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LIEU DE RENCONTRE
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Le cyberbulletin des anciennes et anciens de Katimavik
En janvier dernier a eu lieu le
lancement du Bureau des anciennes et
anciens de Katimavik, dont le mandat
est de soutenir et de dynamiser les
anciens participants au programme.
Message du directeur général
Chers anciens et anciennes, le présent
Lieu de rencontre montre encore une
fois tout le dynamisme qui caractérise
nos anciens et actuels participants!
Katimavik Rap
Message du directeur général
Katimavik Rap
Les anciens s'engagent
partout au pays!
Nos participants aujourd'hui à
travers les régions...
Le siège social voit vert!
Enseignement à domicile, nonscolarité et école gratuite?
1981-1982
1983-1984
1984-1985
1997-1998
2004-2005
Août 2006
Soumettez vos
écrits pour notre
prochain Lieu de
Rencontre!
Passez le mot...
devenez
recruteurs pour
Katimavik!
You think you know life?...
Les anciens
s'engagent partout
au pays!
Nos participants
aujourd'hui à
travers les régions...
Du côté de
l'Atlantique
Découvrir la ColombieBritannique
Au Québec
Cap sur les Prairies
Premier
rassemblement des
anciens en Ontario!
Dans les coulisses de
l’Ontario
Aux Prairies, une
ancienne participante
qui vient de loin!
Le siège social voit
vert!
À l’œuvre dans la région
de l’Atlantique
1981-1982
Mireille Caron
Nous sommes heureux de
vous apprendre que le
siège social a maintenant
son comité vert!
Enseignement à
domicile, nonscolarité et école
gratuite?
En tant qu’agent de
projet, j’ai rencontré
file://\\katim-data\TI\meeting\20060809FR.htm
1983-1984
Louis Landry
1984-1985
Andy Drost et Marc
Lafortune
1997-1998
2007-01-22
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beaucoup de jeunes
désillusionnés par rapport
à leur expérience
scolaire...
Geneviève Cossette
2004-2005
Alison Marchbank et
Stephanie Coombes
En janvier dernier a eu lieu le lancement du Bureau des anciennes et anciens de Katimavik, dont le
mandat est de soutenir et de dynamiser les anciens participants au programme. De nombreuses
initiatives sont déjà menées dans différentes régions du pays; le Bureau des anciens, situé au siège
social de Montréal, appuiera exclusivement, comme l’indique son nom, celles qui concernent les anciens.
Un agent – lui-même un ancien, et qui de mieux qu’un ancien? – a été désigné pour coordonner les
activités de ce nouveau bureau. Nous avons compilé vos commentaires (positifs et négatifs) et
suggestions au fil des ans et à partir de ceux-ci, nous avons défini un mandat visant trois objectifs.
Consolider notre réseau
Nous remanions actuellement notre Bottin des anciens pour mieux répondre aux besoins des anciens
participants. Nous voulons cet outil beaucoup plus pratique et plaisant. Nous offrons également de
l’assistance aux personnes qui cherchent à renouer avec d’anciens amis du programme, ainsi qu’aux
anciens qui souhaitent participer d’une façon ou d’une autre à des initiatives actuelles – hébergement,
recrutement, ateliers, etc.
Cultiver le sentiment d’appartenance à la communauté Katimavik
Le cyberbulletin des anciens est publié de trois à quatre fois par année. Il contient entre autres des
histoires, des profils d’anciens, des articles sur des sujets de l’heure concernant l’organisation et des
éléments de réflexion sur des façons pour les participants de cultiver leur sentiment d’appartenance
après l’expérience Katimavik. Nous offrons également des outils ciblés aux finissants du programme et
créons des solutions originales pour garder le contact avec les anciens qui ont défriché le terrain dans les
générations passées.
Aider l'Association des anciennes et anciens à atteindre l’autonomie financière
Nous créons des occasions pour soutenir financièrement notre association, pour assurer son avenir et
pour offrir aux anciens des possibilités intéressantes. Nous travaillons avec des petites entreprises
locales fondées sur le commerce équitable pour lancer notre propre ligne de vêtements pour anciens.
Nous voulons aussi créer d’autres articles promotionnels pour pouvoir ainsi arborer fièrement le logo des
anciens.
Nous espérons que le Bureau des anciens permettra de perpétuer la vision du programme, soit une
expérience d’apprentissage continu. Une grande aventure commence quand un groupe de jeunes vivent
sous le même toit, visitent différentes communautés et s’engagent à donner ce qu’ils ont de plus
précieux – leur temps. Les participants d’il y a trente ans le disent : Katimavik est une expérience
d’apprentissage continu. Une expérience qui se poursuit si l’on reste en contact.
Cory Legassic
Agent du Bureau des anciens
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Message du directeur général
Chers anciens et anciennes,
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Le présent Lieu de rencontre montre encore une fois tout le dynamisme qui caractérise nos anciens et
actuels participants!
De vous voir aussi nombreux à recruter nos futurs participants, à développer des projets dans de
nouvelles communautés, à vous rassembler, participants actuels et anciens, je suis fier de faire partie de
la grande famille Katimavik, qui depuis presque trente ans, a vu plus de 25 000 jeunes Canadiennes et
Canadiens devenir des ambassadrices et ambassadeurs de l’engagement civique.
Le printemps et l'été sont des saisons bien remplies pour nous. Outre la préparation de sa
programmation régulière qui verra plus de 920 des 10 000 candidats contribuer aux activités de quelque
500 organismes sans but lucratif au pays en 2006-2007, Katimavik a dévoilé récemment les résultats
d’une étude des impacts socio-économiques du programme. Cette étude confirme que chaque dollar
investi par Katimavik entraîne 2,20 $ de retombées dans chaque communauté participante. Je vous
invite à consulter notre site au www.katimavik.org pour en connaître les détails.
Bon été à vous tous et toutes,
Jean-Guy Bigeau
Directeur général de Katimavik
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KATIMAVIK RAP
Verse 1
You think you know life?
Been here and there and seen the sights,
Well you don’t know anything until you give it a try.
I bet you’ll see a lot of things that will open your eyes,
And in only nine months you’ll have a different state of mind.
I know your kind and that your greater than thy,
You may not know how to get there,
But you know what you want to leave behind.
Hey that’s okay its better than nothing alright,
But you’re not going to survive
Staying waiting overnight.
Put your foot out the door
Go places that you’ve never been
Have something to teach your kids,
To live through their generation
Across the nation, different faces, different names
Somewhere someone likes you makes a difference every day
Get in the way; get your voice, get your name
Don’t have to be an average Joe because you were told to be that way
I know what you need, so I’ll give you your fix
It’s for the people for the kids well its called Katimavik.
Chorus
Sunrise, sunset
The meeting place you’ve never been yet
For the people for the kids
Well it’s called Katimavik.
Making something out of nothing
For the memories that will always stick
For the people for the kids
Well it’s called Katimavik.
Verse 2
I know it seems kind of funny like it’s hard to believe,
But I tell you after a few months, well, these people are my family.
A test of what you are, your taste of reality,
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Knowing that to be free means work, responsibility.
We have people from all across our little stretch of land,
So we know exactly what it takes to be Canadian.
No more faming them, or blaming them
Stepping back and judging them
Because living with them and feeling them,
Is knowing exactly how to be them.
Share everything we got, clothes, bread and cigarettes.
Got a twelve o’clock curfew, hell well you know the rest.
Got to consider all these options so we can be the best,
Do it for the others, and that heart beating in your chest.
Working kitchens, sharing labour for the homeless,
Kids of all ages, and rallies for the environment.
Well I know I hit the target, and I know that you’re feeling it.
