Article de presse Press article - St-Pierre

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Article de presse
Press article
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Le postsecondaire : une transition souvent difficile
Montréal, le 29 mars 2011 - Ça y est, le compte à rebours est commencé! En cette période de l'année,
des milliers de jeunes Canadiens sont en attente de leurs admissions aux études postsecondaires et
doivent faire un choix quant à leur avenir. Université, programmes techniques au cégep ou formation
professionnelle? Si quelques jeunes savent déjà depuis longtemps en quoi se diriger, la majorité hésite
encore. Ce choix peut devenir angoissant, aussi bien pour les jeunes que pour leurs parents!
D'après l'étude effectuée par Cathy Campbell et Michael Ungar de The Canadian Education and Research
Institute for Counselling (CERIC) avec la collaboration de la Resilience Research Centre School of Social
Work of Dalhousie University, « de nombreux répondants ont indiqué qu'ils auraient pu bénéficier d'une
pause bien employée avant de choisir une carrière qui demande de poursuivre des études postsecondaires
». Les auteurs de l'étude parlent d'un monde idéal, offrant une gamme d'options et de programmes de
transition pour mieux se préparer aux études postsecondaires; des programmes qui permettent aux jeunes
d'expérimenter de nouvelles avenues et d'avoir une meilleure idée de leurs intérêts et aptitudes. Prendre
une pause des études formelles leur permet non seulement d'être loin de chez eux, mais aussi de vivre
quelque chose de différent. En effet, de tels programmes sont rares au Canada.
Katimavik est une option toute indiquée pour les jeunes qui ont besoin de plus de temps, d'expériences
concrètes et de réflexion active pour décider de leur avenir. Nos programmes d'apprentissage par le
service volontaire permettent aux jeunes de prendre une longueur d'avance et de s'orienter possiblement
dans une nouvelle voie, le tout dans un environnement structuré et sécuritaire qui a depuis longtemps fait
ses preuves.
Prendre le temps de se connaître
Tous les conseillers en orientation le disent : bien s'orienter, c'est d'abord apprendre à se connaître. Selon
Isabelle Falardeau, conférencière et conseillère en orientation au Collège de Maisonneuve, « il est
primordial de connaître sa personnalité, ses champs d'intérêt, ses compétences, ses valeurs et le rôle
qu'on veut jouer dans la société. Il faut partir de soi pour savoir où aller ». Et sortir du cadre traditionnel
pour apprendre à mieux se définir, c'est exactement ce que propose Katimavik à ses jeunes volontaires.
En quittant le confort du cocon familial et en se plongeant dans des situations nouvelles, les jeunes qui
participent au programme viennent aussi à s'ouvrir à des réalités jusqu'alors insoupçonnées. Ils gagnent
alors beaucoup en maturité. « Katimavik m'a donné de la confiance en moi. Après cette expérience, je me
suis inscrite à l'université parce que je le voulais bien et parce que j'ai découvert, à travers mes expériences
de travail, le genre de métier pour lequel je me passionnais. Je sais maintenant que j'aime travailler pour
des causes environnementales ou dans l'enseignement public. Je me dirige vers une carrière qui touche à
ces domaines, et ce, en poursuivant des études en biologie », affirme Megan Clark, une ancienne
volontaire de la cohorte 2008-2009.
Valider ses choix par l'expérience pratique
Un autre conseil souvent prodigué par les professionnels de l'orientation : rien de mieux que l'expérience
pratique pour découvrir la réalité d'un domaine d'emploi et pour savoir s'il nous convient. « Avant Katimavik,
j'étais un garçon avec beaucoup de potentiel, mais incapable de voir ce que je voulais faire dans la vie ou
comment l'obtenir. Après avoir terminé le secondaire, j'ai cru bon vivre une expérience pratique avant de
poursuivre mes études à l'université », poursuit Adam Joyce, un volontaire de la cohorte 2007-2008. Les
jeunes qui prennent part à Katimavik ont la chance d'ajouter sur leur CV une ou deux expériences de travail
dans des organismes sans but lucratif œuvrant dans des champs d'action aussi variés que la protection de
l'environnement, la mise en valeur du patrimoine, la lutte contre la pauvreté, l'alphabétisation, les
communications, les sports et loisirs, les services sociaux, etc.
