1994-004 - Médiathèque de l`architecture et du patrimoine
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1994-004 - Médiathèque de l`architecture et du patrimoine
MEDIATHEQUE DE L’ARCHITECTURE ET DU PATRIMOINE ARCHIVES Guide du fonds d’archives privées De Jean VALLERY-RADOT (1890-1971) (Fonds 94/04 - cartons 1 à 21) novembre 1994 (complété en novembre 2005) Sommaire Introduction, par Yves GALLET.............................................................3 Inventaire détaillé du fonds d’archives, par Yves GALLET complété en 2005 par Solange GAUVIN............. ……...........15 Bibliographie complémentaire par Yves GALLET..........26 Index par Yves GALLET et Solange GAUVIN.............................................28 2 Introduction Il se plaisait à répéter, comme une sorte de devise, cette parole des Psaumes : Domine, dilexi decorem domus tuae... (Fr. Vallery-Radot) Rendre publiques les notes, les lettres, les archives privées d’une personne disparue est toujours une chose fort délicate, qui fait naître de nombreux scrupules. Cependant, ces manuscrits, ces conférences, ces brouillons d’articles que leur auteur a laissés inédits, ces papiers qu’il n’a pas lui-même publiés, soit qu’il n’en ait pas eu le temps ou la possibilité, soit qu’il n’ait pas estimé utile de le faire, représentent, dans certains cas, une source d’étude non négligeable. A cet égard, les archives de Jean Vallery-Radot (18901971), récemment léguées à la Bibliothèque du Patrimoine, sont exemplaires. Ces archives portent, pour l’essentiel, sur l’architecture religieuse de l’époque romane. Mais Jean Vallery-Radot était une sorte de touche-à-tout de génie, dont on a d’ailleurs loué la finesse d’analyse autant que la capacité à embrasser de vastes synthèses, et il s’est également intéressé à la sculpture romane, à l’architecture religieuse gothique, à l’architecture militaire des XI et XIIèmes siècles, aux estampes ou encore à l’architecture des Jésuites et à l’art baroque. Si ses régions de prédilection furent la Bourgogne, la vallée du Rhône et la Provence, il étudia avec la même passion la Normandie, la Touraine, le Berry, la Lorraine, l’Ardèche, le Languedoc, le Jura ou le Valais suisse. La bibliographie publiée par le Centre International d’Etudes Romanes en 1971, à la mort de Jean Vallery-Radot, rend bien compte de cette diversité ; la même 1 impression se dégage des archives déposées à la Bibliothèque du Patrimoine. 1 Centre International d’Etudes Romanes, Jean Vallery-Radot (1890-1971), 1971, II, pp. 3752. Sauf indication contraire, c’est à cette bibliographie que nous nous référons tout au long de cette brochure. 3 Nombre de ces manuscrits sont restés à l’état d’ébauche, mais certaines études, plus abouties, ou certaines monographies - dont Jean Vallery-Radot, disciple fidèle d’Eugène Lefèvre-Pontalis, s’était fait une spécialité - demeurent inédites et sont d’un réel intérêt pour la connaissance de tel édifice ou de telle région. L’ensemble constitue un témoignage privilégié de l’évolution de la science archéologique ainsi que de l’histoire de l’art médiéval au XXème siècle. La carrière de Jean Vallery-Radot couvre en effet tout le siècle, ou peu 2 s’en faut. Né à Paris en 1890, d’une famille originaire de l’Yonne, il entre dès 1907 à l’Ecole des Chartes, où il suit notamment le cours d’archéologie du Moyen Age professé par Robert de Lasteyrie, que suppléait déjà Eugène Lefèvre-Pontalis depuis 1905-1906. La rencontre avec ces deux maîtres détermine la vocation du jeune chartiste. En 1911, il soutient sa thèse d’archéologie sur la cathédrale de Bayeux. Sorti de l’Ecole des Chartes, son diplôme d’archiviste-paléographe en poche, il est affecté, pour une courte période, au Cabinet des Estampes de la Bibliothèque Nationale. La première guerre mondiale prolonge son séjour sous les drapeaux, et 1919 voit son retour à la Bibliothèque Nationale. Nommé bibliothécaire aux Imprimés en 1920, il retrouve bientôt une place aux Estampes, où il devait rester jusqu’en 1927. Ses premiers travaux portent sur l’architecture gothique (normande, en particulier, dans le droit fil de sa thèse sur Bayeux), ainsi que sur l’architecture militaire des XI et XIIèmes siècles. Au cours de l’hiver 1923-24, Jean ValleryRadot donne, à l’Institut Catholique de Paris, une série de dix conférences sur “l’architecture religieuse en France à l’époque gothique”, dont ses archives nous ont transmis le texte intégral. En 1925, il parcourt la Belgique à bicyclette 2 Sur la vie et l’œuvre de Jean Vallery-Radot, voir les contributions d’André Chastel, de Paul Deschamps et de Jean Hubert au numéro que lui a consacré le Centre International d’Etudes Romanes (C.I.E.R., 1971, II). Voir également : Marc Thibout, Jean Vallery-Radot (Monuments Historiques, 1971, n° 4, pp. 122-123) et Pierre Héliot, Jean Vallery-Radot (Bibl. de l’Ecole des Chartes, CXXXI, 1973, pp. 690-695), à qui nous sommes redevables de nombreuses précisions. 4 et rassemble les matériaux d’un article sur l’architecture gothique de ce pays . 3 Il entame des recherches sur l’influence de “l’école gothique” d’Ile-de-France en Normandie. Il écrit, dans le même temps, une rapide synthèse sur l’évolution de l’architecture religieuse en Haute-Normandie du XIème au XIIIème siècle, qu’il laisse inachevée. En 1926, il présente quelques églises gothiques au Congrès archéologique de Rouen . Il s’intéresse également à la vogue que connut l’art 4 gothique dans la littérature romantique, esquisse une “dissertation sur les sources du goût du XIXème siècle pour nos antiquités nationales”, jette sur le papier le “plan d’une recherche sur les origines du retour en faveur du style gothique”, ébauche un article où il analyse la manière dont “le style gothique reconquit les sympathies françaises”... mais ne publie rien, semble-t-il, de tout cela 5 : aussi est-ce d’une lumière nouvelle que ces archives éclairent les débuts de Jean Vallery-Radot, plus souvent connu pour ses travaux sur l’art roman. L’architecture militaire du Moyen Age ne le laisse pas indifférent non plus. Au printemps 1926, il entreprend une vaste tournée qui le mène de Vendôme à Provins, et d’où il rapporte de nombreuses notes. Ses articles sur Loches, publiés la même année, font autorité. L’étude méthodique des châteaux et des donjons de Normandie le conduit ensuite en Angleterre, qu’il visite pendant l’été 1926; comme l’indique le titre du rapport officiel qu’il fit de ce voyage, c’est un “travail d’ensemble sur l’architecture militaire en Normandie aux XI et XIIème 3 Quelques fragments rédigés de cet article subsistent au dos d’un manuscrit de l’une des conférences de 1924-1925 sur l’architecture romane, avec l’indication “Figaro artistique”. 4 C’est en 1922 que le nom de Jean Vallery-Radot apparaît pour la première fois sur la liste des membres de la Société Française d’Archéologie (Congrès, 1922, p. 559, et Bulletin Monumental, 1922, p. 467 et p. 471). C’est la même année qu’il fait ses premières communications à la Société Nationale des Antiquaires de France. L’on reconnaît rapidement ses mérites : dès 1926, la S.F.A. lui décerne sa médaille de vermeil, et, en 1927, il est élu membre résidant à la Société des Antiquaires de France. 5 Il est possible que ce dernier article ait été publié dans la Revue critique des idées et des livres de 1920 ou 1921, mais nous n’avons pu le vérifier. 