It’s everything and more, and it called Katimavik.
Chorus
Verse 3
So take my advice and thank me later when it works,
Be glad for what you have, with all your little qualms and quirks
You don’t have no cash, you don’t have no job,
You’re just typical slob, you wasn’t robbed of anything you got.
Time to make a change for the mistakes that you done,
And be surprised what you accomplish when you’re out on your own.
You have a posse full of people that will always have your back,
Hell, look at half these rhymes in my Katimavik rap.
Now sometimes you’ll hate the program, and wish you never came
Sometimes you’ll forget the point of it, and give up on the day.
But it all gets better for the fallen bros in my heart,
It’s just the first trimester time for another jump start.
STOP! (pause)
I need a moment of silence because ten people in one house
Can be a lot of traffic
Then we all start laughing because we’re feeling that magic
Get over it real quick and go, Katimavik savage.
So come a little closer so I can give you a taste,
It’s called Katimavik for the whole human race.
-
Double chorus
Kristofer Olson, 2005-2006
Sherbrooke (QC), New Westminster (BC), Edson (AB)
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Du côté de l’Atlantique
Des anciens très engagés!
Les anciennes et anciens de la région de l’Atlantique participent activement à la promotion du
programme auprès des jeunes de Terre-Neuve, de l’Île-du-Prince-Édouard, du Nouveau-Brunswick et de
la Nouvelle-Écosse. Certains ont parlé de leur expérience à des jeunes à risque inscrits dans des
programmes spéciaux, d’autres à des jeunes et leurs parents dans des écoles secondaires et dans des
centres commerciaux locaux. Les anciens jouent aussi un grand rôle dans les groupes Katimavik actuels
de la région à titre de familles d’accueil ou de visiteurs dans les maisons Katimavik. Bref, ils sont
toujours heureux de partager leur histoire avec les nouveaux participants au programme. Enfin, des
anciens ont raconté leur expérience dans des cours de formation du personnel, et certains ont même
accompagné des participants à la soirée des prix Juno, qui a eu lieu à Halifax le 2 avril dernier.
Le bureau régional de l’Atlantique tient à remercier tous les anciens qui ont participé, peu importe
comment, aux activités de Katimavik après avoir suivi le programme. Leur expérience, leur passion et
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leurs efforts pour promouvoir le programme auprès des jeunes Canadiennes et Canadiens sont
inestimables!
Laura Richardson
Agente des communications et du développement, région de l’Atlantique
Des participants et des anciens de Katimavik côtoient des
vedettes à la soirée des Juno
Près de 400 personnes (dont des anciens et cinq groupes de Katimavik) se sont portées volontaires pour
occuper les sièges libres lors de la soirée des prix Juno tenue à Halifax le 2 avril 2006. Les groupes
Katimavik de Caraquet et de Lamèque ont joint la triade locale (Tatamagouche, Truro et Halifax) pour
remplir les sièges libérés par les vedettes et les directeurs musicaux allant cueillir leur prix sur la scène
et s’entretenir avec leurs homologues en coulisse. Certains participants ont même eu la chance de serrer
la main à Bryan Adams et à Michael Bublé! Les organisateurs ont remercié les participants de Katimavik
pour leur conduite exemplaire, et ont souligné à quel point il a été agréable de travailler avec eux tout
au long de la soirée. Quant aux anciens, ils ont été ravis de prendre part à cet événement, et en sont
ressortis avec tout plein d’histoires à raconter sur les coulisses du monde de la musique.
Anthony Loring
Gestionnaire des communications et du développement, région de l’Atlantique
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Une ancienne qui veut amener Katimavik dans
sa communauté
Je me souviendrai toujours de ma première rencontre avec Katimavik : je n’avais que 13 ans à l’époque.
Je les trouvais tellement beaux dans leur manière d’être unis, d’être ensemble en tant que groupe. Je
me trouvais chanceuse qu’ils soient venus à mon école secondaire présenter le programme durant une
heure du midi. Pendant quatre ans, j’ai attendu d’avoir l’âge minimal pour y participer à mon tour.
À 17 ans, j’étais alors moi-même participante à Katimavik. De Fredericton (Nouveau-Brunswick) à
Frelighsburg (Québec), en passant par Okotoks (Alberta), j’ai vécu les sept mois les plus intenses de ma
vie. Qui aurait dit que ma petite base en anglais de « yes, no and toaster » finirait par faire de moi
quelqu’un qui aujourd’hui parle deux langues?
Je me souviens même de cette publicité que Katimavik avait à l’époque, où un jeune adulte disait avec
un grand sourire « Katimavik, ça a changé ma vie! ». Je me disais qu’il ne fallait quand même pas
exagérer, c’est seulement un programme jeunesse, non?
Pourtant, aujourd’hui, je fais tout ce qui est en mon pouvoir pour que Katimavik puisse s’implanter dans
ma communauté, à Baie-St-Paul, afin que les gens de chez nous puissent échanger et partager avec la
culture canadienne, puissent faire un petit voyage qui fait chaud au cœur par l’entremise de onze jeunes
venant d’ici, au Québec, et d’ailleurs, pour que la jeunesse avance et puisse voir que dans les régions
aussi, on peut s’amuser et vivre de belles expériences.
Je me souviendrai toujours de la première fois que j’ai dit, avec un très grand sourire : « Katimavik, ça a
changé ma vie! »
Meggie Tremblay Pilote, 2001-2002
Fredericton (NB), Okotoks (AB), Frelighsburg (QC)
Être un ancien, mais un ancien actif…
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Katimavik, l’expérience qui change une vie. Vivre l’après-Katimavik, c’est vouloir partager ce périple,
vouloir faire connaître ce qui nous a tant changés. Au retour de Katimavik, un besoin : parler. Raconter
l’incroyable aventure des neuf derniers mois. Être compris et entendu. Crier au monde entier que
Katimavik existe.
L’après-Katimavik
Revenir de Katimavik, se sentir perdu. Confus. Combien de fois me suis-je réveillé la nuit me demandant
où étaient les autres gars, cherchant à comprendre où j’étais, pourquoi mon lit n’était-il pas dans un
bunk bed? Il n’y avait plus d’Edward, mon agent de projet, pour nous réveiller en jouant de la guitare. Je
sortais du lit et je cherchais le déjeuner préparé pour moi. Avoir à faire le deuil de ma vie avec ces dix
autres personnes, essayer de se réadapter à la vie familiale, retourner sur les bancs d’école, et surtout,
cette peur de ne pas se rappeler tous les moments passés pendant cette formidable aventure. Revivre
sans Katimavik, mais avec Katimavik en même temps…
Donner à d’autres la chance de vivre ce que l’on a vécu
Renouer avec ses souvenirs, en les racontant à d’autres, c’est souvent la meilleure façon de revivre et de
comprendre son expérience. Novembre 2004, un appel d’Isabelle Lachance du bureau du Québec : «
Renaud, voudrais-tu animer un kiosque pour Katimavik dans une école secondaire? » Accepté sur le
champ. Pourquoi? Pour pouvoir raconter mon Katimavik à d’autres, pour rester proche du programme et
garder contact avec les gens qui y travaillent, qui y participent encore. Le 21 novembre, Polyvalente
Lavigne à Lachute. Une journée extraordinaire puisque j’ai renoué avec mon expérience.
Puis, un autre appel d’Isabelle et une proposition: devenir agent de recrutement pour le programme.
Pourquoi pas? Une rencontre avec Isabelle et j’étais prêt à commencer. C’était il y a près de six mois.
