Mars 1909 - Site en travaux, le week
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Mars 1909 - Site en travaux, le week
a O t A a n é e '. — Sant di, 6 Mars 1909, N» 1.6 21,' f"-" * G JÖURNAL P A RA ISSA N T FRANÇAIS 3 fr. 4 fr. 5 fr. 4 — R u e d u C liâ t e a u — 4 B R E S T ^ Changement d'adresse : 0 fr. no avec la dernière bande I.cî» nbonnemmits jmrtont du 1« do clmquo moi« ot ko payent d'avanco par la sûreté générale, sur les a n t i m ilit a r is t e s . Start co hör o’halon onn hör o’lirolz litt Btnrtoo'h nr tirona enn hör Drob.!... CE Q U I SE PASSE Le ?5 décembre dernier, on s'en souvient, Ai. Fallières, président de la Ré publique, au cours d'une promenade à Paria, était attaqué par le garçon decafi M athis, q u i voulut le terrasser et ne réussit qu’à lui tirer quelque peu la barbe et à briser sa canne. Mal hit était poursuivi lundi dernier devant la dixième chambre correction nelle de Paris, pour cette agrossion. Disons tout de suite que lus débats n'ont pas été tris intéressants. L'avocat do Mathis a plaidé l'incom pétence du tribunal soutenant que l'acte de son client relevait de la cour d ’assises. Le procureur de la République et lui, ont longuement discuté et ergoté sur des textes juridiques. Mathis, bien que préfent à l'audience a déclaré faire défaut. Et 0 ‘est effectivement par défaut, qu'il s’est entendu condamnor à quatre ans de prison et à cinq ans d ’interdiction de séjour. Le geste de Mathis était le gosto d'un déséquilibré et o'est lui accorder une importance qu 'il ne pouvait avoir, que de le p u n ir aussi lourdement. 4 «ft9 M. André Gauoher, rédacteur à l'Action Française, avait été condamné le 21 janvier à deux ans de prison, pour t ’être écrié en pleine audience : « Je savait déjà que les magistrats de la cour do cassation étaient des faussaires ! J'au rais dû m'en méfier l » M. Oauo/ier faisait appel le vendredi 24 février, devant la Cour d ’appel, de cette condam nation manifestement exa gérée. Mais la peine a été confirmée. On connaît l opinion que nous avons de (a campagne menée par M. Gaucher et ses amis. Mais cette opinion ne nous empêche nullement de joindra notre pro testation à celles de sos amis contre ce jugement trop sévère, inspiré plus par la politique que par l’impartiale justice. ★ ¥¥ Les camelots du Roy, s’amusent. Lundi soir, Us ont tente de renverser (a statue de Zola, élevé à Paris, place Trarieux. Il s avaiont passé une grosse corde au cou da la statue et s'apprêtaient à tirer en cadence, lorsque des agents urrivènnt pour los disperser. Dans la n u it de mardi à mercredi, ils badigeonnaient do ronge lu monu ment Sj/ieuror-Kostner et répandaient à profusion sur les statues qui ornw t le jardin du Luxembourg, des inscriptions telles que « A bas la République I i l bas la (7ueuse/» De chaque côté du monu ment, se trouvent doux grandos figures symboliques : la Justice et la vérité. T 'Utnü ileux ont eu le ne* écrasé, le m i roir Je la Vérité a été brisé, le glaive de la Ju tti ce cassé. * ¥¥ L'abbé L o lfly , leprêtro excommunié, sollicitait ou ç/ouvem«ment une ohaire d ’histoire dvs religions, vacante au oollège do France. L'Académie des sciences morales et politiques consultée, a procédé samedi dernier au vote définitif pour la désigna tion du candidat. Elle détign a en pre mière ligne M. Georges Foucart, professour à l 'Université d'Aix-Marscille par 20 voix contre 15 à l ‘ab!)à Loisy ; on deuxième ligne, M , Toutain, m aître de conférences à l'école des haulas études de la Faoulté des lettres de Paris, par 23 voix contre 10 à l’abbé Loisy et une à M. Dufoura, professeur à la Faculté des lettres de Bordeaux. Au mépris de oe vote. M. Doumergue, ministre de l'instruction publique, a choisi Ai. Loisy. Cette nomination est injurieuse pour les catholiques, car aux yeux du gouvernement, le principal titre de M. Loisy était l'excommunica tion dont il est frappé, et non sa science contestée et contestable, * * * M. Ghéron, «oui-seorétaira du minis tère de la gutrre. est en ce moment (a bflle noire des débitants de Cherbourg. * - h A > im a / l a n a fa ^8iT7i.lm endé.«ctdcâs „ „ m , 1„ v u « . .. » .Vîdpitaî maritime. Conuafocu que cette épidémie pouvait bien avoir été propagéeohet les troupiers par l’eau de mauvaise qualité que mê laient les débitants aux consommations, U, Chéron a consigné aux troupes tous les débits et aafés do ta ville. Cette déoision a été accueilli» par les débitants avec colère. Après force pala bres; une délégation de débitants lui fut dépOohée. M. Chérbn «t refusé de la rece voir. Mail nos débitants ne se tiennent pas pour battus, «t continuent l’agitation. L«» journaux indépendants felioitont M. Chéron de son attitude. « /t|/on* le courage de le direJ écrit le Figaro, M, Chéron v°u» îles le premier radical qui. depuis trente an», ait eu 16 courage de n» point s’agenouiller devint uneprocçièton de marc hands de vins qui pai«ait. » Et de fuit, lei mostroquots dm vi liai ont jusqu’ici été les plus puissants Soutiens des radicaux, car c'est dans leurs boutiques qu'ils préparent " U cuisine politique et abreuvent IVlccfeur. •«' ! I' >1 < '#** 1 ' ' 11 * A la requSte du ministre de la guerre, une vaste enquête vieni d'être ouverte Les commissaires de police ont été invités à fournir au plus t«St, la liste des individus qui, le cas échéant, seraient susceptibles de p o u w r h la destruction des ouvrages d'art, fortifications, maga sins d ’approvisionnements, ou d ’tffcctuur eux-mêmes la destruction do ces bâtiments. . . , L a campagne des antimilitaristes 0 mal/i^ureusemont déjà produit des fruits désastreux. Il suffit pour le constater de jeter un coup ci œil sur la statistique des déserteurs ot insoumis, fournie au m inis/ire de la guerre. Désertpws : 1 OO't f-n 1808. 1.090 en 1800, 1 073 en 1000, 2.338 en 1001, 3.223 en 1002, 2 20/i en 1003, 2.316 en 100k, 2. G74 en 1005, 3.028 en 1000, 3.437 en 1007. Insoumis : «ï.768 en 1808, 2.050 en 1899, 5.157 en 1900. 3,774 en 1901, 3.767 •n 1902. 't 973 en 1903, 4 737 en 190'i, 7.807 en 1905, 10A80 en 1906, 10.630 en 1907. Quand s'arrêtera cette effrayante pro gression ? Et l'on veut encore nier . le péril de gauche, Assistance aux vieillards et in curables. De l’enquête à laquelle lo ministre de l’intérieur vient de faire procéder, il résulte que, à la date du 31 décembre dernier, lo nombre des vioillards, des infirmes et incurablos admis à bénéficier du la loi du ik juillet 1905 s’élevait à 534.005. Le nombro des bénéficiaires cesse de croître et l'on pense que vers la fin de 1900, la loi sur l assistance obligatoire, altoint son état d'équü.bre, le nombro do nouveaux admis étant à peu prêt compensé par le nombre des déiès. Dos instructions formelles ont d ’ail leurs été données pour quo partout on constitue, sur place, un contrôle qui réprimo los scandaleux abus révélés par uno enquête. Dans certaines communes, des rentiers touchaient la subvention d'assistanco, méritant ainsi le titre de * voleurs de pauvres » dont on les stig matisa, justement. aura * ¥¥ l'ouvrier commence à s'apercevoir que les révolutionnaires les Décidément, Confédération générale du travail, q u i était le centre d une agita tion anarchiste, vient d'être purgée de ses orateurs les plus violents qui vi vaient en parasites à l ’aide do subven tions que leur envoyaient bénévolement los ouvriers. Le nouveau secrélaire-flJnéral qui a élé élu contre M. Griffuelhos et grand prôneur do l'action directe, est M. Niel. Niel ost un réformiste, c'est-à-dire q u’it altond l’amélioration de la société, non d ’une révolution, mais d'une action des lois et d ’une évolution des mœurs. Son programme peut se résumer ainsi : neur. (laiterie) 0 fr. 2 5 0 40 0 60 —_ Tarif décroissant pour les Insertions répétées Pour les annonce» citra-rigtonalo«, saUi'essor Lo générai est arrivé jeudi soir à Bordeaux. Il fut reçu à la gare pàr une délégation do la Croix-Rougo, tes deux fils rt sa belle-mère. Il h déclaré il u n journaliste que le Maroc était désormais pacifié. Esperons-lp. Beaucoup de nos lecteurs pensent sans doute que pour recueillir des p é p ite s d 'o r , i l faut explorer los rivières glacées de l'Alasha ouïes pla çons de l'Afrique du Sud. Or des minos d'or existent à doux pas de la Bretagne, près de Laval. Un vol très important d’or commis par des employés do la mine, vient de les mettre en actualité. On y extrait des mines, du quarts aurifère. Celui-ci est ensuite juté dans U. mâchoire d ’un concasseur qui broie instantanément des blocs de 50 kilos. Le triage de l’or s’opère ensuite soit méca niquement, soit chimiquement. * 4 4 L ’Is la n d e veut se séparer du Dane mark, dont elle dépend. Un mouvement séparatiste très net, s’y dessine malgré des propositions l'btraies faites aux insu laires par lo souverain et lo gouverne ment danoi». L ’Islande accuse le Danemark, de no pas s'occuper de ses intérêts et invoque également comme prétexte de rupture, l’énorme distance qui la sépare de la métropole. Le Nord, qui est dit-on lo pays des hommes au sens rassis, est dtpuis quel ques années le pays pur excellence des révolutions. Ou se soucient en effet qu’à la suite de difficultés, il n ’y a pas encore très longtemps, la Suède et la Norvège qui ne formaient qu’u n seul royaume, se sont séparées, pacifiquement il est vrai. ★ 44 M. Taft, l» nouveau président do la République des Etats-Unis, successeur de M. Jîoosovelt, a pris jeudi possession officielle do son siège. E n entrant en fondions, M. Taft d a m s un discours, a développé son programma vaste et grandiose, d ’où sont bannies les misérables questions qui aigrissent, en une lutte perpétuolle, les hommes, sur le vieux continent. U reprogramme u n i quement anticlérical, n aurait pas là-ban l ’approbation du peuple. iiazez levez ar (IT iarp xxvt Abadennou rust a zo bet, cr pemzeU devez-ma, e-kenver tri boent: ar « e'hoopératlves, * ar foinillou o deuz bu ¡rale, ha pegement ère Raut lur da zevei (üwar peb rumm gouuidlgez. Eur c’Iwopérativc, hcr gouzout a rit, a îo eun cmgieo, eur * société », savet ctre eur bodad tud haK o deuz c’boant da dre n en eblou d’ar c'hemm-werzerieu ordinal evit prona pe gweiza an traou 0 deuz ezorara, pe aa zloueret : bad, ludu. cd, etc. « Ouvriers et employés, soyons tolérants Kvel-se, au dam vuia euz ar syndicajou a les uns h l’égard dos autres. Ne m ilm is weler etouez al labourorien douar a zo pas la politique à notre action syndi « coopératives » hep an hano, ba cetra c a l. # Les révolutionnaires sont furieux keu, p’e gwir ne d-int bet savet nerned koulz lavarout evit lakaat digas d’arpennoude leur échec et accusent déjà Niol d ’être tiegez a zo enu-ho al ludu ba traou ali odeuz vendu à la bourgeoisie et à la réaction. ezomm evit ho douarou. «t ¥4 Ha perag hevclep emgleolou? a chouM. Mlllerand a prononcé, dimanche lennoc’h-hu. Abalamour ma z eo douget tud hou dernier, un discours nettement patrio tique et antisocialiste, à u n banquet amzer da zioueret skoazell an nesa evit keraent c’hellont ober ho-uoan ; hag ar organisé à Paris, sous la présidence do c’hiz-ze aa zo diwanet diwar ar pleg en doa M. Hri8son, président de la Chambre an nesa da werza re gor he skoazell pe be des Députés, pour célébrer Vanniver labour. saire de la proclamation de la deuxième Ar c’hemm-werzerien dreiat-oll co a zo tizet aze. Mes eun ho renk, etouez kalz tud République. . honest, ez euz bet hag ez euz c’bcaz eun M. Millerand a parlé de la « solidarité nebeud maro’badourlen digoustians, eboant dos classes ». Il a dit aussi « q u 'il n'était d’eztao da rotít buan pinvidik, hag e vije pas vrai, que la Patrie fût pour l’ou zoken 0 werza Uer marc’hadourez tal!. vrier, comme l’ont dit certains fous, u n Nebeud a nebeud, an dud a oa bet mot vide de sens. » tromplet gant-ho a zeuaz d’en cm anaout De telles paroles dans la bouche d ’un hag azavaz, er c’heariou drelst-oh, Btahou ancien camarade et collègue, ont été enn ho c’hont ho-unan, da breua a vraz, commentées dédaigneusement par les evit beza du c'houde rannet etre-z ho, ar socialistes révolutionnaires. M. Mille bevans 0 doa czomm enn ho ziegez. E rand qui a déjà été excommunié par les broiou a e o , al labourerlen douar 0 deuz greet kement ail evit gwerza an ed pe ar socialistes pour avoir passé, selon eux, Trouez a c’hellent da zloueret. dans le camp bourgeois, ne s’y arrêtera Ha petraezeuz dac’bounit enndonre-ze t sans doute pas, car il a parlé te langage Kala oe nebeutoe’ù hervez ma ’z euz kalz du bon sens et de la sagesse. pe nebeud da brena ba da werza. * Enn enr ger : ar « c’hoopératlvc » a ¥¥• c’honnezo kement ba¡? o defe gonnezet ene L a terrible catastrophe de Courrlôros ho leau’h ar u’ueinm-worzer pe ar cJirignoq u i cortfa la mort à 1.200 mineurs est lier gaut ar varc'badourez, an ed pe ar encore présente à toutes les mémoires. trouez a dremeno dre he Btaliou. Ilag ar gounidlgez-ze a zo rannet être Une enquito, ouverte pour établir les responsabilités, vient d ’être close par un prenerien pe gwerzerlen ar « e'hoopératWe » da bep-hini hervez en deuz prenet ordre de M. Barthou, ministre des Tra vaux publics donné au service d u con- pe gwerzet, pe awechou ne werzer da bep trôle d ’engager des poursuites contre la unan nemod Hervez ar brlz prena. * Compagnie de Courrières. O n reproche ¥¥ à cette Compagnie d ’avoir contrevenu Ar seurt emgleoiou-ze a zo bet skoazlet aux dispositions du règlement de 1905, gaut ar c’houarnamant abaoue ma z euz en ne déclarant pas l'incendie de la veine aneiho : hag hirio c’hoaz ez ipt diskarg e-kenver ar « patente, » da vlana ar re Cécile et en faisant travailler aux bar anezbo a zo « coopératives » gwirion. rages des ouvriers munis de lampe à Hag hlvizlken, gant an diazez nevezj feu «tu. . , Gant ar goulenn-ze, eun diviz, padet tri N ’y a-t-il pas à craindre que les sanc devez, a zlgoraz d'ar Ili a viz c houevrer. tions de ces poursuites n ’atteignent pas Jori Berry a c’houlenne ho lakaat oll war les vrais responsables, q u i rejetteront ar memes renk hag ar c’hemm-werzerien, joute la responsabilité d u malheur, sur 0 konta e tleent gounit G dre 100 war ar varc'hadourez gwerzet gant-ho : re e c houdes sous-ordres ? lenne, ne c’helîe ket beza selaouet peun-da# ’» ¥ * benn, hag ur Gampr a roaz zoken diskarg da eul lodenn euz ar « c hoopératlves » a M . F a lllè r e s , président de la Répu crouez brema didan ar « patente. » blique, accompagné do M. Clémenceau, Ar « coopératives » da gas er meaz, pe 1« rendra le 18 avril à Nice pour inau werza ed, trouez, etc., a eo lukeet a gurer u n monument élevé à la mémoire da gostez : paca a ranklnt hervez kemmdé Gambetta. werzerlen ordinal. I l partira ensuito pour Monaco, eu. Euz ar ro ail, — euz ar « c hoopératlves » dit-on, il se rencontrera avec le roi a bren da liBrl pe da implija enn tiegez pe d’Italie et l’Empèreur d'Allemagne. Ce enn douarou — ar Gampr a reaz daou serait une rencontre historique, m ai* tl ^Etogenta, ar re 0 deuz Btallou dUfor d’an ho convient d ’accueillir cette nouvelle, oll : na loa abeg ebed da roi diskarg d’ar qu'aveo les plus expresses réserves. seurt-ze, ba paea a dlelnt lvez evel kemm¥*¥ * werzerien ordinal ma z int, e gwirionei. A ve*o diskarg avad, ar syndicajou labour . L » général d ’A m a d e , à q u i fut gonflé ha « coopératives » ne reont^nemed ia mission d'achever les, dernières opé* douar boda aoulennou an dud a zo enn-ho evit ►aMona au Maroc, est revenu en — lakaat digas d'ezho an traou 0 deuz ezomm, — pe zoken pa ingalint être an dud-zo ar gountdlger. a o'hellfent ober,, gant ma no werzint nemed d'ezho, hag henken evit bo H». IW V* ezommou ho-unan hag ho famlll. Îa d iu V d^Frâno«, “à Madrid, M. R w o il, - l!l> i>î II ••Vil 1. (>■ *■ . 1 tell ' oui i’a décoré au cours un banquet, Enr poent ail brema. oie (a proix d ’officier dn la Légion dvionEuz ar famlllou eo a gomzer. d Annonces diverses . . . . Réclames, en 4« page . . . . Dernière colonne de la 3° page. h l’Agvuco KIuvun, iMaeo do la Bourse, 8, a I ans L o s M a n u s c r it s n o n l,n9 Ô rÔ 8 n o « o n t p a o r e n d u s dupaient. La SAMEDI. PUBLICITÉ ADMINISTRATION ET RÉDACTION ABONNEMENTS FInIst&ro, Côtos-du-Nord, M orbihan, (u n an) Autres D ó p n rto m o n ts ........................... — C o lo nies et É tr a n g e r ........................... — LE Na tenn eo beva d'ar re 0 deuz eun tiad bugate e-skoaz d'ar re n'o deuz ket I Ha goulskoude beteg-hen ne ioa kemm eb¿d etre-z-ho e-kenver an taillou. Eo goulsko'ide, abaoue 1890 e roer eun tammik diskarg, war ar mobilier hebken, d’an tadou ba mammou 0 deus seiz krouadur beo. Mas ma karit sonjal e rank eur famiil kaout geül-vraioc’h fernt lia m’e deuz muioe'h a vugale, ec’h anavezoe’h ez eo an diakarg-ze nebeudlk a dra. Ne ve ket Just kendclc’her er c’hiz-ze, an oil hen anzao. Pciti-a òber eta evit ar famillou 0 deuz bugale re zister evit gounit ? Aze avad e loa diez en em glévout, — Beul-diesoc h zoken ma reaz ar Gampr ar faot da lezel ar poent-ze beteg ar liu, evit roi diskarg da eleiz a dud ha n’o doa ket ezomm braz. Setu eta gwall-nec’het al lodenn anezbi a garfo kas da benn an diazez nevez, epad ma c'hoaçz an deputeed a gaife he welout 0 choum a-istribill 0 hanter-hent. Ma roer breman eun diskarg deread d’ar famillou b deuz bugale, al lezeun no zavo mui kement a daillou hag e ve ezomm. Dlgarez muioe'h da voti eun diskarg braz, a lavaraz adversourlen an diazez nevez, evit kreski an toull, ha dre ze mlrout ouz al lezenn da zont da vad ! Magniaude eo a ,ginnige an huela dis* karg : 18 lur dre grouadur laouankoe’h eg*d 18 vloaz, ha kement-all evit an tadou lia mammou oajet pe inlirm hag ezommek. Ho c'houlenn eo a oe votet, diiun, enn despet d’ar cTiouarijamant, dre 320 moutz a-enep 204. Gwir eo e tiataolaz, araog ar vot, he zièkarg da 10 iur dre grouadur. Ar chouarnamant en doa kinniget da genta 9 lur dre grouadur, mes azaleg an eil hebken, ha daou skoed dre grouadur hebken, da ziveza. ft H4 Ilogen, antronoz dioc’hlu, ar vot-ze a oe torret gaDt an dam vnla e^z an deputeed, a ziB k o u e za z enr wech muioe’h ne ouezont ket ato petra a reont, pe e klaskont wulos’h plljout d'ar viuistred e karg eged ober labour fur. Ulmeurs eta, ar ministr Gaillaux a ziskleriaz n’o defe mui, goude an artikl Magniaude, an dam vuia euz an aotrouned e karg dldan ar c’houarnamant seurt taillou ebed da baea, p’e gwir gant eur c’hrouadur e vent diskarg a-grenn betek 3.500 lur pae ar bloaz, — gant daou grouadur, betek 5.000 lur, — gant tri, betek 5.400 lur, — gant pevar, betek 5 750, Hag ouspenn, hag an dra-man a zo grevusoe'h, eme-z-han, 30 millioun ar bloaz a vanlife. d’omp evit skoulma an daou benn, pe e rankfemp gouleun muioe'h dre gant iur digant an nebeudik a joumo didan al lezenn. i Ne blij ket gant ar c’hoiiarnm ant en em garga da gas eun bevelep lezeou d’ar 8enat. Dre ze, ma tell d'hoe'h dele’ber an artikl Magniaude, ni a lezo hor c’harg gant re ail. » Clemenceau a zavaz he vonez raktal da laiarout ar memes tra; h ig awalc’h eoe evit lakaat 135 euz an aotrouned faro — ar G'hloarec a zo unan anezbo — da Jench tu d'bo lisitenn, p’e gwir ne oe mui kavet nemed 185 mouez a du gaut an artikl e leae'h ma oc 291 enn he enep. Setu eta ne vezo ket roet 10 lur diskarg dre grouadur ; hag ar ministr a 10 kontant, ken kontant ma teu da ginnik eiz real muioe’h eged ne ginnige araok. Hag ar Gampr a gemeraz, gant mali. Dre ze, an artikl a oe votet evel-hen : « An nep ne zavo ket dreist 12.000 lur gou nidlgez ar bloaz euz he zanvez hag he Ir.bour, hen-nez en devezo eun diskarg taillou a 8 lur dre zen cnn he garg. Gouls koude ne vezo diskarg ebed evit ar c’henta krouadur, hag c vete bet zoken kemeret enn aluzenn. , , » A zo da veza kontet evel tud e karg eun ail, pa n’o deuz ket peadra ho-unan, ha pa ’z int maget gant-ban : » He dad hag he vamm, he dad-koz ha mamm-goz, oajet pe inlirm ; » He vugale pe bugale-vian, bag lvtz ar vugale dilezet kemeret gant-han, pa n’o deuz ket, an eil bag egile, 16 vloaz échu, pe pa ’z int idirm . » , Ijskeotnp eur famlll a c’houech kroua dur iaouauk : evit ar c henta, n’e devezo diskarg ebed; evit peb-bici euz ar pemp ail e devezo 8 lur diskarg, da lavarout eo 40 lur, — evit lodenn ar c'houarnamaut ato, bezltsonj. . , . An dra ze a blljo, a dra zur, da galz tud, ba poent e ioa ober eun dra bennag evit ar famillou karget a vugale. G w a ô a ’z o , a r f a m illo u p a o u r a n o d e u z c'bojï vad ebed da c'hedal euz an tu-ze. Evit gwir, ne gouezint ket didan an diazez nevez ; hag an nep n’eo ket sammet, ne c heli ket beza dizammet. III Ama, ar Gampr a ra eul lamm hirr war he c'biz, evit dont da glask an artikl b, e doa lezetwar he lerch. Bete vreua, n’e doa ket lavaret pege ment d>e gant Iur e kemerfe diwar peb aeurt gounidigez ; arc’houarnamant hebken en doa diaklerlet pegement e kave d’eznan e vile deread keiner. Deuet oa an heur evit ar Gampr da lavarout ho ger war ar poent-ze. . , Hag e deuz merket e vezo da rol d ar c’bouarnamant : , ,, , , 4 dre 100 euz ferm on tiez goude diskonta arbemped, 4 dre 100 ivez euz talvoudegez-ferm an douar, goude diskonta ar bemped ato. Dubuisson en doa goulennet diskenn ama da 3 dre 100, 0 lavarout e vefe kresket bo lodenn tallio» da eun drederenn euz mtstrl an donar enn he vro, ha distaolet da eun hanter hebken, ma kemerje ar c’houarnamant 4 dre 100. Ar ministr Gaillaux a respontaz d ezhan ne die ket ar vistri a lavar e vczlnt sammet labourat ho-unan ho douarou, anez dizam met eo e vefeut; ha dizammet e vcziut c’hoaz zoken ma karont delc'her soc] e vezo torret an taillou war an dorlou ha prenestrou, hag ivez war ar mobilier. Ha gant an diazez nevez, ar c'bouarnamant a zavo diwar an douar E0 millioun ar bloaz nebeutoe’h eged brema. , DubuiBso» n’eo ket den da glask dlsplijout d’ar vinistred, ha dre,ta ne bouezaz Ket muioe’h war he c'houlenn. Mes, Lieroy-Beaulléu a respontaz da Gail laux: ma roit .dlsk^rg da ninlennou gant eun dourn, e kemerlt gfint an dourn ail. Dre ze, an dam vuia euz mistri an douar o deuz arc’haut war interest. Evit an Interést-ze ne baeont netra brema, e leac h ma vezo kemeret eul lodenn anezhan gant an diazez novez, , „ t .: A r perc’henn a labour he-unan hezouar, eme adarre Gaillaux, en deuz diBk&rg evit cul lodenn anezhan ; ha dre ze, ar perc'benn n'en deuz ket ezomm da labourat, hen-nez hebken a baeo 4 dre 100. A r Beur.tza n ’ez euz rezoun ebed d’ho dlzamma hag evit lavarout m ad, o kemer.enn ho Kont ar goulenn dilezet gant Dubülsson, ne glask it nemed eun dra : treuza hon labour, mtrnut ne zeulo bon lezenn da benn. W ar gemect-se. 382 a-enep 140 a ziskleriaz e vezo 4 dre 100 da zevel diwar talvoudegez ferm an douar. 4 dre 100 c’hoaz euz an interest a zougo an arc’hant prestet d’ar c’bouarnamant, d’an hentehou-houarn, d'an amez«ien, etc. Ha pevarzek real dre 100 euz gounidigez ar c’hemm-werz hag ar staliou-labour, goude diskonta ar pez a zo red da eur familï evit beva deread. * 4 4 Diwar gounidigez al labour, ar c’hovarnamanta c’houlenne 3 dre 100, goude dis konta ato kement a zo red da eur famlll evit beva. Re eo, a lavare Sircyjol, evit al labourerien douar, rak m’en cm gavint evel-se muioe’h sammet eged labourerien kcar, muioe’h eged an dua e karg dreist-oll, hep konta m’o devezo c’boaz bo devezlou lient ha da baea evit ho c’hezekha kirri. Lakeomp evit-bo 1 dre 100 hebken bete g enr gouuidigez labour a vil skoed ; 2 dre 100 evit al lonenn a vezo etre 3.001 ha 5 000 Iur. ha 3 dre 100 evit al Ioienn a vezo dreist 5.000 lur. Ar ministr Caillaux a respont ez euz bet merket dija diskarg braz d’al labourerien douar, p’e gwir diwar trouez I10 labour n’o devezo netra da baea pa ne labourint ket douarou a ouspenn 2 000 lur talvoudegezferm, dek real hebken pa da'vezo an douar a labouront 3.000 lur ferm, l a seitek lur ha dek kwennek pa dalvezo 5 000 lur. Itak-se, 207 hebken a-enep 323 a votaz evit goulenn Slreyjol, dilezet gant-han ha kinniget a nevez gact Lasies. Villebols-Mareuil n’eo ket gwelloch selaouet o klaskmerka 2 dre 100 hebken da zevel diwar gounidigez labour al laboure rien douar. Hag evit echui, 3 dre 100 a zo merket da zevel diwar gounidigez labour an oll labou rerien, ken labourerien douar, mieherouriea ha tud e karg, — 0 roi diskarg evit al lodenn a zo red da eur famiil evit beva enn bonestiz. ★ 4 4 Diziou, 4 euz ar miz, ez eus bet eur gwallgrogad etre ar vinistred hag eun darn de puteed, diwar-benn ar iuare da verka evit sevel taillou ar c’bouarnamant hervez an diazez nevez. - He a c’houlenn, eme Mulac, ma ce vezo heuillet al lezenn nevez nemed pa 0 pezo douget eun all da verka penaoz e vezo savet taillou ar gommun hag an departamant ivez : an oil daillou d en em heul, evit ma welimp sklearoo’h petra a reomp. Hag cnn despet da Gaillaux, 2C3 députe a-enep 257 a votaz evel ma lavare Mulac. CORENTIN. E broiou ar Zao-Heol Afferiou ar zao-heol ne d-int ket ken tenval enn deziou-ma ; n’eo ket ecbu gant, ho evelato, ha peli amzer o’boaz, m’oarvade kendaic hint da roi nec’h ba tregas d’an Europ. Sonj 0 peuz e ioa bet menek gant ar rouanteleziou braz da zi3kleria didroidell d’an Aotrich ha d ar Serbi bo c’hoant d’bo gwelout oc’h en em glevout erliu evit pellaat peb riskl a vrezel. , Hogen, an AUmagna lavaraz ne felle ket d’ezhi ober gourdrouzou d an Aotrich, bag euz he zu, ar Rusi a lavara*. ne felle ket d’ezhi displijout. d'ar Bulgari. Goulskoude, war ali ar Frans ha BroZaoz, ar Rusi a asantaz lavarout eur ger vad bennak da c’houarnamant ar Serbi, evit diskouez d’ezban ne c’helle ket konta war skoazell ar rouantelezlou all evit kreski he zouarou ; hag an Allmagn a dleaz ober kement all e-Kenver an Aotrich evit kaout digant-bi eur bromesa vad benuak d’ar Serbi, ma karje hou-ma roi he aotre d ar pez a zo c’hoarvezet diwar-benn ar Bosni hag Iierzegovin. An or 0 veza bet digoret evel-se, kannaded ar Frans, liro-Zaoz bag an Itali er Serbi 0 deuz aliet start, hep gourdrouzou goulskoude, gouarnamant ar vro-ma da zilezel he c’hoant da gaout eun dacbenn zouar bennak cvel dipoli e-kenver an Aotrich, e deuz kemeret ar bosni hag Herzegovin. Goude beza kemeret eun nebeud deveziou da ober he zonj, ar Serbi e deuz respontet ne c'hell ket kendelc her da c’ìioufenn eun daehenn zouar, pegen braz ezomm bennag e defe anezhi, pa ne fell ket d ar rouanteleziou all. Ilogeu, tìzians e deuz e Iakaio ar rouantelezlou-ze roi d’ezbi eun dlc’ùaou deread, pa vezint galvet da rol ho aotre d’an taol e deuz greet an Aotrich ckenver ar Bosni hag Herzegovin. Breman eta ema tro an Aotrich da zlekouez bolont<*z vad ; ha ma ne ra ket, ar rouanteleziou braz a ouio emichans ober d’ezhi piega. _ Gorentin. ^ F e c h o u Pere eo, a gav d’hoc’h, techou brasa hon amzer? . Er renk kenta me a laka, gant ar c hoant d’en em binvidikaat buan, ar c’hoant da anaout peb tra ha dreist-oll traou dlzbonest pe noazuz. N'eo ket eun droug klask pinvidigez gaut ma vezo dre hent eeun ha gant ar c’hoant da ober imp'ij vad anezhi. Ne gredan ket avad e ve kalz aked da zevel ar galoun, ha da glask eun amzer welloc’h evit an oll, etonez ar mlllierou ba milliounou-ze a dud u bep oad hag a bep stad a weler 0 redek warierc’h ar bill» j >u « loterl. » . , , , Rak, n’e ket d’in-me eo dont da lavarout e klaskont rol dre eno skoazell d’an oberou a dragarez eo harpet war-n-ho an darn vuia euz al « loteriou. » Lavaret am beuz araok hirio pegen nebeud euz arc’hant al loteriou a gouez e gwirionez e kef an oberou a drugarez-ze : tremen a ra dre gement a zaouam ma vlje souez ne Joumfe al lodenn vrasa enn hent. Lavaret am beuz ivez pegen noazuz e c’hell beza da dud a zo dont enn eun taol euz a baour da binvidik ; ha ne bouezln ket muloc’h war ar poentchou-ze birio. * 4 4 Demp d’an tech all : ar c’hoant da c’houzout, da c’houzout dreist-oll traou dizhonest ha noazuz. . . En em ziskouez a reaz enn he wasa epad ar prosez Remy, a zo bet barnet a nevez zo e Paris. Araok gelver an testou. ar barner-prezldant a zlskleriaz e vele lavaret marteze meur a dra ha n’eo ket mad da bep skouara klevout ; ha dre ze, eme-z-han, « an dud no bill ket d’ezho an traou dizhonest en em d*Bez’V io à eno fu.-t a hsp rehk h a i ltroucezed zoken ¿emmoBkct enn eur glcheun. Ha ped anezho a heuillaz ali ar barnerprezìdant? — Hlnitbad-1 Hinl ebtd eta anezno n’en doa aoun da glevout enz an traou-ze hag a dlevfe lakaat eur c’hristen da ruiia gant ar vez ; oll marteze e oant eet d’al lez-varn abalamour ma oulent e klevfent eno traou dizhonest ha lubrik I Mantruz eo evelato ? E pe leac’h c’hoaz e weler pegen griziennet eo an tech-ze er c’balounou ? Enn tbeatron. Ne vezont morse ken Ieun ha pa zlbuner enn-ho kenteliou mezuz ; ba n’e ket ar botred ha merc’hed iaouanka eo a vez an diveza o poulza war an or. O poulza war an or a lavaran, rak ma vez eur bobl tud bodet da c’houlenn digor div heur pe ouspenn araog an heur merket, be wech ma tleer gwelout ha klevout eur pez fall bennak. Pebes breinadurez I A drugare Doue, tud diwar ar meaz, C’boui ne vezit ket kals enn theatrou, ha dkz e ve d boc’h mont. N’o pet ket a geuz, brema dreist-oll pa zispleger peuz-stank enn bo touez pezlou-c’hoari euz ho toare, rak, dre glevout ha gwelout ar re a zaremprèd an theatrou, e c’hellan lavarout ne wellaont den e leac’h ma kollont meur a bini. Hogen, epad ho amzer soudard, ho pugale a c’hell beza centet da vont enn-ho : eun ali bennak d’ezho war ar poent-ze, pa skrivit d’ezho. * * » Gwelit c’boaz ar potr, ar plac’h-ze, iaouank-flamm.daouzek, trizek vloaz, 0 vont d'ho labour pe 0 tistrei anezhan, pie get ho fenn 0 lenn eul levrik, livet brao ne c’bolo ; ha gwelit petra eo al levrik-ze ? Nao gwech war zek ne gavfac’h enn-han nemedTiistoriou louz ha kriz, ha ken beuzuz, ma kouesfe digan-hoc’h ho tivreac’h 0 lavarout : « Paour keaz krouadur, e pe leac’h eta out-te bet savet ? » E pe leac'h ? Ean eur famiil grlsten marteze. Mes kavet en deuz eur c’hamalad, eur gamaladez, hag 0 doa tanveet an traou brein-ze, hag 0 deus hen aliet da ober evel-d-ho. Ha neuze, an tad. ar vamm, a zo marteze re laoslc war ho dever, enn ti zokee. Dao"st ha u’o peuz biskoaz klevet kerent 0 fougeal g a n t ho bugale o lavarout e plij gwelloe’h d’ezho l e n n e g e d c’boari? Oh I lenn evit deski traou talvoudnz d’ar c’horf pe d'an ene a zo eun dra vad ; mes ar vugale a zo douget da lenn levriou mad a zo al lodenn vían, an dibab htbken¿ Rak-se, diouallit, kerent, pa weloc'h ho re o tilezel ar c’hoariou, — diouallit peseurt levriou a gemeriut hag a gouezo etre ho daouarn. ★ * * Diouallit da zlgan hoc’h-unan levriou lia marvaillou fall enn ho ti. Ar seurt levriou-ze a zo marc’had-madkenan, abalamour, Biouaz, ma kavont ke ment a lenrerien bag a vez c'hoant. Ho moula a c heller dre zo a vinieron enn eun taol, hep distag, hag er c'biz-ïe ne goustont nemed priz ar paper na daou pe dri gwennek labour ounpenu. Setu eur merk kenta evit anaout al levriou noazur, araok zoken bo digerì : dilizians ouz al levriou marc’bad-mad. Ha ped kwech n’o peuz-hu ket prenet kazetennou divaio, nebeutoe’h evit ar gaze* tenn be-unan eged evit eur tolenn baper distag a ginniget gant-hi war ar marc’had ? Eun imach bennag a oa war ar foienn-ze, livet e ruz, glaz, ha me oar-me e ped liou. Marteze zoken eun drafad folennou evel-se eo a Ioa war ar marc’had : bag 0 peuz roet ho kwennek, 0 lavarout ne oa ket ker. Nan sur, ne oa ket ker. Ken marc’hadmad e oa zoken ma kavaz d’hoc’h e ioa awalc’h evid-hoc’h 10 I eun taol lagad da bep follenn. Er gear avad, ar mevel, ar vatez, arpotr. ar verc’h, 0 deuz sellet piz, peb-hlni ouz he damm. Hag epad ma lenne unan enr rimadellad gevler a-enep ar Relijion er gazetenn, enn all a efe al loladou kenta euz poezoun al luxur er follenn distag I Hen-nez, ar c’henta ma kavo, a breno eur follenn all par da houn-nez ; al leor a zeulo da c’houde : ha setu penaoz e vezo eur galoun vrein muioe’h I E vez, tadou ba mammou, ha pennontiegez I 4 4 Ha ne zenit ket 'ta, evel m'o deuz greet hiniennou, da c'houlenn digantarC’hourrif’r komz birroc'h euz an torfelou skrijuz a c’hoarvez ken aliez e pevar c’horn ar bed. Lavarout a reomp diwar ho fouez keraent a zo red, dreist-oll pa o’hoarvezont enn departamant. Petra 0 peuz ezomm da chouzout muioc’h ? DaouBt ha c’boant 0 pefe da lenn, diwar-benn peb-bini anezho, pajencou a bez evel e kazetennou pemdeziek a zo ? Ha goude, gwelloc’h e vefac’u ? Tamm ebed I Falloc'h ne lavaran ket, rak, evid-oun, ar seurt kenteliou-ze, hag ar marvaillou fall a gaver enn dri-c’hart euz ar c’bazetennou, eo gwasa skol en deuz an diaoui. ________ CORENTIN. K Ë K E I E R Ito iia n te lo z a r H o lla n d o c’hedal.' — Wilheimin, rouanez ar Holland, a zo war c'hed enz eur c’hrouadur ab?nn fin ar mtzma. He rouantelez a bez a ¡~eaìer perz ean he levenez. hervez a lavaver d’otnp. Dre ze, peb pastell pe kevreun anezhi a ginnigo d ar prins, pe brin&ez hervez ma vezo, eur prezant kaer bennak : unan eur c’havel, eun all eur voetur vian, eun all c'hoaz eul levrik da verka kement a c’hoarvezo gant ar prins. pe briuscz, epad he vugaleach, etc. Ma vez enr prins. kanolîou ar Haye a r3io 101 tenu ; evit eur brinsez ne raint nemed 51. Hag evit ma c’hellint krozal raktal ma vezo deuet ar c’hrouadur er bed, soudarded lakeet penn-da-benn an hent etre ar palez hag ar c’hanoliou, a gaso ar c’ueiou euz an eil d’egile. Greomp evel-d-ho brema : gortozomp I Tad cored e ar m illlounerez. — An itroun Hetty Grean eo ar blnvldika Amerlkanez a anavezor : 9 millioun ar bloaz e c bell dispign heb touch ouz he dsnvez. D’ar meurs 23 a viz c’houevrer, edeuz dìmezet he merc’h, oajet a 33 bloaz d'ar milliouner W ilks, an banter kosoc’h p’e gwir en deuz 65 bloaz. An dimezi a dlee beza greet e knz d’an oll ; gwaea 'zo, potred ar c'hazetennoa a zl(inaz an dez ; hag eun nebeud anezho a dre* menai an noz war delezlou ar plac'h nevez. Da c'houlou-dez, setu-hl bag he mamm ha diskenn, ba lamina raktal enn eur c’harr skanv, galvet gant-ho. Hag enn hent neuze d’an daon-lamm ruz evit lezel war ho lerc’h potred ar c’hazetennou, . Hogen, ar re-man a gavax U rti all kirri kigerlen o tremen. — hag bo heuillaz. Kement a diz e ioa gant-ho zòken, ke ment e saillent, ma kreaaz an oll e redent war1ère'h eul laer. Ha dre ma pellaent, an dieu vllliounerez a glevaz hep dale 0 kr lai « harz al’laer 1 » war no lerc’h. Setu hint er gar erfin ; mes n'emaint ket LE'COURRIER DU FINISTÈRE tao-anu ; 500 den a zo enn-dro d'ezho. Ean P r is de» p la ç a i j agricole ; 1 o/o pour la fraction du revenu com ne bead eat potred ar c'hazetonnou a blgnaz prise entre 30C0 et sooo francs ; 3 0/0 i partir de Pensioni Rome llitels 5 000 trancs. token gant-no enn ho wagon ; ba ne oent 3*0. 2<o. l» o . 3*0. 2*0. l» o . Pour l’adoption, 189 ; contre, 318, lezet e peoc'h nemed goude m ’o doa dlsAU départ de noDQSB 186 228 J85 330 S80 837 Votèrent p o u r : MM. Cloarec, Dubulsson, klertet e pe leac'b ba da bed heur e vtla A udé part;d«N »n to » 195 937 305 340 284 342 Oayraud, de Mun et Vllllers. reet an sored, e Morrlitowen, bro NewVotèrent o o n tr s : MU, llallég u en et L e Bail, Co« prix oomprennont toutes 1m dépenses er«ey. S ’est abstenu, M . Blétry. Epid ar pennad hent-ze.n’am befe ket prévues : ohemln de fer aller et retour, logement, nourriture 6 Rome et an cours de rouie, voitures bet avi out-no, enn deapet d’bo mllllounou. ou omnibus à l’arrivée et uu départ dans les Scrutin sur l ’amendement de M. de VlllebolsMareull demandant A fixer à 3 0/0 (au lieu de P o e n t o Ion. — An Itroun Crlstln. oajet différentes villes ; voitures et guides pour la a ouspen 80 vloaz, bag o chourn e I<rejus, visite de Rome ; entrées aux monuments, pour 3 o/o) le taux de l'im pôt sur le revenu des exploi tations agricoles. e doa greet eur maro blan e bauter ar boires divers, eto. Pour l ’adoption, las ; oontre, 35t. ......................... ^ zlznn dremenet. Votèrent p o u r : MM. Oayraud, do Mun et V ll An oil zoken a gredaz e oa-bl maromad, In d e m nité » aux fam illes p auv res llers. bag an enterramant a os gourc'hemennet. Volèrent c o n t r e : MM. Cloarec, Dubulsson, a yant un Ills sous lois drapeaux llalléguen et Le Dali. Uogen, pa oe kroget enn-bt ovlt be S'est abstenu, M. Blétry. lakaat enn arched, an ltronn a zavaz enn Voici un artlc’e qui contient des rensei be gouazez, o lavarout e doa seo’hed I gnements pratiques 11 t Pressants sur les Mes poent e loa d’ezbl dihun, ac’hanta ? démarches a accomplir pour faire obtenir iir e z c l e n n c a r , — Diezel a vezo gwedcB Indemnités aux familles pauvres ayant lot enn ear enn banv kenta, bervez a luvn- un fils sous les drapeaux: rer, — brezel blan, gwlr eo, elro soudarded Tous los ans, un Conseil départemental, ba martoloded an Itali. composé comme II est dit plus loin, déslgno un Euz an eli ta bag eglle, an ecebourlen a nombre du Scrutin du 14 Février 1909 28Scrutin do consorlls du contingent Incorporé qui fevrler1000 zavo enn ear gant nafonlou goest da ober ouvrent A leur famille 1e droit A une modeslo hent ovel ma vezo c’hoant, bug ivea gant allocation Journalière da quinze sous, accordâo nllerezed pronet dlgant au amerikan avant l’inoorporatlon, d ata la proportion de 8 •/• COMMUNES ' contingent nppolé sous les drapeaux, w llbur Wright. Après l'incorporation, ootte allocation peut l ) ’ho «7 v lo a z . — D ’he 87 vloaz, ar également être accordéo, mais »oulement dans la Parisian üascau a xo bot galvct, ovlt he proportion de 3 0/0 du mémo contingent, Il est genta gweuh, dlrag ar varnorlen, ba kondono trèi . tant pour los familles nécessi Canton d'Arzano daonet rust: daou vlz prlzoun, mil lur teuses de fnlro los démarches avant que le fils soit sarll pour la régiment, si ollos veulent avoir amand, ha daou vil lur dlgoll da vedlslned le plus do cbanoes posslblo pour voir aboutir Parla. Arzano........... leurs demandes. Uullllgomnrcli. Petra ’ta en doa greot ? Parea tud klanv, Q uand doluenl ôlro commoncdo» les démar Loouuolé....... hep kaout ho desteulou a vedlsln, gant eul ches et réunies les pièces A produire h l'appui Rédéné........... louzou-mad-kenan, emo-*-han, oiiz ar do la domando t — Dès la publication des ta chrln-boo pe cancer. bleaux do roconsomont ot do façon A co quo les Totaux .. Pendant les vingt et quelques Tannées pour la plupart résolu« à chercher, dans un durant lesquelles les destinées deVarron- but humanitaire, Aemp'oyer leurs soudeurs Remonte générale du dépôt de Gulngamp dlssement lurent confiées A M. de Keijégu, «usai longtemps que possible, ils ne noule parti de l’ordre et de la liberté se repo valent admettre que, dans l’intérêt dune Le comité se réunira, pendant le mois de sant sur le prestige d’un seul homme ne minorité des travailleurs qui vivent de l’in 5nar*,:,à H*u,vec, près de la gare, le Jeudi 11, lit rien pour consolider ta situation. . dustrie lardlnlère, l'existence même de A mldldO ; A Cbâteaunerf-du-Faou, sur là i. i q?0lo ,on s'organiser et se préparer cette industrie soit mise en danger par l’op- p ace, le vendredi 12, à 8 h. 30 ; A Morlalx, £ , ! î uta ?„ Le nom de M- de Kerjégu ne posltlon de cette minorité à laisser employer place du Pouliet, le lundi 15, à huit heures • Sa.iÎ? , P®8 P°ur écarter toutes les com- dans les usines une machine qui constitue A Lesneven, champ de foire, le mardi 10 à petltlons Impatientes de se produire ? hu t heures ; à Saint Pol-de-Léon, placltre un progrès Incontesté. fi„«L c«etJ^es»Vt j Ut,,le monde subissait l’inConsidérant qu’ils De sauraient, du reste, Salnt-PIerre, le mercreol 17, à huit heures, lluence de M. de Kerjégu. et A Guirgamp (au dépôt), les samedis 6, 13 laisser porter atteinte aux droits qu a tout M. de Kerjégu était véritablement une industriel d’employer les machines qui lui et 20 mars, à neuf heures du matin. puissance. Ses amis ont peut-être eu le conviennent et convaincus qu’eo sulvaotle tort de croire que cette puissance était progrès, Ils servent les Intérêts oe l’im éternelle et comptèrent trop sur e lle , et mense majorité des travailleurs de la côte, pas assez sur eux-mêmes. Ils ont décidé que, si des difficultés prove Les radicaux, qui rongaient le frein en nant directement ou indirectement de l’em silence, s apprêtaient pour le lonr, cù M. de ploi des machines A fermer les boites leur Kerjégu dlsparaisiant, la place serait ou étaient Buscitées pendam la saison pro On lit dans la Bretagne Hippique : verte aux ambitions. La mort de celui dont chaine, lis se coûsidé eraient tous comme O a nout aM8e de partout que dei abus fâcheux ils supportaient mal l'autorité les trouva solidaires, qu’ils aient ou non adopté les êe produisent à l ’occaïlon des présentation»; de armes de pied en cape, pour l’entrée en nouvelles machines, et se prêteraient alors chevaux à la remonte, «urtout dans les localités liceou elles sont nombreuses. Un commerce honteux aseiatance. dts blliets qui serrent a établir le tour dVxamen Comme du temps de M. de Kerjégu, on Ce voou a été adopté par les propriétaires de» chevaux par la commission, s’eet établi dans votait, non, pour des principes, mais pour de 101 usines Bur les 108 représentées au pi osque tous les endroits visites par les officier* Congrès. ou contre un homme, l’éducation électorale acheteurs. D is détœ ivrés qui, eu cela ont vu le de la circonscription fut, nous dlton à ce Le vœu des fabricants de conserves moyen de gagner que'que argent sans grande fatl. point négligée, que la grande majorité des demandant 1inscription du pays d’origine gue, arrivent à ee procurer pour quelques nous électeurs ont encore de la politique uue sur les boîtes de conserves, vise surtout dans les mairies, des billets qu’I'scô lent ensuite, concei)tion par trop simpliste. les sardines algériennes qui, sur le marché ô prix a or, aux éleveurs moins bien placés qu'aux Ils classent tous les candidats en deux européen, sous le nom de sardines fran pour retirer ces billets. Quelques éleveurs môme îlm îî S6“ !??1 P.38 P °ur réclamer dix fols plu» de catégories bien distinctes : d’un côté les çaises, concurrencent les sardines du lit billets qu Ils n ont d’animaux e présenter. Le jour rouges, de l'autre les blancs. Est rouge, toral français. On se rappelle que M. Fortin, de la présentation arrivé et chacun voulant avan* c'est-à-dire républicain, le candidat gouver sénateur au Finls'ère, montra avec uue loger son tour, 11 se produit à la mairie et aux nemental : est blanc, c’est-à-dire royaliste, grande compétence l’urgent intérêt de ce totés même ou comité d achat, de» p-jusiées formldab.es, et des actes brutaux s’ensulvent. le candidat de l'opposition. Avec une Da- vœu dont le rejet, par le Parlement, aurait Dernièrement, un homme a été renversé, pléreille mentalité, "lès candidats gouverne une répercussion néfaste sur notre indus »u J 8 g fjriîer Je lit trois >emalnes. Co trie sardlnièie. mentaux ont beau Jeu à faire croire au demandos ot los dostlors complet» parviennent ^°8 fmlœurs «^digues de gens c iv ile s qu’il au préfot quinze jours nu moins avant mnt la date faux républicanisme de leurs concurrents Mais, comme le dit le communiqué paru importe de f*Ire nipld^tuent ceuser et nous n’béstCanton de Bannalec Oxéo pour la réunion du Consoli départemental, dont la défaite, par cette accusation, eat dans lea journaux, « la plus importante tons pas a les slff«»ler aux autorités qui ont qua 2 i «m it do chnuuo annéo lité pour les réprimer. Le mou-le tranquille Ihs assurée dans un pays où l’on n’est nulle question aont le congrès avait à s occuper Lo Consoli dopiartemenlnl siégeant nu chel-lleu Bannnleo . . . . 591 était celle de l’intridaction sur la côte aes é eveurs . en émeut et so fnilgue d'être m l, en ment sectaire, mais où l’on déteste l’ancien du département, est uniquement composé de Kornével...... 220 régime et ses ahus. coupo réglée, laute d'organl.-allon, par des alir-e machines A souder. » 18 A V R IL 1900 membres doits. Il comprend : 1* lo préfe't, prési Le Trévoux.. ll*is de bas étage. 148 Eu lia conntatons qu’en général, les can Nous avons entretenu nos lecteurs à dant ¡3* lo trésorier-paveur général ; 8- lo dlrooMelgven........ 333 Un do ces éievours nous écrit q .'U a dû se dotourdos contributions dlrootes ; 4° trois membres didats progressistes tels que M. Béziers et différentes reprises du coi (lit qui menace pla c er trois fols pou r êo procurer un b liie t on v; <) du Conseil générul, pris dans dos arrondissements T otaux .. même plus généralement la plupart des d'éolater sur nos côtrs entre fabricants d« de la présentation prochain e do Pl.'UQéveute:. 1.192 différents, ot un conseiller d'arroudlssomont dési conserves et ouvriers boîliers et nous candidats de l'opposition, ont un pro. ï . i a {■ftèjaleinent lait chanter nous d u II, <-t II gné par lu Commlsslou départementale. gramme p«r trop négatif. croyoDs inutile de remettre sous les yeux a été obligé do payer 10 francs un seul blll<-t Canton de Pont-Aven Formalités ¡1 re m p lir pour l'obtention do r al Avec les frais qu# nécessite toujours l’envoi ;iu Il ne suffit pas de dire que l’on était jadis de nos lecteurs lts réflexions et cnnriiéralocation Journalière. — Après la publication des loin d un ou de plusieurs I II svaux et l’uléa dr la coutre lo rachat de l'Ouest, que l’on eut tions qu’il nous inspirait. tublcaux do locensoment, les familles qui ont A Pont-Aven.., il est facile de so faire uue Idée du prl- dLes propositions, dont parle le commu vente, aujourd'hui contre 1’ mpOt sur le revenu, JV H O M E présenter un candidat au litre do soutien IndlsMoOlan.......... rev cot de la moindre présentation * la r> mon,.ponaabla adrersont au maire do la commune do et puis encore, centre ceci ou cela, pour niqué, ont été faites par M. Ouizille au tynNévez............ inous taisant uu devoir do défendre 1.1 i* . miP leeur domicile (pour Paris, au malro do l'arronNI zou............ d'eat des ferblantiers de Douarnenez, être assuré de la victoire. L?s négations rets des éleveurs, nous préconisons le m o y Hloo.............. Par un acte solennel qui a remué profon dlssoment) uno demande accompagnée : Eu toute bonne foi nous les croyions cl-dossous do réglementer le tour des chevaux .. n'ont Jamais eu de vertu de conquête sur 1* D'un rcloud des contributions payées par examiner par le comité de remonte : dément loi Aines frar?alses, le Souverain l'opinion. avantageuses pour les ouvriers et l'on se ot oortltlé par lo poroepteur ; T o t a u x .. SI ce moyen était reconnu bon, les mairies pour, Pontife Pie X vlcn* do llxer au 18 avril 1909 la 3-famlllo Seul un programme positif a quelques rappelle que nous émettions l’espoir d« raient D'un étal (dont lo modèle existe dans toutes ensuite l ’udopter. la cérémonte do la Déutlllcatlon de Jeanne chances de rallier les suffrages. voir se realiser une entente entre f b iles mairies) établi ot certifié par le maire do la Tablant sur uno présentation de 300 chevaux Canton de Quimperle d’Arc. canta et ouvriers sur les bases indiquées Que le candidat de l'opposition montra commune et Indiquant le nombre et la position par exemple, on obligerait les propriétaires a 1»< C'est une magnifique occasion pour la des membres do I» famlllo vivant sous le mémo le danger de certains projeta qualifiéa de par M. Otizlile. ranger une heure avant celle fixée pour ie com Q ulm porlé... toit ou séparémunt, ulusl quo los doux revonus ot Franco de témoigner sa piété envers Celle Peut-être, disions-nous, M. Oalzllle réformes par le gouvernement, c’est-14 un 1.323 Oienceoient d«s opérations d’achat. Le maire oa Baye.............. qui fut au xv» slôole lia Mbératrlcn et sa re rossourcos do chacun d ’eux. serait-il écouté, s il pouvait affirmer qu’il 108 devoir ; m »ij il serait peut-Clre bon qu’il son délégué, passant alors, distribuerait aux *1-, (Los familles des ajournés de l'année précéClolmri*CirnoCt. 545 connaissance envers lo glorieux Pontiro parle au nom de tous scs collègues inous- veurs, moyennant o fr. lo à o ir. 25 l'un, m ta n t de indiquât, lui aussi, son plan de réformes donto ot des oonscrlls ayant obtenu un sursis hlollac......... 153 bille « qu il y aurait d'animaux rat;gés. Ces bi le s qui lui donne co nouveau et si grand témoi car le peuple ne croit pas que tout est ttiels. d ’Incorporallon, dovront égalomont présenter Tréméven.... 101 pour le mieux d*nî le meilleur des mondes gnage de tendresse paternelle. fl ne semble pas qu'il ait Jamais reçu ce numérotés de 1 à 500, seraient donnés dans t.n lours demandos ou lea ronouvolor s'il y n lieu.) a 3uei.00Pq?? droite i gauche ou de gauL’aflluence des pbleilns français sera mandat d’une façon officielle et Bts démar cba A et II n’a paa tout à fait tort. Le maire est tenu do délivrer un récépissé des T o t a u x .. droite le lait n *y a j.t aMcune Importance. 3.190 énorme A Rome A cette date. Ne convientplècos produites (ne pas oublier d'oxlgor cette Pourquoi faut-il que les partis de l’op chés paraissent avoir toujours gardé un O a obtiendrait ainsi 10 séries de 20 billets chaplèco| et 11 soumot toutes los domnndes au Couil pas que Jeanne, l'enfant du peuple, ait cuue. position ue semblent admettre cette néces caractère personnel. Canton de Scaër our témoin de sa glorlllcatlou co pouple acll m unicipal, Les industriels estiment-IIs qu’il soit La prpml^re comprenant les numéros de 1 $ 30 sité qu’avec des réticences aussitôt exploi Doiuandos ot dossiers complots doivent parve d uzlôme, coojprenant les numéros do 31 e France qu’elle a tant aimé ! tées contre eux, par les partis de la suren encore trop tard de tenter une démarche a La Scaér............ oo. nir au prélot qulnzo jours uu moins avant la date Allons donc tu Home pour les fêtes do la collective auprès des ouvrier» ? chère démagogique 'i Querrían....... Ilxéo pour lu rounlon du Consoll dépnrtomenlal Et ainsi de suite ju qu'A la dixième série q jl UéatlllMtlon de Jeanne d’Arc I Allons ho qui peut provoquor dos enquêtes do la gondar. Il serait à tous les points de vue, regret La timidité du programme social, une Salnt-Thurlon «•ralt formé« par Ks numéros d* 371 A 300 norer et prier la nouvelle protectrice do la certaine peur des mots expliquent bien table que pour une quest'oa d'amourmorlo ot s'entourer do tous los renseignements Dix numéros représentant les dix séries seraient Frauce, A l'heure môme cù lo Pontife la néoossalrcs pour s'éclalror sur lu décision A T o t a u x . . . 1.320 206 souvent les défaites successives et nom propre, on se refuse do part et d'autre à ensuite tirés su sort. prend'o. placera sur les autels. breuses des candidats de l'ordre et de la dissiper les malentendus qui séparent et Supposons que le n- 6 rolt tiré le premier, c’est J lnslsto Ici sur doux points ossontlds. 81 l ’on Jlécapilulalion. . 4.23(1 2.135 2.044 qui divisent. Lo Comité de « La Trance à Rome » vous alors la sixième sé'le qui pu ¡.or .It la premlé-e, liberté. G. L éon. veut uvolr dos clnincos d'obtenir cotto molgro offre, pour les diverses réglons de France, De quoi demain sera-t-il fait si, dès les ecst-a-dlre les chevaux do v l*j proprlêtal ei P. S, — Quelques Journaux se sont fait débuts nlloontlon, Il laut pouvoir |usllller quo la famlllo auraient reçu les billet» nuuie o és 1« 171 A 180. une organisation de pèlerinage complète et est du conflit, on déclare A priori que « vraim ent Indlgonto ». Ce sont slmplomont l’écbo d'un orult d’après lequel les châte M. Le Louédfe est élu par G 744 voix SI le n* 9 sort second, les cheveu* aux blUeti A bon marché «Un do permettre aux plus toute entente est lmpossib e entre fabri los plus pauvros ontro les pauvres qui reçoivent contre 5 947 à M. Pierre Bézlers, Bur lains et les sillonnistes auraient fait cam cants et ouvriers? numéroté» de 2'*1 à 270 passeraieut après, et alu»! (i. L. humbles comme aux plus fortunés la joie cotto Indemnité, uprès sérieux examen do leurs de suite pour toutes les séries. lii.875 lnfcrlts et 12.815 votants. pagne pour la candidature de M. Le Louéd'assister A ces fêtes. titres A cette favour. Nous »von» tablé sur un» nomb-euse présen dec. Nous disons plus haut quelle fut l’atti Parfois dos Jounes gons m ’écrivent : • Je suts Français, allons à Rome 1 puisque c’est tation pour t»l<o mieux ressortir la po.-slbllité tude de la famille de Brémond d'Ars. Cette fils do vouve et, par conséquent, soutien do la plus Illustre des Filles da Franco qui va M. Le Louédec. candidat radical-socialiste d an système qui serait certainement piua cooiattitude fut sans doute isolée «t nous famille. Jo orols avoir droit A l'allooatlon que la modo avec un plus petit nombre de chevaux. être glorifiée I Léon H a i u i e l . est donc élu par 797 voix de majorité. Avant aia o os à le croire, sévèrement b'&mée par loi uccordo >. Coux-IA se trompent du tout au Ceux non rangés «ne heure avant la présentatout autre commentaire, qu’il nous soit Voici les traini o-ganisés pour la Bre L a N e i g e tout. Il y a des fumlllos nombreuses, dénuées de les autres châtelains. tlon et dont las propriétaires n’auraient pas eu permis de soullgnor, à propos de cette élec tagne : ressources, qui priment, cela so devine, lu vouvo Ecfin, voici une. déclaration qui nous est de billets, passeraient ainsi les derniers. tion, l’éclatante icjuBtlce du système actuel dont lo fils ont parti pour lo régiment. Itin é r a ir e : Nous no donnons pas co moyen comme lo seul remise, avec prière d’insérer, par un sildo vote. Autro question plus déllcnto : lo maire pout-!l Le vendredi 20 février, dans la soirée, la bon, nous laissons au contraire aux m unicipali 1" Train direct /blancj lounlstfi autorisé, M. Fonlupt, avocat à faire opposition A une domando d'indemnité A lui 5.947 électeurs, en votant pour M. Béziers tés, comme A tonte aulro Initiative, le soin d'en Ausa Brest. Elle est conli'mée par une lettre neige a commencé A tomber sur notre ré- trouver remise par uno famille do sos administrés ? — un meilleur. ont signifié que le programme de M. Le particulière de Quimperié, que nous rece- pion, couvrant le sol d’un tapis blanc dont Mercredi l i avril. — D é p a r t de R a n n e a , le Mille fols non 1 Je n’ignoro pas qu'on rencontre Nous D înions qu’il serait fscllo A MM. les Louédec n ’était pas le leur ; qu’ils réprou vi n< au moment de mettre sous presse, et répaissfur allait en augmentant, de la eOte maires des localités fréquentées par la remonte «m tln. Arrlvéo à Paris..Voitures, dinar et loge trop souvent de oos tyranneaux do vlllago qnl vaient la politique radicale-socialiste. et où nous 1sons que les « quelques jeunes vers l'intérieur des terres. ment 4 l'hôtel. * terrorisent los pauvros gens ot mêlent l'oillouse do sa réunir pour étudier un «projet qui, une fols c est ce programme qu’on va leur imposer, Jeudi 15 «urli, — Départ de Paris A 7 h. 40 politique A tous las notes administrât!!». Qu'Ils Dimanche soir et durant une grande gens q»i passent pour sillonnistes à Quimadopté par eux, pourrait être eoumts A MM. les c ost cette politique qu’ils vont subir. m allo. Dejouner et dîner fourni on cours do routo. sachent blou, oos Mossleurs (en attendant qu'une partie de la nuit, le» flocons de neige repa préfets et faire l’obtet d ’un arrêté q ui serait perlé ont travaille pour M. Béliers. » Arrlvéo A Modano a H h. 1/3. Douane. Cotte minorité ost cependant assez im loi oréo A leur endroit des Conseils d'appel des raissaient, et, comme la gelée avait p é- définitivement mis ep vigueur. M on c iisn DmECTEun, Vendredi Iti avril. — Petit déjounor A Qénos. posante. pour qu’elle réclame le droit ft la tinés A rodressor certains abus do pouvoir abso Louis A co ’hu i . s rvé la neige de U foute, le tapis dout les Déjeuner A Pise. Arrivée A Rome A 5 h. 50 soir. C c st décidément une h ibltudo, dans uno cor- I lument révoltants) qu'ils no sont, dans cos ques vie politique d\)ù l’exclut cette élection, champs étaient déjà recouverts depuis 17, 18, 15, ‘JO, 11 avril, — S é jo u r ta d o r n e . talno prosao, da profiler de toutes los occasions tions d'indomnltè do soutiens do famlllo, quo do Et c est pourquoi, on ne saurait trop encou vendredi aoir, atteignait, lundi matin, une — mû ne les moins propices — pour essayer do almples agonts do truusmlsslon, ot quo leurs avis itKTOtm rager et appuyer la campagne entreprise hauteur inaccoutumée pour notre dépar dlïciôdlter les Sillonnistes. Il y a quelques mol», ot ceux dos Consolls municipaux qu'ils présidant C h ro n iq u e V é té rin a ire Je u d i 91 «u rli. — Départ do Rome A 0 h. 30 par toute la France en faveur de la repré lors d3 l'elecllon de notre ami M. Fortin au Sénat, tement. doivent s'inspirer unlqueinout dos règles do la m atin. Déjeuner chaud à Pise. Dîner chaud A sentation proportionnelle contre l’irjustica n'écrlvalt-on pas quo M. Malssln était candidat Juatlco, do la pillé ot do lu solno équité. Mardi soir, et mercredi soir, une nouvelle Gènes. du système majoritaire. du Sillon ! Aujourd'hui, dans le même camp, Q uand uno famlllo pauvro estime q u ’elle ost tourmente de neige s’abattait sur le pays S to m a tite . — Toutes les affections in Vondredl 83 — Potlt déjeuner A Culoz. nous entendons encore des raconlars du même M. Le Louédec ira grossir au Parlement, lésée dans ses droits par l’inlorvontlon m a lfai Ii faut remonter à l’hiver de 1895, pour flammatoires de la civité buccale sont des Déjounor A Dijon. Arrlvéo A Paris A 5 heures aolr. genre. sante ou l'obstruotlon systématique du maire do cette masse confuse de gouvernementaux Voitures, dlnerjet logement A l'hôtel. retrouver une température aussi basie et stomatites ; c’est-à-dirc si la suite d’une M. Bizlors n élè battu. A Qulaiporlé, par lo la communo, elle doit, sans hésiter, ou référer qui se tlenuentautour du m litre, quîl qu’il .samodi «u rli, — Départ de Parla lo matin, une tell -abondance de neige. ii lljeuce individuelle comme le renouvel rndlo.nl Lo Louédec. Immédlnicment, ces mos au préfot, président du Conseil départemental de Boit — hier Combes, aujourdliui C'.émenArrivée A Rennei dans l'après-mldl. Dans les villes, la neige a occasionné sleurs de l’opposlllon de déclarer : c’est la rovlslon qui, dans la plupart des cas, pourra preslement des dents dune maladie générale ceau — quêtant un regard d’amitié. 2' Train sm l'diw ot IJaune) fuulo au S illon qui a marché pour M. Le Louôorlre uue euquéte Bupplémenlalro et faire rendre quelques chutes avec fractures de bras ou Infectieuse (la fièvre aphteuse, la gourme, lis sont trop 1 s’écriait il y a quelques dec. Justlae A coux dont lu domaudo ot lo dossier n’au de jambrs. la rage, etc.), ou à la faveur d’un trauma A u .n n Jours le Radical, en parlant du nombre La raison do cette affirmation est du resto trè) ront pas été établis et préaeutéa avec toute l'ImDaus la région montagneuse de Cbâteau tisme la muqueuse de la bouche s’er flamme Morcrtdl H av ril. — D é p a r t t f e N a n t e a vers slmp o. la voici : l’opposlllon sa fait battre, grossissant de ceux qui jureut fidélité au partlullté désirable. lin A Carnaix, les communicatioi s entre 7 heures matin pour Lyon par 'l'ours, Salnoalze. et s’irrite, cette inflammation prend le nom depuis quelquos années surtout, avec une consIl uo faut pas quo sous notro régime égalltalre, pouvoir, parce qu’il est le pouvoir. Déjeuner chaud au buitet de Bourges. Arrivée A bourgs et vil âges sont très difficiles, car de stomatite. Cette aff ction est une ma lance qui ne surprend qu'elle ; elle persiste A d o ou pulsso entenuru s'élovor, sinistre, le fameux Hélas oui I ils sont trop et M. Lo Louédec Lyon vera B heures soir. Dîner nu buffet. Départ la coucne de neige y atteint une épaisseur ladie tiè* fréquente chez les animaux pas comprendre que la faute en est a nés propres orl auquol ropoudent on écho los clumeurs do pour Marseille A U h. 50. devra Jouer terriblement du coude, pour de 30 à 40 centimètres. adultes, plus rare chez ceux qui têt-nt halno et los pleurs dos mèros ; « Malheur aux idées, n son mnnquo de hardiesse soclile, A son Je u d i 15 «u rli, — Arrivée A Marseille A0 h, 15. happer au passage les bons morceaux rtont C’eBt ainsi que de nombreux bouchers encore. pauvros ! » y républicanisme mitigé et aussi aux excès doi Messe du pèlerinage A Notro-I)ame do la darde. Il a promis île regaler sus grands électeurs clicvau-légers d'extrôme-drolto dont aux yeuxdei Lo pauvro qui donna sos fils A son pays palo de Brest qui s etaient rendus à Cbâieaulin L’alimentation est la cause la plus o' ii Potlt déjeuner. Déjounor troia A emporter. Dé— morceaux que Jette de Temps en temps populations ello paraît solidaire ; au llou do voir deux fols l'im pôt du sang. No l'oubliez pas, ô au commencement de cette semaine P'<ur naire de cette maladie ; tes aliments .nir“ iart do Marseille A 10 h. 30. Voyage par Toulon, tout cola, on trouva plus commode maintenant le maître pour calmer les appétits voraces vous qui détouoz lcl-bas une uuroollo, si mlnlmo se rendre à Brasparts o»t dû rebrousser a côte d ’Azur, Vlntlmlllo, Douauo. Arrlvéo A grossiers, sont une source fréquente d irri d'accuser le Sillon. «olt-ollo, do l’autorité souvoralno. de hi’s amis intéressés. Oéaea A 11 heures soir. Volturos et logomonts A chemin. Les entants ont dû renoncer à f'.é- tation locale. Les liquides trop chauds ;e* Eo l’espèce, l ’accusation est d'autant plus Comment expliquer l’échec de la candi l'hôtel. quenter l'école, pendant quelques jours. acides, la chaux, l’ammoniaque, les plantes étramro que l'importance du Sillon dans l’unondature de M. Béziers? Vondrodl te «vrfl. — Matinée A Gènes. Mosse A Chitteaulin les (ils télégraphiques et tlès aromatiques l o u dépouillées, a u mo dlsaeineut do Qulmporlé est assez restreinte. Je A l'Annonciation. Visite do Salnt-Ambrolio, On connaît, notre attitude au cours de la suis d’ullloui'3 uu mesure d'alllrmer quo nos amis téléphoniques se sor.t bfisés sous le poids ment de la fermentation d'une partie d.-. Balnt-Laurent, Snlnte-Catherlne de Gôoos, du campagne, attitude que nous avions arrê n'ont fait aucune propagande en favsur do M Le de la neige, interrompant toute correspon leurs essences, les fourrages o o u v e a i.x q i Campo-Santo. Déjounor. Départ A 3 h, 30. Dîner tée Baus mot d’ordre île personne et usant LouOdeo, et qu'outre deux candidats, dont aucun dance entre Brest et Quimper. n’ont paa eocore fermeu'é, les produits Chnud A Pino A 7 b, soir. Départ A 0 II, de tjotre pleine indépendance — unis pour- no rOpond pleinement a nos idées, mais dont l’un Dimanche soir, la tempête de neige cou sam edi 17 aurll. — Arrivée A Homo A n houres la fermentation alcoolique encore rrou ost uo plus anticlérical, c’ost encore M. Bézlera uol ne pas le dire aujourd'hui, notre condu matlu. poit les communica'io.'is té égrapbiques et riches en alcool, et tontes les p/ai r.-s ren qui emportait lour préférence. ance en l’étoile de M. Béziers ne fut 17, la, 19, 10, 'il auril. — S é jo u r A n o m e . V o te s de n o s R e p ré s e n ta n ts jamais téléphoniques dans l’arrondissement de fermant des principes excitants, peuvti, J ’a|outo quo lorsquo j'upprls samedi, aveugle. Avant lélection, nous velllo R ktouu Quimperle, ce qui empêchait, de connaître du scrulln, lo bruit quo l’on faisait courir, provoquer des moditications réflexes, tro i pressentions déjà, les causes qui ren jo téléphonai mol-méine A l' Union Agrlcolo do a B-eat, dès dimanche soir les résultats de bler la circulation locale, favoriser les in Je u d i 22 «urti. — Départ do Home A 0 h. 30 A L A C H A M M IE draient la lutte particulièrement enaude et Qulmporlé pour lui eu afilrmur lo mal-londé. Los -matin. Déjeuner chaud A Pise. Diuor chaud A l’electlon législative. fections de la bouche. même l'échec possible et ce sont ces causes renseignements quo J’ai reçus depuis lor» meperOénes. A Q .imper, les 111s téléphoniques et télé La stomatite généralisée est ordinaire I m p ô t N ur lo r o v e n u que nous alions prendre la liberté de sou mettout A l'heure actuelle le démoull lo plus for grapniques ainsi que ceux appartenant à ment V endredi 23 au rll. — Potlt dijeuner A Lyon. bénigne et facile à découvrir en rai2* .S'danco d u 24 février 1009 mel. D épart A o h. Déjeuner ;A Bourges. Arrivée A mettre à ceux qui nous font l'honneur de la Compagnie d'éclairage électrique, pen sou de la difficulté de la préhension de« Scrutin sur la socondo partlo du paragraphe 3 No faudrolt-11 pas, d'ailleurs, chercher l’orlglne Nantos A 0 h,'soir. nous lire et d'accorder quelque crédit à daient dimanche soir lamentablement. La aliments. Si on ouvre la bouche au début de. do l'artlelo 90 bis, oxoinptunt do l'im pôt los syn de co racontar dans un autre bruit colporté A ü'adroiser pour lea Inscriptions A'M. Mnudult, notre opinion. compagnie d'électriciié alin d'éviter dus la maladie, l ipflamraation est caractérisée dicats agricoles et los sociétés coopératives — Brest par uno pétulante personnalité qui se v a n 0, ruo Verdelet, A Q ulm per. Et d’abord la situation locale de M. Le « lorsque, no oomptnnt qu'uno seulo oatégorlo do accidents, dut couper le courant. tait de plusieurs entrevues avec M. Bfater», et par la sécheres*« et la chaleur de la mu Louédec lui accordait un gros avantage slllrm ult quecelul-cl avait le succès assuré parc« C a té g o rie « do| L o g e m o n t* soolétalras ot no vondant qu'A cos soûls sociétaires Pont-l’Abbé et Huelgoat qui sont éclairés queuse. Plus tard à une fétidité tiès pro sur son concurrent. our lour usago personnel ou fam ilial, Us dlstrlqu'il »'Otait engagé A combattre le Sillon ? Seule A l’électricité pour la même raison ont été noncée due à la décomposition des alimenta Kn ooura’ de'routo, les|pè!erlus sont logés dans uent lours bonis nnnuols soit nuxdlts sociétaires, Maire et conseiller général de Qulmperlé, ment do pareils potins no nous semblaient pas privé» de lumière pendant qjelques jours. retenus entre les dents et les joues, se los hôtels do choix. soit A dos (uuvres d'ullllté soolalo. > mériter los honneurs de la publicité ; le rédacteur il disposait d'une certaine influence. Le A Homo, nous avons deux oatégorlos : A Morlaix les fils téléphoniques ont été joint une abondante salivation, quelquefois Pour l'adoption, 4UI v o ix ; contra 34. do la Liberté au contraire — sons doute son cor prestige politique qui s’attache dans nos 1* ¿«'P ension. — Dans l'Inoertltude do pouvoir cassés mercredi. si intense qu’elle dissimule tous les autres Votèrent p o u r : MM. Cloareo, Dubulsson, Gaybrestols — a cru bon de se faire campagnes à ces titres est d’un gros poids lrespondant occuper ’.les looaux do la Commission romuluo Les rencontres de fils téléphoniques et symptômes, notamment lap.