Mars 1909 - Site en travaux, le week

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Mars 1909 - Site en travaux, le week
a O t A a n é e '. —
Sant di, 6 Mars 1909,
N» 1.6 21,'
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*
G
JÖURNAL
P A RA ISSA N T
FRANÇAIS
3 fr.
4 fr.
5 fr.
4 — R u e d u C liâ t e a u — 4
B R E S T ^
Changement d'adresse : 0 fr. no avec la dernière bande
I.cî» nbonnemmits jmrtont
du 1« do clmquo moi« ot ko payent d'avanco
par la sûreté générale, sur les a n t i ­
m ilit a r is t e s .
Start co hör o’halon onn hör o’lirolz
litt Btnrtoo'h nr tirona enn hör Drob.!...
CE Q U I SE PASSE
Le ?5 décembre dernier, on s'en souvient, Ai. Fallières, président de la Ré­
publique, au cours d'une promenade à
Paria, était attaqué par le garçon decafi
M athis, q u i voulut le terrasser et ne
réussit qu’à lui tirer quelque peu la barbe
et à briser sa canne.
Mal hit était poursuivi lundi dernier
devant la dixième chambre correction­
nelle de Paris, pour cette agrossion.
Disons tout de suite que lus débats
n'ont pas été tris intéressants.
L'avocat do Mathis a plaidé l'incom­
pétence du tribunal soutenant que l'acte
de son client relevait de la cour d ’assises.
Le procureur de la République et lui,
ont longuement discuté et ergoté sur des
textes juridiques. Mathis, bien que préfent à l'audience a déclaré faire défaut.
Et 0 ‘est effectivement par défaut, qu'il
s’est entendu condamnor à quatre ans
de prison et à cinq ans d ’interdiction de
séjour.
Le geste de Mathis était le gosto d'un
déséquilibré et o'est lui accorder une
importance qu 'il ne pouvait avoir, que
de le p u n ir aussi lourdement.
4 «ft9
M. André Gauoher, rédacteur à
l'Action Française, avait été condamné
le 21 janvier à deux ans de prison, pour
t ’être écrié en pleine audience : « Je
savait déjà que les magistrats de la cour
do cassation étaient des faussaires ! J'au­
rais dû m'en méfier l »
M. Oauo/ier faisait appel le vendredi
24 février, devant la Cour d ’appel, de
cette condam nation manifestement exa­
gérée. Mais la peine a été confirmée.
On connaît l opinion que nous avons
de (a campagne menée par M. Gaucher
et ses amis. Mais cette opinion ne nous
empêche nullement de joindra notre pro­
testation à celles de sos amis contre ce
jugement trop sévère, inspiré plus par
la politique que par l’impartiale justice.
★
¥¥
Les camelots du Roy,
s’amusent.
Lundi soir, Us ont tente de renverser (a
statue de Zola, élevé à Paris, place Trarieux. Il s avaiont passé une grosse corde
au cou da la statue et s'apprêtaient à tirer
en cadence, lorsque des agents urrivènnt
pour los disperser.
Dans la n u it de mardi à mercredi,
ils badigeonnaient do ronge lu monu­
ment Sj/ieuror-Kostner et répandaient
à profusion sur les statues qui ornw t le
jardin du Luxembourg, des inscriptions
telles que « A bas la République I i l bas
la (7ueuse/» De chaque côté du monu­
ment, se trouvent doux grandos figures
symboliques : la Justice et la vérité.
T 'Utnü ileux ont eu le ne* écrasé, le m i­
roir Je la Vérité a été brisé, le glaive de
la Ju tti ce cassé.
*
¥¥
L'abbé L o lfly , leprêtro excommunié,
sollicitait ou ç/ouvem«ment une ohaire
d ’histoire dvs religions, vacante au oollège do France.
L'Académie des sciences morales et
politiques consultée, a procédé samedi
dernier au vote définitif pour la désigna­
tion du candidat. Elle détign a en pre­
mière ligne M. Georges Foucart, professour à l 'Université d'Aix-Marscille
par 20 voix contre 15 à l ‘ab!)à Loisy ; on
deuxième ligne, M , Toutain, m aître de
conférences à l'école des haulas études
de la Faoulté des lettres de Paris, par
23 voix contre 10 à l’abbé Loisy et une
à M. Dufoura, professeur à la Faculté
des lettres de Bordeaux.
Au mépris de oe vote. M. Doumergue,
ministre de l'instruction publique, a
choisi Ai. Loisy. Cette nomination est
injurieuse pour les catholiques, car aux
yeux du gouvernement, le principal
titre de M. Loisy était l'excommunica­
tion dont il est frappé, et non sa
science contestée et contestable,
*
* *
M. Ghéron, «oui-seorétaira du minis­
tère de la gutrre. est en ce moment (a
bflle noire des débitants de Cherbourg.
*
-
h A > im a / l a n a
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^8iT7i.lm
endé.«ctdcâs
„ „ m , 1„ v u « . .. » .Vîdpitaî maritime.
Conuafocu que cette épidémie pouvait
bien avoir été propagéeohet les troupiers
par l’eau de mauvaise qualité que mê­
laient les débitants aux consommations,
U, Chéron a consigné aux troupes tous
les débits et aafés do ta ville.
Cette déoision a été accueilli» par les
débitants avec colère. Après force pala­
bres; une délégation de débitants lui fut
dépOohée. M. Chérbn «t refusé de la rece­
voir. Mail nos débitants ne se tiennent
pas pour battus, «t continuent l’agitation.
L«» journaux indépendants felioitont
M. Chéron de son attitude. « /t|/on* le
courage de le direJ écrit le Figaro, M,
Chéron v°u» îles le premier radical qui.
depuis trente an», ait eu 16 courage de
n» point s’agenouiller devint uneprocçièton de marc hands de vins qui pai«ait. » Et de fuit, lei mostroquots dm
vi liai ont jusqu’ici été les plus puissants
Soutiens des radicaux, car c'est dans
leurs boutiques qu'ils préparent " U
cuisine politique et abreuvent IVlccfeur.
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11
* A la requSte du ministre de la guerre,
une vaste enquête vieni d'être ouverte
Les commissaires de police ont été
invités à fournir au plus t«St, la liste des
individus qui, le cas échéant, seraient
susceptibles de p o u w r h la destruction
des ouvrages d'art, fortifications, maga­
sins d ’approvisionnements, ou d ’tffcctuur eux-mêmes la destruction do ces
bâtiments.
. . ,
L a campagne des antimilitaristes 0
mal/i^ureusemont déjà produit des fruits
désastreux. Il suffit pour le constater de
jeter un coup ci œil sur la statistique
des déserteurs ot insoumis, fournie au
m inis/ire de la guerre.
Désertpws : 1 OO't f-n 1808. 1.090 en
1800, 1 073 en 1000, 2.338 en 1001, 3.223
en 1002, 2 20/i en 1003, 2.316 en 100k,
2. G74 en 1005, 3.028 en 1000, 3.437 en
1007.
Insoumis : «ï.768 en 1808, 2.050 en
1899, 5.157 en 1900. 3,774 en 1901, 3.767
•n 1902. 't 973 en 1903, 4 737 en 190'i,
7.807 en 1905, 10A80 en 1906, 10.630 en
1907.
Quand s'arrêtera cette effrayante pro­
gression ? Et l'on veut encore nier . le
péril de gauche,
Assistance aux vieillards et in­
curables.
De l’enquête à laquelle lo ministre de
l’intérieur vient de faire procéder, il
résulte que, à la date du 31 décembre
dernier, lo nombre des vioillards, des
infirmes et incurablos admis à bénéficier
du la loi du ik juillet 1905 s’élevait à
534.005.
Le nombro des bénéficiaires cesse de
croître et l'on pense que vers la fin de
1900, la loi sur l assistance obligatoire,
altoint son état d'équü.bre, le
nombro do nouveaux admis étant à peu
prêt compensé par le nombre des déiès.
Dos instructions formelles ont d ’ail­
leurs été données pour quo partout on
constitue, sur place, un contrôle qui
réprimo los scandaleux abus révélés par
uno enquête. Dans certaines communes,
des rentiers touchaient la subvention
d'assistanco, méritant ainsi le titre de
* voleurs de pauvres » dont on les stig­
matisa, justement.
aura
*
¥¥
l'ouvrier commence à
s'apercevoir que les révolutionnaires les
Décidément,
Confédération générale du
travail, q u i était le centre d une agita­
tion anarchiste, vient d'être purgée de
ses orateurs les plus violents qui vi­
vaient en parasites à l ’aide do subven­
tions que leur envoyaient bénévolement
los ouvriers.
Le nouveau secrélaire-flJnéral qui a
élé élu contre M. Griffuelhos et grand
prôneur do l'action directe, est M. Niel.
Niel ost un réformiste, c'est-à-dire
q u’it altond l’amélioration de la société,
non d ’une révolution, mais d'une action
des lois et d ’une évolution des mœurs.
Son programme peut se résumer ainsi :
neur.
(laiterie) 0 fr. 2 5
0
40
0
60
—_
Tarif décroissant pour les Insertions répétées
Pour les annonce» citra-rigtonalo«, saUi'essor
Lo générai est arrivé jeudi soir à
Bordeaux. Il fut reçu à la gare pàr une
délégation do la Croix-Rougo, tes deux
fils rt sa belle-mère.
Il h déclaré il u n journaliste que le
Maroc était désormais pacifié. Esperons-lp.
Beaucoup de nos lecteurs pensent
sans doute que pour recueillir des
p é p ite s d 'o r , i l faut explorer los
rivières glacées de l'Alasha ouïes pla­
çons de l'Afrique du Sud. Or des minos
d'or existent à doux pas de la Bretagne,
près de Laval. Un vol très important
d’or commis par des employés do la
mine, vient de les mettre en actualité.
On y extrait des mines, du quarts
aurifère. Celui-ci est ensuite juté dans
U. mâchoire d ’un concasseur qui broie
instantanément des blocs de 50 kilos. Le
triage de l’or s’opère ensuite soit méca­
niquement, soit chimiquement.
*
4 4
L ’Is la n d e veut se séparer du Dane­
mark, dont elle dépend. Un mouvement
séparatiste très net, s’y dessine malgré
des propositions l'btraies faites aux insu­
laires par lo souverain et lo gouverne­
ment danoi».
L ’Islande accuse le Danemark, de no
pas s'occuper de ses intérêts et invoque
également comme prétexte de rupture,
l’énorme distance qui la sépare de la
métropole.
Le Nord, qui est dit-on lo pays des
hommes au sens rassis, est dtpuis quel­
ques années le pays pur excellence des
révolutions. Ou se soucient en effet qu’à
la suite de difficultés, il n ’y a pas encore
très longtemps, la Suède et la Norvège
qui ne formaient qu’u n seul royaume, se
sont séparées, pacifiquement il est vrai.
★
44
M. Taft, l» nouveau président do la
République des Etats-Unis, successeur
de M. Jîoosovelt, a pris jeudi possession
officielle do son siège.
E n entrant en fondions, M. Taft d a m s
un discours, a développé son programma
vaste et grandiose, d ’où sont bannies les
misérables questions qui aigrissent, en
une lutte perpétuolle, les hommes, sur
le vieux continent. U reprogramme u n i­
quement anticlérical, n aurait pas là-ban
l ’approbation du peuple.
iiazez levez ar (IT iarp
xxvt
Abadennou rust a zo bet, cr pemzeU
devez-ma, e-kenver tri boent: ar « e'hoopératlves, * ar foinillou o deuz bu ¡rale, ha
pegement ère Raut lur da zevei (üwar
peb rumm gouuidlgez.
Eur c’Iwopérativc, hcr gouzout a rit, a
îo eun cmgieo, eur * société », savet ctre
eur bodad tud haK o deuz c’boant da dre­
n en eblou d’ar c'hemm-werzerieu ordinal
evit prona pe gweiza an traou 0 deuz
ezorara, pe aa zloueret : bad, ludu. cd, etc.
« Ouvriers et employés, soyons tolérants
Kvel-se, au dam vuia euz ar syndicajou a
les uns h l’égard dos autres. Ne m ilm is weler etouez al labourorien douar a zo
pas la politique à notre action syndi­
« coopératives » hep an hano, ba cetra
c a l. # Les révolutionnaires sont furieux keu, p’e gwir ne d-int bet savet nerned
koulz
lavarout evit lakaat digas d’arpennoude leur échec et accusent déjà Niol d ’être
tiegez a zo enu-ho al ludu ba traou ali odeuz
vendu à la bourgeoisie et à la réaction.
ezomm evit ho douarou.
«t
¥4
Ha perag hevclep emgleolou? a chouM. Mlllerand a prononcé, dimanche lennoc’h-hu.
Abalamour ma z eo douget tud hou
dernier, un discours nettement patrio­
tique et antisocialiste, à u n banquet amzer da zioueret skoazell an nesa evit
keraent
c’hellont ober ho-uoan ; hag ar
organisé à Paris, sous la présidence do c’hiz-ze aa zo
diwanet diwar ar pleg en doa
M. Hri8son, président de la Chambre an nesa da werza re gor he skoazell pe be
des Députés, pour célébrer Vanniver­ labour.
saire de la proclamation de la deuxième
Ar c’hemm-werzerien dreiat-oll co a zo
tizet aze. Mes eun ho renk, etouez kalz tud
République.
.
honest,
ez euz bet hag ez euz c’bcaz eun
M. Millerand a parlé de la « solidarité
nebeud maro’badourlen digoustians, eboant
dos classes ». Il a dit aussi « q u 'il n'était
d’eztao da rotít buan pinvidik, hag e vije
pas vrai, que la Patrie fût pour l’ou­
zoken 0 werza Uer marc’hadourez tal!.
vrier, comme l’ont dit certains fous, u n
Nebeud a nebeud, an dud a oa bet
mot vide de sens. »
tromplet gant-ho a zeuaz d’en cm anaout
De telles paroles dans la bouche d ’un hag azavaz, er c’heariou drelst-oh, Btahou
ancien camarade et collègue, ont été enn ho c’hont ho-unan, da breua a vraz,
commentées dédaigneusement par les evit beza du c'houde rannet etre-z ho, ar
socialistes révolutionnaires. M. Mille­ bevans 0 doa czomm enn ho ziegez. E
rand qui a déjà été excommunié par les broiou a e o , al labourerlen douar 0 deuz
greet kement ail evit gwerza an ed pe ar
socialistes pour avoir passé, selon eux,
Trouez a c’hellent da zloueret.
dans le camp bourgeois, ne s’y arrêtera
Ha petraezeuz dac’bounit enndonre-ze t
sans doute pas, car il a parlé te langage
Kala oe nebeutoe’ù hervez ma ’z euz kalz
du bon sens et de la sagesse.
pe nebeud da brena ba da werza.
*
Enn enr ger : ar « c’hoopératlvc » a
¥¥•
c’honnezo kement ba¡? o defe gonnezet ene
L a terrible catastrophe de Courrlôros
ho leau’h ar u’ueinm-worzer pe ar cJirignoq u i cortfa la mort à 1.200 mineurs est lier gaut ar varc'badourez, an ed pe ar
encore présente à toutes les mémoires. trouez a dremeno dre he Btaliou.
Ilag ar gounidlgez-ze a zo rannet être
Une enquito, ouverte pour établir les
responsabilités, vient d ’être close par un prenerien pe gwerzerlen ar « e'hoopératWe » da bep-hini hervez en deuz prenet
ordre de M. Barthou, ministre des Tra­
vaux publics donné au service d u con- pe gwerzet, pe awechou ne werzer da bep
trôle d ’engager des poursuites contre la unan nemod Hervez ar brlz prena.
*
Compagnie de Courrières. O n reproche
¥¥
à cette Compagnie d ’avoir contrevenu
Ar seurt emgleoiou-ze a zo bet skoazlet
aux dispositions du règlement de 1905,
gaut ar c’houarnamant abaoue ma z euz
en ne déclarant pas l'incendie de la veine aneiho : hag hirio c’hoaz ez ipt diskarg
e-kenver ar « patente, » da vlana ar re
Cécile et en faisant travailler aux bar­
anezbo a zo « coopératives » gwirion.
rages des ouvriers munis de lampe à
Hag hlvizlken, gant an diazez nevezj
feu «tu.
.
,
Gant ar goulenn-ze, eun diviz, padet tri
N ’y a-t-il pas à craindre que les sanc­ devez, a zlgoraz d'ar Ili a viz c houevrer.
tions de ces poursuites n ’atteignent pas Jori Berry a c’houlenne ho lakaat oll war
les vrais responsables, q u i rejetteront ar memes renk hag ar c’hemm-werzerien,
joute la responsabilité d u malheur, sur
0 konta e tleent gounit G dre 100 war ar
varc'hadourez gwerzet gant-ho : re e c houdes sous-ordres ?
lenne, ne c’helîe ket beza selaouet peun-da#
’» ¥
*
benn, hag ur Gampr a roaz zoken diskarg
da eul lodenn euz ar « c hoopératlves » a
M . F a lllè r e s , président de la Répu­
crouez brema didan ar « patente. »
blique, accompagné do M. Clémenceau,
Ar « coopératives » da gas er meaz, pe
1« rendra le 18 avril à Nice pour inau­
werza ed, trouez, etc., a eo lukeet a
gurer u n monument élevé à la mémoire da
gostez : paca a ranklnt hervez kemmdé Gambetta.
werzerlen ordinal.
I l partira ensuito pour Monaco, eu.
Euz ar ro ail, — euz ar « c hoopératlves »
dit-on, il se rencontrera avec le roi a bren da liBrl pe da implija enn tiegez pe
d’Italie et l’Empèreur d'Allemagne. Ce enn douarou — ar Gampr a reaz daou
serait une rencontre historique, m ai* tl
^Etogenta, ar re 0 deuz Btallou dUfor d’an
ho convient d ’accueillir cette nouvelle,
oll : na loa abeg ebed da roi diskarg d’ar
qu'aveo les plus expresses réserves.
seurt-ze, ba paea a dlelnt lvez evel kemm¥*¥
* werzerien ordinal ma z int, e gwirionei.
A ve*o diskarg avad, ar syndicajou labour
. L » général d ’A m a d e , à q u i fut gonflé
ha « coopératives » ne reont^nemed
ia mission d'achever les, dernières opé* douar
boda aoulennou an dud a zo enn-ho evit
►aMona au Maroc, est revenu en
—
lakaat digas d'ezho an traou 0 deuz ezomm,
— pe zoken pa ingalint être an dud-zo ar
gountdlger. a o'hellfent ober,, gant ma no
werzint nemed d'ezho, hag henken evit bo
H». IW V*
ezommou ho-unan hag ho famlll.
Îa d iu V d^Frâno«, “à Madrid, M. R w o il,
- l!l> i>î
II
••Vil 1. (>■
*■
. 1 tell '
oui i’a décoré au cours un banquet,
Enr poent ail brema.
oie (a proix d ’officier dn la Légion dvionEuz ar famlllou eo a gomzer.
d
Annonces diverses . . . .
Réclames, en 4« page . . . .
Dernière colonne de la 3° page.
h l’Agvuco KIuvun, iMaeo do la Bourse, 8, a I ans
L o s M a n u s c r it s n o n l,n9 Ô rÔ 8 n o « o n t p a o r e n d u s
dupaient.
La
SAMEDI.
PUBLICITÉ
ADMINISTRATION ET RÉDACTION
ABONNEMENTS
FInIst&ro, Côtos-du-Nord, M orbihan, (u n an)
Autres D ó p n rto m o n ts ...........................
—
C o lo nies et É tr a n g e r ...........................
—
LE
Na tenn eo beva d'ar re 0 deuz eun tiad
bugate e-skoaz d'ar re n'o deuz ket I Ha
goulskoude beteg-hen ne ioa kemm eb¿d
etre-z-ho e-kenver an taillou.
Eo goulsko'ide, abaoue 1890 e roer eun
tammik diskarg, war ar mobilier hebken,
d’an tadou ba mammou 0 deus seiz krouadur beo. Mas ma karit sonjal e rank eur
famiil kaout geül-vraioc’h fernt lia m’e deuz
muioe'h a vugale, ec’h anavezoe’h ez eo an
diakarg-ze nebeudlk a dra.
Ne ve ket Just kendclc’her er c’hiz-ze, an
oil hen anzao.
Pciti-a òber eta evit ar famillou 0 deuz
bugale re zister evit gounit ?
Aze avad e loa diez en em glévout, —
Beul-diesoc h zoken ma reaz ar Gampr ar
faot da lezel ar poent-ze beteg ar liu, evit
roi diskarg da eleiz a dud ha n’o doa ket
ezomm braz.
Setu eta gwall-nec’het al lodenn anezbi a
garfo kas da benn an diazez nevez, epad
ma c'hoaçz an deputeed a gaife he welout
0 choum a-istribill 0 hanter-hent.
Ma roer breman eun diskarg deread d’ar
famillou b deuz bugale, al lezeun no zavo
mui kement a daillou hag e ve ezomm.
Dlgarez muioe'h da voti eun diskarg
braz, a lavaraz adversourlen an diazez
nevez, evit kreski an toull, ha dre ze mlrout
ouz al lezenn da zont da vad !
Magniaude eo a ,ginnige an huela dis*
karg : 18 lur dre grouadur laouankoe’h eg*d
18 vloaz, ha kement-all evit an tadou lia
mammou oajet pe inlirm hag ezommek.
Ho c'houlenn eo a oe votet, diiun, enn
despet d’ar cTiouarijamant, dre 320 moutz
a-enep 204. Gwir eo e tiataolaz, araog ar
vot, he zièkarg da 10 iur dre grouadur. Ar
chouarnamant en doa kinniget da genta
9 lur dre grouadur, mes azaleg an eil
hebken, ha daou skoed dre grouadur
hebken, da ziveza.
ft
H4
Ilogen, antronoz dioc’hlu, ar vot-ze a oe
torret gaDt an dam vnla e^z an deputeed,
a ziB k o u e za z enr wech muioe’h ne ouezont
ket ato petra a reont, pe e klaskont
wulos’h plljout d'ar viuistred e karg eged
ober labour fur.
Ulmeurs eta, ar ministr Gaillaux a ziskleriaz n’o defe mui, goude an artikl
Magniaude, an dam vuia euz an aotrouned
e karg dldan ar c’houarnamant seurt taillou
ebed da baea, p’e gwir gant eur c’hrouadur
e vent diskarg a-grenn betek 3.500 lur pae
ar bloaz, — gant daou grouadur, betek
5.000 lur, — gant tri, betek 5.400 lur, —
gant pevar, betek 5 750,
Hag ouspenn, hag an dra-man a zo grevusoe'h, eme-z-han, 30 millioun ar bloaz a
vanlife. d’omp evit skoulma an daou benn,
pe e rankfemp gouleun muioe'h dre gant
iur digant an nebeudik a joumo didan al
lezenn.
i Ne blij ket gant ar c’hoiiarnm ant en
em garga da gas eun bevelep lezeou d’ar
8enat. Dre ze, ma tell d'hoe'h dele’ber an
artikl Magniaude, ni a lezo hor c’harg
gant re ail. »
Clemenceau a zavaz he vonez raktal da
laiarout ar memes tra; h ig awalc’h eoe
evit lakaat 135 euz an aotrouned faro —
ar G'hloarec a zo unan anezbo — da
Jench tu d'bo lisitenn, p’e gwir ne oe mui
kavet nemed 185 mouez a du gaut an
artikl e leae'h ma oc 291 enn he enep.
Setu eta ne vezo ket roet 10 lur diskarg
dre grouadur ; hag ar ministr a 10 kontant,
ken kontant ma teu da ginnik eiz real
muioe’h eged ne ginnige araok.
Hag ar Gampr a gemeraz, gant mali.
Dre ze, an artikl a oe votet evel-hen :
« An nep ne zavo ket dreist 12.000 lur gou
nidlgez ar bloaz euz he zanvez hag he
Ir.bour, hen-nez en devezo eun diskarg
taillou a 8 lur dre zen cnn he garg. Gouls­
koude ne vezo diskarg ebed evit ar c’henta
krouadur, hag c vete bet zoken kemeret
enn aluzenn.
, ,
» A zo da veza kontet evel tud e karg
eun ail, pa n’o deuz ket peadra ho-unan,
ha pa ’z int maget gant-ban :
» He dad hag he vamm, he dad-koz ha
mamm-goz, oajet pe inlirm ;
» He vugale pe bugale-vian, bag lvtz ar
vugale dilezet kemeret gant-han, pa n’o
deuz ket, an eil bag egile, 16 vloaz échu, pe
pa ’z int idirm . »
,
Ijskeotnp eur famlll a c’houech kroua
dur iaouauk : evit ar c henta, n’e devezo
diskarg ebed; evit peb-bici euz ar pemp
ail e devezo 8 lur diskarg, da lavarout eo
40 lur, — evit lodenn ar c'houarnamaut ato,
bezltsonj.
.
, .
An dra ze a blljo, a dra zur, da galz tud,
ba poent e ioa ober eun dra bennag evit ar
famillou karget a vugale.
G w a ô a ’z o , a r f a m illo u p a o u r a n o d e u z
c'bojï vad ebed da c'hedal euz an tu-ze.
Evit gwir, ne gouezint ket didan an diazez
nevez ; hag an nep n’eo ket sammet, ne
c heli ket beza dizammet.
III
Ama, ar Gampr a ra eul lamm hirr war
he c'biz, evit dont da glask an artikl b, e
doa lezetwar he lerch.
Bete vreua, n’e doa ket lavaret pege
ment d>e gant Iur e kemerfe diwar peb
aeurt gounidigez ; arc’houarnamant hebken
en doa diaklerlet pegement e kave d’eznan
e vile deread keiner. Deuet oa an heur evit
ar Gampr da lavarout ho ger war ar
poent-ze.
.
,
Hag e deuz merket e vezo da rol d ar
c’bouarnamant :
, ,, ,
,
4 dre 100 euz ferm on tiez goude diskonta
arbemped,
4 dre 100 ivez euz talvoudegez-ferm an
douar, goude diskonta ar bemped ato.
Dubuisson en doa goulennet diskenn
ama da 3 dre 100, 0 lavarout e vefe kresket
bo lodenn tallio» da eun drederenn euz
mtstrl an donar enn he vro, ha distaolet
da eun hanter hebken, ma kemerje ar
c’houarnamant 4 dre 100.
Ar ministr Gaillaux a respontaz d ezhan
ne die ket ar vistri a lavar e vczlnt sammet
labourat ho-unan ho douarou, anez dizam­
met eo e vefeut; ha dizammet e vcziut
c’hoaz zoken ma karont delc'her soc] e
vezo torret an taillou war an dorlou ha
prenestrou, hag ivez war ar mobilier. Ha
gant an diazez nevez, ar c'bouarnamant a
zavo diwar an douar E0 millioun ar bloaz
nebeutoe’h eged brema.
,
DubuiBso» n’eo ket den da glask dlsplijout d’ar vinistred, ha dre,ta ne bouezaz
Ket muioe’h war he c'houlenn.
Mes, Lieroy-Beaulléu a respontaz da Gail­
laux: ma roit .dlsk^rg da ninlennou gant
eun dourn, e kemerlt gfint an dourn ail.
Dre ze, an dam vuia euz mistri an douar
o deuz arc’haut war interest. Evit an
Interést-ze ne baeont netra brema, e leac h
ma vezo kemeret eul lodenn anezhan gant
an diazez novez,
,
„ t .:
A r perc’henn a labour he-unan hezouar,
eme adarre Gaillaux, en deuz diBk&rg evit
cul lodenn anezhan ; ha dre ze, ar perc'benn n'en deuz ket ezomm da labourat,
hen-nez hebken a baeo 4 dre 100. A r Beur.tza n ’ez euz rezoun ebed d’ho dlzamma hag
evit lavarout m ad, o kemer.enn ho Kont ar
goulenn dilezet gant Dubülsson, ne glask it nemed eun dra : treuza hon labour,
mtrnut ne zeulo bon lezenn da benn.
W ar gemect-se. 382 a-enep 140 a ziskleriaz e vezo 4 dre 100 da zevel diwar talvoudegez ferm an douar.
4 dre 100 c’hoaz euz an interest a zougo
an arc’hant prestet d’ar c’bouarnamant,
d’an hentehou-houarn, d'an amez«ien, etc.
Ha pevarzek real dre 100 euz gounidigez
ar c’hemm-werz hag ar staliou-labour, goude
diskonta ar pez a zo red da eur familï evit
beva deread.
*
4 4
Diwar gounidigez al labour, ar c’hovarnamanta c’houlenne 3 dre 100, goude dis­
konta ato kement a zo red da eur famlll
evit beva.
Re eo, a lavare Sircyjol, evit al labourerien douar, rak m’en cm gavint evel-se
muioe’h sammet eged labourerien kcar,
muioe’h eged an dua e karg dreist-oll, hep
konta m’o devezo c’boaz bo devezlou lient
ha da baea evit ho c’hezekha kirri. Lakeomp
evit-bo 1 dre 100 hebken bete g enr gouuidigez labour a vil skoed ; 2 dre 100 evit al
lonenn a vezo etre 3.001 ha 5 000 Iur. ha 3
dre 100 evit al Ioienn a vezo dreist 5.000 lur.
Ar ministr Caillaux a respont ez euz bet
merket dija diskarg braz d’al labourerien
douar, p’e gwir diwar trouez I10 labour n’o
devezo netra da baea pa ne labourint ket
douarou a ouspenn 2 000 lur talvoudegezferm, dek real hebken pa da'vezo an douar
a labouront 3.000 lur ferm, l a seitek lur ha
dek kwennek pa dalvezo 5 000 lur.
Itak-se, 207 hebken a-enep 323 a votaz
evit goulenn Slreyjol, dilezet gant-han ha
kinniget a nevez gact Lasies.
Villebols-Mareuil n’eo ket gwelloch
selaouet o klaskmerka 2 dre 100 hebken da
zevel diwar gounidigez labour al laboure­
rien douar.
Hag evit echui, 3 dre 100 a zo merket da
zevel diwar gounidigez labour an oll labou­
rerien, ken labourerien douar, mieherouriea ha tud e karg, — 0 roi diskarg evit al
lodenn a zo red da eur famiil evit beva enn
bonestiz.
★
4
4
Diziou, 4 euz ar miz, ez eus bet eur gwallgrogad etre ar vinistred hag eun darn de­
puteed, diwar-benn ar iuare da verka evit
sevel taillou ar c’bouarnamant hervez an
diazez nevez.
- He a c’houlenn, eme Mulac, ma ce
vezo heuillet al lezenn nevez nemed pa 0
pezo douget eun all da verka penaoz e vezo
savet taillou ar gommun hag an departamant ivez : an oil daillou d en em heul,
evit ma welimp sklearoo’h petra a reomp.
Hag cnn despet da Gaillaux, 2C3 députe
a-enep 257 a votaz evel ma lavare Mulac.
CORENTIN.
E broiou ar Zao-Heol
Afferiou ar zao-heol ne d-int ket ken
tenval enn deziou-ma ; n’eo ket ecbu gant,
ho evelato, ha peli amzer o’boaz, m’oarvade kendaic hint da roi nec’h ba tregas d’an
Europ.
Sonj 0 peuz e ioa bet menek gant ar rouanteleziou braz da zi3kleria didroidell d’an
Aotrich ha d ar Serbi bo c’hoant d’bo gwelout oc’h en em glevout erliu evit pellaat
peb riskl a vrezel.
,
Hogen, an AUmagna lavaraz ne felle ket
d’ezhi ober gourdrouzou d an Aotrich, bag
euz he zu, ar Rusi a lavara*. ne felle ket
d’ezhi displijout. d'ar Bulgari.
Goulskoude, war ali ar Frans ha BroZaoz, ar Rusi a asantaz lavarout eur ger vad
bennak da c’houarnamant ar Serbi, evit
diskouez d’ezban ne c’helle ket konta war
skoazell ar rouantelezlou all evit kreski he
zouarou ; hag an Allmagn a dleaz ober
kement all e-Kenver an Aotrich evit kaout
digant-bi eur bromesa vad benuak d’ar
Serbi, ma karje hou-ma roi he aotre d ar
pez a zo c’hoarvezet diwar-benn ar Bosni
hag Iierzegovin.
An or 0 veza bet digoret evel-se, kannaded ar Frans, liro-Zaoz bag an Itali er
Serbi 0 deuz aliet start, hep gourdrouzou
goulskoude, gouarnamant ar vro-ma da
zilezel he c’hoant da gaout eun dacbenn
zouar bennak cvel dipoli e-kenver an
Aotrich, e deuz kemeret ar bosni hag
Herzegovin.
Goude beza kemeret eun nebeud deveziou da ober he zonj, ar Serbi e deuz respontet ne c'hell ket kendelc her da c’ìioufenn eun daehenn zouar, pegen braz ezomm
bennag e defe anezhi, pa ne fell ket d ar
rouanteleziou all. Ilogeu, tìzians e deuz
e Iakaio ar rouantelezlou-ze roi d’ezbi eun
dlc’ùaou deread, pa vezint galvet da rol ho
aotre d’an taol e deuz greet an Aotrich ckenver ar Bosni hag Herzegovin.
Breman eta ema tro an Aotrich da
zlekouez bolont<*z vad ; ha ma ne ra ket,
ar rouanteleziou braz a ouio emichans ober
d’ezhi piega.
_
Gorentin.
^
F
e
c
h
o
u
Pere eo, a gav d’hoc’h, techou brasa hon
amzer?
.
Er renk kenta me a laka, gant ar c hoant
d’en em binvidikaat buan, ar c’hoant da
anaout peb tra ha dreist-oll traou dlzbonest
pe noazuz.
N'eo ket eun droug klask pinvidigez
gaut ma vezo dre hent eeun ha gant ar
c’hoant da ober imp'ij vad anezhi.
Ne gredan ket avad e ve kalz aked da
zevel ar galoun, ha da glask eun amzer
welloc’h evit an oll, etonez ar mlllierou ba
milliounou-ze a dud u bep oad hag a bep
stad a weler 0 redek warierc’h ar bill» j >u
« loterl. »
. , , ,
Rak, n’e ket d’in-me eo dont da lavarout
e klaskont rol dre eno skoazell d’an oberou
a dragarez eo harpet war-n-ho an darn vuia
euz al « loteriou. »
Lavaret am beuz araok hirio pegen
nebeud euz arc’hant al loteriou a gouez e
gwirionez e kef an oberou a drugarez-ze :
tremen a ra dre gement a zaouam ma vlje
souez ne Joumfe al lodenn vrasa enn hent.
Lavaret am beuz ivez pegen noazuz e
c’hell beza da dud a zo dont enn eun taol
euz a baour da binvidik ; ha ne bouezln ket
muloc’h war ar poentchou-ze birio.
*
4 4
Demp d’an tech all : ar c’hoant da c’houzout, da c’houzout dreist-oll traou dizhonest
ha noazuz.
.
.
En em ziskouez a reaz enn he wasa epad
ar prosez Remy, a zo bet barnet a nevez zo
e Paris.
Araok gelver an testou. ar barner-prezldant a zlskleriaz e vele lavaret marteze
meur a dra ha n’eo ket mad da bep skouara
klevout ; ha dre ze, eme-z-han, « an dud no
bill ket d’ezho an traou dizhonest en em
d*Bez’V io à eno fu.-t a hsp rehk h a i ltroucezed zoken ¿emmoBkct enn eur glcheun.
Ha ped anezho a heuillaz ali ar barnerprezìdant? — Hlnitbad-1
Hinl ebtd eta anezno n’en doa aoun da
glevout enz an traou-ze hag a dlevfe lakaat
eur c’hristen da ruiia gant ar vez ; oll marteze e oant eet d’al lez-varn abalamour ma
oulent e klevfent eno traou dizhonest ha
lubrik I
Mantruz eo evelato ?
E pe leac’h c’hoaz e weler pegen griziennet eo an tech-ze er c’balounou ?
Enn tbeatron.
Ne vezont morse ken Ieun ha pa zlbuner
enn-ho kenteliou mezuz ; ba n’e ket ar
botred ha merc’hed iaouanka eo a vez an
diveza o poulza war an or.
O poulza war an or a lavaran, rak ma
vez eur bobl tud bodet da c’houlenn digor
div heur pe ouspenn araog an heur merket,
be wech ma tleer gwelout ha klevout eur
pez fall bennak.
Pebes breinadurez I
A drugare Doue, tud diwar ar meaz,
C’boui ne vezit ket kals enn theatrou, ha
dkz e ve d boc’h mont. N’o pet ket a geuz,
brema dreist-oll pa zispleger peuz-stank
enn bo touez pezlou-c’hoari euz ho toare,
rak, dre glevout ha gwelout ar re a zaremprèd an theatrou, e c’hellan lavarout ne
wellaont den e leac’h ma kollont meur a
bini.
Hogen, epad ho amzer soudard, ho pugale
a c’hell beza centet da vont enn-ho : eun
ali bennak d’ezho war ar poent-ze, pa skrivit d’ezho.
*
* »
Gwelit c’boaz ar potr, ar plac’h-ze,
iaouank-flamm.daouzek, trizek vloaz, 0 vont
d'ho labour pe 0 tistrei anezhan, pie get ho
fenn 0 lenn eul levrik, livet brao ne c’bolo ;
ha gwelit petra eo al levrik-ze ? Nao gwech
war zek ne gavfac’h enn-han nemedTiistoriou louz ha kriz, ha ken beuzuz, ma kouesfe
digan-hoc’h ho tivreac’h 0 lavarout :
« Paour keaz krouadur, e pe leac’h eta
out-te bet savet ? »
E pe leac'h ? Ean eur famiil grlsten
marteze.
Mes kavet en deuz eur c’hamalad, eur
gamaladez, hag 0 doa tanveet an traou
brein-ze, hag 0 deus hen aliet da ober
evel-d-ho.
Ha neuze, an tad. ar vamm, a zo marteze
re laoslc war ho dever, enn ti zokee.
Dao"st ha u’o peuz biskoaz klevet kerent
0 fougeal g a n t ho bugale o lavarout e plij
gwelloe’h d’ezho l e n n e g e d c’boari?
Oh I lenn evit deski traou talvoudnz d’ar
c’horf pe d'an ene a zo eun dra vad ; mes
ar vugale a zo douget da lenn levriou mad
a zo al lodenn vían, an dibab htbken¿
Rak-se, diouallit, kerent, pa weloc'h ho re
o tilezel ar c’hoariou, — diouallit peseurt
levriou a gemeriut hag a gouezo etre ho
daouarn.
★
* *
Diouallit da zlgan hoc’h-unan levriou lia
marvaillou fall enn ho ti.
Ar seurt levriou-ze a zo marc’had-madkenan, abalamour, Biouaz, ma kavont ke­
ment a lenrerien bag a vez c'hoant. Ho
moula a c heller dre zo a vinieron enn eun
taol, hep distag, hag er c'biz-ïe ne goustont nemed priz ar paper na daou pe dri
gwennek labour ounpenu.
Setu eur merk kenta evit anaout al
levriou noazur, araok zoken bo digerì :
dilizians ouz al levriou marc’bad-mad.
Ha ped kwech n’o peuz-hu ket prenet
kazetennou divaio, nebeutoe’h evit ar gaze*
tenn be-unan eged evit eur tolenn baper
distag a ginniget gant-hi war ar marc’had ?
Eun imach bennag a oa war ar foienn-ze,
livet e ruz, glaz, ha me oar-me e ped liou.
Marteze zoken eun drafad folennou evel-se
eo a Ioa war ar marc’had : bag 0 peuz roet
ho kwennek, 0 lavarout ne oa ket ker.
Nan sur, ne oa ket ker. Ken marc’hadmad e oa zoken ma kavaz d’hoc’h e ioa
awalc’h evid-hoc’h 10 I eun taol lagad da
bep follenn.
Er gear avad, ar mevel, ar vatez, arpotr.
ar verc’h, 0 deuz sellet piz, peb-hlni ouz he
damm. Hag epad ma lenne unan enr rimadellad gevler a-enep ar Relijion er gazetenn, enn all a efe al loladou kenta euz
poezoun al luxur er follenn distag I
Hen-nez, ar c’henta ma kavo, a breno
eur follenn all par da houn-nez ; al leor a
zeulo da c’houde : ha setu penaoz e vezo
eur galoun vrein muioe’h I
E vez, tadou ba mammou, ha pennontiegez I
4 4
Ha ne zenit ket 'ta, evel m'o deuz greet
hiniennou, da c'houlenn digantarC’hourrif’r
komz birroc'h euz an torfelou skrijuz a
c’hoarvez ken aliez e pevar c’horn ar bed.
Lavarout a reomp diwar ho fouez keraent
a zo red, dreist-oll pa o’hoarvezont enn
departamant.
Petra 0 peuz ezomm da chouzout
muioc’h ? DaouBt ha c’boant 0 pefe da lenn,
diwar-benn peb-bini anezho, pajencou a
bez evel e kazetennou pemdeziek a zo ?
Ha goude, gwelloc’h e vefac’u ?
Tamm ebed I
Falloc'h ne lavaran ket, rak, evid-oun,
ar seurt kenteliou-ze, hag ar marvaillou
fall a gaver enn dri-c’hart euz ar c’bazetennou, eo gwasa skol en deuz an diaoui.
________ CORENTIN.
K Ë K E I E R
Ito iia n te lo z a r H o lla n d o c’hedal.'
— Wilheimin, rouanez ar Holland, a zo war
c'hed enz eur c’hrouadur ab?nn fin ar mtzma. He rouantelez a bez a ¡~eaìer perz ean
he levenez. hervez a lavaver d’otnp.
Dre ze, peb pastell pe kevreun anezhi a
ginnigo d ar prins, pe brin&ez hervez ma
vezo, eur prezant kaer bennak : unan eur
c’havel, eun all eur voetur vian, eun all
c'hoaz eul levrik da verka kement a c’hoarvezo gant ar prins. pe briuscz, epad he vugaleach, etc.
Ma vez enr prins. kanolîou ar Haye a r3io
101 tenu ; evit eur brinsez ne raint nemed
51. Hag evit ma c’hellint krozal raktal ma
vezo deuet ar c’hrouadur er bed, soudarded
lakeet penn-da-benn an hent etre ar palez
hag ar c’hanoliou, a gaso ar c’ueiou euz an
eil d’egile.
Greomp evel-d-ho brema : gortozomp I
Tad cored e ar m illlounerez. — An
itroun Hetty Grean eo ar blnvldika Amerlkanez a anavezor : 9 millioun ar bloaz e
c bell dispign heb touch ouz he dsnvez.
D’ar meurs 23 a viz c’houevrer, edeuz dìmezet he merc’h, oajet a 33 bloaz d'ar milliouner W ilks, an banter kosoc’h p’e gwir
en deuz 65 bloaz.
An dimezi a dlee beza greet e knz d’an
oll ; gwaea 'zo, potred ar c'hazetennoa a zl(inaz an dez ; hag eun nebeud anezho a dre*
menai an noz war delezlou ar plac'h nevez.
Da c'houlou-dez, setu-hl bag he mamm
ha diskenn, ba lamina raktal enn eur c’harr
skanv, galvet gant-ho. Hag enn hent neuze
d’an daon-lamm ruz evit lezel war ho lerc’h
potred ar c’hazetennou,
.
Hogen, ar re-man a gavax U rti all
kirri kigerlen o tremen. — hag bo heuillaz.
Kement a diz e ioa gant-ho zòken, ke­
ment e saillent, ma kreaaz an oll e redent
war1ère'h eul laer. Ha dre ma pellaent, an
dieu vllliounerez a glevaz hep dale 0 kr lai
« harz al’laer 1 » war no lerc’h.
Setu hint er gar erfin ; mes n'emaint ket
LE'COURRIER DU FINISTÈRE
tao-anu ; 500 den a zo enn-dro d'ezho. Ean
P r is de» p la ç a i j
agricole ; 1 o/o pour la fraction du revenu com­
ne bead eat potred ar c'hazetonnou a blgnaz
prise entre 30C0 et sooo francs ; 3 0/0 i partir de
Pensioni Rome
llitels
5 000 trancs.
token gant-no enn ho wagon ; ba ne oent
3*0. 2<o. l» o . 3*0. 2*0. l» o .
Pour l’adoption, 189 ; contre, 318,
lezet e peoc'h nemed goude m ’o doa dlsAU départ de noDQSB 186 228 J85 330 S80 837
Votèrent p o u r : MM. Cloarec, Dubulsson,
klertet e pe leac'b ba da bed heur e vtla
A
udé
part;d«N
»n
to
»
195
937
305
340
284
342
Oayraud,
de Mun et Vllllers.
reet an sored, e Morrlitowen, bro NewVotèrent o o n tr s : MU, llallég u en et L e Bail,
Co« prix oomprennont toutes 1m dépenses
er«ey.
S
’est
abstenu,
M . Blétry.
Epid ar pennad hent-ze.n’am befe ket prévues : ohemln de fer aller et retour, logement,
nourriture 6 Rome et an cours de rouie, voitures
bet avi out-no, enn deapet d’bo mllllounou.
ou omnibus à l’arrivée et uu départ dans les
Scrutin sur l ’amendement de M. de VlllebolsMareull demandant A fixer à 3 0/0 (au lieu de
P o e n t o Ion. — An Itroun Crlstln. oajet différentes villes ; voitures et guides pour la
a ouspen 80 vloaz, bag o chourn e I<rejus, visite de Rome ; entrées aux monuments, pour­ 3 o/o) le taux de l'im pôt sur le revenu des exploi­
tations agricoles.
e doa greet eur maro blan e bauter ar boires divers, eto.
Pour l ’adoption, las ; oontre, 35t.
.........................
^
zlznn dremenet.
Votèrent p o u r : MM. Oayraud, do Mun et V ll­
An oil zoken a gredaz e oa-bl maromad,
In d e m nité » aux fam illes p auv res llers.
bag an enterramant a os gourc'hemennet.
Volèrent c o n t r e : MM. Cloarec, Dubulsson,
a yant un Ills sous lois drapeaux
llalléguen et Le Dali.
Uogen, pa oe kroget enn-bt ovlt be
S'est abstenu, M. Blétry.
lakaat enn arched, an ltronn a zavaz enn
Voici un artlc’e qui contient des rensei­
be gouazez, o lavarout e doa seo’hed I
gnements pratiques 11 t Pressants sur les
Mes poent e loa d’ezbl dihun, ac’hanta ?
démarches a accomplir pour faire obtenir
iir e z c l e n n c a r , — Diezel a vezo gwedcB Indemnités aux familles pauvres ayant
lot enn ear enn banv kenta, bervez a luvn- un fils sous les drapeaux:
rer, — brezel blan, gwlr eo, elro soudarded
Tous los ans, un Conseil départemental,
ba martoloded an Itali.
composé comme II est dit plus loin, déslgno un
Euz an eli ta bag eglle, an ecebourlen a nombre
du
Scrutin du 14 Février 1909 28Scrutin
do consorlls du contingent Incorporé qui
fevrler1000
zavo enn ear gant nafonlou goest da ober ouvrent A leur famille 1e droit A une modeslo
hent ovel ma vezo c’hoant, bug ivea gant allocation Journalière da quinze sous, accordâo
nllerezed pronet dlgant au amerikan
avant l’inoorporatlon, d ata la proportion de 8 •/•
COMMUNES
' contingent nppolé sous les drapeaux,
w llbur Wright.
Après l'incorporation, ootte allocation peut
l ) ’ho «7 v lo a z . — D ’he 87 vloaz, ar également être accordéo, mais »oulement dans la
Parisian üascau a xo bot galvct, ovlt he proportion de 3 0/0 du mémo contingent, Il est
genta gweuh, dlrag ar varnorlen, ba kondono trèi
. tant pour los familles nécessi­
Canton d'Arzano
daonet rust: daou vlz prlzoun, mil lur
teuses de fnlro los démarches avant que le fils
soit sarll pour la régiment, si ollos veulent avoir
amand, ha daou vil lur dlgoll da vedlslned
le
plus
do
cbanoes
posslblo
pour
voir
aboutir
Parla.
Arzano...........
leurs demandes.
Uullllgomnrcli.
Petra ’ta en doa greot ? Parea tud klanv,
Q uand doluenl ôlro commoncdo» les démar­
Loouuolé.......
hep kaout ho desteulou a vedlsln, gant eul
ches et réunies les pièces A produire h l'appui
Rédéné...........
louzou-mad-kenan, emo-*-han, oiiz ar do la domando t — Dès la publication des ta­
chrln-boo pe cancer.
bleaux do roconsomont ot do façon A co quo les
Totaux ..
Pendant les vingt et quelques Tannées pour la plupart résolu« à chercher, dans un
durant lesquelles les destinées deVarron- but humanitaire, Aemp'oyer leurs soudeurs Remonte générale
du dépôt de Gulngamp
dlssement lurent confiées A M. de Keijégu, «usai longtemps que possible, ils ne noule parti de l’ordre et de la liberté se repo­ valent admettre que, dans l’intérêt dune
Le comité se réunira, pendant le mois de
sant sur le prestige d’un seul homme ne minorité des travailleurs qui vivent de l’in­ 5nar*,:,à H*u,vec, près de la gare, le Jeudi 11,
lit rien pour consolider ta situation. .
dustrie lardlnlère, l'existence même de A mldldO ; A Cbâteaunerf-du-Faou, sur là
i. i q?0lo ,on s'organiser et se préparer
cette industrie soit mise en danger par l’op- p ace, le vendredi 12, à 8 h. 30 ; A Morlalx,
£ , ! î uta ?„ Le nom de M- de Kerjégu ne posltlon de cette minorité à laisser employer place du Pouliet, le lundi 15, à huit heures •
Sa.iÎ?
, P®8 P°ur écarter toutes les com- dans les usines une machine qui constitue A Lesneven, champ de foire, le mardi 10 à
petltlons Impatientes de se produire ?
hu t heures ; à Saint Pol-de-Léon, placltre
un progrès Incontesté.
fi„«L c«etJ^es»Vt j Ut,,le monde subissait l’inConsidérant qu’ils De sauraient, du reste, Salnt-PIerre, le mercreol 17, à huit heures,
lluence de M. de Kerjégu.
et
A Guirgamp (au dépôt), les samedis 6, 13
laisser porter atteinte aux droits qu a tout
M. de Kerjégu était véritablement une industriel d’employer les machines qui lui et 20 mars, à neuf heures du matin.
puissance. Ses amis ont peut-être eu le conviennent et convaincus qu’eo sulvaotle
tort de croire que cette puissance était progrès, Ils servent les Intérêts oe l’im­
éternelle et comptèrent trop sur e lle , et mense majorité des travailleurs de la côte,
pas assez sur eux-mêmes.
Ils ont décidé que, si des difficultés prove­
Les radicaux, qui rongaient le frein en nant directement ou indirectement de l’em­
silence, s apprêtaient pour le lonr, cù M. de ploi des machines A fermer les boites leur
Kerjégu dlsparaisiant, la place serait ou­ étaient Buscitées pendam la saison pro­
On lit dans la Bretagne Hippique :
verte aux ambitions. La mort de celui dont chaine, lis se coûsidé eraient tous comme
O a nout aM8e de partout que dei abus fâcheux
ils supportaient mal l'autorité les trouva solidaires, qu’ils aient ou non adopté les êe produisent à l ’occaïlon des présentation»; de
armes de pied en cape, pour l’entrée en nouvelles machines, et se prêteraient alors chevaux à la remonte, «urtout dans les localités
liceou elles sont nombreuses. Un commerce honteux
aseiatance.
dts blliets qui serrent a établir le tour dVxamen
Comme du temps de M. de Kerjégu, on
Ce voou a été adopté par les propriétaires de» chevaux par la commission, s’eet établi dans
votait, non, pour des principes, mais pour de 101 usines Bur les 108 représentées au pi osque tous les endroits visites par les officier*
Congrès.
ou contre un homme, l’éducation électorale
acheteurs. D is détœ ivrés qui, eu cela ont vu le
de la circonscription fut, nous dlton à ce
Le vœu des fabricants de conserves moyen de gagner que'que argent sans grande fatl.
point négligée, que la grande majorité des demandant 1inscription du pays d’origine gue, arrivent à ee procurer pour quelques nous
électeurs ont encore de la politique uue sur les boîtes de conserves, vise surtout dans les mairies, des billets qu’I'scô lent ensuite,
concei)tion par trop simpliste.
les sardines algériennes qui, sur le marché ô prix a or, aux éleveurs moins bien placés qu'aux
Ils classent tous les candidats en deux européen, sous le nom de sardines fran­ pour retirer ces billets. Quelques éleveurs môme
îlm îî S6“ !??1 P.38 P °ur réclamer dix fols plu» de
catégories bien distinctes : d’un côté les çaises, concurrencent les sardines du lit­
billets qu Ils n ont d’animaux e présenter. Le jour
rouges, de l'autre les blancs. Est rouge,
toral français. On se rappelle que M. Fortin, de la présentation arrivé et chacun voulant avan*
c'est-à-dire républicain, le candidat gouver­ sénateur au Finls'ère, montra avec uue loger son tour, 11 se produit à la mairie et aux
nemental : est blanc, c’est-à-dire royaliste,
grande compétence l’urgent intérêt de ce totés même ou comité d achat, de» p-jusiées formldab.es, et des actes brutaux s’ensulvent.
le candidat de l'opposition. Avec une Da- vœu dont le rejet, par le Parlement, aurait
Dernièrement, un homme a été renversé, pléreille mentalité, "lès candidats gouverne­ une répercussion néfaste sur notre indus­
»u J 8
g fjriîer Je lit trois >emalnes. Co
trie sardlnièie.
mentaux ont beau Jeu à faire croire au
demandos ot los dostlors complet» parviennent
^°8 fmlœurs «^digues de gens c iv ile s qu’il
au préfot quinze jours nu moins avant
mnt la date
faux républicanisme de leurs concurrents
Mais, comme le dit le communiqué paru importe de
f*Ire
nipld^tuent
ceuser et nous n’béstCanton de Bannalec
Oxéo pour la réunion du Consoli départemental,
dont la défaite, par cette accusation, eat dans lea journaux, « la plus importante tons pas a les slff«»ler aux autorités qui ont qua­
2 i «m it do chnuuo annéo
lité
pour
les
réprimer.
Le
mou-le
tranquille Ihs
assurée
dans
un
pays
où
l’on
n’est
nulle­
question aont le congrès avait à s occuper
Lo Consoli dopiartemenlnl siégeant nu chel-lleu
Bannnleo . . . .
591
était celle de l’intridaction sur la côte aes é eveurs . en émeut et so fnilgue d'être m l, en
ment sectaire, mais où l’on déteste l’ancien
du département, est uniquement composé de
Kornével......
220 régime et ses ahus.
coupo réglée, laute d'organl.-allon, par des alir-e
machines A souder. »
18 A V R IL 1900
membres doits. Il comprend : 1* lo préfe't, prési­
Le Trévoux..
ll*is de bas étage.
148
Eu lia conntatons qu’en général, les can­
Nous avons entretenu nos lecteurs à
dant ¡3* lo trésorier-paveur général ; 8- lo dlrooMelgven........
333
Un do ces éievours nous écrit q .'U a dû se dotourdos contributions dlrootes ; 4° trois membres
didats progressistes tels que M. Béziers et différentes reprises du coi (lit qui menace pla c er trois fols pou r êo procurer un b liie t on v; <)
du Conseil générul, pris dans dos arrondissements
T otaux ..
même plus généralement la plupart des d'éolater sur nos côtrs entre fabricants d« de la présentation prochain e do Pl.'UQéveute:.
1.192
différents, ot un conseiller d'arroudlssomont dési­
conserves et ouvriers boîliers et nous
candidats de l'opposition, ont un pro.
ï . i a {■ftèjaleinent lait chanter nous d u II, <-t II
gné par lu Commlsslou départementale.
gramme p«r trop négatif.
croyoDs inutile de remettre sous les yeux a été obligé do payer 10 francs un seul blll<-t
Canton de Pont-Aven
Formalités ¡1 re m p lir pour l'obtention do r al­
Avec les frais qu# nécessite toujours l’envoi ;iu
Il
ne
suffit
pas
de
dire
que
l’on
était
jadis
de
nos
lecteurs
lts
réflexions
et
cnnriiéralocation Journalière. — Après la publication des
loin d un ou de plusieurs I II svaux et l’uléa dr la
coutre lo rachat de l'Ouest, que l’on eut tions qu’il nous inspirait.
tublcaux do locensoment, les familles qui ont A
Pont-Aven..,
il est facile de so faire uue Idée du prl- dLes propositions, dont parle le commu­ vente,
aujourd'hui contre 1’ mpOt sur le revenu,
JV H O M E
présenter un candidat au litre do soutien IndlsMoOlan..........
rev cot de la moindre présentation * la r> mon,.ponaabla adrersont au maire do la commune do
et puis encore, centre ceci ou cela, pour niqué, ont été faites par M. Ouizille au tynNévez............
inous taisant uu devoir do défendre 1.1 i* . miP
leeur domicile (pour Paris, au malro do l'arronNI zou............
d'eat des ferblantiers de Douarnenez,
être assuré de la victoire. L?s négations
rets des éleveurs, nous préconisons le m o y
Hloo..............
Par un acte solennel qui a remué profon­ dlssoment) uno demande accompagnée :
Eu toute bonne foi nous les croyions cl-dossous do réglementer le tour des chevaux ..
n'ont Jamais eu de vertu de conquête sur
1*
D'un
rcloud
des
contributions
payées
par
examiner par le comité de remonte :
dément loi Aines frar?alses, le Souverain
l'opinion.
avantageuses
pour
les
ouvriers
et
l'on
se
ot oortltlé par lo poroepteur ;
T o t a u x ..
SI ce moyen était reconnu bon, les mairies pour,
Pontife Pie X vlcn* do llxer au 18 avril 1909 la 3-famlllo
Seul un programme positif a quelques rappelle que nous émettions l’espoir d« raient
D'un étal (dont lo modèle existe dans toutes
ensuite l ’udopter.
la cérémonte do la Déutlllcatlon de Jeanne
chances de rallier les suffrages.
voir se realiser une entente entre f b iles mairies) établi ot certifié par le maire do la
Tablant sur uno présentation de 300 chevaux
Canton
de
Quimperle
d’Arc.
canta et ouvriers sur les bases indiquées
Que le candidat de l'opposition montra
commune et Indiquant le nombre et la position
par exemple, on obligerait les propriétaires a 1»<
C'est une magnifique occasion pour la
des membres do I» famlllo vivant sous le mémo
le danger de certains projeta qualifiéa de par M. Otizlile.
ranger une heure avant celle fixée pour ie com
Q ulm porlé...
toit ou séparémunt, ulusl quo los doux revonus ot
Franco de témoigner sa piété envers Celle
Peut-être, disions-nous, M. Oalzllle
réformes par le gouvernement, c’est-14 un
1.323
Oienceoient d«s opérations d’achat. Le maire oa
Baye..............
qui fut au xv» slôole lia Mbératrlcn et sa re­ rossourcos do chacun d ’eux.
serait-il écouté, s il pouvait affirmer qu’il
108
devoir ; m »ij il serait peut-Clre bon qu’il
son délégué, passant alors, distribuerait aux *1-,
(Los familles des ajournés de l'année précéClolmri*CirnoCt.
545
connaissance envers lo glorieux Pontiro
parle au nom de tous scs collègues inous- veurs, moyennant o fr. lo à o ir. 25 l'un, m ta n t de
indiquât,
lui
aussi,
son
plan
de
réformes
donto ot des oonscrlls ayant obtenu un sursis
hlollac.........
153
bille « qu il y aurait d'animaux rat;gés. Ces bi le s
qui lui donne co nouveau et si grand témoi­
car le peuple ne croit pas que tout est ttiels.
d ’Incorporallon, dovront égalomont présenter
Tréméven....
101 pour le mieux d*nî le meilleur des mondes
gnage de tendresse paternelle.
fl ne semble pas qu'il ait Jamais reçu ce numérotés de 1 à 500, seraient donnés dans t.n
lours demandos ou lea ronouvolor s'il y n lieu.)
a 3uei.00Pq??
droite i gauche ou de gauL’aflluence des pbleilns français sera
mandat d’une façon officielle et Bts démar­ cba A
et II n’a paa tout à fait tort.
Le maire est tenu do délivrer un récépissé des
T o t a u x ..
droite le lait n *y a j.t aMcune Importance.
3.190
énorme A Rome A cette date. Ne convientplècos produites (ne pas oublier d'oxlgor cette
Pourquoi faut-il que les partis de l’op­ chés paraissent avoir toujours gardé un
O a obtiendrait ainsi 10 séries de 20 billets chaplèco| et 11 soumot toutes los domnndes au Couil pas que Jeanne, l'enfant du peuple, ait
cuue.
position ue semblent admettre cette néces­ caractère personnel.
Canton de Scaër
our témoin de sa glorlllcatlou co pouple acll m unicipal,
Les industriels estiment-IIs qu’il soit
La prpml^re comprenant les numéros de 1 $ 30
sité qu’avec des réticences aussitôt exploi­
Doiuandos
ot
dossiers
complots
doivent
parve­
d uzlôme, coojprenant les numéros do 31
e France qu’elle a tant aimé !
tées contre eux, par les partis de la suren­ encore trop tard de tenter une démarche a La
Scaér............
oo.
nir au prélot qulnzo jours uu moins avant la date
Allons donc tu Home pour les fêtes do la
collective auprès des ouvrier» ?
chère démagogique 'i
Querrían.......
Ilxéo pour lu rounlon du Consoll dépnrtomenlal
Et ainsi de suite ju qu'A la dixième série q jl
UéatlllMtlon de Jeanne d’Arc I Allons ho­ qui peut provoquor dos enquêtes do la gondar.
Il
serait
à
tous
les
points
de
vue,
regret­
La timidité du programme social, une
Salnt-Thurlon
«•ralt formé« par Ks numéros d* 371 A 300
norer et prier la nouvelle protectrice do la
certaine peur des mots expliquent bien table que pour une quest'oa d'amourmorlo ot s'entourer do tous los renseignements
Dix numéros représentant les dix séries seraient
Frauce, A l'heure môme cù lo Pontife la néoossalrcs pour s'éclalror sur lu décision A
T o t a u x . . . 1.320
206
souvent les défaites successives et nom­ propre, on se refuse do part et d'autre à ensuite tirés su sort.
prend'o.
placera sur les autels.
breuses des candidats de l'ordre et de la dissiper les malentendus qui séparent et
Supposons que le n- 6 rolt tiré le premier, c’est
J lnslsto Ici sur doux points ossontlds. 81 l ’on
Jlécapilulalion. . 4.23(1 2.135 2.044
qui divisent.
Lo Comité de « La Trance à Rome » vous
alors la sixième sé'le qui pu ¡.or .It la premlé-e,
liberté.
G. L éon.
veut uvolr dos clnincos d'obtenir cotto molgro
offre, pour les diverses réglons de France,
De quoi demain sera-t-il fait si, dès les ecst-a-dlre les chevaux do v l*j proprlêtal ei
P. S, — Quelques Journaux se sont fait débuts
nlloontlon, Il laut pouvoir |usllller quo la famlllo
auraient reçu les billet» nuuie o és 1« 171 A 180.
une organisation de pèlerinage complète et est
du
conflit,
on
déclare
A
priori
que
« vraim ent Indlgonto ». Ce sont slmplomont
l’écbo d'un orult d’après lequel les châte­
M. Le Louédfe est élu par G 744 voix
SI le n* 9 sort second, les cheveu* aux blUeti
A bon marché «Un do permettre aux plus
toute entente est lmpossib e entre fabri­
los plus pauvros ontro les pauvres qui reçoivent
contre 5 947 à M. Pierre Bézlers, Bur lains et les sillonnistes auraient fait cam­ cants et ouvriers?
numéroté» de 2'*1 à 270 passeraieut après, et alu»!
(i. L.
humbles comme aux plus fortunés la joie
cotto Indemnité, uprès sérieux examen do leurs
de suite pour toutes les séries.
lii.875
lnfcrlts
et
12.815
votants.
pagne
pour
la
candidature
de
M.
Le
Louéd'assister A ces fêtes.
titres A cette favour.
Nous »von» tablé sur un» nomb-euse présen­
dec. Nous disons plus haut quelle fut l’atti­
Parfois dos Jounes gons m ’écrivent : • Je suts
Français, allons à Rome 1 puisque c’est
tation pour t»l<o mieux ressortir la po.-slbllité
tude de la famille de Brémond d'Ars. Cette
fils do vouve et, par conséquent, soutien do
la plus Illustre des Filles da Franco qui va
M. Le Louédec. candidat radical-socialiste
d an système qui serait certainement piua cooiattitude fut sans doute isolée «t nous
famille. Jo orols avoir droit A l'allooatlon que la
modo avec un plus petit nombre de chevaux.
être glorifiée I
Léon H a i u i e l .
est donc élu par 797 voix de majorité. Avant
aia o os à le croire, sévèrement b'&mée par
loi uccordo >. Coux-IA se trompent du tout au
Ceux non rangés «ne heure avant la présentatout
autre
commentaire,
qu’il
nous
soit
Voici les traini o-ganisés pour la Bre­
L
a
N
e
i
g
e
tout. Il y a des fumlllos nombreuses, dénuées de
les autres châtelains.
tlon
et dont las propriétaires n’auraient pas eu
permis de soullgnor, à propos de cette élec­
tagne :
ressources, qui priment, cela so devine, lu vouvo
Ecfin,
voici
une.
déclaration
qui
nous
est
de billets, passeraient ainsi les derniers.
tion, l’éclatante icjuBtlce du système actuel
dont lo fils ont parti pour lo régiment.
Itin é r a ir e :
Nous
no donnons pas co moyen comme lo seul
remise, avec prière d’insérer, par un sildo vote.
Autro question plus déllcnto : lo maire pout-!l
Le vendredi 20 février, dans la soirée, la bon, nous laissons au contraire aux m unicipali­
1" Train direct /blancj
lounlstfi autorisé, M. Fonlupt, avocat à
faire opposition A une domando d'indemnité A lui
5.947
électeurs,
en
votant
pour
M.
Béziers
tés, comme A tonte aulro Initiative, le soin d'en
Ausa
Brest. Elle est conli'mée par une lettre neige a commencé A tomber sur notre ré- trouver
remise par uno famille do sos administrés ? —
un meilleur.
ont signifié que le programme de M. Le
particulière de Quimperié, que nous rece- pion, couvrant le sol d’un tapis blanc dont
Mercredi l i avril. — D é p a r t de R a n n e a , le
Mille fols non 1 Je n’ignoro pas qu'on rencontre
Nous D înions qu’il serait fscllo A MM. les
Louédec n ’était pas le leur ; qu’ils réprou­
vi n< au moment de mettre sous presse, et répaissfur allait en augmentant, de la eOte maires des localités fréquentées par la remonte
«m tln. Arrlvéo à Paris..Voitures, dinar et loge­
trop souvent de oos tyranneaux do vlllago qnl
vaient la politique radicale-socialiste. et où nous 1sons que les « quelques jeunes vers l'intérieur des terres.
ment 4 l'hôtel.
*
terrorisent los pauvros gens ot mêlent l'oillouse
do sa réunir pour étudier un «projet qui, une fols
c est ce programme qu’on va leur imposer,
Jeudi 15 «urli, — Départ de Paris A 7 h. 40
politique A tous las notes administrât!!». Qu'Ils
Dimanche soir et durant une grande
gens q»i passent pour sillonnistes à Quimadopté par eux, pourrait être eoumts A MM. les
c
ost cette politique qu’ils vont subir.
m allo. Dejouner et dîner fourni on cours do routo.
sachent blou, oos Mossleurs (en attendant qu'une
partie de la nuit, le» flocons de neige repa­ préfets et faire l’obtet d ’un arrêté q ui serait
perlé ont travaille pour M. Béliers. »
Arrlvéo A Modano a H h. 1/3. Douane.
Cotte minorité ost cependant assez im­
loi oréo A leur endroit des Conseils d'appel des­
raissaient, et, comme la gelée avait p é- définitivement mis ep vigueur.
M on c iisn DmECTEun,
Vendredi Iti avril. — Petit déjounor A Qénos.
posante. pour qu’elle réclame le droit ft la
tinés A rodressor certains abus do pouvoir abso­
Louis A co ’hu i .
s rvé la neige de U foute, le tapis dout les
Déjeuner A Pise. Arrivée A Rome A 5 h. 50 soir.
C c st décidément une h ibltudo, dans uno cor- I
lument révoltants) qu'ils no sont, dans cos ques­
vie politique d\)ù l’exclut cette élection,
champs
étaient déjà recouverts depuis
17, 18, 15, ‘JO, 11 avril, — S é jo u r ta d o r n e .
talno prosao, da profiler de toutes los occasions
tions d'indomnltè do soutiens do famlllo, quo do
Et c est pourquoi, on ne saurait trop encou­
vendredi
aoir,
atteignait,
lundi
matin,
une
— mû ne les moins propices — pour essayer do
almples agonts do truusmlsslon, ot quo leurs avis
itKTOtm
rager et appuyer la campagne entreprise
hauteur inaccoutumée pour notre dépar
dlïciôdlter les Sillonnistes. Il y a quelques mol»,
ot ceux dos Consolls municipaux qu'ils présidant
C h ro n iq u e V é té rin a ire
Je u d i 91 «u rli. — Départ do Rome A 0 h. 30
par toute la France en faveur de la repré­ lors d3 l'elecllon de notre ami M. Fortin au Sénat,
tement.
doivent s'inspirer unlqueinout dos règles do la
m atin. Déjeuner chaud à Pise. Dîner chaud A
sentation
proportionnelle
contre
l’irjustica
n'écrlvalt-on
pas
quo
M.
Malssln
était
candidat
Juatlco, do la pillé ot do lu solno équité.
Mardi soir, et mercredi soir, une nouvelle
Gènes.
du système majoritaire.
du Sillon ! Aujourd'hui, dans le même camp,
Q uand uno famlllo pauvro estime q u ’elle ost
tourmente de neige s’abattait sur le pays
S to m a tite . — Toutes les affections in­
Vondredl 83
— Potlt déjeuner A Culoz.
nous entendons encore des raconlars du même
M. Le Louédec ira grossir au Parlement,
lésée dans ses droits par l’inlorvontlon m a lfai­
Ii faut remonter à l’hiver de 1895, pour flammatoires de la civité buccale sont des
Déjounor A Dijon. Arrlvéo A Paris A 5 heures aolr.
genre.
sante ou l'obstruotlon systématique du maire do
cette masse confuse de gouvernementaux
Voitures, dlnerjet logement A l'hôtel.
retrouver
une
température
aussi
basie
et
stomatites ; c’est-à-dirc si la suite d’une
M. Bizlors n élè battu. A Qulaiporlé, par lo
la communo, elle doit, sans hésiter, ou référer
qui se tlenuentautour du m litre, quîl qu’il
.samodi
«u rli, — Départ de Parla lo matin,
une tell -abondance de neige.
ii lljeuce individuelle comme le renouvel­
rndlo.nl Lo Louédec. Immédlnicment, ces mos­
au préfot, président du Conseil départemental de
Boit — hier Combes, aujourdliui C'.émenArrivée A Rennei dans l'après-mldl.
Dans les villes, la neige a occasionné
sleurs de l’opposlllon de déclarer : c’est la
rovlslon qui, dans la plupart des cas, pourra preslement des dents dune maladie générale
ceau — quêtant un regard d’amitié.
2' Train sm l'diw ot IJaune)
fuulo au S illon qui a marché pour M. Le Louôorlre uue euquéte Bupplémenlalro et faire rendre
quelques chutes avec fractures de bras ou
Infectieuse (la fièvre aphteuse, la gourme,
lis
sont
trop
1
s’écriait
il
y
a
quelques
dec.
Justlae A coux dont lu domaudo ot lo dossier n’au­
de jambrs.
la rage, etc.), ou à la faveur d’un trauma­
A u .n n
Jours le Radical, en parlant du nombre
La raison do cette affirmation est du resto trè)
ront pas été établis et préaeutéa avec toute l'ImDaus la région montagneuse de Cbâteau
tisme la muqueuse de la bouche s’er flamme
Morcrtdl H av ril. — D é p a r t t f e N a n t e a vers
slmp o. la voici : l’opposlllon sa fait battre,
grossissant de ceux qui jureut fidélité au
partlullté désirable.
lin
A Carnaix, les communicatioi s entre
7 heures matin pour Lyon par 'l'ours, Salnoalze.
et s’irrite, cette inflammation prend le nom
depuis quelquos années surtout, avec une consIl uo faut pas quo sous notro régime égalltalre,
pouvoir, parce qu’il est le pouvoir.
Déjeuner chaud au buitet de Bourges. Arrivée A
bourgs et vil âges sont très difficiles, car de stomatite. Cette aff ction est une ma­
lance qui ne surprend qu'elle ; elle persiste A d o
ou pulsso entenuru s'élovor, sinistre, le fameux
Hélas oui I ils sont trop et M. Lo Louédec
Lyon vera B heures soir. Dîner nu buffet. Départ
la coucne de neige y atteint une épaisseur ladie tiè* fréquente chez les animaux
pas
comprendre
que
la
faute
en
est
a
nés
propres
orl
auquol
ropoudent
on
écho
los
clumeurs
do
pour Marseille A U h. 50.
devra Jouer terriblement du coude, pour
de 30 à 40 centimètres.
adultes, plus rare chez ceux qui têt-nt
halno et los pleurs dos mèros ; « Malheur aux
idées, n son mnnquo de hardiesse soclile, A son
Je u d i 15 «u rli, — Arrivée A Marseille A0 h, 15.
happer au passage les bons morceaux rtont
C’eBt ainsi que de nombreux bouchers encore.
pauvros ! »
y
républicanisme mitigé et aussi aux excès doi
Messe du pèlerinage A Notro-I)ame do la darde.
Il a promis île regaler sus grands électeurs
clicvau-légers d'extrôme-drolto dont aux yeuxdei
Lo
pauvro
qui
donna
sos
fils
A
son
pays
palo
de
Brest
qui
s
etaient
rendus
à
Cbâieaulin
L’alimentation est la cause la plus o' ii
Potlt déjeuner. Déjounor troia A emporter. Dé— morceaux que Jette de Temps en temps
populations ello paraît solidaire ; au llou do voir
deux fols l'im pôt du sang. No l'oubliez pas, ô
au commencement de cette semaine P'<ur naire de cette maladie ; tes aliments .nir“
iart do Marseille A 10 h. 30. Voyage par Toulon,
tout cola, on trouva plus commode maintenant
le maître pour calmer les appétits voraces
vous qui détouoz lcl-bas une uuroollo, si mlnlmo
se
rendre
à
Brasparts
o»t
dû
rebrousser
a côte d ’Azur, Vlntlmlllo, Douauo. Arrlvéo A
grossiers,
sont une source fréquente d irri ­
d'accuser le Sillon.
«olt-ollo, do l’autorité souvoralno.
de hi’s amis intéressés.
Oéaea A 11 heures soir. Volturos et logomonts A
chemin. Les entants ont dû renoncer à f'.é- tation locale. Les liquides trop chauds ;e*
Eo l’espèce, l ’accusation est d'autant plus
Comment expliquer l’échec de la candi­
l'hôtel.
quenter l'école, pendant quelques jours.
acides, la chaux, l’ammoniaque, les plantes
étramro que l'importance du Sillon dans l’unondature de M. Béziers?
Vondrodl te «vrfl. — Matinée A Gènes. Mosse
A Chitteaulin les (ils télégraphiques et tlès aromatiques l o u dépouillées, a u mo
dlsaeineut do Qulmporlé est assez restreinte. Je
A l'Annonciation. Visite do Salnt-Ambrolio,
On connaît, notre attitude au cours de la suis d’ullloui'3 uu mesure d'alllrmer quo nos amis
téléphoniques se sor.t bfisés sous le poids
ment de la fermentation d'une partie d.-.
Balnt-Laurent, Snlnte-Catherlne de Gôoos, du
campagne, attitude que nous avions arrê­ n'ont fait aucune propagande en favsur do M Le de la neige, interrompant toute correspon­
leurs essences, les fourrages o o u v e a i.x q i
Campo-Santo. Déjounor. Départ A 3 h, 30. Dîner
tée Baus mot d’ordre île personne et usant
LouOdeo, et qu'outre deux candidats, dont aucun
dance entre Brest et Quimper.
n’ont
paa eocore fermeu'é, les produits
Chnud A Pino A 7 b, soir. Départ A 0 II,
de tjotre pleine indépendance — unis pour- no rOpond pleinement a nos idées, mais dont l’un
Dimanche soir, la tempête de neige cou
sam edi 17 aurll. — Arrivée A Homo A n houres
la fermentation alcoolique encore rrou
ost uo plus anticlérical, c’ost encore M. Bézlera
uol
ne
pas
le
dire
aujourd'hui,
notre
condu matlu.
poit les communica'io.'is té égrapbiques et
riches en alcool, et tontes les p/ai r.-s ren­
qui emportait lour préférence.
ance en l’étoile de M. Béziers ne fut
17, la, 19, 10, 'il auril. — S é jo u r A n o m e .
V o te s de n o s R e p ré s e n ta n ts jamais
téléphoniques dans l’arrondissement de fermant des principes excitants, peuvti,
J ’a|outo quo lorsquo j'upprls samedi,
aveugle. Avant lélection, nous velllo
R ktouu
Quimperle, ce qui empêchait, de connaître
du scrulln, lo bruit quo l’on faisait courir,
provoquer des moditications réflexes, tro i
pressentions déjà, les causes qui ren­ jo téléphonai mol-méine A l' Union Agrlcolo do
a B-eat, dès dimanche soir les résultats de bler la circulation locale, favoriser les in­
Je u d i 22 «urti. — Départ do Home A 0 h. 30
A L A C H A M M IE
draient la lutte particulièrement enaude et
Qulmporlé pour lui eu afilrmur lo mal-londé. Los
-matin. Déjeuner chaud A Pise. Diuor chaud A
l’electlon législative.
fections de la bouche.
même l'échec possible et ce sont ces causes renseignements quo J’ai reçus depuis lor» meperOénes.
A Q .imper, les 111s téléphoniques et télé
La stomatite généralisée est ordinaire­
I m p ô t N ur lo r o v e n u
que nous alions prendre la liberté de sou­ mettout A l'heure actuelle le démoull lo plus for­ grapniques ainsi que ceux appartenant à ment
V endredi 23 au rll. — Potlt dijeuner A Lyon.
bénigne et facile à découvrir en rai2*
.S'danco
d
u
24
février
1009
mel.
D épart A o h. Déjeuner ;A Bourges. Arrivée A
mettre à ceux qui nous font l'honneur de
la
Compagnie
d'éclairage
électrique,
pen­
sou de la difficulté de la préhension de«
Scrutin sur la socondo partlo du paragraphe 3
No faudrolt-11 pas, d'ailleurs, chercher l’orlglne
Nantos A 0 h,'soir.
nous lire et d'accorder quelque crédit à
daient
dimanche
soir
lamentablement.
La
aliments.
Si on ouvre la bouche au début de.
do l'artlelo 90 bis, oxoinptunt do l'im pôt los syn­
de co racontar dans un autre bruit colporté A
ü'adroiser pour lea Inscriptions A'M. Mnudult,
notre opinion.
compagnie d'électriciié alin d'éviter dus la maladie, l ipflamraation est caractérisée
dicats agricoles et los sociétés coopératives —
Brest par uno pétulante personnalité qui se v a n ­
0, ruo Verdelet, A Q ulm per.
Et
d’abord
la
situation
locale
de
M.
Le
« lorsque, no oomptnnt qu'uno seulo oatégorlo do
accidents, dut couper le courant.
tait de plusieurs entrevues avec M. Bfater», et
par la sécheres*« et la chaleur de la mu­
Louédec lui accordait un gros avantage slllrm ult quecelul-cl avait le succès assuré parc«
C a té g o rie « do| L o g e m o n t*
soolétalras ot no vondant qu'A cos soûls sociétaires
Pont-l’Abbé et Huelgoat qui sont éclairés queuse. Plus tard à une fétidité tiès pro­
sur son concurrent.
our lour usago personnel ou fam ilial, Us dlstrlqu'il »'Otait engagé A combattre le Sillon ? Seule­
A l’électricité pour la même raison ont été noncée due à la décomposition des alimenta
Kn ooura’ de'routo, les|pè!erlus sont logés dans
uent lours bonis nnnuols soit nuxdlts sociétaires,
Maire et conseiller général de Qulmperlé,
ment do pareils potins no nous semblaient pas
privé» de lumière pendant qjelques jours.
retenus entre les dents et les joues, se
los hôtels do choix.
soit A dos (uuvres d'ullllté soolalo. >
mériter los honneurs de la publicité ; le rédacteur
il disposait d'une certaine influence. Le
A Homo, nous avons deux oatégorlos :
A Morlaix les fils téléphoniques ont été joint une abondante salivation, quelquefois
Pour l'adoption, 4UI v o ix ; contra 34.
do la Liberté au contraire — sons doute son cor­
prestige
politique
qui
s’attache
dans
nos
1* ¿«'P ension. — Dans l'Inoertltude do pouvoir
cassés mercredi.
si intense qu’elle dissimule tous les autres
Votèrent p o u r : MM. Cloareo, Dubulsson, Gaybrestols — a cru bon de se faire
campagnes à ces titres est d’un gros poids lrespondant
occuper ’.les looaux do la Commission romuluo
Les rencontres de fils téléphoniques et symptômes, notamment lap.ésence d’une
raud, llalléguen, Lo Bail, do Muu ot Vllllors ;
’écho d'uno petite calomnie sur lo compte du
mis en ce moment par le;Souvoralu Pontile A lu
dans
une
lutte
électorale.
