Anatole

Transcription

Anatole
Anatole
Arthur Schnitzler
mise en scène :
Claude Baqué
du 17 septembre au 1er novembre 2003
mardi, 19h, du mercredi au samedi, 20h, dimanche, 16h
relâche le dimanche 21 septembre
Location : 01 53 05 19 19
Plein tarif : de 28€ à 12€
Tarif réduit* : de 23 € à 8 €
*Moins de 27 ans, plus de 60 ans, demandeurs d’emploi sur
présentation d’un justificatif
Tarifs Jour J : 18-27 ans et demandeurs d’emploi
(50% de réduction le jour même, sur présentation d’un justificatif)
► Service de presse
Athénée Théâtre Louis-Jouvet : zef - Isabelle Muraour
Tél. : 01 43 73 08 88 - Mail : [email protected] - Port. : 06 18 46 67 37
Anatole
d’Arthur Schnitzler
Traduction de Claude Baqué
mise en scène
Claude Baqué
scénographie et lumières
Matthieu Ferry
Nathalie Lecoultre
costumes
son
François Olivier
assistante mise en scène
Isabelle Antoine
ensemblier - accessoiriste
David d’Aquaro
chef opérateur
Jacques Besse
coiffures
Diane Mahmoudi
stagiaire-lumières
Stéphane Gattoni
avec
Carlo Brandt
Zabou Breitman
Jacques Denis
Laurent Bariteau
Anatole
la femme
Max
Franz
__________________________________________________
Coproduction : Athénée Théâtre Louis-Jouvet,
Les Célestins–Théâtre de Lyon, Acte Deux.
L'Eclipse du désir
Anatole est la première œuvre dramatique d'Arthur Schnitzler. Contrairement
à La Ronde, plus connue, qu’il écrivit plus tard et où les scènes s’enchaînent
par accouplements successifs des personnages, Anatole fut conçu comme un
cycle de sept petites pièces en un acte parfaitement autonomes. Sept
planètes, de tailles différentes, tournant sur elles-mêmes et irradiant chacune
une lumière singulière. Aucune logique ne préside au bouquet qu'elles
composent. Pourtant elles tiennent ensemble. Sans être liées, ni contenues
dans un tout. Alors, comment ? Mettre en scène Anatole, c’est poser cette
question : autour de quel astre gravitent ces joyeuses planètes ? Et oser cette
réponse : le soleil noir du désir. Freud fit un jour cet aveu à Schnitzler : "Je me
suis souvent demandé d’où vous teniez la connaissance de tel ou tel point
caché, alors que je ne l’avais acquise que par un pénible travail
d’investigation, et j’en suis venu à envier l’écrivain que déjà j’admirais." La
pièce est publiée en 1892. Cette fin de siècle viennoise, cette Apocalypse
joyeuse, comme on l'a si bien nommée, qui vit basculer tous les domaines de
l'art et de la science vers une post-modernité inquiète, est le moment et le lieu
d'une faille. Anatole en est le point de raccord, un passage au trouble, au flou,
une sorte de fondu enchaîné sur la grande scène du baiser, quand les regards
déjà s'embrument. L'expression encore joyeuse d'une apocalypse dont le
siècle à venir révèlera le vrai visage. L'éclipse du soleil viennois. C'est
pourquoi nous avons fait le choix d'ajouter une toute dernière planète au cycle
des Anatole. La huitième, la 7 + 1. Celle qui brise le temps de l'éternel retour
et inscrit Anatole dans une histoire, dans un après. On le retrouve, âgé, face à
cette Femme qui lui échappait et dont il questionnait infiniment le désir. Le
moment du trop tard.
Claude Baqué
Arthur Schnitzler ( Vienne 1862 – 1931)
“Arthur Schnitzler, auteur dramatique et écrivain autrichien, représente la liaison
miraculeuse de la médecine et de la poésie (Freud voyait en lui son double) ;
Schnitzler, c’est la vie douce à proximité de la nécessité amère de la mort (Heinrich
Mann) ; Schnitzler, c’est la balance tchékhovienne entre la sensibilité psychologique et
la dureté objective. Il brosse des portraits atmosphériques des jeunes Viennois à la fin
du siècle d’une façon réaliste et impressionniste, il décrit la décadence postbourgeoise.