ésence d’une raud, llalléguen, Lo Bail, do Muu ot Vllllors ; ’écho d'uno petite calomnie sur lo compte du mis en ce moment par le;Souvoralu Pontile A lu dans une lutte électorale. Vola o o n tr o : M. Blôtry. Sillon, télégraphiques, ont provoqué un léger quantité p us ou moins considérable d’ali disposition snoslllon des sinistrés et ot maladea malades do Biella Sicile et ot Connaissant les roueries de la politique, Absout : M. Ilém on, ot lors des sorullns sui Cioyez, mon cher Directeur, A mea sentiments incendie, rue d’AiguIüon et aussi dans la ments entre Us molaires et les JoueB de do la Calabre, lo comité a déoldé do remplacer Il pouvait faire Jouer A coup sûr certaines lea meilleurs. vants aussi. .¿¿a nuit, des effets d incondescence, qui ont Dans tous les cas, les stomatite» simples lu Commission romaine et los logomeuis en ville Séance d u 25 févrlor Intrigues, attiser ici ou là, telles ou telles Jacques F o n l c m 1. fait croire à beaucoup de gens des environs sont gécéralement bénignes et le traite par la pension A Romo. Sorutlu sur la prlso on considération de l’amonrivalités locales, en un mot préparer une La pension A Rome oomprond : 1* le logement le retour du météore récent. ment est peu compliqué. Oa doit naturel domont de M. Desplas A l'artlclu 98, accordant nu cuisine électorale dont s'accommodât une dans dea pensions ou| des malsons?partloullèros A Brest, pendant les soirées de mardi et lement commencer par extirper avec les oontrlbuuble, pour chuquo personne A sa charge, circonscription qu’il connaissait. les p U i raoommandubles choisies par lo Comité ; mercredi, les communications télépbonl- doigts ou des petites pinces les épines oa un dégrèvement do : 10 fr. dans los communes de S* 1« nourriture dans ces pensiona ; elle oompiend : M. Béziers venait de Lorlent pour faire ques ont été complètement Interrompues 1>s petits morceaux de bois qui sont très 8.000 habitants et au-dessous : 13 Ir. daus I js nn potlt déjeuner le matlu et doux grands ropas ses premiers pas dans la politique, dans un avec Rennes et Paris. commuuos do 3.001 h ÎO.OCO habitants ; 14 fr. dans souvent implantés dans la muqueuse ou (1 potage, il plat) do viande dont uu uveo légu pays où, en somme, il était relativement los communes de 10.001 A oo.ooo habituais ; de Lescultlvatenrseux,sont]beureuxdecette entre les dents. Ensuite on tftehera de d^sinmes, 1 dessert, oafé au. repus de m idi, ivln A peu connu. Le sixième congrès des Fabricants fran 10 fr. daue los communes de 50.001 et uu-dossus. neige, qui va faire mourir les Insectes et fecter la bouche par des gargarismes tiè les chaque repas), Pour l'adoption, 371 voix ; conlro 158, çais de conserves de sardlneB B’est réuni A M. Le Louédec ne manqua pas de le faire l’êtes parasites qui avaient vécu depuis d eau boriquée ou simplement salée. Dans Cette amélioration de traitement eulralue néces Votèrent p o u r ; los hults députés du l'Inlalère Nantes, les 20 et 27 février. traiter « d’étranger », lui qui était patronné sairement une légère augmentation de prix dont dété grâce A la température relativement ma clientèle, J’utilise avec succès les solu. présents A lu séance. Le Congrès a élu président : M. Arthur douée Jusque ces temps derniers. En outre tlons émolliente» ou légèrement astrin par tous les étrangers que compte notre Il a été tenu:oompte'idans le tabloau ci-dessous. Sd«noo du I " mars ¡909 3* Logement A ritòlti. — .Nos pèlerins sont Benoît, de Nantes ; vice-présidents : MM. pays — fonctionnaires, préfet, y compris la terre avait soif et l'humidité dont l’im- gentes, l’eau d’orge, de riz, les solutions assurés d'y. trouver to u ille confort désirable: Sorutln eur l’amendement de M. Magnlaudé A Ch. Coancerelle, de Douarnenez ; J. Teya- prègnera la fonte des neiges ne peut que alnnées ou vinaigrées légèrement édul cet Ineffable Bott, ce bon Français « mal petit déjeuner le m alia et deux grands repas ; t’urilole 08, accordant A tout oontrlbuuble, dont gré lnl ». sonneau, de Bordeaux ; secrétaire : M. favoriser la calture. corées avec dn miel on de la mélasse. voitures A l'arrivée et au départ. Lea hôtelier« de lo revenu total ne dépasBO pas 15.000 Ir,, une M. Béziers montra, dès le début de sa Pierre Lemy, de Paris. Le traitement sera complété par une ali Rome noua ont lait aavolr qu’en prévlalon de (omise d’im pôt de 10 Ir. pour chaque peraonne A compagne, qu'il n'était pas l’homme à Be Le Congres a tout d’abord confirmé les l'allluenoea doa pèlerins pour lu Géatlfloatlon qol an c h a r g é notnmmont pour chaque enfant Agé mentation rationnelle, c’est-a-dire qu’il plier à certaines besognes et dédaigna vœux émis l’année dernière au sujet de l’é coïncidera aveo les fêtes de PAques, époque où do moins da 1» ans. faut surveiller les aliments, en supprimant cette malpropre cuisine électorale où ex tiquetage des conserves algériennes et ten Pour l’ndoptlon, 820 voix : contre 304. los touristes ~sont nombreux a Homo, Ils se toutes les substances Irritantes et nourrir voyaient dans la nécessité d'augmenter .les prix Volèront p o u r : MM. Blôtry, Cloareo, Gayraud, cellait son concurrent. On ne peut qua dant Ace que, conformément A la loi du 1" les animaux avec des aliments mous, faciles ordinairement appliqués . aux pèlerins. Nous do Muu ot Vllllers ; l’approuver, car la victoire obtenue au prix août 1905, qui punit quiconque aura tenté A triturer, des barbotages farineux, des Volèrent o o n tr « : MM. Dubulsson, Halléguon, avons dû, en conséquence, relever légèrement do certaines bassesnes est méprisable. de tromper sur l’origine des marchandises Société d'enconragement do Lesneven herbes vertes on des grains cuits. Lo Dali. les prix d'hôtel dans lu mesure Indiquée. M. Le Louédec n’eut pas ces scrupules mises en vente, soient prohibées sur des N o t a . — Pour atténuer la fatigue du pèlorlnago, Séanco d u 5 mars G. Nous rappelons que le concours de pouli et, malheureusement, 1 1 faut bien le recon conserves de fabrication extra-européenne, nous éviterons de luire pasaer deux nuits oonséScrutin aur l’ensemblo do l’article 08, portant naître, l e scrutin d’arrondissement trop toutes indications propres A faire croire ches de deux et trois ans aura lieu, à Lesontlvoi on chemin do 1er. les dispositions de l’umendemont de M. Magnlaudé, souvent donne la victoire au candidat le qu'elles ont été fabriquées sur la partie eu neven, le mardi 18 mars, A midi et demi ; il Pour rejoindre los Iralns rd(/lonaii* du Pélerilesquelles le ministère uvult posé la ques moins délicat sur le choix des moyens ropéenne du territofro de la République comprendra des primes d'encouragem»nt, hnr/e, — L'Orléans icicordo 50 */• do réduotlou A contre tion d» oodIIiiuoc. l'nlior nt au retour uveo laoullé de p artii l’avantde reproduction et de conservation. d’arriver. Française. Il a, de plus, émis le vœu qu'une Pour l'adoption, 185; contre, 301. v e llo du départ du tralu t t de rentrer la lurlenM. Le Louédec qnl avait Injurié avant le disposition léglsla lve soit votée le plus Votèrout p o u r : MM. Blétry, Gayraud, de Mun 1” cxTéaonm demnlit d u retour de oe tratn, et l'O u e it, 40 •/•■ premier tour M. Colllgnon, réussit cepen promptement possible, exigeant sur toutes et Vllllors. Pour Jouir de ces réduottona. lea Compagnies Pouliches de S an». — Lo montant de» alloca Volèrent o o n tr e : MM. Cloarec, Dubulsson, dant à lui arracher un désistement en sa les conserves l’indication, estampée en Des règles particulière» aux baux à doivent Atra prévenue« quinze Jour« A ravanoe tions A distribuer en primes s'élève A la somma llalléguen et Le Bail. favour, un désistement qui n'était qu’une creux ou en relief, du nom du pays d'ori do 5 260 francs, savoir: fonds du gouvernement ferice (suite). — Les articles 1769 a 1773 dea «tallona on dea «area de blfuroallon qui tranison. gine. auront A délivrer oea billets. Passé ce délai, de la République, 4 600 lranc» ; londs du départe au code civil sont dominés A régler les rap Scrutin aur l ’amendement de M. Dubulsson A Il est vrai que lo gouvernement y a, La seconde et la plus Importante question auoune réduction ne pourra Atre exigée. ment, 760 Iruncs. Total, 6 9(0 francs. Les alloca ports du propriétaire et du fermier en ce l'article o, repris par M. Leroy-Boaulleu, et ten Ua questionnaire en double exemplaire est parntt-il, mis le prix. dont le cot grès avnlt A s’occuper était celle tions du concours compreudront désormais 3 sé qui concerne les dommages causés aux ré dant A abaisser A 3 0/0 le taux de l'im pôt aur la envoyé à tout pèlerin. Il doit être envoyé au ries distinctes, réparties ainsi qu'il art Indiqué M. Le Louédec avait aussi gagné à sa de l’introduction sur la côte des machines coltes par les cas fortuits. propriété non bfttle. dlreoteur du train ou au correspondant. cl-après : A fermer les boites. cause, non seulement M. de Brémond Pour l'adoption, 140 ; contre, 883. J'ai dit, peut-être même plusieurs fols, ce Un Kurel de renseignement« «et envoyé comme Primes d ’encouragement : 3 primes do 90 Ir., d'Ars fils, mais ausni son père le marquis II a tout d’abord été unanimement consVotèrent p o u r : MM. Blétry, Dubulsson, que c’est qu’un cas fortuit. Il est toutefois Aouusé de réoepllon a tout pèlerin, dès son Ins 5 do SO fr., 7 de 70 fr., S do 00 Ir., 4 de 60 Ir, ; M. de Rrémond d’Ais. do Mun et Vllllers. t- té qu'il était indispensable que les fa soit un total de 1.460 Ir. bon do le rappeler. Un cas fortuit ou un Cu3 cription au pèlerinage. Votèrent o o n tr e i MM. Cloareo, Oayraud, « Le succèB du candidat radlcal-socla- briques bretonnes et vendéennes alerî, Oh«que pèlerin recevra an temps utlla un Primes de reproduction : 1 primo do 200 fr., de force majeure est une circonstance qoi llalléguen ot Le Uull. barnet portant la désignation du train, le numéro Ilste, nous écrit un (correspondant, est dil, dans un avenir rapproché, un outillage ( de 160 Ir., 7 do 100 Ir.. soit nn total de 1.050 fr. ne depend pas de la volonté des pan les con d'iniorlpllon du titulaire, «on nom, son domicile Prime» do conservation : 4 primes de 460 Ir. eu partie A la pression éhontée que, toute pour la fermeture des boîtes aunsi perfec tractantes, qui se produit sans qu'il y *it de Séanct du 3 mari 1 de 360 fr. ; soit wn total do 2.160 fr. •t la dlooAse auquel II appartient. . la famille de M. de Bi émond d’Ars a exercée tionné que celui des fabriques du Sud-Ouest leur faute. Exemple : la foudre. Scrutin sur l'amoudemoat de M. Cosnard A l'ar _______ 0 . ... üulde dwMlerln A flóm «.; broohé, fr, 76; en sa faveur dans leu communes de Itlec et de la France, de l’Espague et du Portugal, ticle a, tendent A abalasor do 3,60 A 8 o/o le taux Qa’arrlvera-t-ii donc si les récoltes sont 2* CATÉoonis reÜA, i frane. Le demander au dlUreoieur du train, de Moélan, où elle est encore très In bous peine de ne pouvoir soutenir la con de l'im pôt pour lea commerçants dont te revenu détruites en tout ou en partie par un cas peuv«nt être On n’adtcüt que ea bagage^ qui t Pouliches d * S ans, nées en 1901 el n ’ayanl fluente. » annuel ne déposée pua 10 ooo Ir. currence et cela au grand détriment, non Jamais été saillies (¡ló primesl. — Primes de fortuit t yui supportera la perte ? S*ra-cc tenue A la main. ~ ■ Pour l'adoption, 184 ; oontro, 344. Les conservateurs et les cutbollques do soulement des fabricants, mats aussi des conservation : 1 primo do 160 fr., 2 de 120 Ir.. 2 le piopriétatre t Sera-ce le fermier? Ou Odiai d'Inicrlptlon. — Le dernler délal eat Votèrent p o u r : t>.M. Blétry, Uuyraud, de Mun qui M. le marquis de Brémond d’Ars tient pêcheurs et de la majorité du personnel de 100 Ir., 2 do 90 fr„ 2 de 80 lr., 2 de 70 Ir., ftgonreuaement flxé A 1K Joura avant le dépait du bien devront-ils supporter chacun une par ei Vllllors. traili. Paaid oa délal, aucuue udhéslou ue aera a do oo fr., 2 do 65 fr., 2 do 80 fr., 3 de 46 lr.f aon mandat de conseiller général, n’appren ouvilei1de la côte. ~ tie de ce dommage ? Votèrent c o n t r a : MM. Cloareo, Dubulsson, acceptée. On a la faoulté de ne versar lea tonila 2 de 40 fr., 2 de 35 fr., 2 de 30 fr., soit uu total dront pas. sans une flouioureuso surprise, Après avôir reconnu que les propositions C’est la question dont traitent les articles Halléguon, Lo Hall. uuo duus lea dernlera Joura qui précèdant le des fonds du département de 1.700 francs. sa condulto au couru de lai campagne campai élec- autsi avantageuses pour les ouvriers sou 1769 A 1771 du code civil. Mais ces articles Los mombros de la Société do L'sueven sont toraie. deurs qu'onéreuses pour leB patrons, faites prévenus q u ’il y aura lo 10 mars, A 10 b. .10 du ne sont applicables quo &il n'y a eu aucune ^ o A i ' ^ ' n o n départ tool pèleilu aera" rem- : ‘ Sorutln aur l'amendement Hlroy|ol, roprla par Maïs co'ne soiit point là les seules causes par uu fabricant, ont reçu du syndicat matin, réunion générale pour la nomination d'un M; Lasle«? tendant A fixer oomiuo suit le tuux de stipulation epéciale entre les parties. boarsé Intégralement ae» landa veral«, déduotlon lln tp ô l aur le revenu.dea oxploltutlona agricole» : ouvrier l’accueil le plus décourageant, les de l'échec de M. Béziers ; U en est d’autres, M ie de 5 frane« pour l«e lrata du « président, en remplacement de M. de Kerjégu, Cette stipulation peut avoir lieu. L’ar i « / o jm q u ’A 8000 fronça de revenu du travail fabricants ont été d’avis que, tout en étant décédé. i AntUt avant le diparl da tralu. M o tro »Vis. ticle 1772 nous ie dit nettement : « Le pre- Î Projet d’une organisation concernant les présentations de chevaux à la remonte Béatification de Jeanne d’Arc Pèlerinage de la France S f CHRONIQUE LOCALE a E A G R IC U LTU R E CAUSERIE JURIDIQUE if^, ? J W f ^ t - LE COURRIER DU FINISTERE neur (fermier) peat Atre chargé dei caí tor* toits par une stipulation expresse. » Remar« niier le mot txprm * employé par la loi. li faudra, nour que le fermier soit chargé des cas fortuits, que le oontrat l’indique en termes très clairs. D e l présomption« ne pourraient remplacer cette stipulation expresse. Supposons cette stipulation faite : le fer mier u clairement consenti à être chargé dis ois fortuits, comment cette stipulation doit-elle être entendue? L'aitiole 1773 du code civil nous l'indique : • Q-tte stipula tion ne s’entend que des osa fortuit* ordi naires, te'« que grêle, feu du ciel, gelée ou coulure. Elle ne B’ontond paR des cas for tuits extraordinaire, tels que les ravages de la guerre, 01 une inondation, auxquels le pays n’est pas ordinairement sujet, à moins que l i preneur n’ait été chargé de tous les cas fortuite prévue ou Imprévus. » S’il se produit donc un cas fortuit qui détruit la rôcolto en tour, ou en partie, on dovni, pour savoir qui doit supporter cette porte, s’en trnir aux termes du bail et aux explications de l’article 1773. 81 lo bail est muet Hur ce polDt le droit commun repren dra son cours. Il est contenu dans los articles du code civil dé]A Indiqués et que nous examinerons prochainement. J. D. daa. Véneo avoua la matérialité dea faits, mal», d'apréa lui, on n’aat arrivé A obtenir oea marehéa de oomplalaanoa qu'en la faliant boira outra me suré. L'argent louohé par lui fat veriô S H. de KérouarU, mal* la dlITarenoe antre la valeur réelle dea arbres abattua et lea aommea payées était telle que le propriétaire, »a trouvant léaé dépota une plulnte au parquot de Dreat. Ce dernier olaiaa l'alTalre mole lut obligé uéanmolaa de poaraulvre devant une demande du prooureur général de llonnos. M* Dodot plaldo l'incompétence du tribu nal, en demandant de vouloir bien oonaldérer que ton allant a alroploment mal géré la propriété ooodao A aa gardo et que c'eat le tribunal civil aeul qui aura A connoltro la oonteatatlon qui exlate entra lo propriétaire ot Bon larmier, ce dernier n’ayant ou aucuno Intention déllotueule et n’ayant tlro aucun proOt peraounel de cette opération qui peut élre déiaetreaae uu point do vue financier, mata qui n'a paa de caruotère malhonnête. Le trlbunul mit l'alTalre en d< libéré. Lo C onqact L e aorvloe Oonquot-OueBsant. — Les réolumnlliina ot doléunco» lépétée» dea habitant» do M o'ùio et d’Ouessnnt, sur l’Inaufllaance du bnlonu postal, aemblout avoir enfin aecoué la torpeur administrative. Jeudi, uno commission n'ont réunie A bord do la Louise. Souhaitons quo cotte Inspection aboutlsto nu loiuplocemont de oo »o bo tpar un bateau approprié uu dur aorvlco qu'il »ora appelé A remplir. A la mémoire don Morts Déoouverto d'ossements. — A la Un de lu semaine dernière, lo parquet de Brest ét >lt nvl«é par la gendarmerie du Conquet quiî ries ojvtlers terrassiers, en creusant le Bol pour construire une malson, A proximité de la grève do Perzel, avalent découvert un cadavre A l'état de squelette, qui paraissait être enfoui en terre depuis un certain temps. Une erqufite fut ouverte pour savoir si ce cadavre n'était pas colui de la victime d'un La section brestoiae do la Croix Rouge a hit cciébrer mcroieul matin, a l’église SMnt-liouls, un service solennel pour les w.)i lats et mirlos morts pour la Patrie, Lo préfet maritime slce-amlrul Uouô de Lapeyri're assistait a la cérémonie, ainsi qu- les contre-amiraux Motet et Aubert, le com muniant Olllvlor-Henry, représentant le général doTrentlnlan, t t les chefs de Berv'c-' des années do terre et de mer. Ur d'aptes l'enquéte de gendarmerie qui fut aussitôt ouverte, Il résulte que ces osse ments humains proviennent d'une époque très éloignée, ot qu'A l’endroit où cette dé couverte a eu llou, Il existe un certain nombre de plerics plates formant une es pèce de tombeau qui h Useraient supposer qu'autrefois 11 existait dans cet endroit une sépulture dout il serait ücut-ûtre intéressant d<? rechercher l'origine. Arrondissement de Brest BREST I,es P r é v o y a n t s d e l ’A v e n l r l.e s membres de la section bres'oise des Prévoyant» de l’Avenir, se sont réunis dlumuuhe dernier, et ont décidé A la ¡u oaqu’unanimité, la réunion d’un Congrès National des Prévoyant». Avec raison, la section a dé.'ldé d entrer en hostilité contro l’autoritarisme et l'omnl* potensu sans bornes du comité central. MuK«lez vos chiens M. le senateur-mnlre de Brest, A la suite constatés à Lambétellec, a pris \iu arrêté ordonnant de tenir les chiens muselés ou en laisso pendant deux mois. de cas dt; r a g e , Trouvés morte sur la route Lundi matin, à 7 h. 1/2, on a trouvé dans le chemin rural menant uu cimetière de llecouvrance à Paraganot, le cadavre de la femme Angelina Le Goff, Agée de 3a an», dame divorcéo, demeurant à Brest-Rocouvrance, ruo do la Fontaine 50. Cette femme qui la veille au soir, était Ivre, n’était laissé tomber sur la route où la mort l'a surprise. La mort est due A une congestion cérébrale occtslonnéo par le froid. Le trésor do l a m en diante Depuis plusieurs aunées une dame Salaûn, née Crozon, habitait une misérable chambre — un taudis pour ainsi dire — au numéro 18 de la rue Suffren. Cette femme ftgéo de 8(1 ans, vivait de charité ; depuis uu an elle n’était pas sortie, mats quelques voisines compatissantes en raison de a o u grand Age et do sa pauvreté subve naient a ses besoins les pluB pressants. Sa medi soir, prise d’une congestion, ello ext)|pa Mais quoi ne fat pas l’étonnement des voisine» <ie trouver dans un vieux meuble une liasse do billets de banque et un tas d'or assez respectable. 11 y avait au moins uue dizaine do mille francs en argent liquide 0 j no connaissait pas de parents A ccite pauvre femme, mala 11 est probable que devant la trouvaille qui vient dûtro faite, lia ne tar.iorout pas a Be faire con ___________ naître. D ooulus U n o o lo n a rrû té . — l a gendarmorlu do Daoulas a mis en état d ur restatlon pour va gabondage et conduit a u parquet do Brest un Jeune homme de 15 t n s . ltené Tanguy, originaire de Salnt-Ilenan. luteriogé par le luire d'instruction, le Jeune hommo a recon nu qu'il s était évadé depuis six mois d une malson do correction où 11 avait été envoyé jisq u ’A sa majorité, et que depuis son éva sion, U parcourait tous le s coins du pays. L anderneau L 'a f f a i r e do l ’a b b é J o u a n n a . — Lo (uro d1i,Mruulkm cio Brest >IoqI do reudro uno ordon nance reuvoyaut, dovnut lo tribunal oorractlunuol M. l'abbé Jouanno, «uu» l'Inoulpatlon d ’avoir outniKô lu iirériiiuat de la République, lo gardo dos »rmiux, le» luallluteuru publica, M. Belbommot, W. l’abbé Jouanno aora défandu par nolro ninl M* Fltnou, du barronu do liroat. L^n oournos do L a M a rty re . — La So ciété de» courses do lia Martyre, on sa réu nion du 27 février, a Uxé lo Jour des courses au dlinancQe 4 Juillet prochain. E a u c o n t a m in é e , — La maire de la ville de i .m i.rnaau Informe «ou conoltojon* quo lo co mité il'liygiéu» vl»nl do déoliror oonlam lnéo do uitcrtib'n datiK»rnux pour I» aanté publique loa cuux do la loulalno itmiolftü a Fontnlue Goz ». h n couiéjuenon, 11 laa iuvlle a ne »’en aorvlr n| dam ne bol>«on, ni pour la culiaon dea alliuonls, Lannllls P r o p r i é t é la o o a g é e . — Uno affaire, au l a lait btuuooup causer, â Lanullla, a été ovoquoo la »amaina dernière devant le trlbuual correctlonnol 11 M ^d V lie rh o u a rli, qui habite actuellement Parla . i l . Al rLannllls __ MI- una flnnt posséda uue tré» k«lla belle nrnnrlAtA propriété dont il avait Institué gardien un de taa fermiers, Jean Vénoo, Agé do 4« aua. . . . , , , U . de K érouurlt, qui ne vient guère qu'une loi» par un dana »on domlotlo, reoul le SO novorabro dernier uqo lettre anonyme dana laquello on le prévenait que son gardo avait laisse abattre un certain nombro d’urbroi «éoulalre« qui furont vendu» A vil prix A dea marcliund» da bol» du pain. Lé Drop tétatro Ut nuenltât le voyage de Lannllla et constat* qu'en effet une soixantaine d’arbrea, parm i 1m ploa beaux, avalent été abattua et von- vieux crime. Lo Relccq-licrhnon Marché hebdomadaire. — Le l ,r mar ché bebdomadalre se tiendra au bourg du itelocq-Kerhuon le Jeudi, 18 mars 1909, A partir du 9 heures du matin, pour conti nuer ensuite tous les jeudis. Aucun droit do place ne sera perçu pour les produits agricoles : beurre, volaille, légumes, etc., qui seront exposés audit marché. Pcncrun V o lo u r » d o o r ln . — Ce» Jours dernier» on »'aperoevalt, A Penornu, quo beaucoup do che vaux avalent été dépouille» dan» la nuit do leur orlulère ot do leur queuo. Suivant lo» traces dee pas, Imprimée» sur I» neige, lo» oultlvateur» lurent conduit» A Landornoau, chez un marchand (te orln qui ausallât leur donna lea noms de deux peraonnos, qui venaient do lui vendra dea queue» ot dea crinières. Ces Individus, qui étalent le» voleur» do orln, Jonu-François Lastennet, 28 ans, orlglnulro do Dluéault ol Mario Rlou, 45 ans, sont maintenant A la prlaon de Rrost. P oiildulm ôzenu N é o r o lo g lo . — M. Paulin llugot, ancien percepteur, est décédé presque subitement mardi A l’Ape de 80 ans. M llugot, retraité depuis 1888, avait étA po’ C'pteur do Ploudalmézeau pendant 17 ans ; 11 exerçait toujours ses fonctions avec une g'ttnde bienveillance vls-A-vls des con tribuables pauvrcB. Le port de P o rts a l. — Le projet de quai A construire A Portsal vient d'être ap prouvé au ministère des travaux publics; l'adjudication et l’exécution des travaux semblent donc ne pas devoir tarder désor mais. Saint-Marc Muselez vos ohlens. — M. le maire de Saint-Marc vient de prendre un arrûté or donnant do tenir les chiens muselés ou en laisse, Jusqu'au 23 avril. Sulnt-Plorro-Qollblf?non T ram w ay contre voiture. — Au croi sement du Panier-Fleuri, le vendredi, 2i fé v rie r, un tramway se rendant au Conquet, a tamponné la voiture de Mme Chuiton, cul tivatrice au Conquet ; Mme Chvilton, pro jetée sous la voiture, u eu l'épaule luxée. Arrondîssement de Châteaulin CH AT K AU LIH H o oléto d ’ n g r l o u lt u r o Une assemblée générulo des membroa do la aoelété d'agriculture do l’urrondlssomont de ChAlenulin a eu lieu dlmancho après-midi, A 3 heures, A la mnlrte, »ou» la prô>l>lonco do M. Oassls. sé nateur. Los comptos do l'oxorclco 1909 présonté» par lo trésorlor out été approuvé». Ils se présen tent ainsi : recottos, solde on caisse, 3.193 fr. '.0, recettes do l’annéo a.030 fr. «5. Total, G .m fr. 41. Dépousos.a 761 fr. B5; rollquaten oalsse,3 3721.8G. L ’assouibléo décide qu’un concours pour la bjn no lonuo dos formes ol amélioration foncière aura llou cotlo année, dans le canton (lo C.héteaulln. UiiéKOiume do fiOOfrancs sera distribuée on prlmos ot m idaliior. Uno comuilsslun compoaeo do MM. Charles (.loas, Louis Dolaporto, Ilorvé Kerboa», Laurent Avnn, Laurent L ’iuooutln, Jofln-Plerro Coutur, Yves Mathurln. Oulllauine Avan, est chargée (lo lu vlslto de» /orme» ot de l ’attribution dos prlmos et médailles. Non-ltou M. L « Mour, Jugo d'instruction, vient de rendre une ordonnance ue non-lieu en faveur de Xavlor Cnumotte et do la femmo Magdalou, Inculpés do tentative d'o:oroquorlo ot complicité au préjudice do la Compagnie des chemlua do 1er d'Orléana. C hfttonunenf-dn-Fnou F o ir e r e m ls o . — La foire du 3 mars qui, chaque aonee, est très suivlo, s'aunonçoit oncoro bonne, beaucoup de marchands, principalement de chevaux s’y étaient pré sentés. Mais empêchés par une neige très épaisse, les cultivateurs n’ont pu amener louis bêtes. Cotte foire est remise A mercredi prochain 10 mars courant. C ro zo n A ux B le u s d e B r e t a g n e . — La semaine dernlèro s'tst réunie, A Paris, l’assemblée géoéralo des Bleus de Bretagne, qui a pro cédé A la réélection do son bureau. Le comité sortant a été réélu. Gortoz e reont hog ho son] evel am enz la 131 Feuilleton dn q o u rrle r d u F in is tè re varci allez a zo d’non paka asamblez. Tero’hel n’eo keteaz, her gouzout e ran, mez koulskoude n’hellomp kct t lier gwelloc’b. » — « l)ah i a lavaraz Herrl evel eun den dlbreder, bah I nie am euz er c'halatrez eun f i e a v i s o’h o u w e r 1794 pe a n 88 toull mad d’am c’huza. N’am euz tamm eoa m ia a r ( la o ) aoun ebed. » — « N’eut fort potra a zo gwlr, eme — • Penaoz eta, fmezhan d’ar vatez, n’a- Laou, n'hellomp ket sonjal terc'hel, penaoz navei it moi «c’hanoun, dimaaell Katoll r » e teufemp a benn da vont abiou ar zoudarEn eur ijom* evalse, Y»n a danne he ded, skignet dro ar vro a-bez 'i Gwellec’h eo v o u n e d , hag a zboioe he zaouUgtd laouen d'eomp eta gortot c'hoaz, Jakez a to maro ha leun a vue», mei Kateil n'hen anaveze hag araok e vozo kavet oun alffien fall hag kct c’hoHi. , hen o vezo eur pennad. » — .« R e i a-vftyo U'io e ta t o n n a v a b a r o r h — « la, a lavaraz Yan, Jakez a zo maro — « Yan*1l » a lavaraz Kate'l. mez e Ka»teli In ez euz eur gouarner hag a zo — . la, Y.'U. a (Ira zur, une an toucher. peli du veza karanteiuz oun horc’henver; An dihad m>ud»td no dalvezont mul notra, an den-to ne dal notra, c’hoant en deuz da ro a zou laid d a *o dre »man ; taolet om blgna enn eur garg hueloc’h hag her gou oui eta n «otite z va c hapotunn evjt gwlska zout a rit, gant ar c’hoant-ze e lelo peli, al llvltenn m in. gant-li ne veiln hlken an torl’ejou ne gouBtontketkalzd’ez-han. » anaveiet. Mon panaoz la an traca abaoue — « Martoie e lavarlt ar wirlonez, eme Laou. » (le— Kom*lt gouBtadtk, a lavara* Katoll, — « Oh I va mestr, n’ho peiet ket aoun, en nmzer vreman ar mogerlon o deuz no glaskan ket ho touolla ¡ evld-hoc’h, hen iliouikouarn; Lt»ou a zo et ral gant he oil lavaret am eut d’ohoo’b c'hoaz, evld-hoc’h, vltcnoned. Mont e ran da lavarct d ezhan. » evlt dlskouet d’ehoc’h va anaoudegez Kuí pennadlk dlvezatoo'h, Yan, goude vad am eut labouret evel am eut besa het dlgm eret gant loa «rimaner oa great. G'houl a zo bet atao ken mad azrzet oc'h taol bag a zebre beh ober an evldonn, d’ln-mo broman da savetel ac’hanhoo’h hag evlt-Be betlt sur ne arboellln ° Abaoue pe da vare et oc'h dlgoue< netra, na poan na sknlsder ¡ ouspenn, eun set », ao'honlennai Laon. don koz cmzivad eveldoun-me heb bugel, — * Abaouo peder pe hemp hour a boan, heb famili, da betra eo mad nemet d'en cm nreipountaa Yan; en eur erruout en 11- rei oli da skoatella ar re a gar. Ne vezin r*nz, en em gayen gant unan eu* an arohe- dlnec’h ha va o’haloun ne vezo kountant len en doa dlgaset Jaltc* war va 1ère h, ba laonon nemot pa voiot eat er meat euz l ’en deuz ket zoien sellet on*ln, Neuee ez w n eat d'an Tregonar da di a? Herlbolom arvro. » — « Gouiouta rlt ac’houlennat Leskoat, oo ar Dertbelot, ba klevet ara ttus eno ez ha n’en doa két c’boaz lavaret gor ebech Oac’h k z e t e fiankiï ; mez no soi Jen lamm gouiout a rit bag hon et co deut MathiaB édu Iterrl aman attio : ü’euz fort, aonn am «uz ha u'hellan kct lcompren eo bet lezet du-man?» — « Me gred kentoc’h, a respountaz Yan, et eo choumot er gear, aoun en dere dont Maro eun Den a Galon résonner dans les murailles des coups tantôt assourdis, tantôt violents. Les meubles font aussi eborus, parait-il. C’est ainsi qu’une armoire, on ne sait trop pour quelle raison, se met A craquer. Ses battants s’ouvrent brusquement et l’armoire ne se résigne au calme que lorsqu’on la frappe. Un rovfile puissant éteint parfois la lumière, lorsque les habitants se levant au milieu de la nuit, voulaient s’assurer si tous ces bruits n’étaient pas l’œuvre d’un mystilicateur. Les habitants sont, d’ailleurs, si habitués A toutes ces fantaisies des « esprits frap peurs » qui se eont installés chez eux, qu’ils dorment toutes los nuits A poings lermés et ne se soucient plus du beau tapage, que des hommes de bonne fol affir ment avoir entendu. P lo n é n a n Les a c h a ts do la remonte. — Les ofli ciers du dépôt de remonte de Guingamp ont opéré, mercredi matin, A Plouùnan. 120 Gouôzcu A 150 chevaux leur ont été présentes. Deux Une flllette brûléo vive. — Ces Jours seulement ont été achetés. Us appartenaient dernlerB, Mariu-Anne Gornec. femme Le A MM. Louis Le tëihan, de Kéréver en Moal, 28 ans, ménagère A Kerzinvez en ' Plouénan, et François Sévère, de Keivadoret, en Saint-Pol de Léon. Gouézec, quittait sa demeure pour aller cueillir des légumes dans son courtil. Salnt-Pol-(le-L6on Sa petite lille, Anne-Marie, Agée de 2 S é a n c o r é c r é a ilv o . — La séanco récréative ans, la suivait, lorpqu’A une centaine de. donneo par lo corcle do Salnt-Pol-dc-Léon A l’oc mètres, la petite revint sur ses pas et ren casion des « gras » a été des plus réussies. Le3 petite» pièces comiques « An daou lafir bara » et tra A la malson, dont la porte était laissée « La sallo do police » ont obtenu lo plus grand ouverte. succès. « Parlons du Chrlvt » admirablement In Une demi-heure après, quand la mère terprété. l’auditoire. Len chansons bre rentra, elle trouva sa lille accroupie près tonnes eta soulové françaises out été très applaudie» et d'un banc du foyer, les vêtements en flam très goûtées. mes. Nos félicitations aux acteur» ; qu’ils nous La mère s’empressa d'éteindre le feu et donnnent do temps ou temps do ces séances oA appela des voisins, mais malprré les soios i’Ame se repose et so retrempe. qui lui furent prodigues, la petite expira quelques instants après dans d'atroces souffrances. Elle avait Ie3 cnlsses et tout Arrondissement Quimper l'abdomen brûlés. La petite Le Moal a dû s'approcher trop près au feu et celui-ci se commvniqua A scs vêtements. Bureau-Annexe M. Guernier, député d'Ille-et-Vilaine, a été renommé président. . Le secrétaire général, M. Bott, ayant donné sa démission à raison d’un procès dont 11 est appelant devaBt la cour de Rennes, l’assemblée a décidé de ne pas procéder, quant A présent, A une élection de secrétaire général, «considérant que toute décision des Bleus de Bretagne, a propos de ladite démission, pourrait avoir une Influence nur un arrêt de Justice qui doit être rendu en toute Indépendance. » M. Bott a uno très haute Idée de sa per sonne. Evidemment les Bleus de Bretagne ne pouvaient accepter la démlaslon de M. Bott appelant d’un Jugement où les Juges de übftteaulin lui disaient sans ambage qu’il était « Français malgré lui ». Les Bleus de Bretagne sont trop liera d'une telle recrue et venlent de plus en pluu mériter le titre do « Bleus... de partout », que leur donne l’opinion. k Locronan F éco ndité. — La semaine dernière, Mme Leildé a donné le Jour A quatre gar çons vivants et bien constitués, qui ont vécu plusieurs heures. P oullaoucu Aooldent. — lin préparant son repas, la veuve P..., dite 0..., est tombée accidentel lement contre le foyer. Elle a été brûlée grièvement A la ligure. Spézct Une Jeune bretonne séquestrée — Une triste nouvelle est parvenue Ici rie Trél8zé (Malne-et. Loirr ). Une jeune line de Spézet, Agée de 17 ans qui était domestique A la Haie, en Trélazé, Catherine Le Talec, a été plusieurs fols l’objet de graves sévices do la part de sa patronne, la femme Jubeau. Celle-ci la battait souvent, paraît-il, et lui retenait ses gages ; même un de ces jours d’hiver, elle a enfermé la pauvre jeune lille dans une chambre, cù elle était A peine vêtue et sans nourriture ; on la faisait cou cher sur un mauvais grabat plein de ver mine. . _ , Nous reviendrons sur cette affaire, qui a u r a son dénouement au parquet d’Angers. Demandez le « Courrier du Finistère » dans toutes les Bibliothèques des Gares du Finistère. Arrondissement^ de Morlaix MORLAHX Œ u v r e » de M o r L a »emolno dernière n ou lieu uno réunion des membres do la société des Œuvres de Mer, », place du Dossen, A la salle do» Œuvres. M. Mahéas, commandant du Sainf-Françofs-it’/lssfse, a luit l’exposé dos »orvlcos rendus par lo navirehôpital, durant la campagne Islsnde-Torro-Neuvo 1008. Lo Safnl-Fratiiofs-d’Assfse qulttora cette année la France, A boulogno-sur-Mor, lo 10 mars prochain. B o o ié té due M é d a ill é » m i li t a i r e » Le» sociétaires do la 0- section do Morlaix sont priés do se rendre A la réunion géuéralo qui so tlondra A la mairie, lo 7 mars proclialu, A 10 houres du mutin. Ordre du Jour : votos sur dlvorses questions, polemont de» cotisations du 2* trlmostro ot renou vellement des membres du conseil. et, Dépôt Central r iu C o u r r ie r d u F in is t è r e B u e K e r é c m , Î5Æ Q U ÏM PEK Les bibliothèques du g r a n d S ém in aire et do l'E vêché Dans sa séance du 20 février, le conseil municipal s’est entretenu de la question du d é iô tA la bibliothèque municipale des bi bliothèques de la m^nsc Episcopale, du grand Séminaire de Quimper et du petit Séminaire de Pont Croix. Le grand Séminaire a deux bibliothèques, l’une qui était plus spécialement celle des professeurs et l'autre celle des séminaristes. Ceux-ci l’avaient même constituée de leurs proores deniers. It est plus qu’évident que le Réqueatre ne peut même ergoter sur n s textes de loi pour prererdre A la propriété Juridique de la bibliothèque des séminaristes. Avant toute discussion, Ivl. le maire a donné lecture d’une lettre de Mgr Duparc, dan s laquelle Monseigneur déclare, an con seil que ce dépôt serait A la fois u.ie injus tice et une spoliation. Par jugement en date du 22 février 1908, frappé, il est vrai, d’appel, le tribunal civil de Quimper avait en effet déclaré que la bibliothèque était la propriété personnelle de MgrDubiilard, son prédécesseur. • Quoi qu’il en soit, le ministre de l’ins truction oublique, se basant sur le3 lois de 1905 et 1908 ainsi que sur un décret du 27 septembre 1908, avait décidé d’en faire l’at tribution A ia ville de Quimper. Le bibliothécaire, M. Frédéric Le Guyader, chargé de faire un rapport à cet eflet, a, avec impartialité, procédé A la mission qui lui avait été coniiée et, dans ses con clusions longuement motivées, a conclu au rejet pur et simple de cette donation. Les ouvrages composant ces bibliothèques étant tous des ouvrages tbéologiques et ne formant, au sens vrai du mot, que des bibliothèques ecclésiastiques. Or la biblio thèque municipale est sinon plus riche, en nombre du moins, en livres théologiques, quo celles dont il s ' a g i t , Et les lecteurs assi due de ces wrlen d'ouvrages comptent tout juste nn abbé I Ce dépôt e*t donc rejeté comme n'offrant aucun intérêt et n’étant A aucun pnins profitable aux lecteurs. D’ail leurs l ' i u B t a lation st-raii trop onéreuse. Le conseil a décidé néanmoins qu’on pourra faire un ciuiix des ouvrages compo sant. ces bibliothèques et les placer A la bibliothèque municipale. C o n o o u r s d e s P o m p ie r s Un concours de pompiers aura lieu A Morlaix, le samedi 29 mai, le dimanche 30 mai, le lundi 31 mal, le mardi 1" Juin. Le 15 mars les compagnies des sapeurspompiers recevront tous les renseigne ments utiles. ___________ L e c r im e d e l a p la c o V ia r m e s Nous avons dP, la semaine dernière, que la Justice, croyait enliu tenir l’assassin de Mlle Le Moult, vieille rentière trouvée égorgée, le matin du 21 mai 1907. Le soldat de la légion étrangère, arrêté A la suite des circonstances que l’on con naît, est revenu sur ses aveux. Il soutient maintenant que le Jour du crime, Il purgeait une coudamna’ion A la prison de Rennes. En tout cas, on reste en présence de faits indéniables : 1° Burch connaissait bien Castel ; 2" Burch a accusé Castel de l’assassinat de Mlle Le Moult j 3» Burch s'est accusé Iulmême du crime. Enfin Burch a reçu de Caste! de fortes sommes d’argent. Peut-être resterait-il A demander a Cas tel d’( ù venait tout cet argent. Mais Castel est aussi discret que son ami, Castel est celui qui fut, tout d abord, accusé du crime. P lc y lic r- C lirlst U n e m a ls o n o ù l ’o n entend du bruit. — Cette maison, autour de laquelle, égale ment, on fait du bruit, est la malson hanitée au village de Ker-Rolland par la famille Quémener. Les Journaux régionaux, en eu parlant, lui ont donné encore une heure de célébrité. Voilà dcjA vingt ans, que dans la maison ou dans l’écurie, on entend M é d a illé » m ilit a ir e » Le président prie les camarades de la 18» sec tion do Quimper d’asflstm- A l'assemblée Rénérale qui aura li?u dimanche ~ courant, A l’hôtel des Voyageurs, A 0 h. 30 du m alin. Les sociétaires oni|jéclié3 sont luvltea da falro parvenir, à cette date, leur bulletin dû voto au président ou au se ______________ crétaire. C o u ib r it P etit m a lv e illa n t. — Le jeune Pierre Minter, Agé de 12 ans, de Gorréquer, a de singuliers amusements. Il a deji mis le feu à une haie d’un champ, A Penquer-Kerlic et a teuté de mettre le feu à uae autre haie, A Coru-Lau. D o u a r n c iic z L ’affairo M asson. — A la dernière réuni n du conseil municipal, ii a été ques tion de l’alT,lire Masson qui va et lin rece voir sa solution définitive. L’emprunt s’éle vait A 7.'!000 francs ; il restait A payer cette année ¿5 400 francs, couverts par un rôle spécial de 30200 francsVol. — Dans la nuit de samedi h diman che, il a été volé, dans la cour de Piouhinec, A Pcn-ar-Hoat, en Ploaré, trois lilets esti més -i0 francs, au préjudice de Pierre Hémon et de Jean Youinou, marins-pcchcurs A Pen-ar-IIoat-Ploaré. Le voleur est Jean Le F..., 20 ans, de meurant A Pen-ar-IIoat qui, s’étant vu dé couvert, a quitté le pays dimanche, disant qu’il allait ailleurs en quête de travail. Ii est marié et père de deux enfants en bas Age. E rgn é- A rm cl A ssociation des pères do iam illo . — Sous ¡¡l'impulsion 4c M. l'abbé Lavanaut, recteur d’Ergué-Armel, les pères de fa — — — — — — * P!” da Leskoat, sonjal e ra ez euz c’boaz arc'hant a zo e ti an noter e Kastellin ha breman n'hcllan ket mont d’hc gcrc’hat. » Ghouanted dre ar c’hoajou. * — « Me ne garfen ket ken nebeud mont — « Iíag ar mevel no poa hanter lazet gant eun taol troad foet, petra eo deut da d'ar gear, eme Leskoat, mez bet’ am euz wardro pemp kant lur bennak ganin. » veza? em e Ile rrl.» — « Awalc'h eo an dra-ze, a lavaraz Yan. — « la, va dourn a zo choaz kaled, Setu aman an all a rolen d'ehoc’h : Herrl daoust d’am oad, a lavaraz Yan, lorch enn-han ; n’ouzoun daré petra eo deut an alakaio diliad toucher eveldoun-me, n euz tamm traou fall-ze da veza, mez n euz diliad all ebed gwelloc’h breman. Griat a ralo ar pemp kant lur enn tu dindan lie saro forz,ne ra kct kalz aoun d’in ha nanaha ni a dec’ho hon daon, enn eur c’harr vezo blkcn Yan Lidouren dindan al livltenn-man; mez ne zonjan ket evel an a hrenl'omp enn eur gear bennak e kichen. aotrou Laou, seulvul e pouezan peb tra, Ar c’harr-ze hag eul loan kezck ne goustseulvul e kredan ez eo lall choum er ma- font ket ouspenn 200 lur. Ni a lelo etrezek ner-man. Eu eur choum aman, en em la- mor ar Faou dre goat ar G’hrannou. G'houi, kom periskl, hag e rislcl braz zoken, rak aotrou Laou, a ielo a biou Pleyben da ma vemp paketn on deuz nemet armaro da zjgouezout dre Loperek o koat aa Nivot : c'hortoz : eun dever eo evidoun hen lava- eco e hellot herpel eun tammik. Ne ket ret d’choc’h, a gendalc’haz Yan pa weluz d’in me da lavaret d’eun den koz eveldYvona o chench liou. G’houl a zo oil re ga- hoc’h-hu po seurt diliad gwiska, c’houi a lounek ovlt ma kuzfen d’eboc'h ar pez a zo gemerò ar re a garlot ar gwella. » — « H am o? » a c’houlennaz Yvona enn em spered. » ouela. , , , , — « Mad 1 d’eomp kuit ’ta, eme \vona. » eur — « G’houi, Yvona? mez Leskoat ha _ « Oh I diwalit, a lavaraz c’hoaz Yan, c’houi a hell choum rciz, beza dinec’h. Ma ma dec’homp asamblcz ez omp kollet. Me a ho peuz c’hoant e cboumfot aman ho taou zo sur e son] Laou eveldoun.» ha (ilvczatoo’h c helíot dont da gaout Laou — ■Mez da viana, me, eme ar plac h hag Iíerri. » yaouank, me no dec'hin ket va u n a n .» Yanabarpaz, den ne respountaz... Lao» — « Yvona geaz, a respountaz Yan, en a bourmene a-drenz hag a hed er zal. Herrl eur huelaat he vonez, ho mignoned, lio oa tofitact euz Yvona hag a zalc’he he prled, ho tad a golfot evit atao ma ne¡ fell daouarn enn ho re, Leskoat a zoDje, trlst e o’ehoc'h kultaat anezho eur pennad. O houl evel eur paour keaz. a hell beza dlnec'h, den evit o’hoaz ne c hou- oa— « Gant Yan ema ar wirlonez, eme lenn ho m aro; mez ar re-man, en eur zis- Katcll, goude eur pennad, me a ielo ive kouot Laou hag Ilerrl, ar rc-m ana zo gant va mestr, Laou. » war var da veza lazet. Bonjlt eta me ho — «H a sonjal e rit e kement-se? eme ped. » . — « Mad e komzlt, a lavaraz Laou, mez Manei'-Koz, hag Yvona ncuze ? Plou a petra a alllt ac’hanomp d’obcr,dlspleglt-hen entento outhi, me a c'hourchcmen d’ehoc h choum ganthl. » •k ie a r. * — « Yvo.ua, hervez a lavar Yan, nhe — « Da gonta, Ghouanted ar Chasteldeuz aoun ebed da gaout ha c’boni. Aotrou, Nevez evel bor ro-nl a zo lazet pe chadennet, netrada c’hortoz euz an tu-ze. Goude a hell kaout ezomm ouzin ; servichet am euz atao ac’hanhoc’h, n’ho tllczin blfeen. » ba hez’ ho peuz arc'hant ? » —. « Ni a welo an dra-ze warchoaz — « Aman n’am eut nemot 800 lur. Va milles chrétiennes d’Ergué-Armel et de Kerfeunteun ont décidé de s’unir en une association pour faire respecter la neutra lité dan3 les écoles primaires. P c n m a r c ’h P o s t e s e t t é l é g r a p h e s . — Le bureau de poste de Penmarih est ouvert au service télégraphique depuis le 1" mars courant. Arrondissement 'de Qnimperlé Q U IM P E R L Ë D é p a rt du sous-préfet M. Cailoch, sous-prèfet A Barbezleux, est nommé sous préfet A Qoimperlé, en remplacement de M. Benedetti, nommé sous-préfet A Mirande (Gers). H E M O R R O ÏD E S Peu de personnes ignorent quelle triste Infirmité constituent les hémorroïdes, car c’est une des affections les plus répaudnes ; mais comme on n’aime pas A parler de ce genre de souffrances, meme A Bon médecin, on sait beaucoup moins qu’il existe un mé dicament. l’Ë lix Ir de V ir g in ie N y rd ahl, ui les fait disparaître sans aucun danger. )n n’a qu’A écrire : P r o d u its N y rd ah l, UO, ru e de l:i R o c h e fo u c a u ld , P a ris , >our recevoir franco la brochure explica t e . On verra combien 11 est facile de Be débarrasser de la maladie la plus pénible, et la plus douloureuse. Le llacon : 4 fr. 50, franco. Méliez-voiis des imitations 1 II n’existe qu’un seul iilix ir de V ir g in ie : il porte la signature de garantie N Y R U A H L. AR GWELLA louzou da purlfla goad an dud B a n n a lc c T u é p a r u u a r b r e . — Mardi, M. Le Roy, cultivateur A lium érou, en Bannalec, était occupé avec ses deux domestiques, MM. Louis Lo Dœuft et Louis Garer, A abattre un arbre. Uno lorte racine venait d'être coupée, mais les trois bûche rons croyaient l'arbre encore solidement fixé au sel. Garer se disposait m ène A monter sur l'arbre our attacher uno cordo. quand II constata quo arbre allait tomber do lul-méino. Il en prévint Immédiatement son compagnon Lo DœulT qui, au lieu d'aller du côté do Garer, re relira du côté opposé. Lo tronc l'atteignit A la tête et 11 tomba sous l'arbre lo corps plié en doux. Il fut tué sur le coup. Pour le dégager sos compagnons de tra vail durent scier l'arbre, La Dœulf n était ilgê que do 18 ans. P Le T révoux Tué p a r le froid. — Dimanche, vers onze heures et demie du soir, M. Jean Cotonnec, en revenant du bourg, trouva non loin de chez lui, étendu sur la neige, ron voisin Courric, Agé de 51 ans. Avec l'aide de voisins, il le t ansporta sur un lit. On essaya en vain de le réchauffer, et, au bout d’un quart d’heuve, Courue expirait. La mort était due A une congestion occa sionnée par le froid. M o ë la n Des m alheureux. — Le mercredi des Gendres, vers sept heures du soir, une demi-douzained iudivkiuiimasqués a traîné une forme de croix dans le bourg et y a mis le feu en pleine place publiqueLes malheureux ont sans doute trouvé cela très intelligent. Nous pouvons leur assurer qu’ils sont, les seuls et qu’A Moë'an il y a unanio ité A les plaindre. T u é p a r un é b o u l e m e n t . — Samedi. ver.< 2 heures de 1après-midi, Colin, âgé de 24 ans, travaillait A extraire des pierres à la carrière de Keraudrège. Eu cours de travail, un ¿boulement se produisit et uu bloc de pierre venait l’at teindre au côté droit, le projetant en arrière. Colin re releva aussitôt, mais pour s’af faisser clans b ’S bras d’un camarade. Dix minutes après il rendait le dernier soupir. M c lg v c ii S u ic id e . — Yves Gléran, Agé de .li ans, cultivateur A Kerdaïc, avait le tort de trop boire. Son cerveau était depuis quelque temps dérangé par la boisson. La semaine dernière, b mercredi, après avoir vidé de nombreux pichets de cidre A la cave, ¡1partit A 1écurie où il se pendit A un râtelier. N évcz L e d r a p e a u fo n lé a n s p ie d s . — Enivré du succès de son candidat, su. La Louédec, M. Jsffrézlc, commerçant au bourg, dimanche soir, saisit lo drapeau de la malrlo, brisa la hampe, en déchira l'étolTe, dont II piétina les morceaux do vant témoins. Gelto attitude (l'un partisan de M. Lo Louédec ne nous étonne pas. Lo drapeau tricolore n ’était pas le sien, mais blon le drapeau rouge. Lo M a n o ir de K é ra v a l I.a Vie à la Campagne publtie sous la direc tion M. Albert Kaumenu, par la librairie Ha chette, consacre dans son numéro du 1 " mers, uu ai tlcle a u iïi superbement Illustre qu’intéressant : au « Manoir de Kéraval. » A u milieu du parc dout le^ i;randes pelouses, bordées do lices blanches, continuent l'étendue bleue ou ¡Rauque do l'embouchure do l'udetélaride, au pied du domaine, eu uno large baio, le Manoir de Kéraval dresse ses antiques façades entrevues parfois A travers les arcades des ruines rocouvei tes do lierre de l’auclcnne lorleresse qui, aux temps belliqueux, protégeait les délicates constructions: Intérieures. A u charme de l’excur sion dans ce cadre harmonieux, s'ajoute la sur prise da retrouver, pteuseuient cuns,.rvis par des mal,;s liliales, les souvenirs du plus brave et du plus énergique des généraux du Preailer Kmplre, le général Gambronne, un 'Ils du Pays Breton. Oette étude fait partie des monographies con sacrées aux belles propriétés : châteaux, viilas, collages, parcs et jardins. A col.'- do ce» articles, expression de la vie élé gante i l i campagne, chaque numéro contient, eu outie, 13 à - 0 articles, accompagnés de gra vures démonstratives, sur tous les travaux do saison des jardins, bas: es-cours, champs, _ éle vages etc., articles qui font do la Vie à la C a m pa ijnc en mémo temps Ja plus belle et la plus pratique des Revues. L a Vie à la Campagne se trouve chez tous les Libraires et à la Librairie Hachette, au prix do l l-'ranc le N ”. vraz eo ar S ir o p S a n t- V ik to r A r guella louzou da barea token ha sempladurez ar vugale eo ar SIROP SANT-VIKTOR. Al litrad. 5 fr. 2 5 ; — aa hanter-Ulrad, 3 fr ; — ar c’hart, I fr. 75 . E guerz e II VIKTOR DOUALLE, apotlkerez ar c'noc’bl LANDIVISIO- U POMMADE Sm m iIE guérit la teigne, la pelade et le» maladies du cuir chevelu. En vente A la pharmacie Doualle, L andivlslau. 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De bons aliments, convenablement digérés, procurent un sang sain et fortifiant et donnent ainsi la santé et les forets. Lorsque vos aliments ne digèrent pas. ils séjournent dans l'estomac, fermement » t s'y corrompent tout comme, plus vite même, ils l'auraient fa it s’ils étaient restés i l'air libre. La fermenta tion engendre des poisons et, de l ’estomac ceux-ci passent dans le sang. Pour aider l'estomac à digérér les a li ments et pour empêcher toute fermentation il faut prendre de la Tisane Américaine des Shakers, car elle contient les ferments digestifs et les toniques qui assureront uue bonne digestion. lille purifie le sang et débarrasse l'orga nisme des poisons produits par la nourriture non digérée ; eu même temps elle fort i lie et donne de la vigueur parce q u ’elle fournit au sang de nouveaux éléments. " Hn 18'Jl», à peine figée de vingt ans, je souffrais déjà depuis deux uns : je ue digérais plus, j'étais aiïaiblie, je rendais ce que je mangeais. “ I.a Tisane des Shakers a eu prompte ment raison de mon mal et elle m 'a com plètement guérie.” — (Signé) Aurélie Sarrau, à Merles, par St. Nicolas de la G rave (Tarn -et-( >a n nue ). Lorsque 1-s organes de ].i d ¡gestion ne fonctionnent pas convenablement l'orga nisme cesse de s'alimenter suffisamment eu un sang riche et pur ; aussitôt tous les organes s'en ressentent. I.a Tisane Américaine des Shakers est le meilleur des régénérateurs et, sans retard, il faut y recourir. Demandez à M. Fanvau, pharmacien d Lille, sa brochure gratuite. 8UUETIK COMMERCIAL Lf J U ull HalleB do P a ris couits du i'i iév. COURS du \ mars Douze Marques 30fr.25 31 Xr. 30 iilés. • i'i rn î* . . . . . f.o50 *b 75 45 lloia'f - f-8 80 19 Beures de Bretagne («u l) i 80 3 OSufs leoîlii deî,000œuf j ) 108 . li'd F a r in e s lÎR K i.'M u la ' » V tlle ït o < ? a r l8 ) du 4 mar< mmmmyrt «»nlDjaux »— «sràaftfl Aictnés VmdM Basuf* .. 1.12'» 1.1120 377 3MJ V cchet. 140 108 Tixmax. Vonox.. 1.3U01 1.1ï»0 üoutons 13.1 la !•-£.; i •» P orc*... Prix moyen 'ítfSAWCK i — ~ Not VU bonne Id Ivi calmo Id nonno • 0*93 i 0 86 0 7li 1 1 'i'* ¡lo/ i i to !»C0 1 1 30 2 1*2  1Á 1 ti\ vintin, a lavaraz Yan hag a zeblante beza rencr ar vandenn. Sonjit mad er pez am euz displeget diraz-hoc h ha c’houi a welo n’eo ket lall va zonj. Da c’hortoz arboellomp hon nerz, mad a refomp mont da gousket eun tammik ; koulskoude araok red eo da Gatell preña he zillad da Herri. lia n ’euz ket eur marc’hadour mezer tost aman ? ,, „ — . Eo ’ta, du-ze en ti Ruz, a zo unan, eme Katell. » — « Mad, it di ba prenit eur bouned, eur saro hag cur bodreou henvel oc’h va re me. Gortoz a refomp ac’hanhoc’h, n'co ket c'hoaz eiz heur, an nor nc die ket beza PI-lU«Mad I mad? eme Laou, Katell a ielo dioc'htu. » Herri a roaz eun nebeut arc haDt d ar vatpz Laou a vriataz he verc’h gant karantez. « Kemerit kaloun, va Yvona, a lavaraz d’ezbi gonatadlk, red eo da Herri kuitaat Tresigidy, sonjit ervad, anez c vezo lazet, mez me, me ho tad ne dec’bin ket. lio iezel hoc’h unaO, biken? liczit krenv, Doue bon diwalo. » ... — « Nan, nan, eme Yvona, me a fell d in e tec’bfot ive ; ma vezot lakeat er prizoun, cur wech all, me a vaivo gant ar rangdoun^ e^c’h, va mcrc’li, bezitdibreder, ui a corozo euz an dra-zc divezatoc h. Lezomp Ilorri ha Yan da vont enn bent, enn dale a vtfp marteze fall tre evit ho. Pa vezo distroet Katell emezban a vouez bue), ni aiolo oil da gousket, abalamour, evel a lavar Yan ken mad, red eo deomp arboella hon * xv E u l L u tln Katcll en cm zastumet enn he mautall (pe enn he domino evel a lavar ar merched dro aman), Katcll età a gerze etrezek an ti PAlilS, 10, avenue do l’Mmu, PAUIS Traitant sans médicament ni rcRime les maladies de l’estomac, des intestins, des nerfs, de la poitrine, de ia matrice et de la vessie sans opérations, par la méthode bvposthénique consacrée par M uns de pratique, donnera ses consultations a : Il 2 14 it, A^n UAfrtl /I .1 I ’L1!! Brest, Quln.,__________ La M éth o d e du IV P e llo lie r est la seule qui a pour résultat immédiat, même dans les cas les plus graves, anciens et rebelles A tout traitement, de permettre aux malades de se nourrir, digérer et assi miler surtout une alimentation variée, com plète et de supprimer les régimes débi litants qui entretiennent l'anémie et la faiblesse conduisent A la phtisie, A la neu rasthénie et à toutes sortes de troubles fonctionnels p u désorganisation, autsi bien chez l'homme que chez la /emme et l’aduIcscent. Iìuz. An noz oa kaer ha ven ; al loar leun, enn he chant a zave splaun en oabl e kreiz ar stered ; mez Katell ne oa ket he zoninagel loar nag er stered... Den ebed war an hent, trouz ebed, nemet an avel o voudal er gwez ; dre chanz re an ti Ruz ne oant ket c’hoaz eat da gousket. Katcll a vuntaz goustadik an nor cag a zigoraz eu eur wigourat. Enn ti, an traou e oa mesk-e-mesk, bern-war-vern, barikennou, boutaillou, gwer ha war ho gorre dillad, truillou a bep seurt, dillad soudard, dillad aotrou, dillad kouerlad, dillad paotred ha mcrc’hed a beb stad, a beb oad. E kichen ar boutou lugernusa, brageier goloet a bri, e kichen eul livitenn nevez llamm eun tok difons, war cur bern bodreou gant botoutiou a'aourct cur bern cheletenncu roget. Pa glevaz Katell o komz, eur vaouez koz ha ne walc’be ket he biza] bemdez, a zeuaz euz ar penn all d’an ti hag a c’houlennaz digant-hi petra he doa ezomm. — « G’noant am euz da brena d’am mestr cur saro hirr hag eur bodreou. Kemor a rin ivo marteze eur bouned 1er ma n’oc'h ket re ger gant ho traou. » — « N’am euz ket a sarolou hirr evel a c’houlennit, mez gallout e ran rei eur vantell soudard hag a vezo mad tre, aman ctouez ar bodreou hag ar bounedou, grit ho choaz. » <Dn ÿtndt.lc her.) de CONFIANCE M°onF*VREMEUX^. -i FCNDL’Lr.ss’aeliAtont auxFobi***TR7BAUDEAU^^V^ do DIWANÇON - Tarif(t envoyés !•" Prt* Coi cour» OL««r valoir® do Brtançon. Envoyez 1 fr. 50 A P. Glaeoel, pharra., 28, rue de Grammont, Paris, et vous recevrez franco avec uo almanach gratis, une boîte de Pilules Suisses, le meilleur remède con tre les m aux d'cstom ac et la constipa tion. y P o iïïm ir c R d u f t n t s t t ü t iip Louzou evit an doken, ar gweila remed evit ar vugate. E gwerz evel guechall er P h a r m a c l C o r b d 148, ruo de Paris, 148 près [’Octroi, BREST >:>; Í f â jÊ È f C p y, ( : ’ pEGUSM ÌS \y>iv,'ÿ< ainsibien ULMINUCINE MOKCUI. ve> tejtuts r, ÇWVgrMÿ SonorMueremontcilagoeirodc Cent Ans. Il <*taJl préparéparles Religieux«lel’Abbaye.1« Castello, prés Castret-s-l'Adour. n * on emploi produit dos GÜERIS0N8 SURPRENANTES NOTICe AVrCATTC5TATIOMÇrati» Envoi f» : •:*flacon 10'-1 '2il. 6' J.CAPtH.piiMi'^.RoqqeforttucdM) E tu d e d e M* D E R O D E L L E C D U P O R Z I O , n o t a i r e & S a in t* R enan. A ï IM S V E N D R E de oniS a onÉ E n la c o m m u n e de R n cr. » » i>* W ACffiivHs AGRICOLES. — Maialici à vendre au preneur. S’adresser au bureau du Jour nal7808 P lo u m o - lo u é e à Y v e s F a lc jio n , J u s q u 'a u 2!) s e p t e m b r e 1 91 6, m o y e n n a n t 5 3 0 f r a n c s l'a n e t le s im p ô ts . E n la c o m m u n e d e l’Ioutfonv o lln , a u b o u r g . UNE M A IS O N CHfiZ e t d é p e n d a n c e s , lo u é e p o u r p a r t i e A M . P é r o n , m o y e n n a n t 130 f r a n c s l'a n . 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Guillon, garde à K'ervazec, par übateauneuf-duI>aou (Finistère). 7920 Guérison de M™” HA Y a tte in te d e T ttE S R C ü L O S E P Ü L M O N A I R B p a r l E lix ir H c l l f t i e u s e donne secrets p1 uérir enfants urinant au lit Ec. aison Burot, à Nantes. -i i - ■j BnBfflDBBESfflBnSSgSESaBS^ 7 P W B*\Ml A en S a in t tio a i zcc. i ; ; ; gfflB B re& .j!;:- 'h-i ^ ^ • -■£ •'*•••:• >S\ W- # ^ m W* ir $ ü u p c tjr o u x M-« JLéontino II A Y, que rcpréRenfe la Pliologravure ci-contre est neo à (ïnllK«y*Allie» et habite (Jr, boulevard de (ire,,cllt*» l’nri» (XV*). Ouand elle vint à iun coiiHiillation le a5 avril i«w8, jo lui trouvai de» lésions tuberculeuses du deuxième degré occupant le poumon droit en entier et le »«»minet du j»ou* 11,0,1 gauche. Elle toussait, crachait, n’avnii pas d'appétit, einit très fatiguée, souffrait do douleurs intercostales très vives et avait cruche du sang. Mon Iraitement à base d 'E L IX IR D U P E Y R O U X , améliora sou élut en quelques semaines, cl le a» octobre k.ioS, elle était comnlè* tement guérie. Elle m ’a permis de publier son cas dans le but détre utile à sci semblables 1)' n t l'K V H O t ’X. 5, Square de Messine, 5, Paris. /’.•.S’. — L'iillxlr I)iij>cjrroux, à l aie d« rrcotvt« vrai« do liflre, d*lode, do Unie et de clycéropliosi'liaie de cluiu, guérit ici lésions luUreiilcuscs *ui pror^iuut i» Ivrmation d'uiiiitoxlncn .i;.ns ;esûnim sanguin. Il jouit d'une cllloioiié incou(eatab:i dans les cas de luVrculoeelpulmonaire, pnpÜomisi' <*,laryngée et oes'-use.d* larjngilcs, Kitlnne», caiarrliee, eiii;i|iyséinej, brbnclrit»seliruui>|ues, tliumc« tidgllgie. Si lalutxrculos« pulmonaire(ah tant de vielimcs, c’C't parce quu le* mcdecli inn savent pas la soigner. He#t do toute importance, il ur les titlieiculi-iix, do ruivro le trniW-mont à ha»? d'Klixir Pnperronr avant quv le« lésions uaient piit uiiootrnduo qui I s rende irrémédiaLie». Je consulta graiullcmcnt tous les jours, de 1li. a 3 li., excepte le jeuII et les jours d« I<Me, en mon c«binet du 5. square de il o«sine, J’aii*, et parcorrespordance, cl envolegratis et franco sur demande, lesneuf brochures uù sent exposés mes travaux de thérapeutiqueH d'hygiéne ainsi qu’un question» naire. J’enrôle lo petit flacon franc» a domicile contre 1 fr. t>Ôet le moyen flacon contr» 2 fr. 50 en timbre« ou mandnt. K-igrr dans Ici filiarmaciet le véritable K'itir bupeyroux. Réfuter tout Klixir anliluciliairc d -con!rcfacon oe portaut j*s mou nomsur l'eUqueUeü uu aignaturo aar la capaule recouvrant le boudioa. P r i x d o C a t é c h is m e s ’[EN V E N T E A L ’ IM P R IM E R IE du fourrier du Finistère B R E S T — 4, rue du Château, 4 — B R E S T -------- «— ___________ Deomp da dezuz er » M lz B l a n K a l o u n Zakramant, un volume » Zakr Jezus, par RI. Le Dividendo en esiiécot do lÜÜO Lo S'i" Gompto Rendu détaillé sera fourni sur demande. Il oortiont don ronnoigncmontB complota auv lou oporationB do la Compagnie pondant l’exoroloe 1908. P . H É O A L , I n s p e c t e u r G é n é r a l, 9 7 , r u e d e P a r i s , B R E S T . in-8 de 350 pages, car- Coz.rectenrdePenmarc’h, tonné, I fr. 2 5 . î-un vol. in-12, detni-rel. Penaoskaret Jezus- \ \basane racine, I fr. | O. Krist, par M. Gab. Mi- j Miz Mari Debussl, lin, un volume in-18 de « par M. Le Coz, recteur de 272 pages, c a r t o n n é , jj Fenmarc’h, un volumein0 .9 0 . ) 12 illustré, cartonnage élé* f c A r P e v a r A v l e l S gant, I fr. 2B . (Iakeat en unan), par M. « l.-V. Lourd, par M. J’abLté Caîr, un voluma Û Madec, un volume in-8, in-16 de 384 pages, car- illustré, cartonnage élétonné, 0 .7 6 . | gant, I fr. A nnée: ~ w N & 1 .B 2 2 ; w P * m JOURNAL v * )(* Flnlstèro, Côtos-du-Nord, M orbihan, (u n nn) " ce Q U I SE PASSE 3 fr. C o lo nies ot É tr a n g e r ........................... — 6 Ch(inqcm«nt d'adresse : O fr. 30 avec la dernière bande Lor nbonncincnts parlent du !•» do clmqtto molR ot hc payent d'avnnco fr. « S i m doute, ajouta-t-il, on peut lire dans Us feuilles que lo gouvernement républicain foule aux piods, chaque jo u r, fous les principes de la liberté. Qui a dit cela ? L ’Egliso ?» Et ce n ’est pas sans raison, car il faut auuir le goût d u paradoxe d'un Clémenceau pour oser prétendre que lE g ise jouit dus libertés auxquelles et le a droit. Aiais quelqu’u n troubla la fûte. Pen la ut la cérémonie officielle, des coups (te si//2dt vigoureux, et dos cris, troublèrent quelque peu les orateurs. Ce tapage lastilu était organisé par les socialistes qui, répondant à u n appel de |«ur.*î j )uri,«:i.v, ¿latent venus manifester «¿outre les (uvlhurs du ministèro. » A/M. Vinismi et B riand qui sont les )>r n cipaux buwis émissaires des socialistes, Quît'M élootions législatives oat eu lieu dimanche pour r«mp(at.or des dtjpufds dlus sénatours le 3 janvier der nier, . . , ¿ej libéraux comptent un succèi à Saini-Omer, où leur candidat, M. Lefebvre du Frey, a battu te radical-socialisto M. Levy-Ullmann. H s agissait do remptuoer M. Ribot, élu. sénateur. D ailleurs dans presque toutes tes cir conscriptions ta bataille so livrait aur/out entre CWmeneistes, Combistes et socialis tes. Car tout lo monde aujourd'hui, nous parlons du monde qui veut gortter à l «ssiette au beurre, est radi««l ou socialiste, /.es socialistes se félicitent de ces uteclioni, et il faut convenir quelles ont montré qu'ils peuvent compter sur un nombre assez important d ’docteurs. La politique radicale et sottement anticléri cale nous conduit tout droit au calioalivisme. 