Vola o o n tr o : M. Blôtry.
Sillon,
télégraphiques, ont provoqué un léger quantité p us ou moins considérable d’ali­
disposition
snoslllon des sinistrés et
ot maladea
malades do Biella
Sicile et
ot
Connaissant les roueries de la politique,
Absout : M. Ilém on, ot lors des sorullns sui­
Cioyez, mon cher Directeur, A mea sentiments
incendie, rue d’AiguIüon et aussi dans la ments entre Us molaires et les JoueB
de
do la Calabre, lo comité a déoldé do remplacer
Il pouvait faire Jouer A coup sûr certaines lea meilleurs.
vants aussi.
.¿¿a
nuit,
des effets d incondescence, qui ont
Dans tous les cas, les stomatite» simples
lu Commission romaine et los logomeuis en ville
Séance d u 25 févrlor
Intrigues,
attiser
ici
ou
là,
telles
ou
telles
Jacques F o n l c m 1.
fait croire à beaucoup de gens des environs sont gécéralement bénignes et le traite­
par la pension A Romo.
Sorutlu
sur
la
prlso
on
considération
de
l’amonrivalités
locales,
en
un
mot
préparer
une
La pension A Rome oomprond : 1* le logement
le retour du météore récent.
ment est peu compliqué. Oa doit naturel­
domont de M. Desplas A l'artlclu 98, accordant nu
cuisine électorale dont s'accommodât une
dans dea pensions ou| des malsons?partloullèros
A Brest, pendant les soirées de mardi et lement commencer par extirper avec les
oontrlbuuble, pour chuquo personne A sa charge,
circonscription qu’il connaissait.
les p U i raoommandubles choisies par lo Comité ;
mercredi, les communications télépbonl- doigts ou des petites pinces les épines oa
un dégrèvement do : 10 fr. dans los communes de
S* 1« nourriture dans ces pensiona ; elle oompiend :
M. Béziers venait de Lorlent pour faire
ques ont été complètement Interrompues 1>s petits morceaux de bois qui sont très
8.000 habitants et au-dessous : 13 Ir. daus I js
nn potlt déjeuner le matlu et doux grands ropas
ses premiers pas dans la politique, dans un
avec
Rennes et Paris.
commuuos
do
3.001
h
ÎO.OCO
habitants
;
14
fr.
dans
souvent implantés dans la muqueuse ou
(1 potage, il plat) do viande dont uu uveo légu­
pays où, en somme, il était relativement
los communes de 10.001 A oo.ooo habituais ; de
Lescultlvatenrseux,sont]beureuxdecette
entre les dents. Ensuite on tftehera de d^sinmes, 1 dessert, oafé au. repus de m idi, ivln A
peu
connu.
Le
sixième
congrès
des
Fabricants
fran­
10
fr.
daue
los
communes
de
50.001
et
uu-dossus.
neige, qui va faire mourir les Insectes et fecter la bouche par des gargarismes tiè les
chaque repas),
Pour
l'adoption,
371
voix
;
conlro
158,
çais
de
conserves
de
sardlneB
B’est
réuni
A
M.
Le
Louédec
ne
manqua
pas
de
le
faire
l’êtes parasites qui avaient vécu depuis d eau boriquée ou simplement salée. Dans
Cette amélioration de traitement eulralue néces­
Votèrent p o u r ; los hults députés du l'Inlalère
Nantes, les 20 et 27 février.
traiter « d’étranger », lui qui était patronné
sairement une légère augmentation de prix dont
dété grâce A la température relativement ma clientèle, J’utilise avec succès les solu.
présents A lu séance.
Le Congrès a élu président : M. Arthur douée Jusque ces temps derniers. En outre tlons émolliente» ou légèrement astrin­
par tous les étrangers que compte notre
Il a été tenu:oompte'idans le tabloau ci-dessous.
Sd«noo du I " mars ¡909
3* Logement A ritòlti. — .Nos pèlerins sont
Benoît, de Nantes ; vice-présidents : MM.
pays — fonctionnaires, préfet, y compris
la terre avait soif et l'humidité dont l’im- gentes, l’eau d’orge, de riz, les solutions
assurés d'y. trouver to u ille confort désirable:
Sorutln eur l’amendement de M. Magnlaudé A
Ch. Coancerelle, de Douarnenez ; J. Teya- prègnera la fonte des neiges ne peut que alnnées ou vinaigrées légèrement édul­
cet Ineffable Bott, ce bon Français « mal­
petit déjeuner le m alia et deux grands repas ;
t’urilole 08, accordant A tout oontrlbuuble, dont
gré lnl ».
sonneau, de Bordeaux ; secrétaire : M.
favoriser la calture.
corées avec dn miel on de la mélasse.
voitures A l'arrivée et au départ. Lea hôtelier« de
lo revenu total ne dépasBO pas 15.000 Ir,, une
M. Béziers montra, dès le début de sa Pierre Lemy, de Paris.
Le traitement sera complété par une ali­
Rome noua ont lait aavolr qu’en prévlalon de
(omise d’im pôt de 10 Ir. pour chaque peraonne A
compagne,
qu'il
n'était
pas
l’homme
à
Be
Le
Congres
a
tout
d’abord
confirmé
les
l'allluenoea doa pèlerins pour lu Géatlfloatlon qol
an c h a r g é notnmmont pour chaque enfant Agé
mentation rationnelle, c’est-a-dire qu’il
plier à certaines besognes et dédaigna
vœux émis l’année dernière au sujet de l’é­
coïncidera aveo les fêtes de PAques, époque où
do moins da 1» ans.
faut surveiller les aliments, en supprimant
cette malpropre cuisine électorale où ex­ tiquetage des conserves algériennes et ten­
Pour l’ndoptlon, 820 voix : contre 304.
los touristes ~sont nombreux a Homo, Ils se
toutes les substances Irritantes et nourrir
voyaient dans la nécessité d'augmenter .les prix
Volèront p o u r : MM. Blôtry, Cloareo, Gayraud,
cellait son concurrent. On ne peut qua dant Ace que, conformément A la loi du 1"
les animaux avec des aliments mous, faciles
ordinairement appliqués . aux pèlerins. Nous
do Muu ot Vllllers ;
l’approuver, car la victoire obtenue au prix août 1905, qui punit quiconque aura tenté
A triturer, des barbotages farineux, des
Volèrent o o n tr « : MM. Dubulsson, Halléguon,
avons dû, en conséquence, relever légèrement
do certaines bassesnes est méprisable.
de tromper sur l’origine des marchandises
Société d'enconragement do Lesneven herbes vertes on des grains cuits.
Lo Dali.
les prix d'hôtel dans lu mesure Indiquée.
M. Le Louédec n’eut pas ces scrupules mises en vente, soient prohibées sur des
N o t a . — Pour atténuer la fatigue du pèlorlnago,
Séanco d u 5 mars
G.
Nous rappelons que le concours de pouli­
et,
malheureusement,
1
1
faut
bien
le
recon­
conserves
de
fabrication
extra-européenne,
nous éviterons de luire pasaer deux nuits oonséScrutin aur l’ensemblo do l’article 08, portant
naître, l e scrutin d’arrondissement trop
toutes indications propres A faire croire ches de deux et trois ans aura lieu, à Lesontlvoi on chemin do 1er.
les dispositions de l’umendemont de M. Magnlaudé,
souvent donne la victoire au candidat le qu'elles ont été fabriquées sur la partie eu­ neven, le mardi 18 mars, A midi et demi ; il
Pour rejoindre los Iralns rd(/lonaii* du Pélerilesquelles le ministère uvult posé la ques­
moins délicat sur le choix des moyens ropéenne du territofro de la République comprendra des primes d'encouragem»nt,
hnr/e, — L'Orléans icicordo 50 */• do réduotlou A contre
tion d» oodIIiiuoc.
l'nlior nt au retour uveo laoullé de p artii l’avantde reproduction et de conservation.
d’arriver.
Française. Il a, de plus, émis le vœu qu'une
Pour l'adoption, 185; contre, 301.
v e llo du départ du tralu t t de rentrer la lurlenM. Le Louédec qnl avait Injurié avant le disposition léglsla lve soit votée le plus
Votèrout p o u r : MM. Blétry, Gayraud, de Mun
1” cxTéaonm
demnlit d u retour de oe tratn, et l'O u e it, 40 •/•■
premier
tour
M.
Colllgnon,
réussit
cepen­
promptement
possible,
exigeant
sur
toutes
et Vllllors.
Pour Jouir de ces réduottona. lea Compagnies
Pouliches de S an». — Lo montant de» alloca­
Volèrent o o n tr e : MM. Cloarec, Dubulsson,
dant à lui arracher un désistement en sa les conserves l’indication, estampée en
Des règles particulière» aux baux à
doivent Atra prévenue« quinze Jour« A ravanoe
tions
A
distribuer
en
primes s'élève A la somma
llalléguen et Le Bail.
favour, un désistement qui n'était qu’une creux ou en relief, du nom du pays d'ori­ do 5 260 francs, savoir: fonds du gouvernement
ferice (suite). — Les articles 1769 a 1773
dea «tallona on dea «area de blfuroallon qui
tranison.
gine.
auront A délivrer oea billets. Passé ce délai,
de la République, 4 600 lranc» ; londs du départe­
au code civil sont dominés A régler les rap­
Scrutin aur l ’amendement de M. Dubulsson A
Il est vrai que lo gouvernement y a,
La seconde et la plus Importante question
auoune réduction ne pourra Atre exigée.
ment, 760 Iruncs. Total, 6 9(0 francs. Les alloca­
ports du propriétaire et du fermier en ce
l'article o, repris par M. Leroy-Boaulleu, et ten­
Ua questionnaire en double exemplaire est
parntt-il, mis le prix.
dont le cot grès avnlt A s’occuper était celle tions du concours compreudront désormais 3 sé­ qui concerne les dommages causés aux ré­
dant
A abaisser A 3 0/0 le taux de l'im pôt aur la
envoyé à tout pèlerin. Il doit être envoyé au
ries distinctes, réparties ainsi qu'il art Indiqué
M.
Le
Louédec
avait
aussi
gagné
à
sa
de
l’introduction
sur
la
côte
des
machines
coltes par les cas fortuits.
propriété non bfttle.
dlreoteur du train ou au correspondant.
cl-après :
A fermer les boites.
cause, non seulement M. de Brémond
Pour l'adoption, 140 ; contre, 883.
J'ai dit, peut-être même plusieurs fols, ce
Un Kurel de renseignement« «et envoyé comme
Primes d ’encouragement : 3 primes do 90 Ir.,
d'Ars
fils,
mais
ausni
son
père
le
marquis
II
a
tout
d’abord
été
unanimement
consVotèrent
p
o
u
r
:
MM.
Blétry,
Dubulsson,
que c’est qu’un cas fortuit. Il est toutefois
Aouusé de réoepllon a tout pèlerin, dès son Ins­
5 do SO fr., 7 de 70 fr., S do 00 Ir., 4 de 60 Ir, ;
M. de Rrémond d’Ais.
do Mun et Vllllers.
t- té qu'il était indispensable que les fa­ soit un total de 1.460 Ir.
bon do le rappeler. Un cas fortuit ou un Cu3
cription au pèlerinage.
Votèrent o o n tr e i MM. Cloareo, Oayraud,
« Le succèB du candidat radlcal-socla- briques bretonnes et vendéennes alerî,
Oh«que pèlerin recevra an temps utlla un
Primes de reproduction : 1 primo do 200 fr.,
de force majeure est une circonstance qoi
llalléguen ot Le Uull.
barnet portant la désignation du train, le numéro
Ilste, nous écrit un (correspondant, est dil,
dans un avenir rapproché, un outillage ( de 160 Ir., 7 do 100 Ir.. soit nn total de 1.050 fr.
ne depend pas de la volonté des pan les con­
d'iniorlpllon du titulaire, «on nom, son domicile
Prime»
do
conservation
:
4
primes
de
460
Ir.
eu
partie
A
la
pression
éhontée
que,
toute
pour
la
fermeture
des
boîtes
aunsi
perfec­
tractantes, qui se produit sans qu'il y *it de
Séanct du 3 mari
1 de 360 fr. ; soit wn total do 2.160 fr.
•t la dlooAse auquel II appartient. .
la
famille
de
M.
de
Bi
émond
d’Ars
a
exercée
tionné
que
celui
des
fabriques
du
Sud-Ouest
leur faute. Exemple : la foudre.
Scrutin sur l'amoudemoat de M. Cosnard A l'ar­
_______ 0
. ...
üulde dwMlerln A flóm «.; broohé,
fr, 76;
en sa faveur dans leu communes de Itlec et de la France, de l’Espague et du Portugal,
ticle a, tendent A abalasor do 3,60 A 8 o/o le taux
Qa’arrlvera-t-ii donc si les récoltes sont
2* CATÉoonis
reÜA, i frane. Le demander au dlUreoieur du train,
de
Moélan,
où
elle
est
encore
très
In­
bous peine de ne pouvoir soutenir la con­
de
l'im
pôt
pour
lea
commerçants
dont
te
revenu
détruites
en tout ou en partie par un cas
peuv«nt être
On n’adtcüt que ea bagage^ qui
t
Pouliches d * S ans, nées en 1901 el n ’ayanl
fluente. »
annuel ne déposée pua 10 ooo Ir.
currence et cela au grand détriment, non Jamais été saillies (¡ló primesl. — Primes de fortuit t yui supportera la perte ? S*ra-cc
tenue A la main.
~
■
Pour
l'adoption,
184
;
oontro,
344.
Les conservateurs et les cutbollques do soulement des fabricants, mats aussi des conservation : 1 primo do 160 fr., 2 de 120 Ir.. 2 le piopriétatre t Sera-ce le fermier? Ou
Odiai d'Inicrlptlon. — Le dernler délal eat
Votèrent p o u r : t>.M. Blétry, Uuyraud, de Mun
qui M. le marquis de Brémond d’Ars tient pêcheurs et de la majorité du personnel de 100 Ir., 2 do 90 fr„ 2 de 80 lr., 2 de 70 Ir.,
ftgonreuaement flxé A 1K Joura avant le dépait du
bien devront-ils supporter chacun une par­
ei Vllllors.
traili. Paaid oa délal, aucuue udhéslou ue aera
a do oo fr., 2 do 65 fr., 2 do 80 fr., 3 de 46 lr.f
aon
mandat de conseiller général, n’appren­ ouvilei1de la côte. ~
tie de ce dommage ?
Votèrent c o n t r a : MM. Cloareo, Dubulsson,
acceptée. On a la faoulté de ne versar lea tonila
2 de 40 fr., 2 de 35 fr., 2 de 30 fr., soit uu total
dront
pas.
sans
une
flouioureuso
surprise,
Après
avôir
reconnu
que
les
propositions
C’est la question dont traitent les articles
Halléguon, Lo Hall.
uuo duus lea dernlera Joura qui précèdant le
des
fonds
du
département
de
1.700
francs.
sa condulto au couru de lai campagne
campai
élec- autsi avantageuses pour les ouvriers sou­
1769 A 1771 du code civil. Mais ces articles
Los
mombros
de
la
Société
do
L'sueven
sont
toraie.
deurs qu'onéreuses pour leB patrons, faites prévenus q u ’il y aura lo 10 mars, A 10 b. .10 du
ne sont applicables quo &il n'y a eu aucune
^ o A i ' ^ ' n o n départ tool pèleilu aera" rem- : ‘ Sorutln aur l'amendement Hlroy|ol, roprla par
Maïs co'ne soiit point là les seules causes par uu fabricant, ont reçu du syndicat matin, réunion générale pour la nomination d'un
M; Lasle«? tendant A fixer oomiuo suit le tuux de
stipulation epéciale entre les parties.
boarsé Intégralement ae» landa veral«, déduotlon
lln
tp
ô
l
aur
le
revenu.dea
oxploltutlona
agricole»
:
ouvrier
l’accueil
le
plus
décourageant,
les
de
l'échec
de
M.
Béziers
;
U
en
est
d’autres,
M ie de 5 frane« pour l«e lrata du «
président, en remplacement de M. de Kerjégu,
Cette stipulation peut avoir lieu. L’ar­
i « / o jm q u ’A 8000 fronça de revenu du travail
fabricants ont été d’avis que, tout en étant décédé.
i
AntUt avant le diparl da tralu.
M o tro »Vis.
ticle 1772 nous ie dit nettement : « Le pre-
Î
Projet d’une organisation concernant
les présentations de chevaux à la remonte
Béatification de Jeanne d’Arc
Pèlerinage de la France
S
f
CHRONIQUE LOCALE
a
E
A G R IC U LTU R E
CAUSERIE JURIDIQUE
if^,
? J W f ^ t -
LE COURRIER DU FINISTERE
neur (fermier) peat Atre chargé dei caí tor*
toits par une stipulation expresse. » Remar«
niier le mot txprm * employé par la loi.
li faudra, nour que le fermier soit chargé
des cas fortuits, que le oontrat l’indique en
termes très clairs. D e l présomption« ne
pourraient remplacer cette stipulation
expresse.
Supposons cette stipulation faite : le fer­
mier u clairement consenti à être chargé
dis ois fortuits, comment cette stipulation
doit-elle être entendue? L'aitiole 1773 du
code civil nous l'indique : • Q-tte stipula­
tion ne s’entend que des osa fortuit* ordi­
naires, te'« que grêle, feu du ciel, gelée ou
coulure. Elle ne B’ontond paR des cas for­
tuits extraordinaire, tels que les ravages
de la guerre, 01 une inondation, auxquels
le pays n’est pas ordinairement sujet, à
moins que l i preneur n’ait été chargé de
tous les cas fortuite prévue ou Imprévus. »
S’il se produit donc un cas fortuit qui
détruit la rôcolto en tour, ou en partie, on
dovni, pour savoir qui doit supporter cette
porte, s’en trnir aux termes du bail et aux
explications de l’article 1773. 81 lo bail est
muet Hur ce polDt le droit commun repren­
dra son cours. Il est contenu dans los
articles du code civil dé]A Indiqués et que
nous examinerons prochainement.
J. D.
daa. Véneo avoua la matérialité dea faits, mal»,
d'apréa lui, on n’aat arrivé A obtenir oea marehéa
de oomplalaanoa qu'en la faliant boira outra me­
suré. L'argent louohé par lui fat veriô S H. de
KérouarU, mal* la dlITarenoe antre la valeur réelle
dea arbres abattua et lea aommea payées était
telle que le propriétaire, »a trouvant léaé dépota
une plulnte au parquot de Dreat. Ce dernier olaiaa
l'alTalre mole lut obligé uéanmolaa de poaraulvre
devant une demande du prooureur général de
llonnos. M* Dodot plaldo l'incompétence du tribu­
nal, en demandant de vouloir bien oonaldérer que
ton allant a alroploment mal géré la propriété
ooodao A aa gardo et que c'eat le tribunal civil
aeul qui aura A connoltro la oonteatatlon qui exlate
entra lo propriétaire ot Bon larmier, ce dernier
n’ayant ou aucuno Intention déllotueule et n’ayant
tlro aucun proOt peraounel de cette opération qui
peut élre déiaetreaae uu point do vue financier,
mata qui n'a paa de caruotère malhonnête. Le
trlbunul mit l'alTalre en d< libéré.
Lo C onqact
L e aorvloe Oonquot-OueBsant. — Les réolumnlliina ot doléunco» lépétée» dea habitant»
do M o'ùio et d’Ouessnnt, sur l’Inaufllaance du
bnlonu postal, aemblout avoir enfin aecoué la
torpeur administrative.
Jeudi, uno commission n'ont réunie A bord do
la Louise. Souhaitons quo cotte Inspection aboutlsto nu loiuplocemont de oo »o bo tpar un bateau
approprié uu dur aorvlco qu'il »ora appelé A
remplir.
A la mémoire don Morts
Déoouverto d'ossements. — A la Un
de lu semaine dernière, lo parquet de Brest
ét >lt nvl«é par la gendarmerie du Conquet
quiî ries ojvtlers terrassiers, en creusant le
Bol pour construire une malson, A proximité
de la grève do Perzel, avalent découvert un
cadavre A l'état de squelette, qui paraissait
être enfoui en terre depuis un certain temps.
Une erqufite fut ouverte pour savoir si ce
cadavre n'était pas colui de la victime d'un
La section brestoiae do la Croix Rouge a
hit cciébrer mcroieul matin, a l’église
SMnt-liouls, un service solennel pour les
w.)i lats et mirlos morts pour la Patrie, Lo
préfet maritime slce-amlrul Uouô de Lapeyri're assistait a la cérémonie, ainsi qu- les
contre-amiraux Motet et Aubert, le com­
muniant Olllvlor-Henry, représentant le
général doTrentlnlan, t t les chefs de Berv'c-' des années do terre et de mer.
Ur d'aptes l'enquéte de gendarmerie qui
fut aussitôt ouverte, Il résulte que ces osse­
ments humains proviennent d'une époque
très éloignée, ot qu'A l’endroit où cette dé­
couverte a eu llou, Il existe un certain
nombre de plerics plates formant une es­
pèce de tombeau qui h Useraient supposer
qu'autrefois 11 existait dans cet endroit une
sépulture dout il serait ücut-ûtre intéressant
d<? rechercher l'origine.
Arrondissement de Brest
BREST
I,es P r é v o y a n t s d e l ’A v e n l r
l.e s membres de la section bres'oise des
Prévoyant» de l’Avenir, se sont réunis
dlumuuhe dernier, et ont décidé A la
¡u oaqu’unanimité, la réunion d’un Congrès
National des Prévoyant».
Avec raison, la section a dé.'ldé d entrer
en hostilité contro l’autoritarisme et l'omnl*
potensu sans bornes du comité central.
MuK«lez vos chiens
M. le senateur-mnlre de Brest, A la suite
constatés à Lambétellec, a
pris \iu arrêté ordonnant de tenir les chiens
muselés ou en laisso pendant deux mois.
de cas dt; r a g e ,
Trouvés morte sur la route
Lundi matin, à 7 h. 1/2, on a trouvé dans
le chemin rural menant uu cimetière de
llecouvrance à Paraganot, le cadavre de
la femme Angelina Le Goff, Agée de 3a an»,
dame divorcéo, demeurant à Brest-Rocouvrance, ruo do la Fontaine 50. Cette femme
qui la veille au soir, était Ivre, n’était laissé
tomber sur la route où la mort l'a surprise.
La mort est due A une congestion cérébrale
occtslonnéo par le froid.
Le trésor do l a m en diante
Depuis plusieurs aunées une dame Salaûn, née Crozon, habitait une misérable
chambre — un taudis pour ainsi dire —
au numéro 18 de la rue Suffren. Cette
femme ftgéo de 8(1 ans, vivait de charité ;
depuis uu an elle n’était pas sortie, mats
quelques voisines compatissantes en raison
de a o u grand Age et do sa pauvreté subve­
naient a ses besoins les pluB pressants. Sa­
medi soir, prise d’une congestion, ello ext)|pa
Mais quoi ne fat pas l’étonnement des
voisine» <ie trouver dans un vieux meuble
une liasse do billets de banque et un tas
d'or assez respectable. 11 y avait au moins
uue dizaine do mille francs en argent
liquide 0 j no connaissait pas de parents A
ccite pauvre femme, mala 11 est probable
que devant la trouvaille qui vient dûtro
faite, lia ne tar.iorout pas a Be faire con­
___________
naître.
D ooulus
U n o o lo n a rrû té . — l a gendarmorlu do
Daoulas a mis en état d ur restatlon pour va­
gabondage et conduit a u parquet do Brest
un Jeune homme de 15 t n s . ltené Tanguy,
originaire de Salnt-Ilenan. luteriogé par le
luire d'instruction, le Jeune hommo a recon­
nu qu'il s était évadé depuis six mois d une
malson do correction où 11 avait été envoyé
jisq u ’A sa majorité, et que depuis son éva­
sion, U parcourait tous le s coins du pays.
L anderneau
L 'a f f a i r e do l ’a b b é J o u a n n a . — Lo (uro
d1i,Mruulkm cio Brest >IoqI do reudro uno ordon­
nance reuvoyaut, dovnut lo tribunal oorractlunuol
M. l'abbé Jouanno, «uu» l'Inoulpatlon d ’avoir outniKô lu iirériiiuat de la République, lo gardo dos
»rmiux, le» luallluteuru publica, M. Belbommot,
W. l’abbé Jouanno aora défandu par nolro ninl
M* Fltnou, du barronu do liroat.
L^n oournos do L a M a rty re . — La So­
ciété de» courses do lia Martyre, on sa réu­
nion du 27 février, a Uxé lo Jour des courses
au dlinancQe 4 Juillet prochain.
E a u c o n t a m in é e , — La maire de la ville de
i .m i.rnaau Informe «ou conoltojon* quo lo co­
mité il'liygiéu» vl»nl do déoliror oonlam lnéo do
uitcrtib'n datiK»rnux pour I» aanté publique loa
cuux do la loulalno itmiolftü a Fontnlue Goz ». h n
couiéjuenon, 11 laa iuvlle a ne »’en aorvlr n|
dam ne bol>«on, ni pour la culiaon dea alliuonls,
Lannllls
P r o p r i é t é la o o a g é e . — Uno affaire, au l a
lait btuuooup causer, â Lanullla, a été ovoquoo la
»amaina dernière devant le trlbuual correctlonnol
11 M ^d V lie rh o u a rli, qui habite actuellement Parla
. i l . Al rLannllls
__ MI- una
flnnt
posséda
uue tré» k«lla
belle nrnnrlAtA
propriété dont
il avait Institué gardien un de taa fermiers, Jean
Vénoo, Agé do 4« aua.
. . .
,
, ,
U . de K érouurlt, qui ne vient guère qu'une loi»
par un dana »on domlotlo, reoul le SO novorabro
dernier uqo lettre anonyme dana laquello on le
prévenait que son gardo avait laisse abattre un
certain nombro d’urbroi «éoulalre« qui furont
vendu» A vil prix A dea marcliund» da bol» du pain.
Lé Drop tétatro Ut nuenltât le voyage de Lannllla
et constat* qu'en effet une soixantaine d’arbrea,
parm i 1m ploa beaux, avalent été abattua et von-
vieux crime.
Lo Relccq-licrhnon
Marché hebdomadaire. — Le l ,r mar­
ché bebdomadalre se tiendra au bourg du
itelocq-Kerhuon le Jeudi, 18 mars 1909, A
partir du 9 heures du matin, pour conti­
nuer ensuite tous les jeudis.
Aucun droit do place ne sera perçu pour
les produits agricoles : beurre, volaille,
légumes, etc., qui seront exposés audit
marché.
Pcncrun
V o lo u r » d o o r ln . — Ce» Jours dernier» on
»'aperoevalt, A Penornu, quo beaucoup do che­
vaux avalent été dépouille» dan» la nuit do leur
orlulère ot do leur queuo. Suivant lo» traces dee
pas, Imprimée» sur I» neige, lo» oultlvateur»
lurent conduit» A Landornoau, chez un marchand
(te orln qui ausallât leur donna lea noms de deux
peraonnos, qui venaient do lui vendra dea queue»
ot dea crinières. Ces Individus, qui étalent le»
voleur» do orln, Jonu-François Lastennet, 28 ans,
orlglnulro do Dluéault ol Mario Rlou, 45 ans,
sont maintenant A la prlaon de Rrost.
P oiildulm ôzenu
N é o r o lo g lo . — M. Paulin llugot, ancien
percepteur, est décédé presque subitement
mardi A l’Ape de 80 ans.
M llugot, retraité depuis 1888, avait étA
po’ C'pteur do Ploudalmézeau pendant 17
ans ; 11 exerçait toujours ses fonctions avec
une g'ttnde bienveillance vls-A-vls des con­
tribuables pauvrcB.
Le port de P o rts a l. — Le projet de
quai A construire A Portsal vient d'être ap­
prouvé au ministère des travaux publics;
l'adjudication et l’exécution des travaux
semblent donc ne pas devoir tarder désor­
mais.
Saint-Marc
Muselez vos ohlens. — M. le maire de
Saint-Marc vient de prendre un arrûté or­
donnant do tenir les chiens muselés ou en
laisse, Jusqu'au 23 avril.
Sulnt-Plorro-Qollblf?non
T ram w ay contre voiture. — Au croi­
sement du Panier-Fleuri, le vendredi, 2i
fé v rie r, un tramway se rendant au Conquet,
a tamponné la voiture de Mme Chuiton, cul­
tivatrice au Conquet ; Mme Chvilton, pro­
jetée sous la voiture, u eu l'épaule luxée.
Arrondîssement de Châteaulin
CH AT K AU LIH
H o oléto d ’ n g r l o u lt u r o
Une assemblée générulo des membroa do la
aoelété d'agriculture do l’urrondlssomont de ChAlenulin a eu lieu dlmancho après-midi, A 3 heures,
A la mnlrte, »ou» la prô>l>lonco do M. Oassls. sé­
nateur. Los comptos do l'oxorclco 1909 présonté»
par lo trésorlor out été approuvé». Ils se présen­
tent ainsi : recottos, solde on caisse, 3.193 fr. '.0,
recettes do l’annéo a.030 fr. «5. Total, G .m fr. 41.
Dépousos.a 761 fr. B5; rollquaten oalsse,3 3721.8G.
L ’assouibléo décide qu’un concours pour la bjn no
lonuo dos formes ol amélioration foncière aura
llou cotlo année, dans le canton (lo C.héteaulln.
UiiéKOiume do fiOOfrancs sera distribuée on prlmos
ot m idaliior. Uno comuilsslun compoaeo do MM.
Charles (.loas, Louis Dolaporto, Ilorvé Kerboa»,
Laurent Avnn, Laurent L ’iuooutln, Jofln-Plerro
Coutur, Yves Mathurln. Oulllauine Avan, est
chargée (lo lu vlslto de» /orme» ot de l ’attribution
dos prlmos et médailles.
Non-ltou
M. L « Mour, Jugo d'instruction, vient de rendre
une ordonnance ue non-lieu en faveur de Xavlor
Cnumotte et do la femmo Magdalou, Inculpés do
tentative d'o:oroquorlo ot complicité au préjudice
do la Compagnie des chemlua do 1er d'Orléana.
C hfttonunenf-dn-Fnou
F o ir e r e m ls o . — La foire du 3 mars qui,
chaque aonee, est très suivlo, s'aunonçoit
oncoro bonne, beaucoup de marchands,
principalement de chevaux s’y étaient pré­
sentés. Mais empêchés par une neige très
épaisse, les cultivateurs n’ont pu amener
louis bêtes.
Cotte foire est remise A mercredi prochain
10 mars courant.
C ro zo n
A ux B le u s d e B r e t a g n e . — La semaine
dernlèro s'tst réunie, A Paris, l’assemblée
géoéralo des Bleus de Bretagne, qui a pro
cédé A la réélection do son bureau.
Le comité sortant a été réélu.
Gortoz e reont hog ho son] evel am enz la­
131 Feuilleton dn q o u rrle r d u F in is tè re
varci allez a zo d’non paka asamblez. Tero’hel n’eo keteaz, her gouzout e ran, mez
koulskoude n’hellomp kct t lier gwelloc’b. »
— « l)ah i a lavaraz Herrl evel eun den
dlbreder, bah I nie am euz er c'halatrez eun
f i e a v i s o’h o u w e r 1794 pe a n 88
toull mad d’am c’huza. N’am euz tamm
eoa m ia a r ( la o )
aoun ebed. »
— « N’eut fort potra a zo gwlr, eme
— • Penaoz eta, fmezhan d’ar vatez, n’a- Laou, n'hellomp ket sonjal terc'hel, penaoz
navei it moi «c’hanoun, dimaaell Katoll r » e teufemp a benn da vont abiou ar zoudarEn eur ijom* evalse, Y»n a danne he
ded, skignet dro ar vro a-bez 'i Gwellec’h eo
v o u n e d , hag a zboioe he zaouUgtd laouen
d'eomp eta gortot c'hoaz, Jakez a to maro
ha leun a vue», mei Kateil n'hen anaveze hag araok e vozo kavet oun alffien fall hag
kct c’hoHi.
,
hen o vezo eur pennad. »
— .« R e i a-vftyo U'io e ta t o n n a v a b a r o r h
— « la, a lavaraz Yan, Jakez a zo maro
— « Yan*1l » a lavaraz Kate'l.
mez e Ka»teli In ez euz eur gouarner hag a zo
— . la, Y.'U. a (Ira zur, une an toucher.
peli du veza karanteiuz oun horc’henver;
An dihad m>ud»td no dalvezont mul notra,
an den-to ne dal notra, c’hoant en deuz da
ro a zou laid d a *o dre »man ; taolet om
blgna enn eur garg hueloc’h hag her gou­
oui eta n «otite z va c hapotunn evjt gwlska
zout a rit, gant ar c’hoant-ze e lelo peli,
al llvltenn m in. gant-li ne veiln hlken
an torl’ejou ne gouBtontketkalzd’ez-han. »
anaveiet. Mon panaoz la an traca abaoue
— « Martoie e lavarlt ar wirlonez, eme
Laou. »
(le— Kom*lt gouBtadtk, a lavara* Katoll,
— « Oh I va mestr, n’ho peiet ket aoun,
en nmzer vreman ar mogerlon o deuz
no glaskan ket ho touolla ¡ evld-hoc’h, hen
iliouikouarn; Lt»ou a zo et ral gant he oil
lavaret am eut d’ohoo’b c'hoaz, evld-hoc’h,
vltcnoned. Mont e ran da lavarct d ezhan. » evlt dlskouet d’ehoc’h va anaoudegez
Kuí pennadlk dlvezatoo'h, Yan, goude vad am eut labouret evel am eut
besa het dlgm eret gant loa «rimaner oa great. G'houl a zo bet atao ken mad
azrzet oc'h taol bag a zebre beh ober an
evldonn, d’ln-mo broman da savetel ac’hanhoo’h hag evlt-Be betlt sur ne arboellln
°
Abaoue pe da vare et oc'h dlgoue< netra, na poan na sknlsder ¡ ouspenn, eun
set », ao'honlennai Laon.
don koz cmzivad eveldoun-me heb bugel,
— * Abaouo peder pe hemp hour a boan,
heb famili, da betra eo mad nemet d'en cm
nreipountaa Yan; en eur erruout en 11- rei oli da skoatella ar re a gar. Ne vezin
r*nz, en em gayen gant unan eu* an arohe- dlnec’h ha va o’haloun ne vezo kountant
len en doa dlgaset Jaltc* war va 1ère h,
ba laonon nemot pa voiot eat er meat euz
l ’en deuz ket zoien sellet on*ln, Neuee ez
w n eat d'an Tregonar da di a? Herlbolom arvro. »
— « Gouiouta rlt ac’houlennat Leskoat,
oo ar Dertbelot, ba klevet ara ttus eno ez
ha n’en doa két c’boaz lavaret gor ebech
Oac’h k z e t e fiankiï ; mez no soi Jen lamm
gouiout
a rit bag hon et co deut MathiaB
édu Iterrl aman attio : ü’euz fort, aonn am
«uz ha u'hellan kct lcompren eo bet lezet du-man?»
— « Me gred kentoc’h, a respountaz Yan,
et eo choumot er gear, aoun en dere dont
Maro eun Den a Galon
résonner dans les murailles des coups
tantôt assourdis, tantôt violents.
Les meubles font aussi eborus, parait-il.
C’est ainsi qu’une armoire, on ne sait trop
pour quelle raison, se met A craquer. Ses
battants s’ouvrent brusquement et l’armoire
ne se résigne au calme que lorsqu’on la
frappe. Un rovfile puissant éteint parfois
la lumière, lorsque les habitants se levant
au milieu de la nuit, voulaient s’assurer si
tous ces bruits n’étaient pas l’œuvre d’un
mystilicateur.
Les habitants sont, d’ailleurs, si habitués
A toutes ces fantaisies des « esprits frap­
peurs » qui se eont installés chez eux,
qu’ils dorment toutes los nuits A poings
lermés et ne se soucient plus du beau
tapage, que des hommes de bonne fol affir­
ment avoir entendu.
P lo n é n a n
Les a c h a ts do la remonte. — Les ofli
ciers du dépôt de remonte de Guingamp
ont opéré, mercredi matin, A Plouùnan. 120
Gouôzcu
A 150 chevaux leur ont été présentes. Deux
Une flllette brûléo vive. — Ces Jours seulement ont été achetés. Us appartenaient
dernlerB, Mariu-Anne Gornec. femme Le A MM. Louis Le tëihan, de Kéréver en
Moal, 28 ans, ménagère A Kerzinvez en ' Plouénan, et François Sévère, de Keivadoret, en Saint-Pol de Léon.
Gouézec, quittait sa demeure pour aller
cueillir des légumes dans son courtil.
Salnt-Pol-(le-L6on
Sa petite lille, Anne-Marie, Agée de 2
S é a n c o r é c r é a ilv o . — La séanco récréative
ans, la suivait, lorpqu’A une centaine de. donneo par lo corcle do Salnt-Pol-dc-Léon A l’oc­
mètres, la petite revint sur ses pas et ren­ casion des « gras » a été des plus réussies. Le3
petite» pièces comiques « An daou lafir bara » et
tra A la malson, dont la porte était laissée
« La sallo do police » ont obtenu lo plus grand
ouverte.
succès.
« Parlons du Chrlvt » admirablement In­
Une demi-heure après, quand la mère
terprété.
l’auditoire. Len chansons bre­
rentra, elle trouva sa lille accroupie près tonnes eta soulové
françaises out été très applaudie» et
d'un banc du foyer, les vêtements en flam­ très goûtées.
mes.
Nos félicitations aux acteur» ; qu’ils nous
La mère s’empressa d'éteindre le feu et donnnent do temps ou temps do ces séances oA
appela des voisins, mais malprré les soios
i’Ame se repose et so retrempe.
qui lui furent prodigues, la petite expira
quelques instants après dans d'atroces
souffrances. Elle avait Ie3 cnlsses et tout
Arrondissement
Quimper
l'abdomen brûlés.
La petite Le Moal a dû s'approcher trop
près au feu et celui-ci se commvniqua A scs
vêtements.
Bureau-Annexe
M. Guernier, député d'Ille-et-Vilaine, a
été renommé président. .
Le secrétaire général, M. Bott, ayant
donné sa démission à raison d’un procès
dont 11 est appelant devaBt la cour de
Rennes, l’assemblée a décidé de ne pas
procéder, quant A présent, A une élection
de secrétaire général, «considérant que
toute décision des Bleus de Bretagne, a
propos de ladite démission, pourrait avoir
une Influence nur un arrêt de Justice qui
doit être rendu en toute Indépendance. »
M. Bott a uno très haute Idée de sa per­
sonne.
Evidemment les Bleus de Bretagne ne
pouvaient accepter la démlaslon de M. Bott
appelant d’un Jugement où les Juges de
übftteaulin lui disaient sans ambage qu’il
était « Français malgré lui ». Les Bleus de
Bretagne sont trop liera d'une telle recrue
et venlent de plus en pluu mériter le titre
do « Bleus... de partout », que leur donne
l’opinion.
k
Locronan
F éco ndité. — La semaine dernière,
Mme Leildé a donné le Jour A quatre gar­
çons vivants et bien constitués, qui ont
vécu plusieurs heures.
P oullaoucu
Aooldent. — lin préparant son repas, la
veuve P..., dite 0..., est tombée accidentel­
lement contre le foyer. Elle a été brûlée
grièvement A la ligure.
Spézct
Une Jeune bretonne séquestrée —
Une triste nouvelle est parvenue Ici rie
Trél8zé (Malne-et. Loirr ). Une jeune line de
Spézet, Agée de 17 ans qui était domestique
A la Haie, en Trélazé, Catherine Le Talec,
a été plusieurs fols l’objet de graves sévices
do la part de sa patronne, la femme Jubeau.
Celle-ci la battait souvent, paraît-il, et lui
retenait ses gages ; même un de ces jours
d’hiver, elle a enfermé la pauvre jeune lille
dans une chambre, cù elle était A peine
vêtue et sans nourriture ; on la faisait cou­
cher sur un mauvais grabat plein de ver­
mine. .
_ ,
Nous reviendrons sur cette affaire, qui
a u r a son dénouement au parquet d’Angers.
Demandez le « Courrier du
Finistère » dans toutes les
Bibliothèques des Gares du
Finistère.
Arrondissement^ de Morlaix
MORLAHX
Œ u v r e » de M o r
L a »emolno dernière n ou lieu uno réunion des
membres do la société des Œuvres de Mer, »,
place du Dossen, A la salle do» Œuvres. M. Mahéas, commandant du Sainf-Françofs-it’/lssfse, a
luit l’exposé dos »orvlcos rendus par lo navirehôpital, durant la campagne Islsnde-Torro-Neuvo
1008. Lo Safnl-Fratiiofs-d’Assfse qulttora cette
année la France, A boulogno-sur-Mor, lo 10 mars
prochain.
B o o ié té due M é d a ill é » m i li t a i r e »
Le» sociétaires do la 0- section do Morlaix sont
priés do se rendre A la réunion géuéralo qui so
tlondra A la mairie, lo 7 mars proclialu, A
10 houres du mutin.
Ordre du Jour : votos sur dlvorses questions,
polemont de» cotisations du 2* trlmostro ot renou­
vellement des membres du conseil.
et, Dépôt Central
r iu C o u r r ie r d u F in is t è r e
B u e K e r é c m , Î5Æ
Q U ÏM PEK
Les bibliothèques
du g r a n d S ém in aire et do l'E vêché
Dans sa séance du 20 février, le conseil
municipal s’est entretenu de la question du
d é iô tA la bibliothèque municipale des bi­
bliothèques de la m^nsc Episcopale, du
grand Séminaire de Quimper et du petit
Séminaire de Pont Croix.
Le grand Séminaire a deux bibliothèques,
l’une qui était plus spécialement celle des
professeurs et l'autre celle des séminaristes.
Ceux-ci l’avaient même constituée de leurs
proores deniers. It est plus qu’évident que
le Réqueatre ne peut même ergoter sur n s
textes de loi pour prererdre A la propriété
Juridique de la bibliothèque des séminaristes.
Avant toute discussion, Ivl. le maire a
donné lecture d’une lettre de Mgr Duparc,
dan s laquelle Monseigneur déclare, an con­
seil que ce dépôt serait A la fois u.ie injus­
tice et une spoliation. Par jugement en
date du 22 février 1908, frappé, il est vrai,
d’appel, le tribunal civil de Quimper avait
en effet déclaré que la bibliothèque était la
propriété personnelle de MgrDubiilard, son
prédécesseur.
• Quoi qu’il en soit, le ministre de l’ins­
truction oublique, se basant sur le3 lois de
1905 et 1908 ainsi que sur un décret du 27
septembre 1908, avait décidé d’en faire l’at­
tribution A ia ville de Quimper.
Le bibliothécaire, M. Frédéric Le Guyader, chargé de faire un rapport à cet eflet,
a, avec impartialité, procédé A la mission
qui lui avait été coniiée et, dans ses con­
clusions longuement motivées, a conclu au
rejet pur et simple de cette donation. Les
ouvrages composant ces bibliothèques
étant tous des ouvrages tbéologiques et ne
formant, au sens vrai du mot, que des
bibliothèques ecclésiastiques. Or la biblio­
thèque municipale est sinon plus riche, en
nombre du moins, en livres théologiques,
quo celles dont il s ' a g i t , Et les lecteurs assi­
due de ces wrlen d'ouvrages comptent tout
juste nn abbé I Ce dépôt e*t donc rejeté
comme n'offrant aucun intérêt et n’étant A
aucun pnins profitable aux lecteurs. D’ail­
leurs l ' i u B t a lation st-raii trop onéreuse.
Le conseil a décidé néanmoins qu’on
pourra faire un ciuiix des ouvrages compo­
sant. ces bibliothèques et les placer A la
bibliothèque municipale.
C o n o o u r s d e s P o m p ie r s
Un concours de pompiers aura lieu A
Morlaix, le samedi 29 mai, le dimanche 30
mai, le lundi 31 mal, le mardi 1" Juin.
Le 15 mars les compagnies des sapeurspompiers recevront tous les renseigne­
ments utiles. ___________
L e c r im e d e l a p la c o V ia r m e s
Nous avons dP, la semaine dernière, que
la Justice, croyait enliu tenir l’assassin de
Mlle Le Moult, vieille rentière trouvée
égorgée, le matin du 21 mai 1907.
Le soldat de la légion étrangère, arrêté
A la suite des circonstances que l’on con­
naît, est revenu sur ses aveux.
Il
soutient maintenant que le Jour du
crime, Il purgeait une coudamna’ion A la
prison de Rennes. En tout cas, on reste en
présence de faits indéniables :
1° Burch connaissait bien Castel ; 2"
Burch a accusé Castel de l’assassinat de
Mlle Le Moult j 3» Burch s'est accusé Iulmême du crime. Enfin Burch a reçu de
Caste! de fortes sommes d’argent.
Peut-être resterait-il A demander a Cas­
tel d’( ù venait tout cet argent. Mais Castel
est aussi discret que son ami,
Castel est celui qui fut, tout d abord,
accusé du crime.
P lc y lic r- C lirlst
U n e m a ls o n o ù l ’o n entend du bruit.
— Cette maison, autour de laquelle, égale­
ment, on fait du bruit, est la malson hanitée
au village de Ker-Rolland par la famille
Quémener. Les Journaux régionaux, en eu
parlant, lui ont donné encore une heure de
célébrité. Voilà dcjA vingt ans, que dans
la maison ou dans l’écurie, on entend
M é d a illé » m ilit a ir e »
Le président prie les camarades de la 18» sec­
tion do Quimper d’asflstm- A l'assemblée Rénérale
qui aura li?u dimanche ~ courant, A l’hôtel des
Voyageurs, A 0 h. 30 du m alin. Les sociétaires
oni|jéclié3 sont luvltea da falro parvenir, à cette
date, leur bulletin dû voto au président ou au se­
______________
crétaire.
C o u ib r it
P etit m a lv e illa n t. — Le jeune Pierre
Minter, Agé de 12 ans, de Gorréquer, a de
singuliers amusements. Il a deji mis le feu
à une haie d’un champ, A Penquer-Kerlic
et a teuté de mettre le feu à uae autre haie,
A Coru-Lau.
D o u a r n c iic z
L ’affairo M asson. — A la dernière
réuni n du conseil municipal, ii a été ques­
tion de l’alT,lire Masson qui va et lin rece­
voir sa solution définitive. L’emprunt s’éle­
vait A 7.'!000 francs ; il restait A payer cette
année ¿5 400 francs, couverts par un rôle
spécial de 30200 francsVol. — Dans la nuit de samedi h diman­
che, il a été volé, dans la cour de Piouhinec,
A Pcn-ar-Hoat, en Ploaré, trois lilets esti­
més -i0 francs, au préjudice de Pierre
Hémon et de Jean Youinou, marins-pcchcurs A Pen-ar-IIoat-Ploaré.
Le voleur est Jean Le F..., 20 ans, de­
meurant A Pen-ar-IIoat qui, s’étant vu dé­
couvert, a quitté le pays dimanche, disant
qu’il allait ailleurs en quête de travail. Ii est
marié et père de deux enfants en bas Age.
E rgn é- A rm cl
A ssociation des pères do iam illo . —
Sous ¡¡l'impulsion 4c M. l'abbé Lavanaut,
recteur d’Ergué-Armel, les pères de fa­
— — — — — — * P!”
da Leskoat, sonjal e ra ez euz c’boaz arc'hant a zo e ti an noter e Kastellin ha
breman n'hcllan ket mont d’hc gcrc’hat. »
Ghouanted dre ar c’hoajou. *
— « Me ne garfen ket ken nebeud mont
— « Iíag ar mevel no poa hanter lazet
gant eun taol troad foet, petra eo deut da d'ar gear, eme Leskoat, mez bet’ am euz
wardro
pemp kant lur bennak ganin. »
veza? em e Ile rrl.»
— « Awalc'h eo an dra-ze, a lavaraz Yan.
— « la, va dourn a zo choaz kaled,
Setu aman an all a rolen d'ehoc’h : Herrl
daoust d’am oad, a lavaraz Yan, lorch
enn-han ; n’ouzoun daré petra eo deut an alakaio diliad toucher eveldoun-me, n euz
tamm traou fall-ze da veza, mez n euz diliad all ebed gwelloc’h breman. Griat a
ralo ar pemp kant lur enn tu dindan lie saro
forz,ne ra kct kalz aoun d’in ha nanaha ni a dec’ho hon daon, enn eur c’harr
vezo blkcn Yan Lidouren dindan al livltenn-man; mez ne zonjan ket evel an a hrenl'omp enn eur gear bennak e kichen.
aotrou Laou, seulvul e pouezan peb tra, Ar c’harr-ze hag eul loan kezck ne goustseulvul e kredan ez eo lall choum er ma- font ket ouspenn 200 lur. Ni a lelo etrezek
ner-man. Eu eur choum aman, en em la- mor ar Faou dre goat ar G’hrannou. G'houi,
kom periskl, hag e rislcl braz zoken, rak aotrou Laou, a ielo a biou Pleyben da
ma vemp paketn on deuz nemet armaro da zjgouezout dre Loperek o koat aa Nivot :
c'hortoz : eun dever eo evidoun hen lava- eco e hellot herpel eun tammik. Ne ket
ret d’choc’h, a gendalc’haz Yan pa weluz d’in me da lavaret d’eun den koz eveldYvona o chench liou. G’houl a zo oil re ga- hoc’h-hu po seurt diliad gwiska, c’houi a
lounek ovlt ma kuzfen d’eboc'h ar pez a zo gemerò ar re a garlot ar gwella. »
— « H am o? » a c’houlennaz Yvona enn
em spered. »
ouela.
, , , ,
— « Mad 1 d’eomp kuit ’ta, eme \vona. » eur
— « G’houi, Yvona? mez Leskoat ha
_ « Oh I diwalit, a lavaraz c’hoaz Yan,
c’houi a hell choum rciz, beza dinec’h. Ma
ma dec’homp asamblcz ez omp kollet. Me a ho peuz c’hoant e cboumfot aman ho taou
zo sur e son] Laou eveldoun.»
ha (ilvczatoo’h c helíot dont da gaout Laou
— ■Mez da viana, me, eme ar plac h
hag Iíerri. »
yaouank, me no dec'hin ket va u n a n .»
Yanabarpaz, den ne respountaz... Lao»
— « Yvona geaz, a respountaz Yan, en
a bourmene a-drenz hag a hed er zal. Herrl
eur huelaat he vonez, ho mignoned, lio oa tofitact euz Yvona hag a zalc’he he
prled, ho tad a golfot evit atao ma ne¡ fell daouarn enn ho re, Leskoat a zoDje, trlst e
o’ehoc'h kultaat anezho eur pennad. O houl
evel eur paour keaz.
a hell beza dlnec'h, den evit o’hoaz ne c hou- oa—
« Gant Yan ema ar wirlonez, eme
lenn ho m aro; mez ar re-man, en eur zis- Katcll, goude eur pennad, me a ielo ive
kouot Laou hag Ilerrl, ar rc-m ana zo gant va mestr, Laou.
»
war var da veza lazet. Bonjlt eta me ho
— «H a sonjal e rit e kement-se? eme
ped. »
.
— « Mad e komzlt, a lavaraz Laou, mez Manei'-Koz, hag Yvona ncuze ? Plou a
petra a alllt ac’hanomp d’obcr,dlspleglt-hen entento outhi, me a c'hourchcmen d’ehoc h
choum ganthl. »
•k ie a r. *
— « Yvo.ua, hervez a lavar Yan, nhe
— « Da gonta, Ghouanted ar Chasteldeuz aoun ebed da gaout ha c’boni. Aotrou,
Nevez evel bor ro-nl a zo lazet pe chadennet, netrada c’hortoz euz an tu-ze. Goude a hell kaout ezomm ouzin ; servichet am
euz atao ac’hanhoc’h, n’ho tllczin blfeen. »
ba hez’ ho peuz arc'hant ? »
—. « Ni a welo an dra-ze warchoaz
— « Aman n’am eut nemot 800 lur. Va
milles chrétiennes d’Ergué-Armel et de
Kerfeunteun ont décidé de s’unir en une
association pour faire respecter la neutra­
lité dan3 les écoles primaires.
P c n m a r c ’h
P o s t e s e t t é l é g r a p h e s . — Le bureau de
poste de Penmarih est ouvert au service
télégraphique depuis le 1" mars courant.
Arrondissement 'de Qnimperlé
Q U IM P E R L Ë
D é p a rt du sous-préfet
M. Cailoch, sous-prèfet A Barbezleux,
est nommé sous préfet A Qoimperlé, en
remplacement de M. Benedetti, nommé
sous-préfet A Mirande (Gers).
H E M O R R O ÏD E S
Peu de personnes ignorent quelle triste
Infirmité constituent les hémorroïdes, car
c’est une des affections les plus répaudnes ;
mais comme on n’aime pas A parler de ce
genre de souffrances, meme A Bon médecin,
on sait beaucoup moins qu’il existe un mé­
dicament. l’Ë lix Ir de V ir g in ie N y rd ahl,
ui les fait disparaître sans aucun danger.
)n n’a qu’A écrire : P r o d u its N y rd ah l,
UO, ru e de l:i R o c h e fo u c a u ld , P a ris ,
>our recevoir franco la brochure explica­
t e . On verra combien 11 est facile de Be
débarrasser de la maladie la plus pénible,
et la plus douloureuse. Le llacon : 4 fr. 50,
franco.
Méliez-voiis des imitations 1 II n’existe
qu’un seul iilix ir de V ir g in ie : il porte
la signature de garantie N Y R U A H L.
AR GWELLA louzou da purlfla goad an dud
B a n n a lc c
T u é p a r u u a r b r e . — Mardi, M. Le Roy,
cultivateur A lium érou, en Bannalec, était occupé
avec ses deux domestiques, MM. Louis Lo Dœuft
et Louis Garer, A abattre un arbre. Uno lorte
racine venait d'être coupée, mais les trois bûche­
rons croyaient l'arbre encore solidement fixé au
sel. Garer se disposait m ène A monter sur l'arbre
our attacher uno cordo. quand II constata quo
arbre allait tomber do lul-méino. Il en prévint
Immédiatement son compagnon Lo DœulT qui, au
lieu d'aller du côté do Garer, re relira du côté
opposé. Lo tronc l'atteignit A la tête et 11 tomba
sous l'arbre lo corps plié en doux. Il fut tué sur
le coup. Pour le dégager sos compagnons de tra­
vail durent scier l'arbre, La Dœulf n était ilgê que
do 18 ans.
P
Le T révoux
Tué p a r le froid. — Dimanche, vers
onze heures et demie du soir, M. Jean
Cotonnec, en revenant du bourg, trouva
non loin de chez lui, étendu sur la neige,
ron voisin Courric, Agé de 51 ans. Avec
l'aide de voisins, il le t ansporta sur un lit.
On essaya en vain de le réchauffer, et, au
bout d’un quart d’heuve, Courue expirait.
La mort était due A une congestion occa­
sionnée par le froid.
M o ë la n
Des m alheureux. — Le mercredi des
Gendres, vers sept heures du soir, une
demi-douzained iudivkiuiimasqués a traîné
une forme de croix dans le bourg et y a mis
le feu en pleine place publiqueLes malheureux ont sans doute trouvé
cela très intelligent. Nous pouvons leur
assurer qu’ils sont, les seuls et qu’A Moë'an
il y a unanio ité A les plaindre.
T u é p a r un é b o u l e m e n t . — Samedi.
ver.< 2 heures de 1après-midi, Colin, âgé
de 24 ans, travaillait A extraire des pierres
à la carrière de Keraudrège.
Eu cours de travail, un ¿boulement se
produisit et uu bloc de pierre venait l’at­
teindre au côté droit, le projetant en arrière.
Colin re releva aussitôt, mais pour s’af­
faisser clans b ’S bras d’un camarade. Dix
minutes après il rendait le dernier soupir.
M c lg v c ii
S u ic id e . — Yves Gléran, Agé de .li ans,
cultivateur A Kerdaïc, avait le tort de trop
boire. Son cerveau était depuis quelque
temps dérangé par la boisson.
La semaine dernière, b mercredi, après
avoir vidé de nombreux pichets de cidre A
la cave, ¡1partit A 1écurie où il se pendit A
un râtelier.
N évcz
L e d r a p e a u fo n lé a n s p ie d s . — Enivré du
succès de son candidat, su. La Louédec, M.
Jsffrézlc, commerçant au bourg, dimanche soir,
saisit lo drapeau de la malrlo, brisa la hampe, en
déchira l'étolTe, dont II piétina les morceaux do
vant témoins.
Gelto attitude (l'un partisan de M. Lo Louédec
ne nous étonne pas. Lo drapeau tricolore n ’était
pas le sien, mais blon le drapeau rouge.
Lo M a n o ir de K é ra v a l
I.a Vie à la Campagne publtie sous la direc­
tion M. Albert Kaumenu, par la librairie Ha­
chette, consacre dans son numéro du 1 " mers, uu
ai tlcle a u iïi superbement Illustre qu’intéressant :
au « Manoir de Kéraval. »
A u milieu du parc dout le^ i;randes pelouses,
bordées do lices blanches, continuent l'étendue
bleue ou ¡Rauque do l'embouchure do l'udetélaride, au pied du domaine, eu uno large baio, le
Manoir de Kéraval dresse ses antiques façades
entrevues parfois A travers les arcades des ruines
rocouvei tes do lierre de l’auclcnne lorleresse qui,
aux temps belliqueux, protégeait les délicates
constructions: Intérieures. A u charme de l’excur­
sion dans ce cadre harmonieux, s'ajoute la sur­
prise da retrouver, pteuseuient cuns,.rvis par des
mal,;s liliales, les souvenirs du plus brave et du
plus énergique des généraux du Preailer Kmplre,
le général Gambronne, un 'Ils du Pays Breton.
Oette étude fait partie des monographies con­
sacrées aux belles propriétés : châteaux, viilas,
collages, parcs et jardins.
A col.'- do ce» articles, expression de la vie élé­
gante i l i campagne, chaque numéro contient,
eu outie, 13 à - 0 articles, accompagnés de gra­
vures démonstratives, sur tous les travaux do
saison des jardins, bas: es-cours, champs, _ éle­
vages etc., articles qui font do la Vie à la C a m ­
pa ijnc en mémo temps Ja plus belle et la plus
pratique des Revues.
L a Vie à la Campagne se trouve chez tous les
Libraires et à la Librairie Hachette, au prix do
l l-'ranc le N ”.
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repos de sa vieillesse, peut se constituer
de pros revenus par la Rente Viagère. Elle
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i’Etat), 33, lue Lafayette, Paris, la certi­
tude de vivre de ses rentes, sans aléas ni
formalités pour leur paiement. Cette Com­
pagnie pré&ente A cet égard une sécurité
absolue. Aucune ne peut offrir plus d’avan­
tages, plus de facilités, plus de garanties ii
ses rentiers. S'adresser A son siège social
ou A ses agents généraux.
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medi .Saint-Ronan, sous h a ll ; le lundi
Lesneven, sur la place ; le mercredi
L annilis, sur la place.
7904
D ’O U
P R O V IE N T
*
'
m
Riva u ’est plus mauvais «juc d'avoir du
sang mauvais. Tout lo inonde sait que
c’est là la source des maladies, car le
mauvais sang empoisonne les tissus, les
nerfs et les organes.
Mauvais sang est synonyme de sang
empoisonné, de sang contenant des matières
malsaines ou de sang appauvri, incapable
de nourrir le corps convenablement.
I,e sang provient des aliments après leur
digestion et leur élaboration dans 1 estomac
et dans les intestins. De bons aliments,
convenablement digérés, procurent un sang
sain et fortifiant et donnent ainsi la santé
et les forets. Lorsque vos aliments ne
digèrent pas. ils séjournent dans l'estomac,
fermement » t s'y corrompent tout comme,
plus vite même, ils l'auraient fa it s’ils
étaient restés i l'air libre. La fermenta­
tion engendre des poisons et, de l ’estomac
ceux-ci passent dans le sang.
Pour aider l'estomac à digérér les a li­
ments et pour empêcher toute fermentation
il faut prendre de la Tisane Américaine des
Shakers, car elle contient les ferments
digestifs et les toniques qui assureront uue
bonne digestion.
lille purifie le sang et débarrasse l'orga­
nisme des poisons produits par la nourriture
non digérée ; eu même temps elle fort i lie et
donne de la vigueur parce q u ’elle fournit au
sang de nouveaux éléments.
" Hn 18'Jl», à peine figée de vingt ans, je
souffrais déjà depuis deux uns : je ue
digérais plus, j'étais aiïaiblie, je rendais ce
que je mangeais.
“ I.a Tisane des Shakers a eu prompte­
ment raison de mon mal et elle m 'a com­
plètement
guérie.” — (Signé)
Aurélie
Sarrau, à Merles, par St. Nicolas de la
G rave (Tarn -et-( >a n nue ).
Lorsque 1-s organes de ].i d ¡gestion ne
fonctionnent pas convenablement l'orga­
nisme cesse de s'alimenter suffisamment eu
un sang riche et pur ; aussitôt tous les
organes s'en ressentent.
I.a
Tisane
Américaine des Shakers est le meilleur des
régénérateurs et, sans retard, il faut y
recourir.
Demandez à M. Fanvau, pharmacien d
Lille, sa brochure gratuite.
8UUETIK COMMERCIAL Lf
J U ull
HalleB do P a ris
couits
du i'i iév.
COURS
du \ mars
Douze Marques 30fr.25 31 Xr. 30
iilés.
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. . . . f.o50 *b 75
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 1Á
1 ti\
vintin, a lavaraz Yan hag a zeblante beza
rencr ar vandenn. Sonjit mad er pez am
euz displeget diraz-hoc h ha c’houi a welo
n’eo ket lall va zonj. Da c’hortoz arboellomp hon nerz, mad a refomp mont da
gousket eun tammik ; koulskoude araok
red eo da Gatell preña he zillad da Herri.
lia n ’euz ket eur marc’hadour mezer tost
aman ?
,, „
— . Eo ’ta, du-ze en ti Ruz, a zo unan,
eme Katell. »
— « Mad, it di ba prenit eur bouned, eur
saro hag cur bodreou henvel oc’h va re­
me. Gortoz a refomp ac’hanhoc’h, n'co
ket c'hoaz eiz heur, an nor nc die ket beza
PI-lU«Mad I mad? eme Laou, Katell a ielo
dioc'htu. »
Herri a roaz eun nebeut arc haDt d ar
vatpz
Laou a vriataz he verc’h gant karantez.
« Kemerit kaloun, va Yvona, a lavaraz
d’ezbi gonatadlk, red eo da Herri kuitaat
Tresigidy, sonjit ervad, anez c vezo lazet,
mez me, me ho tad ne dec’bin ket. lio iezel
hoc’h unaO, biken? liczit krenv, Doue bon
diwalo. »
...
— « Nan, nan, eme Yvona, me a fell d in
e tec’bfot ive ; ma vezot lakeat er prizoun,
cur wech all, me a vaivo gant ar rangdoun^ e^c’h, va mcrc’li, bezitdibreder, ui
a corozo euz an dra-zc divezatoc h. Lezomp
Ilorri ha Yan da vont enn bent, enn dale a
vtfp marteze fall tre evit ho. Pa vezo distroet Katell emezban a vouez bue), ni aiolo
oil da gousket, abalamour, evel a lavar
Yan ken mad, red eo deomp arboella hon
*
xv
E u l L u tln
Katcll en cm zastumet enn he mautall (pe
enn he domino evel a lavar ar merched dro
aman), Katcll età a gerze etrezek an ti
PAlilS, 10, avenue do l’Mmu, PAUIS
Traitant sans médicament ni rcRime les
maladies de l’estomac, des intestins, des
nerfs, de la poitrine, de ia matrice et de la
vessie sans opérations, par la méthode
bvposthénique consacrée par M uns de
pratique, donnera ses consultations a :
Il
2
14 it, A^n UAfrtl /I .1 I ’L1!!
Brest,
Quln.,__________
La M éth o d e du IV P e llo lie r est la
seule qui a pour résultat immédiat, même
dans les cas les plus graves, anciens et
rebelles A tout traitement, de permettre
aux malades de se nourrir, digérer et assi­
miler surtout une alimentation variée, com­
plète et de supprimer les régimes débi­
litants qui entretiennent l'anémie et la
faiblesse conduisent A la phtisie, A la neu­
rasthénie et à toutes sortes de troubles
fonctionnels p u désorganisation, autsi bien
chez l'homme que chez la /emme et l’aduIcscent.
Iìuz. An noz oa kaer ha ven ; al loar leun,
enn he chant a zave splaun en oabl e
kreiz ar stered ; mez Katell ne oa ket he
zoninagel loar nag er stered... Den ebed
war an hent, trouz ebed, nemet an avel o
voudal er gwez ; dre chanz re an ti Ruz ne
oant ket c’hoaz eat da gousket. Katcll a
vuntaz goustadik an nor cag a zigoraz eu
eur wigourat. Enn ti, an traou e oa
mesk-e-mesk, bern-war-vern, barikennou,
boutaillou, gwer ha war ho gorre dillad,
truillou a bep seurt, dillad soudard, dillad
aotrou, dillad kouerlad, dillad paotred ha
mcrc’hed a beb stad, a beb oad. E kichen
ar boutou lugernusa, brageier goloet a bri,
e kichen eul livitenn nevez llamm eun tok
difons, war cur bern bodreou gant botoutiou a'aourct cur bern cheletenncu roget.
Pa glevaz Katell o komz, eur vaouez koz
ha ne walc’be ket he biza] bemdez, a zeuaz
euz ar penn all d’an ti hag a c’houlennaz
digant-hi petra he doa ezomm.
— « G’noant am euz da brena d’am
mestr cur saro hirr hag eur bodreou. Kemor
a rin ivo marteze eur bouned 1er ma n’oc'h
ket re ger gant ho traou. »
— « N’am euz ket a sarolou hirr evel a
c’houlennit, mez gallout e ran rei eur vantell soudard hag a vezo mad tre, aman
ctouez ar bodreou hag ar bounedou, grit ho
choaz. »
<Dn ÿtndt.lc her.)
de CONFIANCE M°onF*VREMEUX^.
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r, ÇWVgrMÿ
SonorMueremontcilagoeirodc
Cent Ans. Il <*taJl préparéparles
Religieux«lel’Abbaye.1«
Castello, prés Castret-s-l'Adour.
n
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GÜERIS0N8 SURPRENANTES
NOTICe AVrCATTC5TATIOMÇrati»
Envoi f» : •:*flacon 10'-1 '2il. 6'
J.CAPtH.piiMi'^.RoqqeforttucdM)
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D U P O R Z I O , n o t a i r e & S a in t*
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ft Q u im p e r
,1 .V E N D R E
æ & M °°
E u l'e t u ü e , le m e r c r e d i 31
m a r s 1 9 0 9 , il d e u x S e v r é s i p r ô s m id i.
En
la
d e M IS N -J B E N E T
c o m m u n e d ’f í r f y n é - A r -
xnel, an bord dr» la grand’route
de Quimper à Corcarneau.
On dem ande
(S o u te n a n c e : 3 0 h e c t a r e s l(i
a r e s 50 c e n tia r e s .
M is e à p r ix : « 0 , 0 0 0 f r .
P o u r to u s re n s e ig n e m e n ts ,
» a d r e s s e r a u d i t M» M a n iè r e .
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f w
JESTIN
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v v v v i v v v v v v S
V O I T U R E S
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Brossorto, Linoléum, Toiles tirée*
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Lllü 1er et caivre, Sommier? aêtalllpes
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p m é n a q e h y d r o t h é r a p i e , tlA R D IH A O E
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§
C O N D IT IO N S S P É C IA IiE S P O U B L B G B O S
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J.-B.
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122
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£ L s liS n
p a ris
ru e do P ^ ris
100 0
et ru e
Pugeaud
Concessionnaire p o u r BREST
^ S ’adresser, pour tous rensei­
gnements, à M. Guillon, garde à
K'ervazec, par übateauneuf-duI>aou (Finistère).
7920
Guérison de M™” HA Y
a tte in te d e T ttE S R C ü L O S E P Ü L M O N A I R B
p a r l E lix ir
H c l l f t i e u s e donne secrets p1
uérir enfants urinant au lit Ec.
aison Burot, à Nantes.
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M-« JLéontino II A Y, que rcpréRenfe la
Pliologravure ci-contre est neo à (ïnllK«y*Allie» et habite (Jr, boulevard de
(ire,,cllt*» l’nri» (XV*). Ouand elle vint
à iun coiiHiillation le a5 avril i«w8, jo lui
trouvai de» lésions tuberculeuses du
deuxième degré occupant le poumon
droit en entier et le »«»minet du j»ou*
11,0,1 gauche. Elle toussait, crachait,
n’avnii pas d'appétit, einit très fatiguée,
souffrait do douleurs intercostales très
vives et avait cruche du sang. Mon Iraitement à base d 'E L IX IR D U P E Y R O U X ,
améliora sou élut en quelques semaines,
cl le a» octobre k.ioS, elle était comnlè*
tement guérie. Elle m ’a permis de publier
son cas dans le but détre utile à sci
semblables
1)' n t l'K V H O t ’X.
5, Square de Messine, 5, Paris.
/’.•.S’. — L'iillxlr I)iij>cjrroux, à l aie d« rrcotvt« vrai« do liflre, d*lode, do Unie et de
clycéropliosi'liaie de cluiu, guérit ici lésions luUreiilcuscs *ui pror^iuut i» Ivrmation
d'uiiiitoxlncn .i;.ns ;esûnim sanguin. Il jouit d'une cllloioiié incou(eatab:i dans les cas de
luVrculoeelpulmonaire, pnpÜomisi' <*,laryngée et oes'-use.d* larjngilcs, Kitlnne», caiarrliee,
eiii;i|iyséinej, brbnclrit»seliruui>|ues, tliumc« tidgllgie. Si lalutxrculos« pulmonaire(ah tant de
vielimcs, c’C't parce quu le* mcdecli inn savent pas la soigner. He#t do toute importance,
il ur les titlieiculi-iix, do ruivro le trniW-mont à ha»? d'Klixir Pnperronr avant quv le«
lésions uaient piit uiiootrnduo qui I s rende irrémédiaLie». Je consulta graiullcmcnt tous les
jours, de 1li. a 3 li., excepte le jeuII et les jours d« I<Me, en mon c«binet du 5. square
de il o«sine, J’aii*, et parcorrespordance, cl envolegratis et franco sur demande, lesneuf
brochures uù sent exposés mes travaux de thérapeutiqueH d'hygiéne ainsi qu’un question»
naire. J’enrôle lo petit flacon franc» a domicile contre 1 fr. t>Ôet le moyen flacon contr»
2 fr. 50 en timbre« ou mandnt. K-igrr dans Ici filiarmaciet le véritable K'itir bupeyroux.
Réfuter tout Klixir anliluciliairc d -con!rcfacon oe portaut j*s mou nomsur l'eUqueUeü
uu aignaturo aar la capaule recouvrant le boudioa.
P r i x d o C a t é c h is m e s
’[EN V E N T E A L ’ IM P R IM E R IE
du fourrier du Finistère
B R E S T — 4, rue du Château, 4 — B R E S T
-------- «—
___________
Deomp da dezuz er » M lz B l a n K a l o u n
Zakramant, un volume » Zakr Jezus, par RI. Le
Dividendo
en esiiécot
do lÜÜO
Lo S'i" Gompto Rendu détaillé sera fourni sur demande.
Il oortiont don ronnoigncmontB complota auv lou oporationB do la Compagnie pondant l’exoroloe 1908.
P . H É O A L , I n s p e c t e u r G é n é r a l, 9 7 , r u e d e P a r i s , B R E S T .
in-8 de 350 pages, car- Coz.rectenrdePenmarc’h,
tonné, I fr. 2 5 .
î-un vol. in-12, detni-rel.
Penaoskaret Jezus- \
\basane racine, I fr. | O.
Krist, par M. Gab. Mi- j Miz Mari Debussl,
lin, un volume in-18 de « par M. Le Coz, recteur de
272 pages, c a r t o n n é , jj Fenmarc’h, un volumein0 .9 0 .
) 12 illustré, cartonnage élé*
f c A r P e v a r A v l e l S gant, I fr. 2B .
(Iakeat en unan), par M. « l.-V. Lourd, par M.
J’abLté Caîr, un voluma Û Madec, un volume in-8,
in-16 de 384 pages, car- illustré, cartonnage élétonné, 0 .7 6 .
| gant, I fr.
A nnée: ~
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N & 1 .B 2 2 ;
w
P *
m
JOURNAL
v
* )(*
Flnlstèro, Côtos-du-Nord, M orbihan, (u n nn)
"
ce
Q U I SE
PASSE
3
fr.
C o lo nies ot É tr a n g e r ...........................
—
6
Ch(inqcm«nt d'adresse : O fr. 30 avec la dernière bande
Lor nbonncincnts parlent
du !•» do clmqtto molR ot hc payent d'avnnco
fr.
« S i m doute, ajouta-t-il, on peut lire
dans Us feuilles que lo gouvernement
républicain foule aux piods, chaque
jo u r, fous les principes de la liberté. Qui
a dit cela ? L ’Egliso ?»
Et ce n ’est pas sans raison, car il faut
auuir le goût d u paradoxe d'un Clémenceau pour oser prétendre que lE g ise
jouit dus libertés auxquelles et le a droit.
Aiais quelqu’u n troubla la fûte.
Pen la ut la cérémonie officielle, des
coups (te si//2dt vigoureux, et dos cris,
troublèrent quelque peu les orateurs.
Ce tapage lastilu était organisé par les
socialistes qui, répondant à u n appel de
|«ur.*î j )uri,«:i.v, ¿latent venus manifester
«¿outre les (uvlhurs du ministèro. »
A/M. Vinismi et B riand qui sont les )>r n
cipaux buwis émissaires des socialistes,
Quît'M élootions législatives oat
eu lieu dimanche pour r«mp(at.or des
dtjpufds dlus sénatours le 3 janvier der­
nier,
.
. ,
¿ej libéraux comptent un succèi à
Saini-Omer, où leur candidat, M. Lefebvre du Frey, a battu te radical-socialisto M. Levy-Ullmann. H s agissait do
remptuoer M. Ribot, élu. sénateur.
D ailleurs dans presque toutes tes cir­
conscriptions ta bataille so livrait aur/out
entre CWmeneistes, Combistes et socialis­
tes. Car tout lo monde aujourd'hui, nous
parlons du monde qui veut gortter à l «ssiette au beurre, est radi««l ou socialiste,
/.es socialistes se félicitent de ces uteclioni, et il faut convenir quelles ont
montré qu'ils peuvent compter sur un
nombre assez important d ’docteurs. La
politique radicale et sottement anticléri­
cale nous conduit tout droit au calioalivisme.
4
en prévision de cette manifestation,
avaient jugé plus prudent de s’abstenir.
*
#¥
C'est à Orléans que l ’A s s o o la tlo n
C a th o liq u e do l a J e u n e s s e F r a n ­
ç a is e tiendra cotte armtio sou Congrès
■national, sons la présidence de Sa G ran­
deur Aic/r Touchât, évôque d ’Orléans.
• «
/I Toulon, M. Pelfn, mairei de la
S-«ne. ra'.tioal-sooialiite. a été élu par
8/237 voix contre 5.826 à Ai. JRtmftudel,
socialiste unifiéIl s'agissait de remplacer Ai. Lotus
Martin, radical, élu sur la liste de M.
Clémenceau.
,
.
.....
Au premier tour) les voix 8 ét&wnt
1900 sera, on effet, l'année de Jeanne
d ’Aro. La France entière fêtera sa libé­
ratrice proclamée bienheureuse, et s'il
Oit une ville où la glorieuse Pue elle doit
ôtro oélebrée avec le plus de solennité,
c'est bien la ville qu'elle délivra, dont
l’histoire resplendit dans lo monde entier
du nom m ôme de Jeanne d'Arc. La J»un esse Catholique ne veut pas rester étran­
gère h ce mouvement et par une heureuse
inspiration, elle a fixé lo siège de sa
grande manifestation annuelle à Orléans
mimo.
De toutes los régions de Franco les
jeunes viendront dans la vieille cité
offrir à Jeanne d ’Arc un hommage ma­
gnifique, sur le lieu môme où elli> sauva
'la Franco.
Le congrès aura lieu les 21, 22 et 23
m ai.
, .
Pour tous renseignements, s adresser
au secrétaire général, 7, rue du Com­
mandant Arago, Orléans.
★
¥¥
Dimanche dernier ont tu lieu, en
"’ MM^ènautièl, socialiste unifié, 4.030
voix ; Petin, maire do la Seyne, rcaical- I t a lie , des élections législatives. Les
socialiste, 2 578; Corretl, radioal-soota- ministériels ont obtenu lu majorité ; tou­
(iste, 1.073 ; Esoarteflguo, sociahsio-in- tefois los socialistes, tout comme en
dépendant, 1.492 ; Charles Roche, radi­ France, n ’ont pas eu à se plaindre de la
cal-socialiste, 1.272 ; Gtmjolla», radical- journée et ont fait passer haut la main
dans certaines circonscriptions leurs
aocialiit«, 1.105. ,
, , .. n „
Tou* les candidats opposés à Ai. Re- candidats, contre les candidats gouver,
naudol, socialiste unifié, s'étaient retirés, néimontaux.
On sait q u ’en Italie, les catholiques,
sauf M. Petin.
.
L'élection de M. Renaudel paraissait depuis l'usurpation de Rome par Giriassuréo pour le deuxième tour, oar dans baldi et Viotor-Emmanuel, ne votent
l'intervalle du ballottago, son concurrent pue, ot refusent toute collaboration à la
M. Petin, ne recueillit qu’un déststement. vie parlementaire, pour protester contre
Aiais le succès de M. Renaudel était la spoliation dont fut victime le Saint...
l'ichec personne! de Ai. Clémenceau qui Siège.
Dimanche, los catholiques ont voté,
est, on le sait, député du Var, car
Renaudel avait fait campaqna sur un obéissant à u n mot d ’ordre venu d'en
programme antigouvernemental et sur­ haut. Mais avec une grando largeur
tout antiolémenciste. /tuss», sans doute, d'esprit, le Saint-Siège avait donné toute
sous la pression du gouvernement, bien liberté aux catholiques de porter leurs
qu'aux yeux de certaines vieilles barbos voix sur le candidat qu’ils voudraient et
radicales, comme AL Pelleta«, AL I étm no leur avait pas imposé la formation
»<lt un passé, lourd de réaction, le comité d 'u n anti-bloc, contre le bloc anti-clé­
pression et aussi paraîtraux qui le préféraient encore au sociaN aturellement los Combistcs ot les so'
ciulistes sont furieux et accusent à pro­
pos de cetto élection, le gouvernement
d'avoir fait un pacte avec la réaction.
L'Humanité,journal de Jaurès, appullo
même Clémenceau « l'ignoble ClémenCeQuôiqu’il en soit, les catholiques ot les
li'b iraux ont prouvé à Toulon &Clémonceau qu’ils nu sont pas une quantité
négligeable.
#
rical; anti-bloc nue rfloe de constituer
en Franca lo parti catholique.
La lactique des catholiques a été fruc­
tueuse en Lombardie, où des candidats
ont battu leurs adversaires socialisiez ou
frani-s-maçons, g rilco à l'appoint dos voix
dos catholiques. A noter qu'en Italie les
osndidats des catholiques avaient à vain­
cre la coalition des monarchistes gouver­
nementaux et des franos-maçons qui y
vivent d'ailleurs en amis.
*
¥¥
A Toulon, comme ailleurs, los s o ld a t s
c o lo n ia u x so font remarquer par leur
incuciplmu ot leur insolenoo.
Il y a quelques jours, le 111* d infan­
terie rencontrait près de Toulon, des sol­
dats coloniaux.
Ceux-ci criblèrent de quolibets les bons
petits pious-pious et sifflèrent leurs chefs.
Un rapport fut dressé sur ces faits
"
norté à la connaissance
regrettables
et‘ po
(_____ ____
<’orron, commandant la
du général
de Fe
2
• *
Dimanche on inaugurait, à Paris, la
statue de Charles F loquet qui fut,
dans sort temps, un des piliers du radi­
calisme anticlérical. A ^l^w t de g^iie,
—qu
u on planiat sa figure
o’était asse* pour
aris.
‘" « r  S U È S f * '»
radical« était autour du monument,
Af. Fälliges «h tête. I l y avatt.làAi.Vf.
Du boit, p ré tid e n id u S mat, Briston,
drf la Chambre dos députés,
0*1MlATI président de (n
rtte Lou6et, ancien
la
r ê 't e A p iW
' * » ” ,...