Fils d’un professeur de médecine, Schnitzler est né dans la Leopoldstadt, le quartier juif
de Vienne. Très jeune il écrit déjà du théâtre. Il passe son baccalauréat brillamment en
1879 et finit ses études de médecine en 1885. Il se spécialise en psychiatrie
(suggestion et hypnose), devient assistant à la Policlinique et, après la mort de son
père (1893), travaille pour une clientèle privée. Il se manifeste comme auteur
dramatique avec le cycle d’Anatole (1888-1891), représenté en partie dès 1891,
débutant avec Souper d’adieu (Abschiedssouper) à Bad Ischl (1893). Il connaît son
premier grand succès avec Amourette (Liebelei) au Burgtheater de Vienne en 1895.
En 1920, à Berlin, La Ronde (Der Reigen) provoque un grand scandale suivi
immédiatement d’un procès ; de même en 1921, à Vienne où la représentation dans
les Kammerspiele, assortie d’un véritable pugilat dans la salle, fut interdite (on ne
reprend La Ronde qu’en 1982). Le nazisme montant et l’antisémitisme font taire
Schnitzler et imposent le silence sur son nom jusqu’à sa mort.
Ses pièces sont caractérisées par une technique de l’épisode, de l’esquisse détaillée ;
au commencement de sa carrière d’auteur dramatique, l’influence d’Ibsen est très
sensible, notamment dans Märchen (Conte de fées, 1893), dans Freiwild (Chasse
ouverte, 1896) dont la première représentation est montée au Deutsches Theater de
Berlin sous la direction de son ami Otto Brahm et dans Das Vermächtnis (les
Dernières Volontés, 1898). Le directeur du Burgtheater Max Burckhard avait fait
monter Liebelei en 1895 ; un succès plutôt de hasard : habitant la même maison à
Vienne, un jour Schnitzler lui avait offert son manuscrit. La jeune Christine, das süβe
Mädel, typique de l’époque, tombe amoureuse de Fritz qui finalement est tué dans un
duel, résultat anachronique du code de l’honneur de l’armée austro-hongroise.
1899 : première représentation au Burgtheater de Au perroquet vert (Der grüne
Kakadu) qui se passe à Paris le soir de la prise de la Bastille. 1912 : la Ronde est un
écrit contre la morale de la fin du siècle ; c’est la première fois que l’on voit traiter très
librement sur scène des relations sexuelles. Professor Bernhardi (le Professeur
Bernhardi) est une pièce satirique qui peint la Vienne nationaliste, catholique et
antisémite de l’époque du maire de Vienne Karl Lueger. La pièce prévue pour le
Deutsches Volkstheater à Vienne, est interdite par la censure. La première a lieu à
Berlin au Kleines Theater en 1912, le jour même de la mort de Brahm. Schnitzler se
retire du théâtre.
Schnitzler est beaucoup joué partout en Europe après la Seconde Guerre mondiale.
Grande redécouverte de Schnitzler en France pendant les années quatre-vingt, surtout
avec la mise en scène de Terre étrangère (Das Weite Land) par Luc Bondy au
Théâtre des Amandiers à Nanterre (1984) avec Michel Piccoli et Bulle Ogier dans la
traduction de Heinz Schwarzinger.”
U. Birbaumer
Source : Dictionnaire encyclopédique du théâtre, ss.dir de Michel Corvin, coll. In
Extenso, ed. Larousse-Bordas, 1998.
Repères biographiques
Claude Baqué : metteur en scène et comédien
Après des études littéraires et d’art dramatique, Claude Baqué crée dans les années
quatre-vingt La Comédie du Halage. Il monte alors des auteurs comme Calet, Obaldia,
Varoujean, Pinter. En tant que comédien, Claude Baqué a joué dans Dom Juan de
Molière, L’Epreuve de Marivaux, Le Baladin du monde occidental de Synge (mise en
scène de Philippe Adrien), etc… Il a également réalisé deux films moyen-métrage, Le
Saut du Renard et Noces de Plâtre.
En 1994, il fonde la Compagnie Acte Deux et met en scène Le Misanthrope de Molière,
Trois Pièces Rupestres, Matrices d'Armando Llamas, Roberto Zucco de Bernard-Marie
Koltès, Abîme, aujourd’hui la Ville de François Bon et dernièrement, Bobby Fischer vit
à Pasadena de Lars Noren et Septembre blanc (The Mercy seat) de Neil LaBute à
l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet.