Depuis, j’ai eu la chance de parler de mon aventure à plus d’un millier de jeunes en les rencontrant dans
leurs écoles, dans les maisons de jeunes, dans les CJE (Carrefour jeunesse-emploi). En donnant des
entrevues à la radio, dans les journaux. Travailler pour Katimavik, c’était une opportunité rêvée. C’est
avoir la possibilité de faire son propre horaire et de parler de quelque chose qui nous tient à cœur.
Devenir ceux qui nous ont donné le goût de l’aventure. Perpétuer la tradition du don de soi à nouveau,
mettre à profit ce que l’on a appris dans Katimavik, l’intégrer à notre quotidien. Voir des jeunes qui
partiront prochainement, eux aussi, afin de vivre l’incroyable aventure que l’on a vécue. Et plus que tout,
transmettre sa passion.
À ceux qui me demandent si je suis un ancien, je préfère répondre : « J’sus un ancien, mais un ancien
actif! »
Renaud Sylvain, 2004-2005
Thessalon (ON), Saint-Cyprien (QC), Deer Lake (NF)
Le Club des anciens du Québec: le nombre d’anciens
inscrits ne cesse d’augmenter!
Le Club des anciens du Québec regroupait 105 anciens le 10 mars 2005, et un peu plus d’un an plus
tard, il en regroupe 308. Wow! Des anciens impliqués, informés et intéressés à garder contact avec le
bureau régional du Québec. Un gros merci à tous pour votre collaboration et votre engagement, vous
êtes des ressources précieuses.
En plus de recevoir des nouvelles par la poste et par courriel quelques fois par année, les anciens du
Club sont invités à prendre part à différentes activités avec les participants actuels et pour des
demandes ponctuelles du bureau régional. Encore une fois, merci!
Si vous désirez recevoir le formulaire d’inscription ou pour tout commentaire ou suggestion sur le Club
des anciens du Québec, n’hésitez pas à contacter Isabelle Lachance au [email protected].
file://\\katim-data\TI\meeting\20060809FR.htm
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Isabelle Lachance,
Agente des communications et du développement, région de Québec
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Premier rassemblement des anciens de
Katimavik en Ontario!
Le vendredi 24 mars dernier, les villes de Toronto et d’Ottawa ont uni leurs forces pour tenir des
réunions parallèles à l’intention des anciens de Katimavik de leur région. En collaboration avec le siège
social de Katimavik à Montréal, le bureau de l’Ontario travaille à la mise sur pied de l’Association des
anciens et anciennes en s’appuyant sur une vaste base de données enrichie des expériences des
participants des30 dernières années. Pour susciter l’intérêt des anciens envers cette initiative, l’équipe
des communications et du développement de l’Ontario a convié les anciens d’Ottawa et de Toronto à un
rassemblement dans un restaurant local.
Lors des deux rassemblements, les anciens participants ont eu l’occasion de se rappeler leur expérience,
de rencontrer de nouveaux participants et de prendre part à différentes activités pour ainsi revivre leurs
plus beaux moments du programme. L’événement s’est avéré une grande réussite dans les deux villes :
les anciens – tant des années 1970, du début des années 1980 que des dernières années – y ont
participé en grand nombre. Il a favorisé un esprit de groupe que certains anciens n’avaient pas senti
depuis des décennies. Entre deux bouchées, les anciens ont été invités à exprimer leur opinion sur la vie
après Katimavik et à donner des suggestions sur la façon dont leurs services et leur expérience
pourraient mieux être mis à profit dans le cadre du programme actuel. À titre d’invité spécial à Ottawa,
Cory Legassic, à la tête de l’Association à l’échelon national, s’est adressé aux anciens en insistant sur le
fait que Katimavik souhaite leur tendre la main et leur offrir une plateforme grâce à laquelle ils pourront
continuer à tirer parti de l’esprit de Katimavik.
Le bureau de l’Ontario a hâte d’organiser d’autres rassemblements du genre et espère qu’encore plus
d’anciens y participeront et redécouvriront cet agréable sentiment d’appartenance à la communauté
Katimavik.
Nick Iannitti
Agent des communications et du développement, région de l'ontario
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Aux Prairies, une ancienne participante qui
vient de loin!
Aimez-vous l’aventure? Aimez-vous faire du bénévolat? Aimez-vous voyager? Ces trois questions
apparaissaient dans une petite annonce d’un journal de Winnipeg. On y disait aussi de composer un
numéro sans frais si on répondait oui à chacune de ces questions. C’est donc ce que j’ai fait, sans savoir
où cela allait me mener…
Originaire d’un village de 150 âmes (si ce n’est pas moins!), je n’avais encore jamais pris l’avion avant
mon départ pour cette palpitante aventure décrite dans la trousse du programme.
En m’inscrivant à Katimavik, je ne savais pas que ma vie allait changer à ce point. Certes, je savais qu’il
fallait profiter pleinement de la vie, mais grâce à Katimavik, j’ai appris à dépasser mes limites. Le
programme nous a tous donné la chance de gérer notre expérience et de tirer le maximum de chaque
moment.
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Après le programme, j’avais besoin de m’investir encore. J’ai été coordonnatrice sur le terrain, famille
d’accueil, présidente d’un CKL, agente de projet, personne-ressource et jusqu'à tout récemment,
gestionnaire des communications et du développement pour la région des Prairies. En jouant tous ces
rôles, j’ai voulu témoigner ma reconnaissance au programme, car c’est grâce à lui que je suis devenue la
personne que je suis aujourd’hui.
Comme les anciens participants au programme le savent, Katimavik n’est pas seulement un lieu de
rencontre. C’est aussi un lieu où l’on peut se réinventer, où l’on peut tirer le maximum de chaque
expérience et où l’on peut faire partie d’une deuxième famille.
Geneviève Clément, 1996-1997
Orillia (ON), Lac Beauport (QC), Calgary (AB)
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Une activité culturelle réussie!
Les 11 et 12 mars, le groupe de Merritt (Colombie-Britannique) a visité Vancouver, l’une des plus
importantes villes du Canada. Cette excursion a été très appréciée des participants qui ont bénéficié du
ciel bleu et du soleil tout au long de la fin de semaine.
Ils ont eu la chance d’explorer Stanley Park à cheval sur leur bicyclette. C’était un paysage splendide
pour de jeunes Canadiens des quatre coins du pays.
Ils ont eu aussi l’opportunité de visiter une galerie d’art qui exposait Brian Jungen; concepteur de
masques autochtones fabriqués à partir d’espadrilles Nike.
En plus, ils se sont instruits sur les différentes espèces d’animaux aquatiques, en visitant l’aquarium. Ils
ont assisté à plusieurs spectacles, dont celui des loutres, et ils ont pu voir une foule de poissons
tropicaux.
D’autres activités intéressantes étaient au programme : une randonnée pédestre à Lynn Canyon, du
temps libre à Granville Island, une visite au Musée d’anthropologie ainsi qu’un souper italien sur
Commercial Drive.
Quel beau voyage!
Audrey Charron, 2005-2006
Lamèque (NB), Merritt (BC), Woodstock (ON)
Katimavik et Fred Penner unissent leurs voix
En février dernier, le groupe Katimavik de New Westminster a eu l’honneur de monter sur scène avec le
célèbre animateur de spectacles pour enfants Fred Penner. M. Penner était de passage à Burnaby du 25
au 27 février à l’occasion d’un week-end de chanson, de discours et de conférence intitulé « Honouring
the Child », qui avait lieu à la South Burnaby United Church.