Il n'est pas rare de voir des volontaires se découvrir une vraie passion pour leur milieu de travail, alors qu'ils
n'étaient pas très enthousiastes au départ. « Durant Katimavik, ma fille a découvert qu'elle aimait la cuisine
et à son retour, elle a fait les étapes requises pour compléter son diplôme de secondaire 5 et s'est inscrite
en formation professionnelle pour devenir chef cuisinière », indique Suzanne Bergeron, mère d'une
ancienne volontaire. C'est justement un des objectifs de Katimavik : créer un milieu propice pour explorer,
se mettre au défi, essayer de nouvelles choses. Au risque de se tromper, mais aussi de faire de belles
découvertes!
Mieux s'orienter... tout en obtenant des crédits au collégial?
Vivre une expérience comme Katimavik tout en poursuivant son cheminement scolaire, est-ce possible?
Reconnaissant que Katimavik propose à ses volontaires une expérience unique d'éducation non formelle,
plusieurs établissements postsecondaires octroient des crédits scolaires aux volontaires qui complètent le
programme d'une durée de 6 mois. Katimavik a signé des ententes avec Capilano University et Vancouver
Island University en Colombie-Britannique, George Brown College à Toronto et le Cégep Marie-Victorin à
Montréal, dont les crédits sont transférables dans le réseau collégial du Québec. Pour plus d'information,
consultez l'onglet Crédits scolaires de notre site web.
À propos de Katimavik
Katimavik vise à former des citoyens responsables tout en en contribuant de manière importante aux
communautés canadiennes par le biais de programmes nationaux de service volontaire pour la jeunesse.
Depuis 1977, Katimavik a changé la vie de plus de 30 000 jeunes Canadiennes et Canadiens, tout en
contribuant à la croissance socioéconomique de plus de 2 000 communautés d'un bout à l'autre du pays.
Pendant leur engagement de 6 mois, les volontaires âgés de 17 à 21 ans vivent avec dix autres jeunes
dans une ou deux communautés au Canada où ils travaillent de 35 à 40 heures par semaine dans divers
organismes sans but lucratif. De plus, les volontaires bénéficient d'un programme d'apprentissage axé sur
le développement de compétences personnelles, professionnelles et sociales en matière d'engagement
citoyen, de mode de vie sain, de découverte culturelle, de langues officielles, de communication,
d'environnement et de planification de projets.
Les inscriptions pour nos programmes offerts en 2011-2012 sont présentement en cours. Pour plus
d'information sur Katimavik, visitez www.katimavik.org ou notre blogue à www.gokatimavik.com
- 30 Source : Victoria Salvador, directrice du marketing et des communications
Téléphone : 514 868-0898 (poste 2361) Cellulaire : 514 707-1273
Courriel : [email protected]
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Life after High School - What Now?
Montreal, March 29 2011 - The countdown has begun! It's that time of year again - when thousands of
young Canadians are receiving postsecondary acceptance letters and deciding their futures. Will it be
university, college or professional training? While some young adults may have found their calling, most are
still searching. The decision process is nerve-wracking - both for young Canadians and their parents!
According to a study by Cathy Campbell and Michael Ungar of The Canadian Education and Research
Institute for Counselling (CERIC), in collaboration with The Resilience Research Centre School of Social
Work of Dalhousie University, "...many participants said that they could have benefited from taking a timeout before deciding what they wanted to choose [as] a career, thus what postsecondary studies are
required." In an ideal world, say Campbell and Ungar, a range of options and programs would be available
to prepare students for the transition to postsecondary studies. Such programs would give young adults the
chance to explore different avenues, giving them a better idea of their skills and interests. Taking a break
from formal education allows them to experience life away from home and a new adventure. In reality,
Canadian programs in this vein are few and far between.