Zabou Breitman (la femme)
Actrice, réalisatrice, scénariste française, Zabou Breitman a débuté au théâtre au début
des années quatre-vingt. Elle joue dans The Rocky Horror Picture Show (mise en
scène de Alain Bloubil), Jeune couple (mise en scène de Pascale Arnold et Agnès de
Sacy), Popkins (mise en scène de Danièle Chuteaux), Georges Dandin de Molière
(mise en scène de Roger Planchon). Suivent ensuite Cuisines et dépendances de
Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui (mise en scène de Stéphane Meldegg), Le Tartuffe
de Molière (mise en scène de Jacques Weber), Temps variable en soirée d’Alan
Ayckbourn (mise en scène de Stéphane Meldegg), La Jeune fille et la mort d’Arielle
Dorfman (mise en scène de Daniel Benoin), Skylight de David Hare (mise en scène de
Bernard Murat). Récemment, on a pu la voir dans House and Garden d’Alan Ayckbourn
(mise en scène d’Alan Ayckbourn et Zabou Breitman) et dans Hilda de Marie N’Diaye
(mise en scène de Frédéric Bélier-Garcia).
Au cinéma, Zabou a débuté dans Elle voit des nains partout de Jean-Claude Sussfeld.
Elle a ensuite tourné avec Claude Zidi (Banzaï), Daniel Vigne (Une femme ou deux),
Gérard Mordillat (Billy ze kick), Jean Curtelin (Suivez mon regard), Jacques Fansten
(Etats d’âme), Pierre Jolivet (Le complexe du kangourou, Ma petite entreprise), Roger
Planchon (Dandin), Yves Boisset (La Travestie), Diane Kurys (La Baule les Pins), Henri
Verneuil (588, rue de Paradis), Coline Serreau (La Crise), Philippe Muyl (Cuisine et
dépendances). En 2001, Zabou Breitman réalise son premier long métrage Se souvenir
des belles choses qui reçoit notamment le César 2003 de la meilleure première œuvre
de fiction et le Prix du meilleur scénario au Festival des Films du Monde à Montréal.
Dernièrement, elle a joué dans Un monde presque paisible de Michel Deville.
Pour la télévision, elle a travaillé avec des réalisateurs tels que Marc Angelo, Alain
Tasma, Patrick Bouchitey, Pierre Jolivet, Jean-Paul Salomé…
Carlo Brandt (Anatole)
Comédien suisse d’origine italo-allemande, Carlo Brandt a travaillé au théâtre avec
Benno Besson (Lapin Lapin d’Elie Bourquin, Le Dragon d’Evguéni Schwartz, Don Juan
de Molière), Claude Stratz (Le Prince de Hombourg de Heinrich von Kleist, L’Epreuve
de Marivaux), Matthias Langhoff (Le Perroquet vert d’Arthur Schnitzler), JeanChristophe Bailly (Pandora, Bach), Georges Lavaudant (Platonov de Tchekhov, La
Compagnie des hommes d’Edward Bond). Au début des années 90, il commence une
collaboration avec Alain Françon et révèle au public français l’œuvre d’Edward Bond
(La Compagnie des hommes, Pièces de guerre, Café, Le Crime du XXIème siècle). Au
cours de la saison 1997/1998, il monte Check-up d’après des textes inédits d’Edward
Bond, spectacle programmé au Festival d’Avignon. Il reçoit du Syndicat de la Critique
le Prix du meilleur comédien 1997/1998.
Toujours sous la direction d’Alain Françon, Carlo Brandt a joué dans La Mouette de
Tchekhov, Edouard II de Christopher Marlowe et plus récemment Skinner de Michel
Deutsch. Il a aussi travaillé avec Bernard Sobel dans L’Otage de Paul Claudel au
Théâtre de Gennevilliers (2001) et Barbara Nicolier dans Avanti ! de Gramsci, Pasolini
et Negri au Théâtre de Vidy à Lausanne et au Théâtre de la Colline en 2002.