4 en prévision de cette manifestation, avaient jugé plus prudent de s’abstenir. * #¥ C'est à Orléans que l ’A s s o o la tlo n C a th o liq u e do l a J e u n e s s e F r a n ç a is e tiendra cotte armtio sou Congrès ■national, sons la présidence de Sa G ran deur Aic/r Touchât, évôque d ’Orléans. • « /I Toulon, M. Pelfn, mairei de la S-«ne. ra'.tioal-sooialiite. a été élu par 8/237 voix contre 5.826 à Ai. JRtmftudel, socialiste unifiéIl s'agissait de remplacer Ai. Lotus Martin, radical, élu sur la liste de M. Clémenceau. , . ..... Au premier tour) les voix 8 ét&wnt 1900 sera, on effet, l'année de Jeanne d ’Aro. La France entière fêtera sa libé ratrice proclamée bienheureuse, et s'il Oit une ville où la glorieuse Pue elle doit ôtro oélebrée avec le plus de solennité, c'est bien la ville qu'elle délivra, dont l’histoire resplendit dans lo monde entier du nom m ôme de Jeanne d'Arc. La J»un esse Catholique ne veut pas rester étran gère h ce mouvement et par une heureuse inspiration, elle a fixé lo siège de sa grande manifestation annuelle à Orléans mimo. De toutes los régions de Franco les jeunes viendront dans la vieille cité offrir à Jeanne d ’Arc un hommage ma gnifique, sur le lieu môme où elli> sauva 'la Franco. Le congrès aura lieu les 21, 22 et 23 m ai. , . Pour tous renseignements, s adresser au secrétaire général, 7, rue du Com mandant Arago, Orléans. ★ ¥¥ Dimanche dernier ont tu lieu, en "’ MM^ènautièl, socialiste unifié, 4.030 voix ; Petin, maire do la Seyne, rcaical- I t a lie , des élections législatives. Les socialiste, 2 578; Corretl, radioal-soota- ministériels ont obtenu lu majorité ; tou (iste, 1.073 ; Esoarteflguo, sociahsio-in- tefois los socialistes, tout comme en dépendant, 1.492 ; Charles Roche, radi France, n ’ont pas eu à se plaindre de la cal-socialiste, 1.272 ; Gtmjolla», radical- journée et ont fait passer haut la main dans certaines circonscriptions leurs aocialiit«, 1.105. , , , .. n „ Tou* les candidats opposés à Ai. Re- candidats, contre les candidats gouver, naudol, socialiste unifié, s'étaient retirés, néimontaux. On sait q u ’en Italie, les catholiques, sauf M. Petin. . L'élection de M. Renaudel paraissait depuis l'usurpation de Rome par Giriassuréo pour le deuxième tour, oar dans baldi et Viotor-Emmanuel, ne votent l'intervalle du ballottago, son concurrent pue, ot refusent toute collaboration à la M. Petin, ne recueillit qu’un déststement. vie parlementaire, pour protester contre Aiais le succès de M. Renaudel était la spoliation dont fut victime le Saint... l'ichec personne! de Ai. Clémenceau qui Siège. Dimanche, los catholiques ont voté, est, on le sait, député du Var, car Renaudel avait fait campaqna sur un obéissant à u n mot d ’ordre venu d'en programme antigouvernemental et sur haut. Mais avec une grando largeur tout antiolémenciste. /tuss», sans doute, d'esprit, le Saint-Siège avait donné toute sous la pression du gouvernement, bien liberté aux catholiques de porter leurs qu'aux yeux de certaines vieilles barbos voix sur le candidat qu’ils voudraient et radicales, comme AL Pelleta«, AL I étm no leur avait pas imposé la formation »<lt un passé, lourd de réaction, le comité d 'u n anti-bloc, contre le bloc anti-clé pression et aussi paraîtraux qui le préféraient encore au sociaN aturellement los Combistcs ot les so' ciulistes sont furieux et accusent à pro pos de cetto élection, le gouvernement d'avoir fait un pacte avec la réaction. L'Humanité,journal de Jaurès, appullo même Clémenceau « l'ignoble ClémenCeQuôiqu’il en soit, les catholiques ot les li'b iraux ont prouvé à Toulon &Clémonceau qu’ils nu sont pas une quantité négligeable. # rical; anti-bloc nue rfloe de constituer en Franca lo parti catholique. La lactique des catholiques a été fruc tueuse en Lombardie, où des candidats ont battu leurs adversaires socialisiez ou frani-s-maçons, g rilco à l'appoint dos voix dos catholiques. A noter qu'en Italie les osndidats des catholiques avaient à vain cre la coalition des monarchistes gouver nementaux et des franos-maçons qui y vivent d'ailleurs en amis. * ¥¥ A Toulon, comme ailleurs, los s o ld a t s c o lo n ia u x so font remarquer par leur incuciplmu ot leur insolenoo. Il y a quelques jours, le 111* d infan terie rencontrait près de Toulon, des sol dats coloniaux. Ceux-ci criblèrent de quolibets les bons petits pious-pious et sifflèrent leurs chefs. Un rapport fut dressé sur ces faits " norté à la connaissance regrettables et‘ po (_____ ____ <’orron, commandant la du général de Fe 2 • * Dimanche on inaugurait, à Paris, la statue de Charles F loquet qui fut, dans sort temps, un des piliers du radi calisme anticlérical. A ^l^w t de g^iie, —qu u on planiat sa figure o’était asse* pour aris. ‘" « r  S U È S f * '» radical« était autour du monument, Af. Fälliges «h tête. I l y avatt.làAi.Vf. Du boit, p ré tid e n id u S mat, Briston, drf la Chambre dos députés, 0*1MlATI président de (n rtte Lou6et, ancien la r ê 't e A p iW ' * » ” ,... (es fausset tirades sur J à liberté „avoc lei|i«i>flflli 0!Mï.ra Diazez h m ar d’h a rp A n a b a d e n n zlveza Qoudo ouapenn kant devez labour, ar Garapr e deua gallet orila has da benn, ovlt ar pez a zoll out*hl, cul lezenn da roi oun diazez uevez d’ar c'hargou pe talllou, hervoz m a c’houlonne eul lodenn eu» ar bobl abaoue R epublik 1848. Daou vennad-lezenu a oe kinniget er bloave*-ze, unan gant Goudchaux, egile gant Proudhon. , , 78 all ft zo bet lakeet w ar baper abaoue : daoust ha ne ve ket poent oltoo'h da unan bennag anezbo dont p1 „a C l vad? Broiou a ll epo-dro d pmp, — It«U, Su , Bro-Zftoi, - p o deu* ie U a ^ k e t godal Kelt ha nl. H a n’eokoteohu o boaz, eyldorno, liv it gw lr, breman al leienn a dleo moot d'»r Senat. Eno e veto kemeret — R ue B du R C h â te a u E — ---------- A nno nces d iv e r s e s ......................(la lig ne) R éclam es, en 4« p a g e . . . . — Dernière colonno de la 3® page. — 4 S T O fr .2 5 0 40 0 60 Tarif décroissant pour les Insertions répétées Rebechou all, hag a bouez, greet d’ai lezenn, eo ar re-ma : Piou a varno ctre pcb-hini ac’hanomp hag ar c’houarnamant pa n ’en em glevimp ket diwar - benn ar ialc’had da baea? Tud e karg didan er c’houar namant, dibabet gaut ar prefet. R is k l a ve evel-se evit adversourien ar prefet da veza re zammet, pa ne vefe merket nemed eul lodenn skanv d’he vignonned. Ouspenn-ze. ar c’hemm-werzericn b ra z a ranko disklcria bo gounidigez; hag an dud o deuz douarou ha tiez Pian a ranko ivez, abarz kaou'; diskarg ebed, disklcria bep bloaz kcment tamm dan vez o deuz. Ila kemont all a c’hoarvezo gant keinent ro e karo ar percepteur tam all da gaout ouspenn 5.000 lur ar bloaz da zispign hep touch ouz ho danvez : m a ne fell ket ù’ezho paea an eil rum m taillou (impôt complémentaire), e tleint diskleria pegement e c’hounezont e gwirionez, 0 konta tout enn eur strollad. Hag evit ar seurt taillou-ze 0 konter, gant gounidigez an tad a fam ill, ar pez a c’hounit he c’hreg m a n’ez euz ket disparti être he danvez Paghe hini, hag ivez ar pez a c’hounit ar vugale a zo 0 chourn enn he di, nemed mestr e vent d'ho zra ho-unan. h 1A koiicc IIu v r n , Placo do la liourso, 8, & Paris Ha penn-da-benn evit ar 190 lur a zo etre 1 250 ha 1 440 lur. (talvoudegez ar ferm goude dlskoata ar bemped). Grit bidnan eur 3trollad eus al lodennou-ze : 156 ha 5 kwennek, 187.187 ba dek kwennek, ha l'JO, — hag e kavoc'P 720 lur 15 kwennek ar bk'az. Evel foncier bo mereurl, labouret gantioc’b, ar c’houaniamant a c’houlennfe 4 dre 100 euz ar 720 lur 15 kweanek-ze, da lava rout eo 28 lu r 17 k w e n n e k ar bloaz. ITag euz ar c’hant skoea interest a bae d'hoo'h an amezek, o pefe 12 lur all da roi. A r gont ne ve ket hevel evit eur perc’hecu ha ne labour ket he-unan lie zouar ; evit eur mrmes mereuri hen-pez en defe da baea, evel foncier, 4 dre 100 euz 1 440 lur, pe 57 lur 12 kwennek. Ar dio hypotheket zo da ziskonta. d’an eil evit d’egile, euz an dalvondegez ttrm. K o n tit h o c ’ h - u n a n Ma karit e klasklrop gwelont brema penaoz e c'hellfo peb-hiui ao’baooc’P konta he-unan pegement ar bloaz en defe da rol d'ar c’houarnamaut gant an diazez nevez. Ilag o veza ma ne zaleo ket paper ar per cepteur da goueza enn ho ti, — martezo zoken ez eo en em gavet di]a — e vezo eaz d'hoo'h gouzout petra a daiv evid-boc’h at lezenn evel ma 'z eo-hi bet votet gant ar Gampr. , , . Ualc’hit son] avad ne douch ket ouz lodenn ar goiomun hag an departamant, merket ivez war paper ar percepteur : an taillou-mau a Journo batek dlver.atoo’h ; re ac c’houarnamant hebken a zo cpenchei. Bezit st ill c’hoaz e ro al luzeun nevez enu dlskatg-taillou a 8 lur d’an tad a lainlll evit ptîb-hinl euz be vugale oajetanebeutoo’ii eged Hi vloaz echu (0 tiskonta ar c’henta goulsnoude), ba kement all evit an tad ha maaiin, tad-koz ba mamm-goz en em gavfä enn be parg. Interest ar die a zo da ztskonta euz gou nidigez pe leve bloaveziek peb-nini. Evit foncier an ticz Hag an dooar, ar c’bouai namant a c’houlenno 4 dre 100 euz an dalvoudegez-ferm, goude diskouta eur bemped. Goulakoude. perc'heun cun tl ha ne dalv ket ouspenn 80 lur term ar bloaz goude dlskoata ar beiiíped, a vezo dißkarg evit foncier an ti-ze gaut ma vezo 0 onoum ena-han, ha ma ne c hounezo ket, 0 konta tout, dreist 1.250 iur ar bloaz. Diwar interest an arc’Uant, nemed enn eur c’tirf espern e ve an arc’hant-ze, e vezo \dre 100 da zevel evit ar c'houaruamaut. Diskarg a vezo eta evit an interest euz arc’oant ar c’heliou espern. Diskarg Ivez, betek r,25 lur, evit interest an arc’haut prestet d'ar c’houarnamant, pa n'en devezo ket pcrc’henn an arc’hant-ze ouspeun 1.250 lur ar bloaz da zispign 0 konta kement seurt gounidigez en deuz. Kvit ar peurz, lennit I Ha c’houi a zo m erour labourer d o u ar? An diazez nevez a laka e tleit sevel euz an douarou a labourit, da vaga bo famill ba martcze daarboell ourgwennek bennnk, an banter euz ho ferm, ma ue daivezout ket dreist 5 000 lur fenn ar bloaz. Ma ne zav ket an hanter-ferm da 1.2a0 Iur ez oc’h diskarg a-grenn e-kenver gouni digezho labour. . Ltnrn, Ma zav an hauter-ferm dreist 1 2a0 Iur, an 1.250 lur-man a zo da zlskonta. ilag euz ar pez aioumfe, opefe c hoaz da zlskonta: daou drederenu evit al loienu a ve etre 1 «.ol ha 2 000 lur ; eun drederenn evit al iolenn a ve etre 2 001 a 3.000 lur. Diwar ar peurz, an diazez nevez a c nou' leunfa 3 dre 10!'. Rak-se, ma ne zav ket ho ferra leun dreist 2.500 lur ar bloaz, ez oc’h diskarg a-grenn e vit gounidigez ho labour. M’o peuz eur ferm a vii skoed. e Ueit he ranna c daou, lia dlsUonta 1.250 lur euz an hauter, da lavarout eo euz 1 500 lur : ne 1 imn nemed 250 iur. DisV.outa c’"oaz daoa üreüerecu euz an 250 lur-ma. Ne joumo mui nemed 63 lur. Diwar au S3 lur-ze o pezo 3 dre 100 da baca d’ar c’houarnamant : <lek r e a l ar bloaz o konta mad. Mo peuz avad a-hent-all douar all pe tiez d’hoc’h hoc’P-unan, o pezo 4 dre 100 eu?. bo zalvoudegez ferm da baea, goude diskorita eur bemped. Da lavarout co ne dleit paea nemed diwar 000 Iur evit eun ti pe douarou fermet 750 lur ar bloaz. M’o peuz arc'hant war ictereet, e raukoc h c’hoaz sevel 4 dre 100 ivez euz au Interest e toug d’hoc h. Ha setu tout, evit ar c'houarnamant, nemed sevel a rafe ar pez a c'hounezit gant ho labour, bo touarou pe ti *z hag hoc h arc’hant war interest dreist 5.000 lur ar bloaz. Ha c’houi a zo labourer douar ha perc’henn d’an douarou a la b o u rit? Neuze o pezo gounidigez ho labour da gouta er inemes doaro hag eur merour enn ho leac’h. „ Ha goude-ze e vezo ar foncier da gonta, evel-ben : Netra da Inea ma ne da.v ket ho touar ouspenn 025 lur ferm goude diskouta ar bempeo ato, gant ma n’o peut ket muioc h eged 1.250 lur ar bloaz da zispign hep en em baouraat, o konta asambles talvoudeez-ferm hoc’h oil douarou pe tiez. gounligez bo labour kontet evel hini eur merour, hag interest an arc'hant a c hell fac’h kaout a hent-a'l. Ma c’hounezit evel-se, o konta tout, etre 1.250 ha 5.000 lur ar bloaz, n ’o pezo diekarg foncier nemed evit : — an dri-c’hart euz an dalvoudegcz ferm betek 625 lur ; — an hanter evit al lodenn euz an dalvoudegezferm a ve etre 626 ha 1.000 lur ; — eur o'hart hebken evit al lodenu a ve etre l.OOt § ^D re ze , lakeomp o savlt 300 lur Interest diwar arc’hant o peuz prestet da eun ame*ek; hag o peuz a-hent all eur vereurl labouret gan-hoc’h boc’h-unan ha gouest da veza fermet 1.800 Iur ar bloaz. Bur bemped, da lavarout eo 360 lur, a zo da zlskonta dloc’htu ; ne joumo mul nemed 4.*40lur. m " ; r , Evcl fonder, n’o pezo da baea nemed : Bvlt eur c’b8rt euz ar 626 lur kenta, pc an dvtu tìfttér drp ut <r;c’hoptnbutlon^ li» lur ha 5 kwennok ; Indirectes » 9 bouoz w ar îtr butün, au An banter euz an 374 lur a zo ctre ellumettezVkotilì'na w ar àn hoalenn,_ar Û26ha mil lur, pe 187 lnr ; . An drl-c’liart euz an 250 lur a Ctre Bulff ha kant tra all a zebror po aefor, . 1.000 ha 1.250, pe 187 lur 10 kwennek ; ënp èuit tiogez"........ " Ha c’houi a z o kemm-werzer, pe mestr-mlcherour ? Ho bounidigez bloaveziek a vezo merket, evel ma c’hello, gant ar c'bontroleur. nemed he diskleria a rafac’h d’ezban hoc’h-unan, hag al lezenn a c hourc’hemenn zoken hen obér, diakleria ar gounidigez, pa zav-hi dreist 5.000 lur ar bloaz. Ha peuaoz he rnerka hoc’U-unan ? O tiskonta, euz an arc’hant digaset d'ho ti, euz a berz ho kemm-wcrz pe stal-labour, ar pez-a vezo eet er rneaz, evit ho kemmwerz pe etai-labour ivez, hag ouspenn talvoudegez-ferm an ti pe lodenn-ti a zo kar get gant bo kemm-werz pe stal-labour, ioulz bag hini ar c'hardiez ha marcbosiou lo] an traou pe al loened a zeli ouz ho kemm-werz pe stal-labom-. Grit ar gont-ze evit au tri vloavez diveza, ha gwelit pegement ar bloaz o peuz gounezet an eil dre egile. Ma ne c’hounezit ket ouspeun 1.250 lur ar bloaz etre bo kemm-werz pe stal-labour hag an danvez all a c’hellit kaout, n’o pejo netra da baea evit gounidigez ho kemmwerz pe stal-labour. M’o peuz muioc’h eged 1.250 lur ar bloaz da zispign evid-hoc’b hag ho famill, neuze ar c’fiouarnamant a c’houienno diganho^’h paea evit : Eur zeisved euz gounidigez bo kemmwcrz pe stal-labour, betek 1 500 lur ; — eun drederenn evit al lodenu euz ar gouuidlgez hag a veto etre 1.500 ha 2 500 lur ; an oric’hart euz al lodu.ui a vefe etre 2.500 ha 5 000 lur. .Lakeomp o peuz kavet e c hounezit, gant ho kemai-werz pe stal-labour, 3 000 lur ar bloaz. , „ N’o pezo da baea nemed evit: Eur zeisved euz ar 1.500 lur kenta, pe 215 lur * Eun drederenn enzar 1.000 Iur a zo etre 1.500 ha 2 500, pc 333 tur; An dri-c’nart en?, ar 500 Iur a zo etre 2.501 ba 3 C00 pe 3*5 lur. Lakit enu eur Ktroilad 21o, 333 ha 37o, hag e kavoc’h 923 lur. Mad. evit gouuidigez ho kemm-werz pe stal-labour,archouarnam ant a c ’nouiennfe digan hoc'h pevarzck dro 100 euz an 923 lur ze, da lavarout eo lu r O k w e n n e k ar bloaz. Re all Eur mestr-pesketaer, ha kement hini a labour pe a laka lalwurat enn be ,-ont heu n a n — nemed labourer douar e vije — a dlevfe konta be e'fcoanidlgoz ha paea diwar-n-hier wemes doare hag eurc’hcmmwerzer. — An nep a labour didan re all nen devezo netra da baea evit g o u n id ifz he labour, m an ’eo ketpaet ouspenn: 1 500 lur ar bloaz er c’oommuniou na gon'out ket muioc'h eged 10.000 oen ; - 2 000 lor er c’bommcmou o deuz etre 10 00) ha 100 0J0 den ; — eie. , t , Au dud o deuz paimon ne baeint nemed evit al lodenn aneztn ». vezo dreist 1 250 lur ar bloaz. if ¥4 Ha setu, mignouned, n¡a c’helloc’h brema barn hoc’h-unan at lezern. Ne gredftu ket loui ne vije fazi ebed er pez am bcuz lavaret diwar he fouez. Mes sur oun da veza tos'o j ’h d’ar wirionez eged an darn vuia euz ar o’hazetepnoo all o deuz könnet anezhi ; rak, heuillet am beuz piz an uiviz, ha va reolcnn a zo ato ar memes hini : eeun ba led e ptb tra. ConP-NTIU. E b-oiou a r Zao-Heol Respont ar Serbi da guzuliou ar Rasi, ar Frana, Bio-Zioz hag Itali a zo anavezet brema. , , , Lezel a ra gant ar rouantelezlou a zmaz traite Berlin, — ha dreist-oll an artikl anez’san a lakae an Aotrich da voatd war ar Bosni hag Herzegovin, — ar gefndl da varn ar pez e deuz greet an Aotrich e-kenver an diou vro-ze. Fizlans e deuz enn ho lealded hag enn ho furnez. Evit-bi he unan ne c’iiouleun mui ueurt dionaou ebed. ba prest eo da veva e peoc’h gant an Aotrich evel eun amezegez vad. An Aotrich, m’oarvad, ne vezo nemed hacter-goatant euz ar respont-ze. Kiask a la diviz war eeuu gant ar Serbi, ba padal tou-man en em laka adren ar rouautelezlou braz. . Hag himor an Aotrich en em dro ivez aenep ar Jìusi, tamallet gant-bi, ha n eo ket hep gwir marteze da veza kiriek ma ne deu ket ar Serbi da blega ken buan ha m e defe-bi karet. „ .. „ „ Dalc’h a zo brema, etre ar Rusi hag an Aotrich, evit gouzout pehini anezho e devezo ar brasa gelloud er « Balkana » ; beteg-hen, ar Rusi eo a oa ar gwüla selaouet eno : ne lezo ket buau eun all da gemer be llas. Hag enn Allmagn e komzer muloc n eged biskoaz euz eur brezel evel euz eun ora diez da ziarbenn. Ar Montenegro a zale’h start hepred d ar Serbi, ha kazetennou ar Bjlgari a c ùoulenn ivez e savfe ar vro-man a du gant ar Serbi ma rank lakaat ar c’hanoduu da \ ■ f Pour les nnuoncc» extra-réglonalCR, H’adroKsor Grwasa 'zo, pa zizammer eur rumm pe coz eun tu, e ranker samma eur rumm all pe euz eun tu all, p’e gw ir e ia ato dispignou ar c’houarnamant w ar gresk e leac'h dontw ar ziskar. Rak-se interest an arc’hant, a ve tizet gant an diazez nevez, n ’euz fors e pe lcac’h e vo an aro’hant-zc, neiued er c’hef espern e vije. Gouzout a rit e kavan an dra-zc eun dra leal. N'ez euz ket arc’hant easoe’h gounezet cged an interest ; ha goulskoude an taillou a vreman ne dizont ket interest 40 pe 45 euz ar 100 m illiard o deuz ar Fransisien e paperou-leve. Ne dizont ket m uioc’h pao huel ar rouaned bian a zo euz hor gouarn : prefeted, kannaded, ministred ; bag o tibab mad c pe leac’h lakaat ho are hant arboellet, da c’hounit d'ezbo arc’hant all, al laooused-ze a c’hell breman en cm gaout diskarg-kaer, enn despet d'ho finvuligoz. H a kemeut all a c heller lavarout euz ar m illiouncrien ema ho oli flnvidigcz gant ar c'houarnamant pe e pnperou-levc all a zo. lliviziken età, interest a n a r c h a n t a baefo 4 dre 100 — 4 dre 100 euz an interest., ententit mad. Diwar-benn kement-man e layarer kasfe an dud pinvidik ho are hant da guzat d ar broiou all : m'oarvad ben digasfent enn dro abarz peli, rak ma rankfent paea eno ivez. Erfìn, an diazez nevez a zavle cun eil rumm taillou diwar goust, ar re a c’hell dispign ouspenn 5.000 lur ar bloaz hep nebeutaet ho danvez ; hag ar rumm taillou-ze a vezo seul-hueloc'h dre gant lur ha m a vezo pouneroc’h ar talc had tizot gant-ho : 1 oro 100 evit ar re a zav 10.000 lur ar bloaz pe wardro euz ho douarou, tiez, labour hag arc'hant kontet asambles ; koulz lavarout j dre 1(J0 evit ar re a o’hell drailla eur m illioun ar bloaz hep bianaat ho danvez. Ar rumm taillou-man a zo galvet da gemer, o kef ar c’houarnamant, mas ar ro a bouez brema w ar ar mobilier hag an doriou ha prenestrou, ha dre ze da ziskarga a-grenn al labourerien dister. Tizóut a raint wardro 500.000 den ; hag ar re-ze a glemm. G w ir eo n oz euz den hag a gavje en defe re; evelato, deread eo d'an nep en deuz muloc h a bop tra eged ne ve red mad, dilczel eun draik betjnak muioc’h eged an darn vuia evit ma tigoucio nebeutoo’h da baea d'ar re o deuz diouer a bep tra. Ha ne vezint ket kaset da baour evit ken nebeud, p’e gw ir n’en devevo an nep a fc’hell «Jrailla eur m illioun ar bloaz nemed 49 300 lur da baea diwar-n*han euz a berz an taillou nevez-ze. An birra a c’hellfe kaout, da baea a-hent-all evit ar millioun-ze a vezo 40.000 lu r ; da lavarout eo e ohoumfe gant-han c'hoaz 910.000 lur ar bloaz da zispign bop touch ouz be zanvez. G ant eur c’hantved hebuen me en em jrredfe ken pinvidik hag eur roue. Evolato, re inarteze a dud enn ho eaz hep Doza pinvidik, re a dud hep fam ill clrelst-oll en em gavo diskargkrenu. P a o deuz an oli ar gw ir da voti, an oli ivez a dleive kemer perz e dispijrDOu ar vro. H a setu ar pez a lavare ar Beleg-depute Lem ir, o o houlenn sevol eur rum m taillou evit an da,4 b’o doto netra dii baea a-hent-all : eur skoed ar betek 30 vloçiz,, ha daou skoed gftSt tur rp a Jovióito, gòwlp an oad-ze jerner. pe ìntanvien hep. bugalo n A’«»Vinti a nnn 1 n _______ « t . i ^o noe Respoñtet d’czhan e pae awalc’h . SAMEDI. PUBLICITÉ L ob M a n u s c r i t s n o n J n s ô r ô s n e s o n t p a s r e n d u s d'ar Gampr, hag ac’hano d'ar Senat adarre, evit kendelc’her evel-se den no oar epad pogeit amzer. Gant ma vezo da viana ecunot c’ho aí ha Bklearaet iv e z : evel ema-hi, e ve diez aw alo’ti da bep hin i gouzout pegement c gwirionez e ve dleet d’ezhan da baea. Hag eeunet ha sklearaet e vezo ma k a ra n olí digas d’ezhi lio bolontez vad, c leac’h en cm ranna e diou lodenn evel er G a m p r: eul lodenn hag e doa lakeet enn he zonj mirout out-ni da zont da vad, eul lodenn all savet dirag oben evit lavarout e votfcnt, aneidu n’euz l'ors penaoz. Anat eo ne c’lieller kot obor labour vad er c’biz-ze. lia goulskoude, an nep a varno an diazez nevez o peb le a lie d a ranko anaout, d’am r.onj, e talv gwelloc’h c'hoaz, cun despet, d a n defajtou a zo ehoumet enn-ban, cged an diazez a vrema, — ¡i ranko dreist peb tra anaout e tizaram ar re a zo ar m uia sammet brema, da lavarout eo al labourerien douar bag ar c’hemm-werzerien. H ag e gwirionez, diw ar foncier an douar, an diazez nevez ne zavo d’ar c’houarnaiuant nemed 45 po 50 millioun ar bloaz, e leao’h ar 105 pe 1)0 m illioun a vrema. G w ir eo e savo 7 no 8 m illioun diwar gounidigez-labour al labourerien d o uar; mes enn dizro ar re-man a vezo diskarget euz ar 50 m illioun a baeont breman, evit lodeon ar c’nouarnamant, evit lio mobilier ha doriou ba prenestrou, daou rum m taillou hag a vezo torret azaleg an dez m a reno an diazez nevez. Ha dro zo, an douar hag lie labourericn en em gavo dizammeí euz 100 m il lioun ar bloaz pe wardro.. Evit ar pez a zell ouz ar c’hemmwerzerien bag ar vistri-micherourien, gant an diazez nevez c paefent, n’c ket m ui hervez ho staliou, mez hervez ar pez a c’bouneziut. Etre « patente » ha taillou an doriou ha prenestrou e tleont paea bre m i, evit lod ar c’houarnamant, wardro 1G0 m il lioun : an diazez novez ne c'houlenofe digant-ho ncmed 115 po 120 m illioun. H ag er c'hommuniou a gorit rebeutoc'h eged 3.000 den, ar re auezho ne c'hounezont ket dreist 0 po 7.000 lur ar bloaz en em gavfe disxarget, m uioc’h pe nebeutoc'h. Des révélations sensationnelles vien nent d’étre faites sur les comptes de la m arine. On ne s’étonnera plu ces révélations, que nos navires coulent. sautent, que les obus éclatent à tort et a travers, que la liste des victimes des " division coloniale de Toulon. Celui-ci convoqua nusiitot à la salle accidents survenus sur nos bateaux s al d’honneur de la caserne üazeilles, les longe ùhaqUe jour. Af. Brousio, député qui avait été chargé de faire ^ rapport officiers coloniaux et sa plaignit devant sur les lois et »ègiemenis de 1002 a 1007, eux, avec uno rudosse toute militaire, de pour le ministère de ta marine, vient de la conduite de leurs, soldats. C'est ainsi Je remettre entre les mains de ses col qu’il leur dit : Jo vous nvnls dit. Il y n quntro mois, que l’èlal» lègues. _____ il déclare avoir Imursux et fier U'itro nftmmft nu commnnuomcn Dans ce document, de la ï ‘ division coloniale ; lo vous dis aujourd hul Wtâ telle gravité, “ d'une J' reconnu des fr1 le ml» tiontoux de lu commtmder.Vou tiommes qu’il a cru nec nécessaire de les cpusioner auo sjat dos canailles ot vous ou «tes los noutluus, dans un rapport spécial. « La méthode los protecteurs |Jo rougis d’être à voire loto. » actuellement suivie par ¡’Etat, dit-il, Ces ¡paroles soulevèrent une profonde pour J * marchés ds la marine, prflte à émotion, car elles étaient prononcées tous (es abus et a pour résultats d occa devant deux généraux de brigade. sionner à l’Btat des dépenses considé Mais si le général de Ferron sera sans rables. » tnéthoda permet aux four douta bl/trrçe, pour s'Ûtre exprimé en nisseurs de me'ttrè le budget de I» marine termes trop vifs, sa franchise aura sans en coupe réglée, et ils ne s en p:riventj >as. douta pour effet de faire prendre des (Test ainsi qu’il* font piuser du matériel mesures spéciales, pour rétablir dam Usé ou inutilisable, gr&oe h de hautes les régiments de l'armée coloniale, la protections politiques et à la compliot é discipline qui y est par trop méconnue. de ceux qui sont chargés do la survetl,aCe9gtfchfi provient d ’une politique qui stëouvie moins des grands intérêts du piys, qua dei intérim étroits de Par,V Périsse (a France! périsse la marine, pourvu que les ami* aient du foin dans le râtelier. t 4 LE ....... ...................................... — ADMINISTRATION ET RÉDACTION ABONNEMENTS i PARAISSANT FRANÇAIS-BRETON \ ha nebeud a nebeud, ar gommuniou a lam digant-ho an arc’hant-ze. An dra-man a zo c’hoaivezet e Brest, ba kement all a zo bet greet ar zizun dremenet e Sant-Briek. war gouienn eusr soclalist zoken, banvet Boyer. Eno, ar gommun a roe F00 lar ai bloaz d’ar « bourse du travail. » Petra a veze greet gant an arc’hant-ze 7 Ar c’üonseil n’en deuz ket geliet her gouzout, rak sekretourien ar « bourse du travail » n’o deuz diskouezet merkon sklear nemed evit 257 lur euz an 800 lur roet d’ezho ha dispignet. Perag ivez ne zibab ket «1 labourerien gwelloc’h sekretcurien evit ho syndicajou. 140 devez e r m e r b r a z . — Gwechall, pa ica eur vatimant er mor, aen ne oule peur e c heilfe tizout ar porz. Brema, al îistri dre dan a dronc’h mor koul/. lavarout keu bilan t a ma trouc’h an train an ear, hag e pemp pe c’houec’ti devez ar mor ledan a zo eue an Europ hag an Amerik a vez treuzet. Evelato, bez’ ez euz c'hoaz listrl gant gweiiou, hag ar seurt-ze a rank, a vare da vare, choum pell braz er mor. Kement-se a zo cüoarvezet gant al lestrig Angelo Repito, euz an Iiali. 140 devez en deuz lakeet evit dont euz ar Brezil d’arMediterranee ; ha martezee v?fe choumet pell c’hoaz er mor panefe ma oe kavet gant bon listri a vrezel euz Toulon. He vartoloded a oa dare da vervel gant an naoun; pell a ioa n’o doa mui peadra d'en em vaga ervad. T o r fc to n r le n : n n a n a R-lask en em la z a , c u n n tl a c’h o u te n n b c z a d ib e n n e t. — David a zo unan euz al iakepoted kriz a reaz eleiz a dorfejou s’irijuz e departamant au D^'om. Eet eookuiz enn he briznnn e Valence, ha dlou weeti en deuz klasket en em laza, ar wech kenta o trouc’ha unan euz he voazied, ar wech all o lonka tammou gwer bruzuuet. Baenerieu Bourde.lt a varne, d’ar 5 euz ar miz, eun tortetourall hanvet Job Grau. E leac'h klask en em ziveac’hia, nen-man en em zamrae he-unan : « N’am beuz kenz ebed, c-rae z-han, re a c'hou7a.ovau. ba beza kondaonet d’ar maro e c hou'ennan, rak, meur a dorfid am b;nz vrreet. Dre ze, bn'rr a : cz euz daouzek vloi.z ’ zo pe wardro, e laziz pur vaouez goz e Montferrier, e-kichi'nn Montpellier. » Hogeu, ne oa ket tamallet evit ar muntr-ze; ha rak-se ar varnerien a ziskleriaz e oa red gortoz. evit Le varn, ken ma vezo gouezes mad lia gwic eo he lavariou : « la, gwireo, eme-z-ban, ha d’ar gillottin a c houlénnan mont. » D c s e rto n rle n n n A fr lk . — Enn noz etre an 13 hag ar 14 a viz kerzu diveza, 53 soudard euz al « légion étrangère » a oa teao’net kuit, son] o peuz ma-teze, euz kazern Aïn-el-HadJar, er c horn douna euz bro Oran. enn Afrik. Divroidi oll e oint, hag enn ho fenn edo an Atlmand Pa\, en doa laeret da wiska dillad tua ofliser. H jg hint ena hent etrezeg an henthouarn. E gar Bou-Rached e pignont enn euu train o tont da Orau. Enn traia-ze en em gave ar jeneral Vigy hag ar c’horonet Bouillon. N'euz fors, al laboused aro urz d’ar mekaniker da gas an train war he giz ; ha pa c’houlenn ar Jeneral Vigy peseurt froudenn a zo savet enn ho fenn, Pal a respont : « N’hoc’h anavezomp ket, n’o piuz merk ebed da ziskouez ez oc’h va jîueral; hag ouspinn-ze, urziou ambeuz hag a rankan scvenl. » Pa oa en em gavet an train enn eul leac'h distro. ba dem-dost da harzou ar Maroc, ar c’hanfarted a ziskennaz, hag a beilaaz warzu ar Maroc, o krlal : « Vive l’Allemagne 1 » Hogeu, dre an neud orjal ar jeneral a pasaz ar c’helou d’ar c baternlou tosta, hag ar batred a oe tapet olî, abarz beza geliet tlront ar Maroc. IIo f'osez a zigoraz diinn dirag eur chonseila vrezel, e Oran; ha dimeurs e oant kondaonet : Kattnr Pal da 20 vloaz gsleou ha <*a 100 lur aiaand ; pevar all, euz a zek da 18 vloa*. galeou, tri c'hoaz da bemp vloaz ; hag ar 45 diveza da zaou vloaz prizoun. D a rv o u d o u . E keriadenn Tassel 13 dea azo bet stlejet gant an erc’h enn eun toull doun, ha sebeliet eno. — Dimerc’ner, dek den a laboure da freuza eun ti koz e parret Gontell, nepartamant Pay-de-Dôme ; eun tal a gouezaz war-n-ho. Tri anezho a oe lazel ha pevar all gwall-c’bioazet. — Enn Aotrich hag er Suis, 36 den a zo bet sebeliet didan an erc’b ; e Sant-Jobam, Aotrich, eun ti a zo freuzet gant pouez an eic'h a oa war-n-han, ha 17 den flastret cbarz ; kement all a zo c’hoarvezet gaut eun ti all, e Azlago, Itali, ba tri zen flasfeet. — E bro Arkausaz, 38 den a zo bet devet enu eun tan-gwall. gl Armou ba poultr evit ar Serbi e oa, eur pennad ’ zo, e porz Salonik, o c'hedal aotre an Turki evtt treuzi douar ar vro-man : an aotre-ze a zo bet roet war gouleun ur Rosi, ar Frans ha Bro-Zaoz._________________ K K L E I E R l)a bc leac h e la an arc’h ant. — E keariou braz a zo, ar “ zlgoraz eun ti pe eurzall d al labourerien, a c’piiie dre zc en em vola eaJoc h da il vi r ètre-z ho diwar-beon ho ezommou. K lea. c’btou a zo, ar gommna a roai war ar mare’had eur iàlc’hadlk arc’hant evit ma veto easoc’h d’ezho paea mtzou ho at>ambieou hag ho syndlealou. ' G w a s a zo, re aliez al labourorien, pe kentoc’h al laboused a gemerent da vistrl eun ho zi — er « bouree du travati » evel ma lavaront, — a reaz impili fall gant an arc’hantze, pe da vlaaa ne c’helljont ket dlBkouez, ez eaz ato gant an heht eeun euz ho laic h , T acheiîB a r ia o u a n k is An deskadurez-mlcher (appren tissage) Er C'hourrier ar26 a viz kerzu 1905,'ata boa comzet euz an descadourien ; lavaret am oa petra oa caoz m’az euz ken nebeut a dud iaouank o teskt micheriou ; da viana diskouezet am oa e ioa diou lezen ag o devoa noazet kalz d’an descadourien, hini an assurauç hag hini an devez a zfc heur ; mez birio e fell ain eiskouez n'e ket ebken al lezeonou-ze o dr.veuz gret droug d’an « apprentissage, » bel ez ’ euzc'hoaz meur a sbeg all. Er renk kenta e kavomp ar mank anaoudegez on euz enz al lezennou o deuz reizet an deskadurez-'abour ; evlt-se e fell din, e berr gomzou. o roï da anaout. Betegliu an driva ’üvet cantvet, ar miche riou a oa oll etre daouarn bocieteou micherourien (les corporations) ; ar reman o devoa peb hini e reolenn (statuts) ag ennhi e oa merket au oll gonditionou a zell oaz an nprentissage. Da vicnerouuen ag mlstri an amzer-ze, an apprentissage a zeblante beza an hent kenta a necesser dre behini e ranket passeal evit anaout mad eur vicier ; mez dont a reaz Revoluslon 1789 ag a ztBttuj ar c’horporationou mteberourien varzlgarezma oa an oll kavatal dirag al lezen : setu digoran ................... ... ma kar ‘ pe!îb hini hent evit an oll, a rat evel en e stai. A n uizurz-ze a reaz eun droug-brat d’an descadourien : ag dlvezatoc’h e velomp ar gouarnamancaou cc'h ober lezennon evit kompeza ar stai gueila ma c’hellopt. Kvelse eul lezen euz an 22 a viz meurs 18U, a zçu aie er staliou-labaor ^ da reiza eun eli, euz ar 4 a viz meurs ... . aT verk ____ meur? 1§51. éqr c'hontrat dre skrld, pe dre g o m th e b ken, ette ar mestr ag an deScaSour. A n diveza-ma dreist od e devlje ober vad ma e vlje bet hl.beutltet. al ltzen a lavar petra eo ar c’bontràt greal etrè ar patron ag an (JeBkourLAr,c'pontw‘ n o rrn a n H ‘û tW m A n ‘ f f f i iur ''a zo etra eme peblnl eur patron, eur mlcherour, en em obli] da *cskl e vlcher da eun den all, ag en em obli] d e dro da labourat gantban evlt ar c'hondlslonou dlspleget etreiho, ag cvlt eun amier merket. Ar o’hontrat dre skrld drel»t-oll a teblante beta eun dra vad o veza ma roo d’ar meitr konlz a d'an deskadour goarantlisamanchou an eli enep eglle ; evolso ar c’bontrat a c'belte beza gret dlrag grefller ar barner a beoc'h pò dlrag socretour eur c'honBoll « prud’boinmca, » j\na gouste nemed elz reai evlt al labour, pevar reai an tlmbr, enr skoed etre tout. > Mei, evlt beteg-ben, nebeut o dovetti heulllet al leien-ze a great eur c’bontrat dre skrld ; evlt dro ama n'az eo ket anavezet. Udii deicadour a voz kemeret gant eur patron var goulen e dud, a setu ochu tout : evolse e vnzo eaz d'ar patron, evlt au dlatera dlgarez, taoler er meat anapprentl, ag cina na c’hello lavaret ger. An upprentl, d ouz e du, a c’bello kultat, ag ar mestr no c'bello notra en o enep. Ma vlje bnt gret eur c'bontrat dro skrld, peb-unan cn devljo gcllotcelveregllo dlrag an trlbuual, a kaout cun dlc'baou. Reir co dispiega al loicn-ze, mes lavaret Rin euz aoualc’h, a gredan, ovlt dlskoucz e ve eun dra vad ober ar c'bontrat dro skrld. Al loion-ze o devilo grot muloc’h a vad ma vljo bet, evol o kalz brolou, punlslon d’ar re n’o devljo ket heulllet anezhl ; ìucz var ar poent-zo eo mud, a goaz a zo. Uallet a vo c’boaz guellat staci an doscadourion oc’h heullla oaunoo’b oul lozen all (10I du 11 Décombro 1830 sur Ina écoles manuellca d’apprentlssage, modlll'n parla lol budgé’.alro du SO Jauvler 1892). Al lezen-zo a aotre ar parrezlou ag ar c’heaxiou dazlgoil skollou ovlt an descadourlen hebkcn ; er re-man na vez dosket nemet mlchoropvlou ; aotreal a ra Ivo dlgorl sko llou o pero sklanchou ar bed o deuz ar renk kenta ag an drskadurcz mlcber ar plao blhanna., Guelet a rromp skollou eur. «n eli ag eglle dlgorct gant ar c'houarnamunt a gaut Boolétéou prlvet ; oli e renlont kalz servlch. Hot e reer c'hoaz Bkol noz ovlt ar pez a zoll ouz pcb mlcber c kalz kearlou ; an dra-zo c’hoaz ;a c'bell ober kalz vad : mez skulza an descadourlen a ra lve. Red h ve kemeret evlt so var an amzor a b.ia■eont er staMabour; aman ar c'houarnninant a ve o devcr obhja ar vlstri d’iicn obar* Moz ar vad brassa a c’bel dont euz perz urslndlcalou o-unan, pero a o'helfe digerì an oli akollou-zo ma vontkrenv bagunanot ■trlz entrezo. Da c’hedal, o vo gellet martreze digerì concourlou etre deacadourten ar memez parrez no canton, evel ma reer e Gbartr Lag e Nlm ; roet a vez eun dlplOme d'an appronti, a ganthonnez o kav caaoo’h labour| an dra-ze a ro oourej d’e^ban da ober guelloo’h ag Ivo d’e veatr, blis en fait, k la place des gouvernements antérieurs qui, en fait, ne sont plus... » Quoi qu’il en soit de ces transforma tions extruordlnslrea dans la vie des peuilea, dont 11 appartient k Dieu de calculer es lois, et k 1hommo d’utiliser les consé quences, l’honneur ot la conscience réclament, en tout état de choses, une subordinalion sinedro aux gouvernements consti tués ; 11 la faut au nom de co droit souve rain indiscutable, Inaliénable, qui s’appelle la raison du bien social. Qu’en serutt-11, en effet, do l’bonnour et do la conscience, s’il était permis au citoyen do sacrifier, à ses visées personnelles et A ses attachements de parti, les bienfaits de la tranquillité publique ?... » ...Les hommes qui subordonneraient tout au triomphe préalable de leur parti respectif, filt-ce pour le prétexte qu’il leur parait le nlus apto à la défense religieuse, seraient di'j lots convaincus de faire passer, cn fait, pur un funeste renversement des idées, la politique qui divise avant la religion qui unit. Et ce serait leur faute, si nos enne mis exploitant Icui s divisions, comme Ils no l’ont q io trou fait, parvenaient finalement a Ica ccruscr tous... » ... Notre but, en dlaant aux catboliquea Français d’accepter le gouvernement cons titué, n ’a été et n’est autre encore que la sauvegarde des intérêts religieux qui nous aont confiés. > Î (LMtrn do L io n X I I I nux oardlnnux Françnls, 3 mal 180»). Dlra-t-on que la dootrlnn do l’EglIse n changé depuis l'nvônuonent de Pie X ? D’nucuns vont lus. qu A lo pr6tendro ; nous estimons, quunt A nous, quo o'ost 1A une lu|uro pour la Pape. Au resto, voici uos uocumouls pleinement âdl- Dants. « Lo Saint-Siège... n’a pas cessé et ne cesse pas d'inBlatcr auprès do tous lea catholiques, et, en particulier, auprès des Etêqaes, «Un qu'ils adhérant, sans arrièrepensée au réijiiiio républicain. » (Lottro du 110 mars IUO'i . du cnrdlnal Morry del Vul, soorôlulro d’Htat du S nlnl HIègc, A Mgr I.orei'/.olll, nonco A Paris, publiée duus lo Llvro Dluno du Bnlnt*B16go.) Autro document du Llvro Dlunc. « L’Eglise, dont la divine mlsîion s’étend k tous les temps et A tous les lieux, n’a, dans sa constitution et ses enseignements, rien d’incompatible avt c les diverses formes de gouvernement... S Inspirant de cette haut« conception, et suivant la tradition do tous les siècles, le SaiDt-Siège respecte les pouvoirs constitués, qu’üs soient monar chiques ou républicains... Laissant aux catholiques pleine ilborté de discuter quelle est la meilleure des diverses formes de gouvernement, Il leur Inculque lo respect do la forme établie, mémo si c’est au prix tehinIJa boanlo muloc'h gantban ; ovlt ar do crises violentes que cette forme a rem ury na vezo choazet nomed tud a vlcber, placé uno autre, parce que la conservation e pere o c'helllmp kaout llzlauz da velot ar do l'ordre pi b',te est le plus urgent des prlzlon roet gant Justl^.. besoins d'une société et le premier devoir Deomp ni co, tud laouanc krlstcn, da des citoyens. » studia an oli draou-ze, a d'ho hada on dro deomp ; ag esperout a rau eur c'hclc h* C ’est co quo rappollo Mgr Dadolle, évfiquo do ■ludi benaga gavo guelloo’h egedon. Kuraz dnus son umndeniiiut pour lo piesent a ven da vlana da anaout santlmanchou va Dijon, Gutflmo : o'bamaladet var ar poont-ze, ha dio zo ou « L’Eglise n'est pas un parti... L’union devezo gounezet karantez ag llzlanz memes et la paix sont le but qu’elle poursuit dans on enebouilen. M athusalem. les sociétés au milieu desquelles la Proi-( deoce la fait vivre. Sans vouloir ravir à chacun de ses enfanta scs préférences et ses rêves particuliers, aile commande la soumission et lo respect envers les pou voirs établis. » A uns Opoquo où lot « onlhollquos athées » do Ì VÉRITÉS MÉCONNUES l'A. F. ossuyont do dlsorértltor iuiih coux qui no orient pas uveo eux « A bus la Uuouse », Il ue sera peut-Atre pus hors de propos do rnppelor Ici quelques-uns dos docuinonl» oflljIoIh <| il ont tracé la condulio A toulr pur los oatluliquos A l'égard des pouvoirs étubll». ' O a conviendra sans doulo qu'ils ont pour 1« motus autant de poids quo les nlltrmutlous Inté ressées de tou» cos tbtologlons un robe courte, dont quelquos r u m spécimens s'agitent, autour de nous. « Divers; gouverne melila politiques 80 sont succédé en Trance dans le cours du ce siècle, et chacun avec sa forme distinc tive : Empires. Monarchies. Républiques. Un se renfermant dans l«s abstractions, on arriverait à définir quelle est la meilleure de ces formes, considérées en ellcs>mémcs... Dana cet ordre d'idéea spéculatif, les catbollquea, comme tout citoyen, ont pleine liberté do préférer une foi ma de gouver nement k l’autre... » Mais, « on ne rencontre pas chez to'is les pouplcs le pouvoir politique sous uno môme forme ; chacun possède la sienne propre. Gotte forme naît do l’onsemblo des clrconstannes historiques ou natio nales, raala toujours humaines, qui font surgir dana une nation seB lois tradition nelles et môme fondamentales ; et par uellea-cl se trouve déterminée telle forme particulière de gouvernement, telle buse de transmission des pouvoirs suprêmes. » inutile de rappoler que tous les indi vidus sont tenus d'uccepior ces gouvornements,'et4de\,no Wonj.ftmior pour los ren verser ou pour on changer la furino. Do là vient que l'tigllse, gardienne do la plus vraie ot de la plus haute notion Bur la sou veraineté politique, puisqu'elle la fait déri ver de Dieu, a toujours réprouvé les doc trines ot toujours condamné les hommes rebelles à l‘»'utoritè légitimo. Et cela, dana les temps môme où les dépositaires du pou voir en abusaient contre Elle. » G’est qu'en effet, « dans toute hypothèse, le pouvoir civil, considéré comme tel, est do Dieu et toujours do Dlou : « car 11 n’y a point de pouvoir b1 ce n'eat do Dieu. » » Par conséquent, lorsque les nouveaux gouvernements qui repiéaentent cet Im muable pouvoir Bout constitués, les accep ter n’est pas seulement permis, mais récla mé, voire même imposé par la néceasité du bien Bcciul qui Ich a faits et Ica main tient... » Par là s’explique d’ello-mCme la sagesse de l’Bgllse dans le maintien de ses rela tions avec les nombreux gouvernements qw se sont succédé en Trance, en molnB a ’un siècle, et Jamais Bans produire des gecouBB&s violent»« et. profondes. Uno tolto attltudo est la plus «Oro et la plus salutai ro ligne do conduite pour tous les Français, dana leurs rolatious civiles avec la Republlquo, qui est lo gouvornement actuel do leur nation... n Et voila précisément lo terruln sur lequel, tout dissentiment politique mis à part, les gons do bien doivent s’unir comtno un seul homme pour combattre, par tous les moyens légaux et honnête», ces abus progressifs de la législation. » (F.ooyr.ilqun, ytt( m ilie u de* sollicitudes, do L io n X I I I nux oatbollqiios ilo Franc» (in fô> vrlor IH'j'i). « Mais lo but, une foia précisé (arrfltor la Franco sur la ponto qui la mène aux abîmes), lo besoin d’union pour l'attclndro une fois admis, quels seront les moyms d'assurer cette union 'I i< Nous,lavons également expliqué et Nous tenons à le redlro, pour que personne no bo méprenne sur Notio enseignement : un do ces moyens est d’oeosplor sans urrièro-p*nsi», avec cette loyauté parfaite ui convient au chrétien, lo pouvoir civil ans la iorrao oti, de fait, Il exlsto... » Et la raison de cette acceptation, c’est que le blan commun do la société remporte sur tout autre Intérêt; car 11 est lo prin cipe créateur, Il est l élomefct conservateur de la société h 'malne ; d’où il suit que tout vrai citoyen doit lo vouloir et le procurer à tout prix,.. i Lors donc, que dans une société, il existe un pouvoir constitué et mis k »’couvre, 1intérêt commun se trouve lié k oe pouvoir, et i'on doit, pour cette raison, l’accepter tel qu'il est. G’est pour ces motifs ot dans ce sens que Nous avons dit aux catholiques Français i Acctptez la République, o’est-âdlre le pouvoir constitue et existant parmi vous; respectez-le; soyez-lut soumis comme représentant lei tpouvoir vonu de Dieu., a • En politique plus qu'alllouru, survienr nent des changements inattendus. Des mo narchie* colossales s’écroulent on se dé membrent .. ües changements sont loin d’être toujours légitimes k l’origine ; Il est même difficile qu'ils le soient. Pourtant le critérium suprême du bien commun et do la tranquillité publique, impose l'acccptaiitin Al ces nouveaux gouvernements éta Vout-on l’avis de Mgr Dupnrc, notro évêque ? Voici co quo nous lisons dans sa lettro pastorale du 50 tôvilor 1008, écrite A l’ooouBlon do su prlso ilo possession do touslégo iplscopnl : « Toutes les divisions actuelles viennent do nos déliais sur la forme du gouverne ment. S'ir le reste, noua sommes’d’accord. » Consultons l’Eglise, et parlons loyale ment » I/Eifllso ne maudit aucune forme de gouvernement. Elle n’a même pas hésité à les bénir toutes, k travers l’hlatoire, dans la rassure où elle pouvait s’en accommoder pour lo salut des âmes. Elle a su tenir compte des événements providentiels plus forts quo les volontés humaines, et même des erreurs do conduite qui entraînaient parfois toute une nation loin de ses votes tradltlonnellc.setqi’aucuneforcecrééon’eilt été capable d en liguer. Lo sens pratique des choses possibles lui a permis de conti nuer son apos’oiat, A travers les persécu tions ot lea révolutions ; — sans courber la tête, môme quand elle se résignait aux réRlmcs les plus tyranniques ; — on lutte contre les lois mauvaises, tout en se sou mettant aux gouvernements établis; — et travaillant a l'assainissement et A la mora lisation dos démocratits comme des aris ocratles sans s'insurger contre elles. Ainsi a-t-elle fini toujours par conquérir sa liberté et celle des ftmes. Lo respect de la Consti tution n’a Jamais entrave ses progrès, ni rendu plus difficile la défense de ses droits, ni éloigné d'elle les citoyens honnêtes, ni entame la pureté de sa doctrine ou de sa morale. Elle a trouvé, daus cette attitude pacifique et lière, sa meilleure force pour travailler A l'abolition deu lois opniessiv.’s et A l’événement d’hommes d’E;at plus sages et plus Justes. G était l'avis de Léon X I I I: c'est encore celui de Pie X Ils donnent voua lea deux pour base au tiruupoment des catholiques, pour la défense de leurs Intérêts religieux, le sacrifice de leu-s préférences personnelles en matière cons titutionnelle et l'acceptation de la forme du gouvernement voulu par le peuple, sans rel'usor aux autres constitutions politiques l'estime et la reconnaissance qui leur sont dues, pour un passé bienfaisant et glorieux. Il nous semble que cetto attitude est dictée par la sagesse même. » Pour on noir, redisons, nveo Léon X III, que ce reapeot dit aux pouvoirs constitués « ue peut Imposor ni lo respoot, ni boaucoup moins l'obéis sance sans limite A toute mosuro législative quel conque édictée pnr cos mémos pouvoirs. » Mais « tous los moyons » ne sont pus A upprouvor pour combuttro lus muuvulsos lois, nonobstunt co quo pré,-lie cortulno écolo topngeuse. C'est Plo X lut-nidmo qui lo ruppello dans sa lettre encyclique du 10 août IHOfi rejetant los nssoclutlous cultuelles : « Ainsi donc que les hommes catholi ques de France, b’iib veulent vraiment Nous témoigner leur soumission et leur dévoue ment, luttent, pour l’Egiibe, selon leB aver tissements que Nous leur avons déjà don nés, c’est-à-dire avec persévérance et énerglo, sans agir toutefois d’une façon sédi tieuse et violente. Go n'est point |ur la vio lence mais par la fermeté qu'ils arriveront, en a'onfermant dans leur bon droit comme dans uue citadelle, à briser l'obstination do leurs ennemis. » CHRONIQUE LOCALE V o te s de n o s R e p ré s e n ta n ts A LA GIIAM IW E Im pôt sur lo revenu .SVanco du 5 mais 1909 Scrutin sur la proposition d» M. Lasles de passer A un» 2* délibération du projet do lol. Pour l’adopilon, 1M ; contre, 371. Votèrent p o u r : MW. Blétry, G&yraud, de Mun, Vllllnrs ; Votèrent o o n tr e : MM. Cloareo, Uubutsson, llalltgu o n , Le Unll. Absent : M. Hémon, de même que pour les •orutlns suivants. Séance du S mars 1909 Horatln sur l'afllohngn du dlooours do M. C ail loux, mlnlstro des finances. Pour l'adoption, 337 ; contre, 110. Voteront p o n r : MM. Cloarno. Dubulsson, Hnlléguen, Le Bail, Le Louédeo ; Votèrent o o n tp * i MM. B létry, do Mun, VIIlléra. ' Abstenu : M. Gayraud. Séance du 9 mars 1909 Scrutin sur l’onsemble du projet de lol portant établissement d’un Im pôt uur lea revenus. Pour l'adoptlou, 388 ; contra, 110. , Cette mluorlté se décompose ainsi : Z radicaux; — 8 républicains de gauche ; — 0 républicains de t’nnlon républicaine ; — 1 radi cal Indépendant ; — S0 républicains | „ — Ui membres de la droite ; 10 nationalistes ; — 1 antlsoclallste. Votèrent p o u r : MM. Cloarec, Dubulsson, Gayraud, Ilalléguen, Le Bail, Le Louédec ; Votèrent contre : MM. Blétry, de Muu, Vllllers. Avant le scrutin, M. l’abbé Gayraud lit uno décla ration, dont nous donnons le résumé d'après le compta rendu analytique officiel de lu Chumbre. M , G a y r a u d . — Avant do voter l'ensemble du projet, le tiens A expliquer mon vote. Je n'at nullemunt l'intention d'approuver tous los aitlcles de ce projet. Je me suis prononcé contre un assez grand nombre, et s’il s'agissait A cotte heuro d'émattre un vote déflaltll, j'bésllorals , muls le soul effet du scrutin qui va s'ouvrlr sera ou de retarder indéfiniment cette réforme ou de l'envoyer au Sénat pour qu'il on poursulvo utiloniont l'étude. Or, tout le monde est A peu près d ’accord sur les nombreuses Iniquités des Impôts actuels ot sur ln nécosslté de changer notre régime fiscal. Uno majorité considérable s'est prononcéo pour le prluclpo do l'impôt Bur lo revenu. Los grandos lignes du projet me paraissent conformes a la Justice, je ne saurais donc m'opposor A ce quo la réforme tusse uu pus on avant et que lo Sénat cn soit saisi. Ou peut ospérer qu'il nous renverra un projet daus lequel les vexations, tracnsBorlos ot Inquisi tions flicules seront moins A craindre, oïl lo principe do l ’égalité devunt l'im pôt sera plolnomont respocté on même temps que le nombre dos contribuables frappés par l'im pôt complémen taire se trouvora sagement accru. VollA pourquoi, dans ce sorutln sur l'onsomble, Je voterai pour l'envol do la réforme devant le Sénat (A pplau dissements). ASSISES DU FINISTÈRE La prochaine seasion des assises du Flnlslère B’ouvrlra à Qalmper le lundi 2G avril prochain, sous la présidence de M. le conseiller Savidan, ayant comme assesseurs MM. Chauvin, Juge, et Ely, juge suppléant au tribunal de première Instance de Quimper. Ces raisons psychologiques expliquent en partie la décadence de la poterie. L’arrivée sur les marchés des ustensiles en fer-blanc porta le premier coup à l’in dustrie. Qcs ustensiles vendus à trèB bon marché remplaçaient avantageusement les lourds et dlagracleux ustensiles sortis des fours de Lanveur. L’Introduction des écrémeuses dans près que toutes les fermes, rendit inutile l’achat ae terrines où l’on versait le lait pour 1écrémer quelques Jours après la traction. Or ces terrines étaient un article très de mandé. Peu à peu, les marchés se fermèrent, les débouchés devinrent ïares; et l’industrie périclita, parce qu’elle ne pouvait nourrir tout le monde. Quelques familles de potiers émigrèrent en ville; d’autres continuèrent le métier dans des fnli-ucenea ou usioea de poterlea Installées à la moderne, de la région. Lé plus grand nombre cependant ne quittèrent pas le paya, mais demandèreat à l’agiiculture le pain que leur refusait la poterie. Elles poussèrent la charrue daus leur ter rain rocailleux et argileux, et là où végé taient des landes rabougries, se levèrent des épis de blé, non pas encore drus et serrés, car la terre est ingrate, mais four nissant cependant une moisson assez ab jn d&nte pour nourrir toute la maisonnée. Ceux qui sont restés fidèles à leur ancien métier ont été récompensés de leur fidé lité. Les prix des ustensiles en terre qui étaient ridiculement bas, se sont to it ' coup relevés. C’est un signe que, si des compétences dévouées vomalent relever cette industrie qui s’en va, elles pourraient encore la sau ver de la mort. G. L éon. L’U n io n R é g io n a iis t e B r e to n n e 17 mars. Les opérations commenceront à midi et demi. Uoe somme de 4 860 frauc«, accordée fur les fonds du gouvernemeut de la République, fera répartie en 38 primes, dont voici les lotaux : 726 fr., 676 fr., 676 ir., 676 fr., 620 fr., quatre primes de 170 fr., six primes de 60 fr., quatre primes de 66 fr, et deux primes de 60 fr. Ce sont les primes des pouliches de trois ans. Pour les poulicnes de deux ans, une somme de 2.260 francs, dont 2.100 francs accordés par le département et 160 fr. sur les fonds de la société, sera répartie en 34 primes, ainsi qu'il suit : uno prime de 230 fr., une prime de 18J fr., une prime do 160 fr., une prim e de 120 fr., une prime de 110 fr., une prim e de 90 fr., une primo ae 80 fr., huit primes de 60 fr., deux primes de 60 fr., cinq primes de 40 fr., rlx primes de 36 fr., cinq primes de 30 fr. Une médaille en vermeil, offerte par la Société des agriculteurs do France, tera décernée à la poulinière de deux ans classée la première. Une médaille en argent, offerte par M. le comte de Mun, député du Finis tère, sera décernée à la pouliche classée la fé condé. Uno médaille de oror ze, offerte par la Société des agriculteurs de Frauce, sera décer née à la pouliche classée la troisième. Les éleveurs sont provenus que la présentation commencera par la lettre G. Les Jurys chargés de décerner les prime/» dans les concours de pouliches sont ainsi composés : MM. Olllvler, Inspecteur général des haras du 3* arrondissement ou son délégué président ; le colonel commandant la circonscription do remonte de Gaen ou son délégué. A ces membres, devant opérer daus les deux sections, seront adjoints pour les pouliches do 3 aus : MM. A. do Guébrlant, président do la société hippique de SalntPol-de-Léon ; Le Morvan, mêdecln*vêtêrlnalre à Salnt-Pol-do-Léon ; membres suppléants, J.-M. Rosec, propriétaire A Mespaul, ot Buors, médecinvétérinaire à Salnt-Pol-de-L6on. — Pour les pou liches de 2 ans : MM. Jean-Mario Rozec, pro priétaire A Mespaul ; Buors, vétérinaire à BalntPol-de-Léon ; membres suppléants, Le Morvan, vétérinaire à 8alnt-Pol-de-Léon, et René Olllvler, propriétaire à Plouénan. CAUSERIE_ JURIDIQUE T r o p de z è le En général, l'on admet que la rue de Slam e it aussi claire ta «olr que lo jo u r. A quoi rime alors le procès-verbal dressé jeudi, A 7 heures, pour défaut d'éclolrage, A d e i pajssns s'on retournant d une foire en conduisant daux chars-A-bancs devant le n* 87 de celle vole f ' Il faisait clair, en pffet, puisque les agents pou vaient sans difficulté et lire les noms des plaques et les transcrire sur leurs calepins. Mais, ainsi que le disait un passant. • les pas sons sont des parlas, on les écorche de tou os manières, et ça vaudra de l ’avancement aux agents. > Q u ’on leur donne donc de l'avancement ; mais q u ils attendent po r appliquer dos cODtraver.. tïocB pour défaut d'éclairage, que l ’wn soit IA cù I on a besoin d'élro éclairé. C ’est ce qu’avalent compris les autres agents rencontres par ces paysans dans la rue de Paris et dans la partie supérieure de la rue de Slam. Et c est juste i l’endroit le mieux éclairé de celle rue que ics délinquants lurent arrêtés I Nous trouvons qae c’est tout simplement rHI. cule. el volontiers nous eussions dressé deux procès-verbaux aux verballsateura : un pour obstruction de la vole publique, un autre pour avoir uccaelonné un rassemblement Intempestif. H an rec R e m o n te . — L a commission de remonte do 1'aru.ée s’e»t réunie A la gare de Hanvec, sous la présidence du M. le chef d’escadron Seigneur. 80 chevaux environ ont été présentés et trois achetés dont un à M. PIriou, de Hanvec, pour le prix de 1.025 francs, un autre A M. Qullllou, do RosnoC.,, c l le troisième A M. <3oasguen, de Rosnoèn. Ces deux derulera pour la somme de 1.000 francs chacun. li’A b e r w ra c h M ort subite. — Un vieillard, Yves Cadour, demeurant à Saint-Antoioe, en Landéda, quittait le port de l’Aberwrach lundi soir, vers cinq heurts, pour se rendre chez lui, qaan-l, arrivé près du douet Salnt-Antolne, il s’affaissa subitement-, pris proba blement de congestion. Des enfants, qui Jouaient près de la, appâtèrent les voisins qui. accourus, constatèrent que Cadour avait cesse de vivre. Ds relevèrent le corps et le transportèrent chez lut. L a m b é z e llc c V ic tim e d n f r o id — Samedi dernier, datis la mati'iée, Mme veuve Mallé|ac, âgée de 01 ans, habitant au village de TraoLq^izac en Lambézellec, a été trouvée mjrte dans sa chambre, des suites d’une conges tion : il est vrai que cette personne avait de fâcheuses habitudes d'intempérance ; mais malgré cette circonstance, c’est sur tout au froid qu’il faut attribaer ce décèt. L a n d e rn e a u Un singulier voyageur. — La semaine derrière, dans la journée de mercredi, arri vait à Landerneau, un monsieur élégam ment vêtu, se disant voyageur et ii,s de la maison Violet Lères, fabricant des byrrtis. Dans les cafés, où il passa, il régala to rs les clients et le soir très pomp^rte. n Re présentait à l’tôtel de la Croix dO-. V son état d’ivresse, on refusa de l’accepr.Ki Notre homme entra dans ure violent colère, puis se mit à frapper les hôtelic. M. Richard, courtier-maritime, en voulant, les défendre, reçut une bouteille à la t ê e On le maîtrisa et on le iraîna A la mai: i où le commissaire rte police l’interrogea L’individu prétendit d’aborJ s’app'-l r Dcsprez: puis, pressé de questions, i, dit que son vrai nom était André et il présenta au magistrat un livret militaire à ce non.. M. Pascault poussa plus loin ses investi g tlons, et c’est alors que le-singulier v,.ya geur déclara se nommer Symfred et êtrné à Glasgow en 1879. Fouillé, il fat. trouvé porteur de lettres ft de papiers émanant de différentes maisons de commerce de Rouen, d’une somme de. 80 francs et d’on trousseau de 43 clefs de petite dimension, pouvant servir à 1ouver ture de malles, coffrets, réticules, etc. Q iestionné sur l’emploi de toutes ces cltl'i, Symfred dit qu’il les avait conser vées depuis le temps où il fut mécanicien à Jersey. Convaincu de coups et blessures, cet individu a été écroué au violon municipal et vendredi soir, il a été conduit, sous bonne escorte, au parquet de Brest. L'affaire de M . l'abbé Jou a nn e. — M. l'abbé Jouanne devait comparal-re le vendredi 12 mars devant le tribunal correc tionnel de Brest. Son affaire est renvoyée S une date ulté rieure, le Parquet de Brest ay-nt omis de faire parvenir à temps les citations de témoins. L a n n illu C h a s s e a u x r e n a r d s . — Les nemrods Lannillsiens font une véritable hécatomb; de renards. Ceux-ci étaient très nombreux dans la région car depuis deux ans, on ne les avait pas chassés. A la fermeture de la chasse du gibier ordinaire, plusieurs chasseurs ont pris des permis pour la chasse au renard. Entre Lannllis et Landéda, du côté de l’AberBenoit, ils ont déjà tué nne quinzaine de renards. Les poules et les coqs ne s’en plaindront pas. Des règles particulière s au x ba u x à. ferme (suite). — Vous êtes feimier et la L'Union Régionaiiste Bretonne a tenu, récolté pourrait être passable ou bonne. LA RECOMPENSE DU COURAGE cette année, ses assises d’niver à Pont- Tout à coup le ciel se charge ; teu.pête, cbà'eau, dans la Loire-Ioférieure, du 5 au foudre, grêie, voilà votre récolte Irrémé Lo ministre de la mnrlno n accordé los récom8 mars. diablement perdue en tout ou en partie. peusos suivantes, pour faits de sauvetage aux Les deux principales questions examinées Qui doit supporter la perte occasionnée par jioi sonne» désignée:* cl-après : dans les séances de travaux furent l’i mi ce cas fortuit, dans le cas où votre bail ne Los matelots Inscrits A Q ulmpor Louis Auffret, gration bretonne et la création d'une fête contient à ce sujet aucune stipulation ? médaltlo do bronze ; François Tunnlou, Guillaum e nationale pour la Bretagne. (Il demeure bien entendu que nous ne par Tnuneuu, Jonn Souron, Pierre Le Tantor, Louis M. le docteur Le Fur parla de I'émi lons de foudre, de grêle, de tempête sévis Kouron, Eugèno AufTrot, Jonn Jégou, Joun Lo graiion. Il était qualifié pour traiter ce sant sur une bonne récolte que pour l l r i ’/.on, Gullluum o Le Popo, Nofil Andro, Pierre sujet, car à Paris, Il se consacre avec un Anuro, Joseph Jégou, grutlflcutlon de 15 tr. : se prendre un exemple fréquent. La situation sont portés, A bord du cunot do sauvetngo MitInlassable dévoûment au soulagement des serait exactement la même si la récolte vinn-Pot/denot, uu secours do l'équipage de lu Bretons avait eu à souffrir d’un autre cas fortuit.) pmto La Joie, chavlréo A l'ontréo du port do L’émigration bretonne est, a dit le D r Le Telle est la question que nous avons a H'dut-Guénolo (Ponmnrc'h), lo 33 décembre t'JOB. Fur, uu mal nécessaire qu'il faut savoir étudier aujourd’hui. Une m ention honorable n élé odresféo A M. «limiter et organiser». Les causes qui le La réponse à la question que r.ous Illulse, inu'cbuntl do draps A Qulmperlé, qui, lo provoquent sont d'abord les conditions venons de poser est assez complexe et 33 septembre 1008, a coopéré A l ’urrostatlon d'un économiques, trèi mauvaises de la vie exige de nombreuses oistlnctions. Il y a fou furieux. en Bretagne et la « dénationalisation » du d’abord une règle générale que l’on p;ut Breton ; cnten JonH par là son détachement indiquer: si la perte occasionnée à la ré;olte po ir tout ce qui touche au pays. par la grêle, la foudre, etc., est moindre Quels remèdes employer contre ce mal? que la moitié de cette récolte, ce sera le 1) abord 11 faut « améliorer les conditions fermier seul qui supportera cttte perte. Il de la vie économique » en Bretagne même ; ne lui sera pas possible de la faire supoor. L a p o te r le île l’io u v le n si les Bretons trouvent eùez eux le mieux ter par le propriétaire. Pour que ceiui-cl et de L a n n llis être ils ne tenteront pas — ou moins en puisse être obligé de subir une diminution tous cas — de le chercher ailleurs. du prix du bsil parce que la récolte a été La ligne de chemin de 1er de Brest à Ce qu’il faut encore, c’est, en lui faisant endommagée par un cas fortuit, il faut que l’Aberwrach traverse, aux bmltes des com connaître l'histoire da sou pays, y ratta le dommage subi par la dite récolte sa tra munes de Plouvien et de Lannllis, un pla cher le Br"tcn ; à C6tte œuvre, il faut em duise au moins par la perte de la moitié. teau dont la relative arWite contraste avec ployer toutes les manifestations de la vie Ceci etaat bien posé et admis une fois la fertilité des grasses terres qui le bordent. locale, les maintenir, les faire revivre : pour toutes, supposons que la moitié de la Ce plateau est constitué par un terrain pardons, lôtes, théa're, etc.; cn un mot, récolte, leu trois quarts ou mêm<‘ la totalité argileux qui convient mal à la culture, les intéresser à la vie locale. ait été détruite par la grêle. Dans queln mais qui, à cause de sa nature même, vit Ce sont là les remèdes préventifs ; mais cas sera-ce le fermier qui en souffrira, dac" naître une industrie locale : la poterie. autre chose est le mal de l’émlgration, uue quels cas sera ce le propriétaire ? Jadis, une cinquantaine de familles, ha fois faite ; ators il faut avoir recours aux Il faut faire encore une distinction. Ou bitant Plouvien et surtout Lanrilis, vivaient remèdes curatifs. bien le bail n’est que d'une année, ou bien de cette industrie. Aujourd’hui, on en Améliorer les conditions d'existence des il est d’une durée plus longue. Peu importe compte à peine une douzaine et, sous peu, émigrés est un de ces remèdes; les aider d’ailleurs que ce soit un bail verbal ou ud le dernier potier aura vécu. à trouver un emploi à Paris ; la « Mutualité bail écrit. On parle aujourd hui beaucoup de rolever Bretonne » a fondé à Paris, 57, rue de Examinons d'abord le premier cas. La les Industries locales ; mais pour les re Vauglrard, un bureau de placement qui a solution cette fols est très simple. Elle est lever il faut connaître les causeB de leur déià donné d’üeureux résultats. donnée par l’article 1770 du code civil dont décadence progressive ; nous en retrou E jsuite les grouper, les l'aire se connaître, voici le texte : « Si le bail n'est que d’une verons quelques-unes, dans la courte mo s’entraider, et en môme temps leur refaire année, et que la perte soit de la totalité dts nographie da l’industrie de ia poterie, que un milieu breton, de sorte que ces déracl- fruits, ou au moins de la moitié, le preneur nous allons esquisser. tés scient au moins des « transplantés ». sera déchargé d'une partie proportionnel e Il y a vingt an», leo hameaux qui s’ac Eulia, M le docteur Le Fur a proposé la du prix de la location. Il ne pourra préten crochent aux lianes du plateau ae Lar veur, création d'un comité d’émigration compose dre Aaucune remise si la perte est moindre donnaient l'impression de petites cités ou de notabilités bretonnes et de toutes les de moitié. » D j e c dann le cas dont nflius vrières bourdonnantes d’activité. personnes intéressées à cette question, de nous occupons actuellement c’est le pro Les hommes creusaient sans relâche le façon à pouvoir aboutir rapidement à des priétaire et non pas le fermier qui do't *np terrain avoislnant, pour en extraire l'argile solutions pratiques et réalisables. porter la perte. que l’on accumulait en mottes aux rehor ls Dans uu article paru dans un journal réTraduisons ceci en un exemple. Vous aes trousLes excavations aiosi faites n'é ional 1 1 reproduit par le journal Le Breton avez loué pour une année un ciamp au taient Jamais comblées, et le voyageur non e Parix, dont M. le docteur Le Fur est le prix de cent francs. Un orage détruit les prévenu, en s’égarant de ce cOté, pouvait [ directeur, nous avions nous même de trois quarts de votre récolte. Le proprié les prendre pour des fosses, telles que l’on mandé eu août dernier la formation d’un taire devra subir une diminution du prix en creuse près d'un champ de bataille, pocr tel groupe. de son fermage proportionnel au désastre, y Jeter, j'êle-mêle, les cadavres des com Sur la questiou d’une fête nationale bre c'est-à-dire une diminution des troisquarts. battants. tonne, voici le vœu émis : Vous n’aurez donc que vinjjt-cinq Lares Ces mottes apportées A la maison étaient Lo congrès après avoir entendu diverses obser au lieu de cent francs à lui verser comme étendues sur des aires où, à c o u d s de fléau, vations sur l’établissement d'une féto nationale prix de votre bail d'un an. on les ré luisait en poussière. Cette pous bretonne décide quo cette très Intéressante ques Si la durée du bail est supérieure à une sière, mélangée à 1eau, devenait la terre tion est désormais recommandée A l'étudo toute année la solution donnée par le code civil maniable qui, b o u s des doigts agiles, allait spéciale de ses membres, et qu'il y a lieu do déà la question qui ncrus oeoupe n’est plus tormlncr au plus tôt quel est le pertonnage le se muer e,i pots de toutes les formes. aussi simple. Nous l'étudierons daus les C’est aux femmes de travailler main plus connu, te plus veniró et te plue populaire prochaines causeries. J. D. de notre hlstolio nm lonalu dont 1 1 conviendrait tenant. d'adoptor l'nnntversnlre ou la féto comme Pile A sbIhcs dans nne grange, ou au fond de nationale bretonne. la maison, elles étales l’argile humide sur un tour en bois, auquel elles imprimant un mouvement rapide de rotation. Peu à pnu, la forme se dessine ; d'un coup de pouc<\ les ouvrières corrigent lea BREST C h u te . — Samedi dornler, dans la matinée, CMD bss, ledressert les parois qui retom Le concours agricole de Paris N a u fra g e d'un v a p e u r espagnol M. Louis GoUrlou, de Kerdrel, revenait A cheval bent. dos haras. Près de Dourlc, une automobile effraya Lundi matin, le patron Henri Crozon, du Le concours agricole de Paris a ouvert Suivant la commande, ou les besoins du le cheval, qui en se cabrant, jeta son cavalier A ses portes mercredi matin, à 8 heures. La bateau 1.050, de Douarnentz. aperct-.vait un marché, l'argile devient une lèche-frite, terre. Galerie des Machines avait été, pour la vapeur en panne, près du cap d« la Chèvre. une cruche, une écuellc.une tulle, un grand Celul-cl so releva avec quelques simples égradernière fois, aménagée à cet effet Lea Le navire, qui semblait abandonné d e vase évasé, permettant facilement lécretlgnures A la figure. exposants sont venus très nombreux cette son équipage, chass» par le vent.se jeta mage du lait. sur la rccliè Le Houe. année: plus de deux mille têtes de bétail Le Oonqnet Avec un racloir, on amincit les parois du ont été amenées dans la journée de mardi à On ectendit les chaudièroa exploser, puis L e s e r v ic e d e s fle a . — Après la visite va*e obtenu, qui est ensuite exposé à 1air, la Galerie des Machines. le vapeur coula. Une baleinière vide fut d’une commission, le vieux vappurZa Louise pour en chasser l’humidité. recueillie. a été échoué à Brest au 3" bassin du p.n Puis c’est, la cui-ison dans des fours ins L’équipage dont on était sans nouvelle de commerce. R écolte dn cidre en B retagne tallés de telle sorte qu’un puissant cou'ant depuis le naufrage a débarqué à Bordeaux, d’air y dirige les flammes du foyer. II est remplacé momentanément et pci' Une statistique ministérielle donne les mercredi. Uu steacer anglais l’avait t e être définitivement p*r un solide bateau r r Aprèï la cuisson, le plombage pour que rei seignements suivants sur la récolte du cueillien mer. bois Le Travailleur. les »ebords du vase soient lisses et brillants. cidre en B retagne, en 1908 : Ls vapeur naufragé était le vapeur espa Les us!ensile s sont entassés dans une Le Finistère a produit,en 11108,281.340 hec gnol Mouro, construit en 1889 et apparte I.,e s n c v e n charrette et en route pour les foires et tolitres, soit 158.000 de plus qu’en 1987 et nant à une compagnie de Bilbao. Il avait A c c id e n t m o r t e l . — La femme Gestin. marchés. 