5 siècles” que le jeune savant envisage alors. Mais d’autres circonstances devaient le détourner de ce dessein. En effet, c’est sans doute au cours de cette période que Jean Vallery-Radot entreprend sa thèse de doctorat sur l’art roman dans les pays du Rhône, qu’il n’acheva d’ailleurs jamais. Au même moment, les onze leçons professées à la Sorbonne par J. Puig i Cadafalch sur le premier art roman catalan (1925) attirent son attention sur la question, fort débattue à l’époque, des origines de l’art roman; des lectures, dont de nombreuses notes manuscrites nous conservent la trace, sur la partition de l’empire carolingien et les anciens royaumes de Bourgogne et de Provence, lui révèlent l’importance de la géographie historique et lui suggèrent une méthode d’étude dont il ne devait pas se départir. Ainsi s’esquissent, dès le milieu des années 1920, les grands axes qui allaient orienter ses recherches; il rédige par exemple une petite étude, restée inédite, sur les voies de propagation du premier art roman en Bourgogne, qu’il reprit, de manière plus approfondie, lors d’un colloque, en 1959 ; en 1923, il participe 6 activement au congrès archéologique de Valence et de Montélimar; en 192425, la nouvelle série de conférences qu’il propose à l’Institut Catholique de Paris porte, cette fois, sur l’architecture romane; en 1929, il analyse, dans un compte-rendu critique, l’ouvrage de Puig i Cadafalch sur le premier art roman; en 1936, il tente de définir la limite méridionale de l’école romane bourguignonne, article qu’il complète, en 1945, par une étude consacrée au domaine de l’école romane de Provence... Cependant, il ne se consacre pas d’emblée à la seule architecture romane du Sud-Est; au contraire, il est surtout, à ses débuts, un spécialiste d’art gothique et d’architecture militaire, et ses premières publications concernent davantage les régions septentrionales : la Normandie, où il fait ses premières armes; l’Ile-de-France, dont il étudie quelques églises à la demande d’Eugène Lefèvre-Pontalis; la Touraine, avec des articles remarqués sur Loches; la Bourgogne, où il s’intéresse en particulier 6 C.I.E.R., 1960, II, p. 17. 6 à la Sainte-Chapelle de Dijon (1925 et 1926), etc. Les années 1926 et 1927 marquent un tournant dans la vie de Jean Vallery-Radot. En effet, il pose sa candidature, en 1926, au poste de chef du Service des Archives de la Société des Nations et, en 1927, s’installe à Genève. Ce “tournant” ne se traduit pas immédiatement par des publications et Jean Vallery-Radot s’attarde, un temps encore, sur la Normandie (Fécamp en 1927 et 1928, Etretat en 1928), la Bourgogne (Congrès archéologique de 1928), l’Orléanais (Congrès archéologique de 1930), le Berry (1931 et 1932), ou la Lorraine (Metz en 1931, Toul en 1933); il donne quelques études de synthèse, sur les églises hautes dédiées à saint Michel, sur une famille de clochers romans, sur la Hongrie arpadienne, sur l’influence architecturale de Cluny en Angleterre, sur les églises à coupoles (1929-1930). En 1931, il rassemble ses réflexions en un ouvrage au titre évocateur : Eglises romanes, filiations et échanges d’influences . La même année, il est sollicité par son ami 7 Marcel Aubert, dont il avait fait la connaissance à l’Ecole des Chartes, pour le chapitre sur l’art roman de la Nouvelle histoire universelle de l’art que dirigeait ce dernier, et qui parut en 1932 . Ce n’est guère que dans le domaine de la 8 gravure et de l’estampe que se ressent, dès 1928, le changement : à l’exception d’un inventaire, en 1930, Jean Vallery-Radot ne publie aucun article sur le sujet jusqu’en 1941, date de son retour en France. Si l’on s’en tient à l’œuvre publié, d’archéologie médiévale notamment, les centres d’intérêt de 7 Dans une lettre du 22 mars 1930, Jean Vallery-Radot écrit que le manuscrit en était déjà achevé en janvier 1929. 8 En 1928 déjà, Marcel Aubert, qui n’était que de six ans son aîné, avait proposé à Jean Vallery-Radot de participer à la belle monographie qu’il préparait sur la cathédrale de Metz. Les fonctions qu’ils exercèrent l’un et l’autre à la S.F.A. fortifièrent leur amitié. La guerre les rapprocha encore, puisqu’ils enseignèrent tous deux à l’Ecole du Louvre à cette époque. En 1961, un ouvrage sur l’Art roman en France (dont la bibliographie du C.I.E.R. ne fait pas état) les associa une dernière fois. Ce fut Jean Vallery-Radot qui, en 1962, écrivit l’éloge funèbre de Marcel Aubert pour le C.I.E.R. 7 Jean Vallery-Radot ne semblent donc pas véritablement affectés par les nouvelles fonctions qu’il occupe à la Société des Nations. L’inflexion est en revanche beaucoup plus sensible dans les archives et les manuscrits de la Bibliothèque du Patrimoine. A partir de cette époque, en effet, Jean Vallery-Radot voyage beaucoup; il visite la Suisse, bien sûr, ce qui devait faire de lui le Cicerone tout désigné du Congrès archéologique de 1952, mais explore également la vallée du Rhône et les régions voisines. Il parcourt méthodiquement la Drôme, l’Ardèche, le Lyonnais, la Bourgogne, la Provence, et jusqu’aux Pyrénées, en 1931, consigne ses observations, esquisse des comparaisons, des rapprochements, amasse progressivement de copieux dossiers de notes. Sur ces régions, toutefois, il publie peu. 1934 est même l’une des rares années où Jean Vallery-Radot, auteur pourtant fécond, ne publie absolument rien. Tout au plus trouve-t-on, en 1929, quelques mentions de la Suisse dans le compte-rendu qu’il fit du Premier art roman de Puig i Cadafalch, et un article sur les analogies entre les églises de Charlieu et d’Anzy-le-Duc, où Jean Vallery-Radot remet en question l’hypothèse de Charles Oursel sur les “églises martiniennes”, ainsi qu’une communication sur “l’architecture cistercienne en Suisse et ses modèles français” , qu’il fit à 9 l’Association bourguignonne des sociétés savantes réunie en congrès à Sens, en 1930. Enfin, quelques lettres échangées avec Jean Cordey en 1929 et 1930 font allusion à un livre sur les influences artistiques en Suisse, pour lequel Jean Vallery-Radot, sous la direction de Louis Réau, se serait chargé du Moyen Age; mais il ne semble pas que ce projet ait eu de suites . 10 9 Le texte manuscrit de cette communication figure dans les archives de Jean Vallery-Radot, mais la bibliographie du C.I.E.R. ne le mentionne pas. Une lettre du 20 avril 1931, de E. Chartraire, président de la Société archéologique de Sens, incite pourtant à croire qu’il fut publié. 10 Lettres de Jean Cordey des 5 août, 22 août et 30 octobre 1929; lettre de Jean ValleryRadot du 22 mars 1930; réponse de Jean Cordey du 29 mars 1930. La suite de la correspondance ne fait plus état de cet ouvrage, dont on retrouve les notes préparatoires et le texte en partie rédigé dans les archives de la Bibliothèque du Patrimoine. 8 Ce n’est qu’au terme de ces quelques années d’étude et d’imprégnation, pour ainsi dire, que Jean Vallery-Radot se remet à l’écriture. Pour le Congrès archéologique de 1935, il signe cinq notices sur des églises romanes de la Dombes, précédées d’une intéressante introduction qui ne fut pas publiée. Dès 1936, et plus encore les années suivantes, il s’attaque à la chronologie et aux rapports stylistiques ou architecturaux des églises de Vienne (cathédrale SaintMaurice, église Saint-André-le-Bas), de Marseille (la Major), de la Drôme (Anneyron), de l’Ardèche (Notre-Dame d’Andance) ou de l’Hérault (SaintGuilhem-le-Désert). Les articles se succèdent ainsi à un rythme soutenu, que la seconde guerre mondiale n’atténue que pour un court moment. Parallèlement, il accepte de nouvelles responsabilités à la Société Française d’Archéologie : en 1924, il en est membre du Conseil ; en 1937, il est mentionné comme membre du Conseil d’Administration et du comité de Publication. Peut-être ses fonctions à la Société des Nations lui laissent-elles d’ailleurs davantage de liberté; en 1927, il est chef du Service des Archives; en 1935, il devient chef de la Section Courrier et Archives ; en 1939, il est “directeur de la Bibliothèque de la Société des Nations” . 11 Avec la guerre, pourtant, surviennent de nombreux changements dans la vie de Jean Vallery-Radot. Devant l’échec patent de la Société des Nations, il démissionne de son poste en 1940 et, sans doute, tente de rallier Paris, puisqu’il est nommé, dès l’année universitaire 1941-1942, professeur titulaire du cours d’Histoire de la gravure à l’Ecole du Louvre . En 1941, il séjourne 12 quelque temps au château d’Ussé, en Indre-et-Loire, où étaient conservées les plus précieuses collections du Cabinet des Estampes . Il en profite d’ailleurs 13 11 Ce sont les titres que lui donnent les listes des membres de la S.F.A. publiées en annexe des Congrès archéologiques. 12 où “il fut toutefois suppléé par M. Jean Adhémar”, précise Roseline Bacou (C.I.E.R., op. cit., p. 19). 13 “J’ai fait ici, pendant l’exil de nos collections, de longs séjours pour les garder...” se souvient Jean Vallery-Radot, dans une notice préparée pour la visite de ce château, lors du Congrès de 1948. 