Point de contact central : la banque doit renseigner votre
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Point de contact central : la banque doit renseigner votre
Lettre d’information pour l’entrepreneur Cette lettre d’information vous est offerte avec le soutien de Belfius Banque 1ère année Octobre 2013 Numéro 1 2 3 4 Le fisc et votre vie privée Statut social des indépendants : pouvez-vous prétendre à une assurance en cas de faillite ? Quel montant de TVA pouvez-vous déduire pour un véhicule que vous utilisez à des fins privées et professionnelles ? Avant-propos financière, le plan financier) pour lui permettre d’évaluer une demande de crédit en toute connaissance de cause. On ne soulignera jamais assez l’importance du triangle PME — expertcomptable/comptable — banque pour l’économie belge. En effet, les PME belges sont le moteur de l’innovation et de la croissance économique dans notre pays. Mais pour pouvoir assumer ce rôle, elles ont besoin de soutien, de conseils et de financements. Forts de leur expérience et de leur expertise, l’expert-comptable/ le comptable et la banque peuvent tous deux y contribuer. Les PME reçoivent les conseils dont elles ont besoin de leur comptable, expert-comptable, conseil fiscal … Ces derniers assistent l’entreprise dès le début, pendant la phase de croissance et jusqu’à la fin éventuelle de l’entreprise. Dans notre monde toujours plus complexe, il est de plus en plus important de pouvoir obtenir des conseils judicieux quelle que soit la phase dans laquelle se trouve l’entreprise. L’entrepreneur qui souhaite développer ses activités et innover a besoin d’investisseurs, mais également de la banque comme source de financement. A cet égard, l’expert-comptable/le comptable peut jouer un rôle important en tant qu’intermédiaire. D’une part, en assistant l’entrepreneur, notamment en participant à la réflexion sur le moment propice pour investir, sur la manière de le faire et sur les produits dans lesquels il peut investir. Et d’autre part, en com- L’expert-comptable/le comptable conseille et informe ses clients via différents canaux : il peut s’agir d’un site web ou encore d’une assistance personnelle et détaillée lorsqu’un contrôleur fiscal se manifeste. Cette lettre d’informations bimestrielle apporte également sa pierre à l’édifice : quatre articles présentent brièvement les nouveautés fiscales et des conseils pratiques à l’intention de l’entrepreneur, qui ne doit pas nécessairement être un spécialiste en fiscalité. Il pourra ainsi consacrer plus de temps à son entreprise. muniquant à la banque les informations correctes (les comptes annuels, l’analyse Point de contact central : la banque doit renseigner votre compte bancaire Le secret bancaire fiscal n’existe plus depuis deux ans en Belgique. Le lancement du ‘point de contact central’ permet désormais au fisc d’avoir plus facilement connaissance de vos comptes. Toutes les banques belges doivent en effet renseigner certains comptes bancaires avec le nom des titulaires à ce ‘point de contact central’. L e secret bancaire a été assoupli en Belgique ces dernières années. Le fisc peut demander des renseignements à votre banque s’il y a des indices de fraude ou si elle veut établir une taxation indiciaire. Mais le fisc doit alors naturellement savoir auprès de quelle banque vous avez des comptes, en tant que contribuable. Pour faciliter les choses, un point de contact central a été créé, auprès duquel les banques belges doivent renseigner certains comptes, y compris le nom du titulaire du compte. Le point de contact a été créé comme entité distincte au sein de la Banque Nationale de Belgique. Le fonctionnement du point de contact est à présent précisé par arrêté royal. Quelles données? Toutes les données depuis 2010 doivent être transmises au point de contact. L’obligation touche tous nouveaux comptes ouverts au cours de l’année, mais également tous comptes qui existaient au cours de l’année précédente. Il est donc inutile de clôturer à la va-vite un ou plusieurs comptes. Le simple fait que le compte ait existé pendant l’année est suffisant pour devoir le signaler. L’obligation de communication va bien au-delà des comptes à vue et d’épargne. En effet, la banque devra également renseigner certains contrats de crédit supérieurs à 200 EUR (d’un simple crédit à la consommation à un emprunt hypothécaire). Enfin, l’obligation s’applique également aux contrats de leasings financiers et aux conventions de placement s’ils ne sont pas liés à un compte de façon indissociable. Il en résulte que les entreprises de location-financement et les sociétés d’investissement