
D. le patient peut avoir le syndrome
antiphospholipidique
E. le patient peut présenter une
infection à VIH
146. Le traitement dans la syphilis peut se
faire de la manière suivante: (333)
53
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
A. Dans la syphilis primaire l’on peut
administrer de la doxycycline 200
mg/jour pendant 14 jours
B. Dans la syphilis tertiaire, en cas
d’allergie à la pénicilline on
administre de la doxycycline 200
mg/jour pendant 18 jours
C. Dans la syphilis primaire, en cas
d’allergie à la pénicilline on peut
administrer de l’azythromicine 1 g
en dose unique
D. On traite la neurosyphilis avec de
la pénicilline G 18-24 M UI/jour en
6 perfusions pendant 14-21 jour
E. Dans la syphilis tardive, en cas
d’allergie à la pénicilline on
administre du cotrimoxazole p.o.
pendant 21 jours
B.
C.
D.
E.
Le vaccin
L’alimentation parentérale
La curarisation
Anticoagulants prophylactiques
150. Purpura fulminans associe : (371)
A. Fièvre
B. oligurie
C. syndrome méningé
D. signes encéphalitiques
E. pourpre à expansion rapide
151. Dans une septicémie, ce sont des
examens orientés par l’examen clinique:
(372)
A. L’ECBU
B. L’hémogramme
C. Le VSH
D. La procalcitonine
E. L’examen cytobactériologique du
phlegme
147. Les aspects importants dans le tétanos
sont: (367)
A. est déterminé par une bactérie
ubiquitaire, fastidieuse du point de
vue nutritif
et sensible aux
conditions de milieu
B. le bacille tétanique peut produire
une exotoxine neurotrope
C. la maladie peut être mortelle
D. il existe un vaccin à haute efficacité
E. c’est une maladie qu’il est
obligatoire de déclarer à cause du
risque épidémique
152. La toxicomanie est un facteur
favorisant pour les septicémies à porte
d’entrée identifiée ou présomptive au
niveau de: (373)
A. les téguments
B. le poumon
C. l’endocarde
D. un foyer vasculaire
E. le tube digestif
153. On fait le diagnostic différentiel
d’une septicémie par rapport à: (373)
A. le choc cardiogénique
B. le choc hypovolémique
C. l’embolie pulmonaire
D. le choc anaphylactique
E. le tétanos
148. Les complications du tétanos peuvent
être: (368)
A. des complications de décubitus,
surtout des escarres dans les points
de pression (la zone sacrale, la
région calcanéenne)
B. des
complications
thromboemboliques
C. des syndromes dysautonomes
D. des
contractures
généralisées
responsables de l’opisthotonus
E. la décompensation des tares
154.
Dans
les
septicémies
à
entérobactéries, en l’absence des signes de
gravité, on recourt à monothérapie avec:
(374)
A. céfotaxime
B. amoxicilline
C. ceftriaxone
D. fluoroquinolone
E. aminoglycoside
149. Lesquelles des variantes suivantes NE
font PAS partie du
traitement
symptomatique du tétanos? (368)
A. Nettoyer et débrider la plaie
54
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
C. diarrhée persistante ou invasive
apparue après un traitement à
antibiotiques ou chimiothérapie
D. suspicion
de
toxi-infection
alimentaire collective
E. diarrhée après être rentré d’un
séjour dans la zone tropicale
155. Le suivi biologique du traitement
dans une septicémie se fait par déterminer
les éléments suivants: (375)
A. la courbe thermique
B. l’hémogramme
C. la procalcitonine
D. la CRP
E. l’hémostase
160. Lesquelles des variantes suivantes ce
sont des examens sanguins qu’on effectue
dans le cas d’une diarrhée chez l’adulte:
(404)
A. des hémocultures en cas de fièvre
ou d’hypothermie
B. hémoleucogramme CRP, en cas de
syndrome infectieux
C. ionogramme
sanguin,
urée,
créatinine de façon systématique
D. bilan hépatique systématique
E. chercher
les
toxines
dans
l’infection à Clostridium difficile
156. Lesquelles des variantes suivantes NE
représentent PAS des signes extradigestifs
dans une diarrhée aiguë chez l’adulte:
(403)
A. soif
B. éruption cutanée
C. palpitations
D. arthralgies
E. douleurs abdominales
157. Lesquelles des variantes suivantes
représentent une urgence dans le cas d’une
diarrhée aiguë chez l’adulte? (403)
A. la déshydratation sévère
B. la
présence
des
signes
extradigestifs
C. les signes de mégacôlon toxique
D. les signes d’irritation du péritoine
E. la femme enceinte
161. Les toxi-infections alimentaires
collectives peuvent avoir comme agent
étiologique: (405)
A. E. coli entérotoxigène
B. S. aureus
C. Clostridium perfringens
D. Clostridium difficile
E. Bacillus cereus
158. Le syndrome dysentérique se
caractérise par: (404)
A. affection colique par mécanisme
toxique ou toxinique
B. diarrhée avec de nombreuses selles,
peu abondantes
C. la présence dans la selle des
glaires, du sang, du pus et/ou de
débris de muqueuse
D. syndrome pseudogrippal
E. risque de mégacôlon toxique ou
même de perforation colique
162. Ce sont des modifications biologiques
typiques dans les salmonelloses typhiques
et paratyphiques sont: (406)
A. la leucocytose
B. la leucopénie
C. la cytolyse hépatique
D. la rhabdomyolyse
E. les troubles de coagulation
163. Le traitement symptomatique de la
diarrhée se fait avec: (406)
A. lopéramide
B. modulateurs de motilité à l’effet de
ralentissement du transit
C. racécadotril
D. antispasmodiques et antalgiques
E. antiémétiques
159. Les variantes suivantes NE sont PAS
des
indications
pour
l’examen
parasitologique de la selle : (404)
A. diarrhée > 3 jours
B. diarrhée
chez
un
sujet
immunodéprimé
164.
55
L’antibiothérapie
ciblée
en
cas
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
d’identification d’un agent infectieux
responsable de la diarrhée se fait avec:
(407)
A. quinolone p.o. ± métronidazole en
cas de tableau clinique sévère ou
suspicion de parasitose
B. macrolide pendant 14 jours dans la
diarrhée à Campylobacter jejuni
C. doxycycline 200 mg/ jour pendant
7 jours dans la diarrhée à Vibrio
cholerae
D. quinolone pendant 5-7 jours dans la
salmonellose,
la
shigellose,
l’yersiniose
E. quinolone pendant 5-7 jours dans la
diarrhée à E. coli sérotype
O157:H7
vraies: (428)
A. est
partielle,
parfois
une
sygmoïdoscopie suffit
B. ne peut pas s’effectuer en urgence
C. se fait sous anesthésie générale
D. on prépare le côlon avec PEG
E. on la fait à des fins diagnostiques et
éventuellement thérapeutiques
168. Une hémorragie digestive inférieure
qui apparaît chez un patient avec cancer de
côlon peut être favorisée par la
consommation des médicaments suivants:
(428)
A. corticoïdes
B. AINS
C. Antiagrégants
D. Anticoagulants
E. Prokinétiques
165. Les mesures de ressuscitation dans
une hémorragie digestive sont: (426)
A. oxygénothérapie
B. deux voies veineuses centrales
C. remplissage vasculaire et même
transfusion à l’état de choc
D. suivi cardiaque, tensionnel et de la
saturation
périphérique
de
l’oxygène
E. endoscopie digestive supérieure
réalisée après une perfusion lente à
érythromycine
169. À l’anamnèse et à l’examen clinique
effectués chez un patient suspecté d’une
affection gastroduodénale, constituent des
arguments en faveur d’un cancer: (433)
A. la
présence
d’une
masse
abdominale
B. la douleur épigastrique atypique
pour une o pathologie ulcéreuse
C. l’altération de l’état général
D. douleur ulcéreuse typique
E. la présence d’une adénopathie
166. Les affirmations suivantes sur
l’endoscopie digestive supérieure en
urgence sont vraies: (427)
A. on l’effectue chez le patient stable
du point de vue hémodynamique
B. on ne peut pas l’effectuer chez un
patient avec des troubles de
conscience
C. o l’effectue chez le patient à jeun
depuis 6 heures
D. on peut l’effectuer après avoir vidé
l’estomac à l’aide d’une perfusion
intraveineuse lente à cimétidine
E. se réalise à des fins diagnostiques,
pronostiques et thérapeutiques
170. Le traitement dans l’ulcère
gastroduodénal comporte: (434)
A. éradiquer H. pylori, si présent, par
une triple thérapie de première
intention: IPP dose standard +
amoxicilline + clarithromycine
pendant10-14 jours
B. en cas d’ulcère duodénal à douleurs
persistantes on continue pendant 3
semaines le traitement avec IPP
dose standard
C. en cas d’ulcère duodénal chez un
patient
sous
traitement
anticoagulant on continue pendant
3 semaines le traitement avec IPP
dose standard
167. Les affirmations suivantes sur la
colonoscopie
effectuée
en
cas
d’hémorragie digestive inférieure sont
56
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
D. en cas d’ulcère gastrique il faut
suivre pendant 4-6 semaines le
traitement avec IPP dose double
E. le contrôle endoscopique à 6
semaines est indispensable dans
l’ulcère gastrique
E. fistules ou abcès
175. Les complications dans la maladie de
Crohn peuvent être: (440)
A. aiguës: fistules/abcès, colite aiguë
grave
B. sous-aiguës: la thrombose veineuse
profonde
C. sous-aiguës: sténoses digestives
D. à long terme: sténoses digestives
E. à long terme: cancer, surtout
colorectal, mais aussi d’intestin
grêle et d’anus
176. Font partie des critères clinicobiologiques sur la base desquels on pose le
diagnostic de colite aiguë grave: (441)
A. nombre d’évacuations/24 heures >
6, avec du sang
B. température vespérale > 38,5 oC
C. fréquence cardiaque ≥ 90/min
D. hémoglobine ≤ 10,5 g/dl
E. hémorragie grave
171. La sténose, en tant que complication
de l’ulcère gastroduodénal, se caractérise
par: (435)
A. c’est une complication fréquente
B. localisation antrale préférentielle
C. caractère toujours bénin
D. traitement médical de première
intention
E. traitement
endoscopique
ou
chirurgical en cas d’échec du
traitement médical
172. La rectocolite ulcérohémorragique se
caractérise par: (439)
A. c’est une maladie inflammatoire
transmurale
B. affecte constamment le rectum
C. examen clinique extrêmement
suggestif
D. la symptomatologie est dominée
par la diarrhée à glaires et sang
d’évolution progressive
E. affection parfois de l’intestin grêle,
localisée de préférence au niveau
de l’iléon terminal
177. Lesquelles des affirmations suivantes
relatives au syndrome de Gilbert sont
vraies: (445)
A. représente un déficit total de
glucuronoconjugaison
de
la
bilirubine
B. a une transmission autosomique
récessive
C. se caractérise par un ictère à
évolution progressive en parallèle
avec l’avancement en l’âge
D. l’Hb est normale
E. Le bilan hépatique est normal
173. Ce NE sont PAS des complications de
la colite aiguë grave: (440)
A. dénutrition
B. thrombose veineuse profonde
C. cancer colorectal
D. mégacôlon toxique
E. perforation
178. Lesquelles des variantes suivantes
sont des causes malignes de l’ictère
d’origine extrahépatique: (446)
A. le cancer pancréatique céphalique
B. l’obstruction des voies biliaires
intrahépatiques d’origine tumorale
C. l’ampullome vatérien
D. le cholangiocarcinome
E. la cholangite sclérosante primitive
174.
Les
indications
pour
la
coloproctéctomie totale avec anastomose
iléoanale dans le RCUH sont (440):
A. la colite aiguë grave résistante au
traitement médical
B. le cancer colorectal
C. la dysplasie de haut degré
D. la
rectocolite
résistante
au
traitement médical
179. Ce sont des manifestations
extrahépatiques possibles dans une
hépatite virale aiguë: (451)
57
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
A.
B.
C.
D.
E.
l’amyloïdose AA
la polyradiculonévrite
l’anémie hémolytique auto-immune
la pelvispondylite
la glomérulopathie
C. Le diagnostic biologique de
grossesse
D. L’élastographie
transitoire
unidimensionnelle
E. Les anticorps anti-muscles lis et
anti-LKM1
180. L’hépatite aiguë virale, la forme
fulminante, se caractérise par: (451)
A. l’apparition d’une encéphalopathie
hépatique après moins de 2
semaines depuis l’apparition de
l’ictère
B. IP < 50%
C. Mortalité de plus de 50% en
l’absence du traitement
D. Hospitalisation
en
thérapie
intensive
E. Transplantation
hépatique
d’urgence, avec le respect de
certains critères
183. Les principaux effets secondaires de
l’interféron sont: (454)
A. l’anémie hémolytique
B. la thrombocytopénie
C. la thrombocytose
D. la leucopénie
E. le syndrome pseudogrippal
184. Lesquels des virus suivants
appartenant au groupe Herpes peuvent
provoquer des hépatites? (454)
A. EBV
B. VRS
C. CMV
D. VHB
E. VZV
181. L’histoire naturelle de l’hépatite
chronique B présente les phases suivantes:
(452)
A. l’immunotolérance:
forte
réplication virale, transaminases
normales ou peu élevées
B. l’immunoélimination:
l’accentuation de la réplication
virale, hausse des transaminases
C. la phase ictérique (asymptomatique
ou paucisymptomatique)
D. la
phase
non-réplicative:
réplication virale non-détectable,
transaminases normales ou élevées
E. la latence clinique: réplication
virale
non-détectable,
transaminases normales ou élevées
185. Dans lesquelles des variantes
suivantes
la
cytolyse
hépatique
s’accompagne d’un rapport ASAT/ALAT
> 1? (455)
A. la cirrhose, mais seulement celle
par cause toxique
B. le syndrome de Budd-Chiari
C. la maladie de Wilson
D. l’hépatopathie alcoolique
E. l’amyloïdose
186. Ce sont des causes fréquentes de
cytolyse > 10N: (456)
A. l’hépatite toxique
B. la lithiase avec migration de calcul
C. l’hépatite auto-immune
D. l’ischémie hépatique
E. la stéatohépatite non-alcoolique
182. Lesquelles des investigations
suivantes sont nécessaires afin d’identifier
une contre-indication définitive ou
temporaire pour le traitement antiviral
chez un patient malade de l’hépatite virale
C: (453)
A. L’ECG
B. L’examen ophtalmologique pour
identifier une uvéite ou une
rétinopathie préproliférative
187. Lesquelles des variantes suivantes
représentent des causes pour la hausse
isolée du gamma-GT? (458)
A. l’intoxication alcoolique aiguë
B. l’intoxication alcoolique chronique
C. des
médicaments
inducteurs
enzymatiques
D. la stéatose
58
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
l’hémorragie sous-arachnoïdienne
l’hématome sous-dural
l’AVC
l’encéphalopathie
de
GayetWernicke
E. l’hyperglycémie
E. la cirrhose biliaire primitive
A.
B.
C.
D.
188. Lesquelles des variantes suivantes
représentent des signes d’insuffisance
hépatocellulaire? (460)
A. angiomes stellaires
B. ictère
C. splénomégalie
D. circulation veineuse collatérale
abdominale
E. érythrose palmaire
193. Lesquelles des variantes suivantes NE
représentent PAS des critères majeurs du
syndrome hépatorénal ? (465)
A. l’augmentation de la créatinine >
130 µmol/l en l’absence du
traitement diurétique
B. la présence de l’hypovolémie
C. la protéinurie < 0,5 g/24h sans
arguments échographiques pour
une obstruction des voies urinaires
D. la diurèse < 500 cc/24h
E. la natrémie < 130 mmol/l
189. Si un patient avec cirrhose présente
astérixis et confusion, ascite réfractaire,
bilirubine totale entre 35-50 µmol/l,
albumine 40 g/l et l’indice de
prothrombine 55%, ce patient présente:
(461)
A. un score de Child B
B. un score de Child =7
C. un score de Child C
D. un score de Child=9
E. un score de Child=11
194. Les possibles facteurs déclencheurs
pour un syndrome hépatorénal sont: (465)
A. l’infection
B. l’hépatite alcoolique aiguë
C. l’hémorragie digestive
D. le carcinome hépatocellulaire
E. la ponction de l’ascite à grand
volume non-compensée
190. Lesquelles des variantes suivantes
constituent des facteurs déclencheurs
communs pour l’ascite et le syndrome
hépatorénal chez un patient avec cirrhose?
(462,465)
A. l’alcool
B. la thrombose portale
C. l’infection
D. l’hémorragie digestive
E. le carcinome hépatocellulaire
195.
Les
complications
pleuropulmonaires de la cirrhose sont: (466)
A. l’hydrothorax
B. le syndrome hépatopulmonaire
C. l’hypertension portopulmonaire
D. l’OAP
E. le pneumothorax
191. Les variantes suivantes font partie du
traitement de l’ascite: (463)
A. l’hydratation et la vitaminothérapie
B. le régime hyposodé
C. les diurétiques distaux en dose
maximale de première intention
D. la ponction évacuatrice avec
compensation systématique par
perfusion intraveineuse d’albumine
E. on peut parfois y associer des
diurétiques d’anse
196. Lesquelles des variantes suivantes
représentent des complications plus rares
de la pancréatite chronique? (468)
A. l’ictère obstructif
B. l’insuffisance
pancréatique
exocrine
C. le diabète
D. l’adénocarcinome pancréatique
E. la wirsungoragie
192. Lesquelles des variantes suivantes
représentent des diagnostics différentiels
pour l’encéphalopathie hépatique? (464)
197. Les affirmations suivantes sur les
examens complémentaires morphologiques
utiles dans la pancréatite chronique sont
59
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
vraies: (469)
A. Le CT abdominal est l’examen de
première intention
B. Le CT abdominal est l’examen le
plus performant
C. L’IRM pancréatique est l’examen
de seconde intention
D. L’échoendoscopie est l’examen
recommandé pour dépister une
forme de début
E. Le IRM pancréatique est l’examen
de première intention
198. Lesquelles des variantes suivantes
font partie du traitement de la douleur dans
la gestion de la pancréatite chronique?
(469)
A. l’enzymothérapie
B. le sevrage alcoolique
C. l’insulinothérapie
D. l’anastomose pancréatique-jéjunale
E. la prothèse de canal
199. Les attitudes possibles dans la
pathologie hémorroïdale interne sont:
(474)
A. l’abstention thérapeutique
B. des règles hygiéno-diététiques et
traitement médical
C. des traitements instrumentaux
D. le traitement chirurgical: incision
ou surtout excision
E. le
traitement
chirurgical:
hémorroïdectomie
classique,
hémorroïdopéxie
ou
ligature
élastique
200. Les traitements instrumentaux
possibles dans la pathologie hémorroïdale
interne sont: (474)
A. la sclérose
B. la technique Longo
C. la photocoagulation à infrarouges
D. la ligature élastique
E. la ligature sous contrôle Doppler
des artères hémorroïdales
Score complément multiple: _____
SCORE TOTAL: _____ / 950
60
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
61
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
E. Transplantation hépatique
QCM III
4. Le traitement indiqué en cas de
tumeur maligne œsophagienne
métastatique est : (487)
A. Œsophagectomie
B. Œsophagectomie précédée de
chimiothérapie
C. Radiochimiothérapie exclusive
D. Installation d’une endoprothèse
E. Chimiothérapie exclusive
Chapitres: Chirurgie viscérale,
Gynécologie-obstétrique,
Rhumatologie, Chirurgie
orthopédique, Ophtalmologie,
Chirurgie ORL, Gériatrie, Psychiatrie,
Psychiatrie pédiatrique
Auteur: Ovidiu Mitu
5. Font partie du traitement palliatif
des tumeurs de pancréas les
suivants, A L’EXCEPTION DE:
(490)
A. Analgésiques
B. Corticoïdes
C. Traitement pour le prurit
D. Prothèses duodénales
E. Rénutrition
COMPLÉMENT SIMPLE
1. Laquelle des affirmations suivantes
relatives au traitement étiologique
du cancer de côlon occlusif est
FAUSSE: (478)
A. Résoudre d’urgence l’occlusion
B. Rééquilibrer et stabiliser les
fonctions vitales (management
médical)
C. Hémicolectomie carcinologique
droite
avec
anastomose
iléorectale
D. Cancer perforé avec péritonite
– l’intervention de Hartmann
E. Cancer avec distension caecale
majeure: colectomie subtotale
avec anastomose iléorectale
6. Laquelle des
suivantes NE
représente PAS une complication
du traumatisme hépatique : (492)
A. Hémobilie
B. Biliome
C. Cholépéritoine
D. Carcinome hépatocellulaire
E. Embolie gazeuse en cas de
plaie de veines suprahépatiques
7. Laquelle des suivantes est une
cause d’occlusion de l’intestin
grêle par strangulation: (495)
A. Volvulus du caecum
B. Corps étranger
C. Syndrome de Ogilvie
D. Diverticule de Meckel
E. Fécalome
2. Lequel des TNM ci-dessus
correspond au stade IIIA dans le
cancer d’estomac: (479)
A. T3N1M0
B. T3N2M0
C. T3N0M0
D. T2a/bN0M0
E. T1-3N3M0
8. En cas de plastron appendiculaire,
quelle est la meilleure option
thérapeutique: (500)
A. Traitement médical initial et
appendicectomie à distance
B. Appendicectomie immédiate
C. Drainage percutané
D. Laparotomie
et
lavage
péritonéal
abondant
3. Laquelle des suivantes constitue
indication thérapeutique dans le
CHC avancé non-métastatique
Child A: (483)
A. Résection
B. Chimioembolisation
C. Sorafénib per os
D. Traitement palliatif
62
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
immédiatement
après
la
confirmation du diagnostic
E. Aucune des variantes ci-dessus
13. Un patient hospitalisé avec
soupçon de pancréatite aigüe
présente: (514)
- À l’hospitalisation → glycémie
de 9 mmol/l (le patient n’est
pas diabétique) Â – 60 ans
leucocytes – 12000/mm³ LDH
3 fois la valeur normale ASAT
9 fois la valeur normale
- Après 48 heures → les
bicarbonates diminuent avec 6
mmol/l PaO2 est de 80 mmHg
l’urée augmente de 2,2 mmol/l
la calcémie est de 2,5 mmol/l
l’hématocrite ne diminue pas, il
reste dans les limites normales
la rétention de fluides estimée
est de ≥ 6 l.
Quel est le score de Ranson?
A. 5
B. 6
C. 7
D. 8
E. 9
9. La hernie crurale (fémorale) a son
orifice: (504)
A. Extériorisé par le fascia
transversalis
B. Au-dessus de l’arcade crurale
C. Extériorisé
par
l’orifice
inguinal profond
D. Au-dessus de l’arcade crurale,
médial
par rapport
aux
vaisseaux fémoraux
E. Au
niveau
de
l’anneau
ombilical élargi
10. Quelle affirmation sur la lithiase
biliaire est vraie: (508)
A. L’abcès sous-hépatique est une
complication de la cholécystite
chronique
B. Le pyocholécyste est une
complication de la lithiase sur
la voie biliaire principale
C. Le
régime
alimentaire
hypercalorique représente un
facteur de risque
D. 80%
des
calculs
sont
symptomatiques
E. La douleur typique est au flanc
et dans la fosse iliaque droite
14. Quelle est la cause principale de la
pancréatite chronique? (467)
A. L’hypercalcémie chronique
B. Auto-immune
C. Obstructive
D. La lithiase biliaire
E. L’alcool
11. Dans le traitement de la lithiase de
la voie biliaire principale, le type
d’examen le plus sensible est:
(512)
A. L’ERCP/ (CPRE fr.)
B. Le IRM abdominal
C. Le Bili-IRM
D. L’échographie abdominale
E. L’échoendoscopie
15. Quelle affirmation relative à
l’infection
de
la
nécrose
pancréatique est vraie: (515)
A. Survient typiquement pendant
la 3ème semaine
B. Les principaux germes sont S.
pneumoniae et H. influenzae
C. La mortalité est basse (1-2%)
D. C’est une complication majeure
du cancer de pancréas
E. Le tableau clinique est intense
et caractéristique
12. La
péritonite
sans
germes
correspond à une péritonite: (517)
A. Primitive
B. Secondaire
C. Tertiaire
D. D’origine hématogène
E. Postopératoire
16. Les affirmations suivantes sur la
première échographie pendant la
grossesse
sont
vraies,
A
63
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
L’EXCEPTION DE: (523)
A. Dépiste précocement certaines
malformations sévères
B. Dépiste la trisomie 21 par
mesurer la clarté nucale
C. On fait le diagnostic précoce
des grossesses multiples
D. On confirme/corrige l’âge de la
grossesse
E. On l’effectue entre les semaines
17-20 d’aménorrhée
la grossesse extra-utérine consiste à
administrer: (535)
A. Aspirine p.o.
B. Corticoïdes i.v.
C. Méthotrexat i.m.
D. Vitamine B12 i.m.
E. Nicardipine i.v.
21. La délivrance aidée par tirer le
cordon ombilical afin de faciliter sa
sortie du vagin est la délivrance:
(550)
A. Spontanée
B. Dirigée
C. Naturelle
D. Artificielle
E. Tardive
17. On
fait
la
prévention
médicamenteuse de la récidive de
la prééclampsie avec: (527)
A. Corticoïdes
B. Paracétamol
C. Bromocriptine
D. Aspirine
E. Nicardipine
22. Hypoménorrhée signifie: (559)
A. Des règles irréguliers et trop
rares
B. Saignement en dehors de la
menstruation
C. L’absence de la ménarche
D. Menstruation en petite quantité
E. Menstruation trop abondante
18. Laquelle des suivantes N’est PAS
une cause d’hémorragie génitale
dans le 2ème et le 3ème trimestre de
grossesse: (529)
A. Placenta prævia
B. La grossesse extra-utérine
C. L’hématome rétroplacentaire
D. La rupture utérine
E. La mort fœtale intra-utérine
23. Est
une
cause
cervicale
d’hémorragie génitale en dehors de
la grossesse: (584)
A. Le fibrome utérin
B. Le kyste ovarien
C. L’adénomiose
D. L’endométrite
E. L’ectropion
19. Les objectifs glycémiques dans le
diabète gestationnel sont : (532)
A. La glycémie à jeun < 0,95 g/l et
la glycémie 2 heures après
chaque repas < 1,2 g/l
B. La glycémie à jeun < 1,2 g/l et
la glycémie 2 heures après
chaque repas < 1,6 g/l
C. La glycémie à jeun < 1,4 g/l et
la glycémie 2 heures après
chaque repas < 2 g/l
D. La glycémie à jeun < 0,7 g/l et
la glycémie 2 heures après
chaque repas < 1 g/l
E. La glycémie à jeun < 1,2 g/l et
la glycémie 2 heures après
chaque repas < 2 g/l
24. C’est un facteur majeur de risque
pour le cancer de l’endomètre:
(561)
A. L’obésité
B. L’infection à HPV/ (VPF fr.)
C. La multiparité
D. Le syndrome prémenstruel
E. Le syndrome de l’ovaire
polykystique
25. On traite la vaginite bactérienne à
l’aide de: (576)
A. Éconazole ovules
B. Métronidazole
20. Le traitement médicamenteux pour
64
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
standardisée d’évaluation de la
PR
C. Savon alcalinisant
D. Céfépime
E. Oseltamivir
30. Quel est le score T caractéristique
l’ostéopénie: (636)
A. Entre -1 și -2,5
B. ≤ -2,5
C. ≤ -2,5 + ≥ 1 fracture présente
D. > -1
E. Entre -1,5 și -2
26. Aux femmes à la ménopause et qui
présentent un kyste bénin, on
recommande le dosage: (588)
A. CA 125
B. CA 15-3
C. CA 12-2
D. CA 19-9
E. CA 55
31. La moelle épinière finit au niveau:
(625)
A. L1-L2
B. S1-S2
C. T1-T2
D. L4-L5
E. De la queue de cheval
27. Sur les kystes fonctionnels
ovariens, il est vrai que: (598)
A. Imposent
l’administration
d’anticonceptionnels
B. Tous les kystes fonctionnels
sont folliculaires
C. Ne
disparaissent
jamais
spontanément
D. Disparaissent
spontanément
dans quelques mois (1-3)
E. Le traitement de référence est
l’annexectomnie
32. Appartient à la classe des coxibs:
(646)
A. L’aspirine
B. Le kétoprofène
C. L’indométacine
D. Le diclofénac
E. Le célécoxib
28. Le
traitement
adjuvant
du
carcinome
mammaire canalaire
est: (604)
A. La chimiothérapie
B. L’hormonothérapie
C. La radiothérapie externe du
sein restant
D. L’immunothérapie
E. Des agonistes GnRH
33. Le traitement prolongé avec des
AINS est indiqué dans: (646)
A. La bursite
B. La tendinite
C. La goutte
D. La spondylite
E. Les traumas sportifs
34. Le stade Garden II de la fracture de
fémur signifie: (655)
A. Varus à rupture complète
B. Varus avec persistance d’un
engrenage de l’articulation
postérieure
C. Sans déplacement
D. Valgus
E. Aucune des variantes ci-dessus
29. Quelle
affirmation
sur
la
polyarthrite rhumatoïde (PR) est
vraie? (628)
A. Présente toujours des signes
extra-articulaires
B. Il n’existe pas de PR sans
arthrite ou synovite
C. Rarement se présente comme
un rhumatisme inflammatoire
chronique destructif
D. Le liquide inflammatoire intraarticulaire est septique et avec
cristaux
E. Il n’existe pas une modalité
35. L’affection oculaire dans laquelle
les signes fonctionnels sont
représentés
par
douleur,
photophobie, larmoiements et
blépharospasme c’est: (683)
65
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
A.
B.
C.
D.
E.
L’uvéite antérieure aiguë
L’endophtalmie
Le glaucome néovasculaire
La kératite aigue
La
neuropathie
optique
rétrobulbaire
suivante: (727)
A. Le virus herpès simplex
B. Le virus Coxsackie A
C. L’entérovirus
D. Le calicivirus
E. Le rotavirus
36. La neuropathie optique ischémique
antérieure aiguë
représente la
première
manifestation
ophtalmologique de la maladie de:
(681)
A. Lyme
B. Horton
C. Takayasu
D. Marfan
E. Chagas
41. On traite de première intention
l’angine douloureuse syphilitique à
l’aide de: (726)
A. Azithromycine
B. Amoxicilline-acide
clavulanique
C. Benzathine benzylpéniciline G
D. Pénicilline V
E. Nitrofurantoïne
42. L’épistaxis
représente
saignement d’origine: (737)
A. Digestive
B. Respiratoire
C. Neurologique
D. Dans les fosses nasales
E. Ophtalmologique
37. À propos de l’épisclérite, il est
FAUX que: (687)
A. La rougeur ne disparaît pas
après
l’application
un
vasoconstricteur
B. Souvent idiopathique
C. La rougeur est localisée
D. Le traitement comporte la
corticothérapie locale
E. La rougeur disparaît après
l’application
d’un
vasoconstricteur
le
43. Le vieillissement neurocognitif se
caractérise par: (777)
A. La croissance du temps de
réaction
B. La croissance de l’attention
C. La croissance de la capacité
d’apprendre
D. La diminution du temps de
réaction
E. La croissance du volume de la
substance blanche
38. Le stade congestif dans l’otite
moyenne aiguë implique: (717)
A. Collection rétrotympanique
B. Perforation de la membrane
tympanique
C. Tympan bombé, mat
D. Relief ossiculaire invisible
E. Hyperémie du tympan
44. La sarcopénie représente: (777)
A. La croissance du tissu adipeux
B. La diminution de la masse
musculaire
C. La diminution de la force
musculaire
D. L’insulinorésistance
E. La diminution de la capacité
intellectuelle
39. Laquelle des suivantes N’est PAS
une otalgie d’origine otologique:
(716)
A. La périchondrite
B. La parotidite
C. La mastoïdite
D. Le catarrhe tubaire
E. L’otite moyenne aigue
45. Le trouble conversif se caractérise
par: (918)
A. Bilan somatique pathologique
40. L’herpangine a l’étiologie virale
66
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
Symptômes simulés
L’irréversibilité du symptôme
Personnalité histrionique
La présence d’une cause
organique
46. Quel est l’antidépresseur inhibiteur
sélectif de la recapture de la
sérotonine et de la noradrénaline?
(915)
A. La paroxétine
B. La venlafaxine
C. L’escitalopram
D. La sertraline
E. Clomipramine
C. Ingérer de la terre, des
teintures, du papier, du gypse
etc.
D. Trouble
qui
affecte
les
capacités de communication
E. Difficultés d’apprentissage
B.