(es fausset tirades sur J à liberté
„avoc lei|i«i>flflli
0!Mï.ra
Diazez h m ar d’h a rp
A n a b a d e n n zlveza
Qoudo ouapenn kant devez labour, ar
Garapr e deua gallet orila has da benn,
ovlt ar pez a zoll out*hl, cul lezenn da
roi oun diazez uevez d’ar c'hargou pe
talllou, hervoz m a c’houlonne eul lodenn
eu» ar bobl abaoue R epublik 1848.
Daou vennad-lezenu a oe kinniget er
bloave*-ze, unan gant Goudchaux, egile
gant Proudhon.
, ,
78 all ft zo bet lakeet w ar baper
abaoue : daoust ha ne ve ket poent
oltoo'h da unan bennag anezbo dont
p1
„a
C
l vad? Broiou a ll epo-dro d pmp, —
It«U,
Su ,
Bro-Zftoi, - p o deu* ie U a ^ k e t godal
Kelt ha nl. H a n’eokoteohu o boaz, eyldorno, liv it gw lr, breman al leienn a dleo
moot d'»r Senat. Eno e veto kemeret
—
R ue
B
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C h â te a u
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----------
A nno nces d iv e r s e s ......................(la lig ne)
R éclam es, en 4« p a g e . . . .
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Dernière colonno de la 3® page.
—
4
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40
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Tarif décroissant pour les Insertions répétées
Rebechou all, hag a bouez, greet d’ai
lezenn, eo ar re-ma :
Piou a varno ctre pcb-hini ac’hanomp
hag ar c’houarnamant pa n ’en em glevimp ket diwar - benn ar ialc’had
da baea? Tud e karg didan er c’houar­
namant, dibabet gaut ar prefet. R is k l a
ve evel-se evit adversourien ar prefet da
veza re zammet, pa ne vefe merket
nemed eul lodenn skanv d’he vignonned.
Ouspenn-ze. ar c’hemm-werzericn
b ra z a ranko disklcria bo gounidigez;
hag an dud o deuz douarou ha tiez Pian
a ranko ivez, abarz kaou'; diskarg ebed,
disklcria bep bloaz kcment tamm dan­
vez o deuz.
Ila kemont all a c’hoarvezo gant
keinent ro e karo ar percepteur tam all
da gaout ouspenn 5.000 lur ar bloaz da
zispign hep touch ouz ho danvez : m a ne
fell ket ù’ezho paea an eil rum m taillou
(impôt complémentaire), e tleint diskleria pegement e c’hounezont e gwirionez,
0 konta tout enn eur strollad.
Hag evit ar seurt taillou-ze 0 konter,
gant gounidigez an tad a fam ill, ar pez
a c’hounit he c’hreg m a n’ez euz ket
disparti être he danvez Paghe hini, hag
ivez ar pez a c’hounit ar vugale a zo 0
chourn enn he di, nemed mestr e vent
d'ho zra ho-unan.
h 1A koiicc IIu v r n , Placo do la liourso, 8, & Paris
Ha penn-da-benn evit ar 190 lur a zo etre
1 250 ha 1 440 lur. (talvoudegez ar ferm
goude dlskoata ar bemped).
Grit bidnan eur 3trollad eus al lodennou-ze : 156 ha 5 kwennek, 187.187 ba dek
kwennek, ha l'JO, — hag e kavoc'P 720 lur
15 kwennek ar bk'az.
Evel foncier bo mereurl, labouret gantioc’b, ar c’houaniamant a c’houlennfe 4 dre
100 euz ar 720 lur 15 kweanek-ze, da lava­
rout eo 28 lu r 17 k w e n n e k ar bloaz.
ITag euz ar c’hant skoea interest a bae
d'hoo'h an amezek, o pefe 12 lur all da roi.
A r gont ne ve ket hevel evit eur
perc’hecu ha ne labour ket he-unan lie
zouar ; evit eur mrmes mereuri hen-pez
en defe da baea, evel foncier, 4 dre 100 euz
1 440 lur, pe 57 lur 12 kwennek.
Ar dio hypotheket zo da ziskonta. d’an
eil evit d’egile, euz an dalvondegez ttrm.
K o n tit h o c ’ h - u n a n
Ma karit e klasklrop gwelont brema
penaoz e c'hellfo peb-hiui ao’baooc’P konta
he-unan pegement ar bloaz en defe da rol
d'ar c’houarnamaut gant an diazez nevez.
Ilag o veza ma ne zaleo ket paper ar per­
cepteur da goueza enn ho ti, — martezo
zoken ez eo en em gavet di]a — e vezo eaz
d'hoo'h gouzout petra a daiv evid-boc’h at
lezenn evel ma 'z eo-hi bet votet gant ar
Gampr.
, , .
Ualc’hit son] avad ne douch ket ouz
lodenn ar goiomun hag an departamant,
merket ivez war paper ar percepteur : an
taillou-mau a Journo batek dlver.atoo’h ; re
ac c’houarnamant hebken a zo cpenchei.
Bezit st ill c’hoaz e ro al luzeun nevez
enu dlskatg-taillou a 8 lur d’an tad a lainlll
evit ptîb-hinl euz be vugale oajetanebeutoo’ii eged Hi vloaz echu (0 tiskonta ar
c’henta goulsnoude), ba kement all evit an
tad ha maaiin, tad-koz ba mamm-goz en
em gavfä enn be parg.
Interest ar die a zo da ztskonta euz gou­
nidigez pe leve bloaveziek peb-nini.
Evit foncier an ticz Hag an dooar, ar
c’bouai namant a c’houlenno 4 dre 100 euz
an dalvoudegez-ferm, goude diskouta eur
bemped.
Goulakoude. perc'heun cun tl ha ne dalv
ket ouspenn 80 lur term ar bloaz goude
dlskoata ar beiiíped, a vezo dißkarg evit
foncier an ti-ze gaut ma vezo 0 onoum
ena-han, ha ma ne c hounezo ket, 0 konta
tout, dreist 1.250 iur ar bloaz.
Diwar interest an arc’Uant, nemed enn
eur c’tirf espern e ve an arc’hant-ze, e vezo
\dre 100 da zevel evit ar c'houaruamaut.
Diskarg a vezo eta evit an interest euz
arc’oant ar c’heliou espern.
Diskarg Ivez, betek r,25 lur, evit interest
an arc’haut prestet d'ar c’houarnamant, pa
n'en devezo ket pcrc’henn an arc’hant-ze
ouspeun 1.250 lur ar bloaz da zispign 0
konta kement seurt gounidigez en deuz.
Kvit ar peurz, lennit I
Ha c’houi a zo m erour labourer
d o u ar?
An diazez nevez a laka e tleit sevel euz
an douarou a labourit, da vaga bo famill
ba martcze daarboell ourgwennek bennnk,
an banter euz ho ferm, ma ue daivezout
ket dreist 5 000 lur fenn ar bloaz.
Ma ne zav ket an hanter-ferm da 1.2a0
Iur ez oc’h diskarg a-grenn e-kenver gouni
digezho labour.
. Ltnrn,
Ma zav an hauter-ferm dreist 1 2a0 Iur, an
1.250 lur-man a zo da zlskonta. ilag euz ar
pez aioumfe, opefe c hoaz da zlskonta: daou
drederenu evit al loienu a ve etre 1 «.ol ha
2 000 lur ; eun drederenn evit al iolenn a
ve etre 2 001 a 3.000 lur.
Diwar ar peurz, an diazez nevez a c nou'
leunfa 3 dre 10!'.
Rak-se, ma ne zav ket ho ferra leun
dreist 2.500 lur ar bloaz, ez oc’h diskarg
a-grenn e vit gounidigez ho labour.
M’o peuz eur ferm a vii skoed. e Ueit he
ranna c daou, lia dlsUonta 1.250 lur euz an
hauter, da lavarout eo euz 1 500 lur : ne
1 imn nemed 250 iur. DisV.outa c’"oaz daoa
üreüerecu euz an 250 lur-ma. Ne joumo
mui nemed 63 lur. Diwar au S3 lur-ze o
pezo 3 dre 100 da baca d’ar c’houarnamant :
<lek r e a l ar bloaz o konta mad.
Mo peuz avad a-hent-all douar all pe
tiez d’hoc’h hoc’P-unan, o pezo 4 dre 100
eu?. bo zalvoudegez ferm da baea, goude
diskorita eur bemped. Da lavarout co ne
dleit paea nemed diwar 000 Iur evit eun ti
pe douarou fermet 750 lur ar bloaz.
M’o peuz arc'hant war ictereet, e raukoc h
c’hoaz sevel 4 dre 100 ivez euz au Interest
e toug d’hoc h.
Ha setu tout, evit ar c'houarnamant,
nemed sevel a rafe ar pez a c'hounezit gant
ho labour, bo touarou pe ti *z hag hoc h
arc’hant war interest dreist 5.000 lur ar
bloaz.
Ha c’houi a zo labourer douar ha
perc’henn d’an douarou a la­
b o u rit?
Neuze o pezo gounidigez ho labour da
gouta er inemes doaro hag eur merour enn
ho leac’h.
„
Ha goude-ze e vezo ar foncier da gonta,
evel-ben :
Netra da Inea ma ne da.v ket ho touar
ouspenn 025 lur ferm goude diskouta ar
bempeo ato, gant ma n’o peut ket muioc h
eged 1.250 lur ar bloaz da zispign hep en
em baouraat, o konta asambles talvoudeez-ferm hoc’h oil douarou pe tiez. gounligez bo labour kontet evel hini eur
merour, hag interest an arc'hant a c hell
fac’h kaout a hent-a'l.
Ma c’hounezit evel-se, o konta tout, etre
1.250 ha 5.000 lur ar bloaz, n ’o pezo diekarg
foncier nemed evit : — an dri-c’hart euz an
dalvoudegcz ferm betek 625 lur ; — an
hanter evit al lodenn euz an dalvoudegezferm a ve etre 626 ha 1.000 lur ; — eur
o'hart hebken evit al lodenu a ve etre l.OOt
§
^D re ze , lakeomp o savlt 300 lur Interest
diwar arc’hant o peuz prestet da eun ame*ek; hag o peuz a-hent all eur vereurl
labouret gan-hoc’h boc’h-unan ha gouest
da veza fermet 1.800 Iur ar bloaz.
Bur bemped, da lavarout eo 360 lur, a zo
da zlskonta dloc’htu ; ne joumo mul nemed
4.*40lur.
m " ; r
,
Evcl fonder, n’o pezo da baea nemed :
Bvlt eur c’b8rt euz ar 626 lur kenta, pc
an dvtu tìfttér drp ut <r;c’hoptnbutlon^ li» lur ha 5 kwennok ;
Indirectes » 9 bouoz w ar îtr butün, au
An banter euz an 374 lur a zo ctre
ellumettezVkotilì'na w ar àn hoalenn,_ar
Û26ha mil lur, pe 187 lnr ;
.
An drl-c’liart euz an 250 lur a
Ctre
Bulff ha kant tra all a zebror po aefor,
. 1.000 ha 1.250, pe 187 lur 10 kwennek ;
ënp èuit tiogez"........ "
Ha c’houi a z o kemm-werzer, pe
mestr-mlcherour ?
Ho bounidigez bloaveziek a vezo merket,
evel ma c’hello, gant ar c'bontroleur. nemed
he diskleria a rafac’h d’ezban hoc’h-unan,
hag al lezenn a c hourc’hemenn zoken hen
obér, diakleria ar gounidigez, pa zav-hi
dreist 5.000 lur ar bloaz.
Ha peuaoz he rnerka hoc’U-unan ?
O tiskonta, euz an arc’hant digaset d'ho
ti, euz a berz ho kemm-wcrz pe stal-labour,
ar pez-a vezo eet er rneaz, evit ho kemmwerz pe etai-labour ivez, hag ouspenn talvoudegez-ferm an ti pe lodenn-ti a zo kar­
get gant bo kemm-werz pe stal-labour,
ioulz bag hini ar c'hardiez ha marcbosiou
lo] an traou pe al loened a zeli ouz ho
kemm-werz pe stal-labom-.
Grit ar gont-ze evit au tri vloavez diveza,
ha gwelit pegement ar bloaz o peuz gounezet an eil dre egile.
Ma ne c’hounezit ket ouspeun 1.250 lur ar
bloaz etre bo kemm-werz pe stal-labour
hag an danvez all a c’hellit kaout, n’o pejo
netra da baea evit gounidigez ho kemmwerz pe stal-labour.
M’o peuz muioc’h eged 1.250 lur ar bloaz
da zispign evid-hoc’b hag ho famill, neuze
ar c’fiouarnamant a c’houienno diganho^’h paea evit :
Eur zeisved euz gounidigez bo kemmwcrz pe stal-labour, betek 1 500 lur ; — eun
drederenn evit al lodenu euz ar gouuidlgez
hag a veto etre 1.500 ha 2 500 lur ; an oric’hart euz al lodu.ui a vefe etre 2.500 ha
5 000 lur.
.Lakeomp o peuz kavet e c hounezit, gant
ho kemai-werz pe stal-labour, 3 000 lur ar
bloaz.
,
„
N’o pezo da baea nemed evit:
Eur zeisved euz ar 1.500 lur kenta, pe
215 lur *
Eun drederenn enzar 1.000 Iur a zo etre
1.500 ha 2 500, pc 333 tur;
An dri-c’nart en?, ar 500 Iur a zo etre
2.501 ba 3 C00 pe 3*5 lur.
Lakit enu eur Ktroilad 21o, 333 ha 37o,
hag e kavoc’h 923 lur.
Mad. evit gouuidigez ho kemm-werz pe
stal-labour,archouarnam ant a c ’nouiennfe
digan hoc'h pevarzck dro 100 euz an 923
lur ze, da lavarout eo
lu r O k w e n n e k
ar bloaz.
Re all
Eur mestr-pesketaer, ha kement hini a
labour pe a laka lalwurat enn be ,-ont heu n a n — nemed labourer douar e vije — a
dlevfe konta be e'fcoanidlgoz ha paea
diwar-n-hier wemes doare hag eurc’hcmmwerzer.
— An nep a labour didan re all nen
devezo netra da baea evit g o u n id ifz he
labour, m an ’eo ketpaet ouspenn: 1 500 lur
ar bloaz er c’oommuniou na gon'out ket
muioc'h eged 10.000 oen ; - 2 000 lor er
c’bommcmou o deuz etre 10 00) ha 100 0J0
den ; — eie.
, t
,
Au dud o deuz paimon ne baeint nemed
evit al lodenn aneztn ». vezo dreist 1 250
lur ar bloaz.
if
¥4
Ha setu, mignouned, n¡a c’helloc’h brema
barn hoc’h-unan at lezern.
Ne gredftu ket loui ne vije fazi ebed er
pez am bcuz lavaret diwar he fouez. Mes
sur oun da veza tos'o j ’h d’ar wirionez eged
an darn vuia euz ar o’hazetepnoo all o deuz
könnet anezhi ; rak, heuillet am beuz piz
an uiviz, ha va reolcnn a zo ato ar memes
hini : eeun ba led e ptb tra.
ConP-NTIU.
E b-oiou a r Zao-Heol
Respont ar Serbi da guzuliou ar Rasi, ar
Frana, Bio-Zioz hag Itali a zo anavezet
brema.
, , ,
Lezel a ra gant ar rouantelezlou a zmaz
traite Berlin, — ha dreist-oll an artikl
anez’san a lakae an Aotrich da voatd war
ar Bosni hag Herzegovin, — ar gefndl da
varn ar pez e deuz greet an Aotrich
e-kenver an diou vro-ze. Fizlans e deuz
enn ho lealded hag enn ho furnez. Evit-bi
he unan ne c’iiouleun mui ueurt dionaou
ebed. ba prest eo da veva e peoc’h gant an
Aotrich evel eun amezegez vad.
An Aotrich, m’oarvad, ne vezo nemed
hacter-goatant euz ar respont-ze. Kiask a
la diviz war eeuu gant ar Serbi, ba padal
tou-man en em laka adren ar rouautelezlou braz.
.
Hag himor an Aotrich en em dro ivez aenep ar Jìusi, tamallet gant-bi, ha n eo ket
hep gwir marteze da veza kiriek ma ne
deu ket ar Serbi da blega ken buan ha m e
defe-bi karet.
„ .. „ „
Dalc’h a zo brema, etre ar Rusi hag an
Aotrich, evit gouzout pehini anezho e
devezo ar brasa gelloud er « Balkana » ;
beteg-hen, ar Rusi eo a oa ar gwüla
selaouet eno : ne lezo ket buau eun all da
gemer be llas.
Hag enn Allmagn e komzer muloc n eged
biskoaz euz eur brezel evel euz eun ora
diez da ziarbenn.
Ar Montenegro a zale’h start hepred d ar
Serbi, ha kazetennou ar Bjlgari a c ùoulenn ivez e savfe ar vro-man a du gant ar
Serbi ma rank lakaat ar c’hanoduu da
\
■
f
Pour les nnuoncc» extra-réglonalCR, H’adroKsor
Grwasa 'zo, pa zizammer eur rumm
pe coz eun tu, e ranker samma eur rumm
all pe euz eun tu all, p’e gw ir e ia ato
dispignou ar c’houarnamant w ar gresk
e leac'h dontw ar ziskar.
Rak-se interest an arc’hant, a ve tizet
gant an diazez nevez, n ’euz fors e pe
lcac’h e vo an aro’hant-zc, neiued er
c’hef espern e vije.
Gouzout a rit e kavan an dra-zc eun
dra leal. N'ez euz ket arc’hant easoe’h
gounezet cged an interest ; ha goulskoude an taillou a vreman ne dizont
ket interest 40 pe 45 euz ar 100 m illiard
o deuz ar Fransisien e paperou-leve.
Ne dizont ket m uioc’h pao huel ar
rouaned bian a zo euz hor gouarn : prefeted, kannaded, ministred ; bag o tibab
mad c pe leac’h lakaat ho are hant
arboellet, da c’hounit d'ezbo arc’hant
all, al laooused-ze a c’hell breman en
cm gaout diskarg-kaer, enn despet d'ho
finvuligoz. H a kemeut all a c heller
lavarout euz ar m illiouncrien ema ho
oli flnvidigcz gant ar c'houarnamant pe e
pnperou-levc all a zo.
lliviziken età, interest a n a r c h a n t a
baefo 4 dre 100 — 4 dre 100 euz an
interest., ententit mad.
Diwar-benn kement-man e layarer
kasfe an dud pinvidik ho are hant
da guzat d ar broiou all : m'oarvad ben
digasfent enn dro abarz peli, rak ma
rankfent paea eno ivez.
Erfìn, an diazez nevez a zavle cun
eil rumm taillou diwar goust, ar re a
c’hell dispign ouspenn 5.000 lur ar bloaz
hep nebeutaet ho danvez ; hag ar rumm
taillou-ze a vezo seul-hueloc'h dre gant
lur ha m a vezo pouneroc’h ar talc had
tizot gant-ho : 1 oro 100 evit ar re a zav
10.000 lur ar bloaz pe wardro euz ho
douarou, tiez, labour hag arc'hant kontet asambles ; koulz lavarout j dre 1(J0
evit ar re a o’hell drailla eur m illioun
ar bloaz hep bianaat ho danvez.
Ar rumm taillou-man a zo galvet da
gemer, o kef ar c’houarnamant, mas
ar ro a bouez brema w ar ar mobilier
hag an doriou ha prenestrou, ha dre
ze da ziskarga a-grenn al labourerien
dister.
Tizóut a raint wardro 500.000 den ;
hag ar re-ze a glemm. G w ir eo n oz euz
den hag a gavje en defe re; evelato,
deread eo d'an nep en deuz muloc h a
bop tra eged ne ve red mad, dilczel eun
draik betjnak muioc’h eged an darn vuia
evit ma tigoucio nebeutoo’h da baea
d'ar re o deuz diouer a bep tra. Ha
ne vezint ket kaset da baour evit ken
nebeud, p’e gw ir n’en devevo an nep a
fc’hell «Jrailla eur m illioun ar bloaz
nemed 49 300 lur da baea diwar-n*han
euz a berz an taillou nevez-ze.
An birra a c’hellfe kaout, da baea
a-hent-all evit ar millioun-ze a vezo
40.000 lu r ; da lavarout eo e ohoumfe
gant-han c'hoaz 910.000 lur ar bloaz da
zispign bop touch ouz be zanvez.
G ant eur c’hantved hebuen me en em
jrredfe ken pinvidik hag eur roue.
Evolato, re inarteze a dud enn ho
eaz hep Doza pinvidik, re a dud hep
fam ill clrelst-oll en em gavo diskargkrenu. P a o deuz an oli ar gw ir da voti,
an oli ivez a dleive kemer perz e dispijrDOu ar vro. H a setu ar pez a lavare ar
Beleg-depute Lem ir, o o houlenn sevol
eur rum m taillou evit an da,4 b’o doto
netra dii baea a-hent-all : eur skoed ar
betek 30 vloçiz,, ha daou skoed
gftSt tur rp a Jovióito, gòwlp an oad-ze
jerner. pe ìntanvien hep. bugalo
n A’«»Vinti a nnn 1
n _______ « t . i ^o noe
Respoñtet
d’czhan e pae awalc’h
.
SAMEDI.
PUBLICITÉ
L ob M a n u s c r i t s n o n J n s ô r ô s n e s o n t p a s r e n d u s
d'ar Gampr, hag ac’hano d'ar Senat
adarre, evit kendelc’her evel-se den no
oar epad pogeit amzer.
Gant ma vezo da viana ecunot c’ho aí
ha Bklearaet iv e z : evel ema-hi, e ve
diez aw alo’ti da bep hin i gouzout pegement c gwirionez e ve dleet d’ezhan da
baea.
Hag eeunet ha sklearaet e vezo ma
k a ra n olí digas d’ezhi lio bolontez vad, c
leac’h en cm ranna e diou lodenn evel
er G a m p r: eul lodenn hag e doa lakeet
enn he zonj mirout out-ni da zont da
vad, eul lodenn all savet dirag oben
evit lavarout e votfcnt, aneidu n’euz l'ors
penaoz. Anat eo ne c’lieller kot obor
labour vad er c’biz-ze.
lia goulskoude, an nep a varno an
diazez nevez o peb le a lie d a ranko
anaout, d’am r.onj, e talv gwelloc’h
c'hoaz, cun despet, d a n defajtou a zo
ehoumet enn-ban, cged an diazez a
vrema, — ¡i ranko dreist peb tra anaout
e tizaram ar re a zo ar m uia sammet
brema, da lavarout eo al labourerien
douar bag ar c’hemm-werzerien.
H ag e gwirionez, diw ar foncier an
douar, an diazez nevez ne zavo d’ar
c’houarnaiuant nemed 45 po 50 millioun
ar bloaz, e leao’h ar 105 pe 1)0 m illioun
a vrema.
G w ir eo e savo 7 no 8 m illioun diwar
gounidigez-labour al labourerien d o uar;
mes enn dizro ar re-man a vezo diskarget euz ar 50 m illioun a baeont
breman, evit lodeon ar c’nouarnamant,
evit lio mobilier ha doriou ba prenestrou, daou rum m taillou hag a vezo
torret azaleg an dez m a reno an diazez
nevez.
Ha dro zo, an douar hag lie labourericn en em gavo dizammeí euz 100 m il­
lioun ar bloaz pe wardro..
Evit ar pez a zell ouz ar c’hemmwerzerien bag ar vistri-micherourien,
gant an diazez nevez c paefent, n’c ket
m ui hervez ho staliou, mez hervez ar
pez a c’bouneziut.
Etre « patente » ha taillou an doriou
ha prenestrou e tleont paea bre m i, evit
lod ar c’houarnamant, wardro 1G0 m il­
lioun : an diazez novez ne c'houlenofe
digant-ho ncmed 115 po 120 m illioun.
H ag er c'hommuniou a gorit rebeutoc'h
eged 3.000 den, ar re auezho ne c'hounezont ket dreist 0 po 7.000 lur ar bloaz
en em gavfe disxarget, m uioc’h pe nebeutoc'h.
Des révélations sensationnelles vien
nent d’étre faites sur les comptes de la
m arine. On ne s’étonnera plu
ces révélations, que nos navires coulent.
sautent, que les obus éclatent à tort et a
travers, que la liste des victimes des
" division coloniale de Toulon.
Celui-ci convoqua nusiitot à la salle
accidents survenus sur nos bateaux s al
d’honneur de la caserne üazeilles, les
longe ùhaqUe jour. Af. Brousio, député
qui avait été chargé de faire ^ rapport officiers coloniaux et sa plaignit devant
sur les lois et ȏgiemenis de 1002 a 1007, eux, avec uno rudosse toute militaire, de
pour le ministère de ta marine, vient de la conduite de leurs, soldats. C'est ainsi
Je remettre entre les mains de ses col­ qu’il leur dit :
Jo vous nvnls dit. Il y n quntro mois, que l’èlal»
lègues.
_____ il déclare avoir Imursux et fier U'itro nftmmft nu commnnuomcn
Dans ce document,
de
la ï ‘ division coloniale ; lo vous dis aujourd hul
Wtâ
telle gravité,
“ d'une
J'
reconnu des fr1
le ml» tiontoux de lu commtmder.Vou tiommes
qu’il a cru nec
nécessaire de les cpusioner auo
sjat dos canailles ot vous ou «tes los noutluus,
dans un rapport spécial. « La méthode los protecteurs |Jo rougis d’être à voire loto. »
actuellement suivie par ¡’Etat, dit-il,
Ces ¡paroles soulevèrent une profonde
pour J * marchés ds la marine, prflte à émotion, car elles étaient prononcées
tous (es abus et a pour résultats d occa­ devant deux généraux de brigade.
sionner à l’Btat des dépenses considé­
Mais si le général de Ferron sera sans
rables. »
tnéthoda permet aux four­ douta bl/trrçe, pour s'Ûtre exprimé en
nisseurs de me'ttrè le budget de I» marine termes trop vifs, sa franchise aura sans
en coupe réglée, et ils ne s en p:riventj >as. douta pour effet de faire prendre des
(Test ainsi qu’il* font piuser du matériel mesures spéciales, pour rétablir dam
Usé ou inutilisable, gr&oe h de hautes les régiments de l'armée coloniale, la
protections politiques et à la compliot é discipline qui y est par trop méconnue.
de ceux qui sont chargés do la survetl,aCe9gtfchfi provient d ’une politique qui
stëouvie moins des grands intérêts du
piys, qua dei intérim étroits de Par,V
Périsse (a France! périsse la marine,
pourvu que les ami* aient du foin dans
le râtelier.
t
4
LE
....... ...................................... —
ADMINISTRATION ET RÉDACTION
ABONNEMENTS
i
PARAISSANT
FRANÇAIS-BRETON
\
ha nebeud a nebeud, ar gommuniou a lam
digant-ho an arc’hant-ze.
An dra-man a zo c’hoaivezet e Brest, ba
kement all a zo bet greet ar zizun dremenet e Sant-Briek. war gouienn eusr soclalist zoken, banvet Boyer.
Eno, ar gommun a roe F00 lar ai bloaz
d’ar « bourse du travail. » Petra a veze
greet gant an arc’hant-ze 7 Ar c’üonseil n’en
deuz ket geliet her gouzout, rak sekretourien ar « bourse du travail » n’o deuz diskouezet merkon sklear nemed evit 257 lur
euz an 800 lur roet d’ezho ha dispignet.
Perag ivez ne zibab ket «1 labourerien
gwelloc’h sekretcurien evit ho syndicajou.
140 devez e r m e r b r a z . — Gwechall,
pa ica eur vatimant er mor, aen ne oule
peur e c heilfe tizout ar porz. Brema, al
îistri dre dan a dronc’h mor koul/. lavarout
keu bilan t a ma trouc’h an train an ear,
hag e pemp pe c’houec’ti devez ar mor
ledan a zo eue an Europ hag an Amerik a
vez treuzet.
Evelato, bez’ ez euz c'hoaz listrl gant
gweiiou, hag ar seurt-ze a rank, a vare da
vare, choum pell braz er mor.
Kement-se a zo cüoarvezet gant al
lestrig Angelo Repito, euz an Iiali. 140
devez en deuz lakeet evit dont euz ar Brezil
d’arMediterranee ; ha martezee v?fe choumet pell c’hoaz er mor panefe ma oe kavet
gant bon listri a vrezel euz Toulon.
He vartoloded a oa dare da vervel gant
an naoun; pell a ioa n’o doa mui peadra
d'en em vaga ervad.
T o r fc to n r le n : n n a n a R-lask en em
la z a , c u n n tl a c’h o u te n n b c z a
d ib e n n e t. — David a zo unan euz al iakepoted kriz a reaz eleiz a dorfejou s’irijuz e
departamant au D^'om. Eet eookuiz enn he
briznnn e Valence, ha dlou weeti en deuz
klasket en em laza, ar wech kenta o
trouc’ha unan euz he voazied, ar wech all
o lonka tammou gwer bruzuuet.
Baenerieu Bourde.lt a varne, d’ar 5 euz ar
miz, eun tortetourall hanvet Job Grau. E
leac'h klask en em ziveac’hia, nen-man en
em zamrae he-unan :
« N’am beuz kenz ebed, c-rae z-han, re a
c'hou7a.ovau. ba beza kondaonet d’ar maro
e c hou'ennan, rak, meur a dorfid am b;nz
vrreet. Dre ze, bn'rr a : cz euz daouzek
vloi.z ’ zo pe wardro, e laziz pur vaouez goz
e Montferrier, e-kichi'nn Montpellier. »
Hogeu, ne oa ket tamallet evit ar
muntr-ze; ha rak-se ar varnerien a ziskleriaz e oa red gortoz. evit Le varn, ken
ma vezo gouezes mad lia gwic eo he
lavariou :
« la, gwireo, eme-z-ban, ha d’ar gillottin
a c houlénnan mont. »
D c s e rto n rle n n n A fr lk . — Enn noz
etre an 13 hag ar 14 a viz kerzu diveza, 53
soudard euz al « légion étrangère » a oa
teao’net kuit, son] o peuz ma-teze, euz
kazern Aïn-el-HadJar, er c horn douna euz
bro Oran. enn Afrik.
Divroidi oll e oint, hag enn ho fenn edo
an Atlmand Pa\, en doa laeret da wiska
dillad tua ofliser.
H jg hint ena hent etrezeg an henthouarn.
E gar Bou-Rached e pignont enn euu
train o tont da Orau. Enn traia-ze en em
gave ar jeneral Vigy hag ar c’horonet
Bouillon. N'euz fors, al laboused aro urz
d’ar mekaniker da gas an train war he giz ;
ha pa c’houlenn ar Jeneral Vigy peseurt
froudenn a zo savet enn ho fenn, Pal a
respont : « N’hoc’h anavezomp ket, n’o
piuz merk ebed da ziskouez ez oc’h va
jîueral; hag ouspinn-ze, urziou ambeuz
hag a rankan scvenl. »
Pa oa en em gavet an train enn eul
leac'h distro. ba dem-dost da harzou ar
Maroc, ar c’hanfarted a ziskennaz, hag a
beilaaz warzu ar Maroc, o krlal : « Vive
l’Allemagne 1 »
Hogeu, dre an neud orjal ar jeneral a
pasaz ar c’helou d’ar c baternlou tosta, hag
ar batred a oe tapet olî, abarz beza geliet
tlront ar Maroc.
IIo f'osez a zigoraz diinn dirag eur
chonseila vrezel, e Oran; ha dimeurs e
oant kondaonet :
Kattnr Pal da 20 vloaz gsleou ha <*a
100 lur aiaand ; pevar all, euz a zek da 18
vloa*. galeou, tri c'hoaz da bemp vloaz ;
hag ar 45 diveza da zaou vloaz prizoun.
D a rv o u d o u .
E keriadenn Tassel
13 dea azo bet stlejet gant an erc’h enn
eun toull doun, ha sebeliet eno.
— Dimerc’ner, dek den a laboure da
freuza eun ti koz e parret Gontell, nepartamant Pay-de-Dôme ; eun tal a gouezaz
war-n-ho. Tri anezho a oe lazel ha pevar
all gwall-c’bioazet.
— Enn Aotrich hag er Suis, 36 den a zo
bet sebeliet didan an erc’b ; e Sant-Jobam,
Aotrich, eun ti a zo freuzet gant pouez an
eic'h a oa war-n-han, ha 17 den flastret
cbarz ; kement all a zo c’hoarvezet gaut eun
ti all, e Azlago, Itali, ba tri zen flasfeet.
— E bro Arkausaz, 38 den a zo bet devet
enu eun tan-gwall.
gl Armou ba poultr evit ar Serbi e oa, eur
pennad ’ zo, e porz Salonik, o c'hedal aotre
an Turki evtt treuzi douar ar vro-man : an
aotre-ze a zo bet roet war gouleun ur Rosi,
ar Frans ha Bro-Zaoz._________________
K K L E I E R
l)a bc leac h e la an arc’h ant. — E
keariou braz a zo, ar
“
zlgoraz eun ti pe eurzall d al labourerien, a
c’piiie dre zc en em vola eaJoc h da il vi r
ètre-z ho diwar-beon ho ezommou. K lea.
c’btou a zo, ar gommna a roai war ar mare’had eur iàlc’hadlk arc’hant evit ma veto
easoc’h d’ezho paea mtzou ho at>ambieou
hag ho syndlealou. '
G w a s a zo, re aliez al labourorien, pe kentoc’h al laboused a gemerent da vistrl eun
ho zi — er « bouree du travati » evel ma lavaront, — a reaz impili fall gant an arc’hantze, pe da vlaaa ne c’helljont ket dlBkouez,
ez eaz ato gant an heht eeun euz ho laic h ,
T acheiîB a r ia o u a n k is
An deskadurez-mlcher (appren­
tissage)
Er C'hourrier ar26 a viz kerzu 1905,'ata
boa comzet euz an descadourien ; lavaret
am oa petra oa caoz m’az euz ken nebeut a
dud iaouank o teskt micheriou ; da viana
diskouezet am oa e ioa diou lezen ag o
devoa noazet kalz d’an descadourien, hini
an assurauç hag hini an devez a zfc heur ;
mez birio e fell ain eiskouez n'e ket ebken
al lezeonou-ze o dr.veuz gret droug d’an
« apprentissage, » bel ez ’ euzc'hoaz meur
a sbeg all.
Er renk kenta e kavomp ar mank anaoudegez on euz enz al lezennou o deuz reizet an deskadurez-'abour ; evlt-se e fell din,
e berr gomzou. o roï da anaout.
Betegliu an driva ’üvet cantvet, ar miche­
riou a oa oll etre daouarn bocieteou micherourien (les corporations) ; ar reman o
devoa peb hini e reolenn (statuts) ag ennhi
e oa merket au oll gonditionou a zell oaz
an nprentissage.
Da vicnerouuen ag mlstri an amzer-ze,
an apprentissage a zeblante beza an hent
kenta a necesser dre behini e ranket passeal evit anaout mad eur vicier ; mez dont
a reaz Revoluslon 1789 ag a ztBttuj ar c’horporationou mteberourien varzlgarezma oa
an oll kavatal dirag al lezen : setu digoran
...................
... ma kar
‘ pe!îb hini
hent evit an oll,
a rat evel
en e stai.
A n uizurz-ze a reaz eun droug-brat d’an
descadourien : ag dlvezatoc’h e velomp ar
gouarnamancaou cc'h ober lezennon evit
kompeza ar stai gueila ma c’hellopt. Kvelse
eul lezen euz an 22 a viz meurs 18U, a zçu
aie er staliou-labaor ^
da reiza
eun eli, euz ar 4 a viz meurs
... . aT verk
____
meur? 1§51.
éqr c'hontrat dre skrld, pe dre g o m th e b ­
ken, ette ar mestr ag an deScaSour.
A n diveza-ma dreist od e devlje
ober vad ma e vlje bet hl.beutltet.
al ltzen a lavar petra eo ar c’bontràt greal
etrè ar patron ag an (JeBkourLAr,c'pontw‘
n
o rrn a n H ‘û tW m A n ‘ f f f i
iur ''a
zo etra eme
peblnl eur patron, eur mlcherour, en em
obli] da *cskl e vlcher da eun den all, ag en
em obli] d e dro da labourat gantban evlt
ar c'hondlslonou dlspleget etreiho, ag cvlt
eun amier merket.
Ar o’hontrat dre skrld drel»t-oll a
teblante beta eun dra vad o veza ma roo
d’ar meitr konlz a d'an deskadour goarantlisamanchou an eli enep eglle ; evolso ar
c’bontrat a c'belte beza gret dlrag grefller
ar barner a beoc'h pò dlrag socretour eur
c'honBoll « prud’boinmca, » j\na gouste
nemed elz reai evlt al labour, pevar reai an
tlmbr, enr skoed etre tout.
> Mei, evlt beteg-ben, nebeut o dovetti
heulllet al leien-ze a great eur c’bontrat
dre skrld ; evlt dro ama n'az eo ket anavezet. Udii deicadour a voz kemeret gant
eur patron var goulen e dud, a setu ochu
tout : evolse e vnzo eaz d'ar patron, evlt au
dlatera dlgarez, taoler er meat anapprentl,
ag cina na c’hello lavaret ger. An upprentl,
d ouz e du, a c’bello kultat, ag ar mestr no
c'bello notra en o enep.
Ma vlje bnt gret eur c'bontrat dro skrld,
peb-unan cn devljo gcllotcelveregllo dlrag
an trlbuual, a kaout cun dlc'baou.
Reir co dispiega al loicn-ze, mes lavaret
Rin euz aoualc’h, a gredan, ovlt dlskoucz e
ve eun dra vad ober ar c'bontrat dro skrld.
Al loion-ze o devilo grot muloc’h a vad
ma vljo bet, evol o kalz brolou, punlslon
d’ar re n’o devljo ket heulllet anezhl ; ìucz
var ar poent-zo eo mud, a goaz a zo.
Uallet a vo c’boaz guellat staci an doscadourion oc’h heullla oaunoo’b oul lozen all
(10I du 11 Décombro 1830 sur Ina écoles
manuellca d’apprentlssage, modlll'n parla
lol budgé’.alro du SO Jauvler 1892). Al
lezen-zo a aotre ar parrezlou ag ar c’heaxiou dazlgoil skollou ovlt an descadourlen
hebkcn ; er re-man na vez dosket nemet
mlchoropvlou ; aotreal a ra Ivo dlgorl sko­
llou o pero sklanchou ar bed o deuz ar
renk kenta ag an drskadurcz mlcber ar
plao blhanna., Guelet a rromp skollou eur.
«n eli ag eglle dlgorct gant ar c'houarnamunt a gaut Boolétéou prlvet ; oli e renlont
kalz servlch. Hot e reer c'hoaz Bkol noz ovlt
ar pez a zoll ouz pcb mlcber c kalz kearlou ;
an dra-zo c’hoaz ;a c'bell ober kalz vad :
mez skulza an descadourlen a ra lve. Red
h ve kemeret evlt so var an amzor a b.ia■eont er staMabour; aman ar c'houarnninant a ve o devcr obhja ar vlstri d’iicn
obar*
Moz ar vad brassa a c’bel dont euz perz
urslndlcalou o-unan, pero a o'helfe digerì
an oli akollou-zo ma vontkrenv bagunanot
■trlz entrezo. Da c’hedal, o vo gellet martreze digerì concourlou etre deacadourten
ar memez parrez no canton, evel ma reer
e Gbartr Lag e Nlm ; roet a vez eun
dlplOme d'an appronti, a ganthonnez o kav
caaoo’h labour| an dra-ze a ro oourej
d’e^ban da ober guelloo’h ag Ivo d’e veatr,
blis en fait, k la place des gouvernements
antérieurs qui, en fait, ne sont plus...
» Quoi qu’il en soit de ces transforma­
tions extruordlnslrea dans la vie des peuilea, dont 11 appartient k Dieu de calculer
es lois, et k 1hommo d’utiliser les consé­
quences, l’honneur ot la conscience réclament, en tout état de choses, une subordinalion sinedro aux gouvernements consti­
tués ; 11 la faut au nom de co droit souve­
rain indiscutable, Inaliénable, qui s’appelle
la raison du bien social. Qu’en serutt-11, en
effet, do l’bonnour et do la conscience, s’il
était permis au citoyen do sacrifier, à ses
visées personnelles et A ses attachements
de parti, les bienfaits de la tranquillité
publique ?...
» ...Les hommes qui subordonneraient
tout au triomphe préalable de leur parti
respectif, filt-ce pour le prétexte qu’il leur
parait le nlus apto à la défense religieuse,
seraient di'j lots convaincus de faire passer,
cn fait, pur un funeste renversement des
idées, la politique qui divise avant la religion
qui unit. Et ce serait leur faute, si nos enne­
mis exploitant Icui s divisions, comme Ils no
l’ont q io trou fait, parvenaient finalement
a Ica ccruscr tous...
» ... Notre but, en dlaant aux catboliquea
Français d’accepter le gouvernement cons­
titué, n ’a été et n’est autre encore que la
sauvegarde des intérêts religieux qui nous
aont confiés. >
Î
(LMtrn do L io n X I I I nux oardlnnux Françnls,
3 mal 180»).
Dlra-t-on que la dootrlnn do l’EglIse n changé
depuis l'nvônuonent de Pie X ? D’nucuns vont lus.
qu A lo pr6tendro ; nous estimons, quunt A nous,
quo o'ost 1A une lu|uro pour la Pape.
Au resto, voici uos uocumouls pleinement âdl-
Dants.
« Lo Saint-Siège... n’a pas cessé et ne
cesse pas d'inBlatcr auprès do tous lea
catholiques, et, en particulier, auprès des
Etêqaes, «Un qu'ils adhérant, sans arrièrepensée au réijiiiio républicain. »
(Lottro du 110 mars IUO'i . du cnrdlnal Morry del
Vul, soorôlulro d’Htat du S nlnl HIègc, A Mgr I.orei'/.olll, nonco A Paris, publiée duus lo Llvro
Dluno du Bnlnt*B16go.)
Autro document du Llvro Dlunc.
« L’Eglise, dont la divine mlsîion s’étend
k tous les temps et A tous les lieux, n’a,
dans sa constitution et ses enseignements,
rien d’incompatible avt c les diverses formes
de gouvernement... S Inspirant de cette
haut« conception, et suivant la tradition
do tous les siècles, le SaiDt-Siège respecte
les pouvoirs constitués, qu’üs soient monar­
chiques ou républicains... Laissant aux
catholiques pleine ilborté de discuter quelle
est la meilleure des diverses formes de
gouvernement, Il leur Inculque lo respect
do la forme établie, mémo si c’est au prix
tehinIJa boanlo muloc'h gantban ; ovlt ar do crises violentes que cette forme a rem­
ury na vezo choazet nomed tud a vlcber, placé uno autre, parce que la conservation
e pere o c'helllmp kaout llzlauz da velot ar do l'ordre pi b',te est le plus urgent des
prlzlon roet gant Justl^..
besoins d'une société et le premier devoir
Deomp ni co, tud laouanc krlstcn, da des citoyens. »
studia an oli draou-ze, a d'ho hada on dro
deomp ; ag esperout a rau eur c'hclc h*
C ’est co quo rappollo Mgr Dadolle, évfiquo do
■ludi benaga gavo guelloo’h egedon. Kuraz
dnus son umndeniiiut pour lo piesent
a ven da vlana da anaout santlmanchou va Dijon,
Gutflmo :
o'bamaladet var ar poont-ze, ha dio zo ou
« L’Eglise n'est pas un parti... L’union
devezo gounezet karantez ag llzlanz memes
et la paix sont le but qu’elle poursuit dans
on enebouilen.
M athusalem.
les sociétés au milieu desquelles la Proi-(
deoce la fait vivre. Sans vouloir ravir à
chacun de ses enfanta scs préférences et
ses rêves particuliers, aile commande la
soumission et lo respect envers les pou­
voirs établis. »
A uns Opoquo où lot « onlhollquos athées » do
Ì
VÉRITÉS MÉCONNUES
l'A. F. ossuyont do dlsorértltor iuiih coux qui no
orient pas uveo eux « A bus la Uuouse », Il ue
sera peut-Atre pus hors de propos do rnppelor Ici
quelques-uns dos docuinonl» oflljIoIh <| il ont
tracé la condulio A toulr pur los oatluliquos A
l'égard des pouvoirs étubll».
' O a conviendra sans doulo qu'ils ont pour 1«
motus autant de poids quo les nlltrmutlous Inté­
ressées de tou» cos tbtologlons un robe courte,
dont quelquos r u m spécimens s'agitent, autour
de nous.
« Divers; gouverne melila politiques 80
sont succédé en Trance dans le cours du
ce siècle, et chacun avec sa forme distinc­
tive : Empires. Monarchies. Républiques.
Un se renfermant dans l«s abstractions, on
arriverait à définir quelle est la meilleure
de ces formes, considérées en ellcs>mémcs...
Dana cet ordre d'idéea spéculatif, les catbollquea, comme tout citoyen, ont pleine
liberté do préférer une foi ma de gouver­
nement k l’autre... »
Mais, « on ne rencontre pas chez to'is
les pouplcs le pouvoir politique sous uno
môme forme ; chacun possède la sienne
propre. Gotte forme naît do l’onsemblo
des clrconstannes historiques ou natio­
nales, raala toujours humaines, qui font
surgir dana une nation seB lois tradition­
nelles et môme fondamentales ; et par
uellea-cl se trouve déterminée telle forme
particulière de gouvernement, telle buse
de transmission des pouvoirs suprêmes.
» inutile de rappoler que tous les indi­
vidus sont tenus d'uccepior ces gouvornements,'et4de\,no Wonj.ftmior pour los ren­
verser ou pour on changer la furino. Do là
vient que l'tigllse, gardienne do la plus
vraie ot de la plus haute notion Bur la sou­
veraineté politique, puisqu'elle la fait déri­
ver de Dieu, a toujours réprouvé les doc­
trines ot toujours condamné les hommes
rebelles à l‘»'utoritè légitimo. Et cela, dana
les temps môme où les dépositaires du pou­
voir en abusaient contre Elle. »
G’est qu'en effet, « dans toute hypothèse,
le pouvoir civil, considéré comme tel, est
do Dieu et toujours do Dlou : « car 11 n’y a
point de pouvoir b1 ce n'eat do Dieu. »
» Par conséquent, lorsque les nouveaux
gouvernements qui repiéaentent cet Im ­
muable pouvoir Bout constitués, les accep­
ter n’est pas seulement permis, mais récla­
mé, voire même imposé par la néceasité
du bien Bcciul qui Ich a faits et Ica main­
tient...
» Par là s’explique d’ello-mCme la sagesse
de l’Bgllse dans le maintien de ses rela­
tions avec les nombreux gouvernements
qw se sont succédé en Trance, en molnB
a ’un siècle, et Jamais Bans produire des
gecouBB&s violent»« et. profondes. Uno tolto
attltudo est la plus «Oro et la plus salutai ro
ligne do conduite pour tous les Français,
dana leurs rolatious civiles avec la Republlquo, qui est lo gouvornement actuel do
leur nation...
n Et voila précisément lo terruln sur
lequel, tout dissentiment politique mis à
part, les gons do bien doivent s’unir comtno
un seul homme pour combattre, par tous
les moyens légaux et honnête», ces abus
progressifs de la législation. »
(F.ooyr.ilqun, ytt( m ilie u de* sollicitudes, do
L io n X I I I nux oatbollqiios ilo Franc» (in fô>
vrlor IH'j'i).
« Mais lo but, une foia précisé (arrfltor
la Franco sur la ponto qui la mène aux
abîmes), lo besoin d’union pour l'attclndro
une fois admis, quels seront les moyms
d'assurer cette union 'I
i< Nous,lavons également expliqué et
Nous tenons à le redlro, pour que personne
no bo méprenne sur Notio enseignement :
un do ces moyens est d’oeosplor sans
urrièro-p*nsi», avec cette loyauté parfaite
ui convient au chrétien, lo pouvoir civil
ans la iorrao oti, de fait, Il exlsto...
» Et la raison de cette acceptation, c’est
que le blan commun do la société remporte
sur tout autre Intérêt; car 11 est lo prin­
cipe créateur, Il est l élomefct conservateur
de la société h 'malne ; d’où il suit que tout
vrai citoyen doit lo vouloir et le procurer à
tout prix,..
i Lors donc, que dans une société, il
existe un pouvoir constitué et mis k »’couvre,
1intérêt commun se trouve lié k oe pouvoir,
et i'on doit, pour cette raison, l’accepter
tel qu'il est. G’est pour ces motifs ot dans
ce sens que Nous avons dit aux catholiques
Français i Acctptez la République, o’est-âdlre le pouvoir constitue et existant parmi
vous; respectez-le; soyez-lut soumis comme
représentant lei tpouvoir vonu de Dieu.,
a
• En politique plus qu'alllouru, survienr
nent des changements inattendus. Des mo­
narchie* colossales s’écroulent on se dé­
membrent .. ües changements sont loin
d’être toujours légitimes k l’origine ; Il est
même difficile qu'ils le soient. Pourtant le
critérium suprême du bien commun et do
la tranquillité publique, impose l'acccptaiitin Al ces nouveaux gouvernements éta­
Vout-on l’avis de Mgr Dupnrc, notro évêque ?
Voici co quo nous lisons dans sa lettro pastorale
du 50 tôvilor 1008, écrite A l’ooouBlon do su prlso
ilo possession do touslégo iplscopnl :
« Toutes les divisions actuelles viennent
do nos déliais sur la forme du gouverne­
ment. S'ir le reste, noua sommes’d’accord.
» Consultons l’Eglise, et parlons loyale­
ment
» I/Eifllso ne maudit aucune forme de
gouvernement. Elle n’a même pas hésité à
les bénir toutes, k travers l’hlatoire, dans
la rassure où elle pouvait s’en accommoder
pour lo salut des âmes. Elle a su tenir
compte des événements providentiels plus
forts quo les volontés humaines, et même
des erreurs do conduite qui entraînaient
parfois toute une nation loin de ses votes
tradltlonnellc.setqi’aucuneforcecrééon’eilt
été capable d en liguer. Lo sens pratique
des choses possibles lui a permis de conti­
nuer son apos’oiat, A travers les persécu­
tions ot lea révolutions ; — sans courber la
tête, môme quand elle se résignait aux
réRlmcs les plus tyranniques ; — on lutte
contre les lois mauvaises, tout en se sou­
mettant aux gouvernements établis; — et
travaillant a l'assainissement et A la mora­
lisation dos démocratits comme des aris ocratles sans s'insurger contre elles. Ainsi
a-t-elle fini toujours par conquérir sa liberté
et celle des ftmes. Lo respect de la Consti­
tution n’a Jamais entrave ses progrès, ni
rendu plus difficile la défense de ses droits,
ni éloigné d'elle les citoyens honnêtes, ni
entame la pureté de sa doctrine ou de sa
morale. Elle a trouvé, daus cette attitude
pacifique et lière, sa meilleure force pour
travailler A l'abolition deu lois opniessiv.’s
et A l’événement d’hommes d’E;at plus
sages et plus Justes. G était l'avis de
Léon X I I I: c'est encore celui de Pie X Ils
donnent voua lea deux pour base au tiruupoment des catholiques, pour la défense de
leurs Intérêts religieux, le sacrifice de leu-s
préférences personnelles en matière cons­
titutionnelle et l'acceptation de la forme
du gouvernement voulu par le peuple, sans
rel'usor aux autres constitutions politiques
l'estime et la reconnaissance qui leur sont
dues, pour un passé bienfaisant et glorieux.
Il nous semble que cetto attitude est dictée
par la sagesse même. »
Pour on noir, redisons, nveo Léon X III, que
ce reapeot dit aux pouvoirs constitués « ue peut
Imposor ni lo respoot, ni boaucoup moins l'obéis­
sance sans limite A toute mosuro législative quel­
conque édictée pnr cos mémos pouvoirs. »
Mais « tous los moyons » ne sont pus A upprouvor pour combuttro lus muuvulsos lois, nonobstunt
co quo pré,-lie cortulno écolo topngeuse. C'est
Plo X lut-nidmo qui lo ruppello dans sa lettre
encyclique du 10 août IHOfi rejetant los nssoclutlous cultuelles :
« Ainsi donc que les hommes catholi­
ques de France, b’iib veulent vraiment Nous
témoigner leur soumission et leur dévoue­
ment, luttent, pour l’Egiibe, selon leB aver­
tissements que Nous leur avons déjà don­
nés, c’est-à-dire avec persévérance et énerglo, sans agir toutefois d’une façon sédi­
tieuse et violente. Go n'est point |ur la vio­
lence mais par la fermeté qu'ils arriveront,
en a'onfermant dans leur bon droit comme
dans uue citadelle, à briser l'obstination do
leurs ennemis. »
CHRONIQUE LOCALE
V o te s de n o s R e p ré s e n ta n ts
A LA GIIAM IW E
Im pôt sur lo revenu
.SVanco du 5 mais 1909
Scrutin sur la proposition d» M. Lasles de
passer A un» 2* délibération du projet do lol.
Pour l’adopilon, 1M ; contre, 371.
Votèrent p o u r : MW. Blétry, G&yraud, de Mun,
Vllllnrs ;
Votèrent o o n tr e : MM. Cloareo, Uubutsson,
llalltgu o n , Le Unll.
Absent : M. Hémon, de même que pour les
•orutlns suivants.
Séance du S mars 1909
Horatln sur l'afllohngn du dlooours do M. C ail­
loux, mlnlstro des finances.
Pour l'adoption, 337 ; contre, 110.
Voteront p o n r : MM. Cloarno. Dubulsson,
Hnlléguen, Le Bail, Le Louédeo ;
Votèrent o o n tp * i MM. B létry, do Mun, VIIlléra.
'
Abstenu : M. Gayraud.
Séance du 9 mars 1909
Scrutin sur l’onsemble du projet de lol portant
établissement d’un Im pôt uur lea revenus.
Pour l'adoptlou, 388 ; contra, 110.
, Cette mluorlté se décompose ainsi :
Z radicaux; — 8 républicains de gauche ; —
0 républicains de t’nnlon républicaine ; — 1 radi­
cal Indépendant ; — S0 républicains | „
— Ui membres de la droite ; 10 nationalistes ; —
1 antlsoclallste.
Votèrent p o u r : MM. Cloarec, Dubulsson,
Gayraud, Ilalléguen, Le Bail, Le Louédec ;
Votèrent contre : MM. Blétry, de Muu, Vllllers.
Avant le scrutin, M. l’abbé Gayraud lit uno décla­
ration, dont nous donnons le résumé d'après le
compta rendu analytique officiel de lu Chumbre.
M , G a y r a u d . — Avant do voter l'ensemble
du projet, le tiens A expliquer mon vote. Je n'at
nullemunt l'intention d'approuver tous los aitlcles
de ce projet. Je me suis prononcé contre un
assez grand nombre, et s’il s'agissait A cotte
heuro d'émattre un vote déflaltll, j'bésllorals ,
muls le soul effet du scrutin qui va s'ouvrlr sera
ou de retarder indéfiniment cette réforme ou de
l'envoyer au Sénat pour qu'il on poursulvo utiloniont l'étude.
Or, tout le monde est A peu près d ’accord sur
les nombreuses Iniquités des Impôts actuels ot sur
ln nécosslté de changer notre régime fiscal. Uno
majorité considérable s'est prononcéo pour le
prluclpo do l'impôt Bur lo revenu. Los grandos
lignes du projet me paraissent conformes a la
Justice, je ne saurais donc m'opposor A ce quo la
réforme tusse uu pus on avant et que lo Sénat cn
soit saisi.
Ou peut ospérer qu'il nous renverra un projet
daus lequel les vexations, tracnsBorlos ot Inquisi­
tions flicules seront moins A craindre, oïl lo
principe do l ’égalité devunt l'im pôt sera plolnomont respocté on même temps que le nombre dos
contribuables frappés par l'im pôt complémen­
taire se trouvora sagement accru. VollA pourquoi,
dans ce sorutln sur l'onsomble, Je voterai pour
l'envol do la réforme devant le Sénat (A pplau­
dissements).
ASSISES DU FINISTÈRE
La prochaine seasion des assises du
Flnlslère B’ouvrlra à Qalmper le lundi
2G avril prochain, sous la présidence de
M. le conseiller Savidan, ayant comme
assesseurs MM. Chauvin, Juge, et Ely,
juge suppléant au tribunal de première
Instance de Quimper.
Ces raisons psychologiques expliquent en
partie la décadence de la poterie.
L’arrivée sur les marchés des ustensiles
en fer-blanc porta le premier coup à l’in­
dustrie.
Qcs ustensiles vendus à trèB bon marché
remplaçaient avantageusement les lourds
et dlagracleux ustensiles sortis des fours
de Lanveur.
L’Introduction des écrémeuses dans près
que toutes les fermes, rendit inutile l’achat
ae terrines où l’on versait le lait pour
1écrémer quelques Jours après la traction.
Or ces terrines étaient un article très de
mandé.
Peu à peu, les marchés se fermèrent, les
débouchés devinrent ïares; et l’industrie
périclita, parce qu’elle ne pouvait nourrir
tout le monde.
Quelques familles de potiers émigrèrent
en ville; d’autres continuèrent le métier
dans des fnli-ucenea ou usioea de poterlea
Installées à la moderne, de la région. Lé
plus grand nombre cependant ne quittèrent
pas le paya, mais demandèreat à l’agiiculture le pain que leur refusait la poterie.
Elles poussèrent la charrue daus leur ter­
rain rocailleux et argileux, et là où végé­
taient des landes rabougries, se levèrent
des épis de blé, non pas encore drus et
serrés, car la terre est ingrate, mais four­
nissant cependant une moisson assez ab jn
d&nte pour nourrir toute la maisonnée.
Ceux qui sont restés fidèles à leur ancien
métier ont été récompensés de leur fidé­
lité. Les prix des ustensiles en terre qui
étaient ridiculement bas, se sont to it '
coup relevés.
C’est un signe que, si des compétences
dévouées vomalent relever cette industrie
qui s’en va, elles pourraient encore la sau­
ver de la mort.
G. L éon.
L’U n io n R é g io n a iis t e B r e to n n e
17 mars. Les opérations commenceront à midi et
demi. Uoe somme de 4 860 frauc«, accordée fur
les fonds du gouvernemeut de la République, fera
répartie en 38 primes, dont voici les lotaux : 726 fr.,
676 fr., 676 ir., 676 fr., 620 fr., quatre primes de
170 fr., six primes de 60 fr., quatre primes de
66 fr, et deux primes de 60 fr. Ce sont les primes
des pouliches de trois ans. Pour les poulicnes de
deux ans, une somme de 2.260 francs, dont 2.100
francs accordés par le département et 160 fr. sur
les fonds de la société, sera répartie en 34 primes,
ainsi qu'il suit : uno prime de 230 fr., une prime
de 18J fr., une prime do 160 fr., une prim e de
120 fr., une prime de 110 fr., une prim e de 90 fr.,
une primo ae 80 fr., huit primes de 60 fr., deux
primes de 60 fr., cinq primes de 40 fr., rlx primes
de 36 fr., cinq primes de 30 fr. Une médaille en
vermeil, offerte par la Société des agriculteurs
do France, tera décernée à la poulinière de deux
ans classée la première. Une médaille en argent,
offerte par M. le comte de Mun, député du Finis­
tère, sera décernée à la pouliche classée la fé ­
condé. Uno médaille de oror ze, offerte par la
Société des agriculteurs de Frauce, sera décer­
née à la pouliche classée la troisième. Les éleveurs
sont provenus que la présentation commencera
par la lettre G.
Les Jurys chargés de décerner les prime/» dans
les concours de pouliches sont ainsi composés :
MM. Olllvler, Inspecteur général des haras du 3*
arrondissement ou son délégué président ; le
colonel commandant la circonscription do remonte
de Gaen ou son délégué. A ces membres, devant
opérer daus les deux sections, seront adjoints
pour les pouliches do 3 aus : MM. A. do Guébrlant, président do la société hippique de SalntPol-de-Léon ; Le Morvan, mêdecln*vêtêrlnalre à
Salnt-Pol-do-Léon ; membres suppléants, J.-M.
Rosec, propriétaire A Mespaul, ot Buors, médecinvétérinaire à Salnt-Pol-de-L6on. — Pour les pou­
liches de 2 ans : MM. Jean-Mario Rozec, pro­
priétaire A Mespaul ; Buors, vétérinaire à BalntPol-de-Léon ; membres suppléants, Le Morvan,
vétérinaire à 8alnt-Pol-de-Léon, et René Olllvler,
propriétaire à Plouénan.
CAUSERIE_ JURIDIQUE
T r o p de z è le
En général, l'on admet que la rue de Slam e it
aussi claire ta «olr que lo jo u r. A quoi rime alors
le procès-verbal dressé jeudi, A 7 heures, pour
défaut d'éclolrage, A d e i pajssns s'on retournant
d une foire en conduisant daux chars-A-bancs
devant le n* 87 de celle vole f
'
Il faisait clair, en pffet, puisque les agents pou­
vaient sans difficulté et lire les noms des plaques
et les transcrire sur leurs calepins.
Mais, ainsi que le disait un passant. • les pas­
sons sont des parlas, on les écorche de tou os
manières, et ça vaudra de l ’avancement aux
agents. >
Q u ’on leur donne donc de l'avancement ; mais
q u ils attendent po r appliquer dos cODtraver..
tïocB pour défaut d'éclairage, que l ’wn soit IA cù
I on a besoin d'élro éclairé.
C ’est ce qu’avalent compris les autres agents
rencontres par ces paysans dans la rue de Paris
et dans la partie supérieure de la rue de Slam.
Et c est juste i l’endroit le mieux éclairé de celle
rue que ics délinquants lurent arrêtés I
Nous trouvons qae c’est tout simplement rHI.
cule. el volontiers nous eussions dressé deux
procès-verbaux aux verballsateura : un pour
obstruction de la vole publique, un autre pour
avoir uccaelonné un rassemblement Intempestif.
H an rec
R e m o n te . — L a commission de remonte do
1'aru.ée s’e»t réunie A la gare de Hanvec, sous la
présidence du M. le chef d’escadron Seigneur.
80 chevaux environ ont été présentés et trois
achetés dont un à M. PIriou, de Hanvec, pour le
prix de 1.025 francs, un autre A M. Qullllou, do
RosnoC.,, c l le troisième A M. <3oasguen, de Rosnoèn. Ces deux derulera pour la somme de
1.000 francs chacun.
li’A b e r w ra c h
M ort subite. — Un vieillard, Yves Cadour, demeurant à Saint-Antoioe, en Landéda, quittait le port de l’Aberwrach lundi
soir, vers cinq heurts, pour se rendre chez
lui, qaan-l, arrivé près du douet Salnt-Antolne, il s’affaissa subitement-, pris proba­
blement de congestion. Des enfants, qui
Jouaient près de la, appâtèrent les voisins
qui. accourus, constatèrent que Cadour
avait cesse de vivre. Ds relevèrent le corps
et le transportèrent chez lut.
L a m b é z e llc c
V ic tim e d n f r o id — Samedi dernier,
datis la mati'iée, Mme veuve Mallé|ac, âgée
de 01 ans, habitant au village de TraoLq^izac en Lambézellec, a été trouvée mjrte
dans sa chambre, des suites d’une conges­
tion : il est vrai que cette personne avait
de fâcheuses habitudes d'intempérance ;
mais malgré cette circonstance, c’est sur­
tout au froid qu’il faut attribaer ce décèt.
L a n d e rn e a u
Un singulier voyageur. — La semaine
derrière, dans la journée de mercredi, arri
vait à Landerneau, un monsieur élégam­
ment vêtu, se disant voyageur et ii,s de la
maison Violet Lères, fabricant des byrrtis.
Dans les cafés, où il passa, il régala to rs
les clients et le soir très pomp^rte. n Re­
présentait à l’tôtel de la Croix dO-. V
son état d’ivresse, on refusa de l’accepr.Ki
Notre homme entra dans ure violent
colère, puis se mit à frapper les hôtelic.
M. Richard, courtier-maritime, en voulant,
les défendre, reçut une bouteille à la t ê e
On le maîtrisa et on le iraîna A la mai: i
où le commissaire rte police l’interrogea
L’individu prétendit d’aborJ s’app'-l r
Dcsprez: puis, pressé de questions, i, dit
que son vrai nom était André et il présenta
au magistrat un livret militaire à ce non..
M. Pascault poussa plus loin ses investi g tlons, et c’est alors que le-singulier v,.ya
geur déclara se nommer Symfred et êtrné à Glasgow en 1879.
Fouillé, il fat. trouvé porteur de lettres ft
de papiers émanant de différentes maisons
de commerce de Rouen, d’une somme de.
80 francs et d’on trousseau de 43 clefs de
petite dimension, pouvant servir à 1ouver­
ture de malles, coffrets, réticules, etc.
Q iestionné sur l’emploi de toutes ces
cltl'i, Symfred dit qu’il les avait conser­
vées depuis le temps où il fut mécanicien à
Jersey.
Convaincu de coups et blessures, cet
individu a été écroué au violon municipal
et vendredi soir, il a été conduit, sous
bonne escorte, au parquet de Brest.
L'affaire de M . l'abbé Jou a nn e. —
M. l'abbé Jouanne devait comparal-re le
vendredi 12 mars devant le tribunal correc­
tionnel de Brest.
Son affaire est renvoyée S une date ulté­
rieure, le Parquet de Brest ay-nt omis de
faire parvenir à temps les citations de
témoins.
L a n n illu
C h a s s e a u x r e n a r d s . — Les nemrods
Lannillsiens font une véritable hécatomb;
de renards.
Ceux-ci étaient très nombreux dans la
région car depuis deux ans, on ne les
avait pas chassés.
A la fermeture de la chasse du gibier
ordinaire, plusieurs chasseurs ont pris des
permis pour la chasse au renard. Entre
Lannllis et Landéda, du côté de l’AberBenoit, ils ont déjà tué nne quinzaine de
renards.
Les poules et les coqs ne s’en plaindront
pas.
Des règles particulière s au x ba u x à.
ferme (suite). — Vous êtes feimier et la
L'Union Régionaiiste Bretonne a tenu,
récolté pourrait être passable ou bonne.
LA RECOMPENSE DU COURAGE
cette année, ses assises d’niver à Pont- Tout à coup le ciel se charge ; teu.pête,
cbà'eau, dans la Loire-Ioférieure, du 5 au
foudre,
grêie, voilà votre récolte Irrémé­
Lo ministre de la mnrlno n accordé los récom8 mars.
diablement perdue en tout ou en partie.
peusos suivantes, pour faits de sauvetage aux
Les
deux
principales
questions
examinées
Qui doit supporter la perte occasionnée par
jioi sonne» désignée:* cl-après :
dans les séances de travaux furent l’i mi­ ce cas fortuit, dans le cas où votre bail ne
Los matelots Inscrits A Q ulmpor Louis Auffret,
gration bretonne et la création d'une fête
contient à ce sujet aucune stipulation ?
médaltlo do bronze ; François Tunnlou, Guillaum e
nationale pour la Bretagne.
(Il demeure bien entendu que nous ne par­
Tnuneuu, Jonn Souron, Pierre Le Tantor, Louis
M. le docteur Le Fur parla de I'émi
lons de foudre, de grêle, de tempête sévis­
Kouron, Eugèno AufTrot, Jonn Jégou, Joun Lo
graiion. Il était qualifié pour traiter ce sant sur une bonne récolte que pour
l l r i ’/.on, Gullluum o Le Popo, Nofil Andro, Pierre
sujet, car à Paris, Il se consacre avec un
Anuro, Joseph Jégou, grutlflcutlon de 15 tr. : se
prendre un exemple fréquent. La situation
sont portés, A bord du cunot do sauvetngo MitInlassable dévoûment au soulagement des serait exactement la même si la récolte
vinn-Pot/denot, uu secours do l'équipage de lu
Bretons
avait eu à souffrir d’un autre cas fortuit.)
pmto La Joie, chavlréo A l'ontréo du port do
L’émigration bretonne est, a dit le D r Le Telle est la question que nous avons a
H'dut-Guénolo (Ponmnrc'h), lo 33 décembre t'JOB.
Fur,
uu
mal
nécessaire
qu'il
faut
savoir
étudier aujourd’hui.
Une m ention honorable n élé odresféo A M.
«limiter et organiser». Les causes qui le
La réponse à la question que r.ous
Illulse, inu'cbuntl do draps A Qulmperlé, qui, lo
provoquent sont d'abord les conditions venons de poser est assez complexe et
33 septembre 1008, a coopéré A l ’urrostatlon d'un
économiques, trèi mauvaises de la vie exige de nombreuses oistlnctions. Il y a
fou furieux.
en Bretagne et la « dénationalisation » du
d’abord une règle générale que l’on p;ut
Breton ; cnten JonH par là son détachement
indiquer: si la perte occasionnée à la ré;olte
po ir tout ce qui touche au pays.
par la grêle, la foudre, etc., est moindre
Quels remèdes employer contre ce mal? que la moitié de cette récolte, ce sera le
1) abord 11 faut « améliorer les conditions fermier seul qui supportera cttte perte. Il
de
la vie économique » en Bretagne même ; ne lui sera pas possible de la faire supoor.
L a p o te r le île l’io u v le n
si les Bretons trouvent eùez eux le mieux
ter par le propriétaire. Pour que ceiui-cl
et de L a n n llis
être ils ne tenteront pas — ou moins en
puisse être obligé de subir une diminution
tous cas — de le chercher ailleurs.
du prix du bsil parce que la récolte a été
La ligne de chemin de 1er de Brest à
Ce qu’il faut encore, c’est, en lui faisant
endommagée par un cas fortuit, il faut que
l’Aberwrach traverse, aux bmltes des com­ connaître l'histoire da sou pays, y ratta­
le dommage subi par la dite récolte sa tra­
munes de Plouvien et de Lannllis, un pla­
cher le Br"tcn ; à C6tte œuvre, il faut em­ duise au moins par la perte de la moitié.
teau dont la relative arWite contraste avec ployer toutes les manifestations de la vie
Ceci etaat bien posé et admis une fois
la fertilité des grasses terres qui le bordent.
locale, les maintenir, les faire revivre :
pour toutes, supposons que la moitié de la
Ce plateau est constitué par un terrain
pardons, lôtes, théa're, etc.; cn un mot,
récolte,
leu trois quarts ou mêm<‘ la totalité
argileux qui convient mal à la culture,
les intéresser à la vie locale.
ait été détruite par la grêle. Dans queln
mais qui, à cause de sa nature même, vit
Ce sont là les remèdes préventifs ; mais
cas sera-ce le fermier qui en souffrira, dac"
naître une industrie locale : la poterie.
autre chose est le mal de l’émlgration, uue
quels cas sera ce le propriétaire ?
Jadis, une cinquantaine de familles, ha­
fois faite ; ators il faut avoir recours aux
Il faut faire encore une distinction. Ou
bitant Plouvien et surtout Lanrilis, vivaient
remèdes curatifs.
bien le bail n’est que d'une année, ou bien
de cette industrie. Aujourd’hui, on en
Améliorer les conditions d'existence des il est d’une durée plus longue. Peu importe
compte à peine une douzaine et, sous peu,
émigrés est un de ces remèdes; les aider d’ailleurs que ce soit un bail verbal ou ud
le dernier potier aura vécu.
à trouver un emploi à Paris ; la « Mutualité
bail écrit.
On parle aujourd hui beaucoup de rolever
Bretonne » a fondé à Paris, 57, rue de
Examinons d'abord le premier cas. La
les Industries locales ; mais pour les re
Vauglrard, un bureau de placement qui a solution cette fols est très simple. Elle est
lever il faut connaître les causeB de leur
déià donné d’üeureux résultats.
donnée par l’article 1770 du code civil dont
décadence progressive ; nous en retrou­
E jsuite les grouper, les l'aire se connaître,
voici le texte : « Si le bail n'est que d’une
verons quelques-unes, dans la courte mo­
s’entraider, et en môme temps leur refaire année, et que la perte soit de la totalité dts
nographie da l’industrie de ia poterie, que
un milieu breton, de sorte que ces déracl- fruits, ou au moins de la moitié, le preneur
nous allons esquisser.
tés scient au moins des « transplantés ». sera déchargé d'une partie proportionnel e
Il y a vingt an», leo hameaux qui s’ac
Eulia, M le docteur Le Fur a proposé la
du prix de la location. Il ne pourra préten­
crochent aux lianes du plateau ae Lar veur,
création d'un comité d’émigration compose
dre Aaucune remise si la perte est moindre
donnaient l'impression de petites cités ou­
de notabilités bretonnes et de toutes les
de
moitié. » D j e c dann le cas dont nflius
vrières bourdonnantes d’activité.
personnes intéressées à cette question, de
nous occupons actuellement c’est le pro­
Les hommes creusaient sans relâche le façon à pouvoir aboutir rapidement à des
priétaire et non pas le fermier qui do't *np
terrain avoislnant, pour en extraire l'argile
solutions pratiques et réalisables.
porter la perte.
que l’on accumulait en mottes aux rehor ls
Dans uu article paru dans un journal réTraduisons ceci en un exemple. Vous
aes trousLes excavations aiosi faites n'é­
ional 1 1 reproduit par le journal Le Breton
avez loué pour une année un ciamp au
taient Jamais comblées, et le voyageur non
e Parix, dont M. le docteur Le Fur est le prix de cent francs. Un orage détruit les
prévenu, en s’égarant de ce cOté, pouvait [ directeur, nous avions nous même de­
trois quarts de votre récolte. Le proprié­
les prendre pour des fosses, telles que l’on
mandé eu août dernier la formation d’un
taire devra subir une diminution du prix
en creuse près d'un champ de bataille, pocr
tel groupe.
de son fermage proportionnel au désastre,
y Jeter, j'êle-mêle, les cadavres des com­
Sur la questiou d’une fête nationale bre­
c'est-à-dire une diminution des troisquarts.
battants.
tonne, voici le vœu émis :
Vous n’aurez donc que vinjjt-cinq Lares
Ces mottes apportées A la maison étaient
Lo congrès après avoir entendu diverses obser­ au lieu de cent francs à lui verser comme
étendues sur des aires où, à c o u d s de fléau,
vations sur l’établissement d'une féto nationale
prix
de votre bail d'un an.
on les ré luisait en poussière. Cette pous­ bretonne décide quo cette très Intéressante ques­
Si la durée du bail est supérieure à une
sière, mélangée à 1eau, devenait la terre
tion est désormais recommandée A l'étudo toute
année la solution donnée par le code civil
maniable qui, b o u s des doigts agiles, allait
spéciale de ses membres, et qu'il y a lieu do déà la question qui ncrus oeoupe n’est plus
tormlncr au plus tôt quel est le pertonnage le
se muer e,i pots de toutes les formes.
aussi simple. Nous l'étudierons daus les
C’est aux femmes de travailler main­ plus connu, te plus veniró et te plue populaire
prochaines causeries.
J. D.
de
notre
hlstolio
nm
lonalu
dont
1
1
conviendrait
tenant.
d'adoptor l'nnntversnlre ou la féto comme Pile
A sbIhcs dans nne grange, ou au fond de
nationale bretonne.
la maison, elles étales l’argile humide sur
un tour en bois, auquel elles imprimant un
mouvement rapide de rotation.
Peu à pnu, la forme se dessine ; d'un
coup de pouc<\ les ouvrières corrigent lea
BREST
C h u te . — Samedi dornler, dans la matinée,
CMD bss, ledressert les parois qui retom­
Le concours agricole de Paris
N a u fra g e d'un v a p e u r espagnol
M. Louis GoUrlou, de Kerdrel, revenait A cheval
bent.
dos haras. Près de Dourlc, une automobile effraya
Lundi
matin,
le
patron
Henri
Crozon,
du
Le
concours
agricole
de
Paris
a
ouvert
Suivant la commande, ou les besoins du
le cheval, qui en se cabrant, jeta son cavalier A
ses portes mercredi matin, à 8 heures. La
bateau 1.050, de Douarnentz. aperct-.vait un
marché, l'argile devient une lèche-frite,
terre.
Galerie des Machines avait été, pour la
vapeur en panne, près du cap d« la Chèvre.
une cruche, une écuellc.une tulle, un grand
Celul-cl so releva avec quelques simples égradernière fois, aménagée à cet effet Lea
Le navire, qui semblait abandonné d e
vase évasé, permettant facilement lécretlgnures A la figure.
exposants sont venus très nombreux cette
son équipage, chass» par le vent.se jeta
mage du lait.
sur la rccliè Le Houe.
année: plus de deux mille têtes de bétail
Le Oonqnet
Avec un racloir, on amincit les parois du
ont été amenées dans la journée de mardi à
On ectendit les chaudièroa exploser, puis
L e s e r v ic e d e s fle a . — Après la visite
va*e obtenu, qui est ensuite exposé à 1air,
la Galerie des Machines.
le vapeur coula. Une baleinière vide fut d’une commission, le vieux vappurZa Louise
pour en chasser l’humidité.
recueillie.
a été échoué à Brest au 3" bassin du p.n
Puis c’est, la cui-ison dans des fours ins­
L’équipage dont on était sans nouvelle de commerce.
R écolte dn cidre en B retagne
tallés de telle sorte qu’un puissant cou'ant
depuis
le
naufrage
a
débarqué
à
Bordeaux,
d’air y dirige les flammes du foyer.
II est remplacé momentanément et pci'
Une statistique ministérielle donne les mercredi. Uu steacer anglais l’avait t e être définitivement p*r un solide bateau r r
Aprèï la cuisson, le plombage pour que rei seignements suivants sur la récolte du
cueillien
mer.
bois Le Travailleur.
les »ebords du vase soient lisses et brillants.
cidre en B retagne, en 1908 :
Ls vapeur naufragé était le vapeur espa­
Les us!ensile s sont entassés dans une
Le Finistère a produit,en 11108,281.340 hec­ gnol Mouro, construit en 1889 et apparte­
I.,e s n c v e n
charrette et en route pour les foires et tolitres, soit 158.000 de plus qu’en 1987 et
nant à une compagnie de Bilbao. Il avait
A c c id e n t m o r t e l . — La femme Gestin.
marchés.
63.000 hectolitres de plus que la moyenne
84 mètres de long.
36 ans, de Plouguerueau, traversait la place
Jadis on s’en allait très loin vendre les des dix derolèresaonees. Le prix moyen ch
de Lesueven avec un attelage, quand tour
produits de l’industrie.
la vente, en gros chez les propriétaires ré­
T r ip le a s p h y x i e à b o r d d ’u n t o r p i l l e u r
à coup le cheval, effrayé par un promeneur
Les hommes, car c’étnlt à eux de cher­
coltants ayant été de Ki francs l'hectolitre,
qui ouvrait brusquement un parapluie, tiLe torpilleur 209, annexe du contre-tor­
cher de créer dns débouchés, conduisaient
la valeur totale de la récolte a ôté d’environ
pilleur Tourbillon, se trouve actuellement un brusque écart.. Projeté à terre, la femme
leurs charrettes Jusqu’à Châteaulln, Douar4.‘'162.000 francs.
en cale sèche aans le fond de l’arsenal pour Gestin tjm b î si malheureusement qu'ei s
nenez, Carhaix, offrant leurs marchandises
Le Morbihan a produit 678 000 hectolitres,
se fractura le ciâae et mourut sur le
le long de la route.
les GOtes-du-Nord, 1.500 750 hectolitres, et réparations. Une partie de l'équipage a été champ.
débarquée, mais 11 reste néanmoins A bord,
ils arrivaient, au retour de leurs expédi­
1Ille-et-VIlalne, 2.796.000 hectolitres, soit
un certain nombre d’üommes qui assurent
P la b e n n e c
tions, le gousset bien garni ; aussi le jour
beaucoup plus que la moyenne des dix der­
le service de surveillance du torpilleur.
de leur arrivée était-ce fête à la maison.
nières années. Le prix moyen était de
In s ta lla tio n d ’nn m édecin.—M.le doc­
Mardi
soir,
trois
de
ces
derniers,
se
cou­
Une fols la charrette remisée et le bidet
15 f aucs pour le Morbihan, de 14 francs
teur Tostlvint vient de s'installer à P,aà l’écurie, tout travail était interrompu et pour les CÔtes-du-Nord et de 12 francs pour chaient dans le poste de l’équipage après
bennec et se tient désormais à la disposi­
toute la iamllle se mettait à table pour rille-et-Vilaine, la valeur de la récolte a avoir fermé toutes les issues ; un poele à tion des malades.
manger et boire à la prospérité de la po­ été estimée respectivement pour ces dépar­ charbon de terre chauffait la pièce. M<eroffrons nos souhaits de bienvenue
credi matin, à 8 heures, au moment où les auNous
terie.
tements à ¡0.171.350 francs 21.010.000 francs
jeune médecin.
jermissionnaires de la nuit rentraient à
La population des potiers était une popu­
et 35 154 010 francs.
