Stationnement : on n`est pas des sauvages ! Hockey sur
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Stationnement : on n`est pas des sauvages ! Hockey sur
en bref Hockey sur glace : des Albatros de haut vol ! Y. Breton Le samedi 20 avril 2013 restera dans les mémoires des Brestois comme une grande date de l’histoire sportive locale. Ce soir-là, au cœur d’un Rïnkla Stadium à guichets fermés, l’équipe de hockey sur glace des Albatros a décroché le Graal, en battant Lyon (5-4), remportant ainsi le titre de champion de France de Division 1. Les nouvelles stars du sport brestois font ainsi leur retour au sein de l’élite, neuf ans après l’avoir quittée, et retrouveront la Ligue Magnus dès la saison prochaine. Une victoire méritée pour les hommes de Sébastien Oprandi, restés invaincus durant toute la saison. Attendue des supporters qui n’ont jamais failli dans le soutien à leur équipe de choc, cette belle performance des Brestois laisse présager d’une sacrée saison à venir. Le Rïnkla Stadium n’a pas fini de résonner des cris de joie du public ! Au terme d’une saison de haut vol en Division 1, les Albatros ont renoué avec la Ligue Magnus, en battant Lyon le 20 avril sur la glace du Rïnkla Stadium. Stationnement : on n’est pas des sauvages ! Le stationnement sauvage, sur les trottoirs ou les espaces piétonniers de l’agglomération, se multiplie. Un phénomène qui pénalise, en premier lieu, les piétons. « Tout le monde en a toujours pour cinq minutes, et la raison de se garer sur un trottoir ou un passage piéton est toujours “la bonne”… Mais, outre le fait que ces pratiques soient contraires au code de la route*, il s’agit tout simplement d’un manque de respect des autres », relève-t-on au service Déplacements de Brest métropole océane. Sans compter le danger que peuvent représenter certains usages : « Certains se garent sur les avancées piétonnes réalisées sur la voirie, faites pour sécuriser le passage des piétons, et rendre par exemple plus visible un enfant qui veut traverser »… Mauvaises habitudes « La collectivité met en place des moyens pour sécuriser les espaces piétons… Et ces zones sont finalement “squattées” par des voitures ! C’est dangereux pour les piétons, et gênant puisque cela les oblige souvent à marcher sur la voirie. Or ces pratiques ont tendance à se multiplier un peu partout sur l’agglomération », abonde Valérie Denis, du service Transport et stationnement. De mauvaises habitudes souvent justifiées par l’impression d’un manque de places de stationnement… « Le parc automobile n’a cessé de se développer ces dernières années. Et même s’il a désormais tendance à se stabiliser, et que nous sommes de plus en plus nombreux à prendre les transports collectifs depuis la mise en service du tram, il reste beaucoup de voitures en ville. Des places, il y en a… mais on ne peut pas les multiplier au pied de chaque immeuble. » Bien souvent, il suffit d’ailleurs de s’éloigner de quelques dizaines de mètres pour trouver une “vraie” place de stationnement. Au prix, certes, de trois à cinq minutes de marche supplémentaire. Qui éviteront bien souvent de retrouver une amende sous l’essuie-glace ! mais aussi Journée mondiale contre les homophobies Le 17 mai prochain, à Brest, la place de la Liberté se transformera en lieu de rassemblement pour tous ceux et celles qui se sentent concernés par la lutte contre les homophobies. De 14h à 18h, et à l’initiative du collectif HLGBT (Hétéros, lesbiennes, gays, bi et trans) du Finistère, c’est un village associatif qui sera ainsi dressé devant l’Hôtel de Ville : différents stands au programme, des tests de dépistage rapide du VIH, un parcours de vie sur l’homophobie ordinaire, des spectacles animés par la Libido, ligue d’improvisation brestoise… Une grande journée de mobilisation, donc, soutenue, entre autres, par la Ligue des droits de l’Homme et le planning familial. À noter que cette journée sera précédée par la projection-débat du film La Parade au cinéma les Studios, le 14 mai à 20h. Dominique Sennedot à la barre de DCNS Début avril, DCNS Brest a changé de tête. Dominique Sennedot, issu des rangs de l’Ensieta Bretagne et qui a effectué toute sa carrière au sein de DCNS, a en effet pris le relais de Christian Laurent pour diriger le site brestois. À 56 ans, l’homme, qui préside également le Pôle mer Bretagne, sait que les défis qu’il va devoir relever à ce poste sont nombreux et passionnants. Il faudra ainsi gérer la continuation de l’adaptation des sous-marins lanceurs d’engins au missile M51 (jusqu’en 2020), comme le développement de l’activité Energies marines renouvelables, avec la perspective d’un premier prototype d’éolienne flottante, qui serait assemblé à Brest, prévu pour 2013. *www.legifrance.gouv.fr retrouvez-nous sur www.brest.fr, Facebook et Twitter Sillage mai 2013 I 21