C.
D.
E.
Score complément simple: _____
COMPLÉMENT MULTIPLE
51. Quels sont les facteurs de risque du
cancer colorectal? (475)
A. La
rectocolite
ulcérohémorragique
B. La diverticulose
C. L’acromégalie
D. Des
antécédents
hérédocolatéraux de syndrome
de Peutz-Jeghers
E. Syndrome HNPCC
47. La phobie scolaire se caractérise
par: (916)
A. Des enfants présentant des
difficultés scolaires
B. La perte de l’intérêt pour
l’école
C. L’apparition progressive de la
phobie, avant l’âge de 5 ans
D. L’évolution est défavorable
dans tous les cas
E. Affecte surtout les garçons
52. Lesquelles
des
affirmations
suivantes sont vraies dans le cas du
traitement du cancer rectal? (478)
A. Dans le cas du cancer du
rectum supérieur, on réalisé,
entre autres – colectomie
gauche, résection totale de
rectum et excision totale du
mésorectum
B. Dans le cas du cancer du
rectum supérieur, on réalise,
entre autres – colectomie
gauche, résection partielle du
mésorectum et anastomose
colo-anale avec iléostomie de
protection
C. Dans le cas du cancer du
rectum moyen et inférieur, on
appliquera
un
traitement
néoadjuvant, en cas de lésion
T3-T4 et/ou N+
D. Dans le cas du cancer du
rectum moyen et inférieur, on
effectue
l’intervention
chirurgicale à 6-8 semaines
après la fin de la radiothérapie
E. La radiochimiothérapie dans le
cancer du rectum moyen et
48. La dépression post-partum apparaît
après l’accouchement : (924)
A. À 2-8 semaines
B. Au 15ème jour
C. Entre le 3ème et le 5ème jour
D. À 2-3 mois
E. N’apparaît jamais
49. La motricité spontanée, anarchique,
asymétrique est présente chez
l’enfant dès: (995)
A. Le 3e mois
B. Le 9e mois
C. La naissance
D. 1 an
E. 3 ans
50. Le pica représente chez l’enfant:
(998)
A. Régurgiter
des
aliments
partiellement digérés
B. L’incapacité de manger comme
il faut
67
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
inférieur consiste en 75 Gy
associé à la gemcitabine
pendant 6 semaines
B. L’ulcère gastrique est un factor
de risque
C. En cas de gastrectomie totale, il
faut administrer la vitamine
B12 i.m. toute la vie
D. Dans le cancer antral on
recommande une gastrectomie
totale,
avec
anastomose
œsojéjunale
E. En d’autres localisations du
cancer
gastrique,
on
recommande la gastrectomie
4/5,
avec
anastomose
gastrojéjunale
53. Les manifestations cliniques de la
forme non-compliquée dans le
cancer colorectal sont: (475)
A. Troubles de transit
B. Défense abdominale
C. Rectorragie/melaena
D. Fièvre
E. Altération de l’état général
54. Lesquelles des suivantes sont des
caractéristiques cliniques du cancer
de l’estomac: (479)
A. Douleurs à l’hypogastre
B. Dysphagie
C. Vomissements postprandiaux
D. Syndromes paranéoplasiques
(phlébite, acanthosis nigricans,
anémie hémolytique)
E. Rectorragie
57. Quelles affirmations relatives aux
tumeurs hépatiques bénignes sont
vraies: (481-482)
A. L’hémangiome
est
asymptomatique,
avec
dépistage accidentel et des tests
hépatiques normaux
B. Le kyste biliaire apparaît le
plus souvent chez les femmes
entre 20-50 ans
C. L’adénome se manifeste par
des douleurs dans la moitié des
cas
D. Si le diagnostic d’hyperplasie
nodulaire focale est certain,
c’est l’abstention thérapeutique
qui est la plus indiquée
E. Si le diagnostic d’adénome est
certain,
c’est
l’abstention
thérapeutique qui est la plus
indiquée
55. Lesquelles
des
affirmations
suivantes
relatives
à la
confirmation biologique et au bilan
de l’extension dans le cancer de
l’estomac sont FAUSSES: (480)
A. L’échoendoscopie
est
indispensable pour toutes les
lésions superficielles
B. Les
marqueurs
tumoraux
cherchés sont CA 19-9, Ag
CSC
C. L’endoscopie
digestive
supérieure
permet
la
localisation du cancer
D. Le PET-CT est un examen de
référence pour le diagnostic
E. Le
CT
cervico-thoracoabdomino-pelvien réalise un
bilan local
58. Dans le carcinome hépatocellulaire
(CHC), la confirmation du
diagnostic par PBH N’est PAS
nécessaire en cas de: (482)
A. Nodule de 1 cm, avec
hypervascularisation évidente à
2 examens par imagerie, en cas
de foie cirrhotique
B. Nodule > 2 cm à l’aspect
typique ou avec α-FP > 200
ng/ml
C. Il faut réaliser la PBH en tout
cas
56. Lesquelles
des
affirmations
suivantes sur le cancer de
l’estomac sont correctes : (479480)
A. Plus de 90% représentent des
adénocarcinomes
68
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
D. Nodule < 1 cm corroboré par αFP < 200 ng/ml
E. Nodule de 2 cm, avec
hypervascularisation évidente à
2 examens d’imagerie, en cas
de foie cirrhotique
chimiothérapie
D. Tumeur
résécable
sur
l’œsophage thoracique, IIIème
stade, carcinome épidermoïde –
radiochimiothérapie exclusive
E. Tumeur
résécable
sur
l’œsophage thoracique, IIIème
stade,
adénocarcinome
–
radiochimiothérapie exclusive
59. Les affirmations suivantes sur les
métastases
hépatiques
sont
correctes: (483-484)
A. On diagnostique les métastases
métachrones en même temps
que les cancers primitifs
B. On diagnostique les métastases
métachrones après le traitement
pour le cancer primitif
C. Le plus souvent elles présentent
un bilan hépatique anormal
D. À
l’échographie
sont
hypo/isoéchogènes, à halo
hypoéchogène circonférentiel
E. Si l’aspect et le tableau clinique
sont
typiques,
on
ne
recommande pas la PBH
systématique
62. Ce sont des caractéristiques
cliniques particulières du cancer de
la tête du pancréas: (489)
A. Ictère progressif
B. Vésicule
biliaire,
grande,
palpable
C. Douleurs
à
l’épigastre/cœliaques
D. Angiocholangite
E. Prurit
63. Lesquelles
des
suivantes
représentent des contre-indications
de l’exérèse dans le cancer du
pancréas: (489)
A. Ictère modéré
B. Altération majeure de l’état
général
C. Carcinomatose péritonéale
D. Métastases
E. Dilatation légère du canal de
Wirsung
60. Ce sont des facteurs de risque dans
les tumeurs de l’œsophage: (485)
A. L’intoxication
alcoolotabagique pour le carcinome
épidermoïde
B. L’œsophage de Barrett pour
l’adénocarcinome
C. L’achalasie
D. Le
lupus
érythémateux
disséminé
E. Antécédents
d’œsophagite
caustique
64. Dans la classification TNM du
cancer du pancréas, lesquelles des
affirmations sont vraies: (488)
A. T0 – tumeur in situ
B. T1 – tumeur limitée au
pancréas < 2 cm au diamètre le
plus grand
C. T2 – tumeur limitée au
pancréas < 2 cm au diamètre le
plus grand
D. T3 – tumeur extrapancréatique
sans
affection du
tronc
cœliaque
ou
artère
mésentérique supérieure
E. N0 – ganglions non-évalués
61. Les principes de traitement dans le
cancer de l’œsophage sont: (486)
A. Pour les tumeurs superficielles
(T1) – œsophagectomie
B. Tumeur
résécable
sur
l’œsophage
cervical
–
chimiothérapie seulement
C. Tumeur
résécable
sur
l’œsophage thoracique, IIème
stade
–
œsophagectomie,
précédée
parfois
de
69
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
B. L’obstruction se caractérise par
hyperpéristaltisme réactif
C. Le mécanisme fonctionnel est
lié à la diminution de l’activité
du péristaltisme intestinal
D. Par strangulation des lésions
vasculaires tardives
E. Dans la strangulation, la
douleur est intense
65. Les manifestations cliniques dans
le cancer de l’œsophage sont
représentées par: (486)
A. La dysphagie
B. Des
vomissements
postprandiaux tardifs
C. L’altération de l’état général
D. La toux lors de la déglutition
(fausse-route)
E. La dysphonie (la paralysie du
nerf récurrent gauche)
70. Lesquels des éléments suivants
suggèrent le diagnostic de gravité
dans le syndrome occlusif: (495)
A. Pneumopéritoine
B. La dilatation du cæcum < 5 cm
C. L’aéroportion
D. Vomissements précoces et
modérés de type bilieux
E. La pneumatose pariétale
66. Quels sont les organes les plus
affectés dans les traumatismes
abdominaux: (491)
A. La rate
B. Le rein
C. Le côlon transverse
D. La vessie urinaire
E. Le foie
71. Dans le syndrome occlusif, le
patient présente une indication de
traitement chirurgical en cas de:
(496)
A. Échec du traitement médical
B. Présence des indices de sévérité
C. Douleur modérée
D. Arrêt précoce du transit
intestinal
E. Vomissements précoces
67. Quels sont des critères de
traitement médical en cas de
traumatisme abdominal: (491)
A. 5 unités de masse sanguine
transfusées
B. Stabilité hémodynamique
C. Ne
présentent
pas
des
indications d’intervention en
cas d’urgence
D. Instabilité hémodynamique
E. Plaie
pénétrante
dans
l’hypocondre droit ou gauche
72. Dans le volvulus du sigmoïde, le
tableau d’occlusion se caractérise
par: (497)
A. Météorisme volumineux diffus
B. Météorisme
volumineux
asymétrique
C. L’absence
de
l’aspect
typiquement « granité » du
sigmoïde
D. Des niveaux coliques en U
inversé sur la Rx abdominale
simple/CT
E. Pneumopéritoine
68. Ce sont des mesures à réaliser en
cas de plaine non-pénétrante
abdominale: (493)
A. La laparotomie exploratoire
B. La prophylaxie du tétanos
C. L’antibioprophylaxie
D. Le débridement
E. La suture de la plaie
69. Relativement au mécanisme des
occlusions digestives, lesquelles
des affirmations suivantes sont
vraies: (494)
A. Par strangulation, le risque de
nécrose de la paroi est en moins
de 12-24 ore
73. Lesquelles
des
suivantes
représentent des méthodes de
traitement dans le syndrome
d’Ogilvie: (498)
70
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
A. Le traitement médical de
l’occlusion
B. Le traitement étiologique
C. Le
traitement
chirurgical
immédiatement
après
la
confirmation du diagnostic
D. En l’absence des signes de
sévérité – la suppression de
l’occlusion par de diverses
méthodes
E. En présence des signes de
sévérité – colo-exsouffle ou
laparotomie exploratoire
E. La dialyse péritonéale
78. La cholécystite aigue présente:
(510)
A. Ictère
B. Douleur à l’hypocondre droit,
pendant plus de 6 ore
C. Syndrome inflammatoire
D. La lipase normale
E. À l’échographie – paroi
vésiculaire épaissi (> 4 mm)
79. Sur le traitement de la lithiase
vésiculaire non-compliquée il est
vrai que: (509)
A. L’intervention
chirurgicale
s’organise à froid
B. Le traitement étiologique est
représenté
par
la
cholécystectomie
laparoscopique
C. On effectue également une
cholangiographie
intraopératoire
D. Le traitement postopératoire
spécial est difficile à réaliser et
à suivre
E. L’intervention chirurgicale se
réalise dans les 12 heures
depuis le début des symptômes
74. Le diagnostic différentiel dans
l’appendicite peut se faire par
rapport avec: (500)
A. Le mucocèle appendiculaire
B. La lymphadénite mésentérique
C. La sarcoïdose
D. Le cancer de côlon
E. L’hépatite
75. Les manifestations cliniques dans
l’appendicite sont: (499)
A. Fièvre (37,5-38,5°C)
B. Douleur dans la fosse iliaque
gauche
C. Infiltration hématique
des
flancs
D. Défense abdominale
E. Nausée, vomissements
80. Sur l’iléus biliaire il est vrai que:
(511)
A. Secondaire à une fistule entre la
vésicule biliaire et le duodénum
B. Le calcul restera bloqué dans le
côlon et va provoquer une
occlusion fonctionnelle
C. Cliniquement, présente les
signes de l’occlusion par
obstruction
D. L’ictère est présent d’emblée et
il est intense
E. À l’examen d’imagerie, le
calcul
apparaît
comme
hyperdense dans la fosse
iliaque droite
76. L’examen d’une hernie inguinale
non-compliquée se caractérise par:
(505)
A. Masse inguinale douloureuse
B. Masse inguinale impulsive à la
toux
C. Masse inguinale réductible
D. Masse qui peut être située dans
le scrotum
E. Masse inguinale enflammée
77. Quels sont des facteurs de risque
pour la hernie ombilicale: (504)
A. L’alcoolisme chronique
B. L’obésité
C. L’hépatite aigue virale
D. La cirrhose avec ascite
81. L’angiocholangite: (512)
71
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
A. Se caractérise par la triade de
Charcot
B. Ne présente pas le syndrome
inflammatoire
C. Se caractérise par urine de
couleur pâle et des selles
normalement colorés
D. Présente défense abdominale et
des troubles de transit
E. C’est une septicémie d’origine
biliaire
C. Calmée par l’antéflexion du
tronc
D. Avec irradiation vers la zone
inguinale
E. Transphyxiante
86. Quelles sont les complications
locales de la pancréatite aigüe?
(515)
A. Choc septique
B. Abcès
C. Insuffisance multiorganique
D. Infection de la
nécrose
pancréatique
E. Collections
82. On
évoquera
la
péritonite
postopératoire dans tous les cas de
déviation par rapport à l’évolution
postopératoire normale et surtout
en cas de: (518)
A. Vomissements
B. Fièvre
C. Troubles
de
conscience,
agitation
D. Sécrétions
purulentes
par
cicatrice
E. Douleurs abdominales légères
87. Le tableau clinique dans la
pancréatite chronique se caractérise
par: (468)
A. Douleurs
pancréatiques,
déclenchées par les repas ou
l’alcool
B. Examen clinique riche en
signes et symptômes
C. Perte
pondérale
modérée
fréquente
D. Ecchymose péri-ombilicale
E. Contexte – sujet éthylique, âge
moyen
83. Le traitement étiologique de la
péritonite inclut: (518)
A. Laparotomie/laparoscopie
B. Antiobiothérapie
locale,
intraabdominale
C. Prélèvement
d’échantillons
bactériologiques multiples
D. Le traitement de la cause
E. Le lavage de la cavité
abdominale
88. L’insuffisance
pancréatique
endocrine peut se manifester par:
(468)
A. Diarrhée chronique
B. Maldigestion avec stéatorrhée
C. Diabète (± insulino-nécessitant)
D. Hyperglycémies fréquentes
E. Hypoglycémies fréquentes
84. Quelles
sont
les
étiologies
responsables pour 80-90% des cas
de pancréatite aigüe: (513)
A. La mucoviscidose
B. La lithiase vésiculaire
C. L’hyperlipidémie
D. L’alcool
E. DCPA
89. Le traitement des complications de
la pancréatite chronique peut se
réaliser de la manière suivante:
(469)
A. L’insuffisance
pancréatique
exocrine – enzymothérapie
B. Diabète – insulinothérapie
souvent nécessaire
C. Pleurésie – corticoïdes et
décortication pleurale
85. La douleur pancréatique est: (513)
A. Avec irradiation vers le côté
postérieur
B. Épigastrique
72
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
D. Pseudokyste – suivi, traitement
endoscopique,
chirurgical
même
E. Compression
d’organe
–
traitement endoscopique ou
chirurgical
A. ASAT 3 fois inférieur à la
valeur normale
B. Thrombocytes < 150 000/mm³
C. Retard de croissance intrautérine
D. Des
œdèmes
brutalement
apparus
E. Hématurie
90. Au premier trimestre de grossesse:
(521)
A. On entend les battements du
cœur du fœtus à l’oreille nue
B. On n’entend pas les battements
du cœur du fœtus avec le
stéthoscope de Pinard
C. La prise de poids est absente ou
minimale
D. La hauteur de l’utérus n’est pas
mesurable à la palpation
abdominale
E. La protéinurie normale est >
3,5 g/jour
94. Les antihypertensifs utilisés dans le
traitement
de
l’hypertension
artérielle gestationnelle sont: (526)
A. Labétalol
B. Nicardipine
C. IEC
D. ARA II
E. Aliskiren
95. Les suivantes constituent des
indications pour l’interruption de la
grossesse: (527)
A. Œdème pulmonaire aigu
B. Thrombocytes < 50 000/mm³
C. Eclampsie
D. Risque d’avortement tardif
E. Hématome rétroplacentaire
91. Les
examens
paracliniques
obligatoires pendant la première
consultation dans la grossesse sont:
(522)
A. Le groupe et le facteur Rh
B. VDRL & TPHA
C. Le dépistage biochimique des
grossesses à risque de trisomie
21
D. La sérologie VIH, CMV
E. La protéinurie et la glycosurie
96. L’acronyme du syndrome HELLP
provient de: (528)
A. Hémorragies
B. La lipasémie élevée
C. La cytolyse hépatique
D. La thrombopénie
E. L’hémolyse
92. On calcule le risque combiné pour
la trisomie 21 selon les paramètres
suivants: (523)
A. L’âge de la patiente
B. La dimension de la clarté
nucale au premier trimestre
C. L’âge de la grossesse (en
semaines)
D. Les marqueurs sériques au
premier semestre
E. La hauteur de l’utérus
97. Ce sont des étiologies de la
métrorragie au premier trimestre de
grossesse sont: (529)
A. Grossesse qui arrête d’évoluer
B. Môle hydatiforme
C. Hématome rétroplacentaire
D. Grossesse extrauterine
E. Avortement spontané
98. L’hématome rétroplacentaire
caractérise par: (530)
A. Utérus mou
B. Utérus contracté
C. RCF normal
D. Anomalies du RCF
93. L’on suspecte une prééclampsie
dans le cas d’une HTA de novo
associée aux signes suivants: (525)
73
se
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
E. L’apparition dans le contexte
d’une
prééclampsie/traumatisme
abdominal/consommation
de
cocaïne
E. L’âge < 20 ani
102.
Le tableau clinique de la
grossesse extra-utérine non-rompue
se caractérise par: (534)
A. Douleurs pelviennes modérées
B. Douleur violemment syncopale
C. Signes d’anémie et de choc
D. Métrorragie au début de la
grossesse
E. Masse latéroutérine parfois
palpable au toucher vaginal
99. Sur le diabète gestationnel il est
vrai que: (531)
A. Les malformations sont plus
fréquentes
B. On appelle également la HGPO
à 100 g de glucose le test de
O’Sullivan
C. La macrosomie est une
conséquence
fœtale
et
néonatale
D. La fréquence d’apparition des
malformations
dépend
de
l’équilibre
glycémique
antérieur à la conception
E. Les enfants seront prédisposés
à l’obésité
103.
Ce
sont
des
signes
échographiques de la grossesse
extra-utérine: (534)
A. Signe direct – hématosalpinx
B. Signe direct – la visualisation
d’un sac gestationnel extrautérin
C. Signe indirect – la visualisation
d’un sac gestationnel intrautérin
D. Signe indirect – le col utérin
dilaté
E. Signe
indirect
–
l’hémopéritoine
100.
Après avoir dépisté le
diabète gestionnel, on suivra
certains principes diététiques: (532)
A. L’alimentation inclura 50%
glucides (surtout à l’index
glycémique réduit et avec des
fibres)
B. On
préférera
d’emblée
l’insulinothérapie
si
la
glycémie à jeun > 1,3 g/l
C. La ration énergétique totale
sera repartie en 3 repas et 3
collations
D. L’alimentation
comprendra
50% protéines
E. Il faut stabiliser le poids de la
mère pendant la grossesse, le
réduire de préférence
104.
Le diagnostic différentiel de
la grossesse extra-utérine nonrompue se fait par rapport à: (535)
A. La rupture d’un anévrisme de
l’artère splénique
B. La
rupture
d’un
kyste
hémorragique
C. La torsion annexiale
D. L’avortement
E. La vulvovaginite
105.
Les affirmations suivantes
sur la présentation du fœtus sont
vraies: (549)
A. C’est la première partie du
fœtus qui se présente au détroit
supérieur du bassin
B. La présentation céphalique est
une présentation dystocique
C. La présentation tête en flexion
maximale est la plus eutocique
101.
Ce sont des facteurs de
risque de la grossesse extra-utérine
sans contraception: (533)
A. L’alcoolisme
B. Le tabagisme
C. L’endométriose pelvienne
D. Le traitement avec clomiphène
citrate
74
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
D. La présentation pelvienne peut
être en siège complet ou
incomplet
E. La présentation transversale est
avec l’épaule en avant,
obliquement
C. Anticonceptionnels oraux
D. Clomifène citrate
E. Drilling ovarien chirurgical
109.
Les affirmations suivantes
sur le syndrome prémenstruel sont
vraies: (561)
A. Dysménorrhée
B. Prédomine
après
chaque
accouchement
C. Irritabilité, troubles du sommeil
D. Météorisme abdominal
E. Le diagnostic est paraclinique
106.
Les affirmations suivantes
sur la cardiotocographie sont
vraies: (550)
A. Identifie des anomalies de la
dynamique utérine
B. Le rythme cardiaque fœtal
basal est entre 120-160
battements/minute
C. Les décélérations signifient de
courts
ralentissements
du
rythme de base
D. L’hypertonie utérine signifie
une intensité accrue des
contractions
E. Les oscillations normales du
rythme cardiaque fœtal sont
entre 30-50 battements/minute
110.
En cas de métrorragie sont
contre-indiqués: (561,585)
A. L’hystérosalpingographie
B. La biopsie endométriale
C. Le frottis cervicovaginal de
Papanicolau
D. La biopsie dans la masse
cervicale
E. L’hystérectomie
111.
On peut traiter les fibromes
utérins par: (585)
A. Agonistes GnRH
B. L’embolisation
des artères
utérines
C. Hystéroscopie avec résection
du fibrome
D. Myomectomie
par
laparotomie/laparoscopie
E. Stérilet avec libération de
progestatif
107.
Les affirmations suivantes
relatives au post-partum normal
sont FAUSSES: (551)
A. Si la femme allaite, la première
menstruation survient 3 mois
après l’accouchement
B. Si la femme n’allaite pas, la
première menstruation survient
à 10-12 semaines après
l’accouchement
C. À la consultation postnatale o
vérifiera
l’absence
des
complications
D. On ne prescrit plus la
contraception
E. En
cas
de
symptômes
urinaires/périnéaux,
on
recommande des exercices de
tonification du périnée
112.
Ce sont des options de
traitement
des
hémorragies
génitales cataclismiques: (586)
A. La vitamine B12 i.m.
B. Antifibrinolitique
C. Sulfate de protamine
D. Estrogènes en grandes doses
par sparadrap transdermique
appliqué pendant 72 heures
E. Embolisation artérielle
108.
Le traitement du syndrome
de l’ovaire polykystique inclut:
(559)
A. Anti-inflammatoires
B. Metformine
113.
Les affirmations suivantes
sur les hémorragies génitales au
75
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
cours de la grossesse sont vraies :
(584)
A. La rupture utérine apparaît à
l’accouchement
B. Placenta praevia apparaît au 1er
trimestre
C. La grossesse extra-utérine
apparaît au 1er trimestre
D. L’hématome rétroplacentaire
apparaît aux trimestres 1-2
E. L’avortement spontané apparaît
au 1er trimestre
118.
On
recommande
l’hystérectomie
ovarienne
laparoscopique en cas de: (589)
A. Fièvre
B. Kyste fonctionnel récemment
dépisté
C. Kyste à l’aspect organique mis
en évidence par l’échographie
D. Des
modifications
morphologiques du kyste
E. Augmentation de volume du
kyste
114.
L’endométrite se caractérise
par: (577)
A. Défense abdominale
B. Douleurs abdominopelviennes
C. Prurit vulvovaginal
D. Contexte: post-partum, postavortement
E. Leucorrhée
purulente
ou
impropre
119.
L’adénomyose: (589)
A. Peut
s’associer
avec
endométriose pelvienne ou
fibrome utérin
B. Représente l’infiltration de la
zone de jonction par du tissu
endométrial dans le cadre du
miomètre
C. Présente la dysménorrhée
D. On la traite avec des antiinflammatoires stéroïdiens
E. Peut envahir complètement
l’utérus
115.
Ce sont des complications à
terme moyen-long des infections
génitales hautes: (578)
A. L’endométrite chronique
B. Les récidives
C. Les adhérences pelviennes
D. La grossesse extra-utérine
E. L’infertilité tubaire
120.
L’hémorragie intrakystique
se caractérise par: (599)
A. Défense musculaire
B. Douleur pelvienne
C. Hémopéritoine
D. De possibles états subfébriles
E. Syndrome
inflammatoire
modéré
116.
La vulvovaginite à Candida
albicans se caractérise par: (576)
A. Dépôts blanchâtres
B. Cervicite
C. Dysparéunie
D. Leucorrhée blanche, inodore
E. Leucorrhée de couleur gris, à
mauvaise odeur
121.
On peut dépister le cancer
ovarien par les signes suivants:
(599-600)
A. Métrorrhagie
B. Collection péricardique
C. Douleurs pelviennes
D. Adénopathies
périphériques
inguinales
E. Troubles digestifs
117.
La nature organique d’un
kyste ovarien se caractérise par:
(588)
A. Composante solide
B. Paroi épaisse
C. Caractère multiloculaire
D. Le diamètre du kyste ≥ 6 cm
E. Composante liquide
122.
En cas de confirmation de la
tumeur
épithéliale
ovarienne
maligne, complètement résécable
spontanément, on réalise: (600)
76
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
A.
B.
C.
D.
E.
Annexectomie bilatérale
Hystérectomie totale
Omentectomie
Biopsies péritonéales étajées
Cystectomie
A. Affecte les interphalangiennes
distales
B. Affecte les interphalangiennes
proximales
et
les
métacarpophalangiennes
C. PR est une polyarthrite
chronique si les manifestations
durent plus de 6 mois
D. Affecte surtout les femmes,
l’âge de début est de 50 ans
environ
E. Il existe également des
manières différentes de début –
la forme fébrile, l’altération de
l’état général
123.
L’adénofibrome mammaire:
(601)
A. Présente mastodynie cyclique
chronique avec aggravation
prémenstruelle
B. Apparaît chez les jeunes
femmes
C. Présente des adénopathies
axillaires homolatérales
D. Augmente le risque de cancer
du sein
E. En cas de doute, on effectue
une biopsie sous guidage
échographique
127.
Lesquelles des suivantes
sont des biothérapies anti-TNF:
(631)
A. Infliximab
B. Rituximab
C. Kineret
D. Adalimumab
E. Étanercept
124.
Ce sont des facteurs de
risque pour le cancer mammaire:
(602)
A. La puberté tardive
B. L’absence de l’allaitement
C. L’obésité
D. La ménopause précoce
E. La première grossesse tardive
128.
Quels sont les autoanticorps
utilisés à diagnostiquer la PR:
(628)
A. Ac anti-ADN
B. Ac anticardiolipine
C. Ac anti-CCP
D. Le facteur rhumatoïde
E. Ac anti-RNP
125.
Ce sont des traitements
adjuvants
pour
le
cancer
mammaire: (603-604)
A. La suppression de la fonction
ovarienne avec GnRH – chez la
jeune femme
B. RE+, tamoxifène si la femme
est à la ménapause
C. RE+, antiaromatase si la femme
n’est pas à la ménopause
D. Immunothérapie en cas de
surexpression HER2
E. Chimiothérapie adjuvante en
toute situation
129.
Quelles
sont
les
complications systémiques de la
PR? (630)
A. Le syndrome de Caplan
B. Les nodules rhumatoïdes
C. Le lymphome T
D. La fibrose pulmonaire
E. Le syndrome de Felty
130.
Lesquelles des maladies
suivantes appartiennent au groupe
des spondylarthropathies? (634)
A. La spondylite ankylosante
B. La polyarthrite rhumatoïde
C. Le syndrome SAPHO
D. L’arthrite psoriasique
126.
En ce qui concerne le
tableau clinique de la polyarthrite
rhumatoïde (PR), lesquelles des
affirmations suivantes sont vraies?
(629)
77
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
134.
Lesquels des médicaments
suivants sont des bisphosphonates:
(638)
A. Zolendronate
B. Raloxifène
C. Alendronate
D. Tériparatide
E. Ibandronate
E. La lombocruralgie
131.
Lesquelles des affirmations
suivantes relatives au traitement de
la spondylite ankylosante sont
vraies: (634-635)
A. Dans les affections axiales ou
des enthèses – l’on administre
un
traitement
avec
du
méthotrexate
B. L’AINS
représente
le
traitement-clé
de
la
spondylarhtropathie
C. Dans l’arthrite périphérique –
l’on administre du méthotrexate
ou de la sulfasalazine
D. Le
traitement
nonmédicamenteux
n‘est
pas
important
E. Pour les formes avancées et
sévères – chirurgie rachidienne
135.
Sur le tériparatide il est vrai
que: (639)
A. On l’administre p.o., pendant
48 mois
B. On l’utilise surtout dans
l’ostéoporose sévère
C. Réduit le risque de fractures de
la hanche, mais non des
fractures vertébrales
D. C’est un fragment recombinant
1-34
d’hormone
parathyroïdienne
E. Appartient à la famille des
SERMs
132.
Quelles
affirmations
relatives à l’ostéoporose sont
vraies? (636)
A. C’est une maladie diffuse du
squelette
B. La forme primaire est la
maladie osseuse fragilisante la
plus fréquente
C. Il faut ajouter à la thérapie
médicamenteuse les mesures
hygiéno-diététiques
D. C’est une maladie douloureuse
diffuse
E. Il faut prévenir le risque de
chute
136.
Quels sont les médicaments
recommandés après l’âge de 70
ans, quand le risque de fracture de
hanche est dominant? (640)
A. Le ranélate de strontium
B. Le raloxifène
C. Le bisphosphonate
D. Les AINS
E. Les corticoïdes
137.
Ce sont des indications de
traitement chirurgical dans le
syndrome du tunnel carpien: (627)
A. L’acroparesthésie nocturne
B. Le déficit moteur
C. Des signes de dénervation à
l’EMG
D. Atrophie musculaire dans la
loge thénaire
E. La manœuvre de Phalen
positive
133.
Ce
sont
des
endocrinopathies avec impact sur
l’os
et
qui
provoquent
l’ostéoporose secondaire: (637)
A. La mastocytose systémique
B. L’hypothyroïdisme non-traité
C. L’hyperparathyroïdisme
primaire
D. L’hypercorticisme endogène
E. L’hypogonadisme prolongé
138.
Appartiennent
sémiologie
de
radiculaire C7: (626)
A. ROT – tricipital
78
à
la
l’affection
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
B. TM – les muscles extenseurs de
l’avant-bras sur le bras
C. ROT – bicipital
D. TM – les muscles flexeurs de
l’avant-bras sur le bras
E. TS – la face postérieure du bras
et de l’avant-bras
142.
Ce sont des réactions
adverses aux corticostéroïdes:
(648-649)
A. L’ostéonécrose aseptique
B. L’hyperpotassémie
C. Des infections opportunistes
D. Des vergetures
E. L’obésité facio-tronculaire
139.
Il est vrai à propos de la
lomboradiculalgie commune noncompliquée: (625)
A. La douleur est de type
inflammatoire
B. Il n’existe pas de fièvre
C. C’est
une
urgence
thérapeutique
D. L’examen clinique peut être
complété par des radiographies
simples
E. La hernie discale en est une des
causes
143.
Ce sont
des
contreindications de l’infiltration avec
des corticostéroïdes: (650)
A. Troubles de coagulation
B. Hypersensibilité aux excipients
C. Infection active
D. Pathologie inflammatoire intraarticulaire
E. Bursites, tendinites
144.
Ce sont de possibles
mesures adjuvantes dans la thérapie
prolongée avec des corticoïdes:
(649)
A. Les bisphosphonates
B. Le potassium
C. L’apport accru de NaCl
D. Le calcium
E. La vitamine D
140.
Sur la voie intramusculaire
d’administration des AINS il est
vrai que: (647)
A. Est rarement justifiée
B. La biodisponibilité i.m. est
supérieure à celle p.o.
C. On peut la prescrire dans des
pathologies chroniques, pour
une longue durée
D. Présente un intérêt très réduit
E. Après l’administration i.m. l’on
continue avec l’administration
i.v. (indométacine)
145.