L a Foire. — Depuis quelques mois Pla)ord et pénétraient dans le poste, ils aper­
lation dont le carac tère tranchait nettement
Si l’on ajoute la Loire-Inférleure à ces
benuec désirait donner plus d'importance
sur celui de la population des cultivateurs,
quatre départements, on trouve comme çurent les trois marins étendus sur leur lit,
à
sa
foire mensuelle. Les premiers essais,
Inanimés, ne donnant aucun signe de vie.
leurs voisins.
estimation totale de la récolte du cidre en
contrariés par le mauvais temps, pouvaient
L’alarme fut aussitôt donnée ; le médecin
Très Insouciante du lendemain, elle
Bretagne plus de 77 millions de francs.
du croiseur-cuirassé Gueydon, navire le lalre craindre un Insuccès. Il n’en est rien.
vivait au Jour le jour ; lorsque les gains
plus proche, fut prévenu et se rendit im­ Mardi dernier, par ui_e vrai» journée piiiiétalent fort« on faisait bombance ; lorsque
tannière, les oultlvatenrs Ci 5 11 vitor.s ont
médiatement à bord avec un infirmier ; on
l'industrie était dans 1 - marasme, on se c o n c o u r s ~ d ë 1 p o u l i c i i e s
donna les premiers soins aux trois marins amené à Plabennec un nombreux bétail qui
contentait de tremper son pain noir dans
s’est
bien vendu. Le branle esi donné, et
qui étalent presque complètement asphyxiés
Lcsnevcn
le lait caillé que les enfants étalent allés
une foire si bien située ne peut désormais
puis on les conduisit à rtôpital maritime.
recueillir dans les fermes voisines.
A Lesneven, los jurys sont ainsi formés : pou­
Grands dlscoutcurs sur tout, les potiers liches do 2 ans, MM. Yves Sévère, éloveur A Dans la soirée leur état s'améliorait et l'on que progresser de mois en mois.
espère qu'ils Bont maintenant hors de
Salnt-Po-do-Léon ; Jean-Mnrle G nlllou, éleveur
prenaient volontiers cette manie de parler,
P lonrin- P Ioad & Iniézeaa
A Ployber-Chrlst. Membres suppléants : MM.
danger.
comme un trait de supériorité sur le paysan
Roné
Olllvler,
éloveur
A
Plouénun
et
Caér,
éle­
Les trois marins sont originaires : le
R o u g e o le . — L’épidémie de ro'igpolp,
plus silencieux.
à Plouénan. — Pour los pouliches do 3 ans,
quartier-maître Kerdidé, de CaraEtec ; les après avoir régné longtemps à Plounni
Population Intéressante néanmoins, par veur
MM. Breton, ancien président do la Société h ip ­
matelots Le Rouzo, de Carhaix et Séitd de tend à disparaître.
ce Jo ne sais quoi de naïvement prlme- pique do Brest ; Ilenrl Sélté, eloveui- A Santoc,
Plougoulm.
sautier qui eut te for.d du caractère des on IloscolT. Membres suppléant« : M.M. Rosec,
P o rs p o d e r
« grand a enfants » comme les pêcheurs par éleveur A Mospaul ot Morvan, vétérinaire A SaintN o t a r i a t . — M. Queutel, dis, de L arn lil»,
Pol-do-Léon.
Victime dn froid
exemple.
vleui déi r e nommé notaire A Porepoder, e» remAujourd’hui la potorle se meurt, vaincue
ptaci uiont do son oncle décédé.
Samedi matin, mourait d’une congestion
M orlalx
Nous offrons A M. Quentel nos sincères félici­
par une coalition de causes et de circons­
occasionnée
par
le
froid,
dans
sa
chambre,
Lo concours do pouliches aura lieu le lundi lfi
tations.
tances.
an numéro 2, nie de la Voûte, Ernest Lnmars 1009, sur lo champ de folrd du Poullct.
Et d’abord les potiers ont toujours été
céron, âgé de 80 aus, magasinier du service
Los animaux devront être réunis sur lo champ
Incendie. — Un incendie s’est déclaré
des routiniers en diable, lis fabriquaient,
de foire A onze heures. Les opérations du con­
pénitentiaire en retraite.
dlicaiii-lie, vers midi, chez M . François
cours commenceront A m idi 30.
comme avaient fabriqué leurs pèreB.
Cir-ach. L« fou a détruit le lit et la literie.
850 francs olïorts psr l ’Etat et 800 francs par lo
Leurs procédés de fabrication ont toujours
Pas d’accident de personnes.
Coup de couteau
été rudimentaires et toute tentative de les département seront distribués en primes aux pouLouis Guillou, 21 ane, mitelot dispensé
llchos de trois ans dos cnntons do Morlalx, Slzun,
SafD l-Picrre-Q talIblgnon
mettre à la hauteur du progrès, a toujours
Salnt-Thégonnec, Lanmour, Ploulgnoau, Taulé et
nu 2* dépô\ se trouvait dimanche soir dans
ôté très mal accueillie.
Obsèques. — Mercredi soir ont en lieu
Landlvlslau.
un débit de la rue du Quartlei-Maiire BonQuelquefois, cependant, quelques-uns
de Saint-Pierre, les obsèques de
Primes d ’encouragement. — Uno primo de
don, à flecouvrsnce, en compagnie de plu­ àM.i eglis
plus avlaéa ou plus Intelligents, essayaient 160 frimes, deux prlmeB de 100 !r„ une primo de
Ferrand, qui faisait partie de la oresse
sieurs
civils,
lorsqu’une
que;
elle
éclata.
Il
brestoise, et de sou grand-père, M. Jégou,
une nouvelle manière de plomber, par eo lr„ une primo de '<5 fr. et deux prlmos de 40 tr.
paraîtrait du reste que ce fut le matelot qui
p/ésident d'honnei r de la Société d'horti­
exemple, ou bien e.bandonnalent le plomb Totol : 026 francs.
commença les hostilités ; le résultat lui cn
Prime*
do
reproduction.
—
Uno
primo
de
pour tin autre produit, lis étaient aussitôt 150 francs, deux prlmos de 100 fr., une prim e de fat défavorable, car 11 reçut A la lèvre Infé­ culture de Brest, qui était mort en appre­
mal vus ot plus ou moins mis en quaran­
nant le décès de sou petit-fils.
00 fr., une prime de 46 fr. et deux primes do 40 (r.
rieure un coup de couteau, qui pénétra
taine.
Une affluence nombreuse s’étalt rendre
Total : 626 Irnucs.
assez
profondément.
Après
avoir
reçu
les
au cimetière.
La jaloualo du voisin empêcha, d’ailleurs
Prime* do conservation. — Deux primes de
premiers soins dans une pharmacie voisine,
toujours toute mlso en commun des efforts 300 francs. Total : 600 francs.
A s s u r a n c e m u t u e lle . — Les membres d« ta
Guillou fut conduit car des camarades A
nécessaires aujourd’hui pour lutter avec
d ’assurance mutuelle contre la mortalité
Snlnt-PoI-de-Léon
l’côpital maritime, où il est eutie en trai­ caisse
do l’espèce cbevallue la Quilbignonnaise re s-'iit
avantage contre la concurrence, sur le
La distribution des primes aux pouliches de tement. Jutqu'A présent, le matelot a refusé réunis dimanche, A l h . 30 de l'après-mldl. sou*
marché économique.
de porter plainte contre ses agresseurs.
trois ans et do deux aus aura lieu le merorodi
lu présidence de M. Gélêbart, maire, f ‘ ‘
Une industrie qui s'en va
§
A G R IC U L T U R E
Arronfcsemenl de Brest
tÀ
y iMrelloo, trénorlor, a communiqué ft l'nsiem.
b.j„ I , »llu«tlOll (liiuuclôr* HUlVUDt« RU 91 dé,
rnmbio iw> : produit de» collision» de
usmbrei purllolpanti, 1.001 tr. ; droit» d'entrée
• I tr. 30 ; uiueude», 0 (r. ; produit de» oetliatlon»
dei mamkrea honoraire», 05
sourcil» blonds, lmbsrbe, yeux bien», vêtu
d’un paletot noir, d’un tricot en laine de
mfime couleur, d’un pantalon de coton gris
A raies blanches, coiffé d’un béret bleu et
chauaaé de chauaaettes en laine grise et
»abota.
Spézct
rt'ltl tu Wl IO«U uo IMUIIUO (IIIPVUMM.V (»007),
1 s'il (r. 43. Total général do» reoette», 4 018 lr. 81.
pjpenie» : iln litr M payé* (neuf),, > *°9 tf; ! <>*npuse» diverse*, 1W lr. S0 ; total généial de»
ddpnuie», 3.764 fr. ,10. Reste en o a liie t u 11 dé­
cembre tttot), 1.184 tr. s i. Il a été perçu pour le»
cotisations de* membre» participant», pour le
trimestre de mar«, 410 (r. 85. Il à été p a jé pour
cinq »Inlatrea, 1.601 tr. B0.
Adjudication de rumler. — L’a'ljudl-
ention du fumier du dépôt commun»! du
Panier-Fleuri aura Hou le 14 mat», A 1 heure
et demie de l'après-mldl, par devant M. le
maire, assisté de deux conseillera muni
clpaux et du recovour municipal.
Mort accidentelle. — Mardi matin, la
jeuuo Marie Bodills, A*ée de 15 ana, appor­
tait commo d'habitude do la soupe au lit, a
M.Jean lioaaard, Agé de (¡8 «n i, cantonnier
eu retraite, domicilié rue de Breat, 73 ; elle
le trouva mort d’une attaqae d'apoplexie,
aurveaue le 8 mara, vers minuit.
S équ e stration . — Mlle Catherine Le
Talec, dont nous avoi s raconté le» tristes
ikventures «lacs notre dernier numéro, est
! % fille d Yves Le Talco, carrier, ,et de
Jeanne Le Moal. Sel parents habitent le
village de Carnaven./. . • •
Catherine, Agée de 17 ans, a deux aceurs,
Agées respectivement de 21 ana et 10 ans.
Elle était domeatlque A Trélaié depuis le
mol» do mal 1907. La semaine dernière,
elle avait écrit A se» parents, pour leur dire
qu’elle n’était plus dans la mfime place,
mal» sauB oser leur dire la vérité sur les
souffrances endurées par elle.
Salnt-Ilcnan
Un mari brutal. — Victor Quêméneur,
Age de 34 ana, poitefalx, eat an Ivrogne et
un brutal. Mané à une femme dont la vie
eut un martyre et père do deux enfanta qu’il
frappe A tout propoa. Lundi nprô* avoir
fê:è le aalnt du jour, Il renveraa sa femme,
la tralua par lea cheveux et voulut mettre
im tôte dana le foyer oa le fou était allumé.
Uetto Idée d’une brutn, allait être réalisée,
il dns voUlns attlréa par le bruit n ’étaient
accourus aux cria des enfants pour sauver
la malheureuse du aupplioe.______________
ArrondissemenHe (Meaulin
C U A T K A IIL M
Horonée
L» nommfle Marie-Louise Bodénan,
femme Koruiaré, 43 an», de Gullly-Glaz,
en Port-Lauuay, a été écrouée A la maison
d’an fit de CtiAtcaulln, aoua l’inculpation
d iLfai.ticldo. _ _ _ _ _ _
Arrondissement^ de fflorlaïx
M O U LA I*
L a question des eaux
M. Ch. Lefebvre, maire, a vu M Voil aut,
directeur de 1a compagnie des eeux ; ctlitol s’ôtait déJA préoccupée A Juste titre de
la situation déplorable dans laquelle se trou>
valt la ville des la moindre séchensse, et
»’était entendue avec un entrepreneur, M.
Boüdrou, qui est adjudicataire du réser­
voir de 5 U0Ô mètrcB cubes depuis si long­
temps promis A la ville.
Les travaux seront incessamment comm D’autre part, le conseil d’administration
de la oompagi i« d> s oaux, s’est réuni mer­
credi a Paria, tt a tiocldé la capiation de
nouvelles sources, A Kerouô et A Kerarm.mach (commune do Plourln et de Pleyhei) ; elle étudie en mfime temps le moyen
d’nti Iscr les eaux des rivières assainies.
Enllu, une seconde machine ôiévatoire
sera Installée en prévision du remplace­
ment de l’ancienne.
A rre statio n
Bar mandat d’arrfit de M. Le Meur, juge
il’Instruotloa A ChAteaulIn, le nommé Matlutrln Guégan, âgé de 19 ans, originaire
d Inzlmac, près Lodent, a été arrêté, condult à ChAteaulIn et écroué A la maison
il arrût, aoua l’inculpation de vol commis A
Hu.ilgoat au piôjudlce de M. Gutllou, de
Quimperlé.
______
l’ o n o o u r » d e p o u llo h e a
I « concours de pouliches do Ghfttenulln nurn
II. Il le n mura, A 1 h. 30, Il y aura un* primo dn
;.
que l’unuée dernière. Lea lnsorl|>llous ne
M u.,1 reçues que dana loa délala indiqués sur
i,.. ..III ;he».
T " l b u n a l co rre c tio n n e l
.Wauval» pére. — Jule» Rngnler, 44 «n», culliv . tir h Kermorvan, en R jsouuyo I, a oté pour« i ’ pour «voir put té des ooupa it aa lemme ot A
untuuti, Pierre et Théro»e, Agés de 18 ot
lii hu» et commi« un attentat a la pudeur.
1.« tribunal u coudumné Ilaguler A a mol» do
______________
p ilfii.
Carhalx
Avi». — A l'occasion do la foire qui se
tir . >1 a A Carhalx le 13 mars courant, la soc!H^ trénéralo dea Chemina de fer écono­
miques a l’honuour d’iuformer lo public
qu elle mettra en marche lea train» spéciaux
d-.ipréa :
<• Knlre Carhalx el MotUtx
M ortali, départ 7 h. 47 m utin ; Plougonvenpiourlu, 8 h. 10 ; Le Clottre-Linnéanou, t h. 80 ;
Hcrlgnao-Berrlen, 8 h. 01 : K e m llo u , a h. *8 ;
lluelgoat-Locmirlu, 9 h. 8 ; Pottllaouao, 0 h. 3» ;
Plounévéïel, o h. 87 ; C irhulx. «rii*««» h. »0.
Carhalx, départ 0 b. 31 soir i Pluunévéïol,
0 h. 43 ; Poullaouon, « h. 63 ; HaolBoal-Locmnrla,
7 h « ; Kervallou, 7 h. 13 ; Borlgnuo-Berrlen,
7 h. 33 ; Le Clollro-Lunnéiinou, 7 b. 4» ; Plougonvca-Plourin, 7 li. t>8 ; M o rlalï, arrivée 8 h. 1».
S* Knlre Carhalx et A o ilranen
Carlini*, départ 4 h. 60 aolr ; Trébrlvan-loHouatolr, 6 b. r, ; UiiOl.Carbalx, 6 h. 18 ; lluatre non, arrivée 6 b. 14.
Uoitrenen, départ # h. 36 aolr ; Mail-Cnrliu x,
C b. 48 ; Trébilvan-te-Moustotr, # b. 68 ; Carhalx,
arrivo« 7 h. ».
Crozon
8anvetage d’une torpille . — Une tor­
pille automobile, portant le numéro 1.4(10 a
été récuelllle, le 4 février dornler, dana la
btle du Fret, par l’équipage de la ohaloupe
llenri, qui l’a temlse au poste de réglage et
a, do ce fait, perdu uuo Journée de pêche.
A titre d’encouragemeut, et pour lea Indomniaer du manque à gagner, io préfet,
maritime de Breat proposait au ministre
d’accorder aux sauveteuisuno gratllicatlon
IfioUale de 00 frauos, à répartir de la ma­
nière aolvaute : MM. Bernard, pitron et
pioprlétalre de la ohaloupe, 20 francs ; Ber
aard, Mignon, Guéguen ot Le Berre, mato
lots, chacun 10 franus.
Le ministre a approuvé cette proposition
Fillette noyée. - Prés dn village de
Lu Palue, on Crojou, la petite Guénolé,
de treize ans a’étant avancée trop loin
dais lit mer, s est vue entourée d’eau sur
un rocher et n’a pu se ttauver. La paume
unf.»nt a été trouvée noyée quelques heures
p. »s tard.
L nn dA v on ne c
S urtax e — E it autorisée Jusqu’au 31 dé
c*-..it>rc* 1913, lu prorogation d’une surtaxe
ii- r> fiano» par hectolitre d’alcool purcont u dniiH les oaux-ae-vle et autres liquides
aVnoHquns, actuellement perçuo \l'octroi
île L«i.dl'.vounec
('.orte surtaxe est Indépendante du droit
de l!i franc» établi à titre de taxeprlnclrillfce
Son produit est exclusivement affecté au
payement des frai» do reamstructloa du
■. r du c’metiôro.
L nnvA oc
D isp a ritio n . — Le 2 mars, û 8 heures
du in^ilu, Uuné-Plerre-Marlo Keryvel, Agé
de 15 jus, quittait lu village île Bot-8an où
habitent »es parents. Dapula on ne l’a plus
revu. Oa craint qu’il n ’ait ôté victime d un
ar.ddeut. Bon Banalement eat le suivant :
taille, 1 m. 40 à 47 centimètre», cheveux et
I A) K.iutlleton dtt Q o n r r l e r d n F l n U t è r e
Maro sun Den a Galon
f i s a v i i c ’h o u v r e r 1 7 9 4 p s a n SB
e o a m ia a r g la o )
- • Nan, nan, eme Katell, n’em eui, ket
eiomm euz manti 111 aoudarded rale ttu n
am eut ne vefe kemeret v* me*tr evlt enn
den hag a deo’h eus an arme. »
- « Bet’ am eut, • lavara* ar vara’hadourez, e n r vantell
krochenn eur
L Bpad edo Katell o sellot plz oo’h ar c’hror.'henu, an nor a »Igo r« hag eon den braz,
iMut-Uan lve eut vantell groo henn, a zeuaz
«°N'horpeui ket eun dunlkenn han eur
brngou dragon m al c’ho&ï ? »
Pa sleva* ar voues rok-se, Katell a lum­
inar., en em stoni a rea* evlt kaout an ear
du vexa o komprenn petra a dalveze ar vant<îll
- « la, aotron, eme ar varc’hadourez hag
a gred« knout dlra*-hl eun den plnvldlk
bra*, bes’ am eu* an oil dlîlad a c noantalt
**Heb choum pelloc’h da entent eu* mate*
tir maner hag a oa breman adrenv al Umpr,
t
t
Ä
Ä
Ä
* S ä tttS ffiä fc « f r f?
B
komponn bajc ä c’boulflflnài ho frv*«
■
- « Tregont lur, aotrou, eme ar vare ha<
«*8*1ra pemsek Inr, ha fi’boa* et core.
cmt an den bra* en eur sklapa an arc nant
war an daol: pleglt an dra*»a ha buan 1 •
tìun tammlk soue*et, ar vestfei * *ella*
ouz an d«»n a gomte evelB# hag evei e sa­
vi* min fall d’e*-han ne gireda* ket lavaret
*nr grllt. Lakaat a rea* an aré haut enn he
Le crim e de la plao e V la rm e s
Burches n’est pas l'assassin (le Mllo Le
Moult. En effet, il est maintenant, proavé
que le iour du crlmo, le 21 mal 1907, il était
i» prl
Hi.son de Rouen.
la
Quand Burchts fut arrflté, Il était en
absance ll.égale des bataillons d’Afrique
où U est incorporé. C’ebt pour faire un petit
tour au pays, qu’il avoua avoir assassiné
Mllo Le Moult.
Mais alois qui est l'assassin ? Le parquet
s'efforce do lo trouver, bien que l'affilre
devienne de plus en plus mystérieuse.
G uorlcsquia
Trouvé mort sur la route. — Mardi
matin, au lever du Jour, ou a trouvé dana le
ruisseau qui longe la propriété de Kervranton, eu Guorlesqulu, le cadavre d'un
nommé Yvea Sooruet, Agé do 37 ans, culti­
vateur A Plufur, dans les COtes-du-Nord.
Cet homuiï, d'ordinaire très rangé reve­
nait du marché do Guerleequln, où, d’après
les dlreBdo do certniusamlj, il aurait, con­
trairement A son hai itude, pria de nom­
breux petit» verres qui ont dallleui s occa­
sionne sa mort.
Le malheureux laisse une veuve et trois
enfant» dont l aioô n'a encore que neuf ans.
M. le docteur Quéré, do Guerlesqulu, a
été appelé pour constater le décès.
Lainpaul-G ulinlllan
Surtaxe. — Est autorisée Jusiiu’au 31
déoembre 1913, U prorogation d’une surtaxe
de 5 fr. par hectolitre d alcool pur contenu
daua les eaux-de-vle et autrea liquides al­
cooliques, actuellement per*ue A foctrol de
Lampaul-Gulmiliau.
t _ ,A
Son produit eBt exclusivement affecté au
payement des Irais de reconstruction du
mur du cimetière.
Vlouénan
A p rès l a rem onte. — Nous recevons
ds Plouénan la communication suivante
avec prière d’insérer :
Lettre ouverte A M. Atid’hul, rédaoteur à la
Brclmme hippique.
Ploufnan 1« 7 mars 1909.
Moii&luur Ainl’liul,
Un |>roupo déleveurs do Plouénan vient r-é
poudre A vulre arllolo du samedi i mars.
Doux des meilleurs élovours de notre commune,
ditca-vous, sont allé» dans lu solrte du 3 mara,
vou» p.irlor leurs doléances sur la foçon dont au­
raient été distribués Ibb billets de tour à la pré­
sentation de la romonte qui avait Heu le mémo
Iour. Vous ave/, lujéré leurs réclamation», igno­
rant »1 ollos étulent fondée» ou non, ot vou» Ôtes
tombé tout bonnomeut dans un piège.
I)e quoi so plaignent ce» deux bons éleveurs
qui n’ont nullement, soit dit en passant, 1e mo­
nopole du bon élovage ?
Do n’avoir po» eu de bons numéros T Pourquoi
ne les ont-ils pus réclamé» assez tôt ? L’on d’oux
on a pourtant ou 7, et des mollleurs, A lui Beul et
n’a oupeudnut pas montré la moindre cheval.
L.oiir luùCDUtilUtoment viendrait-il de ce qu Ils
n’ouï pu pré>enter lours bétea TTous les chevaux
amenés ont («tu exumlnés par la commission et
leur nombro n’ftalt pas tel qu'il litl nécossalie
d'avoir un bulletin pour paaBor.
— 'Leur but en allant voua trouver était tout
nuire : lia oni soulu tout simplement essayer do
joiur un iiiiu do discrédit bur uno munlclpalltô
qui n'.i tins lo bonheur de leur plaire et qui s en
p»'»e d'«lllours.
.....
Ne soralt-co pas lea mémos qui ont tait des
dé.narch'S u u p ,è t do M. le sous-préfet pour
bsüujit tl'( m pécher le oomlté do Gulngamp de
faire une sûiitice d'achats loi?
ils vou» font prédlro, à corialnes municipalités,
qu'elloa sauteront. On verra bien. Eu tout cas, les
gens sérieux do notro commune qui formont la
graudo majorltô, savent que leurs Intérêts sont
on boiinos mains et no se soucient pas do les
coi I1UI
fier «A uuution.
d'autres
ÇUI
. . . . . .
1,11
A
Uurdcr.-voua donc, M. A ud hul. de la politique ot
doa pollilulcus, comme l ’on «o garde du feu.
N’out pa» présenté Iour» chevaux A la romonte,
quo ceux qui no l'ont paa voulu. Quant aux abus
quo
signalez, is'ils
oxlstent,
c'est -----A MM. --les
UUU voua
voua BIHUMIC&,
,,u w
, „ i H i , vvw.
miiircs Intéressés do »’entendre pour le» lalre
dlsparaltro, comrno vou» lo dites treB bien. Prenez
la tête du mouvomeut al vous le voulez i le» élovours vous un saurout gré.
Blgné : Un groupe rf’dleueurs de P lo u é n tn .
P louencat
Le port. — Faut-Il dépenser 500.000 lr.
pour ^agrandissement du port de RoscolT,
ou bien dolt-on se contenter d’une dépense
moindre? Telle est la question poaée. Il y
COURRIER DU FINISTE R&
a quinze jonrit, nous résumions ici mfime
les arguments que. faisaient valoir les par­
tisans de telle ou telle combinaison.
Le principal argument des ennemis de la
dépense des 500.000 tr. était celui-ci : pour
avoir une telle aomme, la commune devra
s’i n tet'cr 011 b'or r-éer une tpx» de quai
Cetto taxe écartera peu'.-ôire, du port de
Roscoff, les navires, au profit du port de
Plouescat, que l’on va construire prochaine­
ment. LA-dussus lea partisans de 500.C00 fr.
répondaient que la concurrence du port de
Plouéscat n’etalt pas A craindre et quel«
ques-uns n’hésitaient mfime pas A dire que
les travaux que l’on entreprend pour creuB e r u n porta Plouéscat étaient luutilen, car
lo rondement commercial serait toujours
au-dessous deii dépenses engagées.
M. Trémlntin, conseiller général do
Plouéscat, dans une lettre A l’Ouesi-Eciatr,
dont les colonnes accueillirent tour A tour
les ralBons de ceux qui, A Roscoff, veulent
faire « grand », et de leurs adversaires,
précise la valeur future du port de Plouescat. Voici cette lettr« :
Monsieur lo Directeur,
N ul ne sera surpris que j ’intervienne on ma
quullté de conseiller génirnl dn Plouéscat dans lo
coi H l d'opliilouM que soulèvo In question du port
do U im oir tl Impartialement oxposiïe dans votro
J°urB:l1’
™. ,,
. j
Plouéscat el son port eont, on offst, l ob|et dos
appréciations les plus diverses ot servent en quoi­
que sorto de point do ralro aux discussions.
Je lus l un des Initiateurs de lu création d'un
poi t dans l’aneo de Port-Guen et lotis nue cITorls,
»eaondés par les voles du conseil municipal et
appuyés par l'unanimité do mos compatriotes
tendent A réaliser promptement l'nchôveœeut des
travaux dont le devis s’ôlève A 120.000 francs.
Mais opposer Plouéscat A RoscolT, en faire deux
oitûs rivales, c’eut A mon sens mal poser la ques­
tion. HoscoH a Bur nous l’avance do 40 ou 50 sus
de vie commerciale ot nous uo saurions oubllor
ane cetto vtllo furt reputee Jouit dos bienfaits du
chemin do for depuis près do 30 ans, lundis que
notre premlèro ligne — A volo étroite — data do
6 ans A pclno. C'est uuo supériorité Incontoîtablo
el contre laquelle nous ne nourrissons aucune
antipathie.
M iiI b quand l’on de vos correspondants vient
prétendre quo lit création d'un port dans l'anse do
Pors-Quen est do nulle Importance ot constitue
môme une faute A la charge du service compétout,
nous avons le devoir de relever pareille Inexacti­
tude en remettant los choses au point.
C ’est A lu sullo d'études approfondies ot do plusleum visites des représentants de ln Marlr.o ot
dos Travaux publics que lo piojot fut dellutilvcm m t ndoplé. L'cmulueomont est d’ailleurs appro­
prié puisqu'il sullll do relier par un assemblage
de cimout et do miiçonuerle les rochers qui for­
ment déU au Nord-Oufst uno dlguo nnturello
contre leJ grussos lames pour assurer aux mivlres
toute sécurité. Kt J’aJouto que les cèles marquant
la proîondcur des euux sont aussi élevées pour lo
moins A Pors-Quen, mémo avant dragago, quo
dun» lo port actuel do RoscolT. Notez que 1ontréo
est Sud-Sud-Ouest tandis quo dans lo p o it (lo
RoseofT ouvert nu Nord-Est l ’arrivée ou la sort e
des nuvlros est souvent contrariée par la lu u lo
ou les courants qui se formont entre la terre et
l’extrémité de l'île de Butz, dans cet étroit pusm ge appelé le » chonol ». A u sortir do PorsQuen on se trouve nu contraire dans lo prolonge ­
ment do la balo do Qoulven où les eaux sont
encore relativement calmes.
. . .
. ,
RoscolT ot Plouéscat sont doués d'uno égale
douceur cllmatérlque, mais tandis quo la culturo
Intensive est daus le premlor pitys a son apogée,
elle est on plein développement dans lo l ûtre et
dans toute la zôflo côtlôro qui va Jusqu'A T itlU z
VollA pourquoi nous attoiulons do l'exploitation
de la ligne Plouescat-Rjspordon, notamment
dana la partie comprise entra Landlvlsluu et
notre garo tormlnu» (tracé qui répond aux vœux
si eouvent exprimés pur les hnbllniitn do la r é ­
gion), un nouvel essor pour notre agriculture ot
notre commcrco.
(PL'uvontr répondra, l’en suis sûr, aux sacrifices
que nous nous Imposons actuellement, ot )e uo
vola pea bien pourquoi on restrelndrolt do primo
abord la destluutlon de notreport A servir unique­
ment il’abrl aux bnrquos de pécho.
En un mot, comme tout puys qui veut vivre et
prospérer, Plouesoat cherche A se développer
normalement sans porter ombrage A personnes
Son am bition est drlmller RoscolT dans sa crejssanto prospérité plutôt que le concurrencer. Dans
une démocratie pour les vlllea comme pour les
citoyens, il doit y »voir pour chacun > place nu
gololl ».
Plerro T h ém in t i ».
Demandez le « Courrier du
Finistère » dans toutes les
Bibliothèques des Gares du
Finistère.
Arrondissement ie ta p e r
'ailleurs pas de voir naître une cinquième
génération.
Pont-l’A b b é
M o rt subite. — A l’hôtel de la CroixVeite, tenu par M. Pierre 'l'anneau, on a
trouve, mercredi matin, mort dans son lit
et tout habillé, Yves Kerveillant, dit « le
Sorcier >, cultivateur, 59 ans. La mort eat
due A une congeBtlon.
M zo n
t
S urveillez vos enfants. — Le jeudi
11 février, quelques enfants du bourg,
parmi lesquels les Jeunes frères Sellen
ont casaê cinq vitres, A l’école libre de
filles, appartenant A M. de la Villemarqué.
Pareils faite s'étant déj ï produite A diverses
reprises, M. de la VUiematqué s’est décidé
A porter plainte.
Arrondissement de Quimperlâ
E lection d o n conseiller g é n é r a l.—
C’est demain dimanche qu’aura lieu dans le
canton de ScaCr, l’élection d’un conaeliler
général pour remplacer M. de Kerjégu A
l'Assemblée départementale.
M. Bézlers avait d’abord posé sa candi­
dature et était assuré d’être élu, puisque
dans l’élection législative, le canton de
Scaër lut avait donné une écrasante majo­
rité sur son concurrent.
M. le commandant Henri Rodallec, ori­
ginaire du pays, ancien élève de l'école
polytechnique, chevalier de la légion d hon­
neur, briguait aussi la succession de M. de
Kerjégu.
M. Bézien vient de retirer sa candida­
ture et l’annonce aux électeurs en ces
termes :
Comme mol, M. le commandant Rodallec. est
Bureau-Anuexe
et Dépôt Central
du Courrier du Finistère
R u e
K e r d o n ,
8 1
Q U IM P E R
U n enseigne de vaisseau
noyé a u Sénégal
On vient d’apprendre que l'enseigne de
vaisseau Le Queré, Agé de 24 ans, originaire
de Qaimper, embarqué Bur l’aviso Goéland,
actuellement en mission hydrographique
sur les eûtes du Sénégal, s'est noyé en
tombant d'une des embarcations du bord
qui se rendait A la c6te.
Plouffasnou
L ’enfer au logis. — Mme Aprioux dont
noua avons raconté la conduite envers sou
mari, en Instance de divorce, et ses eniants,
vient d’ôue arrêtée.
Sulat-Eutropc
Bébé m ort do ses brûlu re s. — Le
mercredi des Cendrca, les épouxGoasdoué,
domiciliés au village do Kerstrat, s’absen­
taient, laissant A la maison leurs deux
petites lilles, dont la plus jeune n’a que
trois ans. Le feu du foyer avait ôté solRneusemcnt recouvert de cendres. Malgré
cette précaution, la petite se biûia atroce­
ment les Jambes et le corps. On accourut A
ses cris ; mais malgré tous les soins,
l’enfant vient d'expirer, apiès huit Jours
de toiiffrances.
Siilnt-Pol-(le-Léon
Arrestation. — Le 9 mars au soir, A
l’arrivée du train de dix heures, le commis­
saire de police de Saint-Pol-de-Léon,
q u ’a c c o m p a g n a it l’agent Rolland, a procédé
A l’arrtstutloa de la femme Duparc, née
Marie Moyon, Asée de 28 ans, ancienne
ouvrière de la manufacture des la ln c i (le
Morlaix, inculpée d'un vol au préjuJice du
propriétaire de l'HOtel du Lion d’O ra Motfaix et soupç Uinée d’un vol de plus eurs
rouleaux de toile. Cette femme venait
ri joindre A Saint-Pol-de-Léon, le sieur
Midec, (pi comparut récemment avec elle
devant le tribunal de Morlaix pour violeucefl sur sa femuic. Madcc avait cte con,'dumné A un an de. prison et son amie A
un mois de la même peine, tous les deux
avec le bénélice do la mi Uérenger.
P ied écrasé. — M. François Itlou, culti ateur A Kcrsalnt, en C’.é 1er, conduisait
mardi matin une. charretée de. clioux-lleurs
au marché de Siint-Pol-de-Léon ; son charcernent menaçant de tomber, il s arrêta
daus la Grande Rue et se mit en devoir de
le consolider. Malheureusement, au m >
menr où le cultivateur saisissait la corde,
le cheval se mit en marche et une roue de
la charrette lui écrasa le pied.
T riflfiv é n c z
Conférence agricole. — Le dimanche
14 mars, A une heure de l'après-midi, M.
Soulière, profeSBeur départemental d agri­
culture A Oulmper, f«ra une conférence
agricole A Tréilévénez aur le sujet suivant :
Organisation d'une société d assurances
mutuelle contre la mortalité du bétail.
godei, paka a rea* an dlllad hag ho chln- vintin da c’houlou-delz ni a dec’ho, ne
niga a reaz en eur grena d’an den braz a itet ’ta Herrl. — Betek hen n’hellomp ober
ieaz or meaz heb ïoken tenna he dok da za- netra, deomp da gousket. »
— « Me a choumo da daol evez, a soDjaz
ludl.
,
— « Setu aie eun aboatol, eme ar var- Katell, n’ouzer ket petra a hell erruout. •
Ha kerkent e ieaz d’ar gegin war zigarez
c’hadourez kerkent ha ma oa serret an nor.
achul hn labour.
„
Chentll eo evel eur muntrer. •
— i W ar zao, va bugalc,emeManer-Koz,
Siateli ne respounta* ket, kemer'a rea* ar
kemeromp
kaloun.
Doue
hon
dlwalo.
»
bodreou, ar vantell, ar bouned, rei a rea*
Peb hlni «v ieaz d’he gambr, Herri goude
ap daouzek lur a c’honlenno ar var- beza
poket da zourn Yvona a leuz d ar c hac’hadonrez ha troc’ha a rea* buan etresek latre*, laoucn e oa evel en doa lavaret, he
ar maner. Pa ilgoue*a* er *all, Laon hag
galonn oadlwec’het euz eur bec’h pounner,
he vlgnoned oa c’hoaz o tlvlza, Katell oa Jakez oa beo hag hen Herri ne oa ket età
ken disllvet ma spountaz anezho.
— « Potra zo ota, Katell ?» a c’houlen- eur muntrer.
na* Maner-Ko*, nec’het-braz (anaver.out e
rea re vad ho vate* ha doueti e rea oa
A r pei: oa deut Ja k e z d a veza
o’bourvezet adarre eun dra bennak).
Katell ne oa ket en em fazlet, Jakez oa
Katell a serraz mad an nor hag en eur
an bini he doa gwelet enn ti Ruz. An tenn
lzolaat ho moue^elavaraz t j
— « Dova e ra I... gwelet am euz ane- en doa paket en doa a (Ira zur great tal*
poan d’ezhan, mez nc oa ket eat beteit ar
*han I *
«aloun, na t.reuzet nikun ouz nn 1*111 a zo
— « Pion ’ta? » emo Laon.
red evlt ar vue*. Ne choumaz ket peli gour— « An hlnl a zo deut aman gant dlllad
vezet
war ar gambr... Pa zigoraz ho zaousoudard, da lavaret en dlje slkouret ae'hanlaead en em gavaz war gwele Herrl, mevel
hoe’h, un hlnl a gave dcomp oa la*et gant
Mathiaz ha matez Leskoat oa krog o louHcrri*
— « Me* sur oe’h '/ • a c’houlennax adarre zaoul anez-han.
— « Va mlgnoun, cmczhan dar mevel,
Treslgtdy ha ne gredp ket c’hoaz. »
— > Mardounsur II a lavaraz Katell. Ah I it dloc’htu da (lastellln ha dlgaeit d in eur
medlsin
buan. Ne lavarit ger ebed da zen I
anavezet mad am eu* anezhau, he voues da
genta a souezaz ae’hanoun, mez pa am eus da zen, klevout a rit Y Ma rit mad ar poz a
Kwelet he zaoulagad n’hellen mut doueti. » c’hourc’bemennan d’eboc’h, ho pezo eur
garg hueloo’h. (Ar mevol-man oa archer
An oil oa savet, an oil a oa mantret. Yvona he doa krtfRet enn dourn Herrl evel IVC)«'
Respount a reaz CDn eur c’hoarzln :
ma he dijo bet o’hoant da ilfenn anezhan.
— « Be*lt dlnec’b, aotrou ha bozet lizianz
No oa ger ebed er ».all...
,
— « Ma vov gwell a-zo, eme Herrl enn
en^.°” Mez me a gav d'in ho peuz bat ivc eun
enn tsol kount, jantont e ran ez eo dlboataol mad vrar ho penn. Eun dourn kaled
nlet va c’haloun. »
;
Ar 1c’homzou-ze a denertta* Laou. Yvona en doa ar medlsin fall-ze ; ha goest e vezot
da vont da Castellln '/ »
^
.
oa fouge enn-hl gant he fried.
— « Gwelloc'h emaoun, ba dont e rin a
. — « Ah beva e ra, an dlaoul-*e, a lavara*
benn
d’ober
ar
pez
a
lavarit.
»
Van. Nen*o n’euz net am*er da goU. Ne
— « Mad, e respounta* Jakez en enr farchotwnomp ket da vMo’hatA. W are hoax
N o u v e au tr a in
GrAce aux efforts de MM. de Carfort et
Mauduit, un cinquième train fonctionnera
de Pout-l’Abbé à Quimper et de D juarnenez
A Quimper, vera 9 heures du matin, A partir
du l»r Juillet prochaiu.
L e c ld r o
Par suite des dégAts énormes occasion­
nés aux aibres fruitiers par les tempêtes
de neige qui récemment se sont, abattues
sur la lésion, le boa cidre, dont ou pouvait
jusqu'il présent sepiocuter nue barrique
de 2AS litrts au prix moyen (le 30 A 35 fr.,
vient de subir une hausse considérable de
|8 A 12 fr. par barrique). Cela s’explique
it'autaiit plus que la îecoite de pommes de
l'année dernière n ’a pas dépassé, dans la
légion, la moyenne, et les prop>iétairea
sont anïieux sur la récolte de l'année qui,
A cause desdétfA’s causés par les rafales
de mijçe sera, dit-ou, au-dessovs de la
___________
moyenne.
T au reau échappé
Samedi vers 1 heure de l’après-midi, un
taureau appartenant à M. Laurent Bodolec,
propriétaire A Landudal, s'est subitement
échappé des main1) de son conducteur, sur
la p ltci de Sunt-Corentin effrayé qu'il
avait été, on ne sait trop comment. Sur
son pashage, l’animal a renversé un culti­
vateur qui n'avait pu se garer A temps,
for; heureusement celui-ci a pu se relever
sans grand mal. Le taureau qu’on avait pu
rejoii dre dai s la rue des Reguaires, a été
aussitôt conduit dans la cour de M. Le
Reste, hôtelier, et ensuite exposé au mar­
ché sans autre incident.
T o m b é d ’Dn t o i t
J_e j'u d i 4 courant, vers 4 heures de
l’après-midi, M. René Daniel, Agé d : 18 ans,
ouviier au service de M. Rollaul, couvreur,
rue des Reguaires, était occupé A déblayer
la toltuie de l’immeuble habité quai de
i’Odet par les Dames hospitalières de la
Croix de la neitie qui la recouvrait, quand,
en essayant de ramener A iui une échelle,
il p rdi l’équilibre et vint s’abattre dans
la cour dépendant de oît.te propriété, tom­
bant d une hauteur de 12 A 13 mètres.
Ko t heureusement la chute de Daniel
fut amortie par l’amoicellement produit
dans la cour par la quantité de neige qu’il
avait auparavant abattue.
li n’a eu que quelques contusions sans
Riavité. Il i-eut se vanter d’avoir eu de la
________
vtiue.
C o n c o u ru do p o u lic h e s
Lo concours annuel do pouliches de trois uns
aura lieu à Qulmpor, lo mardi 33 mars Courant, A
deux heures du sulr. Ces concurrents devront se
lnlro Inscrire A lu préfecture, le Jour du concours,
avant mlill.
______________
D o n a rn c u c z
V ictim e du froid. — Le vendredi 5 cou­
rant, le domestique de Keryben, du village
de Penfrat en la commune de Juch aperce­
vait, dans lui champ d'ajoncs le coips d’un
homme dans la neige. C'était le cadavre
d’un mendiant, originaire de Ploaré, du
nom de Viclor Evrard, décédé A la suite
d’une cougestion occasionnée par le froid.
Penm arc’h
Suicide. — Le 0 mars, dans la nuit,
Pierre Jégou, Agé de 54 ans, de Quélourn,
s’est pendu dans le grenier de l’écurie.
Le suicidé avait un caractère taciturne
et bizarre.
Un naufrage. — Dimanche matin, par
grosse mer. le canot Cracchus sortait de
Kerity, pour lever des filets. Il était monté
iar le patron Carrcc et son matelot Louis
,
. ,
£ uanric.
Une lame sourde lit chavirer la frêle
embarcat.on. Les deux hommes se retinrent
A la quille et furent sauvés d’une mort
certaine par Yves Gourlaouen et son neveu
qui étaient venus les prendre en canot.
G o u r llz o n
F ille tte brûlée vive. — Dimanche der
nier, les époux Le Moat quittaient leur do­
micile momentanément en y laissant seule
leur petite lille, Agée de 2 ans seulement,
Louise.
Celle-cl s’étant probablement trop appro­
chée. du foyer, le feu qui était allume, se
communiqua A ses vêtements. La, pauvre
enfant rendit quelques instants après le
dernier soupir au milieu dattoces souf­
frances.
Le G u ilv in c c
Les fam illes nombreuses. — La com
mune du Guilvinec a l üonneur de posséder
une véuéiable veuve, Mme Clôac’h, dont le
nombre des enfants, petlts-enlants, arrièrepetits-enfants, s’ôlève au Joli chiffre de 146.
Mme Cléac h, qui n’est Agée que de 87 ans,
eut 14 enfants, dont G vivent encore
L’ainée a 70 ans, et la plus Jcnne 40.
La bonne aïeule jouit encore de toutes
ses facultés et connaît ses 14‘J descendants
par tous leurs prénoms. Elle ne détespère
sal: kitta,kerzltbuan,nljitha venjlt ac’hanomp. Ho kortoz a ran. »
Pa oa eat an archer er meaz, Jakez
en em droaz. warzu ar vatez :
— « C'houi, va merc’h, emezhan gant eur
vouez rok, tostalt ; euz a belec'h ez oc’h-hu ì
— < Euz Lothey, aotrou, a respountaz
hou man enn eur grena. »
— « Mad, troc’nit, etrezek ar gear ; ho
mistri o deuz c’hooriet fall, ma ne fell ket
rtlehoc’h beza chadennet asamblez ganlho,
tec’hit dloc’htu heb lavarout ger, heb seilet
a-drenv pe mea welo, komprcnlt ho peuz? •
— « Mont e rin kuit, mont e rin eme ar
vatez, spountet. »
— « Mad, eme Jakez, setu aman dek lur ;
dastumlt ho tillad, laklt ho treid war ho
tlouskoaz ha kerzit enn heut founnuz 1Mez
araok, sllaouit ta : petra eu deu* lavaret
Herri d’ohoc’h ? •
— « Krcdl e ra ezoc h maro. »
— u Ali I ah ! a lavaraz Jakez gant eur
mousc’hoarz fall. Gwell aze I Ha gonzout e
rit da beleach eo eat? »
— « Da Dreslgldy, aotrou, da dl an ao­
trou Laou, he dad-kaer, hag ac’hano da
iraout ar Ghouanted. »
— « Mad, mad. douetl e ran ; breman,
alo I savit ho klllou, kit enn hent ha ma
n’ho peuz ket c’boant da vreiaa er prlioun,
dalc’bit mad d’ilo teod a gavan kalz re lijer :
petra 'ta p(bìz sonj I dlskullla ho mtstrl,
u ’oc’h ket far, matez I »
Ar vatez ne ouie ket pelec’h trei ; ne
choumaz ket p •lloc’h er gambr; Mont a
reaz d’ar c’ùalatrcz, ober a i eaz eur paKed
euz he dillad, kemer a reaz penn an hent
ha stampa a re»z etrezsk Lothey evel eun
dimezell hag a oar baie.
Pa oe hc-unan, Jakez a choumaz peli da
ZODÍftl»
« Ne varvln ket c’hoaz an t,aol-man, emezhan outhan he-unan; n’euz for* ne ket
ober allazlk en deuz great al lampoun-ze.
Mont a ran da gouBket eun tammik, an
Scaër
QUIM PERLÉ
L’Election de Quimperlé
Un Incident
Le dernier numéro de la Démocratie
Bretonne, de Quimper, qui prit la succes­
sion du Réveil du Finistère, entretient ses
lecteurs d'un Incident qui s'est produit au
cours de la campagne électorale de Quim­
perlé. Cet Incident vaut q j ’on le relate.
Le samedi 0 mars, i’ailiche suivante était
placardée dans toutes les communes de l'ar­
rondissement de Quimperlé :
avant tout un ami de l’ordre, du progrès et de la
liberté ; Il veut une République tolérante et ou­
verte A tous. Le maintien ,de„nos deux candida­
tures pourrait amener dans votre beau canton la
dlvUlou au teta do notre parti ; or, pour préparer
les luttes futures et assurer la victoire, nous
devons rester unis.
OU SON T L E S V E N D U S ?
UN DOCU M EN T E C R A S A N T !
Les Journaux de M. Lo Louédec continuent
leur cumpapue de violence ot d'outrsgea contre
M. Bézlers.
11. b i z.eis n'a qu’une réponse A faire, elle eat
décisive.
U lo peraonno do sa famille a reçu de l’admlnlstrattur de la Ddmocraffe Bretonne, Journal
qui soutient la candtdaturo de M. Le Louédec,
une proposition, tendant A la cession de ce jour­
nal et A l’arrét Immédiat do la campagne menée
contre M. Bézlers.
Cette proposition, d’abord verbale, a ôté con­
firmée par la lettre rulvante qui n’e îl pas confi­
dentielle.
« Loilont, le 23 février 1909.
» Votro secrétaire vous a sans doute commu­
niqué la proposition que ¡'avals l’honneur de vous
soumettre.
> Cetto proposition avait uno très grande Im ­
portance O! assurait le triomphe de M. Pierre
îézlers, dimanche prochain. Je vous serais très
obligé de me dunner une réponse négative ou
olllrmatlve domain au p'.us tard.
» En attendant, Je vous prie d’agréer mes bien
respectueuses salutations.
(Ici eu toutes lettres la signature, la qualité
et l’adresso do l’administrateur).
» P. S. — Nous pourrons toujours arriver A
nous entendre. »
M. Hézters tient l'original de cette lettre A la
déposition des électeurs qui voudraient en v é ­
rifier l'authenticité.
Celte proposition a été repoussée avec mépris.
f.î. BUlers fait les électeurs j'iges de cet In-.Ioent.
Il sera le candidat des honnêtes gens, ludigaes
do pareils marchandages.
iilectours, votez tous pour Pierre Bézlors, can­
didat do la fédératio n républicaine.
,Vu, le Candidat : Pierre B i':z ie h s .
M. le comme,ndant Rodallec reste donc
seul candidat. Le désintéressement de
M. Bézlers sera apprécié de tous.
Suicide. — Le vendredi 5 mars, vers
2 heures da laprès-midi, au village de
Leinthéo, en Scaer, Louis Berthelot et
Joseph Derrien ont trouvé Guillaume Sinquin pendu daus sou domicile. Le malheu­
reux »'était servi de sa ceinture qu’il avait
accrochée au haut de son lit. On ignore les
causes qui l’ont porté A se suicider. Agé de
05 ans, il vivait seul depuis deux ans. s*
femms et ses enfants l’ayant r-bandonné.
A vant de fuire vos acbatn en vue
de» fëlca de P&ques, rengelgnczvoua
Aux Grands Magasins
de Nouveautés
LE PLAT, 'Ji, rue de Paris,'.BREST
Vous y trouverez de très gros avantages
Cette maison de premier ordre fait les
déballages lux endroits ci-dessus: le sa­
medi Haint-Keuun, bous liall ; le lundi
Lesncven, sur la place ; le mercredi
JLannilIs, sur la place.
7904
M. Henri Quiltrars, directeur de la Démo­
cratie, se crut visé par M. Bézlers et répon­
dit par l’afliclie suivante :
AR C W E L L A louzoa da purIBu guad un dud
vr^z eo ar
UN FA U X
M. Bizlors a publié uno lettre que ¡’aurais écrite
de Loilent lo 33 février.
C ’EST UN FA U X
Je vais poursuivre en justice l'auteur de l’af—
llclie.
Henri Q u i l u a r s
Dlrecteur-adiuuhtrateur
de la Démocratie bretonne.
M. Béliers répondit par une seconde
afliche :
B h z ie h s
M. Guillaume est l’imprlmeurde la Démo­
cratie Bretonne. M. Quügars, bien que
directeur (le la Démocratie n’avait pas eu
vent de la déniaient ue M. Guillaume ;
aussi très mécontent déclare-t-il qu’il ne
veut pas juger sa conduite et annonce qu’il
a saisi les tribunaux de l’incident.
Quant A M. Guillaumî, il ne nie pas la
démarche, aup. ès d une parente de M. Béziers ; il fait simplement quelques réserves
sur le texte de sa lettre, texte qui n’aurait
pas été exactement reproduit par M. Béziers.
Le prestige de la Démocratie Bretonne,
si elle en exerçait encore un, sort singuliè­
rement diminué de cet incident.
M ate lot violent
Le quartier-maître canonnier. Joseph
IS'élian, dont la femme habite Toulon, allait
de temps en temps chez une veuve D..., au
bourg de Bonrgneuf. Celle-ci, qui tient un
dôp6t de bière, fut priée par le brasseur
M. Lamottede ne plus recevoir le quartiermsîire. Le quartier-maître, qui avait tout
entendu, courut acheter un revolver, cher­
cha M. Lamotte et le visa de son arme. Le
coup ne partit pas. Le marin ne s’en tint
pas 1A. Il poursuivit M. Lamotte en criant
qu’il lui fallait sa peau et qu’il se tuerait
ensuite. La police prévenue l’arrêta. Le
lendemain, le marin plus calme manifestait
des regrets de son acte.
C lobars- C arnoo t
A c c id e n t do v o it u r e . — M. Kerhuel, do
Porz-Guern, revenait en voiture, le 6 courant, du
marché de Quimperlé. Au bas de la rue de d o ­
llars, Il rencontra M .M athurln Le L u, de Q ullllen,
qui conduisait uno vache.
Celui-ci ne put se garer A temps, et fut ren­
versé par la voiture, atnBl que sa vacho.
Dès qu'il le put, Kerhuel arrêta son attelage,
et transporta lo blessé chez lo docteur, et ensuite
A son domicile. II s’offro ou outre A dédommager
Lo Lu.
M o ë lu n
C b A to a u In c e n d ié . — Dans la nuit du 10 au
l t mars, verB deux heures, le feu s’est déclaré au
chAtcau du Chef du Bole, en Moülan, appartenant
au capitaine do drogons Rozet.
Tout le château a été dévoré par les flammes.
Aucun a-cldent do porsonnes.
LA POMMAI! SOPÎHAIIE
I'” Prix Concourt Obacrvatolr* d* Bmboçob.
VOULEZ-VOUS CONSTITUER UNE
DOT A VOTRE PETITE FILLE ?
Quelle maman pourrait résister à cette pro­
position t Et cotnmc il lui est fid le de sa­
tisfaire son désir !
Il suffit de s’adresser A une de nos an­
ciennes compagnies françaises d’assu­
rances sur la Vie et d’y souscrire un con­
trat d'assurance dotale. La dot rêvée est
ainsi assurée dès le paiement de la pre­
mière prime.
Aucnne Société ne donne pins de
sécurité que la Com pagnie LE PHE­
NIX (entreprise privée assujettie au con­
trôle de l’Etat) qui existe depuis
Soixante-quatre ans.
Renseignements au siège de la Compa­
gnie, 33, rue Lafayette et chez ses agents
généraux.
Varices - Phlébite
Les varice» sont des dilatations vei­
neuses qui occasionnent de la pesanteur;
de l’engoudissement et de la douleur. Leur
rupture engendre les ulcères v a r i­
queux qui sont difficilement guérissables.
La p h lé b ite est une redoutable inflam­
mation des veines qui peut se compliquer
d'embolie mortelle, et qui dans les cas
moins graves amène des gonllements, des
douleurs et souvent même de l'impotence.
La plupart des médecins prescrivent
avec succès contre ces all'ections 1E lix ir
de Virginie Nyrdahl. Mais il taut se
rappeler qu'il n’existe qu'un seul produit
ayant droit au nom d’EHxIr de V irginie ;
il porte toujours la signature de garantie
N v rdahl.
Knvoi gratuit de la brochure explicative :
Produits Nyrdahl, 20, rue de La R o­
chefoucauld, PAitlS.
Courbetaux (Maine). 12 septembre 08. —
Sur le conseil de voisins, très satisfaits des
Pilules Suisses, ma femme a fait usage de
ces Pilules contre la constipation et s’est
guéri rapidement. A . Prémartin.(Sig. lég.).
.... ... 2
GUÉRISON
_ _
PALES CO U LEU RS
FLU EU H S B LA N C H E S
N E U R A S TH E N IE , CRO ISSANCE
CONVALESCENC ES t r ô f r t p l d e t .
ik to r
n n u c i i u p r montris , bijoux
DE U U n r l A l l u C
ORFÈVRERIE
PENDULESs'aChetent8UlFaljr,"TRIB±UDEAUÍ
de BESANÇON • Tarifs encours Fraoco.l
Vu, lo candidat :
P.
S a n t- V
guérit la teigne, la pelade et les maladloa du cuir
chevelu.
En vente A la pharmacie Doualle, Landivlslau.
CE N ’E S T P A S UN FA U X
L a lettre A laquelle II est fait allusion, est
signée : P. G uillaume, 15 rue Kéréon, A Quimper,
lequel s'est donné comino administrateur de la
Démocratie bretonne.
S i r o p
A r guella louzou da bare« token ha eempladurez ar vugale eo ar S IR O P SANT-VIKTOR.
Al lllrad, 5 lr. 25 ; — an hanter-lltrad, 3 fr i —
ar c'hart, I lr. 75.
E g u erz e tl VIKTOR DOU ALLE, apotlkeraz
ar c'hoc'bl LANDI VI SI O
~ RADICALE Ot
__ i INFAILLIBLE m
p ir l E L I X I M
0
J© U ?*S
i i li C O N
F I T U
R E
deS‘ V i N C E N T d t P A U L
LE 9 S E U L S AUTORISÉS S P E C I A L E M E N T
PÉLOILLE.
Ph1**, 3, t’* 8t-D«nl>, Parla. îouft f/nr-râcie». bruchine irme*
-------------
Brest : Dépôts, pharm. Leblgot, 4G-48, rue delà Hampe ; Quimper, pharm. Meret
rue St-François.
7'-s
dra-ze a raio vad d’in ; mez koulskoude,
nan, n ’eo ket fur, gortozomp ar medlsin. »
Kun heur a dremenaz, netra, den ebed na
zeuaz ; kouiskoude Jakez a grene gant an
derslenn. Jakez a grene evel eur bern
deliou. N” en doa ket choaz kollet he b.>nn,
mez he c'houli a rea d’ezhan eur boan
iskiz ; kaout a rea d’ezhan e oa torret
askourn he beultrin...
Erlin klevet e reaz trouz eur wetur o
herpel e klchen an ti. Tud a blgnaz en
diri,... an archer hag eur medlsin oa er
gambr...
, .
— « Medlsin, eun tenn am euz paket em
leultrln. Gwellt petra a zo ar c’nenta ar
gwella,c’hoant am euz da vont da Gastellln
enn ho kwetur, nemet gourc'hemen e reot
d’in choum aman. »
A r medisin a dennaz kuit an tammou
Kenn oa lakeat war he beultrin, ha goude
beza sellet mad e lavaraz :
« lieti eo kempeun an dra-ze, ha digerì
ar goull a nevez. »
— « Grlt, eme Jakez, mez g ilt buan. »
A r medisin a welaz pegen doun oa an
toull great gant ar boled.
— « Santout e ran eun dra bennak ha
mont a ran d hc denna er meaz, nc vlot ket
pello parca. »
Heb dale ar boled a rutile war an daol
ha liennou Iresk renket mad a c ’boloe
peultiln Jakez.
, J
„
— « Ha gellout e rin mont da Gastellln ì »
a c'honlennaz Jakez.
— « Hum ? hum I a reaz ar medisin ; n eo
ket re vad an dra-ze ; mez c’bout azo krenv
ha nerzuz. Mar deo red eta I »
— < la , red eo, a respountaz mevel Karrler distak. »
— < Mad, mont e reot enn hent mez
abenn div heur aman, nan araok. Betek an
heur-ze ehoumlt gourvezet heb tin vai
tarnrn. Ouspenn an toucher a ranko mont
goustaùik ha dlwal oc’b ar skoachili : erlin
pa veot dlgouezet er g e a r.lt raktal d h o
kwele, warc'hoaz viutiu ezlnnd’ho kwelet :
pelee h e tiskennit ? •
— « E ti Mathiaz an Takajou, ar c'hommiser polis ; mez, medisin, ne gomzlt da
zen euz an dra-man. »
— « Nan, nan, bezlt dincc’h, n’oun ket
eur vaouez, va zeod u’eo ket tur vllin gaie,
alo ! kaloun atao I ha warc'hoaz. »
Ar medisin a ieaz kuit.
— « Great ho peuz ho labour evel eun den
a spered, eme Jakez d'an archer. Choumlt
c’hoaz em c’hichen ekcit e vezin kousket ;
abenn div heur c’houi a zihuno ac’hanoun
ha ni a lelo asamblez da Gastellin. >
— « Ilo pczet lizianz, aotrou, n’ho tilezin
ket. »
pemp heur bennak divezatcc’h, Jakez oa
e ti Mathiaz. Goude beza displeget d’ezhan
ar pez a ouzomp, Jakez a genda o'haz :
— « Deut oun aman a zindau an noz ha
den n en deuz va gwelet ; ne fell e vez
gwezet emaouu enn ho ti ; va enebourlen a
2av d’ezho ez oun maro, hag Herri evel a
Eonjan a zo breman e Tresigidy. Me a ia
d’ober ar maro bian. Pa vezin deut mad, ar
pez ne vezo ket peli, warc’hoaz, lezit ane­
zhan. Ne lavarit ger da zen, dreist oli d’ar
gouarner. Kredi a rato ez eun dtstroet da
Naoned, ma chonmit aloul. bezit sur n’ho
pezo ket a goll. Karrier a outzo ho rekompansi. »
Mathiaz, laouen, a brometaz evel ar re
all derc’hel mad d’be deod. r*k prometí
n’eo ket diez, eun den mezo be ra mad tre.
Antrocoz vintin, Jakez a zava*. Gellout
a reaz baie eun tammik enn he gambr hag
hebdale a sor jaz mont adarre enn hent.
Allez e c'houlcrine digant Mathla* hag hen
oa dlwaiet mad Laou hag he vignouned.
Atao Mathiaz a respounte :
_ < Mad tre, aotrou. »
(Du g e n M c 'h tr .l
UTCOUimlEIt DU FINISTERE
BULLETIN COIBWERCIAL
H allea de P a rla
COURS
du femara du
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MarnilAn «lu Dépai-ioruoni
**'o'Uionuiiïi. r~ MarcliA du 4 ( mars — Ifru
maní, las MO.XH.99 00; nvolnu.17.bQ; »ct*lo, 17.0) ;
or««. K.po ; «iirriuiu, I&.6Q; bsurra, le kilo, a a <.
•u u . la dont. 1.00, poruinns du l„ 6 t>oloa loo ill.
LaiinliU. — Harobò du 10 inara. — l'ro
maut, las 60 *11., 10.tO i orna, B.uo ; i ormili,
I.U ; uvulna. Í.00 ; son, â.uo ; p. da Uirru,lo.i to
kll., 3.(0 ; poro (rali, 1.1b ; bourra sait, 9.10 ;
baurco sans *al, 1.70 ; usui», la doui., 0.86
M/tmotaUu. — Mambí du 10 mars. — l’ro.
■uni, les loo Ul., 11.00 ; mfiteii, 16.60 ; ¡elHlc,
lt.00, tarrasln, 10 ; uvulna, 17,10; orne, lU.eO ;
p, *• larr*. 8 00 ; Muta, la dont., 1.60.
Laanasun. » HuruhA du 8 murs — Pro.
mont, 1m 60 Ul., 11.00. Orga Id. o.tu. Bntrailû,
«.00. Avoine, Id., o.to.Pommos do torra, lu &<•
Etudes de M* LUQA8, avonô-licendé, rue VI», li, A Qulmper et
de M» 8ALAUN, notulre i Plonéour*Lanvern.
W X T V p»r ®u'te de licitation,
f u l i l E i on l’ctude et par lo ml*
uiatère de M* Sultvün, notaire A
PlonÉour-Lanvern, le laudt 110
m n r s 190!i, & nne heure At dc<
mie do l'après-mlll
Canton do Plo^aatel-Saint-Ger*
main. — Commune de Plo>
n fionr-L anvern. — Au
lieu de firtscoul.
Une PROPRIÉTÉ rurale
fonda « t d ro its rfinnln
avec tout' « ses clrconstaucas ot
dépendances, sans réserve et y
comorla la loucbe de l'fttat doa
foins, pailles, lumltts, stu» et
tous autre« objet« réputés Im ­
meuble« en dépendnnt
Elle ost portée &la matrice ca­
dastrale pour uno contenance
d'environ 12 hectares 73 aros.
Miso & prix : 3,5,000 fr.
L'avoué poursuivant,
7>11____________ A. LUCAB.
Etude de M* LUCAS, avoué
rue Vis, fi, a Qulmpp.r
IfT liT P Par Bdlte de licitation,
« L l l 1 t l au tribunal civil de
y u i^ v tr , le 18 m a r s 1009,
midi.
Cao'tiE dii Quimpcr. —- (Jcm
jcnuue a Ertfué-U a bCri
— Au lieu du C'aslol :
IllJ llA L E
fond« ot droit« réunie, compre­
nant malson d'iubltatlou, bâti­
ments d'exploitation, torres laboutMble«, tories k landa. courtils, — versets, pré«, p&turea,
bol« talllte, le tout d'une conte­
nance cadattralo d'onvlron 25 b.
33 a. 72 c.
Mlae à prix : 30,000 fr.
L'«voué poursuivant,
7910
A . LUCAS.
Etude« de M* G. FOURNIE II,
avoué à Breat, 27, ruo Emile
Zola et da M» CHEMINANT,
notaire A SalnM ienan.
VEVV'rr d’immeuble« par llcllaI L l l l L tlon Judiciaire, en l’éluue Lt par le ministère de M*
Cheminant, notaire A St-Kennn,
le samedi 117 m n r s 1909, a uno
beure ot demie do l’aptéi-mldi.
D E S IG N A T IO N
Lot unique
En la commune de G n lle r s
Ul., 4.00. Beurra «ali, la kilo, 1.10. Pourra snm
•al, ld., 1.80. CUuli, la douialuo, 1.15.
Morlabc. — MnrcUù da Ama's. — BIÍ, les 100
104 Ul., 12 60; lelgle, 14.(0; sarrniln. 18.00;
avolua, 18 00 ; oree, 17.60 ; folti, las (00 kll.,'0.00 ;
palilo, 16,00, «aun, In doui., 0 90.
Qulmper, » Marohé du ( mars. — Froment,
12 00 les loo kll.; salgla. 17.60; blé noir, 17.00;
avoine, 18 00 ; orge, 16.(0 ; pommes da larrn.&.oo;
loin, 40.00; pillilo. 16.00 ; (arine, 1” ijual., .lt 0J ;
turine, v qunI., 2 ).60; son, 14.(0.
rimt-VADM. -« Marcha
Uu 11 mnrs Piouient, 10.7( HbIrIs, O.oo. Ornu, B 36 ; , i i « p li,
o.'.w. /v o lu e , 8.60. P o m m o íd d taire, *.60 ;'r tv
*4,00,1 eu too Ut. Palile, 26.00. (fluii, prl< wu-u»
1 ao (u douinlne. Bourra, 1.50 lo </l kit
guim perW . — Marobé du ( ma»».
f*»
fO«n*. le SU., o Ir. 60 ; bœuiu de bonr'j»rie,
* Ir. 7( ; VA<ib«s da bouobarla. Q Ir. »o ; O w J i ■]»
travati, oM In. ; bouvltlons. R0 Ir.; vachi» tal1100 ; ntìul.«ns, 300 fr. ; l'Qovuux, tr. « la » 4 . oorc*,
0 Ir. 00 ; Uiouton«, 0 tr. Uì : ( « m i, U Ir. 9(1 ;
Promeut, les 100 fcl'oa, 31 ir. <0 ; jilx ln . 17 Ir. co ;
o.'go, Iti rr. 00 ; «urratlu,l8 fr. 00 ¡ayoltie, 17 kt. (o
liouimes da terre, 5 tr. »0 ; bnnrre, In Mie., a fr. 30
v al», lu dom aine 0 fr. 90 ; loto, Un tee Mio*
Si) Ir. 00; imlUe, les loo ilio». 21 Ir. o.i . non, i>a
r # kilos, 96 fr. 00 ; Inrllio, 1*» nutilllA. 59 ti 00 ;
>• u ita llti, 30 fr. r.ri
til-Pol do ¿dilli. — Marohé dn 9 ni ara.— Piirlu-,
1" quul-, los too kll., 19.00 ; iarlne,
28.(0 ; Irò
meni, 12 0) ; avotue, 21.00 : blc nolr, 18.Co ; ori?18 0 ) ; loin, 37.00 ; nrtlcbnuth, Oofr. los too Kilo?;
otjoiii-nouij, 4 IO 1« d o u i. ; poni, iti torro 8 oo
li-j 100 litt.;u)iua io do u i., 0 «').
flalnl-Sonaii. — « a r e n i Uti 0 mnrs — C o ­
ment, ter 60 kll., 10 .C0 : urge, 8.16 ; ru rm tln , <il.,
8 95 : nvolne, ld., 9.00 ; pommus ilo Ierro, los t>0
Kit., 4.00; puln blunc, mute Hour, In kit., 0.10;
palo bis, 0.36 ; baule, le kll., 0.00 ; vanii«, 1.40 :
kAuIssc, 1.41; voau. 1.50: mouton, 3.00; pori:,
frais, 1.1 0 ;b o u r r « s a l# ,lo k ll. 0.00 ;bettrrosi\n.i sai,
9 00 ; «ul6, In doui., 1.40: loin, los 600 kll., SB.'.O,
palila, 33.0 ; «on lo» ino kit., 7.50 ; furino, 1** qarl.;
la OUlaMlt, 34.60 ; fnrlno, 3“ qualità, 33,00,
Etudes de M» Henry GASSIS,
avoué A CbAtcaulIn et do M’
LE BOULG’H, notaire A Ptonévcz-du*Faou.
irriV T r do biens de mineurs, lo
l u l l l u samedi 27 m a r s tV09,
A uuujt nourcB da soir.
En la mairie de C o llo re c , par
le ministère de M* Le Boulc'h
notaire A Plondvoi-du-Faou.
Il sera procédé A la vente des
Immeubles dont la désignation
suit :
Aux dépendances do Kerilel*
lou et Pcnnaroi, on la com­
mune et prés lo bourg de
C o llo re c.
Premier lot
...
t
t
e
Le to m e I I «les « P o èm e s d«i T a ld ir »
S e m a in e
On maiionnera spécialement à nes?ine pour
une prléro solennelle en faveur «les pauvies vie
tlmos du dernier tremblement de terre.
Demu d*?r lo pro gramme détaillé et tous autres
réalignements au secrétariat du pèleringe «le Jé­
rusalem, h, avenue do Breteull, Paris.
La ferme de Kerlohou
Avis ¿ Adjudication
2
U FEUE
u< ,
U N E
M A IS O N
et dépendances, louée pour par­
tie A M. Péron, moyennant 130
francB l'an.
Pourtomi renseignements, s’a­
dresser A M* de Rodcllec du Portic. notaire A Salnt-Renan. 7870
cour et Jardin, ihdla occupés par
M. Franvols-OIaudo Legall.
Mlae A prix : 0,000 fr.
Etude de M; SOUBIGOU, notaire
Prise depoBgesaion Immédiate.
ALeaueven
Concourt OfficielObtemtolrt 1908.
EN PA SSA N T
Par Y . d'Isné. Un volume ln-13, 3.60. _ p . Lethlelleux, odlleur, 10, ruo Castotte, Parls-VI’.
Sous co titre modoste, nous retrouvons la
plume alerte, vaillante, si connue et si française
do l'Infatlgablo ami do la Jeunesse.
Dana ces pages sont réunies, sous forme de
Nouvelles, uno foule d’aperçus rares et salalssants
aur les grands problèmes do l’heure actuelle, sur
le» questions politiques, religieuses et morales
qui passionnent notre temps ; sur les mœurs do
noire société moderne, s n r lo u tc o qui peut Inté­
resser les petits et les grands, les humbles el les
puissant».
La clarté, la logique, le bon s»n9, l'informa­
tion précise, l'argumentation Irréfutable (ont, do
chacune de ces Nouvelles, une page do vie lum i­
neuse et vraie, simple ei attrayante. C ’est uno
petite épopéo où nous vojoos s'agiter tout les
inondes, on dos scènes pleine ï de mouvements,
héroïques ou Joyeuses, douloureuses ou sombres,
agrestes ou savaulos. Il y a un loi enlrulu dans
ces pages, qu'on arrl«e a la dernière en disant :
« Encore I » Oui, encore ! Y. d'Isné est do ce»
auteurs auquel on dem indo lo u eu rs uno sulio
pour le connaître d'avaUuge, car il est un cfiarm eur d'âmes.
Certos, voila uu bon llvro, un livre dont le su c­
cès e it assuré.
CHEMINS DE FEU UK L ETAT
1*AH IS A L O N D RE S
V U Rouon, Dlopaa ot New Ilaven, par la gare
Salut-Laztire
Services rapides tous les jours et toute l'aunie
(dimanches »t fé es compris).
Départ» d< P .ns-Salnl-Lazîro é 10 h. 20 malin,
1- et 3- cl. soulsinent ; «t a ti h. 2» soir, 1 É, 2' et
3’ cl.
A
P a r d e s s u s les v le n x m a r s
Par Claude Manccy. Prélace do T. de W yrew a.
Boauvolumt) In-12 (xit-370 pp.), 3.60. — p . Lothlelleux, éditeur, 10, ruo Cassette, Paria-VI’.
Dans sa préface, M. de Wyxenwa a bien mis
en lumière le naturel parfait et le bel accent do
vérité du petit drame fim lller, tout Imprégné
d'émotion et de « poésie », que nous offre aujour­
d'hui l’auteur de « Vieilles rliles, d Intellectuelles
et da Sources perildes n ; 11 en a bien f a i t . essortir aussi la philosophie, ou, comme il dit, « la
doctrino morale. »
Les fie u x m ur» par dessus lesquels Claude
Mancoy nous ong age à regarder, c l q u ’il désire­
rait même nous voir renverser une fols pour
toutes, ce sont cos cloisons élanches que, dans
les potitos villes surtout, le snobisme social a
élublles et m aiuU nant entre les classe* ; ce sont
ces préjugés su. annés et Ineptes qui fout que, 119
ans après la nuit du 'i août, il y a encore, en n o ­
tre pays, den gen» qui, parmi leurs concitoyens,
distinguent des perecuties qui sont et des per­
sonnes uut ne sont pas do * leur monde. » Pour
C.aude Manoey, co ne sont pas les titres, — pas
plus les titres do rentes que les titres denoblesso
— qui font la valeur d'nu homme. Co qal lui
donuo son prix, c’est la clarté de Hntolllgence,
c’est la fierté de l'Ame, c’est la délicatesse du
cœur, c’est la fermeté du caractère, c’est la réso­
lution de la volonté, c ’est surtout l ’infianglblllté
de la conscience.
Telle est, le ne dirai pas la thèse que soutient
l’auteur de Par dessus les vieux murs, car 11 a
bien trop do goflt pour faire d ua roman uno
Ihèse ; telle est, dlri,ls-Jo plus exactement, la
morale qui se déduit du récit qu'il nous offre des
falla et gestes de ses personnages...
V E n D R E
A.
L ’A M I A K I E
Premièrement
En la commune, de P lo n ftnan
Une FK RM E, d’uno conte­
nance de 12 hectares
Louée 1,000 francs, plus l’ac
quit des iropôte.
'} *
E gwerz partout : Goulennit
SIROP CELTIQUE deuz ti
1S S O R E U L ,
tetrVÆQr
' .-.à.-
e L and e rne ,
P R IX
“ L igne & LLA N ”
France au Canada
directement
Pour passages et fret, s’a­
dresser d
M. A. RAILLARD
17, m a V o ltaire , B rest
Kn ia commune de N lb lrï!
Une F E R M E , d’une conte­
nance de 12 hectares 67 ares.
Louée 1,300 francs plus l’ac­
quit des impô’ s.
S'adresser à M* Fle.ar?.
7523
Eur voûtai] lad hcblcen
A [ A I Ï D <le suite. A T E A I a J i L I i l i e r d e no^isT R IJC T IO N ÜK M A CH IN ES
A G R IC O L E S . — Matériel â
vendre au preneur.
S’adresser au bureau du jour­
nal.
7S03
SKOED
ON D E M Â N O E titeUFElU4E
pour 1909. 8 adresser au journal.
Etude, de M* René SAf,AUN,
notaire A Plonéour-l.amcrn
l ’in v iT par adludicatinn, pp
f Bj;1 1 îj l’étude, le lundi 22
m n r s 1909, d deux heures et de­
mie de laprès-mi li.
Sans Poisons ni Opérations!
O n prnérlt v ite e t M c n to u te s
(§ e la (M é ta irie
les
DE
K E IIG A V IN Y - DA LA E
EN PLONEOUR-LANVERN
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tares 50 ares.
Jouissance par watïis au 29
septembre 1909.
iMi^c A plix : v¡5.000 Tr
S’adresser aildit, Mr Salaiin.
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die, tamise le sang, qu’elle fait circuler libre__
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Etude de M* LAVOLE, notaire
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Guirison de M. Arnaud
CHEZ
Erude de M° PASCOE1’, notaire
A Plounéour-Tres
ADJUDICATION
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A une beure.
Ptèi le bourg de K e r n llla
par l’Elixir Dupcyroux
} à l’am'able. L'W E
ilU S iú M A ï s O N , au
A
uourg Uc Ciutpuvam.
S’adresser à M» Lorin, notaire
où A Mme veuve Jaouen, au pass. ge de Plougastel.
7932
I n s t it u tio n f a v o r is a n t l ’é ­
p a r g n e p a r c o m b in a is o n
li’a s s u rn u c e . (Parts de sous­
cription de 600 fr. et de 9J0 fr.),
demande partout agents, cour­
tiers et correspondants Bonnes
commissions, pas de cautionne­
ment A verser, mais sérieuses
références e*uérs. Ecrire A M.
l-’rOK r, ancien gouverneur des
■oiobics, inspecteur général à
Saint-Brévin les-Pins (Loire-Inl'érieiHV).
71*33
Tire les dents sans douleur
et pose des dentiers urtlftciels
PAItLK LK BIIBTON
24, rue JttalrJo, 24, BR E S T
r<as--------------------Etude de M* A L L A IN , notaire
A Ploudalmézeau
A D J I M C A T I M S 1"
190
1908
I)* DUPJÎYROUX
B, Square de Messine, 5, Paris.
P.-S. — L'KllxIr Diipoyroat, k baie fie créojolo vrala do hitre, d‘li>do, de Unis «t d«
l*eéropnoipli«le de eliaux, ftiérlt 1rs lAtloni luberculeiiii«
provoqusnt la formiüoa
antitoxine* dam le #4111(11 eençuln. Il Ipylt 4‘une elflcadié !ncoittf«UWe <ten» 1** ras de
tukenruloieipulmonaire, rinpl[onnalre,tarjmfto et omuse.de laryngite*, «»thnirs, raiarrbrj
emphysème«, bronchite» chroninuca, rhumes négti{4i. 91 U luberculwe pulmgnalre tali tant dé
victime*, c’Mt parce quo le* inedecln» ne ævent paa la «olener. n r*t de toute Importance
fxmr les tuberculeux, de «nlvre le traitement à beM d'ElIxir Dupenoux avsnt que lr«
jeilona n aient pria une étendue qui ir* rende Irrémédiable*. Je eoniolte emiuliemrnt loue les
jours, ds t h. 1 3 h., excepté le jeudi et le* Jour* de ttta, en mon cabinet du 5, tonare
de Ueulne, Pwi*, et par correapondance, et envole rrstl« «t franco *ur demande, lr* neuf
brochures où**ont exposés uie* trsvaux do thérapeutique H d’tiygiéM ainsi qu’un qoertion.
nalr*. J ’envoie le petit flacon franco à domicile contre X tr. 6 0 et lo a>oyen flaeen contra
2 fr, BO en timbre* ou mandaL Exiger dan* les pharmade# le tériUMe Elixir CMperroai.
Refoser tout Blixlr antlbadlUlre de contrefaçon ne perlant pas n o a
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A donner aux prairies ; 2° la des
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viennent; 3° tu e table de la
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(Cnn rente), on iH;;, et es t chef do station
A > nrulgiics (Donlojfne). Il ¿tnlt ntleint
d’uno bronciittA depuis
O. O unnd il
vint u uia consullaiion, le i5 décembre
19°7» Je lut trouvai des lésions tuber­
culeuses du deuxième degré occupant
les deux tiers supérieurs du poumon
droit et In partie moyenne du poumon
gauche, en avant et en arriére. Il avait
craché du sanjr. avait mnlfrri, trans­
pirait la nuit, toussait, souffrait do la
gorge et de la tête ; sa voix était
enrouée.. Mon t r a i t e m e n t à bnso
d ’E L IX IR D U P E Y R O U X , améliora son
état en quelques semaines et, le ao no— ------—
..
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■
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m ’a permis de publier sou cas dans lo but d’étre utile A ses semblables.
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IHjIîbî it Fietltî h ïWeein lt furU
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D R
< $ u in c a ille m
1
P h a rm a c i C orbé
10Vo
D ’E N F A N T S
P M È N Â O Iî H Y P R Q T H
D O M A IN E S
Le lundi 1S m a r s 1909, A 1 h.,
il sera procodé sur la place de la
Liberté à Brest, A la vente aux
enchères du chev«l « F rle d
lu n d », Agé do 17 ans, p.ovenant du 2° régiment d'ibfunterle coloniale.
Au comptant, 5 0/0 en sus.
I.ouzou evit an doken, ar
gweila remed evit ar vugale.
fe gwerz evel guechall er
"
firnssorle, Unoléum^Tolles ciréps
¡ F O ü R ilE A U
D O M A IN E S
Il sera procéié le vendredi 1!)
m a r s 1909, A dix heures, au bu
reuu des Domaines do Brest, 40,
ruo du Château, A la vente aux
enchères publiques de :
300 kll. crlblure de blé,
16.0(10 Ull. farine basse,
14.000 kll. son,
provenant des Subsistances de
la marine.
Au comptant, 5 0/0 en sus.
A
__ nDQmontier> .. .
v<nnoA4'..M»v.___
~ A ,^ m b é íe i^ ^ ,p h a r ^ ^i i'éret"
■
“ A Quimuer, pharm. Ladouce. - a Morl&ix üharm r w f '
- A k-Poïde Ùon, pharm. Blandía. - A Crotoré p h a m
Au Manoir de Lantiouardon
Principaux objets à
IKTÉBIEDRES Je la FEMME
JOUVENCE de l’abbé Soury
D e tro is ^S aisons
Selle
MALADIES
Sou origine remonte à h pueirs de
Cent Ans. Il était préparé par les
Rolipletixdel’Abîme doSt-Jcan-do
Castelle, prêi Cauru-s-VAdour.
NOTICE AVECATTESTATION« ffrXltil
Envoi f" :k4Itoco» 10'-1/2 f!. 6'
J.CAPIN,pli,ch,'.Boqncfort;uo(U»)
Nous ne cesserons de répéter auximilliers de femmes qui
souffrent des tr o u b le s de la m e n s tr u a tio n , des s u ite s
ue co nc iles, des m a la d ie s in té r ie u r e s , règles trop freqnenies ou trop rarc3, suppression ou însuiiisaace des règles,
hémorragies, m C trite s. pertes blanches, flb rô m e s, tumeurs,
varices, que le véritable remède A leurs maux consiste A faire
une cure avec Ia tfOlj\ fciVCË de l'a b b é S oury, préparation
exclusivement ve^étale tout A fait inoff -uslve qui les guérira
sûrement,sans poisons ni opérations, sans qu elles aient be­
soin de suivre des traitements ennuyeux et sans s'astreindre à
des régimes particuliers.