Au cinéma, Carlo Brandt a tourné sous la direction de Marcel Schupbach (Happy end),
Jacques Rouffio (L’Orchestre rouge), Régis Wargnier (Indochine), Roger Planchon
(Louis enfant roi), Yannick Bellon (L’Affût), Patrice Leconte (Ridicule), Olivier Dahan
(Déjà mort, Le Petit poucet), Michaël Haneke (Code inconnu), Guillaume Nicloux (Une
affaire privée), Siegried Alnois (Elle est des nôtres).
Pour la télévision, il a travaillé avec Gérard Verges, Michel Soutter, David Delrieux,
Jean-Christophe Bailly, Elisabeth Rappeneau, Michel Wyn, Charlotte Silvera, Igaal
Niddam, Vincent Monnet, Arnaud des Pallières.
Jacques Denis (Max)
Il débute le théâtre en 1965 et joue pendant quatre ans avec plusieurs troupes en
décentralisation : le Théâtre Populaire de Lorraine, le Théâtre de Champagne, le
Théâtre Populaire Romand et la Comédie de Lorraine.
Il participe ensuite à une trentaine de spectacles en Suisse, à Genève ou Lausanne, où
il travaille régulièrement avec plusieurs metteurs en scène : François Rochaix, André
Steiger, Martine Paschoud et Hervé Loichemol. Il joue notamment Brecht, Molière,
Shakespeare, Labiche, Büchner, Goethe, Henry Becque, Diderot, Karl Valentin,
Sénèque ainsi que des auteurs contemporains : Botho Strauss, Thomas Bernhard,
Michel Beretti, Thomas Hürlimann, Mathias Zschokke, Joël Jouanneau et Heiner
Müller.
En France, il travaille avec Joël Jouanneau (La Dédicace de Botho Strauss), Jean
Jourdheuil, Hans-Peter Cloos (Roméo et Juliette de Shakespeare), Jacques Kraemer
(Pièces de mer de Eugène O’Neil, Une fête pour Boris de Thomas Bernhard), Claude
Yersin (Oncle Vania de Tchekhov), Rosine Lefebvre (La Brige et la Casquette de
Courteline et La Moscheta de Ruzante), Alain Françon (King de Michel Vinaver), JeanClaude Berutti (La Cerisaie de Tchekhov).
Il a participé au cinéma suisse des années 70, en jouant avec Michel Soutter (James
ou pas, Les Arpenteurs) et Alain Tanner (La Salamandre, Le Milieu du monde, Jonas
aura 25 ans en l’an 2000). On l’a également vu, entre autres, dans L’ Horloger de
Saint-Paul de Bertrand Tavernier, La Question de Laurent Heynemann, Un nuage entre
les dents de Marco Pico, Dites-lui que je l’aime de Claude Miller, I comme Icare d’Henri
Verneuil, Allons z’enfants d’Yves Boisset, Calmos et Notre Histoire de Bertrand Blier ou
Chocolat de Claire Denis.
Il a également joué dans une quarantaine de téléfilms, notamment dans des
réalisations de Serge Moati, Michel Favart, Michel Polac, Jacques Ertaud, Christiane
Spiero, Jacques Fansten, Jacques Doillon, Gérard Vergez ou Bernard Giraudeau.
Laurent Bariteau (Franz)
Après une formation de comédien à l’Atelier international de théâtre et avec Antoine
Campo, Laurent Bariteau a travaillé avec Junsi Fuseya (Andromaque d’Euripide, Nô
moderne de Mishima, Eternelle Hélène d’après Euripide, Yuzuru, l’oiseau du
crépuscule de Kinoshita). Il a ensuite joué dans des spectacles d’Antoine Campo
(Electre de Sophocle, L’Echange de Paul Claudel, La Mise au monstre d’un nouveau
monde de Jean-Louis Bauer), Philippe Genty (Dédale) et Anne Delbee (Hernani de
Victor Hugo). En parallèle, Laurent Bariteau a pratiqué le chant, la danse et effectué de
nombreux stages de théâtre, notamment avec Ariane Mnouchkine, Joël Pommerat,
Jacques Kraemer, Elisabeth Chailloux, Philippe Minyana, Sylvain Maurice, Jack
Waltzer… Il a aussi participé à plusieurs courts métrages pour le cinéma et télévision.