Ce sont des fractures extraarticulaires: (653)
A. En croix
B. De Goyrand-Smith
C. De Pouteau-Colles
D. Cunéenne externe
E. De Galeazzi
141.
Les affirmations suivantes
sur les anti-inflammatoires sont
vraies: (645)
A. Les AINS ont également des
propriétés antiallergiques
B. Les AINS agissent par inhiber
la voie des prostaglandines
C. On peut prescrire 2 AINS
simultanément
D. Il faut éviter les AINS si le
patient est sous AVK
E. Il y a 2 types d’AINS: sélectifs
et non-sélectifs
146.
Ce sont des complications
de la fracture de l’extrémité
inférieure du radius: (654)
A. La compression du nerf cubital
B. L’ouverture cutanée
C. Postopératoire – l’infection de
la zone opérée
D. La décompensation des tares
chez le patient âgé
E. Le syndrome de compartiment
des loges
79
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
A. L’inflammation périongulaire
ou pulpaire
B. Douleur à l’extension passive
du doigt
C. L’augmentation de volume du
doigt
D. Doigt courbé à cause de la
tension douloureuse
E. Douleur élective le long de
l’enveloppe
147.
Le diagnostic positif de la
fracture de l’extrémité supérieure
du fémur chez l’adulte se
caractérise par: (655)
A. Déformation dans le cas de la
fracture engrenée
B. Impotence fonctionnelle dans le
cas de la fracture engrenée
C. Douleur
D. Radiographies sériées de bassin
E. Déformation, à l’exception de
la fracture engrenée
151.
Dans le phlegmon digital, le
traitement se réalise de la manière
suivante: (670)
A. Antibiotiques à large spectre
pendant 21 jours
B. Dans le 2ème stade – ouverture
en Z du doigt et synovectomie
digitale
C. Le 3ème stade implique du
liquide clair
D. Dans le deuxième stade – le
tendon
apparaît
comme
nécrotique
E. Dans le 1er stade – ablation par
2 contreincisions depuis les
extrémités
148.
Les fractures chez l’enfant:
(664)
A. Sont plus fréquentes chez les
garçons
B. Dans
le
décollement
épiphysaire, la classification se
fait conformément à SalterHarris
C. Leur traitement ne présente pas
des différences par rapport au
traitement chez les adultes
D. Apparaissent également en cas
de mauvais traitement ou de
fragilité génétique
E. Dans la fracture en motte de
beurre, on observe des signes
visibles de fracture
152.
L’examen ophtalmologique
bilatéral et comparatif évalue:
(678)
A. Le segment antérieur à la lampe
à fente
B. L’acuité visuelle de près
C. Le reflexe photomoteur direct
et consensuel
D. Le fond d’œil avec la pupille en
myose
E. L’acuité visuelle de distance
149.
Les affirmations relatives
aux particularités thérapeutiques
des fractures chez les enfants sont
vraies: (664)
A. Il y a risque d’épiphysiodèse
postopératoire
B. On
recommande
la
kinésithérapie
C. Le traitement le plus fréquent
est celui orthopédique
D. Des complications telles la
rigidité
ou
la
phlébite
n’apparaissent pas
E. On recommande la prévention
thromboembolique
150.
Le phlegmon
caractérise par: (669)
digital
153.
Peuvent constituer des
étiologies de l’affection brutale de
la vue dans le cas d’un œil rouge et
douloureux: (678-679)
A. L’occlusion de l’artère centrale
de la rétine
B. L’uvéite antérieure aigue
C. L’endophtalmie
D. La kératite aigue
E. Le décollement de rétine
se
80
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
dans tous les cas
C. L’œil est rouge, douloureux
D. On administre bolus i.v. de
methylprednisolone
E. Les collyres mydriatiques ont
aussi un rôle de prévention de
l’apparition des synéchies
154.
L’occlusion de l’artère
centrale de la rétine se caractérise
par: (679)
A. La disparition du reflexe
photomoteur direct
B. Pronostic oculaire très bon
C. Œdème papillaire et rétinien
ischémique
D. La diminution brutale et
profonde de l’acuité visuelle
E. La disparition du reflexe
photomoteur consensuel
159.
L’occlusion de la veine
centrale de la rétine: (680)
A. Présente
2
formes
–
œdémateuse et ischémique
B. On peut la diagnostiquer par
angiographie à la fluorescéine
C. Présente,
comme
signe
clinique, des veines minces et
filiformes
D. Parmi ses étiologies on compte
l’athérosclérose
E. Présente une diminution de
l’acuité visuelle
155.
La neuropathie optique
rétrobulbaire présente les signes
suivants: (681)
A. Déficit du reflexe pupillaire
afférent
B. Le maintien de l’acuité visuelle
C. Œil rouge et douloureux
D. Sans
douleur
lorsqu’on
mobilise le globe oculaire
E. Papille normale au fond d’œil
160.
Sur la conjonctivite il est
vrai que: (686)
A. Les sécrétions claires sont
d’origine bactérienne
B. Les sécrétions purulentes sont
d’origine virale
C. Présente la sensation de corps
étranger
D. Présente
une
congestion
oculaire diffuse
E. La sensation de « sable dans
l’œil » est un signe fonctionnel
156.
Ce
sont
des
signes
fonctionnels et cliniques du
glaucome aigu par fermeture
d’angle: (682)
A. Le maintien de l’acuité visuelle
B. Céphalée,
nausée,
vomissements
C. Myose à chambre antérieure
large
D. Hypertonie oculaire majeure
E. Angle fermé à la gonioscopie
157.
Ce sont des étiologies de la
kératite aigue: (684)
A. Le syndrome de l’œil sec
B. Des causes iatrogènes
C. Bactériennes
D. Parasitaires
E. La maladie de Horton
161.
La conjonctivite virale se
caractérise par: (686)
A. Prurit très intense
B. Sécrétions claires
C. Traitement avec des collyres
antiseptiques
D. Diminution de l’acuité visuelle
E. Apparition
bilatérale
et
contexte épidémique
158.
Sur l’uvéite antérieure aiguë
il est vrai que: (684)
A. On met en évidence l’effet de
Tyndall
B. Le bilan minimal est positif
162.
Ce sont des étiologies de la
sclérite: (687)
A. La tuberculose
B. Le tétanos
C. La spondylite ankylosante
81
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
D. La maladie de Wegner
E. La sarcoïdose
167.
Les indications de la
paracentèse dans l’otite moyenne
aiguë
pour
la
précision
bactériologique sont: (721)
A. Dans le cas des complications
B. Sur un fond immunodépressif
sévère
C. Si le premier traitement échoue
D. Chez les enfants sous 3 mois
E. Chez les adultes
163.
L’innervation sensitive de
l’oreille externe est assurée par:
(716)
A. Le plexus cervical supérieur
B. Le nerf auriculotemporal
C. Le nerf tympanique
D. Le nerf de Wrisberg
E. Le nerf IV
164.
Sur l’otite moyenne aigüe il
est vrai que: (717)
A. On rencontre toujours la fièvre
chez les adultes
B. Le principal signe clinique c’est
l’otalgie
C. La cause principale est
infectieuse
D. On peut observer le tinnitus
E. Représente l’inflammation de
la muqueuse de l’oreille externe
168.
Les suivantes représentent
des
étiologies
de
l’angine
pseudomembraneuse: (722)
A. L’angine de Vincent
B. La diphtérie
C. L’herpangine
D. La mononucléose infectieuse
E. Le chancre syphilitique
169.
Le
phlegmon
périamygdalien
a les
signes
cliniques suivants: (724)
A. Trismus
B. Fausses membranes épaissies
C. Courbure du voile du palais
D. Œdème de l’uvule
E. Irruption vésiculaire
165.
L’examen clinique dans
l’otite externe relève: (718)
A. Douleur au mouvement du
pavillon et à l’introduction de
l’otoscope
B. Relief tympanique ossiculaire
invisible
C. Otorrhée purulente
D. Hypoacousie de perception
E. Peau à l’aspect luisant et
érythémateux
170.
On
propose
l’amygdalectomie dans le cas de:
(727)
A. Récidive
du
phlegmon
périamygdalien
B. 2 épisodes d’angine au cours
d’un hiver
C. 3 épisodes d’angine au cours de
2 hivers
D. 4 épisodes d’angine/hivers, au
cours de 2 hivers consécutifs
E. 2 épisodes d’angine dans un
intervalle de 9 mois
166.
L’otite séromuqueuse a les
caractéristiques suivantes: (719)
A. On pose le diagnostic le plus
facilement dans le cas des
enfants
B. Présente
un
exsudat
séromuqueux
inflammatoire,
non-infectieux
C. Se manifeste, généralement, par
hypoacousie non-douloureuse
D. Le tympan est translucide avec
sécrétion séreuse
E. Il existe une dysfonction de la
perméabilité de la trompe
d’Eustache
171.
L’angine diphtérique se
caractérise par: (725)
A. Membranes non-adhérentes
B. Fausses membranes épaissies
C. Possible paralysie vélopalatine
D. Ulcération amygdalienne
82
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
E. Adénopathies
bilatérales
cervicales
autosomique dominante
C. Est responsable de saignements
récidivants
D. On peut utiliser comme
traitement - Ac anti VEGF
E. Présente des malformations
vasculaires
muqueuses
et
extramuqueuses
172.
Les affirmations suivantes
sur l’angine de Vincent sont vraies:
(726)
A. L’ulcération amygdalienne est
non-douloureuse, bilatérale
B. Les signes généraux sont
souvent marqués
C. L’ulcération amygdalienne est
couverte par une fausse
membrane gris non-adhérente
D. On fait le traitement avec la
pénicilline V
E. Se doit à l’infection à
streptocoque bêta hémolitique
de groupe A
176.
Le vieillissement est un
phénomène: (776)
A. Inévitable
B. Progressif
C. Lent
D. Évitable
E. Réversible
177.
Ce sont des causes du
vieillissement : (776)
A. Des facteurs extrinsèques
B. Des facteurs intrinsèques
C. L’absence du stress
D. Des facteurs métaboliques
E. L’altération de l’ADN
173.
L’hémostase
dans
l’épistaxis peut se réaliser par:
(737-738)
A. Le tamponnage de la surface
vestibulaire
B. L’administration d’héparine
C. Tamponnement postérieur
D. Tamponnement antérieur
E. Artériographie et embolisation
178.
Le vieillissement cardiaque
se caractérise par: (776)
A. L’augmentation du nombre de
myocytes
B. L’hypertrophie
ventriculaire
gauche
C. L’augmentation
de
la
conformité du myocarde
D. Insuffisance cardiaque dans
tous les cas
E. L’augmentation
de
la
contribution de la systole atriale
au remplissage du ventricule
174.
L’épistaxis
essentielle:
(739)
A. On la rencontre souvent chez
les adolescents de sexe
masculin
B. A au premier plan les rhinites et
les sinusites
C. C’est un saignement au niveau
de la tâche vasculaire
D. On la traite avec des anticorps
monoclonaux
E. Peut apparaître chez les
femmes
à
cause
des
changements d’imprégnation
hormonale
179.
Le
vieillissement
de
l’appareil respiratoire se caractérise
par: (777)
A. La diminution de la surface des
échanges gazeux
B. L’efficacité accrue de la toux
C. La diminution des fonctions
ciliaires
D. L’association de l’âge à
l’exposition
aux
facteurs
d’environnement
175.
La maladie de Rendu-Osler:
(739)
A. Est une cause locale de
l’épistaxis
B. Est
une
angiomatose
83
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
E. L’augmentation des volumes
pulmonaires mobilisables
d’une nouvelle attaque de
panique
C. Le comportement du patient
dans la vie quotidienne est le
même
D. Apparaît surtout chez les
hommes
E. Une fois diagnostiquée, on n’en
est jamais guéri
180.
Le management du patient
gériatrique doit inclure: (781)
A. La reconstitution de l’anamnèse
B. L’EEG
C. L’examen clinique complet
D. La connaissance du traitement
du patient
E. Le toucher rectal et l’ECG
184.
La gestion du trouble de
panique se réalise par: (914)
A. Traitement
symptomatique
avec des inhibiteurs sélectifs du
recapture de la sérotonine,
pendant 12 semaines
B. Bêtabloquants
sélectifs,
pendant 1 an
C. Chercher et traiter une cause
organique aigue
D. Psychothérapie de soutien
E. Traitement
symptomatique
avec benzodiazépine, pour au
maximum 12 semaines
181.
Le risque iatrogène est plus
grand chez les personnes âgées à
cause de: (781)
A. L’augmentation de la masse
musculaire
B. La polypathologie et la
polymédication
C. Les problèmes d’observation
du traitement
D. Les modifications de la
capacité d’élimination des
médicaments
E. Les
modifications
pharmacocinétiques
caractéristiques à l’âge
185.
Le
trouble
anxieux
généralisé a les caractéristiques
suivantes: (914)
A. Le patient arrive à contrôler ses
préoccupations
B. Les symptômes persistent plus
de 6 mois
C. L’anxiété
apparaît
volontairement
D. La maladie de Parkinson est un
diagnostic différentiel
E. Dans son évolution, il peut se
chroniciser
182.
Les
compulsions
se
caractérisent par: (916-917)
A. La conscience sur le caractère
morbide du trouble
B. Perte de temps importante (> 1
h/jour)
C. N’ont pas de conséquences sur
les activités professionnelles,
sociales
D. Chez les enfants, on ne
rencontre
jamais
les
compulsions à l’état pur
E. On
les
ressent
comme
excessives, inadéquates
186.
L’agoraphobie
se
caractérise par: (915)
A. Conduites d’évitement
B. Conscientisation du caractère
morbide du trouble
C. Représente la peur des espaces
ouverts, de la foule
D. L’évolution est invariablement
vers la schizophrénie
E. Des personnes ou des objets
contrephobiques
183.
Les affirmations suivantes
sur le trouble de panique sont
vraies: (913-914)
A. Déclenché par divers facteurs
de stress
B. On évite certaines situations
pour prévenir le déclenchement
84
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
B. Au premier trimestre, l’on
prescrit
régulièrement des
médicaments psychotropes
C. Hospitalisation en cas de risque
suicidaire
D. L’halopéridol appartient à la
classe des butyrophénones
E. La mère et l’enfant n’ont plus
besoin de surveillance à
l’accouchement
187.
Ce sont des facteurs de
stress dans le trouble d’adaptation:
(921)
A. Les difficultés sociales
B. Les problèmes professionnels
C. Les problèmes familiaux
D. Les troubles d’alimentation
E. Les troubles de sommeil
188.
Les affirmations suivantes
sur l’état de stress aigu sont vraies:
(919)
A. Apparaît après plus d’un mois
depuis l’événement
B. Flash-back, cauchemars
C. Reconstitution spontanée ou
provoquée
D. Anxiété, troubles de sommeil
E. Le sexe masculin est un facteur
de risque
192.
Les affirmations suivantes
sur la dépression postpartum sont
vraies: (924)
A. Ne nécessite pas un traitement
médicamenteux
B. Peut prolonger un post-partum
blues
C. La récidive apparaît dans 100%
des cas
D. Le
bas
niveau
socioéconomique
constitue
un
facteur de risque
E. L’asthénie, l’irritabilité, la
phobie d’impulsion sont des
éléments de diagnostic
189.
Ce sont des comorbidités du
trouble obsessif-compulsif: (917)
A. La schizophrénie
B. La dépression
C. L’hypothyroïdisme
D. Le syndrome de Gilles de la
Tourette
E. Des tics chroniques
193.
Les affirmations suivantes
sur la psychose puerpérale sont
vraies: (925)
A. La primiparité est un facteur de
risque
B. La thrombophlébite cérébrale
est un diagnostic différentiel
C. Apparaît dans les 5 premiers
jours depuis l’accouchement
D. Présente un risque de suicide et
d’infanticide
E. Le
traitement
nécessite
l’hospitalisation
190.
La dépression pendant la
grossesse: (922)
A. Présente des symptômes tels
l’asthénie,
la
dysphorie,
l’anhédonie
B. Évolue vers la schizophrénie
C. Présente des vomissements
incoercibles
D. On identifie des événements
stressants
E. Se caractérise par épisode
délirant aigu
194.
Les affirmations suivantes
sur l’énurésis sont vraies: (998)
A. Les mictions sont partielles,
volontaires
B. La forme secondaire est plus
fréquente
C. L’apparition est nocturne
D. Le diabète est un diagnostic
différentiel
191.
Les affirmations suivantes
sur le management des troubles
psychiques pendant la grossesse
sont vraies: (923)
A. On réalise de la psychothérapie
de soutien
85
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
E. L’évolution est défavorable
E. La lecture
195.
On peut affirmer sur
l’encoprésie: (998)
A. La défécation est volontaire
B. Peut s’associer à la constipation
C. S’améliore par traitement
D. La forme primaire est plus
fréquente
E. Le fécalome est un diagnostic
différentiel
200.
Ce sont des troubles de
comportement chez les enfants:
(999)
A. Le trouble hyperkinésique à
déficit d’attention
B. Le trouble de type oppositiondéfi
C. Le trouble de conduite
D. L’encoprésie, l’énurésie
E. Le méricisme, le pica
196.
L’autisme
infantile
de
Kanner a les caractéristiques
suivantes: (999)
A. Troubles
de
coordination
motrice
B. Apparaît surtout après l’âge de
7 ans
C. Agressivité, automutilation
D. Isolation, troubles de langage
E. Absence du contact visuel
Score complément multiple: _____
SCORE TOTAL: _____ / 950
197.
Ce sont des causes du retard
des acquisitions correspondant à
l’âge chez les enfants: (997)
A. Déficit auditif, visuel
B. Encéphalopathies
chromosomiques
C. Retard mental si IQ < 30
D. Troubles psychotiques
E. Maladie de Hirschprung
198.
Ce sont des diagnostics
différentiels de l’autisme de
Kanner: (999)
A. Méricisme
B. Surdité
C. Cécité
D. Syndrome de Rett
E. Syndrome X fragile
199.
Les
difficultés
d’apprentissage les plus fréquentes
chez les enfants sont celles
relatives à: (1001)
A. L’écrire
B. Le jouer
C. Le calcul mathématique
D. Les relations avec les autres
86
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
87
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
2. Précisez laquelle des affirmations
suivantes relatives à la fièvre aiguë
chez l’enfant âgé de moins de 3
mois est FAUSSE: (1039)
A. E. Coli peut être considéré
comme l’un des germes le plus
souvent responsables de la
production d’une infection
materno-fœtale
B. Les signes cliniques spécifiques
sont évidents dans le cadre de
cette catégorie d’âge: diarrhée,
vomissements, déshydratation
intense
C. On
peut
considérer
l’amoxicilline dans le cadre du
triple
antibiothérapie,
considérée comme mesure de
première intention chez l’enfant
âgé de moins de 6 semaines
D. L’hospitalisation dans le cas de
l’enfant entre 6 semaines et 3
mois est recommandée si l’on
suspecte
une
infection
bactérienne sévère
E. Dans le cadre du management
typique on inclut, parmi autre,
la
réalisation
d’un
hémogramme, de la PCR et
d’une ponction lombaire
QCM IV
Chapitres: Pédiatrie, Médecine
interne, Radiologie, Dermatologie,
Endocrinologie-Diabète-Maladies
métaboliques, Chirurgie urologique,
Néphrologie, Hématologieoncohématologie, Oncologie
Auteur: Alexandru Lăcătuș
COMPLÉMENT SIMPLE
1. Sur l’alimentation de l’enfant
depuis la naissance jusqu’à l’âge de
4-6 mois il est VRAI que: (10281029) bêta
A. La présence des protéines à
propriétés protectrices de type
IgG représente l’un des
bénéfices
de
ce
type
d’alimentation
B. Les suppléments nécessaires
sont la vitamine K tous les
jours et la vitamine D une fois
par semaine, aussi longtemps
que l’allaitement par la mère
est exclusif
C. Si des intolérances existent, on
peut prendre en considération
comme alternative le lait de
soja, de chèvre, de jument,
adaptés
pour
l’apport
nutritionnel du nourrisson
D. Le lait sans lactose est utilisé,
entre autres, en cas de
réalimentation
après
la
gastroentérocolite sévère, chez
l’enfant âgé de plus de 3 mois
E. On
obtient
le
lait
hypoallergénique
par
l’hydrolyse
partielle
des
protéines dans le lait de vache
et on l’utilise en cas d’allergie
au lait de vache
3. Les suivants sont des éléments
cliniques caractéristiques pour une
infection urinaire chez un enfant
âgé de plus de 3 mois, A
L’EXCEPTION DE: (1040)
A. Vomissements
B. Polyurie
C. Dysurie
D. Urine trouble ou hématurie
E. Sensibilité
abdominale
anormale
4. L’un des suivants représente un
critère d’hospitalisation dans le cas
de la diarrhée aiguë et de la
déshydratation chez les nourrissons
et les enfants: (1050)
A. Déshydratation inférieure à
10%
88
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
B. La coexistence d’une maladie
aiguë
C. Enfant
provenant
d’une
grossesse gémellaire
D. Âge inférieur à 5 mois
E. Difficultés de suivi
8. Sur le management de la
rhinopharyngite chez l’enfant il est
vrai que: (1068)
A. Le traitement se fait avec de
l’amoxicilline pendant 6 jours,
systématiquement
B. Le traitement antibiotique local
à collyre n’est justifié qu’en cas
de conjonctivite purulente
C. Une complication bactérienne
(otite, sinusite) peut être
suggérée par la fièvre qui
persiste plus de 5 jours ou à
évolution prolongée au-delà de
7 jours
D. On fera le lavage des fosses
nasales avec du sérum glucosé
E. En cas de fièvre on réalisera
des cultures dans les sécrétions
nasales et l’on instituera
d’urgence des antiviraux de
type amantadine
5. Dans le cadre des vomissements
chez le nourrisson et l’enfant, dans
le cadre de l’anamnèse, on a en
vue les éléments suivants, A
L’EXCEPTION DE: (1062)
A. Les
caractéristiques
des
vomissements
B. Des signes digestifs ou
extradigestifs associés
C. Consommation de substances
toxiques
D. Les conséquences sur le patient
(déshydratation, dénutrition)
E. L’âge et les antécédents
personnels et familiaux
6. C’est
une
manifestation
paroxystique non-épileptique qu’il
faut éliminer dans le cas des
convulsions chez le nourrisson et
l’enfant: (1079)
A. La lipothymie
B. Les mouvements pyramidaux
C. Des syncopes
D. Des
myoclonies
et
des
manifestations sensitives
E. La détresse respiratoire par
inhalation de corps étranger
9. On recommande d’effectuer une
radiographie thoracique en cas de
bronchite aiguë chez l’enfant dans
les cas suivants, A L’EXCEPTION
DE : (1100)
A. Enfant fébrile avec des râles
crépitants, sous-crépitants et/ou
tachypnée (en dehors des
brochiolites)
B. Diagnostic différentiel entre la
bronchite et la pneumopathie
C. Pneumonies récidivantes
D. Suspicion d’inhalation de corps
étranger
E. Diagnostic d’un syndrome de
détresse respiratoire aiguë
7. Caractérise l’épilepsie grand mal:
(1083)
A. C’est un type d’épilepsie
cryptogénétique
B. Commence autour de l’âge de 7
ans
C. On observe sur l’EEG l’aspect
de pointe-onde de 3 Hz
D. Est caractérisée par la présence
des crises tonico-cloniques
généralisées
E. Présente
de
la
pharmacorésistance
10. Le traitement dans le cas de
l’asthme allergique intermittent
chez l’enfant: (1093)
A. Se réalise à l’aide de petites
doses de corticoïdes pour
inhalation
B. Il faut associer les corticoïdes
pour inhalation en petites doses
avec des bêta-2 mimétiques de
courte durée
89
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
D. L’anamnèse
et
l’examen
clinique permettent d’exclure
une
obésité
endocrine,
responsable parfois du retard
dans la croissance staturale
E. L’activité physique influence
les
facteurs
de
risque
dépendants de l’excès pondéral
C. Le traitement de fond ne
s’institue qu’avant un effort
important
D. On ne réalise pas de traitement
de fond
E. On ajuste le traitement de fond
en fonction du nombre des
exacerbations au cours d’une
année
14. Sur le retard de développement
intra-utérin dans le cadre de
l’évaluation et de soin du nouveauné à terme il est vrai que: (1033)
A. Il est d’autant plus sévère qu’il
apparaît tard pendant la
grossesse, à cause de l’affection
des organes qui se développent
en dernière instance
B. On peut le suspecter dans la
phase prénatale (par des
examens anthropométriques)
C. Une des complications peut être
l’hypercalcémie comme trouble
métabolique
D. On peut considérer la grossesse
multiple comme une cause
multiple d’apparition du RCIU
E. L’hypertension
artérielle
maternelle n’influence pas
l’apparition du RCIU
11. Les examens complémentaires
réalisés dans le cas d’une
pyélonéphrite
chez
l’enfant
peuvent indiquer: (1105)
A. La présence de la leucocyturie
et des nitrites sur la bandelette
urinaire
B. Une leucocytose à monocytes
élevés
C. Le syndrome inflammatoire
dépisté par le dosage des
cytokines proinflammatoires
D. Des vomissements affirmés par
les parents
E. Des troubles hémodynamiques
(augmentation du temps de
recoloration cutanée)
12. Ce sont des critères de sévérité
dans une cétoacidose diabétique
chez l’enfant, A L’EXCEPTION
DE: (1110)
A. Hyperglycémie majeure
B. Déshydratation sévère
C. Troubles hémodynamiques
D. Hypercapnie
E. Âge sous 5 ans
15. Ce sont des germes digestifs
impliqués dans la production des
infections urinaires chez l’adulte
par contamination ascendante:
(1286)
