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Communiqué de presse Le clip qui éclipse les autres clips Narcisse est l’exemple type de l’artiste atypique. Le slameur le plus connu de Suisse vient de sortir un clip d’un genre nouveau où il interagit avec le monde d’Internet. On n’avait jamais vu ça. Narcisse est né et vit en Suisse. Musicien depuis l’enfance, il a durant des années travaillé, dans l’ombre, à différents projets : musiques de film, habillages radiophoniques, albums de chanteurs peu connus. Et puis un jour il en a eu marre et a décidé de faire de la musique pour lui, et de dire enfin ce qu’il avait envie de dire. C’est là qu’il s’est choisi son nom de scène, parce qu’il collait bien aux ambitions de son projet. Il a fait un peu de chanson d’abord, « sans trop de succès » dit-il, mais tout de même suffisamment pour être repéré par l’équipe de Voix-du-Sud, l’association de Francis Cabrel qui organise des stages d’écriture de chanson. C’est au cours d’un de ces stages qu’il décida… de ne plus chanter, mais de se tourner vers cette nouvelle forme d’expression dont on commençait à parler : le slam. C’était juste avant la découverte de Grand Corps Malade. Slameur numéro 1 Sa carrière prend alors un tournant. Dans le monde francophone, il est très vite reconnu comme « le meilleur slameur de Suisse ». La radio veut l’entendre, la télé parle de lui et des ateliers qu’il anime, les journaux l’interviewent, ses textes sont cités dans des travaux d’écoliers ou d’universitaires. A Liège, en Belgique, il remporte deux années de suite de tournoi des 24 Heures du slam. Il se fait entendre aussi à Paris, Lyon, Strasbourg, Le Mans et est invité au championnat germanophone du slam à Zurich pour représenter la langue française. En 2009, il crée le spectacle « Regardez-vous » qui met ses textes en musique, mais aussi en images : un écran semi-transparent fait partie intégrante du show et montre tour à tour des musiciens, des images de synthèse, des films d’archive, et des faux Narcisse qui interagissent avec le vrai. Le spectacle est joué une cinquantaine de fois un peu partout en Suisse et en France. Francis Cabrel en ressort « impressionné ». Et puis, toujours à la recherche de nouveaux moyens d’expression, Narcisse se lance dans la réalisation d’un clip qui se veut différent : ce n’est pas un film susceptible d’être diffusé sur une chaîne TV ou sur YouTube ; c’est une sorte d’application interactive mettant en scène des sites web parmi les plus connus (Wikipedia, YouTube, Facebook, Skype, etc.) sur lesquels les acteurs interviennent. Le texte raconte l’histoire d’un personnage qui s’est acheté une femme mécanique, qui lui convient mieux qu’une vraie, notamment parce qu’elle « n’est jamais au régime, et ne pleure pas pendant les films… même Titanic ». L’écriture est typique de Narcisse : grinçante, irrévérencieuse, mais surtout drôle avec un fond de dérision. Et ses mots sont taillés au scalpel. Drôle de tournage Il lui fallait une actrice – une vraie – pour incarner cette femme mécanique. Narcisse a tout simplement cherché sur Internet, dans les sites des agences artistiques. Il est rapidement tombé sur Viviane Bonelli qui avait exactement le physique qu’il cherchait (« sa plastique est un tout entre Audrey Tautou et Monica Bellucci », dit le texte). Un échange de mails et la belle acceptait de jouer le jeu. Pas facile pourtant d’évoluer sur un écran vert, au rythme de la musique, de presser des boutons qui n’existent pas et de s’asseoir sur tabouret qu’on ne verrait pas. Il a fallu qu’elle passe l’aspirateur dans un salon alors que Narcisse agitait les mains dans le vide : drôle de tournage. Mais tout s’éclaire quand on voit le résultat final. Narcisse achète donc sa femme mécanique – modèle iWife – sur un site largement inspiré de celui d’Apple ; il l’emmène dans un magasin de meubles design ; il regarde un film avec elle sur Facebook ; il parle au spectateur sur Skype ; et ainsi de suite. Quand Narcisse clique sur les menus d’un site web, la femme mécanique change de costume. Et lorsqu’elle passe l’aspirateur, elle engloutit les fenêtres du navigateur. Partout, le clip est jalonné de détails : une discussion fictive avec Vincent Cassel, un Poke Facebook envoyé à Narcisse par le pape Benoît 16 : il faut le voir plusieurs fois pour tout remarquer… mais tout le monde aura envie de le voir plusieurs fois ! Voir le clip : www.femmemecanique.com Pour plus d’informations : Mail : [email protected] Tél. depuis la Suisse : 076 226 75 53 Tél. depuis l’étranger : +41 76 226 75 53 Photos de Narcisse et version électronique de ce texte sur www.femmemecanique.com, en fin du clip.