9 pour rédiger une petite notice, demeurée inédite, sur l’église de Rigny-Ussé. De 1941-42 à 1948-49, Jean Vallery-Radot enseigne l’histoire de la gravure au Louvre; dès 1942, il retrouve la Bibliothèque Nationale, où il succède à Jean Laran à la tête du Cabinet des Estampes. Il ne devait quitter ce poste qu’à l’âge de la retraite, en 1961. A ces années difficiles et troublées correspond un profond hiatus dans sa correspondance , qui ne compte que quatre lettres entre les années 1939 et 14 1946. De même, sa bibliographie ne dénombre que deux articles - de taille néanmoins conséquente - pour 1939 et 1940 : le premier, une notice sur la cathédrale de Bazas, représente sa contribution au Congrès archéologique de Bordeaux; le second est une assez longue étude des églises romanes du Rouergue. Ayant retrouvé une situation plus stable, Jean Vallery-Radot reprend la plume. A côté de divers articles sur l’histoire de la gravure ou le Cabinet des Estampes, il poursuit ses recherches sur l’art roman de la vallée du Rhône, dont il ne se laisse distraire que par ses activités à la Société des Antiquaires de France ou à la Société Française d’Archéologie, qui le nomme, en 1946, Inspecteur général pour Paris. Ses publications égrènent des noms désormais familiers : Saint-André-le-Bas, à Vienne, Anneyron, dans la Drôme, Sénanque, en Provence, cette Provence sur laquelle il fait paraître, en 1945, une belle synthèse que Jean Hubert se plaisait à considérer comme “un modèle d’étude d’archéologie régionale” . 15 Cependant, ses activités au Cabinet des Estampes l’absorbent chaque jour davantage. Il organise des expositions, préface des catalogues, multiplie les conférences, dont ses archives ont en partie conservé la trace. Il est à l’origine des grandes expositions des dessins de l’Albertina de Vienne (1950), de l’œuvre gravé de Toulouse-Lautrec (1951), ou de la collection Franz Kœnigs conservée au musée Boymans de Rotterdam (1952)... Son livre sur Le dessin 14 du moins dans celle retrouvée dans ses archives. 15 op. cit., p. 17. 1 français au XVIIème siècle paraît l’année suivante. En 1946, 1947, 1949 et 1953, il publie exclusivement des articles consacrés aux estampes. Jean Vallery-Radot revient à l’architecture médiévale en 1948, à l’occasion du Congrès archéologique de Tours, pour lequel il se charge de présenter Loches et quelques édifices de cette région qu’il connaît si bien. En 1949, il participe au Congrès international d’histoire de l’art, à Lisbonne; en 1950, il prépare plusieurs notices pour le Congrès de Montpellier et se voit décerner le prix Lefèvre-Pontalis, la plus haute distinction de la Société Française d’Archéologie. Il écrit encore quelques articles sur les églises de Vienne (notamment sur la cathédrale Saint-Maurice, où il dirige, avec Jean Hubert et Jules Formigé, une campagne de fouilles, en 1953), entreprend un voyage dans la Drôme, s’intéresse un moment à Chartres, à l’architecture Ottonienne ou aux monuments pré-romans. Il est ensuite sollicité pour l’introduction du Congrès de Suisse romande (1952), ce pour quoi son long séjour à la Société des Nations et sa connaissance profonde de la région le recommandaient tout naturellement. Dans cette courte étude, il revient notamment sur les questions de filiation stylistique que soulève la cathédrale de Lausanne, et qu’il avait déjà examinées auparavant, dans deux articles dont la bibliographie du C.I.E.R., curieusement, ne fait pas état . 16 Mais la nouvelle décennie est surtout marquée par le regain d’intérêt que semble éprouver Jean Vallery-Radot pour la Bourgogne. Les points saillants de cette évolution sont la parution, en 1955, de son ouvrage sur Tournus, la préparation, en 1958, du Congrès archéologique d’Auxerre, dont il rédige, à lui seul, dix-huit notices ainsi que la dense introduction, et enfin sa participation, en 1961, à L’art roman de Marcel Aubert, pour lequel Jean Vallery-Radot se charge de la Bourgogne et des régions limitrophes. A dire vrai, cette région, où le retiennent tant d’attaches familiales, n’avait jamais entièrement disparu de ses préoccupations. Dès 1925, il s’intéressait à la propagation du premier art 16 Voir bibliographie complémentaire, p. 28. 1 roman en Bourgogne; et c’est en 1928 que l’on trouve les premières mentions de Tournus dans sa correspondance. La Sainte-Chapelle de Dijon, édifice gothique détruit au début du XIXème siècle, avait éveillé sa curiosité en 1925 et 1926. Jean Vallery-Radot guide encore le Congrès archéologique de 1928, étudie Charlieu et Anzy-le-Duc en 1929, ou la limite méridionale de l’école romane de Bourgogne en 1936... Ces quelques articles, dont nous avons déjà parlé, indiquent, sans qu’il soit besoin d’insister davantage, qu’il n’interrompit jamais ses recherches sur la Bourgogne. Mais celle-ci restait jusqu’alors en retrait, comme voilée par d’autres centres d’intérêt. Désormais, le phénomène est franc, massif, et la seule énumération des travaux qu’il mène à cette époque suffit à s’en convaincre. C’est principalement Saint-Philibert de Tournus qui retient son attention. Outre son livre, publié en 1955, il donne des conférences , des articles (sur le 17 transept et la tour de croisée, en 1950, sur le décor sculpté, en 1956) et, pour la naissance du Centre International d’Etudes Romanes, fondé à Tournus même, fait rectifier le plan jusqu’alors erroné de l’abbatiale et précise son étude du transept. Mais, s’il en renouvelle la chronologie, Jean Vallery-Radot ne se limite pas à Saint-Philibert de Tournus. L’Yonne est son autre domaine d’investigation favori. Il en présente quelques églises au Congrès archéologique de Troyes (1955), sorte de prélude au Congrès de 1958, dont il fut, pour ainsi dire, le maître-d’œuvre. Il s’intéresse à Tonnerre en 1954, à Auxerre en 1958 et 1959, à Avallon en 1958 et 1960, etc. Ajoutons enfin, à ce catalogue déjà pléthorique, la communication qu’il fait, en 1959, au colloque international du C.I.E.R., sur le premier art roman et les voies de sa pénétration en Bourgogne; son article sur l’église de Saint-Hymetière, dans le Jura, qui relève précisément de ce premier art roman bourguignon ; sa collaboration de 1961 avec Marcel Aubert, déjà 18 17 Tournus, une synthèse de l’art roman en Bourgogne (sans date, mais probablement vers 1955-56), Tournus : histoire de la construction (conférence de la S.F.A. à l’Ecole du Louvre, 17 janvier 1957). 18 Voir aussi C.I.E.R., 1960, IV, p. 4. 1 évoquée; ses recherches sur la Sainte-Chapelle de Dijon (1950), sur la chapelle du château de Fleurigny, dans l’Yonne, ou encore sur le Nivernais, et en particulier sur l’église de la Charité-sur-Loire ... : force est de reconnaître 19 que cette liste est remarquablement éloquente. Après 1961, la Bourgogne disparaît assez brutalement de la bibliographie de Jean Vallery-Radot. Les seules exceptions concernent la Cour Notre-Dame et Villeneuve-sur-Yonne, en 1964, la Charité-sur-Loire, en 1966 et 1967, ainsi qu’une participation, vers 1966 toujours, au Dictionnaire des églises de France (régions Bourgogne-Nivernais-Lyonnais), pour lequel Jean Vallery-Radot se contente de reprendre les notices du Congrès archéologique de 1958. L’explication de ce phénomène tient en quelques mots : en 1961, Jean ValleryRadot prend sa retraite. Sa carrière conclue sur la monumentale publication, en 1960, d’un recueil de plans d’églises jésuites conservé à la Bibliothèque Nationale, il dispose désormais du temps et des loisirs nécessaires pour revenir à ses projets de jeunesse. Aussi se consacre-t-il à l’étude des églises et des châteaux de Normandie, de Touraine, ou de la vallée du Rhône et des régions voisines, comme l’Ardèche, la Savoie ou la Provence. Il assiste régulièrement aux colloques d’architecture militaire de Château-Gaillard, voyage beaucoup, en Espagne (1961), en Provence (1963, 1969), en Angleterre (1966)... Il préside, de 1962 à 1963, la Société de l’Ecole des Chartes, et, de 1963 à 1964, la Société d’Histoire de l’art français. Membre de la Commission Supérieure des Monuments Historiques depuis de longues années, il participe également aux premiers travaux de l’Inventaire, dès sa création par André Malraux en 1964. Il écrit encore, notamment à l’occasion des Congrès archéologiques (1963, 1965, 1967), mais moins qu’auparavant toutefois. Entre 1962 et 1969 paraissent ainsi de nombreux articles, sur Fécamp, Jumièges ou le Mont-Saint19 Il faut signaler, outre l’article publié par la Société Nationale des Antiquaires de France, une communication faite lors des journées d’études du C.I.E.R. à Cluny (novembre 1960), intitulée “Notes chronologiques sur le prieuré de la Charité-sur-Loire.” Malheureusement, le manuscrit semble en être perdu. 