A. Staphylococcus sp.
B. E. Coli
C. Streptococcus sp.
D. Kingella sp.
E. Corynebacterium sp.
13. Il est vrai sur le management de
l’obésité chez l’enfant: (11211122)
A. La présence d’une obésité
commune ne nécessite aucun
examen complémentaire
B. Initialement on recommande
des contrôles réguliers tous les
deux mois, pendant 6 mois
C. On vise de stabiliser l’IMC
dans l’obésité de 2ème degré
16. C’est un facteur de risque pour la
pyélonéphrite aiguë primitive:
(1288)
A. L’âge sous 50 ans
B. Des
antécédents
hérédocollatéraux d’infection
urinaire
C. La polykystose rénale
90
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
D. Les contraceptifs oraux
E. Le traitement à ovules
17. Mesures associées en cas de
rétention aiguë d’urine : (1295)
A. Réaliser
un
ionogramme
urinaire
B. Installer
un
cathéter
suprapubien
C. Supprimer les liquides pour
éviter une récidive
D. Prévenir la polyurie osmotique
E. Sonder l’urètre
complications de la biopsie
prostatique
C. A comme point de départ la
découverte des adénopathies
inguinales
D. On effectue les biopsies
prostatiques sous anesthésie
locale
E. On réalise une biopsie pour
chaque lobe, afin d’éviter
l’ensemencement
21. Les examens dans le cas d’une
tumeur rénale: (1324)
A. L’échographie
rénale
et
abdominale est l’examen de
référence
B. On effectue systématiquement
la ponction-biopsie rénale
C. À l’uro-CT on cherche, entre
autres,
la
présence
des
adénopathies lomboaortiques
D. On n’étudie pas le rein
controlatéral que dans le cas
d’une tumeur métastatique
E. L’échographie
rénale
et
abdominale relève une tumeur
homogène et hyperéchogène
18. La lithiase urique: (1312)
A. C’est la première du point de
vue de la fréquence parmi les
lithiases urinaires
B. Les calculs peuvent avoir une
croissance
rapide,
parfois
volumineuse
C. Parmi les facteurs favorisants
on compte le pH alcalin
D. On peut considérer l’infection à
Proteus comme un facteur
favorisant
E. Les
calculs
sont
radiotransparents et lisses
19. Le diagnostic clinique dans
l’hypertrophie bénigne de la
prostate: (1316)
A. Au toucher rectal, le signe de
Chevassu est positif
B. La prostate apparaît comme
irrégulière et douloureuse
C. Des
signes
fonctionnels
urinaires irritatifs apparaissent :
dysurie, jet urinaire interrompu
D. La rétention vésicale chronique
peut être présente
E. Le score IPSS évalue l’impact
sur la fonction rénale
22. Dans le cas des tumeurs du
testicule: (1328)
A. Le pic de fréquence est chez les
hommes âgés de plus de 50 ans
B. Il faut instituer un programme
de dépistage en masse
C. Un examen testiculaire normal
exclut
la
suspicion
de
diagnostic
D. La
gynécomastie
peut
apparaître, par la sécrétion
d’AFP (alpha-fœto-protéine)
E. Une
douleur
testiculaire
apparaît de type sensation de
poids
20. Le diagnostic de certitude dans le
cas d’une tumeur de la prostate:
(1320)
A. Se réalise par des biopsies
prostatiques transurétrales
B. La prostatite chronique peut
constituer l’une des principales
23. Le management dans le cas d’une
tumeur du rein: (1326)
A. Néphrectomie partielle ou
tumorectomie rénale en cas de
tumeur < 4cm
91
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
B. Néphrectomie élargie en cas de
tumeur métastatiques
C. Des antiangiogénétiques de
première intention dans les
tumeurs non-métastatiques
D. La
néphrectomie
élargie
présuppose l’ablation du rein,
en conservant toujours la
surrénale
E. Le traitement symptomatique
peut porter sur le traitement
d’une hypocalcémie
E. Des troubles de l’état de
conscience
27. L’échographie abdominale est
recommandée, entre autres, dans la
pathologie suivante: (1153)
A. Pancréatite
B. Appendicite
C. Diverticulite
D. Péritonite
E. Hémorragie abdominale
28. Sur les infections bactériennes
folliculaires il est vrai que : (11681169)
A. La folliculite a comme lésion
élémentaire une macule centrée
sur un poil, superficielle et qui
se rompt vite
B. Le traitement du furoncle se
limite aux antibiotiques locaux
C. La furonculose représente une
agglomération de furoncles,
avec de la fièvre et des
adénopathies
D. L’antibiothérapie
antistaphylocoques
préférée
dans le traitement des formes
compliquées des furoncles est
du type de la pénicilline G
E. Le furoncle s’accompagne d’un
état général conservé et
apyrexie
24. Ce sont des anticorps anti-antigènes
nucléaires solubles: (1136)
A. Les anticorps anti-CCP
B. Les anticorps anti-ADN
C. Les anticorps anti-RNP
D. Le facteur rhumatoïde
E. Les anticorps anti-télomère
25. À propos du suivi dans le lupus
érythémateux disséminé il est vrai
que: (1141)
A. Cliniquement, il se fonde sur la
présence ou l’absence de 4
critères ACR
B. Du point de vue paraclinique, on
prend
en
considération
l’affection des organes
C. On
dose
les
principaux
paramètres immunologiques: Ac
anti-Sm et Ac anti-SSA et antiSSB
D. Le
traitement
à
hydroxychloroquine impose un
contrôle
ophtalmologique
semestriel
E. Au moins tous les 2 mois il faut
vérifier les échantillons rénaux
(de préférence le rapport
protéinurie/créatininurie)
29. Caractérise le traitement du goitre
et du nodule thyroïdien: (1217)
A. Le traitement freinateur de
l’axe thyréotrope se fait à l’aide
du propylthiouracil
B. On
recommande
la
thyroïdectomie totale dans le
cas des goitres récents
C. L’hypocalcémie temporaire est
une complication de la
thyroïdectomie
D. La paralysie récurrentielle en
tant que complication de la
thyroïdectomie est définitive si
l’on observe l’absence de la
rémission après 6 mois
26. C’est une indication pour l’examen
CT cérébral: (1152)
A. La sclérose multiple en plaques
B. La pathologie neuroinfectieuse
C. Des
crises
épileptiques
pharmacorésistantes
D. La tumeur cérébrale
92
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
34. La néphropathie diabétique: (1245)
A. L’incidence d’apparition est en
relation de proportion directe
au temps écoulé depuis
l’apparition du diabète
B. Le contrôle inadéquat de la
tension peut représenter un
facteur d’apparition et de
progrès
C. La néphropathie naissante se
caractérise par une filtration
glomérulaire toujours normale
D. L’un des objectifs du traitement
est de maintenir la TA audessous de 140/90 mmHg
E. Les mesures hygiénodiététiques
se réfèrent à la diminution des
apports
glucidiques
et
potassiques
35. À propos de l’hémoglobine
glycosylée HbA1c il est vrai que:
(1249)
A. On la mesure tous les 4 mois
B. On peut la remplacer par la
mesure de la galactominase
C. Les valeurs normales se situent
entre 7 et 9%
D. L’uricémie peut constituer une
cause d’erreur
E. Représente
le
meilleur
indicateur pour le risque de
complications
E. Le traitement avec iode-131 est
plus efficace si le goitre est plus
volumineux
30. À propos de l’hypertiroïdisme
induit par l’amiodarone de type I il
est vrai que: (1223)
A. La scintigraphie thyroïdienne
est parfois fixante
B. L’échographie de Doppler
indique
une
hypovascularisation
thyroïdienne
C. Il existe une destruction
inflammatoire de la thyroïde
par la toxicité de l’amiodarone
D. Le traitement est basé sur des
corticoïdes
E. L’échographie de Doppler est
normale
31. Ce sont des complications de
l’hyperthyroïdisme: (1225)
A. Très
souvent
le
coma
mixœdémateux
B. L’insuffisance aortique
C. Des troubles de rythme
cardiaque
D. La dépression
E. L’insuffisance
coronarienne
surtout à la fin du traitement
32. Caractérise le diagnostic du diabète
de type 1: (1236)
A. Agitation inhabituelle
B. Perte de poids
C. Douleurs lombaires
D. Début lent des symptômes
(quelques mois)
E. Âge généralement avancé
36. Ce sont des facteurs de risque
cardio-vasculaire
qu’il
faut
investiguer en cas de diabète sucré
de type 1 ou 2 chez l’adulte: (1253)
A. L’âge >55 ans chez l’homme et
>65 ans chez la femme
B. La consommation chronique
d’alcool
C. L’HTA permanente, celle nontraitée seulement
D. HDL-cholestérol <0,4 g/L pour
le sexe masculin
E. La microalbuminurie > 30
mg/24h
33. Ce sont des facteurs favorisants de
la cétoacidose diabétique: (1239)
A. La pathologie pulmonaire
B. Le traitement à AINS
C. La grossesse
D. Une surdose d’insuline
E. La non-administration d’une
dose d’antidiabétiques oraux
37. Ce
sont
des
complications
respiratoires de l’obésité chez
93
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
l’adulte: (1276-1277)
A. Dyspnée de repos
B. BPOC
C. Hypoventilation alvéolaire
D. Infections respiratoires
E. Emphysème panlobulaire
glomérulaire avec des épisodes
d’hématurie, hypoacousie et
parfois affections oculaires
E. Fait partie des néphropathies
vasculaires, car la structure du
collagène dans l’intime des
vaisseaux de sang est affectée
38. Ce
sont
des
examens
complémentaires systématiques en
cas d’obésité chez l’adulte: (1278)
A. Uricémie
B. Test d’effort ECG
C. Gazométrie artérielle
D. Tests
de
fonctionnalité
respiratoire
E. Polygraphie de ventilation
nocturne de dépistage
42. L’affirmation suivante sur le
syndrome de la glomérulonéphrite
rapidement-progressive est vraie:
(1352)
A. Est caractérise par l’existence
d’une
prolifération
intracapillaire
B. Le syndrome Goodpasture:
dépôts granulaires
C. L’absence des dépôts linéaires
dans la maladie de Wegener,
Chrug Strauss
D. Causes
post-infectieuses:
myocardites infectieuses
E. C’est
une
urgence
néphrologique
39. La nécrose tubulaire aiguë: (1351)
A. Est une cause fonctionnelle
d’insuffisance rénale aiguë
B. Se présente sans albuminurie,
hématurie ou HTA
C. La diurèse est toujours affectée
D. On effectue systématiquement
la ponction-biopsie rénale
E. Évolue le plus souvent vers
l’insuffisance rénale chronique
43. Caractérise l’anémie normo- ou
macrocytaire: (1377)
A. Le
dosage
du
fer
est
fondamental à la première
consultation
B. Les causes principales sont
l’inflammation chronique et les
myélodisplasies
C. Le test de Coombs direct est
l’un des examens à caractère
étiologique
D. Le dosage GMP est un examenclé
E. L’haptoglobine élevée confirme
l’hémolyse
40. Ce sont des complications de
l’insuffisance rénale chronique:
(1353)
A. Cardio-vasculaires:
endomyocardite
B. Métaboliques: hyperuricémie,
mais jamais goutte
C. Hypocalcémie tardive
D. Hyperménorrhée
E. Hypophosphatémie
41. Le syndrome d’Alport: (1366)
A. Présente le plus souvent une
transmission
autosomiquedominante
B. C’est une maladie héréditaire
liée à une anomalie de structure
du collagène VI
C. Évolue vers l’insuffisance
rénale aiguë
D. Associe
un
syndrome
44. Ce sont des facteurs dépendants de
la vitamine K: (1383)
A. I, II, IV, X
B. II, V, VII, X
C. II, VIII, XI, XII
D. II, VII, IX, X
E. I, V, IX, XII
94
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
45. Caractérise la symptomatologie
osseuse dans le myélome multiple:
(1390)
A. Un
syndrome
douloureux
apparaît au niveau des os plats
et longs
B. Les douleurs sont à caractère
mécanique
C. Les fractures pathologiques
apparaissent surtout au niveau
de l’épine dorsale cervicale
D. L’aspect standard à l’imagerie
est
de
lésions
osseuses
ostéocondensées
E. L’examen CT relève une
infiltration diffuse de la moelle
D. La présence de t (9,22) est
associée à un pronostic
favorable
E. Le syndrome de lyse tumorale
associe
hyperkaliémie,
hypophosphatémie,
hypercalcémie, hyperuricémie
48. Les affirmations suivantes relatives
au diagnostic des leucémies
lymphoïdes chroniques sont vraies,
A L’EXCEPTION DE: (1436)
A. La LLC est une prolifération
lymphoïde polyclonale
B. La prolifération dans la LLC
est constituée lymphocytes
jeunes, à morphologie anormale
C. Dans 95% des cas, les
lymphocytes proliférés dans la
LLC ont le phénotype B
D. Le stade A de la classification
de Binet bénéficie d’abstinence
thérapeutique
E. La classification de Binet inclut
3 stades: A, B, C
46. L’affirmation suivante relative aux
principaux facteurs de risque dans
l’apparition des cancers est vraie:
(1426)
A. Le fumer est impliqué dans la
production du sarcome de
Kaposi
B. Les
radiations
ionisantes
produisent le cancer de vessie
urinaire
C. Le chlorure de vinyle est
impliqué dans la production du
cancer de foie
D. L’arsenic est un facteur de
risque pour la production du
cancer pulmonaire
E. On a incriminé la poussière de
bois pour le développement des
leucémies
49. Caractérise la maladie de Hodgkin:
(1438)
A. Apparaît chez la personne âgée
B. Des
affections
extraganglionnaires
apparaissent (digestives, ORL)
C. Apparaît chez l’enfant
D. La forme scléronodulaire est la
forme la plus fréquente
E. Il existe 5 formes histologiques
50. Caractérise le Lymphome de
Burkitt: (1439)
A. Affecte les personnes âgées
B. Affecte surtout les hommes
C. Associe un grand risque de
syndrome de lyse tumorale
D. Ne présente pas des affections
extraganglionnaires
E. Représente un tiers des LNH
47. Le diagnostic paraclinique dans les
leucémies aiguës montre: (14341435)
A. L’hémoleucogramme peut être
dans certains cas normal
B. L’examen médullaire montre
une moelle pauvre en cellules
et riche en mégacaryocytes
C. L’examen médullaire présente
une moelle osseuse avec au
moins 20% blastes
Score complément simple: _____
COMPLÉMENT MULTIPLE
95
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
d’administrer des suppléments
de vitamine K
E. Le besoin en calcium à l’âge de
1 an est de 600 mg/jour
51. À propos de l’alimentation du
nourrisson et de l’enfant depuis 4-6
mois jusqu’à 1 an il est vrai que:
(1029)
A. On commence la diversification
après l’âge de 1 an, car le lait
peut satisfaire lui seul la totalité
des besoins nutritionnels de
l’enfant
B. Il faut augmenter le nombre de
repas,
car
les
besoins
nutritionnels augmentent avec
l’âge
C. On continue les suppléments de
vitamine D
D. L’ordre d’introduction des
aliments dans le cadre de la
diversification est la suivante :
des légumes, ensuite des fruits
bouillis, céréales ensuite des
protéines animales
E. Le lait de continuation est
indiqué après l’âge de 1 an
54. La maladie de Kawasaki se
caractérise par: (1041)
A. De la fièvre pendant plus de 5
jours
B. Exanthème
C. Conjonctivite aseptique
D. Eruption polymorphe
E. Adénopathie rétroauriculaire
55. Ce
sont
des
signes
de
déshydratation extracellulaire chez
les nourrissons et les enfants:
(1049)
A. Le grand soif
B. L’hypotonie
des
globes
oculaires
C. La diminution du temps de
recoloration cutanée
D. La tachycardie
E. La dépression de la fontanelle
52. L’alimentation de 1 à 3 ans se
caractérise par: (1030)
a. Il faut maintenir l’apport lacté
de 500 ml/jour
b. On
recommande
d’éviter
seulement les boissons douces
c. Le nombre de repas indiqué est
de 3 par jour
d. On continuera la diversification
e. On utilisera du lait de
croissance ou du lait intégral
56. Représentent
des
causes
parasitaires de diarrhée aiguë chez
le nourrisson et l’enfant l’infection
avec: (1051)
A. Campylobacter jejuni
B. Cryptosporidium hominis
C. Entamoeba hystolytica
D. Taenia solium
E. Vibrio cholerae
57. Sur la sténose pylorique chez le
nourrisson et l’enfant il est FAUX
que : (1063)
A. Le diagnostic est confirmé par
l’examen baryté
B. Il est possible que l’alcalose
hypochlorémique apparaisse
C. On garde son appétit, par
contraste à l’arrêt de la
croissance pondérale
D. Les vomissements sont en jet,
abondants,
immédiatement
postprandial
53. Sur
l’alimentation
chez
le
nourrisson et l’enfant on peut
affirmer que: (1028-1029)
A. Après l’âge de 4-6 mois jusqu’à
l’âge de 1 an: lait de croissance
B. L’alimentation lactate exclusive
répond
aux
besoins
nutritionnels du nourrisson
C. On introduit les céréales à
gluten à 4 mois
D. Dans la période de transition et
de diversifications on continue
96
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
E. A la prédominance dans le sexe
masculin
61. L’imagerie cérébrale dans le cas
d’une crise épileptique: (1081)
A. L’examen CT se réalise à
distance en cas de retard
psychomoteur, crise partielle,
EEG atypique
B. On
effectue
d’urgence
l’examen EEG en cas d’examen
clinique évocateur pour le SHU
C. On réalise l’EEG pendant le
sommeil, si l’âge < 3 ans
D. On effectue l’examen IRM à
distance en cas d’examen
clinique anormal
E. La présence des troubles de
conscience
exige
qu’on
effectue d’urgence un examen
CT
58. Les aspects suivants constituent des
fondements de la puériculture,
qu’on va expliquer aux parents:
(1034)
A. La nécessité des suppléments
de vitamine K
B. Suivi du poids (prise de poids
de 25-30 g/jour)
C. Des tétées entre 5 et 10 minutes
à chaque sein
D. Consultation obligatoire à l’âge
de 10 jours
E. En cas de fièvre, on
recommande le paracétamol
59. Les examens complémentaires dans
le cadre des vomissements
chroniques chez le nourrisson et
l’enfant sont: (1063)
A. Chercher un foyer infectieux:
PCR,
hémogramme,
radiographie du thorax, PL,
examen SU
B. CT cérébral pour déceler une
hypertension intracrânienne
C. Bilan hépatique pour le
diagnostic d’une hépatite
D. Éliminer
une
cause
chirurgicale:
échographie
abdominale,
radiographie
abdominale à jeun
E. Colonoscopie en cas de cause
mécanique suspectée
62. Le schéma de thérapie insulinique
chez l’enfant autonome comporte:
(1111)
A. 2 injections par jour
B. Insuline à l’action rapide avant
les repas
C. Une collation à 10 heures
D. Insuline à l’action lente le soir
E. 2/3 de la dose totale au matin,
1/3 le soir
63. Les convulsions fébriles simples
chez l’enfant: (1080)
A. Apparaissent associées à la
fièvre et à des signes
d’infection intracrânienne
B. La crise convulsive tonicoclonique généralisée a une
durée inférieure à 15 minutes
C. Le
développement
psychomoteur est normal
D. L’anamnèse relève la présence
des antécédents neurologiques
E. L’âge
d’apparition
des
convulsions fébriles est de plus
de 6 ans
60. L’encéphalite
post-infectieuse:
(1080)
A. Présente
des
anomalies
neurologiques peu importantes
B. Débute progressivement
C. À l’examen CT apparaissent
des hypodensités diffuses
D. Les troubles de conscience
apparaissent dès le bon début
E. On voit sur l’EEG des ondes
lentes diffuses
64. Selon l’aspect local, on classifie les
angines chez l’enfant dans: (10681069)
97
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
A. Angines érythémateuses: la
simple
congestion
érythémateuse des amygdales
B. Angines érythémato-pultacées:
les amygdales érythémateuses
sont totalement couvertes par
une pellicule blanchâtre
C. Angines ulcéro-nécrotiques ou
ulcéreuses: il faut suspecter une
mononucléose infectieuse à
EBV ou diphtérie
D. Angines
vésiculeuses:
l’étiologie la plus fréquente est
celle virale
E. Dans le cas d’ulcérations
bilatérales dans une angine
ulcéreuse ou ulcéro-nécrotique
on
suggère l’agranulocytose,
relevant une leucémie
C. L’insuffisance respiratoire
D. La
pathologie
chronique
cardiaque
E. L’insuffisance rénale
68. Les
causes
principales
de
pneumonies chez le nourrisson et
l’enfant sont les infections avec:
(1100-1101)
A. Des virus
B. Mycoplasma pneumoniae
C. Stafilococcus aureus
D. Streptococcus pneumoniae
E. Neisseria meningitides
69. Sur l’asthme allergique chez
l’enfant il est FAUX que: (1092)
A. L’asthme
s’accompagne
d’atopie familiale
B. Il faut réaliser une enquête
allergologique
C. Le prick-test cutané permet de
tester la sensibilité de type 1
D. Les tests multiallergéniques à
réponse globale sont indiqués
chez l’enfant sous 36 mois
E. Le dosage de l’IgE totale est
inutile chez l’enfant qui a plus
36 mois
65. Sont caractéristiques pour l’asthme
contrôlé chez l’enfant: (1096)
A. Des symptômes diurnes ≤ 1/
semaine
B. La limitation des activités:
légère
C. L’utilisation
des
bêta2
agonistes: ≤ 2/ semaines
D. De légères exacerbations
E. VEMS/ DEP normal
70. Le traitement de la rhinite
allergique chez l’enfant: (1093)
A. Prophylaxie antibiotique pour
éviter l’infection des sécrétions
nasales
B. On
réalise
l’éviction
allergénique
C. On
recommande
l’immunothérapie
nonspécifique
D. Traitements
médicamenteux
locaux:
corticoïdes
pour
inhalation
E. Décongestionnants, chromones,
antihistaminiques
66. La bronchiolite aiguë chez le
nourrisson: (1099)
A. Est précédée par une phase de
rhinopharyngite
B. Est le plus souvent d’étiologie
bactérienne
C. Les examens complémentaires
ne sont pas nécessaires le plus
souvent
D. La toux convulsive est un
diagnostic différentiel
E. Critère de gravité: épuisement
respiratoire
67. Ce sont des critères de gravité en
cas de pneumonie chez le
nourrisson et l’enfant: (1100)
A. L’âge jeune
B. L’immunodépression
71. La dyspnée dans l’asthme modéré
chez l’enfant se caractérise par:
(1095)
A. Apparaît lorsqu’il parle
98
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
B. Apparaît lorsqu’il marche
C. L’alimentation est normale
D. La position préférée est le
clinostatisme
E. Nourrisson trop silencieux, cris
plus courts
75. La cystite chez l’enfant se
caractérise par les éléments
suivants, SAUF: (1106)
A. C’est un diagnostic rarement
rencontré dans l’adolescence
B. La douleur lombaire est absente
C. Signes urinaires de premier
plan : dysurie, pollakiurie,
douleurs abdominales
D. L’examen à bandelette urinaire
est positif
E. On traite la fièvre constamment
présente
avec
des
antipyrétiques
(acétaminophène)
72. Ce sont des paramètres définissant
le contrôle de l’asthme chez
l’enfant: (1096)
A. La limitation des activités
B. La présence et le nombre des
exacerbations
C. L’utilisation des corticoïdes
pour inhalation
D. Symptômes diurne
E. Le rapport VEMS/ DEP
76. Dans la phase initiale du
management thérapeutique en cas
de cétoacidose diabétique chez
l’enfant: (1110)
A. On administre de l’insuline i.v.
continuellement
B. On
fait
d’urgence
la
réhydratation, par voie orale
C. Pour le remplissage du lit
vasculaire on utilise une
solution de NaCl 20ml/kg
pendant 20 minutes
D. On adapte la dose d’insuline en
fonction du niveau de la
glycémie mesurée dans le sang
veineux
E. On administre l’insuline par
voie sous-cutanée
73. En présence d’une faible réponse à
l’évaluation à 1-2 heures dans le
cas
d’une
crise
d’asthme
bronchique chez l’enfant: (1097)
A. On recommande d’administrer
la
corticothérapie
par
inhalation en grandes doses
B. On
administre
l’oxygénothérapie
C. Le
suivi
permanent
est
nécessaire
D. DEP >30%
E. PaCO2>45mmHg
74. À propos des stades de l’asthme
allergique il est vrai: (1093)
A. Asthme
intermittent:
symptômes diurnes 1 ou 2
jours/semaine
B. Asthme persistant léger à
modéré : exacerbations ≥ 2
dans les derniers 6 mois
C. Exacerbations 0-1 par an dans
le cas de l’asthme persistant
léger à modéré
D. Répercussions sur les activités
quotidiennes : aucune dans
l’asthme intermittent
E. Symptômes nocturnes > 2 nuits
par mois dans l’asthme
persistant sévère
77. Ce sont des signes adrénergiques
d’hypoglycémie chez l’enfant:
(1110)
A. La tachypnée
B. La transpiration
C. Les troubles de conscience
D. Les frissons
E. La tachycardie
78. Le régime alimentaire dans le cadre
du management à long terme chez
l’enfant diabétique inclut: (1111)
A. 50% glucides à l’absorption
lente
99
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
B. Insuline à l’action rapide avant
les repas
C. La
limitation
de
la
consommation de glucides à
l’absorption rapide
D. 30% protéines
E. La limitation des déviations
alimentaires
79. L’obésité chez l’enfant peut
déterminer
l’apparition
de
complications précoces ou tardives
comme il suit: (1121)
A. Respiratoires: le BPOC
B. Ostéoarticulaires: genum varum
C. Morphologiques: adipomastie,
vergetures
D. HTA, dyslipidémies
E. Hyperinsulinisme
C. Pour le dépistage précoce de
l’ictère on mesure la valeur de
la bilirubine totale dans le sang
veineux
D. Il faut vérifier la qualité de
l’alimentation
E. L’examen clinique a lieu 10
jours après la naissance
83. Les affirmations suivantes sur la
prématurité du nouveau-né sont
vraies: (1032)
A. Présuppose un âge gestationnel
< 37 semaines
B. La grossesse multiple peut
constituer une cause fœtale
C. On découvert toujours la cause,
ce qui aide au management
ultérieur
D. Il existe un risque majeur
d’hypothermie
et
d’hyperglycémie
E. La
prématurité
majeure
présuppose un âge gestationnel
< 28 semaines
80. Le score APGAR évalue les
paramètres suivants: (1031)
A. L’activité cardiaque
B. La pulsoxymétrie
C. Le gémissement respiratoire
D. Le tonus
E. La réactivité
84. Le bilan systématique en cas
d’infection materno-fœtale inclut:
(1033)
A. La PCR
B. L’hémogramme
C. Un examen sommaire de
l’urine
D. La radiographie du thorax
E. Un examen à la bandelette
urinaire
81. Sur le score APGAR il est VRAI:
(1031)
A. Supérieur à 6: normal
B. Inférieur à 5: mort apparente
C. Entre 4 et 7: souffrance sévère
D. On calcule la valeur du score
APGAR à 0, 1, 3, 5 et 10
minutes
E. Mesure l’adaptation à la vie
extrautérine
85. Ce sont des causes principales de
détresse respiratoire néonatale:
(1033)
A. L’infection pharyngienne
B. L’inhalation
de
liquide
amniotique
C. Des malformations (hernie
diaphragmatique, imperforation
anale)
D. La maladie des membranes
hyalines chez le nouveau-né à
terme
82. Ce sont des caractéristiques du
management du nouveau-né à
terme dans les premiers jours:
(1032)
A. Le nouveau-né ne doit pas
perdre plus de 8% du poids
initial et revenir au poids de la
naissance dans les 8 premiers
jours
B. La phénylcétonurie est une
maladie congénitale et ayant un
traitement accessible
100
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
E. Le retard de résorption du
liquide pulmonaire
89. Le syndrome de West: (1083)
A. Est
un
syndrome
cryptogénétique
B. À
l’examen
EEG
–
hypsarythmie
C. Début environ l’âge de 3 ans
D. Des spasmes apparaissent dans
la flexion
E. On
l’appelle
également
l’épilepsie myoclonique sévère
du nourrisson
86. Les principaux risques fœtaux en
cas de diabète gestationnel sont:
(1034)
A. La prématurité
B. La macrosomie
C. La mort du fœtus dans l’utérus
D. Les hyperglycémies néonatales
E. La microsomie
87. Le traitement d’attaque en cas
d’attaque de pyélonéphrite chez
l’enfant: (1106)
A. Se réalise avec de la
ceftriaxone pendant 2-4 jours
B. On peut y associer les
aminoglycosides
en
cas
d’uropathie
malformative
connue
C. En cas de signes indiquant la
présence des infections à
entérocoque,
on
remplace
l’amoxicilline
par
la
ceftriaxone
D. La présence du syndrome
septicémique impose qu’on
ajoute
au
traitement
la
gentamicine
E. Les aminoglycosides associés
au traitement sont administrés
p.o.
90. Les pleuropneumopathies chez le
nourrisson et l’enfant: (1101)
A. Présentent un tableau infectieux
et respiratoire fruste
B. Sont présentes les douleurs
abdominales importantes
C. Le murmure vésiculaire est
aboli
D. À la percussion on perçoit la
matité
E. Le diagnostic sera confirmé par
la ponction pleurale
91. Ce sont des facteurs de risque pour
le développement des allergies
respiratoires chez l’enfant: (1092)
A. Le stress psychologique
B. Des pollens, des acariens, des
moisissures
C. Les infections respiratoires
D. La
sous-nutrition
comme
facteur endogène
E. Des antigènes susceptibles à
déclencher
une
réponse
immune immédiate d’IgA
88. L’attitude thérapeutique en cas de
diarrhée aiguë et de déshydratation
chez les nourrissons et les enfants
comporte: (1051)
A. La réalimentation doit être
précoce
B. Antibiothérapie systématique,
car la plupart des causes sont
bactériennes
C. Si le terrain est fragile, on
recommande le lait sans lactose
D. Hydrolysé de protéines de lait
de vache chez les enfants qui
ont plus de 3 mois
E. Des règles hygiéno-diététiques
comme traitement curatif
92. Les caractéristiques de l’asthme
léger chez l’enfant conformément
au GINA 2006: (1095)
A. La dyspnée apparaît lorsqu’il
parle
B. La fréquence cardiaque est
entre 100 et 200/minute
C. Le parler est normal
D. L’utilisation
des
muscles
respiratoires accessoires est
atypique
101
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
E. Le clinostatisme est toléré
traitement on effectue l’ECBU
de contrôle
E. On ne recommande pas les
cyclines à cause d’une forte
diffusion intraprostatique
93. Les examens complémentaires dans
le cadre de la cétoacidose
diabétique chez l’enfant: (1110)
A. L’ionogramme sanguin indique
l’hypernatrémie
et
l’hyperpotassémie
B. Entre autres, on confirme la
cétoacidose
C. Une
insuffisance
rénale
fonctionnelle peut être présente
D. On observe sur l’ECG des
signes de dyskaliémie
E. L’on peut rencontrer une
hyperprotéinémie
97. Ce sont des complications qui
peuvent apparaître après une
pyélonéphrite aiguë: (1289)
A. Le choc septique
B. Le rein polykystique
C. La pyonéphrose
D. Le syndrome néphrotique
E. Les abcès rénaux
98. Les modifications du tractus
urinaire pendant la grossesse sont:
(1290-1291)
A. Les estrogènes favorisent le
reflux vésico-urétéral
B. La progestérone inhibe le
péristaltisme des voies urinaires
C. Par dextrorotation utérine il
apparaît la compression de
l’uretère droit
D. L’extension
des
uretères
favorise le reflux vésicourétéral bilatéral
E. La progestérone favorise la
stagnation de l’urine
94. Ce sont des facteurs favorisants
urologiques pour les infections
urinaires chez l’adulte: (1286)
A. Le reflux vésico-urétral
B. La polykystose rénale
C. La faible diurèse
D. La diarrhée
E. Un corps étranger dans la
vessie
95. Peuvent être des signes cliniques
dans la cystite aiguë simple chez
l’adulte: (1287)
A. La pollakiurie
B. L’urine claire
C. Jamais l’hématurie
D. Des sensations de brûlure lors
de la miction
E. Fièvre modérée
99. Ce sont des caractéristiques de la
lithiase urinaire chez l’adulte:
(1313)
A. La colique rénale simple
bénéficie de traitement avec
hospitalisation
B. Dans
la
colique
rénale
compliquée
on
draine
d’urgence l’urine par le
montage d’une sonde urétrale
C. En cas de fièvre, dans la
colique rénale compliquée l’on
administre
l’antibiothérapie
parentérale
D. Il faut traiter une éventuelle
hypokaliémie présente dans une
colique rénale compliquée
E. On recommande l’ablation du
calcul si le calcul > 6 mm
96. Ce sont des caractéristiques des
examens et du traitement de la
prostatite chronique: (1290)
A. L’échographie endorectale peut
déceler des calcifications de la
paroi de la vessie urinaire
B. La spermoculture et l’ECBU
sont contre-indiqués en cas de
prostatite chronique
C. L’antibiothérapie peut se faire
avec des fluoroquinolones per
os
D. Après un mois depuis l’arrêt du
102
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
après environ 6 mois
C. Les alpha-bloquants agissent
par diminuer le volume
prostatique
D. On commence le traitement par
la monothérapie
E. On
recommande
son
instauration dans le cas d’un
traitement chirurgical échoué
100. Le diagnostic différentiel d’une
lithiase urinaire devant une colique
néphrétique se fait par rapport à:
(1314)
A. La compression extrinsèque
(par
exemple
fibrose
rétropéritonéale)
B. La lithiase biliaire
C. La pancréatite chronique
D. La pneumopathie
E. Un parasite comme obstacle
endoluminal
104. Les
affirmations
suivantes
relatives au traitement chirurgical
dans l’hypertrophie bénigne de la
prostate sont FAUSSES: (1318)
A. La résection transurétrale de la
prostate comporte un risque
d’éjaculation
rétrograde
constante
B. Est indiqué en cas d’échec du
traitement
médical
bien
effectué
C. Par
l’incision
cervicoprostatique on retrait
l’adénome, on ouvre le col et
l’on maintien l’éjaculation
D. Une alternative pour le
traitement chirurgical peut être
représentée par le montage
d’une endoprothèse de Fabian
E. La tumeur de vessie associée
fait qu’on abandonne le
traitement chirurgical en faveur
d’une thérapie médicamenteuse
avec des alpha-bloquants
101. Sur le drainage de l’urine dans la
rétention aiguë d’urine il est vrai
que: (1295)
A. Le sondage urétral est contreindiqué en cas d’hématurie
B. Le cathéter suprapubien peut
s’obstruer fréquemment
C. On n’effectue le montage d’un
cathéter suprapubien qu’après
la confirmation de la rétention
par une échographie de la
vessie
D. Le cathéter suprapubien est
contre-indiqué en cas de tumeur
vésicale
E. Par le sondage urétral on ne
peut pas réaliser le test de
clampage
102. Ce sont des complications de la
lithiase urinaire chez l’adulte:
(1315)
A. L’insuffisance rénale chronique
B. La néphropathie interstitielle
C. L’urinome
D. L’infection urinaire
E. La rupture de la voie excrétrice
105. Dans le suivi des patients avec
hypertrophie bénigne de la prostate
on utilise: (1318)
A. La débitmétrie
B. Le
dosage
de
l’urée
plasmatique
C. L’ECBU
D. Le calcul de la clearance de
créatinine
E. Le CT pelvien
103. Sur le management médical dans
l’hypertrophie bénigne de la
prostate il est vrai que: (1317)
A. Les alpha-bloquants peuvent
provoquer
l’hypotension
orthostatique
B. On observe l’efficacité des
inhibiteurs de 5-alfa-réductase
106. Ce sont des facteurs de risque
pour l’apparition du cancer de la
prostate: (1319)
A. L’hypertrophie bénigne de la
103
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
élevé
D. Après le traitement adjuvant,
pour vérifier l’efficacité du
traitement
E. La stadialisation de Binet
prostate
B. Des antécédents familiaux de
cancer du sein
C. Les nitrosamines
D. Le traitement à androgènes
E. Le traitement à estrogènes
111. Les affirmations suivantes sur la
classification TNM des tumeurs du
rein: (1325)
A. Une tumeur T1 est inférieure à
7 cm et limitée au rein
B. La tumeur T4 s’étend au-delà
du fascia de Gerota et/ou à la
surrénale
C. N1 signifie qu’au plus 2
ganglions soient affectés
D. Dans T2, la tumeur est limitée
au rein
E. T4 signifie invasion des
organes voisins
107. Les principales complications de
la ponction-biopsie prostatique
sont: (1320)
A. L’hématurie
B. Le melaena
C. La prostatite aiguë
D. L’infection urinaire
E. Les rectorragies
108. Sur le stade localisé des tumeurs
de prostate il est vrai que: (1321)
A. Peut bénéficier de traitement
curatif
B. On le classifie selon TNM
ainsi: T1/T2, N0, M0
C. Bénéficie de radio-hormonothérapie prolongée
D. La
prostatectomie
totale
comme moyen thérapeutique
peut provoquer l’anéjaculation
constante
E. Bénéficie de radiothérapie
prostatique conformationnelle
112. Les affirmations suivantes sur
l’angiomyolipome sont vraies:
(1326-1327)
A. C’est
une
tumeur
mésenchymateuse maligne
B. La tumeur est composée de
tissu musculaire lisse, des
vaisseaux sanguins et du tissu
gras
C. À l’imagerie l’on observe
l’aspect
hyperéchogène,
hypodense
D. C’est la tumeur solide du rein la
plus fréquente
E. Apparaît exclusivement d’un
côté
109. Ce sont des facteurs de risque
pour l’apparition des tumeurs des
reins: (1323)
A. L’alcoolisme
B. La sténose de l’artère rénale
C. La
néphroangiosclérose
maligne
D. La dialyse chronique
E. La transplantation rénale
113. L’oncocytome: (1327)
A. Est une tumeur bénigne
B. Le diagnostic différentiel par
rapport au cancer du rein est
évident
C. À l’imagerie on observe une
cicatrice à la périphérie de la
lésion
D. L’exploration chirurgicale est
nécessaire
E. Bénéficie de la classification de
Bosniak (de I à IV)
110. Ce sont des indications de
ponction-biopsie rénale pour le
diagnostic d’une tumeur rénale:
(1324)
A. On
l’effectue
systématiquement, avant tout
traitement
B. Suspicion de lymphome
C. Patient à risque chirurgical
104
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
B. On réalise le clampage au
préalable
du
cordon
spermatique
C. À
4
semaines
après
l’orchidectomie on dose les
marqueurs tumoraux
D. On effectue l’orchidectomie par
voie scrotale
E. Avant l’opération on fait le
bilan de l’étendue
114. Ce
sont
des
diagnostics
différentiels en cas de tumeurs
testiculaires: (1328)
A. La varicocèle
B. L’orchite
C. La cryptorchidie
D. L’hydrocèle
E. L’épididymite
115. Les affirmations suivantes sur le
kyste rénal sont FAUSSES: (1327)