sont également soumises à cette obligation de communication. Les banques ont jusqu’au début de l’année 2014 pour satisfaire à cette obligation de communication. Le point de contact pourra ensuite être utile au fisc vers la moitié de l’année 2014. Vous avez un compte à l’étranger? Le législateur belge ne peut obliger les banques étrangères à communiquer quels contribuables belges ont un compte chez elles, sauf si la banque étrangère a un établissement belge, auquel cas elle doit renseigner l’existence des comptes. Toutefois, il n’y a pas vraiment moyen d’échapper à l’obligation de communication. A partir de 2014, vous devrez en effet communiquer vous-même vos comptes étrangers au ‘point de contact central’. Pour en savoir davantage sur le fisc et le droit au respect de votre privée, consultez l’article à la page suivante. 2 Lettre d’information pour l’entrepreneur • Octobre 2013 • Numéro 1 Le fisc et votre vie privée L’administration fiscale et la vie privée des contribuables forment un mariage difficile. Bien que le fisc doive en principe respecter votre vie privée, il existe cependant de plus en plus d’exceptions à cette règle. Le contribuable est, depuis le début de cette année, moins bien protégé contre l’administration fiscale. Cela doit-il vous empêcher de dormir ? cela était uniquement possible à la demande expresse d’un collègue d’une autre administration. Interne : échange de données au sein du ministère des Finances lui-même Un service spécial (sous le couvert du SPF Finance) juge quelles données peuvent être échangées en interne, par exemple entre l’Administration de la TVA et l’administration qui contrôle et récolte les impôts sur les revenus. Externe : échange de données avec d’autres services publics Le fisc peut également transmettre vos données à d’autres services publics mais ils ont alors besoin d’une autorisation de la Commission vie privée. Le fisc peut aussi recevoir des données d’autres services publics mais uniquement si les données s’inscrivent dans le cadre de la mission légale du SPF Finances et avec autorisation de la Commission vie privée. Exploration de données Le fisc est autorisé à réunir les données dans une grande banque de données (datawarehouse). Avec ces données, il peut ensuite se livrer à l’exploration des données (datamining) : analyser de manière statistique les données afin de pouvoir effectuer des contrôles plus ciblés. La Commission vie privée supervise également cela. Vous êtes protégés par la loi La loi relative à la protection de la vie privée de 1992 protège les personnes physiques contre toute personne qui collecte, gère et traite des données à caractère personnel dans une base de données. Cela concerne aussi bien les entreprises qui constituent une base de données clients que l’administration elle-même. Les trois principes ci-dessous sont cruciaux pour la collecte et le traitement de données : •le principe de finalité : les données ne peuvent être collectées et utilisées uniquement dans une finalité déterminée, claire et légitime ; •le principe de proportionnalité : les données peuvent uniquement être traitées pour ce qui est nécessaire ; •le principe de transparence : vous avez droit d’être informé de l’utilisation qui est faite de vos données et vous pouvez toujours demander d’où elles viennent et à qui elles sont destinées. En contrôle fiscal, vous avez moins de droits Le droit d’accéder et de rectifier vos données et le droit de vous opposer à l’utilisation de vos données s’éteignent si vous faites l’objet d’un contrôle fiscal. Le législateur ne souhaitait pas que le contribuable puisse accéder à son dossier pendant la phase de contrôle. Il craignait en effet que l’accès au dossier puisse influencer le déroulement de l’enquête. Une fois l’enquête terminée, le contribuable recouvre son droit d’accès, de rectification et d’opposition. Outre la loi relative à la protection de la vie privée, il y a la loi relative à la publicité de l’administration qui vous accorde le droit de prendre connaissance de tout document administratif, même celui qui relève de votre dossier fiscal, d’obtenir des explications à son sujet et d’en recevoir une communication sous forme de copie. De cette façon, vous conservez donc partiellement un droit d’accès, y compris pendant l’enquête. Qui plus est, vous jouissez également de trois droits très importants : (1) le droit d’accéder aux données collectées, (2) le droit de rectifier les données incorrectes et, enfin, (3) le droit de vous opposer à l’utilisation des données lorsque celles-ci sont incomplètes ou non pertinentes. Le fisc a du pouvoir mais la Commission vie privée garde un œil attentif La loi relative à la protection de la vie privée s’applique à tout le monde et également au fisc. Depuis fin 2009, les différentes administrations fiscales disposaient déjà de la possibilité de collecte de données et d’échange spontané. Auparavant, Cette lettre d’information vous est offerte avec le soutien de Belfius Banque 1 2 3 4 Point de contact central : la banque doit renseigner votre compte bancaire Le fisc et votre vie privée Statut social des indépendants : pouvez-vous prétendre à une assurance en cas de faillite ? Quel montant de TVA pouvez-vous déduire pour un véhicule que vous utilisez à des fins privées et professionnelles ? 