A toutes les désespérées, à celles qui ont
tout fait sans résultat, nous disons :
V ous g u é r ir e z s û r e m e n t en faisant un
usage ré«ulier de la
Etude de M" F. LEON, notaire
A Landerneau
l)ar adjudication
Vï’jliBrSSbj volontaire, le
mardi 2.‘{ m n r s 1909, à ¿m *
hemes de l’après-midi.
10
I I Ü H r a iM T IO N
l’Album Illtialré dii Montre., BI|oux, Peodnlec,
Orlévrorlo Ou Gä COMPTOIR NATIONAU
E. DIIPA3,tiriti’,19,RuedaBelfort àBESANÇON(Cuti).
Départs da Londres : Victoria (compagnie da
Brlgliton) & 10 h. matin, 1“ et 3- cl. seulement ;
London-Brtdge et Victoria, à 8 h. 45 soir, 1 ", 2et 3' cl. Trajet de jour en 8 h. 40.
B llleti slmplos, valables pendant sept Jours. —
1" cl., 48 ft. 25 ; a- cl., 86 fr.; 3- cL, 38 fr. 35.
Billet» d'aller et retour valables pondant un
m ois. — 1 " cl., 82 fr. 75 ; 2' ol., 68 fr. 76 ; 8' cl.,
41 le. 60. Ces billet« donnent le droit do s'arrêter
sans supplément do prix, à toutos les gares si­
tuées sur le parcours, aln.il qu'a Brighton.
Deuxièmement
ADJUDICATION
X l0?SS;
2 « m a r s 1909, A une heure.
et crèches couvertes en ardoi­
ses, Jardinet, tenus par M. Yves
Calvez.
Mise A prix ; 800 fr.
•boxiBub 10 *
En la ville de L a n n llis , me de
la Mairie.
M
E I U â c a c h e t e o «.
w lW illr f c lF lW D iiiiiiiiliig r a lln tlr » iiM ,
Sirop C e ltiq u e
'iî
g ùjf'M
Etude de M* QUENTEL, notaire
A LftnniltB
En la commune de L a n n llis
rt'.ttUIF.R 1.0V
A L AT IIU N O U
I
E
Etude de M' TU. FLKÜRT. no­
taire A Morlalx
Etude de M* MANIERE, notaire Près le bourg de l'io b e n n c c
A Qulmper
l,e 27 m a r s , A midi
A VENDRE
S a in t e à J é r u s a l e m
Célébrer nu moins une fols dons do sa vie le^
grands myatàrfs du Vendredi-Saint et de Pftqu 8
nux lieux mêmes où il «e sont accomplit*, peu de
ihrétlens Jusqu'Ici l'ouvule t (s,-é»cr ce b i heur.
Aujourd’hui, Il est a laporiéo du plus grand nombro, gril oo au navlro spécial VEtoile ((ul part lo
U mars prochain pour sa X X X V II* croisade.
Après lo bé;our du Pèlerinage à Jôiusalem , dés
a ta n t les IUmeaux jusqu’au mardi de PAques le
batoau-pôleriu contln era sa coujsq avoc escules
a tous les sovo' 1rs d- l'histoire sacré? t t profane
qui llluslièrent les tôles Ce ia àiéulti-naueu de*
I*ul8 l'Egypte jusqu’à Alhènos et Nanlfs.
Dans la preeento station quadrn<éslmnle, ou*
verto le dlm aui ho 28 favrlas 't Notro Damo de
Paris, et nul su couiluuera chaque (.lamucbo de
caréaio. M. lo chanoine Janvier, pourm lviint su
magistrale exposlllon do la moi al» cal Indiqua,
traltora do lu loi ot élu 1 ra juco s-Irenu-Dt : la
notion de la lui ; lu loi éternelle ; la loi uatur lld ;
la loi humaine ; la loi Julvo ; la loi chrétienne.
Les sujets abordas pendant la rotiutle pasculo
A
"
Petra oo an one, pur J.-P. Caér. — üwolloo'h en
em erb o il ou» Doue egot ous o Zent, par P. G
— ICeavrouriez ar B ezoDeg, p^i Ioen aa Tour»
Guod. — Kevren ai vugale, pur J.-M. Perrot. —
K om z eur Gai! hi»g a gnr Brtlx-Izel, p«ir Ma­
rin» Hepet. •— Kciucuer h a vililuer, par 8 ic r n
G wcbd . — E i j u r ar Rouanez e Landivlzlo, par
Jcaopi.
L e s C o n f é r e n c e s d e N o tr e - D a m e
Etudes de M -BO U LLIE R , no­
taire. A Litinilis ; VAILLANT,
notaire A B rit.t, et SOU­
BIGOU, notaire A Lesnevcn.
i v r i v n n r Par adjudication
i l i L l l l I l l L volontairo, en la
>.allc de u ^uirle do Lannllis, le
Jeudi 2» m a r s 1909, A 2 heures.
En S a lu t- F ré ffa n t et par
extension en G n ls s £ u y .
Premier lot
La ferme dite M é ta ir ie de
K EHGOFb’, contenant 13 h. 50 a.
54 c., louée Jusqu’au ‘20 septembre
1913 A M. Alain l.yvinec et con­
forta, moyennant uu fetmage de
S)50 francs, impôts en nus.
Mise A prix : K7.000 fr.
M r e lz
Sommniro du numéro de février 1900 :
Lo tome I dus PoOmcs bretons du bardo bien
connu (auteur iio A n llirvomtou, A n delen a ir,
PoiUltalloh, Ar bourc’htz tore’hus, A rc'hm ta t/re•
tiadour, etc.), parut on 19 2 et iatenlu v é rayiJomont. Bolllcitc do tuutoi parts, l'antour t ’oA dûcldO ti publier sis nouvelles œuvres Iniülii's en
un doualàmo volume qui sera la nulio du pre­
mier.
Mais lo public brctonnnril ctt fl rostrclnl, com­
paré uu public Iruncals, qu’aucun baulu r,o pour■ait tenter l'impression d ’: sou œuvres sans orga­
niser ii l ’avanco une souscription qui l u permotto do couvrir i os frais. Les amis ne la langue
ot do la poésie brotonno sont p il s il’ndrtssor
lour prjmohso île souscription a Jl. J .H fnuou
(Taldl' l, n Curlmlx (Plulsléro).
Une ferme dite L E B E S T ,
U no G arenne
contenant 11 h. 87 a. 93 c.. louée
dite Goarem - Mlquellic. conte­ jusqu'au 29 septc.mbre 1917 A M.
nant t bec arc H arcs 27 cen­ (\1a 1n Lyvinec, pour pur an 550
tiares
f ancs, impôts en sus.
Ml.ic A prix : !i 000 fr.
Uno commission de 750 francs
Deuxième iot
a t'tii payée.
Mine A prix : 22.000 fr.
U N
C H A M P
Troisiémo lot
dit Parc - L«n>?oiay - d'Ai/éac’h.
Autre ferme dite LE BE ST ,
contenant PO ares 80 cunUarcs. contenant 9 h. 99 a. 67 c., louée
Mlso A prix : 1,400 Ir.
jusqu’au 29 septembre 1917 A
Troisième lot
Mma veuve Jaflïès, pour par an
500 faines, impôts en sus.
L E
C H A M P
Uno commission de 700 francs
dit Parc - Langolwy • d'Antraon, a été payée.
Mise A prix : 10.000 fr.
contenant 80 arcB fil centiares.
Voir les affiedes.
Mise i prix 1 1,400 fr.
On
traiterait de gré A gré.
Qualriômo lot
S'adresser A M’ Boullier, no­
taire A Lam: ills
L E
C H A M P
dit Parc-Blan-d’Anôac'li.SDUS la­ Etudes de M* COLIN, avoué-li­
bour, contenant 46 ares 80 cen.
cencié à Brest, 4 bis. rue Vol­
taire et de M« ALLAIN, no*
tiares.
Mise A prix : 700 fr.
talro A Ploudalmér.eau.
ïrriV T r Par licitation, en l'éCinquième lot
i h l l l u tude et par le minis­
tère de M” Allaln, notaire A Plom
L E
P R E
oalméeeau, le lundi £2 m a r s
dit Prat-Allaouec, contenant GO 1909, A une, heure de l'apresaros 72 centiares.
mldl.
Mlso A prix: l,i$ 0 0 lr.
Pour tous renseignements, s’a­ § i v e r s
(g h a m p s
dresser A M* Le Boulc'h, notaire
en l'io u d a lin é z c a n , nu torrolr
A Plonévez-dU’Faou,
du Ciéguer, dans Mézou-RumouPour extrait :
louarn. MézoU’Cléguer, MézouH. GASSIS
Brémelloc, et au terroir de La7914
avoué-licencié. :iosquo.
Sur les ml3cs A prlxde 800 fr.,
Etude de M» FORGEOT, notaire 12« fr., 17;$ fr., 30 fr., 12« fr
et 100 fr.
A Brost, ruo tic la Mairie, 25
S'adresser, pour tous rensei­
l/r iV n n V l*ttr adjudication gnement«. A M» Allain, notaire A
TfvivIPIlrj volontairo, en l'e*
Ploudalmézeau,
A M « Colin et
titde, lo lundi 1» a v r il 1909, A
Sorgoiard, avoués A llrest. 7912
deux heures après-midi.
A D JU D IC A T IO N le uamedi
Cea travaux «eront alvisés en 90 m a r s 1909, A une heure.
D'une M A IS O N et .lardln, A
huit lots.
Kervadec, en L u n r lv o a r 6 ,
2° R é fe c tio n de la louée A M. Oller, A l'année,
moyennant 45 fr.
c o u v e rtu re d u th é A tre . Mise A prix : UOO fr.
7899
(Un aeul lot).
Les soumissions
devront
fitre
laissions
Etude de M* QUERE, notaire
remiles à M. le «ecrétalre ginôA Plouvoru
ral de la Mairie, le ieudi 1« avril, I T lW r r Par licitation Judiciaire,
avant clan Heures du «oir ; elles 1Elll 1 L le mardi 10 m a r s 1909,
devront Aire écrites sur papier k 1 uturoapiés-midl.
timbré à 0 flr. 80, fitre mites tons
Au bourg de P lo n v o ro , sur le
nne première enveloppe cache­ obomln do Messlnou.
tée * la oire et être ensuite pla­
Uno MA1SUN «ou« chaume,
cées avec le certificat de cipa- louée 28 Ir. l'an, A François F<m>
olté et récépissé de cautlonne- Jour.
mentsoTtsnneseoonde enveloppe
Mlae A prix : 800 fr.
également cachetée.
Autre M A ISO N soua chaume,
Les cahiers des chargea, devis
et plans de ces travaux sont A la louée A la veuve Créach, 30 fr.
l'an.
¡»•position de» intéressés A la
Mise A prix : U«0 fr.
Mairie, Wïeat» du secrétariat, -Autre
M A ISO N «ou« chaume,
tous les Jours, dimanche« excep- louée A Yve»
Mévol, 30 fr. l'an.
Mlae A prit t MOO tr.
Brest, le I mars 190».
Sur le« trois derniers lofa 11 est
Pour le Sinatcui-Malre dû une rente de 7 fr. l'an, «oit
3 fr. 50 chaonn.
7892
** F e l z m »
« Uaiz.tz T.ildlr ». — Un voluuio do 400 pages,
texte breton ot traduction frimçalso, en sous­
criptio n : :t linncs.
en Landunvoz.
P
amiable
L A
F E R M
E
En l etuuo, lo mercredi 31
D ’uno conionancc de 2 hectares
51 ares 71 centiares, louée jus­ m a r s 1909, A deux heures aprèsDE KKIIVAH/JOU
qu'au 29 septembre 1910, moyen­ midi.
Consistant «n :
nant
310 francs l'an, plus l'acquit
Maison d’habltatlon, bfttimi'ntn
d exploitation et dlvenen piècvs des impôts.
MUe A prix : 10,000 fr.
de terre, pour uno contenance to
On traiterait avant l'adjttdlca
taie de 7 hectarcs 72 arcs 82 ceu*
de MER-BENET
tlon, en cas d’otlrca sufiisauten.
tiare«.
En la communs d’Erffw<5-ArOette ferme est louée à M
e l, au bord de la grand'route
Jean-Marte Hlon, j asqu’au 29 sep­ Etude de M» CHEMINANT, no m
de Qulmper A Concarneau.
taire A Salnt-Renan
tembre 1915, moyennant un ferContenance : 30 hectares 16
majtede45P ftanc« l’an ot l’ac­ i wmnnv P'lr adjudication aros 50 centiares.
quit des Impôts.
il VEilllIIiEi volontairo, le sa­ Mise A prix : «0 ,0 0 0 fr.
Mlae à prix t Trelie mille medi H a v r il 1909, A une heure,
Pour tous renseignements,
flranca, cl, 13,000 fr.
en l’étude.
s’adresser audit M* Manièro.
POUR KXTflAIT :
Etudu do M * DE RODELLEC
G. FOUBNIER,
DU PORZIC, notaire A Saint7929
uvoué-llcenclé. en la commune de l'ioum oRenan. ________
g u e r , comprenant bâtiments
d'habitation et d'exploitation,
A
V E N D R E
terres de diverses natures.
nE gué a onÉ
D'une contenance do 19 hec
Le vendredi
a v r il t m fi tin. s 02 ares 56 centiares, louée
En la commune de Plonm odeux heure« trois quai lu du noir aux consulta Pelleau et Quéré, g a e r.
auront lieu à la Mairie de Brest, movennant 770 francs l’an et los
le* adjudications cl-après :
lui pots
1
A prix : « « ,0 0 0 fr.
V , A g ra n d is s e m e n t Mise
S adresser, pour renseigne­ louée A Yves Fitlohou, Jusqu'au
d u c h a n tie r de THar- ments, A M* Oheminant.
7935 29 septembre 1916, moyennant
530 francs l ’an et les impôts.
to lo ir e e t c o n s tru c tio n Etude de M» CHEMINANT, no­ En la commune de P longonv e lln . au bourg.
taire A St-Ilcnan
d ’ u n e fo u r r iè r e ù l ’A b a tto ir m u n ic ip a l.
o
D e u x iè m e lo t
La ferme de Kerpieroc
seront : lundi saint : la vortu blonfnlsanto do la
loi ; mardi saint : la forco roproaslvo do la loi :
mercredi snlnt : dovolrs ilo la conselenco vis a
vis do lu loi ; vondrodl saint : la violation do la
loi dans la Passion do Jésus-Christ ; dlamucbo
do Pftques : Allocution é la comm union géuéralo
dos hommes : l'accom pllttoment de la loi dons
lo sacrillco euchailstlquo.
Commo 1rs années précédentes, los conféronces
et la Relr.illo Pascato sont publiées en fascicules
(qui paraissent lo luodl ou mardi suivant le di­
manche où elles ont été prononcées) par les soins
do la llbialrle P. Lolhlelioux, 10, rue Cassette, à
Paris, au prix do 2 fr. pour lu Fiance et de 2 fr. 35
pour l’Etrangor. Ou souscrit égaloaient dans
tcuU s los librairies catholiques.
|EN VENTE A L’IMPRIMERIE
du (fo u r r ie r da Finistère
B R E S T — 4 , ru e d u C h â te a u , 4 — B R E S T
Deomp da dezuz er » Ml z B l a n K a l o u n
Zakramant, un volame Zakr «Jezus, par M. Le
in-8 de 350 pages, car­
tonné, I fr. 2 5 .
Penaos karet JezusKrlst, par M. Gab. Mi-
lin, nn volame ln-13 de
272 pages, c a r t o n n é ,
0 .9 0 .
Ccz, recteur de Penmarc’h,
un vol. in-12, demi-rel.
basane racine, I fr. I O.
Mlz Mari Debuasl,
par M. Le C oe , recteur de
Penmarc’h, nn volume in12 illustré, cartonnage élé­
iT.Ar P e v a r A v l a l gant, I fr. 2 tf.
lakeat en nnan), par M.
I.-V. Lourd, par M.
’abbé Caér, un volume Madec, un volume in-8,
ip-16 de 384 pages, car­ illustré, cartonnage élé­
tonné, 0 .7 fi.
gant, I fr*
Î
1
80* Année. — N* 1.828
Samedi, 20 Mars 1909. - T H
«CENTIMES
Abarz ne vezo grcet eun tenn, e lavarer
goulskoude e c'hourc'hemenno an Aotrich
d'ar Serbi roi he aotre, l'reaz ha krenn,
didan 18 heur, d’ar jocchamant a zo bet
diwar-benn ar Bo ni hag Ilerzegovin. Hag
evel ma n'eo ket bet kaset an urz-ze c'boaz,
e choum eun tamuiik Ihiaus da zlarbenn
ar brezel.
An dalc’h a zo brema gant an Ita’i hag
ar II usi. Evit gwir, ar l'Vans ha BroZaoz,
hag an Allemagnmuioe’h e'hcaz, azo p:est
da roi ho asant d’ar pez e deuz grett an
Aotrich e-kenver ar Bosni hag Herzegovin ; ba ma karje an Itali hag ar Ituai ober
kement all euz ho zu, ar Serbi a rankfe
piega, p’e gwir e deuz lnkeet an aller, evil
ar pez a zeli out-hi, etre daouarn rouanteleziou braz an Europ.
Mes an Itali hag ar llusl eo diez dezho
obar hevelep tra, ar genta abalamour ma
chachle war-n-hi droulans ar Montenegro,
bro he rouanez, — ebeo abalamour ma
kollte dre ze istim rouanteleziou blan ar
Balcans.
Oaspenn-ze, o piega, roue ar Serbi a
welIe raktal he fco'îl oe’h en cm zevel enu
he enep.
Pebes kudenn, ae’hauta I
Start eo hor o’halon onn ho»1 o'hrolz
lia atartoe'h ur Uroaie onn hor Broizl...
CE QUI SE PASSE
Le conflit C a illa u x - P l o a r d t ’est
apaisé. M. Caillaux s'est décidé, non sans
peine d ’ailleurs, à donner à son collôtjuo
los 100 millions dont il avait bisoin pour
remettre n otre llotlo en état. La dépense
«ora répartie sur six ou sept exercices, à
raison de 30 millions par an. Il faut
espérer que ces millions ne seront vas
i/aspillés criminellement, comme lest
trop souvent l'argent d u contribuable.
• *
* ¥
Le budget est on d é ü o lt do 190 m il­
lions. Vendant les vacances de J\1r/uos,
M.
Caillaux va étudier
un
cortain
nombre de mesures pour assurer l’équi­
libre budgétaire. Contribuâmes à vos
poches et soutenez toujours u n ffouvornoment dont la politique mène la France
à la ruine.
* *
L e g lt lm u s , le député nègre do la
Guadeloupe, est arrivé, on so rappelle, à
Paris, après deux ans d ’absenco pour se
laver dune accusation de concussion,
que ses adversaires politiques de France
faisaient peser sur lu».
La commission de la Chambre dos dé­
putés q u i s'occupe de son cas, a com­
mencé son enquête, q u i est loin d'être
favorable aux ennemis de Legitimu s.
Ullt a entendu M. Ballot, ancien gou­
verneur de la Guadeloupe, dont la dépo­
sition met en fort mauvaise posture
M. Milliès-Lacroix. Celui-ci avait donné
l'ordre de combattre par tous les moyens
l'influence que Legitimus avait acquise
au m ilie u de «es compatriotes, et de
protéger coûte que coille les intdrflts poli­
tiques de Gérault-Kichard, au tre député
de la Guadeloupe.
M. Milliès-Lacroix donnait aux colo­
nies le mot d ’ordre donné en France :
mettez tout en ceuvro pour abattre le
candidat qui nous qêne, et faire triom­
pher le candidat ami.
Mais M. Ballot « parce que, dit-il, il
est u n honnite homme » ne marcha pas.
Une telle indépendance fut aussitôt
punie. M. Ballot fut relevé do son poste
par M. Milliòs-Laorotx, q u i ne le trou­
vait pas assee souple.
Car nos radioaux considèrent comme
un crime de lèse-majtsté tout refus d ’ob­
tempérer à leurs ordres, si iniques
soient-ils.
4 *
Lo coût des guerres.
La Chambre a été saisie d u rapport
de M. Massabiau sur le projet déposé en
1902, en vuo d u règlement définitif des
déponses dt l'expédition de Madagascar.
Le chiffre des dépenses est fixé h
'J l . m . ’i i l fr. 7C, dont
fr. 08
pour le ministre de
la
guerre,
et
V7.C55.757 fr. 18 pour celui de la marine.
I'our frais de l'expédition du Maroc,
u n nouveau cahier de crédits supplé­
mentaires a été distribué à la Chambre.
Il so monte à 11.298.MO francs. Sur celte
somme, 5.859.15a sont demandas à la
charge de l ’exercice 1008.
D autre part, afin de permettre h l ad­
m inistration de la guerre de remplacer
le matériel prélevé sur les approvision­
nements et les services pour l'expédition
du Maroc, le gouvernement demande
l'ouverture, sur l ’exercice 1909, d u n
crédit de fi.439.2C2 francs.
O b e r va fa o tr ia o u a n k 1
En deiz ail edomp o kaozeal hon nao
asamblez diwar beua prena keuneud, ha
Fransa dioe'htu :
« Ear ves eo pegement a arc'hant a vez
dispignet sod ganeomp evit ar marc’bajouZC. *
— « lie ger eo ar c’heuneud, Fransa ? »
— « N’int ket ; mez var zigarez prena
keuneud ez euz banneou a fors, evel m’on
deii re a arc’hant er blzac'h. Hag evit tout
eo memes tra. IVenit'bizin, prenit keu­
neud, kit d’ar laavpe d’ar marc’had. deuit
d’ar liDurk d’an oilisou pe d’ar pardouniou,
ato dispignou sod. »
Kaoz a zavaz neuze. Ha deuz an eil ger
d’egile e teujomp d'hen anzao : ar baotred
iaouank a zispigu r.’., te ubred. ha re zod.
Re. Gwelit petra c'hoarvezaz varlene gant
mab Bela G. Hen-ma a îoa o vont d’an aot
da glask bizin, diou leo deuz ar gear. Ar
vam a roaz dezhan eur pez elz real evit
kaout he voued hag he vutun. N’oa ket fall
evit eun hanter-dervez. Ar mab drouk
ennban goulskoude : « M ’em bezo ugent
reai, pe n ’ez in ket I »
Kaer e oue, ne zelaouaznetra, hag ugett
real a raukaz da gaout. Mont a reaz da vizina. Da noz, eun amezek a ziredaz daved
Bela;
tt .4
« Deuit buan, o map zo o vont ku.t : pilet
eo bet diwar he loan pa ’z oa mezo dall bag
ar c’har zo bet paset var he stomok. »
An ugent real o devoa great kalz vad
dezhan, neket? — Ilag ato evolse.
Eur paotr iaouank, pa rai he zervez-sul
gant elz real, a gavo dezhan beza bet euz
ar re fura. Evit ar pardouniou. ar guenneien
a za kuit evel divar nij IVar frlkojou, n’e-uz
ket aoualc’h gant ar pez a zébrer bag a ever
ouz tao! ; an arc'hant a zev ar godeUou, red
eo diüpign. lied eo ober va laotr, ¡ve I
Ha da be oad c koumaa3er 't Hugale
pcmiek vloaz, aveae’h ma vezont goest da
c’hounld bo boued. a c’boulen ho fevarreal
ben sul. ha ue zistro guennek ebet d’»r
gear. Ila n eo ket epken gonlen eo a reont,
mes reklami evel ma vije ar vam f jrset da
rei dezbo.
Hag e?lt pîfra kement-se a archar.t?
D'ar c’herent eo paea an dillajou, ar boued,
tout. Ar potr ne ïonj nemet eva ; paea d'ar
reali hag abaco eun tourne ail dezhan,
— chom eun heur, diou heur, pemp he.ur
memes dioe’htu var ar c’hezek koat (guclet
on euz groat. gant hor. daoulagad) . —
c’boari kartou beteg dek ba daouzek lur var
ar memes taci, — ha me c'hoar c'hoaz t
Pe c vezont r '* bin^idik, pe e vezont ro
7°Erlin, on enz Eonjct penaoz herpelouzar
n i a » fall*ZC«
Dam a lavare : red eo babitui ar baotred
da esperi! guenneien, da rei bop sul, bep
tnizenn d-a beni? evit eur Chef Retred,
pe eur Mutuelle-Meladie, pe le Sou du
Solde t.
,
^
.
Darn all a lavare: red eo bo lnkad da
gompren peger sod eo ar c’hiz îo brema
cc ho zouez.
L i
mottro & domicile les Journaux, tout
oommo les correspondances, qu’ils
soient isolés ou en paquets, ta n t quo
cos pnquots no dépassent pas lo poids
do 3 kilos.
Nous ajoutons qao notre service des
expéditions ost réglé do teïlo façon
quo le Journal doive arriver à, desti­
nation lo samodl.excoptlon fuite pour
quolquo» rares looalltés reculées du
département.
Prière do neus aviser do toutes los
Irrégularités.
tout agent qui «o croiserait le« bras, retutant de
travailler.
C O U R R IE R
et les étubllsaemouts publics no peuvont remplir
ul les charges plcuaos ou cultuolles nUironles uux
libéralités a oux faltos, ou aux contrats conclus
iur oux, ni Ion chargos dont l’exécution comporait riutervontlon soit d'un établissement public
du culto, soit de tltulatros ecclésiastiques.
lia no pourront rompiir les charges comportant
llutervontloH d'eccléslastlques pour l'accomplis­
sement d'actes non cultuols quo s'il s'agit délibéralltés autorisées antérieurement i la promulgation
do la présonto loi, et si, n'ouobstant l'intervention
de ces ecclésiastiques. Ils consorvont un droit de
contràlo sur l'emploi desdltes libéralités.
Los dispositions qui précédent s’appliquent uu
•équestre.
Dans los eau prévus A l'alinéa 1 du présent
paragraphe, ot on eus d'inexécution dos charges
visées à l ’alinéa a, l'action en roprlse, qu’Uloaolt
q u a lifie on revendication, en révocation ou eu
résolution, ne peut éiro exercéo quo par les
autours des libéralités ot lours héritiers on ligne
dlrecto.
Los paragraphes précédonta s’appliquent à
cetto action sou3 los réserves cl-epros :
Lo dépùt du mémolro est lait ou préfet, et l ’arrété du prélot ou Conseil de préfecluro ost pris,
s'il y a lie « après avis do la Commission dépar­
te m e n ta l pour le déparlomont, du consoll m uni­
cipal pour lu commune ot do la Commission
administrative pour l'étubllssomont public Inté­
ressé.
E n co qui concorno les blons possédés par
l'Etat, Il sora statué par décret.
L ’ucllon soru proscrite si lo mémolro u'a pas
été déposé dans l’unnéo qui suivra la prom ulga­
tion do la présonto loi ot l'assignation devant la
Juridiction ordinaire délivrée dans les trois mois
do 1a dato du récépissé.
il 15. — Los biens réclamés on vortu du para­
graphe 14 il l'Etat, aux départomeuts, aux com­
munes et A tous los établissements publics ne
sont rostltuablei, lorsque la demundo ou l’action
sera admlso, quo dans la proportion correspon­
dante nux chargea non oxécutées sans qu'il y ait
llou do distinguer si lesdllos charges sont ou non
déterminantes de la libéralité ou du contrat do
fondation pleuso, et sous déduction dos Irais ot
droits correspondants payés lors do l'acquisition
dos biens. »
S 10. — S ur les blons grovés de fondations de
messos, l ’Etat, lo < dôpartemonls, los communes
et les établi; sements publics possesseurs ou
attrlbutulros de.idlts blons devront, A défaut des
restitutions A opérer en vortu du présent artlclo,
mottro en résorvo la portion correspondant aux
charges ci-dessus vlséos.
Cotte portion sora rem ho aux Sociétés do
socours m utueli constituées conformément au
pgragrapho 1", «• de l'urtlclo u do la loi du 9 dé­
cembre 19J5 sous la formo de litres do rente
noniluatlta, à charge par collo-cl d'asiuror l ’exé­
cution des fondations porpétuelles de messes.
Pour les londutlons temporaires, les fonds y
uiTCronts seront vorsés uuxdltcs Sociétés de so ­
cours mutuels, mais no M a n d e r o n t pas du taux
do faveur prévu par l'urtlclo 21 do la loi du
1" avril 1SU8.
Los titres nomlnntlls soront remis et los vorsesements faits A la Société do secours mutuels,
qui aura été constituée dan» lo département, ou
a son défuut dans lo dépui'lomcul le plus voislu.
A l'expiration du délai do dix-huit mois prévu
au paragrapho t " , 0% ci-dessus visé, si aucune
des Sociétés do socours mutuels qui vlouuent
d'étro mentionnées n'u réclamé la remise des
tltios ou lo vorsement auquel ollo u droit,
l ’Etat, los dépuitemcnts, les communos et les
établissements publics seront définitivement libé­
rés ot rejlorout propriétaires des biens par uux
possédés ou A oux attribués, sans avoir A exécuter
nucuno dos londatluns de messo grevant lesdlts
biens.
La portion d mettre en réserve, on vertu des
dispositions précédentes, sora calculée sur la
buso des tarifs Indiqués dans l’acte do fondation
ou, A défuut, sur la base de» tarifs en vigueur au
9 dééumbro 1006.
Cet avertissement n’eut pas le résultat
escompté. Lundi dernier, au infime bureau,
deux brigades de service se prirent de que«
relie, l’une reprochant A l'autre sa tlódear
A l'égard de la grève quo déJA cortalng
employés préconisaient.
MM. Léplno et Symlan nocourarcnt pour
rétablir l'ordre. Dans tous les bureaux des
buées formidables accueillirent M. Symlan
et sans la proteotlou de la pollco, quelques
employés se seraient livré sur lui & des
voles de fait.
Do nouvelles révocations suivirent ces
Incidents. Le soir on apprenait que sopt
commis des Postes, arrêtés au cours des
manifestations du vendredi avalent été
condamnés A bIx Jours do prison.
Un meeting do protestation organisé
ttussltôtrônnltslxmilloemployéa doH P.’l'.T.
Los discours des orateurs furent nette­
On annonce qao M. Trabuc, Inspecteur
ment révolutionnaires.
« M. Symlan, dit un orateur, nous a trai­ primaire A lirest, aux prochaines élections
législatives,
posera sa candidature contre
tés d'anarchistes I G’ostlutl’anurehlsto I »
« M. Symlan, dit un autre, ostuu voyou. » celle do l'honorable M. Vllilers, dans la
Aprén un débordement d'injures toute» A deuxième circonscription de Brest.
Al. Trabuo espère snna douto quo les ins­
l'adresse do M. Symian, on vota un ordre du
tituteurs saroat scs plus dévoués courtiers
Jour par lequel touto l’asslstanco acclamait
élcctoraux.
la grèvo gi'nóralo des Postes, Télégraphes
« No vous lalssoz p.is prendre, par lo
et Téléphones.
bout du doigt dans l'engrenage de la poli­
l/ordre du Jour a été suivi. Car mercredi
tique militante » disait Jules Ferry, aux
soir on comptait A Parla plus de trois millo
Instituteurs, en 1881. « li vous aurait bien
employés participant A la grévo.
vite
emporte s et déconsidérés tout entiers. »
lin grand nombre do leurs camarades so
Si nous étions les amis de l’écolc laïque,
rendaient encore dans lea bureaux mais re­
nous montrorlous. l’opportunité, toujours
fusaient tout travail.
Et la situation était tollo que dans la actuelle, do ce conseil.
L'ln»t,ltutour no peut que perdre un peu
soirée do mercredi des million« du lettres
de sa dignité en dovunant le serviteur d’un
étaient on souffrance au principal bureau
parti,
d’autant plus que le soleil du lende­
de Poste de Paris, quo soixante millo télé­
main A l’horizon politique, n’est pas tou­
grammes n ’avolcnt pu y ûtro expédiés faute
ae personnel, et quo Paris était Isolé du jours cclul de lu veille.
Lo bruit court aussi, que le gouvernement
resto du pays et du mondo presque totale­
ment. Lo mouvement gréviste gagne lu a donné l'ordre u’étudler lu géogrupblo
politique du département en prévision d'un
rovlnce: ou annonco quo les employés
es principales villes de Franco vont so futur remaniunent des circonscriptions
électorales.
solldarlsor avec leurs camarados.
Les ciiconscriptions seraient taillées
Le gouvernement déclare qu’il no cédera
dans la carte, non pour grouper des com­
pas aux Injonctions des grévistes.
munes ayant une communauté d intérêts
« Les employés, dit Otémenceau, veulent
économiques et commerciaux, mais pour
la bataille ; nous l'acceptons. »
donner
au candidat officiel, un champ élec­
A l'heure où nous écrivons, 1100 révoca­
toral tout préparé.
tions d’employés ont été prononcées.
L'Intérêt du candidat gouvernemental,
On espère uiiUor ainsi la révolto, mais y
passo celui du pays.
réussira-t-on 't
C’est donc l'ordre ; depuis qu’ils sont au
Vendredi, la Chambre des Députés
pouvoir, les radicaux sacriliont les Intérêts
s’occupera ue la grève. Le ministère croit
île la France A des intérêts étroits do parti.
que la majorité approuvera son attitude
qui veut paraître énergique, mais qui
n ’est peut-être quo fanfaronne.
O. L.
ÉPIDÉMIE
P.-S. — Jeudi, la situation s'était aggra­
vée. Les télégraphistes et ambulants de
Le préfet du Finistère vient d’adresser A
Paris en grève avaient augmenté.
L as facteurs d'imprimés so sont égale­ tous les maires du dépuitement la circu­
laire suivante
ment Joints au mouvement et ont voulu en­
Dana pluslours départements appiraU sont de­
traver lo service des facteurs de lettres,
puis
quelques semaines des eus do méningite
qui veulent travailler.
Jeudi matin, Ils s'introduisaient A la Hc- cérébro-spinnlo épldémlquo.
Jo vous prlo dntliror l'attention dus médecins
cct:o principale, d’où la pollco dut les ex­ sur la nécessité do la déclaration Immédiate,
pulser.
l'Isolomoul dot nmlndns, la détlulcotlon rigoureuse
Eulln les ouvriers des lignes ont aussi,
et l’obiervntlim dos suspecta.
par solidarité pour les agents et les sousUno surveillance spéciale des écoles A la premlòro nlerto est Indispensable.
agonts votóla gièvo générale.
Pour prévenir l'oxtouslon de co redoutable
A Brest, quarante agents auralont signé
I15mi, dòn qu'un cas sora constaté vous m'eu
l’engagement do cesser le travail. Jeudi
nvisoroz télegraplilquomont, alla quo Jo vous
soir on no comptait encore quo onze man­
fusso parvenir du sérum untlniénlngooocolquo.
quants au travail.
On a conslaté trois cas A l'hêpital mari­
Le gouvernement considérera comme ré­
time de BrcBt.
voqués tous les employés, qui n'auront pas
A l’hospice do Lesncven, on signale un
roptls le travail vendredi soir.
Il fait assurer tant bien que mal, lo autre cas assez grave de cetto maladie.
L ’n v c n l r d e l a p c t l t e p r o p r i é t é r n r a l e
Du
sérum a aussitôt été envoyé de Brest.
stuvlco du télégraphe A Paris, par les
Puis, on annonce ereore que deux cas ee
soldats du génie. Alais ceux-ci n'ont pas,
Dimanche, A Pans. M. Ii aau, mlListre de
cela va saus dire, le coup do main du pro­ sont déclarés A Lambézelleu. Une Jeune
fessionnel et les dépêches s'expédient aveu fille de 14 ans est décédée. L'autre cas est l'agriculture, prononçait un discours inté­
ressant au Musée social, sur la propriété
également grave.
une lenteur pénible.
rurale.
Lo ministère, qui pendant 21 heures no
Voici l'analyse d’une partie de son dis­
ut recevoir ni expédier une seule dépêche
M è r ito
A g r ic o lo
cours :
Iplomatlque, a pris (ÿ!S précautions pour
D'uprèa lo ministre, la polito culture m l proporue lo service Important des affaires extétlonnolkm ent .supérlsura a la grande sur le terri­
Sont, nommés chevaliers du Mèrito agii
curos fonctionne normalement.
toire
agricolo do la France. Seuls, dlx-hull départe­
cole i
Alln que l'on no puisse reprocher aux
ments accusent l'iuférlorlté de la petite culture nu
MM, Joau Ansquor, propriétaire-cultivateur A
révistes leur nnllputrlotlsmc, lo comité de
double point do vuo dos moyens do production el
Plnulilnoo: Cnrlou, nialro do Lunglo, en Urnai grève avait fait savoir au gouvernement
dei résultats économiques obtenus. Mais sur les
arts; Guillaume Danzò, A Ponnaïun, eu Goulven;
dlx-hull, Il n'y n qu'uu département duns lequel
qu II était prêt A lui fournir huit télégra­
osopli Pellé, publlclsto A lirost ; Jeun
'
Salami,
la
graudo oxplollatlon paraît tendre A étouffer la
phistes pour la transmission des dépêches
ngrleultour A Purlodjc, on GjuIIcu
petite.
diplomatiques.
Daus les dlx-sopt autres, r ü la polito culture
Mais celte offre a été déclinée.
est iuttrlouro, nnllo part la polito exploitation
Néanmoins, lo gouvomoment s'inquiète
n ’ost absorbeo par la grnude. lit mémo dans noaf
do plus on plus do l’extension du mouve..
départements c oit la grundo oullure qui balsso
pavillon dovuut la moyonuo.
ment et un annonco qu’il est prêt A Uébir
8u r l'onsomblo ilo nos quatro-vlngl-gjpt dépurquer M. Symlan. SI co délestage do la bar­
lomonts, U n'eu est que d«ux dur.s h-squ^L-s on
que mintstéilollo avait lieu, lus grévistes
uisse signaler dopala vingt ans ua mouvement
reprendraient lo travail.
o concentration do la propriété, lia dehors do
A l’heuro où nous mettons sons presse,
cos doux départements, où lo résultat d'eusemblo
la Chambre discuto un outre du Jour sur
est Incontestable, on no peut citer que quelques
la grève.
réglons, dans quolqu-j* départements où par auito
Ainsi
que
nous
lo
disons
dans
la
partie
de circonstances »pédales la grundo propriété
Nous sommes obligés de renvoyer A la
«emulno prochalno, le compte-rondu dos bretonne du Journal, le Journal Officiel du oirqnèto »ur la pctlto.
Gortalns départements no sauraient donnor llou
14
murs
courant
a
publié
la
liste
des
biens
débats qui seront sans doute violents. Le
A uno appréciation d'ensemble A c.iu»o de la
confisqués aux établissements publics du
mtnlstère, croyons-nous, en sortira vain­
diversité dos observations d ’après les réglnns
culte ayant leur siège dans le dépaitemcnt envisagées.
queur.
du Finistère.
Il est difiloll«' do chiffrer les pertes que
La situation ost demourée scn»lbloment slxC'eut de cctto date quo couit le délai de tlonnnlre daDs trelio départements. Partout ail
va causer au commmco et A ('Industrio la
six
mois
laissé
aux
ay.vnts-drolts
pour
grèvo. Mais 11 est évldont quo cetto crise
leurs, lo nombro drs petits propriétaires a uugva Jeter uno perturbation énorme dans lo revendiquer leur part des biens ainsi dis­ monté dopais vingt uns, et la surluce lotalo do la
petite propriété ¿’ost accruo. Los départements
mondo des affaires, perturbation qui, A ue traits de leur d(;stlnution.
dans loiquols cotto tendineo s'ost révélée sont au
Voici o,e que dit A co sujet l’art, i) delà
prolonger, prendrait les proportions d’uou
nombro uo trente-six.
loi du 13 avril 1908 :
catastrophe.
f
CHRONIQUE LOCALE
Cuisine élactorale
S
S
S
G
y
Les biens
S
Un Pèlerinage Breton à Montmartre
Un pèlerinage populaire, organisé par
len sociétés de Bretagne, a eu lieu dimanche,
A 3 heures, A la basilique do Montmartre.
Mgr Duparc, évêque de Qulmper et de
Léon, y a prêché en breton.
Le pèlerinage était présidé par le géné­
ral do Kerdrel.
ATTENTION AUX MONNAIES GRECQUES
Lu Chambre vient d’apporter son appro­
bation A une convention monétaire, signée
le \novembre dernier, ontre la France, la
Belgique, la ürèüo, l'Italie et la Suisse.
Un artlclo spécial de cotto convention
prévoit qu'A partir du 1" avril 1009, et psndant un délai de quatre mois. c’est-A-dlro
jusqu'au 31 juillet, les monnaies grecques
continueront d'êfro reçues par les caisses
publiques de Franco, ae Belgique, d’Italio
et do Suisse, pour ôtro retirées de la circu­
lation et mises A la disposition du gouver­
nement hellénique.
Passé ce délai, c’cst-A-dlre A partir du
1" motit 1009, ces monnaies cesseront
d’avoir cours chez nous.
De la monnaie neuve
Le ministre des données décidait 11 y
quelques années, de procéder a la rofoute
ues pièce de î>0 centimes antérieures A 1870.
Les adminlauationt! do 1Etat furent avisées
qu’il y avait lieu de retirer de la circulation
los pièces A l'efllgle do Napoléon III lauré.
L’opération a été longue ot le directeur
du mouvement général ri<!S fonds a dil rap­
peler aux trésoilcrs-piiyours généraux do
France et d'Algérie les instructions précé­
dentes par une nouvelle circulaire.
Ue retrait est presque terminé et les « So­
ndeuses » remplaceront bientôt la p.us
grando partie des pièces de 50 centimes A
l efligio de Napoléon III lauré.
Il convient do falro remarquer que ces
dernières pièces qui resteront on circula­
tion no seront pas démonétisées comme les
pièces A l'efflglo do Louls-Phlllppo ot de
Napoléon non lauré.
La môme opération de refonte so fera
dans quelque temps pour Iss pièces de
1 frano.
Par suite d’nn aooldent survenu ven­
dredi, au cour« du tirage, & la prenne
du Journal, deux départa Importants
de l ’aprèa-mldl ont été manqué», et de
oe fait un grand nombre d’anonnôs et
de dépoaltalraa ont reçu notre dernier
numéro en retard.
— 11 noua revient, de dlvera côtés,
que certaine facteurs font des dlffionltéa pour prendre tel paquets des­
tin«! à nos dépôts.
Nous rappelons que les facteurs
■ont tenu», de transporter et de re-
S 3. — Touto action ou roprlso, qu'ollo soit qnnllfléu en revendication, en révocation ou on n so­
lution, doit éiro
Introlulto dans la delul
ol-an-és déterminé.
li le no pout être exercéo qu'on ralsou do donntlous, do legs ou do fondations pieuses, ot seule­
ment pur los nulouru ot leurs héritiers on llgno
directe.
Les »rréragos do rontes duos aux fabriques
pour fondations pieuse# ou cultuelles et qui n ont
pas ôté rachotéos cessent d'élro exigibles.
Auctino uotlou d'aucuno sorte ne pourra fl'.ro
lutoutOe a raison do fondations pieuses antérieures
A la loi du ts germinal, an X.
g 4. — L ’notloa pnut étro exercéo contro l’altrlbutulre ou, à défaut d'attribution, coulro lo dliectour général dos Domaluos, représentant l'Klat
on qualité do séquestro.
S r>, — N ul no pourra Introduire une action, do
quolquo naluro qu’ollo roll, s’il n ’u déposé, doux
mois uupnruvunt, un mémolro préuluble, sur
papier non timbré, ontro los mulns du directeur
général dos Domaines, qui on déllvrora un récé­
pissé, dulé ot signé.
8 0. — Au vuo do co mémoire, ot après a via du
dlrootour des Domaluos, lo I’ rôfot pourra, on toul
état de causo, et quoi quo soit l’état do la procé­
dure, faire droit A tout ou partlo do la demande,
par un arrété pris on conseil do prefocluro.
ü 7. — L'action sora préienléu, si lo mémolro
préalablo n'u pas été dépoié dans los six mois A
çomptor dn la publication nu Jo u rnal Officiel do
lu liste dos blons attribués ou A attribuer aveo
les chirgo.i nuxquollou lendits blonB soront ou
doaieureront aoumls, ot al l'assignation devant la
Juridiction ordlnulro n ’a pas été déllvféo dans los
trots mois do lu duto du récépissé.
Parmi eus chargos pourra ôtro comprlso colle
do l'entrellen do» tombo».
3 s, — Passé cos délais, Ion attributions seront
définitives et no pourront plus étro attaquéos
do quolquo manière ni pour quolquo cause que
ce soit,
Néanmoins, touto porsonuo Intéressée pourra
poursuivre dovant lo Consoll d’Elat, statuant au
contentieux l'exécution dea charge» Imposées par
le» déorots d'attribution.
8 9. — Il on sora de mémo pour les attributions
folios après solution dos litiges soulovéos duns
1e délai.
I 10, — Tout créancier, hypothécaire, privilégié
ou uutro, d'un établissement dont los biens ont
élé mis sous Bôquostro,; devra, pour obtenir lo
avement do *n créanco, déposer préulublomont
touto poursuite un mémoire Justificatif do sa
demaudo, sur papier non llmbro, uvoc plé;os A
l'apnul, au directeur général dos Domnlnos, qui
on déllvrora un récépissé daté ot signé.
S 11. — A u vu do oo mémoire ot sur l ’avis du
dlrootour dos Domulnes, lo préfet pourra, on tout
état do oauso, et quoi quo soit l'élut de la procé­
dure, décider, par un arrêt p r h en Conseil de
prélooluro, quo lo oréanolor sora admis, pour lo t
ou rarlto do sa orôauco, au passif do la liquidalion do l'établlsiom onl supprimé.
Ü la. — L'aollon du orôaucler sora dédottlvamunt éteinte si lo mémolro préalablo n'a pas été
déposé dans le» six mois qui suivront la uublloallon du Jo u rna l 0/yicfof prosorlto par lo paragrupho 7 du présent article, et si l'asalgnatlon
devant lu juridiction ordlnulro n ’a pas été déli­
vrée dans los neuf mois de ladite publication.
ü 1.1 Dans toutes les onusos auxquelles s’a p p li­
quent les disposition! de la présente loi, le tri­
bunal statue commo en mallèro sommaire, con­
formément nu tllro X X IV du livre I I du Codo do
prooéduro olvlle.
L e i frais exposés par lo séquestre soront, dans
(o u i les oas. employé« en frais privilégiés sur le
bien séquestré, saur reoouvromentoonire la partie
adverse oondnmnée aux dépens, ou sur la masse
générale des biens reouelULs par l ’Ëtat.
L e donateur et les héritiers en ligne dlrecto
soit du donateur, soit du testateur ayant, dès
A présent, Intenté une nollou en revendication ou
en révocullon devant los tribunaux civils, sont
dispensés des formalités de procédure prescrites
par lés paragraphes 6, 8 et 7 du présent nrtlole.
{ 14. — L'Klat, les déparlemonts, les communes
K
Le concours national annuel agricole de
Frauce. a eu lieu la semaine dernière A
Paris. Parmi les lauréats du Finistère nous
remarquons :
Animaux grau
Rapice boi’lne, race brelonno. — 1" prix, 2' A
3- prix, M. Bleuzen, A St-Yvl ; 4', M. Pornès, ot
Ploiiéls.
Espèce bovine, races étrangères. — 6’ prix,
M. Jacob, A Ploudliy.
R a c e b r o to n n e p ie n o ir e
M ai .ks
t " section, m im iu x do dix mois A deux ans.
— 1" prix, M. B îu ô Lo Founloun, A Sulut-Yvl
2', 51. Boni' Pornez, A Plonéls ; 3 , M. II'«rvô Feuntoun, A Ergué-Armel ; 6-, M. Joan D inlon A Korleuntoun-Malguéuuc ; moullon lionornblo, M. Louis
Feunteun, A JErgué-Armoi.
2- section, animaux de plus do deux ans. —
1" prix, M. René Lo Feuuteuu, procité ; 4', M.
Louis Feunteun, précité ; prix supplémentaire,
M. Ilirv o Feunteun, précité; monlluu honorable,
M. Boné P o .u iz , précité.
F em ell es
Í " section, génisses de deux A trois ans. — 1”
prix, M. llené Le Feunteun, précité ; 2-, M. Joan
Danton, précité ; 4', M . Louis Founteun, précité ;
6\ M. René Peruez, précité ; prix aupplémehtalre,
M. René Pornoz, précité.
2- section, vaches do plus de trois ans. —
B ip p o l de 1" prix, M. Lo Feunteun, précité ; 1"
prix, M. René Feunteun, précité ; a-, M. Danton,
récité ; 4', M, Louis Founteun, précité ; 5 ,
,. Hervé Feunteun, précité ; prix aupplémentairo.
M. René Pernez, précité.
DU
F ÏN IS ÏÊ R Ü S
que, dont i’ob!et principal était la nomina­
tion d'un président en remplacement du
regretté M. do Kerjégu. La réunion était
piesidée par M. Ülhan-Poudec, vice-proaldent, assisté de MM. Vincent Inizan, secré­
taire général, et Tü. Nicol, trésorier.
M. le président, après avoir déclaré la
séance ouverte, donna la parole A M. Vin­
cent Inizan. maire de Kernouès, secrétaire
général de la Société hippique.
M. Inizan adressa un Dommage ému A la
mémoire de M. de Kerjégu, qui était prési­
dent de la Société hippique.
Puis il fuf procédé au vote pour le rem­
placer.
M. le sénatenr Plchon fut élu président
A l'unanimité* Il remercia les sociétaires
de l'honneur qu’on venait de lui faire.
Au banquet qui suivit la réunion, M.
Fortin, sénateur, le félicita de sa nomina­
tion.
Les principales notabilités et les princi­
paux éleveurs de la région assistaient A ce
banquet, ce qui montre l’intérôt que l’on
attache A la société hippique de Lesneven.
Voici la liste des primes décernées au
concours:
na gaver ket neuze c’hoas na vlou na
gwenan hian, mar zo pourvlsion vad a vel,
neuse a c'helfer besa sur, bag ar gwella
tra a vefe da ober neuze a vefe reunlssa
annezi gant unan al, rak eur vlnores a zo
kondaonet da slsparlssa d’ar mare man
deus ar b'.oa.
Ar gwenan na c’hellont ket beva eb eur
vam, setu perag a vez gwelet a beb mare
kestennou bag u vez eat ar gwenan kuit
deus outo pe maro, pitra benag ma vez
c hoas kalz mel en ho.
Ar re n'ho deus nemet kestennou plousa
vefe ivez mattese kontant da c houzout ba
beza o dr us minoreset. Cetu amán meura
voyen d’en em »navezout.Dagent», divoallit o kwenan pa vezo eun dervez tom, ha
mar velit unan benag dtlalnur ; taolit evez
mad ma so c’hoas gwenan en’hl ; ha mar
velit an nezo o vonet hag o tonet cb digas
netra, petra benag ma sukuesont lakat
prez; eb aou d’en em l'asia e c’úeUt lavaret : honman a so minores. Mar velit unan
al gant pelilnl a zeulo kals pollen, mes deus
pabini ar gwenan eleac’h monet var edn
d’en em siíama ebar* er gesten a lomo da
drel ha da sistrei, en dro dezi, a ielo ebars,
a zeulo er meas eb en em slsama evei pa
t* Poullclics do deux ans. — 1" prime, 160 fr.,
Hclle, A M. Louis Grall, do Gulssény ; a- 130 fr.
vefent en em dromplet, hounes a so ivo
Ariano, A M. Joan Cnlvez, do Coat-Héal ; 3\
ktsi sur eur vinores.
120 fr., HoUsndc, A M. Aluln Pondavco, de PlouEur voyen al a so c’hoas d’en em anadanlel : 4-, 100 fr., llervcltno, A M. Gabriel
vesout
; goudo eun ncbiut derveaiou brao,
Hernot, de Plouédern; 0-, 100 fr., Illlh rtn c A
lt
deus ar mintin da gavet ho kestennon,
M. Sêbastion Bayer, dn Ploulder ; a\ yo fr.,
rolt eun toi gf.nt ho torn var gostez ar ges­
lldldna, A M. François Tournellec. de Plouguln :
ten o peus douetans varn'hi, hag e klefot
7', M lr ., Hortensia, A M. J. P. Iiordonculf, de
Daoulas ; 8-, 80 fr., Hélise, A M. Jean Kéromnès,
eun trous, bag a veso krón da genta, mes
do Dlrlnon ; !>•. 80 fr., Hirondelle, A H. J.-M
pebinl na bado ket peí, hag a lelo beb eun
Tranvonèz, do Trémaouézan ; 10', 70 fr., Hiron­
tamlg var sloula ; ma na glevit nemet au
delle, A M. François Coulolgnor, do Plouédern :
trous se, neuse eo m»d ; ar vam a so eno ;
11", 7^ Ir-i llorplieltne, A M. Yvos Le Iilban, de
mes er c hontrol mar klevit eun trous ;mkeBulnt-Thonun ; 12-, GO fr„ Belle, A M. H om l
ntus ha paius, mar peus lakeat an diiurs
C lnn v rll, do Landerneau ; 13-, CO fr., //oussfn«,
ebars er gesten, neuze: a c'helllt beza sur ho
A M. Joseph Uellec, do l’ioudnniel ; 14-, 65 fr !
Bello Aline, A M. Gabriel Uernot, ds Piouédorn ;
peus afer eus eur vlaores, hag ar gwella
16', 65 fr., llérolne, A M . Yvos Hozec, dn Trégatra a c’halfac’h a vefe reunUs« an ne»¡ gant
rantoc ; 10', 60 fr., Hermine, au même ; 17', 60 fr.
UDan al ; sr gwenan a «o en’hl a zeuio da
Paysanne, A M. Vincent lloscongar, de Dlrlnon ■
grenvát eben deus pehinl a c ’balfoc’h tenna
18’, 45 fr,, Julie, A M. Hervé Callec, do Hanveo ;
eun ed gwenan m ai e lin mis maë pe e
PJ', 45 fr., Hermionc, A M. Sezny Forlclier, do
komansamant mis even.
Pioudanlel ; 20% 40 fr., Hirondelle, h M, Dorrlen
Lavaret a veso desc’b amfta e poent hag
Hernot, do Plouédern ; 21 -, 40 fr., Ju lie , A M.
Vincent Dodennec. do Lesneven ; 32-, 35 fr
e mare peños en em gemer evit kementse.
Patrie, A M. Louis Lo Pape, do Plouédern ; 23-!
Mea da c'hortos e fel din rol aman eun
35 fr., Lira, *i M. F r a n c is Pallnec, de Plouldor :
ali mad d’ar re o deus c'boant da denna
24-, 30 fr., Houlette. A M. Yves Mnrrae, de Plouprofit eus ar gwenaneres. Arabat eo kredi
danlel ; 25-, 30 fr., Harmonie, n M. Louis Baron,
ar sorc’beüiiou kos, bet ivantet an d¿,rn
do Loperhet.
vransa a aner.o gant tud eb gwíeges Ráese
Primes supplém entaires. — : •• p rim e , lluchetle,
eun dervez eun dea a la t a « din : « Me
A M. Yves Lagadec, do Plonoanlol ; 2-, H iro n ­
delle, A M. François Vlgotirou::, rto Dlrlnon ; 3-,
emez'hau a meus bet eun ed pwc/jan ha
Hélianthe, A M. Jean Dénlel, de Dlrlnon : 4-,
n’endevoamam ebed, mes gant eur pena
Hcrm ionne, A M. François Pengura, do Ploudalouzaouen an troc’n (Plantin) me a meus
nlel ; 6’, Herzne, A M. Guy Moblhun, do Ploudaratnplaset. dás'nan ar v?.in. » Red eo besa
nlel ; 6', Hélène, A H . Yves Ileyer. de Ploui ior :
aimpl evit kredi traou evel-ic. Peños a
7-, Rouen, A M. Pascal Frémont, do Trémaouéz^n ;
vete deuet ar gwenan da gemer eur ps.au
8 , H irondelle, A M. François Lo Hest, do
Lope'het.
loitzaouen an trac’h pe sclauvaj eúc eur
2* Poulkhes de trois ans. — 1” prime, "40 fr.,
vam? ha peños arpean louzaouen sea vela
Gennalno, A M. Josoph Boucher, de Landorneuu ;
deuet da zovl, hag e sortiefe gwenan eue e
2‘, (i',10 fr., Gavotlo, u M. A lain Pondaveu, do
viou ? Ken buan ua devije esseat roi din da
l ’ioudanlol ; 3-, 080 I , „ Glandlne, A M. Stzny
gredi a voa mojen da ober eur yar gauteur
Forlchor, de P ioudanlel; 4 -, 080 fr., Germaine, à
skolpaden.
H . François Coulolgnor, do Plouédern ; 5-, r,80 fr,,
Nan, mignonet, an hani en deus c'hotnt
Gentille, A M. Je<m Marrec, de Lesneven : 6-,
da denna prolit eus ar gwenan, ar gwellan
2301r., Glorieuse, A M. Goulven Cornée, de Plouéen d*us da ober eo Kemsr eur íevr evit en
dorn ; T, 180 lr„ Givette, A 53. Yves Lugadec, de
Plondenlol ; 8-, 170 fr., Gironde, A M. Jaan Bozec,
emhentch* (traité d'apkulture). bjzae zeus
du Folgoflt ; 9 , 170 fr., Giroflée, A M. J.-F. Kerdeus outho e gallek meur da aort ; ar p >r. a
doncuir, do Duoulus ; 10-, l7o Ir„ Délice, A M
zo da rebech des’ho alies eo int sirivet e
François Léost, de Salnt-Méen ; 11-, 170 fr., Bigallek
braz evel a vez lavaret, ha dies da
clielte, A M. Jean Calvoz, de Plouvlen : lagompren evit an dud lia n’ho deuz nemed
170 fr., Girofh, A M. François Vlgouroux, de D l­
nebeud a ze«k*durez. E Brezonek na an*
rlnon ; 13-, 170 fr., «¡nulle, A M. Louis Blhanvezan nemet unau, a zo bet great gant
Poudec, du F o lg o il; 14 , 70 fr., Gazelle, A M.
Gabriel Hernot, do Ploliéderu ; 15', 60 fr., G u ir ­
J. L. Henry, de.ns Lennon ; hetn» a 7.0 fcur
lande, A M. François Vlgsuroux, de Dlrlnon : 1G-,
levrik a briz iziii, hag a ro tout an «sp'.ica
60 fr., Stella, A M. Goulvon G aban, de Saint-Tho.
tionou netesser evit teona p<irt¡ euz ¿ir
r an ; 17-, GO fr., Itouan, A M. Pascal Fremnnt, do
gwenaneres. Kavet a vez da breña e ty an
Trémaouézun ; 18', 60 fr., Belle étoile, A M, Nloolas
aouf^ou Le Bo.gae, 4G rue Saint-Tvai
hn G«on, do Pioudanlel ; 19-, 60 fr., Chéria, A M.
Brest, e ty an autrou Gorcuf « KastelUn
Yves Marrec, dn Pioudanlel ; 20-, 60 fr., Glvrictlo,
hag e ty an hini a aeus c-a gret, J. L. Henry
C M. François Fily, de P ioudanlel; 2 1 ', 60 u-.,
Georgettu, a M. Y v ei Bellec, du Folgoél.
dens L/innou.
¡'rim es supplém entaires. — 1 ’« prime, Ciaflic,
Evit seis gwennîk avez k*sset dre ar
A M. François Lagadoo, do Ploulder ; 2 -, Gazetto,
pOSt.
Ar liW E N A N B Il.
A M. Jean Mairec, de Lesnoven ; 3-, Rosette, A
M, Lmils Grall. do Gulssény ; 4-, Créait Mlgne, A.
M. Claude Le Itoux, du Drcnnoc ; 6’, Gcstno, A
M. Jean Fugon, du Bourg-Blanc.
J lo r h tlx
Le concoure annoncé n en lieu lundi 15 aprèamlill. 16 animaux ont été présentés, 7 ont été pri­
més, Voici lo palmarès :
1" prix, G itana (Cornfactor et Bohémien ; 1909,
Bohémien), u M. Juan Lo Roux, do i'Iougourviîftt ;
2-, Gatlé IV ainqueur ot Mortaçjnc). A M. L-mls
Guéguon, do Piougourvoit ; 3'" Diou (U nann et
l'ajoll, i 3J. François Lo B liu n , de Saint D îrrlen ;
4', Rosette /U nann et Otd lim ej, A M. Louis Donval. de Bodills ; 5-, Gentille (Adonc et Monlmlratl), ii M. Kerrlen, do Tuulé ; 6 , Coqueluche
(U nann ot Bon Vivant ; 1909, Original), A M. Félix
liodérlou, do Plouniveutor ; 7', G ertrude IDenm ark vig ot Kersain/l, A M. Philippe Q uim éuer,
do Tsulo,
Cinq mentions ont été de plus décernées :
1 " mention, Galoche, u M. Guillaum e Huon, de
Plouguonaud ; 2', Gauloise, A M. François Brochec, do Plougourvcst ; 3', Galerie, A Si. Auguslo
Martin, do Plounéventer ; 4', Giburne, A M. J»an
Corncc, do Plougourvest ; 6-, G lodina, A M. Alain
Becarn, do Piougourvest.
Le jury était ainsi composé : MM. Dupont-Aybervltle, directeur des haras ; de Todqufdec ;
commandant Seigneur ; Gravot.
Do nombreuses notabilités assistaient aux opé­
rations du concours.
A rro nd issem e nt de G hateaulin
L'I concours annuel do pouliches aura lieu A
ChAtonulIn, lo 22 mars procli dn. A 1 h. 1/2, poul­
ies contons do ChAteaulIn, Lo ' Faou, Ployben et
Crozoo.
Il sera a ttrib u é : Primes do reproduction, uno
de 250 fr. ; deux do 200 ; une do 150 ; deux de 100
et deux do 60 fr.
Prim e de conservation, une de 400 fr.
Pour les can.ous do C aih a lx , Huelgoat ot
CliAtoaunouI-du-Faou, lo mémo concours aura
llou A Carhalx, le 24 raars, A 10 heurea du mallu.
Primes do reproduction : uno do 170 Ir. ; une de
130 ; une do 100 et deux de 50 francs.
Los concurrents dovronl so f jiro ins-rlro : A
CbAtoaulin, lo jour du concours, avant midi, et A
Carhalx, lo jour du concours, avant 9 heures.
A rro nd issem e nt de Q ulm per
Lo concours aura Heu A Qulmper, lo 23 mars,
A 2 heures do l'apuV-raUl. n tera distribué
commo primes do reproduction : uno de 250 fr. ;
deux de 200 ; uno do 160 ; doux do 100 ol u e u i de
60.
A rro nd issem e nt de Q ulm perlô
Le concours auru lien pour l'arromilssemect de
Quim pcrlé. le 23 mars, A 8 h. 1/2 du matin, A
Bannulec. Ii sera distribué commes primes d'oncouragemeul : une de 260 fr. ; une do 200 : une
do 150 ; deux de 1(J0 ; une de 70 et doux de 50.
Eun taol lagad
war ar Gwenaneres
G’hoas eun nebent sunveriou, hag ar
goAnv oro’huitaio, evit rol p'as da eol doDS
an nevez amser, pehinl a zeulo neuse da
doma on douarou. Neuse e savo varu’ho a
beb seurt bnkedou, ar parkeier bag ar
prajeler a v<¡zo henvel eus tapiasou marollet, ar gwez ive.z a viako ho maatllU glaa,
R a o * F r o m e n t B r o to n n e p ie r o n e o
ar gwez froues, mar pllj gant Doue, a ;euio
M ales
ad?rre da veza cvei bren:A t e zeus eur
Section, anim au x do plus do doux ans. — 2'
peonad so, gant ho mantiili gwep, da
prix, M. Guillaum e Jacob, A Plouülry.
íaoucnat kaionouarveasldi, ha da brometi
F em elles
d'ezho
eun eost p u lí: peb tra var ar
11* so'.tlon, génlssos do deu.v A trois a n s —
moaslou
en em rejouiago.
prix, Itsné Lo Founteun, A Bt-Yvl.
Neuze lvez e vezo gwelet ar wenanen
1 section, uacfio» do plus de 3 ans. — Montlon
honora blo, M. René Pornez, A Plonéls.
vian, Ujer ha laouen, o sortial eur e frlson
Race Jersiaise. — f> prix, M. Lo Feunteun.
goAuv, e peioíic'h e zei bet dalhet epad an
Haeo lhirham. - 1- prix, M. S lblrll, A Ploybor.
amser ful, evit roonet da susa', ekaleriou
ulirht.
ar 11 '.ur, au necíar, gant pehinl a raio ar
Bïndcn lie vachos laltiùres, — Races do momol
dellslus se, a veze gweclnl kiniget
yonne taille. — a> prix, M. Lo Fountoun, A 8t-Yvl.
evel magadures d'an doueou. Gwelet e
/taco urslonne, pie noire. — Doux plaquettes
vezo o vonet eus an ell lleuren d'eben, eb
d urgont, pour mftlos ot femolles, M. Lo Fountoun.
hean hag eb Bkniza, ken c deveso dastumet
PlUX n'ENSEMULE
e beac’h ; ncuBe e tistrolo buan d’ar gear
Race brelonno. — M. Lo Founloun, A Buint-Yvi.
evit en em zizama, ha vactal o partlo
BmniuE ne B uetaone
adarro evit kommans a nevez ar memes
Médailles d’argent : MM. Ilonrl Coadou, A Plulábour ha kana ar memes son ; ha brema
RUlfun ; F. Lodan, A Locunoié. Médalllos do
epad c ol buez ar loanlc blan se a recombronze : MM. Yvoo Bohee, A Lanm our ; Lo Gay,
mansí ar memes labonr, bemdez pa veso
A Loaneven.
brao an amser, ken a gwezo evit mad var
BEiinnE na toute rnovuNANCn
an
doclicn a heuor en eur ober e dever o
Médaille d'argent : H. Ladan, A Loounolé ; m¿kenver e societc.
dalllo do bronzo : M. Yvos Bohoc, A Lanmour.
lia ni gwenanerrien va mignonet, a vezo
CinnES
mad dcomp gwelet ha boza ema or c'hesDlplômo de môdallio d ’or ; M. Félix Guvon, A
tennou e stad vad, ba ma ne maint kct e
Fouesnant,
1
’
vezo red deompo lak atjan eost adostaj
Montlon honorabio M. Louis Ladan, A Qulmparlé.
poent eo lakat ar mekanlkou en etnt.
Da guenta, red eo dcomp gwelet ha na
kct deuetunan benag da veza minores.
CONCOURS DE POULICHES vefe
Evit ar re o deus kestennou teretonnek an
dra man n'eo ket dies; goudo eun nebeut
Lesneven
devczlou tom n'ho deus nemet digorl ar
Le concours de pouliches de’deux ans et gesten, ha mar kavont vlou ha gwenan
Dlan ebars er c’hoar, e c’hellont beza sur o
de trois ans do l'arrondissement do Brest,
organisé par la Société hippique de Lesne­ man gant'ho arvam ; mes ma na gavont
na vlou na gwenan blan kazl sur hounes a
ven, n eu lieu A Lesneven lu mardi l(j mars.
eo m inores; red a veto c bialta eun ell
l,e matin, A 10 b. 80, avait lieu la réunion
gwcch
aben deg pe daouzee detvez, ha ma
générale des membres do la Société hlppi-
B
(g h r o n iq u e
V é té r in a ir e
t e s c o liq u e s du c h e v a l — Le moi
colique Ind q 1e. non une nu:adin, mais un
syin_>tôm~ de piciîieurs »ITectiocs de l’.ippareil gastro-intestinale. G'e»t-à- .ire qu on
a pris l'habitude de donner ce j>om aux
douleurs qui réimlteut d'un certain nombre
de m alaiits de l’ab Jomen.
Les eoüquet peuvent Ctre eu: s A vne
foule d’affection'j, mai3 principalement A
l'indigcisti-.a de l'estomac ou d ; l'iattsiin,
a une hernie, A une affeotloa de* n ias ou
de la vessie.
L’indifestion *tom».caIe, fréquent j chez
les animaux Agés, n’observe souvent après
un repas trop abondant, »urtout niiez les
animaux gloutons qui ont les dent» usées
ou inéguiièrea. Dana les cas d'indigestion
intestinale, les aliments contenus dan*
l'intestin ae décomposent rapidement et
provoquent la tyrnpanite ou l’indigestion
Kazeuse, c’est-à-dire un accident rapide
ment et facilement curable par une inter­
vention énergique. Tantôt les aliments e’ae,'
cumulent, tu tassent, se durcissent et
obitraent l'intestm, donnant ainsi origine
aux peiotca stercoralea, bleu comuus.
Lorsque les coliques sont occasioanées
par une hernie (herale inguinal-: étranglée
surtout) ou par quelque <>fï c'ion de ¡’ap­
pareil urinaire uop opéiation immédiate
est toujours nécesnaire. La préîence du
vétérinaire est donc dans toua leu cas ab­
solument indispensable, soit pour recon­
naître la cause des coliques, soit pour ins­
tituer un traitement ratioacl.
Dans tous les cas, U prem ère chose A
fiiie est de bouchonner le cheval ave : un
bouchon de paille ou de foin, s-uif ie ventre,
sur les fiance et les reins. S! lo t.:mp3 le
permet, on doit promener doucement le
cheval, toujours au pas, jamais au trot ni
au galop. Toutes les heu es on adm mstreia
un lavement froid A l'eau de son, de savon
ou de décoction de graine de lin. Si m;.!gré
ces soins les coliques augmentent, ü es»
très utile de frictionnc* le ventre et lea
membres avec du vinaigre cbaud, de l'essencs de térébenthine ou avec un p ’u de
farine de moutarde. Oa doit, également
s’efforcer d’administrer par la bouebe, avec
les préc«utiOiis a’usage, des br< uvagea
tièdea ; du vin chaud, du café, du thé, etc.
Si lea coliques devienuent trop violentes,
la présence au vétérinaire eBt, comme je le
dis plu* b»ut, ind spensab e. D>ns bien des
cas le praticien a, selon la nature de l’affectlon qal donne la colique, A aa disposition
(s'il n y a pas d’opération A fair< ) des médi­
caments très énergiques, qui o aprèa l’ex­
périence de ces dernières années nous ont
montré avoir des propriétés réellement
efiicaces.
G.
JURIDIQUE
Des règles p articu lière s au x baux à
ferme (suite). — Rappelons exactement
l’énoncé de la question que nous avons A
résoudre aujourd’hui. Vous avez loué pour
plusieurs années un champ. Ea moitié au
moins de votre récolte a été détruite par
un orage ou tout autre cas fortuit. Votre
bail ne contient d’ailleurs aucune stipulation
relative aux cas fortuits Est c • le proprié­
taire qui doit, ou est-ce vous feimier qui
devez supporter déliuitivement la perte ?
L’article 1769 du code civil donne A cette
question une réponse qui est un peu com­
pliquée. Voici d’abord ie texte de ia loi :
« Si le bail eat fait pour plusieurs années,
et que, pendant la durée du bail, la totalité
ou la moitié au moins d’une récolte soit
enlevée par des cas fortuits, le fermier peut
demander une remise du prix de s i location
A moins qu’il ne soit indemnisé par les
récoltes précédentes. S'il n’est pas indem­
nisé, l’estimation de la remise ne peut avoir
lieu qu’à la lin du bail, auquel temps II se
fait une compensation de toutes les années
de jouissance. Et cependant le juge peut
provisoirement dispenser le preneur de
payer une partie du prix en raison de la
perte soufferte. »
Il est d’abord bien entendu, comme je l’ai
déJA fait remarquer, que la perte subie doit
être au moins de moitié. Cette condition
étant supposée remplie, la fermier qui a
perdu par exemple les trolo quarts d’une
récolte et qui a un bail de plusieurs années
ne sera paa lbdemnisé de sa peite par le
propriétaire.ai les récoltes des années pré­
cédentes, qui ont été particulièrement 1ounes, qui lui ont donne des résultats met)-
¡ P res ^ e jeux d’une récolte ordinaire,
‘ ont déjà dédommagé. Dans ce cas ce sera
A lui et A lui seul de supporter la perte oc­
casionnée par le cas fortuit dont il s’aelt
Supposons maintenant que les récoltes
qui ont précédé la récolte aux trois quarts
détruite n’aient pas été suffisamment
bonnea pour indemniser le fermier de sa
perte. Il faudra alors voir si les récoltes
suivantes, celles que le fermiera A recueillir
Jnsqu Alafin desonball que nous supposona
être de plusieurs an nées, ne l'indemniseront
pas. Gela, on ne pourra le savoir qu’A la lia
du bail. A ce moment il se produira comme
une balance entre les prolits et les pertes.
SI la balance incline en faveur du fermier,
si malgré sa récolte aux trois quarts perdue
11 a encore une moyenne de récoltes ordi­
naires, de bonnes récoltes ayant compensé
la mauvaise, il n’aura droit A aucune in­
demnité. Mais ai la balance ae se prononce
pas en faveur du fermier, si de bonnea
années ne l’ont pas indemnisé de cette
année fAcheuse où i! a perdu les trois quarts
de sa moisson, il aura droit A une indemnité
du propriétaire, Indemnité qui sera l’éqnivaient de ia partie de récolte définitivement
perdue.
Donc, en résumé, si le bail est d’un an,
le propriétaire est tenu de im porter la
perte de la récolte dès qu’elle eat au moins
de moitié.
Si le bail est d’une durée supérieure A une
année, on fait comme un total de toutes les
années du bail. Eï suivant les résultats que
donne ce total, le fermier est ou n’est pas
indemnisé par le propriétaire.
Il n’y a pas A se ie ùissimuler, ce système
e»t clair et d’une application facile en ce
qui concerne le* baux d u^e année. Mais en
ce q ’ I concerne les b.ux d’une durée supé­
rieure, il est surtout Joli sur le papier. Oa
compri-nd que dès qu’il s’agira do mettre -:n
mouvement une machine aussi c.'mnl"xe
des diflicultéa sana nombre neitront. N «08
en examinerons une, ia plus importante,
prochaiccokLt.
j . jo .
B O IT E A U X LE T T RE S
s - u - — Pour que vous puissiez faire eu toute
libe 1-5 dos ouvorlures daus ie m ur de votre mai­
son donnant sur ce courtli 11 faut que aepuls le
parement extérieur du a u r ju s q u A u nunie das
deux propriétés II y ait 1 m. 90. (A u cas où 11 v
aurait des saillies sur votre mur la dlstanco
devrait ôtro comptée A partir de la ligne exté­
rieure de ccs saillies). 61 vous construisez votre
m ur i molos do 1 m. 9a vous r^e pourrez fai e
que des ouvertures a verre dorra-nt et garnies
ü ’un treillis do 1er dont les
mailles auront
dix centimètres. Css feoélros devront être A
2 m. 00 ou-dessus du sol au rcz-de-ch ius»''.; ot A
1 m. 90 au-dessus du plancher aux étages.
Arrondissement de Brest
BREST
Les re tra ite s ouvrières
Samedi soir, A 8 aeures, M. Fortin, séna­
teur du Finistè.e, a fait une confereuce
sur les retraites ouvrières, dans la salle
du patronage, rue S iin t Yves 52.
M. Fortin a naoLt-é ce quia été fait A
¡’étranger, par ex.-mple en Angle'erre, cù
les retraites oavriè'es existent. Sa confé­
rence fut très goûtée des assistants et
M. l'abbé RouU ne fit que tradn're l’im­
pression de tous, lorsqu’il remercia cha­
leureusement l'orateur.
Le « B o rd a » licencié
A la suite d’une épidémie de grippe,
I équipage et les élèves officiers du Bordi
oni été licenciés.
A ccident du to rp ille u r 109
Nous avona relaté ia semaine dernière la
triple asphyxie survenue A bord du tor­
pilleur ¿09. Deux des marins ont été sauvés,
mais le troisième, le mate'ot fusilier bre­
veté, Jear Séité, est mort da^s la soi. é j de
jeudi. Séité était oriRinriife de Plougoulm :
il avait 27 ans et venait de se marier dans
son pays.
S- s obsèques ont eu 'L u dimanche matia
A 10 l;eur..s et demie. L’inbumation s'est
effectué': au cimetière de Kerfautras.
La douleur de Mme Séité faisait pnne A
voir ; elle se trouva mal a plusieurs reprises
et l’on dut faire chercher une voiture ponr
lui pe. mettre d’accompagner ie corp3 de
son mari jusqu’au cimetière.
G rave accid ent de voiture
Samedi matin, vers onze heures, M. Jean
Le B-un, âgé de 24 ans cultivateur A Plouzané, descendait en char-A-bancs la rampe
du Port de Commerce. Le conducteur avait
dans sa voiture un veau qui se mit A crier
et elï aya le cheval q ;i «’emballa. M. Le
Brun prit les guiies A ciecx mains et voulut
retenir l’animal, mais il perdit I’équiliore
et tomba sous la voiture dont une des roues
lui passa sur le eo ps Aprè3 avoir reçu les
premiers soins dat » une ph<irm;.cle voisine,
le cultivateur a été conduit A l’hospice civil
dans un état asspz grave.
Chute mortelle
François IK-gi, (JO ans. domicilié 3, Allée
du Cimetlè 'e, tombait si rca'heureusemi'nt.
mardi, rue Porstreio-Lapierre, qu'oa dut
le transporter en toute bâte A l’hospice
civil.
Lea meilleurs soins lui furent prodigués
dans cet établissement, m às uue fièvre
céréb aie se déclara et le malheureux mou­
rut, hier après midi, A deux heures.
U n b é b é noyé
Pendant l’absence de Mme Kuvennec, demeu­
rant rue Traverse 4, sou b ^ b i Agé de 17 mois, se
penchait sur un baouet plein d'eau ot v tombait.
Des voisins le retirèrent, mais II était déJA as­
phyxié, et toua les soins prodigués, ue purent le
raineutr ù la vie.
Guipavas
M o r t s n o p o c te . — Mardi matin, mourait A
l'hospice Ctvl. do Brest, J ja n Kérézeoa, 38 aas, de
Guipavas.
Uue blessure fut relevée sur le erdne, blessure
qui pouvait faire nai.re ! bvpjthàfe que KerêzAon
é tait mort des suites de celte blessure
L'autopsie fuite fur i’ordro du parquet a montré
que toute Idée de crime devait être écartée.
L u m b ê zc tlc c
Procès-verbaux. — \f. Proust, commis­
saire dtjfcp.ice de Lambéz- liée, a verbalisé
crn‘ ro 'Wp-opiiéta'r-s de po-cbe.-i's non
autorisées, qui amont â répondre, devant
le tiibunal correctionnel, pour avoir contre­
venu aux dispositions de la loi da 3 mai
18SG sur les établissements Insa’ubres, dangeieux et incomodes.
F o rg tro n blessé. — Ua ouvrier forgeron,
nom m e Cloarec, regagnait son domlcl'e, A Penfîild, vers 8 heures du soir, lorsqu'il trébucha et
tomba sur la route.
Quelques Instants après, ses plaintes attirèrent
des volhins, qal ielro u tôre nt d a n su u piteux état;
sa )ambo et son pied gauche ne formaient pour
a]lui dire plus qn'une plaie.
Il ost probable qu’uno voiture lourdement char­
gée était venue a passer pendant que Cloarec
étr lt allongé sur la routo.
Quoi qu’il en soit, après des soins prodigués
par le médecin des Papilles, le blessé a été trans­
porté A l'hospice de lirest.
L an dern ea u
L\iffalre de M . l'a b b é Jo n an n e . —
^'affaire de M. l'-bbe Jouaune sera évo­
quée devant le tribunal correctionnel de
Brest, A la date du 2 avril.
Pour le m aln tlo n de la garnison . —
Uue lettre du général Jourdy, commandant
'e 11» corps daimée vient de réclamer
'aménagement d’an hôpital pour les mlli-
tairi>8.'
Le général disait qu’en cas de refus, les
deux compagnies oe soldats quitteraient
immédiatement Landerneau. Pour éviter
ce dêpait. ie conseil municipal a voté un
emprunt de 20000 francs destiné A l’hOpital
militaire.
L a n a llis
L ’oseroquerl* -aux prestations. —
Certains cultivateurs n ’aïuient paa payer
en argent leurs prestations ; d’autre part,
leurs occupations ne leur permettant pas
tou j ours de les faire en n ature. Us s’adressent
alors A des individus qui les font A leur
place et touchent ensuite une rémunéra­
tion. Louis Lazennec, du village du Lia en
Lannills, s’était fait une spécialité de ce
eenre de métier ; tl h présentait chez les
cultivateurs et les oommerçuts, leur de«
mandait leur feuille do prestation et tou­
chait un salaire en leur rendant cette pièce
portant la signature du cantonnier du
bourg i oe qui, en l'espèce, constituait an
»cnnlt.
Malheurouaemcnt, c’cst que Lazennec
n’avait fait aucuno prestation et n’était sim ­
plement contenté d'apposer sur la feuille
1» signature du cantonnier. Aussi, quand le
paroi),t ur rappela & sss contiltm ablts d’a ­
voir A acquitter lour.x prestations, un cer­
tain nombre d’entre eux prcti^fcrent.