Les participants à Katimavik ont été conviés à un déjeuner-conférence avec M. Penner, ainsi qu’à un
concert où ils ont uni leurs voix à celle du chanteur pour interpréter la dernière chanson, « This little
light of mine ». Bon nombre d’entre eux regardaient, tout petits, la série télévisée pour enfants « Fred
Penner’s Place »; ils ont ainsi eu l’occasion de rencontrer l’une des plus grandes idoles familiales du
Canada. Au cours de la matinée, M. Penner a été informé du fait que plusieurs membres du groupe
étaient doués en musique. Il a donc invité ces derniers à une séance privée et leur a demandé de
chanter avec lui la chanson de la fin. « La musique de Fred Penner est la moitié de la magie », a affirmé
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Ryan McBride après être monté sur scène avec l’artiste. « C’est certes quelque chose de voir sous nos
yeux notre idole d’enfance, mais de pouvoir jouer de la musique avec lui sur scène est une chose qui
n’arrive qu’une fois dans une vie ». Le groupe n’aurait pu participer à cet événement sans le généreux
appui de l’Église et de l’une de ses régulières, Sharon Midgley, dont le fils, Brendan, a participé au
programme Katimavik en 2005. Brendan a trouvé la mort au début de l’année dans un accident tragique
à Burnaby Mountain, et lorsque ses parents ont appris que la maison Katimavik locale portait un intérêt
à l’événement, ils ont immédiatement offert aux membres du groupe des billets pour participer à celuici. « Ça a été plus qu’un honneur de recevoir des billets offerts par Sharon », souligne avec fierté Kristen
Taniguchi. « Elle nous a permis d’assister à l’événement à la mémoire de son fils, un ancien participant
au programme. » La lumière de Brendan brille encore de tous ses feux dans les yeux des membres du
groupe Katimavik de Westminster.
M. Penner a déjà dit : « Ne sous-estimez jamais votre capacité de changer la vie d’un enfant ». Cela
s’applique tout autant au contexte des jeunes bénévoles : il ne faut jamais sous-estimer notre capacité à
changer leur vie.
Kristofer Olson, 2005-2006
Sherbrooke (QC), New Westminster (BC), Edson (AB)
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Trois dollars par jour, ça ne change pas le
monde, sauf que…
« Trois dollars par jour? Quoi? Tu ne gagnes que TROIS dollars par jour? » Cette question, on la pose
très souvent aux participants à Katimavik.
Tout de même, vingt et un dollars par semaine, ce n’est pas si mal. Ça a donné lieu à tout un débat dans
notre maison. Vingt et un dollars! Qu’est-ce qu’un gars comme moi pourrait faire dans une ville comme
celle-ci avec vingt et un dollars en poche? À moi le monde!
En réalité, la majorité d’entre nous participerait au programme même sans salaire. Nous sommes ici
pour vivre une expérience, pas pour gagner de l’argent. Et chaque jour, ça devient encore plus clair à
notre esprit.
En Alberta, j’ai vu une vraie montagne pour la première fois (de près, évidemment, pas une montagne
que l’on voit de notre fenêtre). Nous avons roulé jusqu’à des pâturages près des Rocheuses, et nous y
avons vu des moutons et des wapitis brouter paisiblement sur le côté (et même au milieu) de la route.
Quelques week-ends avant cela, je suis allé au centre commercial le plus grand au Canada, j’ai visité le
centre-ville d’Edmonton et j’ai dormi sur le plancher de l’appartement de quelqu’un que je ne connaissais
pas.
Mon stage était une tout autre histoire. J'ai travailé un foyer collectif pour adultes ayant un retard de
développement, et ma perception des gens et de la vie a complètement changé. Mes expériences les
plus mémorables ont été de simples excursions avec des clients dans des restaurants, des centres de
conditionnement physique et même dans une chocolaterie.
Je me souviendrai de ces expériences toute ma vie, et aussi de mon expérience de vie en groupe, où la
dynamique change tout le temps.
C’est intéressant de voir ce qui arrive quand onze personnes de différentes régions du deuxième plus
grand pays du monde vivent dans une petite maison avec un budget très modeste pour l’épicerie. Ici, il y
a des gens de tous les milieux, et c’est tout un défi pour nous de nous adapter au style de vie de chacun.
Le plus grand avantage de la vie de groupe, c’est qu’on apprend à connaître des gens différents et
intéressants. Chose certaine, même si j’essayais, je n’oublierai personne ici, jamais. Sans télévision et
sans ordinateur, nous avons amplement de temps pour apprendre à bien connaître chaque personne du
groupe. Nos discussions et débats, qui portent tant sur les tâches ménagères que sur le sens de la vie,
peuvent durer jusqu’aux petites heures du matin.
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Je n’échangerais cette expérience contre rien au monde, pas même pour un salaire de quatre dollars par
jour. Ce sont vraiment les gens de Katimavik et d’Edson qui m’ont permis d’aller si loin, et l’argent, peu
importe combien, ne pourrait rien changer à cela.
Johnathan Wells, 2005-2006
Edson (AB), Sherbrooke (QC), New Westminster (BC)
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Dans les coulisses de l’Ontario
22 mars 2006 – Ouverture officielle du bureau de l’Ontario
Le 22 mars dernier, Katimavik a invité toutes les personnes qui ont appuyé le programme à se joindre à
la cérémonie d’inauguration de son nouveau bureau régional de l’Ontario. Sur fond de douce musique au
violon, les invités se sont rassemblés dans la salle de conférence nouvellement baptisée pour rencontrer
les membres du personnel de l’Ontario et connaître les gens qui, en coulisse, contribuent à la bonne
marche des projets de Katimavik. Bien entendu, avec des invités allant de partenaires communautaires
de choix à des délégués du siège social et de Patrimoine canadien, cette soirée a été une excellente
occasion pour les employés de l’Ontario de remercier en bonne et due forme leur communauté locale et
élargie pour leur appui soutenu au service de volontariat chez les jeunes.
Pendant que les invités arpentaient les lieux et savouraient des mets fins préparés par un traiteur, les
participants au projet de Smiths Falls, logés dans une maison tout près de là, se sont joints aux
festivités et ont servi aux convives des boissons et des hors-d’œuvre, une façon pour eux de connaître
ceux et celles grâce à qui il leur a été possible de vivre cette expérience de neuf mois. La directrice
régionale du bureau, Tracy Laurin, a souhaité la bienvenue aux membres de l’auditoire avant de tendre
le micro aux invités spéciaux, Jean-Guy Bigeau, directeur général, et Justin Trudeau, président du
conseil d’administration de Katimavik. Tous deux ont souligné l’important travail réalisé par Katimavik
pour contribuer au développement des jeunes du Canada. Ils ont également remercié chaleureusement
toutes les personnes présentes pour leur appui concret au programme. Grâce à elles, Katimavik pourra
atteindre ses objectifs pendant encore de nombreuses années.
Nick Iannitti
Agent des communications et du développement, région de l'ontario
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À l’œuvre dans la région de l’Atlantique
Katimavik organise une fête foraine pour
personnes âgées à Sydney
Les participants à Katimavik affectés à Sydney, N.-É., ont organisé une fête foraine au Maple Hill Manor,
maison d’accueil pour personnes âgées située à New Waterford, où deux participants travaillent
bénévolement à temps plein depuis trois mois. Les résidents de la maison, leurs enfants et leurs petitsenfants ont pris part à la fête. Différentes activités leur étaient proposées : peinture faciale, spectacle de
clown, tir au plomb, photomaton, tirer la queue de l’âne, compétition « hoola-hoop », tirage aux cartes
et bingo. À chaque activité, de l’argent de Monopoly était remis, avec lequel les participants pouvaient «
acheter » différents prix amusants. Des pâtisseries du jour ont aussi été servies à tous les invités. Cette
fête foraine a été une grande réussite sur toute la ligne. Les participants ont grandement apprécié leur
après-midi. « C’était réconfortant de voir un sourire sur le visage des gens auprès de qui je travaille et
que j’aime », affirme Lindsay Allen, participante au programme et bénévole.