63.000 hectolitres de plus que la moyenne 84 mètres de long. 36 ans, de Plouguerueau, traversait la place Jadis on s’en allait très loin vendre les des dix derolèresaonees. Le prix moyen ch de Lesueven avec un attelage, quand tour produits de l’industrie. la vente, en gros chez les propriétaires ré T r ip le a s p h y x i e à b o r d d ’u n t o r p i l l e u r à coup le cheval, effrayé par un promeneur Les hommes, car c’étnlt à eux de cher coltants ayant été de Ki francs l'hectolitre, qui ouvrait brusquement un parapluie, tiLe torpilleur 209, annexe du contre-tor cher de créer dns débouchés, conduisaient la valeur totale de la récolte a ôté d’environ pilleur Tourbillon, se trouve actuellement un brusque écart.. Projeté à terre, la femme leurs charrettes Jusqu’à Châteaulln, Douar4.‘'162.000 francs. en cale sèche aans le fond de l’arsenal pour Gestin tjm b î si malheureusement qu'ei s nenez, Carhaix, offrant leurs marchandises Le Morbihan a produit 678 000 hectolitres, se fractura le ciâae et mourut sur le le long de la route. les GOtes-du-Nord, 1.500 750 hectolitres, et réparations. Une partie de l'équipage a été champ. débarquée, mais 11 reste néanmoins A bord, ils arrivaient, au retour de leurs expédi 1Ille-et-VIlalne, 2.796.000 hectolitres, soit un certain nombre d’üommes qui assurent P la b e n n e c tions, le gousset bien garni ; aussi le jour beaucoup plus que la moyenne des dix der le service de surveillance du torpilleur. de leur arrivée était-ce fête à la maison. nières années. Le prix moyen était de In s ta lla tio n d ’nn m édecin.—M.le doc Mardi soir, trois de ces derniers, se cou Une fols la charrette remisée et le bidet 15 f aucs pour le Morbihan, de 14 francs teur Tostlvint vient de s'installer à P,aà l’écurie, tout travail était interrompu et pour les CÔtes-du-Nord et de 12 francs pour chaient dans le poste de l’équipage après bennec et se tient désormais à la disposi toute la iamllle se mettait à table pour rille-et-Vilaine, la valeur de la récolte a avoir fermé toutes les issues ; un poele à tion des malades. manger et boire à la prospérité de la po été estimée respectivement pour ces dépar charbon de terre chauffait la pièce. M<eroffrons nos souhaits de bienvenue credi matin, à 8 heures, au moment où les auNous terie. tements à ¡0.171.350 francs 21.010.000 francs jeune médecin. jermissionnaires de la nuit rentraient à La population des potiers était une popu et 35 154 010 francs. L a Foire. — Depuis quelques mois Pla)ord et pénétraient dans le poste, ils aper lation dont le carac tère tranchait nettement Si l’on ajoute la Loire-Inférleure à ces benuec désirait donner plus d'importance sur celui de la population des cultivateurs, quatre départements, on trouve comme çurent les trois marins étendus sur leur lit, à sa foire mensuelle. Les premiers essais, Inanimés, ne donnant aucun signe de vie. leurs voisins. estimation totale de la récolte du cidre en contrariés par le mauvais temps, pouvaient L’alarme fut aussitôt donnée ; le médecin Très Insouciante du lendemain, elle Bretagne plus de 77 millions de francs. du croiseur-cuirassé Gueydon, navire le lalre craindre un Insuccès. Il n’en est rien. vivait au Jour le jour ; lorsque les gains plus proche, fut prévenu et se rendit im Mardi dernier, par ui_e vrai» journée piiiiétalent fort« on faisait bombance ; lorsque tannière, les oultlvatenrs Ci 5 11 vitor.s ont médiatement à bord avec un infirmier ; on l'industrie était dans 1 - marasme, on se c o n c o u r s ~ d ë 1 p o u l i c i i e s donna les premiers soins aux trois marins amené à Plabennec un nombreux bétail qui contentait de tremper son pain noir dans s’est bien vendu. Le branle esi donné, et qui étalent presque complètement asphyxiés Lcsnevcn le lait caillé que les enfants étalent allés une foire si bien située ne peut désormais puis on les conduisit à rtôpital maritime. recueillir dans les fermes voisines. A Lesneven, los jurys sont ainsi formés : pou Grands dlscoutcurs sur tout, les potiers liches do 2 ans, MM. Yves Sévère, éloveur A Dans la soirée leur état s'améliorait et l'on que progresser de mois en mois. espère qu'ils Bont maintenant hors de Salnt-Po-do-Léon ; Jean-Mnrle G nlllou, éleveur prenaient volontiers cette manie de parler, P lonrin- P Ioad & Iniézeaa A Ployber-Chrlst. Membres suppléants : MM. danger. comme un trait de supériorité sur le paysan Roné Olllvler, éloveur A Plouénun et Caér, éle Les trois marins sont originaires : le R o u g e o le . — L’épidémie de ro'igpolp, plus silencieux. à Plouénan. — Pour los pouliches do 3 ans, quartier-maître Kerdidé, de CaraEtec ; les après avoir régné longtemps à Plounni Population Intéressante néanmoins, par veur MM. Breton, ancien président do la Société h ip matelots Le Rouzo, de Carhaix et Séitd de tend à disparaître. ce Jo ne sais quoi de naïvement prlme- pique do Brest ; Ilenrl Sélté, eloveui- A Santoc, Plougoulm. sautier qui eut te for.d du caractère des on IloscolT. Membres suppléant« : M.M. Rosec, P o rs p o d e r « grand a enfants » comme les pêcheurs par éleveur A Mospaul ot Morvan, vétérinaire A SaintN o t a r i a t . — M. Queutel, dis, de L arn lil», Pol-do-Léon. Victime dn froid exemple. vleui déi r e nommé notaire A Porepoder, e» remAujourd’hui la potorle se meurt, vaincue ptaci uiont do son oncle décédé. Samedi matin, mourait d’une congestion M orlalx Nous offrons A M. Quentel nos sincères félici par une coalition de causes et de circons occasionnée par le froid, dans sa chambre, Lo concours do pouliches aura lieu le lundi lfi tations. tances. an numéro 2, nie de la Voûte, Ernest Lnmars 1009, sur lo champ de folrd du Poullct. Et d’abord les potiers ont toujours été céron, âgé de 80 aus, magasinier du service Los animaux devront être réunis sur lo champ Incendie. — Un incendie s’est déclaré des routiniers en diable, lis fabriquaient, de foire A onze heures. Les opérations du con pénitentiaire en retraite. dlicaiii-lie, vers midi, chez M . François cours commenceront A m idi 30. comme avaient fabriqué leurs pèreB. Cir-ach. L« fou a détruit le lit et la literie. 850 francs olïorts psr l ’Etat et 800 francs par lo Leurs procédés de fabrication ont toujours Pas d’accident de personnes. Coup de couteau été rudimentaires et toute tentative de les département seront distribués en primes aux pouLouis Guillou, 21 ane, mitelot dispensé llchos de trois ans dos cnntons do Morlalx, Slzun, SafD l-Picrre-Q talIblgnon mettre à la hauteur du progrès, a toujours Salnt-Thégonnec, Lanmour, Ploulgnoau, Taulé et nu 2* dépô\ se trouvait dimanche soir dans ôté très mal accueillie. Obsèques. — Mercredi soir ont en lieu Landlvlslau. un débit de la rue du Quartlei-Maiire BonQuelquefois, cependant, quelques-uns de Saint-Pierre, les obsèques de Primes d ’encouragement. — Uno primo de don, à flecouvrsnce, en compagnie de plu àM.i eglis plus avlaéa ou plus Intelligents, essayaient 160 frimes, deux prlmeB de 100 !r„ une primo de Ferrand, qui faisait partie de la oresse sieurs civils, lorsqu’une que; elle éclata. Il brestoise, et de sou grand-père, M. Jégou, une nouvelle manière de plomber, par eo lr„ une primo de '<5 fr. et deux prlmos de 40 tr. paraîtrait du reste que ce fut le matelot qui p/ésident d'honnei r de la Société d'horti exemple, ou bien e.bandonnalent le plomb Totol : 026 francs. commença les hostilités ; le résultat lui cn Prime* do reproduction. — Uno primo de pour tin autre produit, lis étaient aussitôt 150 francs, deux prlmos de 100 fr., une prim e de fat défavorable, car 11 reçut A la lèvre Infé culture de Brest, qui était mort en appre mal vus ot plus ou moins mis en quaran nant le décès de sou petit-fils. 00 fr., une prime de 46 fr. et deux primes do 40 (r. rieure un coup de couteau, qui pénétra taine. Une affluence nombreuse s’étalt rendre Total : 626 Irnucs. assez profondément. Après avoir reçu les au cimetière. La jaloualo du voisin empêcha, d’ailleurs Prime* do conservation. — Deux primes de premiers soins dans une pharmacie voisine, toujours toute mlso en commun des efforts 300 francs. Total : 600 francs. A s s u r a n c e m u t u e lle . — Les membres d« ta Guillou fut conduit car des camarades A nécessaires aujourd’hui pour lutter avec d ’assurance mutuelle contre la mortalité Snlnt-PoI-de-Léon l’côpital maritime, où il est eutie en trai caisse do l’espèce cbevallue la Quilbignonnaise re s-'iit avantage contre la concurrence, sur le La distribution des primes aux pouliches de tement. Jutqu'A présent, le matelot a refusé réunis dimanche, A l h . 30 de l'après-mldl. sou* marché économique. de porter plainte contre ses agresseurs. trois ans et do deux aus aura lieu le merorodi lu présidence de M. Gélêbart, maire, f ‘ ‘ Une industrie qui s'en va § A G R IC U L T U R E Arronfcsemenl de Brest tÀ y iMrelloo, trénorlor, a communiqué ft l'nsiem. b.j„ I , »llu«tlOll (liiuuclôr* HUlVUDt« RU 91 dé, rnmbio iw> : produit de» collision» de usmbrei purllolpanti, 1.001 tr. ; droit» d'entrée • I tr. 30 ; uiueude», 0 (r. ; produit de» oetliatlon» dei mamkrea honoraire», 05 sourcil» blonds, lmbsrbe, yeux bien», vêtu d’un paletot noir, d’un tricot en laine de mfime couleur, d’un pantalon de coton gris A raies blanches, coiffé d’un béret bleu et chauaaé de chauaaettes en laine grise et »abota. Spézct rt'ltl tu Wl IO«U uo IMUIIUO (IIIPVUMM.V (»007), 1 s'il (r. 43. Total général do» reoette», 4 018 lr. 81. pjpenie» : iln litr M payé* (neuf),, > *°9 tf; ! <>*npuse» diverse*, 1W lr. S0 ; total généial de» ddpnuie», 3.764 fr. ,10. Reste en o a liie t u 11 dé cembre tttot), 1.184 tr. s i. Il a été perçu pour le» cotisations de* membre» participant», pour le trimestre de mar«, 410 (r. 85. Il à été p a jé pour cinq »Inlatrea, 1.601 tr. B0. Adjudication de rumler. — L’a'ljudl- ention du fumier du dépôt commun»! du Panier-Fleuri aura Hou le 14 mat», A 1 heure et demie de l'après-mldl, par devant M. le maire, assisté de deux conseillera muni clpaux et du recovour municipal. Mort accidentelle. — Mardi matin, la jeuuo Marie Bodills, A*ée de 15 ana, appor tait commo d'habitude do la soupe au lit, a M.Jean lioaaard, Agé de (¡8 «n i, cantonnier eu retraite, domicilié rue de Breat, 73 ; elle le trouva mort d’une attaqae d'apoplexie, aurveaue le 8 mara, vers minuit. S équ e stration . — Mlle Catherine Le Talec, dont nous avoi s raconté le» tristes ikventures «lacs notre dernier numéro, est ! % fille d Yves Le Talco, carrier, ,et de Jeanne Le Moal. Sel parents habitent le village de Carnaven./. . • • Catherine, Agée de 17 ans, a deux aceurs, Agées respectivement de 21 ana et 10 ans. Elle était domeatlque A Trélaié depuis le mol» do mal 1907. La semaine dernière, elle avait écrit A se» parents, pour leur dire qu’elle n’était plus dans la mfime place, mal» sauB oser leur dire la vérité sur les souffrances endurées par elle. Salnt-Ilcnan Un mari brutal. — Victor Quêméneur, Age de 34 ana, poitefalx, eat an Ivrogne et un brutal. Mané à une femme dont la vie eut un martyre et père do deux enfanta qu’il frappe A tout propoa. Lundi nprô* avoir fê:è le aalnt du jour, Il renveraa sa femme, la tralua par lea cheveux et voulut mettre im tôte dana le foyer oa le fou était allumé. Uetto Idée d’une brutn, allait être réalisée, il dns voUlns attlréa par le bruit n ’étaient accourus aux cria des enfants pour sauver la malheureuse du aupplioe.______________ ArrondissemenHe (Meaulin C U A T K A IIL M Horonée L» nommfle Marie-Louise Bodénan, femme Koruiaré, 43 an», de Gullly-Glaz, en Port-Lauuay, a été écrouée A la maison d’an fit de CtiAtcaulln, aoua l’inculpation d iLfai.ticldo. _ _ _ _ _ _ Arrondissement^ de fflorlaïx M O U LA I* L a question des eaux M. Ch. Lefebvre, maire, a vu M Voil aut, directeur de 1a compagnie des eeux ; ctlitol s’ôtait déJA préoccupée A Juste titre de la situation déplorable dans laquelle se trou> valt la ville des la moindre séchensse, et »’était entendue avec un entrepreneur, M. Boüdrou, qui est adjudicataire du réser voir de 5 U0Ô mètrcB cubes depuis si long temps promis A la ville. Les travaux seront incessamment comm D’autre part, le conseil d’administration de la oompagi i« d> s oaux, s’est réuni mer credi a Paria, tt a tiocldé la capiation de nouvelles sources, A Kerouô et A Kerarm.mach (commune do Plourln et de Pleyhei) ; elle étudie en mfime temps le moyen d’nti Iscr les eaux des rivières assainies. Enllu, une seconde machine ôiévatoire sera Installée en prévision du remplace ment de l’ancienne. A rre statio n Bar mandat d’arrfit de M. Le Meur, juge il’Instruotloa A ChAteaulIn, le nommé Matlutrln Guégan, âgé de 19 ans, originaire d Inzlmac, près Lodent, a été arrêté, condult à ChAteaulIn et écroué A la maison il arrût, aoua l’inculpation de vol commis A Hu.ilgoat au piôjudlce de M. Gutllou, de Quimperlé. ______ l’ o n o o u r » d e p o u llo h e a I « concours de pouliches do Ghfttenulln nurn II. Il le n mura, A 1 h. 30, Il y aura un* primo dn ;. que l’unuée dernière. Lea lnsorl|>llous ne M u.,1 reçues que dana loa délala indiqués sur i,.. ..III ;he». T " l b u n a l co rre c tio n n e l .Wauval» pére. — Jule» Rngnler, 44 «n», culliv . tir h Kermorvan, en R jsouuyo I, a oté pour« i ’ pour «voir put té des ooupa it aa lemme ot A untuuti, Pierre et Théro»e, Agés de 18 ot lii hu» et commi« un attentat a la pudeur. 1.« tribunal u coudumné Ilaguler A a mol» do ______________ p ilfii. Carhalx Avi». — A l'occasion do la foire qui se tir . >1 a A Carhalx le 13 mars courant, la soc!H^ trénéralo dea Chemina de fer écono miques a l’honuour d’iuformer lo public qu elle mettra en marche lea train» spéciaux d-.ipréa : <• Knlre Carhalx el MotUtx M ortali, départ 7 h. 47 m utin ; Plougonvenpiourlu, 8 h. 10 ; Le Clottre-Linnéanou, t h. 80 ; Hcrlgnao-Berrlen, 8 h. 01 : K e m llo u , a h. *8 ; lluelgoat-Locmirlu, 9 h. 8 ; Pottllaouao, 0 h. 3» ; Plounévéïel, o h. 87 ; C irhulx. «rii*««» h. »0. Carhalx, départ 0 b. 31 soir i Pluunévéïol, 0 h. 43 ; Poullaouon, « h. 63 ; HaolBoal-Locmnrla, 7 h « ; Kervallou, 7 h. 13 ; Borlgnuo-Berrlen, 7 h. 33 ; Le Clollro-Lunnéiinou, 7 b. 4» ; Plougonvca-Plourin, 7 li. t>8 ; M o rlalï, arrivée 8 h. 1». S* Knlre Carhalx et A o ilranen Carlini*, départ 4 h. 60 aolr ; Trébrlvan-loHouatolr, 6 b. r, ; UiiOl.Carbalx, 6 h. 18 ; lluatre non, arrivée 6 b. 14. Uoitrenen, départ # h. 36 aolr ; Mail-Cnrliu x, C b. 48 ; Trébilvan-te-Moustotr, # b. 68 ; Carhalx, arrivo« 7 h. ». Crozon 8anvetage d’une torpille . — Une tor pille automobile, portant le numéro 1.4(10 a été récuelllle, le 4 février dornler, dana la btle du Fret, par l’équipage de la ohaloupe llenri, qui l’a temlse au poste de réglage et a, do ce fait, perdu uuo Journée de pêche. A titre d’encouragemeut, et pour lea Indomniaer du manque à gagner, io préfet, maritime de Breat proposait au ministre d’accorder aux sauveteuisuno gratllicatlon IfioUale de 00 frauos, à répartir de la ma nière aolvaute : MM. Bernard, pitron et pioprlétalre de la ohaloupe, 20 francs ; Ber aard, Mignon, Guéguen ot Le Berre, mato lots, chacun 10 franus. Le ministre a approuvé cette proposition Fillette noyée. - Prés dn village de Lu Palue, on Crojou, la petite Guénolé, de treize ans a’étant avancée trop loin dais lit mer, s est vue entourée d’eau sur un rocher et n’a pu se ttauver. La paume unf.»nt a été trouvée noyée quelques heures p. »s tard. L nn dA v on ne c S urtax e — E it autorisée Jusqu’au 31 dé c*-..it>rc* 1913, lu prorogation d’une surtaxe ii- r> fiano» par hectolitre d’alcool purcont u dniiH les oaux-ae-vle et autres liquides aVnoHquns, actuellement perçuo \l'octroi île L«i.dl'.vounec ('.orte surtaxe est Indépendante du droit de l!i franc» établi à titre de taxeprlnclrillfce Son produit est exclusivement affecté au payement des frai» do reamstructloa du ■. r du c’metiôro. L nnvA oc D isp a ritio n . — Le 2 mars, û 8 heures du in^ilu, Uuné-Plerre-Marlo Keryvel, Agé de 15 jus, quittait lu village île Bot-8an où habitent »es parents. Dapula on ne l’a plus revu. Oa craint qu’il n ’ait ôté victime d un ar.ddeut. Bon Banalement eat le suivant : taille, 1 m. 40 à 47 centimètre», cheveux et I A) K.iutlleton dtt Q o n r r l e r d n F l n U t è r e Maro sun Den a Galon f i s a v i i c ’h o u v r e r 1 7 9 4 p s a n SB e o a m ia a r g la o ) - • Nan, nan, eme Katell, n’em eui, ket eiomm euz manti 111 aoudarded rale ttu n am eut ne vefe kemeret v* me*tr evlt enn den hag a deo’h eus an arme. » - « Bet’ am eut, • lavara* ar vara’hadourez, e n r vantell krochenn eur L Bpad edo Katell o sellot plz oo’h ar c’hror.'henu, an nor a »Igo r« hag eon den braz, iMut-Uan lve eut vantell groo henn, a zeuaz «°N'horpeui ket eun dunlkenn han eur brngou dragon m al c’ho&ï ? » Pa sleva* ar voues rok-se, Katell a lum inar., en em stoni a rea* evlt kaout an ear du vexa o komprenn petra a dalveze ar vant<îll - « la, aotron, eme ar varc’hadourez hag a gred« knout dlra*-hl eun den plnvldlk bra*, bes’ am eu* an oil dlîlad a c noantalt **Heb choum pelloc’h da entent eu* mate* tir maner hag a oa breman adrenv al Umpr, t t Ä Ä Ä * S ä tttS ffiä fc « f r f? B komponn bajc ä c’boulflflnài ho frv*« ■ - « Tregont lur, aotrou, eme ar vare ha< «*8*1ra pemsek Inr, ha fi’boa* et core. cmt an den bra* en eur sklapa an arc nant war an daol: pleglt an dra*»a ha buan 1 • tìun tammlk soue*et, ar vestfei * *ella* ouz an d«»n a gomte evelB# hag evei e sa vi* min fall d’e*-han ne gireda* ket lavaret *nr grllt. Lakaat a rea* an aré haut enn he Le crim e de la plao e V la rm e s Burches n’est pas l'assassin (le Mllo Le Moult. En effet, il est maintenant, proavé que le iour du crlmo, le 21 mal 1907, il était i» prl Hi.son de Rouen. la Quand Burchts fut arrflté, Il était en absance ll.égale des bataillons d’Afrique où U est incorporé. C’ebt pour faire un petit tour au pays, qu’il avoua avoir assassiné Mllo Le Moult. Mais alois qui est l'assassin ? Le parquet s'efforce do lo trouver, bien que l'affilre devienne de plus en plus mystérieuse. G uorlcsquia Trouvé mort sur la route. — Mardi matin, au lever du Jour, ou a trouvé dana le ruisseau qui longe la propriété de Kervranton, eu Guorlesqulu, le cadavre d'un nommé Yvea Sooruet, Agé do 37 ans, culti vateur A Plufur, dans les COtes-du-Nord. Cet homuiï, d'ordinaire très rangé reve nait du marché do Guerleequln, où, d’après les dlreBdo do certniusamlj, il aurait, con trairement A son hai itude, pria de nom breux petit» verres qui ont dallleui s occa sionne sa mort. Le malheureux laisse une veuve et trois enfant» dont l aioô n'a encore que neuf ans. M. le docteur Quéré, do Guerlesqulu, a été appelé pour constater le décès. Lainpaul-G ulinlllan Surtaxe. — Est autorisée Jusiiu’au 31 déoembre 1913, U prorogation d’une surtaxe de 5 fr. par hectolitre d alcool pur contenu daua les eaux-de-vle et autrea liquides al cooliques, actuellement per*ue A foctrol de Lampaul-Gulmiliau. t _ ,A Son produit eBt exclusivement affecté au payement des Irais de reconstruction du mur du cimetière. Vlouénan A p rès l a rem onte. — Nous recevons ds Plouénan la communication suivante avec prière d’insérer : Lettre ouverte A M. Atid’hul, rédaoteur à la Brclmme hippique. Ploufnan 1« 7 mars 1909. Moii&luur Ainl’liul, Un |>roupo déleveurs do Plouénan vient r-é poudre A vulre arllolo du samedi i mars. Doux des meilleurs élovours de notre commune, ditca-vous, sont allé» dans lu solrte du 3 mara, vou» p.irlor leurs doléances sur la foçon dont au raient été distribués Ibb billets de tour à la pré sentation de la romonte qui avait Heu le mémo Iour. Vous ave/, lujéré leurs réclamation», igno rant »1 ollos étulent fondée» ou non, ot vou» Ôtes tombé tout bonnomeut dans un piège. I)e quoi so plaignent ce» deux bons éleveurs qui n’ont nullement, soit dit en passant, 1e mo nopole du bon élovage ? Do n’avoir po» eu de bons numéros T Pourquoi ne les ont-ils pus réclamé» assez tôt ? L’on d’oux on a pourtant ou 7, et des mollleurs, A lui Beul et n’a oupeudnut pas montré la moindre cheval. L.oiir luùCDUtilUtoment viendrait-il de ce qu Ils n’ouï pu pré>enter lours bétea TTous les chevaux amenés ont («tu exumlnés par la commission et leur nombro n’ftalt pas tel qu'il litl nécossalie d'avoir un bulletin pour paaBor. — 'Leur but en allant voua trouver était tout nuire : lia oni soulu tout simplement essayer do joiur un iiiiu do discrédit bur uno munlclpalltô qui n'.i tins lo bonheur de leur plaire et qui s en p»'»e d'«lllours. ..... Ne soralt-co pas lea mémos qui ont tait des dé.narch'S u u p ,è t do M. le sous-préfet pour bsüujit tl'( m pécher le oomlté do Gulngamp de faire une sûiitice d'achats loi? ils vou» font prédlro, à corialnes municipalités, qu'elloa sauteront. On verra bien. Eu tout cas, les gens sérieux do notro commune qui formont la graudo majorltô, savent que leurs Intérêts sont on boiinos mains et no se soucient pas do les coi I1UI fier «A uuution. d'autres ÇUI . . . . . . 1,11 A Uurdcr.-voua donc, M. A ud hul. de la politique ot doa pollilulcus, comme l ’on «o garde du feu. N’out pa» présenté Iour» chevaux A la romonte, quo ceux qui no l'ont paa voulu. Quant aux abus quo signalez, is'ils oxlstent, c'est -----A MM. --les UUU voua voua BIHUMIC&, ,,u w , „ i H i , vvw. miiircs Intéressés do »’entendre pour le» lalre dlsparaltro, comrno vou» lo dites treB bien. Prenez la tête du mouvomeut al vous le voulez i le» élovours vous un saurout gré. Blgné : Un groupe rf’dleueurs de P lo u é n tn . P louencat Le port. — Faut-Il dépenser 500.000 lr. pour ^agrandissement du port de RoscolT, ou bien dolt-on se contenter d’une dépense moindre? Telle est la question poaée. Il y COURRIER DU FINISTE R& a quinze jonrit, nous résumions ici mfime les arguments que. faisaient valoir les par tisans de telle ou telle combinaison. Le principal argument des ennemis de la dépense des 500.000 tr. était celui-ci : pour avoir une telle aomme, la commune devra s’i n tet'cr 011 b'or r-éer une tpx» de quai Cetto taxe écartera peu'.-ôire, du port de Roscoff, les navires, au profit du port de Plouescat, que l’on va construire prochaine ment. LA-dussus lea partisans de 500.C00 fr. répondaient que la concurrence du port de Plouéscat n’etalt pas A craindre et quel« ques-uns n’hésitaient mfime pas A dire que les travaux que l’on entreprend pour creuB e r u n porta Plouéscat étaient luutilen, car lo rondement commercial serait toujours au-dessous deii dépenses engagées. M. Trémlntin, conseiller général do Plouéscat, dans une lettre A l’Ouesi-Eciatr, dont les colonnes accueillirent tour A tour les ralBons de ceux qui, A Roscoff, veulent faire « grand », et de leurs adversaires, précise la valeur future du port de Plouescat. Voici cette lettr« : Monsieur lo Directeur, N ul ne sera surpris que j ’intervienne on ma quullté de conseiller génirnl dn Plouéscat dans lo coi H l d'opliilouM que soulèvo In question du port do U im oir tl Impartialement oxposiïe dans votro J°urB:l1’ ™. ,, . j Plouéscat el son port eont, on offst, l ob|et dos appréciations les plus diverses ot servent en quoi que sorto de point do ralro aux discussions. Je lus l un des Initiateurs de lu création d'un poi t dans l’aneo de Port-Guen et lotis nue cITorls, »eaondés par les voles du conseil municipal et appuyés par l'unanimité do mos compatriotes tendent A réaliser promptement l'nchôveœeut des travaux dont le devis s’ôlève A 120.000 francs. Mais opposer Plouéscat A RoscolT, en faire deux oitûs rivales, c’eut A mon sens mal poser la ques tion. HoscoH a Bur nous l’avance do 40 ou 50 sus de vie commerciale ot nous uo saurions oubllor ane cetto vtllo furt reputee Jouit dos bienfaits du chemin do for depuis près do 30 ans, lundis que notre premlèro ligne — A volo étroite — data do 6 ans A pclno. C'est uuo supériorité Incontoîtablo el contre laquelle nous ne nourrissons aucune antipathie. M iiI b quand l’on de vos correspondants vient prétendre quo lit création d'un port dans l'anse do Pors-Quen est do nulle Importance ot constitue môme une faute A la charge du service compétout, nous avons le devoir de relever pareille Inexacti tude en remettant los choses au point. C ’est A lu sullo d'études approfondies ot do plusleum visites des représentants de ln Marlr.o ot dos Travaux publics que lo piojot fut dellutilvcm m t ndoplé. L'cmulueomont est d’ailleurs appro prié puisqu'il sullll do relier par un assemblage de cimout et do miiçonuerle les rochers qui for ment déU au Nord-Oufst uno dlguo nnturello contre leJ grussos lames pour assurer aux mivlres toute sécurité. Kt J’aJouto que les cèles marquant la proîondcur des euux sont aussi élevées pour lo moins A Pors-Quen, mémo avant dragago, quo dun» lo port actuel do RoscolT. Notez que 1ontréo est Sud-Sud-Ouest tandis quo dans lo p o it (lo RoseofT ouvert nu Nord-Est l ’arrivée ou la sort e des nuvlros est souvent contrariée par la lu u lo ou les courants qui se formont entre la terre et l’extrémité de l'île de Butz, dans cet étroit pusm ge appelé le » chonol ». A u sortir do PorsQuen on se trouve nu contraire dans lo prolonge ment do la balo do Qoulven où les eaux sont encore relativement calmes. . . . . , RoscolT ot Plouéscat sont doués d'uno égale douceur cllmatérlque, mais tandis quo la culturo Intensive est daus le premlor pitys a son apogée, elle est on plein développement dans lo l ûtre et dans toute la zôflo côtlôro qui va Jusqu'A T itlU z VollA pourquoi nous attoiulons do l'exploitation de la ligne Plouescat-Rjspordon, notamment dana la partie comprise entra Landlvlsluu et notre garo tormlnu» (tracé qui répond aux vœux si eouvent exprimés pur les hnbllniitn do la r é gion), un nouvel essor pour notre agriculture ot notre commcrco. (PL'uvontr répondra, l’en suis sûr, aux sacrifices que nous nous Imposons actuellement, ot )e uo vola pea bien pourquoi on restrelndrolt do primo abord la destluutlon de notreport A servir unique ment il’abrl aux bnrquos de pécho. En un mot, comme tout puys qui veut vivre et prospérer, Plouesoat cherche A se développer normalement sans porter ombrage A personnes Son am bition est drlmller RoscolT dans sa crejssanto prospérité plutôt que le concurrencer. Dans une démocratie pour les vlllea comme pour les citoyens, il doit y »voir pour chacun > place nu gololl ». Plerro T h ém in t i ». Demandez le « Courrier du Finistère » dans toutes les Bibliothèques des Gares du Finistère. Arrondissement ie ta p e r 'ailleurs pas de voir naître une cinquième génération. Pont-l’A b b é M o rt subite. — A l’hôtel de la CroixVeite, tenu par M. Pierre 'l'anneau, on a trouve, mercredi matin, mort dans son lit et tout habillé, Yves Kerveillant, dit « le Sorcier >, cultivateur, 59 ans. La mort eat due A une congeBtlon. M zo n t S urveillez vos enfants. — Le jeudi 11 février, quelques enfants du bourg, parmi lesquels les Jeunes frères Sellen ont casaê cinq vitres, A l’école libre de filles, appartenant A M. de la Villemarqué. Pareils faite s'étant déj ï produite A diverses reprises, M. de la VUiematqué s’est décidé A porter plainte. Arrondissement de Quimperlâ E lection d o n conseiller g é n é r a l.— C’est demain dimanche qu’aura lieu dans le canton de ScaCr, l’élection d’un conaeliler général pour remplacer M. de Kerjégu A l'Assemblée départementale. M. Bézlers avait d’abord posé sa candi dature et était assuré d’être élu, puisque dans l’élection législative, le canton de Scaër lut avait donné une écrasante majo rité sur son concurrent. M. le commandant Henri Rodallec, ori ginaire du pays, ancien élève de l'école polytechnique, chevalier de la légion d hon neur, briguait aussi la succession de M. de Kerjégu. M. Bézien vient de retirer sa candida ture et l’annonce aux électeurs en ces termes : Comme mol, M. le commandant Rodallec. est Bureau-Anuexe et Dépôt Central du Courrier du Finistère R u e K e r d o n , 8 1 Q U IM P E R U n enseigne de vaisseau noyé a u Sénégal On vient d’apprendre que l'enseigne de vaisseau Le Queré, Agé de 24 ans, originaire de Qaimper, embarqué Bur l’aviso Goéland, actuellement en mission hydrographique sur les eûtes du Sénégal, s'est noyé en tombant d'une des embarcations du bord qui se rendait A la c6te. Plouffasnou L ’enfer au logis. — Mme Aprioux dont noua avons raconté la conduite envers sou mari, en Instance de divorce, et ses eniants, vient d’ôue arrêtée. Sulat-Eutropc Bébé m ort do ses brûlu re s. — Le mercredi des Cendrca, les épouxGoasdoué, domiciliés au village do Kerstrat, s’absen taient, laissant A la maison leurs deux petites lilles, dont la plus jeune n’a que trois ans. Le feu du foyer avait ôté solRneusemcnt recouvert de cendres. Malgré cette précaution, la petite se biûia atroce ment les Jambes et le corps. On accourut A ses cris ; mais malgré tous les soins, l’enfant vient d'expirer, apiès huit Jours de toiiffrances. Siilnt-Pol-(le-Léon Arrestation. — Le 9 mars au soir, A l’arrivée du train de dix heures, le commis saire de police de Saint-Pol-de-Léon, q u ’a c c o m p a g n a it l’agent Rolland, a procédé A l’arrtstutloa de la femme Duparc, née Marie Moyon, Asée de 28 ans, ancienne ouvrière de la manufacture des la ln c i (le Morlaix, inculpée d'un vol au préjuJice du propriétaire de l'HOtel du Lion d’O ra Motfaix et soupç Uinée d’un vol de plus eurs rouleaux de toile. Cette femme venait ri joindre A Saint-Pol-de-Léon, le sieur Midec, (pi comparut récemment avec elle devant le tribunal de Morlaix pour violeucefl sur sa femuic. Madcc avait cte con,'dumné A un an de. prison et son amie A un mois de la même peine, tous les deux avec le bénélice do la mi Uérenger. P ied écrasé. — M. François Itlou, culti ateur A Kcrsalnt, en C’.é 1er, conduisait mardi matin une. charretée de. clioux-lleurs au marché de Siint-Pol-de-Léon ; son charcernent menaçant de tomber, il s arrêta daus la Grande Rue et se mit en devoir de le consolider. Malheureusement, au m > menr où le cultivateur saisissait la corde, le cheval se mit en marche et une roue de la charrette lui écrasa le pied. T riflfiv é n c z Conférence agricole. — Le dimanche 14 mars, A une heure de l'après-midi, M. Soulière, profeSBeur départemental d agri culture A Oulmper, f«ra une conférence agricole A Tréilévénez aur le sujet suivant : Organisation d'une société d assurances mutuelle contre la mortalité du bétail. godei, paka a rea* an dlllad hag ho chln- vintin da c’houlou-delz ni a dec’ho, ne niga a reaz en eur grena d’an den braz a itet ’ta Herrl. — Betek hen n’hellomp ober ieaz or meaz heb ïoken tenna he dok da za- netra, deomp da gousket. » — « Me a choumo da daol evez, a soDjaz ludl. , — « Setu aie eun aboatol, eme ar var- Katell, n’ouzer ket petra a hell erruout. • Ha kerkent e ieaz d’ar gegin war zigarez c’hadourez kerkent ha ma oa serret an nor. achul hn labour. „ Chentll eo evel eur muntrer. • — i W ar zao, va bugalc,emeManer-Koz, Siateli ne respounta* ket, kemer'a rea* ar kemeromp kaloun. Doue hon dlwalo. » bodreou, ar vantell, ar bouned, rei a rea* Peb hlni «v ieaz d’he gambr, Herri goude ap daouzek lur a c’honlenno ar var- beza poket da zourn Yvona a leuz d ar c hac’hadonrez ha troc’ha a rea* buan etresek latre*, laoucn e oa evel en doa lavaret, he ar maner. Pa ilgoue*a* er *all, Laon hag galonn oadlwec’het euz eur bec’h pounner, he vlgnoned oa c’hoaz o tlvlza, Katell oa Jakez oa beo hag hen Herri ne oa ket età ken disllvet ma spountaz anezho. — « Potra zo ota, Katell ?» a c’houlen- eur muntrer. na* Maner-Ko*, nec’het-braz (anaver.out e rea re vad ho vate* ha doueti e rea oa A r pei: oa deut Ja k e z d a veza o’bourvezet adarre eun dra bennak). Katell ne oa ket en em fazlet, Jakez oa Katell a serraz mad an nor hag en eur an bini he doa gwelet enn ti Ruz. An tenn lzolaat ho moue^elavaraz t j — « Dova e ra I... gwelet am euz ane- en doa paket en doa a (Ira zur great tal* poan d’ezhan, mez nc oa ket eat beteit ar *han I * «aloun, na t.reuzet nikun ouz nn 1*111 a zo — « Pion ’ta? » emo Laon. red evlt ar vue*. Ne choumaz ket peli gour— « An hlnl a zo deut aman gant dlllad vezet war ar gambr... Pa zigoraz ho zaousoudard, da lavaret en dlje slkouret ae'hanlaead en em gavaz war gwele Herrl, mevel hoe’h, un hlnl a gave dcomp oa la*et gant Mathiaz ha matez Leskoat oa krog o louHcrri* — « Me* sur oe’h '/ • a c’houlennax adarre zaoul anez-han. — « Va mlgnoun, cmczhan dar mevel, Treslgtdy ha ne gredp ket c’hoaz. » — > Mardounsur II a lavaraz Katell. Ah I it dloc’htu da (lastellln ha dlgaeit d in eur medlsin buan. Ne lavarit ger ebed da zen I anavezet mad am eu* anezhau, he voues da genta a souezaz ae’hanoun, mez pa am eus da zen, klevout a rit Y Ma rit mad ar poz a Kwelet he zaoulagad n’hellen mut doueti. » c’hourc’bemennan d’eboc’h, ho pezo eur garg hueloo’h. (Ar mevol-man oa archer An oil oa savet, an oil a oa mantret. Yvona he doa krtfRet enn dourn Herrl evel IVC)«' Respount a reaz CDn eur c’hoarzln : ma he dijo bet o’hoant da ilfenn anezhan. — « Be*lt dlnec’b, aotrou ha bozet lizianz No oa ger ebed er ».all... , — « Ma vov gwell a-zo, eme Herrl enn en^.°” Mez me a gav d'in ho peuz bat ivc eun enn tsol kount, jantont e ran ez eo dlboataol mad vrar ho penn. Eun dourn kaled nlet va c’haloun. » ; Ar 1c’homzou-ze a denertta* Laou. Yvona en doa ar medlsin fall-ze ; ha goest e vezot da vont da Castellln '/ » ^ . oa fouge enn-hl gant he fried. — « Gwelloc'h emaoun, ba dont e rin a . — « Ah beva e ra, an dlaoul-*e, a lavara* benn d’ober ar pez a lavarit. » Van. Nen*o n’euz net am*er da goU. Ne — « Mad, e respounta* Jakez en enr farchotwnomp ket da vMo’hatA. W are hoax N o u v e au tr a in GrAce aux efforts de MM. de Carfort et Mauduit, un cinquième train fonctionnera de Pout-l’Abbé à Quimper et de D juarnenez A Quimper, vera 9 heures du matin, A partir du l»r Juillet prochaiu. L e c ld r o Par suite des dégAts énormes occasion nés aux aibres fruitiers par les tempêtes de neige qui récemment se sont, abattues sur la lésion, le boa cidre, dont ou pouvait jusqu'il présent sepiocuter nue barrique de 2AS litrts au prix moyen (le 30 A 35 fr., vient de subir une hausse considérable de |8 A 12 fr. par barrique). Cela s’explique it'autaiit plus que la îecoite de pommes de l'année dernière n ’a pas dépassé, dans la légion, la moyenne, et les prop>iétairea sont anïieux sur la récolte de l'année qui, A cause desdétfA’s causés par les rafales de mijçe sera, dit-ou, au-dessovs de la ___________ moyenne. T au reau échappé Samedi vers 1 heure de l’après-midi, un taureau appartenant à M. Laurent Bodolec, propriétaire A Landudal, s'est subitement échappé des main1) de son conducteur, sur la p ltci de Sunt-Corentin effrayé qu'il avait été, on ne sait trop comment. Sur son pashage, l’animal a renversé un culti vateur qui n'avait pu se garer A temps, for; heureusement celui-ci a pu se relever sans grand mal. Le taureau qu’on avait pu rejoii dre dai s la rue des Reguaires, a été aussitôt conduit dans la cour de M. Le Reste, hôtelier, et ensuite exposé au mar ché sans autre incident. T o m b é d ’Dn t o i t J_e j'u d i 4 courant, vers 4 heures de l’après-midi, M. René Daniel, Agé d : 18 ans, ouviier au service de M. Rollaul, couvreur, rue des Reguaires, était occupé A déblayer la toltuie de l’immeuble habité quai de i’Odet par les Dames hospitalières de la Croix de la neitie qui la recouvrait, quand, en essayant de ramener A iui une échelle, il p rdi l’équilibre et vint s’abattre dans la cour dépendant de oît.te propriété, tom bant d une hauteur de 12 A 13 mètres. Ko t heureusement la chute de Daniel fut amortie par l’amoicellement produit dans la cour par la quantité de neige qu’il avait auparavant abattue. li n’a eu que quelques contusions sans Riavité. Il i-eut se vanter d’avoir eu de la ________ vtiue. C o n c o u ru do p o u lic h e s Lo concours annuel do pouliches de trois uns aura lieu à Qulmpor, lo mardi 33 mars Courant, A deux heures du sulr. Ces concurrents devront se lnlro Inscrire A lu préfecture, le Jour du concours, avant mlill. ______________ D o n a rn c u c z V ictim e du froid. — Le vendredi 5 cou rant, le domestique de Keryben, du village de Penfrat en la commune de Juch aperce vait, dans lui champ d'ajoncs le coips d’un homme dans la neige. C'était le cadavre d’un mendiant, originaire de Ploaré, du nom de Viclor Evrard, décédé A la suite d’une cougestion occasionnée par le froid. Penm arc’h Suicide. — Le 0 mars, dans la nuit, Pierre Jégou, Agé de 54 ans, de Quélourn, s’est pendu dans le grenier de l’écurie. Le suicidé avait un caractère taciturne et bizarre. Un naufrage. — Dimanche matin, par grosse mer. le canot Cracchus sortait de Kerity, pour lever des filets. Il était monté iar le patron Carrcc et son matelot Louis , . , £ uanric. Une lame sourde lit chavirer la frêle embarcat.on. Les deux hommes se retinrent A la quille et furent sauvés d’une mort certaine par Yves Gourlaouen et son neveu qui étaient venus les prendre en canot. G o u r llz o n F ille tte brûlée vive. — Dimanche der nier, les époux Le Moat quittaient leur do micile momentanément en y laissant seule leur petite lille, Agée de 2 ans seulement, Louise. Celle-cl s’étant probablement trop appro chée. du foyer, le feu qui était allume, se communiqua A ses vêtements. La, pauvre enfant rendit quelques instants après le dernier soupir au milieu dattoces souf frances. Le G u ilv in c c Les fam illes nombreuses. — La com mune du Guilvinec a l üonneur de posséder une véuéiable veuve, Mme Clôac’h, dont le nombre des enfants, petlts-enlants, arrièrepetits-enfants, s’ôlève au Joli chiffre de 146. Mme Cléac h, qui n’est Agée que de 87 ans, eut 14 enfants, dont G vivent encore L’ainée a 70 ans, et la plus Jcnne 40. La bonne aïeule jouit encore de toutes ses facultés et connaît ses 14‘J descendants par tous leurs prénoms. Elle ne détespère sal: kitta,kerzltbuan,nljitha venjlt ac’hanomp. Ho kortoz a ran. » Pa oa eat an archer er meaz, Jakez en em droaz. warzu ar vatez : — « C'houi, va merc’h, emezhan gant eur vouez rok, tostalt ; euz a belec'h ez oc’h-hu ì — < Euz Lothey, aotrou, a respountaz hou man enn eur grena. » — « Mad, troc’nit, etrezek ar gear ; ho mistri o deuz c’hooriet fall, ma ne fell ket rtlehoc’h beza chadennet asamblez ganlho, tec’hit dloc’htu heb lavarout ger, heb seilet a-drenv pe mea welo, komprcnlt ho peuz? • — « Mont e rin kuit, mont e rin eme ar vatez, spountet. » — « Mad, eme Jakez, setu aman dek lur ; dastumlt ho tillad, laklt ho treid war ho tlouskoaz ha kerzit enn heut founnuz 1Mez araok, sllaouit ta : petra eu deu* lavaret Herri d’ohoc’h ? • — « Krcdl e ra ezoc h maro. » — u Ali I ah ! a lavaraz Jakez gant eur mousc’hoarz fall. Gwell aze I Ha gonzout e rit da beleach eo eat? » — « Da Dreslgldy, aotrou, da dl an ao trou Laou, he dad-kaer, hag ac’hano da iraout ar Ghouanted. » — « Mad, mad. douetl e ran ; breman, alo I savit ho klllou, kit enn hent ha ma n’ho peuz ket c’boant da vreiaa er prlioun, dalc’bit mad d’ilo teod a gavan kalz re lijer : petra 'ta p(bìz sonj I dlskullla ho mtstrl, u ’oc’h ket far, matez I » Ar vatez ne ouie ket pelec’h trei ; ne choumaz ket p •lloc’h er gambr; Mont a reaz d’ar c’ùalatrcz, ober a i eaz eur paKed euz he dillad, kemer a reaz penn an hent ha stampa a re»z etrezsk Lothey evel eun dimezell hag a oar baie. Pa oe hc-unan, Jakez a choumaz peli da ZODÍftl» « Ne varvln ket c’hoaz an t,aol-man, emezhan outhan he-unan; n’euz for* ne ket ober allazlk en deuz great al lampoun-ze. Mont a ran da gouBket eun tammik, an Scaër QUIM PERLÉ L’Election de Quimperlé Un Incident Le dernier numéro de la Démocratie Bretonne, de Quimper, qui prit la succes sion du Réveil du Finistère, entretient ses lecteurs d'un Incident qui s'est produit au cours de la campagne électorale de Quim perlé. Cet Incident vaut q j ’on le relate. Le samedi 0 mars, i’ailiche suivante était placardée dans toutes les communes de l'ar rondissement de Quimperlé : avant tout un ami de l’ordre, du progrès et de la liberté ; Il veut une République tolérante et ou verte A tous. Le maintien ,de„nos deux candida tures pourrait amener dans votre beau canton la dlvUlou au teta do notre parti ; or, pour préparer les luttes futures et assurer la victoire, nous devons rester unis. OU SON T L E S V E N D U S ? UN DOCU M EN T E C R A S A N T ! Les Journaux de M. Lo Louédec continuent leur cumpapue de violence ot d'outrsgea contre M. Bézlers. 11. b i z.eis n'a qu’une réponse A faire, elle eat décisive. U lo peraonno do sa famille a reçu de l’admlnlstrattur de la Ddmocraffe Bretonne, Journal qui soutient la candtdaturo de M. Le Louédec, une proposition, tendant A la cession de ce jour nal et A l’arrét Immédiat do la campagne menée contre M. Bézlers. Cette proposition, d’abord verbale, a ôté con firmée par la lettre rulvante qui n’e îl pas confi dentielle. « Loilont, le 23 février 1909. » Votro secrétaire vous a sans doute commu niqué la proposition que ¡'avals l’honneur de vous soumettre. > Cetto proposition avait uno très grande Im portance O! assurait le triomphe de M. Pierre îézlers, dimanche prochain. Je vous serais très obligé de me dunner une réponse négative ou olllrmatlve domain au p'.us tard. » En attendant, Je vous prie d’agréer mes bien respectueuses salutations. (Ici eu toutes lettres la signature, la qualité et l’adresso do l’administrateur). » P. S. — Nous pourrons toujours arriver A nous entendre. » M. Hézters tient l'original de cette lettre A la déposition des électeurs qui voudraient en v é rifier l'authenticité. Celte proposition a été repoussée avec mépris. f.î. BUlers fait les électeurs j'iges de cet In-.Ioent. Il sera le candidat des honnêtes gens, ludigaes do pareils marchandages. iilectours, votez tous pour Pierre Bézlors, can didat do la fédératio n républicaine. ,Vu, le Candidat : Pierre B i':z ie h s . M. le comme,ndant Rodallec reste donc seul candidat. Le désintéressement de M. Bézlers sera apprécié de tous. Suicide. — Le vendredi 5 mars, vers 2 heures da laprès-midi, au village de Leinthéo, en Scaer, Louis Berthelot et Joseph Derrien ont trouvé Guillaume Sinquin pendu daus sou domicile. Le malheu reux »'était servi de sa ceinture qu’il avait accrochée au haut de son lit. On ignore les causes qui l’ont porté A se suicider. Agé de 05 ans, il vivait seul depuis deux ans. s* femms et ses enfants l’ayant r-bandonné. A vant de fuire vos acbatn en vue de» fëlca de P&ques, rengelgnczvoua Aux Grands Magasins de Nouveautés LE PLAT, 'Ji, rue de Paris,'.BREST Vous y trouverez de très gros avantages Cette maison de premier ordre fait les déballages lux endroits ci-dessus: le sa medi Haint-Keuun, bous liall ; le lundi Lesncven, sur la place ; le mercredi JLannilIs, sur la place. 7904 M. Henri Quiltrars, directeur de la Démo cratie, se crut visé par M. Bézlers et répon dit par l’afliclie suivante : AR C W E L L A louzoa da purIBu guad un dud vr^z eo ar UN FA U X M. Bizlors a publié uno lettre que ¡’aurais écrite de Loilent lo 33 février. C ’EST UN FA U X Je vais poursuivre en justice l'auteur de l’af— llclie. Henri Q u i l u a r s Dlrecteur-adiuuhtrateur de la Démocratie bretonne. M. Béliers répondit par une seconde afliche : B h z ie h s M. Guillaume est l’imprlmeurde la Démo cratie Bretonne. M. Quügars, bien que directeur (le la Démocratie n’avait pas eu vent de la déniaient ue M. Guillaume ; aussi très mécontent déclare-t-il qu’il ne veut pas juger sa conduite et annonce qu’il a saisi les tribunaux de l’incident. Quant A M. Guillaumî, il ne nie pas la démarche, aup. ès d une parente de M. Béziers ; il fait simplement quelques réserves sur le texte de sa lettre, texte qui n’aurait pas été exactement reproduit par M. Béziers. Le prestige de la Démocratie Bretonne, si elle en exerçait encore un, sort singuliè rement diminué de cet incident. M ate lot violent Le quartier-maître canonnier. Joseph IS'élian, dont la femme habite Toulon, allait de temps en temps chez une veuve D..., au bourg de Bonrgneuf. Celle-ci, qui tient un dôp6t de bière, fut priée par le brasseur M. Lamottede ne plus recevoir le quartiermsîire. Le quartier-maître, qui avait tout entendu, courut acheter un revolver, cher cha M. Lamotte et le visa de son arme. Le coup ne partit pas. Le marin ne s’en tint pas 1A. Il poursuivit M. Lamotte en criant qu’il lui fallait sa peau et qu’il se tuerait ensuite. La police prévenue l’arrêta. Le lendemain, le marin plus calme manifestait des regrets de son acte. C lobars- C arnoo t A c c id e n t do v o it u r e . — M. Kerhuel, do Porz-Guern, revenait en voiture, le 6 courant, du marché de Quimperlé. Au bas de la rue de d o llars, Il rencontra M .M athurln Le L u, de Q ullllen, qui conduisait uno vache. Celui-ci ne put se garer A temps, et fut ren versé par la voiture, atnBl que sa vacho. Dès qu'il le put, Kerhuel arrêta son attelage, et transporta lo blessé chez lo docteur, et ensuite A son domicile. II s’offro ou outre A dédommager Lo Lu. M o ë lu n C b A to a u In c e n d ié . — Dans la nuit du 10 au l t mars, verB deux heures, le feu s’est déclaré au chAtcau du Chef du Bole, en Moülan, appartenant au capitaine do drogons Rozet. Tout le château a été dévoré par les flammes. Aucun a-cldent do porsonnes. LA POMMAI! SOPÎHAIIE I'” Prix Concourt Obacrvatolr* d* Bmboçob. VOULEZ-VOUS CONSTITUER UNE DOT A VOTRE PETITE FILLE ? Quelle maman pourrait résister à cette pro position t Et cotnmc il lui est fid le de sa tisfaire son désir ! Il suffit de s’adresser A une de nos an ciennes compagnies françaises d’assu rances sur la Vie et d’y souscrire un con trat d'assurance dotale. La dot rêvée est ainsi assurée dès le paiement de la pre mière prime. Aucnne Société ne donne pins de sécurité que la Com pagnie LE PHE NIX (entreprise privée assujettie au con trôle de l’Etat) qui existe depuis Soixante-quatre ans. Renseignements au siège de la Compa gnie, 33, rue Lafayette et chez ses agents généraux. Varices - Phlébite Les varice» sont des dilatations vei neuses qui occasionnent de la pesanteur; de l’engoudissement et de la douleur. Leur rupture engendre les ulcères v a r i queux qui sont difficilement guérissables. La p h lé b ite est une redoutable inflam mation des veines qui peut se compliquer d'embolie mortelle, et qui dans les cas moins graves amène des gonllements, des douleurs et souvent même de l'impotence. La plupart des médecins prescrivent avec succès contre ces all'ections 1E lix ir de Virginie Nyrdahl. Mais il taut se rappeler qu'il n’existe qu'un seul produit ayant droit au nom d’EHxIr de V irginie ; il porte toujours la signature de garantie N v rdahl. Knvoi gratuit de la brochure explicative : Produits Nyrdahl, 20, rue de La R o chefoucauld, PAitlS. Courbetaux (Maine). 12 septembre 08. — Sur le conseil de voisins, très satisfaits des Pilules Suisses, ma femme a fait usage de ces Pilules contre la constipation et s’est guéri rapidement. A . Prémartin.(Sig. lég.). .... ... 2 GUÉRISON _ _ PALES CO U LEU RS FLU EU H S B LA N C H E S N E U R A S TH E N IE , CRO ISSANCE CONVALESCENC ES t r ô f r t p l d e t . ik to r n n u c i i u p r montris , bijoux DE U U n r l A l l u C ORFÈVRERIE PENDULESs'aChetent8UlFaljr,"TRIB±UDEAUÍ de BESANÇON • Tarifs encours Fraoco.l Vu, lo candidat : P. S a n t- V guérit la teigne, la pelade et les maladloa du cuir chevelu. En vente A la pharmacie Doualle, Landivlslau. CE N ’E S T P A S UN FA U X L a lettre A laquelle II est fait allusion, est signée : P. G uillaume, 15 rue Kéréon, A Quimper, lequel s'est donné comino administrateur de la Démocratie bretonne. S i r o p A r guella louzou da bare« token ha eempladurez ar vugale eo ar S IR O P SANT-VIKTOR. Al lllrad, 5 lr. 25 ; — an hanter-lltrad, 3 fr i — ar c'hart, I lr. 75. E g u erz e tl VIKTOR DOU ALLE, apotlkeraz ar c'hoc'bl LANDI VI SI O ~ RADICALE Ot __ i INFAILLIBLE m p ir l E L I X I M 0 J© U ?*S i i li C O N F I T U R E deS‘ V i N C E N T d t P A U L LE 9 S E U L S AUTORISÉS S P E C I A L E M E N T PÉLOILLE. Ph1**, 3, t’* 8t-D«nl>, Parla. îouft f/nr-râcie». bruchine irme* ------------- Brest : Dépôts, pharm. Leblgot, 4G-48, rue delà Hampe ; Quimper, pharm. Meret rue St-François. 7'-s dra-ze a raio vad d’in ; mez koulskoude, nan, n ’eo ket fur, gortozomp ar medlsin. » Kun heur a dremenaz, netra, den ebed na zeuaz ; kouiskoude Jakez a grene gant an derslenn. Jakez a grene evel eur bern deliou. N” en doa ket choaz kollet he b.>nn, mez he c'houli a rea d’ezhan eur boan iskiz ; kaout a rea d’ezhan e oa torret askourn he beultrin... Erlin klevet e reaz trouz eur wetur o herpel e klchen an ti. Tud a blgnaz en diri,... an archer hag eur medlsin oa er gambr... , . — « Medlsin, eun tenn am euz paket em leultrln. Gwellt petra a zo ar c’nenta ar gwella,c’hoant am euz da vont da Gastellln enn ho kwetur, nemet gourc'hemen e reot d’in choum aman. » A r medisin a dennaz kuit an tammou Kenn oa lakeat war he beultrin, ha goude beza sellet mad e lavaraz : « lieti eo kempeun an dra-ze, ha digerì ar goull a nevez. » — « Grlt, eme Jakez, mez g ilt buan. » A r medisin a welaz pegen doun oa an toull great gant ar boled. — « Santout e ran eun dra bennak ha mont a ran d hc denna er meaz, nc vlot ket pello parca. » Heb dale ar boled a rutile war an daol ha liennou Iresk renket mad a c ’boloe peultiln Jakez. , J „ — « Ha gellout e rin mont da Gastellln ì » a c'honlennaz Jakez. — « Hum ? hum I a reaz ar medisin ; n eo ket re vad an dra-ze ; mez c’bout azo krenv ha nerzuz. Mar deo red eta I » — < la , red eo, a respountaz mevel Karrler distak. » — < Mad, mont e reot enn hent mez abenn div heur aman, nan araok. Betek an heur-ze ehoumlt gourvezet heb tin vai tarnrn. Ouspenn an toucher a ranko mont goustaùik ha dlwal oc’b ar skoachili : erlin pa veot dlgouezet er g e a r.lt raktal d h o kwele, warc'hoaz viutiu ezlnnd’ho kwelet : pelee h e tiskennit ? • — « E ti Mathiaz an Takajou, ar c'hommiser polis ; mez, medisin, ne gomzlt da zen euz an dra-man. » — « Nan, nan, bezlt dincc’h, n’oun ket eur vaouez, va zeod u’eo ket tur vllin gaie, alo ! kaloun atao I ha warc'hoaz. » Ar medisin a ieaz kuit. — « Great ho peuz ho labour evel eun den a spered, eme Jakez d'an archer. Choumlt c’hoaz em c’hichen ekcit e vezin kousket ; abenn div heur c’houi a zihuno ac’hanoun ha ni a lelo asamblez da Gastellin. > — « Ilo pczet lizianz, aotrou, n’ho tilezin ket. » pemp heur bennak divezatcc’h, Jakez oa e ti Mathiaz. Goude beza displeget d’ezhan ar pez a ouzomp, Jakez a genda o'haz : — « Deut oun aman a zindau an noz ha den n en deuz va gwelet ; ne fell e vez gwezet emaouu enn ho ti ; va enebourlen a 2av d’ezho ez oun maro, hag Herri evel a Eonjan a zo breman e Tresigidy. Me a ia d’ober ar maro bian. Pa vezin deut mad, ar pez ne vezo ket peli, warc’hoaz, lezit ane zhan. Ne lavarit ger da zen, dreist oli d’ar gouarner. Kredi a rato ez eun dtstroet da Naoned, ma chonmit aloul. bezit sur n’ho pezo ket a goll. Karrier a outzo ho rekompansi. » Mathiaz, laouen, a brometaz evel ar re all derc’hel mad d’be deod. r*k prometí n’eo ket diez, eun den mezo be ra mad tre. Antrocoz vintin, Jakez a zava*. Gellout a reaz baie eun tammik enn he gambr hag hebdale a sor jaz mont adarre enn hent. Allez e c'houlcrine digant Mathla* hag hen oa dlwaiet mad Laou hag he vignouned. Atao Mathiaz a respounte : _ < Mad tre, aotrou. » (Du g e n M c 'h tr .l UTCOUimlEIt DU FINISTERE BULLETIN COIBWERCIAL H allea de P a rla COURS du femara du Fertnea D o n e Marques 31 fr. 30 wie«................. ............... .4 ao Hftljtlc .«<>r. . . . c..««««*. lt) 75 4. . 19 45 ItoarMdeBreturaftÿiW» 3 • C E ufi(collide(¡000conta)-, i w » COURS 11 mars 31 fr.25 24 35 &u 50 M) 5) 3 (O bf> K k H l l t e U VUUtM (M rla) ■io 11 mars PrU IU01"-.) A a ln tju an*«*« B a n t * .. « » » A d ii» A W r if jW u i.m l usa VMhM. «S , 4t4 I7U. 178 TtlIMB . Vn u i .. ti.M» 1.S4» Mautuus 14 »80 13 78J Poros... t.#lil l.Mll ~ Not u'O) 0 fill i «na t to calm« Id Id Id Id Id 0 76 1 1 07 1 (0 1 Sh 1 Oli ) 14 i aa MarnilAn «lu Dépai-ioruoni **'o'Uionuiiïi. r~ MarcliA du 4 ( mars — Ifru maní, las MO.XH.99 00; nvolnu.17.bQ; »ct*lo, 17.0) ; or««. K.po ; «iirriuiu, I&.6Q; bsurra, le kilo, a a <. •u u . la dont. 1.00, poruinns du l„ 6 t>oloa loo ill. LaiinliU. — Harobò du 10 inara. — l'ro maut, las 60 *11., 10.tO i orna, B.uo ; i ormili, I.U ; uvulna. Í.00 ; son, â.uo ; p. da Uirru,lo.i to kll., 3.(0 ; poro (rali, 1.1b ; bourra sait, 9.10 ; baurco sans *al, 1.70 ; usui», la doui., 0.86 M/tmotaUu. — Mambí du 10 mars. — l’ro. ■uni, les loo Ul., 11.00 ; mfiteii, 16.60 ; ¡elHlc, lt.00, tarrasln, 10 ; uvulna, 17,10; orne, lU.eO ; p, *• larr*. 8 00 ; Muta, la dont., 1.60. Laanasun. » HuruhA du 8 murs — Pro. mont, 1m 60 Ul., 11.00. Orga Id. o.tu. Bntrailû, «.00. Avoine, Id., o.to.Pommos do torra, lu &<• Etudes de M* LUQA8, avonô-licendé, rue VI», li, A Qulmper et de M» 8ALAUN, notulre i Plonéour*Lanvern. W X T V p»r ®u'te de licitation, f u l i l E i on l’ctude et par lo ml* uiatère de M* Sultvün, notaire A PlonÉour-Lanvern, le laudt 110 m n r s 190!i, & nne heure At dc< mie do l'après-mlll Canton do Plo^aatel-Saint-Ger* main. — Commune de Plo> n fionr-L anvern. — Au lieu de firtscoul. Une PROPRIÉTÉ rurale fonda « t d ro its rfinnln avec tout' « ses clrconstaucas ot dépendances, sans réserve et y comorla la loucbe de l'fttat doa foins, pailles, lumltts, stu» et tous autre« objet« réputés Im meuble« en dépendnnt Elle ost portée &la matrice ca dastrale pour uno contenance d'environ 12 hectares 73 aros. Miso & prix : 3,5,000 fr. L'avoué poursuivant, 7>11____________ A. LUCAB. Etude de M* LUCAS, avoué rue Vis, fi, a Qulmpp.r IfT liT P Par Bdlte de licitation, « L l l 1 t l au tribunal civil de y u i^ v tr , le 18 m a r s 1009, midi. Cao'tiE dii Quimpcr. —- (Jcm jcnuue a Ertfué-U a bCri — Au lieu du C'aslol : IllJ llA L E fond« ot droit« réunie, compre nant malson d'iubltatlou, bâti ments d'exploitation, torres laboutMble«, tories k landa. courtils, — versets, pré«, p&turea, bol« talllte, le tout d'une conte nance cadattralo d'onvlron 25 b. 33 a. 72 c. Mlae à prix : 30,000 fr. L'«voué poursuivant, 7910 A . LUCAS. Etude« de M* G. FOURNIE II, avoué à Breat, 27, ruo Emile Zola et da M» CHEMINANT, notaire A SalnM ienan. VEVV'rr d’immeuble« par llcllaI L l l l L tlon Judiciaire, en l’éluue Lt par le ministère de M* Cheminant, notaire A St-Kennn, le samedi 117 m n r s 1909, a uno beure ot demie do l’aptéi-mldi. D E S IG N A T IO N Lot unique En la commune de G n lle r s Ul., 4.00. Beurra «ali, la kilo, 1.10. Pourra snm •al, ld., 1.80. CUuli, la douialuo, 1.15. Morlabc. — MnrcUù da Ama's. — BIÍ, les 100 104 Ul., 12 60; lelgle, 14.(0; sarrniln. 18.00; avolua, 18 00 ; oree, 17.60 ; folti, las (00 kll.,'0.00 ; palilo, 16,00, «aun, In doui., 0 90. Qulmper, » Marohé du ( mars. — Froment, 12 00 les loo kll.; salgla. 17.60; blé noir, 17.00; avoine, 18 00 ; orge, 16.(0 ; pommes da larrn.&.oo; loin, 40.00; pillilo. 16.00 ; (arine, 1” ijual., .lt 0J ; turine, v qunI., 2 ).60; son, 14.(0. rimt-VADM. -« Marcha Uu 11 mnrs Piouient, 10.7( HbIrIs, O.oo. Ornu, B 36 ; , i i « p li, o.'.w. /v o lu e , 8.60. P o m m o íd d taire, *.60 ;'r tv *4,00,1 eu too Ut. Palile, 26.00. (fluii, prl< wu-u» 1 ao (u douinlne. Bourra, 1.50 lo </l kit guim perW . — Marobé du ( ma»». f*» fO«n*. le SU., o Ir. 60 ; bœuiu de bonr'j»rie, * Ir. 7( ; VA<ib«s da bouobarla. Q Ir. »o ; O w J i ■]» travati, oM In. ; bouvltlons. R0 Ir.; vachi» tal1100 ; ntìul.«ns, 300 fr. ; l'Qovuux, tr. « la » 4 . oorc*, 0 Ir. 00 ; Uiouton«, 0 tr. Uì : ( « m i, U Ir. 9(1 ; Promeut, les 100 fcl'oa, 31 ir. <0 ; jilx ln . 17 Ir. co ; o.'go, Iti rr. 00 ; «urratlu,l8 fr. 00 ¡ayoltie, 17 kt. (o liouimes da terre, 5 tr. »0 ; bnnrre, In Mie., a fr. 30 v al», lu dom aine 0 fr. 90 ; loto, Un tee Mio* Si) Ir. 00; imlUe, les loo ilio». 21 Ir. o.i . non, i>a r # kilos, 96 fr. 00 ; Inrllio, 1*» nutilllA. 59 ti 00 ; >• u ita llti, 30 fr. r.ri til-Pol do ¿dilli. — Marohé dn 9 ni ara.— Piirlu-, 1" quul-, los too kll., 19.00 ; iarlne, 28.(0 ; Irò meni, 12 0) ; avotue, 21.00 : blc nolr, 18.Co ; ori?18 0 ) ; loin, 37.00 ; nrtlcbnuth, Oofr. los too Kilo?; otjoiii-nouij, 4 IO 1« d o u i. ; poni, iti torro 8 oo li-j 100 litt.;u)iua io do u i., 0 «'). flalnl-Sonaii. — « a r e n i Uti 0 mnrs — C o ment, ter 60 kll., 10 .C0 : urge, 8.16 ; ru rm tln , <il., 8 95 : nvolne, ld., 9.00 ; pommus ilo Ierro, los t>0 Kit., 4.00; puln blunc, mute Hour, In kit., 0.10; palo bis, 0.36 ; baule, le kll., 0.00 ; vanii«, 1.40 : kAuIssc, 1.41; voau. 1.50: mouton, 3.00; pori:, frais, 1.1 0 ;b o u r r « s a l# ,lo k ll. 0.00 ;bettrrosi\n.i sai, 9 00 ; «ul6, In doui., 1.40: loin, los 600 kll., SB.'.O, palila, 33.0 ; «on lo» ino kit., 7.50 ; furino, 1** qarl.; la OUlaMlt, 34.60 ; fnrlno, 3“ qualità, 33,00, Etudes de M» Henry GASSIS, avoué A CbAtcaulIn et do M’ LE BOULG’H, notaire A Ptonévcz-du*Faou. irriV T r do biens de mineurs, lo l u l l l u samedi 27 m a r s tV09, A uuujt nourcB da soir. En la mairie de C o llo re c , par le ministère de M* Le Boulc'h notaire A Plondvoi-du-Faou. Il sera procédé A la vente des Immeubles dont la désignation suit : Aux dépendances do Kerilel* lou et Pcnnaroi, on la com mune et prés lo bourg de C o llo re c. Premier lot ... t t e Le to m e I I «les « P o èm e s d«i T a ld ir » S e m a in e On maiionnera spécialement à nes?ine pour une prléro solennelle en faveur «les pauvies vie tlmos du dernier tremblement de terre. Demu d*?r lo pro gramme détaillé et tous autres réalignements au secrétariat du pèleringe «le Jé rusalem, h, avenue do Breteull, Paris. La ferme de Kerlohou Avis ¿ Adjudication 2 U FEUE u< , U N E M A IS O N et dépendances, louée pour par tie A M. Péron, moyennant 130 francB l'an. Pourtomi renseignements, s’a dresser A M* de Rodcllec du Portic. notaire A Salnt-Renan. 7870 cour et Jardin, ihdla occupés par M. Franvols-OIaudo Legall. Mlae A prix : 0,000 fr. Etude de M; SOUBIGOU, notaire Prise depoBgesaion Immédiate. ALeaueven Concourt OfficielObtemtolrt 1908. EN PA SSA N T Par Y . d'Isné. Un volume ln-13, 3.60. _ p . Lethlelleux, odlleur, 10, ruo Castotte, Parls-VI’. Sous co titre modoste, nous retrouvons la plume alerte, vaillante, si connue et si française do l'Infatlgablo ami do la Jeunesse. Dana ces pages sont réunies, sous forme de Nouvelles, uno foule d’aperçus rares et salalssants aur les grands problèmes do l’heure actuelle, sur le» questions politiques, religieuses et morales qui passionnent notre temps ; sur les mœurs do noire société moderne, s n r lo u tc o qui peut Inté resser les petits et les grands, les humbles el les puissant». La clarté, la logique, le bon s»n9, l'informa tion précise, l'argumentation Irréfutable (ont, do chacune de ces Nouvelles, une page do vie lum i neuse et vraie, simple ei attrayante. C ’est uno petite épopéo où nous vojoos s'agiter tout les inondes, on dos scènes pleine ï de mouvements, héroïques ou Joyeuses, douloureuses ou sombres, agrestes ou savaulos. Il y a un loi enlrulu dans ces pages, qu'on arrl«e a la dernière en disant : « Encore I » Oui, encore ! Y. d'Isné est do ce» auteurs auquel on dem indo lo u eu rs uno sulio pour le connaître d'avaUuge, car il est un cfiarm eur d'âmes. Certos, voila uu bon llvro, un livre dont le su c cès e it assuré. CHEMINS DE FEU UK L ETAT 1*AH IS A L O N D RE S V U Rouon, Dlopaa ot New Ilaven, par la gare Salut-Laztire Services rapides tous les jours et toute l'aunie (dimanches »t fé es compris). Départ» d< P .ns-Salnl-Lazîro é 10 h. 20 malin, 1- et 3- cl. soulsinent ; «t a ti h. 2» soir, 1 É, 2' et 3’ cl. A P a r d e s s u s les v le n x m a r s Par Claude Manccy. Prélace do T. de W yrew a. Boauvolumt) In-12 (xit-370 pp.), 3.60. — p . Lothlelleux, éditeur, 10, ruo Cassette, Paria-VI’. Dans sa préface, M. de Wyxenwa a bien mis en lumière le naturel parfait et le bel accent do vérité du petit drame fim lller, tout Imprégné d'émotion et de « poésie », que nous offre aujour d'hui l’auteur de « Vieilles rliles, d Intellectuelles et da Sources perildes n ; 11 en a bien f a i t . essortir aussi la philosophie, ou, comme il dit, « la doctrino morale. » Les fie u x m ur» par dessus lesquels Claude Mancoy nous ong age à regarder, c l q u ’il désire rait même nous voir renverser une fols pour toutes, ce sont cos cloisons élanches que, dans les potitos villes surtout, le snobisme social a élublles et m aiuU nant entre les classe* ; ce sont ces préjugés su. annés et Ineptes qui fout que, 119 ans après la nuit du 'i août, il y a encore, en n o tre pays, den gen» qui, parmi leurs concitoyens, distinguent des perecuties qui sont et des per sonnes uut ne sont pas do * leur monde. » Pour C.aude Manoey, co ne sont pas les titres, — pas plus les titres do rentes que les titres denoblesso — qui font la valeur d'nu homme. Co qal lui donuo son prix, c’est la clarté de Hntolllgence, c’est la fierté de l'Ame, c’est la délicatesse du cœur, c’est la fermeté du caractère, c’est la réso lution de la volonté, c ’est surtout l ’infianglblllté de la conscience. Telle est, le ne dirai pas la thèse que soutient l’auteur de Par dessus les vieux murs, car 11 a bien trop do goflt pour faire d ua roman uno Ihèse ; telle est, dlri,ls-Jo plus exactement, la morale qui se déduit du récit qu'il nous offre des falla et gestes de ses personnages... V E n D R E A. L ’A M I A K I E Premièrement En la commune, de P lo n ftnan Une FK RM E, d’uno conte nance de 12 hectares Louée 1,000 francs, plus l’ac quit des iropôte. '} * E gwerz partout : Goulennit SIROP CELTIQUE deuz ti 1S S O R E U L , tetrVÆQr ' .-.à.- e L and e rne , P R IX “ L igne & LLA N ” France au Canada directement Pour passages et fret, s’a dresser d M. A. RAILLARD 17, m a V o ltaire , B rest Kn ia commune de N lb lrï! Une F E R M E , d’une conte nance de 12 hectares 67 ares. Louée 1,300 francs plus l’ac quit des impô’ s. S'adresser à M* Fle.ar?. 7523 Eur voûtai] lad hcblcen A [ A I Ï D <le suite. A T E A I a J i L I i l i e r d e no^isT R IJC T IO N ÜK M A CH IN ES A G R IC O L E S . — Matériel â vendre au preneur. S’adresser au bureau du jour nal. 7S03 SKOED ON D E M  N O E titeUFElU4E pour 1909. 8 adresser au journal. Etude, de M* René SAf,AUN, notaire A Plonéour-l.amcrn l ’in v iT par adludicatinn, pp f Bj;1 1 îj l’étude, le lundi 22 m n r s 1909, d deux heures et de mie de laprès-mi li. Sans Poisons ni Opérations! O n prnérlt v ite e t M c n to u te s (§ e la (M é ta irie les DE K E IIG A V IN Y - DA LA E EN PLONEOUR-LANVERN Contenance : environ là hec tares 50 ares. Jouissance par watïis au 29 septembre 1909. iMi^c A plix : v¡5.000 Tr S’adresser aildit, Mr Salaiin. parce qu’elle détruit les germes do la mala die, tamise le sang, qu’elle fait circuler libre__ IUi nJ ’.i»iPi v i ? ^ Î omPtc ï éPare »’organisme. Iiij«r m prtnil rem* iacur. unique au monde et rien ne peut al situées A L a n d e r n e a u , tue rie La Fontaine-Blanche, n»“ 41, 43 et 45. Mises A prix totales: 12 1Î00 francs. (Voir les affiches). 79’6 La JO U V E N C E se trouve dans toutes les pharmacie* flacon, 3 ir. 50, franco gare, 4 ir. <0 les tmls fia™™ Etude de M* LAVOLE, notaire A Plabcnnec Vente iPJniir'û Mobilière ^ IÀ béé,' pharm. GrâlL P m r a ' D lvld’ “  ^ vendre Jument 3/4 saijg et charrette anglaise, salie à manirer noyer, chambres pitchpin, bambou, etc., panetière et pendule bretonne, tenture Japonaise, elacee lits fer, armoires, fuuteuils, ch.'lses, baignoire et chambre-bain, chaa 6is, fumier, fagots, etc... f> l)/0 en sus des enchèrcn. 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S’adresser à M» Lorin, notaire où A Mme veuve Jaouen, au pass. ge de Plougastel. 7932 I n s t it u tio n f a v o r is a n t l ’é p a r g n e p a r c o m b in a is o n li’a s s u rn u c e . (Parts de sous cription de 600 fr. et de 9J0 fr.), demande partout agents, cour tiers et correspondants Bonnes commissions, pas de cautionne ment A verser, mais sérieuses références e*uérs. Ecrire A M. l-’rOK r, ancien gouverneur des ■oiobics, inspecteur général à Saint-Brévin les-Pins (Loire-Inl'érieiHV). 71*33 Tire les dents sans douleur et pose des dentiers urtlftciels PAItLK LK BIIBTON 24, rue JttalrJo, 24, BR E S T r<as--------------------Etude de M* A L L A IN , notaire A Ploudalmézeau A D J I M C A T I M S 1" 190 1908 I)* DUPJÎYROUX B, Square de Messine, 5, Paris. P.