L'affaire vient d.i a’éi.lalrelr et, A la suite
d’une enqaôte do la-guudarmo'le, 11 a é té
démontre quo L a z o n n c avait font simple­
ment fait (les (aux ; 11 a roaornu du rente
le fait, en alléguant p n r s» défense — mi«
le cantonnier, éprouvant certalres (llfllculti'a A écrire, lui avait donué l’autorlMtlun
do slgnor pour lui.
Il exlsto d’aanez nombreuse! victimes,
parmi lesquelle j M. Joseph Luzennne, cul­
tivateur au village de Méréoten ; Mme Lun*
von, commerçante au bouig ; M. H ulln,
perruquier, otc...
propriété saaoagéo. — Noua avons
relaté, Il y a quinze Jours, que Pierre Vénec,
fermier au Kérouartz avalt. et* poursuivi
devant le tilbu nal correction ol do Broat
pour avoir saccagé la propriété de son
maître, M. lo marq H de Kérouartz, ot
vendu à vil prix de beaux arbres.
Le tribunal avait mis l’affaire en délibéré.
I,o Justement vient d'fltre rendu Véi.ec eBt
condamné à deux mois de pilson.
Appel fier» M t deee Jugement.
que 300 enfants sont venus régulièrement A ces
eotsroloes.
Dès le Jeudi lo ir les doux Pères Sudistes, lo
P. l'rot ot lo P. Duguev prenaient oontaot nvoc la
en donnant au garage de l’hôtol do
'(«noe, mis graoloutomont A leur disposition,
Ïiopulallon
une séance de cinématographe devant
person*
800
nos qui récitèrent sur l'invitation du P. rrot un
« Je vous salue Uarle ». A la ntance
aam.joi
do 800 porronnes so plaçaient df loar
S lua
an» le mémo local devruu trop rcatrr'nt et anrôii
avoir admiré la vie de l ■Puoelle d'O Ulani-, loua
nomme d'uno seule voix, s-ilnèront, op èa le conUrendor, 11 vlorgo de Da.nrémy ot 1« glorieux
Pontili) qui nous la donno oomme prot^nlrlce, pnr
les orls do Vivo .leaune d'A-ol et Vivo P h X !
Los habitants d'Uuelgont étaient gantés ot on leur
donna randez vo>a • l'ig lto pour le lendemain.
La miratoti, présidée U première somalno par
M. le obanolne ICirébrl, curé de H<oo. et la
deuilèm e semaine par M. l'abbé Cretgnou, ouré
do Ilannaleo. a été très sulvla. 1.4f0 communions,
dont boo d'nommoa, ont été distribuées. Les
11. P. PiOt ot Duguey o u i m a tllftr lo» hommeu
par lour parole chaud» et toute «iiostoitque.
Pitlssont los hommes d'IIuelgoat gardor précleulom cnl et moltro ou pratiqua lu pensée mnllresso
que lour ont lnl»»éo los l’ôros en les quittant.
« Boynt virltablom ont dos homme», o’o»t-à-dlro
uno volonté au nervlce do son dovolr ».
M ord & to ui los 7.élé» missionnaires q u i nous
ont rompu lo pnln de la paiolo do Dieu. McrcI A
notro ïOio curé doyon, M. l'abbé üorct, qui noua
a envovi dos m lsilonnalris. C o st lo falblo écho
do cr qui »0 répète Ici. II«nlgont a reçu le grand
blonlult do In tuUtlon ot olio a prolUé ; o'est neut>
élre l'uuroro d’uue réiurrocllon.
Un Idmotn.
L o c - M n r ln - P lo u z a n fi
In c e n d ie . — U n corps de b&tlments.
comprenant nne ferme et une crûcho, a ôté
détruit p\r le feu. au village de Kor-Hoatar,
eu Lo>Murla-Plouzanô. Le fermier nomme
Yves Gahagnou, n ’a réussi a sauver quo
gon bétail, ot quelques ot.Jata mobilier.*.
Tout le reste a été la proie de» flammes.
Los portes atteignent le chiffre de 2.000 fr.
Ploudnlmârcnu
U n nonllou. — T^o o'irrlo” .Torxr Bernard,
r,j ans, demeurant uu vlilaRO de Kornévez,
en Ploudulmézoau, arrêté lo 3 ueptombro
dernier comme étant l’autour du meurtre
do la f'-m.no Arzel, vient de b in éllc'e rd un
Don- !U n.
Plonnflonr-Trez
N o t a r ia t . — L’étude .le M* PaiCüOt, no­
taire. sera transférée A Urlgnogan. station
balnéaire de Plounéour-Trez, A partir du
1" avril prochain.
Demandez le « Courrier du
Finistère » dan« toutes les
Bibliothèques des Gares du
Finistère.
H rrondissem entjlB Ehaleaulin
c u A lia tili»
Réunion de» Beorétalros «t
em ployé« do m airie
Lu réunion générale de» s"orétalrca et
finoloyés d e m eliied u Finistère nura Heu
c.itto année A UnAteivullu, lo dimanche do
Piques, i l avril.
Concoure do lioano tenne dos form es
In société ri’agrlcu ’ure lo (’M teaulln a
décHé qu’un concouru p'mr la b >mio tenue
des f*rraes aura lieu eu IU09 pour lo canton
de Gbfttcaulln.
Le o »n o irs atra Heu en rtiux séries :
t» L u fr a io a d u n e étsndie d j ?■> hojtarai et tilu».
,,
,
,
.
2°
f ■.rmis d’ano é tm iu s do mo'ns de
2.') hcctires.
Une somim de «OH francs onvl-on sert
distribuée en primes,médailles et d>n O n u a .
Les prix s«vont distribué le Jour du con«iu"S agricole annue', qui u îlou il:ins les
premiers j utr*« de septembre.
Une m esquinerie
La commis ilo > de revlulon de la listo
électorale u rayé do la liste do Gbftteanlln
M (librici Mlonsoc, ancien député. M.
Mlossec a protesté contra cette déHslou
Inspirée par un esorlt mosquln et étroit.
Mort «ublt«
M. François Boclfl, marié, ftgô de 70 an», prò*
suaié étro de Lixonlon, a été trouvé mort ou numòro 1« do la rua Notre-llamo, oA II habitait
dapuls quo’q a o i mol». Los scellé« ont ctô npposis,
E n c o r r a o t lo n n a lle
La somaluo dornlòro, Mme V ie Bnudoullon,
co ninaronutB 4 l ’ieybsn, s'élult absenUe toute la
tourné 1, «t 1# loniom oln H u nr«, à soa arrivée,
o"« lut n'flvonue p »r «a bonne (p ili y avait rt la
Kjr» uu oolls Un marobandlse», q ui y était dépose,
ot p irta n t l’adresso de « Lo Deo-Bôué, A Oo'irlo,
oa vare de Lanuloa ».
,
,
Or oe Lo lini r.’ôtult autre que son ouvrier lor-
b'nn'ler. qu*i Mmo Oou loullen avait A «on iii<rvloe
d>i,,til. le ÜS coVrmHra lilfW.
' d u i U ittJo'jllôu a i rn-i lit > la u f o et vérlrta
lo cunteuu du oolls. Klle roooumit nussliét quo co
co'is ronlo’ <n»U <!»» niarobanJlno« nu* lut avalant
ét* vo'em. Datiti U imillo q ie L» Uoo avait p'ép irto et qui était oacore dao» la ehstnhre, on <10Couvrlt égnl^inont >»lu4leu.‘* Irtilllo.i
tor brino,
d u fou J* d<) llïtiKJ Ot d<s b&toaa de toidorti.
Mis on état d 'n ir«4 talh n, Boa6 L a Uoo, 37 uns,
ouvilnr lorblnnllir, orlKlaalrn da Pont l’Abbé, a
comparu samedi. A l'andlonoo d«» Il tarant« **oM 9
et le trlb’J n il Va conlum "?' é c'nq mois do prliou.
r n ih n lx
Concouru d 'a u lm a u x do boucherlo et
reproitm itoura — <*
and coneoira
unnui'l p "tr ii-s iteu*rrcm,,it'S du I*iPl^'ore
et d u Gôî.:« Ju N->r:l doit avoli Uuu io
Jeudi Î5 ot s iv.u
i ' lx heures du ma­
tin. i:u • t-o rune dt*. I fiOO IVhuci sera répartlo at t p op t t irt * i. « u iinsnx reconnus
les j ut p i r.atx do (»■t .rmatlou et les
mieux prtîft'iéH p n ia imjtiherle.
IIu v lK o n t
Une mission ('ih fovrlar-l'i mar»l. — Dopuls
n ans les babliants d’IIuotgoiit p'avalout pas
In bonhrur do la mtsulon. Dé» lu lutioruil
Uni cimdres une animation lu*olit^ rÎKt'ult duus
la pallio vilîo, o éislentlos eufunts qulucoouralont
nombreux A la retraite qu’on leur avait rénervAo
avant l’ouverture de la mission. Disons de euile
15] r ettlilcton dn
Courrier d n
F ln l«t*r< i
Maro eun Den a Galon
f i e a v l» c ’h o u T re r 1 7 9 4 p o a n 3 8
T 1
ens m l* n r Rl*o)
Er m»re-ïft o teuat da ftastobln ar c’helou ou ï viktor ur G'olrred war ar Glionnutcd e klchen ar Groa* Ru*.
— i Kelou-mad, eme M ath iai, rak ma
hell hor re breman Vemer ar maneriou,
setu Laou bag Herrl daomp. » (U eï Kwalet
hon our olec’h cUomn «n dro d’*r manerlou
ar U 'hlarei oa ratifre goatlar Mogwe.n betok ar C hattel- Ne'»*. Dont a ralo re all war
ho lerc’h, m ’ gwel- '.a refomp i
.faker, oa dent da h mtr-vauuank.
— « N i o kct nwaic.h if In. emex-hart outhan he-uu»u, puka au Herrl
mour en dour, uiauteteur bt)l«4 ere ' o'trip,
an dra*r.e a davvero dVxhan dck ps »ao urik
vloaz traleon, mo* n ’«o ket *walc h i Hed oo
d’ln d skouei skiear d'ar varnerlen ema
gant Laou Treslgldy e penn ar Gtio lanted
ha« e glask tenlcr ar c’houarnamsnt d’an
traon, sklgna an dlautt dre ar vio I f t * ma
harpep anerho ho; d»ou btcraan dloc htu,
no h o llín netra : ar cweila tra am e m d’ober
co rei a m ztr d ’ezho da * ,-tfctukn aoudardtd
all ha goude stiglia e^ltho euu trap k u w
mad. Met. knee, «etu axe eun d r « n a n e o
k*t ea;.,, P a m o j #;*ln ft »
P lo y b c n
V ol. — KrançolB Goavec, 40 ans, char­
pentier à Satnt-IUvoal, revonalt de la foire
do Obateaulln lorsqu’arruo *u vt la«e de
D'illléROU, en Pl»yben, vers 0 heures du
»„u, ii relitta dau* le débit tenu par le
femme Dav.d, t ù se trouvaient également
deux vanniers ambu'ants accompn,;i er
d’uno fournis.
.
Goavec «e lit servir une bo«tellle do vu,
qu’il vida ou compagnie des vanniers ¿t do
la femme. Ayant afnnl fait coaiiaissat.ce
on décida de faire cotre, uno Hudouiilo qui
fut mangée, unoséo d» plujleurs litres do
vin.
Goavec s’endormit ensuite sur un banc,
et Ason réveil, Il cons'atu qu'nno somme, de
23 nti 2'l francs lui avait <té volée de son
portemonuale nul *o trouvait dans la poche
île sa veste. Il soupçonna les vanniers •
ambulants de lui avoi -souutralt. son argent
ot n por^é plalote A lu ge>' (armerie.
PonllaoiHMi
O rande battuo a u x sangliers, -Coiu.ua la Sfiiiou est favorable, M. Gbancorelle, lieutenant de louveterlo de l’arrondlss^mont de Gbfttea'illn. a provoqué une
remnrquab,o battuo aux sangliers, 'tar.s 1>s
oavlrtioa de Poullaoupit et du Tlueltroat 1rs
13 et 14 mats courant, aidé de la plupart
des meilleurs tublisde la régloj.
Lo 13 mars, plus do quara: te chass 'urs
s'étalent dopne rondes-vous dans les bols
du Htllars et du Veuro'i-üoat, avec plus de
lolxftoto chiens, lis o it pu faire sortir de
«a retraite un vieux solitaire de 75 kilos,
ou'lls ont tué absl qu’une laie.
L* lendemain, maigpé une campagne plus
dlfllcllo, un autre résrltat eut lieu et M.
J -L. Lo liras put tuer u? autre vieux soü ■
taire, causant de graids ravages dans >a
région.
Arrondissement de lo rla ix
K O H I t* %.
Les écoles ot les dro its
des pòrca de fam ille
M. l'abbé Madec. dliec.teur df la Quinztiino Ouoi'iAre, f;ra, le lundi 22 m irs, A
8 nrurea du soir, dans U salle du put'o;. âge
do S;»lnt-Uathleu. une'-o; lérenco publique
g ir : ita projets Doumorgue» —■Un nouvel
¡ittenM A la liberti. — Les dnits des
pòrca do /iiinillc^__________
M ort do M. Saout.
M. l’abbé Saout, aumônier de la marine
eu iciralte, est mort mercredi A 8 lieuret
et demie du mutin, d’une entérite aïeul: A
I fitte do 74 an», djns bu demeure de la
vouello *ux Eaux.
M. Siout avait ôté six ans vicaire aux
Carmen, ¡¡> lirest; puis 11 devint aumflnler
d u o a ir o . L sodistinnua p ir son dévouement pendant la efuerro de 1870 li se trou­
va t A Sedan. Apiò.s la etterre, il fut fait
clievAllcr do la Légion d'bonneur. ho 1800,
II prit sa retraite et, plus tard, se p ^ ' u i a
aux éloctioos contre M Roullly, en 1802.
Le servl.-e rr-llirieux a été célébré A
IY l'IIs • Saint-Melutno. vendredi matin A
0 heures rt demie. Puis le corpi a été
nirlii^ Hur Plougonven, d'on le délunt était
Oi'ltflr.nlie.
orut II dovolr poursuivre l'affalro qui n élé appeléo
A la dernière sôanco du tribunal correctionnel.
Go no sont pas los commerçants do notre ville,
mais bien lours fournisseurs, de» négociants des
vlllos d'Angers, L t Mans, fcjaumur, qui sont pour­
suivis on vertu do la loi du 1" noftt 190S.
M* Perret, aoolen bétonnlor d'Angora ; M* Ch.
Lelebvr». du barreau do M orlnlx; M- de Boa■iiil, au b j.'C a u do Pai tu. ont p aldo üu^oko
inxin luiiir le» prévenu' l’iiicoiiipélono« Oli 1rib ■
nnl. l'a ont deinnndé tous par cono'uidous moti­
vées quo lo tribunal renvolo ces nlTal-rs d«vant
les tribunaux dos localité« hablléos par les n#gooiants qui nnt fourni lo lièti s on question.
Le ministère publlo a donné uu avis confoimo
..............
snr l’Incldont soulevé.
Le tribunal, après délibération, a’ost déclaré
Incompétent et a renvoyé los Inculpîs devant
k u rs jugoa naturols,
Botmeur
In a u g u r a tio n de l ’êgllse. — L ’église
neuve de Botmeur sera livrée an culte, le
25 mars, fête de l’Annonciation, üe sera
un Jour de lôte pour cette population qui
l’attend avec Impatience. Il y a, eu effet,
trente-quatre ans qu’une délibération for­
tement motivée, et Blgnée du conseil muni­
cipal et du conseil de fabrique demandait
la construction d’une église.
Elle est faite — du moins, l’essentiel
est obtenu -- par souic iptlon voloi taire.
D’architecture Blmple et modeste, vu la
modic'té des resiources, elle est néanmoins
charmante, de l’avis de nombreux visiteurs
pt. blanfalteurs, qui. tous, en félicitent M.
(lhp„s«»fi|e.d. ai coiteci« a Quiuip jr, ei M.
jkUze, euticpn.ii,.u» a 13.^tp tris.
r>tte p»*|f* pnrolssn a ronquis la sympaihifs d« tout<j U lég.uu, d.yu.s qu i. .a
vue »<• m*tt 'e »1 rés > uui*rit à l’œuvre pour
se cooetruliu ui,e éu,i&c. Auasi prévolt-on
•ff!uen,’P deg narnisses voisines, si
i h *9*i t mp8t<»u' i.e aféte.
n o m in a m i
A ccident m ortel. — Un marchand de
vieux ohevvux coonu sous le ttiirroinde
Per Yun Uazelr, est tornii de sa voiture en
retournant (le la foire de Laidivlslau. I.
est mort dans la nuit suivante.
G u e r lc s q u ln
L a foire (lo la mi-carfìmo — La f tiro
dite de la ml-carême, une des plus impor­
tantes de l’année aisurément et qui d après
l’aimaiacb postal doit avoir lieu le iuuii
après la mi-carême, aura son véritable
jour luudi prochain et non lundi dernlei
comme la plupart l'ont cru.
Aussi non« sommes heureux cle pouvoir
anroncer aux é evetrs dp la région que la
foire aura lieu luudi prochain et en même
t mp<i nous les invi ond -j y conduire leurn
béteu, aeauré* qu iis tout eciiaiuB d’avance
d'y trouver nn otin déloucbc.
L a u d lv ln lu u
Asllo des vieillards
Dans sa dernière séance, la commlsslor
do répartition des fonds provenant d't p»ri
mutuel eu faveur des œuvres de blerfi isancc a accordé à l'iiosri’.e de Q ifmoer
une s jb /e itlo j comp'éiuut.ti.'e oe :w.0<'0
iranc« destinée avec celle totale de 150 000
francs allouée antéiieuremcnt, A l’aidera
fairo face aux dépenses de construction
dVn aiii e de vieilia ds. La commission
administrative cet en oi.tre autorisé"' A
affecter A l’exécution do ce projet une
somme de 21 299 fran’S, provenant des
rabais d’aJJuiicaMcn du projet primitif,
L ’alcool m au v ais
Quéré, A.é de 25 ans, employé comme
ir humer A lauile d a.iénés, était ivre dimarche soir.
Ver» »ix heures il pénétrait d.iES l’église
Salst-MatMcu !e cri>M»u sur lo. tête et
proférant 'e1: pirt-fW sspbèmes A l’adresse
Ce. Pirp et de la re’irtrtr.
Des liiè'.cs, qui p*Wjrri*, lui firent des
observations sur sou ¿TOude scandaleuse.
Noire Ivrogne leur répondit par des injures.
Un honorable Qu'mpérois, aidôdu bedeau,
voulut l’expuiset', mats s’échappant de leurs
m»lns, Quéré entra dans le chœur et se
dirigea vers l’autel. Blasphémant toujours,
11 scandait ses paroles do grards coups de
polni? sur l'autei.
L’honor; b'n Quimp‘!rois dont nous par­
lons plus baut, M dé C..., s'interposa en
c- moment enf-e t’^rerguméne et le tabernac,!o, et réussit A l; m tîtriïer jusgu’A
l’arrivée d’un agent de ville.
Celui-ci eut mille peines A le conduire au
poste, car Quéré, de plus en pins surexcité,
se débattait violemment.
Le le.rd main, Quéré dégrisé, manifes­
tait le plus profond regret de son acte de la
veille.
Ii u été cordamr.é A 40 jour* de prison
avec sursis, et 5 f'ancs d'amende.
L o s c h a u f f e n r u lm p r u d o n t n . — La cour
d'appol do Bennes s’ost occupéo, ces Jours d e ­
niers, de l’affilro sulvanlo :
. . .
Lo 23 lulllot dernlor, c'étatl Jour do foire à Landlrlslau, ot les routos eboutissant A cette com­
mune étalent encombrée«. M. K lounrd Lt hideux,
repréioutant do commorco A Urest, e’y trouvant
avec uno automobile, no lit rien peur r ai ou tir.
Comme 11 de« !ondnlt A unis allure vertigl .ruse
U còlo do L am paul, 11 ne put éviter ur.o voiture
dans laquollo io trouvait la famlllo Paugam el In
renversa. Le |auuo Matlmrln P'nugam fut projoté
A terrò et subit de ce fait un ropos forcé de
15 jours. M. L»hidoiix, condumné seulement rt
10 francs d'amende avec, sursis, u fuit cependant
nppel ; Il explique quo l'uceldi'hi ust lmput..lilii
eu iUH|eiiro psitto au condacteur do In voltino.
Bon dtfrnseu.', M1Vallée, a obondé dnni c i 8<ru ;
m ^L 1« Cour a confirmé lo jugement do Morlalx.
PIOUCHCtlt
Les coursos — Los m "m hrps d ' 'a
socié'.e d'-s courses do Piou'"<ea‘ s1' s u t
réunie. I ’s ort procède * 'a vérilicitio t des
comptes c* A ta fixation du Jour où auroct
Heu les course* c r f r'. a o ic t La date dn
8 août f. été choisie I y "mra pept coifs s
• t nne *rmime de 2.20(1 frauc^ aera disrrlbuée en p ix.
P lo u g ’a s n o u
Mise on lib erté — Nous avons nnnoncé
que Mme Apnrl-n ^valt
nrrC'ée, pour
avoir, dipalt-oh, men»céson inan J* coups
rte revolver. Le puquet, après etiquê’e. <>
remise en liberté.
l'io iifro u lm
Préaentatlon. — Jeudi, 25 du courant, A
3 heuios, reprôsentall >n, clutiftonK (t^lr.lou le z lu
Les tir * du i l * corps d’arm ée
En J iln prochain, le général Jourdy comnnudant ie 11* coips d’armée, doit faire
exécate' i"« H .td e guerre A PlouDéotir.
U uer tvue LeLéra’e onralt passée a Morljix av o d .11 é d^ toutes les troupes.
Ler. exorcices seront clos par une manœu­
vra d’at;aque comiiiuée contre le cbareau
du Taureau.
, , . ,
,
Læ» trouves compret draient le 118* et te
10’ de ligne, une brigade d’infanterie co’onlale, atuol que des i.orps d'artllleria et de
_________ _
cuvaleile.
C o m b attan ts do 1870-71
Un banquet plein do cordialité et d’entralu a réuni dimanche, restaurant Ilnnpot, le* anciens combattants de la section
morUlateuno. MM. E jillc Guéffan, présif|■rt ; ho'tnir Bolrov présldcot honoraire ;
ilouiy AaUiiotix, v o i-président ; Alain
Uuéinnic tiésorler: Bourgot, vice p éaldent d B vétéraus, ct,\, y assistaient. Plu«Iptft discours ont ■Yé prononcés, qui ont
fait acclamo;' 1« nom tu président, M. Emile
G u é g a n . ___________
L ’fttfftlro do c u R o u ti x
A la sullo do prélèvements opéréa par MM. Blolmti tit lloii'dluon, Ciai inliaalros do pulloe, oboi
divora u tg u nantit d" l > région, au mois do )u.n
tlioa, on »’upoiçut q ia los aaos do t u lle cunl#nulent do nombraujoa uralnea do mlTTu e, st co
dans une proportion ni|nnt do 18 graliio» a
W.tOO iiralui-s p^i k lo (,‘M gralnos no pouvont
so voir qu’à la loupo, ol 11 en faut a 60P.000 pour
faire u n t ilo ).
On sait quo ces gridnon de cuscute ronam t lo
trèfle luutlllsable.- Aussi lo parquot do Morlalx
g lilo u novez) ot conférences bretonne.'!.
R o sco ff
Bleseô p a r Hon choval — M. C 'ste.l,
demeurant A Keravel a re<;u do son c'ieval
un coup do pipd au frontM. le docteur Le Bag, t de Saint-Po - eLéon, qui iio guo le blessé, capô.ii q jeia
guériaoù sera rapida.
Salnt-Pol-dc-Léon
M ort subite. — Samedi matin, vers
6 h. 30, M. .Tea» -Marie Mével. cultivât, uan Grand-l/»nvérpc, s’anpr6tait A sererrl'e
en »llle et était occ tpé A atteler, lo sqail
s'afTalasa soudain, frappé de congestion.
A c c id e n ts .— Le Jeune Dellzien. A -é de
G ans, j itmlt dans ta rue du Vezen-Dann.
lorsqu'il fat renversé par une charr-tte A
bras qui descendait la rue ; l'enfant fut
soIki é par 41. le docteur Tuéb tut, qui cons­
tata ure fracture A la j'rnbe. Le lei,demain,
son ieune fiè-e. a^é oe 4 ans, tombait dans
b fe'u et se b;ûUit Rrlèvcment nus cuisses
et au des.
Rem onto. — Les achatï d j chevaux
pour l'artillerie éf!tnt suspendus, le com té
de remonte qui devait V'-nr A Samt-Poide-Léon merciudl prochain 17 mais, n’y eut
pas venu.
Arrondissement k t a p e r
Bureau-Annexa
et
I X 'p r t t
C e n tra l
du Courrier du Finistère
3 tu o
K o r é io x » ,
(jU IM P B U
N o ta ria t
L’examen A subir par le» ctrdidats aux
tonctlo1'* de petalre oyint f.‘it leur staue
dans le département du lùnittére, est fixé
M o rt subite
U'i sieur François Cïlliec. mendiait,
originaire de II wpoiden, était dirige sor
l'hospice, lo squ'il B’*flaissa subitement
avenus de ir. ‘J are, dans: 1rs bras des deux
personnes qui !e soutenaient. La mort a
é e instar,taoée.___________
A m lle r n c
Un m a rin écrasé à Toulon. — Le ma­
telot tailleur P..., ducnlias-é VAritè, origi­
naire. d'Audierne, marié et. rè-e de famille,
a été écras5é par un tromway dimanche
soir, alors qu’il regagnait eoo bord.
P lc n v c n
In fa n tic id e . — «adeieine Hé’ias, 20 ans,
repasseuse au bottg do Plettven, est incu péc d’„volr, le 7 janvier, donné volon­
tairement la mort A son enfant rouveauné ; eiie t* avoué avoir Jeté ceiul-ci dans un
étang si*ué \un kl'omè're de sa demeure,
mais d‘iï-t'0 paît c-.le afiirtu- qu’au mo­
ment de. ba nalopance, l’enf. nt u a dr.rné
aucun signe ri» vie.
Marieleire Ilé'ias a été écrouée A la pri­
son de Quimuer.
PliifiiilVau
T erriblo acr.ide.ut de mine. — D i­
manche d rnlcr. l i ceturont, v^rs s'x hf-ures
et det ie du soir, accompagné de son domeetique. Yves OUI»ier, -g4 de 47 ans, M.
F r « Ç-ils B’i' eder, <8 at s, cu liva'eut', rtemeuran.t A Kerzerven en lJl'i(rulïtn, se re- dit dans nn champ dépenJaut de sa pre
prlété A l’effet d’y extraire un énorme bloc
le pierre. Ne pouvant réussir A l’aid» de ses
instruments, Hureller décida de miner le
bloc.
Mais avant qu’il ait eu le temps rie s’abti
tir convenablement une formidable explo­
sion go wodnii.it et Barbier r«çat deft éclat?
rie pierre en ¡ V in•*. tigere. Quant A son
(lomestiquo Olîivier. il à eu un bras décti
quêté jusqu’au coude. Tous deux, aprè3
avoir reçu tes premiers soies d'ue médecin
mandé en toute bii’e, eut c'é dlriKés snr
l’hospice d* Quimpertit i's ontétéatm is
Burelier qui e été le p'- s ép-ouvé, perdra
probablement la w<' L amrutatiow du bras
d'Ollivier a été Jugée nécessaire.
Ce double accident a produit une grosse
émotion A P!uguff?n.
l’e n m c r lt
E x pu lsion de Wi le recteur. — La Ré­
publique radicale p ut inscrire une nou­
velle victoire A son drapeau. S?s représen­
tants appuyés d’uue brigade de gendarme
tic de Qaimper, de deux gendarmes de. Plogastel nnt eu raison de la résistacco de
M le rect -n «le Peumerit, qui voulait con­
tinuer à demeurer d.\ns soa presbytère en
vertu rie dro-ta acq iis et incontf-stb.bies,
seins p^yer io prix d'une location1
La direction de cette expédition était
confiée an '•^rr.misiaire de police M. Houciuer, J*. Q i:nprr ; süisté de M. Centur,
bulssier.
Avant de quitter aon presbytère, M. le
recteur a lu une bei'.e. et energtque prote-’tation contre la sp':llatioa dont il é’att
victime. I p u . H q ta le presbytère ae .é
loué par uu con.-e 'a t municipal.
P o u lla n
Incendie. — Le 12 mars, A quatre hwres
du matin, le feu se déclarait d t s la ferme
de Co-entiu Mao, A Buzlt, en Poullau. Le
feu prit d'abo-d dans la g ango oii é'alei:t
renfermé» les instrumeniB aratoires. Tout
a été complètement détruit. H a lai te
communiquer également A l’étable. mais
grAce au concours empressé de tous ;es
fermiers des environs, accourus au se
cours, oa réussit, junte A temp1«, A sauver
les vacoes qui y étaient renfermées, A demi-asphyxlees, et, A préserver l’é'able et la
maison d habitation. La grange ¿tait cou­
verte en ardoises et communiquait avic
l'étable.
Les meubles et les instruments aratoires
étaient assurés. Les dégA‘.s s’c'èvent A
4.000 francs environ. Oa ignore la cause du
sinistre.
riaou-'amm etreïek Plsyben o sonjalkaout
eno soudarded Laou uvit ho ukoar.ella.
Ar G hluzed a ro war ho lerc’h ha beb
mare unan bennak tizet gaut au tennou a
rtii'l d'an douar.
— « An enebour a comerán tech, eme
ear vouei adren keln Jakez. »
S
' Korkent dre ar rulou, eurvindennÇhouan
ted-aa’ut.’ euB'arfc’h'» - * ■Kaitellln, war hent
awalc’h abaone eun nebeud devezlou ha
irlac'baret brar o wciet he vab Herrl o vont
I
-/ I t
• •
LE PÈRE » E FAMILLE EST IJN
Ilospordcn
M o rt snbite. — Lo 13 courant, vers nne
heure et demie après-midi, M. François I æ
Goc, Agé de 53 ans. vannier, demeurant A
Hosporden, revenait, accompagné de sa
femme et deBonfils,deConcarneau,traînant
ea balladeuse. Comme l' pleuvait beaucoup,
Le Goc quitta sa voituiette pour s’abriter
au bord de la toute, lorsque soudain il
s’affaisa dans la douve, pour ne plus se re­
lever. La mort avait été îuatantanée.
M le duc'.eur Ijuc .s, de Concarneau,
mandé, a décia;é que 'a mort était due A
uue cot gestion a la suite d’une attaque
d’épilepsts.
T entative de sulolde. — Vers o u ïp .
hen'es et, demie du matin, le 11 courant, la
gendarme: ie ue JKospurden était prévenue
qu'un corrmeucrm-'nt d’incendie venait de
se di'c'arer a't domteite de Pierre-Charles
Le Dû. tailleur d’r-afcits au bourg, et pitué A
quelques mètres seulement de la caserne.
Déjà, le plancher d’un cabinet situé au
premier étage btûlait. Daus cet appTtement, dont la porte ôtait verroullee, se
trouvait Le Dû.
Les deux gendarmes mis au courant, la
firent sauter. Il était temps, car la chainnre
était remplie de fumée, oe.casionnée psr
un réchaud, qu’une forte prov.isioe de char­
bon de bois alimentai». Tout A cOté, sur un
lit, gisait Le Dû, sans connaissance, ritiant
et respirant A peine, le bras gauche per­
dant laciertablemert au dessus du réchaud,
carbonisé ju: qu’a« emde. Ouvrir la fenêtre
pour établir un courant d’air et transporter
le désespéré dans une chambre volsiLe fut
l’aff iire de quelques secotidis.
Et le commencement d'incendie se trou­
va bientôt éteint.
A l'aide ds piqûres de morphine, le. doc­
teur Richard, qu on avait mandé, réussit A
ranimer peu A peu la v'ctfnie ; de so-te
u’au bout d’une heure, Le Dû était hors de
anger.
Depuis quelque temps, A la suite d'aifaites malheureuses, le ménage vivait
en mauvaise intelligence. Quelques ¡estants
avant cette tenta'îve de suicide, la f 'tnme
avait porté plainte contre son man nour
violences et voies rie fiit, p.t la crainte
d’ôtre poursuivi avait pousré le m:»ri de
prendre cette funeste détermination.
M. le docteur Richard ayant jugé indis­
pensable l’amputation du bras carbonisé
ds la victim'-, a ordonné aon transfert A
l'bôp!tal de Qulmper.
T réfruo nn cc
In fa n tic id e . — Le parquet de Qulmper
s'est rendu dimanche dernier ATiéguennec,
pour y enquêter au sujet c'un infanticide
commis p*r Anne Bernard Agée de 38 ans,
venve Garrec, dnn'uraut au Dourg.
Le cadavre du ¡’enfatit, r-é viable, a été
découvert daus une armoire.
La veuve Garrec a été laissée en libeité.
zlllad hag cat raktal da sihuna H rri Hen­
man agouskekaled evel e rapeurvi i ion riud
yaouauk evcl-t-han beb sonjul tan m er p -z
a dremeno en*dro d'ezhan. Pa zeuaz Van
enn be gambrlk Herrl a zihunaz enn eun
taol ha pa weiaz he vignon djrazhan e
teuaz tenval an dremm anczhan.
— « Iluvreal a reo. a lavataz, e can eun
M ath'az oa d'ponezet.
— * Mc'a gav o’io, t mexb.au, e bellit l)*c- Iliz Pleyben, gant Y v o d b , bag an Aotrou
man lakva ' an houarn ei 11 tan. Mcz I pebez persomi a vlnnige ac'hatomp. »
— « Ah I yaouarfciz I yaonaukiz I eme
kemm ette Jskez d«Bc h ba J-ikez birlo,
n'am bile blkep B«ere]t! o oh c'houi a oa Yan gant eun dcisti^gez vraz ; ha lavaret
ez oun bet eveldboc’h-hu ivel Karet am
ina n’ho pije lavaiet d’in ho poa prenet an
euz eur plac’h yaouanJt euz Lennon ba
dillad-zcan nozripan. »
— « RfcTíealgldyü’helfontkAtanavezout karet kalz, me: au dciz ez otn eat da
ac'haneiun a gav d’ehoch ? Mont e ran c’houlsn anezt i da zimezi ne reax nemet
c’hoarzin ha goapast en tul lavaret e oan
raktal da c’hoarl d’ezbo cun troari lene,
men umm avad hag a vezo lilstaget. Setu re zlvalo. Go-.ideze ex oun rat da /.ondarti
hagabtoue. n'am cut ket betamzer d'ob r
a rp ' z a c’houle-iuan dlganchoc’h, kommiier, c’houi a iliraso g u - z o riaou archer vii ettred. Mez, n'ema ket br<m>n sruiare
da pmtn'a av trsou-ze 1 Red co iakaat ar
kMounek frant. ri'llari leoueri.d ba g m t
aimou. D.wal a refont an ti a bell ba ma Huc.'n w.,r.ar c'tuin. Heru r>rt eo terr.’iiel
kievont etinu c’houitelladenu hi a zelilo d am dioc'htu. Kredit ac'hanoun, arabad eo koll
ncuze o veilu gwall wasket. ma ne amzer. re bell bou euz gurtozet (Jija I *
Herrl a dennaz eun huauadenu birr.
Ne oa ket c’ho»z dout mad an delx ha zlkour,
levont netra abenn div heur, e c belfout
KouisVottde senti a roaz, gwlrka a rear, ar
Jakez en em wlske. War he vuzellou ont d'ar rear, meatr e vezln er muner. »
vsntell
groo hi nn gaor hag be voirrou
tco awa'c'h evlt <ur yar da gluja, war
— « Mail, ktevet am eux, a lavaraz Maho vutellou hag n doa kollet ho daou thi iz, bo przot fiiianz ennoun. »
iost malard, o dlj i a dra m great pll- Jakez a lakeaz dlou blstolcnn enn ho le— « Aze, prest oun, emeihan. »
Yan n’bellaz ket mlret da c'hoarzln.
ladur d'eur plllaouer p# d’eun trocher c'bodel ; he c’bourRlcze lemma dindan ho
ruoe'b. !war ar r,er?.eJafiex a lakeaz mous* duulkcnn dragon, hag a gerzar. ctreiek l ’i <•- — « Neuze c'houi a gred o vlot kemeret
evit
eun toucher gant daouarn ken gwenn.
tacliou griz ¡.gwennaa icazha vlco hag he sleldv en enr boueza war he vaz bag en
vourennou hng etlin tculer a reaz war he eur obar ar c’hamm. E gwiriouez no oa ket ho bleo kempenuet ken brao? Mez Herrl I
kéln an dnnlkcnn dragon en doa prenct ep ¿w all grenv hag czomm en doa da a'boella gn archer genaoueka euz ac c’harter a
anavezo ac’banoc'h dioc’htu. »
Tiiflut. Bellot a reat ermellezpurha tenna bo nerz.
areaïoun huanadonnWrr. « N'eok#t fali,
Herrl a zeuaz ruz-tan... « Gwir eo ». Dua
X
V
III
mez vMaiul*gt.a?l
ema an dalc’h. »
a reaz founnnz he zaouarn, reustla a reaz
Rimer a /e»por grabateoa ieli «wepn
ho vleo, ba iakaat a rea? en*dro d'he c’hou*
R e T r'e s ig ld y o te r o ’h e l
hag helakeik wat he jagad klelz *. « Mad D ’ar mare
jottk eur mouchouer ruz.
a gemere Jakez an hent evlt
ao»reman, emeiùan, lkouen. Den nana* mont da DreBigldy,
. E keit-se Yan oa dlskennet d’an traon.
re ar maner-man oa war
vmo J a
k
e
z , a n
A ’° 1
Katcll, labourere* euz an dib»b, a domme
pavom non #pki ha. luriom p enn tao. A n aotfou Leekoat, hebkeo klanv afe evlt arveaobourlea* Yvqna a o'hrie an
re a draou kalï, » ha Jakex a zorj j haga
zUoije atao.
,
,
— « Pelec'h an dlaoiil ema va spered...
erreomp hor chonz ha greomp mad : selu :
ü o n tii rsu da lakaiit va dlllsd dragon, gautho e vetln evel eut' den yaouank, llourik
va ler.r ha gordlgelled msd va baro, va
moïstacbovi. Llva a rlu v» birnj ha lakast a
iio va breae’h enn eur ipoucbiiuer itag oe’h
va f»ultrln. Baie e i lit (larnbleget, en» eur
boitera wnr eur vnz ; «r stad.ae e i ion fia
Dreiigldv ha me a Wvaro e vezin eur Bou­
dard goùllet o tout d’àr gear goude bo«a
het poli er prizoun. G’hoarzit, Laou, danslt,
Herti, Jaket u’eo ket c’hoaz m aiol I»,
evelse eo mad, finaoun gauthi, emeihaii
hcTtinnn m u eur frota he zaouHTh. *
An nozvcMte memèut, J*lfex a «emer^x
eur wetur evlt Oot t d nn Tl-lfuz da brepa
he r-lilad drpgott ; gwelilt hou eur. an< z'iau
eno asfmblezK'int Katcll, mer. n’en doa ket
taolet k o u n ttb ïd er vpoui z*ze a irblante
d’cihan heza epr b»ouMT, rtlwar ar mfiaz.
EentTîT , t . • on,
Meur^v*ndeni>
I
\ Chouan
c:''1’-•
r
au Jeudi 8 avril, A 0 heures du matin, au
siège de la Chambre des notaires de l'ar­
rondissement de Qulmper, rue du Parc,
n» 20.
Les candidats A cet examen devront faire
parvenir leur dossier A M. le président de
la Chambre des notaires de l'arrondisseme-t de Q imper, le dimarehc 4 avril au
puis tard
enn eun tamm meter e vlje staget
Ïrc’hftnt
tu dindon davantell Herrl. A r p l a c h
yaouank oa evel eur rozen goenvet dlsilvet*
C A l’ITALdont les revenus assurent l’exis­
tence de sa femme et de ses entants. Son
devoir est donc de les prémunir contre les
effets de sa mort prématurée.
L'assiirnncc com plète que l’a n ­
cienne Com pagnie « Le Fbénlx »
(entreprise privée, assujettie au coot-01«
de i'Eoatl est seule A pratiquer, permet au
père de famille d’as»urer, oans tous les cas,
l’avenir ncs siens. Ce contrat garantit le
r is q u e de g u e r r e gans aucune conven­
tion préalable, ni surprime A payer au mo­
ment de l’entrée en campagne, et sans que
l’assuré ait-A se préoccuper du paiement
des primes qui, p» t':mp* de guerre, sont
avancées par la Compagnie.
Renseignements au siège social de la
Compagnie « Le C b énlx ». 33, rue La­
fayette, et chez les agents généraux.
3
A rro n d isse m e n ts Quimperlô
Scai:r
E lection au conseil général. — Voici
les résultats oe lV.lt ction au conseil général
de Scie,', qui a eu lieu dimanche :
Scaër : insciits 1089 ; vota- tB. 1220. M.
le coinmaudaut Roriallec. i 185 ; M. Gornouec, 20.
Queirien : inscrit« 811 ; votants 527. .V.
le commandant Rodallec, 135 ; M. Gurnoucc,
387.
Saint-Thurien : inscrits, 417 : votants 3'9.
y. ¡e commandant Rodallec, 100; M.
rc o ’ec., 159.
Totaux : M. le. commandant Iladallec,
1480 voix ; M Corro ie c. 575.
Le commandant R'dallec, ancien é'è-e
de. l’école poij’tcchrüq'ie, chevalier de ta
Légion d’homeur. est élu contre M. Gornouec, ho- eder A Bannalec.
m mmm
M mim m jve? «f houi a u couru
c iA n n .a « R O e * N a a i î M n w
L «*b
n pp are Ü H
G L A .« le P a r i » , p o u r l e
t r a it e m e n t d e s h e r n ie » ,
o n t
o l> te n u
l'a p p r o b a ­
tio n d e » p lu n lin u te » s o m ­
m it é « * .
On sait aujourd'hui A quoi s’en tenir sur
la valeur de certaines méthodes préten­
dues merveilleuses, aussi inefficaces que
lea arciccs appareils A ressorts rigides ou
a P':'oten EOires et qui ne f >tt rjue réserver
les pli s ctuelPs déceptions a c;ux qui ont
l'imprud'‘nce de les adopter.
Seul M. G laser tient le record pour cette
spécialité depniB 30 années, seul son a p p a ­
reil a remporté les olus hams prix et une
meu j-tj) hocorabie de M. le Ministre.
Son appareil, sans ressort, est le pins
doux et le plus lég-ir. imperceptible, il se
porte nuit et jour ; il permît lestravauxles
plus durs, ne se dérange pas et ne gêne en
rien quels que soient tes mouvements du
malade. D nne résistance sans éga’e, il
maintient les hernies les plus tenaces et
les guérit en peu de temps. Aussi a-t-il été
reconnu par tout le corps médical comme
étant le seul anpareil vraiment sérieux et
scientifique. Nous sommes heureux d’anp-eudre aux mai,--. :es üomm?e, fem<ties et
enfants atteints de hernies que M. Glaser.
le g -and spo.cia'ifit? sera A nouveau parmi
nous GrAce Ases conseils de nombreux ma­
lades ont retrouvé la plénitude d ; leur
sa; 'ée t leurs f rees.
N us engageons vivement les malades
bernienx A venir essayer cet ingénieux appii'.’ii A :
Q.¡imperlé, le 29 mars, t’ôtel d j Liond'O. et VVyag'or«!.
ChAteauiiu, le 30 mars, hôtel Grand’Malson.
Quimper. le 31 mars, hôtel de l’Epée
PoLt-l’Abbé, le i cr avril, fcôeet -.i L'on*
dOr.
Carbaix le 2 avril, hôtel de France.
Morlaix, le 3 avril, bôt.el Bozeliec.
Brest, [o 4 avril, hôtel de France.
i ur.
r>, le 5 avru, hôte* ces 3 Piliers.
I... ..y : 0 ir. 31 à W. G'aser. A Courbîvoie-P’ris pour recevoir frauco son traité
sur ld If e rn ie
7940
H E M O R R O ÏD E S
Feu de personnes ignorent quelle triste
Infirmité constituent les hémoi roïd.*s, car
c'':it une d;'S a£fjetions les plus ré.taudues;
ma'a comme on r.’aime pas à parier de oe
genre de souffrances, infime A sou médecin,
ôn sait beaucoup moint- qu'il -xiste un mé­
dicament. 1E lix ir de V ir g in ie ÎVj-rdalil.
qui lea fr.ii disparaître saut» aucun danger.
O i\i.'a qu’i écrire: I’ ro d n lts K y rd a h l,
20, m e de la A o ch e fo n c a n ld , P a ris ,
pour recevoir franco la broi hure explica­
tive. On veria couibi-n il est facile ele se
débarrasser e L, maladie la plus pénible,
et la plus douloureuse. Le ilacon : 4 fr. LO,
franco.
Mélicr.-vous des imitations 1 il n’existe
qn un Bcul E iix ir de Vlrarinie : il porte
la signature de garantie tlY K D A H L
guérit la dyspepsie, les ercéa C»
bile et la constipation, vous f.-üt
digérer le» aliments et vous permet
d'en tirer des forces ; ainsi elle assura
une parfaito santé.
rBr.Np.-XN RÉCULItRtMtNT
APL-is c h a o u l t e m
Dcnunflia à IL Faîttau,
fhtmadcB * UU«» » brochon entait*
U N M O N S IE U R
tuiteiient
ae faire oonuaîue a toua ceux qui sont at*
teints d’une maladie de la peau, dattres,
eczémas, boutons, démangeaisons, bron­
chites chroniques, tmalalies de ia poitrine,
de l’estomac et de la vessie, de rhuma­
tismes. un moyen infaillible de se guérir
promptempnt, alrsl qu'il i’a éW radicale*
men' lui-rrém ■
, ap'ès avoif souffert et es­
suyé en valu tons 'e * r m* <!es p;éiu)i;iiiés.
Cette offre, dont ou a,.preciu-a le but hu­
manitaire, est la co .séquence d’un vœu.
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Lcsueven-, su r la p la c e ; le u ercre-ii
t.a im ilis , s u r la p la c e .
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oil, be oaoulagad rurlet gant an daelon. Yan
a gemírav truer. <ot-tii :
— . Kemcrit ba oto, Yvona, me a ziwalo
Herrl evel eur b»g<l, me ben tou. Betit
krenv. peb tra a iclo evit ar gwella. »
E ari cdo Yau o konto'i Yvona, e elevai
trouz ke*ek o taouiaaimet. Mont a rc z
d’ar prenes'r, ba ftwelout a reaz enn tn all
d'ar ster eur vandennad soudarried. Eur
peonad goude e teuaz ;e E l i ken founuiz
bag ae re «enia.
.
« OU I oh ! eras Yan, me en em fari ka'z
pe setu aze tud ba ne goiiont ket bo amzer. »
Altoan cn doa lavaret ar c'homrou-ze ira
os klevet an trompillou o seni, ar boledou
o kana etouer »r c’beuceud h<< ke kent
Glazed a-U iz a ziskua r e euz Ko¡tt a1 Lek :
ne oaBt ket bet p II o t nt e u z Has elllli.
An douar a £<e: e dludao ireid pot-iuer nr
c hetek
. . ,, ,
— « Oli I cine Yan oda re, etnamt, o U W
ar CtiOVauteu ; J if z a hell br. m:tii e-.uj t
betek aman. Marttiene; f.ilvezo ket gauthan bon paka dioo’ir.u bag at p.z a 1a u'iu
socjal an dra-ze co abaiamour Katell be
deuz gwelet anezhan en 1'1-Ruz o prena
dillad dtagon. Ia martezc I met. plouaoar I...
Red eo d’an tl beza goulio pa zigouczol
Alo 1enn kent founnuz die an tu-man. »
— « Me a zorj evcld-hos’b, a lavaraz Laou
en eur erruout asamblez gaut Herrl, a oa
bet o klmlada oc’h lie dad atao glac baret
braz o welet he vab o vont enn hent.
« E u r ger c’hosz, » eme ta n da Laou,
terc’hel e reomp Herrl ba me bag ober a
refomp ar paz a vezo enn hor ohalloud
evlt mont betek Molenez. Eur weach eno
n ’borbezo aoun f b id da gaout, c’boul ne
ket ta Laou a xenlo ive dl ; mez pebex dillad
ho peux da Iakaat? »
Maner-Koz ne respountax ket.
— D o u tti eran, a lavaraz Y an, ne fell ket
dchoc’h dllezel Yvona, mex Yvona I den ne
ijredo ober drouk d’czbi, diwallt, aotiou, en
em goll e root, sonjlt mad. •
— « Va zon] a zo great, eme L a o u d i s t a n c e
gtedan ket e vefe mari Yvona areau p a zeo
gwir ezeuz kement a soudarried dre ar vro ;
itzel anez-hi bech-unan er maner, b ik e n
ne rin, biken. *
Yau a weiaz n ’en doa netra d’ober, ronjat a reaz tu r pernari
— « M e z e m e ? h ? n . te c 'h it e ta g - n t h i.
K r i t i 'i t riiilad e u r c'hot e tia d pe m a n te ll
. it; \tt o ¡r. S - P it. e u n a li c ’c o a z : p r c c it e u l
ic m m e r k o u n t iili h a g aoten o cm h a ia k lt
a n c z h a n n ’.ir h o k in . A r be a c’h n e vezo
k e t re fcouonor e v it e u u d e n n e rz u z eveld h o c ’h-hu. Y v o u a a la k a io d illa d k lz w a r a r
m e s z . P a zig , u e z f it c r c. h t a 'i o u . c 'b o u i a
It m m o a r pe?, a vezo d ’o b e r, h i a z a s tu m o
n n M C'bant- »
i
aou üe re sp o u n ta ? k e t i i o - h l u , r e o u ie
\p . e<* v a d pet: a d ’- b i .
— « M ad , a la v a ra s o. lin . m a t e n Y v o n a ,
n,o a rato e <1 a lavarit, iak in » i e iv hi c h
a i mari tre. *
Y v o n a oa la o u e n d a -vent d a h e u ll be zad;
e.houm e T re e ig id y e p a d e p r lla e , n a n ,
n b e lle k e t. E n e ttr d e r c ’h e l g a n t h e z a d , f n
c m z is p a r t ie e u z a n b in i a d ite beza h e fried ,
m i x m o n t e rea e tre ze k a r m e m e u z e n e z e u
ba g o r to z a zo k e n p o a e iu r .
— « D c o m p , a la v a r a z Y a n , d c o m p d a eva
k a fe K a te ll, b a w a r lc r c ’h b ! a c’h o u le n n o
e u r b a n n e k o g n a k , a n dra-ze a la k a io b o le
e m h o n d iw e s k e r e v it m o o t e n n h e n t . »
K a te ll, h e d a o u la g a J l e u n a z a e lo u .a serv ic h a z a n d a o u v e a c h o u r h a g a Ja k e a z e
s a c ’h H e r r i, v lo u k a le d p o a z e t e n n d o u r ,
g w e a te ll b a g et n ta m m m a d a fo u tm e ] ,
— • Aio I eme Laou, k* navezo. >
g t a r d a a r e n i d o u r n Y a n h a b r ln ta a re az
Herrl. « Bezit dincc’b, a lavaraz d’ezhan
goustadik, me a ziwalo Yvo^a. Done hon
slkouro. »
II«rri d’he dro a vrlatax Yeona. an daou
z e n yaouank a cuele d o a ’ e » , enn cur ger
a r c’hlmlad o a tr u e r u z , nehecd a gonxou,
kalz a zaelou.
ri>* j<mnric nir.,
L E C O U R R IE R
D U F IN IS T E R E
vre de Paul Déroulôdo. L’essai qu'ils ont mis en
tete du volume, plttoresquo et coloré, plein d'a­
perçus nouveaux, place en tout son rellel cette
figure originale et vivante et semble fixer défini­
tivement le geste de DerouUde écrivain et bommo
dactlon.
M a rc h é! da Département
OM lM uHn. - M ordit da tt mnrs. — Prouent, l u 100 U1.H.09; « v o l« , 17.60 ; seigle, 17.00 :
ors». 18.60 ; WUT«In, 16.60; beurre, la kilo, J.'JO
m b , la doux. 1,00, pomme* de t., 6.60 le* 100 kll.
L ann llto. »
Marché du 17 m a ri. — Pro­
meut, les 60 M l.. 10.60 ; .orge, 8.00 ; surrailn,
de terre,lea 60
k ll., 5.60 j poro ira li, 1.16 ; beurre salé, i .io :
beurre sans sel, 1.70 ; au fs, la d o u i., 0.86
“ ta n d lu f ila u . —Marché du 17 mars. ~ Pro.
«e n } , le* ioo M l.. ït.oo ! méteil, 16.60 i seigle,
14.00; sarrasin, té ; avoine, 17.60: orge, 18.60
p. d* terre, 0.00 ; aiuts, la do u i., 1 .60.
î;î* L *voln*> °'ΰ ! «on, $.00 : p.
totneven. — Marché du 16 mura. — Pro.
¡PS?*1 J "
» • 00- O w td. 8.60. Barrailn.
S:?0,
M., u-k0' Pommes de terre, les 60
Ml., «.00. Beurre salé, le kilo, 1.10. Bourre sans
M l, ld., t.80, (Bull, la domaine, 1.15.
Morlal*. i Marobé du 1» mats, — Blé, les ioo
MO kll., la .60 j seigle, 14.60 ; larrm ln. l«.oo;
•TCln», 18.00 ; orge, 17.60 ; foin, le« 500 W1..4-..00 ;
paille, 15,00, otufs, la doui.. o.uo.
. Q uim per. — Marohé du la mars. — Promeut,
13.00 lo# ioo kll.; seigle, 17.60; blé noir, 17,00;
A r m e d l«in H o iid a rt
Brest, 64, rue A ig u illo n
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avoine, 18,0 0 ; orge. 16.60 ; pommes de terre, 5.00;
loin, 40.00; paille, 15.00 ; larlne,
quai., 81.00 ;
tarin», 1’ quai., 29.68; io n , 14.60.
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tion par Jérômo ot Jean Thnraud. Un volume
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a 1Agcuco II a va n, Place de la liourso, 8, 4 Pari*
sympathie même de ceux qu'il combat­ 1903, ha drelst-oll 1904, a oe falloc’h c’hoaz
tait. Il montra qu'il ne voulait devoir e v lt»1 labourerien ; er bloavez dlveza-ze, d r e i s t o ll m a k e n d a l c ’h h o r m i g n o u n e d
h e u iil a r e b iz a li a r « S o c ié té d e s A g r i­
sibles quand 11 s’en produit, quel qu« soit la
d a g o m z e n n h o e n e p ; h a s e u l - e a s o c ’h
son succès, qu'à la seule force conqué­ 113 dre vil anezho aoa bet dilabour.
c u l t e u r s d e F r a n c e » p a c ’h o u l e n n n e
paru auquel appartiennent leurs auteurs.
e v e z o d ’e z h o t r o m p l a m a k l a s k e r e u z
» Co quo font et disant de bon ot d’honuéUs les
rante de ses idées.
Hen-nez a oe lvez ar bloavez paoura,
v e zo k e t m e r k e t ta illo u n a g e v it g o u n i­
membres de quelque parti quo ce soit et les per­
Le spectacle, q u ’offrent très souvent abaoue peli ’zo araok varlene, evit an h o n t u l a k a a t a l l o z e n n d i v a l o o c 'h e g e d
d ig e z a l la b o u r e r ie n d o u a r , n a g e v it
sonnes qui exercent raulorlté, peut et doit étra
n ’e z e o .
Alimapn
ha
Bro-Zacz.
les mœurs électorales, serait moins at­
p a e a r v ic h e ro u rie n h a g a n d u d e k a rg ,
approuvé et appuyé par tous ceux qui se piquent
Traou raantruz I
A r w irio n e z
d i d r o i d e l l e o c ’h o a z
d élro bous catholique« 9t bons citoyens, non seu­
tristant, si les candidats à quelque parti
n a g e v it le v e p e b -h in i k o n te t a s tr o lla d !
k re n v a e n eb o u rez a r g ao u . lia g w a sa
lement en particulier, maU cncoro daus loa assem­
R a k , re d e v e g o u ls k o u d e g w e lo u t d a
q u 'ils appartiennent, imitaient lu belle
blées générales, provinciales et municipales et
’z o , d i e z e o h e c ’h a o u t e r p a p e r o u a
attitude de M. Mure Sangnier, au cours
b e l e a e ’h e k l a s k e r k a s a e ’h a n o m p .
Hogen, ouspenn eged dre zefaot labour e
dans tout l’ordre social. L'absiC-Uou et l'oppo­
s
k
i
g
n
e
r
e
p
e
b
l
e
a
e
’h
d
i
w
a
r
b
e
n
n
a
n
de cette campagne électorale.
A r S o c ie te -z e a g la s k d iz a m m a a n
choumer da ehan : grevou e vez lvez.
sition a priori sont Incompatibles aV?*’- l'am our
d
i
a
z
e
z
n
e
v
e
z
.
que nous devons à la religion et à la patrie...Hebcutoc’h goulskomle, a drugareDoue,
d o u a r, h a g lie n la v a r o u t a r a . M es m a
*
» Nous ue devons exiger de personne eD
S e tu p e r a g e k re d a n o b e r v a d e v e r o
eged epad eun nebeud bloaveziou a zo bet.
¥ ¥
le z e r e u z a n t u a il d i s k a r g a n o ll la b o u ­
conscience de s'affilier à tel parti plutôt qu'â tel
lia perak ?
l a v a r o u t c ’h o a z d a I e n n e r i e n a r C'hourAprès l'attentat de Mattis, le Parquet
re rie n d o u a r, m ic h e ro u rie n h a tu d e
autre, ni prétendra que quelqu'un ait pour devoir
Abalamour, m’oarvad, ma tcu ar vlstrl da rier: l a k i t e v e z h a p o u e z i t p i z , a r a o k
Start oo hor o'halon cnn hor o’Iirolz
pour chercher à établir que ce déséqui­
k a r g , h e p g o u l e n n n e t r a m u i o c ’h d i g a n t
absolu de renoncer a scs aspirations politiques,
anaout ha da zevenl gwelloc’b ho dever e- k r e d i , a n t a o l e n n o u u r e i s t - o l l a v e n n f e
llu startoc'h nr Grouz onn hor Brcinl
»1 elles sont honnêtes : en politique pure, en
libré était l ’instrument d'un complot,
a r m illio u n e rie n , n e w e la n k e t p e n a o z
kenver ho labourerien ; — abalamour ivez d i s k o u e z d a b e p - u n a n a r p e z e n d e f e
effet. Il est permis d ’avoir des avis différents aussi
e c ’h e l l f e t d i z a m m a a n d o u a r ?
perquisitionna dans les bureaux du ma fura ar vloherouricn. Ha poent e ioa, e
bien sur l'oilglne Immédiate du pouvoir civil que
d a b a c a c -sk o a z h e n c sa .
journal Lo Jaune, dont M . B lé t r y ,
U n a n b e n n a g a r a n k p a e a , a e ’h a n t a ?
sur son exercice et sur les différentes t irons
gwlrlonez I Na ped kwech ne oent ket
*
extérieures qu'il revêt. »
député de Brest, est le Directeur. Des douget da zllezel ho labour hop rezonn greH a g e v i t e e n u i , e l a v a r i n c ’h o a z o
k r e d a n n ’e k e t a l l a b o u r e r i e n d o u a r
scellés furent apposés sur les portes du vuz ebeJ, nng an distera chana da gaout
Er Portugal, Miguel Bragance a joum
K e m e ro m p , m a k a r it, a n d a o le n n a m
ec> o d e f e a r m u i a d a g l e m m o u z a n
bureau. Par deux fois, M. Biétry les gwelloc h ? lia gant plou? Gant dohtorcd b e u z g w e l e t e r g a z e t e n n La Croix.
peuz-sioul, eur pennad ’zo, gwir eo ; nuis
ne d’eo nemed dre druez ouz ar roue miuod i a z e z n e v e z , z o k e n e v e l m a ’z e o b e t
brisa, protestant avec raison, par oe didalvez dlredet euz Parla, pe cet ae’han
L a k a a t a r a e n n e u r g e n v e r e u r m e strrlk Manoel, abalamour da varo akrijuz he
L a Chambre des députés s'est oocupéo
m e r k e t g a n t a r G a m p r . D 'e z h o m a r t e z e
geste, contre la violation dos lois qui euz Brest, hag a frtkotc goude-ze diwar ho s k o l , e u n h o s t i z h a g e u l l a b o u r e r d o u a r
dad.
choustenn hotellou plnvidika, kcit ha ma
joudi soir des crédits réclamés pour la
e o e s k a n v a fe a r m u ia a r z a m m , h a le a l
garantissent, ou plutôt devraient ga­ vczcnt-hl,
h a g a c ’h o u n i t b e p a 1 .8 0 0 l u r a r b l o a z .
labourerien keiz, o tua gant an
Rak-sc, netra da c'hounit o kerzet gant
M a r in e .
e v e : k e n p e l l ’z o e p a e o n t e n n t u a i l
rantir, la liberté de la presse.
naoun, hag ho bug¿tle ha gragez muioe’h
H a g a n d a o le n n a la v a r e p a e f e a r
« potred ar vazhagarz. brcn », nennti eun
M. Picard présentait une note assez
d ’h o lo d !
M. Biétry, pour ce bris de scellés, fut c’hoazegetho.
taol dispae’h muioe’h. Hogen, n’e ket er
c 'h e n t a , g a n t a n d ia z e z n e v e z , e u r s k o e d
élovéo pour remettre la marine en état,
A ze e m a a r w irio n e z , h a g a r r e a
condamné une première fois par défaut
Ita bouezlnt plz ato peb tra araok dis- a r b l o a z n c b k e n , a n c i l d a o u s k o e d , h a g
ireuz eo ema eurusded eur vro, ae’hantix?
■1Wmillions et réclamait le voto immé­ à six mois do prison. Sur opposition,
klerla grev ; ha neuze n’o devezo ket keuz,
g l a s k h e c ’h u z a t a z a s t u m
m a rte z e
Ho c’hazei ennou zoken a zo icun a c’hour'
a l l a b o u r e r d o u a r 184 l u r !
re
zifczat.
diat de 30 millions.
g w i a l d ’h o b a z a t a .
drouzou ; ha ma teujeut a benu da gaoufc
l’affaire revenait lundi devant la neu­
M a ’z e o k o u e z e t a n d a o l c n n - z e d i d a n
Varlene, da vlz genver, e loa bet 81 grev e
M. Dalcaaaé estmonté à la tribune, pour vième chambre correctionnelle de Paris.
krog
er btur, ar citoyaned a zisplij d’ezho a
G o b e n t in .
h o ta o u la g a d , o p e u z la v a r e t a d r a z u r :
ve, a dra zur, hariuet a villierou.
faire le procèj da la gestion de coux qui,
M. Biétry se déclara prôt à recommen- l' rans ; hag er pemp bloaz diveza e loa bet N a p e b e s g a o u i a d e o C o r e n t i n !
6 i, an eil dre effile, epad miz genver lvez.
Peoe’h ba lealded, a c’bouiencomp.
ces dernière* années, adm inistraient la oer le geste qu'on lu i reprochait, si, à
G o u s t a d , v a m ig n o u n e d . N 'a m b e u z
Epad miz genver ar bloaz-man n'ez euz bet
Ar Republik, koulz ha fors peseurt gouarbudget de la marine,
nouveau, les droits de lu presse étaient
nemed 4 6 .
m o r s e l a v a r e t d ’h o e ’h n e b a e í a c ’h k e t
namant ail, ho roio d’omp, ma karomp
Il réolame la nomination d ’une com­ foulés aux pieds.
poania d’he diframma digant ar c’hanfjirted
m u i o c ’h e g e d h o s k o l a e r . L a v a r e t a m
mission d ’enquôte pour c/iorcher les res­
Le tribunal réduisit la peine do six
digoustians o deuz he jenohet e bioc’h-ieaz
b e u z a v a d , m e u r a w e c h , n e c ’h o u l e n n e t
ponsabilités et voir si le crédit demandé mois do prison, à deux mois.
evit-ho
ho-unan, hag e iez-vamm garo evlt
Er
zliunveziou
divoza-man
am
beuz
bet
Unan euz ar grevou-ze eohini Mazamet,
k e t a w a l c ’h d i g a n t a n a o t r o u n e d e k a r g ,
répond à une nécessité.
er pristenlen.
digarez da lavarout, diou wech bennak,
departamant Tarn : n ’eo ket échu c'hoaz,
d i n c c 'h - k a c r e - k e n v e r a n a m z c r d a z o n t,
Ai. Thomson, ancien ministro de lu
Ha ne ankounae’haomp ket al laboctr
slouaz I
n’ez euz nemed eun dra hebicen goest da
s u r e u z h o f a e p e e ie l o m a d a n t r a o u p e
kenta or bîuz da obïr: eeuna ar sperejau.
unani ar monarebisted a bep liou, potred ar
marine, défendit sa gestion, pendant
lîno ez euz staliou evlt neza gloan hag
/ / A l l ia n c e x’ô p u b llc a ln e d é m o ­
n ’c z a i n t k c t .
Eno drelst-oll t m i an dalc'h, o veza m'o
vaz hag ail ; ba? an dra-ze eo ho c’twsouni
sonpassage au ministère. Iln'est, affirme- c r a t i q u e a tenu, mercredi soir, son ober mezer. Nag ar vis»rl nag ar vieherouL a v a r e t a m b e u z c ’h o a z e p a e o a l
ouz ar Republik :
deuz ar boblou ar c'houarnamant a dalvet-il, nullement responsable du gâchis.
assemblée générale, à Paris, sous la pré­ rlen, Roazed ha merc'hed, ne fell d’ezho l a b o u r e r i e n d o u a r n e b e u t o e ’h e g e d
zont.
Pa vezo lealded e renk an elektou­
Dam
antiEho
a
zo
katoliked
;
darn
ail
tud
Il s'efforce de montrer que le tableau sidence de M. Adolphe Carnot. Celui-ci plega; hag ar gernez a reu breman er b r e m a , h a g h e r g w e l e t o p e u z h o c ’h dizoue, evel ma zlskoueze an arroudou euz rien e vezo ivez eun ho ffouarnamant. lieit
que io n a fait de la situation est trop a fait do la situation politique ot morale lamlllou.
ho skrldou a lakiz ama, hirioez euz peder ha ma ne vezo»ket digoret avad bac Munet
Ilogen, an naoun hag an dienez a zo ku- u n a n m ’o p e u z h e u i l l e t a r r o u d e n n a
noir.
un tableau plutôt sombre, mais malheu­ zullerien lall. Setu perag eo c’hoarvczet v e r k i z d ’h o c ’h a m a , d ’a n 1 3 a v i z m e u r s ,
ar c’hooBtianSou, eur rumm a voeo ato
zlzun, goude beza ho c’hutuillet e leor an
M. Brousse, rapporteur d u budget de reusement juste.
aotr. Lugan, eur beleg, ba jezuist war ar breset gant eur rumm ail, zolipn ha
gant ar grevisted ober meur a daol fall, a.
e v i t k o n t a h o c ’h - u n a n p e g e m e n t o p e l e
gïvasoc'n marteze didan eur roue'-pe euu
la marine, lu i réplique, chiffres on
marc’haa, hervez a lavarer.
Il a qualifié la orôve des postiers « de enep ar staliou, hag ivez a-enep ar c’hama- d a b a e a g a n t a n d i a z e z n e v e z .
Dre ze, n ’e ket ar feiz nag ar ioul d’he impalaer.
m ains que les crédits votés pour la ma­ véritable fléau qui a réjoui à la fois les laded o doa kredet e oa furoe’h evlt-ho disH a m a k e m e ra n a l le z e n n e v e l m a i
Deskomp en cm c'houzanv hag ea era
difenn eo a c'hcllfe ho unani.
trel d'ho labour.
rine ont, la plupart d u temps, été gas­ révolutionnuires et los camolots du roy
e o -h i b e t v o te t e r G a m p r, n e z e u a n k e t
garout : easoe’h e vczo n u karomp eveN'e ket ken nebeud fco c boant da zevel
O welout e vepne an traou trenka da
pillés.
A propos de l’impôt sur le revenu, il a
a
b
e
n
n
d
a
w
e
l
o
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t
p
e
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a
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c
’h
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l
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f
e
e
u
l
war an tron eur mestr dlgemeret gaut-bo saat nebeutoe’h ouz au dn l evit gwelout
M. I ’icard ne nie pas que quelques gas­ ait quo « cette réforme désirée en son vad, an Aotr. Mignot, arc’heskob Albl, a l a b o u r e r d o u a r k a o u t 1 8 4 l u r d a z e v e l
oll, rak, war gement-se. ez int dispartiet e hebken ho oberou, ineuli ar mad n a konieaz dllun da Mazamet da brezegan emgleo.
pillages aient été oommis, mais il oraint principe, éveille des craintes sérieuses,
daoni an droug, n’euz fors gant plou ez int
tri
pe bevar rumm : darn a c’houlcnn Filipp
e v i t a r c ’h o u a r n a m a n t — h a b e t e v r e D ’ar vlstrl, e lavaraz diskenn enn ho
que, quelques-unes des critiques adres­ chez beaucoup de républicains, qui crai­ c’houatlana evlt gwelout ha ne c’hellfent m a n n ' e z e u z d a e m m e l l n e m e d o u z
greet.
Gobentin.
a Orlean, darn ail eur Baurbon, darn euu
sées à la marine, ne soient injustes, parce gnent des vexations inquisitoriales, »
Napoleon, darn c’hoaz eur Boulanger ben­
ket roi d’ho labourerien eul lodennlk ben- l o d e n n a r c ’h o u a r n a m a n t h e b k e n —
nak.
f/u'ellea attaquent des officiers dont le
Il a montré la France livrée à l ’anar­ nag euz ho goulennou ; — d'al labourerien
d i w a r e u r g o u n i d i g e z b l o a v e z i e k a 1 .8 0 0
Keit ha m’o devezo ar Republik da
aévoüment et (e patriotisme sont au- chie, si le gouvernement noppose pas
c reaz telr brezegenn evit dlskouez d'czho l u r .
" ~ K E L E Î Ë R ^
gasaat, hag emiebans e vezo evit peil amzer
dessus de tout éloge. Il indique à larges aux menées dos révolutionnuires, des pegen braz faot e rafent o klask drallla ar
A d ra z u r eo re d e v e fe h e z o u a r
c’hoaz,
e
ielo
mad
an
traou
gant-ho;
mes
E u r c h a s e r la z c t g a n t c u a n llin a u d .
staliou a ro labour d’ezho, hag o choum
traits, son plun de réformes, po ur cen­ barrières infranchissables.
d ’c z l i a n h e - u n a n , h a g e t l e e r e n t e n t e
— Tri labourer douar, euz Chavann, bro
enn dez m’o defe krouget ar « Gueuse
traliser les seruioes de (a m arine, et réa­
Que iAlliance fasse son meâ culpâ. pelloc’h aheurtet.
t a l v a n d o u a r - z e 1 .8 0 0 l u r f e r m a r b l o a z ;
evel ma lavaront, neuze e ve gant-ho eur Belfort, a oa o chaseal houidi.
Hag araog ho c’hulttaat e roaz d'ezho 500
liser ainsi quelques économies.
L ’appui q u ’elle a toujours prêté aux
Unan anezho, hanvet Balard, potr
c’hoarl ail, evel gant bourrevien al liberte
r a k , m ’o p e u z s o n j , a l l a b o u r e r d o u a r
da rannaetre ar re o deuz ar brasa dienez.
Mais il fait appel au patriotisme de la radicaux ot radicaux socialistes fait lurEuz
pa ehancr da stlapa d’ezho saeou bsleien ha toouank a 25 vloaz, en em gavaz dispartiet
n ’e n d e v e z o d a b a e a e v i t g o u n i d i g e z h e
ho zu, beleien ar vro o doa dastumet
Chambre pour q u ’elle lu i accorde aussi­ peser sur elle uno part de la responsa­ aluzennou evlt paea souben da vugale ar l a b o u r n e m e d p a l a b o u r o d o u a r o u a
koell'ou seurezed da zispenn : en em gasaat dlouz an daou ail. Hep da’.e, an daou-man
a rafent ho-unan.
tôt les trente millions qu'il demande. La bilité do la situation lamentable q u ’elle grevisted er skollou krlsten, hag alletar o u s p e n n 2 . 5 0 0 l u r f e r m a r b l o a z .
a glevaz eun tenn fuzil. hag a redaz elrezek
al leae’b ma oa bet an tenn, o sonjal en doa
hennit kentoe’h an nebeudik geriou-man
Chambre ne paraitcependant pas décidée signale.
ismlllou a zo enn eaz da gemerout ouz ho
K
o
n
t
o
m
p
e
v
e
l
s
e
,
—
p
e
k
e
n
t
o
e
'h
k
l
a
s
*
a gaviz d’an 13 euz ar mit er gaze­ ho c’hamalad kavet eun houad bennak.
zaol bugaligou ail.
» ¥
lia padal, hen eo en doa tapet enn he
tenn Action Française, diwar-benu eul
HaBetu eun nevezentl, e FraDS da vlana ; k o m p a r g o n t a m b o a g r e e t m a d e r
On se gausse beaucoup à la Chambre ha n'oun daré ha na vezo ket kavet kato- C'hourrier a n 1 3 a v i z m e u r s : h a g c
benn eur bolcd, tennet war n-han gant
lizer en deuz bet ar pries Viktor Napoleon
demande q u T c a s ^ r ^ ^ ^ o f e n f ^ ^ p a r
eur gward allmand.
de l’étourderie commise mardi par lo Mked da damall rust an arc’heskob-ze, ken k a v i m p , n ’e k e t 1 8 4 l u r , m e s h e b k e n
arvadelez
daskriva
a-enep
diazez
nevez
ar
une commission d ’enquôtet.
O klask en em ziveac'hia, hen-man a
ar ave et a u j# r e B r ls s o n , président de Im zet ha m a'z omp bet da gemer evlt 2 8 l u r 1 7 k w e n n e k , d ’a r c ’h o u a r n a ­ c’hargou.
MM. Clémenceau, Caillaux acceptent la Chambre.
lavaren doa Balard eeunct he fazil warMarteze e kav d’hoc’h e reaz ar gazetennrevolutlonnerien an oll grevisted, zoken pa m a n t !
la nomination d'une commission d'en­
n-han ; hogen, n ’ez cuz ket c’hoant d'he
ze eur meulcudi kaer euz lizer arprins?
E u r c ’h e r a m - b r a o a z o , a e ’h a n t a '/
Un télégramme annonçait à la Cham­ o devije kant digarez da glemm.
quête, mais insistent pour le vote, sans bre, la mort d'unM . Furjon, du Pas-deFazi. Arabad e teufe den na netra da zigas gredi, ha tud ar vro a zo gwall hiuioret
An nevezentl-ze ne vefe ket bet unan er
H a m a t i z r o o m p d ’h o n h o s t i z e k a ­
enn he enep.
da zoDj ez cuz tri pe bevar o c’houlenn
retard, des crédits.
v im p e n d e v e z o d a b a e a , e v it e u r g o u ­
Calais. Or comme précisément la Cham­ brolou ail a zo enn-dro d’omp.
Goulskoude Bilard ne oa ket enn he
plgnat war eun tron ¡la n ’eo ket re ledau
La commission d ’enquiie sera nom ­
Evlt
gwlr,
plou
ne
oar
ket
e
c’hounezaz
bre compte u n député du Pas-de-Calais arc'hardiûal Mannlng he gaera kurunenn, n i d i g e z a 1 .8 0 0 l u r , n ’e k e t d a o u s k o e d ,
wir, ken nebeud ; cet e oa 25 rnetr enn tu
evit unan hebken. Dre ze, evit kazetenn an
mée sous peu.
m e s 11 l u r a r b l o a z .
qui porte ce nom, M. Brisson de monter
duk a Orlean, o skriva he lizer Napoléon a ali da harzon Frans.
En France, dit-on, tout se termine k la tribune pour prononcer un court hervez ar bed da vlana, o sevel he vouez da
H a c ’h o a z e k e m e r a n e u n h o s t i z m e reaz eur « four, » da lavarout eo, e brezouE u l le o n a r a a o u n lias? eu d e u z
par des chansons et enquêtes. Mais chan­ éloge funèbro et verser sur sa mort quel­ gelenn ha da zifcnn grevisted Bro-Zaoz ?
nek mad, eur bramm enn dour. LenDit :
Er Beljik lvez, hag enn Itali drelst-oll er r o u r ; m a v i j e d ’e z h a n l i e d i , e v e l m a o a
a o u n . — E kear Dresd, enn Allmagn, eul
sons et enquêtes n'apportent jamais do ques larmos officielles. Mais M. Brisson bloaveziou
« Devant le four impérial de la lettre du
diveza-ma, an dud a lllz a oe h e , g e a r d ’a l l a b o u r e r d o u a r , c r a n k f e
leon
en doa kavet an tu da zont er weaz
remède.
prince Victor, M. Gaston Calinette éprouve euz he gaouel houarn, hag a lammaz
p a e a c ’h o a z 4 d r e 1 0 0 c u z h o d a l v o u d e euz ar re genta oe’h en em veska gant ar
s'était trop hâté.
Nos radicaux gémissent aujourd'hui ;
le
besoin
de
louer
l'habileté
de
son
auteur.
goude-ze etouez an dud tosta a oa er
M. Farjon, dont on avait annoncé la grevisted, evit harpa ho goulennou honest g e z f e r m g o u d e d i s k o n t a e u r c ' h a r t , h a
Personne ne l’aurait aperçue sans la line
pourquoi ont-ils mis à la tôto do notro mort était le père d u député et non lo ha klask mirout out-ho da ober taoliou d i s k o n t a i v e z t a l v o u d e g e z f e r m a i l o d e n n
cUque. »
remarque du directeur d‘i Figaro. »
marine et d» notre armée, les désori/a- député q u i est oncore bien vivant et qui Icondaonet gant ar goustians.
N'am beuz ket ezomm da lavarout e
e u z a n ti a zo k e m e r e t g a n t h e b o s t a Nag
a
draou
kuzet
didan'
an
nebeudik
Perak
ne
zigorfemp
ket
hor
c’haloun
lakaaz
c’bouenn e Ierou meur a hini.
nisateurs qui ont nom Pollotan et André ? pourrait porter on terre M. Brisson.
le r i. N e v e fe k e t p e ll e v e l-s e e v it tiz o u t
geriou-ze I Dre-z-ho ho-unan ez int sklear
d'al laouenldlcez o welout bon eskiblcn
H»n ivez a gemeraz aoun avad, hag a
Ils commettaient alors la faute im par­
l
o
d
e
n
n
a
l
l
a
b
o
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a
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f
o
n
c
i
e
r
!
awalc h evit diskouez ne ve ket ar prins zistroaz d’he gaoued, fur braz, hep beza
oe'h ober kcmeiit ail ?
*
donnable qui a créé le gâchis actuel.
¥¥
E v it a r s k o la e r , a n d a o le n n a sk o
Napoleon gwelloc’h esp(*rnet eged ar Repu­ greet an distera droug da zen.
Sur omp e tougo ho aluzennou hag ho
blik
gant mignouned Filipp V II enn dez
k
e
m
e
n
t
a
d
r
e
u
z
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l
a
v
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r
o
u
t
e
p
a
e
o
e
u
r
Tout un détachement do tirailleurs e’homzou fur irouez puill, evit ar relijlon
2-S biz. — Ar vedisined hag an ofiiserien
ma c hoantafe plgnat araog hen-man er
da genta, evit ar peoe’h hag an urz vad da s k o e d a r b l o a z . E g w i r i o n e z n e b a e o
a péri d ’une mort terrible en M a u r i t a ­
a zo karget, er Douches-du-Rbône. da we­
skeul
;
hag
euz
ho
zu,
a
j
impalaerlsted
ne
c’boude.
g
w
e
n
n
e
k
e
b
e
d
,
m
a
n
’e
n
d
e
u
z
s
e
u
r
t
1 oici les résultats des é le c tio n s
n ie , si l’on en croit les nouvelles appor­
lout pere co ar botred iaouank a zo mad
rafent ket gwelloc’h e-kenver b'ilipp VII,
Kvit ar Relijlon, abMamour ma welo al
n e m e d a n 1 .8 0 0 l u r e o p a e t e v i t h e l a ­
lé g is la t iv e s qui ont eu lieu dimanche
tées par un paquebot i Bordeaux.
evit an armee o deuz kavet, e Martig. fur
mawelfent anezhan e stad da gaout an tu
labourerien n’eo ket gwlr, cnn despet da
dernier :
b o u r . M ’e n d e f e a v a d e u r v e r e u r i p e e u n
potr iaouank evel n’o doa ket c’ûoüz gweL'adjuduntBérard et vingt tirailleurs
war c’horre.
irement ez cuz bet lavaret d’ezho, e vije an
let.
m’oarvad.