Katimavik is an ideal option for young Canadians that need more time, concrete experience and active
reflection before choosing their future. Our service-learning programs focused on volunteer service give
young adults a head start and the chance to discover a new path. In addition, Katimavik provides a safe
and structured environment with a worthy track record.
Taking the Time to Find Yourself
It's a common belief among guidance counsellors that if you want to find your path, you must first find
yourself. According to Isabelle Falardeau, conference speaker and guidance counsellor at Collège de
Maisonneuve, "it is essential to get in touch with your personality, areas of interest, values and the role you
want to play in society. You have to know yourself before you can know where to go." Katimavik gives
young adults the chance to think outside of the box and get to know themselves better.
By leaving the comfort of home and entering unknown territory, Katimavik volunteers expose themselves to
new realities. As a result, they gain a great deal of maturity. "Katimavik gave me self-confidence. After the
program, I went to university because I wanted to; because I discovered through my volunteer placements
the kind of work I have a passion for. I now know that I love working outdoors for environmental causes and
delivering public education. I am working towards a career that incorporates these things by studying
biology.," asserts Megan Clark, alumna of the 2008-2009 cohort.
Using Practical Experience to Make the Right Decision
Another piece of advice that guidance counsellors often give is that there is nothing like practical
experience to discover the reality of a given field and to know whether or not it is right for you. "Before
Katimavik, I was just a boy with a lot of potential, but unable to see what I wanted in life or how to get it.
After finishing high school, I believed I needed some sort of real-world experience before pursuing
university studies.," adds Adam Joyce, a volunteer from the 2007-2008 cohort. Young Canadians that
participate in Katimavik get the chance to add one or two work experiences to their résumé in not-for-profit
organisations whose work ranges from environmental protection, promotion of heritage, fight against
poverty, literacy, communications, sports and leisure, social services and more.
It's not uncommon to see volunteers finding a true passion for their work, even if they didn't start off with an
interest in that particular area. "During Katimavik, my daughter discovered that she loved to cook, and when
she came home, she decided to finish high school and apply for professional training to become a chef,"
says Suzanne Bergeron, the mother of an alumna. One of Katimavik's goals is just that: to create an
environment that promotes exploration, challenge and adventure. Volunteers may take some risks, but they
end up making valuable discoveries.
Find Your Path, Get Course Credit
Can you participate in Katimavik and work towards a degree at the same time? Many postsecondary
institutions offer course credit to volunteers who finish the 6-month program, recognizing that Katimavik
provides its volunteers with a unique and informal educational experience. Katimavik has agreements with
Capilano University and Vancouver Island University in BC, George Brown College in Toronto, and Cégep
Marie-Victorin in Montréal, whose credits are transferable to the college system in Quebec For more
information, refer to the Postsecondary Credit section on our website.
About Katimavik
Katimavik promotes civic engagement and fosters sustainable communities through challenging national
youth service programs. Since 1977, Katimavik has enabled more than 30 000 Canadians to be involved in
more than 2 000 communities throughout Canada. Volunteers between the ages of 17 and 21 live with 10
other youth from across the country in one or two communities. They commit to volunteering in the context
of a six-month program where they will provide work 35 to 40 hours a week for a variety of not-for-profit
organizations. Youth also benefit from Katimavik's structured learning program that focuses on the
development of lifelong personal, professional and social competencies in the areas of civic engagement,
healthy lifestyle, cultural discovery, official languages, communication, environmental stewardship and
project coordination.
We are currently accepting applications for our 2011-2012 programs. For further information please
visit www.katimavik.org or visit our blog at www.gokatimavik.com
- 30 Media Contact:
Victoria Salvador, Marketing and Communications Director
Telephone: 514 868-0898 (2361) Cellular: 514 707-1273
Email: [email protected]
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[DOING. LEARNING. BUILDING A NATION... ONE COMMUNITY AT A TIME.]
[AGIR. APPRENDRE. BÂTIR UN PAYS... UNE COMMUNAUTÉ À LA FOIS.]

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