1 Michel, sur quelques ouvrages d’architecture militaire - de l’époque de Philippe Auguste, en particulier -, sur l’admirable église de Cruas, en Ardèche , sur le 20 Nivernais, sur la Savoie ou encore sur la région d’Avignon que, depuis les années 1920, Jean Vallery-Radot avait parcourue en tous sens. Et si, vers la fin de sa vie, son activité se ralentit, s’il publie moins, son esprit reste alerte. Ses archives contiennent d’ailleurs des notes inédites de ces années-là, sur Jumièges, sur Tournus, sur la Drôme, qui constituent une émouvante trace de ses derniers travaux. En mars 1970, il donne au C.I.E.R. une conférence sur l’art roman dans la vallée du moyen Rhône. Mais c’est là sa dernière apparition devant un auditoire. Vingt mois plus tard, le 9 novembre 1971, Jean Vallery-Radot s’éteint, au terme d’une longue et pénible maladie. Le récit de la vie de Jean Vallery-Radot et l’énumération de ses publications pourraient laisser penser que son œuvre consiste essentiellement en d’érudites monographies, propres à redresser telle erreur de chronologie, telle citation inexacte, telle attribution stylistique erronée. Effectivement, “on y relève couramment une idée ou un fait inédit au temps de la rédaction.” 21 Aussi, l’apport de Jean Vallery-Radot à la connaissance de l’art médiéval se réduirait-il à cela, que ce ne serait déjà pas négligeable. Mais ce n’est là qu’une part de la vérité, et d’autres enseignements se dégagent de l’ensemble de son œuvre. Les voix les plus autorisées - Paul Deschamps, Jean Hubert, Marc Thibout... se sont élevées pour en louer la haute qualité et en signaler toute l’originalité. Jean Vallery-Radot a développé, en premier lieu, une réflexion critique sur la notion d’école, héritée des recherches du XIXème siècle sur l’architecture romane, et qu’il propose d’assouplir, dès 1945, en distinguant le domaine 20 La bibliographie du C.I.E.R., qui ne mentionne que deux articles sur cette église, publiés en 1963, omet de signaler une communication aux Antiquaires de France, du 15 février 1961, et un article de 1963 ou 1964, paru dans Art de France (lettre de Pierre Berès, du 19 décembre 1963). Il existe également, dans les archives déposées à la Bibliothèque du Patrimoine, des notes manuscrites sur Cruas, datées de 1965, mais rien n’indique que l’article ou l’ouvrage auxquelles elles se rapportent fut achevé et publié. 21 Pierre Héliot, op. cit., p. 691. 1 propre et la zone d’influence de l’école romane de Provence. D’autre part, il préfère une étude minutieuse des sources manuscrites et des fonds d’archives à la seule considération de l’évolution des formes architecturales : rien que de très normal, d’ailleurs, de la part d’un bon chartiste, et d’un bon chercheur tout court. Mais il porte une attention plus particulière encore à l’environnement des édifices qu’il étudie. L’environnement, c’est-à-dire un ensemble de données géologiques, géographiques et historiques, qui rendent compte des matériaux dont sont construits ces édifices, bien sûr, mais aussi des partis architecturaux que ces matériaux imposent et des possibilités d’expression qu’ils offrent au ciseau du sculpteur, et qui expliquent, par la permanence d’itinéraires anciens modelés sur les grandes voies naturelles, par des rattachements ecclésiastiques ou politiques estompés depuis lors, les influences stylistiques qui s’exercent entre des édifices que plus rien ne rapproche aujourd’hui. Autant d’évidences trop souvent oubliées, autant de domaines où Jean Vallery-Radot trouve à exercer un esprit d’une rare liberté. A cet égard, l’introduction qu’il rédige, en 1935, à l’intention des congressistes de la Société Française Archéologique venus visiter la Dombes, est un témoignage exemplaire. Enfin, l’on aurait tort de ne voir en Jean Vallery-Radot qu’un spécialiste de la monographie. S’il fut influencé par les idées d’Eugène Lefèvre-Pontalis - et comment ne l’aurait-il pas été ? -, il a toujours été tenté, dès ses débuts, par de vastes synthèses auxquelles l’inclinaient “une double aptitude à l’analyse serrée et à la synthèse raisonnée, un sens critique aigu, une sensibilité artistique qu’avivait son intimité avec tant de belles choses, une hauteur et une largeur de vue qui manquaient à certains de ses émules [...], enfin une assez rare clarté d’exposition.” 22 La monographie n’était pour lui qu’une étape nécessaire mais préliminaire à toute tentative de synthèse. Malheureusement, le temps lui manqua et de nombreuses occupations, au premier rang desquels, bien sûr, sa carrière aux Estampes, ne lui permirent pas de mener à terme ses 22 Pierre Héliot, op. cit., p. 693. 1 projets. Il est juste de reconnaître, toutefois, que, s’il s’absorba dans ses fonctions à la Bibliothèque Nationale, ceci ne se fit pas toujours au détriment de l’art du Moyen Age, car il sut dégager l’intérêt archéologique de certaines estampes, témoignages irréfutables sur les états anciens de monuments aujourd’hui ruinés ou disparus (château de Gaillon, Sainte-Chapelle de Dijon, clocher vieux de Chartres, Stavelot et Malmédy...). Il reste vrai, cependant, que Jean Vallery-Radot n’a pas donné la pleine mesure de ses capacités, et son œuvre laisse comme une impression d’inachevé. A côté des 337 articles de sa bibliographie officielle, et malgré quelques contributions importantes, on aimerait pouvoir citer autre chose. Sans doute, explique Pierre Héliot, il “n’en serait pas resté là s’il l’avait pu. Il avait rassemblé de copieux dossiers de notes dont beaucoup demeurèrent presque inutilisés. Son volume sur les débuts de l’architecture gothique en Normandie et sa thèse de doctorat sur l’art roman dans les pays du Rhône ne virent jamais le jour. Sa brillante synthèse de l’art roman publiée dans la Nouvelle Histoire de l’art que dirigea Marcel Aubert (1932) aurait dû servir de préface à un ouvrage bien plus développé, mais resté à l’état de projet. Enfin, conçu trop tardivement, un volume ou mémoire sur les châteaux de Philippe Auguste eut le même sort.” 23 On devine, à ces quelques lignes, l’intérêt que présentent les archives léguées à la Bibliothèque du Patrimoine. Elles conservent la trace des ultimes recherches de Jean Vallery-Radot comme de ses projets inaboutis. Il n’est pas rare d’y retrouver, au milieu de notes éparses, les brouillons successifs d’un article, le manuscrit d’une conférence, ou le texte d’une communication restée inédite. Ces archives éclairent ainsi les premiers travaux de Jean ValleryRadot, renseignent sur l’évolution de ses idées, et atténuent, d’une manière parfois attachante, la froideur et l’austérité de sa bibliographie officielle. Une abondante correspondance, enfin, redonne vie à tous ces écrits. A la lecture de 23 ibid. 1 ces lettres, de ces notes, de ces manuscrits, l’on se prend à suivre, à travers les hésitations de la plume, les repentirs et les ratures, les traces d’une pensée qui se cherche et qui s’affirme... Ce n’est certes pas là le moindre de leurs charmes. *** 1 Inventaire détaillé du fonds Pour l’inventaire et le classement des papiers de Jean Vallery-Radot, livrés sans ordre ni tri préalable, nous avons adopté un ordre topographique sans rapport avec la chronologie de ses travaux. Cela eût été impossible, d’ailleurs, car un même document peut porter plusieurs dates alors que d’autres ne sont pas datés. Classée à part, la correspondance, qui s’étend des années 1922 à 1971, constitue une base chronologique utile pour la datation de telle ou telle autre pièce d’archives. Les cartons n° 2 à 14 intéressent l’architecture religieuse, les cartons n° 15 et 16, l’architecture militaire. Les derniers cartons, enfin, contiennent des notes prises à l’étranger, des photographies et cartes postales anciennes, ou encore des notes relatives aux estampes. 