A. C’est une tumeur rénale
bénigne très fréquente
B. On observe à l’échographie une
image hyperéchogène, bien
vascularisée
C. À l’examen CT il apparaît
l’image d’une lésion à contour
régulier
D. Le traitement appliqué est
conservateur
E. Le kyste rénal est une lésion
symptomatique dans la plupart
des cas
118. Les affirmations suivantes sur les
traitements complémentaires dans
les tumeurs du testicule sont vraies:
(1330-1331)
A. Tant
les
tumeurs
séminomateuses que celles
non-séminomateuses
bénéficient d’hormonothérapie
B. Les
tumeurs
nonséminomateuses
sont
radiosensibles
C. Dans le stade N3 ou M1 la
polychimiothérapie se fait avec
du
méthotrexate,
de
la
bléomycine et de la vincristine
D. La séminome est chimio- et
radiosensible
E. Dans le stade localisé N0, M0
on fait la radiothérapie des
zones lomboaortiques
116. Les examens complémentaires
dans le cas d’une tumeur du
testicule : (1329)
A. L’échographie
de
Dopler
décèle
une
masse
nonhomogène, hypoéchogène
B. Les
marqueurs
sériques
tumoraux sont dosés dans le
cadre du diagnostic et à 2
semaines après l’orchidectomie
C. On explore systématiquement
le testicule controlatéral
D. La biopsie testiculaire est
indispensable, en guidant la
décision thérapeutique
E. On fait le bilan de l’extension
de la tumeur après le traitement
chirurgical
119. Ce sont des complications à
impact vésical d’une hypertrophie
bénigne de prostate: (1317)
A. La rétention aiguë d’urine
B. La lithiase de stase
C. Les diverticules vésicaux
D. Le reflux vésico-urétéral
E. L’hématurie
120. Ce sont des caractéristiques des
infections urinaires nosocomiales:
(1291)
A. C’est le deuxième type
d’infection nosocomiale du
point de vue de la fréquence
B. La présence de la diarrhée est
un facteur de risque
117. Le management immédiat des
tumeurs testiculaires: (1329)
A. Est fondé sur le traitement
chirurgical
105
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
C. Maintenir
une
diurèse
importante peut constituer un
moyen de prévention
D. Les germes sont le plus souvent
multirésistants
E. Le sexe masculin est plus
affecté
seul n’est jamais suffisant
B. La corticothérapie est souvent
nécessaire, mais avec diverses
manières de prescription
C. On
recommande
les
immunosuppresseurs dans les
formes corticosensibles
D. Il faut supprimer les facteurs
déclencheurs
E. Dans
les
maladies
inflammatoires du tube digestif
on
peut
considérer
l’immunothérapie avec antiTNF-ɑ
121. L’examen
cytobactériologique
urinaire dans les infections
urinaires chez l’adulte: (12861287)
A. Se fait à 2 heures depuis la
dernière miction
B. Se collecte le premier jet
d’urine
C. La contamination en présence
de plusieurs germes peut
déterminer l’apparition d’une
bactériurie sans leucocyturie
D. Se réalise sur l’urine collectée
dans 24 heures
E. En cas de bactériurie sans
leucocyturie il peut s’agir d’un
début d’infection
124. Ce sont des critères de l’ACR sur
la
base desquels on pose le
diagnostic de lupus érythémateux
disséminé: (1138)
A. Des ulcérations des muqueuses
nasopharyngiennes ou orales
B. La photophobie
C. La pleurésie ou la péricardite
D. Des arthrites érosives qui
affectent au moins deux
articulations périphériques
E. Affection
hématologique:
anémie mégaloblastique
122. Il est vrai sur les anticorps antiantigènes nucléaires solubles:
(1136)
A. Les anticorps anti-RNP sont
associés à la maladie mixte de
tissu conjonctif
B. Les anticorps anti-SSA et antiSSB sont spécifiques pour le
lupus
C. On associe au syndrome de
CREST
des
anticorps
anticentromères
D. Peuvent être anti-ECT ou antiENA
E. Les
anticorps
anti-histone
apparaissent dans le lupus induit
médicamenteux
125. Il est FAUX sur les affections
cutanées
dans
le
lupus
érythémateux disséminé: (1138)
A. C’est l’affection la plus rare
B. On peut distinguer des formes
de
lupus:
aigu,
suraigu,
chronique
C. Le lupus aigu se limite
généralement à des affections
cutanées exclusives
D. Le syndrome de Raynaud peut
s’y associer
E. À l’examen dans l’IF des
biopsies cutanées on cherche
d’accumulations de IgD, IgA et
de complément
123. Les
affirmations
suivantes
relatives
aux
principes
de
traitement et de suivi à long terme
d’une maladie autoimmune sont
vraies: (1137)
A. Le traitement symptomatique
126. L’affection rénale dans le lupus
érythémateux disséminé: (1139)
A. Est une affection interstitielle
B. Impose le dosage de la
106
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
créatinine à chaque consultation
C. L’affection classique est de type
syndrome néphrotique pur
D. La 2ème classe de néphropathie
lupique
présuppose
une
affection mésangiale
E. Les lésions dans les classes 3, 4
et 5 nécessitent un traitement
immunosuppresseur par voie
générale
B. Pneumopathie: IRM thoracique
C. Diverticulite:
CT
abdominopelvien
D. Dissection d’aorte: Angio-CT
thoracique
E. Traumatisme crânien chez un
patient asymptomatique: CT
cérébral
130. Ce sont des examens indiqués
dans la pathologie urinaire : (1154)
A. CT abdominal dans la colique
rénale
B. IRM
rénal
dans
la
pyélonéphrite compliquée
C. Échographie rénale de première
intention dans la colique rénale
D. Échographie rénale dans la
tumeur rénale métastatique
E. Radiographie rénale dans la
tumeur des uretères
127. Le syndrome antiphospholipidique
est caractérisé de la manière
suivante: (1142)
A. Au moins deux épisodes au
cours d’une année de thrombose
veineuse profonde ou artérielle
des petits vaisseaux
B. Au moins une mort fœtale après
la 10ème semaine de grossesse,
fœtus normal à l’autopsie
C. >= 3 avortements spontanés
consécutifs avant la 10ème
semaine de grossesse avec un
bilan exhaustif négatif
D. Il faut qu’au moins deux signes
cliniques soient présents
E. Peut
être
primaire
ou
secondaire, et dans ce dernier
cas on l’associe principalement
au
lupus
érythémateux
disséminé
131. En ce qui concerne la réalisation
d’un examen CT il est vrai que:
(1149)
A. L’existence
dans
les
antécédents
d’un
choc
anaphylactique ou d’un œdème
de Quincke après avoir
administré une substance de
contraste iodée impose qu’on
interdise
à
l’avenir
l’administration
de
toute
substance de contraste
B. En cas de diabète, on cessera
d’administrer les biguanides
pendant les 48 heures après
l’examen, mais cela n’est pas
nécessaire avant l’examen
C. Présente
un
risque
de
malformations fœtales chez la
femme enceinte au premier
trimestre de grossesse
D. Après l’examen on vérifiera
toujours le niveau de la
créatinine dans le sang
E. Dans le cas d’un niveau de la
clearance de créatinine < 30
ml/min
on
contre-indique
128. L’examen CT est recommandé en
régime
d’urgence
pour
les
pathologies suivantes: (1151)
A. Invagination intestinale aiguë
chez l’enfant
B. Embolie pulmonaire
C. Compression médullaire avec
des troubles sphinctériens
D. Hémorragie
sousarachnoïdienne
E. Coma
129. Les indications suivantes sont
vraies pour les examens par en
fonction de la imagerie selon la
pathologie: (1153)
A. OAP: radiographie du thorax
107
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
d’administrer de la substance
de contraste iodée
136. La
fasciite
nécrosante
–
affirmations vraies: (1170)
A. C’est une urgence médicale
B. S’accompagne d’une altération
majeure de l’état de santé
C. Son apparition est favorisée par
l’administration
de
la
corticothérapie
D. Se présente localement par des
zones hyperesthésiques
E. Un syndrome inflammatoire
majeur est présent
132. Les
examens
d’imagerie
recommandés dans le cas d’une
embolie pulmonaire sont: (1153)
A. La radiographie thoracique
B. L’endoscopie bronchique
C. La scintigraphie pulmonaire
D. L’angio-CT thoracique
E. L’échographie transthoracique
133. Il est vrai sur la réalisation d’un
examen IRM: (1150)
A. La présence de tout type de
valve cardiaque représente une
contre-indication absolue pour
l’examen
B. L’un
des
avantages
de
l’examen est l’absence de
l’irradiation
C. C’est un examen à durée de
déroulement courte-moyenne
D. La sémantique radiologique:
hypo-/iso-/hypersignal
E. On l’effectue obligatoirement à
jeun
137. Le traitement des candidoses
comprend : (1171)
A. Traitement antifongique local
pendant 6 semaines pour les
ongles et 2-4 mois pour la peau
et les muqueuses
B. Traitement
général
avec
griséofulvine
C. Toilette avec du savon à pH
neutre
D. Traitement général pour les
formes profuses
Le traitement antifongique
local peut se faire avec des
imidazolés ou de la terbinafine
134. L’érysipèle est caractérisé par:
(1169-1170)
A. Placard non-douloureux, avec
extension centripète
B. La porte d’entrée peut être
constituée par un impétigo
C. Peuvent être des facteurs
favorisants: le lymphœdème,
l’insuffisance veineuse
D. Est précédé par un état fébrile
(39-40 degré), des frissons
E. Rarement
peut
apparaître
bilatéralement
138. Ce sont des affirmations vraies sur
le pityriasis versicolore: (1172)
A. C’est une affection provoquée
par le Tricophyton
B. Se caractérise par une faible
contagiosité
C. Sont présentes des macules à
fines squames, de couleur rose,
qui deviennent hypochrome
D. À l’examen avec la lampe de
Wood, une fluorescence verte
apparaît
E. Affecte surtout l’adulte âgé
135. Ce sont des complications
générales de l’érysipèle: (1170)
A. La septicémie
B. La phlébite
C. Les
complications
poststreptococciques
D. La fasciite nécrosante
E. La maladie thrombembolique
139. Le crétinisme, en tant que forme
clinique de goitre, se caractérise
par: (1216)
A. Retard mental réversible
B. Troubles
neurologiques,
moteurs: tétraplégie spastique
108
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
B. Repos, interruption de l’activité
professionnelle
C. Contraception efficace
D. Sédation avec benzodiazépines
E. Des inhibiteurs des canaux de
Ca2+
144. En ce qui concerne le suivi de
l’efficience du traitement dans
l’hyperthyroïdisme il est vrai que:
(1222-1223)
A. fT4 à 10 jours depuis le début
du traitement
B. L’adaptation
des
doses
d’antithyroïdiens de synthèse se
fait en fonction de la TSH
C. Au deuxième moment: TSHus
+/- fT4 à 3 mois
D. Le but du traitement est de
normaliser la fT4, ensuite la
TSH.
E. Dans certains cas, après
quelque temps depuis le début
du
traitement,
l’hypothyroïdisme
peut
apparaître
C. Troubles
neurologiques,
sensoriels: surdité
D. Hypothyroïdisme fruste
E. Mixœdème, retard statural
140. Ce sont des examens biologiques
complémentaires en cas de goitre:
(1216)
A. Le dosage des anticorps antirécepteurs pour la TSH
(maladie de Basedow)
B. La TRH
C. fT3, fT4
D. le dosage des anticorps antiTPO et anti-TG
E. la iodurie/24 heures, utile pour
dépister l’excès d’iode
141. Ce sont des caractéristiques du
nodule thyroïdien suspect: (1219)
A. Le nodule hyperéchogène
B. Hypervascularisation
à
l’échographie de Doppler
C. Halo complet
D. La
présence
des
microcalcifications dans le
nodule
E. Kyste anéchogène
145. Ce sont des paramètres suivis dans
le cadre du monitorage de la
tolérance au traitement avec
antithyroïdiens de synthèse: (1223)
A. fT3
B. fT4
C. TSH
D. LDH
E. HCG
142. Le diagnostic hormonal de
certitude dans l’hyperthyroïdisme
se caractérise par: (1221)
A. L’examen de confirmation:
TSHus bas
B. Une fT4 bas avec un TSH
normal correspond à un
hyperthyroïdisme fruste
C. Le dosage fT4 est nécessaire
pour suivre le traitement
D. Le dosage fT3 n’est nullement
pertinent
dans
l’hyperthyroïdisme
E. Comme première intention on
ne dose que la fT4
146. Ce
sont
des
signes
d’hypométabolisme
en
cas
d’hypothyroïdisme: (1224)
A. Tableau de démence
B. Macroglossie
C. Aménorrhée
D. Constipation
E. Hypoglycémie
143. Ce sont des principes généraux de
traitement dans l’hyperthyroïdisme:
(1222)
A. Traitement dans l’hôpital
147. Ce sont des anomalies biologiques
dans
le
cadre
d’un
hypothyroïdisme: (1225)
A. Hypokaliémie
B. Anémie macrocytaire
109
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
C. Hypertriglycéridémie
D. LDH élevée
E. Hypercholestérolémie
(1237)
A. Présente une transmission
autosomique récessive
B. La mutation du gène GAD65
apparaît
C. La carence d’insuline nécessite
l’insulinothérapie
D. C’est un diabète iatrogène,
cortico-induit
E. Apparaît avant l’âge de 20 ans
148. Les
causes
principales
de
l’hypothyroïdisme sont: (1225)
A. Excès d’iode
B. Infiltratif
C. Post-abortum
D. Autoimmune
E. Carence d’iode
152. Font partie du bilan systématique
du diabète de type 2: (1238)
A. Le dosage du fer sérique et de
la transphérine
B. La sérologie de l’hépatite B
C. Le niveau de la TSH
D. Le niveau des transaminases
E. La
formule
leucocytaire,
comme indice des infections
149. Sur
le
traitement
de
l’hypothyroïdisme il est vrai que:
(1226)
A. On peut le faire soit dans
l’hôpital, soit en régime
ambulatoire, selon l’importance
des
facteurs
de
risque
hépatiques
B. Le traitement commence par
une dose d’attaque, ensuite les
doses
diminuent
progressivement
C. La durée du traitement: jusqu’à
ce qu’on arrive à l’euthyroïdie,
ensuite on l’interrompt
D. Avant de commencer le
traitement et de changer la
posologie, ECG obligatoire
chez les patients âgés et
souffrant
d’insuffisance
coronarienne
E. L’administration se fait au
matin, à jeun
153. La clinique de la cétoacidose
diabétique se caractérise par:
(1239)
A. Installation brutale surtout chez
les hommes
B. Inclut deux phases : la cétose
simple et la cétoacidose
C. L’hypothermie, favorisée par la
cétose, peut masquer un
syndrome infectieux
D. Il est possible d’éviter
E. La déshydratation globale liée à
la diurèse osmotique est
prédominante dans le secteur
intracellulaire
150. Le diabète sucré de type 1 lent
(LADA) se caractérise par: (1237)
A. On observe la présence de la
mutation du gène HNf1ɑ
B. L’insulinodépendance apparaît
vite, 2-3 ans après le début
C. Le début est similaire au
diabète de type 2
D. Les anticorps anti-GAD65 y
sont présents
E. Le début cétosique nécessite un
traitement avec insuline
154. Ce
sont
des
perturbations
biologiques de la cétoacidose:
(1240)
A. pH artériel < 7,30
B. glycémie plasmatique > 2,50
g/L
C. bicarbonate > 15 mmol/L
D. déficit anionique > 10 mmol/L
E. corps cétoniques plasmatiques
présents
155. La
réhydratation
hydroélectrolytique dans le traitement de
151. Le diabète de type MODY 3:
110
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
la cétoacidose diabétique: (1240)
A. On l’adapte selon le sexe
B. On la fait avec du sérum NaCl
isotonique aussi longtemps
que la glycémie est supérieure
à 1,90 g/L
C. On n’administrera pas du
bicarbonate si le pH-ul est > 7
D. Si la glycémie est < 2,50 g/L,
on utilisera du sérum glucosé
5% avec NaCl ou même du
glucose 10%
E. Dans le cas de l’apparition de
l’astérixis on administrera des
solutions macromoléculaires
C. L’insuffisance rénale
D. L’insuffisance hépatique
E. Des états de choc
159. La rétinopathie diabétique: (12441245)
A. C’est une complication à long
terme du diabète sucré chez
l’adulte,
étant
une
macroangiopathie
B. Dans le stade non-prolifératif
on rencontre des dilatations
capillaires,
des
microanévrismes, des exsudats
et des hémorragies
C. Pour un diabétique avec une
évolution de plus de 25 ans,
qui n’a pas développé une
rétinopathie, il y a peu de
risques qu’il développe cette
complication à l’avenir
D. La forme la plus sévère c’est
la maculopathie ischémique
par l’occlusion étendue des
capillaires maculaires
E. Les principaux types de
traitement
sont:
médical,
chirurgical et à laser
156. En ce qui concerne le coma
hyperosmolaire il est vrai que :
(1241)
A. La cétogenèse et la lipolyse
modérées apparaissent
B. Il se peut que l’insuffisance
rénale aiguë fonctionnelle
apparaisse
C. L’osmolarité est supérieure à
350 mmol/L
D. La cétonémie et l’acidose
élevées sont présentes
E. Apparaît surtout chez les
patients avec diabète de type 1
négligé
160. Sur le traitement de la rétinopathie
diabétique il est vrai que : (1245)
A. Le
traitement
médical
implique un bon contrôle de la
glycémie et de la pression
artérielle
B. Le traitement à laser est
recommandé dans toutes les
rétinopathies
nonprolifératives
C. En
cas
de
lésions
microvasculaires responsables
de
l’exsudation
on
recommande
la
photocoagulation focale
D. La présence des néovaisseaux
est une indication d’injections
intravitréennes avec antiVEGF
157. Les examens complémentaires
dans un coma hyperosmolaire
indiquent: (1241-1242)
A. Glycémie > 3 g/L
B. pH artériel > 7,30
C. bicarbonate plasmique > 10
mmol/L
D. cétonémie
et
cétonurie
importantes
E. hyperosmolarité
>
320
mOsm/kg
158. Ce sont des facteurs favorisant
une acidose lactique liée à
l’administration de la metformine:
(1243)
A. L’insuffisance cardiaque
B. L’hypocapnie
111
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
B. C’est une ulcération cutanée
généralement douloureuse
C. Les bords de la plaie sont durs,
irréguliers
D. Correspond à la tête du
premier métatarse
E. Représente une complication
macroangiopathique
E. Dans certaines situations, on
peut prendre en considération
le traitement chirurgical
161. La neuropathie diabétique: (1246)
A. Est une complication à terme
court du diabète sucré
B. Les mono-, les multinévrites
apparaissent plus souvent que
la polyneuropathie
C. Les troubles moteurs sont
exceptionnels et tardifs
D. L’affection apparaît, au début,
comme distale
E. Débute par des paresthésies et
des
dysesthésies
surtout
pendant la journée
165. Le traitement à l’insuline dans le
diabète de type 1: (1250)
A. Les insulines ultrarapides et
rapides couvrent les besoins
pendant un effort
B. Les insulines intermédiaires et
lentes couvrent les besoins
préprandiaux
C. Il faut concevoir le schéma
thérapeutique compte tenu des
objectifs et de l’accord du
patient
D. Les allergies, en tant qu’effets
secondaires,
n’apparaissent
que très rarement
E. Les cuisses et la zone lombaire
sont des zones d’absorption
lente de l’insuline
162. Ce sont des complications
macroangiopathiques du diabète
sucré dans l’adulte: (1247)
A. L’insuffisance valvulaire
B. L’insuffisance coronariene
C. L’affection des troncs supraaortiques
D. L’artériopathie des membres
supérieurs
E. L’infarctus du myocarde
166. Ce sont des objectifs du traitement
dans le diabète de type 2: (1251)
A. Diminuer l’excès de tissu
adipeux :
régime
hypolipidique,
hypoglucidique, hypocalorique
B. Augmenter
la
sensibilité
musculaire à l’insuline
C. Augmenter
la
sécrétion
d’insuline par administrer la
metformine
D. Encourager l’activité physique
afin d’augmenter la sensibilité
musculaire à l’insuline
E. Diminuer la dégradation du
glucagon
hépatique
par
administrer des glinides
163. Ce
sont
des
stades
de
l’artériopathie
des
membres
inférieurs, conformément à la
classification de Leriche: (1247)
A. Le 1er stade: claudication
intermittente
B. Le 4ème stade: douleur de
décubitus
C. Le 2ème stade: claudication
intermittente
D. Les stades 2 et 3 toujours
symptomatiques
E. Le 3ème stade : douleur de
décubitus
164. Les affirmations suivantes sur le
mal perforant plantaire chez les
diabétiques: (1248)
A. A la tendance de récidiver en
certaines conditions
167. Le suivi biologique dans le
management à long terme des
complications
microet
112
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
macroangiopathiques du diabète de
type 2: (1253)
A. Microalbuminurie – 1 fois par
semestre
B. Bilan lipidique – tous les 3
mois
C. Créatinémie – annuellement
D. Le calcul de la clearance de la
créatinine – tous les 6 mois
E. Glycémie veineuse à jeun –
annuellement
A. Déshydratation extracellulaire
par des pertes digestives
B. Insuffisance cardiaque
C. Insuffisance surrénale
D. Fibrose rétroperitonéale
E. Lithiase urinaire
171. Les affirmations suivantes sur la
néphropathie interstitielle aiguë
sont vraies: (1351-1352)
A. C’est la
cause
la
plus
fréquente d’insuffisance rénale
aiguë organique
B. On garde souvent la diurèse
C. Le plus souvent, on incrimine
un
mécanisme
immunoallergique
D. Les signes allergiques sont
constamment présents
E. On effectue systématiquement
la ponction-biopsie rénale
168. Ce sont des contre-indications de
la chirurgie bariatrique dans le cas
de l’obésité chez les adultes:
(1279)
A. Troubles cognitifs sévères
B. Troubles sévères et instables
de la conduite alimentaire
C. L’échec
d’un
traitement
médical,
nutritionnel,
diététique
ou
psychothérapeutique
correctement appliqué pendant
6-12 mois
D. Affections
périclitant
le
pronostic vital à terme court et
moyen
E. IMC > 40 kg/m2 ou IMC > 35
kg/m2 avec au moins une
comorbidité susceptible d’être
améliorée par la chirurgie
172. Sur les moyens thérapeutiques de
ralentir
la
progression
de
l’insuffisance rénale chronique il
est vrai que: (1355)
A. Le contrôle de la pression
artérielle et de la protéinurie se
fait, de préférence, avec des
diurétiques thiazidiques et des
bloquants des canaux de
calcium
B. On corrige l’anémie par
corriger
les
éventuelles
carences de vitamine D
C. Il est important de corriger une
éventuelle
acidose
métabolique
D. Le
contrôle
du
bilan
phosphocalcique peut se faire
par un régime limité en
phosphates en par administrer
des quelateurs du phosphate
E. On peut également corriger
une éventuelle anémie par
administrer
de
l’EPO
recombinée,
par
voie
intramusculaire
169. Le traitement de l’insuffisance
rénale aiguë de cause obstructive se
caractérise par: (1350)
A. Drainage urinaire seulement si
en cas de troubles de
conscience
B. Cathéter suprapubien en cas
d’obstacle supravésical
C. Prévention de l’hémorragie
vésicale a vacuo
D. Urgence chirurgicale en cas de
fièvre associée
E. Néphrostomie
en
cas
d’obstacle supravésical
170. Ce sont des causes d’insuffisance
rénale aiguë prérénale: (1351)
113
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
173. Ce
sont
des
règles
de
néphroprotection
dans
l’insuffisance rénale chronique:
(1356)
A. Le contrôle de l’apport de sel
supérieur à 6 g/jour
B. Le contrôle de la pression
artérielle < 140/90 mmHg
C. Cesser de consommer de
l’alcool
D. Suivi médical régulier – tous
les 3 mois, si la RFG est de 30
ml/min
E. Limiter l’apport de protéines
entre 0,8 et 1g/kg/jour
A. Il existe une prolifération
cellulaire mésangiale
B. C’est un groupe hétérogène de
glomérulopathies
C. Un syndrome néphrotique pur
apparaît typiquement
D. Peuvent être des formes
primaires ou secondaires
E. Un syndrome néphritique peut
apparaître
178. Sur la maladie des embolies à
cristaux de cholestérol il est vrai
que: (1368-1369)
A. Le traitement anticoagulant
peut être considéré comme une
étiologie
B. La symptomatologie apparaît
après un intervalle libre de trois
semaines après le facteur
déclenchant
C. Des myalgies et des douleurs
abdominales peuvent apparaître
D. L’hyperéosinophilie et
un
syndrome
inflammatoire
peuvent apparaître
E. En cas de fièvre, signes
généraux, il faut prendre en
calcul l’administration d’AINS
174. Ce sont des signes cliniques
d’urémie: (1357)
A. Crampes
B. Rarement:
péricardite
urémique
C. Prurit
D. Irritabilité
E. Diarrhée
175. Ce sont des indications absolues
pour initier l’épurement extrarénal:
(1357)
A. Hypovolémie qu’on ne peut
pas corriger avec des solutions
macromoléculaires
B. Acidose métabolique sévère
C. Hypokaliémie résistante au
traitement médical
D. Syndrome uricémique
E. Péricardite urémique
179. Ce sont des étiologies du
syndrome hémolytique-urémique:
(1369)
A. L’infection à E. coli O157:H7
B. La polyarthrite rhumatoïde
C. La sclérodermie
D. Le cancer
E. La néphropathie vasculaire
176. Ce sont des néphropathies
glomérulaires non-prolifératives:
(1365)
A. La néphropathie à IgA
B. Les LES
C. Le diabète
D. L’amyloïdose
E. Des vasculites à ANCA
180. Les
affirmations
suivantes
relatives à la néphroangiosclérose
maligne sont vraies: (1368)
A. Il
est
possible
que
l’encéphalopathie apparaisse
B. La rétinopathie hypertensive de
stade IV ou V est présente
C. Une insuffisance ventriculaire
droite avec HTAP apparaît
D. Est essentielle dans 50% des
cas
177. Les
glomérulonéphrites
membrano-prolifératives
se
caractérisent par: (1366)
114
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
E. L’hypokaliémie apparaît, entre
autres
l’hémostase secondaire, la voie
intrinsèque
C. TCA: l’hémostase primaire
D. Fibrinogène:
l’hémostase
secondaire, la voie commune
E. Thrombocytes:
l’hémostase
définitive
181. Du point de vue clinique, le
syndrome anémique se caractérise
par: (1376)
A. Dyspnée
B. Agitation
C. Raideur de la nuque
D. Souffle cardiaque systolique
dans le foyer mitral
E. Vertige
186. En cas de PT normal et TCA
prolongé, il s’agit de: (1383)
A. Un déficit de facteur VII
B. Un déficit de facteur XI
C. Coagulation
intravasculaire
disséminée
D. Administration d’AVK
E. Hémophilie B
182. Ce sont des causes de la carence
martiale: (1377)
A. Déficit de production de la
transférine
B. Saignement gynécologique –
spanioménorrhée
C. Saignements volontaires –
rarement
D. La maladie cœliaque
E. Symptomatologie digestive
187. Ce sont des complications
hématologiques dans le myélome
multiple: (1391)
A. L’anémie, une cause fréquente
étant le syndrome infectieux
B. Le syndrome d’ hyperviscosité
sanguine
C. Le syndrome hémorragique par
l’activité nti-X de l’amyloïdose
AL
D. Trombopathie
induite
par
l’hyperprotéinémie
E. La maladie de Willebrand
acquise
183. Ce sont des causes d’anémie
arégénérative normocytaire: (1378)
A. L’alcoolisme
B. La leucémie aiguë
C. Inflammation chronique
D. Myélodysplasies
E. Dysfonction thyroïdienne
184. On classifie les anémies: (13761378)
A. Réticulocytes < 150000/mm3 –
anémie arégénérative
B. Réticulocytes >= 100000/mm3
– anémie régénérative
C. VEM <= 80 fl – anémie
microcytaire
D. Hb ≤ 13g/dL chez la femme –
anémie
E. VEM > 80 fl – anémie
macrocytaire
188. Ce sont des critères diagnostiques
pour le myélome multiple: (1393)
A. La présence dans le sérum et/ou
dans l’urine d’une protéine
monoclonale (à l’exception
d’un myélome non-sécrétant)
B. La présence de l’un des critères
CRAB au moins
C. La
présence
d’une
plasmocytose médullaire <
10%
D. La présence d’une protéine
monoclonale dans le sérum >=
3g/100 ml
E. La présence de deux critères
CRAB sur cinq, au moins
185. Les examens essentiels pour
explorer l’hémostase sont : (1383)
A. Temps
de
saignement:
l’hémostase primaire
B. Temps
de
prothrombine:
115
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
189. Sur les critères CRAB il est vrai
que: (1393)
A. Il faut au moins trois critères
pour poser le diagnostic de
myélome multiple
B. La créatinine sérique > 173
mmol/L
C. Anémie à Hb < 2 g/dL par
rapport à la limite inférieure de
la valeur normale ou < 10 g/dL
D. Des
lésions
osseuses:
ostéocondensation, ostéophytes
marginaux, ostéoporose
E. Plasmocytose médullaire >
10%
192. Les facteurs suivants peuvent être
impliqués dans l’apparition du
cancer: (1427)
A. EBV
–
carcinome
nasopharyngien
B. HPV – cancers ORL
C. L’infection au virus de
l’hépatite VHB, VHC, VHD,
VHE
–
carcinome
hépatocellulaire
D. HHV8 – le sarcome de Kaposi
E. HTLV1, HTLV2 – leucémies
193. Les affirmations suivantes sur les
facteurs génétiques de risque sont
vraies: (1428)
A. Dans le syndrome Lynch 1 il
apparaît la mutation du gène
APC
B. La
mutation
des
gènes
BRCA1/BRCA2
détermine
l’apparition
du
cancer
mammaire et de l’endomètre
C. La NEM associe l’anomalie au
gène RET
D. Lynch 2 est un cancer de côlon
isolé
E. Le syndrome de Li-Fraumeni
associe la mutation au gène p53
190. Ce
sont
des
altérations
moléculaires impliquées dans la
carcinogenèse: (1422)
A. L’activation des voies de
transduction du signal, en
permettant la prolifération
cellulaire
B. Le potentiel d’immortalisation
avec
inactivation
de
la
télomérase
C. Potentiel de néoangiogenèse
D. L’indépendance par rapport aux
signaux de stimulation de la
croissance
E. La résistance à l’apoptose
194. Sur le diagnostic des leucémies
aiguës il est vrai que: (1434)
A. Les précurseurs médullaires
présentent un blocage de la
maturation dans un stade
immature (blastes)
B. Le
syndrome
tumoral
(coagulopathie) est présent
C. La LAM secondaire peut
apparaître à la suite de
l’évolution d’un syndrome
myélodysplasique
ou
myéloprolifératif
D. La LAM peut être de novo,
secondaire ou induite par des
cytoxiques et/ou radiothérapie
E. Le traitement spécifique vise :
les infections, les hémorragies,
la leucostase
191. Du point de vue histologique, les
cancers peuvent avoir les origines
suivantes: (1423)
A. Développés
à
partir
de
l’épithélium malpighien: cancer
des voies du tract urinaire
B. Les tumeurs mixtes ont le
pronostic
du
contingent
tissulaire avec la malignité la
plus élevée
C. Tumeurs
à
l’origine
neuroectodermique: gliomes
D. Tumeurs
à
l’origine
mésoectodermique:
neuroblastome
E. Carcinomes
épidermoïdes:
mélanomes
116
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
anomalies cytogénétiques à rôle
de pronostic et thérapeutique
E. Les marqueurs granulocytaires
sont CD41, CD42, CD61
195. Le diagnostic clinique des
leucémies aiguës vise: (1434)
A. Les signes cliniques spécifiques
sont:
anémie,
infections,
syndrome hémorragique
B. La prolifération blastique peut
avoir
les
localisations
suivantes: hépatique, méningée,
testiculaire
C. La fièvre est inconstante
D. L’hyperleucocytose blastique
n’a pas des signes cliniques que
lorsqu’elle est majeure
E. Les signes cliniques de la
leucostase sont respiratoires,
neurologiques
198. Sur la leucémie lymphoïde
chronique il est vrai que: (1436)
A. Le
début
est
lentement
progressif, apparaissant chez
les patients jeunes
B. Parmi
les
complications
infectieuses on compte la
pneumopathie
C. On fait le diagnostic différentiel
par rapport à la leucémie à
tricoleucocytes
D. Les lymphocytes B expriment
le plus souvent une chaîne
lourde de type IgM
E. Le myélogramme indique une
infiltration à leucocytes grandes
196. Dans le diagnostic paraclinique
des leucémies aiguës: (1434-1435)
A. L’hémmoleucogramme
est
toujours
anormal:
hyperleucocytose,
anémie
régénérative
B. L’immunophénotypisation peut
indiquer
des
marqueurs
myéloïdes
C. La
classification
morphologique des LAM: le
stade
monoblastique
LAM5b=différencié
D. La mise en évidence par PCR
des anomalies génétiques n’a
qu’un rôle de pronostic
E. La lyse tumorale associe la
LDH élevée
199. Le diagnostic des lymphomes
malins implique: (1438)
A. La détérioration de l’état
général : fièvre, transpirations
nocturnes, perte de poids
B. Syndrome
tumoral:
adénopathie, masse tumorale
lentement
progressive
(syndrome occlusif)
C. Les
proliférations
lymphomateuses
ne
se
produisent qu’au détriment du
tissu lymphoïde ganglionnaire
D. Les
localisations
extraganglionnaires
du
syndrome tumoral peuvent être:
digestives, ORL, dans le
médiastin
E. Le syndrome de veine cave
supérieure
représente
une
urgence
197. Sur les leucémies aiguës il est vrai
que: (1434-1435)
A. Les marqueurs érythrocytaires
sont: la glycophorine A, CD36
B. La mortalité immédiate par
hémorragie cérébroméningée
et/ou détresse respiratoire est
grande
C. L’état clinique peut être dominé
par un syndrome hémorragique
par
coagulopathie
de
consommation
D. L’immunofénotypisation a le
rôle de mettre en évidence les
200. Les
affirmations
suivantes
relatives aux lymphomes malins
sont vraies, A L’EXCEPTION DE:
(1438-1439)
A. Présentent
des
formes
ganglionnaires médiastinales
117
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
B. Le lymphome de Burkit
apparaît chez les enfants ou
chez les patients âgés
C. Les lymphomes B à grandes
cellules sont un groupe
homogène de LNH (lymphome
non Hodgkin)
D. Dans les lymphomes B à
grandes cellules n’apparaissent
pas
d’affections
extraganglionnaires
(digestives, ORL)
E. Le syndrome de lyse tumorale
conduit
à
la
libération
importante du phosphore
Score complément multiple: _____
SCORE TOTAL: _____ / 950
118
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
119
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
4. En ce qui concerne le tableau
clinique d’ischémie «critique» ou d’
«ischémie permanente chronique»
uniquement une variante est vraie:
(78)
A. La pression artérielle systolique
à la jambe de plus de 50 mm Hg
B. La pression artérielle systolique
à la cheville de moins de 50 mm
Hg
C. La pression artérielle systolique
à la cheville de plus de 30 mm
Hg
D. La pression artérielle systolique
à la jambe de moins de 50 mm
Hg
E. Aucune variante n’est correcte
QCM V
Tous les chapitres de la thématique de
l’internat
Auteurs:
Ovidiu
Mitu,
Dan-Mihai
Alexandrescu, Alexandru Lăcătuș, Cristian
Pristavu
COMPLÉMENT SIMPLE
1. L’éréthisme cardiaque représente:
(32)
A. La variation respiratoire du
rythme cardiaque au patient
neurotonique
B. Une cause vasculaire de la
lipothymie et de la syncope
C. La perception d’un coup
cardiaque intense, vigoureux,
rapide ou ectopique
D. La perception d’un coup
cardiaque intense et vigoureux,
sans être rapide ou ectopique
E. Symptomatologie
qui
correspond aux palpitations
5. Le traitement alternatif au patient
coronarien stable en cas de contreindication ou de mauvaise tolérance
clinique au bêta-bloquants se fait
avec: (66)
A. Bivalirudine
B. Ivabradin
C. Autres bêta bloquants
D. Aspirine
E. Irbesartan
2. Le traitement de première intention
d’une crise aiguë hypertensive ou de
la HTA maligne se réalise avec:
(57)
A. Les dérivés nitrés
B. La nicardipine
C. Des alpha bloquants (Uralpidil)
D. Labétolol
E. Furosémide
6. Les agents microbiologiques qui
provoquent des formes aiguës,
emboligènes d’endocardite sont:
(97)
A. Les staphylococcus aureus et
epidermidis
B. Les bacilles gram négatifs
C. Les streptocoques déficients
D. Les entérocoques faecium ou
faecalis
E. Les germes atypiques et/ou
intracellulaires: Coxiella burneti,
Brucella, Clamidia, micoplasme,
Bartonella
3. La fréquence maximale théorique se
calcule selon la formule suivante:
(65)
A. 200 – âge
B. 220 - âge
C. 185 - âge
D. FMT= 185 coups/ minute quel
que soit l’âge
E. FMT= 140 coups/min
7. Le traitement d’élection en cas de
prolapsus valvulaire pur consiste en:
(115)
A. Plastie mitrale
B. Traitement médical
120
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
C. Remplacement valvulaire par
bio prothèse
D. Intervention Bentall
E. L’intervention chirurgicale n’est
pas recommandée
11. Ci-dessous il y a des indications
d’emploi des thrombolytiques, À
L’EXCEPTION DE: (127-128)
A. La thrombose occlusive de la
prothèse valvulaire au cas des
patients
avec
un
risque
opératoire élevé
B. L’infarctus
du
myocarde
diagnostiqué pendant les 90
premières minutes
C. L’embolie
pulmonaire
compliquée
avec
choc
hémodynamique
D. L’occlusion
d’un
cathéter
veineux central avec chambre
E. AVC ischémique en phase
aiguë,
respectant
certaines
contre-indications
8. Laquelle
des
investigations
suivantes
constitue
l’examen
fondamental qui confirme le
diagnostic, l’étiologie et évalue la
sévérité de la sténose aortique:
(117)
A. L’échographie
cardiaque
transthoracique
B. L’échographie
cardiaque
transoesophagienne
C. Le cathétérisme cardiaque
D. L’échographie avec dobutamine
en doses petites
E. L’ECG
12. Selon la durée et l’évolution d’un
accès de fibrillation atriale, on parle
de la FiA persistante lorsque: (38)
A. L’accès ne se réduit qu’à l’aide
d’une cardioversion
B. L’accès se réduit spontanément
en moins d’une semaine
C. On ne peut pas effectuer ou on
ne désire pas la réduction
D. Son étiologie est idiopathique
E. L’accès se réduit spontanément
en plus d’une semaine
9. Le traitement pharmacologique de
l’insuffisance cardiaque systolique
NE se fait PAS avec des: (90)
A. Diurétiques
B. Bêta bloquants (carvedilol,
bisoprolol)
C. Digitaliques
D. Anti-coagulants (antivitamines
K)