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Au monde des mines, des mammifères et des
Micmacs
Le 11 mars dernier, les trois groupes Katimavik travaillant à Cap-Breton (N.-É.) ont fait un voyage de
découverte à Sydney, la « grande ville ». La journée a commencé par une visite du Miners’ Museum à
Glace Bay. Grâce au guide touristique, M. Abbie Michalik, la présentation a été plus vivante, plus
passionnée et plus détaillée. M. Michalik a dirigé les groupes d’une exposition à l’autre; chacune
expliquait aux visiteurs la formation géologique du minerai de charbon de Cap-Breton et les effets de son
exploitation sur la culture de la région. Les participants à Katimavik ont aussi été initiés aux différents
outils utilisés hier et aujourd’hui dans le cadre de l’exploitation minière. On leur a aussi fait connaître les
injustices et les dangers auxquels ont fait face les ouvriers de la mine de Cap-Breton aux premiers jours
de l’industrie, ainsi que les syndicats et grèves auxquels les mineurs ont pris part au fil des ans. Enfin,
les participants se sont improvisés mineurs dans la mine de charbon située sous l’immeuble du musée,
ce qui leur a permis de mieux comprendre la réalité des houilleurs. Ils ont bien aimé voir les outils,
apprendre différents incidents survenus dans la mine et connaître le mode de vie et les activités
quotidiennes des travailleurs de la mine. Ils ont quitté le musée emplis d’admiration pour les hommes «
souterrains ».
Après un rapide lunch à la maison Katimavik de Sydney, tout le monde a pris la direction de Membertou,
réserve autochtone de Sydney, où ils ont rencontré l’ancienne Jane Meade et assisté à une cérémonie du
calumet typiquement micmaque. La cérémonie a commencé par le feu traditionnel; les participants se
sont assis en cercle sur le sol et se sont enveloppés de la fumée purifiante, en demandant au Créateur
d’ouvrir leur esprit en vue de la cérémonie prochaine. Toutes les lumières étaient éteintes et les anciens
ont fumé leur calumet en invoquant le Créateur. Ils se sont ensuite mis à chanter et à jouer du tambour
pour se débarrasser de l’énergie négative du groupe, en passant des plumes d’aigle sur les épaules et la
tête de chaque participant. À la fin de la cérémonie, Jane Meader a enseigné aux participants les sept
lois micmaques, soit l’amour, l’honnêteté, la vérité, l’honneur, le respect, l’humilité et le pardon. Les
participants ont aussi partagé des boissons, de la nourriture et des réflexions avec cette femme
merveilleuse.
Sensibilisation à l’environnement pour le
groupe de St. Stephen
L’environnement était à l’honneur lorsque les participants de St. Stephen (N.-B.) ont joint leurs
compagnons de triade de Woodstock et de Fredericton au Falls Brook Centre à Knowlesville (N.-B.). Les
trois groupes ont appris sur différents sujets, dont le biodiésel, les éoliennes, le commerce équitable, les
aliments biologiques, la foresterie au Nouveau-Brunswick et le Défi d’une tonne. Ils ont aussi participé à
une réunion dansante! Après un court arrêt de ravitaillement à Nackawic, le groupe de St. Stephen s’est
rendu au site touristique World’s Largest Axe. Sur la photo, on voit les participants devant l’axe.
La Mi-Carême de Chéticamp, une « katima-tradition »
Cette semaine, comme le veut la « katima-tradition », les participants travaillant dans le village côtier de
Chéticamp ont pris part aux festivités de la Mi-Carême. Ils ont entre autres fabriqué des masques en
papier mâché, se sont déguisés (avec des costumes fournis par Geraldine Aucoin, fervente amatrice de
la Mi-Carême) et ont fait du porte-à-porte pour que leurs voisins et collègues devinent qui ils étaient. Ils
ont préalablement été initiés à cette tradition acadienne par Marie-Stella Doucet, du Foyer Père Fiset.
Pour les ancêtres des Acadiens de Chéticamp, le carême était une période de jeûne et de pénitence
pendant laquelle aucun divertissement n’était permis. Pour fêter et oublier la sévérité de cette période,
certaines personnes ont décidé, le jeudi de la troisième semaine, de se déguiser et de faire du porte-àporte en essayant de garder leur identité secrète. Les hôtes tentaient de deviner qui se cachait derrière
ce masque et costume. Au fil du temps, la Mi-Carême a été étendue de manière à couvrir la troisième
semaine entière du carême. Les festivités commencent maintenant le dimanche par une soirée appelée «
Laissons entrer les Mi-Carêmes », qui a lieu au Centre acadien. Cette soirée joyeuse se caractérise par
de la musique, de la danse, des friandises et, bien sûr, des déguisements. La Mi-Carême dure tout le
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jour et toute la nuit pendant une semaine entière, et se termine par une activité sociale le samedi soir.
En somme, tout le monde a aimé son expérience, et à n’en point douter, la tradition se poursuivra
encore pendant encore longtemps.
Anthony Loring
Gestionnaire de communications et dévelopement
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Le siège social voit vert
Nous sommes heureux de vous apprendre que le siège social a maintenant son comité vert! Ce dernier
est composé d’individus engagés qui travaillent sur différents projets pour mener à bien la mission du
comité. Cette dernière consiste à informer les employés du siège social des enjeux sociaux et
environnementaux, et à introduire des solutions pratiques en milieu de travail, lesquelles visent à
minimiser l’impact négatif de nos actions sur l’environnement et la société en général.
Le comité vert tient une réunion générale une fois par mois, et ce, afin de discuter et procéder à un
exercice de remue-méninges. Les gens pour qui l’environnement se veut une passion (et qui ont un peu
de temps) sont en mesure de se rencontrer, une fois par semaine pendant l’heure du lunch, pour
travailler sur certains projets. Le comité est ouvert à tous et sa structure est non formelle. Tous les
employés sont les bienvenus et ils sont encouragés à prendre part aux différentes initiatives du comité
ou, de développer leurs propres projets s’ils le désirent.
Voici quelques initiatives qui sont actuellement à l’étude et/ou déjà mises en place :
z Créer des bulletins d’information à l’aide de matière recyclée. Ces bulletins relateront des faits
intéressants sur les enjeux sociaux et environnementaux
z Établir un important système de recyclage dans la cuisine
z Motiver l’utilisation de tasses, assiettes et service de couverts réutilisables lors des rencontres ou
fonctions sociales
z Faire en sorte que les employés aient accès au sucre biologique et chocolat chaud biologique de
commerce équitable
z Fournir de l’information au sujet des possibilités de covoiturage et de partage de voitures
z Promouvoir le recyclage du papier à l’interne par l’ajout de conteneurs près des imprimantes et
photocopieurs
z Offrir des ateliers sur divers sujets « verts » aux employés
Leesa Dean
Agente du Bureau des participants
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Quelle est la différence entre «enseignement à
domicile», «non-scolarité» et «école gratuite»?
En tant qu’agent de projet, j’ai rencontré beaucoup de jeunes désillusionnés par rapport à leur
expérience scolaire. Selon moi, l’éducation et l’apprentissage vont bien au-delà de leur définition
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traditionnelle. J’ai donc suggéré à mes groupes que l’école, comme lieu d’apprentissage, est ce que l’on
en fait. Autrement dit, tout est une question de comment et d’où. Voici trois options alternatives pour
vous embrouiller un peu…
Mais tout d’abord, merci à Wikipedia.org pour le reste de cet article (traduction libre).