94/04/1 Correspondance. 94/04/2 Languedoc et Provence. 94/04/3 Drôme. 94/04/4 Isère et Savoie. 94/04/5 Auvergne, Velay, Ardèche. 94/04/6 Rhône, Ain, Dombes, Bourgogne. 94/04/7 Bourgogne et Jura. 94/04/8 Normandie. 94/04/9 Normandie, Picardie, Metz, Langres. 94/04/10 Centre-Ouest et Sud-Ouest. 94/04/11 Projet d’un ouvrage sur l’art roman dans la vallée du Rhône. 94/04/12 Projet d’un ouvrage d’ensemble sur l’art roman. 94/04/13 Art roman (divers). 94/04/14 Art gothique (divers). 94/04/15 Architecture militaire : articles. 94/04/16 Architecture militaire : notes. 94/04/17 Notes prises lors de séjours à l’étranger. 1 94/04/18 Photographies prises lors de voyages à l’étranger. 94/04/19 Photographies et cartes postales anciennes. 94/04/20 Divers. 94/04/21 Notes, photographies et cartes postales anciennes. 94/04/1 Correspondance. • 1922 - 1929 • 1930 - 1939 • 1941 - 1959 • 1960 - 1971 • lettres non datées 94/04/2 Languedoc et Provence. • Languedoc : - Saint-Guilhem-le-Désert : note sur la date du chevet de l’église de SaintGuilhem (3 pages dactylographiées, inédit), et notes de lecture sur les autels de la Major de Marseille et de Saint-Guilhem (1938). - Congrès archéologique de Montpellier (1950) : notes préparatoires, brouillons d’articles et notices dactylographiées. - Notes sur deux églises du Gard : Saint-Etienne-des-Sorts et Saint-Victorla-Coste. - Notes sur la statuaire de Saint-Gilles-du-Gard et sur la sculpture romane méridionale. • Provence : - Notes de lecture sur l’architecture romane de Provence. - Notes sur quelques églises des Bouches-du-Rhône : Aix-en-Provence, et du Vaucluse : Aubune, Bollène, Gigondas, Orange, Saignon, Sarrians. - Senanque : notes diverses, brouillons de l’article publié en 1942, ainsi qu’un manuscrit incomplet, intitulé “Les particularités du plan et de la construction de l’église cistercienne de Senanque” (6 p. manuscrites). 1 - Ecole romane de Provence : manuscrit d’une conférence, vers 1945 (38 p. manuscrites, les 2 premières pages manquent); notes et illustrations pour l’article publié en 1945. - Fragments manuscrits d’une conférence sur l’ancienne cathédrale de Vaison [1963]. - Congrès archéologique d’Avignon (1963) : notes préparatoires et brouillons d’articles. 94/04/3 Drôme. • Notes sur diverses églises de la Drôme. - Généralités. Aiguebelle, Aleyrac, Allan, Anneyron, Bathernay, La BâtieRolland, Baume-de-Transit, Beaumont-les-Valence, Bonlieu, Chabrillan, Chantemerle, Châteauneuf-du-Rhône, La Clastre, Comps, Cornillon, Crane, Die (manuscrit dactylographié : le clocher-porche de Die et son décor roman). - Donzère, Erôme, Etoile, La Garde-Adhémar (avec notes préparatoires du Congrès archéologique de 1923), Gigors, Jaillans, Lachan, La Laupie, Léoncel, Livron, Manthes, Marsanne, Meymans, Montclair-sur-Gervanne, Montélimar, Montmiral, Moras, La Motte-de-Galaure, La Motte-Fanjas, Mours, Peyrus, Plan-de-Baix, Pont-de-Barret, Saillans, Saint-Andéolprès-Claveysson, Saint-Didier, Saint-Donat-sur-l’herbasse, Saint-Julienen-Vercors, Saint-Marcel-lès-Sauzet, Saint-Nazaire-en-Royans, SaintPaul-Trois-Châteaux, Saint-Restitut, Saint-Vallier, Sainte-Jalle, Sauzet, Savasse, Serves, Solérieux, Valcroissant, Valence. 94/04/4 Isère et Savoie. • Vienne, ancienne cathédrale Saint-Maurice : - Brouillons et textes d’articles; fouilles 1953-1954; notes diverses; documentation iconographique. • Vienne, autres édifices : - Généralités sur Vienne : notes diverses; un manuscrit intitulé “Les antiquités de Vienne” (5 p. dactylographiées + fragments manuscrits). - Saint-André-le-Bas, cloître : notes et documentation iconographique. 2 - Saint-André-le-Bas, église : brouillons d’articles, notes et documentation iconographique. - Saint-Pierre : brouillons d’articles, documentation iconographique. communications, notes et • Notes sur diverses églises de l’Isère (sauf Vienne) : - Artas, Beauvoir-de-Mare, Domène, Grenoble, La Buisse, la Sône, Le Genevray, Marnans, Mayres, Moirans, Notre-Dame-de-l’Isle-sous-Vienne, Notre-Dame-de-Limon, Notre-Dame-de-Mésage, Penol, Saint-Alban, Saint-Chef, Saint-Didier-d’Aoste, Saint-Georges-de-Commiers, SaintIsmier, Saint-Jean-le-Fromental, Saint-Just-Chaleyssin, Saint-Marcellin, Saint-Pierre-d’Allevard, Saint-Pierre-de-Commiers, Salaise, Sassenage, Siévoz, Surieu, Ternay, Theys, Tullins, Valencin, Vif, Vizille, Voreppe. • Notes sur diverses églises de Savoie et de Haute-Savoie : - Lanslebourg, Saint-Jean-de-Maurienne (rapport de Jean Hubert, 1960), Saint-Pierre de Curtille, Saint-Pierre-d’Extravache, Thonon (La crypte de l’église Saint-Hippolyte de Thonon, s.d., 5 p. dactylographiées). 94/04/5 Auvergne, Velay, Ardèche. • Ardèche : - Notes sur diverses églises de l’Ardèche : Andance, Aubenas, BourgSaint-Andéol (+ Valréas), Champagne, Chassiers, Coucouron, Genestelle, La Gravière, Larnas, Macheville, Mazan, Mélas, Montpezat, Pranles, Quintenas, Ruoms, Saint-André-de-Cruzières, Saint-Julien-duSerre, Saint-Just, Saint-Marcel-d’Ardèche, Saint-Martin-d’Ardèche, SaintMaurice-d’Ardèche, Saint-Montan, Saint-Thomé, Le Teil, Thines, Sauveplantade, Ucel, Vesseaux, Vinézac, Vion, Viviers. - Cruas : notes, photographies et documents sur l’église et le château, manuscrits et brouillons d’articles, notamment une notice manuscrite sur l’église (14 p., sans titre ni date). • Auvergne et Velay : - Notes sur diverses églises de l’Auvergne et du Velay : Aigueperse, Ambert, Argental, Besse, La Bénissons-Dieu, Billom, Bourg-Argental, Brioude, Chagnon, La Chaise-Dieu, Chamalières-sur-Loire, Le Chambon, Champdieu, Charlieu, Clermont-Ferrand, Combronde, Ennezat, Issoire, Laussone, Manglieu, Le Monastier, Monistrol, Moulins, Mozac, Orcival, Polignac, Pont-du-Château, Pouilly-les-Feurs, Le Puy-en-Velay, Riom, Royat, Saint-Jean-Bonnefond, Saint-Julien-Chapteuil, Saint-Nectaire, Saint-Paul-de-Tartas, Saint-Paulien, Saint-Rambert-sur-Loire, SaintSaturnin, Salt-en-Donzy, Souvigny, Thiers, Veauche, Vic-le-Comte. - Notes prises lors du Congrès de Clermont-Ferrand (1924) : 2 carnets de notes et 2 compte-rendus par Jean Vallery-Radot, parus dans le Journal des Débats (22 et 29 juin 1924). 2 94/04/6 Rhône, Ain, Dombes, Bourgogne. • Lyon : - Généralités : notes et notes de lecture. - Saint-Pierre : notes et photos. - Saint-Paul : notes et photos, ainsi que des fragments d’un article sur les analogies avec Saint-André-le-Bas à Vienne. - Cathédrale Saint-Jean : notes et photos; un manuscrit intitulé “Les dates du chevet de la cathédrale Saint-Jean de Lyon” (6 p. dactylographiées, complet, inédit). - Saint-Martin-d’Ainay : notes, photos et manuscrits d’articles, dont “Les faux palmiers des chapiteaux de Saint-Martin-d’Ainay” (4 p. manuscrites, incomplet), et “Commentaires sur la coupole de Saint-Martin-d’Ainay” (11 p. manuscrites + fragments, complet. Inédit ?) • Notes sur diverses églises du Rhône : - Les Ardillats, Avenas, Beaujeu, Belleville, Châteauvieux, Châtillond’Azergues, Condrieu, Couzon, Frontenas, Ile-Barbe et Saint-RambertIle-Barbe (Lyon), Marcilly-d’Azergues, Morancé, Ouroux, Sain-Bel, SaintGeorges-de-Reneins, Saint-Mamert, Saint-Romain-au-Mont-d’Or, SainteFoy, Salles-en-Beaujolais, Savigny, Taluyers, Ternand, Thizy, Vauxrenard. • Notes sur diverses églises de l’Ain : - Amareins, Ambronay, Bâgé, Baneins, Boulimieux, Buellas, Chaneins, Chanteins, Chaveyriat, Condeissiat, Lhuis, Montaney, Montracol, Nantua, Le Plantay, Polliat, Relevant, Romans, Saint-Julien, Saint-Maurice-deGourdans, Saint-Nizier-le-Désert, Saint-Paul-de-Varax, Saint-Rémy, Sandrans, Vandeins. • Notes sur l’architecture romane de la Dombes : - Notes de lecture. - Introduction du Congrès archéologique de 1935 (6 p. manuscrites, inédit). • Notes sur diverses églises romanes et gothiques de Bourgogne : - Aignay-le-Duc, Anzy-le-Duc, Autun, Auxonne, Beaune, Berzé-la-Ville, Brancion, La Bussière, Chapaize, Châteauneuf, Châtillon-sur-Seine, Chissey, Cluny, Combertault, Dijon, Flavigny, Fontenay, Iguerande, Issyl’Evêque, Mâcon, Marcigny, Mont-Saint-Vincent, Nuits-Saint-Georges, Paray-le-Monial, Perrecy-les-Forges, Pontigny, Rouvres-en-Plaine, SaintLoup-de-la-Salle, Saint-Seine-l’Abbaye, Saint-Thibault, Sainte-Sabine, Semur-en-Brionnais, Sens, Thil-Châtel, Toulon-sur-Arroux, Vézelay. 