3 Lettre d’information pour l’entrepreneur • Octobre 2013 • Numéro 1 Statut social des indépendants : pouvez-vous prétendre à une assurance en cas de faillite ? Les travailleurs licenciés ont droit à des allocations de chômage. Les indépendants peuvent, en cas de faillite et dans certains cas, bénéficier d’une assurance faillite. Les conditions pour pouvoir prétendre à cette assurance ont été assouplies l’année passée. Les avantages L’assurance faillite pour les indépendants est destinée : •aux travailleurs indépendants déclarés en faillite ; •aux travailleurs indépendants incapables de faire face à leurs dettes en raison de leur insolvabilité manifeste et qui bénéficient d’un règlement collectif de dettes ; •aux gérants, administrateurs et associés actifs d’une société commerciale déclarée en faillite ; •aux non-commerçants qui ne sont plus à mêmes de payer leurs dettes (par exemple les agriculteurs et les titulaires de professions libérales). L’assurance faillite prévoit : Le maintien des droits aux allocations familiales et aux soins de santé (maladie et invalidité) pendant 4 trimestres (1 an) maximum sans devoir payer de cotisations et une prestation mensuelle pendant 12 mois maximum. Les conditions Pour pouvoir prétendre à l’assurance faillite, l’indépendant à titre principal doit avoir été redevable de cotisations sociales pendant les quatre trimestres qui précèdent le jugement déclaratif de faillite L’assurance faillite est ou être redevable de cotisaétendue aux cessations tions sociales jusqu’au premier résultant d’une force jour du trimestre qui suit celui majeure de la cessation de son activité indépendante. Vous ne pouvez plus exercer de profession ou bénéficier d’un revenu de remplacement à partir du premier jour ouvrable qui suit le jugement déclaratif de faillite et vous devez avoir votre résidence principale en Belgique. En cas de condamnation pénale ou d’insolvabilité frauduleuse, l’intéressé n’entre pas en considération pour l’assurance. L’indépendant peut bénéficier de l’assurance faillite à plusieurs reprises au cours de sa carrière (auparavant une seule fois), mais la durée est limitée à 12 mois sur l’ensemble de la carrière. L’assurance faillite a été étendue à l’arrêt forcé en cas de force majeure. Cela signifie 1 ° une catastrophe naturelle ou d’un phénomène naturel exceptionnel ; 2 ° un feu qui a endommagé vos locaux professionnels et votre outil professionnel ; 3 ° une destruction de vos locaux professionnels et de votre outil professionnel par un événement autre que ceux visés au 1 ° et 2 °, qui est causée par un tiers ; 4 ° une allergie dont vous souffrez, qui est reconnue par le médecin-conseil de votre compagnie d’assurance et est causée par l’exercice de votre activité d’indépendant et pour laquelle vous ne recevez aucune indemnité (par exemple, un boulanger devient allergique à la farine. L’allergie est reconnue par le médecin-conseil de votre mutualité et le boulanger ne reçoit aucune indemnité d’incapacité de travail pour cette allergie). L’assurance faillite après cessation forcée n’est en fait pas une assurance - cette dénomination est regrettable – pour laquelle vous devez payer des primes, mais un droit social réservé aux travailleurs indépendants. Comment procéder? Adaptation de l’assurance faillite Pour toutes les faillites déclarées à partir du 1er octobre 2012, les conditions pour l’assurance faillite sont adaptées. Le délai d’introduction d’une demande de l’assurance faillite est porté de 1 à 2 trimestres (6 mois). Désormais, l’indépendant peut donc introduire sa demande jusqu’à la fin du deuxième trimestre qui suit le jugement déclaratif Cette lettre d’information vous est offerte avec le soutien de Belfius Banque de faillite. L’objectif est d’octroyer au failli plus de temps pour faire valoir ses droits. Les demandes d’assurance faillite passent par la Caisse d’assurance sociale ou la Caisse Nationale (la Caisse Nationale de l’Institut national d’assurances sociales pour travailleurs indépendants, en abrégé l’INASTI). Lorsque la déclaration de faillite ou de cessation de votre activité remonte au 1er octobre 2012, ou plus tard, vous devez présenter votre demande avant la fin du deuxième trimestre qui suit celui de la déclaration de faillite ou de cessation d’activité. 