*
ti g o e s t d a v e z a f o r m e t 1 .8 0 0 l u r a r
Sceaux, 2» circonscription : MM. Che­ sénégalais commandés par le lieutenant
* *
Ilizeun archer karget da zlouall armel ar
An den iaouank-ze, mab da eun archer
b lo a z , c p a e f e : e v it fo n c ie r a r v e r e u r i
nal, radicul-sooiulisto, D M 5 voix; Tho­ de Sa 1ère, traversaient le désert. Ili binvidigien, ha netra ken.
Hogen, n’e ket hebken eto iez an impalaekoz, hag hanvet Gharlcz GaïtucoH, ru deuz
57 l u r 12 k w e n n e k ; — e v it fo n c ie r a n
mas, socialiste unifié, 7.402 voix; Blon- duront s’égarer ot au bout de quelques
Evit ar peoe'h hag an urz vad ivez, aba>
risted eo en deuz Filipp VII adversourien ; c bouec'h biz c prb dourn, ba c’houec’h ivez
donl, progressiste, 3.260 ; Colombet, 23U. jours de marche torrible, sous un ciel de lamour ma klevo al labourerien komzou a t i , 5 4 l u r .
e renk ar rouelisted zoken en deuz kalz,
war peb troad. Ouspcnn-ze, he gostennou
Ballottage.
(G w e lit a m a , c n n e u r d r e m e n , e z c u z
feu, manquèrent d ’eau. Alors ce fut la turnez enn ho zrubuillou, hag ar vistri
hag unan anezho, Robinet de Ulery, bet azodoubl, hag abalamour da ze oïl deuz
mouez ar goustians hag ar garantez. lie
k e m m e tr e fo n c ie r a n tie z h a fo n c ie r a n
l’ontoiso (3.-ot-0.) : MM. Aimard,
mort lente et atroce par la soif.
procureur, selaouet-kenan ev.it doare gant nerz eur marc'ïi.
allez ar grevisted n ’o devoe war ho zro d o u a r o u . F o n c i e r a n d o u a r o u a z o m e r
he seurt, en deuz skrlvet eul leor cnn he
radical-socialiste, ÎO.'AS voix, élu ; Le
He zaoulagad bebkeu a zo fall ; ne wel
Le lieutenant put se traîner jusqu'à
nemed kanfartcd paet evlt ho zouclla hag
enep hag a-enep be famill. Hag clleor-ze,
ket mad.
k e t h e rv e z a n d a lv o u d e g e z -fe rm g o u d e
Rendu, libéral. 10.02b voix.
un poste voisin, pour demander du se­ bo
foulza d'en em ravolti : penaoz neuzn
« Deux t usions », e lcnnerarroudou c’houero
Moaux (8 ,-ot-Marne) : M. Perisoud,
cours. Lo secours arriva trop tard, on ne beza souezet o defe ken allez greet taoliou d i s k o n t a e u r bemped, l i a f o n c i e r a n t i e z ,
E n r g a le o iir d ls k u lllo i ffn n t he
evel ar re-ma:
g o u d e d i s k o n t a e u r c’hart, a b a l a m o u r
radical-socialiste est élu à une assez forte
vam tn. — Henoret Gnantccaill a zo cun
trouva que dos cadavres.
h riz? Hag euz ho zu ho miBtri a gemere
« N’ai-Je pasle droit de m’indigner comme torfetour
bet teae’het kuit pemp kwech
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majorité sur l ’autre candidat, MM. LafCet événement tragique fera l'objet himor, a responte d’ar gasouni dre ar
Français quand je trouve dans la Deutsche
tie z ).
fiteau, radical.
d ’uno interpellation à la Chambre. Un ganounl.
Revue, sous la signature du comte de I-'ran- euz ar galeou. Iiun nebeud miziou c ioa
en doa kavet an tu da zistrei d* Baris ; mes
Hak-se, bennoz da Arc’heskob Albl l
Amiens (Sommo) : MM. Lecointe, so- député se propose à ce sujet de demander
kenberg, le récit des négociations enga­ he
vamm e deuz hen diskuiilet, ha dimorCOItENTIN.
gées par (X) avec le roi Guillaume et M. de c lier e oc kondaonct da c’houec’h miz pil'aoandon de certaines régions déserunxfii‘ 11^ 16 voix‘ élu ¡David,
H a s e tu , m ig n o u n e d , p e tr a a d a lv a n
libéral, 6.022 voix.
Bismarck, promettant la cession de l’Alsace
tiquos, dont la possession n ’est pas nézoun.
d a r n v u i a ejuz a n t a o l e n n o u a m b e u z
et d’une partie de la Lorraine, si le roi
Voulions (Sommo) i MM. Dussovol,
cossairo au maintien de l’influence
K e rn e z. — Kernez ez euz er Portursi
g w e l e t h a g a w e l o e ’h i v e z m a r t e z e a b a r z
Guillaume, alors à Versailles, parvenait à
radical, OAw voix, élu ; Myrens, socia- Française.
décider le comte de Gbambord à adopter hervez a lavarer, dreist-oll e traonienn ar
p e ll !
h
Usto unifié, i , m voix.
ster Douro; hag e-hert an heutebou e
¥¥
le comte de Paris ?
M i r i t a r r e o l e n n a m b o a r o e t d ’h o c ’h
Holloy (Ain) : MM. Héritier, radicalAyant le çœur rempli de tous ces sou­ kaver stank tud dare da vervel gant an
Mercredi, à la nouvelle Chambre des
d ' a n 13 e u z a r m i z , h a n e u z e n e f a z i o c ’h
naoun.
B
u
socialiste, est élu sans concurrent.
venirs,
n’al-je
pas
eu
le
droit
de
m’indigner
députés, le r o i d ’I t a l i e a donné lecture
k e t.
E leac’hiou a zo, au dud keiz a m en m
Uorm ont-Ferrant (Puy-de-Dôme) :
lorsque J’ai lu, dans les mémoires du prince
du discours du trône.
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B r e m a p a ’z c o n i j e t k u i t a r g o u m o u de Hohenlohe, le rapport qu’il écrivait A ravoltet hag o deuz devet, au »iez-kear
m;,?iarrJ0U' radicul-sooiahste, est élu par
Il a rendu hommage au mouuement l o n n o d o a p o t r e d a r p o s t c h a c h e t w a r
c h o u a g a r f e n e e u n a c l le z e n n , s e tu h i
H Valpassos, sood*rded a oe kas«t enn
Bismarck, lui rendant compte de l’hum i­
J V?**’ san* concurrent.
de solidarité qui unit toutes les nations a r p o l i t i l i , e k l c v i m p s t a n k c ’h o a z , a d r a
am a :
liante démarche que le comte de Paris ho euep ; mes goude baza roet urz
■hî;îïj .no
■M. llulesi, radical- civilisées, pour venir en aide aux sinis­
da
eeuna ar fuzilll war-u-bo, ar c’horouel
G o u l e n n m u i o c ’h d i g a n t a n a o t r o u n e d
avait fait faire près de lui à Strasbourg,
z u r , k o m z e u z d i a z e z n e v e z a r c ’h a r g o u ;
r foî ÎH9; ®î,* ,^ u Par 4.229 voix contre
trés de la terrible catastrophedeMessine. r a k a n a t e o e v c z o g r e e t e l e k s i o n o u
capitale de l’Alsace-Lorraine aunexie ?... •
k a r g , — s k a n v h o la b o u r p c u rlie s a ,
J
a M, Caltuccoli, radical-socialiste.
ü g Æ
t e
"«
« Vieux soldat de 1870, n ’ai-Je pas eu le
h a g a v e v d i n e c ’h - k a e r e - k e n v e r a n a m ­
b r a z a r b lo a z a z e u w a r a l le z e n n - z e ,
oo mme on peut le voir, tout le monde
droit d’exprimer mon amertume quaud j ’ai
z c r d a z o n t, e v e l m a la v a r e n b r e m a ik ,
p
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auiourd/iu» est radical parce que les
appris, par les Joutniux allemands triom­
— h e p m o n t r e i r g o u ls k o u d e , ra k , m a
p o u e z p o u n e r e r v a la n s .
radicaux détiennent ( assiette au beurre.
phants, que le duc d'Orléans avait abrité
T a c h e n n a r ia o u a n k i*
n ’o d e u z k e t d i s p i g n d a g a o u t g a n t s t a l ,
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de son diapeau tricolore, à son ch/lteau de
” * P0I*“ <J«« est aujourd'hui une carrière
k a r h a m a r c ’h , e v e l a l l a b o u r e r i e n
a e n e p m e u r a h i n l c u z a r c ’h a n n a d c d o
Sicile, l'empereur Guillaume II se rendant
«t non plus une bataille d'idées.
d o u a r , a r a b a d a n k o u n a c ’h a a t o d e u z
d o u z c ’h o a z a r ¡ j a t o l i k e d e r C la m p r .
à Gorfou? — Si M. Fallières en avait fait
A darre an dispignou dlsklant
*
P’o «wir ez eo bot trouc’het ho hent d’ar
k o l l e t a m z c r e r s k o l e v it, d a s t u m h o d e s ­
autant I >
lS v it g w i r , a n d a r n v u i a a n o z h o v > d o u z
¥ ¥
c’helcior gant grev ar post, gant tud haß o v o t o t e v i t m i r o u t n ’e z a f e - h i d ’a r K e n a t .
llag ar rnuelisMouct-z# a lavar : ken- maolnp en^mz**"* *r ?hCoraï^’-^kouf^(^ie
li a d u r e z ;
deuz labour ha no labouront Kct, komzomp
' M a ^ ° S a n g n lo r , président du
tocli ar Republik eged ar brinsed a
•lun d r a i k b e n n a k m u i o e ’h i v e z d i g a n t
l i a p e t r a c r a i o n e u z o li o n a d v e r s o u eun
nebeud
cuz
a
dud
ail,
truozuaoo’h
ho
Orlean
I...
oij«S2*ïïî L P 0,< 48 e*ndidature dans la
a r v ic h e r o u r ie n h a p o tre d a r b u re o io u
X
. tosca at a ra rnare a n c n r e u io n .
r i o n ? 1 io c ’h i n n i g e v e l e u l l e z e n n k a l z
atad, hag a garle kaout labour ha ne cavont
Pa lavaren d’hoc’h e vefe goest an trabaquatrième ciroonsoription de Sceaux.
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Republik,
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h X , l'c:a ■
l,it kl,ÎVet ko.nz
M™;n™varo Swionier a obtonu 4.778 voix ;
(A r a b a d I c z e l d i s k a r g - k r e n n n e m e d a r
e v i t g e l l o u t l a v a r o u t d ’a n e l e k t o u r i e n
Hervez ar gont a zo bet greet gant ar
tigouesje gant-bi koueza cnn he foull I aman edz tr o^dcnnounea : aa dra-ze zn
eur
c'htz
hag
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kuit • ha n>o
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c’houarnamant, varlene SB dro vil euz d i s t e r : « N i h e b k e n a z o g w i r a l v o k a Bezit sonj e oe-bi dlazezet evit mad e Frans,
d wer ebed : mC7. on d,0 d-aa J ;
p i o u ’t a e n e m g a \ f e p a o u r o e ’h g o u d e
labourerien Frana a joumaz dilabour ; hag
d (id e v i d - h o e 'h ; h o k a n n a d e d k a t o l i k n 'o
gant ho zadou, er bloaveziou 1873 ha 1875, guiou ali a vefe gueü o chanj. - a Î ?e m
^ iJ , ^ac.'i rad! l!alsocialiste, 3.208 voix, er brolou tosta an traou ne oant kct gwel* d e u r . a k e d n e m e d d a v i r o u t n e v e t o
d io u e r e t p e v a r p c e iz r e a l a r b lo a z V E u n
abalamour ma ne feile ket d'an eil brank
pcdet: perak ne deuont ket dan cnrcd ?
anezho plcga gant cgile.
e n o r e o g e l l o u t l a v a r o u t e p a e r h e lo d
m w i Î ? t*
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oitoVm Nectoux loc’h war ar poent-ze : 98 dre vil cnn b o u l c ’h e t h o i a l c ’h p o u n e r . »
« dr»i*zc
]OBt ket
d'ar nnf
f‘ ik0'
da
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r *,iflr°nt seuls en pré- Allmagn, 78 o Uro-Zaoz.
c u z m i z o u a r v r o , h a g e u n a l i e o d ’a n
lavaret, an
a rph
ha •netra
»«n» mo
A n d r a - m a n a v e e u r g a o u d iv e rg o n t,
llag etouez pesourt labourerien ha miche*
Œ
’J î * deu? candidats radicaux se
e l e k t o u r i e n d a v o t i g w e l l o c ’h . )
dleont
dont
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rourlen eo a gaver ar muia a dud dlbreder ?
Ha ma karomp teuler eur zell dreist ar
r i,V u P our l* aocialiste.
N e b c u t o e ’h d i g a n t a l l e v e o u r i e n p c
Etouez labourerien ar o’ho it da «enta (163 a k e d d a z o u s a a t s t a d a n d u d r e u z e u u i k
Pyrénées, war ar Spagu hag ar Portugal : fam'iînk h«t ? anK,il'<la a?slsta aÙ daou Z.JU
r c n c h o u r le n b ia n . 4 d r e 100 a z a lc g a u
o w J î i ! i Çr?n}Î.ère foit <ïUfl le Sillon
z o e to u e z a r o 'h a n f u r te d - z o e g e d o
dre
vil)
;
etouez
ar
vansounerien
da
c’houdo
daousthag
eno ar rouelisted a zogwclloc’h- iaouank ha da ober e ir ¿Edenu evitho ?
abordait la bataille électorale.
Setu aze eun eured (eur feiko a fell d’ian
ta m m k e n ta a z c b la n t b c z a r e b o u u e r
(156 dro yll) ; ha prest, da c’houde e kaver
r e n k a r g w ir g a to lik e d .
doujet d’ar rouaned areu eged re Frans
lavaretl a vczo ennbl 300 den : ne vo ket
e v it-h o , d r o is t- o ll p a z is k a r g e r a r r e a il
J ! a * ?on? ert M,,a &■»■««• u n oarac- labourerien an douar (101 dre vil).
d’ar Rcpublik? Tamm cbed I Er Spagn,
A U I m a c ’h e l l j e t o b o r v a d g a n t p r o aoter-kant den en eured en II¡7; petra?
Peli ’zo avad ne loa ket bet ken nebeud a
L ï™ / * di^ t é et de grande pro­
Carlos hag he vignouncdne glaskoutueroe.t evit
c t r a o n a r s k e u l . E u r s k o u l a c ’h o u m e s a o u , n e u z e a v a d n 'o d e f e k e t h o f a r ,
enn heor muloc’û « empliifet i A bat
dud dilabour-ze etouez ar re-ma ; dro ze, er r a k , g o u z o u t a r i t o l l p e g e u n e b o u d o
an tu d’en em zizober oui Alfons X III,
dans & l i
ohero/ierait vainement
l e n n a n iv e z e v i t i n t e r e s t a n a r c 'h a n t h a
roe’h zo l allez an dud zo aze en hMUIirl,
bloavez 1907 e loa 184 dre vil anezho, er
hag ar gatoliked ne getzont ket gant-ho a o
On i.i» phpart des luttes électorales.
fo n c ie r a n tie z h a g a n d o u a ro u ;
c’hedal
vo achu an enred Pi>rit n i* v .V
k
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zo lakeet « modernisied » gant-ho. evel e
caniîfrfii?.M®
P°l»l»cior»e en mal «le bloavez 1906, 222, er bloavez 1905. 205, er m c f ia o u l i v e t k a e r a n o d - l n t k c t a w a l c ' ü .
E r l i n k l a s k e u n d o a r e g w e l l o c ’h d a
bioave* 1904,161, er bloavez 1903, 239.
Frans ar ro a zong respet d’ar Republik.
s
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k~ » æ
s s rs a
v e r k a h e lo d d a b c p - h ln i. L e z e n n a r
*ûr la n u i» oomPt*n< Plu t>très souvent
l i a g o u d e a n e lo k sio n o u , a n a o tro u Ar c’hemm braz-ze, euz an eli bloavez
M a 'ze o b e tr d da archeskob Valence,
dZ>/îi.P? iUtnoê P « « « a live de l'alcool d’eglle, a zou euz a berz labourerien ar n c d d i b a l e r - z e a z i s k o u e z o , e u r w e c h
G a m p r a g o n d a o n k o u lz la v a r o u t a n o ll
hà d'ar Pab he-unan, ho dianzao.
keteunerprn 8 rtlp Poazint eur mod n’eo
d a z i s k u i l l a h a g lio d a n v e z h a g h o d l o ;
d u in ûit^*!}m ^t},éleot,ur et ,u r l 'eiï«t gwln.
Marteze e plijo d’boî'h anaout ar gentel raÎ a gostez " ' ma " 60ket mad’ le*el n’e*
m u i o e ’h , e m a i n t t o s t o e ’h o g o d f o r s p io u
so n n a
ilt t a b l e n t la perN o peuz ket ankounac'heet an anken a
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d 'h o l a l c ’h : p o n a o z ? O n e v e z i , g a i i t
riianiin
sn
eo e kommanser
evel ara beuz he lennet er c’hazeteuuou :
a c ’h e l l f o z o k e n b e z a n o a z u z d a v e u r a
Viôtolé n , ? ? . ™ ? " 11' P our obteni^ l* rene e brolou ar gwln er bloaveziou lo : : e n n a n d i a z e z , a n t a o l o d o u z g r e e t
dispign arc hant : kals potred iaouack daut
dlvera-ma: viuloc'h a wln e loa oged no
h in i.
g a n t le z e n n a r b a n s io n : h e lo z e l a
p r « m m ; P ^ . i ^etp°-î fM?n d e leur P™' c'hellet gwerza, ha dre ze mlstrt ar gwlni
« 1*08 catholiques no doivent accuser aucune
euz ar guer, ganthodaoVskood, eFz lur dek
social.
H a g a z e e m a , d ’a m z o n j , a r p o e n t
personne d’âtro moins bonne csiliollque. |>ar le
g o s to z e p a d m e u r a v lo a v e z , h a g e p a d
dacuzek lur, a vezo tano ho ialc’h î&
L.etk ornent
in tk
r---------------a labour war ho zro.
Maro Sangnter a traité l’électeur en ne IakkOnt
seul lait d’appartenir i des partis politiques
d i e s a e u z a l l e z e n n . M a c ’h e l l a r S e n a t
a n a in z e r - 7 .o l i e j o n c h e v e l e u n a i l e n n
Ar
mlilou
paoura
evlt
var.
S10ua*i armerc’hetzo akuit ivo:
al
labonrou,
varuppelds
do nom de libéraux, quoique ce nom
à ven- Ione, a oa mao ha *~‘J--h
e
n
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k
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l
e
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gouzouta reo jt fcemer bonbonlou, kemerdâ
h e le a e 'h , e v it b r a s a m a d a r b in v id ig ie n
~ d«ou
’
kerzu ; hag an
répugna a plusieurs et qu'il sorati mlotut de ue
h
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a
m
z
e
r
.
Dar u
L
à
,í o n prog
Pr°0 ramme
wella, oven ha gwcngoio.
e v e l m a ’/. i n t k a z i o ll.
nns remplujrnr. Combattre syslématlquemeut des
eVn r ^ n nfeJ incig? nt ket da eva d’ar M Z &
*
hommes ot des partis pour lo seul lali de s'uppecigarennou (eur mod nebloavez 1908 a zo bet paouroe’h eged
î i W é i î î w ^ ^ Î i v i K « * ’ l i r }cA rt 9t dim
N ’ouz f o r s , da c’hodal ho c'hinnigint
¥ ¥
«nwrwK», »fui hfl «tnra d’ailleurs la nnArdaou
vez) evlt delle beza paet dezo eun drs
l«r libéraux na sera jamais |ugte et opportun. Qn*
zlveza arao-z-han; mes 1905 ha ©ta evit eul lezenn euz au aibab,
D a c’hedal, arabad e ve marteze
bennag en dizro.
l'on attaque les actes et les doctrines répréhen­
.... r 1
C L Q O I SE PASSE
NETRA DA C HOUNIT
Eun dra nevez
m) an Diazez levez
TUD DILABOUR
nevez*-fo?ffip/ nü,r''‘rnbrei
h
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>*t!"!W,^ lW iniWW'fflWll[ininTnnffiTiutiiwniriiimTHTiwinirfHTnrn7rn'niTHTnTim'i
vT'”i.i:'»inn'iTrnTr^TrTnrrrrrrT.^.Tpyrrri«i.«.r>tTvrrm
TiTfffiîwn
mt\y.
L I COURRIER DU FINISTÈRE
Les pôcheure en eau trouble de la Confé­ Bretagne catholique et que sa parole l’é- QuIIIévôré, de Balnt-Pol-de-Léon, pour llamon
Ma ema ar mod da baea pcbhlnl be voed, n Et quand II parle des réformes, qu’on ne
da rei soude eur peilk guen d’ar re novoe lui réponde plus par le cri de : A bas la dération Générale du Travail, en apprenant
panche dans nos cœurs pour leur faire par­ par B. B. Rumwood et Qutlllor ; 20 -, 35 fr., A M.
cette agitation sont accourus pour attiser
dlmeiot, cetra da lavarot : me* a benn dis- calotte I Go cri des oies du Gapltole radical
tager ses inquiétudes, mais aussi pour les P a u l Le Bris, de Clôder, npur llêricllde, par
B. B. Rumwod et Hercule ; 27-, H te., A M. Hervé
de nouveaux troubles.
plea elz, nao llur, evel e rer peurvula, pe n ’a plus d'écho.
raviver et les réjouir. Et quand il nous Elard,
de Balnt-Vougay, pour Harpie, par Basoche
BREST
Aujourd'hui, la République est en péril,
A une réunion des postiers, l’un de ceuxdele, daouzek llar, evel e ra kafc, e rer sûr
parle des tristesses et des dangers de ou Hercule et Halérv ou Jérémie ; 28-, 36 fr., A
et les révolutionnaires ao droite et de là. le citoyen Pataud qui fait la nuit et la lu­ l exil, les vers de le Berre nous remontent M. Jean L e Rest, do Safnt-Pol-de-Léon, pour L a « Q uin zain e Ouvrière n
displgnou a ne reont vad da zen.
Hag e komzemp dlzul etreiomp lve euz gauche s’apprêtant A recueillir ses dé­ mière à Paris, aux applaudissements des aux lèvres :
Histoire, par B. B. Rumwod at Ferret; 29-, 30 fr.
Quelgnes-uns des principaux rédacteurs
postiers disait que le gouvernement n’ose­
ar reform evit an arme: aetu aze c'hoaz pouilles. La faute en est aux radicaux, qui
A M. Yvea Curru, do Batot-Vougay, pour fierO'vela ra e krslz an arne
ne la Quinzaine Ouvrière s’étant trouvés
ar l'usage qu’ils ont fait du pouvoir, ont rait pas mettre ses menaces à exécution
boeddlzarzl Beteg ar botred laouank ar
mfono,
par
Hercule
ou
Bohémien
et
Jacob
;
30-,
W a r ar re a zo dlvroet.
assez gravement indisposés, le journal ne
30 fr.. A M. Claude Guéguen, do Plouénan, pour
écoDBldéré los principes républicains dont
car fortes de l'exemple des P. T. T., les or
re velia, a gav dezo eo red en delz-ze kana
paraîtra pas cette semaine. Il en exprime
E brezonepf e paouez an aotrou Eskob e llermlono, par Rosellan et Donmark ; 81-, 30 fr.,
anlsations comportantes n'hésiteront plus
ha louai, ha buza oun tnm tom ho fenn evtt Us prétendaient s’insplror. Leur anticléri­
ses regrets et ses excuses à ses nombreux
A M. François Mesguen, do Blblrll, pour ifermine,
s’emparer du droit de grève qui leur est brezegen, c houek o iez, nklêar e vouee,
kaout muloo'h a hardlzegez : « Hed eo ober calisme fumeux a toujours obscurci leur
lecteurs i t abonnés.
par Donmark et Hercule; 32 , 3e fr., A M. Fran­
hag hor e halounou o tridal.
vue. Lours yeux se déssilleront-ils, aux Interdit, pour so joindre, à leurs camarades.
Mr ohlz, erne hint, ato o voz gret evelse, >
çois
CuefT,
de
Plougoulm
,
pour
Historiette,
par
« Bretoned, deueteusar pevarc’horn eus Comfactor Qt Lord Randy ; 33-, 30 fr., A M. G u il­
éclairs de l'orage qui gronde 'l
Les événements, ne se chargeront sans
Ar vogale,pa gavont our poull ala ato, ato,
Sociétés de secours m utuels
G. L éon'
doute que trop de lui donner raison. Il y a Vreiz, chomit bepret kristen ha kalonek
da gaboulllat ebarz: a guelloo’h a reont
laume CoccNgn, de Plouénan, pour Héroïne, par
evel gwechall. Kavout a refot, e « société Rosellan ot Old-TImes ; 34-, 80 fr., A M. Nicolas
aura encore de beaux jours en France I
evlt an drane f... Ar gizlou fart no oarmor/.e
Le nombre de sociétés existant dans l’ar­
---- L ’ ’
’ha
Quentrtc, de Plouiçar, pour Herléiant, par Vibrant
oblljtt d'ho houli.
rondissement de Brest est de 46, ainsi ré­
et
Unan.
va
i'otred laouank, va mlgaoncd, abnlamour
parti en quantité de membres, pour une
1" mention, A M. Louis Lo Sann, de BalntT"-- ’ - - o « «cicicu au, idg 6ZOD2
d’ar respet a dlelt deoch oc'h unan, obabtpopulation totale de MG.6I5 habitants :
Pol-do Léon, pour ncrvclinc, par Enfled-Rufue
bras o deus Bretoned Paris outo II...
mour d’ho kuennelen a lot dn heul, laklt
Comtactor et Jacob ; 2 -, A M. Yves Lesquln
« n f 03 tr° l? î “ 1008 de Brest : membres honoraires,
Evelse b .zet great, ha Doue ra zigaso ou
oun tam urz en ho kondutt ; hoc'h nru'hant
*98
; participants, 10 . 818 ; cantons de : Daoulas
do Tréllaouénan, pour Harpie, par Ilorcule ou.
doomp, Bretoned a galoun, meur a eskob Bohémien
gounect dro ho labour, n'blt kot d'hen
et Lord R andy; s-, A M. Prançols
alx membres honoraires, 206 membres participant»
evel
an
Aotr.
Duparc.
Tanguy, do Saint-Pol-de-Léou, pour Mina, par
Landerneau, 78 membres honoraires, 71« membres
■tlapa en er : Inklt-hen cr c’hef rural zo
A la gloire de Jeanne d’A rc
Puis la procession du Très Saint Sacre­
participants ; Lanntlta, sept membres honoraire»,
Denmark et Lenlhérlc ; 4-, A M. Franç-ils Péron,
zavot po e car o vont da zevel on ho parrez.
ment avec ses cierges, ses drapeaux bretons de Mespaul, pour Hirondelle, par Uguen ou
329 membres participante ; Lesneven, 30 membres
Hno, pa o pozo ezom, her c’halTet, po er
l.a grève dos postes et télégraphes est
D enm atk; 6-, a M. René O livier, de Plouénan,
honoraires, 129 membres participant* ; A Oues*ant
et français, et nous, nous écrasant pour
■ervlch, ma ranklt kaout ear gaennek ben­
D an s le b u t de pay er son tr ib u t d ’ad
pour Alino, par Bultan ot Qutek.
Plabennec, Ploudalmézeau et Ploudlry, Il n ’existe
après avoir duré 10 Jours et causé
contempler toutes ces choses et surtout
na«. ha muloo'h c'hoaz dlvezatoc’h, n’onz terminée,
Pouliches de trois ans. — 1- prime, 726 fr.,
n ilra tio n à Je a n n e d’A rc à l ’occasion
aucune société de prévoyanco. Dans le canton de
des
dommages
énormes
au
commerce
et
à
notre
pasteur
;
si
nombreux
que
la
quête
fort e pe atad pe e pe leo’h e »tagfec’h ho la prospérité nationale.
M. Joan-Louls Blhan, de Plouénan, pour Ger
Salnt-Renan, dix membres honoraires, 23G
de sa b é atificatio n, le Courrier du Fini
ne put se faire jusqu’au bout. La cérémonie
paei.
membre* participants. A u total. 1.024 membres
tere ouvre un concours pour un oh an t était terminée avant qu’on eût eu le temps vaise, par Comfactor ot Lord R andy; 2-, 075 fr.
Mais 11 nous faut reprendre le récit des
A
M.
Pierre
Blhan,
de
Plougoulm
,
pour
Grazlella,
honoraires,
12.403 membres participants.
Heulllt an all ze, hag aklgnlt-hen en dro événements à l'heure où nous l’avions breton et religie ux en l'honneur de
de passer dans tous nos rangs.
par R oiollan et Chambots ; 3-,fi75 ir., A M. Charles
deoe'h : ar zort ad-ze, ne vezo ket adet re arrêté
notro Bienheureuse nationale.
la somaine dernière.
Néna, do Batat-Pol-de-Léon, pour Gai elle, par
Pourquoi faut-il que des membres in­
B o urg-B lanc
putho morze.
H. T a o m k .
Ce c h a n t ou oantlque devra retrae er
Le vendredi 1!) mars, commo noos l’an­
fluents de la société la Bretagne, amis de Ileroule ot Rob ; 4-, 076 fr., A M. Yvoe Ciurru, de
Un escroc. — La police de Brest recher­
à la rg e s tr a its la vie glorieuse de
— Da lion o veto prUiouan tri mit-ma '? noncions, un grand débat qui so termina
Balnt-Vougay, pour Généziroth, par Aurlac ot
1Action Française, aient crû devoir autoAr c'helc'Uou-studi burncritn n *o pedet trfca tard dans la nuit, s’ouvrlt sur la grève. l'héroïne, son procès, sa m ort, ses [, sÇtI™ e propagande politique, en laissant Mldlothlam ; 5-, 020 fr., à M. CharUa Nena, do chait activement Jean-Marle Qulllévéré, 27
Balnt-Pot-de-Leon, pour Galantine, par C om ­
lia ligas Ilo mouozíou ar c'licnta ar g-wolla, M. Symlan, sous-secrétaire d'Etat aux vertus, sa, glorification p a r l ’E glise
distribuer aux pèlerlhs, avec le bulletin de factor et A m asls: G-, 170 fr., A M. Jean-Marle ans, sans domleile connu à Brest, iuculpé
d’eecroque’ leB. Qulllévéré, qui a été emostcs et télégraphes, et dont les grévistes et appoler sa pro te ctio n sur la F ranc e
la société, lejournal l'Acüon Française ?
Guercb, do Blblrll, pour Girouette, par Com
plr yé par M. Jézéquel, cultivateur au Bourgoù comme en son tem ps 11 y a de nos
emandalent ia tête, vint à la tribune débi
La société ln Bretagne a fait beaucoup
faclor et Ilard-TImes ; 7-, 170 fr., A M. Jean
Blanc, s’ètait présenté chez plusieurs com­
ter un plaidoyer pro domo, plaidoyer qui, Jou rs « g ra n d e pitié. »
pour les B;etoni de Paris. La première,
Marie Guéguen, de Balnt-Vougay, pour Gai/nanle
merçants ayant des relations avec son p»Il
s’a d a p te ra à un a ir breton bien elle a disposé d'un budget sul'lisant pour
ar Unique et Ilard-Tloies ; 8-, l7o fr., i
assuraient de mauvaises langues, avait été
connu
et
e
n
tra
în
a
n
t
—
(désigné
p
a
r
I. Ilorvô Elard, de Balnt-Vougay, pour Cergo tron et leur avait demandé, au nom de ce der­
rédigé, pour lui, par M. Glémenceau.
organiser des manifestations de l’esprit
ville,
par
Comfactor
ot
Altorph-W
onder
;
9
nier, diverses sommes formant un total de
l
’auto
ur)
—
ot
com
portera
de
120
à
M. liarthou, ministre des Travaux
breton comme celle du dimanche 1i mars.
170 fr., A M. Joan-Marlo G ulllou, do Plouzévédé
45 francs. Or. l'escroc n’êtMt plus an Rervice
140 vers.
iublics, au nom du gouvernement, stigmaMais que dire, lorsqu’on la volt mettre
La grève des l'ostes'ct Télégraphes est
pour
Gloriole,
par
E
uilal-Rufus
et
Allorplide M. Jéiéquel depuis lit.it mois. D èj qu'il
Le tem ps pre ssa nt, les com positions
Isa les grévistes « qui, disaient Ils,' étalent
1 iDflueuce qu’elle paut avoir auprès des
vVonder ; 10-, 120 fr., A M. Claude Le Lez, de
terminée.
fut avisé des agissements de son ancien
do v ron t être rem ises à r A d m in is tr a ­ Bretons de Paris, au service d’un mouve­
Plougoulm, pour Oabegl, par Hercule et LophoLe s grévistes ont battu le gouvernement en révolte contre la Nation. »
employé, M. Jézéquel porta plainte.
te u r d u Courrier du Finistère le m a r d i
Par S-Kî voix contre 147, la Chambre
tore ; 11-, 60 lr., A M. Guillaum e Cocalgn, de
ment aussi anti-breton que l'Action Fian• t rentrent dans leurs bureaux en vain
Quiltlvéré a été trouvé:
6
a
v
r
il
au
p
lu
s
ta
rd
.
E
lle
s
ne
seront
Plouénan, pour Princesse Delmar, par Hercule
votait, vers minuit, l’ordre du Jour suivant :
çaise ?
quears.
et Old-TImes.
M. Omnés, oncle de M. Jézéquel, le ren­
p a s signées, m ais elles po rte ron t une
No mêlons pas la politique
L a Chambra résolue A no pas tolérer les grèves
Aucune révocation ne sera prononcé« :
12-, GO fr., i M. Guillaume Guen, do Plouvorn
contrait mardi matin rue de Slam à Brest.
devise et seront accom pagnées d ’une
Avec la charité
Bymlnn peut faire sa malle et partir. Ut do» (onotlonnalros, conllanto dans lo gouvornopour Giroffa, par Aurlac ot Nnoutec ; 1J , 00 fr.
Ii le fit aussitôt arrêter par la police.
enveloppe caohotée contenant lo nom
a dit Botrel.
meut pour rameuor l'ordre ot la pnlx dans los
oepeodant le gouvernement, aveo une
a
M.
MkuiIco
Le
B*nn,
do
Balnt-Pol-do-Léoa
Deux nouvelles escroquerie» commises à
postos, approuva aos déclaration» ot passe A
et l ’adresse do l ’au te ur, aveo l'in d i­
Il
est regrettable, qu’en cette circons­ pour Argintlne, par Ile T u U et Bink-Note ; H\
Inslstanco remarquée, disait qu’il ne cède
I'ordro du ]our.
Lambézellec et à Saint-Marc ont été re­
c a tio n do sa âevlso.
tance, on n ’ait pas eu la délicatesse de 00 lr., a .n. Français Oaür, do P iouvom , puur
ralt pas aux Injonctions des grévistes. La
lié
e s à l’actif de Qaillivéré, qui d’allleuts,
Nous
com
ptons
su
r
a
u
m
oins
5
ou
6
suivre ce conseil. »
î ypesse, par Langion-Mascher ot Malicieux ; 15-,
Les grévistes no pordlrent rien de leur
majorité, à doux roprises, approuvait cette
a tout avoué.
co ncu rre nts ; e» alo rs un p r ix de 26
60 fr., A M. Renô Maason, de Tréllaouénan, pour
Un Breton de Paris.
attitude, par dos ordres du J aurdo conllanco ardeur et le samedi et le dimanche, Us fra n c s sera décerné il l'a u te u r de la
Uervaise, par Behanzln et Martus ; 18-, o» fr., A
tinrent réunions sur réunions pour atta­
G o n csn o u
votés à une énorme majorité.
M. Jean-Marte G ulllou, do Plouzévédé, pour
com position classée première, qui
quer lo gouvernement et exposor parfois
Mais catto attitude étult toute do parade.
Les rom anichels. — Les gendarmeries
fanny,
par Fltz-Rose et C h a rio t; 17-, 66 lr ., A M.
de v ie n d ra do ce fa it la p ro p riété
Suppléants
de
juges
de
paix
avec
violence,
leurs
revendications.
Noua disions, la semaine dernière, que
Olvlor Bertevas, da Mcapaul, pour Giboulée, par
de l’arrondissement étaient prévenues par
exclusive du Courrier du Finistère.
ltappelonsaux lecteurs, que les grévistes
Uguen et Denmark ; 18-, 65 fr., A M. Françoli
toute faiblesse au cours de oette grive,
la gendarmerie de Plabennec, qu’un vol
N ous feronu ensuite le nécessaire
Sont nommés supp’ôants des Juges de Bevôre, do Balnt-Pol-do-Léou, pour Glorieuse, venait
se recrutaient surtout parmi les ambulants
serait u n jr a g e donné à la Révolution.
d'étre commis dans cette commune
paix de :
po ur obtenir l'im p r im a tu r et pour
par Uguen ot Lord Randy ; 19-, 66 fr., a Mme
des postes et les té'égrapblstes des bureaux
CeUe.cl »V ite d’allégresse et s’apprête à
par deux Jeunes iilles appartenant a une
m ettre en vente l ’oeuvre prim ée a v a n t
veuvo Lostang du Rusquec, do Blblrll, pour
PJoudlry, M. Buzln, raalre, en remplacement de
dits
Bureaux-Oentral
de
Paris.
lancer ses troupes.
troupe de vannlérs ambulants et qui voya­
Fleur do Lys, par Béhanzln et Gaston ; J 0 -, 55 fr.,
M. Lo Houx qui a ôtô nommé ju^o de pnlx
Les ambulants sont les employés des la £âte du 18 a v ril.
Non p u que les postiers fussent des
geaient dans une roulotte attelée d’un caeA M. Pierre Raoul, de Plougoulm, pour Gervaisc,
CrozuD. M. Jeau*Loul8 Lo Corre, en remplacemei/!
Le j u r y p o u rr a accorder un au tre
poitea,
qui
sont
chargés
de
prendre
les
révolutionnaires 1 Loin de nous celte
val blanc.
par Marot et Gaston ; 2t-, 60 fr., A M Jean Quôré,
do M. Alix, décédé ; Salnt-Renan, M. Troadec,
p r ix de 10 fra n c s po ur la com position
sacs
de
correspondances
danB
les
gares
et
pensée. Mata la lutte avait été engages do
de Plouzévédé, pour Delphine, par Comfactor ot
Les gendarmes de Lanjbéze-'ee ayant été
adjoint au maire, en remplacement de M. Bouvet,
de distribuer les lettres, après triage, sur olasséo deuxièm e, s’il la jn g e v r a i­ décédé.
Marot ; 22-, 60 ir„ A M. Jean-Marte Déroff, do
telle sorte, que lo gouvernement n'avait
avertis qu'une voiture répoDdjnt au signa­
m ent m é rita n te ; ot d a n s co cas cette
Plougoulm , pour Géranium, par Comfactor at
pas à défondre des prérogatives ministé­ le pasBage du train. Les télégraphistes du poésie a u ssi de viendrait la p ro priété
lement
donné se trouvait à Gouesrou, se
Hercule.
Central, roçolvent à Paris, les dépêches
rielles éphémères, mais des principes
rendirent dans cette commune et mireut en
du Courrier du Finistère.
1” mention, A M. Olivier Sérfcrc, de Balnt-Polque
l'on
expélle
de
province,
pour
une
d'ordre sur lesquels repose toute société
état d’arrestation Philippine/ugetta, 18 ans.
do-Léon, pour ÿlondc. par Marot et Losqulvy ;
loc illté ou uno ville située au delà de Paiis.
organisée.
et sa jeune sœur Marie, 14 ans. Toutes deux
2-, A M. Moysan, de Plougoulm , Dour Gabricllic,
On
volt
que
par
suite
de
leur
refus
de
Désormais, 11 est prouvé que les syndi­
nient avoir commis le vol qui leur est re­
M. l’abbé Paul Le b’ioc'h, fondateur d'une
par Denmark et Marot.
cats des fonctionnaires formeront an état travailler, il devenait impossible à la pro­
proché ; mais Mm? L'IIer, la victime,
colonie bretonne au Canada, est en France
Bannalec
vince de correspondre avec Paris et même
aflirme de la façon la plus formelle que les
pour quelques mois. Il verra avec plaisir
dans risiili et causeront en maîtres au pays,
avec
une
autre
pirtie
du
pays,
soit
par
1”
prime,
250
fr.
reproduction
et
MO
fr,
conser­
deux jeunes iilles arrêtées lui ont soustrait,
les familles qui lui ont déjà écrit, ainsi
au mépris dn toute loi et de la constitution.
vation, René Boêlec, de Kornével ; 2 -, 200 fr.
correspondance,
soit
par
télégraphe.
que toutes celles qui désireraient être ren- Yves Tallec, A Kerantorc'b, en Bannalec ; Jdans un titoir, une somme de G à 7 frac es
( “ae d'autres syndics!* les Imitent, et
Dans
les
villes
de
province,
1
1
y
eut
blon
en blllon.
seignéés dans les moindres détails sur ce 160 fr., François Bourhls, do Scaôr ; 4-, 100 fr.,
nous nous acheminerons petit $ petit vers
aussi
quelques
grèves
partielles,
mais
de
pays. Les explications données de vive voix
Les deux sœurs ont été conduites lundi
une situation anarchique générale, qui ne
Joseph Bordlor, do Scaér ; 6-, lOOfr., Louis Calll
courte
duiee.
C'est
ainsi
que
les
employés
do
Bcaér
;
G
-,
70
fr.,
René
Le
Bras,
do
Salnt-Thu
au parquet de Brest.
bont
toujours
plus
avantageuses,
et
l’expésora d’ailleurs que l'aboutissant logique
des postes de Brest boudèrent le travail le
Au sujet des biens ecclésiastiques con- riencs de six années passées dans la Sa- rien ; 7-^60 fr.,Christophe Le Dérout, du Trffvoux
d'une politique trop longtemps suivie.
Le Conquct
8-, 50 fr., Henri BoOdec, do Scadr.
fisqués par les lois de séparation et dot t katchewan permettra
M. Paul Le Floc’h
Les hommes au pouvoir, ont toujours vendredi 19 mars et, dans la matinée du
A 3 heures le même jour, Us nous avons parlé dans notre dernier nu­ de répondre avec compétence aux ques­
Montions : l" , Louis Sollln, du Trévoux ; 2L a « Louise ». — Se conformant à l'avis
prétendu faire couvre d’émsnulpïtlon so­ lendemain.
Christophe Blnquln, do Bannalec.
reprenaient le travull.
de la commission qui avait visité la Louise,
méro, Mgr Duparc adresse au clergé de son
tions qui intéressent particulièrement lea
ciale. en s'attaquant à la religion.
vapeur postai, qui fait le servie« du Co tCurhalx
cultivateurs.
Il
fallait, dlsulont'lls au peuple, abattre A Paris lo gouvernement faisait appel à diocèse les Instructions suivantes :
la troupe pour le service du télégraphe et
quet Ouessant, le préfet du Finistère vient
Qulmper, lo 20 Mars 1009.
E :rire à l'adresse suivante et Joindre un
C o n c o u r s d ’a n i m a u x . — 1" classe. Jeu nés
l'Eglise, catte puissance qu’ils montraient,
la distribution dev plis : les facteurs
de r i tser à ce navire le parais de navi­
Mosslsurs ot chora Coopérateurs,
bœufs ne marquant pas plus do > ans en bouche
timbre pour la réponse :
meusongàrcment, barrant la routo aux d'imprimés s'étuicLi. aussi mis en grève.
guer a l’avenir.
L a listo dos blcua ocoléslastlquos enlovée ou
Ci catégories).
M. l’abbé Paul Le Kioc’h,
réformes. Ils agitèrent devant lui, en guise
Mais les sorvlces étalent plus ou moins
dlocòso do Uulm|)«r ot do Léon par l'Etut vient
1"
catégorie
:
braufs
Isolés
—
I
"
prix,
70
fr.
et
Saint-Brleuo, poste n siante,
d'épouvantall, le spectro du olérlcalltme.
Le Rclccq-Kfcrhnott
d'ôlre publiée.
une médaille en argent grand module, offerte par
bien
assutés,
car
les
services
des
postes
Côtes- du-Nord.
Le peuple a cru les rhéteurs qui suivaient
Vous vondroî blon rappolor aux (1Jólos quo
la Boclété dos agriculteurs de Franco, François
Conférence publique. — Les pêcheurs
réclament uue grande habitude et surtout
si Mon lo consoli trop célèbro « Mentez,
d’entro eux qui peuvont revendiquer uno
Cougard, maire de Plouguer ; 2-, 60 fr., Jean
et pêcheuses de Kerhorre et de Camtrout
une graude connaissance des rouages déli­ ceux
parilo do oas blotn n'ont plus qu’un délai do six
montez 1 11 on restera toujours quelque
Cougard, de Keram pul, en P louguer; 3 , 40 fr.,
sont priés d'aisiter nombreux à la réunion
cats de l'administration.
mois
pour
(atro
reconnaître
leurs
droits.
Il:
ont
le
J.-M. Manach, de TretTrln ; 4-, 10 fr., Isldoro
chose. »
qui
se tiendra dimanche 27 mars, à 3 heures,
Aussi les sn :s de dépéches et de lettres dovolr strict A moins d l.ni osslblllté constatée,
Auürot, de Rocher, en Plouguer; l", 10 fr., Jean
Aussi est-ll demeuré Indifférent à la s'accumulaient
dans la nouvelle salle Nlcol. Joseph Saliou
dans les bureaux.
d'oxorcer cotto action on reprise et do s’entonRlvoal, do Bpéiîot.
uorrosans merci déclarée aux catholiques,
et l'abbé Madec y exposeront les raisons
Lo commerce, l’industrie souffraient de
onsulte nvoo l’Iivéquo pour organiser l'exé­
2- catégorto : banda de quatre bœufs, apporte
Lu presentation à la remonte
ietto guerre n'étalt-ello pas nécessaire, cotto situation, ots’iugénlalentà remplacer dro
qui doivent déterminer le Conseil général
cution des legs ainsi ressaisis, en su confoi maut
nant au même propriétaire et n'ayant pas con­
pour que le progrès trouvât la route libre?
A
la
volonté
dos
fondateurs
prlmlllfs.
couru pour les autres prix. — 1 " prix, 80 fr. et
à accorder aux pêcheurs et pêcheuses de co­
le service postal, par une organisation
Nous nous sommes fait l’écho des plaintes
Séduit par la puissance magique des
Vous auroz lo in , a cotto occasion de mentionner
une médulllo en vermeil, oirorto par M. lo minis­
quillages de notre commune, le demi-tarif
privée. C'est ainsi que la Chambre de
d’éleveurs contre le tralic de billets de pré
mots, le peuple se llguralt le Progros, sous Commerce de Itennes — qui aurait été uno lois do plus la polno d’oxoornmunleullon
tre do l’Agrlculture, au nom du gouroineraent de
de passage sur le Bac à vapeur de Plougassentatiou à la remonte pratiqué par quel
Inlllgéo par l'Eglise A tous coux q ui s'approprient
la République, Yvos Porrlen, do Bronolo, en
les tialts d'une féo bienfaisante, qui portait
tel.
Imitée par la Gnambre de Commerce de ces biens pour lour usage personnel ou qui les ques individus avec un cynisme scaudaleux.
MotreiT ; 2 -, 70 fr. ot une médaille de bronzo,
à sa ceinture, la clef du paradis « mllléBrest, si la grè?e n'avait pris lin — char­ louent sans en avoir obtenu l'autorisation du
E x p lo it * de c o lo n ia u x . — Nous avons ra­
offerte par la Boclété dos agriculteurs de Franco,
Lts gendarmeries du Nord-Finis'ère ont,
niilro » lo paradis que l'on trouve sur cette
conté la scène sauvage qui so déroula le 18 j ,ngeait tous Tes Jiurs un employé de se Salnt-SIégo.
Jo se rh Mahé, do Cléden-Poher ; 3-, 60 Ir.
paialc-il, reçu l’ord:c de veiller à ce que ce
terrò, et dont on lui faisait entrevoir les rondro A Paris avec un sac de correspon.
vler,
dans un débit du Rofecq-Kerhuon, où qualro
Relativement aux lmmeublos, titres do rontoou
Simon Cougard, de Kergoutols, en Plouguer : 4tralic n’existe plus et que le rang de prises
Ioies et les plaisirs à travers les fumées dances commerciales.
soldats coloniaux: les nommes G uillaume Dénlel,
revenus do toute naturo, qui vont par décrot étio
25 fr., Joseph Cardinal, do Kornlguez, en P lou­
tation
soit
établi
suivant
une
règle
com­
îles pipes, des réunions publiques.
21 ans, Plerro Lo Saout, 19 ans, Raoul Grannoc,
A d o i établissements communaux ou
guer.
Lundi lo comité parisien de la grève attribués
mune à tous.
19 ans, Jean Simon, 19 ans, en compagnie d'un
départementaux, U H . lea Membres dos Consolls
classe. Jeunes bœufs ne marquant pas plus
Or voici que, si les persécuteurs de PEmaçon, Simon Buzaré,18 ons, se présentaient chez
Les agissements 1'rauduleux seront sévè­
énéraux ot municipaux ot los adminístralo urs
de 't ans an bouche (S catégories/
Use n'ont pas encore taillé la pierre dont avolt une entrevue avec M. Barthou.
D ’après la version olMclolle, le ministre y
U. Am is, débitant et conseiller munlcfpal, et
es étobllsiomonts Intéressés dovront «e souvenir
rement punis.
l " catégorie : boeifi Isolés. — 1“ prix, 70 fr. et
voudraient sceller son tombeau, Ils peu­ eut uno attitude énergique et môme intran­
fi!
demandaient
do boudin. Tous las cinq étalont
qu'ils no pouvont, »ans fauto gravo, provoquer
Las éleveurs ne peuvent que souhaiter
uno médaille en argent, offerte par la société des
vent cependant en Jugeant les événements sigeant et so refusa do discuter avec les cette dévolution, ni mémo l ’acceptor, A moins
déjà Ivres. M. Amis leur déclara qu’en raison
agriculteurs de France, Simon Cougar, de Kerqu’il en soit ainsi.
nvoclcs vues humaines toujours courtes,
d'uno
doco
qui
avait lie* lo soir même dons son
d'uno
entento
préclso
avec
le
I
’ane
ou
l’Htéque.
irévlstos tant qu'ils n'auraient pas repris
outots, on Plouguer ; 2-, 00 fr., François Couan,
croire qu’ils ont triomphé.
débit, Il ne lut restait plu* de place pour leur
Cotto ontonto réglora los conditions do l'usu­
u G uem , on Kergloff: I-, 60 fr., J.-L. Conan, ds
e travail.
donner
A
manger.
Une discussion éclata, q il
Pour la grande masse du public, les per­
Kergorvo; 4-, 31 fr., Louis Crolzlor, de TrébrlMais 11 y a tout lieu do croire que le gou­ fruit provlsolro et déterminera los réserves A CONCOURS DE POULICHES
dégénéra en véritable bataille : lea coloniaux reiusécuteur« sont désormais leB maîtres du vernement laissa entendre à mots couverts faire on faveur dos droits du légitime proprié­
van ; 5\ 20 fr., Joseph Quônoude, de Plôvln ; 6-,
eèrent do sortir ot s'émparant alors de tout ce qui
champ de bataille. Elle s'étonne, mainte­ aux délégués, qu’il était prOt à faire des taire.
10 fr., Hervé Guonvern, do Plounovézel.
C kiltcaulin
L'EglIso, en cll’ot, n'onlond paa rononcer A la
2- catégorlo : bando de quatre bu'ufs, apparte­ se trouvait sous lours mains, se mirent A brlsor
nant ue voir que le gouvernement ne veut
concessions, car dès le soir quelques me­
bouteilles, verres, carreaux. M. Amis fut atteint A
iropriété dos bious qu'on lui prond. Il faut que
nant au même propriétaire et n ’ayant pas con­
Lo concours de poullchos do trois ans, pour les
pas qulttor le terrain des luttes religieuses.
la tôte, par une bouteille pleine de grenadine,
os bénéllolalros do cotto liij'istlco en soient blon
neurs proposèrent A lours camarades de
couru pour le* autres prix. — i " prix, 80 fr. et
cantons de CbAteaulln, Pleybon ot Lo I'ftou, a ou
U’eBt que le gouvernement trouvait dans
qui lui fit uue forte coupure. La semaine dernière,
avortls.
I.a
auront
A
pourvoir
A
lour
cousclonco
A
repronurolo travail.
une médaille en vermeil, olîorto par la Boclété
llou mardi après-midi. La commission étlHt prôsl■on anticléricalisme, un paravent pour son
devant
le tribunal correctionnel, les cinq Inculpés
l'houre
du
la
mort
b’Ila
no
l'ont
pas
lait
pendant
dos Agriculteurs de France, François Cougard,
On les accusa mûme de trahison et de
déo par MM. Clauzol, directeur du dépôt d'éta­
ont manlfeslô des regret* et mis cette scène do
lour vis, ot nous no pouvons pas lour laisser
do Plouguer ; 2- 70 fr. et une médaille on bronze,
lons d'ironnobont, 37 animaux ont été présentés
B’fltre vonduB au gouvernement. Le comité
sauvagerie
sur le compte de l’ivresse.
Ignoror quo, pour la sépulturo chréllenno commo
^ e u x ^ q u l s i prétendaient les champions
ofTerle par la môme société. Françoli Conan, do
et huit pilm és : 1” prime, M. Mlcliol Gnédôs, do
no fut pas écouté et la grève à outrance tut
Le tribunal, après u a réquisitoire modéré do
our lo» dornlorn sacromonts, la réparation du
Korglotr; 8- 50 fr., Yvos Le Berre, de P lôvln;
les Plus dévouéB de la cause du peuple,
Pleyben, aulella, (co prix, qui consistait en une
acclamée dans les meetings. La situation
M.
Sauty,
et
une plaidoirie do M* Bodot, pro­
ommage causé doit accompaguor collo du scan­
4-, 40 fr., François R jp a rs , de Saint Ilernln; 5-,
prime do conservation de 400 francs ot uno primo
n ’ont à peu près rien fait pour lui.
nonça le* condamnations suivantes : Blmon, 8
S'aggravait donc, et l'émotion, l’inquiétude
dalo donné.
20 fr., G uillaum e Gulchoux, de Langantec, eo
de roproductlon do 250 francs, a ôtô rolusôe par
L ’é b a u c h e du code du travail à peine
mois
do
prison
; UJnlel et Grannec, 4 mois , Le
Los proportions du vol dont nous sommes vic­
du pays eurent leur écho A la Gha’abre où
Clédon ; 6-, 10 fr., Aristide Poulhiac, do Plouguer.
le propriétaire, ollo n par sulto été attribuée A
•sttulssée, est 16 fruit du travail de catho­ pour la deuxième fois, on s'entretint de la times npparalssont aveo toute lour ampleur ef­
Baout et B uzirô, 3 mois. Toutefois, oommo
M.
Joan-Louls
Guédès,
de
Salnt-Ségal,
pour
s»
J*
classe.
Bœufs
de
toutes
races,
sans
distinction
les cinq Inculpés ont de bons antécédents et
liques ou de socialistes. On n’y retrouve
grève lundi soir. Cette fois M. Glémenceau frayante dans los vlngt-ilx pagos de l 'Officiel du
oullche Galène) ; a-, Graciable, A M. Vincent
d'ige (deux catégories)
qu'aucun d'entre eux n’a jam ais été condamnô, lo
l'i mars où sont énumérés nos biens. Les agents
pas la main des radicaux.
;ullllou, do Rosnodn, 200 fr. ; 3-, Galantine, A
parla.
-,
tribunal leur a fait A tous application Ars sursis.
l r* catégorlo : birafs Isolés. — 1 " prix. 40 fr.,
du pouvoir n ’ont rien oublié. La part dos morts
La loi sur le repos hebdomadaire, par les
M. Jean Bréllvot, de Logonna-Qulmorcli, 200 fr. ;
S'adressant plutôt aux postiers qu'à la est confisquée avoc la mémo rapacité sacrilego
Hervé Guonvom, de Ploumévézel ; 2-, 80 fr., A ris­
multiples dérogations dont on l'alourdit,
V, Germaine, A M. François Kosmorduc, de RosP loudalm ézcaa
Chambre, 11 vint dire que le gouvernement
tide Poullzac, de Plouguer: S-, 20 fr., Isidore
collo dos vivants. Il sera bon uo lire, au pròno
noiin, 150 fr. ; 6', Gazolle. A M. Yves Cozlon, do
n'aik'nre nullement le repos hebdomadaire aurait des trésors de mansuétude, pour les (i euovos
T
irs
à
la
c a rab in e . — Les tirs à la
Auffrot, do Plouguer ; 4-, 10 fr., Josopli Cardinal,
églises, la partto do cotto listo do apollaPleyben, 100 fr. ; 0-, Vldorlne, A M. Alain üuédes travailleurs.
do Kernlguez, en Plouguer ; 6-, 6 fr., J.-L. Conan,
carabine des Arzelliz reprendront dimanche
grévistes, s'ils se soumettaient. Visible­ llon qui Intéresse chaoune de vos pnrolssos, on nolé, do Qulmorch, 100 fr. ; 7-, O'racietise, A M.
L'impût sur le revenu, dont le principe
de
Korgorvo,
en
Plouguer.
rétablissant
toutolols
la
mention
dos
charges
28
mars.
ment, lo gouvernement cédait, tout en ayant
Yves Dréllvot. do Rosnoén, 50 Ir. ; 8-, G&clie, A
2* catégorie : bande de quatre bœals, apparest Juste, ne paraît devoir ôtro qtvnn Ins­ l’air de garder, pour la forme, une apparence pieuses dont ces biens oe trouvent grovés et qui
P lo n g u ln
M. Louis Inlaf, do Rosnoén, 50 fr.
tenant au môme propriétaire et n ’ayant pas con­
aont nbsentos du tableau ollldol.
trument de spoliation entre les mains d’un
Mentions honorables : l- , ciorielle, A M. Joand’autorité.
couru pour les autres prix. — 1»’ prix, 60 fr. ot
V
o
l.—
Dans
la nuit de dimanche, M.
Los fidèles verront mloux touto l'élonduo d'uue
parti, contre les adversaires, si le Sénat ne
P aul Le Dorgno, de Pleybon ; 2-, Glaneuse, à M.
Los grévistes écoutèrent ces appels d’un spoliation qui los atteint autant que nous, ot Jo
uno médaille en argont, ofTerte par M. le ministre
Jean Omcès, menuisier à Plouguin, a été
taille et nxmondo dans le projet ohaotlquo
Charles Qoas, de CbAteaulln ; 3-, Galantine, A M.
èro A des > enfants prodigues > et mardi,
do l ’Agrlculture, uu nom du gouvernomont,
aoulmlte que cotto lecturo ouvre ouflu los youx A
dévalisé, dans son atelier, de nombre.ux
Bréllvot, do Logonna-Qulmerch ; V, Gazcllo,
qu'il va exomtaer.
„ ,
Hervé uuenvorn, de Gouorômou, en Plounévézol ;
s décidaient la reprise du travail. A deux coux d'outre eux qui so foraient ancore quelquo Jean
outils servant à sa profession. Le montant
A Mme veuvo Thomas, de ltosnofln ; 5-, Gamine,
Ue poupin volt blon que des religieuses
2-, 40 fr., Simon Conan, de Kergoutols, en PlouIllusion sur lo caractère sectaire et profondément
heures du soir, tout le monde était à son
A
Mme
vouvo
lieurrlor,
do
Roinoén.
du
vol s’élève à 40 francs.
aut furent toujours secourables A ses souf­
juer ; 3-, 30 fr., Plorro-Louls Keigaravat, do
Injusto dos Lois de Séparation.
poste A Parla et en provlnoe. Les menaces
La gendarmerie de Ploudalmézeau a oufrances, ont été chassées de leursi oou- de révocation furent remisées et les sus­
ja ln U Io rn ln ; 6-, 10 fr., J.-L. Conan, de Korgorvo;
Q ulm per
V eu ille! agréer, M ooleurs ot ebors Coopéra­
veit une enquête.
0-, 6 fr., Aristide Poullzac, d j Plouguer.
teurs, l'assurance do mos sontlments ufToctuoux
veatt : *ue des prêtre», dent II n'avait pua pensions ne furent pas prolongées.
Lo concours annuel do pouliches do trois ans a
ot dévoué«,
tk se plaindre sent brimés, mais, hélas I II
ou llou lundi aprôs-mldl, sur le Cham p de Bataille.
4‘ classe, Vaches et génisses grasses
P lonvlcn
M. Masson, commis des postes à Brest et
t
ADOLPHE,
28 bOtes ont ôté présentées au Jury, qui a dôcorné
ne veit point luire à l'horizon, le fameux
1 " prix, 00 fr., François Eléouet, de PlougonA n e e n c o n r » de p o u lic h e s de L e a n e v e n .
bien connu par lo rOle qu’il a Joué dans le
huit
prlmos
do
reproduction,
savoir
:
1’*
primo,
Erfquc de Qulmper cl de /.donven ; 2-, 40 fr., François Postollec, do Plouguer ;
aoledl da justice dont les rayon« devaient
— Dans la liste dos prix décernés au concours do
dernier conseil municipal, qui avait déjà
250 fr., fiosclfc, A M. Joan Bourhls, d Elllant ; 2',
8-, 35 fr., Plorre Môvel, do Plounévézol ; 4-, 30 fr.,
éuieirer la porte do oe paradis, qui lui
ioullches de Lesnoren, que nous avons publiée
reçu l’avis de sa convocation, a été avisé
200 fr., Vipère, A M. Louis B alôj, d’Eiguô-GabéJoseph Manach, do Plounôvézel ; 6-, 20 fr., Henri
jllsait-on, a remplacé eelul des ohrétiens.
a semaine dernière, nous avions dit que le 2- prix
qu’il pouvait considérer cet avis comme
rlc ; a-, 200 fr., Gourmette, a M. Yves Quémérô,
de Quélen, do Locom ; 0-, 15 fr., J.-M. Postollec,
des
poullchos do doux ans avait été décerné A
h t peuple poursuit touj ours sa route péni­ annule.
d’Elllanl ; 4-, 160 fr., l.a Glorieuse, A M. Guy
do Kervln, en Plouguer ; 7-, 10 fr., Louis Le
Ariane, appartenant A M. Jean Calvez, de Coatble, pliant parfois sous le poids des mudr**
Cotten, d'EIllant ; 5-, loo fr., Belle-Face, A M. Ur­
Dreun, de Kôrônor, en l’iougaor ; 8-, 10 fr., Mme
Le gouvernement a passé l’éponge sur la
Méal.
toíiñtTiUti. R avait Jadis, pour l’aider à révolte. Les ordres du Jour comminatoires
bain Le Bronn, d'E'guô-Armel ; 0 ,100 fr., i'ann;/,
veuvo Martlo, du Mouatolr.
Lea rédacteurs du palmaxès avalent fait erreur
A M. François Guyader, do Tourch ; 7-, 50 fr„
les supporter, le réconfort de la fol. Mais
sur le nom du propriétaire.
qu’il faisait voter, n’ont eu aucun effet.
S- classe. Espèce porcine
Fàc, A M. A lain Kernôvez, d'Krgué-Armel ; 8 ,
aulourd'hul, pulsquo ses chois ont éteint
Ariane, la pouliche prlmôe, appartient A M. Joan
Sans doute Symlan reste encore au
50 fr., Stiirëden, A M. Ronô Ilénair, do Guengat.
l ’> prix, 25 fr., Joan Qnôlon, du Haelgoat ; 2-,
íe s étoiles q u i brillaient au ciel, Il s'aigrit
Calvez, du manoir du Mrzou, en Plouvlen.
sous-secrétariat des postes. Mais il se sent
En outre, Il a été attribué uno primo do conserva­
20 fr,, piorro Le Berre, de Saint-Ilernln ; 3 ,
Il faut rendre A César co qui est a Côaar.
dans des colères sourdes et des révoltes
Nous avons parlé, la semaine dernière, en tion do 400 francs A la pouliche d» M. Balos. Des
lftché et un de ces Jours, M. Clemenceau
15 fr., François Conau, du Guern, oa Kerglolf ;
quelques
ligues
du
Pè'.eiiuage
Breton
à
mentions honorables «nt aussi été accordées aux
trouvera un moyen «honorable» de délester
4-, 10 fr., François Kôraudren, de Mouiln-du-Roy,
,n Etdans son bon sens, Il se dit « On m’avait
toullches appartenant A MM. Plerro NarzuL, de
Montmartre, organisé par la société la Bre­
en Plouguer.
la barque ministérielle, d'un homme devenu
Demandez le « Courrier du
dit : patiente. Lorsque le péril clérical sera
Cetfounteun ; Yres Breut, d'EIllant ; Joan Bourtagne, qui rivalise de dévouement, avec
Le prix d’honneur a été décerné A M. François
aussi impopulaire parmi ses administrés.
bis,
d'EilIu^t, ot Michel Le Corre, d'EIllant.
é c a r td . on s’occupera de toi. Et cependant
Cougard, de la Môtalrle-Nouve, on Plouguer.
Les postiers ont terminé la grève, parce l'autre société, la Paroisse Bretonne, pour
Finistère
dans toutes les
le souffre toujours des mûmes maux. Ou
Salnt-Pol-dc-Léon
qu'tts l'ont bien voulu et parce que le gou­ adoucir.l'exil des Bretons de Paris.
1" ciasse. Durliam pur
m ’a trompé. J'ai été la dupo de ceux qui
On nous adresse de Paris, le compte­
vernement apeuré, lour a fait des conces­
Bibliothèques
des Gares du
Pouliches de 2 ans. — 1 " primo, 2S0 fr., A M.
1" catégorlo : taureaux «u-dessous de doux
avalent Intérêt à me laucer dans des luttes
rendu suivant, de ce pèlerinage, qui fat une François Quérô, do 8alut-Pol-de-Lôon, pour
sions. sinon pour le présent, tout au moins
ans. — 1- prix, 00 fr., J.-M. Rolland, do Ploutnauvalses contre les croyances religieu­ pour l'avenir.
Finistère.
splendide manifestation religieuse. Ce Hermine, par Comfactor ot Lord Randy ; 2-, gonven
; 2-, 40 fr., Houétre, de Balnt-Martln des
ses pour détourner mon attention de pro­
Il
sera très difficile d'établir approxima­ compte-rendu à canse de la grève des 180 fr., au môme propriétaire, pour Hirondelle,
C h i m p e ; 3-, 30 fr., Emm anuel Lo Bras, do Guiblèmes dont la solution est toujours returPostes et Télégraphes, nous est parvenu par Denmark-VIgoroux et Amasls ; :t-, 100 fr., au
tivement le bilan des pertes occasionnées
clah ; 4-, 20 fr., Maudez Coutolter, du Monstotr.
même propriétaire, pour llamdlo, par Uguen et
trop tard, pour être Inséré, dans notre der­
2* catégorie : taureaux au-dessous do trois ans.
au commerce par la grève.
Petlt-Poucot ou Bataille ; 4-, 140 fr., A Mme veuve
A Découragé, déçu et sentant aujourd'hui
— 1 " prix, 70 fr. et une médaille en argent offerte
Ce qu'il y a de certain, dit la Chambre de nier numéro :
Qi^llôvérô, de 8atnt-Pol-de-Léon, pour lldlolse,
nlu« $ e Jamais la faillite du radicasllsme
par
M. lo ministre de l’Agrlculturo, au nom du
commerce de Paris, c'est que cette grève a
>ar Uguan et Hard Times ; 5-, 120 fr., A M. J.-M.
« Le Pèlerinage des Bretons de Paris au
gouvernement, Olivier Blblrll, de Pleyber-Chrlst ;
CH ATEAU LM
anticíériral, le peuple est prêt A suivre les
îuéguen, de Salnt-Vougay, pour Hortensia, par
été la cause d'un déplacement considérable Sacré-Cœur de Montmartre, organisé par
î-,
60
fr., Jean «ougard, de Carhalx; 3 , 40 fr.,
conseils dés vio lonts.
Vénérai st vicomte Ritndy ou Comfactor ; 9-,
P au v re vieux
d’affaires au profit de l’étranger.
la société ¡aBretagne, avait Uealedlmancbe
Messager Souôtre, de Horlatx ; 4-, 30 fr., Rnm aG e malaise ft gagné les administrations
110 fr., A Mme veuve L'Hour, da Balnt-Pof-d».
Maintenant à qui le tour de se mettre en
nuel Lo Bras, de Q u lc la n ; 6-, 16 fr., Yvaa Flchan ;
14 mars, dans l aprèB-dlner.
Guillaume Le Bras, âgé de Kl ans, qui
Léon, pour IIonorée, par Zéphlr et Jacob ; 7-,
oii travaillent les salariés les mieux rétri­
grève ?
Trop rares sont los fôtes qiui permettent 90 fr., A M. Louis Blhaff, de Plouénan, pour Her- *■, 10 fr., Pierre Brland.
soufTrait depuis quelque temps, s’est penau,
bués et qui eusssnt bondi d'Indlgaatlon si
3* catégorie : taureaux de trots ans et au-deiGageons que les percepteurs ue se met­ aux Bretons de Paris de se réunir. Elles mônegltde, par Hercule ot Denmaik ; 8-, 80 lr., A
dans
la nuit du vendredi 19 mars.
on leur avait dit, il n y a nas oncore longaus. — l * prix, 80 fr., l’ierre Postollec, de Plou­
tront Jamais en grève.
G. L.
sont suivies chaque année par une foule M. Yvos Carry, do Satnt-Vougay, pour lléslonne,
Sa fille, qui était venue lui apporter à
guer.
temoB. qa'lls so révolteraient contre l’Etat
)ar Donmurk ot Mldlothlam ; 0-, 00 fr., A M. Joanplus grande.
mangir dans la matinée du samedi, le trou­
P. S. — Lo gouvernement se montre
le u r patron, avec cette violence et cette
ciasse. Reproducteurs ds loules prouenaticas
-.ouls Autret, de Plouénan, pour Henriette, par
On aurait pu croire que le pèlerinage de
va pendu par so ceinture à un crampon
après la grève d'uue susceptibilité chatoulls o u d a in e t é , qui ont étonné tout le monde.
Horculo ot Bank-Note ; 10-, GO fr., A M. Maurice
dimanche
dernier
ferait
exception.
C'est,
lixé au-dessus de la cheminée. I>a mort
1 " catégorie : taureaux au-dessous de deux
leuie et bien tardive.
"
nn«t ers étalent do *6168 fonotlonPrlgont. de Plouénan, pour Harangirc, par Her­
ans.
—
f
prix,
60
fr.,
i.-M
.
Postollec,
do
Ploucinglés
par
une
tempête
de
neige
et
les
avait
fait son œuvre.
Il avait promis qu’aucune mesure coerclcule et Oonmark ; 11', CO fr., A M. Jean Azou, do
;uer ; 2-, 40 fr., Messnger Bouétro, de Morlalx ;
tlve no serait prise contre les grévistes, or pieds dans la boue, que nous avons dit Trédaouénan, pour Heureuse, par Roseltan ou
’,
30
fr.,
Louis
Le
Dren,
do
Kôrônor,
on
PluuDn noyé
Comlactor ; 12-, 60 fr., A M. Maurice Le Sann, de
voilà qu’il fronce maintenant les sourcils gaavir la butte.
u o r; 4‘, 20 fr., J.-M. Gentil, do Carhalx ;6-,
Pourtant, bien avant trois heures, les Balnt-Pol-de-Léon, pour Hirondelle, par BB.
pareequ'après la grève, uno afliche fut
10 fr., J.-L. Conan, do Plouguer.
Uu soieurde long, nommé Taridec, avait
Rumword
et
Vétéran
;
13’,
00
fr.,
A
M.
Yvns
cantiques
Jésus
pegen
bras
et
0
/¡aloun
apposée sur les murs de Paris, afliche où
2* catégorie: tauroaux au-dessous de troll ans.
disparu de son domiaile il y a cinq mois.
nakr eus va Jeans, retentissaient dans Curru, de Balnt-Vougay, pour Hirondelle, par
le pauvre Symlan était plutôt maltraité.
-1” prix, 60 ir. ot une médalllo en bronze, offerte
Son
cadavre vient d'étre découvert par une
de punir sauvagemint ohez do vi«,."«*.™
l'immense basilique. Ce n'est que pénible­ Comfactor ou Danmark et Unique ; 14-, 60 fr., A par le comité du commerce, Louis Polgnonnec,
Le gouvernement prend deB allures de
M. Ilorvô Elnrd, de Balnt-Vougay pour llerm i ■
laveuse, auprès du ponton-lavoir. Il était
ceveuses, le orime aujourd'hui Impardon­
..-■'auemltaluo, pour annoncer qu’une en­ ment que les nouveaux arrivants se trou­ nelto, par Coatréven et AUorph-Wonder ; 16', de Kerglolf ; 1-, 60 lr., Mme veuve G ulllou, de
complètement noyé et avait séjourné au
nable, de prier»
vaient une place, au milieu du flot des 00 fr., A M, Louis Le Berre, de Saint ■ Kern al, en l ’Iouguor; 3 , 40 fr.. Vve Le ¡Berre,
moinB un moto dans l'eau.
Le peuple, (fat travaille, ouvriers, fonc­ quête sô.’ *lt .ouverte pour découvrir les coiffes et même dos chupens et des gilets Vougay, pour Hirondelle, par Unau et Ilard- de Plôvln ; 4-, 30 fr., J.-L. Lo Bec, du Miné, en
Plouguer; 5-, 26 fr., J.-M. Postollec, de Plouguer;
tionnaires, Salariés de toutes les classes,
brodés, si nombreux d’année en année que, Times; 10-, 00 fr„ A M. P aul Lo Balnt, de 6-,
*U
Pomt
n?a6t6
bMOln
J'fntamer
cetteen20
fr.,
Josopb
Tanguy,
do
Motrefl;
7-,
10
Jr,
Carhalx
attend aujourd'hui le gouvernement, sur
Blblrll, pour llorlofise, par Donmark et Marot ;
vraiment, nous devons commencer enfin à
Françota Postollec, de P louguer; t)\ 10 fr„ G u il­
quite, car dè» Jeudi soir l'ancu-i
17-, 60 fr., i M. Louis Quéméneur, de Plougoulm,
un autre terrain, qae celai où 11 s'obstlno
perdre l'habitude d'en rougir.
M o rt accidentelle« — Dimanche aprèslaume Manach, de P lo .g u e r; U, 1(1 fr., M. Poula grève, an nom de tous les postiers, 4*..on"
jour
Galin«.
par
Balourd
;
18',
50
fr.,
A
M.
Pierre
midi, plusieurs jeunes gens de Carhalx
Les vêpres s’ouvrent. Le duo desDaux
llzao, du Moustolr ; 10-, h fr., Mme veuvo Lorjaout, de Plouénan, pour Hanvoilo, par Andorre
dlqualt la responsabilité d# cette afflohe,
> ' « o n donne 4 l’ouvrier oe code du
étalent al és en voiture voir la cavalcade
nrefaô.tî6- tfe Thlelmans, est chanté à ot Bank-Note ; 10-, 40 fr., i M. Joan-Marlo CuefT, volleo, do Plôvln.
aveo
un
petit
air
arrogant,
l’air
d
un
comité
travail,
que
la
catholique
Belgique,
a
3<
catégorie
:
taureaux
do
trois
ans
et
au-doaiua.
de Gourin, avec le llls A.dam, qui condui­
w m l.
l’orgue. (Juami Mgr Duparc, évêque de de Plouénan, pour Henriette, par Vicomte Raludy
1” prix, 60 fr., J.-L. Conan, do Korgorvo, en
depuis longtemps rédigé ; que l on établisse qui a ialt trembler le gouvernement.
sait. '
i -, r ..?
t
Qulmper et de Léon, monte en chaire, la et Ileroule ; 30-, i,o lr., A M. pierre Spagnol, de —
Gelul-oi parle aussi de supprimer le trai­
P lo ug ue r; t', 40 fr., Germain Glô»areo, du
autour de la petite propriété rurale un
Après avoir dîné, ils revinrent dans la
Plouiévédé,
pour
Hurbalno,
par
B.
B.
Rumwod
basilique est presque comble. On peut
i
Jloltro,
on
Plovben
;
3-,
30
fr.,
Louis
Lo
Berre,
de
tement
deB
grévistes,
pendant
la
cessation
rempart de garanties légale», contre lo»
et Hercule ; ai-, .40 fr., a M. Ronô Argouarc'h, de
soiiée par la même occasion. MaIb en
Plôvln ; 4*, 20 fr., Jean Quélen, du Huelgoat ; 6-,
du travail. Lea postiers ne l'admettent pas évaluer à dix mille perBonoes la foule Trézllldé, pour lh ’roino, par Roiollan, du Donsaisies Injustes ; que les fonctionnaires
s’art ôtant à l’auberge du Moulin-Neuf, Us
10 fr., Françola Hopara, de Salnt-Heraln ;
6 fr„
qu’elle contient.
i?arlÿ et Réaction ou Gaston : 22-, 40 fr.» A M,
«lent leur statut qui délimite la ligne de et paraissent déoldés à ne pas l’admettre.
s’aperçurent qu’un les leur», François
Joseph Manach, de Lam prat, en Plounévéïel.
Et cette foule gardera du Bermon qu'elle
oséph Jacq, de Salnt-Pol-de-Léon,pour finette,
Les postiers disent A qui veut l’entendre,
leara droits et de leurs devoir».
Saussay, üls de l'honorable boulanger de
3> classe. Verrai» ¡catégorie unfçue)
entendit un souvenir Inoubliable. Il est
>ar iiüüold Rufua ou Denmarlÿ et Leutbérlc ; 23-,
En t » mot, qae l’on taise malntenint de que i l le gouvernement ne veut pas avoir mieux qa’un orateur de talent, mieux qu’un
Carhaix, avait cessé de vivre, terrassé «ans
l w prix, 30 fr., Ludovic Mahé, de Carm-fl ; ?■,
o (r.; à M. Jacques Ca 0 r, de Plouénan, pour
■encore i u î les bras .une grève, fl n’a qu'à
doute
par une congestion, on ayant suc­
26 fr., J.-L. Conan, de Plouguor; 3 , 20 fr., J.-st,
évêque, si nous osonB dire, il eBt l'ftme Iloulellp, par Acob et Hamac ; 24-, 35 lr., A M.
mettre dans uh coin les foudre» qu’il bran­
to t j
Brland, do Plounôvézel ; 4-, 16 fr., Hervé (lueacombé à une rupture d’anévrlg&e.
même de notre patrie. Il semble que Mgr Maurice Jaouen, de Plouénan, pour llaclystte, par
dit
et
qui
ne
sont
plu»
que
de»
épouvantails
1l'inaction sociale de» faux
'H
On devin« la triste arrivée A Carhalx.
Dupar'C a apporté avec lui lo çtour de la Hottâwleh i l KapIrAt ; 25', J6 fr., à'M m e veuve vorn, do Gouarémoq,
à moineaux.
. . .
Arrondissement de Brest
8
f
La grève des Postes
et Télégraphes Avis i x Poêles CWiens
§
LES RESPONSABLES
&
f
Le Canada
Les Biens Ecclésiastiques confisqués
A G R IC U L T U R E
f
S
f
§
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Un Pèlerinage Breton
à Montmartre
»
Arrondissement_de (Meaulin
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‘fe\nt<«brinwnrnmn^ ^ tii>wtimiiifiH>i><>niwHiiiti»»"H'www»HWwitf»|ii|i||)tiw|i|iwiiitiiitiiitB^w
mmrn.
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«_
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-
LE COURRIER DU FINISTERE
G ouéscc
M o rt de Plerra B ran qu o o, — t Sou­
tenus par 1» force divine, nona suivrons
notre vole l u s défaillance, semant partout
la vie et 1aotlvlté ». Ainsi se terminait
lun des remarquables articles que lit
parai tre dans YAjonc en 1907, notre ami
Pierre Branqaeo, nleusemont dócódó A
Ci iuiSioc, mercredi 17 mars, lit certes 1! n'a
pus failli, lui I Atteint de tuberculose pul­
monaire nu lendemain de son bnccalaurOat,
Il a suivi Jusqu'au bout, pondant trois
longues années, avec une résignation
rfilûchleet une joyeuse humeur que sem­
blait augmenter constamment uuo piété
vraie et profonde, la vole royale ds la souf­
france. il avait pour Mario [mmaoulée la
plus filiale tendresse.
Par trois fols II accomplit uu prix de douloureuz efforts, mats avtc rutimn et coullance, le pèlerlaago de Lourdes. Qu’Il eilt
été h ureux d'y trouver la RuérUon pour
dépenser dans un généreux upontolat les
trésors de son cœur d'or, de Ba rlcho naturo I
La Viorgo ontondlt sans doute ses sup­
plications. Mais au lieu de la guérison cor­
porelle, elle lui obtint des grilles de choix
q il accrurent avec son aatlvité Intérieure,
la fécondité de ses souffrances, et réali­
sèrent magnifiquement tou iôvo d'aposto­
lat.