2 94/04/7 Bourgogne et Jura. • Saint-Philibert de Tournus : - Notes et observations (1950-1968); manuscrits et brouillons d’articles; documentation iconographique. • Articles, manuscrits et notes : - Observations sur la propagation du premier art roman méridional dans l’ancien royaume de Bourgogne (inédit, vers 1925). - Notes pour l’article sur les analogies entre Charlieu et Anzy-le-Duc (1929). - “La limite méridionale de l’école romane bourguignonne” (conférence à la sorbonne, déc. 1935 ou 1936, 31 p. manuscrites + notes). - “Le premier art roman en Haute-Bourgogne et dans le Jura, et ses voies d’accès” (incomplet, 10 p. dactylographiées + fragments manuscrits, vers 1959). - “L’art roman en Bourgogne, en Franche-Comté et dans les pays limitrophes” (incomplet, 7 p. dactylographiées, brouillons, notes manuscrites sur Poligny et Arbois, 1961). - Notes d’une excursion en Bourgogne (sept. 1958) : Autun, Avallon, Beaune, Cluny, Dijon, Saulieu, Vézelay. - Fragments d’un manuscrit sur l’Yonne (1958 ?). - 1 carnet de notes sur Dijon et Saint-Seine-l’Abbaye. 94/04/8 Normandie. • Colloque de la S.F.A. à Rouen (1966) : - Généralités. Notes, manuscrits et documentation iconographique sur Notre-Dame de Jumièges et l’église Saint-Georges à Saint-Martin-deBoscherville (1966-1969). - Notes, manuscrits et documentation iconographique sur Saint-Pierre de Jumièges. • Documentation iconographique sur Saint-Paul de Rouen. 2 94/04/9 Normandie, Picardie, Metz, Langres. • Normandie : - Notes sur diverses églises romanes et gothiques : Ardennes, Asnières, Bayeux, Bully, Caen, Colleville-sur-mer, Coutances, Cricqueville, (Dreux), Duclair, Englesqueville, Eu, Falaise, Fontaine-Guérard, Géfosse, Isigny, Jumièges (déambulatoire), Lessay, Lisieux, Louvières, Louviers, Maisy, Mosles, Ouistreham, Périers, Pont-Audemer (et Saint-Germain), Pontl’Evêque, Putot-en-Auge, Rouen, Saint-Gôme-du-Mont, Saint-Pierre-surDives, Sées, Valmont, Vaucelles, Vernon. - Notes et manuscrits inachevés sur les déambulatoires normands. - Conférence sur le Mont-Saint-Michel (26 p. manuscrites, fin des années 1920 ?) - Les Andelys : compte-rendu d’une visite de la S.F.A. (1924), notes et photos. - Cathédrale de Bayeux : manuscrit d’une conférence (48 p. manuscrites, sans date). - Notes et brouillons d’une étude inachevée sur les influences de l’architecture gothique d’Ile-de-France en Normandie. - Le style gothique en Normandie de la fin du XIIème siècle à la fin du XIIIème : notes et brouillons (inachevé). - L’évolution de l’architecture religieuse en Haute-Normandie du XIème siècle à la fin du XIIIème siècle (10 p. manuscrites, brouillons et notes, inachevé). - Notes de lecture sur quelques églises de Normandie. • Laon, Soissons, Braine : - Notes diverses sur Saint-Yved de Braine, Saint-Léger de Soissons (avec une notice rédigée pour la visite de la S.F.A. en 1951), et quelques églises du Laonnois. • Metz : - Notes préparatoires et brouillons de l’ouvrage sur la cathédrale de Metz, publié sous la direction de Marcel Aubert en 1931. • Cathédrale de Langres (Haute-Marne) : Notes et documents photographiques 2 94/04/10 Centre-Ouest et Sud-Ouest. • Orléanais : - Congrès archéologique d’Orléans (1930) : notes préparatoires, documents iconographiques, notes manuscrites sur Meung-sur-Loire, le donjon de Beaugency et Yèvres-le-Châtel. • Berry : - Congrès archéologique de Bourges (1931) : notes de lecture; notice dactylographiée sur Saint-Pierre-le-Guillard; manuscrit intitulé “Les conditions géographiques, géologiques et historiques de l’architecture religieuse du Berry des XIIème et XIIIème siècles” (19 p. manuscrites + fragments, inédit). - “Les grands courants d’influence de l’architecture religieuse du Berry aux XIIème et XIIIème siècles” (18 p. dactylographiées + fragments manuscrits, article publié dans la Gazette des Beaux-Arts en 1932). - Conférence sur Saint-Pierre-le-Guillard (complet, 41 p. manuscrites + notes, prononcée à Bourges en avril 1941). - Notes sur diverses églises du Berry : Les Aix-d’Angillon, La Berthenoux, Blet, Bommiers, La Celle-Bruyère, Chalivoy-Milon, Charost, Châteaumeillant, Châtillon-sur-Indre, Chezal-Benoît, Jussy-Champagne, Massay, Neuilly-en-Dun, Neuvy-Saint-Sépulcre, Plaimpied, Puyferrand, Saint-Désiré, Saint-Janvron (?), Saint-Gemme, Saint-Oustrille-de-Graçay. • Touraine : - Notes et manuscrits de l’article sur Saint-Ours de Loches (1924). - 3 carnets de notes sur la Touraine (1923-1925). Ces carnets contiennent également des notes sur Soissons, Braine, Dreux, Gisors, Les Andelys, Vire, Saint-Sever et Château-Gaillard. - Congrès archéologique de Touraine (1948) : notes préparatoires, brouillons d’articles et compte-rendu. - Manuscrits d’articles sur la collégiale de Montrésor (1948-1949). - Notes sur diverses églises d’Indre-et-Loire (1941, en partie) : Azay-leRideau, Benais, Bourgueil, Chinon, Continvoir, Rigny, Rivière, Savonnières, Villandry. • Notes sur quelques églises du Maine-et-Loire : - Chênehutte-les-Tuffeaux, Fontevraud, Hilaire-Saint-Florent, Trèves. Gennes, Montsoreau, Saint- • Poitiers, Vienne et Deux-Sèvres : 2 - Congrès archéologique de Poitiers (1951) : Notes - Documentation iconographique sur quelques églises de la Vienne : Charroux, Château-Larcher, Chauvigny, Civray, Jazeneuil, Lencloître, Lusignan, Saint-Maurice. - Notes sur quelques églises des Deux-Sèvres : Airvault, Marnes, SaintGénéroux, Saint-Jouin-de-Marnes, Thouars. • Sud-Ouest : - Notes prises lors du congrès archéologique de Périgueux (1927). - Notes prises lors du congrès archéologique de Toulouse (1929). - Notes sur les coupoles de diverses églises du Sud-Ouest (1929-1930). 94/04/11 Projet d’un ouvrage sur l’art roman dans la vallée du Rhône. • Ouvrage inachevé, en partie dactylographié, notes et brouillons. 94/04/12 Projet d’un ouvrage d’ensemble sur l’art roman. • Manuscrit inachevé, en partie rédigé. Brouillons et notes éparses sur des églises de nombreuses régions, principalement celles du Centre, de l’Ouest et du Sud-Ouest. 94/04/13 Art roman (divers). • Notes préparatoires en vue d’un “manuel” d’art roman. • Notes et observations sur le premier art roman (vers 1925). • Chapelles hautes dédiées à saint Michel : notes et brouillons de l’article publié en 1929. • Conférences sur l’architecture romane, données à l’Institut Catholique de Paris (1924-1925) : notes et manuscrits des conférences, avec de nombreuses lacunes. • Notes préparatoires et brouillons de L’art roman, contribution de Jean ValleryRadot à la Nouvelle histoire universelle de l’art (1932) dirigée par Marcel Aubert. • Quelques notes sur “l’histoire des abbayes”. 2 94/04/14 Art gothique (divers). • Conférences sur l’architecture gothique, données à l’Institut Catholique de Paris (1923-1924) : notes préparatoires et manuscrits complets des 10 conférences. • Notes et manuscrits sur la fortune de l’art gothique à la fin du XVIIIème siècle et au début du XIXème (vers 1920-1924). 94/04/15 Architecture militaire : articles. • Notes, photographies et brouillons d’articles sur le donjon de Loches (19251926) et manuscrit d’une conférence. • Manuscrit non identifié sur l’architecture militaire en général (incomplet). • “Restitution du dispositif d’accès primitif au donjon de Falaise” (5 p. manuscrites, vers 1926. Projet d’une communication à la Société des Antiquaires de Normandie, inédit). • Manuscrit d’une conférence sur le Krak des Chevaliers (Lausanne, vers 1934 ou 1935). • La Tour Blanche d’Issoudun : manuscrits et brouillons de l’article publié en 1962. • Donjon de La Roche-Guyon : brouillons fragmentaires de l’article publié avec Pierre Héliot, en 1962. • Donjons de Philippe Auguste : ébauches d’articles, compte-rendu du 2ème colloque de Château-Gaillard et manuscrit d’une communication à la Société des Antiquaires de France (1964). • 2ème colloque international de la S.F.A. à Rouen : manuscrit du compte-rendu (1969). 