E. Anti-arythmiques de classe I.
10. En ce qui concerne l’étiologie
tuberculeuse de la péricardite, les
affirmations suivantes sont vraies, À
L’EXCEPTION DE: (106)
A. Représente une étiologie rare
B. La présentation insidieuse avec
évolution peu bruyante d’un
débordé important
C. Apparaît d’habitude sur un
terrain immunodéprimé, patient
avec transplant
D. Le traitement anti-tuberculeux
est effectué pour 1 année, les
corticoïdes ne nous intéressent
pas
E. Complique une tuberculeuse
pulmonaire
13. La douleur thoracique aiguë du
type élancement apparaît dans: (59)
A. L’angine de poitrine
B. La dissection aortique
C. La péricardite
D. L’affectation pleurale
E. Le spasme œsophagien
14. Dans l’asthme bronchique chez
l’adulte, DEP ou VEMS de plus de
80% des valeurs anticipées est
rencontré: (155)
A. seulement dans le 1er stage
B. seulement dans le 2ème stage
C. 3ème stage
D. 4ème stage
E. 1er et 2ème stage
121
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
15. Le suivant N’EST PAS un signe
d’alarme qui impose une ventilation
mécanique à un patient avec BPOC
(164):
A.
troubles de conscience
B.
épuisement respiratoire
C.
PaO2< 60 mmHg
D.
PaCO2> 70 mmHg
E.
Absence de l’amélioration
rapide
malgré
l’oxygénothérapie
19. Le traitement symptomatique en
choc se fait dans le but d’obtenir:
(221)
A. une pression artérielle systolique
> 100 mmHg
B. une
pression
artérielle
diastolique > 65 mmHg
C. une fréquence cardiaque >
65/min
D. une pression artérielle moyenne
> 65 mmHg
E. une pression artérielle moyenne
< 65 mmHg
16. Le traitement de l’abcès pulmonaire
se réalise avec: (171)
A. Amoxicilline 1g/8h
B. Amoxicilline 1g/8h + acide
clavulanique
C. Cephtriaxone
1g/24h
+
fluoroquinolones actives sur le
pneumocoque
D. Cephotaxime
1g/8h
+
érithromicine i.v. 1g/6h
E. Imipenem + vancomicine
30mg/kgc/jour
20. Un patient qui présente un
syndrome pyramidal bilatéral, rire
et pleurs spasmodiques, troubles de
phonation et de déglutition, marche
avec de petits pas, troubles
sphinctériens et démence pourrait
avoir un: (252)
A. syndrome de Wallenberg
B. syndrome alterne
C. syndrome cérébelleux
D. infarctus lacunaire
E. syndrome pseudobulbaire
17. La base du traitement dans le cancer
broncho-pulmonaire
avec
des
cellules petites est représentée par:
(199)
A. La chirurgie
B. La radiothérapie
C. La chimiothérapie
D. L’hormonothérapie
E. Le géfitinib
21. Le
traitement
dans
le
neuropaludisme se fait avec: (292)
A.
quinine
B.
acyclovir i.v. 10 mg/kg x
3/jour, 21 jours
C.
acyclovir p.o. 10 mg/kg x
3/jour, 21 jours
D.
oseltamivir
E.
quinidine
18. L’une des variantes suivantes NE
fait PAS partie des explorations qui
visent la confirmation du diagnostic
dans l’embolie pulmonaire: (211)
A. La radiographie thoracique
B. La scintigraphie pulmonaire de
ventilation /perfusion
C. L’angiographie pulmonaire
D. L’angio-CT en spirale des
artères pulmonaires
E. L’échographie veineuse des
membres inférieurs
22. Le diagnostic de chlamydiose
s’établit par: (332)
A.
PCR,
B.
Examen microscopique
direct
C.
Culture sur un milieu
spécifique, car la bactérie se
développe difficilement
D.
Culture sur des milieux
habituels
E.
Sérologie,
très
appropriée pour le diagnostic
des formes communes
122
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
A.
23. L’antibiothérapie
empirique,
indiquée surtout dans la diarrhée
ayant un aspect invasif, se fait avec:
(407)
A. quinolone i.v.
B. ampicilline ± métronidazole en
cas de tableau clinique sévère
ou présomption de parasitose
C. quinolone p.o. ± métronidazole
en cas de tableau clinique
sévère ou présomption de
parasitose
D. ampicilline ± aminoglycoside
en cas de tableau clinique
sévère ou présomption de
parasitose
E. macrolide au cas d’une
présomption de diarrhée avec
Campylobacter jejuni
B.
C.
D.
E.
monothérapie
avec
interféron pégylé pour une
année
monothérapie
avec
interféron pégylé pour 12
semaines, suivie par une
quantification de la virémie afin
d’établir si l’on continue le
traitement jusqu'à une année
bithérapie interféron +
ribavirine
entécavir ou ténofovir
lamivudine
26. Laquelle des variantes suivantes NE
représente
PAS
un
examen
complémentaire qui contribue à
l’exclusion
d’un
diagnostic
différentiel de l’encéphalopathie
hépatique? (464)
A.
La glycémie
B.
L’ECBU
C.
L’alcoolémie
D.
Le
bilan
hydroélectrolytique
systématique
E.
Le CT cérébral
24. L’artériographie
coeliomésentérique est indiquée dans:
(428)
A.
L’hémorragie
digestive
supérieure, si l’hémorragie
persiste et est abondante
B.
L’hémorragie
digestive
inférieure, avec coloscopie
normale, qui persiste, mais qui
est peu abondante
C.
L’hémorragie
digestive
inférieure, avec coloscopie
normale,
si
l’hémorragie
persiste et est abondante
D.
L’hémorragie
digestive
inférieure,
même
si
la
coloscopie identifie une source
de saignée, car il y a la
possibilité
de
certaines
hémorragies synchrones au
niveau de l’intestin grêle
E.
L’hémorragie digestive quel
que soit le siège
27. Lequel est un traitement non curatif
du carcinome hépatocellulaire:
(483)
A. Le transplant hépatique
B. La résection chirurgicale
C. Sorafénib
D. La destruction locale
E. La vaccination anti-VHB
28. La position anatomique la plus
fréquente de l’appendice est: (499)
A. Pelvienne
B. Rétrocaecale
C. Mésocoeliaque
D. Latérocaecale
E. Sous hépatique
25. Pour un patient avec cirrhose
survenue après une hépatite
chronique virale B au cadre de la
stratégie thérapeutique, l’on préfère
toujours: (452)
29. La principale complication
hernies est: (505)
A. L’infection
B. La strangulation
C. L’iléus réflexe
123
des
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
D. L’hémorragie digestive
E. L’ictère
34. Caractéristique
du
papillome
intracanalaire: (602)
A. Est une tumeur maligne
B. On ne réalise pas des
explorations
diagnostiques
d’imagerie
C. Détermine de temps en temps
galactorrhagie
D. Se développe du tissu adipeux
du sein
E. On indique l’immunothérapie
en cas de supra expression de
HER2
30. La triade de Charcot représente:
(512)
A. Cholestase + cytolyse +
syndrome inflammatoire
B. Fièvre + défense abdominale +
vomissements
C. Douleur biliaire + choc +
aérobilie
D. Douleur biliaire + fièvre +
ictère
E. Ictère + cholestase + syndrome
inflammatoire
35. Le traitement de fonds de référence
dans la polyarthrite rhumatoïde
c’est: (630)
A. Leflunomide
B. Adalimumab
C. Rituximab
D. Sulfasaline
E. Métotrexat
31. Le signe associé à la pré-éclampsie
sévère est: (525)
A. La diurèse > 40 ml/h
B. La protéinurie < 1 g/zi
C. Les douleurs précordiales
D. La thrombocytose
E. La céphalée persistante
36. Au
cas
d’une
fracture
ostéoporotique
vertébrale,
le
traitement doit être initié si le score
T est: (639)
A. < -2,5
B. < -1
C. > 1
D. < -2,5 + d’autres fractures
ostéoporotiques
E. > -1
32. Une femme se présente devant vous
avec soupçon de grossesse extrautérine. Elle a 7 semaines
d’aménorrhée, le hCG est 2500 UI/l,
la progestérone est 8 ng/ml, les
douleurs
abdominales
sont
spontanées, l’hématosalpinx est de 2
cm, l’hémopéritoine a 0 ml. Quel
est le score de Fernandez de cette
patiente? (535)
A. 12
B. 13
C. 14
D. 15
E. 16
37. Quel est l’élément principal du
tableau clinique de l’otite externe?
(718)
A. L’otorrhée
B. La fièvre
C. L’hypoacousie
D. L’otalgie
E. Le tinitus
33. Quelle
affirmation
sur
la
menstruation est vraie? (559)
A. Le sang est coagulable
B. Dure 3 jours au maximum
C. Le cycle menstruel a 6 phases
D. La
première menstruation
s’appelle ménarche
E. Les menstruations cycliques
apparaissent après la puberté
38. En ce qui concerne l’anxiété de
séparation, il est vrai que: (920)
A. La conduite de prévention
disparaît à la maturité
B. Survient après un événement
traumatisant
C. Apparaît après la puberté
124
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
D. Affecte surtout les adultes
E. Le trouble ne peut
exacerber
D. On indique la ponction-biopsie
rénale des zones ischémiques
décelées
par
échographie
Doppler
E. Il y a un risque minimal de
transformation maligne des
zones faiblement perfusées
pas
39. En ce qui concerne la classification
des cancers, il est vrai que: (14231425)
A. Les marqueurs tumoraux ont
une valeur pour le pronostic
selon leur niveau
B. La classification de Breslow
prend en calcul la surface de la
peau envahie par le mélanome
C. Pour les tumeurs germinales, la
valeur LDH aide à établir un
diagnostic et un pronostic
D. Les carcinomes épidermoïdes
se développent de l’épithélium
de transition
E. Le neuroblastome et le
néphroblastome
sont
des
tumeurs ayant une origine
ectodermique
42. Il est FAUX sur la surveillance au
cas des tumeurs de testicule que:
(1331)
A. Du point de vue clinique, il est
important
d’instituer
l’autopalpation du testicule sur
lequel la tumeur est localisée
B. On poursuit le niveau des
marqueurs sériques
C. On effectue le CT thoracoabdomino-pelvien
D. Il est important de poursuivre le
testicule controlatéral
E. On vise les complications de la
chimiothérapie
40. Il est FAUX sur l’anémie et sur le
traitement de la carence martiale:
(1378)
A. L’on administre fer per os pour
4 mois
B. Les douleurs abdominales
peuvent être une complication
du traitement
C. L’efficacité du traitement se
poursuit par le dosage de la
transferrine
D. L’érythroblastopénie représente
une
cause
d’anémie
arégénérative normocitaire
E. L’inflammation chronique peut
causer une anémie microcytaire
43. Dans les infections urinaires chez
l’adulte: (1287-1291)
A. Il est important de traiter un
facteur favorisant en cas de
cystite aiguë simple
B. L’âge de moins de 55 ans est
un facteur de risque pour la
pyélonéphrite aiguë
C. La prostatite aigue évolue avec
fièvre souvent modérée
D. Dans
le
traitement
des
infections urinaires associées à
la grossesse, l’on utilise des
béta-lactamines
E. La constipation est un facteur
de risque pour les infections
urinaires nosocomiales
41. Caractéristique de l’occlusion aiguë
de l’artère rénale: (1369)
A. Apparaît une HTA aiguë
B. On enregistre l’augmentation
du CPK-MB
C. Parmi les symptômes, l’on
décrit une insuffisance rénale
aiguë
avec
hématurie
microscopique
44. Les
complications
de
la
thyroïdectomie sont: (1217)
A. L’embolie graisseuse
B. L’hypercalcémie temporaire
C. Le pneumo médiastin
D. La crise aiguë thyrotoxique
E. La paralysie vagale bilatérale
125
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
45. Au cas d’un nodule thyroïdien:
(1218-1220)
A. La scintigraphie n’est pas
indiquée si TSH est normal ou
bas
B. Les
nodules
suspects
apparaissent hyperéchogènes à
l’échographie thyroïdienne
C. La dyspnée associée traduit la
compression du nerf laryngé
récurrent
D. Le kyste du canal de
l’hypoglosse est un diagnostic
différentiel
E. La thyrocalcitonine doit être
dosée de manière systématique
absente pour la dermatophytose
avec Microsporum
D. Le
traitement
avec
antifungiques locaux se fait
pour une durée de 1-8 semaines
E. Les
plaques
de
la
dermatophytose de la peau
glabre
sont
faciles
à
différencier
de
l’eczéma
nummulaire
48. Les risques de la radiographie sont:
(1149)
A. L’examen invasif, au cas de
l’artériographie
B. Dépendante de l’opération
C. Radioactivité
D. Coût élevé
E. Dissection artérielle, en cas
d’artériographie
46. Il est vrai sur l’obésité aux adultes
que: (1276-1279)
A. La glycémie à jeun, la
créatinémie et l’EGC en repos
sont
des
examens
complémentaires systématiques
B. Le syndrome prémenstruel est
une complication endocrine
C. Le bypass gastrique est une
technique
chirurgicale
réversible
D. Dans l’évaluation du patient
obèse,
il
est
important
d’investiguer les antécédents de
pathologies cardiométaboliques
(diabète,
dislipidémies,
hypotension artérielle)
E. La gastroplastie avec anneau
ajustable peut avoir comme
conséquence le syndrome de
Dumping
49. Dans le lupus érythémateux
disséminé: (1138-1141)
A. L’affectation hématologique en
tant que critère ACR suppose
une leucopénie < 1,5 G/L
constatée 2 fois
B. Les arthralgies et les arthrites
affectent
surtout
les
articulations
grandes
(la
hanche, l’épaule)
C. Les
anticorps
antiphospholipides
sont
obligatoirement recherchés
D. Le traitement LED est basé
premièrement
sur
l’
hydroxychloroquine,
un
immunomodulateur
immunosuppresseur
E. Le purpura rhumatoïde peut
être pris en considération
comme diagnostic différentiel
chez l’adulte âgé
47. Il est vrai sur les dermatophytoses
que: (1171-1172)
A. Le kérion est une teigne
suppurée, issu à cause d’une
réponse immune déficitaire de
la hôte
B. La dermatophytose angulaire
comprend l’onychomycose et
l’onychie secondaire
C. L’examen avec la lampe de
Wood montre une fluorescence
50. Sont des convulsions occasionnelles
chez le nourrisson et chez l’enfant:
(1080)
A. Les
intoxications
endogéniques: le syndrome de
sevrage
126
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
B. Des
troubles
hydro
électrolytiques: hypoglycémie/
hypercalcémie
C. Traumatiques:
hématome
épidural
D. Vasculaires: AVC chez le
nourrisson
E. Infectieuses: l’adénovirus
E. Les valves et les cordages sont
épais, calcifiés et rétractés
54. L’antibioprophylaxie aux patients
avec endocardite peut se faire avec:
(103)
A. Amoxicilline 2 g per os dans
l’heure suivant un geste
dentaire avec un risque élevé
B. Amoxicilline 2 g per os dans
l’heure qui précède un geste
dentaire avec un risque élevé
C. Clindamycine 600 mg per os
dans l’heure qui précède un
geste dentaire avec un risque
élevé
D. Triamfenicol 600 mg per os
dans l’heure qui précède un
geste dentaire avec un risque
élevé
E. Ceftriaxone 1g per os dans
l’heure qui précède un geste
dentaire avec un risque élevé
Score complément simple: _____
COMPLÉMENT MULTIPLE
51. La dyspnée classe III NYHA se
caractérise par: (86)
A. Limitation franche des activités
B. Dyspnée à la suite des efforts
physiques importants
C. Sans gêne de repos
D. Les
symptômes
peuvent
apparaître en repos
E. Incapacité
d’effectuer
une
activité physique sans des
symptômes
55. Le régime hygiéno-diététique de
l’insuffisance cardiaque suppose les
mesures suivantes: (89)
A. Régime strict sans du sel
B. Activité physique modérée
C. Diminution de la consommation
d’alcool
D. Restriction hydrique en cas de
hypo natrémie de dilution
E. Vaccination antigrippale, antipneumococique
52. Le syndrome de Laubri et Pezzi
associe les modifications suivantes:
(108)
A. Insuffisance aortique
B. Communication inter atriale
C. Communication
inter
ventriculaire
D. Insuffisance mitrale
E. Sténose mitrale
53. Quelles variantes, en ce qui
concerne l’étiologie dystrophyque
de l’insuffisance mitrale, sont
vraies: (112)
A. On l’appelle aussi la maladie de
Mönckeberg
B. Pathologie fréquente, affecte les
femmes âgées
C. La dégénérescence myxoïde des
valves qui s’épaississent et
deviennent redondantes
D. Les valves prolabent dans
l’atrium gauche, les cordages
sont allongées
56. L’insuffisance mitrale chronique
peut avoir les étiologies suivantes:
(112)
A. Dégénérative
B. Dystrophique: syndrome
de
Marfan
C. Fonctionnelle
D. Maladies
de
système:
Sclérodermie
E. Ischémique
57. Les principes de traitement au cas
de la rupture des varices des
membres
inférieurs
et
de
127
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
l’apparition de l’hémorragie sont:
(122)
A. Les médicaments veinotoniques
B. L’intervention chirurgicale avec
la sclérose des varices
C. L’élévation du membre affecté
D. Pansement compressif
E. Crénothérapie
E. Transmission aux ventricules
2/1, 3/1, 4/1… de temps en
temps de manière variable
61. Le rythme jonctionnel se caractérise
par
les
modifications
éléctrocardiographiques suivantes:
(35)
A. Bradycardie jonctionnelle par
paralysie sinusale: onde P≤QRS
B. Tachycardie jonctionnelle: QRS
aiguës rapides et régulières 140220/min
C. Bradycardie jonctionnelle par
bloc atrioventriculaire: onde P≤
QRS
D. Tachycardie
jonctionnelle:
Ondes P rétrogrades (négatives
dans les dérivations inférieures),
qui succèdent QRS
E. Tachycardie jonctionnelle: QRS
larges lentes et régulières
58. Les hyperaldostéronismes primaires
se caractérisent par: (56)
A. Représentent une cause d’HTA
secondaire
B. Comme
mécanisme
physiopathologique
apparaît
l’augmentation de la production
d’aldostérone avec l’inhibition
de la sécrétion de rénine
C. La natrémie reste normale
D. L’une des causes est donnée par
l’hyperplasie bilatérale des
surrénales (le syndrome de
Conn)
E. Il faut effectuer le diagnostic
différentiel
avec le pseudohyperaldostéronisme induit par
la glycyrhhizine
62. La cardioversion immédiate au cas
de la fibrillation atriale se fait dans
les situations suivantes: (40)
A. FiA non compliquée sur un
coeur sain et datant de moins de
24-48 heures
B. FiA chez un patient déjà
correctement anti-coagulé
C. FiA chez le patient jeune
D. FiA pauvrement tolérée qui
justifie
une
conversion
d’urgence (choc cardiogénique)
E. Seulement s’il s’agit de FiA
paroxistique
59. Dans lequel des types suivants
d’effort peut apparaître la syncope
réflexe: (27)
A. Miction
B. Défécation
C. Eternuement
D. Digestion
E. Toux
60. La fibrillation atriale se caractérise
par: (30)
A. De multiples micro-rentrées
dans les deux atria
B. Tachycardie
irrégulière
à
l’exception du BAV du IIIeme
degré surajouté
C. QRS aigues, à l’exception du
bloc de branche fonctionnel ou
organique
D. Sans activité atriale organisée
ou régulière
63. Lesquelles
des
affirmations
suivantes concernant BAV 2 sont
vraies: (41-42)
A. Apparait le ralentissement de la
direction dans tout étage (nodal,
hisien, infrahisien), qui est
responsable de l’obstruction de
l’une ou de plusieurs ondes P
par intervalles
B. En BAV du type Wenckebach
apparaît
l’obstruction
par
intervalles de l’onde P tandis
128
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
modification des règles hygiénodiététiques, l’administration des
médicaments qui augmentent la
TA et la surcharge volémique
E. HTA résistante ne peut pas
apparaître chez un patient qui
présente apnée pendant le
sommeil
que les intervalles PR ont une
durée constante
C. En BAV du type Mobitz, les
ondes P sont bloquées après
l’extension
progressive
de
l’intervalle PR
D. BAV
2
est
rarement
symptomatique isolé
E. Le
siège
du
bloc
est
fréquemment nodal dans le type
Wenckebach et surtout distal
dans les formes Mobitz
66. Les médicaments recommandés
dans le traitement de l’hypertension
artérielle pendant la grossesse sont:
(55)
A. Méthyldopa
B. Labétalol
C. Inhibiteurs calciques
D. Béta bloquants
E. IEC (ARA II s’il y a une
intolérance à IEC)
64. Les valeurs tensionnelles suivantes
s’encadrent dans la HTA légère –
Ier degré: (52)
A. TAs: 140 mm Hg, TAs: 95 mm
Hg
B. TAs: 160 mm Hg, TAs: 99 mm
Hg
C. TAs: 155 mm Hg, TAs: 90 mm
Hg
D. TAs: 180 mm Hg, TAs: 105 mm
Hg
E. TAs: 135 mm Hg, TAs: 85 mm
Hg
67. Quelles affirmations sont vraies, en
ce qui concerne le dosage des DDimères dans le bilan para clinique
de la douleur thoracique aiguë ou
chronique: (61)
A. C’est une modalité de diagnostic
très sensible
B. Présente une spécificité baisse, à
cause de nombreux résultats
faussement négatifs
C. Se réalise si l’on soupçonne une
embolie pulmonaire
D. Se réalise si l’on soupçonne une
phlébite
E. Un résultat négatif exclue le
diagnostic
d’embolie
pulmonaire ou de phlébite
65. Lesquelles
des
affirmations
suivantes concernant l’hypertension
artérielle résistante sont FAUSSES:
(55)
A. HTA résistante représente un
échec de la baisse de la TA sous
des mesures hygiéno-diététiques
associées à une trithérapie antihypertensive dont un diurétique
de l’anse
B. HTA résistante représente un
échec de la baisse de la TA sous
des mesures hygiéno-diététiques
associées à une trithérapie antihypertensive dont un inhibiteur
de l’enzyme de conversion de
l’angiotensine
C. HTA résistante doit être
distinguée d’une éventuelle
HTA secondaire non élucidée
D. Dans le cas de la HTA résistante
il faut prendre en discussion
l’éventuel
non-respect
ou
68. La dissection aortique se caractérise
par: (62)
A. Le traitement indiqué est
chirurgical d’urgence dans les
dissections du type B (sans
affecter l’aorte ascendante) car
le taux de mortalité spontanée
est de 1% par heure
B. Apparaît en cas de syndrome de
Marfan, grossesse ou HTA
C. Le traitement indiqué est
médical dans les dissections du
129
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
type A (avec l’affectation de
l’aorte ascendante) et consiste
dans le contrôle optimal de la
tension
±
traitement
endovasculaire
D. Il est important d’apprécier
l’extension
aux
coronaires
(infarctus), la valve aortique (IA
aigue), au péricarde, à l’aorte
abdominale et à ses branches
E. Le diagnostic est confirmé par
échographie
cardiaque
transoesophagienne et/ou par
angioscanner
70. Les modifications évolutives de
l’électrocardiogramme
qui
apparaissent dans l’infarctus du
myocarde sont: (69)
A. Au début, apparaît l’onde Q
associée à la supra irrégularité
du segment ST
B. L’onde Q de nécrose apparaît
vers la sixième heure et baisse
en parallèle avec la régression
de la supra irrégularité du
segment ST
C. Après la normalisation du
segment ST, l’onde T est
inversée, puis elle se répositivise
(de temps en temps de manière
incomplète) en 6 semaines
D. L’infarctus semi récent est
défini sur l’ECG par une onde Q
profonde associée à une supra
irrégularité mineure de la ST
E. L’onde Q de nécrose apparaît le
quatrième jour et baisse en
parallèle avec la régression de la
supra irrégularité du segment ST
69. Lesquelles
des
affirmations
suivantes
concernant
la
revascularisation percutanée par
angioplastie
associée
à
l’implantation de stent, au cadre de
la gestion thérapeutique de l’angine
de poitrine et de l’infarctus sont
vraies: (66-67)
A. Cette méthode est proposée aux
lésions
coronaires
techniquement
accessibles
(encore plus facilement si la
lésion est plus courte, régulière
et proximale), responsable d’une
ischémie
B. Les stents actifs ont un risque
réduit de thrombose de stent
C. La
bithérapie
aspirineclopidogrel doit être suivie pour
une année pour les stents actifs,
respectivement un mois pour les
stents inactifs
D. La détection de la resténose
coronaire se fait par contrôle
coronarographique systématique
E. Chez le patient coronarien
stable, avec affectation monoou bitronculaire, le traitement
médical optimal associé au
contrôle des facteurs de risque
cardio-vasculaires donne des
résultats aussi bons que
l’angioplastie coronarienne
71. Sur l’anévrisme d’aorte abdominale
(AAA), les affirmations suivantes
sont vraies: (75-77)
A. Du point de vue clinique, l’on
met en évidence une masse
abdominale ou rétro péritonéale
non
pulsatile,
expansive,
indolore avec souffle, latéralisée
à droite
B. Du point de vue clinique, le
signe De Bakey traduit la
position
sous
rénale
de
l’anévrisme
C. Le diagnostic para clinique
inclue uniquement la réalisation
d’une échographie abdominale
et de l’aortographie
D. La colite ischémique peut
apparaître
comme
une
complication du traitement
chirurgical
E. Les complications de l’AAA
peuvent être: la rupture, les
130
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
D. Insuffisance aortique aiguë
E. Hypertension artérielle
compressions, les embolies et la
greffe bactérienne
72. Les
pathologies
suivantes
constituent des agents étiologiques
de
l’artériopathie
chronique
oblitérante des membres inférieurs:
(77)
A. L’athérosclérose en 90% des cas
B. La maladie de Horton
C. Les collagénoses
D. La maladie de Behçet
E. La thrombangéite de Buerger
76. Des facteurs cliniques de pronostic
négatif de l’insuffisance cardiaque
systolique sont: (89)
A. La vieillesse
B. La cardiopathie ischémique
C. Le stage III/IV NYHA
D. Perte involontaire du poids
E. Anémie
77. Lesquelles
des
informations
suivantes concernant l’insuffisance
cardiaque
diastolique
sont
FAUSSES: (91)
A. L’étiologie peut être représentée
par la péricardite constrictive
B. Du
point
de
vue
physiopathologique, nous avons
un
tableau
d’insuffisance
cardiaque qui résulte d’une
augmentation de la résistance au
remplissage ventriculaire et qui
mène à des signes congestifs
pulmonaires
C. La fonction systolique du
ventricule gauche peut être
baisse (FEVG<40%)
D. Le traitement est différent de
celui de l’insuffisance cardiaque
systolique
E. La radiographie pulmonaire met
en évidence la présence de la
cardiomégalie
73. Du
point
de
vue
physiopathologique,
l’ischémie
aiguë des membres provoque les
modifications suivantes: (81)
A. Acidose respiratoire
B. Alcalose métabolique
C. Lyse cellulaire (rabdomiolyse,
nécrose tubulaire aigue)
D. Hyperkaliémie
E. Acidose métabolique
74. Les
affirmations
suivantes
caractérisent le syndrome
de
Dressler: (72)
A. Péricardite avec arthralgies et
syndrome inflammatoire
B. Péricardite apparue tardivement,
en 3 semaines après un infarctus
du myocarde
C. Péricardite précoce après un
infarctus du myocarde
D. Evolution simple sous des antiinflammatoires
E. Représente une complication
mécanique précoce de l’
infarctus du myocarde
78. Caractéristiques aux complications
qui peuvent apparaître aux porteurs
de valves et de prothèses vasculaires
ce sont les affirmations: (94-95)
A. La thrombose des prothèses
représente une complication
fréquente qui apparait surtout
aux prothèses mécaniques
B. Les endocardites se divisent en:
précoces (<1 an suivant la
chirurgie) et tardives (>1 an
suivant la chirurgie)
75. Dans l’insuffisance ventriculaire par
des troubles de la fonction pompe,
uniquement la surcharge de volume
apparait en cas de: (85)
A. Hyperthyroïdisme
B. Insuffisance mitrale aigue
C. Communication
inter
ventriculaire congénitale ou
acquise
131
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
C. Les accidents hémorragiques
sous AVK visent surtout les
porteurs de valves mécaniques
D. L’hémolyse extracorpusculaire
mécanique
est
considérée
physiologique si LDH<2N
E. Les désinsertions de prothèse
sont confirmées par échographie
cardiaque trans-thoracique et
transoesophagienne
remplacement de la valve aortique
aux patients asymptomatiques:
(119)
A. La sous-irrégularité ST marquée
(>2mm)
B. L’impossibilité de toucher 80%
de l’FMT
C. L’apparition de la bradycardie
D. Arythmie ventriculaire (TV>4
ESV consécutives)
E. Faible
augmentation
(<20mmHg) ou baisse de la TAs
à l’effort
79. On classifie dans le groupe B de
cardiopathies avec un risque moins
élevé d’endocardite infectieuse: (97)
A. Les valvulopathies: Insuffisance
aortique,
Sténose
aortique,
Insuffisance mitrale
B. La bicuspidie aortique
C. Les antécédents de plastie
mitrale
avec
implantation
d’anneau prothétique
D. Les cardiopathies congénitales
cyanogènes
non
opérées
(tétralogie de Fallot)
E. La cardiomyopathie obstructive
83. La thrombocytopénie du Type 1
induite par l’héparine se caractérise
par: (125)
A. La conduite à suivre suppose la
continuation de l’administration
d’héparine et le dosage des
thrombocytes de 3 en 3 jours
B. Apparaît entre le 2-eme et le 5eme jour
C. Est fréquemment progressive et
bénigne
D. L’administration de l’héparine
est arrêtée et l’on continue avec
AVK
E. A
comme
mécanisme
d’apparition
l’agrégation
plaquettaire
80. Le bilan clinique du patient avec
endocardite infectieuse peut mettre
en évidence les signes périphériques
suivants: (98)
A. Faux panaris d’Osler
B. Nodules Roth au fonds d’œil
C. Hépatomégalie
D. Splénomégalie
E. Erythème noueux
84. Des signes d’insuffisance cardiaque
chez l’enfant plus grand sont:
(1123)
A. La douleur thoracique
B. Les palpitations
C. La dyspnée d’effort
D. Les difficultés de succion
E. La syncope
81. Sont des étiologies rares de la
péricardite aigue: (106)
A. L’infection tuberculeuse
B. La pancréatite aiguë
C. La polyarthrite rhumatoïde
D. Le
lupus
érythémateux
systémique
E. L’infection avec l’adénovirus,
VIH
ou
l’entérovirus
(coxsackie, écho virus)
85. Les œdèmes bilatéraux d’un patient
avec dénutrition protéique sévère
nécessite
la
réalisation
des
investigations
para
cliniques
suivantes: (1346)
A. Le dosage des protéines
B. Le dosage de l’albumine
82. Lesquelles
des
modifications
survenues sur l’ECG d’effort sont
des
indications
pour
le
132
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
C. La détection de la protéinurie
par l’usage de la bandelette
urinaire
D. Le
dosage
de
la
pré
albuminémie
E. Le dosage de la transferrine
D.