La paroisse tonte cutlòro était repré «en­
tée & sas obsôqdoa auxquelles assistèrent
plus de vingt prêtres Le Courrier du F i­
nistère partage la douleur do M. f a lb i
lirunquec et ae sa famille ot leur offre ses
liacèrcB c o nd olan oci
l’ort-Lnuuay
F lllo tto noyée. — Dimanche st|-, la pe­
tit»! 11111■
til A <5e (I i ni,*« ».is d inc'irai.t A
(1 illy-Guts, uu Poit Luunay, uu trouvait sur
lt h <rl du cnnal, en compagolo de ta mère,
un pou au-dessus du dévcisolr, lorsque, par
tu'to d'un faux pas, elle tomba A l'eau.
i’ <r mit# de lu eroe et île ».• murée qui
descendait eu ce m ouuiii, lo >.o .raut é'.ult
très fort et la II lotte di-p.»rut tous lés y ux
de sa mòre, Impuissante a lui portor secours.
Snlnt-T holn
Noyé. — Martin Gnonach. 6H ans, jour­
n al ir au bourg de Salut-Tliols, so tiouvaut
piU de boisson, est tombé dimnncho dans
la rivière do Ster-Goanès, où U se noya.
Arrondissement de lorlaix
MORLA1X
Conféronoo publique de l ’abbé M adoc
Il est plus que temps de mettre on garde
les familles cnrétlonncs contro la volonté
de l’Etat de mettre la n uln sur l'Amo ües
enfants. ü'est pour faire la lumière sur ce
point, et dissiper les Illusions que peuvent
eucoro conserver quelques-uns sur 1a pré­
tendue toléranco du gouvernement en ma­
tière religieuse que l'abbi Madoc, le direc­
teur si estimé do la (Juim aina Ouvrière, a
fait au patronage Baint-Mathleu de Morlalx une conférenco publique sur les projets
Doumergue.
L'abbé Mndec, après avoir fait raplilomont
ïhlMotre du coi prejot«, ne ilvro * uuo analjso
dAtulllâo dos disposition* qu'ils conlloaneat et
dismunira aveo uue olatté saisis«» nte, quo lo
promlor d'eotr’eux, domine i a réprimer Uu cu­
ti avo» npporlAoa 4 l’onsolguemonl < viole la
llborté do consclmoo et mépris* l'uatorlIA dos
jifiroH de famille.
Comiuo II urrl"o toi-Journ Ic r q u n los droits do
la co uclauco to n l iu Ccoluiis 1mm >tctlinna la plu*
oruellement m tu r tr lu par loa projets Uouamrgui
co sont les pauvres ot los fonctionnaires, pure»
quo la Tyrannie administrative, an eoliaDuo d'uu
pau do pain, m n jo r a d o lour lAvIr l’ftmi do lours
entants. L'onfant (lu'pauvro u droit «u m i neroapocl
ipio oolul du riche. Ht nous uo pouvons pas tolé­
rer, auuuu liomuio eu qui vlbront lo senUaiont ds
la lusltoo t t l'amour de lu ilborti, no peut U ôrcr
nu un ouvrier pnreo qu’il e»t lnd ig fn t, qu'un lonotluimulro paroo qu'il o*t salaria do 1 1-Uut, nuit
|iluc6 dana ootle douloureu-o alternative : uu M m
garder son Ilia soun lo toit pnlornel ot le lulasor
croupir dana l’Ignoranoo ; ou blou i'onvoyor a
l’Aonle publique ot l'oipoaor — trop sourent,
Mina I — & devenir la prulo do la ooiiuptlou ot
du monsougo.
On d ir a : mais Is second projot Doumorguo
prodigue aux parent* touto sorto de gurautlos. Il
dOe.Ido (art. 1") que touto plainte dlovio contro uu
instituteur aéra oxnmluôo par aoa supérieurs h ié ­
rarchiques qui devront aviser lo plaignant do lu
sulto donnée A sa démarcha.
L'orateur n'n pas do pelno A dAmontror quo ces
garanties sont renduea liluaolroa par lo suoturlsme qui anime un grand nombre d'IiiBpoctours
d'acailAmlo, doelloa suiveurs d’un ministre Ja c o ­
bin. L'instituteur se tiendra oe potlt rulsonnoment
qui no manquo pas do log quo : • 1) ira lours
iules publics, dans leurs déoluratlotis olllclollos,
nies supérieurs hiérarchiques étalent lour lialno
Uni croyances rollgletitos at, comme H. Chunteclalr A Pont-Croix, appellent le Jour uA la nonsée
oiAme de niou sera elTacio d* toutes iea Intelllÿqnoea. Kit blou 1pour m ’attirer leurs boonea giAooa,
j ouael»ueral a mes Alèvea i|ue a ot a font 4 et quo
• ceux qui crolant en Dieu soat dea Imbécile« ».
MorUol u eu l'avuncomont pour avoir dit cola. (J le
«I quelque pAre de famille prie, comiuo écrit la
l.nnlrrno, d'un « zélé stupide po r dos dogmoa
absurdes », A'Ave contre mol dea réclamations,
elles Iront s'applaUr contre le bouollor dont mo
couvrira Honaleur lo I ’réfot.
Ainsi raisonna lu fuulo dos maltros d'école.
Kl l’article s du 9* projet Duumorguo Heur
déclare qu'il* ont rulson do comptor sur U. lo
Prétot. lis ço u n o n t, doolour* on Anerles •ml'--oll
glousos. deblter, pendant 0 houios par Jour, tuultu
los sottise* qui peuvent éclore en u a c o n o a u faussé
et lorsqu'un père de fumll'e lodlgnA viendra l-.ur
doiaandor raison do leur conduite, Ils courront
— comme dot petits garçons pris en fuuto — se
cacher derilAro le tabllor maçonnique île M. lo
PrAfet. N ul doute que H . le l'réfot ne aoutu a'Aniouvolr on leur faveur soa ontrnllica odmlnlatrallvoa ot 110 s'arme, po jr les défendre, do toutes
loa foudres do sa puissance.
L'article a olasse le maître d'Acole dans lu
catégorie des Irresponsables, lo marque d'uno
noto d'infériorité et dlsorAdlto sa fonction.
Uala ausal les pArra ch fnmlllo an montrent do
plua ou plus rAtolua a ne pas nb tiquer lours
urulti aaerôs dovant la p rsounalItA d un I'rAfot.
1<oIAi , lia aeralent éoraaés dans la lutte ; mat»
groupés en aiaoclalton et loris de la putraanoe
Invincible que porte en lui le droit, lia aont sûrs
do faire respecter leurs croyances dans celles
qu'ils ont léguées A leurs enfants.
— « Los enfm ts, noua dit-on, appartiennent A
la Hépubllquo avant d’appurtonlr A lours puronts I »
Contre cetto formule loléo par Danton, le a i f r i­
maire uu II dans uuo discussion sur l'instruction
publique et reprise par les .Incobtna do notre
tpoque, l'nbhA Madoo établit, en une argumenta­
tion almplo et vigoureuse, les droits (ncontostabloa qui reviennent au pAre de famlllo sur l'Aducation do aes enfants, Suivant l'expression do
lji) Feuilleton du qonrrler do TlnUtftre
Maro eun Den a Galon
fie
a vis û’ho uvre r 1794 pe a n 28
..........en» ml* a r glfto)
nur pennad goude, Herrl ha Yan o don
kuiteot «r marner h»g a l u war ho faftantod, ev«l lu I bag o dna amzer, e'rezek
Hiat-Segal. Udiri a zlstio:» tueur a weoh
dn zollet eut Trculgldy, mez pa orranz
du-ze er o'horu pleg u zo o sao Kelennck,
nn wellaz itial nak an douarou nak an
ti karet. lireman ematnt enn hent ovit mad I
Doue r’ho miro ha bennoi Dono r’ho houllo I
X IX
E u n den o k la s k lojeiz
l'a en em gavaz heo’h-unan gant ManerKoz. Y voua a fullgalounaz. A día tur. be
tad he o’harle kalz, n'he doa douetan« ebed
war nr poent-ie, mez an hint a dlle dero’hel
lilas an tad-se pa vljo deut ar mare d'ezhan
dont euz ar vuei-man, pa vije dnut armaro
'I he gerc’hat, an blol en doa lavaret d’ezhl
n’en dlje bevet nemet evlt Doue hag evlthl, hennez oa tec'het ba martezt, nouai
fio vije ket gwelet mul.
U o 'i o welet ho glac’barne oui» petra
lavaret, be dood oa evol skournet ; koulskoude coudé eur pennad e kom iat eu* an
dlllnd en doa ezomm evit mont knll, Vvona
no c houlenne kel awelloc’h Itag ax ton -m
» rea* vad d’be o’ha.Toun. Peuaai etr. «r
Banor ba ne oa ket t o i t u t euz Herrl r Ne
lofer ket marteze dre air UemMB hent, gwlr
co, mes erruet e rafer er memtuz bro, ha
iro-ze an dlspartl ne b»dfi ket naU. ■
'
,
. Laou a gn«az ,e)ft Katell daBleyboD da
dl au tacher koz, iTartho, da breoa eul
lemruer. He-nnan a wlskaz eur obupenn
K U î.ît W IlS f A Æ S S f ï'œ
Ulrabeaa, « Il n ’ost pn» donné A l’Etat'de faire
eolore une raoe nouvelle » paree qu'il n ’a pas
d'opinion lt faire prévaloir. Et votlA pourquoi
nous disons, aveo le mlnlatra Qulr.ot, qu'il n'y a
q u u n e solution du problème aoolalro qui soit
bonne, dans l'état de division où aont lea esprlta
depuis la République : « rononoor oompl&temeut
A fa souveraineté da l'Ktat en matière d'Iuitruotlon publique et adopter frauehement, aveo toutas
ses conséquences, le prlnclp« de la libre concur­
rence ontro l'Ktat et ses rivaux, laïques ou ecolAalaatlquoa, particuliers o'i corporations. »
VolfA pourquoi aunsl, iious réolamons que daua
los Aoolos olllclollos so'l observée la noutralllé
prescrite pur la lot de tüHl.
Kn tormlnant, l’orateur oxposo brièvement lo
but et l'organisation dos asaoolatlons des pAros
da famlllo ; puis uprAs une clialeureuso exhor­
tation adreaaée, par U . lo curA-arohlprfltro, aux
assistants, donno looturo de l’ordre du Jour
ol-aprAs qui est adopté A l'unanimité :
•i00 p ire s et miircs do fam illo, rdtinfs lo M
murs dans la sallu d u l'utrontge Saini-Mallifoii ;
— Ai>rts avoir entendu l'abbd Madoc reuondfouor los droll» Im prescriptibles dos pàrcs do
famlllo responsables de la form ation (nlollocfuello ot tnoralo do leurs on/7mfs ; — ot ddinonti’or que los projets du m inistre Doumoro««
en louant au * parents la posslbi'lltd de contreilor
e//ioacomont l'ensefpnemeal des m altros laïques
et lltironl l ’Amc dos enfants, sans défense, a u *
aftaquoa antlrollplouscs quo m u ltip lie n t trop
d'Instllulours, au m épris do la loi do neutralité ;
rrofoafonti do loulo lour énorglo, contro des
nrojots ii ,t méconnaissent lours droits et violent
lour Ifherld, ao déclarent fermement rdsolus A
rem plir <• us les devoirs quo leur Imposera lour
conscleoro, m algré toutes les pénalités q ui po u r­
ront être édictées par des lois d'oppression ;
D éoldint, po ur donner plus de force a u * récla­
mations q u lls pourraient avoir l’occasion do
form uler, do fonder une association do pôres do
fam ille, eu dehors de toute o p inio n et de touto
arrlôre-penién politiques, dans lo but exclusif
d'oblonlr <;uji soient respectées, conformément A
la loi de I4W, les croyances q u ’ils ont tranam lsrs A lours enfants.
Le toxlo do col ordro du lour sora adressé A U.
lo Hous-l’réfot do Morlulx ot A H. Cloarec, député
do lu olrcoDsoilptlon.
L a iu llv ls la a
J o u r n é e a r t i s t i q u e . » Il a’ost formé dans
notro localité une Société do jeunes gens pour
donuer uu public uuo série de journées récréati­
ves. Lour Initiative, encore A son début, a pro­
voqué dé|A l ’attontlon et la bienveillance du plus
gruiK* uoinbro.
Ainsi, dimanche SI courant, los halles liautoa
otalent plelnoa do mondo qui était là pour as»tstor A la matinée ot a la aolrée offerte par cotto
« JounoBio landlvlaleuno ».
L'audltolro n'a pns ménagé ses appiaudlssemonts. Il y avait nu programme une oomôdl i do
P aul Verdun : L 'A rt do payer son forme. Kilo fut
Interprétée pnr J. Rauuou ; P aul Gorro ; Quoro ;
Horvan ; CueIT ; CIA lie et l ’arson, A la satisfac­
tion do toute l’assemblAo.
A . Cochard, Tanguy, Pluvldlo. Itolland ot Paugain se sont fait applaudir k leur tour dans A u *
vingt-huit Jours et Consultations gratuites.
Ainsi, lu troupo nourollo, dès ses dèbnts, n
réussi A plaire. Qu'lmportont alors cortalnes ré­
criminations chngrlnos, dout nous no connaissons
d'aillours qu'un faible écho Y D'aucuns auraient
Insinué, parutt-ll, que la < Jounesso landUistenno »
avait la prétention do créer un « patronage » pour
10 molu» • laïque ». Qu'onlend-ou par U au justo ?
Kt quoi patrouiigo uurult-on pris comiuo point de
comparaison V Colul do la localité V Serait-Il,
celul-IA moins laïquo, — ou lo seralt-ll plus — que
notre * Union » V
Un auditeur.
l'Io u rln - A Io rlalx
Inoondie. — M. Yveu üeutlt, qui exploite
A Kervcloya la ferme Lanleya, proche du
bourg, travaillait aux champs, mercredi
17 mars, qunud.vcrs deux heures, 11 aper­
çut une épaisse fumée soitlr de sa malson.
11 y courut, suivi d’autres cultivateurs. Son
habitation était en Ihmmes. Ou essaya en
vain d'ar/Cier l'incendie; il n’y avait pas
d'eau. Les pertes s’élèvent à 1.1(10 francs et
a m t convertes p»r une assurance. Le proprl6tiii’.j de u f-rme est M. Dumontrey,
lubltant le Morbihan.
S alnt- P o l- d e- l(o n
L e » v o lu de l'n n o le n c o s v e n t de a U r g u
lln e a . — Lo t.-lbuual curio.aïonnol do Morlalx a
Jugù la ionialui' dorulèro ut o alfalro, qui lors do
sa découvorte lit grand b-ult 4 Salnt-Pol-do-Léon.
L’Atabliasomant des liistillnea, dovoau par la
furet, u’ui.e loi do spoliation 11 propriété de l’Ktat,
était mis sous la gardo d'un liquidateur.
Celui cl l'abientu ; son ub -once fut mise A pro­
fil, Lo oouvout fat euvahl pur uno partie do la populuilou sulnt-pjlltalno, q «l ^’y livra A dea dépré'
duttona ot A des vula.
Quolquos Individus, dont un aleur Ilerdor, réci­
diviste, dlrlKoalont loa ux i>âdl lona d'où l'on rap­
portait tantôt dea guutllèros, tantôt dos fruits, au
hasard do la m ain. Ce Derder, lut mémo octusé
au début do l’onquôlo d'avoir violé des sépultures
dans lo clnietiAro du couvoat. Hais heureusement,
la sulto lo démontra, si lior irr n'a pas uno eonsclenco très scrupuleuse, Il e.'t Injuste do lui taire
suppoitor le poids d'uu loi ctlmo.
Sur la p'alnto du malro, M. do duébrlant, une
ocquéto fut ouvorto, onqaéto qui Im pllquu dans
l'ncous itton do vols ot do déprédations, cinquantesept porsonnos, dont boaucoup do gamins.
Los onquéteurs firent peut être preuvo de trop
de 7.61e. C ost ainsi que Ue idames Bonnalro et
Qodec étalont égaloinont poursulvlos, pour avoir
cueilli quelques fleur» sur la tombo des religieu­
ses, fleura qu'ellos adressèrent aux anciennes re­
ligieuses, mangeant aujourd'hui lo pain de l'exil
en Dslglquo.
Ce« doux dames ont d'ailleurs été acquittées.
Lo Ir lb u ia l a acquitté également, sans dépens,
les nommés V
J.. *
Pont,
J.-M.
uni, Balnnan,
uniuiinu, Quyader,
UUJUUU1, ».'H.
Corre, J.-Y. Q ulllou, Lo Du U, P. M ail», Y. Mario,
Malrot, Marin, Oodeo et Ah gullo, coupables de
trop légora larcins.
Puis les polnes suivantes ont été prononcées
ir vol au préjudice do l'E at, ou rocel : AdA'e
Muai, tomme Pont, A Jours de prison avec
sursl* ; .Ionune Mercier, ft mmo Guéguon, 1&
Jours de prison situa aurait. Toutes les peines qui
aulvont ont été mltlgôoa pai le sursis : Kugèae
Le Saout, 8 Jour» ; fomme Prlgont, 4 Jouis ;
foin mo Crolgnou, 4 Jours ; fummo Le Ulhan, 0
jours ; Ismmo Saout, 48 heu os ¡M arie Dosier, 0
jours ; fommos Dénlol ot Lo Duff, 10 jours ;
fummo Porchor, 8 Jours : Josrnh Corro, 48 h' uros ;
lamino Corro, n io Lo lia it, (i jours ; tommo Sélté,
10 Jours ; fommo ü u èré, 0 Jours j femme Rlvoal,
a jours ; vouvo Afou, ao Jours : femme Quéré,
A francs d'amondo ; tomme Olllvler, a jours ;
femmo Pont, néo Pont, S jour» ; fommo Porson, 8
Jours ; fomme Jaouou, 8 Jours ; femmo Dénlet,
néo Cronn, 8 Jour».
Les Joune» Méran, Cronn, Oodeo, qui ont pris
du ploaib sont acquittés oommo ayant agi sans
dlioernoment et remis A leurs parents. Les pAres
de ces oulants sont déclarés civilement rosponsoblos.
Il on est do mémo pour les jeunes V arln, dit
■L ’IIoatls », et Crenn, 13 ans ; mais la père de
V aria ne seru pas olvlloiient responsable.
Do» gamins do 14 ans : Moal, Dénlel, Déroll,
IlJmary, P. Oodoo, sont acquittés ; mats les pèros
dos t'ols promlors «oront seuls responsables.
Marie Cluégan, 10 ans, Inculpée uo rocel, ost ac­
quittée et romlso A sa mè'o.
ThérAso I,o tilhan, 17 ans, est aoqulttée ; le père
est olvllcn ont responsable.
ÜJounno Lo Qad, 13 ans, et Kmllo Corro, 13 ans,
a lakeaz eur bouned noz, eur schall hlrr ha
dlsllvet hag eur vroz c'hlaz. Pa zellaz er
mellozour uo oa ket mlrout da c'hoarzln ; no
o» ket dlvalo evelse, hag evlt eur pl&c'h
yaouank baza kaer, beza brao pebez plljadur I Lsou pa he gwelaz a lavara* :
— « U'houl a to henvel euz eur b in s tz
hag ho taouarn a zo R\vall wenn, gwall
ytgnon ovlt kesta gwsnnelen I »
— « Mez, eme Yvona, me a la da zúa
anezho evel en deuz great H errl.»
Ne oant ket e’hoaz preít tre pa glevjont
íun taollk blan w*r an ñor. Laou a zlgoraz
ar prenestr, gweloút a reaz rur üoudard,
gourvezet wur an traujou ha moot a reaz
rnktal da zevel ar paour keaz a zeblanto
kaout kalz poan. An den-man oa eun
dragón
grlz V»
oa lUMOt
ruziet
“koz,
VMI, he vou&tnchou
Rlt«
- 1
.. . .
:t ar ewud, eun taol kleze en doa roget
he jod
]( ueou, ho bonnoa goloet gant eur
mouchouer___
_______________________
uchouer leun_ a
wad Ive ha berr oa warnhao. Yvona a zikooraz he zad d'he zougen
d'ar zal.
— « Knr binno dour, enn han’ Done,
eme an den, n ’am euz bet netra daou zevez
a zo. »
— « Goullet oc’h bet er brezel diveza ? A
o'houlennaz Laou epad edo Yvona o vont
da gero'hat souben ha gwln. >
— • Ii,aotrou. unan euz ar G’hlazed en
eur dremen en deuz toullet va jod gant he
g'eze. N'am euz tamm chana ebed, araok
an taol-mw e oan er prlzoun. »
i — « Eus ar vro man oc’h ? >
— < («, aotrou, euz Karaez. »
— « Hó kerent á zo heo 1 •
— « Va m*mm hebken, paour keaz
maouez I Kredl a ra, a dra zur, ev oun
mata ¡ abaoue enr miz n’am euz ket hellet
kaa kelou ebed d'ezb<- *
— « Mad, va mlgnon, eme Laou, c'boui a
ffouiko amata; Me a zo o vont enn hent, mez
va rnatez a vezo aketui war ho tro. »
*
«.BennoxDoue, aotrou.alavara* ftrzoudard. •
sout acquittés commo ayant agi sans discerne'
ment ; los pères sont civilement responsables, lo
second par défaut.
Border, un récidiviste du vol et qui avait dressé
our le vol deux Jeunes enfant», a été condamné
k m o li de prison et A la rélégation.
S
T an 16
l i n p n r r ic ld o
ÌJ \crlmo horrlhlo a ôtâ commis, dimnncho mnlln, A TuUlô, par uu jeuuo homme do seize una et
uoml.
Yves Kormarrec, toi ost lo nom du jouno
n88»8«ln, vivait nu vlllago do Parcîur, avoc son
pòro socond-iiiaîtro do timonerie ot qui allait re­
cevoir prochainement la médaille militaire. Celui-ci
s était mariti upròs lo dócòs do sa famme, A uno
bello sœur, qui avait pour lo Jouno Yves, l’amour
de sa mère.
Tous deux lo choyaient ot lo gAtalont môme.
Sur sa domando, U nvalt achovô ses ôtudos
primaires A recole communale dos garçons do
8alnt-Pol-de»Lôon ot non au collògo de SalntPol, ainsi que l'ont rapporté quolques journaux.
A l'école communale, lo Jouno kermarrec avait
retrouvé un maître qu’il avait connu à Taulé. Il
(ut un élòvo studieux et docile, mais fut toujours
un peu taciturne.
Il demeura 6 la malson cette année et (ut agréé
comme olorc de notaire chez M. Cavella, notaire
à Taulé. Bien mis ot rangé, lo jeuno clerc avait
pour lui la considération générale.
Son pòro montrant ainsi combien 11 lo chérissait
— lui achetait, 11 y a quelques jours une belle b i­
cyclette, blon qu’il on possédait déjà uno. Mais II
n ost pire eau quo l’ouu dormante. Il y a un mois,
U réussissait à voler 60 francs à ses parents. C ’est
aveo cetto somme qu'il acheta à Morlalx le revolver aaroo loquel il vu tuor son père ot tester d’assaislner sa belle-mèro.
Dimanche matin, Yvos qui dovali nllor A la pre­
mière messe du matin, se lova A cinq lioures ot
domlo. Il rofusu d ’accompagner nu bourg une voi­
sine qut était vonutftlo prendre pour faire route
ensomble.
Après le départ do cette vblslne, la joune
misérable armo do son rovolvor, monta A la
chambre do sea parents, située au-dossus do la
sienne.
Son pére qui dormait se réveilla au bruit de
scs pas : « Gommoni, lut dii-11, tu n’es pas oncore
parti A la mosse. »
Son enfant tira aussitôt A bout portant sur son
père. Atteint par uno balle au front, lo père
s’évanouit et m ourut uno heure après.
HAvolllée on sursaut, Mme Kormarrec vit
aussitôt quo sa vie était nuisl en danger. Car sou
beau-fils tournait vers elle lo revolver encore
lum anf.
Salilssant un vloux rovolver, elle voulut
CIT-iyo' lejo u ro criminel nt llrn un coup.
Mais coup sur coup Yves déchargoa sur elle
t ris balles, uno nu front, uno uutro uu poignet,
uno nutru au f t b .
llAlunt, la pauvre fomme retomba sur son lit.
Lo Jeuno monstre prit aussitôt ses précautions
aroc un sang-froid déconcertant, pour détourner
les soupçons.
Il sortit ot alla cacher dnns an buisson lo revol­
ver ot los bullos, puis se prósontn A l ’étudo do
M. Cnvolln.
Pendunt co temps, Mme Kormarroc avait repris
conualssnnco et so mit A crier au secours I Dos
volilns se rondlront A ses appols et pJnétrôront
dnns la maison par la lonôtro ; Mme Kormarrec,
pendant que son mari agonisait, raconta pénlblemont lo drame terrible qui venait do so dérouler
at dénonça lo jeune Yvos.
Copondant.on n ’avait pelno A crolro qu’il fiU l’assnssln ot lacrlso do norfs qu’il simula A l ’nnnonco
do la mort do son père ot do l’état alarmant dosa
mère, parut A pluslours un Indice certain d’un
chagrin sincèro.
Amoné par les voisins dnns la chambro san­
glante, Il y Joua uno deuxlèmo fols In comédie
d ’uno crlso do nerfs. Mais sa belle-mère avait
encore assez de soulllo, pour répéter que c’était
blon lui l'assassin.
Sbanco tonante, les gondarmos présents A cotto
scèno polgunnto, arrêtèrent Yves Kormarroc qui
lour dit alors : « Kh blon oui, c'ost mol l’assassin ! *
Il avait tué. dlsait-ll, afin d'avoir tout do sulto
l'hArltnge. L’hilérét nvalt été le mobile do cet
korrlblo tortali. Le meurtrlor so trouvo A la pri­
son de Morlaix.
Ba bolle-mèro fut transportée A l’hospice do
Morlalx dans un état quo l’on croyait désespéré.
Mois dopuls dimanche, uno grondo amélioration
u été constatée. Oa espère maintenant la sauver.
Interrogé jeudi matin, Yvos Kormarroc, qui n’a
pas l’air do so rendro compte do l'énormlté de
son crime, répondait au |ugo d'instruction : « Jo
trouvo étrange, qu’on me tracasso avec cetto
n(Talre;on pourrait blon me lalssor tranquillo A
la fin I »
Arrondissement de üuîmper
Bureau-Annexe
et Dépôt Central
du Courrier du Finistère
Rue Keréon, 21
QUIMJPER
U n pendu
Dimanche np ès-mldi, on a trouvé pendu
dans une chambre qu’il occupait depuis
quelques jours, rue de Douarnenei, n» 3 le
nommé Vincent Bidon, âgé de 47 ans, sans
profession ni domicile. Avant de se pendre,
le malheureux avait tenté de se suicider en
se coupant la po'xe aveo un îasoir.
Com m encem ent d'inoendle
Vers 8 h. 30, lundi soir, un commencement
d’incendie s’est déclaré au numéro 21 de la
rue du S Allé, dans uue chambre du troisième
étage occupée par Mme Qaeffélec. Ge com­
mencement d'iucendle, où à l'imprudence
d'un enfant, de doute ans, qui a mis le leu,
avec une lampe, uu rideau qui se trouvait
devant la cheminée, a été éteint aussitôt
par les voisins.
D o uarne nei
M o rts subites. — Dimanche matin, on
apprenait tout à coup la nouvelle de la mort
subite de Mme René ViUleu, née Rosa
Friant. La Jeune femme, âgée de 27 ans en­
viron, était maiiée depuis un an. Elle laisse
un tout Jeune enfant.
I.a pauvre mère de la défunte, en voyant
sa li le morte, eut tombée sans connaissance
et <st restée malade depuis.
— Mardi dernier, un Imposant cortège
conduisait & sa dernière demeure Mme
Floch’lay, née Thomas, morte subitement
elle aussi. Elle avait, dit-on, déjeuné de bon
cœur le matin, et son mari s'etait rendu à
son travail. Quand on rentra dans sa cham­
bre, elle était étendue, morte au pied de
sou lit.
Dosoente de justle o. — Une dame
Vllledteu, âgée de 27 ans, mourut peu après
Eva a reaz, taeb dlstaga he bonn, ar zou
benn oa dlgaset d’ezban gant Yvona.
— « Ghoumlt aze, eme Laou adarre,
n’oe’h ket krenv awalc’h evlt dlbrl kalz,
dlvezatoc'h c’houl en em bako. Da c’hortoz
en em zlskuicit ha kouskit eur pennao. »
— * Da genta, me a lavartz Yvona. a la
da walc'hl ar gooll ho peuz enn ho jod. >
Goude e kasar. ar zoudard da gambr Yan.
« Bennoz Doue, plac'h yaouank, Doue
r’he ralo d'ehoé’h, Doue ho paeo ! »
Eu em daol a rea* dlllad hag ail war ar
gwele ha ne zalcaz ket da gousket...
Katell a zlgoueze neuze, dougen c re«
enn eur c'hravan al lemmer he doa prenet.
— « N'euz netra a nevez? a c’houtennaz
Laou. »
— « Netra, une Katell. »
Ar vatez keaz he doa poan o komz.
— « Evelse, aotiou, emez-hl enn eun
taol, terc'hel a rit gant Yvona, ha ne gasit
ket ae’hanoun gnnehoe'h ? >
— « N'hcllan ket, n’hellan ket paour keaz
merch l Hon tri o vemp anavezot hag ouspsnn red eo da unan bennak choum da
tlwal an tl ha da entent euz Leskoat a
zeblant beza fall awalc'h, mez ’n enn em
jalit ket, ni a zeitlo en-dro heb dale. »
-r- « Da ene:enn Volenez ez lt? >
— « la, dre goat an Nlvoty eno ni a
gemero amzer da zlskulzo. Ar re ail a ia
dre goat ar Chrannou. Ouspenn, eur zou­
dard goullet a zo deut aze, kousket eo er
gambr oa gant Yan ; c'houl a entonto outhan
ken a hello kenderc’hel gant he htnt. >
— « la, aotrou, eme Katell gant trlstldigez, me a ralo ar peza c’hourc’hemennit,
c’houl eo ar mestr. »
-p < Sonjal e rit I N’euz mestr ebed a<nan,
eme Yvona, c’houl a zo hor mlgnounez,
o’houi hfcg hopeui aervlcbet va zad epad
kelt ail a amzer, hag a zo bet ken mad
evldon-me abaouo e oan bian tre. »
,H 4g, .Yvona a yrlataz Katell
— « Ab I Y vonu,
v
a lavaràz ar vatez, pe-
avoir sbiorbé une ipotion purgative. La
rameur publique établissant prématurément
une corrélation entre cette.'mort et l’absorp«?n, le parquet de Quimp'er a ouvert une
enquête. Le cadavre de la dame a été ex­
humé mardi soir et le médecin-légiste a
commencé l'autopsle dont les premières
constatations semblent prouver que la mort
serait naturelle et non accidentelle.
Loctudy
Incendie. — Samedi, à quatre heures du
matin, le feu s’est déclaré dans une étable
appartenant à M. Jean-Marie Le Lee, du
Dourdi, et louée à M. Guirriec, demeurant
A Kerdouen. Tout s’est borné à la destruc’ ¡on complète de l'étable et à l’asphyxie de
neuf porcelets de huit jours.
P e n m c r lt
E xpulsion de M. le Reeteurr. — Nous
avons dit que MM. lïarré, recteur et üodec,
vicaire, avaient été chassés brutalement de
leur presbytère.
Après cette expulsion, Monseigneur Duparc a pris l’ordonnance suivante :
Nous, A n o m ie DUPA-RC, Kvéquo do Qulmper
ot de Léon,
Considérant quo la résidence du clergé pnrolslslal do Peumerlt n été rendue Impossible dans cette
localité par lo fait du Conseil municipal,
A v o n s oitn o N N iï e t o i i d o n n o n s c e q u i s u i t :
Article I- . — M. Barré, recteur, et M. Oodec,
vicaire, quitteront luiinâ llatement la paroisse.
Art. II. — Un prêtre désigné pnr Nous, réside­
ra au prosbytèro do TrAogat et sera chr.rgé de la
visite des malades, des outerrements et de l’admlnlstratlon do* sacroments.
Art. III. — Toutes los sonnorlos religieuses sont
Intordltes, mémo pour l ’angélus ot pour les enterromonts.
Art. IV. — Nous no rétablirons le clergé parolsslnl quo lorsqu'un logement convenable lui sera
assuré.
Donné A Q jim p o r, lo l t mars 1909.
f
A
Ër l ë
Chem ins do fer départem e ntaux
q u ih p
do Finistère
La compagnie des chemins de 1er dépar­
tementaux du Finistère a l’honneur d'in­
former le public qu’A l’occasion de la foire
des Veillrs, à Quimperlé, elle mettra en
marche, le lundi 29 mars, entre Quimnerlé
ÜÎ p,ont-Aven, les trains habituels (86 et
87) des Jours de marché, ainsi que deux
trains supplémentaires, aux heures sui­
vantes :
84 bis. — Pont-Aven, départ lu h. 33 ma­
tin ; Quimperlé, arrivée 11 h. 28 matin.
, 89 b s. — Qu mperlé, départ 0 h. 50 soir :
Prnt-Aven. arrivée 7 h. 45 soir.
Nota. — Il ne sera pas pris de voyageurs
de 1" classe ni de bagages, aux trains sup­
plémentaires.
L a S o c ié té des co nrae n
Los membres de la Société des courses se sont
raunls dimanche, A deux heure» et demlo, sullo
Chauvel.
Les statuts do la nouvelle Soelélé ont été approu­
vés A 1 unanimité.
M. Corentln Le Mou«', propriétaire A Quimperlé,
a été nommé lutnibro du comité.
Le comité a procédé ensuite à l'élection d'un
président ; 12 voix, sur 15 votants, te sont
portées sur M. do Beaumont, propriétaire et
ancien malro de Mcclan, qui a été élu président.
M. et Mme do la Forronnays, fllle du regretté M.
de Kerjégu, qui avalent été récemment nommés
présidents d'honneur de la Société, ont été procla­
més membres d'honneur. M. et Mmo do la I'erronnnys avalent offert A la Société un prix annuel
de 200 francs, qui sora dénommé prix de Kerjégu.
C u llllg o m a r c h
dolphe,
Evêque de Qulmper cl de Lion.
P le u v c n
Un homme dang ereux — Depuis déjà
quelque temps, les époux Claude Nédélec
et Auna Keravcc vivent en mjuvaise inteîllgercî. Ce sont des reproches journaliers,
puis iis coups s'er.suivent. Nou content de
ces faits, le mari, dans ses moments de su­
rexcitation, menace de tuer lemme et en­
fants. C'est ainsi que le 17 courant, dans
l'après-midi, son épouse lui ayant fait une
observation au sujet de sa manière d'agir,
Nédélec saisit une pioche, et n’ayant pu
atteindre sa femme qui s’était vivement
sauvée avec ses enfants par la fenêtre,
brisa la majeure partie de son n obilier et
poussa la malveillance'lasqu'à mutiler plu­
sieurs plants de pommiers, dans le verger
dépendant de la propriété.
Condamné dernièrement à 3 mois de pri­
son pour vol, Nédéiec rend sa l'ami le et ses
voisins responsables de sa condamnation,
et depuis ce moment, son entourage est
Justem ;nt inquiet, Nédélec menaçanf d’in­
cendier ses immeubles, après avoir trempé
ses mains dans le sany de plusieurs voisins.
De l'avis général, NtidMec qui est consi­
déré coonm» un hommi violent, Irutal et
excessivement dangereux, est à infime de
mettre son funeste projet à exécution d’un
Jour ft l’autre. D js mesnres immédiates à
son égard seraient nécessaires.
P log ofl'
Com m erçant d'ab ord, m aire ensuite.
- Les derniers articles du ¡‘roi/rôt, sur
l'administration municipalede Pio^olT.sem»
blaient avoir eu pour effet de calmer, pour
un temps, notre magistrat. Malheureuse­
ment, ce calme n’était qu’apparen'. ; le
renard, comme on dit, dolr mourir dans sa
neau, à moins de pousser la barbarie
Jusqu’il l'écorcher tout vivant. On ne peut
cependant pas passer sous silène» des abus
d’autorité commis au déttiment de l’intérfit
énéral, pour servir des Intérêts particaers.
C’est ainsi que l’on entend tous les jours,
les plaintes de biaves citoyens qui hésitent
à demander ft la mairie les pièces dont ils
ont besoin ; non pas qu'ils en fassent grief
ft l'intltuteur-secrétalre, car cet honorable
fonctionnaire se met ft leur disposition avec
une amabilité et un empressement qui lui
attirent toutes les sympathies ; mais ils
appréhendent surtout la réception de M.
le Maire, quand 11 leur faut aller chez lui
présenter ces pièces à la signature. Outre
que notre magistrat n’est pas tendre pour
ceux qui ont le malheur de ne pas être ses
clients habituels,ces derniers ont, par^î:-il,
à supporter les observations malveillantes
de son entourage.
Pourquoi le cachet n’est-il pas ft la
mairie? Pourquoi le maire, où son délégué,
ne donne-t-il ûas les signatures à une heure
déterminée et dans l’établissement commu­
nal affecté ft cet usage V
A cela,notre cher magistrat vous répon­
dra en son ame et conscience: «Avant
d'être maire, j’étais commerçant, et si J’ai
brigué le mandat qui m’a été conlié par
une minorité sans valeur, c eit moins pour
servir les Intérêts d’une cause politique que
pour faire fractiiier mon commerce et
augmenter m 's revenus aux dépens des
brebis dociles de la commune. Comme
opinion politique, Je n’en ai qu’une et la
voici : tout électeur, qui n’est pa» client
de ma maison,ne peut Otrerépublicain, ma s
doit être considéré comme réactionnaire at
dénoncé comme tel. »
C’est donc pour exercer une pression
tyrannique que M. le Maire a fait porter
chea lui la vignette municipale ? Sous un
régime démocratique et au XX* siècle, on
se croirait réellement en pleine féadaiité,
dans cette malheureuse commune de Plogoff. Et quelle féodalité ? héla» I elle est
comme la mairie... elle manque de cachet.
L’autorité supérieure voudra bien, nous
l’espérons, entendre nos do éances et don­
ner des ordres pour que les cachets de
mairie ne soient pas confondus avec les
poids et mesures qui traîaent sur le comp­
toir d’un épicier ou qui sont relégués dans
la cave d’un marchand de vin.
Un administré.
G
P lo z é v c t
Conférenco agricole. — M. Saulière,
professeur départemental d’agriculture,
fera une roiférence aaricole à Plozévet le
dimanche 28 mars, à 8 h. 30 du matin, sur
le sujet suivant : Fonctionnement de la
caisse locale de crédit agricole.
naoz choum hep ho karout, c’houl am c’har
kement?l... »
Yvona n’helle mul, gouela a reaz hag en
eur gregi en doum ar vatez a lava*az :
— « Pardounlt d’in, pardounit d’in. »
— « Pardounit d'ehoe’h. mez petra? »
— « Allez ez oun bet dHrue* evldhoc'h,
mez ne veziu mui... »
An daeldu a harpaz he zeod.
— « Mez, petra zo ’ta, a c’houlennaz Laou
ha ne gomprene netra, n’omaomp ket
vont d'an Amerlk, abenn tri pe bevar miz e
vomp en dro. Pa vefomp e Molenez, ni a
zlgaso kelou d’ehoe’h ha neuze c’houi a
zeuio d hor c’haout. »
— « Mad a gomzlt, aot»ou, eme Katell,
la, gwelioc'h eo d in choum aman. »
Laou hag Yvona, goude beza lavaret kcnavezo da iieskoat hag eur wech ali c’hoaz
da Gatell, en em lakeaz enn hent. Ar paour
keaz matez a choumaz pell er prenestr da
zellet outho opellaat ha pa n'hellaz mul ho
gwelet. e reaz c'hoaz eur pennad goue’a.
« Doue r’ho diwalo, tmezhi. Laou en deuz
kalz a galoun, mez ma vez anavezet ha dlspartiet oc’h Yvona, petra ermo? Koll e
rato be benn ha mervcl a ralo gant ar ran'aloun, karout a ra anezhi kement I... G weet am cu* ar vere'h-ze o c'henel hag o
kreskl I... nak hi a zo mad ! nak hi a zo karantezuz I... ha ma varfe I... petra e teuln
da veza? .. Mez me a choum aman, kambr
Laou a die beza dlrenket oli, mont e ran da
welet. *
XX
Katell IH...
Katell a blgnaz goustadik gant an diri
(ne oa ket yaouank ken nebeudj hag a
zlgoraz an nor war kambr be mestr karet
Laou Treslgldy ; mez dont a reaz raktal
war he c’hll, dont a reaz a-drenv stralillet-oll. An armel hag a oa dlzonjet
enn-hl paperlou Laou hag Herrl, an
armel-?e oa dlgor-frank bag eun den braz
gwisket evel eur zoudard a lenne Anezho.
f
Arrondissement de Quimperlé PLABENNEC. - PoP"i. “
— Depuis
peu de ttmps, M. Huby, de Guilllgomarch,
avait ft son service un nommé Méfort, qui
avait été précédemment employé chez Mme
Méjo, à Cléguer, où un vol de 300 fr. lut
commis. D 'rniè’-ement, Huby, en vaquant
ft i es i.co, pat on«, d couvrit une cachette
de io fr. appart ment a son domestique.
il lit part de sa dé ouverte ft une voisine
qui se trouvant être ¡amère de Mme Fiéjo
de Cléguer, s’t mpres^a de mettre sa iiile au
courant, mais quand cellé-ci voulut avoir
des explications avec Méfort, le garçon de
ferme avait disparu, sans même demander
à son patron le paiem :nt de ce qui lui était
du.
L a c a c h e tte d u d o m e s tiq u e .
lUec-stir-Belon
Ignoble personnage, — Pierre Gueroue, 27 ans. jo u r n a lie r à Lande-J u lie u L e ,
a é té mis e n é ta t d ’a r r e s ta tio n p o u r a tte n ta t
ienoble contre la petite Louise Durand,
10 ans, qu'il avait surprise, samedi, reve­
nant seule du c a té c h is m e .
G O E R IS O N
DES
H E R N IE S
u
n
s
L
A
H
E
R
N
I
E
L a M éth o d e C la v e ric
de P a r is
e st la s e u le q n l H onlago e t g u é r it
Les nombreuses personnes qnl soutirent
de hernies ne doivent pas se laisser abuser
par les promesses des soi-disant spécia­
listes nui se décernent eux-m êmes des
médailles sans avoir Jamais participé ft au­
cune exposition.
Seule la méthode CLA VfclUK, appliquée
dars tous les pays ;à plus de 950,000 ma­
lades, ollre la garantie de 30 ans d’expé­
rience et de succès, l'exemple de nom­
breuses guérisons obtenues et d a m e n t
c o n s ta té e s et les soins d’un praticien
absolument hors de pair dont la compé­
tence est hautement connue et appréciée
de tout le corps médical.
Aussi c’est un bien vif plaisir pour nous
de pouvoir annoncer à nos lecteurs la pré­
sence parmi nous de M. X. C L A V E lU E et
nous ne saurions trop recommander aux
personnes qui seuffrent de IIE B V IE 8
K F V O IlïS , üE S O E X T E S rd e se Sfedre
aux visites du savant praticien, qui fera
lui-même l’applioatlon ae scs merveilleux
appan ils en prodiguant ft tous gracieuse­
ment les bons conseils de sa longue expé­
rience.
M. A. CLA.VEUIE recevra de 9 h. à
5 h., ft :
LESNEVEN, lundi 29 mars, hO tel de
F rance.
S T -PO LD E LÉON, mardi 30, h ô te l
de France.
M 011LAIX,
lE n r o p e .
mercredi
A
31, h ô te l
de
Jeudl I,r avril, hdtel
de l à G ra n d M aison.
F ra n c e ^AMMtAU, vendredi 2, h ô te l do
LANDERNEAU, samedi 3, h ô te l de
l ’U nlvers.
UREST, dimanche 4 et lundi 5 , h ô te l
de !• rance.
DOIARNENEZ, mardi 6, h ô te l de
France.
F ra n c e I>ER’ mercredl 7 avrll>h a tcl de
O l IM PERLÉ, jeudi 8 avril, hôtel da
JLion u u r.
Lire le “ TRAITÉ de la H ERN IE ”,
ouvrage de 150 pages et 200 irramurt S que M. A. CLAVERIE, 234,
faubourg Salnt-Martln, à Paris
envoie gratuitement et discrète­
ment sur demande.
7956
R E T O U R D ’A G E
• f » i « w n u * nom attcotins
U R D * a n
grande commodité des malades des pa*
roisacsv^siBés, M. le docteur Tostivint,
de Plabennec, sera à la disposition des ma*
lades et leur donnera des consultations, à
K c r n a ln t, le mercredi, de 2 à 3 h. ; à
H ottrg-lllanc. le samedi, de 2 à 3 h. 4121
iiK a a o ir r a
I- o h
» p p a i'e llm
«1«
p o u r le
t r a it e m e n t d e s lie r n ie n ,
o n t
o l» te n u
l 'a p p i* o l> n t io n d e s p lu s h a u te s s o m ­
m ité » ,
c,orp.s ®£dical ordonne généralement
1E lixir de V irginie Nyrdahl contre les
accidents du retour d’ftge tels que : hémor­
ragies, congestions, vertiges, étouffements,
palpitations, gastralgies, troubles digestifs
et nerveux.
Ce médicament, par son aotion sur le
système veineux, est également souverain
contre les varices, les hémorroïdes nt la
phlébite. Envoie gratuit de la brochure ex­
plicative en écrivant : Produits Nvr-
On sait aujourd’hui A quoi s'en tenir sur
la valeur <\
r‘ ceitaio s méthodes préton- dahl, UO, m e de la llochefoucaiild
dues mer A ille: s s, aussi inefficaces que Paris.
les anciens af pareils A ressorts rigides ou
Tout E lixir soi-disant de Vlrelnle, ne
A pelotes noires et q ii ae fintque réserver portant pas l.i signature NYHBAHL est
les plus cruelles déceptions 5 c;ux qui ont une im itation ou un«; contrefaçon.
1Imprudence de leí adopter.
Avant (le faire vos achats en vdê
Seul M. Glaser tient le record pour cette des fêtes do Pftqacs, rensclenczspécialité depuis 30 ar.nées, seul son appa­ vons
19
reil a remporté les plus hau:s prix et une
mention honorable de M. le Ministre.
Son appareil, sans ressort, est le plus
doux et lu plus I-g r, imperceptible, il se
porte nuit et jour ; i! permît les travaux les
plus durs, ne se dér nge pss et ne gêne en
rien quels que soient íes mouvements du
LE PLAT, 91, rue de Paris, BREST
malade. D'une résistance sans éga'e, il
Vous y.trouvererde ¡très gros avantages
maintient les hernies les plus tenaces et
les guérit en peu de temps. Aussi a-t-il été
Cette maison de premier ordre fait les
reconx.u par tout le corps médical comme déballages aux endroits ci-dessus : le sa­
étant le seul appareil vraiment sérieux et medi Snint-Kenan, sous h a ll ; le lundi
sclentilique. Nous sommes heureux d'ap­ Lesnevcn, sur la place ; le mercredi
prendre aux malades, hommes, femmes et Lannille, sur la place.
7904
enfants atteints de hernies que M. Glaser,
le grand spécialiste sera à nouveau parmi
AR GWELLA louzou du purlda Kuiûl au düd
nous Grâce ft ses conseils de nombreux ma­ vraz 00 or
lades ont retrouvé la plénitude de leur
santé et leurs for-es.
Nous engageons vivement les malades
hermeux à venir essayer cet ingénieux appireil à :
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Quimperlé, le 29 mirs, hOtel d i Liond Or et Voyageurs.
»
° 0UALLE’ ap0UkerM
Châteaulin, le 30 mars, hôtel Grand’- . r t e f AU
Maison.
üuimner. le 31 mars, hôtel de l'Epée.
Pont-l’Abbé, le 1”'' avril, hôtel du Lionnvolu*1*
P®tûdeett®i m&ladl0 sjdu,'cutr
d Or.
En venta ft la pharmaela Douai!#. Lnndivlilim.
Carhaix, le 2 avril, hôtel de France.
Morlalx, le 3 avril, tôtel üozellec.
C h e m in s de fe r d o T É t a t
Brest, le 4 avril, hôtel de France.
Billets
d'aller et retour délivrés ft l'occasion
Lr sneven, le 5 avril, hôtel des 3 Piliers.
des fêtes de Pftques
Envoyer 0 fr. 30 à M. Glaser, à CourbaA l'occasion <es fîtes de Pflque», la duré« do
voie-Paris pour recevoir franco son traité
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PALES CO ULEUR S
(grandes lignes) délivrés par toutes les gares du
réseau de 1 Etat, & partir du Jeudi J - avril, sera
proloDgés, excepUonnellement, Jtuqu’au dernier
train du jeudi 22 avril 1909.
En outre, les billets de bains de mer valables
normalement 3 ou 4 Jours, et d'excui\sion
Mont-Baint-MIchol, délivrée au départ d« Paris
ot do toutes les gare* des Ugnes de Normandie
et de Bretagne, è partir de la mômo date, auront
leur durée de vallaité prolongée dans les mêmes
conditions que les billets d'aller et retour ordi­
naires.
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SPÉCIALEMENT
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ê r m ïrocbur# fr&
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rriac*
Brest : Dépôts, pharm. Leblgot, 46-48, rue de la Hampe ; Qulmper, pharm Meret.
rue St-Françols.
7-887
Pa glevaz Katell o c’nopal ar zoudard
zellaz en-dro d'e7han. Kan eul Iamm edo
enn he c’hichen ho c'hour-gleze enn he
zourn.
— « Ger ebed pe ez cc'h maro I »
Katell oa kalounck, mez blzaj fall ar
zoudard he spnuntaz.
« Einaoun daré da v c iv d , a J.onjaz, va
Doue ho pezet tru' z ouzln.»
Ne respounte ket hec’h enebour, mez he
daoulagad a bire warnhan heb gwelet mad
an dremm anezhan abilamour ar mottchouer en doa war he benn a c’hoioe an
banter euz he vizaj. Katell a dost?.a:z, a
grogaz en eur greña er mosc’iotter ha7 r’n
eun taol prlinm hcsklapat kuttdiwar daou­
lagad ar zoudard.
— « Jakez, cmez-hi. »
— * la, Jakez, eme ar falz soudard, la
Jakez, mez selaouit mamm-goz! Si laou lt i
ma lavarit d’in ar pez am euz c’hoant da
c'houzout me a raio o tigemerout enn eun
hospital bennak ;ma nerlt ket emaoc’h heb
dale er prlzoun evel mlgnounez eun don hag
a felld'czhan teuler ar c’houarnamant d'an
traon, ha mcrvel a reot eno gant an naoun
pe zoken plgna e reot war an nijerez pennou, war ar c'hlllotin, klevet ho peuz? •
— « Me mlgnounez eun den hag a fell
d’ezhan laza! Ne gomprenan ket ac’hanhoc’h l >
— « Evel a gerot, va merc’h, anavezout e
ran paotred hag a gavo an tu da lakaat ho
teotf da vont en-dro. Me n’am euz ket
amzer da goll. Setu va goulennou all I Ma
kendalc'hlt,da veza mud, me a ralo d’ehoc'h
respount, dlwallt I Da genta: da beleac'b
eo eat ho mestr ?
— «Da Bleyben, warc’hoaz e teulo en-dro.»
« IlagH errl Leskoat?»
— « Da Garacz.»
— « Mad, ni a welo an dra-ze, anavezout
e ran breman mlgnoned ho m istrl.»
Ha Jakez a zlskouezaz eur bern paper
en doa dlndan he gazel.
— • H k goulenn c'hoaz, an bini dlvezx,
rti>poüutil eta heb kuza netra. Ha gwelet,
ho peuz eun den wardro SO pe 55 vloas,
moai, na bian na braz ctre an daou, hag
ouspeon teo ? »
— « N’an avezan den ebed cvelse. »
— * Hum ! a reaz JaVez. mez » ’euz forr,
digasit no tourn, mea ia da reld'ehor.’!i eue
chadenntk eured da lukaat war t i . t¡wreac'h. »
Kpad m’edo ,i iltoz o kl isk ha gorden i
evit Hamma daouam K iteli, hou man iudevoe eur zonj primm.
— « Pa ez co gwir en denz an <! aoulm m kr,ve1 paparini! ! anu h:tj< llcrri t z iut
kolietno daou. iiod eo d’in savetel anezho
konsto pe gousto. »
Tenna a reat founnuz he boest bntun euz
godei he íavaneher ha sklapa a re** ar
pez a oa enn hi enn daoulagad .lake*.
Uen-man dallet, an eon enn he ctienon
kement a lamme gant ar gounnar, a lezaz
he baperlou da goueza war ar gambr. Katcll, l'Jcr pa ve*ered, ho e hemera* raktal.
Jakez a folla* d’ezhan kregl enn he breac'b,
mt 7. hou-man a dcc'haz kolt hag a zlskennaz gant an diri ar buapna ma cTiello. Sonj
e doa da gaout amzer da zlgerl an ñor vrat
ha goudc d’he frenna evit dercbel Jakez
en ti, araok he vljo paket gant han. Eun
tammlk c’hoaz hag e* eo deut abenn eut
he zaol. An alc’houez a zo er portait, mez
enn tu uiabarz ; ma vljo hot enn tu all, Ka­
tell e oa saveteet. Koll a ra eun dekvcd minud o lakaat an alc’houez enn tu dlavei ha
santout a ra eun dourn n:rzu* o kregl enn
be diouskoa*. Jake* en doa lammet warnhi hag en doit he filet d’ah donar.
I D a g e n d e lc 'h tr .i
deCONFIANCE
íjetitíe"! nuvri,br“ T ^ B A U p * ík u ^
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Ï.B COURRIER DTI FINISTERE
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COURS
du 11 mars du
Farinai Coûte ¡ f irijuçs 31 fr.?5
24 35
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COURS
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V U le t t * ( P a r la ) do 25 mars
a ir io ls
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173
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1.8S5 1.505
McHtonj 11.»77 11.953
Poro«.,. 6.803 1.G0O
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M a r c h « ! d a D ép arte m e n t
CMIuulln. -> Marchi du 1« mura. — Fre­
nanti lai 100 kU.ll.tOj uvolne,17.60 ; «algia, 17,00 ;
C
H
I
O
Etudes de M» VIGIIOT, avouôlicenclû & Urcst, 24, rue de
Sium ot do M* LE GALI,, no
taire & Plouguorncau.
17rm T r P»r licitation judiciaire,
i t i l l l u en l’6tude et par lo mlnlstôre do Ma Le Uull, notalto i»
Ploueaerneau, le samedi 17
a v r il 1909, à uno Heure de l'a
prôs-mldl.
D É S IG N A T IO N
Promier loi
En la commune de l'io n g n e r
n c a n , au lieu de Korjutltt
varîi ;
U n e p e tite F e r m e
consistant en molson d’habita­
tion et bâtiments d’exploitation,
terrea chaudes ot froides, appar­
tenances et dépendances.
Le tout cadastré, noctlon G,
n « 471,472, .170. 388, 3S6 et 382 e ,
■ectlon O, n° 138, pour une con
tenance totale do 72 ares 14 cen.
tiares.
Mise A prix : Deux mille trois
oents francs, cl, 3,300 fr.
Ladite forme est louôo A Mme
veuve Jacq et M. Ambrolso Leven, Jusqu'au 29 septembre 1915,
■ulvantbnll du 11 Janvier 1905,
an rapport do M* Boulller, no­
taire A Lannllls, moyennant llï>
francs par an, Impôts et chargos
en srs:
Ce lot a droit de culro dans lo
lourde M. Abarall, de Lannllls,
propriété voisine.
#r*a. 16.(0 ; mrrar.ln, 15.(0; beurra, la kilo, 2.33 ;
0 ,lr. 00 ; moatous, 0 Ir. 05 ; vsaux, 0 ir. 00 ;
•u u, 1b dout, O.dO, pomme« de t., 5.60 la i 100 hll.
Proment, les 100 kilo«, 11 Ir. f 0 ; «olglo, 17 Ir. 00 ;
orge, 16 ir. 00 ; rarrazln,18 Ir. 00 ;avolne, 17 fr. 60,
—
Marobfi du 24 mari). » Pro­
pommes de terre, 5 Ir. 60 ; beurre, lo ïllo ., J ir. 30.
meut, les 60 kll.. 10.60 ; orge, S.oo ; »arrazln,
■uto, la douzaine o Ir. 00 ; loin, les soo kilos,
8.15 ; ovolne, 0.00 ; ton, 8.00 ; p. de torro.las 10
86 Ir. 00 ; paille, les 500 Kilos, 25 Ir. 00 ; son, 1rs
kll., S.50 ; poro Irais, 1.16 ; bourre s a li, J.to ;
loo Mlos, 25 Ir. oo ; Surina, ! '• qualité, 19 tr. oo ;
beurre «ana aol, 1.70 ; œuf», la douz., 0.86
1“ qualité, 20 ir. oo.
L a n tiiv itliu . — Marché du 24 mura. » Kro*
SlrPol de Léon. —Marché du 23 mars.— Farine
H aut, la i 100 kll., Sl.co ; m ite ii, 15.(o ; seigle,
V quai., le» 100 kll., :i),00 ; larlne, 1', 1U.C0 ; lio14.00; «arrtuln, 18 ; avoine, 17.50; orge, 10,(0 ;
ment, S3.03 ; avoine, £1.50; blù noir, 18.00 ; orge,
p. de terre, o.oo ; coula, la d o u i., 1.50.
18.50 ; loin, 17.1*0 ; artichaut», 00 fr. loa 100 kilos;
Lotnetien. « • M arohi du ü3 niara. — Prô­
obotix-flours, 3,(0 la douz. ; pom. do terre 11,00
n e nt, lo i 60 kll., 10.25. Orgo ld. 8.00. Burrnzlu,
les 100 kll.; œuf i la douz., o 76.
8.76. Avoine, ld., o.oo. Pommoa do terre, l u 50
Satnt-Ronan. — Marché du 20 mnrs. » « F r o ­
kll., 8.00. Betirro «alô, lo kilo, 3.(0. Beurra (ans
ment, les 60 kll., 10.50 ; orgo, 9x0 ; surrozln, ld.,
ael, ld., 2,00, Πulg, la douzaine, 0 00.
8 26 ; avoine, ld., 9.00 ; pommes de terre, les 50
Q ulm por. — Marché du lu mars. — Promeut,
kll., 4.00; pain blano, toute fleur, le kll., 0.10;
21.50les 100 kll.; aelgla, 17,60; blé noir, 17.00;
palu bis, 0.26 ; bieufa, le kll., 0.00 ; vache, 1.40;
avoine, 19.60; orgo. 15.60; pomme» de terre, 5,60;
[ênlsio, 1.45; voau, 1.60: mouton, 2.C0 ; poro,
loin, 38.00; pailla, 15.00; larlne, 1 " q uai., 31.00 ;
rais, 1.10;bourreaulô,lekll.2 40 ; bourre «an« sel,
larlne, V quai., 29.50 ; io n , 14.60.
i 2.00 ; a u la , la douz., 0.85: loin, les 600 kll,, 24.G0,
fo n l- l'a fiM .
— Marché
du 25 mars,
mille, 25.0 ; son Ica 100 kll., 7.50 ; farine, 1“ quai.;
________il,_ 11.2!
___ 16 Belglé,
..........
o.oo......
Orge, 0.60. n ié noir,
Promani
a oulaoüo, 36.00 ; farine, !• qualité, J.’i.oo,
M.00. Avoine,
A tVIIUO, 0.00.
u,vw, ruutiuoa
Pommei uu
de terra,
tou», «.uu*
1.50. Pola,
rum,
44.00. las 600
too XU.
kU. Paille, 15.00. IBul»,
CBul», prix
prl: moy«J*
0.85 la douzaine. Beurre, 1.35 le 1/1111.
Qulm porlé. — Marché du 10 irmrs. — Tac*
f i ü E H E Â I I A IO"! ACHETEUR.
fo&Ess
Dflmand»zgratli etfranco,
raaux, le kU., o Ir. 60 ; boula do hoocherlu,
l'Album Illustrò tlo Montres, Bijoux PAnduloe,
• Ir. 76 ; vaches dn bouobarle, 0 Ir. 50 ; ban ts da
OrfèvroHo du Gd COMPTOIR NATIONAL.
travail, ordln. ; bouvillons, 60 Ir.; vaobes lait.
E. DUPASJiiritt'.IO.nuodoBollorikBESANÇON(Diati).
100 ; géulise*, 800 fr. ; ohevatu, tr. élevé ; poras
r
'
Concourt ûfücit' ûannratolr» 1S!3,
f
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C
O
Etudes de M9 Louis ALLATN,
avoué-llconclé A Brest, ruo du
Gbftteau, 21 ot de M« Gh. LO
H1N, notaire A Guipavas.
1/FiVTr pur licitation judiciaire,
i l l l l l i u uifiine n u - d e sso u s
de la in la o il p rix .
Le samedi 10 avril 1909, ft
deux heures aprés-mtdl.
En rotudn et par lo ministère
do M» Charles Loiii\ notaire i
(luipavns
DESIGNATION :
Pi'emitir lot
En la coinmunx! <ln Gnlpnvus, uu village do Kdroulia?ti :
$ n e
p e tite
$ e rm e
L
A
T
-
S
A
Etudo de M*DE 110DEUÆC DU
P011ZIG, notaire St-Renan
injm npp par adjudication volonl ï i l l l l j taire, en l'étude, le saîtie.ii l / a v r il 1909. A 2 heures
do l’aptôs-mldl.
En la ville de S a in t R e n a n
A l’nngle do la placo aux
Vaches et de la route de
Saint-Rouan au Gonquct.
L e s S a in t s d e B r e t a g n e
S
Che/. L. U ahon-U ault
Im p r im e u r- édltcn r A H e n né s '•$[
Q o ì n f H n m > / i pur lu comte R. do Lalgue.
Ç J d llIl n t l V L ,
nroDilor titre de la
nouvolle collection populaire doa « Saint» de
Bretogno » vlont de parnltto. Lo lexte est ôcrK,
mutilo do le diro, de main do mallre, la tenue
typographique Impeccable ot les Illustrations fort
Intéressantes ; la production du célèbre tableau
de Locmélar présente à elle seule un attrait con­
sidérable, ce m onument étant hélas très menacé,
pordu par lo temps.
Los personnes qui ont aouscrlt eo réjouiront
par leur adhésion aidé à l ’établissement do cetlo
si utile collection : les autres s’amprosseront do
fo procurer sahit Hervé vendu en librairie 1 fr. 10
franco. Tous seront captivés par lo charme du
stylo de M. do Lalgue et liront avoc un Intérêt
croissant los détails sur la vio du saint aveugle,
sür lloarvlan, sain*. Urphoed, lttvanone, Gutnarau, Krlatlna et goûteront fort les chapltraa d’érudltton oonsacro aux reliques de salut Hervé
au cuite du saint (coutumes, Iconographlo, mo­
numents).
Lo second tltro do la collection Saint Samson
do M. l’abbé Duino, du diocèse de Rennes, est
sous presse et p araîtra dans lo courant d ’uvrll. Il
sern adressé dés apparition aux souecrlpteurs
aveo la vio populalro do saint Hervé, brochure
do propagando Illustrée à 0 fr. 10.
X ...
E
N
Louis
E
consistant en maison d'hablta
$
tldn,ayant reï-dc-chausséo, étage
P R IZ ! E U R S E O E D
ot grenier, appentis, grange, écu­
ries, lieux datsances couverto
tous en ardoises ; cour, Jardin,
champs do terro labourable, Is­
sue, circonstances et dépen­
dances et communauté d'un four
ot d'uno malson A four, droit nu
puits. Le tout llgurant au cadas­
tre section F, numéros 23, 24,25,
.'8,30 et 31, pour uno contenance
A toutes les personnes qui ont fait ueage
do 1 hectare 01 ares (0 centlares.
do la JOUVENCE de l'abbé Soury
Sur la mise A prix do neuf
nous rappelons qu’il est utile de faire une
mlllo francs, cl, » ,0 0 0 fr.
cure préventive de six semaines. A l'approche
Et même au-dest:ouo de cette
_ du printemps, pour régulariser la circulation
ml«o A prix.
Qftte fermo est louée jusqu’au
W SSip
<1« saaK et ôviteï' les malaises sans nombre
Q u a tre C h a m p s
.iZ& s
qïïl Hur(,iHSent à cetto époque de l’année.
29 septembre 1921, aux époux
Eïijcr « portrait
A ux p e rs o n n e s q u i n ’o n t p a s en co re
Guillaume MoDgant, moyennant d'une contenance do 15 hectares loues jusqu’au 29 septembre pro­
e
m p lo y é
Deuxième lot
chain, à MM. Le Dulï, Le Roux
un formage annuel de 300 francs 90 ares.
Bn la mSmo commune, uu Heu ot l’acquit des Impôts.
et
Thomas.
7958
Ea la commune do G n ïp n v n s,
de Croae-Edorn :
Deuxième lot
au lieu do Koruao, section H.
nous ne cesnerons de répéter que ce médicament, uniquement
Etude de M* Th. FLEURY, no­
Deuxième lot
Kn la commune do Gulpncomposé de plantes inoll'enslves, dont l’ellioacité tient du pro
taire A Morlaix.
Un Cham p
vns, au village do Kiroulmnt :
dige,
peut être employé par les personnes les plus délicates
do terro labourablo dit Parc-arsans que personne le sache et sans rien changer A ses habi­
n°* 1189 et 1190, contenant 2 hec
W e n te d 'a r b r e s
Radennoo, cadastré section G,
U N E FER M E
tudes.
En l’étude
a ° 512, d'uno contenance totale constatant en maison manale. tares 35 ares 70 centiares.
I La JO U V E N C E de l ’n b b é S o u ry guérit toujours A la con­
IVotn. — Ces doux lois loués
de 27 aros 2 contlarcs.
uno écurie, grango et refugo A jusqu’au 29 septembre 1913, SOO Le m a r d i O a v r il lOOO
d itio n d'être employée sans interruption, tout le temps néces
Mise ù prix : Sept cents francs, porcs, crècho, couvert« tant, on
A 2 heures
|salro.
traues l'an, une commission de
cl, 700 (r.
ardolsas qu’en chaume ; cour, SCO francs, impôts et chargea.
Se trouvant sur la ferme de la
L a vente do ces Immeubles u alro A battre et courtll A paille,
ü o is s liir o , en P lo n r in , en for­
Troisième lot
été ordonnéo par Jugement du vaax, droit Ala maison A four et
mant l’ailée et divlbés en quinze Ide maladies intérieures, métrites, fîbrômes, suites de couchfs.
tribunal civil de Urcst. par dé­ au four, droit au puits. Les
lots, comprenant :
faut faute de comparunrc, du 18 champs dlta Parc-Gras, n» 29 ; de terre, n° 1212, contenant 2
223 chênes, 220 hCtres, 16.0châ­ j réglés irrégulières ou douloureuses, hémorragies, pertes blanfévrier 1909, enregistré.
Goarem-Blan, n» 84 ; Goarom-ar- hectares 73 arcs.
taigniers, 74 ormes, 50 frffhes et le/ies, troubles de la circulation du sang, maux de tête, vertiges i
¡étourdissements. Vous qui craignez les accidentsdaR E T O R III
E n tr e :
Vllln, n» Mi ; Ar-Gormlll, n° 41 ;
Louées jusqu’au 29 septembre 3 sapins.
I d ’A GE, faites une CURE avec la JO U V E N C E de l ’a h h é
1» M. Louis Le Droff, cultiva Paro-ar-Valy. nu 429 et le pré dit 1913, 15ü francs l’an.
Exploitation facile,
I S o ury , et vous guérirez sûrement.
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teur, demeurant à Korgongar, en L’oennoc-ar-vllln, n» 97, lo tout
Quatrième lot
Pour les voir, s’adresser A MM.
Landéda ;
section F du cadastre, d’uno conLachuer et Coroller, fermiers et j La JO U V E N C E se trouve dans toutes les pharmacie». Le
2« Mme Marle-Au (rustine Le tononce approximative do 3 hec­
pour renseignements AM” Fleury. | flacon, 3 fr. 50, franco gare, 4 ir. tO, les trois ilacons contre
I mandat-poste 10 fr. 50 adressé AMag. Dumontier, pharm., 1
de terre, n°* 1220-1213 et 1211.
DrolT, et M. Louis Jall'rfts, com­ tares 85 ares 10 centiares.
merçante Brest, rue Mongo.n» 1,
Sur la mise A prix do treize contenant 3 hectaros 07 ares 90 Etudo û3 Ai* Th. l'LEURY, no­ I place de la Cathédrale, Rouen.
(Notice et renseignements confidentielsgrsitis)
son mari qui l'asslsto et l’auto- mlllo francs, cl, 13,000 fr.
centiares.
taire A Morlaix
Dépôts ii Brest : Pharm. Leblgot, Mocudé, Verger, Ré­
Louées jusqu’au 29 septembre
rlse.
Kt même au-dessous de cette
gionale, Chareteur, Ramée. — A L&mbézellec, pharm. Féret.
E ^ U R
3° Mme Marle-KranÇ'Olaa Le mlso A prix.
1913, 200 francs l'an.
— A Quimner, pharm. Ladouce. — A Morlaix, pharm. CoîII.
(Voiries alllches).
7955
Droit ot M. Jean Tanguy, culti­ . üetto forme est louée Jusqu’au
A l ’A M l A B l B
—
A St-Pol de Léon, pharm. Blandln. — A Crozon, x>barm.
vateur A Prat-Pen, en l-aunllla, 29 soptombro 1920, aux époux et
Premièrement
Housse. — A Landivisiau, pharm. Doualle. — A Landerneau,
son mari qui l'asslsto et l'auto­ consorts Colin, moyennunt un Etudo do M*MARTRET, notaire
A Plounévoz-Lochrlst
En la commune de P lo n é n a n
rharm. Kerbrat. — A St-Pierre, pbarra. David. — A Pontrise.
fermago annuel do 400 francs,
l’Ahbé. pharm. Grall.
,t;p3
l T i ï H n P par adjudication Une F E R M E , d’uno conte­
Demandeur», ayant M* Vichot l’acquit do l’ImpOt ot autres char­
i L M J K b publique et vo­ nance de 12 hectaros.
pour avoué.
ges.
lontaire, en i etude et par le m i­
Louée 1,000 francs, plus l’ac­
Et i
Clause (tpéclalo Insérée dans los nistère de M* Martret, notaire A
M. René Tranvofi*. veuf de Daux : paiement par los fermiers Plouuévez-Lochiist, le mardi 13 quit deB Impôts.
Guérison de ìf. Diaque
I
i 1
dame Annette Le Droff. cultiva­ d’IntérotB au taux do 4 0/0 l’an, nvrll 1909, A une heure.
Deuxièmement
atteint de TUBEFH5UMSE PULMONAIRE
teur, demeurant A Prai-Pen, en sur les devis des entrepreneurs,
S-*
En la commune do S lb lr Jl
Près lo bourg et la garo de
•^00
par l'iîlkeir I)Hj)»yroiua
Lannllls, pris tant en son nom au cas oit l’on remplacerait les P Io nnfivez- L ochrlst.
Sxt*
Une
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M
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,
d’une
conte­
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r
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p
r
^
a
e
n
t
o
la
personnel qu'en sa qualité de couvertures on chaume par des
nance de 12 hectares 67 ares.
p n o to j,rr a v u r o c i - c o n t i c c « t s u r v e i l l a n t
LA NU IÏ-PttOPIU ÉT É
•tuteur
légal
de
François* couvertures on ardoises).
•lo la v l l l o <Ic l'u r lt ) 4 la B o u r s e d u
Louée 1,300 francs, plus l’ac­
Marie et de Anne-Marle TranI r a v a l l . J 1 e st n ò à C a b r is (v M p o a L. ALLAIN,
quit des Impôts.
.M « r i t i m e s i e n i 8(W e t b a b it o
ru o
votiz, ses enfants mineurs.
avoué-licencié. De la belle P R O P R IÉ T É
S’adresser
A
M*
Fleury.
7323
C o r b e a u , P a r i s . 11 e u t a u r é g i m e n t , e n
Défendeur défaillant.
1H92 , u n o b r o n c h i t e <Jui f u t m a l s o ig n é e .
Pour toun renseignements, s’a­
l)e POllS-AL-LOUC’I I
Le cahier des charges, rédigé dresser A M* Allttlu, avoué pour­
I.e 14 j a n v i e r iqoS^ j e c o n s t a t a i c l ic z lu i ,
GUANUE & A N C IE N N E
à r u i i b c u l t a t t o n . d e s lé s io n s t u b e r c u ­
1-H
par M1 Le Gall, notaire A Plou- suivent, A M* Anthony, avoué
Consistant en excellents bâti­
le u s e s o c c u p a n t t o u t le p o u m o n d r o i t e t
guerneau, commis par lo juge­ collcltant et A M’ Lorln, notaire ments en ardoises, Jardin, cour
la b a se d u p o u m o n g a u c h e . I l l o u p a i t
ment ausdaté, demouro déposé A Guipavas, chargé do la vente. ot alro murés, verger planté de
e t c ra c lt-a il n e a u c o u p , e t a U tr è s a ll a ib l l
e t t r a n s p i r a it la n u i t . 11 s o u ll r a i t d e s
on son étude, oit l’on peut en
pommiers, champs.
C O N T R E L ’IN C E N D IE
fosse s n a ta le s e t d e la K o r g c . M o n tr a it e ­ •gw
prendre connaissance.
Le tout contlgü — 1 hectare 43
Etudo do M* QUERE, notaire
m e n t i\ b a s e d ' E L I X i n D U P E Y R O U X
d e m a n d e de s n ffe n ts hono­
a m é lio r a d 'a b o r d v o n é tu t e t, le 5 d é ­
L’adjudication aura lieu, aux
ares 94 centiares.
A Plouvorn
c e m b r e 190 $. M . D i a q u e é ta it c o m p lè t e ­
Jour, heure et lieu ci-dessus fixés,
L’usntrultlèro est Agée de 75 rables, actifs et sérieux pour la
;v r r n par adjudication volonln d e p u b l i e r n o n
représenter, comme a g e n ts eus d a n s le b u t d 'é t r e u t i le à ses ms eemn bt latf ub éleri.s . I l m ’aU*p eDr m
en deux lots et sur les mises A
1 ri taire, le dimanche 4 ans.
U P IiY H O Ù X ,
M
5, S t ju a r e d e M e tis in e , 5, P a r is .
rlx Indiquées, par le ministère u v n l ,909, A deux heures, en
Pour tous renseignements, s’a­ g é n é r a u x , dans les cantons de
— l/F.lijrfr I)iipe)Toux i I n o do creosoto vralo d# hitre, d'iode, de Unin e» <U
e M* Lo Gall, notaire A Ptou- l'6tudc.
dresser A M” Martret, notalro A C a rh a lx , CH&teaulln, Chfl.- Clycéi opliusphato
do cluu x, (ticril loc lisions tuberculeuit* 60 prov<M|uuni la (oniiaÜoQ a l
guerneau, parties présentes ou Ea la commune do P lo n ô n n n Ploonévez-Lochrlst.
7954 teaaneuf-du-Faou, du Faou, d'unlitoxlne* dans l«s c iu m sanguin. Il jouli d'une efllcacllô Inountostable el«n* les ess de
du H u e lg o at et do Pleybon.
tubtrculosos pulmonaire, ran^iiuniKilrc, luryngco etosjouso.de la rju g liu . astlmuM, o U r r h c « ,
elles dûment appelées, ainsi que
Conditions très avantageuses. eomliyièlin-s, h:oncliitea cnruniques, 1hume- négligés. Si lattibcrculi se pïïlnioiialre fait tant J « Ut 1
M. YveB Kerloroux, subrogé-tu­
Il est tk toute importance,
Adresser les demandes A M. victimes, e Vit piuce que les médecins no savent pas la
teur ad hoc des mineuru Trou­
noür les tiiLn'^’iiloiu, do 6uivrc le traitement à l«so d'iMixir Dupeyroux ayant que, Ice
Alexis Martin, au bureau du jour­ lésions n’alont pris uno etondue qui les londe irréméduliles. Je consulte (rptuitemeot tous les
terre tabonràbl« dit Goaremve éi.
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14
ares.
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Saint-Renan
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lu
commune
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Snlut-l’ol
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l
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m
r
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volontaire,
le
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avoué-llconclé.
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medi 3 a v ril 1909, A une heure,
Enregistré A Brest, lo mars »le L io n , au lieu du Ku-Plouânan :
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en l’étude.
1909, folio , caso
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franc quatre-vingt-huit centimes,
pris l’Octroi, DUEST
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heure
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demie.
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En la commune de Salnt- IfaltJTU par licitation Judiciaire,
ImpOts.
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Métlailtn tVArucnl, AVywsilloti l'nivot'sclle Patÿs 1000
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.]/('(/nil le ilor, /,'rjinsilioii l ’nivcrseUe Liè<jc 1905
en ardolaos ot autres liKUces,
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Médaille d'Ov, /C.vposillon Inlenialioïtale Milan 1906
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dresser au notaire.
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l’an. Impôt* et commission.
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audit bureau dos Domaines.
ment! A M* Quéré, notaire.
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1
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JCa-•
1
1
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î'im A-v
taille pour l ’onsolgnement supérieur, à l’examen
doctrinal de la liberté, à une étude morale sur le
phylloxéra ou a la critique magistrale do Cha­
teaubriand. C ’est un régal pour l’esprit. Et quelle
nourriture pour l’intelligence, quel arsenal pour
les combats d'aujourd’h ui ! Les problèmes qui
nous angoissent a l'heure actuelle y sont résolus
d’avance avec une pénétration do voyant. Le grand
m ilitant, le grand chrétien fcatallle ot prêche
ancore 1
mm
le' OrtAHDS CATALOGUES de
Meilleure* Montr<*a <lc Hrsançon,
II» non! envoyé« Franco,
tultement.llHeon(t«*n
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notaire A Morlaix
litudo de M* Ch, LORIN, lioen ÏTTT1? P,,lr adjudication, en la
cié eu droit, notaire à Guipavas
« till l u salle itc la mairie de
volontaire, Saint-Pol do Léon.
A N I W T I O N îeidimanche Le mardi ÜO a v r il 1909, à
«li n v r ll 1909, A une heure et deux heures et demie.
demie do l’apres-mldi.
Par le ministère de M» Fleur y.
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En la commune de S nln t- P o l
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n on , au lieu du f'ourneuf :
le chfttoau GMllardin :
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Derniers Mélanges, pages d'histoire conlnmporaine (1873.1879). — Préface et notes par F ran­
çois Veulllot. — Tome I I : 1874-1876. — Tome
I I I : 2 Janvier 1876-15 avril 1877. 2 volume»,
12 fr, — P . Lethlelloux, éditeur, 10, iuo Ca»setto, Parls-VI*.
, A coux qui recherchent à la fols la grandff'pensée chrétienne et la b e lli languo française, Il suf­
fit de slgnalor l’apparlllon des tomes I I ot I I I des
Derniers Mélanges de Louis Veulllot. La laveur
qui accueilli, il y a quelques mois, la première
partie do cette publication, assure le succès do
cas nouveaux volumes. Dans les éludes et les ar­
ticle» écrit» par Louis Voulllot sur le déclin do
l’Assemblée nationale et Jusqu’à la veille du
Selzo m al. le Journnllsto contemporain trouvera
d'admirables at vivants modèlos, le cltojen catho­
lique rencontrera de fortes et très actuelles le­
çons. Jam ais cette plume, que lu mort allait bien­
tôt briser, ne lu t leur à tour plus éloquente et
plus alerte ; Jamais elle ne frappa plus Justo et
ne peignit plus boau. Tantôt ello pétille en polé­
miques spirituelles et mordantes contre les tlèdts
qui laissaient démanteler l'EglIrc ou contre les
violents q u i commençaient a l'assaillir ; tantôt
olio brosso à larges traits l'intéressante Maure
d'un Qulzot ou la grande physionomie d'un Carcia Horcno : tantôt ello pique allègrement la sllhouotte d'un Loyson q ui tom be ou la clmnson
d’uc Rlchopln qui se lève. Elle passo avec aisance
db la piété do Monmartre ot do Lourdes i la ”b.i.
I
1 7
M A I S O N
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Etude de M* MAJSTERB, notaire
A Quimper
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A Ploudalmézeau
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rae dn ûhftteaa, 4 , B rost
où A Mme veuvo Jaouen, au pas­
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: K. G K O R G E U N
sage de Plougastel.
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\ y L ilU I lL M A I S O N ,
V O IT U R E S D ’E N F A N T S
Brosserie, Linoléum, Toiles cirées
I F O U R N E A U X
C U I B I N E I
Lit: 1er et ctlïït, Sonnlsu Eêtall^iez
H Y D R O T H É R A P IE , JARDÎW AQE*
Quincaillerie <B,e]oncour\
45. R U E T R A V E R S ® (Piac« oacii Carnot)
C O N D IT IO N S S P É C I A L E S P O D B L S GBOS
H EPH ESEN T AN T S
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