2 94/04/16 Architecture militaire : notes. • Notes sur divers édifices : - Généralités et notes diverses. Aigues-Mortes, Alluyes, Ambrières, Angers, Argentan, Arques, Aunay, Baudémont, Beaugency, Bellême, Bois-Ruffin, Boitron, Bommiers, Bonmoulins, Bourg-le-Roi, Bourges, Braine, Bressuire, Breteuil, Bréval, (Bussy-Rabutin), Cappy, Château-Gaillard, Château-Renault, Châteaudun, Châteauneuf-sur-Epte, Châtillon-surCoumont, Châtillon-sur-Indre, Chaumont-sur-Loire, Chauvigny, Chinon, Cléry, Cordès, Le Coudray-Salbart, Courci, Dôle, Domfront, Dourdan (notice rédigée pour la visite de la S.F.A., juin 1967, 11 p. manuscrites), Douville, Dun-sur-Auron, Epernon, Etampes, Falaise (notes rédigées), Fossés-le-roi, Fréteval, Gallardon, Gavrai, Gisors, Grand-Pressigny, Grez-sur-Loing. - Issoudun, Ivry, Laon, Lavardin, Le Mans, Le Mez-le-Maréchal, Ligny-enBarrois, Mondoubleau, Montdidier, Montereau, Montgomery, Montoire, Montreuil-Bellay (manuscrit incomplet, 9 p. + brouillons), MontreuilBonnin, Montreuil-sur-mer, Montrichard, Mortagne, Mortain, Moulins, Murols, Najac, Neaufle, Nesles, Niort, Nogent-le-Rotrou, Orléans, Orval, (Pailly), Paris, Péronne, Pont-Saint-Pierre, Provins, Le Puiset, Radepont, La Roche-Posay, Rouen, Saint-Jean-le-Thomas, Saint-Maixent, SainteSuzanne, Sens, Thouars, Vendôme, Verneuil-sur-Avre, Villeneuve-surYonne, Yèvre-le-Châtel. 94/04/17 Notes prises lors de séjours à l’étranger. • Angleterre : - “Rapport de M. Jean Vallery-Radot, bibliothécaire à la B.N., sur les travaux qu’il a entrepris durant son séjour à la Maison de l’Institut de France à Londres (août 1926).” (10 p. dactylographiées + brouillon). - Notes d’architecture militaire (1926) : Canterbury, Colchester, Douvres, Durham, Hedingham Castle, Londres, Middleham, Newcastle-upon-Tyne, Porchester, Richmond, Rochester, York. - Notes d’architecture religieuse (1926) : Beverley, Canterbury, Durham, Ely, Fountains Abbey, Lincoln, Londres, Peterborough, Salisbury, Selby, Waltham Abbey, Westminster Abbey, Winchester, York. - Congrès de Battle (1966) : quelques notes prises lors du 3ème colloque de Château-Gaillard. Cartes postales de Beaumaris, Caernarvon, Denbigh, Dolbadarn, Flint, Harlech, Kenilworth, Rochester, Rhuddlan. • Italie : - Congrès de Vérone - Brescia : notes et compte-rendu (octobre 1959). 2 • Espagne : - Notes de voyage (1953). - Congrès d’Oviedo et voyage en Espagne (sept.-oct. 1961) : notes manuscrites, et ébauche d’une communication sur les croisées d’ogives archaïques. • Belgique : - Notes d’un voyage en Belgique (avril 1925) : Aulne, Celles, Dinant, Huy, Liège, Namur, Orval, Saint-Séverin-en-Condroz, Selayn, Villers. - Plan d’une étude sur les églises gothiques du XIIIème siècle ; notes sur Anvers, Bruxelles, Gand et Tongres. • Suisse : - Les influences françaises sur l’architecture religieuse de la Suisse occidentale, du XIème au XIIIème siècle (incomplet, 31 p. manuscrites, brouillons et notes, vers 1929-1930). - Les débuts de l’architecture cistercienne en Suisse et ses modèles français : Communication au Congrès de Sens de l’Association bourguignonne des sociétés savantes (1930). Deux versions, dont une dactylographiée, complète (11 p.). - Introduction à l’histoire des églises de Suisse romande, des origines au milieu du XIIIème siècle (conférence à la S.F.A., 1952, 31 p. dactylographiées, notes et brouillons). - Cathédrale de Lausanne : notes archéologiques et brouillons d’articles. - Cathédrale de Genève : notes, et brouillons d’une conférence. - Notes sur les églises de Bonmont, Grandson, Hauterive, Payerne, Romainmôtier et Valère, ainsi qu’un carnet de notes prises lors du Congrès archéologique de 1952. 94/04/18 Photographies prises lors de voyages à l’étranger. • Oviedo (1961) : photographies de Fr. Eygun et photographies sans indication d’auteur, probablement de Jean Vallery-Radot. • Congrès de Mayence (juillet 1951) : photographies de Fr. Eygun, notes et compte-rendu (“De l’art antique à l’art roman”, paru dans Arts, 1951). 94/04/19 Photographies et cartes postales anciennes. • Etranger, divers. 2 • Cartes postales de Belgique (1925) : Aulne, Celles, Gand, Liège, Orval, Villers. • Cartes postales de la chapelle du Lycée Banville, à Moulins (XVIIème s.) • Photographies et cartes postales de divers édifices du Sud-Ouest (1927, en partie) : Bourdeilles, Brantôme, Cadouin, Cahors, Cénac, Chancelade-prèsPérigueux, Domme, Excideuil, Grand-Brassac, Hagetmau, Monpazier, Monsempron, Périgueux, Saint-Avit-Sénieur, Saint-Jean-de-Cole, Saint-Seversur-Adour, Sorde-l’Abbaye, Souillac, Trémolat, Varen. • Photographies et cartes postales de diverses églises du Midi pyrénéen (1931) : Ambialet, Burlats, Derboux (1964), Lescure, Oloron-Sainte-Marie, Sabart, Saint-Martin-du-Canigou, Saint-Michel-de-Cuxa, Sylvanès, Villefranche-deConflent. • Photographies de participants aux Congrès archéologiques (1924, 1928, 1950). 94/04/20 Divers. • Articles et manuscrits divers : - “Le Rhône à l’aviron”, 5 p. manuscrites, s.d. - Allocution d’ouverture des Entretiens de Royaumont (1947). - Palais de Justice de Paris : notes de lecture pour les articles publiés en 1923, 1925 et 1926. - “L’esprit monumental dans l’art pré-roman” : brouillons et notes de l’article publié en 1952. - “Note sur les églises de Malmédy et de Stavelot représentées sur le retable de Stavelot” : notes et fragments manuscrits (1952). • Estampes : - Notice nécrologique du graveur Daragnès (2 p. dactylographiées, incomplet). - Conférence sur les chalcographies et les techniques de l’estampe (41 p. manuscrites). - Conférence sur l’histoire de la chalcographie et du Cabinet des Estampes de la B.N. (22 p. manuscrites, incomplet ou inachevé). - Exposition Toulouse-Lautrec (1951) : Notes préparatoires, brouillons et compte-rendu publié dans Arts du 25 mai 1951. - Exposition de la collection Koenigs, conservée au Musée Boymans à Rotterdam : notes préparatoires et articles dactylographiés (1952). 3 Projet d’un ouvrage sur l’histoire des techniques de l’estampe et de la gravure : quelques notes préparatoires. - 94/04/21 Notes, photographies et cartes postales anciennes. • Architecture romane – Nivernais : La Charité-sur-Loire, Champvoux. Notes sur l’église de La Charité-sur-Loire, rapport de l’architecte Nicolle, 1867, textes de communications, plan, photographies. Notes préparatoires au Congrès de 1967, plans, photographies. • Notes d’un voyage dans la vallée du Rhône, historique de l’église de Piegros-la-Clastre, photographies de l’église de Saint-Chef, notes sur l’église Saint-Maurice de Vienne et sur la cathédrale de Lyon. • Cartes postales de Saint-Bertrand-de-Comminges (31). • Photographie du portail de Saint-Riquier (80). 3 Bibliographie complémentaire Les abréviations utilisées et les conventions de présentation adoptées sont celles du C.I.E.R. 1924 - Le Congrès archéologique français, Journal des Débats, 22 et 29 juin 1924. 1925 ? - Les églises gothiques d’Auvergne, Figaro artistique. 1931 ? - L’architecture cistercienne suisse et ses modèles français (communication au Congrès de Sens de l’Association Bourguignonne des sociétés savantes). 1948 - La façade de l’église Saint-Pierre de Vienne, B. Soc. Nat. Ant. France, 1948-49, p. 42-43. - La date de la collégiale de Montrésor, B. Soc. Nat. Ant. France, 1948-49, p. 145. 1951 - Un maître de l’art graphique - Lautrec à la Bibliothèque Nationale, Arts, 25 mai 1951. 1952 - Le style de la cathédrale de Lausanne, B. Soc. Nat. Ant. France, 195253, pp. 83-85. - L’art roman et l’art gothique dans la Suisse romande, B. Soc. Amis Mus. Dijon, 1952-1954, p. 18. - Cent cinquante dessins du Musée Boymans à la Nationale, Arts, 29 février 1952. 1958 - L’église Saint-Jean de Joigny, B. Soc. Nat. Ant. France, 1958, pp. 90-91. 1961 - La crypte de l’église de Cruas, B. Soc. Nat. Ant. France, 1961, pp. 50-51. - L’art roman en France : Bourgogne et régions limitrophes (sous la direction de Marcel Aubert), Paris, Flammarion, 1961, 464 p., pp. 323384. 3 1963 ou 1964 ? - Article sur Cruas, Art de France. 