L’enseignement à domicile (homeschooling) est une solution pédagogique selon laquelle les enfants
reçoivent une éducation à domicile par leurs parents, par opposition à la présence obligatoire imposée
par une école privée ou publique. Les méthodes d’enseignement à domicile sont similaires à celles
largement utilisées avant la popularisation de l’école obligatoire au 19e siècle. Avant cette période,
l’éducation de la majorité des enfants était assurée par les parents et les membres de la communauté;
les écoles privées et les tuteurs privés – les seules solutions offertes à l’époque – étaient réservés à des
privilégiés.
Aux États-Unis, l’enseignement à domicile est au cœur d’un important mouvement de parents qui
souhaitent offrir à leurs enfants une éducation personnalisée ou plus complète, laquelle est, selon eux,
impossible à obtenir dans la plupart des écoles privées ou publiques.
La non-scolarité (unschooling) renvoie à la prise en charge de sa propre éducation. Les parents peuvent
intervenir comme « moniteurs » et offrir à leurs enfants un large éventail de ressources. Différentes
raisons expliquent la prise de position des adeptes de la non-scolarité. Nombreux sont ceux qui croient
que la curiosité est innée et que les enfants veulent acquérir les outils nécessaires pour devenir des
adultes. Certains soutiennent que le temps d’un enfant pourrait être utilisé plus efficacement ailleurs que
dans une école publique ou toute autre forme d’école obligatoire. Selon eux, l’éducation traditionnelle
n’est pas personnalisée et sa structure est rigide, car elle force un enfant à apprendre des matières qui
ne l’intéressent pas nécessairement, tandis que l’apprentissage individualisé et axé sur l’enfant est
beaucoup plus efficace, car il tient compte des intérêts de l’enfant et favorise un apprentissage plus
approfondi. La matière est moins importante que la façon dont l’enfant « apprend à apprendre ». La nonscolarité fait en sorte qu’une fois adulte, l’enfant peut retourner à une matière qu’il juge ne pas maîtriser
suffisamment et acquérir les connaissances nécessaires.
Quant à l’école gratuite (free-schooling), il s’agit d’un réseau décentralisé dans lequel des compétences,
de l’information et des connaissances sont partagées sans hiérarchie et hors du cadre institutionnel
d’une école officielle. La structure beaucoup plus ouverte des écoles gratuites vise à favoriser
l’autonomie, la conscience critique et le développement personnel. En règle générale, une école gratuite
est le fruit d’un effort communautaire, d’un regroupement de personnes travaillant collectivement et de
façon autonome pour créer des possibilités éducatives et partager des compétences dans leur
communauté. Souvent, les écoles gratuites sont exploitées dans le contexte de l’économie du don plutôt
que de l’économie de marché. Néanmoins, la signification de « gratuit » ne se limite pas aux coûts
monétaires. Il peut aussi s’agir de dialogue et d’apprentissage libres.
Cory Legassic
Agent du Bureau des anciens
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Mireille Caron, 1981-1982
"Greetings to all Katimavikers from the 1981-82-High Level, Alberta, Lab City, Goose Bay, Labrador,
Hawkesbury, Fournier, Ontario group.
We are about to celebrate our 25th anniversary. It will take place in Ste-Catherine de la Jacques-Cartier,
about 20 minutes from Quebec City. The camp is called Domaine Notre-Dame. The event will take place
on the 25th and 26th of August 2007. Here are some more details about the place.
The camp has 12 cottages (occupancy of 4 to 8 persons) and a main building with single and double
rooms. The price of the cottages will be $74.00 per day based on 4 persons ($5.00 extra per person)
and $30.00 for single rooms and $40.00 for double rooms. Meals are served in the main building,
cafeteria style with 2 choices of meals. $23.50 for three meals for 14 years and up, $17.00 for children
under 13.
If you are still interested in coming in 2007 please let me know by email at [email protected] or
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by mail at Mireille Caron , 95 Grand Capsa, Ste-Catherine de la Jacques-Cartier, Quebec, G0A 3M0.
Please keep me posted.
Thank you."
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Louis Landry, 1983-1984
« Salutations! Je suis un ancien du programme Katimavik 1983-1984. St-odilon, Yellowknife et
Toronto... plusieurs belles expériences dans le programme, nourriture, organisation du temps, vie
communautaire, vie en groupe, partage, apprendre à faire la cuisine... respect des autres et de mon
entourage... Aujourd'hui je garde un bon souvenir de katimavik et parfois je remarque la présence de
Katimavik dans une région du Québec. Bravo au fondateur M. Hébert... La plus belle expérience pour
moi est de pratiquer la langue seconde. »
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Andy Drost, 1984-1985
"My experience with Katimavik was an incredible and fulfilling one. First let me set the scene for you,
picture it, small town New Brunswick, 1984. At first, I was spending the day with my grandmother (she
was a news reporter at the time) and she was doing a story on this group in Chipman called Katimavik,
and she wanted me to tag along. So I went and met the group and was totally intrigued. After spending
the day and getting to know some of the group as they interacted in our community, I wanted to see for
myself what it was like to be part of the Katimavik life. Finally in February 1985 I got the call to go. I
was so happy I just about hung up the telephone and the lady said would you like to know where you'll
be going? I said sure, she told me that I would be going to Victoria, B.C., Brownsburg, Que. and
Waterville, N.S.
I remember the first night in Victoria, when I first met my new group , first there was Jim Cameron our
group leader, and there was the rest of the group, two rockers, two party girls, a gay punker, a preppy,
a girl who was quite sheltered by her mom , 4 people from Quebec and me, a hillbilly from central new
Brunswick. I thought what the heck did I get myself into? In Victoria, our group worked at the boys and
girls club as councillors on camping trips. The experience that impacted me the most was getting into
shape. We went to the assessment to see what shape we were in and I could not keep up with the
exercises. Over the next month and a half, I got down to work and shed 50 pounds. I got in shape to the
point that I was able to bike along with the rest of the group, almost 35 miles to Saltspring Island. My
best memory from Victoria had to have been dropping 50 pounds and being on television with Lyne
Bergeron and Blake Deck, we were promoting katimavik. I miss Blake. I tried to find him a couple of
months ago, looking through the web and found out he was in a car accident. he was a good friend.
On our second rotation, we worked in a small town 25 miles north of Montréal , called Brownsburg,
Quebec. In Brownsburg, our group worked at a skating arena, and a fire station doing some painting. We
were living in a convent, I swear it was haunted because one night I was doing laundry and I glanced
around and I could have sworn I’d seen a nun in a habit walk by. there were no nuns living there at the
time. I billeted out into the community at a dairy farm , they had 33 milking cows and, while there, I
helped deliver a calf, very cool. Over the next 2 weeks, every time I turned around at the dairy farm, the
calf would follow me around and try butting me to try and find the udder for milk, kind of makes you
nervous... Later on we were cleaning out the barn at the farm and the cleaning solutions got on my
hands and ate holes in my skin (I can't wear gloves, my hands are too big) to the point where the
doctors said I would probably lose the use in my left hand and have very little use in my right, I’m here
to tell you that I’m using both hands to type this out. When I went back to the group house after my
billeting was over, I had numerous offers to help me go pee (my hands were bandaged from the elbows
down), I think they enjoyed watching my face go red. A week later a good portion of our group was
kicked out because of having a party and some illegal contraband there, luckily I was upstairs totally
exhausted from my day. A week later I was on a 26 hour train on my way to Waterville , nova Scotia,
and there were 9 other groups in our car.