-S. — L'KllxIr Diipoyroat, k baie fie créojolo vrala do hitre, d‘li>do, de Unis «t d« l*eéropnoipli«le de eliaux, ftiérlt 1rs lAtloni luberculeiiii« provoqusnt la formiüoa antitoxine* dam le #4111(11 eençuln. Il Ipylt 4‘une elflcadié !ncoittf«UWe <ten» 1** ras de tukenruloieipulmonaire, rinpl[onnalre,tarjmfto et omuse.de laryngite*, «»thnirs, raiarrbrj emphysème«, bronchite» chroninuca, rhumes négti{4i. 91 U luberculwe pulmgnalre tali tant dé victime*, c’Mt parce quo le* inedecln» ne ævent paa la «olener. n r*t de toute Importance fxmr les tuberculeux, de «nlvre le traitement à beM d'ElIxir Dupenoux avsnt que lr« jeilona n aient pria une étendue qui ir* rende Irrémédiable*. Je eoniolte emiuliemrnt loue les jours, ds t h. 1 3 h., excepté le jeudi et le* Jour* de ttta, en mon cabinet du 5, tonare de Ueulne, Pwi*, et par correapondance, et envole rrstl« «t franco *ur demande, lr* neuf brochures où**ont exposés uie* trsvaux do thérapeutique H d’tiygiéM ainsi qu’un qoertion. nalr*. J ’envoie le petit flacon franco à domicile contre X tr. 6 0 et lo a>oyen flaeen contra 2 fr, BO en timbre* ou mandaL Exiger dan* les pharmade# le tériUMe Elixir CMperroai. Refoser tout Blixlr antlbadlUlre de contrefaçon ne perlant pas n o a a mit J‘*ii<jueiu ol « a i n s t a r s aar ia eepeale recouvrant le bouabea. 00 Zï *.s Si Oo Q MAISON KERBIRIPU FONDÉ! EN 1875 Bbkst — Rue de Paris, 97-99-10Î — Bskst 0F En face l’Egtlse Salnt>Mart!n SPÉCIALITÉ DE IEUBIES POUB U CÀiPAGHg t u d an tl a oèr brezonsk ’ 2i, r. Kiréonet r. St-Fr&nçoü.. 24 QP IM P E H —)0(- DépOt central dn C o u r r ie r dn H n U tu r» Imprimerie de la. Presse libérale ontre GRAND P R IX , Z E N IT H P A R IS 1900 ^ Kerterou Poullquen, 122 rue de Paris et rue B u oéW d Concessionnaire p o u r BREST P r i x d o C a t é c h is m e s »-.<3 COMPTOIR GENERAL DE L’AMEÏÏBLEMEHT L e p lu » (cranrt o h o l z d » M o b lU e ra C o m p le t« M •t í Ia ia * e ;• c3 Librairie et Atelier lie R e l i a i ene dn CbAteau, 4. Brest Sur "la mise A prix de 1,0 00 fr. 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O unnd il vint u uia consullaiion, le i5 décembre 19°7» Je lut trouvai des lésions tuber culeuses du deuxième degré occupant les deux tiers supérieurs du poumon droit et In partie moyenne du poumon gauche, en avant et en arriére. Il avait craché du sanjr. avait mnlfrri, trans pirait la nuit, toussait, souffrait do la gorge et de la tête ; sa voix était enrouée.. Mon t r a i t e m e n t à bnso d ’E L IX IR D U P E Y R O U X , améliora son état en quelques semaines et, le ao no— ------— .. ■ ■ ■ veinbro . Il était complètement guéri. m ’a permis de publier sou cas dans lo but d’étre utile A ses semblables. Vout trouverez désormais les ch&pcàux bretons, castor, feutre et paillo, sortant des meilleures fabriques, garantis bonne m ar chandise, et in d é fo rm a b le s. Chapeaux pour hommes, enfants et eccléH iantiques, casquettes en tous genres. de P R O P R I E T A I R E , franco T l i " sur rouge. 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Faou (Finistère). 7920 Léon LAURANS, Lcsnevin de 9 h. à 5 h. ■45. ¡RUIS T R A V E R S E (Place Sadi Curnoti Î Son omplol produit dos GÜEBISONS SURPRENANTES ISauf 1?. samedi et le dimanche Lits 1er 81 cilvre, Sommiers líd lllq ie s é r NOUVELLE C H A P ELLE R IE ït k S iO Ciwiirdîtin-Ofiîttlst* IHjIîbî it Fietltî h ïWeein lt furU Consull.-tHons tous les jours D R < $ u in c a ille m 1 P h a rm a c i C orbé 10Vo D ’E N F A N T S P M È N  O Iî H Y P R Q T H D O M A IN E S Le lundi 1S m a r s 1909, A 1 h., il sera procodé sur la place de la Liberté à Brest, A la vente aux enchères du chev«l « F rle d lu n d », Agé do 17 ans, p.ovenant du 2° régiment d'ibfunterle coloniale. Au comptant, 5 0/0 en sus. I.ouzou evit an doken, ar gweila remed evit ar vugale. fe gwerz evel guechall er " firnssorle, Unoléum^Tolles ciréps ¡ F O ü R ilE A U D O M A IN E S Il sera procéié le vendredi 1!) m a r s 1909, A dix heures, au bu reuu des Domaines do Brest, 40, ruo du Château, A la vente aux enchères publiques de : 300 kll. crlblure de blé, 16.0(10 Ull. farine basse, 14.000 kll. son, provenant des Subsistances de la marine. Au comptant, 5 0/0 en sus. A __ nDQmontier> .. . v<nnoA4'..M»v.___ ~ A ,^ m b é íe i^ ^ ,p h a r ^ ^i i'éret" ■ “ A Quimuer, pharm. Ladouce. - a Morl&ix üharm r w f ' - A k-Poïde Ùon, pharm. Blandía. - A Crotoré p h a m Au Manoir de Lantiouardon Principaux objets à IKTÉBIEDRES Je la FEMME JOUVENCE de l’abbé Soury D e tro is ^S aisons Selle MALADIES Sou origine remonte à h pueirs de Cent Ans. Il était préparé par les Rolipletixdel’Abîme doSt-Jcan-do Castelle, prêi Cauru-s-VAdour. NOTICE AVECATTESTATION« ffrXltil Envoi f" :k4Itoco» 10'-1/2 f!. 6' J.CAPIN,pli,ch,'.Boqncfort;uo(U») Nous ne cesserons de répéter auximilliers de femmes qui souffrent des tr o u b le s de la m e n s tr u a tio n , des s u ite s ue co nc iles, des m a la d ie s in té r ie u r e s , règles trop freqnenies ou trop rarc3, suppression ou însuiiisaace des règles, hémorragies, m C trite s. pertes blanches, flb rô m e s, tumeurs, varices, que le véritable remède A leurs maux consiste A faire une cure avec Ia tfOlj\ fciVCË de l'a b b é S oury, préparation exclusivement ve^étale tout A fait inoff -uslve qui les guérira sûrement,sans poisons ni opérations, sans qu elles aient be soin de suivre des traitements ennuyeux et sans s'astreindre à des régimes particuliers. A toutes les désespérées, à celles qui ont tout fait sans résultat, nous disons : V ous g u é r ir e z s û r e m e n t en faisant un usage ré«ulier de la Etude de M" F. LEON, notaire A Landerneau l)ar adjudication Vï’jliBrSSbj volontaire, le mardi 2.‘{ m n r s 1909, à ¿m * hemes de l’après-midi. 10 I I Ü H r a iM T IO N l’Album Illtialré dii Montre., BI|oux, Peodnlec, Orlévrorlo Ou Gä COMPTOIR NATIONAU E. DIIPA3,tiriti’,19,RuedaBelfort àBESANÇON(Cuti). Départs da Londres : Victoria (compagnie da Brlgliton) & 10 h. matin, 1“ et 3- cl. seulement ; London-Brtdge et Victoria, à 8 h. 45 soir, 1 ", 2et 3' cl. Trajet de jour en 8 h. 40. B llleti slmplos, valables pendant sept Jours. — 1" cl., 48 ft. 25 ; a- cl., 86 fr.; 3- cL, 38 fr. 35. Billet» d'aller et retour valables pondant un m ois. — 1 " cl., 82 fr. 75 ; 2' ol., 68 fr. 76 ; 8' cl., 41 le. 60. Ces billet« donnent le droit do s'arrêter sans supplément do prix, à toutos les gares si tuées sur le parcours, aln.il qu'a Brighton. Deuxièmement ADJUDICATION X l0?SS; 2 « m a r s 1909, A une heure. et crèches couvertes en ardoi ses, Jardinet, tenus par M. Yves Calvez. Mise A prix ; 800 fr. •boxiBub 10 * En la ville de L a n n llis , me de la Mairie. M E I U â c a c h e t e o «. w lW illr f c lF lW D iiiiiiiiliig r a lln tlr » iiM , Sirop C e ltiq u e 'iî g ùjf'M Etude de M* QUENTEL, notaire A LftnniltB En la commune de L a n n llis rt'.ttUIF.R 1.0V A L AT IIU N O U I E Etude de M' TU. FLKÜRT. no taire A Morlalx Etude de M* MANIERE, notaire Près le bourg de l'io b e n n c c A Qulmper l,e 27 m a r s , A midi A VENDRE S a in t e à J é r u s a l e m Célébrer nu moins une fols dons do sa vie le^ grands myatàrfs du Vendredi-Saint et de Pftqu 8 nux lieux mêmes où il «e sont accomplit*, peu de ihrétlens Jusqu'Ici l'ouvule t (s,-é»cr ce b i heur. Aujourd’hui, Il est a laporiéo du plus grand nombro, gril oo au navlro spécial VEtoile ((ul part lo U mars prochain pour sa X X X V II* croisade. Après lo bé;our du Pèlerinage à Jôiusalem , dés a ta n t les IUmeaux jusqu’au mardi de PAques le batoau-pôleriu contln era sa coujsq avoc escules a tous les sovo' 1rs d- l'histoire sacré? t t profane qui llluslièrent les tôles Ce ia àiéulti-naueu de* I*ul8 l'Egypte jusqu’à Alhènos et Nanlfs. Dans la preeento station quadrn<éslmnle, ou* verto le dlm aui ho 28 favrlas 't Notro Damo de Paris, et nul su couiluuera chaque (.lamucbo de caréaio. M. lo chanoine Janvier, pourm lviint su magistrale exposlllon do la moi al» cal Indiqua, traltora do lu loi ot élu 1 ra juco s-Irenu-Dt : la notion de la lui ; lu loi éternelle ; la loi uatur lld ; la loi humaine ; la loi Julvo ; la loi chrétienne. Les sujets abordas pendant la rotiutle pasculo A " Petra oo an one, pur J.-P. Caér. — üwolloo'h en em erb o il ou» Doue egot ous o Zent, par P. G — ICeavrouriez ar B ezoDeg, p^i Ioen aa Tour» Guod. — Kevren ai vugale, pur J.-M. Perrot. — K om z eur Gai! hi»g a gnr Brtlx-Izel, p«ir Ma rin» Hepet. •— Kciucuer h a vililuer, par 8 ic r n G wcbd . — E i j u r ar Rouanez e Landivlzlo, par Jcaopi. L e s C o n f é r e n c e s d e N o tr e - D a m e Etudes de M -BO U LLIE R , no taire. A Litinilis ; VAILLANT, notaire A B rit.t, et SOU BIGOU, notaire A Lesnevcn. i v r i v n n r Par adjudication i l i L l l l I l l L volontairo, en la >.allc de u ^uirle do Lannllis, le Jeudi 2» m a r s 1909, A 2 heures. En S a lu t- F ré ffa n t et par extension en G n ls s £ u y . Premier lot La ferme dite M é ta ir ie de K EHGOFb’, contenant 13 h. 50 a. 54 c., louée Jusqu’au ‘20 septembre 1913 A M. Alain l.yvinec et con forta, moyennant uu fetmage de S)50 francs, impôts en nus. Mise A prix : K7.000 fr. M r e lz Sommniro du numéro de février 1900 : Lo tome I dus PoOmcs bretons du bardo bien connu (auteur iio A n llirvomtou, A n delen a ir, PoiUltalloh, Ar bourc’htz tore’hus, A rc'hm ta t/re• tiadour, etc.), parut on 19 2 et iatenlu v é rayiJomont. Bolllcitc do tuutoi parts, l'antour t ’oA dûcldO ti publier sis nouvelles œuvres Iniülii's en un doualàmo volume qui sera la nulio du pre mier. Mais lo public brctonnnril ctt fl rostrclnl, com paré uu public Iruncals, qu’aucun baulu r,o pour■ait tenter l'impression d ’: sou œuvres sans orga niser ii l ’avanco une souscription qui l u permotto do couvrir i os frais. Les amis ne la langue ot do la poésie brotonno sont p il s il’ndrtssor lour prjmohso île souscription a Jl. J .H fnuou (Taldl' l, n Curlmlx (Plulsléro). Une ferme dite L E B E S T , U no G arenne contenant 11 h. 87 a. 93 c.. louée dite Goarem - Mlquellic. conte jusqu'au 29 septc.mbre 1917 A M. nant t bec arc H arcs 27 cen (\1a 1n Lyvinec, pour pur an 550 tiares f ancs, impôts en sus. Ml.ic A prix : !i 000 fr. Uno commission de 750 francs Deuxième iot a t'tii payée. Mine A prix : 22.000 fr. U N C H A M P Troisiémo lot dit Parc - L«n>?oiay - d'Ai/éac’h. Autre ferme dite LE BE ST , contenant PO ares 80 cunUarcs. contenant 9 h. 99 a. 67 c., louée Mlso A prix : 1,400 Ir. jusqu’au 29 septembre 1917 A Troisième lot Mma veuve Jaflïès, pour par an 500 faines, impôts en sus. L E C H A M P Uno commission de 700 francs dit Parc - Langolwy • d'Antraon, a été payée. Mise A prix : 10.000 fr. contenant 80 arcB fil centiares. Voir les affiedes. Mise i prix 1 1,400 fr. On traiterait de gré A gré. Qualriômo lot S'adresser A M’ Boullier, no taire A Lam: ills L E C H A M P dit Parc-Blan-d’Anôac'li.SDUS la Etudes de M* COLIN, avoué-li bour, contenant 46 ares 80 cen. cencié à Brest, 4 bis. rue Vol taire et de M« ALLAIN, no* tiares. Mise A prix : 700 fr. talro A Ploudalmér.eau. ïrriV T r Par licitation, en l'éCinquième lot i h l l l u tude et par le minis tère de M” Allaln, notaire A Plom L E P R E oalméeeau, le lundi £2 m a r s dit Prat-Allaouec, contenant GO 1909, A une, heure de l'apresaros 72 centiares. mldl. Mlso A prix: l,i$ 0 0 lr. Pour tous renseignements, s’a § i v e r s (g h a m p s dresser A M* Le Boulc'h, notaire en l'io u d a lin é z c a n , nu torrolr A Plonévez-dU’Faou, du Ciéguer, dans Mézou-RumouPour extrait : louarn. MézoU’Cléguer, MézouH. GASSIS Brémelloc, et au terroir de La7914 avoué-licencié. :iosquo. Sur les ml3cs A prlxde 800 fr., Etude de M» FORGEOT, notaire 12« fr., 17;$ fr., 30 fr., 12« fr et 100 fr. A Brost, ruo tic la Mairie, 25 S'adresser, pour tous rensei l/r iV n n V l*ttr adjudication gnement«. A M» Allain, notaire A TfvivIPIlrj volontairo, en l'e* Ploudalmézeau, A M « Colin et titde, lo lundi 1» a v r il 1909, A Sorgoiard, avoués A llrest. 7912 deux heures après-midi. A D JU D IC A T IO N le uamedi Cea travaux «eront alvisés en 90 m a r s 1909, A une heure. D'une M A IS O N et .lardln, A huit lots. Kervadec, en L u n r lv o a r 6 , 2° R é fe c tio n de la louée A M. Oller, A l'année, moyennant 45 fr. c o u v e rtu re d u th é A tre . Mise A prix : UOO fr. 7899 (Un aeul lot). Les soumissions devront fitre laissions Etude de M* QUERE, notaire remiles à M. le «ecrétalre ginôA Plouvoru ral de la Mairie, le ieudi 1« avril, I T lW r r Par licitation Judiciaire, avant clan Heures du «oir ; elles 1Elll 1 L le mardi 10 m a r s 1909, devront Aire écrites sur papier k 1 uturoapiés-midl. timbré à 0 flr. 80, fitre mites tons Au bourg de P lo n v o ro , sur le nne première enveloppe cache obomln do Messlnou. tée * la oire et être ensuite pla Uno MA1SUN «ou« chaume, cées avec le certificat de cipa- louée 28 Ir. l'an, A François F<m> olté et récépissé de cautlonne- Jour. mentsoTtsnneseoonde enveloppe Mlae A prix : 800 fr. également cachetée. Autre M A ISO N soua chaume, Les cahiers des chargea, devis et plans de ces travaux sont A la louée A la veuve Créach, 30 fr. l'an. ¡»•position de» intéressés A la Mise A prix : U«0 fr. Mairie, Wïeat» du secrétariat, -Autre M A ISO N «ou« chaume, tous les Jours, dimanche« excep- louée A Yve» Mévol, 30 fr. l'an. Mlae A prit t MOO tr. Brest, le I mars 190». Sur le« trois derniers lofa 11 est Pour le Sinatcui-Malre dû une rente de 7 fr. l'an, «oit 3 fr. 50 chaonn. 7892 ** F e l z m » « Uaiz.tz T.ildlr ». — Un voluuio do 400 pages, texte breton ot traduction frimçalso, en sous criptio n : :t linncs. en Landunvoz. P amiable L A F E R M E En l etuuo, lo mercredi 31 D ’uno conionancc de 2 hectares 51 ares 71 centiares, louée jus m a r s 1909, A deux heures aprèsDE KKIIVAH/JOU qu'au 29 septembre 1910, moyen midi. Consistant «n : nant 310 francs l'an, plus l'acquit Maison d’habltatlon, bfttimi'ntn d exploitation et dlvenen piècvs des impôts. MUe A prix : 10,000 fr. de terre, pour uno contenance to On traiterait avant l'adjttdlca taie de 7 hectarcs 72 arcs 82 ceu* de MER-BENET tlon, en cas d’otlrca sufiisauten. tiare«. En la communs d’Erffw<5-ArOette ferme est louée à M e l, au bord de la grand'route Jean-Marte Hlon, j asqu’au 29 sep Etude de M» CHEMINANT, no m de Qulmper A Concarneau. taire A Salnt-Renan tembre 1915, moyennant un ferContenance : 30 hectares 16 majtede45P ftanc« l’an ot l’ac i wmnnv P'lr adjudication aros 50 centiares. quit des Impôts. il VEilllIIiEi volontairo, le sa Mise A prix : «0 ,0 0 0 fr. Mlae à prix t Trelie mille medi H a v r il 1909, A une heure, Pour tous renseignements, flranca, cl, 13,000 fr. en l’étude. s’adresser audit M* Manièro. POUR KXTflAIT : Etudu do M * DE RODELLEC G. FOUBNIER, DU PORZIC, notaire A Saint7929 uvoué-llcenclé. en la commune de l'ioum oRenan. ________ g u e r , comprenant bâtiments d'habitation et d'exploitation, A V E N D R E terres de diverses natures. nE gué a onÉ D'une contenance do 19 hec Le vendredi a v r il t m fi tin. s 02 ares 56 centiares, louée En la commune de Plonm odeux heure« trois quai lu du noir aux consulta Pelleau et Quéré, g a e r. auront lieu à la Mairie de Brest, movennant 770 francs l’an et los le* adjudications cl-après : lui pots 1 A prix : « « ,0 0 0 fr. V , A g ra n d is s e m e n t Mise S adresser, pour renseigne louée A Yves Fitlohou, Jusqu'au d u c h a n tie r de THar- ments, A M* Oheminant. 7935 29 septembre 1916, moyennant 530 francs l ’an et les impôts. to lo ir e e t c o n s tru c tio n Etude de M» CHEMINANT, no En la commune de P longonv e lln . au bourg. taire A St-Ilcnan d ’ u n e fo u r r iè r e ù l ’A b a tto ir m u n ic ip a l. o D e u x iè m e lo t La ferme de Kerpieroc seront : lundi saint : la vortu blonfnlsanto do la loi ; mardi saint : la forco roproaslvo do la loi : mercredi snlnt : dovolrs ilo la conselenco vis a vis do lu loi ; vondrodl saint : la violation do la loi dans la Passion do Jésus-Christ ; dlamucbo do Pftques : Allocution é la comm union géuéralo dos hommes : l'accom pllttoment de la loi dons lo sacrillco euchailstlquo. Commo 1rs années précédentes, los conféronces et la Relr.illo Pascato sont publiées en fascicules (qui paraissent lo luodl ou mardi suivant le di manche où elles ont été prononcées) par les soins do la llbialrle P. Lolhlelioux, 10, rue Cassette, à Paris, au prix do 2 fr. pour lu Fiance et de 2 fr. 35 pour l’Etrangor. Ou souscrit égaloaient dans tcuU s los librairies catholiques. |EN VENTE A L’IMPRIMERIE du (fo u r r ie r da Finistère B R E S T — 4 , ru e d u C h â te a u , 4 — B R E S T Deomp da dezuz er » Ml z B l a n K a l o u n Zakramant, un volame Zakr «Jezus, par M. Le in-8 de 350 pages, car tonné, I fr. 2 5 . Penaos karet JezusKrlst, par M. Gab. Mi- lin, nn volame ln-13 de 272 pages, c a r t o n n é , 0 .9 0 . Ccz, recteur de Penmarc’h, un vol. in-12, demi-rel. basane racine, I fr. I O. Mlz Mari Debuasl, par M. Le C oe , recteur de Penmarc’h, nn volume in12 illustré, cartonnage élé iT.Ar P e v a r A v l a l gant, I fr. 2 tf. lakeat en nnan), par M. I.-V. Lourd, par M. ’abbé Caér, un volume Madec, un volume in-8, ip-16 de 384 pages, car illustré, cartonnage élé tonné, 0 .7 fi. gant, I fr* Î 1 80* Année. — N* 1.828 Samedi, 20 Mars 1909. - T H «CENTIMES Abarz ne vezo grcet eun tenn, e lavarer goulskoude e c'hourc'hemenno an Aotrich d'ar Serbi roi he aotre, l'reaz ha krenn, didan 18 heur, d’ar jocchamant a zo bet diwar-benn ar Bo ni hag Ilerzegovin. Hag evel ma n'eo ket bet kaset an urz-ze c'boaz, e choum eun tamuiik Ihiaus da zlarbenn ar brezel. An dalc’h a zo brema gant an Ita’i hag ar II usi. Evit gwir, ar l'Vans ha BroZaoz, hag an Allemagnmuioe’h e'hcaz, azo p:est da roi ho asant d’ar pez e deuz grett an Aotrich e-kenver ar Bosni hag Herzegovin ; ba ma karje an Itali hag ar Ituai ober kement all euz ho zu, ar Serbi a rankfe piega, p’e gwir e deuz lnkeet an aller, evil ar pez a zeli out-hi, etre daouarn rouanteleziou braz an Europ. Mes an Itali hag ar llusl eo diez dezho obar hevelep tra, ar genta abalamour ma chachle war-n-hi droulans ar Montenegro, bro he rouanez, — ebeo abalamour ma kollte dre ze istim rouanteleziou blan ar Balcans. Oaspenn-ze, o piega, roue ar Serbi a welIe raktal he fco'îl oe’h en cm zevel enu he enep. Pebes kudenn, ae’hauta I Start eo hor o’halon onn ho»1 o'hrolz lia atartoe'h ur Uroaie onn hor Broizl... CE QUI SE PASSE Le conflit C a illa u x - P l o a r d t ’est apaisé. M. Caillaux s'est décidé, non sans peine d ’ailleurs, à donner à son collôtjuo los 100 millions dont il avait bisoin pour remettre n otre llotlo en état. La dépense «ora répartie sur six ou sept exercices, à raison de 30 millions par an. Il faut espérer que ces millions ne seront vas i/aspillés criminellement, comme lest trop souvent l'argent d u contribuable. • * * ¥ Le budget est on d é ü o lt do 190 m il lions. Vendant les vacances de J\1r/uos, M. Caillaux va étudier un cortain nombre de mesures pour assurer l’équi libre budgétaire. Contribuâmes à vos poches et soutenez toujours u n ffouvornoment dont la politique mène la France à la ruine. * * L e g lt lm u s , le député nègre do la Guadeloupe, est arrivé, on so rappelle, à Paris, après deux ans d ’absenco pour se laver dune accusation de concussion, que ses adversaires politiques de France faisaient peser sur lu». La commission de la Chambre dos dé putés q u i s'occupe de son cas, a com mencé son enquête, q u i est loin d'être favorable aux ennemis de Legitimu s. Ullt a entendu M. Ballot, ancien gou verneur de la Guadeloupe, dont la dépo sition met en fort mauvaise posture M. Milliès-Lacroix. Celui-ci avait donné l'ordre de combattre par tous les moyens l'influence que Legitimus avait acquise au m ilie u de «es compatriotes, et de protéger coûte que coille les intdrflts poli tiques de Gérault-Kichard, au tre député de la Guadeloupe. M. Milliès-Lacroix donnait aux colo nies le mot d ’ordre donné en France : mettez tout en ceuvro pour abattre le candidat qui nous qêne, et faire triom pher le candidat ami. Mais M. Ballot « parce que, dit-il, il est u n honnite homme » ne marcha pas. Une telle indépendance fut aussitôt punie. M. Ballot fut relevé do son poste par M. Milliòs-Laorotx, q u i ne le trou vait pas assee souple. Car nos radioaux considèrent comme un crime de lèse-majtsté tout refus d ’ob tempérer à leurs ordres, si iniques soient-ils. 4 * Lo coût des guerres. La Chambre a été saisie d u rapport de M. Massabiau sur le projet déposé en 1902, en vuo d u règlement définitif des déponses dt l'expédition de Madagascar. Le chiffre des dépenses est fixé h 'J l . m . ’i i l fr. 7C, dont fr. 08 pour le ministre de la guerre, et V7.C55.757 fr. 18 pour celui de la marine. I'our frais de l'expédition du Maroc, u n nouveau cahier de crédits supplé mentaires a été distribué à la Chambre. Il so monte à 11.298.MO francs. Sur celte somme, 5.859.15a sont demandas à la charge de l ’exercice 1008. D autre part, afin de permettre h l ad m inistration de la guerre de remplacer le matériel prélevé sur les approvision nements et les services pour l'expédition du Maroc, le gouvernement demande l'ouverture, sur l ’exercice 1909, d u n crédit de fi.439.2C2 francs. O b e r va fa o tr ia o u a n k 1 En deiz ail edomp o kaozeal hon nao asamblez diwar beua prena keuneud, ha Fransa dioe'htu : « Ear ves eo pegement a arc'hant a vez dispignet sod ganeomp evit ar marc’bajouZC. * — « lie ger eo ar c’heuneud, Fransa ? » — « N’int ket ; mez var zigarez prena keuneud ez euz banneou a fors, evel m’on deii re a arc’hant er blzac'h. Hag evit tout eo memes tra. IVenit'bizin, prenit keu neud, kit d’ar laavpe d’ar marc’had. deuit d’ar liDurk d’an oilisou pe d’ar pardouniou, ato dispignou sod. » Kaoz a zavaz neuze. Ha deuz an eil ger d’egile e teujomp d'hen anzao : ar baotred iaouank a zispigu r.’., te ubred. ha re zod. Re. Gwelit petra c'hoarvezaz varlene gant mab Bela G. Hen-ma a îoa o vont d’an aot da glask bizin, diou leo deuz ar gear. Ar vam a roaz dezhan eur pez elz real evit kaout he voued hag he vutun. N’oa ket fall evit eun hanter-dervez. Ar mab drouk ennban goulskoude : « M ’em bezo ugent reai, pe n ’ez in ket I » Kaer e oue, ne zelaouaznetra, hag ugett real a raukaz da gaout. Mont a reaz da vizina. Da noz, eun amezek a ziredaz daved Bela; tt .4 « Deuit buan, o map zo o vont ku.t : pilet eo bet diwar he loan pa ’z oa mezo dall bag ar c’har zo bet paset var he stomok. » An ugent real o devoa great kalz vad dezhan, neket? — Ilag ato evolse. Eur paotr iaouank, pa rai he zervez-sul gant elz real, a gavo dezhan beza bet euz ar re fura. Evit ar pardouniou. ar guenneien a za kuit evel divar nij IVar frlkojou, n’e-uz ket aoualc’h gant ar pez a zébrer bag a ever ouz tao! ; an arc'hant a zev ar godeUou, red eo diüpign. lied eo ober va laotr, ¡ve I Ha da be oad c koumaa3er 't Hugale pcmiek vloaz, aveae’h ma vezont goest da c’hounld bo boued. a c’boulen ho fevarreal ben sul. ha ue zistro guennek ebet d’»r gear. Ila n eo ket epken gonlen eo a reont, mes reklami evel ma vije ar vam f jrset da rei dezbo. Hag e?lt pîfra kement-se a archar.t? D'ar c’herent eo paea an dillajou, ar boued, tout. Ar potr ne ïonj nemet eva ; paea d'ar reali hag abaco eun tourne ail dezhan, — chom eun heur, diou heur, pemp he.ur memes dioe’htu var ar c’hezek koat (guclet on euz groat. gant hor. daoulagad) . — c’boari kartou beteg dek ba daouzek lur var ar memes taci, — ha me c'hoar c'hoaz t Pe c vezont r '* bin^idik, pe e vezont ro 7°Erlin, on enz Eonjct penaoz herpelouzar n i a » fall*ZC« Dam a lavare : red eo babitui ar baotred da esperi! guenneien, da rei bop sul, bep tnizenn d-a beni? evit eur Chef Retred, pe eur Mutuelle-Meladie, pe le Sou du Solde t. , ^ . Darn all a lavare: red eo bo lnkad da gompren peger sod eo ar c’hiz îo brema cc ho zouez. L i mottro & domicile les Journaux, tout oommo les correspondances, qu’ils soient isolés ou en paquets, ta n t quo cos pnquots no dépassent pas lo poids do 3 kilos. Nous ajoutons qao notre service des expéditions ost réglé do teïlo façon quo le Journal doive arriver à, desti nation lo samodl.excoptlon fuite pour quolquo» rares looalltés reculées du département. Prière do neus aviser do toutes los Irrégularités. tout agent qui «o croiserait le« bras, retutant de travailler. C O U R R IE R et les étubllsaemouts publics no peuvont remplir ul les charges plcuaos ou cultuolles nUironles uux libéralités a oux faltos, ou aux contrats conclus iur oux, ni Ion chargos dont l’exécution comporait riutervontlon soit d'un établissement public du culto, soit de tltulatros ecclésiastiques. lia no pourront rompiir les charges comportant llutervontloH d'eccléslastlques pour l'accomplis sement d'actes non cultuols quo s'il s'agit délibéralltés autorisées antérieurement i la promulgation do la présonto loi, et si, n'ouobstant l'intervention de ces ecclésiastiques. Ils consorvont un droit de contràlo sur l'emploi desdltes libéralités. Los dispositions qui précédent s’appliquent uu •équestre. Dans los eau prévus A l'alinéa 1 du présent paragraphe, ot on eus d'inexécution dos charges visées à l ’alinéa a, l'action en roprlse, qu’Uloaolt q u a lifie on revendication, en révocation ou eu résolution, ne peut éiro exercéo quo par les autours des libéralités ot lours héritiers on ligne dlrecto. Los paragraphes précédonta s’appliquent à cetto action sou3 los réserves cl-epros : Lo dépùt du mémolro est lait ou préfet, et l ’arrété du prélot ou Conseil de préfecluro ost pris, s'il y a lie « après avis do la Commission dépar te m e n ta l pour le déparlomont, du consoll m uni cipal pour lu commune ot do la Commission administrative pour l'étubllssomont public Inté ressé. E n co qui concorno les blons possédés par l'Etat, Il sora statué par décret. L ’ucllon soru proscrite si lo mémolro u'a pas été déposé dans l’unnéo qui suivra la prom ulga tion do la présonto loi ot l'assignation devant la Juridiction ordinaire délivrée dans les trois mois do 1a dato du récépissé. il 15. — Los biens réclamés on vortu du para graphe 14 il l'Etat, aux départomeuts, aux com munes et A tous los établissements publics ne sont rostltuablei, lorsque la demundo ou l’action sera admlso, quo dans la proportion correspon dante nux chargea non oxécutées sans qu'il y ait llou do distinguer si lesdllos charges sont ou non déterminantes de la libéralité ou du contrat do fondation pleuso, et sous déduction dos Irais ot droits correspondants payés lors do l'acquisition dos biens. » S 10. — S ur les blons grovés de fondations de messos, l ’Etat, lo < dôpartemonls, los communes et les établi; sements publics possesseurs ou attrlbutulros de.idlts blons devront, A défaut des restitutions A opérer en vortu du présent artlclo, mottro en résorvo la portion correspondant aux charges ci-dessus vlséos. Cotte portion sora rem ho aux Sociétés do socours m utueli constituées conformément au pgragrapho 1", «• de l'urtlclo u do la loi du 9 dé cembre 19J5 sous la formo de litres do rente noniluatlta, à charge par collo-cl d'asiuror l ’exé cution des fondations porpétuelles de messes. Pour les londutlons temporaires, les fonds y uiTCronts seront vorsés uuxdltcs Sociétés de so cours mutuels, mais no M a n d e r o n t pas du taux do faveur prévu par l'urtlclo 21 do la loi du 1" avril 1SU8. Los titres nomlnntlls soront remis et los vorsesements faits A la Société do secours mutuels, qui aura été constituée dan» lo département, ou a son défuut dans lo dépui'lomcul le plus voislu. A l'expiration du délai do dix-huit mois prévu au paragrapho t " , 0% ci-dessus visé, si aucune des Sociétés do socours mutuels qui vlouuent d'étro mentionnées n'u réclamé la remise des tltios ou lo vorsement auquel ollo u droit, l ’Etat, los dépuitemcnts, les communos et les établissements publics seront définitivement libé rés ot rejlorout propriétaires des biens par uux possédés ou A oux attribués, sans avoir A exécuter nucuno dos londatluns de messo grevant lesdlts biens. La portion d mettre en réserve, on vertu des dispositions précédentes, sora calculée sur la buso des tarifs Indiqués dans l’acte do fondation ou, A défuut, sur la base de» tarifs en vigueur au 9 dééumbro 1006. Cet avertissement n’eut pas le résultat escompté. Lundi dernier, au infime bureau, deux brigades de service se prirent de que« relie, l’une reprochant A l'autre sa tlódear A l'égard de la grève quo déJA cortalng employés préconisaient. MM. Léplno et Symlan nocourarcnt pour rétablir l'ordre. Dans tous les bureaux des buées formidables accueillirent M. Symlan et sans la proteotlou de la pollco, quelques employés se seraient livré sur lui & des voles de fait. Do nouvelles révocations suivirent ces Incidents. Le soir on apprenait que sopt commis des Postes, arrêtés au cours des manifestations du vendredi avalent été condamnés A bIx Jours do prison. Un meeting do protestation organisé ttussltôtrônnltslxmilloemployéa doH P.’l'.T. Los discours des orateurs furent nette On annonce qao M. Trabuc, Inspecteur ment révolutionnaires. « M. Symlan, dit un orateur, nous a trai primaire A lirest, aux prochaines élections législatives, posera sa candidature contre tés d'anarchistes I G’ostlutl’anurehlsto I » « M. Symlan, dit un autre, ostuu voyou. » celle do l'honorable M. Vllilers, dans la Aprén un débordement d'injures toute» A deuxième circonscription de Brest. Al. Trabuo espère snna douto quo les ins l'adresse do M. Symian, on vota un ordre du tituteurs saroat scs plus dévoués courtiers Jour par lequel touto l’asslstanco acclamait élcctoraux. la grèvo gi'nóralo des Postes, Télégraphes « No vous lalssoz p.is prendre, par lo et Téléphones. bout du doigt dans l'engrenage de la poli l/ordre du Jour a été suivi. Car mercredi tique militante » disait Jules Ferry, aux soir on comptait A Parla plus de trois millo Instituteurs, en 1881. « li vous aurait bien employés participant A la grévo. vite emporte s et déconsidérés tout entiers. » lin grand nombre do leurs camarades so Si nous étions les amis de l’écolc laïque, rendaient encore dans lea bureaux mais re nous montrorlous. l’opportunité, toujours fusaient tout travail. Et la situation était tollo que dans la actuelle, do ce conseil. L'ln»t,ltutour no peut que perdre un peu soirée do mercredi des million« du lettres de sa dignité en dovunant le serviteur d’un étaient on souffrance au principal bureau parti, d’autant plus que le soleil du lende de Poste de Paris, quo soixante millo télé main A l’horizon politique, n’est pas tou grammes n ’avolcnt pu y ûtro expédiés faute ae personnel, et quo Paris était Isolé du jours cclul de lu veille. Lo bruit court aussi, que le gouvernement resto du pays et du mondo presque totale ment. Lo mouvement gréviste gagne lu a donné l'ordre u’étudler lu géogrupblo politique du département en prévision d'un rovlnce: ou annonco quo les employés es principales villes de Franco vont so futur remaniunent des circonscriptions électorales. solldarlsor avec leurs camarados. Les ciiconscriptions seraient taillées Le gouvernement déclare qu’il no cédera dans la carte, non pour grouper des com pas aux Injonctions des grévistes. munes ayant une communauté d intérêts « Les employés, dit Otémenceau, veulent économiques et commerciaux, mais pour la bataille ; nous l'acceptons. » donner au candidat officiel, un champ élec A l'heure où nous écrivons, 1100 révoca toral tout préparé. tions d’employés ont été prononcées. L'Intérêt du candidat gouvernemental, On espère uiiUor ainsi la révolto, mais y passo celui du pays. réussira-t-on 't C’est donc l'ordre ; depuis qu’ils sont au Vendredi, la Chambre des Députés pouvoir, les radicaux sacriliont les Intérêts s’occupera ue la grève. Le ministère croit île la France A des intérêts étroits do parti. que la majorité approuvera son attitude qui veut paraître énergique, mais qui n ’est peut-être quo fanfaronne. O. L. ÉPIDÉMIE P.-S. — Jeudi, la situation s'était aggra vée. Les télégraphistes et ambulants de Le préfet du Finistère vient d’adresser A Paris en grève avaient augmenté. L as facteurs d'imprimés so sont égale tous les maires du dépuitement la circu laire suivante ment Joints au mouvement et ont voulu en Dana pluslours départements appiraU sont de traver lo service des facteurs de lettres, puis quelques semaines des eus do méningite qui veulent travailler. Jeudi matin, Ils s'introduisaient A la Hc- cérébro-spinnlo épldémlquo. Jo vous prlo dntliror l'attention dus médecins cct:o principale, d’où la pollco dut les ex sur la nécessité do la déclaration Immédiate, pulser. l'Isolomoul dot nmlndns, la détlulcotlon rigoureuse Eulln les ouvriers des lignes ont aussi, et l’obiervntlim dos suspecta. par solidarité pour les agents et les sousUno surveillance spéciale des écoles A la premlòro nlerto est Indispensable. agonts votóla gièvo générale. Pour prévenir l'oxtouslon de co redoutable A Brest, quarante agents auralont signé I15mi, dòn qu'un cas sora constaté vous m'eu l’engagement do cesser le travail. Jeudi nvisoroz télegraplilquomont, alla quo Jo vous soir on no comptait encore quo onze man fusso parvenir du sérum untlniénlngooocolquo. quants au travail. On a conslaté trois cas A l'hêpital mari Le gouvernement considérera comme ré time de BrcBt. voqués tous les employés, qui n'auront pas A l’hospice do Lesncven, on signale un roptls le travail vendredi soir. Il fait assurer tant bien que mal, lo autre cas assez grave de cetto maladie. L ’n v c n l r d e l a p c t l t e p r o p r i é t é r n r a l e Du sérum a aussitôt été envoyé de Brest. stuvlco du télégraphe A Paris, par les Puis, on annonce ereore que deux cas ee soldats du génie. Alais ceux-ci n'ont pas, Dimanche, A Pans. M. Ii aau, mlListre de cela va saus dire, le coup do main du pro sont déclarés A Lambézelleu. Une Jeune fessionnel et les dépêches s'expédient aveu fille de 14 ans est décédée. L'autre cas est l'agriculture, prononçait un discours inté ressant au Musée social, sur la propriété également grave. une lenteur pénible. rurale. Lo ministère, qui pendant 21 heures no Voici l'analyse d’une partie de son dis ut recevoir ni expédier une seule dépêche M è r ito A g r ic o lo cours : Iplomatlque, a pris (ÿ!S précautions pour D'uprèa lo ministre, la polito culture m l proporue lo service Important des affaires extétlonnolkm ent .supérlsura a la grande sur le terri Sont, nommés chevaliers du Mèrito agii curos fonctionne normalement. toire agricolo do la France. Seuls, dlx-hull départe cole i Alln que l'on no puisse reprocher aux ments accusent l'iuférlorlté de la petite culture nu MM, Joau Ansquor, propriétaire-cultivateur A révistes leur nnllputrlotlsmc, lo comité de double point do vuo dos moyens do production el Plnulilnoo: Cnrlou, nialro do Lunglo, en Urnai grève avait fait savoir au gouvernement dei résultats économiques obtenus. Mais sur les arts; Guillaume Danzò, A Ponnaïun, eu Goulven; dlx-hull, Il n'y n qu'uu département duns lequel qu II était prêt A lui fournir huit télégra osopli Pellé, publlclsto A lirost ; Jeun ' Salami, la graudo oxplollatlon paraît tendre A étouffer la phistes pour la transmission des dépêches ngrleultour A Purlodjc, on GjuIIcu petite. diplomatiques. Daus les dlx-sopt autres, r ü la polito culture Mais celte offre a été déclinée. est iuttrlouro, nnllo part la polito exploitation Néanmoins, lo gouvomoment s'inquiète n ’ost absorbeo par la grnude. lit mémo dans noaf do plus on plus do l’extension du mouve.. départements c oit la grundo oullure qui balsso pavillon dovuut la moyonuo. ment et un annonco qu’il est prêt A Uébir 8u r l'onsomblo ilo nos quatro-vlngl-gjpt dépurquer M. Symlan. SI co délestage do la bar lomonts, U n'eu est que d«ux dur.s h-squ^L-s on que mintstéilollo avait lieu, lus grévistes uisse signaler dopala vingt ans ua mouvement reprendraient lo travail. o concentration do la propriété, lia dehors do A l’heuro où nous mettons sons presse, cos doux départements, où lo résultat d'eusemblo la Chambre discuto un outre du Jour sur est Incontestable, on no peut citer que quelques la grève. réglons, dans quolqu-j* départements où par auito Ainsi que nous lo disons dans la partie de circonstances »pédales la grundo propriété Nous sommes obligés de renvoyer A la «emulno prochalno, le compte-rondu dos bretonne du Journal, le Journal Officiel du oirqnèto »ur la pctlto. Gortalns départements no sauraient donnor llou 14 murs courant a publié la liste des biens débats qui seront sans doute violents. Le A uno appréciation d'ensemble A c.iu»o de la confisqués aux établissements publics du mtnlstère, croyons-nous, en sortira vain diversité dos observations d ’après les réglnns culte ayant leur siège dans le dépaitemcnt envisagées. queur. du Finistère. Il est difiloll«' do chiffrer les pertes que La situation ost demourée scn»lbloment slxC'eut de cctto date quo couit le délai de tlonnnlre daDs trelio départements. Partout ail va causer au commmco et A ('Industrio la six mois laissé aux ay.vnts-drolts pour grèvo. Mais 11 est évldont quo cetto crise leurs, lo nombro drs petits propriétaires a uugva Jeter uno perturbation énorme dans lo revendiquer leur part des biens ainsi dis monté dopais vingt uns, et la surluce lotalo do la petite propriété ¿’ost accruo. Los départements mondo des affaires, perturbation qui, A ue traits de leur d(;stlnution. dans loiquols cotto tendineo s'ost révélée sont au Voici o,e que dit A co sujet l’art, i) delà prolonger, prendrait les proportions d’uou nombro uo trente-six. loi du 13 avril 1908 : catastrophe. f CHRONIQUE LOCALE Cuisine élactorale S S S G y Les biens S Un Pèlerinage Breton à Montmartre Un pèlerinage populaire, organisé par len sociétés de Bretagne, a eu lieu dimanche, A 3 heures, A la basilique do Montmartre. Mgr Duparc, évêque de Qulmper et de Léon, y a prêché en breton. Le pèlerinage était présidé par le géné ral do Kerdrel. ATTENTION AUX MONNAIES GRECQUES Lu Chambre vient d’apporter son appro bation A une convention monétaire, signée le \novembre dernier, ontre la France, la Belgique, la ürèüo, l'Italie et la Suisse. Un artlclo spécial de cotto convention prévoit qu'A partir du 1" avril 1009, et psndant un délai de quatre mois. c’est-A-dlro jusqu'au 31 juillet, les monnaies grecques continueront d'êfro reçues par les caisses publiques de Franco, ae Belgique, d’Italio et do Suisse, pour ôtro retirées de la circu lation et mises A la disposition du gouver nement hellénique. Passé ce délai, c’cst-A-dlre A partir du 1" motit 1009, ces monnaies cesseront d’avoir cours chez nous. De la monnaie neuve Le ministre des données décidait 11 y quelques années, de procéder a la rofoute ues pièce de î>0 centimes antérieures A 1870. Les adminlauationt! do 1Etat furent avisées qu’il y avait lieu de retirer de la circulation los pièces A l'efllgle do Napoléon III lauré. L’opération a été longue ot le directeur du mouvement général ri<!S fonds a dil rap peler aux trésoilcrs-piiyours généraux do France et d'Algérie les instructions précé dentes par une nouvelle circulaire. Ue retrait est presque terminé et les « So ndeuses » remplaceront bientôt la p.us grando partie des pièces de 50 centimes A l efligio de Napoléon III lauré. Il convient do falro remarquer que ces dernières pièces qui resteront on circula tion no seront pas démonétisées comme les pièces A l'efflglo do Louls-Phlllppo ot de Napoléon non lauré. La môme opération de refonte so fera dans quelque temps pour Iss pièces de 1 frano. Par suite d’nn aooldent survenu ven dredi, au cour« du tirage, & la prenne du Journal, deux départa Importants de l ’aprèa-mldl ont été manqué», et de oe fait un grand nombre d’anonnôs et de dépoaltalraa ont reçu notre dernier numéro en retard. — 11 noua revient, de dlvera côtés, que certaine facteurs font des dlffionltéa pour prendre tel paquets des tin«! à nos dépôts. Nous rappelons que les facteurs ■ont tenu», de transporter et de re- S 3. — Touto action ou roprlso, qu'ollo soit qnnllfléu en revendication, en révocation ou on n so lution, doit éiro Introlulto dans la delul ol-an-és déterminé. li le no pout être exercéo qu'on ralsou do donntlous, do legs ou do fondations pieuses, ot seule ment pur los nulouru ot leurs héritiers on llgno directe. Les »rréragos do rontes duos aux fabriques pour fondations pieuse# ou cultuelles et qui n ont pas ôté rachotéos cessent d'élro exigibles. Auctino uotlou d'aucuno sorte ne pourra fl'.ro lutoutOe a raison do fondations pieuses antérieures A la loi du ts germinal, an X. g 4. — L ’notloa pnut étro exercéo contro l’altrlbutulre ou, à défaut d'attribution, coulro lo dliectour général dos Domaluos, représentant l'Klat on qualité do séquestro. S r>, — N ul no pourra Introduire une action, do quolquo naluro qu’ollo roll, s’il n ’u déposé, doux mois uupnruvunt, un mémolro préuluble, sur papier non timbré, ontro los mulns du directeur général dos Domaines, qui on déllvrora un récé pissé, dulé ot signé. 8 0. — Au vuo do co mémoire, ot après a via du dlrootour des Domaluos, lo I’ rôfot pourra, on toul état de causo, et quoi quo soit l’état do la procé dure, faire droit A tout ou partlo do la demande, par un arrété pris on conseil do prefocluro. ü 7. — L'action sora préienléu, si lo mémolro préalablo n'u pas été dépoié dans los six mois A çomptor dn la publication nu Jo u rnal Officiel do lu liste dos blons attribués ou A attribuer aveo les chirgo.i nuxquollou lendits blonB soront ou doaieureront aoumls, ot al l'assignation devant la Juridiction ordlnulro n ’a pas été déllvféo dans los trots mois do lu duto du récépissé. Parmi eus chargos pourra ôtro comprlso colle do l'entrellen do» tombo». 3 s, — Passé cos délais, Ion attributions seront définitives et no pourront plus étro attaquéos do quolquo manière ni pour quolquo cause que ce soit, Néanmoins, touto porsonuo Intéressée pourra poursuivre dovant lo Consoll d’Elat, statuant au contentieux l'exécution dea charge» Imposées par le» déorots d'attribution. 8 9. — Il on sora de mémo pour les attributions folios après solution dos litiges soulovéos duns 1e délai. I 10, — Tout créancier, hypothécaire, privilégié ou uutro, d'un établissement dont los biens ont élé mis sous Bôquostro,; devra, pour obtenir lo avement do *n créanco, déposer préulublomont touto poursuite un mémoire Justificatif do sa demaudo, sur papier non llmbro, uvoc plé;os A l'apnul, au directeur général dos Domnlnos, qui on déllvrora un récépissé daté ot signé. S 11. — A u vu do oo mémoire ot sur l ’avis du dlrootour dos Domulnes, lo préfet pourra, on tout état do oauso, et quoi quo soit l'élut de la procé dure, décider, par un arrêt p r h en Conseil de prélooluro, quo lo oréanolor sora admis, pour lo t ou rarlto do sa orôauco, au passif do la liquidalion do l'établlsiom onl supprimé. Ü la. — L'aollon du orôaucler sora dédottlvamunt éteinte si lo mémolro préalablo n'a pas été déposé dans le» six mois qui suivront la uublloallon du Jo u rna l 0/yicfof prosorlto par lo paragrupho 7 du présent article, et si l'asalgnatlon devant lu juridiction ordlnulro n ’a pas été déli vrée dans los neuf mois de ladite publication. ü 1.1 Dans toutes les onusos auxquelles s’a p p li quent les disposition! de la présente loi, le tri bunal statue commo en mallèro sommaire, con formément nu tllro X X IV du livre I I du Codo do prooéduro olvlle. L e i frais exposés par lo séquestre soront, dans (o u i les oas. employé« en frais privilégiés sur le bien séquestré, saur reoouvromentoonire la partie adverse oondnmnée aux dépens, ou sur la masse générale des biens reouelULs par l ’Ëtat. L e donateur et les héritiers en ligne dlrecto soit du donateur, soit du testateur ayant, dès A présent, Intenté une nollou en revendication ou en révocullon devant los tribunaux civils, sont dispensés des formalités de procédure prescrites par lés paragraphes 6, 8 et 7 du présent nrtlole. { 14. — L'Klat, les déparlemonts, les communes K Le concours national annuel agricole de Frauce. a eu lieu la semaine dernière A Paris. Parmi les lauréats du Finistère nous remarquons : Animaux grau Rapice boi’lne, race brelonno. — 1" prix, 2' A 3- prix, M. Bleuzen, A St-Yvl ; 4', M. Pornès, ot Ploiiéls. Espèce bovine, races étrangères. — 6’ prix, M. Jacob, A Ploudliy. R a c e b r o to n n e p ie n o ir e M ai .ks t " section, m im iu x do dix mois A deux ans. — 1" prix, M. B îu ô Lo Founloun, A Sulut-Yvl 2', 51. Boni' Pornez, A Plonéls ; 3 , M. II'«rvô Feuntoun, A Ergué-Armel ; 6-, M. Joan D inlon A Korleuntoun-Malguéuuc ; moullon lionornblo, M. Louis Feunteun, A JErgué-Armoi. 2- section, animaux de plus do deux ans. — 1" prix, M. René Lo Feuuteuu, procité ; 4', M. Louis Feunteun, précité ; prix supplémentaire, M. Ilirv o Feunteun, précité; monlluu honorable, M. Boné P o .u iz , précité. F em ell es Í " section, génisses de deux A trois ans. — 1” prix, M. llené Le Feunteun, précité ; 2-, M. Joan Danton, précité ; 4', M . Louis Founteun, précité ; 6\ M. René Peruez, précité ; prix aupplémehtalre, M. René Pornoz, précité. 2- section, vaches do plus de trois ans. — B ip p o l de 1" prix, M. Lo Feunteun, précité ; 1" prix, M. René Feunteun, précité ; a-, M. Danton, récité ; 4', M, Louis Founteun, précité ; 5 , ,. Hervé Feunteun, précité ; prix aupplémentairo. M. René Pernez, précité. DU F ÏN IS ÏÊ R Ü S que, dont i’ob!et principal était la nomina tion d'un président en remplacement du regretté M. do Kerjégu. La réunion était piesidée par M. Ülhan-Poudec, vice-proaldent, assisté de MM. Vincent Inizan, secré taire général, et Tü. Nicol, trésorier. M. le président, après avoir déclaré la séance ouverte, donna la parole A M. Vin cent Inizan. maire de Kernouès, secrétaire général de la Société hippique. M. Inizan adressa un Dommage ému A la mémoire de M. de Kerjégu, qui était prési dent de la Société hippique. Puis il fuf procédé au vote pour le rem placer. M. le sénatenr Plchon fut élu président A l'unanimité* Il remercia les sociétaires de l'honneur qu’on venait de lui faire. Au banquet qui suivit la réunion, M. Fortin, sénateur, le félicita de sa nomina tion. Les principales notabilités et les princi paux éleveurs de la région assistaient A ce banquet, ce qui montre l’intérôt que l’on attache A la société hippique de Lesneven. Voici la liste des primes décernées au concours: na gaver ket neuze c’hoas na vlou na gwenan hian, mar zo pourvlsion vad a vel, neuse a c'helfer besa sur, bag ar gwella tra a vefe da ober neuze a vefe reunlssa annezi gant unan al, rak eur vlnores a zo kondaonet da slsparlssa d’ar mare man deus ar b'.oa. Ar gwenan na c’hellont ket beva eb eur vam, setu perag a vez gwelet a beb mare kestennou bag u vez eat ar gwenan kuit deus outo pe maro, pitra benag ma vez c hoas kalz mel en ho. Ar re n'ho deus nemet kestennou plousa vefe ivez mattese kontant da c houzout ba beza o dr us minoreset. Cetu amán meura voyen d’en em »navezout.Dagent», divoallit o kwenan pa vezo eun dervez tom, ha mar velit unan benag dtlalnur ; taolit evez mad ma so c’hoas gwenan en’hl ; ha mar velit an nezo o vonet hag o tonet cb digas netra, petra benag ma sukuesont lakat prez; eb aou d’en em l'asia e c’úeUt lavaret : honman a so minores. Mar velit unan al gant pelilnl a zeulo kals pollen, mes deus pabini ar gwenan eleac’h monet var edn d’en em siíama ebar* er gesten a lomo da drel ha da sistrei, en dro dezi, a ielo ebars, a zeulo er meas eb en em slsama evei pa t* Poullclics do deux ans. — 1" prime, 160 fr., Hclle, A M. Louis Grall, do Gulssény ; a- 130 fr. vefent en em dromplet, hounes a so ivo Ariano, A M. Joan Cnlvez, do Coat-Héal ; 3\ ktsi sur eur vinores. 120 fr., HoUsndc, A M. Aluln Pondavco, de PlouEur voyen al a so c’hoas d’en em anadanlel : 4-, 100 fr., llervcltno, A M. Gabriel vesout ; goudo eun ncbiut derveaiou brao, Hernot, de Plouédern; 0-, 100 fr., Illlh rtn c A lt deus ar mintin da gavet ho kestennon, M. Sêbastion Bayer, dn Ploulder ; a\ yo fr., rolt eun toi gf.nt ho torn var gostez ar ges lldldna, A M. François Tournellec. de Plouguln : ten o peus douetans varn'hi, hag e klefot 7', M lr ., Hortensia, A M. J. P. Iiordonculf, de Daoulas ; 8-, 80 fr., Hélise, A M. Jean Kéromnès, eun trous, bag a veso krón da genta, mes do Dlrlnon ; !>•. 80 fr., Hirondelle, A H. J.-M pebinl na bado ket peí, hag a lelo beb eun Tranvonèz, do Trémaouézan ; 10', 70 fr., Hiron tamlg var sloula ; ma na glevit nemet au delle, A M. François Coulolgnor, do Plouédern : trous se, neuse eo m»d ; ar vam a so eno ; 11", 7^ Ir-i llorplieltne, A M. Yvos Le Iilban, de mes er c hontrol mar klevit eun trous ;mkeBulnt-Thonun ; 12-, GO fr„ Belle, A M. H om l ntus ha paius, mar peus lakeat an diiurs C lnn v rll, do Landerneau ; 13-, CO fr., //oussfn«, ebars er gesten, neuze: a c'helllt beza sur ho A M. Joseph Uellec, do l’ioudnniel ; 14-, 65 fr ! Bello Aline, A M. Gabriel Uernot, ds Piouédorn ; peus afer eus eur vlaores, hag ar gwella 16', 65 fr., llérolne, A M . Yvos Hozec, dn Trégatra a c’halfac’h a vefe reunUs« an ne»¡ gant rantoc ; 10', 60 fr., Hermine, au même ; 17', 60 fr. UDan al ; sr gwenan a «o en’hl a zeuio da Paysanne, A M. Vincent lloscongar, de Dlrlnon ■ grenvát eben deus pehinl a c ’balfoc’h tenna 18’, 45 fr,, Julie, A M. Hervé Callec, do Hanveo ; eun ed gwenan m ai e lin mis maë pe e PJ', 45 fr., Hermionc, A M. Sezny Forlclier, do komansamant mis even. Pioudanlel ; 20% 40 fr., Hirondelle, h M, Dorrlen Lavaret a veso desc’b amfta e poent hag Hernot, do Plouédern ; 21 -, 40 fr., Ju lie , A M. Vincent Dodennec. do Lesneven ; 32-, 35 fr e mare peños en em gemer evit kementse. Patrie, A M. Louis Lo Pape, do Plouédern ; 23-! Mea da c'hortos e fel din rol aman eun 35 fr., Lira, *i M. F r a n c is Pallnec, de Plouldor : ali mad d’ar re o deus c'boant da denna 24-, 30 fr., Houlette. A M. Yves Mnrrae, de Plouprofit eus ar gwenaneres. Arabat eo kredi danlel ; 25-, 30 fr., Harmonie, n M. Louis Baron, ar sorc’beüiiou kos, bet ivantet an d¿,rn do Loperhet. vransa a aner.o gant tud eb gwíeges Ráese Primes supplém entaires. — : •• p rim e , lluchetle, eun dervez eun dea a la t a « din : « Me A M. Yves Lagadec, do Plonoanlol ; 2-, H iro n delle, A M. François Vlgotirou::, rto Dlrlnon ; 3-, emez'hau a meus bet eun ed pwc/jan ha Hélianthe, A M. Jean Dénlel, de Dlrlnon : 4-, n’endevoamam ebed, mes gant eur pena Hcrm ionne, A M. François Pengura, do Ploudalouzaouen an troc’n (Plantin) me a meus nlel ; 6’, Herzne, A M. Guy Moblhun, do Ploudaratnplaset. dás'nan ar v?.in. » Red eo besa nlel ; 6', Hélène, A H . Yves Ileyer. de Ploui ior : aimpl evit kredi traou evel-ic. Peños a 7-, Rouen, A M. Pascal Frémont, do Trémaouéz^n ; vete deuet ar gwenan da gemer eur ps.au 8 , H irondelle, A M. François Lo Hest, do Lope'het. loitzaouen an trac’h pe sclauvaj eúc eur 2* Poulkhes de trois ans. — 1” prime, "40 fr., vam? ha peños arpean louzaouen sea vela Gennalno, A M. Josoph Boucher, de Landorneuu ; deuet da zovl, hag e sortiefe gwenan eue e 2‘, (i',10 fr., Gavotlo, u M. A lain Pondaveu, do viou ? Ken buan ua devije esseat roi din da l ’ioudanlol ; 3-, 080 I , „ Glandlne, A M. Stzny gredi a voa mojen da ober eur yar gauteur Forlchor, de P ioudanlel; 4 -, 080 fr., Germaine, à skolpaden. H . François Coulolgnor, do Plouédern ; 5-, r,80 fr,, Nan, mignonet, an hani en deus c'hotnt Gentille, A M. Je<m Marrec, de Lesneven : 6-, da denna prolit eus ar gwenan, ar gwellan 2301r., Glorieuse, A M. Goulven Cornée, de Plouéen d*us da ober eo Kemsr eur íevr evit en dorn ; T, 180 lr„ Givette, A 53. Yves Lugadec, de Plondenlol ; 8-, 170 fr., Gironde, A M. Jaan Bozec, emhentch* (traité d'apkulture). bjzae zeus du Folgoflt ; 9 , 170 fr., Giroflée, A M. J.-F. Kerdeus outho e gallek meur da aort ; ar p >r. a doncuir, do Duoulus ; 10-, l7o Ir„ Délice, A M zo da rebech des’ho alies eo int sirivet e François Léost, de Salnt-Méen ; 11-, 170 fr., Bigallek braz evel a vez lavaret, ha dies da clielte, A M. Jean Calvoz, de Plouvlen : lagompren evit an dud lia n’ho deuz nemed 170 fr., Girofh, A M. François Vlgouroux, de D l nebeud a ze«k*durez. E Brezonek na an* rlnon ; 13-, 170 fr., «¡nulle, A M. Louis Blhanvezan nemet unau, a zo bet great gant Poudec, du F o lg o il; 14 , 70 fr., Gazelle, A M. Gabriel Hernot, do Ploliéderu ; 15', 60 fr., G u ir J. L. Henry, de.ns Lennon ; hetn» a 7.0 fcur lande, A M. François Vlgsuroux, de Dlrlnon : 1G-, levrik a briz iziii, hag a ro tout an «sp'.ica 60 fr., Stella, A M. Goulvon G aban, de Saint-Tho. tionou netesser evit teona p<irt¡ euz ¿ir r an ; 17-, GO fr., Itouan, A M. Pascal Fremnnt, do gwenaneres. Kavet a vez da breña e ty an Trémaouézun ; 18', 60 fr., Belle étoile, A M, Nloolas aouf^ou Le Bo.gae, 4G rue Saint-Tvai hn G«on, do Pioudanlel ; 19-, 60 fr., Chéria, A M. Brest, e ty an autrou Gorcuf « KastelUn Yves Marrec, dn Pioudanlel ; 20-, 60 fr., Glvrictlo, hag e ty an hini a aeus c-a gret, J. L. Henry C M. François Fily, de P ioudanlel; 2 1 ', 60 u-., Georgettu, a M. Y v ei Bellec, du Folgoél. dens L/innou. ¡'rim es supplém entaires. — 1 ’« prime, Ciaflic, Evit seis gwennîk avez k*sset dre ar A M. François Lagadoo, do Ploulder ; 2 -, Gazetto, pOSt. Ar liW E N A N B Il. A M. Jean Mairec, de Lesnoven ; 3-, Rosette, A M, Lmils Grall. do Gulssény ; 4-, Créait Mlgne, A. M. Claude Le Itoux, du Drcnnoc ; 6’, Gcstno, A M. Jean Fugon, du Bourg-Blanc. J lo r h tlx Le concoure annoncé n en lieu lundi 15 aprèamlill. 16 animaux ont été présentés, 7 ont été pri més, Voici lo palmarès : 1" prix, G itana (Cornfactor et Bohémien ; 1909, Bohémien), u M. Juan Lo Roux, do i'Iougourviîftt ; 2-, Gatlé IV ainqueur ot Mortaçjnc). A M. L-mls Guéguon, do Piougourvoit ; 3'" Diou (U nann et l'ajoll, i 3J. François Lo B liu n , de Saint D îrrlen ; 4', Rosette /U nann et Otd lim ej, A M. Louis Donval. de Bodills ; 5-, Gentille (Adonc et Monlmlratl), ii M. Kerrlen, do Tuulé ; 6 , Coqueluche (U nann ot Bon Vivant ; 1909, Original), A M. Félix liodérlou, do Plouniveutor ; 7', G ertrude IDenm ark vig ot Kersain/l, A M. Philippe Q uim éuer, do Tsulo, Cinq mentions ont été de plus décernées : 1 " mention, Galoche, u M. Guillaum e Huon, de Plouguonaud ; 2', Gauloise, A M. François Brochec, do Plougourvcst ; 3', Galerie, A Si. Auguslo Martin, do Plounéventer ; 4', Giburne, A M. J»an Corncc, do Plougourvest ; 6-, G lodina, A M. Alain Becarn, do Piougourvest. Le jury était ainsi composé : MM. Dupont-Aybervltle, directeur des haras ; de Todqufdec ; commandant Seigneur ; Gravot. Do nombreuses notabilités assistaient aux opé rations du concours. A rro nd issem e nt de G hateaulin L'I concours annuel do pouliches aura lieu A ChAtonulIn, lo 22 mars procli dn. A 1 h. 1/2, poul ies contons do ChAteaulIn, Lo ' Faou, Ployben et Crozoo. Il sera a ttrib u é : Primes do reproduction, uno de 250 fr. ; deux do 200 ; une do 150 ; deux de 100 et deux do 60 fr. Prim e de conservation, une de 400 fr. Pour les can.ous do C aih a lx , Huelgoat ot CliAtoaunouI-du-Faou, lo mémo concours aura llou A Carhalx, le 24 raars, A 10 heurea du mallu. Primes do reproduction : uno do 170 Ir. ; une de 130 ; une do 100 et deux de 50 francs. Los concurrents dovronl so f jiro ins-rlro : A CbAtoaulin, lo jour du concours, avant midi, et A Carhalx, lo jour du concours, avant 9 heures. A rro nd issem e nt de Q ulm per Lo concours aura Heu A Qulmper, lo 23 mars, A 2 heures do l'apuV-raUl. n tera distribué commo primes do reproduction : uno de 250 fr. ; deux de 200 ; uno do 160 ; doux do 100 ol u e u i de 60. A rro nd issem e nt de Q ulm perlô Le concours auru lien pour l'arromilssemect de Quim pcrlé. le 23 mars, A 8 h. 1/2 du matin, A Bannulec. Ii sera distribué commes primes d'oncouragemeul : une de 260 fr. ; une do 200 : une do 150 ; deux de 1(J0 ; une de 70 et doux de 50. Eun taol lagad war ar Gwenaneres G’hoas eun nebent sunveriou, hag ar goAnv oro’huitaio, evit rol p'as da eol doDS an nevez amser, pehinl a zeulo neuse da doma on douarou. Neuse e savo varu’ho a beb seurt bnkedou, ar parkeier bag ar prajeler a v<¡zo henvel eus tapiasou marollet, ar gwez ive.z a viako ho maatllU glaa, R a o * F r o m e n t B r o to n n e p ie r o n e o ar gwez froues, mar pllj gant Doue, a ;euio M ales ad?rre da veza cvei bren:A t e zeus eur Section, anim au x do plus do doux ans. — 2' peonad so, gant ho mantiili gwep, da prix, M. Guillaum e Jacob, A Plouülry. íaoucnat kaionouarveasldi, ha da brometi F em elles d'ezho eun eost p u lí: peb tra var ar 11* so'.tlon, génlssos do deu.v A trois a n s — moaslou en em rejouiago. prix, Itsné Lo Founteun, A Bt-Yvl. Neuze lvez e vezo gwelet ar wenanen 1 section, uacfio» do plus de 3 ans. — Montlon honora blo, M. René Pornez, A Plonéls. vian, Ujer ha laouen, o sortial eur e frlson Race Jersiaise. — f> prix, M. Lo Feunteun. goAuv, e peioíic'h e zei bet dalhet epad an Haeo lhirham. - 1- prix, M. S lblrll, A Ploybor. amser ful, evit roonet da susa', ekaleriou ulirht. ar 11 '.ur, au necíar, gant pehinl a raio ar Bïndcn lie vachos laltiùres, — Races do momol dellslus se, a veze gweclnl kiniget yonne taille. — a> prix, M. Lo Fountoun, A 8t-Yvl. evel magadures d'an doueou. Gwelet e /taco urslonne, pie noire. — Doux plaquettes vezo o vonet eus an ell lleuren d'eben, eb d urgont, pour mftlos ot femolles, M. Lo Fountoun. hean hag eb Bkniza, ken c deveso dastumet PlUX n'ENSEMULE e beac’h ; ncuBe e tistrolo buan d’ar gear Race brelonno. — M. Lo Founloun, A Buint-Yvi. evit en em zizama, ha vactal o partlo BmniuE ne B uetaone adarro evit kommans a nevez ar memes Médailles d’argent : MM. Ilonrl Coadou, A Plulábour ha kana ar memes son ; ha brema RUlfun ; F. Lodan, A Locunoié. Médalllos do epad c ol buez ar loanlc blan se a recombronze : MM. Yvoo Bohee, A Lanm our ; Lo Gay, mansí ar memes labonr, bemdez pa veso A Loaneven. brao an amser, ken a gwezo evit mad var BEiinnE na toute rnovuNANCn an doclicn a heuor en eur ober e dever o Médaille d'argent : H. Ladan, A Loounolé ; m¿kenver e societc. dalllo do bronzo : M. Yvos Bohoc, A Lanmour. lia ni gwenanerrien va mignonet, a vezo CinnES mad dcomp gwelet ha boza ema or c'hesDlplômo de môdallio d ’or ; M. Félix Guvon, A tennou e stad vad, ba ma ne maint kct e Fouesnant, 1 ’ vezo red deompo lak atjan eost adostaj Montlon honorabio M. Louis Ladan, A Qulmparlé. poent eo lakat ar mekanlkou en etnt. Da guenta, red eo dcomp gwelet ha na kct deuetunan benag da veza minores. CONCOURS DE POULICHES vefe Evit ar re o deus kestennou teretonnek an dra man n'eo ket dies; goudo eun nebeut Lesneven devczlou tom n'ho deus nemet digorl ar Le concours de pouliches de’deux ans et gesten, ha mar kavont vlou ha gwenan Dlan ebars er c’hoar, e c’hellont beza sur o de trois ans do l'arrondissement do Brest, organisé par la Société hippique de Lesne man gant'ho arvam ; mes ma na gavont na vlou na gwenan blan kazl sur hounes a ven, n eu lieu A Lesneven lu mardi l(j mars. eo m inores; red a veto c bialta eun ell l,e matin, A 10 b. 80, avait lieu la réunion gwcch aben deg pe daouzee detvez, ha ma générale des membres do la Société hlppi- B (g h r o n iq u e V é té r in a ir e t e s c o liq u e s du c h e v a l — Le moi colique Ind q 1e. non une nu:adin, mais un syin_>tôm~ de piciîieurs »ITectiocs de l’.ippareil gastro-intestinale. G'e»t-à- .ire qu on a pris l'habitude de donner ce j>om aux douleurs qui réimlteut d'un certain nombre de m alaiits de l’ab Jomen. Les eoüquet peuvent Ctre eu: s A vne foule d’affection'j, mai3 principalement A l'indigcisti-.a de l'estomac ou d ; l'iattsiin, a une hernie, A une affeotloa de* n ias ou de la vessie. L’indifestion *tom».caIe, fréquent j chez les animaux Agés, n’observe souvent après un repas trop abondant, »urtout niiez les animaux gloutons qui ont les dent» usées ou inéguiièrea. Dana les cas d'indigestion intestinale, les aliments contenus dan* l'intestin ae décomposent rapidement et provoquent la tyrnpanite ou l’indigestion Kazeuse, c’est-à-dire un accident rapide ment et facilement curable par une inter vention énergique. Tantôt les aliments e’ae,' cumulent, tu tassent, se durcissent et obitraent l'intestm, donnant ainsi origine aux peiotca stercoralea, bleu comuus. Lorsque les coliques sont occasioanées par une hernie (herale inguinal-: étranglée surtout) ou par quelque <>fï c'ion de ¡’ap pareil urinaire uop opéiation immédiate est toujours nécesnaire. La préîence du vétérinaire est donc dans toua leu cas ab solument indispensable, soit pour recon naître la cause des coliques, soit pour ins tituer un traitement ratioacl. Dans tous les cas, U prem ère chose A fiiie est de bouchonner le cheval ave : un bouchon de paille ou de foin, s-uif ie ventre, sur les fiance et les reins. S! lo t.:mp3 le permet, on doit promener doucement le cheval, toujours au pas, jamais au trot ni au galop. Toutes les heu es on adm mstreia un lavement froid A l'eau de son, de savon ou de décoction de graine de lin. Si m;.!gré ces soins les coliques augmentent, ü es» très utile de frictionnc* le ventre et lea membres avec du vinaigre cbaud, de l'essencs de térébenthine ou avec un p ’u de farine de moutarde. Oa doit, également s’efforcer d’administrer par la bouebe, avec les préc«utiOiis a’usage, des br< uvagea tièdea ; du vin chaud, du café, du thé, etc. Si lea coliques devienuent trop violentes, la présence au vétérinaire eBt, comme je le dis plu* b»ut, ind spensab e. D>ns bien des cas le praticien a, selon la nature de l’affectlon qal donne la colique, A aa disposition (s'il n y a pas d’opération A fair< ) des médi caments très énergiques, qui o aprèa l’ex périence de ces dernières années nous ont montré avoir des propriétés réellement efiicaces. G. JURIDIQUE Des règles p articu lière s au x baux à ferme (suite). — Rappelons exactement l’énoncé de la question que nous avons A résoudre aujourd’hui. Vous avez loué pour plusieurs années un champ. Ea moitié au moins de votre récolte a été détruite par un orage ou tout autre cas fortuit. Votre bail ne contient d’ailleurs aucune stipulation relative aux cas fortuits Est c • le proprié taire qui doit, ou est-ce vous feimier qui devez supporter déliuitivement la perte ? L’article 1769 du code civil donne A cette question une réponse qui est un peu com pliquée. Voici d’abord ie texte de ia loi : « Si le bail eat fait pour plusieurs années, et que, pendant la durée du bail, la totalité ou la moitié au moins d’une récolte soit enlevée par des cas fortuits, le fermier peut demander une remise du prix de s i location A moins qu’il ne soit indemnisé par les récoltes précédentes. S'il n’est pas indem nisé, l’estimation de la remise ne peut avoir lieu qu’à la lin du bail, auquel temps II se fait une compensation de toutes les années de jouissance. Et cependant le juge peut provisoirement dispenser le preneur de payer une partie du prix en raison de la perte soufferte. » Il est d’abord bien entendu, comme je l’ai déJA fait remarquer, que la perte subie doit être au moins de moitié. Cette condition étant supposée remplie, la fermier qui a perdu par exemple les trolo quarts d’une récolte et qui a un bail de plusieurs années ne sera paa lbdemnisé de sa peite par le propriétaire.ai les récoltes des années pré cédentes, qui ont été particulièrement 1ounes, qui lui ont donne des résultats met)- ¡ P res ^ e jeux d’une récolte ordinaire, ‘ ont déjà dédommagé. Dans ce cas ce sera A lui et A lui seul de supporter la perte oc casionnée par le cas fortuit dont il s’aelt Supposons maintenant que les récoltes qui ont précédé la récolte aux trois quarts détruite n’aient pas été suffisamment bonnea pour indemniser le fermier de sa perte. Il faudra alors voir si les récoltes suivantes, celles que le fermiera A recueillir Jnsqu Alafin desonball que nous supposona être de plusieurs an nées, ne l'indemniseront pas. Gela, on ne pourra le savoir qu’A la lia du bail. A ce moment il se produira comme une balance entre les prolits et les pertes. SI la balance incline en faveur du fermier, si malgré sa récolte aux trois quarts perdue 11 a encore une moyenne de récoltes ordi naires, de bonnes récoltes ayant compensé la mauvaise, il n’aura droit A aucune in demnité. Mais ai la balance ae se prononce pas en faveur du fermier, si de bonnea années ne l’ont pas indemnisé de cette année fAcheuse où i! a perdu les trois quarts de sa moisson, il aura droit A une indemnité du propriétaire, Indemnité qui sera l’éqnivaient de ia partie de récolte définitivement perdue. Donc, en résumé, si le bail est d’un an, le propriétaire est tenu de im porter la perte de la récolte dès qu’elle eat au moins de moitié. Si le bail est d’une durée supérieure A une année, on fait comme un total de toutes les années du bail. Eï suivant les résultats que donne ce total, le fermier est ou n’est pas indemnisé par le propriétaire. Il n’y a pas A se ie ùissimuler, ce système e»t clair et d’une application facile en ce qui concerne le* baux d u^e année. Mais en ce q ’ I concerne les b.ux d’une durée supé rieure, il est surtout Joli sur le papier. Oa compri-nd que dès qu’il s’agira do mettre -:n mouvement une machine aussi c.'mnl"xe des diflicultéa sana nombre neitront. N «08 en examinerons une, ia plus importante, prochaiccokLt. j . jo . B O IT E A U X LE T T RE S s - u - — Pour que vous puissiez faire eu toute libe 1-5 dos ouvorlures daus ie m ur de votre mai son donnant sur ce courtli 11 faut que aepuls le parement extérieur du a u r ju s q u A u nunie das deux propriétés II y ait 1 m. 90. (A u cas où 11 v aurait des saillies sur votre mur la dlstanco devrait ôtro comptée A partir de la ligne exté rieure de ccs saillies). 