1 2 3 4 Point de contact central : la banque doit renseigner votre compte bancaire Le fisc et votre vie privée Statut social des indépendants : pouvez-vous prétendre à une assurance en cas de faillite ? Quel montant de TVA pouvez-vous déduire pour un véhicule que vous utilisez à des fins privées et professionnelles ? 4 Lettre d’information pour l’entrepreneur • Octobre 2013 • Numéro 1 Quel montant de TVA pouvez-vous déduire pour un véhicule que vous utilisez à des fins privées et professionnelles ? La TVA que vous payez sur une voiture de société que vous utilisez à la fois à des fins privées et professionnelles n’est pas intégralement déductible. La manière de calculer exactement la quotité privée n’est pas si simple. Nous vous expliquons brièvement les 4 méthodes possibles. Appliquer les différentes méthodes ? La méthode (3) ne peut être combinée avec les autres méthodes. Les méthodes (1) et (2) s’appliquent par voiture. Une entreprise peut donc parfaitement appliquer la possibilité (1) pour la voiture A et la possibilité (2) pour la voiture B. Que pouvez-vous déduire effectivement ? Remarques préalables : •les déplacements domicile-lieu de travail sont considérés comme des déplacements privés ; •la déduction générale pour les frais de voiture est maintenue à 50 %, vous ne pouvez donc plus déduire plus de 50 % de la TVA sur votre voiture de société. Méthode (1) : « carnet de route » Pour chaque trajet professionnel, vous devez tenir une série de renseignements administratifs : date, destination, nombre de kilomètres … Sur la base de ceci, le total de kilomètres parcourus à des fins professionnelles est déterminé. Exemple Il ressort du carnet de route que vous avez parcouru 12.000 km au cours de l’année dont 3.600 à des fins professionnelle soit 30 %. Méthode (2) : combinaison de formule et forfait La deuxième méthode utilise une formule combinée à un forfait de 6.000 kilomètres pour les déplacements ‘purement’ privés (déplacements privés autres que les déplacements domicile-lieu de travail). distance domicile-lieu de travail x 2 x 200 + 6.000 distance totale parcourue pendant l’année Le nombre ‘200’ dans la formule correspond au nombre de jours de travail et est également fixé forfaitairement. Exemple Vous habitez à 10 km de votre travail. Au total, vous parcourez 15.000 km par an. Votre utilisation à des fins privées s’élève à : 10 x 2 x 200 + 6.000 = 10.000 kilomètres, soit 66,66 % du total des kilomètres parcourus. L’utilisation à des fins professionnelles correspond ici à 33,33 %. Vous pouvez récupérer la TVA que vous avez payée à concurrence de l’utilisation professionnelle de la voiture. La limitation de la déduction s’applique à tous les frais afférents à cette voiture : l’achat, mais aussi le carburant, les réparations … Exemple La société dont vous êtes gérant achète en 2013 une voiture au prix de 35.000 euros. La TVA s’élève à 7.350 EUR. La voiture est mise à disposition du gérant. Le nombre de kilomètres parcourus à usage privé s’élève à 60 % du total des km parcourus. Cela signifie que 40 % de la TVA payée est déductible et donc que la société récupère 2.940 EUR de TVA. En ce début d’année, vous ne savez pas encore combien de kilomètres privés vous allez parcourir exactement l’année à venir. C’est pourquoi, au moment de la mise à disposition de la voiture, vous devez faire une estimation. S’il s’avère en fin d’année que la quotité professionnelle réelle s’écarte de l’estimation, une révision sera nécessaire. Qui doit payer pour l’utilisation du véhicule ? Si en tant que gérant ou travailleur, vous devez payer une indemnité pour l’utilisation de la voiture, la mise à disposition constitue bien entendu un service imposable, de sorte que la problématique de la limite de déduction quotité professionnelle/privée ne s’applique pas. Est publiée six fois par an Méthode (3) : un forfait de 35 % La troisième méthode est le forfait de 35 % pour utilisation à des fins professionnelles. L’assujetti qui opte pour ce forfait doit l’appliquer pendant au moins quatre ans. Méthode (4) : camionnettes Copyright ©2013 – Belfius Banque SA. Cette lettre d’information est disponible en 2 langues et a été envoyée conformément à la loi sur la vie privée. 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