When we finally reached Waterville, Nova Scotia, we were met by one of our group leaders by the name
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of Ruth Winterhalt, I thought she was a very nice lady, my first thought was I never met a woman who
wore gum rubbers before (rubber boots). In Waterville, we worked with clients from the local special
needs rehab. one of my favourite experiences in Waterville had to have been at Christmas time when
they asked me to play Santa for the clients of the rehab. I got garbed up in this Santa suit (which was
way too small by the way). During my billeting time in Nova Scotia I stayed and worked at Oaklawn
Farm Zoo, the first night after supper the family decided that it was time for after dinner entertainment,
so we all went into the living room and there was this cage covered up . Well they took off the cover
opened the cage and this baby cougar jumps out, up across the couch and onto my lap. Apparently I
was the after dinner entertainment (they wanted to get my reaction). Other experiences I had at the zoo
were everything from a peacock pooping on my head , I was chased by a camel , saved a prize stud
horse who came down with colic (deadly in horses) and went down into the lion's den to save some
ducklings that fell beneath the barn floor.
After Katimavik, I worked in retail, which I never would do before Katimavik (being an introvert then). In
1989, I met a gorgeous woman from Cape Breton. In 1991, we married and had two son's, both with
special needs. Logan, who is thirteen has autism. Joshua , who is 12 has epilepsy, autism, colobomas
(an eye condition) and also asthma.
So you see Katimavik has played a very important part in my life because without it, I'd still be that fat
kid from Minto who would either be doing the same thing with his life (or by now be dead from an
unhealthy lifestyle). Katimavik plays a big role in my life from cooking (finally can, sorry to all my fellow
katimaviktims who had to eat my cooking), to caring for our sons and advocating for them everyday.
(Very much an extrovert now, drives my wife nuts, just a bonus, hahahahahaha)
Looking forward to future interactions."
Marc Lafortune, 1984-1985
« 17 ans, 6 septembre 1984
Décollage direction Vancouver
Qu’est-ce qui m’attends
Que vais-je faire là
Royaume de l’inconnu qui n’attend que moi
Langue anglaise
J’ai appris à t’apprivoiser
Vie de groupe
J’ai appris à te découvrir
Naissance de la passion de vivre
Découverte du merveilleux
Dépassement de soi
Découverte de mon moi
Amis qui m’ont côtoyé pendant ces neuf mois, je n’ai qu’un mot à vous dire : merci!
Amber, Christian, Cécille, Lucie, Debbie, Lorie, Dirk, Cam, Pam, Rosie, merci de votre présence, merci de
votre amour, merci de vos joies, merci de vos peines. Vous serez à toujours présents dans mon cœur et
dans ma vie.
Ensemble
Ensemble
Ensemble
Ensemble
nous
nous
nous
nous
avons grandis
sommes devenus
avons appris
avons été
Nous avons ris
Nous avons pleurés
On s’est supporté
On s’est aidé
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Toujours appuyer l’un sur l’autre
La vie nous a enseignée
Dans ce que j’appelle
Les plus beaux moments de mon existence
38 ans
Tellement de souvenirs
Tellement de beaux moments
Difficultés et beautés
Ensemble nous avons côtoyés
Tant de souvenirs
Tellement de merveilleux
Qui seront à moi
Pour toujours
Merci…»
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Geneviève Cossette, 1997-1998
« C’était durant l’année 1997-1998, du 3 septembre au 13 mai pour être plus exacte. Très belle gang
mais nous avons perdu quelques joueurs après quelques semaines. Ça été la plus belle expérience de
ma vie je crois et en plus, elle a su guider ma destinée. Le plus drôle de l’histoire, c’est que c’est ma
sœur qui a vu l’annonce de 5cm par 4cm dans les petites annonces du journal local et qui n’était pas en
âge pour pouvoir y participer. Sinon, je n’y serai jamais allée et en plus, je n’aurais jamais rencontré
l’homme de ma vie (ça sonne roman-savon, je sais!). Tout ça pour dire que je suis allée à Hawkesbury
(Ontario), Hall’s Harbour (Nouvelle-Écosse) et Brandon (Manitoba). Durant ma première rotation, ma
tante est allée voir sa coiffeuse pour une coupe de cheveux, et parle-parle, jase-jase, sa coiffeuse lui dit
que son fils était parti pour un an participer à un programme qui s’appelle Katimavik. Le nom n’ayant
pas échappé à ma tante, elle lui a parlé de moi, qui était aussi partie dans ce programme et se rendent
finalement compte que nous étions partis aux mêmes endroits mais pas dans les mêmes rotations. Nous
allions voir les mêmes choses (relativement) mais sans se voir. Elles nous ont donné nos coordonnées
pour finalement communiquer ensemble pendant l’année et se rencontrer par la suite. Nous sommes
ensembles depuis ce temps-là (8 ans le 30 mai) et bébé devrait arriver le 30 juin de cette année. C’est
là qu’on se rend compte que le monde est petit et que parfois, on se demande si l’avenir n’est pas déjà
tracé quelque part!
J’aurais tant à raconter autant du pendant du programme que de l’après, des gens qui y sont allés après
avoir connu le programme, de l’expérience de mon copain (lorsqu’ils ont fini, ils n’étaient que 3
participants!), de mes expériences merveilleuses d’hébergement et de ma propre expérience en tant que
famille qui a hébergé cet hiver. Tout ça a changé ma vie de façon positive (malgré les hauts et les bas
qu’on a pu y connaître!)et même mon entourage me reparle de cette évolution positive! »
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Alison Marchbank, 2004-2005
"I’m from Katimavik - HEAR ME ROAR!!!
Until I entered the Katimavik world, the thought of commitment had barely crossed my mind. I had tried
to imagine leaving my family and friends for 9 months to live with complete strangers in unfamiliar
places across the country! But soon, Katimavik became my life, the strangers became family and every
little odd experience was somewhat normal! I went from being a “House Manager” with theme nights
and mystery food to amusing ourselves with games like bum dart soccer and leg wrestling. Our
excursions to the big cities where we would eat authentic food and learn African step also contributed to
our cultural discovery of Canada…not to mention our immersion into a French community!
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I would not trade anything in the whole wide world for my time with Katimavik, because the experience
was priceless! Volunteering with children, helping people with disabilities and helping out in the
community exposed me to challenges that I would have never expected to overcome. I have countless
hours of experience in conflict resolution, teasing dreadlocks, budgeting finances, impersonating
animals, activity planning and cooking a feast for twelve!
Katimavik inspired me to pursue my dreams and to enrich others with my knowledge about issues that
we are faced with everyday! I now have a better understanding of what being a Canadian means and the
importance of both official languages.
I am a new and improved young adult and I am prepared to take on the world!"
Stephanie Coombes, 2004-2005
"In Vancouver…..
The sun does not shine,
And it rains constantly.
So I’d sit in my house
As bored as could be.
I’d sit there with Tyler,
We’d sit there we two.
And I’d say “How I wish
I had something to do!”
Too broke to keep traveling,
Too poor to start school.
So I’d sit in my house,
And feel like a tool.
So all I could do was to
Sit…
Sit …
Sit…
Sit.
And I did not like it,
Not one little bit!
And then…
Something went p-chife,
How that p-chife changed my life!
I looked!
Then I saw him step in on the mat.
I looked and I saw him,
The Katimavik-Cat.
And he said to me,
“Why do you sit there like that?”
“I know it is not wet,
And the sun is not sunny.
But you can have lots of great
fun for little money”
“I know a good program to try”
Said the Cat.
“I know some new things”
Said the Katimavik-Cat.
“A lot of great things,
I will speak of to you.
Your parents
will not mind at all if I do!”
For certain that I
Did not know what to say.
My parents were out of the house
for the day.