61 vous construisez votre m ur i molos do 1 m. 9a vous r^e pourrez fai e que des ouvertures a verre dorra-nt et garnies ü ’un treillis do 1er dont les mailles auront dix centimètres. Css feoélros devront être A 2 m. 00 ou-dessus du sol au rcz-de-ch ius»''.; ot A 1 m. 90 au-dessus du plancher aux étages. Arrondissement de Brest BREST Les re tra ite s ouvrières Samedi soir, A 8 aeures, M. Fortin, séna teur du Finistè.e, a fait une confereuce sur les retraites ouvrières, dans la salle du patronage, rue S iin t Yves 52. M. Fortin a naoLt-é ce quia été fait A ¡’étranger, par ex.-mple en Angle'erre, cù les retraites oavriè'es existent. Sa confé rence fut très goûtée des assistants et M. l'abbé RouU ne fit que tradn're l’im pression de tous, lorsqu’il remercia cha leureusement l'orateur. Le « B o rd a » licencié A la suite d’une épidémie de grippe, I équipage et les élèves officiers du Bordi oni été licenciés. A ccident du to rp ille u r 109 Nous avona relaté ia semaine dernière la triple asphyxie survenue A bord du tor pilleur ¿09. Deux des marins ont été sauvés, mais le troisième, le mate'ot fusilier bre veté, Jear Séité, est mort da^s la soi. é j de jeudi. Séité était oriRinriife de Plougoulm : il avait 27 ans et venait de se marier dans son pays. S- s obsèques ont eu 'L u dimanche matia A 10 l;eur..s et demie. L’inbumation s'est effectué': au cimetière de Kerfautras. La douleur de Mme Séité faisait pnne A voir ; elle se trouva mal a plusieurs reprises et l’on dut faire chercher une voiture ponr lui pe. mettre d’accompagner ie corp3 de son mari jusqu’au cimetière. G rave accid ent de voiture Samedi matin, vers onze heures, M. Jean Le B-un, âgé de 24 ans cultivateur A Plouzané, descendait en char-A-bancs la rampe du Port de Commerce. Le conducteur avait dans sa voiture un veau qui se mit A crier et elï aya le cheval q ;i «’emballa. M. Le Brun prit les guiies A ciecx mains et voulut retenir l’animal, mais il perdit I’équiliore et tomba sous la voiture dont une des roues lui passa sur le eo ps Aprè3 avoir reçu les premiers soins dat » une ph<irm;.cle voisine, le cultivateur a été conduit A l’hospice civil dans un état asspz grave. Chute mortelle François IK-gi, (JO ans. domicilié 3, Allée du Cimetlè 'e, tombait si rca'heureusemi'nt. mardi, rue Porstreio-Lapierre, qu'oa dut le transporter en toute bâte A l’hospice civil. Lea meilleurs soins lui furent prodigués dans cet établissement, m às uue fièvre céréb aie se déclara et le malheureux mou rut, hier après midi, A deux heures. U n b é b é noyé Pendant l’absence de Mme Kuvennec, demeu rant rue Traverse 4, sou b ^ b i Agé de 17 mois, se penchait sur un baouet plein d'eau ot v tombait. Des voisins le retirèrent, mais II était déJA as phyxié, et toua les soins prodigués, ue purent le raineutr ù la vie. Guipavas M o r t s n o p o c te . — Mardi matin, mourait A l'hospice Ctvl. do Brest, J ja n Kérézeoa, 38 aas, de Guipavas. Uue blessure fut relevée sur le erdne, blessure qui pouvait faire nai.re ! bvpjthàfe que KerêzAon é tait mort des suites de celte blessure L'autopsie fuite fur i’ordro du parquet a montré que toute Idée de crime devait être écartée. L u m b ê zc tlc c Procès-verbaux. — \f. Proust, commis saire dtjfcp.ice de Lambéz- liée, a verbalisé crn‘ ro 'Wp-opiiéta'r-s de po-cbe.-i's non autorisées, qui amont â répondre, devant le tiibunal correctionnel, pour avoir contre venu aux dispositions de la loi da 3 mai 18SG sur les établissements Insa’ubres, dangeieux et incomodes. F o rg tro n blessé. — Ua ouvrier forgeron, nom m e Cloarec, regagnait son domlcl'e, A Penfîild, vers 8 heures du soir, lorsqu'il trébucha et tomba sur la route. Quelques Instants après, ses plaintes attirèrent des volhins, qal ielro u tôre nt d a n su u piteux état; sa )ambo et son pied gauche ne formaient pour a]lui dire plus qn'une plaie. Il ost probable qu’uno voiture lourdement char gée était venue a passer pendant que Cloarec étr lt allongé sur la routo. Quoi qu’il en soit, après des soins prodigués par le médecin des Papilles, le blessé a été trans porté A l'hospice de lirest. L an dern ea u L\iffalre de M . l'a b b é Jo n an n e . — ^'affaire de M. l'-bbe Jouaune sera évo quée devant le tribunal correctionnel de Brest, A la date du 2 avril. Pour le m aln tlo n de la garnison . — Uue lettre du général Jourdy, commandant 'e 11» corps daimée vient de réclamer 'aménagement d’an hôpital pour les mlli- tairi>8.' Le général disait qu’en cas de refus, les deux compagnies oe soldats quitteraient immédiatement Landerneau. Pour éviter ce dêpait. ie conseil municipal a voté un emprunt de 20000 francs destiné A l’hOpital militaire. L a n a llis L ’oseroquerl* -aux prestations. — Certains cultivateurs n ’aïuient paa payer en argent leurs prestations ; d’autre part, leurs occupations ne leur permettant pas tou j ours de les faire en n ature. Us s’adressent alors A des individus qui les font A leur place et touchent ensuite une rémunéra tion. Louis Lazennec, du village du Lia en Lannills, s’était fait une spécialité de ce eenre de métier ; tl h présentait chez les cultivateurs et les oommerçuts, leur de« mandait leur feuille do prestation et tou chait un salaire en leur rendant cette pièce portant la signature du cantonnier du bourg i oe qui, en l'espèce, constituait an »cnnlt. Malheurouaemcnt, c’cst que Lazennec n’avait fait aucuno prestation et n’était sim plement contenté d'apposer sur la feuille 1» signature du cantonnier. Aussi, quand le paroi),t ur rappela & sss contiltm ablts d’a voir A acquitter lour.x prestations, un cer tain nombre d’entre eux prcti^fcrent. L'affaire vient d.i a’éi.lalrelr et, A la suite d’une enqaôte do la-guudarmo'le, 11 a é té démontre quo L a z o n n c avait font simple ment fait (les (aux ; 11 a roaornu du rente le fait, en alléguant p n r s» défense — mi« le cantonnier, éprouvant certalres (llfllculti'a A écrire, lui avait donué l’autorlMtlun do slgnor pour lui. Il exlsto d’aanez nombreuse! victimes, parmi lesquelle j M. Joseph Luzennne, cul tivateur au village de Méréoten ; Mme Lun* von, commerçante au bouig ; M. H ulln, perruquier, otc... propriété saaoagéo. — Noua avons relaté, Il y a quinze Jours, que Pierre Vénec, fermier au Kérouartz avalt. et* poursuivi devant le tilbu nal correction ol do Broat pour avoir saccagé la propriété de son maître, M. lo marq H de Kérouartz, ot vendu à vil prix de beaux arbres. Le tribunal avait mis l’affaire en délibéré. I,o Justement vient d'fltre rendu Véi.ec eBt condamné à deux mois de pilson. Appel fier» M t deee Jugement. que 300 enfants sont venus régulièrement A ces eotsroloes. Dès le Jeudi lo ir les doux Pères Sudistes, lo P. l'rot ot lo P. Duguev prenaient oontaot nvoc la en donnant au garage de l’hôtol do '(«noe, mis graoloutomont A leur disposition, Ïiopulallon une séance de cinématographe devant person* 800 nos qui récitèrent sur l'invitation du P. rrot un « Je vous salue Uarle ». A la ntance aam.joi do 800 porronnes so plaçaient df loar S lua an» le mémo local devruu trop rcatrr'nt et anrôii avoir admiré la vie de l ■Puoelle d'O Ulani-, loua nomme d'uno seule voix, s-ilnèront, op èa le conUrendor, 11 vlorgo de Da.nrémy ot 1« glorieux Pontili) qui nous la donno oomme prot^nlrlce, pnr les orls do Vivo .leaune d'A-ol et Vivo P h X ! Los habitants d'Uuelgont étaient gantés ot on leur donna randez vo>a • l'ig lto pour le lendemain. La miratoti, présidée U première somalno par M. le obanolne ICirébrl, curé de H<oo. et la deuilèm e semaine par M. l'abbé Cretgnou, ouré do Ilannaleo. a été très sulvla. 1.4f0 communions, dont boo d'nommoa, ont été distribuées. Les 11. P. PiOt ot Duguey o u i m a tllftr lo» hommeu par lour parole chaud» et toute «iiostoitque. Pitlssont los hommes d'IIuelgoat gardor précleulom cnl et moltro ou pratiqua lu pensée mnllresso que lour ont lnl»»éo los l’ôros en les quittant. « Boynt virltablom ont dos homme», o’o»t-à-dlro uno volonté au nervlce do son dovolr ». M ord & to ui los 7.élé» missionnaires q u i nous ont rompu lo pnln de la paiolo do Dieu. McrcI A notro ïOio curé doyon, M. l'abbé üorct, qui noua a envovi dos m lsilonnalris. C o st lo falblo écho do cr qui »0 répète Ici. II«nlgont a reçu le grand blonlult do In tuUtlon ot olio a prolUé ; o'est neut> élre l'uuroro d’uue réiurrocllon. Un Idmotn. L o c - M n r ln - P lo u z a n fi In c e n d ie . — U n corps de b&tlments. comprenant nne ferme et une crûcho, a ôté détruit p\r le feu. au village de Kor-Hoatar, eu Lo>Murla-Plouzanô. Le fermier nomme Yves Gahagnou, n ’a réussi a sauver quo gon bétail, ot quelques ot.Jata mobilier.*. Tout le reste a été la proie de» flammes. Los portes atteignent le chiffre de 2.000 fr. Ploudnlmârcnu U n nonllou. — T^o o'irrlo” .Torxr Bernard, r,j ans, demeurant uu vlilaRO de Kornévez, en Ploudulmézoau, arrêté lo 3 ueptombro dernier comme étant l’autour du meurtre do la f'-m.no Arzel, vient de b in éllc'e rd un Don- !U n. Plonnflonr-Trez N o t a r ia t . — L’étude .le M* PaiCüOt, no taire. sera transférée A Urlgnogan. station balnéaire de Plounéour-Trez, A partir du 1" avril prochain. Demandez le « Courrier du Finistère » dan« toutes les Bibliothèques des Gares du Finistère. H rrondissem entjlB Ehaleaulin c u A lia tili» Réunion de» Beorétalros «t em ployé« do m airie Lu réunion générale de» s"orétalrca et finoloyés d e m eliied u Finistère nura Heu c.itto année A UnAteivullu, lo dimanche do Piques, i l avril. Concoure do lioano tenne dos form es In société ri’agrlcu ’ure lo (’M teaulln a décHé qu’un concouru p'mr la b >mio tenue des f*rraes aura lieu eu IU09 pour lo canton de Gbfttcaulln. Le o »n o irs atra Heu en rtiux séries : t» L u fr a io a d u n e étsndie d j ?■> hojtarai et tilu». ,, , , . 2° f ■.rmis d’ano é tm iu s do mo'ns de 2.') hcctires. Une somim de «OH francs onvl-on sert distribuée en primes,médailles et d>n O n u a . Les prix s«vont distribué le Jour du con«iu"S agricole annue', qui u îlou il:ins les premiers j utr*« de septembre. Une m esquinerie La commis ilo > de revlulon de la listo électorale u rayé do la liste do Gbftteanlln M (librici Mlonsoc, ancien député. M. Mlossec a protesté contra cette déHslou Inspirée par un esorlt mosquln et étroit. Mort «ublt« M. François Boclfl, marié, ftgô de 70 an», prò* suaié étro de Lixonlon, a été trouvé mort ou numòro 1« do la rua Notre-llamo, oA II habitait dapuls quo’q a o i mol». Los scellé« ont ctô npposis, E n c o r r a o t lo n n a lle La somaluo dornlòro, Mme V ie Bnudoullon, co ninaronutB 4 l ’ieybsn, s'élult absenUe toute la tourné 1, «t 1# loniom oln H u nr«, à soa arrivée, o"« lut n'flvonue p »r «a bonne (p ili y avait rt la Kjr» uu oolls Un marobandlse», q ui y était dépose, ot p irta n t l’adresso de « Lo Deo-Bôué, A Oo'irlo, oa vare de Lanuloa ». , , Or oe Lo lini r.’ôtult autre que son ouvrier lor- b'nn'ler. qu*i Mmo Oou loullen avait A «on iii<rvloe d>i,,til. le ÜS coVrmHra lilfW. ' d u i U ittJo'jllôu a i rn-i lit > la u f o et vérlrta lo cunteuu du oolls. Klle roooumit nussliét quo co co'is ronlo’ <n»U <!»» niarobanJlno« nu* lut avalant ét* vo'em. Datiti U imillo q ie L» Uoo avait p'ép irto et qui était oacore dao» la ehstnhre, on <10Couvrlt égnl^inont >»lu4leu.‘* Irtilllo.i tor brino, d u fou J* d<) llïtiKJ Ot d<s b&toaa de toidorti. Mis on état d 'n ir«4 talh n, Boa6 L a Uoo, 37 uns, ouvilnr lorblnnllir, orlKlaalrn da Pont l’Abbé, a comparu samedi. A l'andlonoo d«» Il tarant« **oM 9 et le trlb’J n il Va conlum "?' é c'nq mois do prliou. r n ih n lx Concouru d 'a u lm a u x do boucherlo et reproitm itoura — <* and coneoira unnui'l p "tr ii-s iteu*rrcm,,it'S du I*iPl^'ore et d u Gôî.:« Ju N->r:l doit avoli Uuu io Jeudi Î5 ot s iv.u i ' lx heures du ma tin. i:u • t-o rune dt*. I fiOO IVhuci sera répartlo at t p op t t irt * i. « u iinsnx reconnus les j ut p i r.atx do (»■t .rmatlou et les mieux prtîft'iéH p n ia imjtiherle. IIu v lK o n t Une mission ('ih fovrlar-l'i mar»l. — Dopuls n ans les babliants d’IIuotgoiit p'avalout pas In bonhrur do la mtsulon. Dé» lu lutioruil Uni cimdres une animation lu*olit^ rÎKt'ult duus la pallio vilîo, o éislentlos eufunts qulucoouralont nombreux A la retraite qu’on leur avait rénervAo avant l’ouverture de la mission. Disons de euile 15] r ettlilcton dn Courrier d n F ln l«t*r< i Maro eun Den a Galon f i e a v l» c ’h o u T re r 1 7 9 4 p o a n 3 8 T 1 ens m l* n r Rl*o) Er m»re-ïft o teuat da ftastobln ar c’helou ou ï viktor ur G'olrred war ar Glionnutcd e klchen ar Groa* Ru*. — i Kelou-mad, eme M ath iai, rak ma hell hor re breman Vemer ar maneriou, setu Laou bag Herrl daomp. » (U eï Kwalet hon our olec’h cUomn «n dro d’*r manerlou ar U 'hlarei oa ratifre goatlar Mogwe.n betok ar C hattel- Ne'»*. Dont a ralo re all war ho lerc’h, m ’ gwel- '.a refomp i .faker, oa dent da h mtr-vauuank. — « N i o kct nwaic.h if In. emex-hart outhan he-uu»u, puka au Herrl mour en dour, uiauteteur bt)l«4 ere ' o'trip, an dra*r.e a davvero dVxhan dck ps »ao urik vloaz traleon, mo* n ’«o ket *walc h i Hed oo d’ln d skouei skiear d'ar varnerlen ema gant Laou Treslgldy e penn ar Gtio lanted ha« e glask tenlcr ar c’houarnamsnt d’an traon, sklgna an dlautt dre ar vio I f t * ma harpep anerho ho; d»ou btcraan dloc htu, no h o llín netra : ar cweila tra am e m d’ober co rei a m ztr d ’ezho da * ,-tfctukn aoudardtd all ha goude stiglia e^ltho euu trap k u w mad. Met. knee, «etu axe eun d r « n a n e o k*t ea;.,, P a m o j #;*ln ft » P lo y b c n V ol. — KrançolB Goavec, 40 ans, char pentier à Satnt-IUvoal, revonalt de la foire do Obateaulln lorsqu’arruo *u vt la«e de D'illléROU, en Pl»yben, vers 0 heures du »„u, ii relitta dau* le débit tenu par le femme Dav.d, t ù se trouvaient également deux vanniers ambu'ants accompn,;i er d’uno fournis. . Goavec «e lit servir une bo«tellle do vu, qu’il vida ou compagnie des vanniers ¿t do la femme. Ayant afnnl fait coaiiaissat.ce on décida de faire cotre, uno Hudouiilo qui fut mangée, unoséo d» plujleurs litres do vin. Goavec s’endormit ensuite sur un banc, et Ason réveil, Il cons'atu qu'nno somme, de 23 nti 2'l francs lui avait <té volée de son portemonuale nul *o trouvait dans la poche île sa veste. Il soupçonna les vanniers • ambulants de lui avoi -souutralt. son argent ot n por^é plalote A lu ge>' (armerie. PonllaoiHMi O rande battuo a u x sangliers, -Coiu.ua la Sfiiiou est favorable, M. Gbancorelle, lieutenant de louveterlo de l’arrondlss^mont de Gbfttea'illn. a provoqué une remnrquab,o battuo aux sangliers, 'tar.s 1>s oavlrtioa de Poullaoupit et du Tlueltroat 1rs 13 et 14 mats courant, aidé de la plupart des meilleurs tublisde la régloj. Lo 13 mars, plus do quara: te chass 'urs s'étalent dopne rondes-vous dans les bols du Htllars et du Veuro'i-üoat, avec plus de lolxftoto chiens, lis o it pu faire sortir de «a retraite un vieux solitaire de 75 kilos, ou'lls ont tué absl qu’une laie. L* lendemain, maigpé une campagne plus dlfllcllo, un autre résrltat eut lieu et M. J -L. Lo liras put tuer u? autre vieux soü ■ taire, causant de graids ravages dans >a région. Arrondissement de lo rla ix K O H I t* %. Les écoles ot les dro its des pòrca de fam ille M. l'abbé Madec. dliec.teur df la Quinztiino Ouoi'iAre, f;ra, le lundi 22 m irs, A 8 nrurea du soir, dans U salle du put'o;. âge do S;»lnt-Uathleu. une'-o; lérenco publique g ir : ita projets Doumorgue» —■Un nouvel ¡ittenM A la liberti. — Les dnits des pòrca do /iiinillc^__________ M ort do M. Saout. M. l’abbé Saout, aumônier de la marine eu iciralte, est mort mercredi A 8 lieuret et demie du mutin, d’une entérite aïeul: A I fitte do 74 an», djns bu demeure de la vouello *ux Eaux. M. Siout avait ôté six ans vicaire aux Carmen, ¡¡> lirest; puis 11 devint aumflnler d u o a ir o . L sodistinnua p ir son dévouement pendant la efuerro de 1870 li se trou va t A Sedan. Apiò.s la etterre, il fut fait clievAllcr do la Légion d'bonneur. ho 1800, II prit sa retraite et, plus tard, se p ^ ' u i a aux éloctioos contre M Roullly, en 1802. Le servl.-e rr-llirieux a été célébré A IY l'IIs • Saint-Melutno. vendredi matin A 0 heures rt demie. Puis le corpi a été nirlii^ Hur Plougonven, d'on le délunt était Oi'ltflr.nlie. orut II dovolr poursuivre l'affalro qui n élé appeléo A la dernière sôanco du tribunal correctionnel. Go no sont pas los commerçants do notre ville, mais bien lours fournisseurs, de» négociants des vlllos d'Angers, L t Mans, fcjaumur, qui sont pour suivis on vertu do la loi du 1" noftt 190S. M* Perret, aoolen bétonnlor d'Angora ; M* Ch. Lelebvr». du barreau do M orlnlx; M- de Boa■iiil, au b j.'C a u do Pai tu. ont p aldo üu^oko inxin luiiir le» prévenu' l’iiicoiiipélono« Oli 1rib ■ nnl. l'a ont deinnndé tous par cono'uidous moti vées quo lo tribunal renvolo ces nlTal-rs d«vant les tribunaux dos localité« hablléos par les n#gooiants qui nnt fourni lo lièti s on question. Le ministère publlo a donné uu avis confoimo .............. snr l’Incldont soulevé. Le tribunal, après délibération, a’ost déclaré Incompétent et a renvoyé los Inculpîs devant k u rs jugoa naturols, Botmeur In a u g u r a tio n de l ’êgllse. — L ’église neuve de Botmeur sera livrée an culte, le 25 mars, fête de l’Annonciation, üe sera un Jour de lôte pour cette population qui l’attend avec Impatience. Il y a, eu effet, trente-quatre ans qu’une délibération for tement motivée, et Blgnée du conseil muni cipal et du conseil de fabrique demandait la construction d’une église. Elle est faite — du moins, l’essentiel est obtenu -- par souic iptlon voloi taire. D’architecture Blmple et modeste, vu la modic'té des resiources, elle est néanmoins charmante, de l’avis de nombreux visiteurs pt. blanfalteurs, qui. tous, en félicitent M. (lhp„s«»fi|e.d. ai coiteci« a Quiuip jr, ei M. jkUze, euticpn.ii,.u» a 13.^tp tris. r>tte p»*|f* pnrolssn a ronquis la sympaihifs d« tout<j U lég.uu, d.yu.s qu i. .a vue »<• m*tt 'e »1 rés > uui*rit à l’œuvre pour se cooetruliu ui,e éu,i&c. Auasi prévolt-on •ff!uen,’P deg narnisses voisines, si i h *9*i t mp8t<»u' i.e aféte. n o m in a m i A ccident m ortel. — Un marchand de vieux ohevvux coonu sous le ttiirroinde Per Yun Uazelr, est tornii de sa voiture en retournant (le la foire de Laidivlslau. I. est mort dans la nuit suivante. G u e r lc s q u ln L a foire (lo la mi-carfìmo — La f tiro dite de la ml-carême, une des plus impor tantes de l’année aisurément et qui d après l’aimaiacb postal doit avoir lieu le iuuii après la mi-carême, aura son véritable jour luudi prochain et non lundi dernlei comme la plupart l'ont cru. Aussi non« sommes heureux cle pouvoir anroncer aux é evetrs dp la région que la foire aura lieu luudi prochain et en même t mp<i nous les invi ond -j y conduire leurn béteu, aeauré* qu iis tout eciiaiuB d’avance d'y trouver nn otin déloucbc. L a u d lv ln lu u Asllo des vieillards Dans sa dernière séance, la commlsslor do répartition des fonds provenant d't p»ri mutuel eu faveur des œuvres de blerfi isancc a accordé à l'iiosri’.e de Q ifmoer une s jb /e itlo j comp'éiuut.ti.'e oe :w.0<'0 iranc« destinée avec celle totale de 150 000 francs allouée antéiieuremcnt, A l’aidera fairo face aux dépenses de construction dVn aiii e de vieilia ds. La commission administrative cet en oi.tre autorisé"' A affecter A l’exécution do ce projet une somme de 21 299 fran’S, provenant des rabais d’aJJuiicaMcn du projet primitif, L ’alcool m au v ais Quéré, A.é de 25 ans, employé comme ir humer A lauile d a.iénés, était ivre dimarche soir. Ver» »ix heures il pénétrait d.iES l’église Salst-MatMcu !e cri>M»u sur lo. tête et proférant 'e1: pirt-fW sspbèmes A l’adresse Ce. Pirp et de la re’irtrtr. Des liiè'.cs, qui p*Wjrri*, lui firent des observations sur sou ¿TOude scandaleuse. Noire Ivrogne leur répondit par des injures. Un honorable Qu'mpérois, aidôdu bedeau, voulut l’expuiset', mats s’échappant de leurs m»lns, Quéré entra dans le chœur et se dirigea vers l’autel. Blasphémant toujours, 11 scandait ses paroles do grards coups de polni? sur l'autei. L’honor; b'n Quimp‘!rois dont nous par lons plus baut, M dé C..., s'interposa en c- moment enf-e t’^rerguméne et le tabernac,!o, et réussit A l; m tîtriïer jusgu’A l’arrivée d’un agent de ville. Celui-ci eut mille peines A le conduire au poste, car Quéré, de plus en pins surexcité, se débattait violemment. Le le.rd main, Quéré dégrisé, manifes tait le plus profond regret de son acte de la veille. Ii u été cordamr.é A 40 jour* de prison avec sursis, et 5 f'ancs d'amende. L o s c h a u f f e n r u lm p r u d o n t n . — La cour d'appol do Bennes s’ost occupéo, ces Jours d e niers, de l’affilro sulvanlo : . . . Lo 23 lulllot dernlor, c'étatl Jour do foire à Landlrlslau, ot les routos eboutissant A cette com mune étalent encombrée«. M. K lounrd Lt hideux, repréioutant do commorco A Urest, e’y trouvant avec uno automobile, no lit rien peur r ai ou tir. Comme 11 de« !ondnlt A unis allure vertigl .ruse U còlo do L am paul, 11 ne put éviter ur.o voiture dans laquollo io trouvait la famlllo Paugam el In renversa. Le |auuo Matlmrln P'nugam fut projoté A terrò et subit de ce fait un ropos forcé de 15 jours. M. L»hidoiix, condumné seulement rt 10 francs d'amende avec, sursis, u fuit cependant nppel ; Il explique quo l'uceldi'hi ust lmput..lilii eu iUH|eiiro psitto au condacteur do In voltino. Bon dtfrnseu.', M1Vallée, a obondé dnni c i 8<ru ; m ^L 1« Cour a confirmé lo jugement do Morlalx. PIOUCHCtlt Les coursos — Los m "m hrps d ' 'a socié'.e d'-s courses do Piou'"<ea‘ s1' s u t réunie. I ’s ort procède * 'a vérilicitio t des comptes c* A ta fixation du Jour où auroct Heu les course* c r f r'. a o ic t La date dn 8 août f. été choisie I y "mra pept coifs s • t nne *rmime de 2.20(1 frauc^ aera disrrlbuée en p ix. P lo u g ’a s n o u Mise on lib erté — Nous avons nnnoncé que Mme Apnrl-n ^valt nrrC'ée, pour avoir, dipalt-oh, men»céson inan J* coups rte revolver. Le puquet, après etiquê’e. <> remise en liberté. l'io iifro u lm Préaentatlon. — Jeudi, 25 du courant, A 3 heuios, reprôsentall >n, clutiftonK (t^lr.lou le z lu Les tir * du i l * corps d’arm ée En J iln prochain, le général Jourdy comnnudant ie 11* coips d’armée, doit faire exécate' i"« H .td e guerre A PlouDéotir. U uer tvue LeLéra’e onralt passée a Morljix av o d .11 é d^ toutes les troupes. Ler. exorcices seront clos par une manœu vra d’at;aque comiiiuée contre le cbareau du Taureau. , , . , , Læ» trouves compret draient le 118* et te 10’ de ligne, une brigade d’infanterie co’onlale, atuol que des i.orps d'artllleria et de _________ _ cuvaleile. C o m b attan ts do 1870-71 Un banquet plein do cordialité et d’entralu a réuni dimanche, restaurant Ilnnpot, le* anciens combattants de la section morUlateuno. MM. E jillc Guéffan, présif|■rt ; ho'tnir Bolrov présldcot honoraire ; ilouiy AaUiiotix, v o i-président ; Alain Uuéinnic tiésorler: Bourgot, vice p éaldent d B vétéraus, ct,\, y assistaient. Plu«Iptft discours ont ■Yé prononcés, qui ont fait acclamo;' 1« nom tu président, M. Emile G u é g a n . ___________ L ’fttfftlro do c u R o u ti x A la sullo do prélèvements opéréa par MM. Blolmti tit lloii'dluon, Ciai inliaalros do pulloe, oboi divora u tg u nantit d" l > région, au mois do )u.n tlioa, on »’upoiçut q ia los aaos do t u lle cunl#nulent do nombraujoa uralnea do mlTTu e, st co dans une proportion ni|nnt do 18 graliio» a W.tOO iiralui-s p^i k lo (,‘M gralnos no pouvont so voir qu’à la loupo, ol 11 en faut a 60P.000 pour faire u n t ilo ). On sait quo ces gridnon de cuscute ronam t lo trèfle luutlllsable.- Aussi lo parquot do Morlalx g lilo u novez) ot conférences bretonne.'!. R o sco ff Bleseô p a r Hon choval — M. C 'ste.l, demeurant A Keravel a re<;u do son c'ieval un coup do pipd au frontM. le docteur Le Bag, t de Saint-Po - eLéon, qui iio guo le blessé, capô.ii q jeia guériaoù sera rapida. Salnt-Pol-dc-Léon M ort subite. — Samedi matin, vers 6 h. 30, M. .Tea» -Marie Mével. cultivât, uan Grand-l/»nvérpc, s’anpr6tait A sererrl'e en »llle et était occ tpé A atteler, lo sqail s'afTalasa soudain, frappé de congestion. A c c id e n ts .— Le Jeune Dellzien. A -é de G ans, j itmlt dans ta rue du Vezen-Dann. lorsqu'il fat renversé par une charr-tte A bras qui descendait la rue ; l'enfant fut soIki é par 41. le docteur Tuéb tut, qui cons tata ure fracture A la j'rnbe. Le lei,demain, son ieune fiè-e. a^é oe 4 ans, tombait dans b fe'u et se b;ûUit Rrlèvcment nus cuisses et au des. Rem onto. — Les achatï d j chevaux pour l'artillerie éf!tnt suspendus, le com té de remonte qui devait V'-nr A Samt-Poide-Léon merciudl prochain 17 mais, n’y eut pas venu. Arrondissement k t a p e r Bureau-Annexa et I X 'p r t t C e n tra l du Courrier du Finistère 3 tu o K o r é io x » , (jU IM P B U N o ta ria t L’examen A subir par le» ctrdidats aux tonctlo1'* de petalre oyint f.‘it leur staue dans le département du lùnittére, est fixé M o rt subite U'i sieur François Cïlliec. mendiait, originaire de II wpoiden, était dirige sor l'hospice, lo squ'il B’*flaissa subitement avenus de ir. ‘J are, dans: 1rs bras des deux personnes qui !e soutenaient. La mort a é e instar,taoée.___________ A m lle r n c Un m a rin écrasé à Toulon. — Le ma telot tailleur P..., ducnlias-é VAritè, origi naire. d'Audierne, marié et. rè-e de famille, a été écras5é par un tromway dimanche soir, alors qu’il regagnait eoo bord. P lc n v c n In fa n tic id e . — «adeieine Hé’ias, 20 ans, repasseuse au bottg do Plettven, est incu péc d’„volr, le 7 janvier, donné volon tairement la mort A son enfant rouveauné ; eiie t* avoué avoir Jeté ceiul-ci dans un étang si*ué \un kl'omè're de sa demeure, mais d‘iï-t'0 paît c-.le afiirtu- qu’au mo ment de. ba nalopance, l’enf. nt u a dr.rné aucun signe ri» vie. Marieleire Ilé'ias a été écrouée A la pri son de Quimuer. PliifiiilVau T erriblo acr.ide.ut de mine. — D i manche d rnlcr. l i ceturont, v^rs s'x hf-ures et det ie du soir, accompagné de son domeetique. Yves OUI»ier, -g4 de 47 ans, M. F r « Ç-ils B’i' eder, <8 at s, cu liva'eut', rtemeuran.t A Kerzerven en lJl'i(rulïtn, se re- dit dans nn champ dépenJaut de sa pre prlété A l’effet d’y extraire un énorme bloc le pierre. Ne pouvant réussir A l’aid» de ses instruments, Hureller décida de miner le bloc. Mais avant qu’il ait eu le temps rie s’abti tir convenablement une formidable explo sion go wodnii.it et Barbier r«çat deft éclat? rie pierre en ¡ V in•*. tigere. Quant A son (lomestiquo Olîivier. il à eu un bras décti quêté jusqu’au coude. Tous deux, aprè3 avoir reçu tes premiers soies d'ue médecin mandé en toute bii’e, eut c'é dlriKés snr l’hospice d* Quimpertit i's ontétéatm is Burelier qui e été le p'- s ép-ouvé, perdra probablement la w<' L amrutatiow du bras d'Ollivier a été Jugée nécessaire. Ce double accident a produit une grosse émotion A P!uguff?n. l’e n m c r lt E x pu lsion de Wi le recteur. — La Ré publique radicale p ut inscrire une nou velle victoire A son drapeau. S?s représen tants appuyés d’uue brigade de gendarme tic de Qaimper, de deux gendarmes de. Plogastel nnt eu raison de la résistacco de M le rect -n «le Peumerit, qui voulait con tinuer à demeurer d.\ns soa presbytère en vertu rie dro-ta acq iis et incontf-stb.bies, seins p^yer io prix d'une location1 La direction de cette expédition était confiée an '•^rr.misiaire de police M. Houciuer, J*. Q i:nprr ; süisté de M. Centur, bulssier. Avant de quitter aon presbytère, M. le recteur a lu une bei'.e. et energtque prote-’tation contre la sp':llatioa dont il é’att victime. I p u . H q ta le presbytère ae .é loué par uu con.-e 'a t municipal. P o u lla n Incendie. — Le 12 mars, A quatre hwres du matin, le feu se déclarait d t s la ferme de Co-entiu Mao, A Buzlt, en Poullau. Le feu prit d'abo-d dans la g ango oii é'alei:t renfermé» les instrumeniB aratoires. Tout a été complètement détruit. H a lai te communiquer également A l’étable. mais grAce au concours empressé de tous ;es fermiers des environs, accourus au se cours, oa réussit, junte A temp1«, A sauver les vacoes qui y étaient renfermées, A demi-asphyxlees, et, A préserver l’é'able et la maison d habitation. La grange ¿tait cou verte en ardoises et communiquait avic l'étable. Les meubles et les instruments aratoires étaient assurés. Les dégA‘.s s’c'èvent A 4.000 francs environ. Oa ignore la cause du sinistre. riaou-'amm etreïek Plsyben o sonjalkaout eno soudarded Laou uvit ho ukoar.ella. Ar G hluzed a ro war ho lerc’h ha beb mare unan bennak tizet gaut au tennou a rtii'l d'an douar. — « An enebour a comerán tech, eme ear vouei adren keln Jakez. » S ' Korkent dre ar rulou, eurvindennÇhouan ted-aa’ut.’ euB'arfc’h'» - * ■Kaitellln, war hent awalc’h abaone eun nebeud devezlou ha irlac'baret brar o wciet he vab Herrl o vont I -/ I t • • LE PÈRE » E FAMILLE EST IJN Ilospordcn M o rt snbite. — Lo 13 courant, vers nne heure et demie après-midi, M. François I æ Goc, Agé de 53 ans. vannier, demeurant A Hosporden, revenait, accompagné de sa femme et deBonfils,deConcarneau,traînant ea balladeuse. Comme l' pleuvait beaucoup, Le Goc quitta sa voituiette pour s’abriter au bord de la toute, lorsque soudain il s’affaisa dans la douve, pour ne plus se re lever. La mort avait été îuatantanée. M le duc'.eur Ijuc .s, de Concarneau, mandé, a décia;é que 'a mort était due A uue cot gestion a la suite d’une attaque d’épilepsts. T entative de sulolde. — Vers o u ïp . hen'es et, demie du matin, le 11 courant, la gendarme: ie ue JKospurden était prévenue qu'un corrmeucrm-'nt d’incendie venait de se di'c'arer a't domteite de Pierre-Charles Le Dû. tailleur d’r-afcits au bourg, et pitué A quelques mètres seulement de la caserne. Déjà, le plancher d’un cabinet situé au premier étage btûlait. Daus cet appTtement, dont la porte ôtait verroullee, se trouvait Le Dû. Les deux gendarmes mis au courant, la firent sauter. Il était temps, car la chainnre était remplie de fumée, oe.casionnée psr un réchaud, qu’une forte prov.isioe de char bon de bois alimentai». Tout A cOté, sur un lit, gisait Le Dû, sans connaissance, ritiant et respirant A peine, le bras gauche per dant laciertablemert au dessus du réchaud, carbonisé ju: qu’a« emde. Ouvrir la fenêtre pour établir un courant d’air et transporter le désespéré dans une chambre volsiLe fut l’aff iire de quelques secotidis. Et le commencement d'incendie se trou va bientôt éteint. A l'aide ds piqûres de morphine, le. doc teur Richard, qu on avait mandé, réussit A ranimer peu A peu la v'ctfnie ; de so-te u’au bout d’une heure, Le Dû était hors de anger. Depuis quelque temps, A la suite d'aifaites malheureuses, le ménage vivait en mauvaise intelligence. Quelques ¡estants avant cette tenta'îve de suicide, la f 'tnme avait porté plainte contre son man nour violences et voies rie fiit, p.t la crainte d’ôtre poursuivi avait pousré le m:»ri de prendre cette funeste détermination. M. le docteur Richard ayant jugé indis pensable l’amputation du bras carbonisé ds la victim'-, a ordonné aon transfert A l'bôp!tal de Qulmper. T réfruo nn cc In fa n tic id e . — Le parquet de Qulmper s'est rendu dimanche dernier ATiéguennec, pour y enquêter au sujet c'un infanticide commis p*r Anne Bernard Agée de 38 ans, venve Garrec, dnn'uraut au Dourg. Le cadavre du ¡’enfatit, r-é viable, a été découvert daus une armoire. La veuve Garrec a été laissée en libeité. zlllad hag cat raktal da sihuna H rri Hen man agouskekaled evel e rapeurvi i ion riud yaouauk evcl-t-han beb sonjul tan m er p -z a dremeno en*dro d'ezhan. Pa zeuaz Van enn be gambrlk Herrl a zihunaz enn eun taol ha pa weiaz he vignon djrazhan e teuaz tenval an dremm anczhan. — « Iluvreal a reo. a lavataz, e can eun M ath'az oa d'ponezet. — * Mc'a gav o’io, t mexb.au, e bellit l)*c- Iliz Pleyben, gant Y v o d b , bag an Aotrou man lakva ' an houarn ei 11 tan. Mcz I pebez persomi a vlnnige ac'hatomp. » — « Ah I yaouarfciz I yaonaukiz I eme kemm ette Jskez d«Bc h ba J-ikez birlo, n'am bile blkep B«ere]t! o oh c'houi a oa Yan gant eun dcisti^gez vraz ; ha lavaret ez oun bet eveldboc’h-hu ivel Karet am ina n’ho pije lavaiet d’in ho poa prenet an euz eur plac’h yaouanJt euz Lennon ba dillad-zcan nozripan. » — « RfcTíealgldyü’helfontkAtanavezout karet kalz, me: au dciz ez otn eat da ac'haneiun a gav d’ehoch ? Mont e ran c’houlsn anezt i da zimezi ne reax nemet c’hoarzin ha goapast en tul lavaret e oan raktal da c’hoarl d’ezbo cun troari lene, men umm avad hag a vezo lilstaget. Setu re zlvalo. Go-.ideze ex oun rat da /.ondarti hagabtoue. n'am cut ket betamzer d'ob r a rp ' z a c’houle-iuan dlganchoc’h, kommiier, c’houi a iliraso g u - z o riaou archer vii ettred. Mez, n'ema ket br<m>n sruiare da pmtn'a av trsou-ze 1 Red co iakaat ar kMounek frant. ri'llari leoueri.d ba g m t aimou. D.wal a refont an ti a bell ba ma Huc.'n w.,r.ar c'tuin. Heru r>rt eo terr.’iiel kievont etinu c’houitelladenu hi a zelilo d am dioc'htu. Kredit ac'hanoun, arabad eo koll ncuze o veilu gwall wasket. ma ne amzer. re bell bou euz gurtozet (Jija I * Herrl a dennaz eun huauadenu birr. Ne oa ket c’ho»z dout mad an delx ha zlkour, levont netra abenn div heur, e c belfout KouisVottde senti a roaz, gwlrka a rear, ar Jakez en em wlske. War he vuzellou ont d'ar rear, meatr e vezln er muner. » vsntell groo hi nn gaor hag be voirrou tco awa'c'h evlt <ur yar da gluja, war — « Mail, ktevet am eux, a lavaraz Maho vutellou hag n doa kollet ho daou thi iz, bo przot fiiianz ennoun. » iost malard, o dlj i a dra m great pll- Jakez a lakeaz dlou blstolcnn enn ho le— « Aze, prest oun, emeihan. » Yan n’bellaz ket mlret da c'hoarzln. ladur d'eur plllaouer p# d’eun trocher c'bodel ; he c’bourRlcze lemma dindan ho ruoe'b. !war ar r,er?.eJafiex a lakeaz mous* duulkcnn dragon, hag a gerzar. ctreiek l ’i <•- — « Neuze c'houi a gred o vlot kemeret evit eun toucher gant daouarn ken gwenn. tacliou griz ¡.gwennaa icazha vlco hag he sleldv en enr boueza war he vaz bag en vourennou hng etlin tculer a reaz war he eur obar ar c’hamm. E gwiriouez no oa ket ho bleo kempenuet ken brao? Mez Herrl I kéln an dnnlkcnn dragon en doa prenct ep ¿w all grenv hag czomm en doa da a'boella gn archer genaoueka euz ac c’harter a anavezo ac’banoc'h dioc’htu. » Tiiflut. Bellot a reat ermellezpurha tenna bo nerz. areaïoun huanadonnWrr. « N'eok#t fali, Herrl a zeuaz ruz-tan... « Gwir eo ». Dua X V III mez vMaiul*gt.a?l ema an dalc’h. » a reaz founnnz he zaouarn, reustla a reaz Rimer a /e»por grabateoa ieli «wepn ho vleo, ba iakaat a rea? en*dro d'he c’hou* R e T r'e s ig ld y o te r o ’h e l hag helakeik wat he jagad klelz *. « Mad D ’ar mare jottk eur mouchouer ruz. a gemere Jakez an hent evlt ao»reman, emeiùan, lkouen. Den nana* mont da DreBigldy, . E keit-se Yan oa dlskennet d’an traon. re ar maner-man oa war vmo J a k e z , a n A ’° 1 Katcll, labourere* euz an dib»b, a domme pavom non #pki ha. luriom p enn tao. A n aotfou Leekoat, hebkeo klanv afe evlt arveaobourlea* Yvqna a o'hrie an re a draou kalï, » ha Jakex a zorj j haga zUoije atao. , , — « Pelec'h an dlaoiil ema va spered... erreomp hor chonz ha greomp mad : selu : ü o n tii rsu da lakaiit va dlllsd dragon, gautho e vetln evel eut' den yaouank, llourik va ler.r ha gordlgelled msd va baro, va moïstacbovi. Llva a rlu v» birnj ha lakast a iio va breae’h enn eur ipoucbiiuer itag oe’h va f»ultrln. Baie e i lit (larnbleget, en» eur boitera wnr eur vnz ; «r stad.ae e i ion fia Dreiigldv ha me a Wvaro e vezin eur Bou dard goùllet o tout d’àr gear goude bo«a het poli er prizoun. G’hoarzit, Laou, danslt, Herti, Jaket u’eo ket c’hoaz m aiol I», evelse eo mad, finaoun gauthi, emeihaii hcTtinnn m u eur frota he zaouHTh. * An nozvcMte memèut, J*lfex a «emer^x eur wetur evlt Oot t d nn Tl-lfuz da brepa he r-lilad drpgott ; gwelilt hou eur. an< z'iau eno asfmblezK'int Katcll, mer. n’en doa ket taolet k o u n ttb ïd er vpoui z*ze a irblante d’cihan heza epr b»ouMT, rtlwar ar mfiaz. EentTîT , t . • on, Meur^v*ndeni> I \ Chouan c:''1’-• r au Jeudi 8 avril, A 0 heures du matin, au siège de la Chambre des notaires de l'ar rondissement de Qulmper, rue du Parc, n» 20. Les candidats A cet examen devront faire parvenir leur dossier A M. le président de la Chambre des notaires de l'arrondisseme-t de Q imper, le dimarehc 4 avril au puis tard enn eun tamm meter e vlje staget Ïrc’hftnt tu dindon davantell Herrl. A r p l a c h yaouank oa evel eur rozen goenvet dlsilvet* C A l’ITALdont les revenus assurent l’exis tence de sa femme et de ses entants. Son devoir est donc de les prémunir contre les effets de sa mort prématurée. L'assiirnncc com plète que l’a n cienne Com pagnie « Le Fbénlx » (entreprise privée, assujettie au coot-01« de i'Eoatl est seule A pratiquer, permet au père de famille d’as»urer, oans tous les cas, l’avenir ncs siens. Ce contrat garantit le r is q u e de g u e r r e gans aucune conven tion préalable, ni surprime A payer au mo ment de l’entrée en campagne, et sans que l’assuré ait-A se préoccuper du paiement des primes qui, p» t':mp* de guerre, sont avancées par la Compagnie. Renseignements au siège social de la Compagnie « Le C b énlx ». 33, rue La fayette, et chez les agents généraux. 3 A rro n d isse m e n ts Quimperlô Scai:r E lection au conseil général. — Voici les résultats oe lV.lt ction au conseil général de Scie,', qui a eu lieu dimanche : Scaër : insciits 1089 ; vota- tB. 1220. M. le coinmaudaut Roriallec. i 185 ; M. Gornouec, 20. Queirien : inscrit« 811 ; votants 527. .V. le commandant Rodallec, 135 ; M. Gurnoucc, 387. Saint-Thurien : inscrits, 417 : votants 3'9. y. ¡e commandant Rodallec, 100; M. rc o ’ec., 159. Totaux : M. le. commandant Iladallec, 1480 voix ; M Corro ie c. 575. Le commandant R'dallec, ancien é'è-e de. l’école poij’tcchrüq'ie, chevalier de ta Légion d’homeur. est élu contre M. Gornouec, ho- eder A Bannalec. m mmm M mim m jve? «f houi a u couru c iA n n .a « R O e * N a a i î M n w L «*b n pp are Ü H G L A .« le P a r i » , p o u r l e t r a it e m e n t d e s h e r n ie » , o n t o l> te n u l'a p p r o b a tio n d e » p lu n lin u te » s o m m it é « * . On sait aujourd'hui A quoi s’en tenir sur la valeur de certaines méthodes préten dues merveilleuses, aussi inefficaces que lea arciccs appareils A ressorts rigides ou a P':'oten EOires et qui ne f >tt rjue réserver les pli s ctuelPs déceptions a c;ux qui ont l'imprud'‘nce de les adopter. Seul M. G laser tient le record pour cette spécialité depniB 30 années, seul son a p p a reil a remporté les olus hams prix et une meu j-tj) hocorabie de M. le Ministre. Son appareil, sans ressort, est le pins doux et le plus lég-ir. imperceptible, il se porte nuit et jour ; il permît lestravauxles plus durs, ne se dérange pas et ne gêne en rien quels que soient tes mouvements du malade. D nne résistance sans éga’e, il maintient les hernies les plus tenaces et les guérit en peu de temps. Aussi a-t-il été reconnu par tout le corps médical comme étant le seul anpareil vraiment sérieux et scientifique. Nous sommes heureux d’anp-eudre aux mai,--. :es üomm?e, fem<ties et enfants atteints de hernies que M. Glaser. le g -and spo.cia'ifit? sera A nouveau parmi nous GrAce Ases conseils de nombreux ma lades ont retrouvé la plénitude d ; leur sa; 'ée t leurs f rees. N us engageons vivement les malades bernienx A venir essayer cet ingénieux appii'.’ii A : Q.¡imperlé, le 29 mars, t’ôtel d j Liond'O. et VVyag'or«!. ChAteauiiu, le 30 mars, hôtel Grand’Malson. Quimper. le 31 mars, hôtel de l’Epée PoLt-l’Abbé, le i cr avril, fcôeet -.i L'on* dOr. Carbaix le 2 avril, hôtel de France. Morlaix, le 3 avril, bôt.el Bozeliec. Brest, [o 4 avril, hôtel de France. i ur. r>, le 5 avru, hôte* ces 3 Piliers. I... ..y : 0 ir. 31 à W. G'aser. A Courbîvoie-P’ris pour recevoir frauco son traité sur ld If e rn ie 7940 H E M O R R O ÏD E S Feu de personnes ignorent quelle triste Infirmité constituent les hémoi roïd.*s, car c'':it une d;'S a£fjetions les plus ré.taudues; ma'a comme on r.’aime pas à parier de oe genre de souffrances, infime A sou médecin, ôn sait beaucoup moint- qu'il -xiste un mé dicament. 1E lix ir de V ir g in ie ÎVj-rdalil. qui lea fr.ii disparaître saut» aucun danger. O i\i.'a qu’i écrire: I’ ro d n lts K y rd a h l, 20, m e de la A o ch e fo n c a n ld , P a ris , pour recevoir franco la broi hure explica tive. On veria couibi-n il est facile ele se débarrasser e L, maladie la plus pénible, et la plus douloureuse. Le ilacon : 4 fr. LO, franco. 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Yan a gemírav truer. <ot-tii : — . Kemcrit ba oto, Yvona, me a ziwalo Herrl evel eur b»g<l, me ben tou. Betit krenv. peb tra a iclo evit ar gwella. » E ari cdo Yau o konto'i Yvona, e elevai trouz ke*ek o taouiaaimet. Mont a rc z d’ar prenes'r, ba ftwelout a reaz enn tn all d'ar ster eur vandennad soudarried. Eur peonad goude e teuaz ;e E l i ken founuiz bag ae re «enia. . « OU I oh ! eras Yan, me en em fari ka'z pe setu aze tud ba ne goiiont ket bo amzer. » Altoan cn doa lavaret ar c'homrou-ze ira os klevet an trompillou o seni, ar boledou o kana etouer »r c’beuceud h<< ke kent Glazed a-U iz a ziskua r e euz Ko¡tt a1 Lek : ne oaBt ket bet p II o t nt e u z Has elllli. An douar a £<e: e dludao ireid pot-iuer nr c hetek . . ,, , — « Oli I cine Yan oda re, etnamt, o U W ar CtiOVauteu ; J if z a hell br. m:tii e-.uj t betek aman. Marttiene; f.ilvezo ket gauthan bon paka dioo’ir.u bag at p.z a 1a u'iu socjal an dra-ze co abaiamour Katell be deuz gwelet anezhan en 1'1-Ruz o prena dillad dtagon. Ia martezc I met. plouaoar I... Red eo d’an tl beza goulio pa zigouczol Alo 1enn kent founnuz die an tu-man. » — « Me a zorj evcld-hos’b, a lavaraz Laou en eur erruout asamblez gaut Herrl, a oa bet o klmlada oc’h lie dad atao glac baret braz o welet he vab o vont enn hent. « E u r ger c’hosz, » eme ta n da Laou, terc’hel e reomp Herrl ba me bag ober a refomp ar paz a vezo enn hor ohalloud evlt mont betek Molenez. Eur weach eno n ’borbezo aoun f b id da gaout, c’boul ne ket ta Laou a xenlo ive dl ; mez pebex dillad ho peux da Iakaat? » Maner-Koz ne respountax ket. — D o u tti eran, a lavaraz Y an, ne fell ket dchoc’h dllezel Yvona, mex Yvona I den ne ijredo ober drouk d’czbi, diwallt, aotiou, en em goll e root, sonjlt mad. • — « Va zon] a zo great, eme L a o u d i s t a n c e gtedan ket e vefe mari Yvona areau p a zeo gwir ezeuz kement a soudarried dre ar vro ; itzel anez-hi bech-unan er maner, b ik e n ne rin, biken. * Yau a weiaz n ’en doa netra d’ober, ronjat a reaz tu r pernari — « M e z e m e ? h ? n . te c 'h it e ta g - n t h i. K r i t i 'i t riiilad e u r c'hot e tia d pe m a n te ll . it; \tt o ¡r. S - P it. e u n a li c ’c o a z : p r c c it e u l ic m m e r k o u n t iili h a g aoten o cm h a ia k lt a n c z h a n n ’.ir h o k in . A r be a c’h n e vezo k e t re fcouonor e v it e u u d e n n e rz u z eveld h o c ’h-hu. Y v o u a a la k a io d illa d k lz w a r a r m e s z . P a zig , u e z f it c r c. h t a 'i o u . c 'b o u i a It m m o a r pe?, a vezo d ’o b e r, h i a z a s tu m o n n M C'bant- » i aou üe re sp o u n ta ? k e t i i o - h l u , r e o u ie \p . e<* v a d pet: a d ’- b i . — « M ad , a la v a ra s o. lin . m a t e n Y v o n a , n,o a rato e <1 a lavarit, iak in » i e iv hi c h a i mari tre. * Y v o n a oa la o u e n d a -vent d a h e u ll be zad; e.houm e T re e ig id y e p a d e p r lla e , n a n , n b e lle k e t. E n e ttr d e r c ’h e l g a n t h e z a d , f n c m z is p a r t ie e u z a n b in i a d ite beza h e fried , m i x m o n t e rea e tre ze k a r m e m e u z e n e z e u ba g o r to z a zo k e n p o a e iu r . — « D c o m p , a la v a r a z Y a n , d c o m p d a eva k a fe K a te ll, b a w a r lc r c ’h b ! a c’h o u le n n o e u r b a n n e k o g n a k , a n dra-ze a la k a io b o le e m h o n d iw e s k e r e v it m o o t e n n h e n t . » K a te ll, h e d a o u la g a J l e u n a z a e lo u .a serv ic h a z a n d a o u v e a c h o u r h a g a Ja k e a z e s a c ’h H e r r i, v lo u k a le d p o a z e t e n n d o u r , g w e a te ll b a g et n ta m m m a d a fo u tm e ] , — • Aio I eme Laou, k* navezo. > g t a r d a a r e n i d o u r n Y a n h a b r ln ta a re az Herrl. « Bezit dincc’b, a lavaraz d’ezhan goustadik, me a ziwalo Yvo^a. Done hon slkouro. » II«rri d’he dro a vrlatax Yeona. an daou z e n yaouank a cuele d o a ’ e » , enn cur ger a r c’hlmlad o a tr u e r u z , nehecd a gonxou, kalz a zaelou. ri>* j<mnric nir., L E C O U R R IE R D U F IN IS T E R E vre de Paul Déroulôdo. L’essai qu'ils ont mis en tete du volume, plttoresquo et coloré, plein d'a perçus nouveaux, place en tout son rellel cette figure originale et vivante et semble fixer défini tivement le geste de DerouUde écrivain et bommo dactlon. M a rc h é! da Département OM lM uHn. - M ordit da tt mnrs. — Prouent, l u 100 U1.H.09; « v o l« , 17.60 ; seigle, 17.00 : ors». 18.60 ; WUT«In, 16.60; beurre, la kilo, J.'JO m b , la doux. 1,00, pomme* de t., 6.60 le* 100 kll. L ann llto. » Marché du 17 m a ri. — Pro meut, les 60 M l.. 10.60 ; .orge, 8.00 ; surrailn, de terre,lea 60 k ll., 5.60 j poro ira li, 1.16 ; beurre salé, i .io : beurre sans sel, 1.70 ; au fs, la d o u i., 0.86 “ ta n d lu f ila u . —Marché du 17 mars. ~ Pro. «e n } , le* ioo M l.. ït.oo ! méteil, 16.60 i seigle, 14.00; sarrasin, té ; avoine, 17.60: orge, 18.60 p. d* terre, 0.00 ; aiuts, la do u i., 1 .60. î;î* L *voln*> °'ΰ ! «on, $.00 : p. totneven. — Marché du 16 mura. — Pro. ¡PS?*1 J " » • 00- O w td. 8.60. Barrailn. S:?0, M., u-k0' Pommes de terre, les 60 Ml., «.00. Beurre salé, le kilo, 1.10. Bourre sans M l, ld., t.80, (Bull, la domaine, 1.15. Morlal*. i Marobé du 1» mats, — Blé, les ioo MO kll., la .60 j seigle, 14.60 ; larrm ln. l«.oo; •TCln», 18.00 ; orge, 17.60 ; foin, le« 500 W1..4-..00 ; paille, 15,00, otufs, la doui.. o.uo. . Q uim per. — Marohé du la mars. — Promeut, 13.00 lo# ioo kll.; seigle, 17.60; blé noir, 17,00; A r m e d l«in H o iid a rt Brest, 64, rue A ig u illo n F’ages F ran çaise s avoine, 18,0 0 ; orge. 16.60 ; pommes de terre, 5.00; loin, 40.00; paille, 15.00 ; larlne, quai., 81.00 ; tarin», 1’ quai., 29.68; io n , 14.60. a zo eet da. ober eun dro da bell, ha ne vezo ket havet e Pa Paul Déroulôdo. Précódees d’uno Introduc tion par Jérômo ot Jean Thnraud. Un volume ln-10. Prix : 3 fr. 60. lîlo u d et C -, éditeurs, 7, llresl araog ul Lun i'a&k. MAISON 1 F O N D É E EN Etude de M- E®IiGEOT, notaire a Brest, rue de la Mairie, 25 4 V l’lV n iH 1 Par adjudication I L l i U l l L volontaire, en l'é tude, le lundi ü a v r il 19G9, à deux heures après-midi. 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Il montra qu'il ne voulait devoir e v lt»1 labourerien ; er bloavez dlveza-ze, d r e i s t o ll m a k e n d a l c ’h h o r m i g n o u n e d h e u iil a r e b iz a li a r « S o c ié té d e s A g r i sibles quand 11 s’en produit, quel qu« soit la d a g o m z e n n h o e n e p ; h a s e u l - e a s o c ’h son succès, qu'à la seule force conqué 113 dre vil anezho aoa bet dilabour. c u l t e u r s d e F r a n c e » p a c ’h o u l e n n n e paru auquel appartiennent leurs auteurs. e v e z o d ’e z h o t r o m p l a m a k l a s k e r e u z » Co quo font et disant de bon ot d’honuéUs les rante de ses idées. Hen-nez a oe lvez ar bloavez paoura, v e zo k e t m e r k e t ta illo u n a g e v it g o u n i membres de quelque parti quo ce soit et les per Le spectacle, q u ’offrent très souvent abaoue peli ’zo araok varlene, evit an h o n t u l a k a a t a l l o z e n n d i v a l o o c 'h e g e d d ig e z a l la b o u r e r ie n d o u a r , n a g e v it sonnes qui exercent raulorlté, peut et doit étra n ’e z e o . Alimapn ha Bro-Zacz. les mœurs électorales, serait moins at p a e a r v ic h e ro u rie n h a g a n d u d e k a rg , approuvé et appuyé par tous ceux qui se piquent Traou raantruz I A r w irio n e z d i d r o i d e l l e o c ’h o a z d élro bous catholique« 9t bons citoyens, non seu tristant, si les candidats à quelque parti n a g e v it le v e p e b -h in i k o n te t a s tr o lla d ! k re n v a e n eb o u rez a r g ao u . lia g w a sa lement en particulier, maU cncoro daus loa assem R a k , re d e v e g o u ls k o u d e g w e lo u t d a q u 'ils appartiennent, imitaient lu belle blées générales, provinciales et municipales et ’z o , d i e z e o h e c ’h a o u t e r p a p e r o u a attitude de M. Mure Sangnier, au cours b e l e a e ’h e k l a s k e r k a s a e ’h a n o m p . Hogen, ouspenn eged dre zefaot labour e dans tout l’ordre social. L'absiC-Uou et l'oppo s k i g n e r e p e b l e a e ’h d i w a r b e n n a n de cette campagne électorale. A r S o c ie te -z e a g la s k d iz a m m a a n choumer da ehan : grevou e vez lvez. sition a priori sont Incompatibles aV?*’- l'am our d i a z e z n e v e z . que nous devons à la religion et à la patrie...Hebcutoc’h goulskomle, a drugareDoue, d o u a r, h a g lie n la v a r o u t a r a . M es m a * » Nous ue devons exiger de personne eD S e tu p e r a g e k re d a n o b e r v a d e v e r o eged epad eun nebeud bloaveziou a zo bet. ¥ ¥ le z e r e u z a n t u a il d i s k a r g a n o ll la b o u conscience de s'affilier à tel parti plutôt qu'â tel lia perak ? l a v a r o u t c ’h o a z d a I e n n e r i e n a r C'hourAprès l'attentat de Mattis, le Parquet re rie n d o u a r, m ic h e ro u rie n h a tu d e autre, ni prétendra que quelqu'un ait pour devoir Abalamour, m’oarvad, ma tcu ar vlstrl da rier: l a k i t e v e z h a p o u e z i t p i z , a r a o k Start oo hor o'halon cnn hor o’Iirolz pour chercher à établir que ce déséqui k a r g , h e p g o u l e n n n e t r a m u i o c ’h d i g a n t absolu de renoncer a scs aspirations politiques, anaout ha da zevenl gwelloc’b ho dever e- k r e d i , a n t a o l e n n o u u r e i s t - o l l a v e n n f e llu startoc'h nr Grouz onn hor Brcinl »1 elles sont honnêtes : en politique pure, en libré était l ’instrument d'un complot, a r m illio u n e rie n , n e w e la n k e t p e n a o z kenver ho labourerien ; — abalamour ivez d i s k o u e z d a b e p - u n a n a r p e z e n d e f e effet. Il est permis d ’avoir des avis différents aussi e c ’h e l l f e t d i z a m m a a n d o u a r ? perquisitionna dans les bureaux du ma fura ar vloherouricn. Ha poent e ioa, e bien sur l'oilglne Immédiate du pouvoir civil que d a b a c a c -sk o a z h e n c sa . journal Lo Jaune, dont M . B lé t r y , U n a n b e n n a g a r a n k p a e a , a e ’h a n t a ? sur son exercice et sur les différentes t irons gwlrlonez I Na ped kwech ne oent ket * extérieures qu'il revêt. » député de Brest, est le Directeur. Des douget da zllezel ho labour hop rezonn greH a g e v i t e e n u i , e l a v a r i n c ’h o a z o k r e d a n n ’e k e t a l l a b o u r e r i e n d o u a r scellés furent apposés sur les portes du vuz ebeJ, nng an distera chana da gaout Er Portugal, Miguel Bragance a joum K e m e ro m p , m a k a r it, a n d a o le n n a m ec> o d e f e a r m u i a d a g l e m m o u z a n bureau. Par deux fois, M. Biétry les gwelloc h ? lia gant plou? Gant dohtorcd b e u z g w e l e t e r g a z e t e n n La Croix. peuz-sioul, eur pennad ’zo, gwir eo ; nuis ne d’eo nemed dre druez ouz ar roue miuod i a z e z n e v e z , z o k e n e v e l m a ’z e o b e t brisa, protestant avec raison, par oe didalvez dlredet euz Parla, pe cet ae’han L a k a a t a r a e n n e u r g e n v e r e u r m e strrlk Manoel, abalamour da varo akrijuz he L a Chambre des députés s'est oocupéo m e r k e t g a n t a r G a m p r . D 'e z h o m a r t e z e geste, contre la violation dos lois qui euz Brest, hag a frtkotc goude-ze diwar ho s k o l , e u n h o s t i z h a g e u l l a b o u r e r d o u a r dad. choustenn hotellou plnvidika, kcit ha ma joudi soir des crédits réclamés pour la e o e s k a n v a fe a r m u ia a r z a m m , h a le a l garantissent, ou plutôt devraient ga vczcnt-hl, h a g a c ’h o u n i t b e p a 1 .8 0 0 l u r a r b l o a z . labourerien keiz, o tua gant an Rak-sc, netra da c'hounit o kerzet gant M a r in e . e v e : k e n p e l l ’z o e p a e o n t e n n t u a i l rantir, la liberté de la presse. naoun, hag ho bug¿tle ha gragez muioe’h H a g a n d a o le n n a la v a r e p a e f e a r « potred ar vazhagarz. brcn », nennti eun M. Picard présentait une note assez d ’h o lo d ! M. Biétry, pour ce bris de scellés, fut c’hoazegetho. taol dispae’h muioe’h. Hogen, n’e ket er c 'h e n t a , g a n t a n d ia z e z n e v e z , e u r s k o e d élovéo pour remettre la marine en état, A ze e m a a r w irio n e z , h a g a r r e a condamné une première fois par défaut Ita bouezlnt plz ato peb tra araok dis- a r b l o a z n c b k e n , a n c i l d a o u s k o e d , h a g ireuz eo ema eurusded eur vro, ae’hantix? ■1Wmillions et réclamait le voto immé à six mois do prison. Sur opposition, klerla grev ; ha neuze n’o devezo ket keuz, g l a s k h e c ’h u z a t a z a s t u m m a rte z e Ho c’hazei ennou zoken a zo icun a c’hour' a l l a b o u r e r d o u a r 184 l u r ! re zifczat. diat de 30 millions. g w i a l d ’h o b a z a t a . drouzou ; ha ma teujeut a benu da gaoufc l’affaire revenait lundi devant la neu M a ’z e o k o u e z e t a n d a o l c n n - z e d i d a n Varlene, da vlz genver, e loa bet 81 grev e M. Dalcaaaé estmonté à la tribune, pour vième chambre correctionnelle de Paris. krog er btur, ar citoyaned a zisplij d’ezho a G o b e n t in . h o ta o u la g a d , o p e u z la v a r e t a d r a z u r : ve, a dra zur, hariuet a villierou. faire le procèj da la gestion de coux qui, M. Biétry se déclara prôt à recommen- l' rans ; hag er pemp bloaz diveza e loa bet N a p e b e s g a o u i a d e o C o r e n t i n ! 6 i, an eil dre effile, epad miz genver lvez. Peoe’h ba lealded, a c’bouiencomp. ces dernière* années, adm inistraient la oer le geste qu'on lu i reprochait, si, à G o u s t a d , v a m ig n o u n e d . N 'a m b e u z Epad miz genver ar bloaz-man n'ez euz bet Ar Republik, koulz ha fors peseurt gouarbudget de la marine, nouveau, les droits de lu presse étaient nemed 4 6 . m o r s e l a v a r e t d ’h o e ’h n e b a e í a c ’h k e t namant ail, ho roio d’omp, ma karomp Il réolame la nomination d ’une com foulés aux pieds. poania d’he diframma digant ar c’hanfjirted m u i o c ’h e g e d h o s k o l a e r . L a v a r e t a m mission d ’enquôte pour c/iorcher les res Le tribunal réduisit la peine do six digoustians o deuz he jenohet e bioc’h-ieaz b e u z a v a d , m e u r a w e c h , n e c ’h o u l e n n e t ponsabilités et voir si le crédit demandé mois do prison, à deux mois. evit-ho ho-unan, hag e iez-vamm garo evlt Er zliunveziou divoza-man am beuz bet Unan euz ar grevou-ze eohini Mazamet, k e t a w a l c ’h d i g a n t a n a o t r o u n e d e k a r g , répond à une nécessité. er pristenlen. digarez da lavarout, diou wech bennak, departamant Tarn : n ’eo ket échu c'hoaz, d i n c c 'h - k a c r e - k e n v e r a n a m z c r d a z o n t, Ai. Thomson, ancien ministro de lu Ha ne ankounae’haomp ket al laboctr slouaz I n’ez euz nemed eun dra hebicen goest da s u r e u z h o f a e p e e ie l o m a d a n t r a o u p e kenta or bîuz da obïr: eeuna ar sperejau. unani ar monarebisted a bep liou, potred ar marine, défendit sa gestion, pendant lîno ez euz staliou evlt neza gloan hag / / A l l ia n c e x’ô p u b llc a ln e d é m o n ’c z a i n t k c t . Eno drelst-oll t m i an dalc'h, o veza m'o vaz hag ail ; ba? an dra-ze eo ho c’twsouni sonpassage au ministère. Iln'est, affirme- c r a t i q u e a tenu, mercredi soir, son ober mezer. Nag ar vis»rl nag ar vieherouL a v a r e t a m b e u z c ’h o a z e p a e o a l ouz ar Republik : deuz ar boblou ar c'houarnamant a dalvet-il, nullement responsable du gâchis. assemblée générale, à Paris, sous la pré rlen, Roazed ha merc'hed, ne fell d’ezho l a b o u r e r i e n d o u a r n e b e u t o e ’h e g e d zont. Pa vezo lealded e renk an elektou Dam antiEho a zo katoliked ; darn ail tud Il s'efforce de montrer que le tableau sidence de M. Adolphe Carnot. Celui-ci plega; hag ar gernez a reu breman er b r e m a , h a g h e r g w e l e t o p e u z h o c ’h dizoue, evel ma zlskoueze an arroudou euz rien e vezo ivez eun ho ffouarnamant. lieit que io n a fait de la situation est trop a fait do la situation politique ot morale lamlllou. ho skrldou a lakiz ama, hirioez euz peder ha ma ne vezo»ket digoret avad bac Munet Ilogen, an naoun hag an dienez a zo ku- u n a n m ’o p e u z h e u i l l e t a r r o u d e n n a noir. un tableau plutôt sombre, mais malheu zullerien lall. Setu perag eo c’hoarvczet v e r k i z d ’h o c ’h a m a , d ’a n 1 3 a v i z m e u r s , ar c’hooBtianSou, eur rumm a voeo ato zlzun, goude beza ho c’hutuillet e leor an M. Brousse, rapporteur d u budget de reusement juste. aotr. Lugan, eur beleg, ba jezuist war ar breset gant eur rumm ail, zolipn ha gant ar grevisted ober meur a daol fall, a. e v i t k o n t a h o c ’h - u n a n p e g e m e n t o p e l e gïvasoc'n marteze didan eur roue'-pe euu la marine, lu i réplique, chiffres on marc’haa, hervez a lavarer. Il a qualifié la orôve des postiers « de enep ar staliou, hag ivez a-enep ar c’hama- d a b a e a g a n t a n d i a z e z n e v e z . Dre ze, n ’e ket ar feiz nag ar ioul d’he impalaer. m ains que les crédits votés pour la ma véritable fléau qui a réjoui à la fois les laded o doa kredet e oa furoe’h evlt-ho disH a m a k e m e ra n a l le z e n n e v e l m a i Deskomp en cm c'houzanv hag ea era difenn eo a c'hcllfe ho unani. trel d'ho labour. rine ont, la plupart d u temps, été gas révolutionnuires et los camolots du roy e o -h i b e t v o te t e r G a m p r, n e z e u a n k e t garout : easoe’h e vczo n u karomp eveN'e ket ken nebeud fco c boant da zevel O welout e vepne an traou trenka da pillés. A propos de l’impôt sur le revenu, il a a b e n n d a w e l o u t p e n a o z e c ’h e l l f e e u l war an tron eur mestr dlgemeret gaut-bo saat nebeutoe’h ouz au dn l evit gwelout M. I ’icard ne nie pas que quelques gas ait quo « cette réforme désirée en son vad, an Aotr. Mignot, arc’heskob Albl, a l a b o u r e r d o u a r k a o u t 1 8 4 l u r d a z e v e l oll, rak, war gement-se. ez int dispartiet e hebken ho oberou, ineuli ar mad n a konieaz dllun da Mazamet da brezegan emgleo. pillages aient été oommis, mais il oraint principe, éveille des craintes sérieuses, daoni an droug, n’euz fors gant plou ez int tri pe bevar rumm : darn a c’houlcnn Filipp e v i t a r c ’h o u a r n a m a n t — h a b e t e v r e D ’ar vlstrl, e lavaraz diskenn enn ho que, quelques-unes des critiques adres chez beaucoup de républicains, qui crai c’houatlana evlt gwelout ha ne c’hellfent m a n n ' e z e u z d a e m m e l l n e m e d o u z greet. Gobentin. a Orlean, darn ail eur Baurbon, darn euu sées à la marine, ne soient injustes, parce gnent des vexations inquisitoriales, » Napoleon, darn c’hoaz eur Boulanger ben ket roi d’ho labourerien eul lodennlk ben- l o d e n n a r c ’h o u a r n a m a n t h e b k e n — nak. f/u'ellea attaquent des officiers dont le Il a montré la France livrée à l ’anar nag euz ho goulennou ; — d'al labourerien d i w a r e u r g o u n i d i g e z b l o a v e z i e k a 1 .8 0 0 Keit ha m’o devezo ar Republik da aévoüment et (e patriotisme sont au- chie, si le gouvernement noppose pas c reaz telr brezegenn evit dlskouez d'czho l u r . " ~ K E L E Î Ë R ^ gasaat, hag emiebans e vezo evit peil amzer dessus de tout éloge. Il indique à larges aux menées dos révolutionnuires, des pegen braz faot e rafent o klask drallla ar A d ra z u r eo re d e v e fe h e z o u a r c’hoaz, e ielo mad an traou gant-ho; mes E u r c h a s e r la z c t g a n t c u a n llin a u d . staliou a ro labour d’ezho, hag o choum traits, son plun de réformes, po ur cen barrières infranchissables. d ’c z l i a n h e - u n a n , h a g e t l e e r e n t e n t e — Tri labourer douar, euz Chavann, bro enn dez m’o defe krouget ar « Gueuse traliser les seruioes de (a m arine, et réa Que iAlliance fasse son meâ culpâ. pelloc’h aheurtet. t a l v a n d o u a r - z e 1 .8 0 0 l u r f e r m a r b l o a z ; evel ma lavaront, neuze e ve gant-ho eur Belfort, a oa o chaseal houidi. Hag araog ho c’hulttaat e roaz d'ezho 500 liser ainsi quelques économies. L ’appui q u ’elle a toujours prêté aux Unan anezho, hanvet Balard, potr c’hoarl ail, evel gant bourrevien al liberte r a k , m ’o p e u z s o n j , a l l a b o u r e r d o u a r da rannaetre ar re o deuz ar brasa dienez. Mais il fait appel au patriotisme de la radicaux ot radicaux socialistes fait lurEuz pa ehancr da stlapa d’ezho saeou bsleien ha toouank a 25 vloaz, en em gavaz dispartiet n ’e n d e v e z o d a b a e a e v i t g o u n i d i g e z h e ho zu, beleien ar vro o doa dastumet Chambre pour q u ’elle lu i accorde aussi peser sur elle uno part de la responsa aluzennou evlt paea souben da vugale ar l a b o u r n e m e d p a l a b o u r o d o u a r o u a koell'ou seurezed da zispenn : en em gasaat dlouz an daou ail. Hep da’.e, an daou-man a rafent ho-unan. tôt les trente millions qu'il demande. La bilité do la situation lamentable q u ’elle grevisted er skollou krlsten, hag alletar o u s p e n n 2 . 5 0 0 l u r f e r m a r b l o a z . a glevaz eun tenn fuzil. hag a redaz elrezek al leae’b ma oa bet an tenn, o sonjal en doa hennit kentoe’h an nebeudik geriou-man Chambre ne paraitcependant pas décidée signale. ismlllou a zo enn eaz da gemerout ouz ho K o n t o m p e v e l s e , — p e k e n t o e 'h k l a s * a gaviz d’an 13 euz ar mit er gaze ho c’hamalad kavet eun houad bennak. zaol bugaligou ail. » ¥ lia padal, hen eo en doa tapet enn he tenn Action Française, diwar-benu eul HaBetu eun nevezentl, e FraDS da vlana ; k o m p a r g o n t a m b o a g r e e t m a d e r On se gausse beaucoup à la Chambre ha n'oun daré ha na vezo ket kavet kato- C'hourrier a n 1 3 a v i z m e u r s : h a g c benn eur bolcd, tennet war n-han gant lizer en deuz bet ar pries Viktor Napoleon demande q u T c a s ^ r ^ ^ ^ o f e n f ^ ^ p a r eur gward allmand. de l’étourderie commise mardi par lo Mked da damall rust an arc’heskob-ze, ken k a v i m p , n ’e k e t 1 8 4 l u r , m e s h e b k e n arvadelez daskriva a-enep diazez nevez ar une commission d ’enquôtet. O klask en em ziveac'hia, hen-man a ar ave et a u j# r e B r ls s o n , président de Im zet ha m a'z omp bet da gemer evlt 2 8 l u r 1 7 k w e n n e k , d ’a r c ’h o u a r n a c’hargou. MM. Clémenceau, Caillaux acceptent la Chambre. lavaren doa Balard eeunct he fazil warMarteze e kav d’hoc’h e reaz ar gazetennrevolutlonnerien an oll grevisted, zoken pa m a n t ! la nomination d'une commission d'en n-han ; hogen, n ’ez cuz ket c’hoant d'he ze eur meulcudi kaer euz lizer arprins? E u r c ’h e r a m - b r a o a z o , a e ’h a n t a '/ Un télégramme annonçait à la Cham o devije kant digarez da glemm. quête, mais insistent pour le vote, sans bre, la mort d'unM . Furjon, du Pas-deFazi. Arabad e teufe den na netra da zigas gredi, ha tud ar vro a zo gwall hiuioret An nevezentl-ze ne vefe ket bet unan er H a m a t i z r o o m p d ’h o n h o s t i z e k a enn he enep. da zoDj ez cuz tri pe bevar o c’houlenn retard, des crédits. v im p e n d e v e z o d a b a e a , e v it e u r g o u Calais. Or comme précisément la Cham brolou ail a zo enn-dro d’omp. Goulskoude Bilard ne oa ket enn he plgnat war eun tron ¡la n ’eo ket re ledau La commission d ’enquiie sera nom Evlt gwlr, plou ne oar ket e c’hounezaz bre compte u n député du Pas-de-Calais arc'hardiûal Mannlng he gaera kurunenn, n i d i g e z a 1 .8 0 0 l u r , n ’e k e t d a o u s k o e d , wir, ken nebeud ; cet e oa 25 rnetr enn tu evit unan hebken. Dre ze, evit kazetenn an mée sous peu. m e s 11 l u r a r b l o a z . qui porte ce nom, M. Brisson de monter duk a Orlean, o skriva he lizer Napoléon a ali da harzon Frans. En France, dit-on, tout se termine k la tribune pour prononcer un court hervez ar bed da vlana, o sevel he vouez da H a c ’h o a z e k e m e r a n e u n h o s t i z m e reaz eur « four, » da lavarout eo, e brezouE u l le o n a r a a o u n lias? eu d e u z par des chansons et enquêtes. Mais chan éloge funèbro et verser sur sa mort quel gelenn ha da zifcnn grevisted Bro-Zaoz ? nek mad, eur bramm enn dour. LenDit : Er Beljik lvez, hag enn Itali drelst-oll er r o u r ; m a v i j e d ’e z h a n l i e d i , e v e l m a o a a o u n . — E kear Dresd, enn Allmagn, eul sons et enquêtes n'apportent jamais do ques larmos officielles. Mais M. Brisson bloaveziou « Devant le four impérial de la lettre du diveza-ma, an dud a lllz a oe h e , g e a r d ’a l l a b o u r e r d o u a r , c r a n k f e leon en doa kavet an tu da zont er weaz remède. prince Victor, M. Gaston Calinette éprouve euz he gaouel houarn, hag a lammaz p a e a c ’h o a z 4 d r e 1 0 0 c u z h o d a l v o u d e euz ar re genta oe’h en em veska gant ar s'était trop hâté. Nos radicaux gémissent aujourd'hui ; le besoin de louer l'habileté de son auteur. goude-ze etouez an dud tosta a oa er M. Farjon, dont on avait annoncé la grevisted, evit harpa ho goulennou honest g e z f e r m g o u d e d i s k o n t a e u r c ' h a r t , h a Personne ne l’aurait aperçue sans la line pourquoi ont-ils mis à la tôto do notro mort était le père d u député et non lo ha klask mirout out-ho da ober taoliou d i s k o n t a i v e z t a l v o u d e g e z f e r m a i l o d e n n cUque. » remarque du directeur d‘i Figaro. » marine et d» notre armée, les désori/a- député q u i est oncore bien vivant et qui Icondaonet gant ar goustians. N'am beuz ket ezomm da lavarout e e u z a n ti a zo k e m e r e t g a n t h e b o s t a Nag a draou kuzet didan' an nebeudik Perak ne zigorfemp ket hor c’haloun lakaaz c’bouenn e Ierou meur a hini. nisateurs qui ont nom Pollotan et André ? pourrait porter on terre M. Brisson. le r i. N e v e fe k e t p e ll e v e l-s e e v it tiz o u t geriou-ze I Dre-z-ho ho-unan ez int sklear d'al laouenldlcez o welout bon eskiblcn H»n ivez a gemeraz aoun avad, hag a Ils commettaient alors la faute im par l o d e n n a l l a b o u r e r d o u a r f o n c i e r ! awalc h evit diskouez ne ve ket ar prins zistroaz d’he gaoued, fur braz, hep beza oe'h ober kcmeiit ail ? * donnable qui a créé le gâchis actuel. ¥¥ E v it a r s k o la e r , a n d a o le n n a sk o Napoleon gwelloc’h esp(*rnet eged ar Repu greet an distera droug da zen. Sur omp e tougo ho aluzennou hag ho blik gant mignouned Filipp V II enn dez k e m e n t a d r e u z o l a v a r o u t e p a e o e u r Tout un détachement do tirailleurs e’homzou fur irouez puill, evit ar relijlon 2-S biz. — Ar vedisined hag an ofiiserien ma c hoantafe plgnat araog hen-man er da genta, evit ar peoe’h hag an urz vad da s k o e d a r b l o a z . E g w i r i o n e z n e b a e o a péri d ’une mort terrible en M a u r i t a a zo karget, er Douches-du-Rbône. da we skeul ; hag euz ho zu, a j impalaerlsted ne c’boude. g w e n n e k e b e d , m a n ’e n d e u z s e u r t 1 oici les résultats des é le c tio n s n ie , si l’on en croit les nouvelles appor lout pere co ar botred iaouank a zo mad rafent ket gwelloc’h e-kenver b'ilipp VII, Kvit ar Relijlon, abMamour ma welo al n e m e d a n 1 .8 0 0 l u r e o p a e t e v i t h e l a lé g is la t iv e s qui ont eu lieu dimanche tées par un paquebot i Bordeaux. evit an armee o deuz kavet, e Martig. fur mawelfent anezhan e stad da gaout an tu labourerien n’eo ket gwlr, cnn despet da dernier : b o u r . M ’e n d e f e a v a d e u r v e r e u r i p e e u n potr iaouank evel n’o doa ket c’ûoüz gweL'adjuduntBérard et vingt tirailleurs war c’horre. irement ez cuz bet lavaret d’ezho, e vije an let. m’oarvad. * ti g o e s t d a v e z a f o r m e t 1 .8 0 0 l u r a r Sceaux, 2» circonscription : MM. Che sénégalais commandés par le lieutenant * * Ilizeun archer karget da zlouall armel ar An den iaouank-ze, mab da eun archer b lo a z , c p a e f e : e v it fo n c ie r a r v e r e u r i nal, radicul-sooiulisto, D M 5 voix; Tho de Sa 1ère, traversaient le désert. Ili binvidigien, ha netra ken. Hogen, n’e ket hebken eto iez an impalaekoz, hag hanvet Gharlcz GaïtucoH, ru deuz 57 l u r 12 k w e n n e k ; — e v it fo n c ie r a n mas, socialiste unifié, 7.402 voix; Blon- duront s’égarer ot au bout de quelques Evit ar peoe'h hag an urz vad ivez, aba> risted eo en deuz Filipp VII adversourien ; c bouec'h biz c prb dourn, ba c’houec’h ivez donl, progressiste, 3.260 ; Colombet, 23U. jours de marche torrible, sous un ciel de lamour ma klevo al labourerien komzou a t i , 5 4 l u r . e renk ar rouelisted zoken en deuz kalz, war peb troad. Ouspcnn-ze, he gostennou Ballottage. (G w e lit a m a , c n n e u r d r e m e n , e z c u z feu, manquèrent d ’eau. Alors ce fut la turnez enn ho zrubuillou, hag ar vistri hag unan anezho, Robinet de Ulery, bet azodoubl, hag abalamour da ze oïl deuz mouez ar goustians hag ar garantez. lie k e m m e tr e fo n c ie r a n tie z h a fo n c ie r a n l’ontoiso (3.