Uniforms by Louis Lepic

Transcription

Uniforms by Louis Lepic
http://napoleonbonaparte.be/uniforms-by-lepic-2/
Grenadiers à pied et à cheval de la vielle garde, Garde impériale 1809,
grenadiers à pieds
grenadiers à cheval
1 : grenadier
16 : guidon du 2ème escadron de grenadiers à cheva
2 : sergent-major
18 : détail de la fourragère
3 : adjudant sous-officier
19 : sabre de grenadier
4 : sergent
20 : adjudant sous-officier
5 : caporal-fourrier
21 : maréchal-des-logis
6 : caporal
22 : brigadier-fourrier
7 : chapeau
23 : brigadier
8 : bonnet d’oursin vue de face,
24 : surtout de grenadiers
9 : giberne de grenadiers
25 : bonnet de police
10 : fond de bonnet
26 : capitaine
11 : tambour
27 : trompette en petite tenue
12 : lieutenant de grenadiers
28 : maréchal-des-logis chef avec chevron de service
13 : sabre-briquet du modèle de la garde,
29 :grenadier à cheval
14 : plaque de bonnet,
30 : tapis de selle et chaperon de la troupe
15 : habit veste vue de trois-quart et de dos, 31 : tapis de selle et chaperon de trompette
17 : ornement de retroussis,
32 : bonnet vue de l’autre profil
33 : fond de bonnet
34 : habit veste vue de l’autre profil
Grenadier
Voltigeur
de
la
Garde
Impériale
1860
La garde
impériale de Napoléon III est crée par le décret du 1er mai 1854, elle est renforcée par le
décret du 17 février 1855, puis encore renforcé par une modification du décret de février
en décembre 1855. A cet instant les grenadiers et voltigeurs de la garde à pied sont
respectivement à 3 et 4 régiments d’infanterie, chacun de ces corps formant une division
à deux brigades. la garde à pied comprend aussi 1 régiment de zouaves qui est intégré à
la division des grenadiers, elle comprend aussi un bataillon de chasseur à pied et un
régiment de gendarmerie à pied. Ne pas oublier un détachement du génie. La garde
participera notamment à la campagne de Crimée, celle d’Italie et la guerre francoprussienne de 1870.
The Imperial Guard of Napoleon III is created by the decree of the 1st May 1854. It is
reinforced by the decree of the 17th February 1855, then by a modification of the decree
of February on December 1855. On this moment, the grenadiers and voltigeurs of the foot
guard are, respectively, at 3 and 4 infantry regiments, each of these corps making a
division with two brigades. The foot guard also includes 1 regiment of zouaves, which is
integrated to the division of the grenadiers. It also includes a battalion of chasseurs à
pied and a regiment of foot gendarmerie, without forgetting a detachment of military
engineering. The guard will participate, especially, to the campaign of Crimea, the
campaign of Italy, and the Franco-Prussian war of 1870.
Quelques livres choisis :
Mémoires sur la campagne de Russie en 1812 par M. Bourgogne,… ex-grenadier
vélite de la garde impériale
Histoire anecdotique, politique et militaire de la Garde impériale par Émile Marco de
Saint-Hilaire ; illustrée par H. Bellangé, E. Lamy, de Moraine, Ch. Vernier…
Souvenirs intimes d’un lancier de la Garde impériale Marcel de Baillehache
Napoléon Ier et la garde impériale texte par Eugène Fieffé,… ; dessins par Raffet
Expédition de Crimée : lettres d’un zouave les lettres sont de Chantaume, zouave de
la garde impériale ; la préface est signée : Gal duc de Mortemart
Compagnie de voltigeurs – Batterie de Neufchâtel – 1812
1:
voltigeur, 2: caporal, 3 habit veste modèle 1812, 4: officiers, 5: cornet de voltigeur
Les compagnies de voltigeurs de l’infanterie de ligne n’ont été créées qu’en 1805 sur le
modèle des voltigeurs de l’infanterie légère. En théorie, le voltigeur est un soldat capable
de sauter en croupe d’un cavalier afin d’augmenter sa mobilité. Napoléon s’est toutefois
opposé à cette pratique car il estimait qu’elle était incompatible avec l’exécution des
missions de la cavalerie. Il souhaitait toutefois que les voltigeurs soient plus mobiles que
les autres fantassins. Pour cela, ils devaient être équipés d’un fusil plus léger mais ce fut
rarement le cas. Tout comme la compagnie des grenadiers, celle des voltigeurs était
d’élite et la solde était aussi plus élevée. Les voltigeurs étaient généralement de petite
taille. Ils portaient des cols de couleur jaune (chamois) et des épaulettes à franges vertes.
Les voltigeurs avaient des cornets (petits cors de chasse) au lieu de tambours. Les
voltigeurs pouvaient selon les circonstances agir comme éclaireurs ou protéger le flanc
gauche du bataillon, le flanc droit étant défendu par les grenadiers.
Le bataillon du prince de Neuchâtel est une unité d’infanterie de ligne de la Grande
Armée, en service sous le Premier Empire de 1807 à 1814.
Le bataillon est créé par décret du 11 mai 1807 sur l’initiative du maréchal LouisAlexandre Berthier, prince de Neuchâtel. Le recrutement, basé sur le volontariat, est
efficace et permet d’étoffer rapidement les six compagnies prévues, auxquelles s’adjoint
bientôt une batterie d’artillerie. Le baptême du feu a lieu en 1809 à la bataille de Wagram,
où les Neuchâtelois sont affectés à la garde des ponts. Le corps prend ensuite la route de
l’Espagne et enregistre des succès contre la guérilla dans la guerre de la Péninsule. La
campagne de Russie en 1812 ayant entraîné la disparition quasi-complète des effectifs, le
bataillon est réduit à la taille d’une compagnie qui participera aux dernières batailles de
l’Empire, Dresde, Leipzig, Hanau en 1813 et enfin Vesoul en 1814. L’unité est dissoute à
Chartres le 1er juin de la même année, après sept années d’existence.
L’uniforme jaune distribué au corps, très inhabituel, vaudra aux Neuchâtelois le surnom
de « canaris » ou de « serins ».
Partager :
Partager
WordPress:
J'aime chargement…