Matthieu Ferry : lumières et scénographie
Matthieu Ferry a créé les lumières de Abîme, aujourd’hui la Ville, et Septembre blanc
(The Mercy seat) mis en scène par Claude Baqué. Il a également travaillé avec Michel
Raskine, Claudia Stavisky, Jacques Falguières et Véronique Vidocq et réalisé la
scénographie et la lumière de Bobby Fischer vit à Pasadena de Lars Noren mis en
scène par Claude Baqué, de Liliom de Ferenc Molnar et Dom Juan de Molière mis en
scène par Guy Lumbroso au Forum Culturel du Blanc-Mesnil et de La Princesse
blanche de Reiner Maria Rilke mis en scène par Philippe Labaune au Théâtre du
Verseau à Lyon.
Nathalie Lecoultre : costumes
Nathalie Lecoultre a travaillé à l’Opéra National de Lyon pour la création des costumes
des Ballets Féeriques, mis en scène par Lionel Hoche. Elle a également conçu les
costumes de La Belle et la Bête à Lyon pour la Biennale de la Danse.
Elle a réalisé l’an passé les costumes de Bobby Fischer vit à Pasadena de Lars Noren,
mis en scène par Claude Baqué et Septembre blanc (The Mercy seat). Elle a aussi
travaillé pour le cinéma auprès de Catherine Corsini, Patrick Allessandrin, Gérard
Jugnot, Bernard Rapp, etc…
François Olivier : son
François Olivier a collaboré avec Claude Baqué pour la bande son du Misanthrope de
Molière, de Trois Pièces Rupestres et Matrices d’Armando Llams, de Roberto Zucco de
Bernard-Marie Koltès. Il a récemment travaillé avec Antoine Campo pour la réalisation
sonore de La Novice et la Vertu de Jean-Louis Bauer et de La Diva d’Auschwitz de
Jean-Louis Bauer. François Olivier a réalisé dernièrement la bande-son de Bobby
Fischer vit à Pasadena de Lars Noren et de Septembre blanc (The Mercy seat) de Neil
Labute, mis en scène par Claude Baqué.
Rendez-vous_______________
Carte blanche à Zabou Breitman ● à partir du 17 septembre
Films choisis par Zabou Breitman
MK2 Hautefeuille, 7 rue Hautefeuille, 75006 Paris
Séances tous les jours à 11h sauf mercredi – Tarif : 4,90€
Regards croisés ● Arthur Schnitzler / Max Ophüls
Lundi 29 septembre, 20h30
La Ronde de Max Ophüls (1950)
La projection sera suivie d’une rencontre avec Claude Baqué et l’équipe artistique
du spectacle Anatole.
MK2 Hautefeuille, 7 rue Hautefeuille, 75006 Paris – Tarif : 6,50€
Débat ● mercredi 22 octobre, 17h
Rencontre avec Claude Baqué et l’équipe artistique du spectacle.
Fnac Saint-Lazare, Passage du Havre 75009 Paris – Entrée libre
SAISON 2003 / 2004
Anatole
ARTHUR SCHNITZLER
mise en scène : Claude Baqué
17 09 03 / 01 11 03
Solness, le constructeur
HENRIK IBSEN
mise en scène : Sandrine Anglade
08 11 03 / 06 12 03
Le Docteur Ox
JACQUES OFFENBACH
direction musicale : Benjamin Lévy
mise en scène : Stéphan Druet
11 12 03 / 03 01 04
Le Gendarme incompris / Histoire du soldat
FRANCIS POULENC / IGOR STRAVINSKI
direction musicale : Jean-Luc Tingaud
mise en scène : Antoine Campo
chorégraphie : Jean Guizerix
16 12 03 / 04 01 04
Eva Perón
COPI
mise en scène : Gloria Paris
14 01 04 / 14 02 04
La Danse de mort
AUGUST STRINDBERG
mise en scène : Jacques Lassalle
03 03 04 / 10 04 04
Les Joyeuses Commères de Windsor
WILLIAM SHAKESPEARE
mise en scène : Jean-Marie Villégier - Jonathan Duverger
21 04 04 / 22 05 04
Reigen d’après La Ronde de Schnitzler
PHILIPPE BOESMANS
direction musicale : Jean-Luc Tingaud - Neil Beardmore
mise en scène : Matthew Jocelyn
08 06 04 / 16 06 04
________________________________________
Les partenaires de l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet
France Inter – Télérama – Paris Première – Théâtres
Biche de Bere – Air France

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