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But Tyler said “Egads!
That cat onwards must go!
Tell that Katimavik-Cat
You do not want to know.
He should not be here,
He should not be about.
He should not speak of such things
When your parents are out!!”
“Now! Now! Have no fear,
Have no fear!” said the cat.
“My programs no bad”
Said the Katimavik-Cat.
“Why, you can have
Lots of good fun in a tick.
With a program that’s called
Kat-im-a-vik!”
I liked how he sounded,
And said bye to Tyler.
At the start of the fall
I was in Tracadie-Sheila!
“Have no fear!” said the cat.
“The fun is right here.
You now have new friends
Whom you soon will hold dear.
Some who like red,
And some who like blue.
You’ll know their favourite colours and more
When nine months is through.”
“Look at me! Look at me!
Look at me!” I soon said.
How silly I’d been
To be filled with dread.
I have ten great new friends
And a fun little job.
I try to speak French
Though I feel like a knob!
And see!
I can cook for 12 people in all…
But that is not al!!
Oh no,
That is not all…
“Look at me!
Look at me!
Look at me NOW!
It is fun to have fun
But you have to know how.
I can make my own bread,
And wash my big van,
I can scrub countless dishes,
And complete learning plans!
And, yes, well, that sucks
And sometimes we fight.
I’m constantly tired
Cos I stay up all night.
But that is not all,
Oh no,
That is not all!”
My time in New Brunswick
Did not last too long.
And though we were sad
Three months had moved on.
We all went to Jasper
To get lovely new jobs
I cut up some trees
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And I burnt up some logs.
“Now look what you did!”
Said to I - did the cat.
“Now look at your life,
Look at this! Look at that!
You hiked up a mountain,
And slid back on down.
You went out to the bar,
And you partied up town.
Christmas seemed sad,
So you spread that great feeling
By acting like Santa,
And smashing the ceiling!
You picked up a chainsaw
And cut down some trees.
But it’s now minus 40
And soon you will freeze.”
“But I like to be here,
Oh I like it a lot!”
I told the Katimavik-Cat
And I told him a lot.
“I will NOT go away,
I do NOT wish to go!”
“Then so”, said the Katimavik-Cat,
“So
So
So….
I must show you another good place that I know!”
And then we ran out,
And as the wind blows
The Katimavik-Cat took me
To Southern Ontario.
To a small little town
Quite close to Toronto.
“Now look at this place!”
Said the cat
“Take a look!-Pronto!”
Then he got up on top
With a tip of his hat.
“I call this place FUN-IN-A-TOWN!”
Said the cat.
“This town is quite fun,
You will quickly learn how.
You will like this new place.”
Said the cat with a bow.
I found two great new jobs
With the old and the young.
Who’d ever have guessed
I would have so much fun.
We went to Toronto
Which was slight a muddle
And to Ottawa
And caused a weee bit of trouble.
Our PL was scary
We were rescued by Dave!
He drove us around,
But wasn’t out slave.
The LKC was awesome
Supportive always,
I’ll remember their kindness
To the end of my days.
I lived in the East
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2007-01-22
LIEU DE RENCONTRE
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And I lived in the West
But you know it was Grimsby
That I liked the best.
Now 9 months is over
And I have to say bye
To eight special people
And I know I will cry
Stacey, our sweetie
Who taught me so much
About kindness and patience
And that sort of stuff.
Kat – my St Juder
So different from we
But we both advocate
Peace, Justice, Love and Liberty.
Scott – my farm boy
So thoughtful and quiet
Yet on the dance floor
He’d cause quite a riot.
If I need cheering up
Or a giggling spree
I’ll go and look for
Mon petite Emile.
Erika – the artist
Who loved giving classes
I’ll miss how she always
Misplacing her glasses.
Tim is from Newfoundland
So smart but not snobbish,
He and I always fight
Cos I am so slobbish.
Dave our PL
Made the last month fly by
We like the same tunes
So I know he’s a great guy.
Then Myles, what a friend
I miss him like crazy.
With no-one to hike with
I’ve gotten quite lazy.
My poem is over
I’ve run out of time.
I need to start baking
And I’ve run out of rhymes.
I will miss this town
And this program too
The things I once hated
I’m now sad to lose.
Won’t say goodbye,
The weekends for that.
Don’t get angry at me
If our food turns out crap."
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2007-01-22
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Soumettez vos écrits pour notre prochain Lieu de
rencontre!
Chers anciens et employés de Katimavik,
Envoyez vos textes ainsi que vos photos ou images à [email protected].
Qu’est-ce que nous recherchons? C’est simple. Vous écrivez vos anecdotes, le récit de votre dernière
aventure, vos pensées sur Katimavik, vos questions et vos annonces. Rappelez-vous que vous vous
adressez à des anciens de 1977 à aujourd’hui. Le nombre limite de mots par article est de 300.
Voici quelques idées qui sauront nous captiver :
z Tenez-nous au courant des nouvelles de Katimavik dans votre communauté.
z Parlez-nous de votre Katimavik. Quel est votre histoire la plus étrange, votre meilleur souvenir ou
l’expérience qui a fait de votre année à Katimavik un moment unique?
z Parlez-nous de vous. Nous continuons de nous inspirer les uns des autres et nous adorons savoir
où la vie nous a menés depuis la fin du programme. Avez-vous voyagé? Êtes-vous devenu le père
ou la mère d’un enfant qui a maintenant l’âge pour participer à Katimavik? Est-ce que Katimavik
a joué un rôle important dans votre vie personnelle et professionnelle?
z Montrez-nous des anciens en action. Êtes-vous toujours engagé d’une façon ou d’une autre dans
le programme? Dites-nous comment et ce que vous en retirez.
z Mettez-nous au défi avec des idées nouvelles et des modes de vie intéressants. Êtes-vous un
inventeur, quelqu’un qui a des opinions sur le monde qui vous entoure? Avez-vous d’autres
excellentes expériences d’apprentissage à suggérer pour des gens au parcours différent?
Comment Katimavik joue-t-il un rôle dans votre quotidien?
z Mettez le programme au défi. Quels ont été vos plus grands défis et difficultés en lien avec le
programme? Croyez-vous que vous ou votre groupe a dû surmonter des difficultés liées à la race,
à un handicap physique, à la classe sociale, aux croyances, à l’âge, au peuple, à la culture, à
l’orientation sexuelle, à la santé mentale, au style de vie, à philosophie, aux idées politiques,
etc.? Avez-vous des opinions constructives et des suggestions que vous voudriez partager avec
les anciens?
z Sortez vos boîtes des boules à mites. Partagez un poème ou une page du journal que vous avez
écrit au moment où vous faisiez partie du programme, ou encore une recette qui faisait des
miracles lors des repas en groupe...
Écrivez à votre façon, dans votre style et vos mots. Nous traduirons votre texte pour le rendre accessible
tant en français qu’en anglais.
Nous sommes impatients de vous lire!
Contactez-nous si vous avez des questions ou des commentaires au : 1 888 525-1503, poste 2603 ou à
[email protected].
Vous pouvez aussi contacter l’équipe des Communications et du développement de l’un de nos bureaux
régionaux.
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Passez le mot… devenez recruteurs pour Katimavik!
Contactez le bureau de votre région : C.-B. et Yukon, Prairies, T. N.-O. et Nunavut, Ontario, Québec et
Atlantique.
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Le cyberbulletin Lieu de rencontre est publié trois fois l'an.
Rédacteur en chef : Cory Legassic
Collaboration : Geneviève Roy et Rébécca-Sarah Potvin
Traduction : Élizabeth Jutras
Révision : Cory Legassic, Geneviève Roy
et Karoline Truchon
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