-ot-0.) : MM. Aimard, mort lente et atroce par la soif. procureur, selaouet-kenan ev.it doare gant nerz eur marc'ïi. allez ar grevisted n ’o devoe war ho zro d o u a r o u . F o n c i e r a n d o u a r o u a z o m e r he seurt, en deuz skrlvet eul leor cnn he radical-socialiste, ÎO.'AS voix, élu ; Le He zaoulagad bebkeu a zo fall ; ne wel Le lieutenant put se traîner jusqu'à nemed kanfartcd paet evlt ho zouclla hag enep hag a-enep be famill. Hag clleor-ze, ket mad. k e t h e rv e z a n d a lv o u d e g e z -fe rm g o u d e Rendu, libéral. 10.02b voix. un poste voisin, pour demander du se bo foulza d'en em ravolti : penaoz neuzn « Deux t usions », e lcnnerarroudou c’houero Moaux (8 ,-ot-Marne) : M. Perisoud, cours. Lo secours arriva trop tard, on ne beza souezet o defe ken allez greet taoliou d i s k o n t a e u r bemped, l i a f o n c i e r a n t i e z , E n r g a le o iir d ls k u lllo i ffn n t he evel ar re-ma: g o u d e d i s k o n t a e u r c’hart, a b a l a m o u r radical-socialiste est élu à une assez forte vam tn. — Henoret Gnantccaill a zo cun trouva que dos cadavres. h riz? Hag euz ho zu ho miBtri a gemere « N’ai-Je pasle droit de m’indigner comme torfetour bet teae’het kuit pemp kwech m a 'z e u z b r a s o e ’h m i z o u r a p a r i g a n t a n majorité sur l ’autre candidat, MM. LafCet événement tragique fera l'objet himor, a responte d’ar gasouni dre ar Français quand je trouve dans la Deutsche tie z ). fiteau, radical. d ’uno interpellation à la Chambre. Un ganounl. Revue, sous la signature du comte de I-'ran- euz ar galeou. Iiun nebeud miziou c ioa en doa kavet an tu da zistrei d* Baris ; mes Hak-se, bennoz da Arc’heskob Albl l Amiens (Sommo) : MM. Lecointe, so- député se propose à ce sujet de demander kenberg, le récit des négociations enga he vamm e deuz hen diskuiilet, ha dimorCOItENTIN. gées par (X) avec le roi Guillaume et M. de c lier e oc kondaonct da c’houec’h miz pil'aoandon de certaines régions déserunxfii‘ 11^ 16 voix‘ élu ¡David, H a s e tu , m ig n o u n e d , p e tr a a d a lv a n libéral, 6.022 voix. Bismarck, promettant la cession de l’Alsace tiquos, dont la possession n ’est pas nézoun. d a r n v u i a ejuz a n t a o l e n n o u a m b e u z et d’une partie de la Lorraine, si le roi Voulions (Sommo) i MM. Dussovol, cossairo au maintien de l’influence K e rn e z. — Kernez ez euz er Portursi g w e l e t h a g a w e l o e ’h i v e z m a r t e z e a b a r z Guillaume, alors à Versailles, parvenait à radical, OAw voix, élu ; Myrens, socia- Française. décider le comte de Gbambord à adopter hervez a lavarer, dreist-oll e traonienn ar p e ll ! h Usto unifié, i , m voix. ster Douro; hag e-hert an heutebou e ¥¥ le comte de Paris ? M i r i t a r r e o l e n n a m b o a r o e t d ’h o c ’h Holloy (Ain) : MM. Héritier, radicalAyant le çœur rempli de tous ces sou kaver stank tud dare da vervel gant an Mercredi, à la nouvelle Chambre des d ' a n 13 e u z a r m i z , h a n e u z e n e f a z i o c ’h naoun. B u socialiste, est élu sans concurrent. venirs, n’al-je pas eu le droit de m’indigner députés, le r o i d ’I t a l i e a donné lecture k e t. E leac’hiou a zo, au dud keiz a m en m Uorm ont-Ferrant (Puy-de-Dôme) : lorsque J’ai lu, dans les mémoires du prince du discours du trône. H a m a f e l l d ’h o c ’h a n a o u t a r p o e n t B r e m a p a ’z c o n i j e t k u i t a r g o u m o u de Hohenlohe, le rapport qu’il écrivait A ravoltet hag o deuz devet, au »iez-kear m;,?iarrJ0U' radicul-sooiahste, est élu par Il a rendu hommage au mouuement l o n n o d o a p o t r e d a r p o s t c h a c h e t w a r c h o u a g a r f e n e e u n a c l le z e n n , s e tu h i H Valpassos, sood*rded a oe kas«t enn Bismarck, lui rendant compte de l’hum i J V?**’ san* concurrent. de solidarité qui unit toutes les nations a r p o l i t i l i , e k l c v i m p s t a n k c ’h o a z , a d r a am a : liante démarche que le comte de Paris ho euep ; mes goude baza roet urz ■hî;îïj .no ■M. llulesi, radical- civilisées, pour venir en aide aux sinis da eeuna ar fuzilll war-u-bo, ar c’horouel G o u l e n n m u i o c ’h d i g a n t a n a o t r o u n e d avait fait faire près de lui à Strasbourg, z u r , k o m z e u z d i a z e z n e v e z a r c ’h a r g o u ; r foî ÎH9; ®î,* ,^ u Par 4.229 voix contre trés de la terrible catastrophedeMessine. r a k a n a t e o e v c z o g r e e t e l e k s i o n o u capitale de l’Alsace-Lorraine aunexie ?... • k a r g , — s k a n v h o la b o u r p c u rlie s a , J a M, Caltuccoli, radical-socialiste. ü g Æ t e "« « Vieux soldat de 1870, n ’ai-Je pas eu le h a g a v e v d i n e c ’h - k a e r e - k e n v e r a n a m b r a z a r b lo a z a z e u w a r a l le z e n n - z e , oo mme on peut le voir, tout le monde droit d’exprimer mon amertume quaud j ’ai z c r d a z o n t, e v e l m a la v a r e n b r e m a ik , p c m a k a v i t g w e l l , e d e v e z o h i e u r auiourd/iu» est radical parce que les appris, par les Joutniux allemands triom — h e p m o n t r e i r g o u ls k o u d e , ra k , m a p o u e z p o u n e r e r v a la n s . radicaux détiennent ( assiette au beurre. phants, que le duc d'Orléans avait abrité T a c h e n n a r ia o u a n k i* n ’o d e u z k e t d i s p i g n d a g a o u t g a n t s t a l , l i a g a o u n a m b e u z n ’h o l a k f e d a d r o i de son diapeau tricolore, à son ch/lteau de ” * P0I*“ <J«« est aujourd'hui une carrière k a r h a m a r c ’h , e v e l a l l a b o u r e r i e n a e n e p m e u r a h i n l c u z a r c ’h a n n a d c d o Sicile, l'empereur Guillaume II se rendant «t non plus une bataille d'idées. d o u a r , a r a b a d a n k o u n a c ’h a a t o d e u z d o u z c ’h o a z a r ¡ j a t o l i k e d e r C la m p r . à Gorfou? — Si M. Fallières en avait fait A darre an dispignou dlsklant * P’o «wir ez eo bot trouc’het ho hent d’ar k o l l e t a m z c r e r s k o l e v it, d a s t u m h o d e s autant I > lS v it g w i r , a n d a r n v u i a a n o z h o v > d o u z ¥ ¥ c’helcior gant grev ar post, gant tud haß o v o t o t e v i t m i r o u t n ’e z a f e - h i d ’a r K e n a t . llag ar rnuelisMouct-z# a lavar : ken- maolnp en^mz**"* *r ?hCoraï^’-^kouf^(^ie li a d u r e z ; deuz labour ha no labouront Kct, komzomp ' M a ^ ° S a n g n lo r , président du tocli ar Republik eged ar brinsed a •lun d r a i k b e n n a k m u i o e ’h i v e z d i g a n t l i a p e t r a c r a i o n e u z o li o n a d v e r s o u eun nebeud cuz a dud ail, truozuaoo’h ho Orlean I... oij«S2*ïïî L P 0,< 48 e*ndidature dans la a r v ic h e r o u r ie n h a p o tre d a r b u re o io u X . tosca at a ra rnare a n c n r e u io n . r i o n ? 1 io c ’h i n n i g e v e l e u l l e z e n n k a l z atad, hag a garle kaout labour ha ne cavont Pa lavaren d’hoc’h e vefe goest an trabaquatrième ciroonsoription de Sceaux. p a e t b r a o . e o u û o c ' h h a s k a n v o e ’h e g e d n 'e z e o , ket. serlen-r.c da zevel a nevez ar Republik, ma aman euz'»r h X , l'c:a ■ l,it kl,ÎVet ko.nz M™;n™varo Swionier a obtonu 4.778 voix ; (A r a b a d I c z e l d i s k a r g - k r e n n n e m e d a r e v i t g e l l o u t l a v a r o u t d ’a n e l e k t o u r i e n Hervez ar gont a zo bet greet gant ar tigouesje gant-bi koueza cnn he foull I aman edz tr o^dcnnounea : aa dra-ze zn eur c'htz hag a zo o vont kuit • ha n>o r e n e c ’h e l l o n t k c t p a e a e g w i r i o n e z ; h a c’houarnamant, varlene SB dro vil euz d i s t e r : « N i h e b k e n a z o g w i r a l v o k a Bezit sonj e oe-bi dlazezet evit mad e Frans, d wer ebed : mC7. on d,0 d-aa J ; p i o u ’t a e n e m g a \ f e p a o u r o e ’h g o u d e labourerien Frana a joumaz dilabour ; hag d (id e v i d - h o e 'h ; h o k a n n a d e d k a t o l i k n 'o gant ho zadou, er bloaveziou 1873 ha 1875, guiou ali a vefe gueü o chanj. - a Î ?e m ^ iJ , ^ac.'i rad! l!alsocialiste, 3.208 voix, er brolou tosta an traou ne oant kct gwel* d e u r . a k e d n e m e d d a v i r o u t n e v e t o d io u e r e t p e v a r p c e iz r e a l a r b lo a z V E u n abalamour ma ne feile ket d'an eil brank pcdet: perak ne deuont ket dan cnrcd ? anezho plcga gant cgile. e n o r e o g e l l o u t l a v a r o u t e p a e r h e lo d m w i Î ? t* i r oitoVm Nectoux loc’h war ar poent-ze : 98 dre vil cnn b o u l c ’h e t h o i a l c ’h p o u n e r . » « dr»i*zc ]OBt ket d'ar nnf f‘ ik0' da t««™ i r *,iflr°nt seuls en pré- Allmagn, 78 o Uro-Zaoz. c u z m i z o u a r v r o , h a g e u n a l i e o d ’a n lavaret, an a rph ha •netra »«n» mo A n d r a - m a n a v e e u r g a o u d iv e rg o n t, llag etouez pesourt labourerien ha miche* Œ ’J î * deu? candidats radicaux se e l e k t o u r i e n d a v o t i g w e l l o c ’h . ) dleont dont da r.ibri ba da zanzai 'parait ne a d r a z u r ; n e b e u t o e ’h a g a r a n t e z h a g a rourlen eo a gaver ar muia a dud dlbreder ? Ha ma karomp teuler eur zell dreist ar r i,V u P our l* aocialiste. N e b c u t o e ’h d i g a n t a l l e v e o u r i e n p c Etouez labourerien ar o’ho it da «enta (163 a k e d d a z o u s a a t s t a d a n d u d r e u z e u u i k Pyrénées, war ar Spagu hag ar Portugal : fam'iînk h«t ? anK,il'<la a?slsta aÙ daou Z.JU r c n c h o u r le n b ia n . 4 d r e 100 a z a lc g a u o w J î i ! i Çr?n}Î.ère foit <ïUfl le Sillon z o e to u e z a r o 'h a n f u r te d - z o e g e d o dre vil) ; etouez ar vansounerien da c’houdo daousthag eno ar rouelisted a zogwclloc’h- iaouank ha da ober e ir ¿Edenu evitho ? abordait la bataille électorale. Setu aze eun eured (eur feiko a fell d’ian ta m m k e n ta a z c b la n t b c z a r e b o u u e r (156 dro yll) ; ha prest, da c’houde e kaver r e n k a r g w ir g a to lik e d . doujet d’ar rouaned areu eged re Frans lavaretl a vczo ennbl 300 den : ne vo ket e v it-h o , d r o is t- o ll p a z is k a r g e r a r r e a il J ! a * ?on? ert M,,a &■»■««• u n oarac- labourerien an douar (101 dre vil). d’ar Rcpublik? Tamm cbed I Er Spagn, A U I m a c ’h e l l j e t o b o r v a d g a n t p r o aoter-kant den en eured en II¡7; petra? Peli ’zo avad ne loa ket bet ken nebeud a L ï™ / * di^ t é et de grande pro Carlos hag he vignouncdne glaskoutueroe.t evit c t r a o n a r s k e u l . E u r s k o u l a c ’h o u m e s a o u , n e u z e a v a d n 'o d e f e k e t h o f a r , enn heor muloc’û « empliifet i A bat dud dilabour-ze etouez ar re-ma ; dro ze, er r a k , g o u z o u t a r i t o l l p e g e u n e b o u d o an tu d’en em zizober oui Alfons X III, dans & l i ohero/ierait vainement l e n n a n iv e z e v i t i n t e r e s t a n a r c 'h a n t h a roe’h zo l allez an dud zo aze en hMUIirl, bloavez 1907 e loa 184 dre vil anezho, er hag ar gatoliked ne getzont ket gant-ho a o On i.i» phpart des luttes électorales. fo n c ie r a n tie z h a g a n d o u a ro u ; c’hedal vo achu an enred Pi>rit n i* v .V k o u s t o n t d ’e z h o . ü w a s a ’z o , a r p r o zo lakeet « modernisied » gant-ho. evel e caniîfrfii?.M® P°l»l»cior»e en mal «le bloavez 1906, 222, er bloavez 1905. 205, er m c f ia o u l i v e t k a e r a n o d - l n t k c t a w a l c ' ü . E r l i n k l a s k e u n d o a r e g w e l l o c ’h d a bioave* 1904,161, er bloavez 1903, 239. Frans ar ro a zong respet d’ar Republik. s ï ; k~ » æ s s rs a v e r k a h e lo d d a b c p - h ln i. L e z e n n a r *ûr la n u i» oomPt*n< Plu t>très souvent l i a g o u d e a n e lo k sio n o u , a n a o tro u Ar c’hemm braz-ze, euz an eli bloavez M a 'ze o b e tr d da archeskob Valence, dZ>/îi.P? iUtnoê P « « « a live de l'alcool d’eglle, a zou euz a berz labourerien ar n c d d i b a l e r - z e a z i s k o u e z o , e u r w e c h G a m p r a g o n d a o n k o u lz la v a r o u t a n o ll hà d'ar Pab he-unan, ho dianzao. keteunerprn 8 rtlp Poazint eur mod n’eo d a z i s k u i l l a h a g lio d a n v e z h a g h o d l o ; d u in ûit^*!}m ^t},éleot,ur et ,u r l 'eiï«t gwln. Marteze e plijo d’boî'h anaout ar gentel raÎ a gostez " ' ma " 60ket mad’ le*el n’e* m u i o e ’h , e m a i n t t o s t o e ’h o g o d f o r s p io u so n n a ilt t a b l e n t la perN o peuz ket ankounac'heet an anken a a n d r a z o a v e z o k a v o t t e n u , a n d r a z e o deuz bf't ev.z a berz ar Pab ?S~tu hT nma d 'h o l a l c ’h : p o n a o z ? O n e v e z i , g a i i t riianiin sn eo e kommanser evel ara beuz he lennet er c’hazeteuuou : a c ’h e l l f o z o k e n b e z a n o a z u z d a v e u r a Viôtolé n , ? ? . ™ ? " 11' P our obteni^ l* rene e brolou ar gwln er bloaveziou lo : : e n n a n d i a z e z , a n t a o l o d o u z g r e e t dispign arc hant : kals potred iaouack daut dlvera-ma: viuloc'h a wln e loa oged no h in i. g a n t le z e n n a r b a n s io n : h e lo z e l a p r « m m ; P ^ . i ^etp°-î fM?n d e leur P™' c'hellet gwerza, ha dre ze mlstrt ar gwlni « 1*08 catholiques no doivent accuser aucune euz ar guer, ganthodaoVskood, eFz lur dek social. H a g a z e e m a , d ’a m z o n j , a r p o e n t personne d’âtro moins bonne csiliollque. |>ar le g o s to z e p a d m e u r a v lo a v e z , h a g e p a d dacuzek lur, a vezo tano ho ialc’h î& L.etk ornent in tk r---------------a labour war ho zro. Maro Sangnter a traité l’électeur en ne IakkOnt seul lait d’appartenir i des partis politiques d i e s a e u z a l l e z e n n . M a c ’h e l l a r S e n a t a n a in z e r - 7 .o l i e j o n c h e v e l e u n a i l e n n Ar mlilou paoura evlt var. S10ua*i armerc’hetzo akuit ivo: al labonrou, varuppelds do nom de libéraux, quoique ce nom à ven- Ione, a oa mao ha *~‘J--h e n e e u n a e r v a d n ’e n d e v e z o k e t k o l l e t gouzouta reo jt fcemer bonbonlou, kemerdâ h e le a e 'h , e v it b r a s a m a d a r b in v id ig ie n ~ d«ou ’ kerzu ; hag an répugna a plusieurs et qu'il sorati mlotut de ue h e a m z e r . Dar u L à ,í o n prog Pr°0 ramme wella, oven ha gwcngoio. e v e l m a ’/. i n t k a z i o ll. nns remplujrnr. Combattre syslématlquemeut des eVn r ^ n nfeJ incig? nt ket da eva d’ar M Z & * hommes ot des partis pour lo seul lali de s'uppecigarennou (eur mod nebloavez 1908 a zo bet paouroe’h eged î i W é i î î w ^ ^ Î i v i K « * ’ l i r }cA rt 9t dim N ’ouz f o r s , da c’hodal ho c'hinnigint ¥ ¥ «nwrwK», »fui hfl «tnra d’ailleurs la nnArdaou vez) evlt delle beza paet dezo eun drs l«r libéraux na sera jamais |ugte et opportun. Qn* zlveza arao-z-han; mes 1905 ha ©ta evit eul lezenn euz au aibab, D a c’hedal, arabad e ve marteze bennag en dizro. l'on attaque les actes et les doctrines répréhen .... r 1 C L Q O I SE PASSE NETRA DA C HOUNIT Eun dra nevez m) an Diazez levez TUD DILABOUR nevez*-fo?ffip/ nü,r''‘rnbrei h . >*t!"!W,^ lW iniWW'fflWll[ininTnnffiTiutiiwniriiimTHTiwinirfHTnrn7rn'niTHTnTim'i vT'”i.i:'»inn'iTrnTr^TrTnrrrrrrT.^.Tpyrrri«i.«.r>tTvrrm TiTfffiîwn mt\y. L I COURRIER DU FINISTÈRE Les pôcheure en eau trouble de la Confé Bretagne catholique et que sa parole l’é- QuIIIévôré, de Balnt-Pol-de-Léon, pour llamon Ma ema ar mod da baea pcbhlnl be voed, n Et quand II parle des réformes, qu’on ne da rei soude eur peilk guen d’ar re novoe lui réponde plus par le cri de : A bas la dération Générale du Travail, en apprenant panche dans nos cœurs pour leur faire par par B. B. Rumwood et Qutlllor ; 20 -, 35 fr., A M. cette agitation sont accourus pour attiser dlmeiot, cetra da lavarot : me* a benn dis- calotte I Go cri des oies du Gapltole radical tager ses inquiétudes, mais aussi pour les P a u l Le Bris, de Clôder, npur llêricllde, par B. B. Rumwod et Hercule ; 27-, H te., A M. Hervé de nouveaux troubles. plea elz, nao llur, evel e rer peurvula, pe n ’a plus d'écho. raviver et les réjouir. Et quand il nous Elard, de Balnt-Vougay, pour Harpie, par Basoche BREST Aujourd'hui, la République est en péril, A une réunion des postiers, l’un de ceuxdele, daouzek llar, evel e ra kafc, e rer sûr parle des tristesses et des dangers de ou Hercule et Halérv ou Jérémie ; 28-, 36 fr., A et les révolutionnaires ao droite et de là. le citoyen Pataud qui fait la nuit et la lu l exil, les vers de le Berre nous remontent M. Jean L e Rest, do Safnt-Pol-de-Léon, pour L a « Q uin zain e Ouvrière n displgnou a ne reont vad da zen. Hag e komzemp dlzul etreiomp lve euz gauche s’apprêtant A recueillir ses dé mière à Paris, aux applaudissements des aux lèvres : Histoire, par B. B. Rumwod at Ferret; 29-, 30 fr. Quelgnes-uns des principaux rédacteurs postiers disait que le gouvernement n’ose ar reform evit an arme: aetu aze c'hoaz pouilles. La faute en est aux radicaux, qui A M. Yvea Curru, do Batot-Vougay, pour fierO'vela ra e krslz an arne ne la Quinzaine Ouvrière s’étant trouvés ar l'usage qu’ils ont fait du pouvoir, ont rait pas mettre ses menaces à exécution boeddlzarzl Beteg ar botred laouank ar mfono, par Hercule ou Bohémien et Jacob ; 30-, W a r ar re a zo dlvroet. assez gravement indisposés, le journal ne 30 fr.. A M. Claude Guéguen, do Plouénan, pour écoDBldéré los principes républicains dont car fortes de l'exemple des P. T. T., les or re velia, a gav dezo eo red en delz-ze kana paraîtra pas cette semaine. Il en exprime E brezonepf e paouez an aotrou Eskob e llermlono, par Rosellan et Donmark ; 81-, 30 fr., anlsations comportantes n'hésiteront plus ha louai, ha buza oun tnm tom ho fenn evtt Us prétendaient s’insplror. Leur anticléri ses regrets et ses excuses à ses nombreux A M. François Mesguen, do Blblrll, pour ifermine, s’emparer du droit de grève qui leur est brezegen, c houek o iez, nklêar e vouee, kaout muloo'h a hardlzegez : « Hed eo ober calisme fumeux a toujours obscurci leur lecteurs i t abonnés. par Donmark et Hercule; 32 , 3e fr., A M. Fran hag hor e halounou o tridal. vue. Lours yeux se déssilleront-ils, aux Interdit, pour so joindre, à leurs camarades. Mr ohlz, erne hint, ato o voz gret evelse, > çois CuefT, de Plougoulm , pour Historiette, par « Bretoned, deueteusar pevarc’horn eus Comfactor Qt Lord Randy ; 33-, 30 fr., A M. G u il éclairs de l'orage qui gronde 'l Les événements, ne se chargeront sans Ar vogale,pa gavont our poull ala ato, ato, Sociétés de secours m utuels G. L éon' doute que trop de lui donner raison. Il y a Vreiz, chomit bepret kristen ha kalonek da gaboulllat ebarz: a guelloo’h a reont laume CoccNgn, de Plouénan, pour Héroïne, par evel gwechall. Kavout a refot, e « société Rosellan ot Old-TImes ; 34-, 80 fr., A M. Nicolas aura encore de beaux jours en France I evlt an drane f... Ar gizlou fart no oarmor/.e Le nombre de sociétés existant dans l’ar ---- L ’ ’ ’ha Quentrtc, de Plouiçar, pour Herléiant, par Vibrant oblljtt d'ho houli. rondissement de Brest est de 46, ainsi ré et Unan. va i'otred laouank, va mlgaoncd, abnlamour parti en quantité de membres, pour une 1" mention, A M. Louis Lo Sann, de BalntT"-- ’ - - o « «cicicu au, idg 6ZOD2 d’ar respet a dlelt deoch oc'h unan, obabtpopulation totale de MG.6I5 habitants : Pol-do Léon, pour ncrvclinc, par Enfled-Rufue bras o deus Bretoned Paris outo II... mour d’ho kuennelen a lot dn heul, laklt Comtactor et Jacob ; 2 -, A M. Yves Lesquln « n f 03 tr° l? î “ 1008 de Brest : membres honoraires, Evelse b .zet great, ha Doue ra zigaso ou oun tam urz en ho kondutt ; hoc'h nru'hant *98 ; participants, 10 . 818 ; cantons de : Daoulas do Tréllaouénan, pour Harpie, par Ilorcule ou. doomp, Bretoned a galoun, meur a eskob Bohémien gounect dro ho labour, n'blt kot d'hen et Lord R andy; s-, A M. Prançols alx membres honoraires, 206 membres participant» evel an Aotr. Duparc. Tanguy, do Saint-Pol-de-Léou, pour Mina, par Landerneau, 78 membres honoraires, 71« membres ■tlapa en er : Inklt-hen cr c’hef rural zo A la gloire de Jeanne d’A rc Puis la procession du Très Saint Sacre participants ; Lanntlta, sept membres honoraire», Denmark et Lenlhérlc ; 4-, A M. Franç-ils Péron, zavot po e car o vont da zevel on ho parrez. ment avec ses cierges, ses drapeaux bretons de Mespaul, pour Hirondelle, par Uguen ou 329 membres participante ; Lesneven, 30 membres Hno, pa o pozo ezom, her c’halTet, po er l.a grève dos postes et télégraphes est D enm atk; 6-, a M. René O livier, de Plouénan, honoraires, 129 membres participant* ; A Oues*ant et français, et nous, nous écrasant pour ■ervlch, ma ranklt kaout ear gaennek ben D an s le b u t de pay er son tr ib u t d ’ad pour Alino, par Bultan ot Qutek. Plabennec, Ploudalmézeau et Ploudlry, Il n ’existe après avoir duré 10 Jours et causé contempler toutes ces choses et surtout na«. ha muloo'h c'hoaz dlvezatoc’h, n’onz terminée, Pouliches de trois ans. — 1- prime, 726 fr., n ilra tio n à Je a n n e d’A rc à l ’occasion aucune société de prévoyanco. Dans le canton de des dommages énormes au commerce et à notre pasteur ; si nombreux que la quête fort e pe atad pe e pe leo’h e »tagfec’h ho la prospérité nationale. M. Joan-Louls Blhan, de Plouénan, pour Ger Salnt-Renan, dix membres honoraires, 23G de sa b é atificatio n, le Courrier du Fini ne put se faire jusqu’au bout. La cérémonie paei. membre* participants. A u total. 1.024 membres tere ouvre un concours pour un oh an t était terminée avant qu’on eût eu le temps vaise, par Comfactor ot Lord R andy; 2-, 075 fr. Mais 11 nous faut reprendre le récit des A M. Pierre Blhan, de Plougoulm , pour Grazlella, honoraires, 12.403 membres participants. Heulllt an all ze, hag aklgnlt-hen en dro événements à l'heure où nous l’avions breton et religie ux en l'honneur de de passer dans tous nos rangs. par R oiollan et Chambots ; 3-,fi75 ir., A M. Charles deoe'h : ar zort ad-ze, ne vezo ket adet re arrêté notro Bienheureuse nationale. la somaine dernière. Néna, do Batat-Pol-de-Léon, pour Gai elle, par Pourquoi faut-il que des membres in B o urg-B lanc putho morze. H. T a o m k . Ce c h a n t ou oantlque devra retrae er Le vendredi 1!) mars, commo noos l’an fluents de la société la Bretagne, amis de Ileroule ot Rob ; 4-, 076 fr., A M. Yvoe Ciurru, de Un escroc. — La police de Brest recher à la rg e s tr a its la vie glorieuse de — Da lion o veto prUiouan tri mit-ma '? noncions, un grand débat qui so termina Balnt-Vougay, pour Généziroth, par Aurlac ot 1Action Française, aient crû devoir autoAr c'helc'Uou-studi burncritn n *o pedet trfca tard dans la nuit, s’ouvrlt sur la grève. l'héroïne, son procès, sa m ort, ses [, sÇtI™ e propagande politique, en laissant Mldlothlam ; 5-, 020 fr., à M. CharUa Nena, do chait activement Jean-Marle Qulllévéré, 27 Balnt-Pot-de-Leon, pour Galantine, par C om lia ligas Ilo mouozíou ar c'licnta ar g-wolla, M. Symlan, sous-secrétaire d'Etat aux vertus, sa, glorification p a r l ’E glise distribuer aux pèlerlhs, avec le bulletin de factor et A m asls: G-, 170 fr., A M. Jean-Marle ans, sans domleile connu à Brest, iuculpé d’eecroque’ leB. Qulllévéré, qui a été emostcs et télégraphes, et dont les grévistes et appoler sa pro te ctio n sur la F ranc e la société, lejournal l'Acüon Française ? Guercb, do Blblrll, pour Girouette, par Com plr yé par M. Jézéquel, cultivateur au Bourgoù comme en son tem ps 11 y a de nos emandalent ia tête, vint à la tribune débi La société ln Bretagne a fait beaucoup faclor et Ilard-TImes ; 7-, 170 fr., A M. Jean Blanc, s’ètait présenté chez plusieurs com ter un plaidoyer pro domo, plaidoyer qui, Jou rs « g ra n d e pitié. » pour les B;etoni de Paris. La première, Marie Guéguen, de Balnt-Vougay, pour Gai/nanle merçants ayant des relations avec son p»Il s’a d a p te ra à un a ir breton bien elle a disposé d'un budget sul'lisant pour ar Unique et Ilard-Tloies ; 8-, l7o fr., i assuraient de mauvaises langues, avait été connu et e n tra în a n t — (désigné p a r I. Ilorvô Elard, de Balnt-Vougay, pour Cergo tron et leur avait demandé, au nom de ce der rédigé, pour lui, par M. Glémenceau. organiser des manifestations de l’esprit ville, par Comfactor ot Altorph-W onder ; 9 nier, diverses sommes formant un total de l ’auto ur) — ot com portera de 120 à M. liarthou, ministre des Travaux breton comme celle du dimanche 1i mars. 170 fr., A M. Joan-Marlo G ulllou, do Plouzévédé 45 francs. Or. l'escroc n’êtMt plus an Rervice 140 vers. iublics, au nom du gouvernement, stigmaMais que dire, lorsqu’on la volt mettre La grève des l'ostes'ct Télégraphes est pour Gloriole, par E uilal-Rufus et Allorplide M. Jéiéquel depuis lit.it mois. D èj qu'il Le tem ps pre ssa nt, les com positions Isa les grévistes « qui, disaient Ils,' étalent 1 iDflueuce qu’elle paut avoir auprès des vVonder ; 10-, 120 fr., A M. Claude Le Lez, de terminée. fut avisé des agissements de son ancien do v ron t être rem ises à r A d m in is tr a Bretons de Paris, au service d’un mouve Plougoulm, pour Oabegl, par Hercule et LophoLe s grévistes ont battu le gouvernement en révolte contre la Nation. » employé, M. Jézéquel porta plainte. te u r d u Courrier du Finistère le m a r d i Par S-Kî voix contre 147, la Chambre tore ; 11-, 60 lr., A M. Guillaum e Cocalgn, de ment aussi anti-breton que l'Action Fian• t rentrent dans leurs bureaux en vain Quiltlvéré a été trouvé: 6 a v r il au p lu s ta rd . E lle s ne seront Plouénan, pour Princesse Delmar, par Hercule votait, vers minuit, l’ordre du Jour suivant : çaise ? quears. et Old-TImes. M. Omnés, oncle de M. Jézéquel, le ren p a s signées, m ais elles po rte ron t une No mêlons pas la politique L a Chambra résolue A no pas tolérer les grèves Aucune révocation ne sera prononcé« : 12-, GO fr., i M. Guillaume Guen, do Plouvorn contrait mardi matin rue de Slam à Brest. devise et seront accom pagnées d ’une Avec la charité Bymlnn peut faire sa malle et partir. Ut do» (onotlonnalros, conllanto dans lo gouvornopour Giroffa, par Aurlac ot Nnoutec ; 1J , 00 fr. Ii le fit aussitôt arrêter par la police. enveloppe caohotée contenant lo nom a dit Botrel. meut pour rameuor l'ordre ot la pnlx dans los oepeodant le gouvernement, aveo une a M. MkuiIco Le B*nn, do Balnt-Pol-do-Léoa Deux nouvelles escroquerie» commises à postos, approuva aos déclaration» ot passe A et l ’adresse do l ’au te ur, aveo l'in d i Il est regrettable, qu’en cette circons pour Argintlne, par Ile T u U et Bink-Note ; H\ Inslstanco remarquée, disait qu’il ne cède I'ordro du ]our. Lambézellec et à Saint-Marc ont été re c a tio n do sa âevlso. tance, on n ’ait pas eu la délicatesse de 00 lr., a .n. Français Oaür, do P iouvom , puur ralt pas aux Injonctions des grévistes. La lié e s à l’actif de Qaillivéré, qui d’allleuts, Nous com ptons su r a u m oins 5 ou 6 suivre ce conseil. » î ypesse, par Langion-Mascher ot Malicieux ; 15-, Les grévistes no pordlrent rien de leur majorité, à doux roprises, approuvait cette a tout avoué. co ncu rre nts ; e» alo rs un p r ix de 26 60 fr., A M. Renô Maason, de Tréllaouénan, pour Un Breton de Paris. attitude, par dos ordres du J aurdo conllanco ardeur et le samedi et le dimanche, Us fra n c s sera décerné il l'a u te u r de la Uervaise, par Behanzln et Martus ; 18-, o» fr., A tinrent réunions sur réunions pour atta G o n csn o u votés à une énorme majorité. M. Jean-Marte G ulllou, do Plouzévédé, pour com position classée première, qui quer lo gouvernement et exposor parfois Mais catto attitude étult toute do parade. Les rom anichels. — Les gendarmeries fanny, par Fltz-Rose et C h a rio t; 17-, 66 lr ., A M. de v ie n d ra do ce fa it la p ro p riété Suppléants de juges de paix avec violence, leurs revendications. Noua disions, la semaine dernière, que Olvlor Bertevas, da Mcapaul, pour Giboulée, par de l’arrondissement étaient prévenues par exclusive du Courrier du Finistère. ltappelonsaux lecteurs, que les grévistes Uguen et Denmark ; 18-, 65 fr., A M. Françoli toute faiblesse au cours de oette grive, la gendarmerie de Plabennec, qu’un vol N ous feronu ensuite le nécessaire Sont nommés supp’ôants des Juges de Bevôre, do Balnt-Pol-do-Léou, pour Glorieuse, venait se recrutaient surtout parmi les ambulants serait u n jr a g e donné à la Révolution. d'étre commis dans cette commune paix de : po ur obtenir l'im p r im a tu r et pour par Uguen ot Lord Randy ; 19-, 66 fr., a Mme des postes et les té'égrapblstes des bureaux CeUe.cl »V ite d’allégresse et s’apprête à par deux Jeunes iilles appartenant a une m ettre en vente l ’oeuvre prim ée a v a n t veuvo Lostang du Rusquec, do Blblrll, pour PJoudlry, M. Buzln, raalre, en remplacement de dits Bureaux-Oentral de Paris. lancer ses troupes. troupe de vannlérs ambulants et qui voya Fleur do Lys, par Béhanzln et Gaston ; J 0 -, 55 fr., M. Lo Houx qui a ôtô nommé ju^o de pnlx Les ambulants sont les employés des la £âte du 18 a v ril. Non p u que les postiers fussent des geaient dans une roulotte attelée d’un caeA M. Pierre Raoul, de Plougoulm, pour Gervaisc, CrozuD. M. Jeau*Loul8 Lo Corre, en remplacemei/! Le j u r y p o u rr a accorder un au tre poitea, qui sont chargés de prendre les révolutionnaires 1 Loin de nous celte val blanc. par Marot et Gaston ; 2t-, 60 fr., A M Jean Quôré, do M. Alix, décédé ; Salnt-Renan, M. Troadec, p r ix de 10 fra n c s po ur la com position sacs de correspondances danB les gares et pensée. Mata la lutte avait été engages do de Plouzévédé, pour Delphine, par Comfactor ot Les gendarmes de Lanjbéze-'ee ayant été adjoint au maire, en remplacement de M. Bouvet, de distribuer les lettres, après triage, sur olasséo deuxièm e, s’il la jn g e v r a i décédé. Marot ; 22-, 60 ir„ A M. Jean-Marte Déroff, do telle sorte, que lo gouvernement n'avait avertis qu'une voiture répoDdjnt au signa m ent m é rita n te ; ot d a n s co cas cette Plougoulm , pour Géranium, par Comfactor at pas à défondre des prérogatives ministé le pasBage du train. Les télégraphistes du poésie a u ssi de viendrait la p ro priété lement donné se trouvait à Gouesrou, se Hercule. Central, roçolvent à Paris, les dépêches rielles éphémères, mais des principes rendirent dans cette commune et mireut en du Courrier du Finistère. 1” mention, A M. Olivier Sérfcrc, de Balnt-Polque l'on expélle de province, pour une d'ordre sur lesquels repose toute société état d’arrestation Philippine/ugetta, 18 ans. do-Léon, pour ÿlondc. par Marot et Losqulvy ; loc illté ou uno ville située au delà de Paiis. organisée. et sa jeune sœur Marie, 14 ans. Toutes deux 2-, A M. Moysan, de Plougoulm , Dour Gabricllic, On volt que par suite de leur refus de Désormais, 11 est prouvé que les syndi nient avoir commis le vol qui leur est re M. l’abbé Paul Le b’ioc'h, fondateur d'une par Denmark et Marot. cats des fonctionnaires formeront an état travailler, il devenait impossible à la pro proché ; mais Mm? L'IIer, la victime, colonie bretonne au Canada, est en France Bannalec vince de correspondre avec Paris et même aflirme de la façon la plus formelle que les pour quelques mois. Il verra avec plaisir dans risiili et causeront en maîtres au pays, avec une autre pirtie du pays, soit par 1” prime, 250 fr. reproduction et MO fr, conser deux jeunes iilles arrêtées lui ont soustrait, les familles qui lui ont déjà écrit, ainsi au mépris dn toute loi et de la constitution. vation, René Boêlec, de Kornével ; 2 -, 200 fr. correspondance, soit par télégraphe. que toutes celles qui désireraient être ren- Yves Tallec, A Kerantorc'b, en Bannalec ; Jdans un titoir, une somme de G à 7 frac es ( “ae d'autres syndics!* les Imitent, et Dans les villes de province, 1 1 y eut blon en blllon. seignéés dans les moindres détails sur ce 160 fr., François Bourhls, do Scaôr ; 4-, 100 fr., nous nous acheminerons petit $ petit vers aussi quelques grèves partielles, mais de pays. Les explications données de vive voix Les deux sœurs ont été conduites lundi une situation anarchique générale, qui ne Joseph Bordlor, do Scaér ; 6-, lOOfr., Louis Calll courte duiee. C'est ainsi que les employés do Bcaér ; G -, 70 fr., René Le Bras, do Salnt-Thu au parquet de Brest. bont toujours plus avantageuses, et l’expésora d’ailleurs que l'aboutissant logique des postes de Brest boudèrent le travail le Au sujet des biens ecclésiastiques con- riencs de six années passées dans la Sa- rien ; 7-^60 fr.,Christophe Le Dérout, du Trffvoux d'une politique trop longtemps suivie. Le Conquct 8-, 50 fr., Henri BoOdec, do Scadr. fisqués par les lois de séparation et dot t katchewan permettra M. Paul Le Floc’h Les hommes au pouvoir, ont toujours vendredi 19 mars et, dans la matinée du A 3 heures le même jour, Us nous avons parlé dans notre dernier nu de répondre avec compétence aux ques Montions : l" , Louis Sollln, du Trévoux ; 2L a « Louise ». — Se conformant à l'avis prétendu faire couvre d’émsnulpïtlon so lendemain. Christophe Blnquln, do Bannalec. reprenaient le travull. de la commission qui avait visité la Louise, méro, Mgr Duparc adresse au clergé de son tions qui intéressent particulièrement lea ciale. en s'attaquant à la religion. vapeur postai, qui fait le servie« du Co tCurhalx cultivateurs. Il fallait, dlsulont'lls au peuple, abattre A Paris lo gouvernement faisait appel à diocèse les Instructions suivantes : la troupe pour le service du télégraphe et quet Ouessant, le préfet du Finistère vient Qulmper, lo 20 Mars 1009. E :rire à l'adresse suivante et Joindre un C o n c o u r s d ’a n i m a u x . — 1" classe. Jeu nés l'Eglise, catte puissance qu’ils montraient, la distribution dev plis : les facteurs de r i tser à ce navire le parais de navi Mosslsurs ot chora Coopérateurs, bœufs ne marquant pas plus do > ans en bouche timbre pour la réponse : meusongàrcment, barrant la routo aux d'imprimés s'étuicLi. aussi mis en grève. guer a l’avenir. L a listo dos blcua ocoléslastlquos enlovée ou Ci catégories). M. l’abbé Paul Le Kioc’h, réformes. Ils agitèrent devant lui, en guise Mais les sorvlces étalent plus ou moins dlocòso do Uulm|)«r ot do Léon par l'Etut vient 1" catégorie : braufs Isolés — I " prix, 70 fr. et Saint-Brleuo, poste n siante, d'épouvantall, le spectro du olérlcalltme. Le Rclccq-Kfcrhnott d'ôlre publiée. une médaille en argent grand module, offerte par bien assutés, car les services des postes Côtes- du-Nord. Le peuple a cru les rhéteurs qui suivaient Vous vondroî blon rappolor aux (1Jólos quo la Boclété dos agriculteurs de Franco, François Conférence publique. — Les pêcheurs réclament uue grande habitude et surtout si Mon lo consoli trop célèbro « Mentez, d’entro eux qui peuvont revendiquer uno Cougard, maire de Plouguer ; 2-, 60 fr., Jean et pêcheuses de Kerhorre et de Camtrout une graude connaissance des rouages déli ceux parilo do oas blotn n'ont plus qu’un délai do six montez 1 11 on restera toujours quelque Cougard, de Keram pul, en P louguer; 3 , 40 fr., sont priés d'aisiter nombreux à la réunion cats de l'administration. mois pour (atro reconnaître leurs droits. Il: ont le J.-M. Manach, de TretTrln ; 4-, 10 fr., Isldoro chose. » qui se tiendra dimanche 27 mars, à 3 heures, Aussi les sn :s de dépéches et de lettres dovolr strict A moins d l.ni osslblllté constatée, Auürot, de Rocher, en Plouguer; l", 10 fr., Jean Aussi est-ll demeuré Indifférent à la s'accumulaient dans la nouvelle salle Nlcol. Joseph Saliou dans les bureaux. d'oxorcer cotto action on reprise et do s’entonRlvoal, do Bpéiîot. uorrosans merci déclarée aux catholiques, et l'abbé Madec y exposeront les raisons Lo commerce, l’industrie souffraient de onsulte nvoo l’Iivéquo pour organiser l'exé 2- catégorto : banda de quatre bœufs, apporte Lu presentation à la remonte ietto guerre n'étalt-ello pas nécessaire, cotto situation, ots’iugénlalentà remplacer dro qui doivent déterminer le Conseil général cution des legs ainsi ressaisis, en su confoi maut nant au même propriétaire et n'ayant pas con pour que le progrès trouvât la route libre? A la volonté dos fondateurs prlmlllfs. couru pour les autres prix. — 1 " prix, 80 fr. et à accorder aux pêcheurs et pêcheuses de co le service postal, par une organisation Nous nous sommes fait l’écho des plaintes Séduit par la puissance magique des Vous auroz lo in , a cotto occasion de mentionner une médulllo en vermeil, oirorto par M. lo minis quillages de notre commune, le demi-tarif privée. C'est ainsi que la Chambre de d’éleveurs contre le tralic de billets de pré mots, le peuple se llguralt le Progros, sous Commerce de Itennes — qui aurait été uno lois do plus la polno d’oxoornmunleullon tre do l’Agrlculture, au nom du gouroineraent de de passage sur le Bac à vapeur de Plougassentatiou à la remonte pratiqué par quel Inlllgéo par l'Eglise A tous coux q ui s'approprient la République, Yvos Porrlen, do Bronolo, en les tialts d'une féo bienfaisante, qui portait tel. Imitée par la Gnambre de Commerce de ces biens pour lour usage personnel ou qui les ques individus avec un cynisme scaudaleux. MotreiT ; 2 -, 70 fr. ot une médaille de bronzo, à sa ceinture, la clef du paradis « mllléBrest, si la grè?e n'avait pris lin — char louent sans en avoir obtenu l'autorisation du E x p lo it * de c o lo n ia u x . — Nous avons ra offerte par la Boclété dos agriculteurs de Franco, Lts gendarmeries du Nord-Finis'ère ont, niilro » lo paradis que l'on trouve sur cette conté la scène sauvage qui so déroula le 18 j ,ngeait tous Tes Jiurs un employé de se Salnt-SIégo. Jo se rh Mahé, do Cléden-Poher ; 3-, 60 Ir. paialc-il, reçu l’ord:c de veiller à ce que ce terrò, et dont on lui faisait entrevoir les rondro A Paris avec un sac de correspon. vler, dans un débit du Rofecq-Kerhuon, où qualro Relativement aux lmmeublos, titres do rontoou Simon Cougard, de Kergoutols, en Plouguer : 4tralic n’existe plus et que le rang de prises Ioies et les plaisirs à travers les fumées dances commerciales. soldats coloniaux: les nommes G uillaume Dénlel, revenus do toute naturo, qui vont par décrot étio 25 fr., Joseph Cardinal, do Kornlguez, en P lou tation soit établi suivant une règle com îles pipes, des réunions publiques. 21 ans, Plerro Lo Saout, 19 ans, Raoul Grannoc, A d o i établissements communaux ou guer. Lundi lo comité parisien de la grève attribués mune à tous. 19 ans, Jean Simon, 19 ans, en compagnie d'un départementaux, U H . lea Membres dos Consolls classe. Jeunes bœufs ne marquant pas plus Or voici que, si les persécuteurs de PEmaçon, Simon Buzaré,18 ons, se présentaient chez Les agissements 1'rauduleux seront sévè énéraux ot municipaux ot los adminístralo urs de 't ans an bouche (S catégories/ Use n'ont pas encore taillé la pierre dont avolt une entrevue avec M. Barthou. D ’après la version olMclolle, le ministre y U. Am is, débitant et conseiller munlcfpal, et es étobllsiomonts Intéressés dovront «e souvenir rement punis. l " catégorie : boeifi Isolés. — 1“ prix, 70 fr. et voudraient sceller son tombeau, Ils peu eut uno attitude énergique et môme intran fi! demandaient do boudin. Tous las cinq étalont qu'ils no pouvont, »ans fauto gravo, provoquer Las éleveurs ne peuvent que souhaiter uno médaille en argent, offerte par la société des vent cependant en Jugeant les événements sigeant et so refusa do discuter avec les cette dévolution, ni mémo l ’acceptor, A moins déjà Ivres. M. Amis leur déclara qu’en raison agriculteurs de France, Simon Cougar, de Kerqu’il en soit ainsi. nvoclcs vues humaines toujours courtes, d'uno doco qui avait lie* lo soir même dons son d'uno entento préclso avec le I ’ane ou l’Htéque. irévlstos tant qu'ils n'auraient pas repris outots, on Plouguer ; 2-, 00 fr., François Couan, croire qu’ils ont triomphé. débit, Il ne lut restait plu* de place pour leur Cotto ontonto réglora los conditions do l'usu u G uem , on Kergloff: I-, 60 fr., J.-L. Conan, ds e travail. donner A manger. Une discussion éclata, q il Pour la grande masse du public, les per Kergorvo; 4-, 31 fr., Louis Crolzlor, de TrébrlMais 11 y a tout lieu do croire que le gou fruit provlsolro et déterminera los réserves A CONCOURS DE POULICHES dégénéra en véritable bataille : lea coloniaux reiusécuteur« sont désormais leB maîtres du vernement laissa entendre à mots couverts faire on faveur dos droits du légitime proprié van ; 5\ 20 fr., Joseph Quônoude, de Plôvln ; 6-, eèrent do sortir ot s'émparant alors de tout ce qui champ de bataille. Elle s'étonne, mainte aux délégués, qu’il était prOt à faire des taire. 10 fr., Hervé Guonvern, do Plounovézel. C kiltcaulin L'EglIso, en cll’ot, n'onlond paa rononcer A la 2- catégorlo : bando de quatre bu'ufs, apparte se trouvait sous lours mains, se mirent A brlsor nant ue voir que le gouvernement ne veut concessions, car dès le soir quelques me bouteilles, verres, carreaux. M. Amis fut atteint A iropriété dos bious qu'on lui prond. Il faut que nant au même propriétaire et n ’ayant pas con Lo concours de poullchos do trois ans, pour les pas qulttor le terrain des luttes religieuses. la tôte, par une bouteille pleine de grenadine, os bénéllolalros do cotto liij'istlco en soient blon neurs proposèrent A lours camarades de couru pour le* autres prix. — i " prix, 80 fr. et cantons de CbAteaulln, Pleybon ot Lo I'ftou, a ou U’eBt que le gouvernement trouvait dans qui lui fit uue forte coupure. La semaine dernière, avortls. I.a auront A pourvoir A lour cousclonco A repronurolo travail. une médaille en vermeil, olîorto par la Boclété llou mardi après-midi. La commission étlHt prôsl■on anticléricalisme, un paravent pour son devant le tribunal correctionnel, les cinq Inculpés l'houre du la mort b’Ila no l'ont pas lait pendant dos Agriculteurs de France, François Cougard, On les accusa mûme de trahison et de déo par MM. Clauzol, directeur du dépôt d'éta ont manlfeslô des regret* et mis cette scène do lour vis, ot nous no pouvons pas lour laisser do Plouguer ; 2- 70 fr. et une médaille on bronze, lons d'ironnobont, 37 animaux ont été présentés B’fltre vonduB au gouvernement. Le comité sauvagerie sur le compte de l’ivresse. Ignoror quo, pour la sépulturo chréllenno commo ^ e u x ^ q u l s i prétendaient les champions ofTerle par la môme société. Françoli Conan, do et huit pilm és : 1” prime, M. Mlcliol Gnédôs, do no fut pas écouté et la grève à outrance tut Le tribunal, après u a réquisitoire modéré do our lo» dornlorn sacromonts, la réparation du Korglotr; 8- 50 fr., Yvos Le Berre, de P lôvln; les Plus dévouéB de la cause du peuple, Pleyben, aulella, (co prix, qui consistait en une acclamée dans les meetings. La situation M. Sauty, et une plaidoirie do M* Bodot, pro ommage causé doit accompaguor collo du scan 4-, 40 fr., François R jp a rs , de Saint Ilernln; 5-, prime do conservation de 400 francs ot uno primo n ’ont à peu près rien fait pour lui. nonça le* condamnations suivantes : Blmon, 8 S'aggravait donc, et l'émotion, l’inquiétude dalo donné. 20 fr., G uillaum e Gulchoux, de Langantec, eo de roproductlon do 250 francs, a ôtô rolusôe par L ’é b a u c h e du code du travail à peine mois do prison ; UJnlel et Grannec, 4 mois , Le Los proportions du vol dont nous sommes vic du pays eurent leur écho A la Gha’abre où Clédon ; 6-, 10 fr., Aristide Poulhiac, do Plouguer. le propriétaire, ollo n par sulto été attribuée A •sttulssée, est 16 fruit du travail de catho pour la deuxième fois, on s'entretint de la times npparalssont aveo toute lour ampleur ef Baout et B uzirô, 3 mois. Toutefois, oommo M. Joan-Louls Guédès, de Salnt-Ségal, pour s» J* classe. Bœufs de toutes races, sans distinction les cinq Inculpés ont de bons antécédents et liques ou de socialistes. On n’y retrouve grève lundi soir. Cette fois M. Glémenceau frayante dans los vlngt-ilx pagos de l 'Officiel du oullche Galène) ; a-, Graciable, A M. Vincent d'ige (deux catégories) qu'aucun d'entre eux n’a jam ais été condamnô, lo l'i mars où sont énumérés nos biens. Les agents pas la main des radicaux. ;ullllou, do Rosnodn, 200 fr. ; 3-, Galantine, A parla. -, tribunal leur a fait A tous application Ars sursis. l r* catégorlo : birafs Isolés. — 1 " prix. 40 fr., du pouvoir n ’ont rien oublié. La part dos morts La loi sur le repos hebdomadaire, par les M. Jean Bréllvot, de Logonna-Qulmorcli, 200 fr. ; S'adressant plutôt aux postiers qu'à la est confisquée avoc la mémo rapacité sacrilego Hervé Guonvom, de Ploumévézel ; 2-, 80 fr., A ris multiples dérogations dont on l'alourdit, V, Germaine, A M. François Kosmorduc, de RosP loudalm ézcaa Chambre, 11 vint dire que le gouvernement tide Poullzac, de Plouguer: S-, 20 fr., Isidore collo dos vivants. Il sera bon uo lire, au pròno noiin, 150 fr. ; 6', Gazolle. A M. Yves Cozlon, do n'aik'nre nullement le repos hebdomadaire aurait des trésors de mansuétude, pour les (i euovos T irs à la c a rab in e . — Les tirs à la Auffrot, do Plouguer ; 4-, 10 fr., Josopli Cardinal, églises, la partto do cotto listo do apollaPleyben, 100 fr. ; 0-, Vldorlne, A M. Alain üuédes travailleurs. do Kernlguez, en Plouguer ; 6-, 6 fr., J.-L. Conan, carabine des Arzelliz reprendront dimanche grévistes, s'ils se soumettaient. Visible llon qui Intéresse chaoune de vos pnrolssos, on nolé, do Qulmorch, 100 fr. ; 7-, O'racietise, A M. L'impût sur le revenu, dont le principe de Korgorvo, en Plouguer. rétablissant toutolols la mention dos charges 28 mars. ment, lo gouvernement cédait, tout en ayant Yves Dréllvot. do Rosnoén, 50 Ir. ; 8-, G&clie, A 2* catégorie : bande de quatre bœals, apparest Juste, ne paraît devoir ôtro qtvnn Ins l’air de garder, pour la forme, une apparence pieuses dont ces biens oe trouvent grovés et qui P lo n g u ln M. Louis Inlaf, do Rosnoén, 50 fr. tenant au môme propriétaire et n ’ayant pas con aont nbsentos du tableau ollldol. trument de spoliation entre les mains d’un Mentions honorables : l- , ciorielle, A M. Joand’autorité. couru pour les autres prix. — 1»’ prix, 60 fr. ot V o l.— Dans la nuit de dimanche, M. Los fidèles verront mloux touto l'élonduo d'uue parti, contre les adversaires, si le Sénat ne P aul Le Dorgno, de Pleybon ; 2-, Glaneuse, à M. Los grévistes écoutèrent ces appels d’un spoliation qui los atteint autant que nous, ot Jo uno médaille en argont, ofTerte par M. le ministre Jean Omcès, menuisier à Plouguin, a été taille et nxmondo dans le projet ohaotlquo Charles Qoas, de CbAteaulln ; 3-, Galantine, A M. èro A des > enfants prodigues > et mardi, do l ’Agrlculture, uu nom du gouvernomont, aoulmlte que cotto lecturo ouvre ouflu los youx A dévalisé, dans son atelier, de nombre.ux Bréllvot, do Logonna-Qulmerch ; V, Gazcllo, qu'il va exomtaer. „ , Hervé uuenvorn, de Gouorômou, en Plounévézol ; s décidaient la reprise du travail. A deux coux d'outre eux qui so foraient ancore quelquo Jean outils servant à sa profession. Le montant A Mme veuvo Thomas, de ltosnofln ; 5-, Gamine, Ue poupin volt blon que des religieuses 2-, 40 fr., Simon Conan, de Kergoutols, en PlouIllusion sur lo caractère sectaire et profondément heures du soir, tout le monde était à son A Mme vouvo lieurrlor, do Roinoén. du vol s’élève à 40 francs. aut furent toujours secourables A ses souf juer ; 3-, 30 fr., Plorro-Louls Keigaravat, do Injusto dos Lois de Séparation. poste A Parla et en provlnoe. Les menaces La gendarmerie de Ploudalmézeau a oufrances, ont été chassées de leursi oou- de révocation furent remisées et les sus ja ln U Io rn ln ; 6-, 10 fr., J.-L. Conan, de Korgorvo; Q ulm per V eu ille! agréer, M ooleurs ot ebors Coopéra veit une enquête. 0-, 6 fr., Aristide Poullzac, d j Plouguer. teurs, l'assurance do mos sontlments ufToctuoux veatt : *ue des prêtre», dent II n'avait pua pensions ne furent pas prolongées. Lo concours annuel do pouliches do trois ans a ot dévoué«, tk se plaindre sent brimés, mais, hélas I II ou llou lundi aprôs-mldl, sur le Cham p de Bataille. 4‘ classe, Vaches et génisses grasses P lonvlcn M. Masson, commis des postes à Brest et t ADOLPHE, 28 bOtes ont ôté présentées au Jury, qui a dôcorné ne veit point luire à l'horizon, le fameux 1 " prix, 00 fr., François Eléouet, de PlougonA n e e n c o n r » de p o u lic h e s de L e a n e v e n . bien connu par lo rOle qu’il a Joué dans le huit prlmos do reproduction, savoir : 1’* primo, Erfquc de Qulmper cl de /.donven ; 2-, 40 fr., François Postollec, do Plouguer ; aoledl da justice dont les rayon« devaient — Dans la liste dos prix décernés au concours do dernier conseil municipal, qui avait déjà 250 fr., fiosclfc, A M. Joan Bourhls, d Elllant ; 2', 8-, 35 fr., Plorre Môvel, do Plounévézol ; 4-, 30 fr., éuieirer la porte do oe paradis, qui lui ioullches de Lesnoren, que nous avons publiée reçu l’avis de sa convocation, a été avisé 200 fr., Vipère, A M. Louis B alôj, d’Eiguô-GabéJoseph Manach, do Plounôvézel ; 6-, 20 fr., Henri jllsait-on, a remplacé eelul des ohrétiens. a semaine dernière, nous avions dit que le 2- prix qu’il pouvait considérer cet avis comme rlc ; a-, 200 fr., Gourmette, a M. Yves Quémérô, de Quélen, do Locom ; 0-, 15 fr., J.-M. Postollec, des poullchos do doux ans avait été décerné A h t peuple poursuit touj ours sa route péni annule. d’Elllanl ; 4-, 160 fr., l.a Glorieuse, A M. Guy do Kervln, en Plouguer ; 7-, 10 fr., Louis Le Ariane, appartenant A M. Jean Calvez, de Coatble, pliant parfois sous le poids des mudr** Cotten, d'EIllant ; 5-, loo fr., Belle-Face, A M. Ur Dreun, de Kôrônor, en l’iougaor ; 8-, 10 fr., Mme Le gouvernement a passé l’éponge sur la Méal. toíiñtTiUti. R avait Jadis, pour l’aider à révolte. Les ordres du Jour comminatoires bain Le Bronn, d'E'guô-Armel ; 0 ,100 fr., i'ann;/, veuvo Martlo, du Mouatolr. Lea rédacteurs du palmaxès avalent fait erreur A M. François Guyader, do Tourch ; 7-, 50 fr„ les supporter, le réconfort de la fol. Mais sur le nom du propriétaire. qu’il faisait voter, n’ont eu aucun effet. S- classe. Espèce porcine Fàc, A M. A lain Kernôvez, d'Krgué-Armel ; 8 , aulourd'hul, pulsquo ses chois ont éteint Ariane, la pouliche prlmôe, appartient A M. Joan Sans doute Symlan reste encore au 50 fr., Stiirëden, A M. Ronô Ilénair, do Guengat. l ’> prix, 25 fr., Joan Qnôlon, du Haelgoat ; 2-, íe s étoiles q u i brillaient au ciel, Il s'aigrit Calvez, du manoir du Mrzou, en Plouvlen. sous-secrétariat des postes. Mais il se sent En outre, Il a été attribué uno primo do conserva 20 fr,, piorro Le Berre, de Saint-Ilernln ; 3 , Il faut rendre A César co qui est a Côaar. dans des colères sourdes et des révoltes Nous avons parlé, la semaine dernière, en tion do 400 francs A la pouliche d» M. Balos. Des lftché et un de ces Jours, M. Clemenceau 15 fr., François Conau, du Guern, oa Kerglolf ; quelques ligues du Pè'.eiiuage Breton à mentions honorables «nt aussi été accordées aux trouvera un moyen «honorable» de délester 4-, 10 fr., François Kôraudren, de Mouiln-du-Roy, ,n Etdans son bon sens, Il se dit « On m’avait toullches appartenant A MM. Plerro NarzuL, de Montmartre, organisé par la société la Bre en Plouguer. la barque ministérielle, d'un homme devenu Demandez le « Courrier du dit : patiente. Lorsque le péril clérical sera Cetfounteun ; Yres Breut, d'EIllant ; Joan Bourtagne, qui rivalise de dévouement, avec Le prix d’honneur a été décerné A M. François aussi impopulaire parmi ses administrés. bis, d'EilIu^t, ot Michel Le Corre, d'EIllant. é c a r td . on s’occupera de toi. Et cependant Cougard, de la Môtalrle-Nouve, on Plouguer. Les postiers ont terminé la grève, parce l'autre société, la Paroisse Bretonne, pour Finistère dans toutes les le souffre toujours des mûmes maux. Ou Salnt-Pol-dc-Léon qu'tts l'ont bien voulu et parce que le gou adoucir.l'exil des Bretons de Paris. 1" ciasse. Durliam pur m ’a trompé. J'ai été la dupo de ceux qui On nous adresse de Paris, le compte vernement apeuré, lour a fait des conces Bibliothèques des Gares du Pouliches de 2 ans. — 1 " primo, 2S0 fr., A M. 1" catégorlo : taureaux «u-dessous de doux avalent Intérêt à me laucer dans des luttes rendu suivant, de ce pèlerinage, qui fat une François Quérô, do 8alut-Pol-de-Lôon, pour sions. sinon pour le présent, tout au moins ans. — 1- prix, 00 fr., J.-M. Rolland, do Ploutnauvalses contre les croyances religieu pour l'avenir. Finistère. splendide manifestation religieuse. Ce Hermine, par Comfactor ot Lord Randy ; 2-, gonven ; 2-, 40 fr., Houétre, de Balnt-Martln des ses pour détourner mon attention de pro Il sera très difficile d'établir approxima compte-rendu à canse de la grève des 180 fr., au môme propriétaire, pour Hirondelle, C h i m p e ; 3-, 30 fr., Emm anuel Lo Bras, do Guiblèmes dont la solution est toujours returPostes et Télégraphes, nous est parvenu par Denmark-VIgoroux et Amasls ; :t-, 100 fr., au tivement le bilan des pertes occasionnées clah ; 4-, 20 fr., Maudez Coutolter, du Monstotr. même propriétaire, pour llamdlo, par Uguen et trop tard, pour être Inséré, dans notre der 2* catégorie : taureaux au-dessous do trois ans. au commerce par la grève. Petlt-Poucot ou Bataille ; 4-, 140 fr., A Mme veuve A Découragé, déçu et sentant aujourd'hui — 1 " prix, 70 fr. et une médaille en argent offerte Ce qu'il y a de certain, dit la Chambre de nier numéro : Qi^llôvérô, de 8atnt-Pol-de-Léon, pour lldlolse, nlu« $ e Jamais la faillite du radicasllsme par M. lo ministre de l’Agrlculturo, au nom du commerce de Paris, c'est que cette grève a >ar Uguan et Hard Times ; 5-, 120 fr., A M. J.-M. « Le Pèlerinage des Bretons de Paris au gouvernement, Olivier Blblrll, de Pleyber-Chrlst ; CH ATEAU LM anticíériral, le peuple est prêt A suivre les îuéguen, de Salnt-Vougay, pour Hortensia, par été la cause d'un déplacement considérable Sacré-Cœur de Montmartre, organisé par î-, 60 fr., Jean «ougard, de Carhalx; 3 , 40 fr., conseils dés vio lonts. Vénérai st vicomte Ritndy ou Comfactor ; 9-, P au v re vieux d’affaires au profit de l’étranger. la société ¡aBretagne, avait Uealedlmancbe Messager Souôtre, de Horlatx ; 4-, 30 fr., Rnm aG e malaise ft gagné les administrations 110 fr., A Mme veuve L'Hour, da Balnt-Pof-d». Maintenant à qui le tour de se mettre en nuel Lo Bras, de Q u lc la n ; 6-, 16 fr., Yvaa Flchan ; 14 mars, dans l aprèB-dlner. Guillaume Le Bras, âgé de Kl ans, qui Léon, pour IIonorée, par Zéphlr et Jacob ; 7-, oii travaillent les salariés les mieux rétri grève ? Trop rares sont los fôtes qiui permettent 90 fr., A M. Louis Blhaff, de Plouénan, pour Her- *■, 10 fr., Pierre Brland. soufTrait depuis quelque temps, s’est penau, bués et qui eusssnt bondi d'Indlgaatlon si 3* catégorie : taureaux de trots ans et au-deiGageons que les percepteurs ue se met aux Bretons de Paris de se réunir. Elles mônegltde, par Hercule ot Denmaik ; 8-, 80 lr., A dans la nuit du vendredi 19 mars. on leur avait dit, il n y a nas oncore longaus. — l * prix, 80 fr., l’ierre Postollec, de Plou tront Jamais en grève. G. L. sont suivies chaque année par une foule M. Yvos Carry, do Satnt-Vougay, pour lléslonne, Sa fille, qui était venue lui apporter à guer. temoB. qa'lls so révolteraient contre l’Etat )ar Donmurk ot Mldlothlam ; 0-, 00 fr., A M. Joanplus grande. mangir dans la matinée du samedi, le trou P. S. — Lo gouvernement se montre le u r patron, avec cette violence et cette ciasse. Reproducteurs ds loules prouenaticas -.ouls Autret, de Plouénan, pour Henriette, par On aurait pu croire que le pèlerinage de va pendu par so ceinture à un crampon après la grève d'uue susceptibilité chatoulls o u d a in e t é , qui ont étonné tout le monde. Horculo ot Bank-Note ; 10-, GO fr., A M. Maurice dimanche dernier ferait exception. C'est, lixé au-dessus de la cheminée. I>a mort 1 " catégorie : taureaux au-dessous de deux leuie et bien tardive. " nn«t ers étalent do *6168 fonotlonPrlgont. de Plouénan, pour Harangirc, par Her ans. — f prix, 60 fr., i.-M . Postollec, do Ploucinglés par une tempête de neige et les avait fait son œuvre. Il avait promis qu’aucune mesure coerclcule et Oonmark ; 11', CO fr., A M. Jean Azou, do ;uer ; 2-, 40 fr., Messnger Bouétro, de Morlalx ; tlve no serait prise contre les grévistes, or pieds dans la boue, que nous avons dit Trédaouénan, pour Heureuse, par Roseltan ou ’, 30 fr., Louis Le Dren, do Kôrônor, on PluuDn noyé Comlactor ; 12-, 60 fr., A M. Maurice Le Sann, de voilà qu’il fronce maintenant les sourcils gaavir la butte. u o r; 4‘, 20 fr., J.-M. Gentil, do Carhalx ;6-, Pourtant, bien avant trois heures, les Balnt-Pol-de-Léon, pour Hirondelle, par BB. pareequ'après la grève, uno afliche fut 10 fr., J.-L. Conan, do Plouguer. Uu soieurde long, nommé Taridec, avait Rumword et Vétéran ; 13’, 00 fr., A M. Yvns cantiques Jésus pegen bras et 0 /¡aloun apposée sur les murs de Paris, afliche où 2* catégorie: tauroaux au-dessous de troll ans. disparu de son domiaile il y a cinq mois. nakr eus va Jeans, retentissaient dans Curru, de Balnt-Vougay, pour Hirondelle, par le pauvre Symlan était plutôt maltraité. -1” prix, 60 ir. ot une médalllo en bronze, offerte Son cadavre vient d'étre découvert par une de punir sauvagemint ohez do vi«,."«*.™ l'immense basilique. Ce n'est que pénible Comfactor ou Danmark et Unique ; 14-, 60 fr., A par le comité du commerce, Louis Polgnonnec, Le gouvernement prend deB allures de M. Ilorvô Elnrd, de Balnt-Vougay pour llerm i ■ laveuse, auprès du ponton-lavoir. Il était ceveuses, le orime aujourd'hui Impardon ..-■'auemltaluo, pour annoncer qu’une en ment que les nouveaux arrivants se trou nelto, par Coatréven et AUorph-Wonder ; 16', de Kerglolf ; 1-, 60 lr., Mme veuve G ulllou, de complètement noyé et avait séjourné au nable, de prier» vaient une place, au milieu du flot des 00 fr., A M, Louis Le Berre, de Saint ■ Kern al, en l ’Iouguor; 3 , 40 fr.. Vve Le ¡Berre, moinB un moto dans l'eau. Le peuple, (fat travaille, ouvriers, fonc quête sô.’ *lt .ouverte pour découvrir les coiffes et même dos chupens et des gilets Vougay, pour Hirondelle, par Unau et Ilard- de Plôvln ; 4-, 30 fr., J.-L. Lo Bec, du Miné, en Plouguer; 5-, 26 fr., J.-M. Postollec, de Plouguer; tionnaires, Salariés de toutes les classes, brodés, si nombreux d’année en année que, Times; 10-, 00 fr„ A M. P aul Lo Balnt, de 6-, *U Pomt n?a6t6 bMOln J'fntamer cetteen20 fr., Josopb Tanguy, do Motrefl; 7-, 10 Jr, Carhalx attend aujourd'hui le gouvernement, sur Blblrll, pour llorlofise, par Donmark et Marot ; vraiment, nous devons commencer enfin à Françota Postollec, de P louguer; t)\ 10 fr„ G u il quite, car dè» Jeudi soir l'ancu-i 17-, 60 fr., i M. Louis Quéméneur, de Plougoulm, un autre terrain, qae celai où 11 s'obstlno perdre l'habitude d'en rougir. M o rt accidentelle« — Dimanche aprèslaume Manach, de P lo .g u e r; U, 1(1 fr., M. Poula grève, an nom de tous les postiers, 4*..on" jour Galin«. par Balourd ; 18', 50 fr., A M. Pierre midi, plusieurs jeunes gens de Carhalx Les vêpres s’ouvrent. Le duo desDaux llzao, du Moustolr ; 10-, h fr., Mme veuvo Lorjaout, de Plouénan, pour Hanvoilo, par Andorre dlqualt la responsabilité d# cette afflohe, > ' « o n donne 4 l’ouvrier oe code du étalent al és en voiture voir la cavalcade nrefaô.tî6- tfe Thlelmans, est chanté à ot Bank-Note ; 10-, 40 fr., i M. Joan-Marlo CuefT, volleo, do Plôvln. aveo un petit air arrogant, l’air d un comité travail, que la catholique Belgique, a 3< catégorie : taureaux do trois ans et au-doaiua. de Gourin, avec le llls A.dam, qui condui w m l. l’orgue. (Juami Mgr Duparc, évêque de de Plouénan, pour Henriette, par Vicomte Raludy 1” prix, 60 fr., J.-L. Conan, do Korgorvo, en depuis longtemps rédigé ; que l on établisse qui a ialt trembler le gouvernement. sait. ' i -, r ..? t Qulmper et de Léon, monte en chaire, la et Ileroule ; 30-, i,o lr., A M. pierre Spagnol, de — Gelul-oi parle aussi de supprimer le trai P lo ug ue r; t', 40 fr., Germain Glô»areo, du autour de la petite propriété rurale un Après avoir dîné, ils revinrent dans la Plouiévédé, pour Hurbalno, par B. B. Rumwod basilique est presque comble. On peut i Jloltro, on Plovben ; 3-, 30 fr., Louis Lo Berre, de tement deB grévistes, pendant la cessation rempart de garanties légale», contre lo» et Hercule ; ai-, .40 fr., a M. Ronô Argouarc'h, de soiiée par la même occasion. MaIb en Plôvln ; 4*, 20 fr., Jean Quélen, du Huelgoat ; 6-, du travail. Lea postiers ne l'admettent pas évaluer à dix mille perBonoes la foule Trézllldé, pour lh ’roino, par Roiollan, du Donsaisies Injustes ; que les fonctionnaires s’art ôtant à l’auberge du Moulin-Neuf, Us 10 fr., Françola Hopara, de Salnt-Heraln ; 6 fr„ qu’elle contient. i?arlÿ et Réaction ou Gaston : 22-, 40 fr.» A M, «lent leur statut qui délimite la ligne de et paraissent déoldés à ne pas l’admettre. s’aperçurent qu’un les leur», François Joseph Manach, de Lam prat, en Plounévéïel. Et cette foule gardera du Bermon qu'elle oséph Jacq, de Salnt-Pol-de-Léon,pour finette, Les postiers disent A qui veut l’entendre, leara droits et de leurs devoir». Saussay, üls de l'honorable boulanger de 3> classe. Verrai» ¡catégorie unfçue) entendit un souvenir Inoubliable. Il est >ar iiüüold Rufua ou Denmarlÿ et Leutbérlc ; 23-, En t » mot, qae l’on taise malntenint de que i l le gouvernement ne veut pas avoir mieux qa’un orateur de talent, mieux qu’un Carhaix, avait cessé de vivre, terrassé «ans l w prix, 30 fr., Ludovic Mahé, de Carm-fl ; ?■, o (r.; à M. Jacques Ca 0 r, de Plouénan, pour ■encore i u î les bras .une grève, fl n’a qu'à doute par une congestion, on ayant suc 26 fr., J.-L. Conan, de Plouguor; 3 , 20 fr., J.