patient
insuffisance
chronique
E.
grossesse
avec
respiratoire
90. La rhinite intermittente modérée à
sévère se caractérise par: (148)
A.
symptômes < 4 jours par
semaine
B.
symptômes > 4 semaines
C.
sommeil perturbé
D.
activités sociales et de
récréation normales
E.
symptômes gênants
86. Lesquelles
des
pathologies
suivantes constituent des indications
d’emploi
des
diurétiques
osmotiques: (141)
A. L’hypertension artérielle
B. Les œdèmes cérébraux
C. L’hypertension oculaire aiguë
D. L’insuffisance rénale
E. Le mal des montagnes
91. Si un patient avec asthme
bronchique présente des symptômes
quotidiens, symptômes d’asthme
nocturne > 2 fois par mois, emploi
quotidien des béta-2-agonistes ayant
un courte durée d’action et DEP ≥
80% des valeurs anticipées, avec
variabilité de 20-30%, le traitement
de fonds du patient comprend: (156)
A. des corticoïdes inhalateurs en
dose modérée à forte
B. fluticasone 400-1000 µg/24h
C. béclométasone 200-800 µg/24h
D. 24-48 µg/24h formotérol
E. Budésonide 800-2000 µg/24h
87. Les hémorragies mineures, en tant
que complication du traitement avec
thrombolytiques, se caractérisent
par: (124)
A. Peuvent être des hématomes ou
des points au lieu de la ponction
B. Peuvent être des hémorragies
cérébro-méningée
C. Le traitement est symptomatique
D. On continue la thrombolyse
E. Il peut s’agir d’une épistaxis
88. Si un patient présente dyspnée
expiratoire avec wheezing et/ou des
râles bronchiques, le diagnostic
peut être: (143)
A.
OAP
B.
Décompensation aiguë
des BPOC
C.
Pneumopathie
aiguë
infectieuse
D.
Embolie pulmonaire
E.
Pneumopathie
d’hypersensibilité
92. Des cas particuliers, qui exigent
l’adaptation du traitement antituberculeux sont: (159)
A.
le patient qui présente
des antécédents d’hépatite
virale B ou C
B.
la femme enceinte
C.
le sujet VIH sous
traitement anti-rétroviral
D.
l’enfant
E.
le patient qui présente
des antécédents de silicose
89. Les molécules antitussives doivent
être administrées avec une grande
précaution en cas de: (147)
A.
hypersécrétion
bronchique
B.
patient âgé
C.
enfant petit
93. Lesquelles des variantes suivantes
sont des signes d’alarrme à un
patient avec BPOC qui imposent la
ventilation mécanique? (164)
A. la somnolence
B. la baisse de la vigilance
133
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
C.
D.
E.
toux inefficace
signes de choc
absence de l’amélioration
rapide
malgré
l’oxygénothérapie
C.
D.
E.
lymphome
lupus
pneumopathie
médicamenteuse
98. Le traitement dans le syndrome
cave supérieur se fait avec des:
(199):
A.
anticoagulants
B.
radiothérapie
C.
corticoïdes
D.
oxygénothérapie
E.
chimiothérapie
94. Lesquelles des variantes suivantes
représentent des critères biologiques
d’hospitalisation
dans
une
pneumopathie aiguë chez le patient
adulte? (170)
A. la leucocytose sévère de plus de
20000Gb/ml
B. l’insuffisance rénale
C. la température ≥ 40 oC
D. la thrombopénie
E. la baisse de la TCA
99. Les variantes suivantes représentent
des diagnostics différentiels des
nodules multiples non cancéreux de
cause infectieuse: (201)
A. la tuberculose
B. l’aspergillose
C. la sarcoïdose
D. la légionellose
E. la cryptococcose
95. Les explorations biologiques dans la
légionellose
pulmonaire
chez
l’adulte mettent en évidence: (172)
A. hyponatrémie
B. lymphocytose
C. cytolyse hépatique
D. augmentation de CPK
E. protéinurie
100. Sur les lésions médiastinales au
cadre d’un traumatisme thoracique,
les affirmations vraies sont: (207)
A. Le
pneumo-médiastin
représente une urgence vitale,
qui exige une intervention
chirurgicale immédiate
B. Dans la rupture d’isthme
aortique, le diagnostic est établi
sur la base de la tomographie
thoracique avec substance de
contraste
C. L’échographie trans-thoracique
permet une étude précise de
l’isthme aortique
D. Un choc violent avec fracture
sternale et décélération doit
mener à la recherche des
lésions de désinsertion du tronc
artériel brachio-céphalique
E. Les lésions observées dans la
rupture
d’isthme
aortique
s’étendent de la lésion de
l’intime jusqu'à la rupture
aortique franche et totale
96. Les signes radiologiques de gravité
dans un pneumothorax sont: (184)
A.
le médiastin déplacé dans la
partie contralatérale
B.
le niveau hydroaérique
C.
la désaturation
D.
le pneumothorax bilatéral
E.
les
signes
de
déglobulisation
97. L’alvéolite
lymphocytaire
est
rencontrée dans: (190)
A.
la
sarcoïdose:
l’augmentation modérée des
lymphocytes,
avec
prédominance
nette
des
lymphocytes CD8
B.
la
pneumopathie
d’hypersensibilité:
l’augmentation significative des
lymphocytes,
avec
prédominance
nette
des
lymphocytes CD8
134
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
101. L’évaluation du risque dans
l’embolie pulmonaire se fait en
tenant compte des critères suivants:
(212)
A.
l’hypotension artérielle
B.
la tachycardie
C.
la dysfonction cardiaque
droite visible à l’échographie
D.
la dysfonction cardiaque
droite mise en évidence par
l’augmentation du niveau BNP
E.
l’augmentation
de
la
concentration plasmatique de la
troponine I ou C
A.
B.
C.
D.
E.
infarctus sylvien complet
dans l’hémisphère dominant
l’occlusion de l’artère
cérébrale moyenne ou de la
carotide
interne
dans
l’hémisphère mineur
infarctus
sylvien
superficiel dans l’hémisphère
mineur
infarctus
sylvien
superficiel dans l’hémisphère
dominant
infarctus sylvien profond
105. Les suivantes sont des mesures de
neuroprotection, À L’EXCEPTION
de: (253)
A.
La
lutte
contre
l’hypoxie
B.
La
lutte
contre
l’hypothermie
C.
La
lutte
contre
l’hypoglycémie
D.
La lutte contre l’HTA
E.
La
lutte
contre
l’hyperglycémie
102. Sur la réanimation spécialisée dans
l’arrêt
cardio-circulatoire,
les
affirmations suivantes sont vraies:
(218)
A.
L’adrénaline est la seule
catécholamine indiquée en cas
d’asystolie
B.
L’adrénaline exerce une
action bathmotrope positive
C.
L’adrénaline réinstalle la
pression artérielle systolique de
laquelle dépend la perfusion
coronaire
D.
L’adrénaline a une action
de vasodilatation
E.
La lidocaïne représente
l’alternative à l’amiodarone
comme
traitement
antiarythmique
106. Les hématomes cérébraux intra
parenchymateux de l’HTA peuvent
être associés avec: (257)
A.
leucoencephalopathie
multifocale progressive
B.
lacunes anciennes
C.
hypertrophie ventriculaire
gauche
D.
micro-saignées
E.
rétinopathie
103. Les traitements adjuvants du choc
septique sont: (222)
A. Les anti-histaminiques
B. Les corticoïdes
C. La protéine C activée
D. La protéine S activée
E. L’antibiothérapie
107. La triade de Hakim et Adams est
constituée des éléments suivants:
(261)
A. rire et pleurs spasmodiques
B. troubles de phonation et de
déglutition
C. marche avec de petits pas
D. troubles sphinctériens
E. détérioration cognitive
104. Un patient avec infarctus cérébral
qui
présente
à
l’examen
neurologique
héminégligence,
hémiasomatognosie,
anosodiaphorie, anosognosie peut
avoir les localisations suivantes de
l’infarctus: (251)
135
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
108. Le diagnostic différentiel pour la
méningite infectieuse peut être fait
avec:(291)
A. Le méningisme
B. La réaction méningée
C. Des
méningites
postradiothérapie
D. Des méningites tumorales
E. Des
méningites
immunoallergiques
C. peut se faire aussi avec
azithromycine 1 g en prise
unique
D. on préfère le traitement rapide
avec ceftriaxone 250 mg i.m.
E. on fait le traitement avec
ceftriaxone 50 mg/kg/jour pour
7 jours
113. La réaction de Herxheimer se
caractérise par: (333)
A. peut apparaitre dans la syphilis
primaire et secondaire
B. fièvre
C. éruption cutannée et muqueuse
D. polyadénopathies
E. convulsions tonico-cloniques
généralisées
109. Les examens para cliniques
d’orientation qui doivent être
réalisés au cas d’une fièvre
persistente sont: (311)
A. L’hémogramme
B. Le VSH
C. Les transaminases
D. Les hémocultures
E. Les sérologies virales et
bactériennes
114. Chez un patient qui présente une
lésion étendue, sale, avec corps
étranger, on applique la stratégie
thérapeutique suivante: (369)
A. Chez le patient avec dernier
rappel < 5 ans, on administre
uniquement l’antibiothérapie
B. Chez le patient avec dernier
rappel entre 5 et 10 ans on fait
uniquement le rappel
C. Chez le patient avec dernier
rappel > 10 ans on fait
uniquement le rappel
D. Chez
le
patient
avec
vaccination incomplète on fait
rappel + vaccination ultérieure
+ IgG (250 UI)
E. Chez
le
patient
avec
vaccination incomplète on fait
vaccination complète +IgG
(500 UI) + antibiothérapie
110. Lesquelles des variantes suivantes
font partie des inhibiteurs de
neuramidinase employés dans le
traitement du rhume: (322)
A.
Darunavir
B.
Oseltamivir
C.
Lopinavir
D.
Zanamivir
E.
Abacavir
111. Les cancers solides les plus
fréquents
rencontrés
dans
l’évolution de l’infection avec VIH
sont: (327)
A. Les lymphomes
B. Le cancer pulmonaire
C. Le cancer du col de l’utérus
D. Le cancer du canal anal
E. Le sarcome de Kaposi
115. Des facteurs favorisants communs
pour une septicémie avec point de
départ au niveau de l’endocarde, du
tégument ou d’un foyer vasculaire
sont: (373)
A. cathéter veineux
B. valvulopathie
C. toxicomanie
D. grossesse
112. Sur le traitement dans l’infection à
gonocoques sont FAUSSES les
affirmations: (331)
A. se fait avec Pénicilline G 1 MUI
x 4 jour, i.m.
B. se fait avec doxycycline 200
mg/jour pour 7 jours
136
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
E.
brûlures
C.
D.
Les autoanticorps
La
ponction
biopsie
hépatique de première intention
E.
Les sérologies virales
116. Les indications de la coproculture
sur des milieux sélectifs sont: (404)
A. Le syndrome dysentérique
B. diarrhée > 7 jours malgré un
traitement antibiotique adapté
C. diarrhée avec déshydratation
sévère
D. diarrhée nosocomiale
E. syndrome infectieux sévère
inexpliqué
120. Les indications de traitement
antiviral chez un patient avec
hépatite chronique virale B sont:
(452)
A.
L’augmentation persistante
de ALAT avec virémie
détectable
B.
le score Metavir ≥ A2
et/ou F2
C.
les
patients
avec
manifestations extra hépatiques
VHB
D.
cirrhose compensée avec
ALAT > 3N
E.
cirrhose décompensée
117. Sur les hémorragies diverticulaires
sont
vraies
les
affirmations
suivantes: (428)
A. La cause la plus fréquente est
représentée par le cancer du
côlon
B. sont
favorisée
par
la
consommation d’aspirine ou
AINS
C. apparaissent plus fréquemment
durant une diverticulose
D. la saignée est d’habitude
interrompue au moment de la
coloscopie
E. on peut essayer l’hémostase
endoscopique
121. Lesquelles des variantes suivantes
NE font PAS partie du bilan de
première
intention
dans
l’investigation d’une cytolyse <
10N: (456)
A.
La céruloplasmine
B.
Ac anti-transglutaminase
C.
Le coefficient de saturation
de la transferrine
D.
AgHBs
E.
IDR
118. Des
manifestations
extra
digestives associées avec MICI qui
évoluent en parallèle avec les crises
sont: (441)
A. La
pelvispondylite
rhumatismale
B. Les uvéites
C. La
thrombose
veineuse
profonde
D. L’aphtose buccale
E. L’arthrite
122. Les causes plus rares de cirrhose
hépatique, qui vont être recherchées
dans la deuxième intention sont:
(459)
A.
La
stéatohépatite
non
alcoolique
B.
La cirrhose biliaire primitive
C.
Le foie cardiaque
D.
L’hémochromatose
génétique
E.
déficit héréditaire d’alpha-1antitrypsine
119. Les examens para cliniques de
deuxième intention qui doivent être
effectuées dans une cholestase intra
hépatique sont: (446)
A.
La ferritinémie et le
coefficient de saturation de la
transferrine
B.
L’échoendoscopie
123. L’infection spontanée du liquide
d’ascite peut se caractériser par les
signes cliniques suivants: (462)
A. Fièvre
137
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
B.
C.
D.
E.
hypothermie
douleurs abdominales
constipation
encéphalopathie
127. Lesquelles
des
affirmations
concernant le pseudo kyste de la
pancréatite chronique sont vraies:
(468)
A. Il n’y a pas de douleurs
B. C’est une collection extra ou
intra pancréatique de liquide
pancréatique
C. Il ne peut pas régresser
spontanément
D. La compression d’organe est
une complication du pseudo
kyste
E. Peut
causer
l’ascite
pancréatique
124. Lesquelles des variantes suivantes
peuvent représenter des causes de
pancréatite chronique? (467)
A.
L’hypercalcémie chronique
dans
le
contexte
d’une
hypoparathyroïdie
B.
La
pancréatite
lymphoplasmocytaire
sclérosante
C.
La tumeur qui bloque le
canal pancréatique principal
D.
L’hypercholestérolémie
familiale
E.
L’alcool
128. Les principes de traitement du
cancer du côlon non occlusif sont:
(477)
A. Dans le cancer du côlon droit
on restaure la continuité par
anastomose iléocolique
B. En
cas
d’invasion
ganglionnaire, on propose une
chimiothérapie adjuvante
C. La colectomie carcinologique
suppose des marges d’au moins
5 cm d’un côté et de l’autre de
la lésion
D. Dans le cancer du côlon gauche
on restaure la continuité par
anastomose iléoanale
E. La réalisation d’une stomie est
toujours nécessaire au cas des
interventions programmées
125. Il est vrai sur la pancréatite aiguë
que: (513-515)
A. La douleur pancréatique est
hypogastrique, avec irradiation
vers la zone inguinale
B. Les
examens
biologiques
permettent de calculer le score
de Ranson
C. L’insuffisance multi organique
est une complication générale
D. Les
pancréatites
aiguës
bénignes ont une évolution
favorable en quelques jours
E. PET-CT effectué pendant les
12 premières heures permet de
calculer le score de Balthazar
126. Il est vrai sur les péritonites que:
(517)
A. La péritonite à champignons est
tertiaire
B. La péritonite sans des germes
est primaire
C. La tuberculose correspond à la
péritonite secondaire
D. La
péritonite
secondaire
correspond à une perforation
d’organe cavitaire
E. L’infection de l’ascite est une
péritonite secondaire
129. Les marqueurs tumoraux employés
afin de confirmer le diagnostic de
cancer de pancréas sont: (489)
A. CA 125
B. CA 15-3
C. CA 19-9
D. Ag CSC
E. ACE
130. Il est vrai sur le traumatisme
hépatique que: (492)
138
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
A. est évoqué systématiquement
pour tous les traumatismes
abdominaux
B. La cytolyse peut être un signe
biologique évocateur
C. Chez un patient stable du point
de vue hémodynamique, on
peut essayer l’embolisation
artérielle
D. Chez un patient instable du
point de vue hémodynamique,
on
pratique
laparotomie
d’urgence
E. Le cholépéritoine peut être une
complication
C. Apparaît
le
météorisme
volumineux diffus
D. Les
vomissements
sont
fréquents
E. Le tableau est d’occlusion par
strangulation du côlon
135. Caractérisent
la
dystrophie
fibrokystique du sein (mastose):
(601)
A. Présente mastodynie cyclique
chronique avec aggravation
prémenstruelle
B. Est une tumeur maligne
mammaire
C. N’augmente pas le risque de
cancer du sein
D. Le traitement consiste dans des
progestatives p.o. ou topiques
E. La dimension des kystes est
variable selon le moment du
cycle
131. Les causes d’occlusion par
obstruction du côlon sont: (495)
A. Le fécalome
B. Le syndrome d’Ogilvie
C. Un corps étranger
D. Le volvulus de caecum
E. Le cancer de côlon
136. Le
traitement
de
la
ménométrorragie
associée
à
l’adénomyose consiste dans: (585)
A. Aspirine
B. Stérilet avec décharge de
progestatif
C. Agonistes GnRH
D. Antifibrinolytiques
E. Hystérectomie
132. L’échographie abdominale de la
lithiase vésiculaire non compliquée
met en évidence: (509)
A. L’épaississement de la paroi
vésiculaire
B. L’absence du liquide libre
péricholécystique
C. La dilatation des voies biliaires
intra hépatiques
D. Paroi vésiculaire non épais
E. Calculs hyperéchogènes avec
cône d’ombre
137. Le piosalpinx se caractérise du
point de vue clinique par: (577)
A. Des
douleurs
abdominopelviennes
B. Leucorrhée sale, purulente
C. Masse
latéro-utérine
douloureuse au toucher vaginal
D. Apparaît toujours post-partum
ou post-avortement
E. Fièvre
133. Les principaux types d’hernies
pariétales sont: (504)
A. Ombilicales
B. Inguinales
C. Diaphragmatiques
D. Sous hépatiques
E. Pelviennes
138. Les causes de métrorragie au-delà
de la grossesse sont: (560)
A. L’adénomyose
B. Le kyste ovarien
C. La grossesse molaire
D. L’ectropion
134. Dans le volvulus de caecum: (498)
A. Apparaissent
des
niveaux
coliques en U renversé au CT
B. La constipation est un facteur
de risque
139
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
E. Le fibrome utérin
143. NE sont PAS considérées des
fractures ostéoporotiques: (637)
A. Vertébrales lombaires
B. Du crâne
C. Vertébrales cervicales
D. De fémur proximal
E. Fracture de Pouteau-Colles
139. Le début de l’accouchement a les
caractéristiques suivantes : (549)
A. Peut être précédé par la perte
du bouchon muqueux
B. Contractions
utérines
douloureuses et régulières
C. Modifications cervicales
D. Peut être précédé par la rupture
des poches des eaux
E. Anomalies du rythme cardiaque
foetal
144.Ce sont des affirmations vraies sur
la spondylite ankylosante: (634)
A. L’affectation
radiologique
sacro-iliaque est un argument
certain de diagnostic
B. Il y a toujours des signes extra
articulaires associés
C. Le traitement a été révolutionné
par l’apparition de l’anti-TNFalfa
D. L’IRM de la colonne vertébrale
et de la zone sacro-iliaque est
très utile
E. La sensibilité aux corticoïdes
est un test de diagnostic
140.Ce sont des indications de
traitement chirurgical dans la
grossesse extra utérine: (535)
A. Les douleurs abdominales
légères
B. L’hémodynamique instable
C. L’impossibilité de traitement
ambulatoire
D. Le score de Fernandez ≥ 13
E. Le béta-hCG plasmatique <
3000 UI/l
145. Sont des contre-indications pour
l’administration des AINS: (646)
A. Les douleurs radiculaires
B. Les troubles hémorragiques
C. L’allergie
connue
au
médicament
D. La goutte
E. L’insuffisance rénale aiguë
141. Ce
sont
des
éléments
supplémentaires qui s’administrent
à la femme enceinte: (524)
A. Fer
(dans
la
grossesse
gémellaire)
B. Vitamine B6
C. Acide folique
D. Phosphore
E. Vitamine D
146. Le facteur rhumatoïde peut se
positiver aussi dans les situations
suivantes: (628)
A. Le syndrome de Sjogren
B. L’insuffisance cardiaque
C. Les personnes âgées
D. La sarcoïdose
E. Le rhumatisme psoriasique
142. Sont des affirmations vraies sur
l’éclampsie: (528)
A. Peut
être
la
première
manifestation
de
la
prééclampsie
B. Ne survient pas post-partum
C. Va être traitée sans attendre le
résultat du CT
D. Traitement
hypotenseur
–
nicardipin i.v.
E. Pour la prévention des récidives
– sulfate de magnésium
147. Ce sont des affirmations vraies sur
le diagnostic positif dans les
fractures de l’extrémité inférieure
du radius: (653)
A. Apparaît
la
douleur
et
l’impotence fonctionnelle
140
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
B. La déformation du poing «en
dos de fourchette» si le
déplacement est antéro-externe
C. La radiographie de devant peut
analyser la ligne bistyloïde
D. Sur la radiographie de profile
on peut analyser l’orientation
de la glène radiale
E. La fracture extra articulaire
avec déplacement postérieur
s’appelle aussi la fracture de
Galeazzi
B. Iridotomie comme traitement
curatif
C. A voie locale avec des betabloquants, dérivés d’adrénaline
D. Agents miotiques – pilocarpine
E. Injection intravitréenne avec
vancomicine
152. Ce sont des affirmations vraies sur
la méningite virale: (718)
A. Est un diagnostic différentiel de
l’otite moyenne aiguë
B. S’associe d’habitude avec la
méningite virale
C. Le pavillon auriculaire se
décolle
D. Apparaît une douleur intense
E. On
peut
observer
des
phlyctènes sur la membrane du
tympan
148. Ce sont des complications des
infections aiguës de parties molles:
(669)
A. L’arthrite
B. La pneumonie bactérienne
C. Le tétanos
D. La décompensation sur un
terrain favorisant
E. L’endocardite
153. Le tableau clinique de l’angine
érythémato-pultacée
met
en
évidence: (722)
A. La pharyngite érythémateuse
B. L’hypertrophie des amygdales
C. Déposition pultacée albescente,
non
adhérente
sur
des
amygdales
D. Ulcération amygdalienne très
douloureuse
E. Fièvre
149. Ce sont des causes vasculaires de
l’anomalie brutale de vue avec un
œil blanc, calme, non douloureux:
(678)
A. La neuropathie optique rétro
bulbaire
B. L’occlusion de l’artère centrale
de la rétine
C. L’uvéite antérieure aiguë
D. Le décollement de rétine
E. L’occlusion de la veine centrale
de la rétine
154. Le
traitement
de
l’angine
diphtérique peut se réaliser avec:
(725)
A. Corticothérapie i.v.
B. Antimicotique p.o. fluconazol
C. Antibiotique i.v. pénicilline G
D. Vaccination
E. Sérothérapie d’urgence i.m.
150. L’uvéite antérieure aiguë se
caractérise par: (684)
A. L’amputation brutale, non
douloureuse du champ visuel
B. Œil rouge douloureux
C. Hypertonie oculaire majeure
D. Effet de Tyndall
E. Synéchies irido-cristalliniennes
155. Ce sont des causes possibles
d’apparition de l’otite moyenne
aiguë: (717)
A. La manifestation d’une maladie
systémique
inflammatoire
(granulomatose Wegener)
151. Le traitement du glaucome aigu
par clôture d’angle peut se réaliser
de la manière suivante: (683)