1964 - La Tour Blanche d’Issoudun (Caen, archéologiques médiévales, 10 p.). Centre de Recherches 1966 - Dictionnaire des églises de France : Bourgogne - Nivernais - Lyonnais (articles Appoigny, Auxerre, Chitry, Cravant, Dixmont, Island, Joigny, Laroche-Saint-Cydroine, Noyers, Saint-Julien-du-Sault.), Robert Laffont, 1966, vol. IIa. 1986 - L’église de la Trinité à Fécamp (édition augmentée et mise à jour par Marie-Hélène Desjardins), 95 p. 3 Index des noms de lieux cités dans l’inventaire détaillé du fonds Les n° indiqués sont ceux des cartons, soit le dernier chiffre de la cote. Les noms en italiques indiquent les lieux étrangers. Aignay-le-Duc Aiguebelle Aigueperse Aigues-Mortes Airvault Aix-en-Provence Aleyrac Allan Alluyes Amareins Ambert Ambialet Ambrières Ambronay Andance Angers Anneyron Anvers Anzy-le-Duc Arbois Ardennes Argental Argentan Arques Artas Asnières Aubenas Aubune Aulne Aunay Autun Auxonne Avallon Avenas Avignon Azay-le-Rideau Bâgé Baneins Bathernay Baudémont Baume-de-Transit Bayeux Beaugency Beaugency Beaujeu Beaumaris Beaumont-les-Valence Beaune Beauvoir-de-Mare Bellême Belleville Benais Berzé-la-Ville Besse Beverley Billom 6 3 5 16 10 2 3 3 16 6 5 19 16 6 5 16 3 17 6 7 9 5 16 16 4 9 5 2 17, 19 16 6, 7 6 7 6 2 10 6 6 3 16 3 9 10 16 6 17 3 6, 7 4 16 6 10 6 5 17 5 Blet Bois-Ruffin Boitron Bollène Bommiers Bonlieu Bonmont Bonmoulins Boulimieux Bourdeilles Bourg-Argental Bourg-le-Roi Bourg-Saint-Andéol Bourges Bourgueil Braine Brancion Brantôme Brescia Bressuire Breteuil Bréval Brioude Bruxelles Buellas Bully Burlats Bussy-Rabutin Cadouin Caen Caernarvon Cahors Canterbury Cappy Celles Cénac Chabrillan Chagnon Chalivoy-Milon Chamalières-sur-Loire Champagne Champdieu Champvoux Chancelade-près-Périgueux Chaneins Chanteins Chantemerle Chapaize Charité-sur-Loire (La) Charlieu Charost Charroux Chassiers Château-Gaillard Château-Larcher Château-Renault 10 16 16 2 10, 16 3 17 16 6 19 5 16 5 10, 16 10 9, 10, 16 6 19 17 16 16 16 5 17 6 9 19 16 19 9 17 19 17 16 17, 19 19 3 5 10 5 5 5 21 19 6 6 3 6 21 5 10 10 5 10, 15, 16 10 16 3 Châteaudun Châteaumeillant Châteauneuf Châteauneuf-du-Rhône Châteauneuf-sur-Epte Châteauvieux Châtillon-d’Azergues Châtillon-sur-Coumont Châtillon-sur-Indre Châtillon-sur-Seine Chaumont-sur-Loire Chauvigny Chauvigny Chaveyriat Chênehutte-les-Tuffeaux Chezal-Benoît Chinon Chissey Civray Clermont-Ferrand Cléry Cluny Colchester Colleville-sur-mer Combertault Combronde Comps Condeissiat Condrieu Continvoir Cordès Cornillon Coucouron Courci Coutances Couzon Crane Cricqueville Cruas Denbigh Derboux Die Dijon Dinant Dolbadarn Dôle Domène Domfront Domme Donzère Dourdan Douville Douvres Dreux Duclair Dun-sur-Auron Durham Ely Englesqueville Ennezat Epernon Erôme Etampes Etoile Eu Excideuil Falaise Flavigny 16 10 6 3 16 6 6 16 10, 16 6 16 10 16 6 10 10 10, 16 6 10 5 16 6, 7 17 9 6 5 3 6 6 10 16 3 5, 21 16 9 6 3 9 5 17 19 3 6, 7 17 17 16 4 16 19 3 16 16 17 9, 10 9 16 17 17 9 5 16 3 16 3 9 19 9, 15, 16 6 Flint Fontaine-Guérard Fontenay Fontevraud Fossés-le-roi Fountains Abbey Fréteval Frontenas Gallardon Gand Gavrai Géfosse Genestelle Genève Gennes Gigondas Gigors Gisors Grand-Brassac Grand-Pressigny Grandson Grenoble Grez-sur-Loing Hagetmau Harlech Hauterive Hedingham Huy Iguerande Isigny Issoire Issoudun Issy-l’Evêque Ivry Jaillans Jazeneuil Jumièges Jussy-Champagne Kenilworth La Bâtie-Rolland La Bénissons-Dieu La Berthenoux La Buisse La Bussière La Celle-Bruyère La Chaise-Dieu La Clastre La Garde-Adhémar La Gravière La Laupie La Motte-de-Galaure La Motte-Fanjas La Roche-Guyon La Roche-Posay la Sône Lachan Langres Lanslebourg Laon Larnas Lausanne Laussone Lavardin Le Chambon Le Coudray-Salbart Le Genevray Le Mans Le Mez-le-Maréchal 17 9 6 10 16 17 16 6 16 17, 19 16 9 5, 21 17 10 2 3 10, 16 19 16 17 4 16 19 17 17 17 17 6 9 5 15, 16 6 16 3 10 8, 9 10 17 3 5 10 4 6 10 5 3 3 5 3 3 3 15 16 4 3 9 4 16 5, 21 17 5 16 5 16 4 16 16 3 Le Monastier Le Plantay Le Puiset Le Puy-en-Velay Le Teil Lencloître Léoncel Les Aix-d’Angillon Les Andelys Les Ardillats Lescure Lessay Lhuis Liège Ligny-en-Barrois Lincoln Lisieux Livron Loches Londres Louvières Louviers Lusignan Lyon Mâcon Maisy Malmédy Manglieu Manthes Macheville Marcigny Marcilly-d’Azergues Marnans Marnes Marsanne Marseille Massay Mayence Mayres Mazan Mélas Metz Meung-sur-Loire Meymans Middleham Moirans Mondoubleau Monistrol Monpazier Monsempron Mont-Saint-Michel Mont-Saint-Vincent Montaney Montclair-sur-Gervanne Montdidier Montélimar Montereau Montgomery Montmiral Montoire Montpellier Montpezat Montracol Montrésor Montreuil-Bellay Montreuil-Bonnin Montreuil-sur-mer Montrichard 5 6 16 5 21 10 3 10 9, 10 6 19 9 6 17, 19 16 17 9 3 10, 15 17 9 9 10 6 6 9 20 5 3 21 6 6 4 10 3 2 10 18 4 5 5 9 10 3 17 4 16 5 19 19 9 6 6 3 16 3 16 16 3 16 2 5 6 10 16 16 16 16 Montsoreau 10 Morancé 6 Moras 3 Mortagne 16 Mortain 16 Mosles 9 Moulins 5, 16, 19 Mours 3 Mozac 5 Murols 16 Najac 16 Namur 17 Nantua 6 Neaufle 16 Nesles 16 Neuilly-en-Dun 10 Neuvy-Saint-Sépulcre 10 Newcastle-upon-Tyne 17 Niort 16 Nogent-le-Rotrou 16 Notre-Dame-de-l’Isle-sous-Vienne 4 Notre-Dame-de-Limon 4 Notre-Dame-de-Mésage 4 Nuits-Saint-Georges 6 Oloron-Sainte-Marie 19 Orange 2 Orcival 5 Orléans 16 Orval 16 Orval 17, 19 Ouistreham 9 Ouroux 6 Oviedo 17, 18 Pailly 16 Paray-le-Monial 6 Paris 16, 20 Payerne 17 Penol 4 Périers 9 Périgueux 10, 19 Péronne 16 Perrecy-les-Forge 6 Peterborough 17 Peyrus 3 Plaimpied 10 Plan-de-Baix 3 Poitiers 10 Polignac 5 Poligny 7 Polliat 6 Pont-Audemer 9 Pont-de-Barret 3 Pont-du-Château 5 Pont-l’Evêque 9 Pont-Saint-Pierre 16 Pontigny 6 Porchester 17 Pouilly-les-Feurs 5 Pranles 5 Provins 16 Putot-en-Auge 9 Puyferrand 10 Quintenas 5 Radepont 16 Relevant 6 Rhuddlan 17 Richmond 17 Rigny 10 3 Riom Rivière Rochester Romainmôtier Romans Rouen Rouvres-en-Plaine Royat Royaumont Ruoms Sabart Saignon Saillans Sain-Bel Saint-Alban Saint-Andéol-près-Claveysson Saint-André-de-Cruzières Saint-Avit-Sénieur Saint-Bertrand-de-Comminges Saint-Chef Saint-Désiré Saint-Didier Saint-Didier-d’Aoste Saint-Donat-sur-l’herbasse Saint-Etienne-des-Sorts Saint-Gemme Saint-Généroux Saint-Georges-de-Commiers Saint-Georges-de-Reneins Saint-Gilles-du-Gard Saint-Gôme-du-Mont Saint-Guilhem-le-Désert Saint-Hilaire-Saint-Florent Saint-Ismier Saint-Janvron (?) Saint-Jean-Bonnefond Saint-Jean-de-Cole Saint-Jean-de-Maurienne Saint-Jean-le-Fromental Saint-Jean-le-Thomas Saint-Jouin-de-Marnes Saint-Julien Saint-Julien-Chapteuil Saint-Julien-du-Serre Saint-Julien-en-Vercors Saint-Just Saint-Just-Chaleyssin Saint-Loup-de-la-Salle Saint-Maixent Saint-Mamert Saint-Marcel-d’Ardèche Saint-Marcel-lès-Sauzet Saint-Marcellin Saint-Martin-d’Ardèche Saint-Martin-de-Boscherville Saint-Martin-du-Canigou Saint-Maurice Saint-Maurice-d’Ardèche Saint-Maurice-de-Gourdans Saint-Michel-de-Cuxa Saint-Montan Saint-Nazaire-en-Royans Saint-Nectaire Saint-Nizier-le-Désert Saint-Oustrille-de-Graçay Saint-Paul-de-Tartas Saint-Paul-de-Varax Saint-Paul-Trois-Châteaux 5 10 17 17 6 8, 15, 16 6 5 20 5, 21 19 2 3 6 4 3 5 19 21 4 10 3 4 3 2 10 10 4 6 2 9 2 10 4 10 5 19 4 4 16 10 6 5 5, 21 3 5 4 6 16 6 5 3 4 5 8 19 10 5 6 19 5, 21 3 5 6 10 5 6 3 Saint-Paulien Saint-Pierre de Curtille Saint-Pierre-d’Allevard Saint-Pierre-d’Extravache Saint-Pierre-de-Commiers Saint-Pierre-sur-Dives Saint-Rambert-sur-Loire Saint-Rémy Saint-Restitut Saint-Riquier Saint-Romain-au-Mont-d’Or Saint-Saturnin Saint-Seine-l’Abbaye Saint-Sever-sur-Adour Saint-Séverin-en-Condroz Saint-Thibault Saint-Thomé Saint-Vallier Saint-Victor-la-Coste Sainte-Foy Sainte-Jalle Sainte-Sabine Sainte-Suzanne Salaise Salisbury Salles-en-Beaujolais Salt-en-Donzy Sandrans Sarrians Sassenage Saulieu Sauveplantade Sauzet Savasse Savigny Savonnières Sées Selayn Selby Semur-en-Brionnais Senanque Sens Serves Siévoz Soissons Solérieux Sorde-l’Abbaye Souillac Souvigny Stavelot Surieu Sylvanès Taluyers Ternand Ternay Theys Thiers Thil-Châtel Thines Thizy Thonon Thouars Tongres Toulon-sur-Arroux Toulouse Tournus Trémolat Trèves 5 4 4 4 4 9 5 6 3 21 6 5 6, 7 10, 19 17 6 5 3 2 6 3 6 16 4 17 6 5 6 2 4 7 5, 21 3 3 6 10 9 17 17 6 2 6, 16 3 4 9, 10 3 19 19 5 20 4 19 6 6 4 4 5 6 5, 21 6 4 10, 16 17 6 10 7 19 10 3 Tullins Ucel Vaison Valcroissant Valence Valencin Valère Valmont Valréas Vandeins Varen Vaucelles Vauxrenard Veauche Vendôme Verneuil-sur-Avre Vernon 4 5 2 3 3 4 17 9 5 6 19 9 6 5 16 16 9 Vérone Vesseaux 17 5 Vézelay Vic-le-Comte Vienne Vif Villandry Villefranche-de-Conflent Villeneuve-sur-Yonne Villers Vinézac Vion Vire Viviers Vizille Voreppe Waltham Abbey Westminster Abbey Winchester Yèvres-le-Châtel York 6, 7 5 4 4 10 19 16 17, 19 5, 21 5, 21 10 5, 21 4 4 17 17 17 10, 16 17 *** 3