-st, évêque, si nous osonB dire, il eBt l'ftme Iloulellp, par Acob et Hamac ; 24-, 35 lr., A M. mettre dans uh coin les foudre» qu’il bran to t j Brland, do Plounôvézel ; 4-, 16 fr., Hervé (lueacombé à une rupture d’anévrlg&e. même de notre patrie. Il semble que Mgr Maurice Jaouen, de Plouénan, pour llaclystte, par dit et qui ne sont plu» que de» épouvantails 1l'inaction sociale de» faux 'H On devin« la triste arrivée A Carhalx. Dupar'C a apporté avec lui lo çtour de la Hottâwleh i l KapIrAt ; 25', J6 fr., à'M m e veuve vorn, do Gouarémoq, à moineaux. . . . Arrondissement de Brest 8 f La grève des Postes et Télégraphes Avis i x Poêles CWiens § LES RESPONSABLES & f Le Canada Les Biens Ecclésiastiques confisqués A G R IC U L T U R E f S f § S S R f Un Pèlerinage Breton à Montmartre » Arrondissement_de (Meaulin k U ^ ‘fe\nt<«brinwnrnmn^ ^ tii>wtimiiifiH>i><>niwHiiiti»»"H'www»HWwitf»|ii|i||)tiw|i|iwiiitiiitiiitB^w mmrn. as -4M «_ mmm . ' - LE COURRIER DU FINISTERE G ouéscc M o rt de Plerra B ran qu o o, — t Sou tenus par 1» force divine, nona suivrons notre vole l u s défaillance, semant partout la vie et 1aotlvlté ». Ainsi se terminait lun des remarquables articles que lit parai tre dans YAjonc en 1907, notre ami Pierre Branqaeo, nleusemont dócódó A Ci iuiSioc, mercredi 17 mars, lit certes 1! n'a pus failli, lui I Atteint de tuberculose pul monaire nu lendemain de son bnccalaurOat, Il a suivi Jusqu'au bout, pondant trois longues années, avec une résignation rfilûchleet une joyeuse humeur que sem blait augmenter constamment uuo piété vraie et profonde, la vole royale ds la souf france. il avait pour Mario [mmaoulée la plus filiale tendresse. Par trois fols II accomplit uu prix de douloureuz efforts, mats avtc rutimn et coullance, le pèlerlaago de Lourdes. Qu’Il eilt été h ureux d'y trouver la RuérUon pour dépenser dans un généreux upontolat les trésors de son cœur d'or, de Ba rlcho naturo I La Viorgo ontondlt sans doute ses sup plications. Mais au lieu de la guérison cor porelle, elle lui obtint des grilles de choix q il accrurent avec son aatlvité Intérieure, la fécondité de ses souffrances, et réali sèrent magnifiquement tou iôvo d'aposto lat. La paroisse tonte cutlòro était repré «en tée & sas obsôqdoa auxquelles assistèrent plus de vingt prêtres Le Courrier du F i nistère partage la douleur do M. f a lb i lirunquec et ae sa famille ot leur offre ses liacèrcB c o nd olan oci l’ort-Lnuuay F lllo tto noyée. — Dimanche st|-, la pe tit»! 11111■ til A <5e (I i ni,*« ».is d inc'irai.t A (1 illy-Guts, uu Poit Luunay, uu trouvait sur lt h <rl du cnnal, en compagolo de ta mère, un pou au-dessus du dévcisolr, lorsque, par tu'to d'un faux pas, elle tomba A l'eau. i’ <r mit# de lu eroe et île ».• murée qui descendait eu ce m ouuiii, lo >.o .raut é'.ult très fort et la II lotte di-p.»rut tous lés y ux de sa mòre, Impuissante a lui portor secours. Snlnt-T holn Noyé. — Martin Gnonach. 6H ans, jour n al ir au bourg de Salut-Tliols, so tiouvaut piU de boisson, est tombé dimnncho dans la rivière do Ster-Goanès, où U se noya. Arrondissement de lorlaix MORLA1X Conféronoo publique de l ’abbé M adoc Il est plus que temps de mettre on garde les familles cnrétlonncs contro la volonté de l’Etat de mettre la n uln sur l'Amo ües enfants. ü'est pour faire la lumière sur ce point, et dissiper les Illusions que peuvent eucoro conserver quelques-uns sur 1a pré tendue toléranco du gouvernement en ma tière religieuse que l'abbi Madoc, le direc teur si estimé do la (Juim aina Ouvrière, a fait au patronage Baint-Mathleu de Morlalx une conférenco publique sur les projets Doumergue. L'abbé Mndec, après avoir fait raplilomont ïhlMotre du coi prejot«, ne ilvro * uuo analjso dAtulllâo dos disposition* qu'ils conlloaneat et dismunira aveo uue olatté saisis«» nte, quo lo promlor d'eotr’eux, domine i a réprimer Uu cu ti avo» npporlAoa 4 l’onsolguemonl < viole la llborté do consclmoo et mépris* l'uatorlIA dos jifiroH de famille. Comiuo II urrl"o toi-Journ Ic r q u n los droits do la co uclauco to n l iu Ccoluiis 1mm >tctlinna la plu* oruellement m tu r tr lu par loa projets Uouamrgui co sont les pauvres ot los fonctionnaires, pure» quo la Tyrannie administrative, an eoliaDuo d'uu pau do pain, m n jo r a d o lour lAvIr l’ftmi do lours entants. L'onfant (lu'pauvro u droit «u m i neroapocl ipio oolul du riche. Ht nous uo pouvons pas tolé rer, auuuu liomuio eu qui vlbront lo senUaiont ds la lusltoo t t l'amour de lu ilborti, no peut U ôrcr nu un ouvrier pnreo qu’il e»t lnd ig fn t, qu'un lonotluimulro paroo qu'il o*t salaria do 1 1-Uut, nuit |iluc6 dana ootle douloureu-o alternative : uu M m garder son Ilia soun lo toit pnlornel ot le lulasor croupir dana l’Ignoranoo ; ou blou i'onvoyor a l’Aonle publique ot l'oipoaor — trop sourent, Mina I — & devenir la prulo do la ooiiuptlou ot du monsougo. On d ir a : mais Is second projot Doumorguo prodigue aux parent* touto sorto de gurautlos. Il dOe.Ido (art. 1") que touto plainte dlovio contro uu instituteur aéra oxnmluôo par aoa supérieurs h ié rarchiques qui devront aviser lo plaignant do lu sulto donnée A sa démarcha. L'orateur n'n pas do pelno A dAmontror quo ces garanties sont renduea liluaolroa par lo suoturlsme qui anime un grand nombre d'IiiBpoctours d'acailAmlo, doelloa suiveurs d’un ministre Ja c o bin. L'instituteur se tiendra oe potlt rulsonnoment qui no manquo pas do log quo : • 1) ira lours iules publics, dans leurs déoluratlotis olllclollos, nies supérieurs hiérarchiques étalent lour lialno Uni croyances rollgletitos at, comme H. Chunteclalr A Pont-Croix, appellent le Jour uA la nonsée oiAme de niou sera elTacio d* toutes iea Intelllÿqnoea. Kit blou 1pour m ’attirer leurs boonea giAooa, j ouael»ueral a mes Alèvea i|ue a ot a font 4 et quo • ceux qui crolant en Dieu soat dea Imbécile« ». MorUol u eu l'avuncomont pour avoir dit cola. (J le «I quelque pAre de famille prie, comiuo écrit la l.nnlrrno, d'un « zélé stupide po r dos dogmoa absurdes », A'Ave contre mol dea réclamations, elles Iront s'applaUr contre le bouollor dont mo couvrira Honaleur lo I ’réfot. Ainsi raisonna lu fuulo dos maltros d'école. Kl l’article s du 9* projet Duumorguo Heur déclare qu'il* ont rulson do comptor sur U. lo Prétot. lis ço u n o n t, doolour* on Anerles •ml'--oll glousos. deblter, pendant 0 houios par Jour, tuultu los sottise* qui peuvent éclore en u a c o n o a u faussé et lorsqu'un père de fumll'e lodlgnA viendra l-.ur doiaandor raison do leur conduite, Ils courront — comme dot petits garçons pris en fuuto — se cacher derilAro le tabllor maçonnique île M. lo PrAfet. N ul doute que H . le l'réfot ne aoutu a'Aniouvolr on leur faveur soa ontrnllica odmlnlatrallvoa ot 110 s'arme, po jr les défendre, do toutes loa foudres do sa puissance. L'article a olasse le maître d'Acole dans lu catégorie des Irresponsables, lo marque d'uno noto d'infériorité et dlsorAdlto sa fonction. Uala ausal les pArra ch fnmlllo an montrent do plua ou plus rAtolua a ne pas nb tiquer lours urulti aaerôs dovant la p rsounalItA d un I'rAfot. 1<oIAi , lia aeralent éoraaés dans la lutte ; mat» groupés en aiaoclalton et loris de la putraanoe Invincible que porte en lui le droit, lia aont sûrs do faire respecter leurs croyances dans celles qu'ils ont léguées A leurs enfants. — « Los enfm ts, noua dit-on, appartiennent A la Hépubllquo avant d’appurtonlr A lours puronts I » Contre cetto formule loléo par Danton, le a i f r i maire uu II dans uuo discussion sur l'instruction publique et reprise par les .Incobtna do notre tpoque, l'nbhA Madoo établit, en une argumenta tion almplo et vigoureuse, les droits (ncontostabloa qui reviennent au pAre de famlllo sur l'Aducation do aes enfants, Suivant l'expression do lji) Feuilleton du qonrrler do TlnUtftre Maro eun Den a Galon fie a vis û’ho uvre r 1794 pe a n 28 ..........en» ml* a r glfto) nur pennad goude, Herrl ha Yan o don kuiteot «r marner h»g a l u war ho faftantod, ev«l lu I bag o dna amzer, e'rezek Hiat-Segal. Udiri a zlstio:» tueur a weoh dn zollet eut Trculgldy, mez pa orranz du-ze er o'horu pleg u zo o sao Kelennck, nn wellaz itial nak an douarou nak an ti karet. lireman ematnt enn hent ovit mad I Doue r’ho miro ha bennoi Dono r’ho houllo I X IX E u n den o k la s k lojeiz l'a en em gavaz heo’h-unan gant ManerKoz. Y voua a fullgalounaz. A día tur. be tad he o’harle kalz, n'he doa douetan« ebed war nr poent-ie, mez an hint a dlle dero’hel lilas an tad-se pa vljo deut ar mare d'ezhan dont euz ar vuei-man, pa vije dnut armaro 'I he gerc’hat, an blol en doa lavaret d’ezhl n’en dlje bevet nemet evlt Doue hag evlthl, hennez oa tec'het ba martezt, nouai fio vije ket gwelet mul. U o 'i o welet ho glac’barne oui» petra lavaret, be dood oa evol skournet ; koulskoude coudé eur pennad e kom iat eu* an dlllnd en doa ezomm evit mont knll, Vvona no c houlenne kel awelloc’h Itag ax ton -m » rea* vad d’be o’ha.Toun. Peuaai etr. «r Banor ba ne oa ket t o i t u t euz Herrl r Ne lofer ket marteze dre air UemMB hent, gwlr co, mes erruet e rafer er memtuz bro, ha iro-ze an dlspartl ne b»dfi ket naU. ■ ' , . Laou a gn«az ,e)ft Katell daBleyboD da dl au tacher koz, iTartho, da breoa eul lemruer. He-nnan a wlskaz eur obupenn K U î.ît W IlS f A Æ S S f ï'œ Ulrabeaa, « Il n ’ost pn» donné A l’Etat'de faire eolore une raoe nouvelle » paree qu'il n ’a pas d'opinion lt faire prévaloir. Et votlA pourquoi nous disons, aveo le mlnlatra Qulr.ot, qu'il n'y a q u u n e solution du problème aoolalro qui soit bonne, dans l'état de division où aont lea esprlta depuis la République : « rononoor oompl&temeut A fa souveraineté da l'Ktat en matière d'Iuitruotlon publique et adopter frauehement, aveo toutas ses conséquences, le prlnclp« de la libre concur rence ontro l'Ktat et ses rivaux, laïques ou ecolAalaatlquoa, particuliers o'i corporations. » VolfA pourquoi aunsl, iious réolamons que daua los Aoolos olllclollos so'l observée la noutralllé prescrite pur la lot de tüHl. Kn tormlnant, l’orateur oxposo brièvement lo but et l'organisation dos asaoolatlons des pAros da famlllo ; puis uprAs une clialeureuso exhor tation adreaaée, par U . lo curA-arohlprfltro, aux assistants, donno looturo de l’ordre du Jour ol-aprAs qui est adopté A l'unanimité : •i00 p ire s et miircs do fam illo, rdtinfs lo M murs dans la sallu d u l'utrontge Saini-Mallifoii ; — Ai>rts avoir entendu l'abbd Madoc reuondfouor los droll» Im prescriptibles dos pàrcs do famlllo responsables de la form ation (nlollocfuello ot tnoralo do leurs on/7mfs ; — ot ddinonti’or que los projets du m inistre Doumoro«« en louant au * parents la posslbi'lltd de contreilor e//ioacomont l'ensefpnemeal des m altros laïques et lltironl l ’Amc dos enfants, sans défense, a u * aftaquoa antlrollplouscs quo m u ltip lie n t trop d'Instllulours, au m épris do la loi do neutralité ; rrofoafonti do loulo lour énorglo, contro des nrojots ii ,t méconnaissent lours droits et violent lour Ifherld, ao déclarent fermement rdsolus A rem plir <• us les devoirs quo leur Imposera lour conscleoro, m algré toutes les pénalités q ui po u r ront être édictées par des lois d'oppression ; D éoldint, po ur donner plus de force a u * récla mations q u lls pourraient avoir l’occasion do form uler, do fonder une association do pôres do fam ille, eu dehors de toute o p inio n et de touto arrlôre-penién politiques, dans lo but exclusif d'oblonlr <;uji soient respectées, conformément A la loi de I4W, les croyances q u ’ils ont tranam lsrs A lours enfants. Le toxlo do col ordro du lour sora adressé A U. lo Hous-l’réfot do Morlulx ot A H. Cloarec, député do lu olrcoDsoilptlon. L a iu llv ls la a J o u r n é e a r t i s t i q u e . » Il a’ost formé dans notro localité une Société do jeunes gens pour donuer uu public uuo série de journées récréati ves. Lour Initiative, encore A son début, a pro voqué dé|A l ’attontlon et la bienveillance du plus gruiK* uoinbro. Ainsi, dimanche SI courant, los halles liautoa otalent plelnoa do mondo qui était là pour as»tstor A la matinée ot a la aolrée offerte par cotto « JounoBio landlvlaleuno ». L'audltolro n'a pns ménagé ses appiaudlssemonts. Il y avait nu programme une oomôdl i do P aul Verdun : L 'A rt do payer son forme. Kilo fut Interprétée pnr J. Rauuou ; P aul Gorro ; Quoro ; Horvan ; CueIT ; CIA lie et l ’arson, A la satisfac tion do toute l’assemblAo. A . Cochard, Tanguy, Pluvldlo. Itolland ot Paugain se sont fait applaudir k leur tour dans A u * vingt-huit Jours et Consultations gratuites. Ainsi, lu troupo nourollo, dès ses dèbnts, n réussi A plaire. Qu'lmportont alors cortalnes ré criminations chngrlnos, dout nous no connaissons d'aillours qu'un faible écho Y D'aucuns auraient Insinué, parutt-ll, que la < Jounesso landUistenno » avait la prétention do créer un « patronage » pour 10 molu» • laïque ». Qu'onlend-ou par U au justo ? Kt quoi patrouiigo uurult-on pris comiuo point de comparaison V Colul do la localité V Serait-Il, celul-IA moins laïquo, — ou lo seralt-ll plus — que notre * Union » V Un auditeur. l'Io u rln - A Io rlalx Inoondie. — M. Yveu üeutlt, qui exploite A Kervcloya la ferme Lanleya, proche du bourg, travaillait aux champs, mercredi 17 mars, qunud.vcrs deux heures, 11 aper çut une épaisse fumée soitlr de sa malson. 11 y courut, suivi d’autres cultivateurs. Son habitation était en Ihmmes. Ou essaya en vain d'ar/Cier l'incendie; il n’y avait pas d'eau. Les pertes s’élèvent à 1.1(10 francs et a m t convertes p»r une assurance. Le proprl6tiii’.j de u f-rme est M. Dumontrey, lubltant le Morbihan. S alnt- P o l- d e- l(o n L e » v o lu de l'n n o le n c o s v e n t de a U r g u lln e a . — Lo t.-lbuual curio.aïonnol do Morlalx a Jugù la ionialui' dorulèro ut o alfalro, qui lors do sa découvorte lit grand b-ult 4 Salnt-Pol-do-Léon. L’Atabliasomant des liistillnea, dovoau par la furet, u’ui.e loi do spoliation 11 propriété de l’Ktat, était mis sous la gardo d'un liquidateur. Celui cl l'abientu ; son ub -once fut mise A pro fil, Lo oouvout fat euvahl pur uno partie do la populuilou sulnt-pjlltalno, q «l ^’y livra A dea dépré' duttona ot A des vula. Quolquos Individus, dont un aleur Ilerdor, réci diviste, dlrlKoalont loa ux i>âdl lona d'où l'on rap portait tantôt dea guutllèros, tantôt dos fruits, au hasard do la m ain. Ce Derder, lut mémo octusé au début do l’onquôlo d'avoir violé des sépultures dans lo clnietiAro du couvoat. Hais heureusement, la sulto lo démontra, si lior irr n'a pas uno eonsclenco très scrupuleuse, Il e.'t Injuste do lui taire suppoitor le poids d'uu loi ctlmo. Sur la p'alnto du malro, M. do duébrlant, une ocquéto fut ouvorto, onqaéto qui Im pllquu dans l'ncous itton do vols ot do déprédations, cinquantesept porsonnos, dont boaucoup do gamins. Los onquéteurs firent peut être preuvo de trop de 7.61e. C ost ainsi que Ue idames Bonnalro et Qodec étalont égaloinont poursulvlos, pour avoir cueilli quelques fleur» sur la tombo des religieu ses, fleura qu'ellos adressèrent aux anciennes re ligieuses, mangeant aujourd'hui lo pain de l'exil en Dslglquo. Ce« doux dames ont d'ailleurs été acquittées. Lo Ir lb u ia l a acquitté également, sans dépens, les nommés V J.. * Pont, J.-M. uni, Balnnan, uniuiinu, Quyader, UUJUUU1, ».'H. Corre, J.-Y. Q ulllou, Lo Du U, P. M ail», Y. Mario, Malrot, Marin, Oodeo et Ah gullo, coupables de trop légora larcins. Puis les polnes suivantes ont été prononcées ir vol au préjudice do l'E at, ou rocel : AdA'e Muai, tomme Pont, A Jours de prison avec sursl* ; .Ionune Mercier, ft mmo Guéguon, 1& Jours de prison situa aurait. Toutes les peines qui aulvont ont été mltlgôoa pai le sursis : Kugèae Le Saout, 8 Jour» ; fomme Prlgont, 4 Jouis ; foin mo Crolgnou, 4 Jours ; fummo Le Ulhan, 0 jours ; Ismmo Saout, 48 heu os ¡M arie Dosier, 0 jours ; fommos Dénlol ot Lo Duff, 10 jours ; fummo Porchor, 8 Jours : Josrnh Corro, 48 h' uros ; lamino Corro, n io Lo lia it, (i jours ; tommo Sélté, 10 Jours ; fommo ü u èré, 0 Jours j femme Rlvoal, a jours ; vouvo Afou, ao Jours : femme Quéré, A francs d'amondo ; tomme Olllvler, a jours ; femmo Pont, néo Pont, S jour» ; fommo Porson, 8 Jours ; fomme Jaouou, 8 Jours ; femmo Dénlet, néo Cronn, 8 Jour». Les Joune» Méran, Cronn, Oodeo, qui ont pris du ploaib sont acquittés oommo ayant agi sans dlioernoment et remis A leurs parents. Les pAres de ces oulants sont déclarés civilement rosponsoblos. Il on est do mémo pour les jeunes V arln, dit ■L ’IIoatls », et Crenn, 13 ans ; mais la père de V aria ne seru pas olvlloiient responsable. Do» gamins do 14 ans : Moal, Dénlel, Déroll, IlJmary, P. Oodoo, sont acquittés ; mats les pèros dos t'ols promlors «oront seuls responsables. Marie Cluégan, 10 ans, Inculpée uo rocel, ost ac quittée et romlso A sa mè'o. ThérAso I,o tilhan, 17 ans, est aoqulttée ; le père est olvllcn ont responsable. ÜJounno Lo Qad, 13 ans, et Kmllo Corro, 13 ans, a lakeaz eur bouned noz, eur schall hlrr ha dlsllvet hag eur vroz c'hlaz. Pa zellaz er mellozour uo oa ket mlrout da c'hoarzln ; no o» ket dlvalo evelse, hag evlt eur pl&c'h yaouank baza kaer, beza brao pebez plljadur I Lsou pa he gwelaz a lavara* : — « U'houl a to henvel euz eur b in s tz hag ho taouarn a zo R\vall wenn, gwall ytgnon ovlt kesta gwsnnelen I » — « Mez, eme Yvona, me a la da zúa anezho evel en deuz great H errl.» Ne oant ket e’hoaz preít tre pa glevjont íun taollk blan w*r an ñor. Laou a zlgoraz ar prenestr, gweloút a reaz rur üoudard, gourvezet wur an traujou ha moot a reaz rnktal da zevel ar paour keaz a zeblanto kaout kalz poan. An den-man oa eun dragón grlz V» oa lUMOt ruziet “koz, VMI, he vou&tnchou Rlt« - 1 .. . . :t ar ewud, eun taol kleze en doa roget he jod ]( ueou, ho bonnoa goloet gant eur mouchouer___ _______________________ uchouer leun_ a wad Ive ha berr oa warnhao. Yvona a zikooraz he zad d'he zougen d'ar zal. — « Knr binno dour, enn han’ Done, eme an den, n ’am euz bet netra daou zevez a zo. » — « Goullet oc’h bet er brezel diveza ? A o'houlennaz Laou epad edo Yvona o vont da gero'hat souben ha gwln. > — • Ii,aotrou. unan euz ar G’hlazed en eur dremen en deuz toullet va jod gant he g'eze. N'am euz tamm chana ebed, araok an taol-mw e oan er prlzoun. » i — « Eus ar vro man oc’h ? > — < («, aotrou, euz Karaez. » — « Hó kerent á zo heo 1 • — « Va m*mm hebken, paour keaz maouez I Kredl a ra, a dra zur, ev oun mata ¡ abaoue enr miz n’am euz ket hellet kaa kelou ebed d'ezb<- * — « Mad, va mlgnon, eme Laou, c'boui a ffouiko amata; Me a zo o vont enn hent, mez va rnatez a vezo aketui war ho tro. » * «.BennoxDoue, aotrou.alavara* ftrzoudard. • sout acquittés commo ayant agi sans discerne' ment ; los pères sont civilement responsables, lo second par défaut. Border, un récidiviste du vol et qui avait dressé our le vol deux Jeunes enfant», a été condamné k m o li de prison et A la rélégation. S T an 16 l i n p n r r ic ld o ÌJ \crlmo horrlhlo a ôtâ commis, dimnncho mnlln, A TuUlô, par uu jeuuo homme do seize una et uoml. Yves Kormarrec, toi ost lo nom du jouno n88»8«ln, vivait nu vlllago do Parcîur, avoc son pòro socond-iiiaîtro do timonerie ot qui allait re cevoir prochainement la médaille militaire. Celui-ci s était mariti upròs lo dócòs do sa famme, A uno bello sœur, qui avait pour lo Jouno Yves, l’amour de sa mère. Tous deux lo choyaient ot lo gAtalont môme. Sur sa domando, U nvalt achovô ses ôtudos primaires A recole communale dos garçons do 8alnt-Pol-de»Lôon ot non au collògo de SalntPol, ainsi que l'ont rapporté quolques journaux. A l'école communale, lo Jouno kermarrec avait retrouvé un maître qu’il avait connu à Taulé. Il (ut un élòvo studieux et docile, mais fut toujours un peu taciturne. Il demeura 6 la malson cette année et (ut agréé comme olorc de notaire chez M. Cavella, notaire à Taulé. Bien mis ot rangé, lo jeuno clerc avait pour lui la considération générale. Son pòro montrant ainsi combien 11 lo chérissait — lui achetait, 11 y a quelques jours une belle b i cyclette, blon qu’il on possédait déjà uno. Mais II n ost pire eau quo l’ouu dormante. Il y a un mois, U réussissait à voler 60 francs à ses parents. C ’est aveo cetto somme qu'il acheta à Morlalx le revolver aaroo loquel il vu tuor son père ot tester d’assaislner sa belle-mèro. Dimanche matin, Yvos qui dovali nllor A la pre mière messe du matin, se lova A cinq lioures ot domlo. Il rofusu d ’accompagner nu bourg une voi sine qut était vonutftlo prendre pour faire route ensomble. Après le départ do cette vblslne, la joune misérable armo do son rovolvor, monta A la chambre do sea parents, située au-dossus do la sienne. Son pére qui dormait se réveilla au bruit de scs pas : « Gommoni, lut dii-11, tu n’es pas oncore parti A la mosse. » Son enfant tira aussitôt A bout portant sur son père. Atteint par uno balle au front, lo père s’évanouit et m ourut uno heure après. HAvolllée on sursaut, Mme Kormarrec vit aussitôt quo sa vie était nuisl en danger. Car sou beau-fils tournait vers elle lo revolver encore lum anf. Salilssant un vloux rovolver, elle voulut CIT-iyo' lejo u ro criminel nt llrn un coup. Mais coup sur coup Yves déchargoa sur elle t ris balles, uno nu front, uno uutro uu poignet, uno nutru au f t b . llAlunt, la pauvre fomme retomba sur son lit. Lo Jeuno monstre prit aussitôt ses précautions aroc un sang-froid déconcertant, pour détourner les soupçons. Il sortit ot alla cacher dnns an buisson lo revol ver ot los bullos, puis se prósontn A l ’étudo do M. Cnvolln. Pendunt co temps, Mme Kormarroc avait repris conualssnnco et so mit A crier au secours I Dos volilns se rondlront A ses appols et pJnétrôront dnns la maison par la lonôtro ; Mme Kormarrec, pendant que son mari agonisait, raconta pénlblemont lo drame terrible qui venait do so dérouler at dénonça lo jeune Yvos. Copondant.on n ’avait pelno A crolro qu’il fiU l’assnssln ot lacrlso do norfs qu’il simula A l ’nnnonco do la mort do son père ot do l’état alarmant dosa mère, parut A pluslours un Indice certain d’un chagrin sincèro. Amoné par les voisins dnns la chambro san glante, Il y Joua uno deuxlèmo fols In comédie d ’uno crlso do nerfs. Mais sa belle-mère avait encore assez de soulllo, pour répéter que c’était blon lui l'assassin. Sbanco tonante, les gondarmos présents A cotto scèno polgunnto, arrêtèrent Yves Kormarroc qui lour dit alors : « Kh blon oui, c'ost mol l’assassin ! * Il avait tué. dlsait-ll, afin d'avoir tout do sulto l'hArltnge. L’hilérét nvalt été le mobile do cet korrlblo tortali. Le meurtrlor so trouvo A la pri son de Morlaix. Ba bolle-mèro fut transportée A l’hospice do Morlalx dans un état quo l’on croyait désespéré. Mois dopuls dimanche, uno grondo amélioration u été constatée. Oa espère maintenant la sauver. Interrogé jeudi matin, Yvos Kormarroc, qui n’a pas l’air do so rendro compte do l'énormlté de son crime, répondait au |ugo d'instruction : « Jo trouvo étrange, qu’on me tracasso avec cetto n(Talre;on pourrait blon me lalssor tranquillo A la fin I » Arrondissement de üuîmper Bureau-Annexe et Dépôt Central du Courrier du Finistère Rue Keréon, 21 QUIMJPER U n pendu Dimanche np ès-mldi, on a trouvé pendu dans une chambre qu’il occupait depuis quelques jours, rue de Douarnenei, n» 3 le nommé Vincent Bidon, âgé de 47 ans, sans profession ni domicile. Avant de se pendre, le malheureux avait tenté de se suicider en se coupant la po'xe aveo un îasoir. Com m encem ent d'inoendle Vers 8 h. 30, lundi soir, un commencement d’incendie s’est déclaré au numéro 21 de la rue du S Allé, dans uue chambre du troisième étage occupée par Mme Qaeffélec. Ge com mencement d'iucendle, où à l'imprudence d'un enfant, de doute ans, qui a mis le leu, avec une lampe, uu rideau qui se trouvait devant la cheminée, a été éteint aussitôt par les voisins. D o uarne nei M o rts subites. — Dimanche matin, on apprenait tout à coup la nouvelle de la mort subite de Mme René ViUleu, née Rosa Friant. La Jeune femme, âgée de 27 ans en viron, était maiiée depuis un an. Elle laisse un tout Jeune enfant. I.a pauvre mère de la défunte, en voyant sa li le morte, eut tombée sans connaissance et <st restée malade depuis. — Mardi dernier, un Imposant cortège conduisait & sa dernière demeure Mme Floch’lay, née Thomas, morte subitement elle aussi. Elle avait, dit-on, déjeuné de bon cœur le matin, et son mari s'etait rendu à son travail. Quand on rentra dans sa cham bre, elle était étendue, morte au pied de sou lit. Dosoente de justle o. — Une dame Vllledteu, âgée de 27 ans, mourut peu après Eva a reaz, taeb dlstaga he bonn, ar zou benn oa dlgaset d’ezban gant Yvona. — « Ghoumlt aze, eme Laou adarre, n’oe’h ket krenv awalc’h evlt dlbrl kalz, dlvezatoc'h c’houl en em bako. Da c’hortoz en em zlskuicit ha kouskit eur pennao. » — * Da genta, me a lavartz Yvona. a la da walc'hl ar gooll ho peuz enn ho jod. > Goude e kasar. ar zoudard da gambr Yan. « Bennoz Doue, plac'h yaouank, Doue r’he ralo d'ehoé’h, Doue ho paeo ! » Eu em daol a rea* dlllad hag ail war ar gwele ha ne zalcaz ket da gousket... Katell a zlgoueze neuze, dougen c re« enn eur c'hravan al lemmer he doa prenet. — « N'euz netra a nevez? a c’houtennaz Laou. » — « Netra, une Katell. » Ar vatez keaz he doa poan o komz. — « Evelse, aotiou, emez-hl enn eun taol, terc'hel a rit gant Yvona, ha ne gasit ket ae’hanoun gnnehoe'h ? > — « N'hcllan ket, n’hellan ket paour keaz merch l Hon tri o vemp anavezot hag ouspsnn red eo da unan bennak choum da tlwal an tl ha da entent euz Leskoat a zeblant beza fall awalc'h, mez ’n enn em jalit ket, ni a zeitlo en-dro heb dale. » -r- « Da ene:enn Volenez ez lt? > — « la, dre goat an Nlvoty eno ni a gemero amzer da zlskulzo. Ar re ail a ia dre goat ar Chrannou. Ouspenn, eur zou dard goullet a zo deut aze, kousket eo er gambr oa gant Yan ; c'houl a entonto outhan ken a hello kenderc’hel gant he htnt. > — « la, aotrou, eme Katell gant trlstldigez, me a ralo ar peza c’hourc’hemennit, c’houl eo ar mestr. » -p < Sonjal e rit I N’euz mestr ebed a<nan, eme Yvona, c’houl a zo hor mlgnounez, o’houi hfcg hopeui aervlcbet va zad epad kelt ail a amzer, hag a zo bet ken mad evldon-me abaouo e oan bian tre. » ,H 4g, .Yvona a yrlataz Katell — « Ab I Y vonu, v a lavaràz ar vatez, pe- avoir sbiorbé une ipotion purgative. La rameur publique établissant prématurément une corrélation entre cette.'mort et l’absorp«?n, le parquet de Quimp'er a ouvert une enquête. Le cadavre de la dame a été ex humé mardi soir et le médecin-légiste a commencé l'autopsle dont les premières constatations semblent prouver que la mort serait naturelle et non accidentelle. Loctudy Incendie. — Samedi, à quatre heures du matin, le feu s’est déclaré dans une étable appartenant à M. Jean-Marie Le Lee, du Dourdi, et louée à M. Guirriec, demeurant A Kerdouen. Tout s’est borné à la destruc’ ¡on complète de l'étable et à l’asphyxie de neuf porcelets de huit jours. P e n m c r lt E xpulsion de M. le Reeteurr. — Nous avons dit que MM. lïarré, recteur et üodec, vicaire, avaient été chassés brutalement de leur presbytère. Après cette expulsion, Monseigneur Duparc a pris l’ordonnance suivante : Nous, A n o m ie DUPA-RC, Kvéquo do Qulmper ot de Léon, Considérant quo la résidence du clergé pnrolslslal do Peumerlt n été rendue Impossible dans cette localité par lo fait du Conseil municipal, A v o n s oitn o N N iï e t o i i d o n n o n s c e q u i s u i t : Article I- . — M. Barré, recteur, et M. Oodec, vicaire, quitteront luiinâ llatement la paroisse. Art. II. — Un prêtre désigné pnr Nous, réside ra au prosbytèro do TrAogat et sera chr.rgé de la visite des malades, des outerrements et de l’admlnlstratlon do* sacroments. Art. III. — Toutes los sonnorlos religieuses sont Intordltes, mémo pour l ’angélus ot pour les enterromonts. Art. IV. — Nous no rétablirons le clergé parolsslnl quo lorsqu'un logement convenable lui sera assuré. Donné A Q jim p o r, lo l t mars 1909. f A Ër l ë Chem ins do fer départem e ntaux q u ih p do Finistère La compagnie des chemins de 1er dépar tementaux du Finistère a l’honneur d'in former le public qu’A l’occasion de la foire des Veillrs, à Quimperlé, elle mettra en marche, le lundi 29 mars, entre Quimnerlé ÜÎ p,ont-Aven, les trains habituels (86 et 87) des Jours de marché, ainsi que deux trains supplémentaires, aux heures sui vantes : 84 bis. — Pont-Aven, départ lu h. 33 ma tin ; Quimperlé, arrivée 11 h. 28 matin. , 89 b s. — Qu mperlé, départ 0 h. 50 soir : Prnt-Aven. arrivée 7 h. 45 soir. Nota. — Il ne sera pas pris de voyageurs de 1" classe ni de bagages, aux trains sup plémentaires. L a S o c ié té des co nrae n Los membres de la Société des courses se sont raunls dimanche, A deux heure» et demlo, sullo Chauvel. Les statuts do la nouvelle Soelélé ont été approu vés A 1 unanimité. M. Corentln Le Mou«', propriétaire A Quimperlé, a été nommé lutnibro du comité. Le comité a procédé ensuite à l'élection d'un président ; 12 voix, sur 15 votants, te sont portées sur M. do Beaumont, propriétaire et ancien malro de Mcclan, qui a été élu président. M. et Mme do la Forronnays, fllle du regretté M. de Kerjégu, qui avalent été récemment nommés présidents d'honneur de la Société, ont été procla més membres d'honneur. M. et Mmo do la I'erronnnys avalent offert A la Société un prix annuel de 200 francs, qui sora dénommé prix de Kerjégu. C u llllg o m a r c h dolphe, Evêque de Qulmper cl de Lion. P le u v c n Un homme dang ereux — Depuis déjà quelque temps, les époux Claude Nédélec et Auna Keravcc vivent en mjuvaise inteîllgercî. Ce sont des reproches journaliers, puis iis coups s'er.suivent. Nou content de ces faits, le mari, dans ses moments de su rexcitation, menace de tuer lemme et en fants. C'est ainsi que le 17 courant, dans l'après-midi, son épouse lui ayant fait une observation au sujet de sa manière d'agir, Nédélec saisit une pioche, et n’ayant pu atteindre sa femme qui s’était vivement sauvée avec ses enfants par la fenêtre, brisa la majeure partie de son n obilier et poussa la malveillance'lasqu'à mutiler plu sieurs plants de pommiers, dans le verger dépendant de la propriété. Condamné dernièrement à 3 mois de pri son pour vol, Nédéiec rend sa l'ami le et ses voisins responsables de sa condamnation, et depuis ce moment, son entourage est Justem ;nt inquiet, Nédélec menaçanf d’in cendier ses immeubles, après avoir trempé ses mains dans le sany de plusieurs voisins. De l'avis général, NtidMec qui est consi déré coonm» un hommi violent, Irutal et excessivement dangereux, est à infime de mettre son funeste projet à exécution d’un Jour ft l’autre. D js mesnres immédiates à son égard seraient nécessaires. P log ofl' Com m erçant d'ab ord, m aire ensuite. - Les derniers articles du ¡‘roi/rôt, sur l'administration municipalede Pio^olT.sem» blaient avoir eu pour effet de calmer, pour un temps, notre magistrat. Malheureuse ment, ce calme n’était qu’apparen'. ; le renard, comme on dit, dolr mourir dans sa neau, à moins de pousser la barbarie Jusqu’il l'écorcher tout vivant. On ne peut cependant pas passer sous silène» des abus d’autorité commis au déttiment de l’intérfit énéral, pour servir des Intérêts particaers. C’est ainsi que l’on entend tous les jours, les plaintes de biaves citoyens qui hésitent à demander ft la mairie les pièces dont ils ont besoin ; non pas qu'ils en fassent grief ft l'intltuteur-secrétalre, car cet honorable fonctionnaire se met ft leur disposition avec une amabilité et un empressement qui lui attirent toutes les sympathies ; mais ils appréhendent surtout la réception de M. le Maire, quand 11 leur faut aller chez lui présenter ces pièces à la signature. Outre que notre magistrat n’est pas tendre pour ceux qui ont le malheur de ne pas être ses clients habituels,ces derniers ont, par^î:-il, à supporter les observations malveillantes de son entourage. Pourquoi le cachet n’est-il pas ft la mairie? Pourquoi le maire, où son délégué, ne donne-t-il ûas les signatures à une heure déterminée et dans l’établissement commu nal affecté ft cet usage V A cela,notre cher magistrat vous répon dra en son ame et conscience: «Avant d'être maire, j’étais commerçant, et si J’ai brigué le mandat qui m’a été conlié par une minorité sans valeur, c eit moins pour servir les Intérêts d’une cause politique que pour faire fractiiier mon commerce et augmenter m 's revenus aux dépens des brebis dociles de la commune. Comme opinion politique, Je n’en ai qu’une et la voici : tout électeur, qui n’est pa» client de ma maison,ne peut Otrerépublicain, ma s doit être considéré comme réactionnaire at dénoncé comme tel. » C’est donc pour exercer une pression tyrannique que M. le Maire a fait porter chea lui la vignette municipale ? Sous un régime démocratique et au XX* siècle, on se croirait réellement en pleine féadaiité, dans cette malheureuse commune de Plogoff. Et quelle féodalité ? héla» I elle est comme la mairie... elle manque de cachet. L’autorité supérieure voudra bien, nous l’espérons, entendre nos do éances et don ner des ordres pour que les cachets de mairie ne soient pas confondus avec les poids et mesures qui traîaent sur le comp toir d’un épicier ou qui sont relégués dans la cave d’un marchand de vin. Un administré. G P lo z é v c t Conférenco agricole. — M. Saulière, professeur départemental d’agriculture, fera une roiférence aaricole à Plozévet le dimanche 28 mars, à 8 h. 30 du matin, sur le sujet suivant : Fonctionnement de la caisse locale de crédit agricole. naoz choum hep ho karout, c’houl am c’har kement?l... » Yvona n’helle mul, gouela a reaz hag en eur gregi en doum ar vatez a lava*az : — « Pardounlt d’in, pardounit d’in. » — « Pardounit d'ehoe’h. mez petra? » — « Allez ez oun bet dHrue* evldhoc'h, mez ne veziu mui... » An daeldu a harpaz he zeod. — « Mez, petra zo ’ta, a c’houlennaz Laou ha ne gomprene netra, n’omaomp ket vont d'an Amerlk, abenn tri pe bevar miz e vomp en dro. Pa vefomp e Molenez, ni a zlgaso kelou d’ehoe’h ha neuze c’houi a zeuio d hor c’haout. » — « Mad a gomzlt, aot»ou, eme Katell, la, gwelioc'h eo d in choum aman. » Laou hag Yvona, goude beza lavaret kcnavezo da iieskoat hag eur wech ali c’hoaz da Gatell, en em lakeaz enn hent. Ar paour keaz matez a choumaz pell er prenestr da zellet outho opellaat ha pa n'hellaz mul ho gwelet. e reaz c'hoaz eur pennad goue’a. « Doue r’ho diwalo, tmezhi. Laou en deuz kalz a galoun, mez ma vez anavezet ha dlspartiet oc’h Yvona, petra ermo? Koll e rato be benn ha mervcl a ralo gant ar ran'aloun, karout a ra anezhi kement I... G weet am cu* ar vere'h-ze o c'henel hag o kreskl I... nak hi a zo mad ! nak hi a zo karantezuz I... ha ma varfe I... petra e teuln da veza? .. Mez me a choum aman, kambr Laou a die beza dlrenket oli, mont e ran da welet. * XX Katell IH... Katell a blgnaz goustadik gant an diri (ne oa ket yaouank ken nebeudj hag a zlgoraz an nor war kambr be mestr karet Laou Treslgldy ; mez dont a reaz raktal war he c’hll, dont a reaz a-drenv stralillet-oll. An armel hag a oa dlzonjet enn-hl paperlou Laou hag Herrl, an armel-?e oa dlgor-frank bag eun den braz gwisket evel eur zoudard a lenne Anezho. f Arrondissement de Quimperlé PLABENNEC. - PoP"i. “ — Depuis peu de ttmps, M. Huby, de Guilllgomarch, avait ft son service un nommé Méfort, qui avait été précédemment employé chez Mme Méjo, à Cléguer, où un vol de 300 fr. lut commis. D 'rniè’-ement, Huby, en vaquant ft i es i.co, pat on«, d couvrit une cachette de io fr. appart ment a son domestique. il lit part de sa dé ouverte ft une voisine qui se trouvant être ¡amère de Mme Fiéjo de Cléguer, s’t mpres^a de mettre sa iiile au courant, mais quand cellé-ci voulut avoir des explications avec Méfort, le garçon de ferme avait disparu, sans même demander à son patron le paiem :nt de ce qui lui était du. L a c a c h e tte d u d o m e s tiq u e . lUec-stir-Belon Ignoble personnage, — Pierre Gueroue, 27 ans. jo u r n a lie r à Lande-J u lie u L e , a é té mis e n é ta t d ’a r r e s ta tio n p o u r a tte n ta t ienoble contre la petite Louise Durand, 10 ans, qu'il avait surprise, samedi, reve nant seule du c a té c h is m e . G O E R IS O N DES H E R N IE S u n s L A H E R N I E L a M éth o d e C la v e ric de P a r is e st la s e u le q n l H onlago e t g u é r it Les nombreuses personnes qnl soutirent de hernies ne doivent pas se laisser abuser par les promesses des soi-disant spécia listes nui se décernent eux-m êmes des médailles sans avoir Jamais participé ft au cune exposition. Seule la méthode CLA VfclUK, appliquée dars tous les pays ;à plus de 950,000 ma lades, ollre la garantie de 30 ans d’expé rience et de succès, l'exemple de nom breuses guérisons obtenues et d a m e n t c o n s ta té e s et les soins d’un praticien absolument hors de pair dont la compé tence est hautement connue et appréciée de tout le corps médical. Aussi c’est un bien vif plaisir pour nous de pouvoir annoncer à nos lecteurs la pré sence parmi nous de M. X. C L A V E lU E et nous ne saurions trop recommander aux personnes qui seuffrent de IIE B V IE 8 K F V O IlïS , üE S O E X T E S rd e se Sfedre aux visites du savant praticien, qui fera lui-même l’applioatlon ae scs merveilleux appan ils en prodiguant ft tous gracieuse ment les bons conseils de sa longue expé rience. M. A. CLA.VEUIE recevra de 9 h. à 5 h., ft : LESNEVEN, lundi 29 mars, hO tel de F rance. S T -PO LD E LÉON, mardi 30, h ô te l de France. M 011LAIX, lE n r o p e . mercredi A 31, h ô te l de Jeudl I,r avril, hdtel de l à G ra n d M aison. F ra n c e ^AMMtAU, vendredi 2, h ô te l do LANDERNEAU, samedi 3, h ô te l de l ’U nlvers. UREST, dimanche 4 et lundi 5 , h ô te l de !• rance. DOIARNENEZ, mardi 6, h ô te l de France. F ra n c e I>ER’ mercredl 7 avrll>h a tcl de O l IM PERLÉ, jeudi 8 avril, hôtel da JLion u u r. Lire le “ TRAITÉ de la H ERN IE ”, ouvrage de 150 pages et 200 irramurt S que M. A. CLAVERIE, 234, faubourg Salnt-Martln, à Paris envoie gratuitement et discrète ment sur demande. 7956 R E T O U R D ’A G E • f » i « w n u * nom attcotins U R D * a n grande commodité des malades des pa* roisacsv^siBés, M. le docteur Tostivint, de Plabennec, sera à la disposition des ma* lades et leur donnera des consultations, à K c r n a ln t, le mercredi, de 2 à 3 h. ; à H ottrg-lllanc. le samedi, de 2 à 3 h. 4121 iiK a a o ir r a I- o h » p p a i'e llm «1« p o u r le t r a it e m e n t d e s lie r n ie n , o n t o l» te n u l 'a p p i* o l> n t io n d e s p lu s h a u te s s o m m ité » , c,orp.s ®£dical ordonne généralement 1E lixir de V irginie Nyrdahl contre les accidents du retour d’ftge tels que : hémor ragies, congestions, vertiges, étouffements, palpitations, gastralgies, troubles digestifs et nerveux. Ce médicament, par son aotion sur le système veineux, est également souverain contre les varices, les hémorroïdes nt la phlébite. 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Glaser, à CourbaA l'occasion <es fîtes de Pflque», la duré« do voie-Paris pour recevoir franco son traité sur la H e rn ie . yjlO validité dos billets d’aller et retour ordinaires Aux Grands Magasins it Nouveautés Sirop Sant-Viktor L i POMMADE S O ï ï m i H EN VENTE AU “ COURRIER’ Les vaches laitières, ^ te ie n ? !’ habitations, — élevage, — reproduction. Le lait et ses produits, par Larbalétrier. 1 volume au bureau, 2 fr. ; franco. 2 fr. 15. ANÉMIE PALES CO ULEUR S (grandes lignes) délivrés par toutes les gares du réseau de 1 Etat, & partir du Jeudi J - avril, sera proloDgés, excepUonnellement, Jtuqu’au dernier train du jeudi 22 avril 1909. En outre, les billets de bains de mer valables normalement 3 ou 4 Jours, et d'excui\sion Mont-Baint-MIchol, délivrée au départ d« Paris ot do toutes les gare* des Ugnes de Normandie et de Bretagne, è partir de la mômo date, auront leur durée de vallaité prolongée dans les mêmes conditions que les billets d'aller et retour ordi naires. G U E R IS O N • RADIOALK (t INFAILLIBLE en 20 JOURS ivl ELIXIRn li CO N FITU RE FLUEURS BLANCHES _____ NEURASTHENIE, CROISSANCE CONVALESCENCES tréI r S B lá .s .- r t T.nir t.n dB S ‘ V I N C E N T ®8 !  ! - S rk1* , 2, r» d» P A U L SPÉCIALEMENT fêtUt F k ê r m ïrocbur# fr& ao* rriac* Brest : Dépôts, pharm. Leblgot, 46-48, rue de la Hampe ; Qulmper, pharm Meret. rue St-Françols. 7-887 Pa glevaz Katell o c’nopal ar zoudard zellaz en-dro d'e7han. Kan eul Iamm edo enn he c’hichen ho c'hour-gleze enn he zourn. — « Ger ebed pe ez cc'h maro I » Katell oa kalounck, mez blzaj fall ar zoudard he spnuntaz. « Einaoun daré da v c iv d , a J.onjaz, va Doue ho pezet tru' z ouzln.» Ne respounte ket hec’h enebour, mez he daoulagad a bire warnhan heb gwelet mad an dremm anezhan abilamour ar mottchouer en doa war he benn a c’hoioe an banter euz he vizaj. Katell a dost?.a:z, a grogaz en eur greña er mosc’iotter ha7 r’n eun taol prlinm hcsklapat kuttdiwar daou lagad ar zoudard. — « Jakez, cmez-hi. » — * la, Jakez, eme ar falz soudard, la Jakez, mez selaouit mamm-goz! Si laou lt i ma lavarit d’in ar pez am euz c’hoant da c'houzout me a raio o tigemerout enn eun hospital bennak ;ma nerlt ket emaoc’h heb dale er prlzoun evel mlgnounez eun don hag a felld'czhan teuler ar c’houarnamant d'an traon, ha mcrvel a reot eno gant an naoun pe zoken plgna e reot war an nijerez pennou, war ar c'hlllotin, klevet ho peuz? • — « Me mlgnounez eun den hag a fell d’ezhan laza! Ne gomprenan ket ac’hanhoc’h l > — « Evel a gerot, va merc’h, anavezout e ran paotred hag a gavo an tu da lakaat ho teotf da vont en-dro. Me n’am euz ket amzer da goll. Setu va goulennou all I Ma kendalc'hlt,da veza mud, me a ralo d’ehoc'h respount, dlwallt I Da genta: da beleac'b eo eat ho mestr ? — «Da Bleyben, warc’hoaz e teulo en-dro.» « IlagH errl Leskoat?» — « Da Garacz.» — « Mad, ni a welo an dra-ze, anavezout e ran breman mlgnoned ho m istrl.» Ha Jakez a zlskouezaz eur bern paper en doa dlndan he gazel. — • H k goulenn c'hoaz, an bini dlvezx, rti>poüutil eta heb kuza netra. Ha gwelet, ho peuz eun den wardro SO pe 55 vloas, moai, na bian na braz ctre an daou, hag ouspeon teo ? » — « N’an avezan den ebed cvelse. » — * Hum ! a reaz JaVez. mez » ’euz forr, digasit no tourn, mea ia da reld'ehor.’!i eue chadenntk eured da lukaat war t i . t¡wreac'h. » Kpad m’edo ,i iltoz o kl isk ha gorden i evit Hamma daouam K iteli, hou man iudevoe eur zonj primm. — « Pa ez co gwir en denz an <! aoulm m kr,ve1 paparini! ! anu h:tj< llcrri t z iut kolietno daou. iiod eo d’in savetel anezho konsto pe gousto. » Tenna a reat founnuz he boest bntun euz godei he íavaneher ha sklapa a re** ar pez a oa enn hi enn daoulagad .lake*. Uen-man dallet, an eon enn he ctienon kement a lamme gant ar gounnar, a lezaz he baperlou da goueza war ar gambr. Katcll, l'Jcr pa ve*ered, ho e hemera* raktal. Jakez a folla* d’ezhan kregl enn he breac'b, mt 7. hou-man a dcc'haz kolt hag a zlskennaz gant an diri ar buapna ma cTiello. Sonj e doa da gaout amzer da zlgerl an ñor vrat ha goudc d’he frenna evit dercbel Jakez en ti, araok he vljo paket gant han. Eun tammlk c’hoaz hag e* eo deut abenn eut he zaol. An alc’houez a zo er portait, mez enn tu uiabarz ; ma vljo hot enn tu all, Ka tell e oa saveteet. Koll a ra eun dekvcd minud o lakaat an alc’houez enn tu dlavei ha santout a ra eun dourn n:rzu* o kregl enn be diouskoa*. Jake* en doa lammet warnhi hag en doit he filet d’ah donar. I D a g e n d e lc 'h tr .i deCONFIANCE íjetitíe"! nuvri,br“ T ^ B A U p * ík u ^ CO Ï.B COURRIER DTI FINISTERE I aria: COURS du 11 mars du Farinai Coûte ¡ f irijuçs 31 fr.?5 24 35 __ ••••••«••••••» 16 SO -, __ i ÀVÔUOàruiM**!«****** 18 50 Meurea*______ , 3 l î t o i r -------CBata (collide 1,000œofi! 85 H iin U M I k II! Anim ata Prix IMPARAR VU Net om 0 86 0*04 0 02 U à k Virili B a a t» V tohM . T um u. Veaux.. f.201 COURS 25 mur» 30fr. 75 14 25 16 75 20 50 2 90 7(1 » V U le t t * ( P a r la ) do 25 mars a ir io ls 1.155 tso 173 147 ttl 1.8S5 1.505 McHtonj 11.»77 11.953 Poro«.,. 6.803 1.G0O bornio Id Id Id ld Id 0 70 1» 1 07 1 00 0 60 t SO 1 IO 0 O'J M a r c h « ! d a D ép arte m e n t CMIuulln. -> Marchi du 1« mura. — Fre nanti lai 100 kU.ll.tOj uvolne,17.60 ; «algia, 17,00 ; C H I O Etudes de M» VIGIIOT, avouôlicenclû & Urcst, 24, rue de Sium ot do M* LE GALI,, no taire & Plouguorncau. 17rm T r P»r licitation judiciaire, i t i l l l u en l’6tude et par lo mlnlstôre do Ma Le Uull, notalto i» Ploueaerneau, le samedi 17 a v r il 1909, à uno Heure de l'a prôs-mldl. D É S IG N A T IO N Promier loi En la commune de l'io n g n e r n c a n , au lieu de Korjutltt varîi ; U n e p e tite F e r m e consistant en molson d’habita tion et bâtiments d’exploitation, terrea chaudes ot froides, appar tenances et dépendances. Le tout cadastré, noctlon G, n « 471,472, .170. 388, 3S6 et 382 e , ■ectlon O, n° 138, pour une con tenance totale do 72 ares 14 cen. tiares. Mise A prix : Deux mille trois oents francs, cl, 3,300 fr. Ladite forme est louôo A Mme veuve Jacq et M. Ambrolso Leven, Jusqu'au 29 septembre 1915, ■ulvantbnll du 11 Janvier 1905, an rapport do M* Boulller, no taire A Lannllls, moyennant llï> francs par an, Impôts et chargos en srs: Ce lot a droit de culro dans lo lourde M. Abarall, de Lannllls, propriété voisine. #r*a. 16.(0 ; mrrar.ln, 15.(0; beurra, la kilo, 2.33 ; 0 ,lr. 00 ; moatous, 0 Ir. 05 ; vsaux, 0 ir. 00 ; •u u, 1b dout, O.dO, pomme« de t., 5.60 la i 100 hll. Proment, les 100 kilo«, 11 Ir. f 0 ; «olglo, 17 Ir. 00 ; orge, 16 ir. 00 ; rarrazln,18 Ir. 00 ;avolne, 17 fr. 60, — Marobfi du 24 mari). » Pro pommes de terre, 5 Ir. 60 ; beurre, lo ïllo ., J ir. 30. meut, les 60 kll.. 10.60 ; orge, S.oo ; »arrazln, ■uto, la douzaine o Ir. 00 ; loin, les soo kilos, 8.15 ; ovolne, 0.00 ; ton, 8.00 ; p. de torro.las 10 86 Ir. 00 ; paille, les 500 Kilos, 25 Ir. 00 ; son, 1rs kll., S.50 ; poro Irais, 1.16 ; bourre s a li, J.to ; loo Mlos, 25 Ir. oo ; Surina, ! '• qualité, 19 tr. oo ; beurre «ana aol, 1.70 ; œuf», la douz., 0.86 1“ qualité, 20 ir. oo. L a n tiiv itliu . — Marché du 24 mura. » Kro* SlrPol de Léon. —Marché du 23 mars.— Farine H aut, la i 100 kll., Sl.co ; m ite ii, 15.(o ; seigle, V quai., le» 100 kll., :i),00 ; larlne, 1', 1U.C0 ; lio14.00; «arrtuln, 18 ; avoine, 17.50; orge, 10,(0 ; ment, S3.03 ; avoine, £1.50; blù noir, 18.00 ; orge, p. de terre, o.oo ; coula, la d o u i., 1.50. 18.50 ; loin, 17.1*0 ; artichaut», 00 fr. loa 100 kilos; Lotnetien. « • M arohi du ü3 niara. — Prô obotix-flours, 3,(0 la douz. ; pom. do terre 11,00 n e nt, lo i 60 kll., 10.25. Orgo ld. 8.00. Burrnzlu, les 100 kll.; œuf i la douz., o 76. 8.76. Avoine, ld., o.oo. Pommoa do terre, l u 50 Satnt-Ronan. — Marché du 20 mnrs. » « F r o kll., 8.00. Betirro «alô, lo kilo, 3.(0. Beurra (ans ment, les 60 kll., 10.50 ; orgo, 9x0 ; surrozln, ld., ael, ld., 2,00, Œ ulg, la douzaine, 0 00. 8 26 ; avoine, ld., 9.00 ; pommes de terre, les 50 Q ulm por. — Marché du lu mars. — Promeut, kll., 4.00; pain blano, toute fleur, le kll., 0.10; 21.50les 100 kll.; aelgla, 17,60; blé noir, 17.00; palu bis, 0.26 ; bieufa, le kll., 0.00 ; vache, 1.40; avoine, 19.60; orgo. 15.60; pomme» de terre, 5,60; [ênlsio, 1.45; voau, 1.60: mouton, 2.C0 ; poro, loin, 38.00; pailla, 15.00; larlne, 1 " q uai., 31.00 ; rais, 1.10;bourreaulô,lekll.2 40 ; bourre «an« sel, larlne, V quai., 29.50 ; io n , 14.60. i 2.00 ; a u la , la douz., 0.85: loin, les 600 kll,, 24.G0, fo n l- l'a fiM . — Marché du 25 mars, mille, 25.0 ; son Ica 100 kll., 7.50 ; farine, 1“ quai.; ________il,_ 11.2! ___ 16 Belglé, .......... o.oo...... Orge, 0.60. n ié noir, Promani a oulaoüo, 36.00 ; farine, !• qualité, J.’i.oo, M.00. Avoine, A tVIIUO, 0.00. u,vw, ruutiuoa Pommei uu de terra, tou», «.uu* 1.50. Pola, rum, 44.00. las 600 too XU. kU. Paille, 15.00. IBul», CBul», prix prl: moy«J* 0.85 la douzaine. Beurre, 1.35 le 1/1111. Qulm porlé. — Marché du 10 irmrs. — Tac* f i ü E H E  I I A IO"! ACHETEUR. fo&Ess Dflmand»zgratli etfranco, raaux, le kU., o Ir. 60 ; boula do hoocherlu, l'Album Illustrò tlo Montres, Bijoux PAnduloe, • Ir. 76 ; vaches dn bouobarle, 0 Ir. 50 ; ban ts da OrfèvroHo du Gd COMPTOIR NATIONAL. travail, ordln. ; bouvillons, 60 Ir.; vaobes lait. E. DUPASJiiritt'.IO.nuodoBollorikBESANÇON(Diati). 100 ; géulise*, 800 fr. ; ohevatu, tr. élevé ; poras r ' Concourt ûfücit' ûannratolr» 1S!3, f Î C O Etudes de M9 Louis ALLATN, avoué-llconclé A Brest, ruo du Gbftteau, 21 ot de M« Gh. LO H1N, notaire A Guipavas. 1/FiVTr pur licitation judiciaire, i l l l l l i u uifiine n u - d e sso u s de la in la o il p rix . Le samedi 10 avril 1909, ft deux heures aprés-mtdl. En rotudn et par lo ministère do M» Charles Loiii\ notaire i (luipavns DESIGNATION : Pi'emitir lot En la coinmunx! <ln Gnlpnvus, uu village do Kdroulia?ti : $ n e p e tite $ e rm e L A T - S A Etudo de M*DE 110DEUÆC DU P011ZIG, notaire St-Renan injm npp par adjudication volonl ï i l l l l j taire, en l'étude, le saîtie.ii l / a v r il 1909. A 2 heures do l’aptôs-mldl. En la ville de S a in t R e n a n A l’nngle do la placo aux Vaches et de la route de Saint-Rouan au Gonquct. L e s S a in t s d e B r e t a g n e S Che/. L. U ahon-U ault Im p r im e u r- édltcn r A H e n né s '•$[ Q o ì n f H n m > / i pur lu comte R. do Lalgue. Ç J d llIl n t l V L , nroDilor titre de la nouvolle collection populaire doa « Saint» de Bretogno » vlont de parnltto. Lo lexte est ôcrK, mutilo do le diro, de main do mallre, la tenue typographique Impeccable ot les Illustrations fort Intéressantes ; la production du célèbre tableau de Locmélar présente à elle seule un attrait con sidérable, ce m onument étant hélas très menacé, pordu par lo temps. Los personnes qui ont aouscrlt eo réjouiront par leur adhésion aidé à l ’établissement do cetlo si utile collection : les autres s’amprosseront do fo procurer sahit Hervé vendu en librairie 1 fr. 10 franco. Tous seront captivés par lo charme du stylo de M. do Lalgue et liront avoc un Intérêt croissant los détails sur la vio du saint aveugle, sür lloarvlan, sain*. Urphoed, lttvanone, Gutnarau, Krlatlna et goûteront fort les chapltraa d’érudltton oonsacro aux reliques de salut Hervé au cuite du saint (coutumes, Iconographlo, mo numents). Lo second tltro do la collection Saint Samson do M. l’abbé Duino, du diocèse de Rennes, est sous presse et p araîtra dans lo courant d ’uvrll. Il sern adressé dés apparition aux souecrlpteurs aveo la vio populalro do saint Hervé, brochure do propagando Illustrée à 0 fr. 10. X ... E N Louis E consistant en maison d'hablta $ tldn,ayant reï-dc-chausséo, étage P R IZ ! E U R S E O E D ot grenier, appentis, grange, écu ries, lieux datsances couverto tous en ardoises ; cour, Jardin, champs do terro labourable, Is sue, circonstances et dépen dances et communauté d'un four ot d'uno malson A four, droit nu puits. Le tout llgurant au cadas tre section F, numéros 23, 24,25, .'8,30 et 31, pour uno contenance A toutes les personnes qui ont fait ueage do 1 hectare 01 ares (0 centlares. do la JOUVENCE de l'abbé Soury Sur la mise A prix do neuf nous rappelons qu’il est utile de faire une mlllo francs, cl, » ,0 0 0 fr. cure préventive de six semaines. A l'approche Et même au-dest:ouo de cette _ du printemps, pour régulariser la circulation ml«o A prix. Qftte fermo est louée jusqu’au W SSip <1« saaK et ôviteï' les malaises sans nombre Q u a tre C h a m p s .iZ& s qïïl Hur(,iHSent à cetto époque de l’année. 29 septembre 1921, aux époux Eïijcr « portrait A ux p e rs o n n e s q u i n ’o n t p a s en co re Guillaume MoDgant, moyennant d'une contenance do 15 hectares loues jusqu’au 29 septembre pro e m p lo y é Deuxième lot chain, à MM. Le Dulï, Le Roux un formage annuel de 300 francs 90 ares. Bn la mSmo commune, uu Heu ot l’acquit des Impôts. et Thomas. 7958 Ea la commune do G n ïp n v n s, de Croae-Edorn : Deuxième lot au lieu do Koruao, section H. nous ne cesnerons de répéter que ce médicament, uniquement Etude de M* Th. FLEURY, no Deuxième lot Kn la commune do Gulpncomposé de plantes inoll'enslves, dont l’ellioacité tient du pro taire A Morlaix. Un Cham p vns, au village do Kiroulmnt : dige, peut être employé par les personnes les plus délicates do terro labourablo dit Parc-arsans que personne le sache et sans rien changer A ses habi n°* 1189 et 1190, contenant 2 hec W e n te d 'a r b r e s Radennoo, cadastré section G, U N E FER M E tudes. En l’étude a ° 512, d'uno contenance totale constatant en maison manale. tares 35 ares 70 centiares. I La JO U V E N C E de l ’n b b é S o u ry guérit toujours A la con IVotn. — Ces doux lois loués de 27 aros 2 contlarcs. uno écurie, grango et refugo A jusqu’au 29 septembre 1913, SOO Le m a r d i O a v r il lOOO d itio n d'être employée sans interruption, tout le temps néces Mise ù prix : Sept cents francs, porcs, crècho, couvert« tant, on A 2 heures |salro. traues l'an, une commission de cl, 700 (r. ardolsas qu’en chaume ; cour, SCO francs, impôts et chargea. Se trouvant sur la ferme de la L a vente do ces Immeubles u alro A battre et courtll A paille, ü o is s liir o , en P lo n r in , en for Troisième lot été ordonnéo par Jugement du vaax, droit Ala maison A four et mant l’ailée et divlbés en quinze Ide maladies intérieures, métrites, fîbrômes, suites de couchfs. tribunal civil de Urcst. par dé au four, droit au puits. Les lots, comprenant : faut faute de comparunrc, du 18 champs dlta Parc-Gras, n» 29 ; de terre, n° 1212, contenant 2 223 chênes, 220 hCtres, 16.0châ j réglés irrégulières ou douloureuses, hémorragies, pertes blanfévrier 1909, enregistré. Goarem-Blan, n» 84 ; Goarom-ar- hectares 73 arcs. taigniers, 74 ormes, 50 frffhes et le/ies, troubles de la circulation du sang, maux de tête, vertiges i ¡étourdissements. Vous qui craignez les accidentsdaR E T O R III E n tr e : Vllln, n» Mi ; Ar-Gormlll, n° 41 ; Louées jusqu’au 29 septembre 3 sapins. I d ’A GE, faites une CURE avec la JO U V E N C E de l ’a h h é 1» M. Louis Le Droff, cultiva Paro-ar-Valy. nu 429 et le pré dit 1913, 15ü francs l’an. Exploitation facile, I S o ury , et vous guérirez sûrement. | teur, demeurant à Korgongar, en L’oennoc-ar-vllln, n» 97, lo tout Quatrième lot Pour les voir, s’adresser A MM. Landéda ; section F du cadastre, d’uno conLachuer et Coroller, fermiers et j La JO U V E N C E se trouve dans toutes les pharmacie». Le 2« Mme Marle-Au (rustine Le tononce approximative do 3 hec pour renseignements AM” Fleury. | flacon, 3 fr. 50, franco gare, 4 ir. tO, les trois ilacons contre I mandat-poste 10 fr. 50 adressé AMag. Dumontier, pharm., 1 de terre, n°* 1220-1213 et 1211. DrolT, et M. Louis Jall'rfts, com tares 85 ares 10 centiares. merçante Brest, rue Mongo.n» 1, Sur la mise A prix do treize contenant 3 hectaros 07 ares 90 Etudo û3 Ai* Th. l'LEURY, no I place de la Cathédrale, Rouen. (Notice et renseignements confidentielsgrsitis) son mari qui l'asslsto et l’auto- mlllo francs, cl, 13,000 fr. centiares. taire A Morlaix Dépôts ii Brest : Pharm. Leblgot, Mocudé, Verger, Ré Louées jusqu’au 29 septembre rlse. Kt même au-dessous de cette gionale, Chareteur, Ramée. — A L&mbézellec, pharm. Féret. E ^ U R 3° Mme Marle-KranÇ'Olaa Le mlso A prix. 1913, 200 francs l'an. — A Quimner, pharm. Ladouce. — A Morlaix, pharm. CoîII. (Voiries alllches). 7955 Droit ot M. Jean Tanguy, culti . üetto forme est louée Jusqu’au A l ’A M l A B l B — A St-Pol de Léon, pharm. Blandln. — A Crozon, x>barm. vateur A Prat-Pen, en l-aunllla, 29 soptombro 1920, aux époux et Premièrement Housse. — A Landivisiau, pharm. Doualle. — A Landerneau, son mari qui l'asslsto et l'auto consorts Colin, moyennunt un Etudo do M*MARTRET, notaire A Plounévoz-Lochrlst En la commune de P lo n é n a n rharm. Kerbrat. — A St-Pierre, pbarra. David. — A Pontrise. fermago annuel do 400 francs, l’Ahbé. pharm. Grall. ,t;p3 l T i ï H n P par adjudication Une F E R M E , d’uno conte Demandeur», ayant M* Vichot l’acquit do l’ImpOt ot autres char i L M J K b publique et vo nance de 12 hectaros. pour avoué. ges. lontaire, en i etude et par le m i Louée 1,000 francs, plus l’ac Et i Clause (tpéclalo Insérée dans los nistère de M* Martret, notaire A M. René Tranvofi*. veuf de Daux : paiement par los fermiers Plouuévez-Lochiist, le mardi 13 quit deB Impôts. Guérison de ìf. Diaque I i 1 dame Annette Le Droff. cultiva d’IntérotB au taux do 4 0/0 l’an, nvrll 1909, A une heure. Deuxièmement atteint de TUBEFH5UMSE PULMONAIRE teur, demeurant A Prai-Pen, en sur les devis des entrepreneurs, S-* En la commune do S lb lr Jl Près lo bourg et la garo de •^00 par l'iîlkeir I)Hj)»yroiua Lannllls, pris tant en son nom au cas oit l’on remplacerait les P Io nnfivez- L ochrlst. Sxt* Une F E R M E , d’une conte $ . M . J . II. Ü t A Q U R , q u ò r e p r ^ a e n t o la personnel qu'en sa qualité de couvertures on chaume par des nance de 12 hectares 67 ares. p n o to j,rr a v u r o c i - c o n t i c c « t s u r v e i l l a n t LA NU IÏ-PttOPIU ÉT É •tuteur légal de François* couvertures on ardoises). •lo la v l l l o <Ic l'u r lt ) 4 la B o u r s e d u Louée 1,300 francs, plus l’ac Marie et de Anne-Marle TranI r a v a l l . J 1 e st n ò à C a b r is (v M p o a L. ALLAIN, quit des Impôts. .M « r i t i m e s i e n i 8(W e t b a b it o ru o votiz, ses enfants mineurs. avoué-licencié. De la belle P R O P R IÉ T É S’adresser A M* Fleury. 7323 C o r b e a u , P a r i s . 11 e u t a u r é g i m e n t , e n Défendeur défaillant. 1H92 , u n o b r o n c h i t e <Jui f u t m a l s o ig n é e . Pour toun renseignements, s’a l)e POllS-AL-LOUC’I I Le cahier des charges, rédigé dresser A M* Allttlu, avoué pour I.e 14 j a n v i e r iqoS^ j e c o n s t a t a i c l ic z lu i , GUANUE & A N C IE N N E à r u i i b c u l t a t t o n . d e s lé s io n s t u b e r c u 1-H par M1 Le Gall, notaire A Plou- suivent, A M* Anthony, avoué Consistant en excellents bâti le u s e s o c c u p a n t t o u t le p o u m o n d r o i t e t guerneau, commis par lo juge collcltant et A M’ Lorln, notaire ments en ardoises, Jardin, cour la b a se d u p o u m o n g a u c h e . I l l o u p a i t ment ausdaté, demouro déposé A Guipavas, chargé do la vente. ot alro murés, verger planté de e t c ra c lt-a il n e a u c o u p , e t a U tr è s a ll a ib l l e t t r a n s p i r a it la n u i t . 11 s o u ll r a i t d e s on son étude, oit l’on peut en pommiers, champs. C O N T R E L ’IN C E N D IE fosse s n a ta le s e t d e la K o r g c . M o n tr a it e •gw prendre connaissance. Le tout contlgü — 1 hectare 43 Etudo do M* QUERE, notaire m e n t i\ b a s e d ' E L I X i n D U P E Y R O U X d e m a n d e de s n ffe n ts hono a m é lio r a d 'a b o r d v o n é tu t e t, le 5 d é L’adjudication aura lieu, aux ares 94 centiares. A Plouvorn c e m b r e 190 $. M . D i a q u e é ta it c o m p lè t e Jour, heure et lieu ci-dessus fixés, L’usntrultlèro est Agée de 75 rables, actifs et sérieux pour la ;v r r n par adjudication volonln d e p u b l i e r n o n représenter, comme a g e n ts eus d a n s le b u t d 'é t r e u t i le à ses ms eemn bt latf ub éleri.s . I l m ’aU*p eDr m en deux lots et sur les mises A 1 ri taire, le dimanche 4 ans. U P IiY H O Ù X , M 5, S t ju a r e d e M e tis in e , 5, P a r is . rlx Indiquées, par le ministère u v n l ,909, A deux heures, en Pour tous renseignements, s’a g é n é r a u x , dans les cantons de — l/F.lijrfr I)iipe)Toux i I n o do creosoto vralo d# hitre, d'iode, de Unin e» <U e M* Lo Gall, notaire A Ptou- l'6tudc. dresser A M” Martret, notalro A C a rh a lx , CH&teaulln, Chfl.- Clycéi opliusphato do cluu x, (ticril loc lisions tuberculeuit* 60 prov<M|uuni la (oniiaÜoQ a l guerneau, parties présentes ou Ea la commune do P lo n ô n n n Ploonévez-Lochrlst. 7954 teaaneuf-du-Faou, du Faou, d'unlitoxlne* dans l«s c iu m sanguin. Il jouli d'une efllcacllô Inountostable el«n* les ess de du H u e lg o at et do Pleybon. tubtrculosos pulmonaire, ran^iiuniKilrc, luryngco etosjouso.de la rju g liu . astlmuM, o U r r h c « , elles dûment appelées, ainsi que Conditions très avantageuses. eomliyièlin-s, h:oncliitea cnruniques, 1hume- négligés. Si lattibcrculi se pïïlnioiialre fait tant J « Ut 1 M. YveB Kerloroux, subrogé-tu Il est tk toute importance, Adresser les demandes A M. victimes, e Vit piuce que les médecins no savent pas la teur ad hoc des mineuru Trou noür les tiiLn'^’iiloiu, do 6uivrc le traitement à l«so d'iMixir Dupeyroux ayant que, Ice Alexis Martin, au bureau du jour lésions n’alont pris uno etondue qui les londe irréméduliles. Je consulte (rptuitemeot tous les terre tabonràbl« dit Goaremve éi. nal. 7916 joura, de i 11. n 3 h., exccptô le jeudi et les jours do f(lo, ea mon cabinet du S, square « o S'adresser, pour tous rensei Btréat-Glax, loué Jusqu’au 29 sep de Alesane, Paris, et por corrcfpondance, et envole gratis et franco, s ir demande, les neuf 0.0 gnements, A M* Lo Gall, notaire tembre 1914. A Chrétien Mulgorn, brochures où se-nt expbsés mes travaux do thérapeutique et d ’hyflône tinsi qu'un quwtloa* Etudo de M* CHEMINANT, no nalre. J'envoie le petit flacon franco à domicile contre 1 fr. 5 0 et le moyen flacon contre S Q S Plouguernruu et A M« Vichot, 120 francs l’an. Contenance : 1 Louzou evlt an doken, ar 2 tr. 5 0 «n timbres ou mandat. Hxlgcr dans loi pharmacies lo véritable Biïxir Uopeyroux, hectare 14 ares. taire A Saint-Renan avoué pomauivant. gwclla remed evlt ar vugale. Refuser tout E lix ir •utlbicillalré do contrefaçon se purUot pat mon n o ù eur réilquilte eÇ M idc A prix : ü.liOO fr. W lV n U V Par adjudication me slfnature sur U capsule lecouYseat le bouchon. E gwerz evel guechall er E. VICHOT, En lu commune de Snlut-l’ol t t / l l l m r j volontaire, le sa avoué-llconclé. P l i n r m a c i C o r ly é medi 3 a v ril 1909, A une heure, Enregistré A Brest, lo mars »le L io n , au lieu du Ku-Plouânan : 148, rue de P a ris , 148 en l’étude. 1909, folio , caso . llcçti un franc quatre-vingt-huit centimes, pris l’Octroi, DUEST U n e M a is o n détùmcs compris. ü ia u n D . sous crdolses et deux vieilles mal en la commune de PloumoEtude de M* LE COIU1E, notaire sous on ruine, louées verbale Etude do M* LAVOLE, notaire gner, comprenant bâtiments A Lesnevon ment ot A l'année XO fr. A Guil A Plabennec d'habitation et d’espteltatlon, par adjudication laume Lo Goff. terros de diverses natures. Mlso A prix : 300 fr. 7953 '"riuo ot voD une contenance de 19 hec lontalre, en l'étude,. le mardi O Etude do M» QUERE, notaire lo dlmancho üli n v r ll 1909, Aune tares 62 ares 56 centiares, louée a v r il ÎW.I heure et demie. aux consorts Pelleau et Quéré, A Plouvorn I. — A une heure et demie. moyennant 770 trancs l’an et les En la commune de Salnt- IfaltJTU par licitation Judiciaire, ImpOts. Vf;il I L lo lundi 10 n v r ll 1909, F rflg a n t, A Kiriobret : Mise A prix : 8tî,000 fr. a uix Hciires du matin. a PenU ont-G ouesnou, exploi S'adresser, pour renseigne tée par M. Toullec et autres. En la mairie de P lo n v o r n flilM EN T C0MP/.ET P 1)1111 VEAUX « PORCELETS ments, A M* Cheminant. 7935 Revenu annuel : 210 francs. consistant en maison couverte Par lo ministère do M° Qu^ré, Métlailtn tVArucnl, AVywsilloti l'nivot'sclle Patÿs 1000 Mise A prix; li,OOO fr. .]/('(/nil le ilor, /,'rjinsilioii l ’nivcrseUe Liè<jc 1905 en ardolaos ot autres liKUces, notoire A Plouvorn Médaille d'Ov, /C.vposillon Inlenialioïtale Milan 1906 Pour tous renseignements, s’a terres labourables ot pralrlo, Au bourg do IM onvorn G R A N D E É C O N O M I E S IJR L E L A I T N A T U R E L . 23 ANS DE SUCCÈS dresser au notaire. 7963 louée A Guénolé Uoulch, ÏUO fr. “ L ig n e A L L A N " F R A N Ç O IS B R T J N N E R , F a b ric a n t - L Y O N l’an. Impôt* et commission. U iln o é lM triiiu u : Plaça dos charpennes. ^ I . — U n e M a is o n r t f llV l) de suite, pour cause Mise A prix 10,1100 fr. 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Premier lot En la commune de S nln t- P o l En la commune de Cônes- de Léon, contre la ville, près n on , au lieu du f'ourneuf : le chfttoau GMllardin : w Derniers Mélanges, pages d'histoire conlnmporaine (1873.1879). — Préface et notes par F ran çois Veulllot. — Tome I I : 1874-1876. — Tome I I I : 2 Janvier 1876-15 avril 1877. 2 volume», 12 fr, — P . Lethlelloux, éditeur, 10, iuo Ca»setto, Parls-VI*. , A coux qui recherchent à la fols la grandff'pensée chrétienne et la b e lli languo française, Il suf fit de slgnalor l’apparlllon des tomes I I ot I I I des Derniers Mélanges de Louis Veulllot. La laveur qui accueilli, il y a quelques mois, la première partie do cette publication, assure le succès do cas nouveaux volumes. Dans les éludes et les ar ticle» écrit» par Louis Voulllot sur le déclin do l’Assemblée nationale et Jusqu’à la veille du Selzo m al. le Journnllsto contemporain trouvera d'admirables at vivants modèlos, le cltojen catho lique rencontrera de fortes et très actuelles le çons. Jam ais cette plume, que lu mort allait bien tôt briser, ne lu t leur à tour plus éloquente et plus alerte ; Jamais elle ne frappa plus Justo et ne peignit plus boau. Tantôt ello pétille en polé miques spirituelles et mordantes contre les tlèdts qui laissaient démanteler l'EglIrc ou contre les violents q u i commençaient a l'assaillir ; tantôt olio brosso à larges traits l'intéressante Maure d'un Qulzot ou la grande physionomie d'un Carcia Horcno : tantôt ello pique allègrement la sllhouotte d'un Loyson q ui tom be ou la clmnson d’uc Rlchopln qui se lève. Elle passo avec aisance db la piété do Monmartre ot do Lourdes i la ”b.i. I 1 7 M A I S O N lL n á I Etude de M* MAJSTERB, notaire A Quimper TF* 3E 3 3F I Etude de M* ALJLAIN, notaire A Ploudalmézeau O n d e m a n d e S?6!’* “ “ ® ES A VENDUE En la commune d e M iliz a c v vendue p" j a s a r “ E d i'etuue, le mercredi 31 Prix de la location : -100 francs et impôts m n rs 1909, A deux heures aprèsmidi. Contenante : 5 hectares 17 arcs 10 centiares. Jouissance au 29 septembre 1911 S’adresser A M» Rouquet, ex pert A Ploudalmézeau. 7949 de MER-BENET En la commune d’ErjçnC-Arm e l, au bord de la grand’route 4 I A (T !> de suite. AT E \ L U l L u L IE U D E C03Sde Quimper A Concarneau. Contenance : 30 hectares 16 T ftU CTIO N D E M A C H IN E S AGU1COLES. — Matériel A ares 50 centiares. vendre au preneur. Mise A prix : «0 ,0 0 0 6r. 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