A. Bolus de corticoïdes i.v.
141
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
B. La
conséquence
d’un
changement brutal de pression
C. Un effet adverse de la thérapie
avec des corticoïdes
D. Dans la plupart des cas,
l’étiologie est idiopathique
E. De nature infectieuse (virale,
bactérienne)
A. On met en évidence une cause
organique
B. Le patient est indifférent face à
ses troubles
C. Les symptômes sont simulés
D. La
symptomatologie
est
typiquement histrionique
E. Le symptôme est irréversible et
invariable
156. Caractéristique du vieillissement
de la fonction rénale: (777)
A. Augmente l’activité du système
rénine-angiotensine-aldostérone
en repos
B. Baisse la capacité de dilution
de l’urine
C. Baisse le flux sanguin rénal
D. Baisse le nombre de néphrons
E. Baisse
la
capacité
de
concentration de l’urine
160. La phobie sociale se caractérise
par: (915)
A. Anxiété élevée
B. Inhibition comportementale
C. Peur
d’espaces
larges,
d’endroits publics
D. Peur de parler en publique
E. Complications – dépression,
dépendances
161. Sont des diagnostics différentiels
de l’encoprésie: (998)
A. L’épilepsie
B. La maladie de Hirschprung
C. Le diabète
D. Le fécalome
E. Les malformations
157. Ce sont des affirmations vraies sur
le patient âgé: (779)
A. Le patient souffre de multiples
maladies chroniques évolutives
B. Les maladies du patient
peuvent interférer les unes avec
les autres
C. Le traitement d’une maladie
peut
prévenir
la
décompensation d’une autre
maladie
D. Un symptôme peut être
expliqué par plusieurs maladies
E. A cause de la vulnérabilité, le
patient
ne
réagit
plus
normalement dans une situation
aiguë
162. Ce sont des affirmations vraies sur
le développement normal de
l’enfant: (995-997)
A. A la naissance il perçoit les
formes et la lumière
B. A 2 mois il peut tenir assis sans
du soutien
C. Lalalisation après 12 mois
D. Contrôle sphinctérien nocturne
à partir de 5-6 ans
E. A la naissance, l’activité
motrice est subordonnée aux
réflexes primaires
158. Ce sont des éléments de diagnostic
en post-partum blues: (924)
A. L’asthénie
B. Le délire
C. Les pleurs
D. Le risque d’infanticide
E. La dévalorisation
163. C’est FAUX sur les facteurs de
risque principaux dans la production
des cancers: (1426-1427)
A. Une hyperestrogénie relative
augmente le risque de cancer
du sein (nulliparité ou première
grossesse avant 30 ans)
159. Ce sont des affirmations vraies sur
le trouble de conversion: (918)
142
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
B. L’exposition aux ultraviolets
est responsable de l’apparition
des mélanomes par la lésion
indirecte de l’ADN
C. Les mélanomes et les cancers
de la peau sont en baisse dans
la population occidentale grâce
aux mesures de protection
adoptées de plus en plus
fréquemment
D. Les principaux types de virus
HPV oncogènes sont les types
16 et 18
E. Le carcinome hépatocellulaire
survient après une infection
aiguë avec les virus VHB et
VHC
E. Dans le cadre du diagnostic
para clinique, le myélogramme
montre une infiltration avec des
monocytes
166. Ce sont des causes de PT bas et
TCA normal: (1383)
A. Le déficit de facteur XI
B. L’insuffisance hépatique
C. La carence alimentaire
D. La cholestase
E. Le traitement avec l’héparine
167. L’amyloïdose AL: (1392)
A. Il y a une infiltration avec des
chaînes lourdes monoclonales
solubles
B. L’infiltration est présente au
niveau
rénal,
cardiaque,
nerveux, digestif, articulaire
C. Signe quasi-pathognomonique:
hématome périorbitaire
D. L’infiltration cardiaque est la
plus fréquente et a le pronostic
le plus sombre
E. Au niveau du système nerveux
apparaît
une
neuropathie
centrale
164. Dans le cadre des lymphomes
malignes: (1439)
A. Stage I de la classification
d’Ann Arbor – affectation
ganglionnaire supra et sous
diaphgramatique
B. Stage B de la classification de
Binet – anémie et thrombopénie
C. La classification d’Ann Arbor
stage IV – affection médullaire
D. Stage II de la classification d’
Ann Arbor – au moins deux
territoires
ganglionnaires
affectés, de la même partie du
diaphragme
E. La classification de Binet: stage
A
moins
de
3
aires
ganglionnaires affectées
168. Il est FAUX sur les thérapies de
substitution dans l’insuffisance
rénale chronique que: (1356)
A. L’hémodialyse peut se réaliser
à domicile ou dans un centre
spécialisé
B. La dialyse péritonéale peut
avoir une durée illimitée
C. La
dénutrition
avec
hypoalbuminémie
représente
une contre-indication principale
de la dialyse péritonéale
D. La chance de survie des
patients avec transplant rénal
est plus petite chez les patients
avec des comorbidités par
rapport aux patients sans des
comorbidités
E. Le début de la thérapie de
substitution est conditionné par
165. Sur le diagnostic dans les
leucémies lymphoïdes chroniques, il
est FAUX que: (1436)
A. La gestion est guidée par la
classification d’Ann Arbor
B. Pour les stages A et B,
l’abstinence thérapeutique est
un règle
C. LLC est une prolifération
lymphoïde monoclonale
D. Les cellules proliférées sont des
lymphocytes T en proportion de
95%
143
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
l’apparition
des
cliniques d’urémie
signes
B. La radiographie abdominale
simple prouve l’absence de
l’obstruction
C. La
pyélonéphrite
aiguë
obstructive ne bénéficie pas de
traitement de l’obstacle dans
l’urgence
D. La bithérapie en cas de signes
généraux importants se fait
avec des fluoroquinolones ou
C3G+aminosides
E. Si la fièvre persiste 24 heures
suivant le traitement, l’on
indique la réalisation de l’uroCT
169. Ce sont des néphropathies
glomérulaires primaires: (1365)
A. Les
LGM
(lésions
glomérulaires minimales)
B. L’amiloïdyse AA
C. La HSF (hyalinose segmentaire
et focale)
D. Le
lupus
érythémateux
disséminé
E. La néphropathie à IgA
170. Il
est
vrai
sur
la
néphroangiosclérose dite «bénigne»
que: (1368)
A. Apparaît l’insuffisance rénale
avec aggravation rapide
B. A l’échographie: les reins de
petite taille, contour homogène
et régulé
C. Est présente l’hématurie
D. La protéinurie est réduite
E. Apparaît une hypertrophie
ventriculaire droite
173. La prévention des récidives de
lithiase urinaire chez l’adulte se fait
avec: (1314)
A. Cure de diurèse, acidification
de l’urine dans la lithiase
calcique
B. Alcalinisation de l’urine dans la
lithiase cystinique
C. ECBU tous les 3 mois
D. Désinfection urinaire dans la
lithiase phospho-ammoniacomagnésienne
E. Traitement hypourémiant dans
la lithiase urique
171. Il est FAUX sur la sténose de
l’artère rénale que: (1367)
A. L’insuffisance rénale chronique
s’améliore après l’introduction
du traitement avec IEC/ARA2
B. Est présente une hyperkaliémie
d’origine rénale
C. Apparaît une protéinurie <
1g/24h
D. L’angio-CT
spirale
avec
substance de contraste est un
examen nephrotoxique, mais de
référence, qui permet la
réalisation
d’un
geste
thérapeutique
E. HTA est sévère, résistante à la
triple thérapie
174. Caractéristique
du
bilan
d’extension des
tumeurs de
prostate: (1320)
A. Se réalise systématiquement
B. Le
groupe
de
risque
intermédiaire suppose PSA ≤
10 ng/mL
C. Tous les cas bénéficient d’IRM
prostatique
avec
sonde
endorectale
D. Le bilan d’extension obligatoire
comprend la scintigraphie
osseuse et la dissection
ilioobturatrice
E. Le groupe de risque élevé
suppose PSA > 20 ng/mL
172. Dans la pyélonéphrite aiguë:
(1288-1289)
A. La sévérité de la pyélonéphrite
n’est pas corrélée avec le degré
de la dilatation pyélo-calicielle
175. La classification TNM du cancer
de prostate: (1321)
144
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
A. T2a ≤ 50% d’un lobe
B. T2c affectation des vésicules
séminales
C. T1b fragments de résection de
prostate, plus de 5% des
fragments
D. Nx ganglions non affectés
E. M1b
métastases
métaviscérales
E. Hyperuricémie
179. Il
est
vrai
sur
les
macroangiopathies dans le diabète
sucré type 1 et 2 chez l’adulte:
(1244-1247)
A. Dans la rétinopathie diabétique,
la surveillance avec examen du
fond d’œil se fait tous les deux
ans
B. La néphropathie précoce se
caractérise par tension artérielle
normale
C. Dans la neuropathie diabétique,
au niveau électrophysiologique,
les altérations sont motrices au
début, puis sensitives
D. Parmi
les
manifestations
digestives de la neuropathie
végétative apparaît la diarrhée
diabétique: motrice, surtout
journalière
E. Au cadre de la neuropathie
végétative peut
apparaître
l’hypotension orthostatique
176. La maladie de Von Hippel-Lindau:
(1323)
A. Est une maladie héréditaire à
transmission
autosomique
récessive
B. Associe la tumeur de sac
endolymphatique
C. Dans la plupart des cas apparaît
chez l’homme âgé
D. Le carcinome rénal est le plus
souvent unilatéral
E. Un hémangiome cérébelleux
peut être présent
177. Caractérise la gestion, l’évolution
et la surveillance au cas du cancer
des reins: (1326)
A. Après néphrectomie élargie,
surveillance de l’urée, CRP et
IRM abdominal
B. Après
la
chirurgie
conservatrice, surveillance de la
créatininémie, CT abdominal
C. Les
antiangiogéniques
s’administrent per os
D. On a en vue le traitement
symptomatique: hypercalcémie,
HTA
E. Les
antiagiogéniques
s’administrent en association
avec une néphrectomie de
réduction tumorale
180. Il est FAUX sur les troubles
trophiques et les complications
infectieuses du diabète sucré chez
l’adulte que: (1248)
A. Peuvent
apparaître
des
infections
cutanées:
streptocoques (furoncles)
B. L’ostéoarthropathie
du
diabétique précède en général
un mal perforant plantaire
C. La pyélonéphrite sous aiguë est
dans la plupart des cas
symptomatique, avec fièvre
traînante
D. Le mal perforant plantaire est
une
lésion
généralement
indolore
E. Les mycoses se localisent
exclusivement au niveau de la
muqueuse génitale ou buccale
178. Caractéristique
du
syndrome
métabolique: (1276)
A. Obésité gynoïde
B. Hypertension artérielle
C. Dyslypidémie hyper LDLcolestérolémie
D. Insulinorésistance
181. Dans le cadre du diagnostic
d’hyperthyroïdisme: (1221-1222)
145
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
E. Hématocèle
A. La douleur cervicale chronique
suggère la thyroïdite de De
Quervain
B. Au cadre de la maladie
Basedow à l’auscultation on
perçoit un thrill
C. Le dosage fT3 n’a aucune
relevance
D. Le nodule «chaud» et isolé
suggère un adénome toxique
E. Dans l’hyperthyroïdisme postpartum la scintigraphie est
blanche
185. Il est vrai sur le traitement de
l’érysipèle que: (1170-1171)
A. Se fait exclusivement en régime
d’hospitalisation, à cause du
grand risque de contagiosité
B. Le traitement étiologique se fait
avec mono antibiothérapie
probabiliste per os avec
continuation i v en 48 heures
suivant le début de la fièvre
C. Le
traitement
préventif
comprend
la
contention
élastique pour la prévention ou
le traitement du lymphoedème
D. En
cas
d’allergie
aux
pénicillines, on peut employer
les
macrolides
ou
les
synergistines
E. La durée du traitement pour
l’érysipèle non compliqué est
de 10-14 jours
182. Dans l’hyperthyroïdisme induit par
l’amiodarone: (1223)
A. La scintigraphie peut être
normale
dans
l’hyperthyroïdisme du type I
B. Dans l’hyperthyroïdisme du
type II le traitement est basé sur
des antithyroïdiens de synthèse
C. L’hyperthyroïdisme du type I
apparaît sur une pathologie
thyroïdienne préexistante
D. La scintigraphie thyroïdienne
est
hyperfixante
dans
l’hyperthyroïdisme du type II
E. La
physiopathologie
est
similaire pour les deux types
d’hyperthyroïdies
186. Caractéristique de la tomographie
par émission de positrons: (1150)
A. N’a pas de risques
B. Limites:
analyse
bidimensionnelle de sommation
C. Comporte
le risque de
décompensation
d’une
insuffisance rénale chronique
D. Avantages: très sensible
E. Contre-indications: grossesse et
allaitement
183. Ce sont des formes cliniques de
goitre: (1215-1216)
A. Le goitre simple
B. Le goitre endémique (excès de
iode)
C. Le goitre pandémique
D. Le goitre sporadique
E. Les nodules uniques ou
multiples
187. Dans le cadre de la pathologie de
la colonne et de la moelle épinière
l’on indique: (1152)
A. Les tumeurs osseuses sont
investiguées
par
des
radiographies,
scintigraphie,
CT ou IRM
B. IRM en cas de spondylodiscite
C. Les rachialgies bénéficient de
CT ou PET en cas d’échec du
traitement médical
D. Les
radiculalgies
seront
examinées par scintigraphie
osseuse
184. Le diagnostic différentiel d’un
nodule thyroïdien se fait avec:
(1219)
A. Kyste dermoïde
B. Goitre endémique
C. Foyer de thyroïdite en variante
nodulaire
D. Laryngocèle
146
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
E. CT en urgence en cas de
compression médullaire
C. Les anticardiolipines isotypes
IgD et IgM sont détectées par la
technique PCR
D. L’anticoagulant lupique a une
activité antithrombinique
E. TCA peut être normalement
dans
la présence
d’une
anticardiolipine ou d’un antibeta-2-gp-1
188. Il est FAUX sur l’imagerie dans la
pathologie abdominopelviene que:
(1153)
A. En cas d’appendicite on indique
systématiquement
le
CT
abdominopelvien
B. La pathologie des voies et de la
vésicule biliaire bénéficie de
cholangio-CT
C. Dans l’ischémie vasculaire l’on
indique
l’IRM
abdominopelvien
D. Wirsungo- IRM s’effectue en
cas de pancréatite
E. En
cas
de
saignement
abdominal,
par
CT
abdominopelvien on visualise
un hématome sur l’acquisition
avec injection
191. L’examen à bandelette urinaire
dans la pyélonéphrite chez l’enfant:
(1105)
A. Est l’examen complémentaire
de première intention
B. Présente une grande spécificité:
s’il est négatif, on exclut le
diagnostic
C. L’examen n’est pas indiqué
dans le cas des nourrissons de
moins de 3 mois
D. En
cas
d’antibiothérapie
antérieure, si l’examen est
négatif, on n’exclut pas le
diagnostic
E. La positivité de l’examen
impose la réalisation d’autres
examens complémentaires
189. Le bilan initial en lupus comprend
les suivants, À L’EXCEPTION DE:
(1142)
A. Le dosage de l’urée, la
créatinine, l’acide urique
B. Facteur
rhumatoïde,
cryoglobuline
C. Radiographie thoracique, ECG,
échocardiographie
D. Triglycérides, glycémie postprandiale
E. CPK,
LDH,
calcémie,
électrophorèse des protéines
sériques
192. Il est vrai sur la gestion des
angines aux enfants: (1069)
A. TDR positif impose l’initiation
du traitement antibiotique par
céphalosporine de III-ème
génération pour une période de
6 jours
B. TDR négatif dans l’absence des
facteurs de risque pour RAA
impose l’administration d’un
traitement
uniquement
symptomatique: antalgiques et
antipyrétiques
C. En
cas
d’allergie
à
l’amoxicilline on prescrit une
céphalosporine de II-ème ou de
III-ème génération, pour 4 ou 5
jours, selon le type de préparé
D. En
cas
d’angine
pseudomembraneuse ayant un
aspect
atypique,
il
est
190. Du point de vue biologique, en
SAFL: (1142)
A. Peut exister une fausse
sérologie VDRL positive
B. Il faut rechercher trois anticorps
et au moins deux des trois
doivent être détectés au moins
2 fois dans une période de plus
de 12 semaines en titrures
significatives
147
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
nécessaire d’effectuer
des
examens spéciaux: exsudat
pharyngé, hémogramme et
sérologie EBV
E. Les macrolides sont contreindiqués, à cause du risque
élevé de développer de la
résistance
E. Le retard intellectuel est présent
196. Ce
sont
des
signes
neuroglycopéniques chez l’enfant
avec diabète sucré: (1111)
A. Convulsions
B. Anxiété
C. Troubles de déglutition
D. Paresthésies
E. Troubles d’équilibre
193. Le traitement à domicile après une
crise d’asthme chez l’enfant
implique: (1097)
A. On évalue la nécessité d’un
traitement de fonds
B. Beta2-adrénergiques inhalateur
C. Corticothérapie orale à long
terme
D. Oxygénothérapie
E. Assistance de ventilation
197. Fait partie de l’examen clinique du
nouveau-né à terme: (1032)
A. Examen
cardio-vasculaire:
vérification de la normalité du
temps de recoloration cutanée
(< 3 s), de l’ombilic (deux
veines
et
une
artère),
auscultation
pulmonaire
(fréquence
normale:
5060/minute)
B. Vérification de l’aspect des
organes génitales externes: aux
filles
sont
normales
la
leucorrhée,
même
la
métrorragie
C. L’évaluation
du
tonus
musculaire passif
D. Les réflexes archaïques ne sont
pas importants dans l’examen
clinique
E. L’endoscopie
digestive
supérieure afin de vérifier
l’absence
de
l’atrésie
œsophagienne
194. Le diagnostic de laboratoire dans
le diabète sucré chez l’enfant:
(1109)
A. Diagnostic sûr en cas de
glycosurie + cétonémie
B. Diagnostic possible si la
glycémie plasmatique > 11
mmol/L
C. La confirmation du caractère
auto-immun par le décèlement
des anticorps anti-GAD
D. La cétoacidose est confirmée
par un pH < 7,30
E. 2 glycémies à jeun> 7mmol/L
confirment
l’existence
du
diabète
198. Ce sont des causes métaboliques
de vomissements aigus chez le
nourrisson et chez l’enfant: (1062)
A. Les aminoacidopathies
B. L’insuffisance rénale aiguë
C. La cétoacidose diabétique
D. Troubles hydroélectrolytiqus
E. Toxiques ou médicamenteuses
195. Caractéristique du syndrome de
Lennox-Gastaut (1083)
A. Est un type d’épilepsie
idiopathique
B. Apparait pendant la première
année de vie, étant une
épilepsie sévère
C. Apparait sur le fonds de
certaines lésions cérébrales
préexistantes
D. Les crises peuvent être toniques
axiales, généralisées tonicocloniques, toniques nocturnes
199. En ce qui concerne la fièvre aiguë
chez l’enfant entre 3 et 36 mois, il
est FAUX que: (1039-1040)
A. Le mesurage de la température
se fait au niveau rectal
148
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
B. L’infection respiratoire ou ORL
représente la cause la plus
fréquente
C. La fièvre sans des signes de
gravité, qui dure plus de 24
heures
représente
une
indication d’examens para
cliniques
D. Dans une fièvre tolérée avec
difficulté l’on indique la
ponction lombaire
E. L’antibiothérapie de première
intention en cas de fièvre
tolérée avec difficulté se réalise
avec
amoxiciline-acide
clavulanique, pour 5 jours
200. Sur le bilan d’extension des
lymphomes agressifs chez l’adulte il
est FAUX que: (1439)
A. L’on effectue une endoscopie
digestive supérieure
B. ECG et échocardiographie
après anthracycline
C. On effectue PET/CT pour un
lymphome diffus avec des
cellules B grandes
D. Ionogramme sanguin: urée,
créatinine sérique, acide urique
E. On effectue une sérologie
HTLV1
Score complément multiple: _____
SCORE TOTAL: _____ / 950
149
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
RÉPONSES
150
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
48.
49.
50.
51.
52.
53.
54.
55.
56.
57.
58.
59.
60.
61.
62.
63.
64.
65.
66.
67.
68.
69.
70.
71.
72.
73.
74.
75.
76.
77.
78.
79.
80.
81.
82.
83.
84.
85.
86.
87.
88.
89.
90.
91.
92.
93.
94.
95.
96.
97.
Questionnaire à choix multiple I
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
9.
10.
11.
12.
13.
14.
15.
16.
17.
18.
19.
20.
21.
22.
23.
24.
25.
26.
27.
28.
29.
30.
31.
32.
33.
34.
35.
36.
37.
38.
39.
40.
41.
42.
43.
44.
45.
46.
47.
C
D
A
E
B
B
C
A
B
D
A
C
D
B
C
C
D
A
B
D
C
A
C
D
B
C
D
B
C
E
C
A
A
D
A
C
D
B
E
D
B
E
C
D
C
A
B
151
A
C
E
A,C,E
C,D
D,E
B,C,D
A,B,D,E
A,C,D
B,C,E
A,B,C
B,C,D,E
A,C,D,E
A,B,D
B,C,D,E
C,D,E
A,D
B,C,D
B,E
A,C
A,C,D,E
A,B,E
A,C,D,E
B,C,E
A,B,C
A,C,D
A,B,D
A,C,D,E
A,B,C,D
A,B
A,B
C,D
A,C,E
B,C,E
A,B,C
A,C,D
A,B,C
B,C,D
A,C
B,C,D,E
B,C,D
A,B,C
A,C,D,E
B,C,D
A,E
C,D
A,B,C,E
A,C,D
B,C
A,B,D
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
98. D,E
99. A,B,D,E
100.A,C,D
101.B,C,D
102.C,D
103.A,B,C
104.A,C,D
105.B,C,D
106.C,D,E
107.A,B,E
108.A,B,C,E
109.A,E
110.A,D,E
111.A,B,D
112.C,D,E
113.B,C,D
114.B,C,E
115.A,B,E
116.B,C
117.A,C,D,E
118.A,B,C
119.B,C,D
120.A,E
121.A,C,D,E
122.A,C,D
123.B,C,D
124.B,D
125.A,B,C
126.A,D
127.B,C,D,E
128.B,C
129.A,E
130.B,D,E
131.A,C,E
132.A,B
133.B,C,D
134.C,E
135.A,B
136.A,B,D
137.A,C,E
138.B,E
139.A,C,D,E
140.B,C,D
141.A,B,C
142.A,C,E
143.A,B,D
144.B,D,E
145.A,B,C,E
146.B,C,D
147.B,C,D,E
148. A,C,D
149. B,C,E
150. A,B
151. A,B,C,E
152. C,D,E
153. A,B,D
154. A,D,E
155. B,C,E
156. A,B,C,D
157. A,B,E
158. A,C,D,E
159. A,C
160. A,D,E
161. A,C,D
162. B,C,E
163. A,D,E
164. A,D,E
165. A,B,D,E
166. A,B,C
167. C,D
168. B,D,E
169. A,B
170. B,C,D
171. A,B,E
172. A,C,D,E
173. A,C,D
174. A,D,E
175. B,C,E
176. A,C,D,E
177. A,C,D
178. A,D,E
179. A,B,C
180. A,C,D,E
181. B,D,E
182. A,C
183. A,D,E
184. A,B,C
185. B,C,D
186. A,C,D
187. B,C
188. B,C,E
189. C,D,E
190. A,B,E
191. A,C,E
192. A,B,C
193. A,C,D
194. A,C
195. A,D,E
196. A,B,E
197. A,B,D,E
152
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
198.A,B,C,D
199.A,C
200.C,D,E
153
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
48. D
49. B
50. D
51. A,C,D
52. C,D
53. A,D
54. A,C,E
55. A,D
56. C,D,E
57. A,B,D
58. B,C,E
59. A,B,C,D
60. A,B,D
61. A,E
62. A,D
63. A,C
64. A,B,C,E
65. A,C,D
66. A,C,E
67. A,C,D
68. A,C,D
69. A,B,C
70. C,E
71. A,C,D
72. B,C,D,E
73. A,D,E
74. C,E
75. C,D,E
76. B,C
77. B,C,D,E
78. A,D,E
79. A,B,D
80. A,C,D
81. B,C,D,E
82. A,D,E
83. A,B,D
84. A,D
85. A,B,D
86. A,C,E
87. B,D
88. A,B,D,E
89. A,D,E
90. A,B
91. A,B,E
92. B,C
93. A,C,D
94. A,B,C,E
95. A,B,C,E
96. A,B,E
97. A,B,E
Questionnaire à choix multiple II
1. C
2. D
3. A
4. C
5. E
6. D
7. D
8. D
9. B
10. A
11. B
12. C
13. C
14. E
15. E
16. C
17. B
18. C
19. C
20. E
21. B
22. C
23. D
24. D
25. E
26. A
27. B
28. E
29. B
30. C
31. B
32. B
33. C
34. E
35. E
36. D
37. D
38. B
39. A
40. A
41. B
42. B
43. D
44. C
45. D
46. C
47. A
154
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
98. C,D,E
99. A,B,D,E
100. A,B,D
101. A,B,C
102. B,C,E
103. B,C,E
104. C,D
105. A,B,C
106. A,B,D
107. A,B,D
108. B,C,D,E
109. A,B,C
110.B,C,E
111. A,B,D
112. A,B,E
113. A,D
114. A,C,D
115. A,C,D
116. A,B,C
117. A,B,E
118. A,B,C,D
119. B,C,D
120. A,D
121. A,C,E
122. A,C,D
123. A,D,E
124. B,D
125. B,D,E
126. A,B,C
127. C,D,E
128. A,B
129. A,C,E
130. A,D
131. A,B,C
132. A,C,D
133. A,C
134. A,E
135. D,E
136. A,B,E
137. A,B,C,D
138. A,B,D,E
139. A,B,E
140. B,D,E
141. A,C
142. A,B,C,E
143. C,D,E
144. A,C,E
145. C,D,E
146. A,B,D
147. B,C,D
148. B,C,E
149. A,B
150.A,C,E
151. A,E
152. A,C,D
153. A,B,C
154.A,C,D
155. B,D,E
156. A,C,E
157. A,C,D,E
158. B,C,E
159. C,D
160. A,B
161. B,C,E
162. B,C
163. A,B,C
164. B,D
165. A,C,D
166.A,C,E
167. C,D,E
168. C,D
169. A,C,E
170. B,C,E
171. D,E
172. B,D
173. B,C
174. A,B,C,D
175. A,C,E
176. A,C,D
177. B,D,E
178. A,C,D
179. B,C,E
180. A,C,D,E
181. A,D,E
182. A,C
183. B,E
184. A,C,E
185. B,D
186. A,B,D
187.B,C,D
188. A,B,E
189. A,D
190. A,C,D
191. A,B,E
192. B,C,D
193. B,D,E
194. A,B,C,E
195. A,B,C
196. A,D,E
197. A,C,D
155
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
198. A,B,D,E
199. A,B,C
200. A,C,D
156
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
48. C
49. C
50. C
51. A,C,D,E
52. C,D
53. A,C,E
54. B,C,D
55. B,D
56. A,B,C
57. A,C,D
58. A,B,E
59. B,D,E
60. A,B,C,E
61. C,D
62. A,B,E
63. B,C,D
64. B,D
65. A,C,D,E
66. A,E
67. B,C
68. B,C,D,E
69. B,C,E
70. A,C,E
71. A,B
72. B,D
73. A,B,D,E
74. A,B,C
75. A,D,E
76. B,C,D
77. B,D,E
78. B,C,D,E
79. A,B,C
80. A,C,E
81. A,E
82. B,C,D
83. A,C,D,E
84. B,D
85. A,B,C,E
86. B,D,E
87. A,C,E
88. C,E
89. A,B,D,E
90. B,C,D
91. A,B,E
92. A,B,D
93. B,C,D
94. A,B
95. A,B,C,E
96. C,D,E
97. A,B,D,E
Questionnaire à choix multiple III
1. C
2. A
3. B
4. E
5. B
6. D
7. D
8. A
9. D
10. C
11. E
12. C
13. B
14. E
15. A
16. E
17. D
18. B
19. A
20. C
21. C
22. D
23. E
24. A
25. B
26. A
27. D
28. C
29. B
30. A
31. A
32. E
33. D
34. C
35. D
36. B
37. A
38. E
39. B
40. B
41. C
42. D
43. A
44. B
45. D
46. B
47. E
157
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
98. B,D,E
99. A,C,E
100. A,B,C
101. B,C,D
102. A,D,E
103. B,E
104. C,D
105. A,C,D,E
106. A,B,C
107. B,D
108. B,C,D,E
109. A,C,D
110. A,C
111. A,B,C,D
112. B,D,E
113. A,C,E
114. B,D,E
115. B,C,D,E
116. A,C,D
117. A,B,C,D
118. C,D,E
119. A,B,C,E
120. B,D,E
121. A,C,D,E
122. A,B,C,D
123. B,E
124. B,C,E
125. A,D
126. B,D,E
127. A,D,E
128. C,D
129. A,B,D,E
130. A,C,D
131. B,C,E
132. A,B,C,E
133. C,D,E
134. A,C,E
135. B,D
136. A,C
137. B,C,D
138. A,B,E
139. B,D,E
140. A,D
141. B,D,E
142. A,C,D,E
143. A,B,C
144. A,B,D,E
145. B,C
146. B,C,D,E
147. C,D,E
148.
149.
150.
151.
152.
153.
154.
155.
156.
157.
158.
159.
160.
161.
162.
163.
164.
165.
166.
167.
168.
169.
170.
171.
172.
173.
174.
175.
176.
177.
178.
179.
180.
181.
182.
183.
184.
185.
186.
187.
188.
189.
190.
191.
192.
193.
194.
195.
196.
197.
158
A,B,D
A,C,D
B,C,D,E
A,B,E
A,B,C,E
B,C,D
A,C,D
A,E
B,D,E
A,B,C,D
A,C,E
A,B,D,E
C,D,E
B,C,E
A,C,D,E
A,B,D
B,C,D
A,C,E
B,C,D,E
A,B,C,D
B,D
A,C,D
A,D
B,C,E
B,C,D
A,C,D,E
A,C,E
B,C,D,E
A,B,C
A,B,D,E
B,E
A,C,D
A,C,D,E
B,C,D,E
A,B,E
A,B
C,D,E
B,D,E
A,B,C,E
A,B,C
B,C,D
A,B,D,E
A,C,D
A,C,D
B,D,E
A,B,D,E
C,D
B,C,E
A,C,D,E
A,B,D
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
198.
199.
200.
B,C,D,E
A,C,E
A,B,C
159
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
48.
49.
50.
51.
52.
53.
54.
55.
56.
57.
58.
59.
60.
61.
62.
63.
64.
65.
66.
67.
68.
69.
70.
71.
72.
73.
74.
75.
76.
77.
78.
79.
80.
81.
82.
83.
84.
85.
86.
87.
88.
89.
90.
91.
92.
93.
94.
95.
96.
97.
Questionnaire à choix multiple IV
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
9.
10.
11.
12.
13.
14.
15.
16.
17.
18.
19.
20.
21.
22.
23.
24.
25.
26.
27.
28.
29.
30.
31.
32.
33.
34.
35.
36.
37.
38.
39.
40.
41.
42.
43.
44.
45.
46.
47.
D
B
B
E
D
C
D
B
E
D
A
D
A
D
B
C
D
E
D
D
C
E
A
C
B
E
A
E
C
A
D
B
C
B
E
E
C
A
B
C
D
E
C
D
A
C
C
160
B
D
C
C, D
A, D, E
B, E
A, C, D
D, E
B, C
A, D
A, B, C, D
B, C
A, C, D, E
C, D, E
B, D
B, C
A, D, E
C, E
A, C, D, E
A, B, C, D
A, B, D
D, E
B, D, E
A, E
A, B, D, E
B, C, E
B, D, E
A, E
A, C
B, D, E
A, C, E
C, D, E
A, D, E
D, E
B, D
A, B
A, B, C, D
B, E
A, B, C
A, B, D
A, C
A, B, D
B, D, E
A, B, C
C, D, E
B, C, D, E
B, E
A, D
C, D
A, C, E
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
98. B, C, D, E
99. C, E
100.
A, D, E
101.
B, D, E
102.
C, D, E
103.
A, B, D
104.
C, E
105.
A, C
106.
B, D
107.
A, C, E
108.
A, B, D, E
109.
D, E
110.
B, C
111.
A, B, D, E
112.
B, C, D
113.
A, D
114.
B, E
115.
B, E
116.
A, C, E
117.
A, B, C
118.
D, E
119.
A, B, C, E
120.
B, C, D
121.
C, E
122.
A, C, D, E
123.
B, D, E
124.
A, C
125.
A, B, C, E
126.
D, E
127.
C, E
128.
B, D, E
129.
A, C, D
130.
A, C
131.
B, C, E
132.
C, D, E
133.
B, D
134.
C, D, E
135.
A, C, E
136.
B, E
137.
D, E
138.
B, C, D
139.
C, E
140.
A, D
141.
B, D
142.
A, C
143.
B, C, D
144.
C, D, E
145.
B, C, E
146.
A, C, D
147.
B, E
148.
149.
150.
151.
152.
153.
154.
155.
156.
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190.
191.
192.
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195.
196.
197.
161
A, B, D, E
D, E
C, D
C, E
A, C, D
B, D
A, B, D, E
C, D
A, B, C
B, E
C, D
B, D, E
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C, E
A, D
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B, D
C, E
A, B, D
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A, B, C
B, C
C, D
A, D, E
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B, E
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A, B, C, D
A, C, D
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A, E
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A, C
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A, B
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B, C
A, B, D
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A, B, C, D
B, D, E
B, C, E
A, B, C
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
198.
199.
200.
B, C, D
A, E
B, C, D
162
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
48. E
49. C
50. D
51. A,C
52. A,C
53. C,D
54. B,C
55. B,D,E
56. A,C,D
57. C,D
58. A,B,C,E
59. A,B,E
60. A,B,C,D
61. A,B,D
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63. A,D,E
64. A,C
65. A,B,E
66. A,B,C,D
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68. B,D,E
69. A,C,E
70. B,C,D
71. B,D,E
72. A,B,C,E
73. C,D,E
74. A,B,D
75. B,C
76. A,B,C,D
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78. B,C,D,E
79. A,B,E
80. A,B,D
81. B,C,D
82. A,B,D,E
83. B,C,E
84. A,B,C,E
85. A,B,D,E
86. B,C
87. A,C,D,E
88. A,B
89. B,C,D
90. A,C,E
91. A,B,D,E
92. B,C,D
93. A,C,D,E
94. A,B,D
95. A,C,D,E
96. A,B,D
97. B,C,D,E
Questionnaire à choix multiple V
1. D
2. B
3. B
4. D
5. B
6. A
7. A
8. A
9. E
10. D
11. B
12. A
13. D
14. E
15. C
16. B
17. C
18. A
19. D
20. E
21. A
22. A
23. C
24. C
25. D
26. B
27. C
28. D
29. B
30. D
31. E
32. A
33. D
34. C
35. E
36. B
37. D
38. B
39. C
40. C
41. A
42. A
43. D
44. D
45. E
46. A
47. D
163
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
98. A,C,D,E
99. A,B,E
100. B,D,E
101. A,C,D,E
102. A,B
103. B,C
104. B,C
105. B,D
106. B,C,D,E
107. C,D,E
108. A,B,D,E
109. A,B,C,D
110. B,D
111. B,C,D
112. A,B,C,E
113. B,D
114. B,D
115. A,C
116. A,C,E
117. B,D,E
118. B,D,E
119. A,C,E
120. A,B,E
121. A,B,E
122. B,C,E
123. A,B,C,E
124. B,C,E
125. B,C,D
126. A,D
127. B,D,E
128. A,B,C
129. C,E
130. A,B,D,E
131. A,C,E
132. B,D,E
133. A,B
134. B,C,D,E
135. A,D,E
136. B,D
137. A,B,C,E
138. A,B,D,E
139. A,B,C,D
140. B,C,D
141. A,C,E
142. A,C,D,E
143. B,C
144. A,C,D
145. B,C,E
146. A,C,D,E
147. A,C,D
148.
149.
150.
151.
152.
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160.
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180.
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A,C,D,E
B,E
B,D,E
B,C,D
A,D,E
A,B,C,E
C,D,E
A,B,E
B,C,D,E
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B,D
A,B,D,E
B,D,E
A,E
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C, D
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C, D
B, C
B, D, E
A, C, E
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C, D
B, D
C, D, E
A, C
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A, B
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A, E
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A, E
B, C
Recueil de Questionnaires à Choix Multiples pour la préparation du concours d’internat en
médecine
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B, D
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